De la lecture angoissée à la correction névrotique
Il faudra être indulgent pour les fautes, erreurs, bourdons, doublons et coquilles de ce billet. l’émotion, probablement ; la compassion, certainement. C’est que les correcteurs ont le blues : le blues des correcteurs. Cela dure depuis quelques années déjà et cela ne s’arrange pas. Le métier tend à disparaître, les conditions de son exercice sont de plus en plus précaires (11 euros net de l’heure à domicile), on leur demande de travailler de plus en plus vite au détriment de la qualité…
Un article paru dans la dernière livraison de la Revue des deux mondes s’en fait l’écho sous le titre « Névrose d’un correcteur ». Son auteur Jacques Goulet a longtemps œuvré au Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales, la Gazette de l’hôtel Drouot, avant la réédition de La Mort sara de Robert Jaulin, Le Monde, L’Auvergnat de Paris, l’Encyclopaedia Universalis surtout (on s’en doute, Wikipédia n’est pas son cousin). Ah, l’Encyclope et ses paperolles, qu’est-ce qu’il a pu y repatiner comme textes sous l’œil implacable de Jacques Bersani ! Combien en a-t-il décoquillés dans des caves enfumées qui n’avaient rien à envier à La Cave de Thomas Bernhard ! Il eut même à corriger Présent, quotidien d’extrême-droite, ce qui n’alla pas sans cas de conscience vis-à-vis de rédacteurs qui ne pouvaient s’empêcher de mentionner avec des guillemets la qualité d’« israélite » de nombre de personnalités, ou de préciser entre parenthèses à chaque fois qu’ils évoquaient Jack Lang qu’il était « le frère d’un assassin ». Deux années durant, le correcteur et ses camarades cégétistes s’en accommodèrent à condition de n’avoir aucun contact direct avec les rédacteurs de Présent. Question de conscience professionnelle. François Brigneau, qui signait Mathilde Cruz ses chroniques sur la télévision, n’a jamais su que, lorsqu’il oubliait de se féminiser dans ses philippiques contre la vulgarité de la petite lucarne, le correcteur, dans l’ombre, rectifiait et accordait…
Pourquoi une névrose, docteur, quand il ne s’agit manifestement que de pinailleries (souvenons-nous d’Antoine Doinel dans L’Amour en fuite) ? Parce que la relecture des textes des autres avant impression relèverait de la « lecture angoissée » qui n’est pas celle du tout venant. D’après les spécialistes, notamment Sophie Brissaud, elle se manifeste par divers symptômes : folie de persécution, fatalisme, ironie désabusée, souci maniaque du détail… Ce dernier surtout semble le plus répandu. Encore qu’il faut distinguer entre les correcteurs des journaux et ceux des livres. Ceux qui travaillent pour des rédacteurs en chef et ceux qui suent le burnous pour les éditeurs. Pour les uns comme pour les autres, la grammaire, alliée à un minimum de logique, doit se mettre au service du sens, même si l’on appartient à la fameuse tendance anarchiste du syndicat des correcteurs.
De tous les galériens de la chaîne du livre (ah, l’horrible expression !), ils sont les plus discrets, les anonymes, les plus invisibles. Plus encore que les traducteurs. Ils se posent des questions métaphysiques que l’homme de la rue ne soupçonne même pas. Surtout celui qui ignore que « quelque » demeure au singulier malgré les milliers qu’il désigne lorsqu’il est synonyme d’ « environ ».
« Est-il préférable de laisser une faute qui, pour la plupart des lecteurs, n’en serait pas une ou vaut-il mieux demander une correction qui serait perçue à tort par beaucoup comme fautive ? »
Grandeur et servitudes du corrigeage (mais oui, c’est correct, bien que mon ordinateur le souligne en rouge : il s’agit de la réalisation de la modification). Selon les cas, ils préparent la copie et corrigent les épreuves. Ils sont en prise directe avec le manuscrit, puis avec son auteur. Pour faire la part entre les incorrections qui enrichissent la langue, la licence poétique et le reste, il leur faut déployer un grand art de la négociation car l’auteur est doté généralement des mêmes troubles psychiques qu’eux (cf supra) avec en prime une susceptibilité proportionnelle à son ego. On en connaît que l’oubli d’une espace insécable réveille la nuit. Cela dit, les conditions sont devenues telles que nombre de livres paraissent bourrés de fautes ou de coquilles ; ce laxisme, dont les seules raisons sont d’ordre économique, pourrait même passer pour la signature de certains éditeurs, y compris dans de grandes maisons… (mais pas Gallimard qui, j’en atteste, est sur ce plan irréprochable). Même s’il est inévitable qu’après maintes relectures, il en subsiste encore. Le galeriste Daniel-Henri Kahnweiler, marchand historique des cubistes, avait monté une petite maison d’édition dans sa galerie avant la Première Guerre mondiale. Il y publia les premiers textes de Max Jacob, Apollinaire, Malraux… Des petits livres à la fabrication extrêmement soignée. Lorsque vint le moment de définir les couvertures, il dessina deux coquilles de coquillages : « Parce que tout bon livre en contient au moins deux : alors autant les mettre tout de suite en couverture pour ne plus y penser ! » disait-il.
Au passage, on retrouve dans l’article un brin nostalgique de Jacques Goulet des mots oubliés, ceux du jargon d’un métier qui ne sera peut-être un jour qu’un souvenir, quand l’algorithme sera suffisamment sophistiqué pour rendre plus fin et plus aigu le correcteur automatique de notre ordinateur. Beaucoup se contentent déjà du logiciel ProLexis. Des jolis mots comme « cassetin » pour signaler le bureau des correcteurs dans une imprimerie (on se croirait chez Balzac), ou « enchouter » pour dire qu’il faut accélérer les cadences quand le travail s’entasse dans les corbeilles. Sans oublier les morasses qui, elles, ne distinguaient pas le pays légal du pays réel…
Autant l’avouer : le correcteur est celui sur lequel on se repose en se disant qu’il saura pourvoir plus tard à nos ignorances. En ce sens, il nous aide involontairement au cours du processus d’écriture même en nous allégeant de nos doutes immédiats, en nous permettant de transférer sur lui notre angoisse. Alors névrosé, le correcteur ? Certainement. Mais, parole d’écrivain et de journaliste, sans lui, ses manies et ses travers, on se ridiculiserait dix fois plutôt qu’une. Et parole de blogueur aussi : je m’aperçois que j’ai oublié de rendre hommage à PMB, professionnel de la correction à la retraite qui, pendant des années, m’a gentiment et spontanément adressé par courriel ses corrections de mes billets. Merci !
(« La correctrice et l’écrivain chez l’éditeur » photo passou ; Illustration Leo Jung)
449 Réponses pour De la lecture angoissée à la correction névrotique
Comme je n’ai aucune vocation à appeler quiconque mon petit ni mon gros ni mon canard ni ma bonne ni ma cocotte , que ce n’est pas mon actualité, bonsoir les métaphysiciens copinaillant subintensivement (mecs) (rédigé par Ilve)
Bonne nuit canard.
renato, je t’aime !
Il y avait Bossuet l’aigle de Meaux.
Il y a maintenant Renatoto l’aigre de Colmar.
Les temps sont difficiles.
Allons bon, mon commentaire est « en attente de modération ». C’était pourtant un compliment.
effectivement si ce monde serait meilleur s’il comptait un peu moins de névrosés et un peu plus de dépressifs.
faut-il accepter les règles démocratiques et laisser cette majorité de névrosés nous imposer ses lois?
ou bien faut-il en passer par les actions violentes pour lutter contre ce qui ressemble à une épuration éthnique?
l’L d’hommage
Je comprends.
J’ai vu.
laissez donc aussi ce pseudo reposer !
moi je ne suivrai plus du tout .
Comment ça, indulgent ? Eternuer dans le sac, oui !
« Est-il préférable de laisser une faute qui, pour la plupart des lecteurs, n’en serait pas une ou vaut-il mieux demander une correction qui serait perçue à tort par beaucoup comme fautive ? »
sur cadre gris et sans liaison, pas vraiment faux mais d’un douteux..
J’ai compris et je vois, Ô modérateur sans cœur, mais je ne comprends pas qu’un élan de solidarité envers un retraité alsacien nécessiteux, vivant dans une misérable soupente avec l’eau froide sur le pallier et des toilettes au fond de la cour, soit traité avec autant de mépris.
Ah, l »humanisme !
On en cause, mais dès qu’il s’agit d’aider les grands vieillards, plus personne.
Censuré !
Je sais : mon commentaire est en attente de modération. Bon…
C’est pas bien de jouer avec ses nerfs ! Voila que mon commentaire est revenu !
La lampe électrique fond, et d’ailleurs l’une des lectrices vient de se ramasser une bolée de plasma hurlant : voilà une surexposition qui ne saurait guère enrichir qu’ERDF…
Les modérateurs le mieux c’est dans des camps avec des bêches agricoles…
Rataplouf dit: 30 juillet 2013 à 22 h 51 min
est fou.
D’un autre côté ça me fait penser à mes essais de lanternes, en 3D, faut toujours que j’aveugle à mort, mais là j’ai un alibi, comme dirait Ventura, c’est l’assombrissement monstrueux à l’impression…
Sergio a de la chance, tout le monde parle de lui.
Le laxisme il est pas du tout aucunement d’ordre économique, c’est parce que les mecs sont des gros t-ânes, comme on dit en Auvergne, justement…
Assez déconné.
…
…dans les machines à vapeur,…
…
…Inquisitions de nos politiciens,…plutôt des cuisiniers,…l’élevage, la confiance à ses maîtres,…d’acquis sociaux de la lutte finale à Gargantua,…
…
…Oui,…je m’occupe de la salade Vert-Bio-Gay-French-P.D.G.,…Ôpus-Deï,…des sacrements,…à deux balles hérétiques,…
…
…je prend par l’aile gauche,…je divise le terrain par la médiane,…au centre je tranche à droite,…les viscères extirpées de cette moite chaleur de l’amour populaire comme détritus for poubelles of course,…
…
…la recette du pouvoir,…
… » coq au vin des grands chefs « ,…
…
…laisser jaser les chiens,…et diligencer les mets,…les hors d’oeuvre,…de velours,…joindre l’utile à l’agréable et ne pas parler la bouche pleine,…
…
…toujours le sourire convivial ruminant peu,…sur la place publique,…
…l’important c’est de participer, toujours du bon côté,…de la table,…pas devant les » os « ,…de la démocratie de Verdun et ses entremets,…du dégrossissage,…
…
…heureux qui comme Ulysse, n’est pas rester cloîtrer dans son hydromel de perlin-pinpin,…etc,…Bip,…Bip,…Ah,…Ah,…etc,…
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…forcément,…l’Académie des beaux-arts,…çà aide pour la danse macabre,…que du bonheur,…
…
…le style,…lire les livres en brefs,…pour les illustrer,…pour ces grands enfants face aux adversités,…ces drones de la passion,…etc,…
…
Je sais que cela n’a pas de rapport direct avec le sujet, mais je tenais à dire à quel point les Bretons et la Bretagne faisaient honneur à la France.
Je ne suis pas moi-même breton, même pas à 1 %, mais je me sens particulièrement bien dans cette région française qui n’a pas délaissé le catholicisme, qui entretien bien ses églises et qui les remplit chaque Dimanche.
En plus de cela la Bretagne est belle et plutôt propre.
Les Bretons sont des gens non seulement sympathiques, pragmatiques, mais également simples.
Voilà, c’était une petit témoignage de sympathie pour eux.
S’il n’y avait eu que des Bretons en France, les choses auraient mieux été, seulement voilà : c’est techniquement impossible.
…
…dur, dur,…les Goths,…par-ci,…les Goths par là,…les wisigoths à plumes de pa-ons, les ostrogoths, à plumes d’aut-ruches,…
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…tout ces vrais » indiens » de la destruction de Zeus et sa famille,…à embobiner vos enfants dans l’obscurantisme et la misère dans l’existence,…
…
…tous ces vandales et comédiens, ces Hermès des Dieux à deux balles,…l’outre-pleine,…
…jouant aux Diables et Dieux,…
…terrorisants des générations d’enfants,…la solidarité c’est l’enfer,…
…le paradis, chacun pour soit en connivence d’ascenseur,…toucher les fumiers royalties,…etc,…
…
sauveur jc dépêche-toi donc, les Egyptiennes t’attendent
Bravo et merci aux journalistes de la presse écrite régionale.
Au moins c’est frais, c’est léger, ça détend les parisiens angoissés ( je vous dis pas le milieu anxiogène que je viens de traverser, à la poursuite de la correctrice pour la retrouver bizarrement en Auvergne) et ça fait rire les autres.
Je ne sais pas si le code typo a été respecté à la lettre, mais « on s’en fout » :
Très gravement brûlée, elle s’est éteinte pendant son transport à l’hôpital. (Dauphiné Actualité)
La conférence sur la constipation sera suivie d’un pot amical. (Ouest-France)
Il abusait de la puissance de son sexe pour frapper son ex-épouse. (La République du Centre)
Ses hémorroïdes l’empêchaient de fermer l’œil. (Charente Libre)
Il y aura un appareil de réanimation dernier cri. (Le Courrier picard)
M. Jean C. remercie chaleureusement les personnes qui ont pris part au décès de son épouse. (La Voix du Nord)
L’église étant en travaux, ses obsèques ont été célébrées à la salle des fêtes. (Midi Libre)
Comme il s’agissait d’un sourd, la police dut pour l’interroger avoir recours à l’alphabet braille. (Le Parisien)
Détail navrant, cette personne avait déjà été victime l’an dernier d’un accident mortel. (L ’Alsace)
Il remue la queue en cadence comme un soldat à la parade. (L ’Aisne Nouvelle)
A aucun moment le Christ n’a baissé les bras. (Le Paroissien de Lamballe)
Le syndicat des inséminateurs fait appel à la vigueur de ses membres… (Ouest France)
Les kinés se sont massés contre les grilles de la préfecture. (Presse Océan)
Visiblement, la victime a été étranglée à coups de couteau. (Journal du Dimanche)
Journée du sang : s’inscrire à la boucherie. (Var Matin)
C’est la foire des veaux et des porcs : venez nombreux ! (La Vie Corrézienne)
Le rapport de la gendarmerie révèle que Alain P. se serait suicidé lui-même. (Nord Eclair)
Un trou de balle a été relevé à la base du dos. (Le Provençal)
D’autres professions bénéficient d’abattements particuliers : les dames qui font des pipes à Saint-Claude ont obtenu 10%. (Le Figaro Magazine)
Richard Virenque : J’aime me défoncer sur un vélo (Télé 7 jours)
Mise au point aux Etats-Unis d’une méthode qui permet de déterminer avec 100% d’exactitude le sexe d’un bébé dès le dixième mois de grossesse. (Midi Libre)
A bientôt et bonne journée.
Quoique, c’est pas sûr.
des journées, j’interviens sur ce titre: les kinés se sont massés contre les grilles … Ajoutons que ces kinés (je les connais et ce n’est pas mentionné dans l’article de presse auquel vous faites allusion) sont d’origine macédorienne et que soumis à la grave frustration que leur impose le ministère de la santhé depuis quelques mois ils n’ont pas trouvé d’autres recours pour se faire entendre que ce massage collectif, ce fut une pagaille de déjections dont chacun essaya de se protéger et les photos demeurent à ce jour interdites, pour ne pas choquer la censure est maintenue.
Mais justement, Des Fournées entières dans les marbres, vous savez maintenant pourquoi M. Goulet se décarcasse. Jacques Goulet lacère le mauvais accord, dévisse les anti-Grevisse, étrangle la coquille (d’où l’expression, familière chez les écrivains : « se retrouver dans le goulet d’étranglement ») et tamise les fautes pornograhes jusqu’à les réduire en poussière d’os, Et William Desmond pourchasse le souverain poncif, décachette le cliché, scie les impropriétés et va jeter les morceaux à l’aube au zoo de Vincennes dans la fosse aux vieux lions qui sont en fait des littérateurs en retraite aimant toujours autant se payer de mots et les dévorer tout crus…en cette fin juillet, si la RdL est devenue le lieu où s’élabore les remakes des scénarios des films d’horreur du cinéma littéraire américain orthodoxe ; « Mistakes Massacre », Texas Sentence Chainsaw », « Evil Dead Word », « Text Saw », ce n’est pas pour rien, monsieur des Tournées entières dans les labres, c’est pour votre tranquillité de lecteur, le repos de vos yeux. N’ayez pas peur, monsieur Des années dans les ordres, sur vous veillent les correcteurs.
Message personnel
A Bloom (ici présent en vacances à savourer de longues heures d’oisiveté):
Alors? Heureux et satisfait?
(S. f.) (Terme d’imprimerie) Petite pièce de fonte qui sert à séparer les mots. Il y a des espaces petites, fortes, minces, moyennes, pour donner au compositeur la facilité de justifier.
Il vaut toujours repadder par Littré
les insultes du malade de pq ne sont pas censurées…
Le président mord si n’est pas mort, certains témoins ont effectué des enregistrements alors qu’il se livrait à sa prière du soir en beau guy et woo langue officielle employée dans le champ de la tradition, des expertises sont en cours afin de confirmer la dépêche.
Le président mord si a été entendu ce matin alors qu’il était en train d’enfer pipi, la cours martiale est à ce point de l’affaire very rouillée et n’a pas souhaité se prononcer sur les suites qui ne manqueront pas d’être ordonnées sur cette affaire, les morts dans les rues du samedi ont été déblayés ainsi que les voies d’accès qui les recueillaient, de nouvelles avenues ont été mises à disposition du pouvoir en place.
Echoes :
Du journal du midi on apprend que renato s’est solidifié en une pose athlétique alors qu’il effectuait sa gymnastique matinale parmi les fumerolles. Le volcan piétiné ne pardonne pas, d’une autre source nous apprenons que cet épisode de la vie du grand sage fortement influencé par la musique psychédélique des Floys sera couchée sur papier puis extraite telle un minerai précieux pour servir à la confection d’une nouvelle tablette télévisuelle qui devrait remplacer à une heure de grande écoute l’inspecteur Darwin qui comme chacun sait nous a quitté prématurément en raison d’une grave maladie.
Clopine écrit : ‘j’essayeraiT de faire mieux la prochaine fois « .
En effet…
…
…sans espoir,…difficile de faire mieux,…
…
…etc,…le graphisme littéraire sinon rien,…etc,…
…
Esquisse pour un script, Madame est servie:
« Madame est-elle enfin apaisée? Au cas où la crise de Madame ne se suffise pas de ces menus sacrifices humains, nous tenions à ce que Monsieur sache que d’autres produits existent nous éloignant de l’impasse thérapeutique. Nous pourrions offrir de jeter vivants dans la fosse à scorpions différentes bestioles afin de rassasier vos appétits d’images, nous disposons de films exotiques roboratifs et dépaysant qui exempte du voyage. »
Je suis tombé amoureux fou de la rousse à droite sur la photo.
Que va dire Josette?
xlew.m dit: 31 juillet 2013 à 8 h 53 min
je sais maintenant, je sais maintenant … Comme vous y allez !
Je ne connais pas J. Goulet, également correcteur pour le journal Le Monde ? ni n’ai d’accointances personnelles avec William Desmond.
Le reste de votre message m’est totalement obscur; cela ne me dérange, ni ne m’interpelle personnellement.
Le fait que vous rinciez à le tordre un pseudo -et votre intention me semble, là, tout sauf talent-tueuse, mais il faut bien s’accrocher à une prise, lorsque l’on est en équilibre instable, se raccrocher aux branches-, me fait penser que bien peu d’articles de presse écrite sont maintenant, et hier aussi ?,-et j’ai aimé lire cette anecdote à propos de Mathilde Cruz- signés.
Vous aimez le cinéma d’horreur et vous faire peur ?
J’avoue que ne ne kiffe pas trop.
Johnnie, cette rousse m’a collé un rut érectif, montebourgesque, immédiat, spontané, fabuleux … ! Je n’avais ressenti une telle pulsion qu’à la lecture de Paul Géraldy, mon poète préféré.
Tes intentions étant, forcément, plus pures que les miennes, je fais taire mes sentiments lubriquo-érectiles, ….. « je cède la place » et reporte illico ma tendresse sur la blondasse banale qui acceptera sans problèmes mes mensonges, par dépit, j’en suis certain…!
On se fait une bouffe à quatre sur le continent, quand tu veux !
voilà une mesure moderne qui ne nécessite pas de corrections mais les félicitations: Air France devrait supprimer entre 2500 et 2600 postes d’ici 2014
John Brown dit: 31 juillet 2013 à 12 h 44 min
Je suis tombé amoureux fou de la rousse à droite sur la photo.
1. C’est une fausse rousse.
2. Un aperçu sur son visage tempèrerait tes ardeurs.
Mais… mais…mais… elle te rappellerait Josette pour un détail : elle a des varices sur les mollets.
A part ça, elle est bonne fille, je la connais bien.
Mais… mais…mais… elle te rappellerait Josette pour un détail : elle a des varices sur les mollets. (rédigé par Illusions à perdre)
Varices ou pas, je la kiffe grave.
Le personnel d’ Air France récolte ce qu’ il a semé.
C’ est un peu facile de traiter Air France de tous les noms. Pendant combien d’ années les employés d’ Air France se sont-ils gavés sur la bête en se comportant comme des seigneurs? Salaires astronomiques, billets quasi gratuits, grèves á répétition.
Pour ma part, j’ ai voté avec les pieds: depuis longtemps, finis les vols avec Air France et l’ arrogance du personnel de bord, les retards, les plaintes perpétuelles. Je vole sur d’autres compagnies pour un peu plus cher mais dans le confort.
Au cas où vous ne l’ auriez pas remarqué, les étrangers fuient Air France comme la peste, tous victimes un jour des grèves ou de la muflerie des équipages. Roissy est considèré comme un des pires aéroports du monde. Le personnel d’ Air France paie son arrogance et sa suffisance et franchement, qu’ ils aillent se faire voir avec les contrôleurs aériens français surpayés et les pilotes qui se prennent pour des demi-dieux.
Ce petit monde a ce qu’ il mérite !
Après u., c’est versubtil qui veut se faire passer un Japonais, à 15h55. Mais qu’est-ce qu’ils ont ?
vous plaisantez?
c’est la moindre des choses pour un traducteur de se relire et se corriger
—
Pas pour un écrivain…? Etranges conceptions.
Dans les pays anglo-saxons, les traductions sont corrigées par des correcteurs. Y sont cons, ces anglos.
A lire le nanard, on comprend pour quoi les échotiers écrivent n’importe nawak, malgré les efforts de ces pôvs correctors…ah!
Bloom dit: 31 juillet 2013 à 16 h 15 min
Dans les pays anglo-saxons, les traductions sont corrigées par des correcteurs.
En France aussi. Je suis traducteur d’anglais, je connais bien plusieurs collègues anglo-saxons : aucune différence de ce point de vue. Ça se passe de la même façon.
@ Bloom
Peut-être avez-vous traduit un jour pour un petit éditeur sans moyens. Mais je peux vous dire d’expérience (une quarantaine d’années dans ce métier) que tout manuscrit passe entre les mains d’un correcteur professionnel.
manuscrit de la traduction > relecteur (éventuellement l’éditeur lui-même) > discussion avec le traducteur > correcteur > préparateur de copie > lecture des épreuves > bon à tirer.
Merci à PMB dont la correction, toujours discrète, est fraternelle.
et si on était passé de la lecture névrotique à la correction angoissée ?
Merci kif kif, mais la maison d’Arles n’est pas sans moyens, non plus que l’éditeur d’histoire à côté de la place de l’Odéon…
décidément dit, décidément, ne pige rien à l’affaire. Bah, pas grave. Ici, cela me fait si souvent penser à la (superbe) chanson de Riffard, sur les Jules et les Etienne (les pseudos de ce temps-là) :
Un jour, mon pote Etienne
Me dit sans préambule
Il faut que j’ t’entretienne
De notre copain Jules
Certes, reprit Etienne
J’éprouve un grand scrupule
Et même de la gêne
A parler mal de Jules
Le diable, ajoute Etienne,
Me change en libellule
Si j’ai la moindre haine
Contre notre ami Jules
Mais voilà, fit Etienne,
Le secret qui me brûle
Prends-en bien de la graine
Et méfie-toi de Jules
Et d’ la bouche d’Etienne
J’appris quelle crapule
Rôdait comme une hyène
Dans le cœur noir de Jules
Mais v’là que je trouve Jules
Place de la Madeleine
Trois jours après que j’eus le
Plaisir d’entendre Etienne
Du coup, j’apprends par Jules
Autant qu’il m’en souvienne
Quel vilain bruit circule
Sur le compte d’Etienne
Depuis lors, je stipule
Qu’on distingue avec peine
Le contenu d’un Jules
De celui d’un Etienne
Le contenu d’un Jules
De celui d’un Etienne
p
ceci, du dernier fil
« serait, serait, c’est était que vous devriez écrire ; ne vous melez pas du futur »
(passé, présent, avenir)
Jusqu’à preuve du contraire, serait est un conditionnel, non?
mc
Une chanson stupide peut en attirer une idiote, parbleu !
Le samedi soir après l’turbin
L’ouvrier parisien
Dit à sa femme : Comme dessert
J’te paie l’café-concert
On va filer bras dessus bras dessous
Aux galeries à vingt sous
Mets vite une robe faut te dépêcher
Pour être bien placé
Car il faut
Mon coco
Entendre tous les cabots
Viens poupoule, {x2} viens !
Quand j’entends des chansons
Ça me rend tout polisson
Ah !
Viens poupoule, {x2} viens !
Souviens-toi que c’est comme ça
Que je suis devenu papa.
Un petit tableau bien épatant
Quand arrive le printemps
C’est d’observer le charivari
Des environs de Paris
Dans les guinguettes au bord de l’eau
Au son d’un vieux piano
On voit danser les petits joyeux
Criant à qui mieux mieux
Hé le piano !
Tu joues faux !
Ça n’fait rien mon petit coco.
Viens poupoule, {x2} viens !
Ce soir je t’emmène … où ?
A la cabane bambou
Hou !
Viens poupoule, {x2} viens !
Et l’on danse plein d’entrain
La « polka des trottins »
Avec sa femme un brave agent
Un soir rentrait gaiement
Quand tout à coup juger un peu
On entend des coups de feu
C’était messieurs les bons apaches
Pour se donner du panache
Qui s’envoyaient quelques pruneaux
Et jouaient du couteau
Le brave agent
Indulgent
Dit à sa femme tranquillement :
Viens poupoule, {x2} viens !
Pourquoi les déranger
Ça pourrait les fâcher
Ah !
Viens poupoule, {x2} viens !
Ne te mets pas en émoi
Ils se tueront bien sans moi
Deux vieux époux tout tremblotants
Marient leurs petits enfants
Après le bal vers les minuit
La bonne vieille dit
A sa petit fille tombant de sommeil :
Je vais te donner les conseils
Qu’on donne toujours aux jeunes mariés
Mais le grand-père plein de gaieté
Dit doucement :
Bonne maman
Laisse donc ces deux enfants
Viens poupoule, {x2} viens !
Les petits polissons
N’ont pas besoin de leçons
Ah !
Viens poupoule, {x2} viens !
Je suis bien certain ma foi
Qu’ils en savent plus que toi
Les jeunes mariés très amoureux
Viennent de rentrer chez eux
Dans leur gentil petit entresol
Ils crient : Enfin seuls !
Madame se met vite à ranger
Sa petite fleur d’oranger
Pendant que Monsieur bien tendrement
Dit amoureusement
Pour tâcher
De s’épancher
Montrant la chambre à coucher :
Viens poupoule, {x2} viens !
Les verrous sont tirés
On pourra se détirer
Ah !
Viens poupoule, {x2} viens !
Viens chanter mon coco
La chanson des bécots
Un député tout frais nommé
Invitait sa moitié
A venir entendre un grand discours
Qu’il prononçait le même jour
Mais à peine a-t-il commencé
Qu’on lui crie : C’est assez
Constitution ! Dissolution !
Pas d’interpellation !
Ahuri
Abruti
Il prend son chapeau et dit :
Viens poupoule, {x2} viens !
Je ne veux pas devenir sourd
Pour vingt-cinq francs par jour
Ah !
Viens poupoule, {x2} viens !
C’est bien assez ma foi
D’être attrapé par toi.
Rien à , mais alors, vraiment rien à voir entre la délicatesse de Riffard et le caf’conce de Chevalier. Riffard était vraiment subtil , n’en déplaise aux trolls qui naviguent par ici. La chanson « Timoléon le jardinier » est une petite merveille… Mais vous ne la méritez pas, na !
Ouap ? same business !
Après u., c’est versubtil qui veut se faire passer un Japonais, à 15h55. Mais qu’est-ce qu’ils ont ?Illusions à vendre dit: 31 juillet 2013 à 16 h 10 min
Se « faire passer » un Japonais, diantre!
Pour info, cela fait belle lurette que je n’interviens pas sur ce blog. ( Ah, si nous avions un sujet sur BHL et l’art comme objet de pensée – Marcel Broothers, par exemple- cela eut été plus réjouissant!)
Sinon,je suis un peu interloqué que l’on m’attribue ce propos qui n’est pas le mien sur Air France d’abord et ensuite d’avoir dans mon voisinage deux personnes concernées par un départ à la préretraite appartenant à cette fameuse compagnie.
(Ça se passe très bien pour elles, merci!)
Pas de paranoïa mais tout de même…
…
…ni maîtres, ni Dieux,… » Profiteurs « ,…
…
…encore moins, toute les listes d’arbres généalogiques à deux balles de souveraineté à lèche-culs,…castes et corporatismes de clans,…et de séparatismes-bidons,…
…
…les » maisons « , pour en dépouiller du peuple à Louis XV – Gargantua,…etc,…
…libérons les peuples du » joug « , royal, impérial, colonial, obscurantiste,…
…
…solidarité civile des peuples libres en paix,…etc,…
…
Broodthaers, fallait-il lire, excusez-moi.
Les réfugiés syriens sont priés de gagner les salles d’embarquement, les contrevenants pourront, selon, choisir leur cellule non loin du président morassis(comme le pain) sans eau ni nutriment ou servir d’exemples dans le cadre d’une vague répressive dont la date ne figure pas à l’ordre du jour du conseil des armées.
…
…et plus près de chez-nous,…peut-être,…etc,…
…
(ai tjs eu un faible pour les traducteur-trice ; qui sont un marronnier chez l’Assouline – Polémk, t’es sûr que c’est aussi récurent ici, ce thème?)
1. une coquille é-nor-me dans « l’invention de la pauvreté » Tancrède Voituriez – Grasset – 22 € : pg 413 : ce n’est pas Rodney qui demande à son fils etc … c’est Jason, pardi !!! l’auteur, un économiste, écrit en français ; la relecture faite par ??? une femme, y a temps d’érotisme dans ce book (les crobards de pg 246, 247,248,249 & 250, nuls !)
2. « Vous n’êtes que des poires » Zo d’Axa – le passager clandestin 7 € : une ‘tite fote grammaticale en pg 39 (2ème ligne, bof, le contenu est plus attrayant !
Mais, ça se corse : arrivant pg 56 n° de public° et date de « La Feuille » est n° 24, 15.02.1898 : l’éditorial de Zo d’Axa l’honnête ouvrier
—> faîtes marche arrière sur « La Feuille » précédente numérotée 12, 19.05.1898 ; relectures et corrections (au pluriel), c’est écrit dans le fascicule …
pfittt ! j’n’écris pas aux éditeurs : remboursez ! d’autant plus quand j’ai fait la démarche suite à une critique.
L’Egypte a un nouveau Pharaon !
La France a toujours le même Faraud…
raymond l’assisté n’a p’us un rond
Reprené -ravec moi tous en choeur !… etc,
Bon ! l’ami versubtil vole sur Air France. Parfait !
(Nous avons besoin de consommateurs patriotes)
Clopine, on vous signale que la chanson de Caf Conc est antérieure à Chevalier, étant semble-t-il la traduction du (joli?)teuton « Kommn Karolin, Komm Karolin komm! »
Bien à vous.
MC
M. Court, ça pour être nue elle est toute nue !
http://www.dutempsdescerisesauxfeuillesmortes.net/fiches_bio/ouvrard/memoires/ouvrard_memoire_04.htm
Aut’chose, c’est pas malheureux quand même, un simple touit pour Jean le Bleu.
Votre « Le cœur chagrin »,
beau témoignage, Clopine!
……………………………
« Bon ! l’ami versubtil vole sur Air France. Parfait ! »
Continuez à faire les réponses à des questions jamais posées, JC…
merci, D. et JC. Vous comblez l’absence de u. Parce que je me disais : ça manque de trolls, on ne rigole plus sur la RdL.
Bloom dit: 31 juillet 2013 à 17 h 14 min
Merci kif kif, mais la maison d’Arles n’est pas sans moyens
Actes-Sud (pour qui je n’ai jamais travaillé) a une grande réputation de radinerie. Mais de là à se passer de correcteurs… j’aurais point cru. Vous êtes sûr ?
« Le Printemps a été racheté par des Qataris. »
On l’appellera désormais le Printemps arabe, comme dit JC.
…
…tout le monde le fait,…etc,…
…
JCé dit: 31 juillet 2013 à 14 h 07 min
Air France devrait supprimer entre 2500 et 2600 postes d’ici 2014
On va faire tomber les mecs des avions ? Remarque en un sens pour une fois qu’on fait des trucs efficaces…
lu dans Le Monde dit: 31 juillet 2013 à 22 h 17 min
On l’appellera désormais le Printemps arabe
Ben si avec tous leurs sérouals ça peut relancer le textile vosgien…
Faut voir les contrôleurs aériens c’est quand même utile parce que sinon les avions illico presto ils s’entrechoquent… Mais sinon c’est d’une profonde véracité toutes formes de péteux faut immédiatement leur transformer la tête en test de Rorschach… Les faire éternuer dans le sac !
…
…les faux prétextes et les menteries huilent les rouages des relations sociales,…
…
…ces pieux mensonges,…je suis allergique au latex,…
…
…arrêter le S.V.P….tu est trop bien pour moi,…( les Impertinents ),…à la rousse,…etc,…
…
Scoop ! L’analyse de la proximité syntaxique entre certains écrits d’Heraclite et un manuel bon marché de Grec ancien montre que l’Ephésien ne maîtrisait pas la langue !
Les fameux Fragments qui occupent la communauté scientifique étaient des exercices de vocabulaire à préparer à la maison.
Je n’aime pas du tout qu’on me compare à un troll et encore moins à u. Je n’ai pas du tout leur esprit, c’est vraiment profondément me méconnaitre.
Je suis triste parce que je n’ai pas vu Sollers tout à l’heure. Il doit être en vacances.
Scoop ! L’analyse de la proximité syntaxique entre certains écrits d’Heraclite et un manuel bon marché de Grec ancien montre que l’Ephésien ne maîtrisait pas la langue !
voulez-vous en dire plus , même si l’on peut sans doute tranquilliser les commentateurs, ils occupent certainement des communautés qui se disent scientifiques .
N’ayant aucun désir d’être de « la famille » j’imagine aussi sans peine que la qualité de commentateur de blog disparaisse
Air France anticipe une révolution technologique qui sera mise en place d’ici 5 ans au grand maximum : la téléportation quantique. Le personnel non licencié va suivre des formations. Quatre-vingt seize téléporteurs ont été commandés à une firme américaine. J’ai les preuves. Il ne reste plus qu’à former des mainteneurs recrutés parmi les actuels pilotes de lignes.
Cela dit ce n’est pas encore totalement sans danger, il manque l’agrément du Ministère des transports et là-bas ils sont assez réticents.
Rien n’est tout à fait gagné.
J’ai un dossier assez épais sur la question, n’hésitez pas à me poser des questions, je suis assez disponible en ce moment; autant saisir l’opportunité. Par exemple : non, cela ne fonctionne pas avec un générateur de gravitons, si vous me demandez si cela fonctionne avec un générateur de gravitons. Est-ce que ça tourne vite : oui, ça tourne vite, et c’est pour cela que ce n’est pas sans danger.
> voulez-vous en dire plus
J’hésite car les développements sont en cours. La construction de certains fragments en Sujet / Atribut / (verbe être sous entendu) les rapproche de la syntaxe élémentaire apprise au graand public dans les premières leçons de Grec.
On suspecte qu’Héraclite a écrit dans ses premiers exercices des banalités telles que celles présentées ici :
http://3.bp.blogspot.com/-kw2TfExV4rw/Ufl0CieWGiI/AAAAAAAAAh8/HFQR2JjM6-4/s1600/Heraclite.png
Silence de la communauté scientifique. Est-ce une conspiration ?
attribut
grand public
d’un métier qui ne sera peut-être un jour qu’un souvenir,
ceci n’est pas une correction mais ce sera peut-être un chapitre d’une thèse et la source reconnue ou non d’un roman
donc je ne reviendrai plus écrire sur ce blog , ce qui est d’un ridicule inachevé
Prenons cette proposition « Ο Διόνυσος σοφός » qui pourrait être attribuée à Pierre Ménard.
En tant qu’exemple de manuel de Grec, elle semble dépourvue de sens mais cela n’a aucune importance.
En tant que fragment d’Héraclite, c’est une révélation d’une profondeur insondable, à rapprocher de certains fragments, je dois vérifier
Supériorité de la Feta AOC pour les spanakotyropitakia. Bientôt LA recette sur mon blog. Encore quelques tests et fine-tuning à effectuer.
…
…avec des détecteurs de métaux,…faut faire un tour en Grèce,…pour trouver de l’Héraclite de bronze,…à Champollion,…
…des écrits,…en vase bouchés à l’émeri,…
…déjà les parfums offshores,…des vases communicants,…par les langues mortes,…
…les satyres de Bacchus à l’oeuvre aux bacchanales,…etc,…à Dionysos,…
…envoyez la coquille,…aux correcteurs,…etc,…d’inquisitions à la lettre et aux boeufs,…etc,…
…
…
…cool,…le grec aux oignons,…le seigneur reconnaîtra le sien,…etc,…Stop ou encore,…
…
Ouf 31 juillet 2013 à 22 h 09 min
(merci, D. et JC. Vous comblez l’absence de u. Parce que je me disais : ça manque de trolls, on ne rigole plus sur la RdL.)
En attendant le passage des originaux :
On en rêvait les islamosocialos (toujours eux) l’ont fait : Alerte au bœuf anglais tuberculeux en Europe et repas à l’insecticide en Inde. Ici, tempête dans un verre d’eau, là-bas 23 enfants morts.
Ik-men-ha-kaf-Mjw :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/08/juan-rodolfo-wilcock-ik-men-ha-kaf-mjw.html
xlew.m dit: 31 juillet 2013 à 8 h 53 min
C’est bon, je sais; il fallait simplement mieux introduire Wiliam-Olivier Desmond !
traducteur.
http://k-libre.fr/klibre-ve/index.php?page=auteur&id=521
Je dis cela par goût personnel pour Stephen King, que j’ai préféré lire que d’aller le voir au cinéma plus tard ( sauf pour « la ligne verte », quelle émotion !), et pour C.J Box des grands espaces américains.
C’est vrai que la maison d’Arles, sous des dehors si aimables, a très mauvaise réputation en ce qui concerne les chèques. Les auteurs à petit tirage ne sont jamais payés. Les gros poissons mangent les petits…
Eric Symak, Je redoute votre désir de supplanter l’incomparable Marcel Conche dans ses traductions, commentaires et analyses des Fragments d’Héraclite … c’est pas gagné.
Par contre, votre projet de fromage supérieur Feta AOC (Abêti d’Origine Corrézienne) nous change un peu des recettes classiques !
Et le changement, c’est ce qui compte, n’est il pas vrai ?
« Ο Διόνυσος σοφός »
Peut-on en déduire que Pierre Ménard aimait le vin ?
merci à JC pour sa contribution au secours du Parti (dieu le lui rendra)
Alors qu’il se rendait sur son lieu de travail en métro, il a, à plusieurs reprises esquissé plusieurs sourires envers les autres voyageurs de sa rame. Il a par ailleurs été plusieurs fois aimable avec d’autres voyageurs, n’hésitant pas à laisser son siège à une personne âgée. Jugeant son comportement suspect, plusieurs voyageurs ont averti le service de sécurité de la RATP. L’individu a été appréhendé dans le calme. Récit
http://www.legorafi.fr/2012/09/03/trop-souriant-dans-le-metro-il-finit-en-garde-a-vue
> le changement, c’est ce qui compte, n’est il pas vrai ?
En effet il serait bon de déterminer ce qu’est un vrai changement en vue de l’appliquer.
> Pierre Ménard aimait le vin ?
Je ne sais pas. Il est dans l’annuaire, demandez lui.
« merci à JC pour sa contribution au secours du Parti (dieu le lui rendra) »
Ma vie entière a été consacrée au bien d’autrui dans l’amour de Dieu, créateur de toute chose.
Et ce bonheur, qui ne peut être que collectif, doit être conduit par un Parti fort et solférinien.
Vive le Parti !
Vive la République !
Vive la France … moisie, ou non.
J’ai inventé une méthode révolutionnaire de réfrigération des pièces en période de canicule.
Il s’agit d’invoquer dix esprits soigneusement sélectionnés pour leur innocuité et leur docilité, et de leur demander de se condenser en ectoplasme 6 minutes à tour de rôle.
L’énergie prélevée au milieu ambiant est alors considérable et parfois-même une petite laine s’impose.
J’en avais d’ailleurs touché un mot à Delphine Batho.
Car, contrairement à ce qu’on pourrait penser, Delphine Batho croit au surnaturel (j’ai déjà dit ce que je pensais de ce mot, je l’utilise par commodité). En effet, c’est une fausse sceptique.
une petite laine s’impose
En matière de phénomène para-normaux, je me dois d’avouer que je crois à l’imposition des mains
Mais, vous vous en doutez, les esprits ne répondent pas aux sollicitations de n’importe qui. Il faut avoir l’âme pure.
L’imposition des mains n’a rien de paranormal.
Ce qui est plus difficile, c’est l’imposition des mains par télékinésie, c’est-à-dire à distance, telle que je la pratique sur Bérénice.
Nous sommes en train d’étudier une imposition des mains à un taux qui sera fonction de l’assiette palmaire : entre 3% et 5% de la CSG.
Bien entendu cet impôt ne frappera pas les manchots défavorisés et leur famille.
Et je vous rappelle que nous sommes aujourd’hui le premier août. Si cette date n’évoque rien pour vous, je vous plains.
Le 1e août c’est la Fête nationale suisse…
Je possède une housse de couette drapeau suisse et j’entrepose mes économies dans les oreillers en attendant de les transborder sur un compte offshore, JC me téléguidera dés qu’il aura une minute nous sommes des flibustiers et n’écoutons que de l’opéra il ne se nourrit que de radicelles séchées et d’alevins en provenance du fleuve Amour le seul inconvénient à ce pacte amicall: JC jette ses noyaux d’abricot par la fenêtre occasionnant plaintes et dépôts.
Bérénice,
La vision de votre couette nationaliste, suisse, et bancaire, me ravit : dormant la plupart du temps, nu, sur le pont de mon modeste esquif sous le regard de mouettes affamées… j’envie votre confort.
Pour le reste, je suis à vos ordres en toute amitié avec votre gourou galactique que je respecte, tremblant.
PS : parlerons-nous de cette expérience de stockage de lumière, réussie par les chercheurs teutons de Darmstadt…?
J’ai beaucoup de choses à dire sur le stockage de lumière, mais je ne crois pas que vous soyez en mesure de les comprendre. Je m’en tiendrai donc au stockage du son en gardant le silence.
D.
Quelle sagesse en vous !
Vous stockez cette Sagesse sous quel statut quantique …?
Ma sagesse me vient de l’antique et du cantique, non du quantique.
… je m’en doutais….
…
…balivernes, l’étau se resserre,…sur les libertés,…
…avec les flibustiers d’opérettes,…un monde à Stalag 13 à échafauder,…ou à démanteler,…
…pour les uns ou les autres,…de concert,…etc,…
…
…vu le niveau de technicité,…de l’encadrement,…c’est pas des emplois fictifs,…à rombières roublardes et secours à Magenta,…etc,…
…
Bon, il semblerait que les Républiques (de la culture) prennent leur vitesse de croisière ?
C’est pas une raison, les mecs, pour draguer les filles qui y chro-niquent !
Ils sont insortables, ces hétéros de base erdéliens !
C’est d’un mauvais goût…
Ma pauvre Bérénice.
Je vous donne raison Giovannni l’opérette à jeter,
une rombière roublarde n’en demeure pas moins une rombière, elles sont de plus en plus jeunes pour inverser la courbe du temps qui suspend leurs heurs, rendons leur cette justice .
Toujours avec une image autodépréciative qu’il rejette sur les femmes notre D. Quel misogyne et quelle haine de soi!
D vous me régleriez mon compte de visu si vous le souhaitiez cependant j’ai bien peur de trop bien vous envisager et d’en rester impressionnée et interdite or donc je vous prie de poursuivre d’entretenir la rêverie qui me va comme une seconde peau.
D. est peut-être un manuscrit mal dégrossi et avec des fautes d’orthographes…
Tiens-toi droit, tu as l’air de quoi!
Excellent article ! Qui laisse tout de même circonspect quant au (nouveau ?) travail d’écriture.
Et pour les amateurs : une expérience numérique et ludique pour découvrir les meilleurs pages de la littérature : http://www.belenon.fr
Dites-moi, aspator, faut pas trop y toucher à votre héroïne truffée de cassis, un peu plus nous nous retrouvions dans la vache qui tache, bon j’y retourne
Est-ce une de vos créations flambant-neuve?
Au moins, lui il avoue, notre D., il mange de la nourriture toute prête en provenance de son magasin Proxi tout proche, non sans avoir auparavant, choisi la date de la veille de préemption et de négocier le prix à la caisse.
Il se sent obligé de manger de la merde à la hauteur des sentiments qu’il éprouve pour lui-même et de nous le faire régulièrement savoir..Surtout en soirée avancée, à l’heure à laquelle la solitude se fait un peu plus sentir. Manger seul, parler à son assiette ou à la RDL, c’est tout comme.
Mais lui il n’est pas comme tkt, il l’avoue, implicitement, mais il l’avoue. C’est pourquoi il nous reste encore sympathique.
machin de 14h 09
tout faux, et quand je dis tout, c’est tout.
Du moins, c’est l’impression qu’il nous donne,qu’il nous laisse sur ce fil notre D.
C’est un petit minou qu’il lui faut, un doux petit minou à caresser, à faire ronronner et avec qui partager une boîte de Félix the cat!
Le petit chat est mort?
Trouvez-en un autre!
Et il pourra jouer à « je te tiens, tu me tiens par la barbichette »..ce sera bien évidemment autre chose qu’avec tkt!
Les jeux seront beaucoup plus hardis, haletant, physiques et palpitant.
Un chartreux, ça à les yeux d’or et c’est un chat musclé. Comme ça, vous qui aimez la bagarre…
Tu as peur de m’appeler machine, beau D.?
Non, il/elle n’a pas dit : »tu as peur que je m’échine sur ta selle, baudet? »
Bonjour
Pour se laisser le cul à soi-même, être du genre souple, écarter les jambes se pencher en avant tirer la langue.
Je lis quelque talentueux ici pour l’auto léchage de cul. Quelque écrit au singulier et marquant un pluriel -indéfini-.
rose rombière rimant avec banquière et hauturière (rhôooo)lala.
Salut Jacques B. ! 37° à l’ombre ce jour…
Pour se lécher le cul à soi-même, le reste à l’avenant, correction oblige par soi-même.
Un chartreux, ça à les yeux d’or
Un chartreux, ça a les yeux d’or
du verbe avoir, sans accent. 5 € de l’heure si on laisse passer tant de couilles.
le 31 juillet était la fête de saint Ignace de loyola
Vous vous léchez le cul, rose ? Vous êtes répugnante.
Parler de Saint Ignace après avoir inséré sa langue dans son propre rectum, c’est le comble ! Allez vous con fesser, rose.
Bérénice, j’espère que vous n’avez pas lu les horreurs de rose.
Léchez moi ! Léchez moi tranquille !
Et le con – parut.
>D je reconnais votre finesse innée.
tout à la fois innée et inégalée.
Palsambleu.
Bonjour ! c’est le CRIF. On a reçu un appel pour intervenir rapidement dans un lumbago linguo-rectal qui a mal tourné.
C’est bien ici ?
Le con pâtit aussi. Moi aussi pour ceux qui vivent dans l’ombre et parfois sous terre aussi.
Compatissons de con-cert.
Se lécher le cul à soi-même c’est un must.
Je me lèche le cul à moi-même.Tu te lèches le cul à toi-même.
Il/Elle se lèche le cul à eux-mêmes.
C’est une activité auto-bénéfique. Et porteuse d’avenir. Comme les Rolex. Mieux que Compostelle.
Quid du double lumbago longuo-rectal ? Hospitalisation double hier soir à la Pitié Salpétrière. Collés-serrés. L’a fallu la hache.
La devise des concubines : con, cul > bain.
La con bine.
lumbago linguo-rectal. Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire ?
Maintenant il y a mélange des genres (des assiettes et des couverts aussi) :avant on était traducteur, pointàlaligne/correcteur point final.
Maintenant on est je suis tu es il est elle est traducteur et écrivain, correcteur et écrivain.
Qui reste à sa place, wagon 78, place 72, côté couloir ? Qui ?
Bibi.
Le truc-muche.
Au revoir ! Vous voyez, ce n’était pas bien grave, votre histoire de collés-serrés : il suffisait de couper le cordon ombitlical…
Merci qui ? Merci, le CRIF !
Un auteur ne sait pas écrire ; il n’est qu’un grand enfant désorienté. Sans le correcteur il est mort.
Ni l’un ni l’aUtre ne le savent ce qui induit nombre d’incompréhensions qui perdurent.
Le correcteur se sent tout petit à côté de l’auteur qui se sent très grand alors que de facto, et sans doute, le correcteur fait œuvre d’importance, tel le tuteur à son roseau branlant.
Je te lèche le cul
tu lui lèches le cul
nous leur léchons le cul
ils se lèchent le cul
j’en ai marre de ce taf là.
Jamais l’auteur ne me regarde.
Ya tout qui change j’en ai ras le cul.
Maintenant je passe derrière le correcteur automatique.
Vous le croyez ?
Hébé c’est vrai.
Hébé mythologie grecque symbole de la jeunesse frétillante.
Je laisse le cul à ses contempteurs.
Parfois, souvent, pas toujours, le correcteur automatique ne comprend rien à rien. Que dalle, que pouic : alors on clique sur ignorer totalement. D’un doigt négligent. Cela me dégoûte. C’est quasiment inhumain.
D 15h11 possible de passer sur certains aspects d’une personnalité ou de se refuser à avouer qu’ils nous séduisent comme lorsqu’on est honnête et qu’on admire Spaggiari qui satisfait notre rêve d’anarchie néanmoins cher D votre remarque m’atteint alors que je suis habituée aux abonnés absents aux amours chimériques aux petites trahisons efficaces aux mesquineries ordinaires,aux mensonges indigestes, aux silences éloquents, aux lâchetés méritées, j’aurais préféré ne pas avoir lu votre 14h15.
Votre Correcteur Automatique est réparé. Son Bled était voilé, la fuite du Bescherelle avait pourri le Grévisse qu’il a fallu changer.
Merci de passer le prendre au garage !
D j’oublie la concupiscence qui pollue la base et la nappe phréatique.
Madame ! On dit pas nappe néphrétique ?…
Ca sent le Rose/é…bien frappé.
17h13 non non la nappe phréatique.
On dit nappe frénétique
Pas question d’évoquer les glomérules et le crépuscule de Malpighie auquel je ne connais rien comme à tout du reste.
Mécano vous conservez ce droit d’assembler les mots comme il vous semble considérant l’effet recherché. Que voulez-vous?
Et si on table sur ‘Nfr-nfr.w-Jtn-Nfr.t-jty’ ?
et même pas un ordinateur visible sur l’image !
c’est de plus en plus stressant , ce blog où l on a persécuté un rêveur d’agreg, alors que
Tournier aurait ratée deux fois !
ah les chapeaux d’Amélie
l’aurait ratée (cod l’agreg)
Pour les amateurs de littérature, voici un site ludique pour découvrir les meilleures pages :
proustoujours!
« November 23
Ran into some opposition at the restaurant. Some of the patrons complained that my breakfast special (a page out of Remembrance of Things Past and a blowtorch with which to set it on fire) did not satisfy their hunger.
http://pvspade.com/Sartre/cookbook.html
Le premier principe de thermodynamique appliqué à un blog, par fortes « chaleurs », est, hélas, vérifié.
soit à vos amours , les A-LIENS
Le pouvoir animalisant de la viviparité dans la science-fiction / Marika Moisseeff
http://nouvelles-philosophiques.blogspot.com/
Qubit, let’s say Thank You; I was starved.
Pas de commentaire?
Alors que des bonnes lectures :
http://blended.fr/art/lis-tes-ratures/
Une couverture spéciale Passou :
http://blended.fr/wp-content/uploads/2013/07/921.jpg
@Herman Melville,
quel hommage ! bravo !
Maudit Bic, je dirais même plus.
Excellent.
Je ne comprends pas qu’on me censure ainsi.
Mes propos sont pleins d’amour et de tendresse et voilà le résultat. Zut à la fin.
Ce soir j’ai mangé un reste de ratatouille congelé, sans même le faire réchauffer.
Je sais m’adapter à toutes les situations.
Ratatouille que j’avais confectionnée moi-même il y a trois mois, avec des légumes bio.
Je ne pense pas que renato soit capable d’autant d’à-propos. (notez le trait d’union)
Et celui-là, qui peut nous en résumer le contenu?
http://blended.fr/wp-content/uploads/2013/07/582.jpg
Voilà pour D.
http://blended.fr/wp-content/uploads/2013/07/591.jpg
L’incontournable chef-d’oeuvre, c’est pour Jacques Barozzi!
http://blended.fr/wp-content/uploads/2013/07/641.jpg
Et pour Christiane, l’existe en ciel…
Et Rose alors?
Comme une nuance de bis…
http://blended.fr/wp-content/uploads/2013/07/79.jpg
Le plat de résistance, c’est encore pour D.!
http://blended.fr/wp-content/uploads/2013/07/80.jpg
Lml et sa lecture de chevet
http://blended.fr/wp-content/uploads/2013/07/223.jpg
Pour tout cela il faut dire merci qui ?
Merci Clémentine !
http://blended.fr/wp-content/uploads/2013/07/99b.jpg
ckoi ce lien sur Marcel ?
je voulais remercier Clémentine !
Passionnant travail que celui de Clémentine qui eut cependant un prédécesseur, Raymond PAGÈS 1923 avec
DES LIVRES COMME VOUS N’EN LIREZ JAMAIS, 1978.
Il s’agit de l’élaboration toute matérielle ( reliure et titres inventés) d’une quarantaine de livres dont un avec titre recto-verso qu’ il est impossible d’ouvrir.
J’ai cela dans mes archives et allez voir info@court16.com
Désolé, Raymond Pagès, c’est ici :
Je confirme ce que vous écrivez, « une bouchée pour la faim », je dois aussi retrouver cela dans mes archives.
On méconnait le travail et les recherches esthétiques de Raymond Pagès, qui fut un des tout premier à utiliser artificiellement l’application des couleurs à partir de la photographie en noir et blanc pour le tirage d’affiche.Et tout ce qu’il entrelaça entre les mots et les images jusqu’à sa trépidante activité de mail-artiste.
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