de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
De la pénibilité au travail dans le milieu littéraire

De la pénibilité au travail dans le milieu littéraire

Au fond, ce n’est pas un hasard si l’expression « chaine du livre » s’est si largement répandue ces derniers temps. Elle correspond à une réalité : tous ceux qui y participent sont des enchainés. Aussi ces galériens de la vie littéraire méritent-ils largement que leur statut soit révisé à la lumière des débats actuels sur la pénibilité au travail.

Les éditeurs ? Ils se sont toujours plaints. Les collections des gazettes littéraires en témoignent : pas une interview dans laquelle ils ne déplorent leurs difficultés. En ce moment, la hausse du coût du papier. De manière récurrente, la baisse de la vente des livres. De temps à autre, les mauvaises pratiques des auteurs, des traducteurs, des agents etc. Bref, même quand ça va, cela ne va pas si bien que ça. De quoi leur rendre la vie pénible.

Le directeur littéraire ? Il doit supporter la réception de manuscrits de plus en plus mal écrits, l’orgueil d’écrivains qui font une jaunisse quand on leur retranche une virgule de travers etc Pénible aussi, non ?

Le directeur commercial de la maison d’édition ? Il lui faut accueillir tous les jours avec le sourire les coups de fil indignés d’auteurs qui ne comprennent pas que leur nouveau livre ne soit pas en pile dans la librairie du village berrichon où vit pourtant leur belle-mère pour ne rien dire des dizaines de milliers de points de vente dans toute la France. Et lorsqu’il croit l’avoir convaincu de l’impossibilité technique de sa requête, le directeur commercial doit une fois de plus lui expliquer qu’il est vain de demander chaque jour le chiffre des ventes de son livre car ce sont des sorties et que le bilan ne sera réaliste que des mois plus tard lorsque les retours des libraires seront déduits. Vraiment pénible, n’est-ce pas ?

Et l’attaché de presse ? Il doit supporter en permanence un procès en incompétence pour n’avoir pas réussi à faire inviter l’auteur à la « Grande librairie » ni obtenu un grand entretien sur son œuvre dans le prochain Télérama. Il a beau expliquer que cela ne se commande pas et que de toute façon, c’est le bouche à oreille qui garantit le succès d’un livre, rien n’y fait. Plus que pénible.

Et le libraire indépendant alors ? Outre que son activité croissante de manutentionnaire lui casse les reins (pour rester poli), que la surproduction et les offices ne lui permettent pas toujours de mettre en valeur des livres qu’il a aimés (à supposer qu’il ait eu le temps de les lire), que les sites de ventes en ligne leur portent préjudice (il n’y a pas qu’Amazon), qu’il y a toujours des lecteurs qui cherchent un livre aperçu à la télévision mais dont ils ignorent le titre, le sujet et le nom de l’auteur, l’augmentation des baux commerciaux en ville a donné le coup de grâce à un métier qui relevait déjà du sacerdoce.

Et le critique littéraire ? Sa direction ne cesse de mesurer ses colonnes et de ronger son espace à mesure qu’il reçoit de plus en plus de livres. Il a beau être dur au mal, sa souffrance au travail est insoupçonnable.

Et les membres des jurys ? Ils doivent se donner la peine de lire un nombre incalculable de romans que leurs auteurs se sont à peine donné la peine d’écrire.

  On dira que tout cela est contestable en regard de la pénibilité au travail des chaudronniers, éboueurs, perceurs de tunnels et plongeurs scaphandre en grande profondeur. Mais l’écrivain lui-même, y ont-ils jamais pensé au ministère de la pénibilité ? La littérature et la poésie coalisées, combien de divisions ? Zéro. Qu’ils se mettent en grève ne changera rien à la situation de la France- sauf sur le plan moral, métaphysique, spirituel, mais qui s’en soucie vraiment.

Les lecteurs ont du mal à l’imaginer mais l’écrivain est aussi sujet à des accidents du travail. L’angoisse de la page blanche peut le faire passer de la névrose commune à la psychose à condition, il est vrai, d’être un romancier du genre de Jack Torrance, le héros du Shining de Kubrick qui remplissait des centaines de feuillets de son futur livre de l’unique phrase :

 « Trop de travail et pas de plaisir font de Jack un enfant terne ».

 Chaque fois qu’un écrivain est sommé de passer le ouikende dans une foire du livre et d’en repartir la valise pleine de manuscrits « juste pour avoir votre avis » alors qu’il n’avait rien demandé, il devrait pouvoir activer son C2P ou Compte professionnel de prévention, lequel permet de déterminer et de référencer les facteurs de risques professionnels d’exposition d’un travailleur au-delà de certains seuils. Ils ouvrent droit, sous certaines conditions, à des mesures de compensation qui varient selon les facteurs concernés. De l’avis général, le seuil de tolérance a été franchi pour tous de longue date dans un milieu où, on au nom de la passion que l’on voue aux livres, la notion même d’heures supplémentaires est une vue de l’esprit. Et l’âge de la retraite itou.

Entendent-ils parler d’environnement physique agressif, de travail de nuit, de postures pénibles, de rythmes de travail, de pression supérieure à la pression atmosphérique, ou tout simplement de bruit qu’un sourire apparait sur leurs lèvres généralement prolongé par une tape amicale dans le dos. Il n’y a guère que les agents chimiques dangereux auxquels ils échappent. Pour le reste, ne jamais oublier qu’avant d’être une activité intellectuelle harassante, l’écriture est un acte physique. Assis toute la journée sur sa chaise, les jambes croisées, les bras tendus vers le clavier, le dos en compote hésitant entre l’arthrose rachidienne et  la discopathie dégénérative

Au fil des rencontres, l’écrivain doit souvent payer de sa personne lorsqu’il enquête avant d’écrire. Aussi il n’est pas exagéré de dire qu’il partage certains conditions du travail en hyperbarie : entrée et sortie du poste de travail, habillage/déshabillage, douches répétitives, compression/décompression, Conscience d’évoluer dans un périmètre dangereux mêlant obscurité et isolement au sein d’un milieu biologique hostile… Et puis, nul ne l’ignore, le milieu aqueux est consubstantiel à l’édition, nombre de requins patrouillant dans ses eaux troubles. Et puis quoi, qui osera dire aux écrivains qu’ils ignorent la souffrance au travail alors que ces dernières semaines, Hanif Kureishi, de passage à Rome pour y réfléchir à son prochain roman, a fait une chute qui le laisse paralyser ; et Salman Rushdie, poignardé par un islamiste alors qu’il rencontrait ses lecteurs dans l’Etat de New York, a perdu vingt kgs, l’œil droit, un bout de lèvre et la sensibilité de la main gauche, celle qui écrivait ! Vous avez dit pénibilité ?

(« Marcel Proust sur la plage de Trouville. Collection Mike Lebas ; « Ecrivain en croisière mais lequel ? » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

1506

commentaires

1 506 Réponses pour De la pénibilité au travail dans le milieu littéraire

Dino dit: à

« … une chute qui le laisse paralyser ».

Jazzi dit: à

« Ecrivain en croisière mais lequel ? »

Faulkner ?

Jazzi dit: à

Passou s’amuse sur le très sérieux sujet de la retraite à 64 ans et la notion de pénibilité, lui qui à 70 ans travaille encore et toujours plus !
Les idéologues grincheux du blog ne vont pas apprécier…

Jazzi dit: à

Pour ma part je déplore que à l’origine de la chaine du livres les éditeurs ont la fâcheuse tendance à oublier que l’auteur vient en premier !

rose dit: à

Moi, je ne suis pas idéologue, quoiue convaincue, et pas grincheuse, me suis chanté le petit Liré et le mont Palatin ce matin en voyant la fumée sortir de mon petit grangeon.
Et si Pierre Assouline n’avait pas le droit de s’exprimer, ce serait un comble.

De toutes manières, pour les écrivains, il n’y a pas de retraite puisque même sur le lit de mort…!! !
Les peintres et les musiciens, les sculpteurs, les artistes itou.
Pas de retraite du tout.

rose dit: à

, qu’il y a toujours des lecteurs qui cherchent un livre aperçu à la télévision mais dont ils ignorent le titre, le sujet et le nom de l’auteur,

,
C’est bien vrai. J’en suis encore à me demander le titre du livre de l’anthropologue. C’est une femme vivante.

Phil dit: à

manutentionnaire lui casse les reins (pour rester poli)

Loti, pas mal, appréciait les manuels

Janssen J-J dit: à

@ arriverait à faire sourire les grincheux…
même pas soucié des erdéliens du clic qui en se couchant le soir après la sortie des pourrielles ont le dos perclus de rumas par les efforts subis dans la chaise à linker kafka
wouarf !fonctionnaire du territoire

pourmapar dit: à

un métier qui relevait déjà du sacerdoce.

Ce n’est pas peu dire que certains libraires vendent les livres comme des catéchismes de curé!

racontpatavi dit: à

Ce matin, six travaux de peinture, on prépare la venue du printemps.
Avant l’ouverture de l’ordinateur.
Les encres continuent de sécher.
Bonne journée.

pourmapar dit: à

vendent les livres comme des catéchismes de curé!

C’est ce que nous signale Paul Pavlowitch dans son dernier bouquin, Tous immortels page 323,  » les vendeurs de cette librairie? De grands prétentieux, (…) »
Il s’agissait de la librairie La joie de lire que je fréquentais aussi vers les années 70-80.

Jazzi dit: à

Sait-on si les éboueurs de la Ville de Paris, qui ont le soutient de leur Maire, sont payés durant leurs jours de grève ?
Les éboueurs privés, eux, ont droit à des primes et sont logés à l’hôtel et tous leurs repas sont payés.
Et les Parisiens auraient juste le droit de fermer leur gueule !
https://www.facebook.com/BFMTV/videos/6468087899889545

Mary Curry dit: à

@Vous avez dit pénibilité ?

Non; juste un peu de demagogie…

Mary Curry dit: à

Quel foutoir…
Vouloir associer les écrivains à la réforme des retraites, ils sont où au fait, font un « régime » à part?
et terminer sur les risques d’agression, fallait oser.
Faut appeler Kafka, il va vous proposer une police d’assurance multirisque y compris formule  » retraite  » , sur mesure.

Mary Curry dit: à

15/03

Enfin, on va prendre perpète, et il y a de quoi réagir à la lecture de se billet qui se fout du monde.
On aurait préférer connaître votre régime de retraite.

Ici , retraités depuis plusieurs années sont déjà quasi tous au stade de bientôt rendre leur carte vitale …

Mary Curry dit: à

On aurait préféré, même si on s’en fout et pas qu’un peu.

JC..... dit: à

VOEUX PIEUX

Je rêve, après avoir compris la tragique situation des littérateurs telle que décrite par le Maitre Taulier de la RDL le noble Assouline, je rêve d’un sursaut cérébro-spinal des hommes du milieu littéraire actuel épris de douleur !

Rêve fou et joyeux, à la fois.

A savoir ! Accouchement d’un syndicat nouveau, pétant de santé, la C.GPT (à ne citer de façon sonore qu’en cas de besoin rabelaisien à satisfaire urgemment), càd CONFEDERATION GENERALE DES PENIBLES TATILLIONS.

Car enfin ! Ecrire et publier c’est vraiment chercher les emmerdes, non ?

Mary Curry dit: à

ce billet.
Vitesse et précipitation.

Mary Curry dit: à

Aucune solidarité entre les jeunes et les vieux.

rose dit: à

Un pénible tatillon.

MC dit: à

Merci de cet éloge paradoxal , qui, pour être goûté, demande un sens de l’ironie dont certaine ici reste cruellement dépourvue MC

Mary Curry dit: à

Pour les écrivains, je suis pour une retraite entièrement privée. Il y a trop de branleurs,
dans ce milieu. Il faudrait que l’autofinancement de la retraite soit la règle.

Je suis donc pour l’ultralibéralisme , que les meilleurs gagnent le plus, et le plus longtemps, et mort aux cons.

Et merci au travailleur infatigable , Cormac McCarthy un très grand merci a lui de pouvoir encore un tel chef d’oeuvre:

https://www.newyorker.com/magazine/2022/12/19/cormac-mccarthy-peers-into-the-abyss-the-passenger-stella-maris

Jazzi dit: à

Brève chronique plus politique et incisive du léZard, motivée par la situation actuelle !

D. dit: à

Re-NATO, généralement dans les « maisons de paroisse », on traite peu d’ésoterisme. Enfin, peut-être qu’autrefois, avec Huysmans ..?

D. dit: à

Il est fort rare que je donne raison à Hidalgo, mais sur cette affaire des poubelles, je lui donne raison. Préservation du droit de grève, responsabilisation du gouvernement seul responsable de ces grèves par l’absence totale de négociation, l’abus des articles constitutionnels, l’occultation des circonstances de l’élection présidentielle. Parce qu’il y a les lois et aussi l’esprit des lois. Ce dernier absolument pas respecté. Abus et violence dans les actes. Que le gouvernement se démerde avec ce qu’il sème et ce qui en sort. Ce n’est pas l’affaire d’Hidalgo.

closer dit: à

Bravo JB, honte à D!

D. dit: à

Abus. Voici le maître-mot.
L’abus est injuste et il n’y a pas de paix sans justice. Que Darmanin aille ramasser les poubelles avec Dussopt, Borne et Macron, s’ils jugent qu’il faut les ramasser. Bravo aux grévistes pour leur engagement et leur courage.

D. dit: à

De toutes façons les poubelles ne sont pas un problème de santé publique. Alors que casser jusqu’à 64 ans des travailleurs pour la plupart éreintés, si. Ça c’est un véritable problème de santé publique.

FL dit: à

En parlant de dangerosité, je conseille d’essayer de ne pas utiliser le terme autrice. Succès garantie.

(Bon j’avais commencé à écrire sous l’autre thread.)

et alii dit: à

La crampe de l’écrivain peut effectivement survenir chez des personnes qui écrivent beaucoup.
Les doigts ont du mal à se plier ce qui gêne l’écriture.

Paul Edel dit: à

L’écrivain en croisière est Roland Dorgelès.

renato dit: à

Les musiciens aussi souffrent de maladies professionnelles : les tendinopathies, les neuropathies périphériques, la lombalgie, la cervico-brachialgie, les overuse syndromes, c’est-à-dire les syndromes de fatigue, ne sont pas liés à un seul traumatisme, mais sont plutôt associés à la répétitivité du geste résultant d’entraînements très intenses, avec un respect réduit des temps de récupération.

En 2013, à Turin, l’INAIL * a accordé une compensation économique à un musicien de l’Orchestre RAI touché par de deux pathologies différentes reconnues par l’Institut comme étant d’origine professionnelle. Le procureur général de l’époque avait ouvert une enquête sur l’affaire, contre des inconnus, pour « blessures coupables ». Les musiciens, du fait de leur travail, effectuent des mouvements répétés et adoptent souvent, pendant longtemps, des postures incongrues, supportant, dans certains cas, même la charge du poids de l’instrument. C’est pourquoi, lorsqu’ils accusent des pathologies manifestement liées à leur travail, leur origine professionnelle doit être reconnue.

* Institut National d’Assurance contre les Accidents du Travail.

Mary Curry dit: à

L’écrivain en croisière est Roland Dorgelès.

Ça nous fait une belle jambe.

et alii dit: à

confirmation de l’information de renato relative aux musiciens:j’avais écouté sur F.M une émission mentionnant des médecins hyperspécialisés pour les musiciens

felix d dit: à

ça vire « corpo » ce blog …

D. dit: à

La retraite à 55 ans pour les professionnels du triangle. Ou bien ils bloqueront le pays.

D. dit: à

Ce soir c’est consommé de poule au curry.

D. dit: à

aux croutons.

D. dit: à

overuse syndrom mon cul.

D. dit: à

neuropathies périphériques mes couilles, oui.

renato dit: à

Peut-être peu d’ésotérisme, dans la maison de paroisse, mais quelques superstitions et beaucoup de préjugés, il suffit de lire ce que D. met en ligne ici.

Clopine dit: à

??? Me voici censurée sévère ?

Clopine

Mary Curry dit: à

Dire que des ordures comme matzneff ont droit à des aides publiques, ça me dépasse.

Patrice Charoulet dit: à

Classement des agrégés de philosophie (Rappel)

L’agrégation de philosophie est un concours qui exige tellement de qualités que tout agrégé de philosophie, quel que soit son classement, mérite l’estime. Cela dit, il n’est pas indifférent de savoir ceci :
1836 : Félix Ravaisson (1er)
1844 : Paul Janet (1er)
1845 : Emile Burnouf (2e)
1848 : Renan (1er)
1849 : Paul Challemel-Lacour (1er)
1863 : Jules Lachelier (1er)
1864 : Alfred Fouillée (1er), Léon Ollé-Laprune (2e)
1871 : Julien Darlu (1er)
1872 : Victor Egger (1er), Victor Brochard (3e)
1874 : Auguste Burdeau (1er)
1875 : Jules Lagneau (3e), (qui fut, on le sait, le professeur admiré par Alain)
1879 : Lucien Lévy-Bruhl (1er)
1881 : Bergson (2e), Jaurès (3e)
1882 : Pierre Janet (2e)
1883 : Octave Hamelin (1er), Goblot (5e)
1885 : Victor Delbos (1er), Frédéric Rauh (2e)
1886 : Lucien Herr (2e),Maurice Blondel (7e)
1888 : André Lalande (auteur notamment du célèbre dictionnaire de philosophie, encore précieux) (1er), Georges Palante (7e°)
1890 : Louis Couturat (1er), Charles Appuhn (8e)
1891 : Léon Brunschvicg (1er)
1892 : Elie Halévy (2e), Emile Chartier ( = Alain) (3e)
1893 : Célestin Bouglé (1er),Georges Beaulavon (6e)
1894 : Henri Delacroix (1er)
1895 : Marcel Drouin (1er),Marcel Mauss (3e)
1897 : André Darbon (3e), Emile Van Biéma (6e)
1899 : Désiré Roustan (1er)
1900 : Albert Rivaud (1er)
1901 : Charles Lalo (1er)
1903 : Henri Piéron (5e)
1905 : Jacques Maritain (6e)
1906 : René Le Senne (8e)
1907 : Etienne Gilson (6e)
1909 : Louis Lavelle (4e), Louis Farigoule (=Jules Romains) (6e)
1910 : Jean Wahl (1er), Gabriel Marcel (2e), Emile Bréhier (3e), Jean Nabert (4e)
1919 : Armand Cuvillier (1er), MartIal Guéroult (2e)
1920 : Etienne Souriau (1er)
1921 : Henri Gouhier (1er)
1922 : René Poirier (1er), Brice Parain (2e), Jean Grenier (3e), Bachelard (4e)
1923 : Jean Guitton (3e)
1924 : Pierre Mesnard (1er)
1925 : Jean Laubier (1er),Pierre-Maxime Schuhl (2e)
1926 : Jankélévitch (1er)
1927 : Canguilhem (2e)
1928 : Raymond Aron (1er), Emmanuel Mounier (2e), Daniel Lagache (3e)
1929 : Sartre (1er), Simone de Beauvoir (2e), Jean Hyppolite (3e), Nizan (5e), Maurice Savin (6e)
1930 : Merleau-Ponty (2e), Etienne Borne (7e)
1931 : Ferdinand Alquié (1er), Claude Lévi-Strauss (3e), Mikel Dufrenne (5e), Simone Weil (7e)
1932 : Jacques Soustelle (1er)
1933 : Jean Beaufret (6e)
1934 : Raymond Bayer (2e)
1935 : Paul Ricoeur (2e)
1936 : Roger Garaudy (5e)
1937 : Jean-Pierre Vernant (1er)
1938 : Gaëtan Picon (1er), Louis-Marie Morfaux (3e)
1939 : Henri Passeron (1er),Georges Gusdorf (5e)
1941 : Jean-Toussaint Desanti (3e), Maurice Clavel (4e), Yvon Belaval (5e)
1942 : Jean Lecanuet (2e)
1943 : Jules Vuillemin (1er), Gaston Granger (2e)
1944 : François Bourricaud (2e),,Michel Henry (6e)
1945 : Ginette Dreyfus (1ère)
1946 : Suzanne Bachelard (1ère), Florence Khodoss (6e)
1947 : René Schérer (4e)
1948 : Althusser (2e), Jean-Louis Dumas (6e), Deleuze (8e), Jacques Muglioni (10e)
1949 : Dagognet (1er), Pontalis (3e), Jacques d’Hondt (8e°), Claude Lefort (8e), Ormesson (12e)
1950 : Pierre Aubenque (1er), Jean-Pierre Faye (2e), André Vergez (3e), Lyotard (4e), Jean Laplanche (9e), Marcel Conche (13e)
1951 : Foucault (2e)
1953 : Pariente (1er)
1954 : Bernard Bourgeois (5e), Pierre Bourdieu (7e)
1955 : Michel Serres (2e)
1956 : Alexis Philonenko (1er), Didier Julia (5e), Jacques Derrida (14e), Jean-François Ricard (le futur Jean-François Revel) (16e)( père du directeur de cabinet de l’ex-Premier ministre, Castex)
1957 : Beyssade (1er),Jean Granier (2e), Guy Michaud (3e)
1960 : Alain Badiou (1er)
1962 : Catherine Clément (1ère) (à 22 ans)
1965 : Jacques Bouveresse (1er)
1971 : Jean-Luc Marion (2e), Rémi Brague (7e), Bernard-Henri Lévy (8e)
1976 : Denis Kambouchner (1er)
1981 : Emmanuel Faye (3e)
1988 : Nathalie Depraz (1ère)
1990 : Denis Moreau (1er)
1997 : Michael Foessel (1er)
P.-S.. Michel Onfray n’a pas été reçu à l’agrégation.
Si un lecteur , ne figurant pas ci-dessus, a obtenu un classement flatteur à ce concours, qu’il ait la gentillesse de me le dire en me précisant l’année de son succès. Je m’empresserai compléter cette liste.

Mary Curry dit: à

Et le troll charolais payé à rien faire…

FL dit: à

Consommé de poule au curry. C’est très bien. Ce que la cuisine bourgeoise appelle un consommé, c’est un bouillon de cuisson qui a été serré pour avoir plus de goût. En faisant s’évaporer l’eau ou en mettant des viandes qui ont été hachées ou des carcasses pour les volailles. Ou en faisant cuire plusieurs volailles dans le même bouillon etc. Très difficile à obtenir en ville à cause des vapeurs. Il faut une arrière-cuisine.

FL dit: à

Charlus dans « La Recherche » c’est un peu la dernière « réincarnation de Vaitrin ».

FL dit: à

* Vautrin.

FL dit: à

Charlus dans « La Recherche » c’est un peu « La dernière réincarnation de Vautrin ».

FL dit: à

Voilà qui explique peut-être le ressentiment de Onfray par rapport aux « élites parisiennes ». Jamais reçu. Il l’a toujours pas digéré. A quoi ça tient une carrière tout de même.

FL dit: à

Roger Garaudy ! Mon dieu.

Soleil vert dit: à

Disciple avoué d’Etienne Dorsay, je viens de connecter mon vieux magnétoscope à ma nouvelle TV 4K 43 pouces. L’image est infame, la démarche incompréhensible, mais je suis conscient dans la lignée de Maurice Herzog, de Lachenal, de Terray d’avoir écrit un nouveau chapitre des Conquérants de l’inutile.

Patrice Charoulet dit: à

Fl

Je vous accorde que Garaudy a mal tourné deux fois, la première fois en devenant communiste, la seconde fois en vantant la religion que vous savez.
D’autres, dans cette liste, ont mieux tourné.
Un fait est assez plaisant : L’année où Raymond Aron a été reçu premier, Sartre s’était présenté et avait été…collé !
L’année d’après, il s’est présenté derechef et a été reçu premier.
Il n’est pas indifférent de noter aussi que sa chère amie Simone de Beauvoir fut reçue deuxième.
A mon avis , au cours de la préparation, il y a eu des échanges fructueux entre ces deux candidats.

pourmapar dit: à

1845 : Emile Burnouf (2e)

Vous l’avez lu, Charoulet?
Il me semble qu’il fit un dictionnaire célèbre et inédit encore valide de nos jours.
Et lesquels de ces philosophes avez-vous lu?
Parce que faire des listes, c’est bon aussi pour les courses à l’épicerie du coin.

rose dit: à

Maurice Herzog, de Lachenal, de Terray d’avoir écrit un nouveau chapitre des Conquérants de l’inutile
Louis Lachenal et Lionel Terray.
N’importe quoi. De grands montagnards !

rose dit: à

Qui j’aime vraiment des filles de reine Rania, c »est Princesse Salma pilote de ligne d’avions de chasse.

Princesse Iman a fait un mariage extraordinaire au milieu de fleurs bourgeonnantes : blossom cherries.

rose dit: à

Cuite et archi cuite. Ai mangé une boîte petite de coeurs de palmiers avec huile d’olive citron poivre blanc et baies roses, peu de sel.
3500 personnes à Digne aujourd’hui.
Rencontré des gens formidables.
Une foultitude.
Ce soir je suis à plat.

Patrice Charoulet dit: à

@pourmapar

Je n ‘ai pas lu les mille livres de ces agrégés de philosophie. Qui les a lus ? Cette liste veut montrer que ces succès annonçaient des oeuvres estimables ou importantes.
Que beaucoup soient tombés dans l’oubli ne prouve nullement que leurs livres soient sans valeur.
Au demeurant, bien des Français ignorent tous les philosophes français contemporains. D’autres ne connaissent que les noms d’Onfray, de Luc Ferry, ce qui est fâcheux.

rose dit: à

Comme philosophe, j’ai ma mère Emma. Je m’en contente.

Soleil vert dit: à

Brian Evenson – Immobilité – Rivages

Pffff, encore un Seu-Feu … Oui mais celui-là a lu Beckett

Soleil vert dit: à

Rose :

Les conquérants de l’inutile est un livre de Lionel Terray
Ma préférence va celui de Lachenal et à ses Carnets du vertige

Soleil vert dit: à

correction
Ma préférence va celui de Lachenal  » Carnets du vertige »

Jean Langoncet dit: à

@Préservation du droit de grève, responsabilisation du gouvernement seul responsable de ces grèves par l’absence totale de négociation, l’abus des articles constitutionnels, l’occultation des circonstances de l’élection présidentielle. Parce qu’il y a les lois et aussi l’esprit des lois. Ce dernier absolument pas respecté. Abus et violence dans les actes

De super connarD. au pays des merveilles, des éboueurs et de De Gaulle : c’était mieux avant
https://twitter.com/AnonymeCitoyen/status/1635768016926392320/photo/1

Jazzi dit: à

Aujourd’hui, longue marche après le film à la Bastille jusque chez moi à la porte Dorée.
Je vous dis pas le spectacle des poubelles, mais pour la première fois j’ai ressenti l’odeur et vu un rat gras comme un moine me filer entre les jambes.
Ils sont à la fête !

et alii dit: à

@renato, un texte sur son art d’un grand chef, dont la conclusion résonnera pour beaucoup »
Ce qui ne laisse pas de m’étonner, c’est que les intellectuels en France soient si peu portés sur la musique. La France, c’est l’écrit, la littérature. La musique, ce sont les pays du Nord. L’intelligence, l’analyse, le sens, l’esprit, les mots, d’un côté. L’âme, la subjectivité, les sens, l’émotion, de l’autre.

J’ose penser que j’emprunte un peu aux deux. » Jean-Claude Casadesus »
sur regle du jeu;
bonsoir

Jean Langoncet dit: à

@De super connarD. au pays des merveilles, des éboueurs et de De Gaulle : c’était mieux avant

La révolte de l’esprit c’est pas pour demain qu’il dirait le Ferdine ; les argousins et les bousiers qui voudraient pousser leur bourrique de concours à la prochaine élection suprême, d’un il va falloir la faire taire jusque-là, deuxio la retraite va falloir la sacrifier. On a ses convictions bien accrochées

FL dit: à

Les « échanges fructueux » sont documentés. Simone de Beauvoir, — de mémoire –, dans un de ses textes autobiographiques, raconte qu’ils préparaient le concours ensemble. Elle leur a même fait un exposé sur Leibniz.

Comme quoi le travail de groupe doit être favorisé.

FL dit: à

Beaucoup d’entre eux sont encore lisibles avec profit. Au minimum par amour de l’histoire de la pensée.

pourmapar dit: à

que leurs livres soient sans valeur.

En ce qui me concerne je n’ai aucunement souligné ni énoncé l’absence de valeur d’un de ces philosophes.
J’en ai même eu quelques uns comme professeurs et collaboré dans une même publication avec un de ceux-là…
Et j’ai éprouvé le plaisir d’ en lire pas mal d’ entre eux!
Mais les travaux philosophiques des uns et des autres ne s’équivalent pas.
Bien à vous.

Mary Curry dit: à

« On dira que tout cela est contestable en regard de la pénibilité au travail des chaudronniers, éboueurs, perceurs de tunnels et plongeurs scaphandre en grande profondeur.  »

L’hyperbarie se mesure en Pascal ; jusque-là on n’a rien trouvé de mieux, comme philosophe…

Rosanette dit: à

Non monsieur Charoulet Sartre n’etait pas premier mais troisième derrière Simone Weil premiere et Beauvoir deuxiéme
C’est du moins ce que dit Beauvoir dans les » Memoires d’une jeune fille rangée « notant la réflexion de Sartre qui se serait dit un peu déconfit d’avoir été dépassé par deux femmes
De tous les personnages que vous citez, j’en ai approché un ,Jean Laubier (1925)qui a été mon prof mais j’étais trop imperméable à la philo pour apprécier son enseignement , dont il ne me reste aucun souvenir significatif

FL dit: à

J’ai jamais dit qu’ils s’équivalaient. J’ai dit qu’ils étaient lisibles. J’avais bien compris qu’ils n’étaient pas de la même force.

pourmapar dit: à

Mais les travaux philosophiques des uns et des autres ne s’équivalent pas.

Et déjà ils périclitent avec le temps.
Il existe des philosophes médiatiques qui ne sont pas les plus important quant à la valeur historique de leur pensée.
Et certains autres qui sont redécouvert avec intérêt.
Ils sont dans votre liste d’ailleurs.

D. dit: à

Les coeurs de palmier en boîte c’est archi-dégueulasse, comment pouvez-vous vous manger de pareilles saloperies, Rose. Ah non mais ça ne va pas du tout.

Mary Curry dit: à

hyperbarie est un barbarisme.
Avec cette palanquée de dicos que les trolls brassent sur ce blog, à se faire une hernie au cerveau, étonnant qu’ils n’aient pas relevé cette faute de français

rose dit: à

C’était très bon.

pourmapar dit: à

P. Charoulet, je reprends votre liste et vais la commenter si vous voulez bien.

1836 : Félix Ravaisson (1er)
Très intéressant, revient fréquemment dans les réflexion de la phie contemporaine.
1844 : Paul Janet (1er)
1845 : Emile Burnouf (2e)
1848 : Renan (1er) On en parle beaucoup chez certains philosophes contemporains.
1849 : Paul Challemel-Lacour (1er)
1863 : Jules Lachelier (1er) De très beaux textes avoisinant la poésie, une pensée à part.
1864 : Alfred Fouillée (1er), Léon Ollé-Laprune (2e)
Ollé-Laprune nous faisait rire, idiotement pour sûr…
1871 : Julien Darlu (1er)
1872 : Victor Egger (1er), Victor Brochard (3e)
1874 : Auguste Burdeau (1er)
1875 : Jules Lagneau (3e), (qui fut, on le sait, le professeur admiré par Alain)
1879 : Lucien Lévy-Bruhl (1er) et sa mentalité primitive…
1881 : Bergson (2e), Jaurès (3e)
1882 : Pierre Janet (2e)
1883 : Octave Hamelin (1er), Goblot (5e)
1885 : Victor Delbos (1er), Frédéric Rauh (2e)
1886 : Lucien Herr (2e),

Maurice Blondel (7e) *
1888 : André Lalande (auteur notamment du célèbre dictionnaire de philosophie, encore précieux) (1er), Bof… il y a beaucoup mieux que le Lalande.
Georges Palante (7e°) un des premiers livres sur ce philosophe a été écrit par Onfray.
1890 : Louis Couturat (1er), *top.
Charles Appuhn (8e)
1891 : Léon Brunschvicg (1er) toujours intéressant à lire.
1892 : Elie Halévy (2e),
Emile Chartier ( = Alain) (3e) le début des phiosophe journaliste…

1893 : Célestin Bouglé (1er),Georges Beaulavon (6e)
1894 : Henri Delacroix (1er)
1895 : Marcel Drouin (1er),Marcel Mauss (3e)plus sociologue que philosophe quoique son concept ethnologique sur ledon sonne comme un fondement phique.
1897 : André Darbon (3e), Emile Van Biéma (6e)
1899 : Désiré Roustan (1er)
1900 : Albert Rivaud (1er)
1901 : Charles Lalo (1er) Important pour avoir donné les bases conceptuelles à la phie esthétique contemporaine.
1903 : Henri Piéron (5e)
1905 : Jacques Maritain (6e)
1906 : René Le Senne (8e)
1907 : Etienne Gilson (6e) très important philosophe qui est relu par les philosophes contemporains en pointe.
1909 : Louis Lavelle (4e), Louis Farigoule (=Jules Romains) (6e)
1910 : Jean Wahl (1er), Gabriel Marcel (2e), Emile Bréhier (3e), Jean Nabert (4e)
1919 : Armand Cuvillier (1er), MartIal Guéroult (2e)
1920 : Etienne Souriau (1er) Une pensée esthétique en philosophie à part mais très reprise dans les nouvelles avancées conceptuelles d’ aujourd’hui.
1921 : Henri Gouhier (1er)
1922 : René Poirier (1er), Brice Parain (2e), Jean Grenier (3e), Bachelard (4e)
1923 : Jean Guitton (3e)
1924 : Pierre Mesnard (1er)
1925 : Jean Laubier (1er),Pierre-Maxime Schuhl (2e)
1926 : Jankélévitch (1er)
1927 : Canguilhem (2e) très gran philosohe avec son  » le normal et le pahologique »
1928 : Raymond Aron (1er), Emmanuel Mounier (2e), Daniel Lagache (3e)
1929 : Sartre (1er), Simone de Beauvoir (2e), Jean Hyppolite (3e), Nizan (5e), Maurice Savin (6e)
1930 : Merleau-Ponty (2e), Etienne Borne (7e)
1931 : Ferdinand Alquié (1er),fut mon prof de phiosophie à la Sorbonne
Claude Lévi-Strauss (3e),
Mikel Dufrenne (5e), j’ai tout lu de son oeuvre, après un passage à l’ombre, revient à la lumière des dernières recherches sur la phénoménologie. Simone Weil (7e)
1932 : Jacques Soustelle (1er)
1933 : Jean Beaufret (6e) s’est un peu…fourvoyé avec Heidegger;
1934 : Raymond Bayer (2e)
1935 : Paul Ricoeur (2e)
1936 : Roger Garaudy (5e)
1937 : Jean-Pierre Vernant (1er)
1938 : Gaëtan Picon (1er), j’adore! 🙂 Louis-Marie Morfaux (3e)
1939 : Henri Passeron (1er), Passionnant! 🙂
Georges Gusdorf (5e)
1941 : Jean-Toussaint Desanti (3e), Maurice Clavel (4e), Yvon Belaval (5e)
1942 : Jean Lecanuet (2e)
1943 : Jules Vuillemin (1er), Gaston Granger (2e) deux très discets et très grand philosophes! 🙂

1944 : François Bourricaud (2e),,
Michel Henry (6e), c’est compliqué…
1945 : Ginette Dreyfus (1ère)
1946 : Suzanne Bachelard (1ère), Florence Khodoss (6e)
1947 : René Schérer (4e)
1948 : Althusser (2e), Jean-Louis Dumas (6e), Deleuze (8e), Jacques Muglioni (10e)
1949 : Dagognet (1er) extraordinaire! 🙂
, Pontalis (3e) super!, Jacques d’Hondt (8e°), Claude Lefort (8e), Ormesson (12e)
1950 : Pierre Aubenque (1er), Jean-Pierre Faye (2e), André Vergez (3e), Lyotard (4e), Jean Laplanche (9e), Marcel Conche (13e)
1951 : Foucault (2e)
1953 : Pariente (1er)
1954 : Bernard Bourgeois (5e), Pierre Bourdieu (7e)
1955 : Michel Serres (2e)
1956 : Alexis Philonenko (1er), Didier Julia (5e), Jacques Derrida (14e), Jean-François Ricard (le futur Jean-François Revel) (16e) retour en force! 🙂 ( père du directeur de cabinet de l’ex-Premier ministre, Castex)
1957 : Beyssade (1er), ai passé un oral de philosophie sur Descartes avec ce grand spécialiste 🙂
Jean Granier (2e), Guy Michaud (3e)
1960 : Alain Badiou (1er) le brillant qui fait rire tout le monde! 🙂
1962 : Catherine Clément (1ère) (à 22 ans) bof…
1965 : Jacques Bouveresse (1er) top philosophe!
1971 : Jean-Luc Marion (2e), il fut mon assistant en histoire de la philosophie à la Sorbonne lors de sa toute première anné d’enseignement à la faculté et portait déjà un noeud papillon. 🙂 Rémi Brague (7e), bof Bernard-Henri Lévy (8e) bof, bof…
1976 : Denis Kambouchner (1er)
1981 : Emmanuel Faye (3e)
1988 : Nathalie Depraz (1ère)
1990 : Denis Moreau (1er)
1997 : Michael Foessel (1er)

Mais il n’y a pas de primés après 1997? 🙂

rose dit: à

G fini avec un yaourt nature. Sans sucre. Sans confiture.

pourmapar dit: à

à Patrice Charoulet,
Je n’ai pas précisé que votre liste contenait le nom de très nombreux historiens de la philosophie. Khodoss, Brochard, etc. et certains autres qui émigrèrent dans le monde littéraire et journalistique.

FL dit: à

Moi Badiou j’aime bien.

FL dit: à

Il a une certaine élégance quand même.

rose dit: à

Jean Guitton était le philosophe étudié et admiré par mon père. Jean Guitton par ci. Jean Guitton par là.

rose dit: à

Et Bourdieu a émigré ds la sociologie.
Et BHL ds la défense des peuples opprimés.

Et Finkielkraut ? Il n’est pas là ?

FL dit: à

Jacques Maritain. Grosse analyse dans le récent « Sodoma ».

Je regarde sa tête sur Wikipedia. Il a une belle tête Troisième République.

Bolibongo dit: à

Jean Guitton par ci. Jean Guitton par là. rose.

C’est pour ça que vous avez appelé votre grande guitoune un grangeon?

Mary Curry dit: à

« il devrait pouvoir activer son C2P ou Compte professionnel de prévention, lequel permet de déterminer et de référencer les facteurs de risques professionnels d’exposition d’un travailleur au-delà de certains seuils »

Pour le seuil de la connerie, il est vite atteint…inutile de se fatiguer.
Et y’a des points à gagner !

D. dit: à

Depis quand on bouffe des palmuets en boîte ?
Beurk.

D. dit: à

Même renato n’en mangerait pas.

D. dit: à

Mon sieur Charoulet, vous ne mangez pas le palmier en boîte, j’imagine ?

D. dit: à

G fini avec un yaourt nature. Sans sucre. Sans confiture.

ça ne peut rien excuser. Ah là là.

D. dit: à

Ah là là.

MC dit: à

L’essai sur les. causes secondes de Janet peut être encore lu avec profit. Il est dans ma bibliothèque. MC

et alii dit: à

et la loi de MURPHY?

JC..... dit: à

Quel bonheur de lire, au lever, les écrits inconséquents des cancres qui ont réussi à gravir les plus hauts sommets de l’inutile.

Vive la France pour les Nuls… !

rose dit: à

Au lever 6h14 le 16 mars 2023

Mathilde Panot: « La question qui sera posée à chacun des parlementaires, c’est de savoir s’ils ont été élus pour défendre l’intérêt général ou l’égo d’un seul homme contre tout un peuple ».

Nous ne nous la posons plus cette question puisque nous avons la réponse.

rose dit: à

rose,

C’est pour ça que vous avez appelé votre grande guitoune** un grangeon?

Strictement aucun lien.
Dans les papiers hérités avec l’achat de la maison, il y a une liste d’achat de matériaux lors d’une réfection ancienne de ce petit bâti.
En titre, il y a noté Le grangeon.
Moi, je, j’ai un art : je respecte les gens et leur histoire.
Pas encore pris le temps d’aller à fond dans l’histoire, ce aux archives départementales, mais ce terrain de un plus de 600 m² appartenait à la propriétaire de ma maison, la vraie à 200 mètres de là. Qui a aussi fait construire un lotissement portant son nom quelque part dans le bourg.
Une femme d’exception, Madame Raspail.
Le terrain était planté d’amandiers. Il n’en reste qu’un, très vieux.
Tous les petits carrés de terrain de chez moi ont tous le même bâti à l’arrière. Chacun est différent, avec des variations.
Devant ont été construites des villas.
La dernière villa proche du ravin est la seule qui a été bâtie sur le grangeon en l’enserrant dans sa construction.
Le mien était une quasi ruine. Je l’ai retapé durant quatre mois avec Doumé qui est un charpentier, maître compagnon du Tour de France.

Je n’y ai pas fini encore mon intégration : petit espace, trop de choses => j’y travaille.
Pour les poubelles, c’est gagné puisque c’est une tâche que j’ai abordée il y a 48 ans de cela, au moment où je commençais activement à intégrer la Fédération Unie des Auberges de Jeunesse.

Je vais y arriver : c’est un travail long et lent de dépouillement.
J’y suis beaucoup aidée par des actes délictueux commis contre moi : je suis en train -après une (trop*) longue période d’anéantissement dominée par l’angoisse et le chagrin – d’y arriver avec une vivacité et un enthousiasme qui ne cessent de me surprendre.

Cet été, lorsqu’il fera 45° dehors, il fera environ 25° dans mon grangeon au maximum.

* Pas pu faire autrement : j’en devine donc que c’était sans doute nécessaire.

** Absolument en rien une grande guitoune : les murs font 54 cm d’épaisseur. Le toit est hyper solide. Chaque fois qu’il pleut, vente ou neige je bénis Doumé et lui rends louanges.

En tout cas, j’en suis là : approchant le bonheur fou, dénué de toutes contingences extérieures : vivre cela, c’est une chance inouïe.

rose dit: à

Savoir gérer ses poubelles personnelles, c’est également une chance inouïe.
La première tâche consiste à trier.

Il s’agit de trier jusqu’où on peut aller.
Nombre de contenants sont mis à disposition. Verres, cartons, emballages plastiques.
En Suisse, cela va plus loin qu’en France (mercure, aluminium).

En // du tri se passe la récupération. Les chiffonniers d’Emmaüs en sont les maîtres.

Évidemment, lorsque l’on se chauffe au bois, l’opération est facilitée. On récupère tout ce qui peut brûler.
Ici, fonctionnent très bien les déchetteries. Et aussi les ressourceries.

En amont, il y a une opération au niveau des achats à mener impérativement : interdiction de tout suremballage et supression des plastiques. Favoriser les marchés, les achats en vrac, les sacs d’emballage en papier. Les paniers. Tout ce qui est réutilisable.

Ensuite, le vrai travail s’opère autour de la consommation.
Privilégier tout ce qui est de saison.
Ne pas acheter de haricots verts provenant de Colombie où ce sont des enfants en haillons qui les cueillent.

Première opération à mettre en place : grève des éboueurs archi-justifiée => je ne descends plus les poubelles et je les gère chez moi. Lorsque le travail aura repris, je les descendrai et j’aurai entre-temps appris à en diminuer drastiquement le volume.

Chacun est responsable de ses poubelles, c’est un acte civique déterminant.

rose dit: à

C’est cela qui fait que je suis extrêmement choquée par boug.uer, eau qui, souventes fois, dit que je fais des virgules de . sur les murs. Qu’il soit puni quinze jours, cela lui va bien.
Gérer ses poubelles c’est la première chose à faire dans la vie.
Tous ceux qui embarqueront sur la barque du Lethé avec leurs tonnes d’ordures la verront couler

J’en profite pour rappeler Haut et Fort que la mer n’est pas une poubelle.

rose dit: à

La seconde chose à gérer dans sa vie avec une extrême rigueur, après les poubelles, est la sexualité.

Je n’ai pas été au top du sommet, mais quand même. On me pose des questions, avec grande curiosité, je ne réponds pas. Je ne suis pas là pour apprendre tout à tout le monde. Si la conversation se pointe à bon escient, je dis. Sinon, je me tais. Le seul apprentissage qui vaut est celui que l’on fait par soi-même. Ce que je sais, je le partage toujours gratuitement et ne fais jamais payer pour cela. Mais la sexualité est domaine parfait de l’intime, ita est du privé.

Tout ce qui est à ranger avec la même extrême rigueur que les poubelles, number one, est de trier, là encore : bannir, de manière impérative tout ce qui est délictueux et honteux : le viol, envers qui que ce soit et toute atteinte de quelque ordre que ce soit envers les enfants : pédérastie, pédophilie etc.

La pauvreté ne va pas aider, mais on va y arriver.
Moi, je ferai un couscous aux enfants de Tanger.

Hier, dans le car, avant la discussion politique qui s’est ensuivie, ma remarque (pourquoi ???) sur comprendre les femmes, un quarantenaire me dit « je fais tout ce que je peux, mais je n’y comprends rien » ; j’lui ai dit « surtout ne renoncez pas. »

Surtout, ne renonçons pas à construire un monde de paix équitable et respectueux.

Stop à la guerre Ukraine/Russie : Stop.

rose dit: à

’en profite pour rappeler Haut et Fort que la mer n’est pas une poubelle.

Nous, à Marseille, nous vivons un drame : lorsque, de manière répétitive il y a grève des éboueurs, parfois vient un coup de mistral et là hop, des milliers de tonnes de déchets partent à la mer : quoi de plus grave que de polluer notre mer nourricière ?

Du coup, j’ai oublié de signaler que le composteur aide à recycler tout ce qui peut l’être. Difficile d’apprendre à le faire fonctionner fructueusement mais cela s’apprend, c’est un art délicat. On obtient un terreau magnifique au bout de deux ans.

Jazzi dit: à

« J’en profite pour rappeler Haut et Fort que la mer n’est pas une poubelle. »

La RDL non plus, rose.
Veillez à mieux trier vos commentaires avant de les jeter en vrac ici, svp !

renato dit: à

Il n’y a pas une guerre Ukraine/Russie. Il y a une guerre de la Russie contre l’Ukraine. La bonne expression est donc : « Stop à l’agression russe ».

16.3 — 7.46

rose dit: à

Je ne jette rien en vrac ici Jazzi. Vous êtes le premier haut et fort à nous faire iech ici tous les jours avec votre panique irraisonnée face aux poubelles qui jonchent les rues de Paris.
Vous avez mis ce sujet sur le tapis. Les citadins, apprenez à gérer vos poubelles.

Jazzi dit: à

« Je ne jette rien en vrac ici »

Qui lira jugera, rose, mais vos commentaires sont bien trop mal compostés , ainsi vos leçons de civisme perdent tout effet !

renato dit: à

Même les jésuites n’arrivent plus à faire des différences : renvoyer l’Ukraine et la Russie dos à dos comme l’a fait Bergoglio c’est l’équivalent de Trump qui renvoya dos à dos les antiracistes et le criminel qui avait lancé sa voiture à une vitesse vertigineuse contre des manifestants à Charlotteville en tuant Heather Heyer.

rose dit: à

Jazzi,
De votre point de vue je me fous, votre axe principal étant votre trou du cul.

Deux angles de vie différents.

rose dit: à

De plus, ici, personne pour juger. Ce n’est pas l’axe de lecture mais plutôt la pluralité des points de vue.

rose dit: à

Les antiracistes a Sans Francisco : belle proposition de réparation faite aux afro-américains.

Il ne s’agit pas de renvoyer dos à dos, il s’agit d’inventorier les dégâts et ils sont collatéraux.

rose dit: à

à San Francisco : une proposition économique, enfin.

Patrice Charoulet dit: à

à Rose

« Et finkielkraut, il n’est pas là? »
Finkie, qui passe pour philosophe, est agrégé de lettres modernes.
Cela ne l’empêche pas de penser.
Cela dit, quand il était censé enseigner la philosophie à Polytechnique, il enseignait Péguy, etc.
Il aurait été infichu de faire de cours sur Aristote, Spinoza, etc.
Son successeur, Foessel (cacique de l’agreg de philo), donne, lui, de vrais cours de philo.

Phil dit: à

M. Foessel, agrégé x et de la nuit, s’exprime bien confusément dans ses nombreuses interviouves.

Patrice Charoulet dit: à

pourmapar

Et votre nom est ?
Sous le sceau du secret, parole d’honneur !
charouletp@gmail.com

renato dit: à

« … il s’agit d’inventorier les dégâts et ils sont collatéraux. »

Dommages collatéraux, éventuellement. Donc : « Dans la terminologie militaire, un dommage collatéral désigne les victimes civiles ou alliées (dans ce dernier cas, on parle aussi de tir ami), ainsi que les dommages causés à leurs équipements et installations de façon accidentelle, lors d’opérations militaires. »
Voir :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dommage_collatéral

D’ailleurs, « Dommages collatéraux », est un livre de Seymour Hersh, déjà journaliste indépendant, puis New York Times, in fine grand reporter au New Yorker et Associated Press.

rose dit: à

>rose
Un :
– Ce n’est pas classe du tout d’en référer au trou du cul.
-je le sais immédiatement, mais celui-ci commence à me pomper l’air sérieusement et c’est fini désormais.

Deux :
– Tu m’étonnes grandement dans ta classification des éléments à mettre poubelles un et sexualité deux.
Pourquoi ?
– c’est une histoire de priorité. Je développerai plus tard. La présevervation de la planète est supérieure à la sexualité individuelle. Dans le pays où je vis c’est acté. Village sans pub depuis plus de dix ans. Etc.

Trois :
-Tu parais assez régulièrement fiérote de ce que tu as appris et mis en place.

-oui. Je disais récemment à quelques, que, après chaque épreuve traversée, je gravissais/j’avais gravis dix étages.
Lorsque l’on part de tellement bas, c’est énorme.
Un sherpa écrivait il y a quelques jours « un jour, on ne pourra plus gravir l’Everest ». Si chacun se gravissait tranquillou son propre Éverest, en attendant ce jour qui sera béni par les dieux de l’Himalaya, nous n’aurions pas ce besoin effréné de gravir les grands sommets puisque nos sommets nous côtoient.

Quatre :

-Un te reproche tes leçons citoyennes.
-Je n’ai aucune leçon de civisme à balancer à qui que ce soit. C’est du militantisme pur et dur. Pour la gestion des déchets, autonome et raisonnée, in-di-vi-duelle avant que collective.

rose dit: à

Finkie, qui passe pour philosophe, est agrégé de lettres modernes

Patrice Charoulet, merci. Je ne le savais pas.

On ne peut donc pas réduire le terme de philosophe à quelqu’un qui « pense » le monde ?

rose dit: à

Renato

Merci pour la déf. des dommages collatéraux qui vont de vrais gros dégâts.

Mary Curry dit: à

-Etes-vous fier de Chatroulette, et de ce que c’est devenu?
-C’est bizarre, mais je ne suis pas vraiment «fier», alors que mes amis sont vraiment excités. Je suis concentré sur mon boulot: améliorer le service. J’ai été emballé de voir les multiples utilisations que les gens ont du site. Son succès est venu de la qualité du site, pas des médias. C’est un sentiment agréable de voir que les gens apprécient ce que je propose et s’amusent. Je veux que ça continue comme ça, je ne veux pas tout gâcher. Donc je suis prudent avec les changement que je pourrais apporter au site. Mais j’aime expérimenter, et Chatroulette est une grande expérience sociale depuis le début.

https://www.20minutes.fr/high-tech/385916-20100219-andrey-ternovskiy-createur-chatroulette-je-vraiment-fier

rose dit: à

Patrice Charoulet

Je n’y crois pas à votre adresse mail.
Lorsque Emma, ma mère a reçu de courrier magnifique de Jean Jacques Janssen lui apportant ses voeux pour la nouvelle année, la lettre était écrite d’une calligraphie magnifique : ample équilibrée heureuse.

Vous avez mon adresse postale. Recevant un courrier manuscrit de vous, j’en informerai nos camarades ici de la réalité de votre existence.

rose dit: à

qui font de vrais gros dégâts.

Mary Curry dit: à

16/03

« Entendent-ils parler d’environnement physique agressif, de travail de nuit, de postures pénibles, de rythmes de travail, de pression supérieure à la pression atmosphérique, ou tout simplement de bruit qu’un sourire apparait sur leurs lèvres généralement prolongé par une tape amicale dans le dos. »

C’est bien un truc de vieux mâles, ces bourrades.

Souriez, au Pavillon de Breteuil ils savent vous détendre, si plusieurs atmosphères, mesurées à l’aune poétique, vous oppriment.

« Tenue à Versailles du 13 au 16 novembre 2018, la 26e Conférence Générale des Poids et Mesures (CGPM) a marqué pour la métrologie mondiale une tournant majeur. C’est en effet au cours de l’événement qu’a été adoptée, par un vote unanime, la nouvelle définition des unités du système international. Remplaçant le dernier étalon matériel, celui du kilogramme, ce nouveau système d’unités s’appuie désormais sur les constantes fondamentales de la nature. Un choix plus cohérent, en harmonie avec la physique quantique et relativiste, ainsi qu’avec les techniques les plus récentes en interférométrie des ondes de matière, qui ne pourra que favoriser les nouvelles technologies. »

https://www.academie-sciences.fr/fr/cgpm-2018.html

Janssen J-J dit: à

J’ai bien apprécié l’histoire du grangeon. Qui en démystifie le mystère et rend la proprio d’autant plus palpable et proche de nous. Elle nous montre comment et où elle vit au jour le jour. C’est ce qui est le plus important. Et quand on la cherche, on la trouve. Oui, l’a besoin d’aucune bénédiction.
Mes bises (16-3.23-10.19 -> ce jour est important, il sera marqué d’une pierre blanche dans notre histoire politique et sociale. Croyez-moij. Voilà pourquoi je me le grave avec et dans la vie d’Emma T).
Bàv,

et alii dit: à

Que j’écrive même quand je parle n’est pas douteux. Alors pourquoi ne publiez-vous pas plus ? Justement à cause de ce que je viens de dire : on publie quelque part. La conjonction fortuite, inattendue de ce quelque chose qui est l’écrit et qui a ainsi d’étroits rapports avec l’objet a, donne, à toute conjonction non concertée d’écrits, l’aspect d’une poubelle. Croyez-moi, à l’heure matinale où il m’arrive de rentrer chez moi, j’ai une grande expérience de la poubelle et de ceux qui la fréquentent. Rien de plus fascinant que ces êtres nocturnes qui y chopent je ne sais quoi dont il est impossible de comprendre l’utilité. Je me suis longtemps demandé pourquoi un ustensile aussi essentiel avait si aisément gardé le nom d’un préfet, auquel on avait déjà donné un nom de rue, ce qui aurait bien suffi à sa célébration. Je crois que si le mot poubelle est venu si exactement se colloquer avec cet ustensile, c’est justement à cause de sa parenté avec la poubellication [26]
[26]
J. Lacan, L’objet de la psychanalyse, inédit, 15 décembre 1965.. »
https://www.cairn.info/revue-essaim-2014-2-page-29.htm

racontpatavi dit: à

j’ai une grande expérience de la poubelle et de ceux qui la fréquentent.

Ah bon?
Et combien de temps met une poubelle avant de brûler?

l'éclat du noir dit: à

Le tri sélectif n’est pas toujours évident en ville, troisième étage sous les combles, et parfois descendre les poubelles trop juteuses obligent à nettoyer toute la volée d’escalier.

Ça rend plus nerveux quand elles ne passent pas, elles sont convoitées par les matous.

J’entend que tout un chacun se plaint de sa condition humaine, moi ce qui me fait mal au coeur ce sont les clochards qui dorment dans une encoche sous des couvertures précisément devant une borne de recharge pour Tesla et autres véhicules électriques.

2 mondes

Jazzi dit: à

« et rend la proprio d’autant plus palpable »

Cessez de tripoter rose dans son grangeon, JJJ, elle va encore gicler !
On doit déjà supporter ses diarrhées verbales et Paris sent de plus en plus mauvais !
Heureusement que votre pote, le préfet de Police, prend les choses en main…

Jazzi dit: à

Heureusement qu’avant d’avoir à slalomer entre les poubelles et les rats, le léZard avait vu un splendide film !

Janssen J-J dit: à

je vous trouve de plus en plus bas et rapetissé, jzmn… Une bien mauvaise passe à la hauteur des rats entre vos jambes et les cuisses de votre préfet de peau lisse favori.
Apparemment, c’est une phase noire mais nécessaire dans la longue traversée de vos flâneries parisiennes, faites en un bouquin ou une chronique un peu moins partiale !
J’espère que vous irez beaucoup mieux quand votre macronie aura gagné. Et pourrez aller au cinoche sans encombre ni concombres.
Bàv, ta mère thume !…

et alii dit: à

Les déchets – « déchié » ou « déchiet » en ancien français – s’accumulent et transforment l’écosystème des êtres parlants à une vitesse stupéfiante, inédite dans l’histoire humaine et même géologique. Le phénomène prend sa source au XXe siècle dont Gérard Wajcman a fait le siècle de l’objet [2]. Lacan l’avait annoncé dès 1970 : au zénith social monte l’objet plus-de-jouir [3]. Exaltant le triomphe de la jouissance, le discours capitaliste fabrique à la chaîne ces objets qu’il réussit à vendre comme remède à notre castration. Lacan a forgé un nom pour ces fabrications de la science qui ont envahi le monde, à l’obsolescence programmée et faites pour causer le désir du sujet moderne, des « lathouses » [4]. En fait, elles le fatiguent, le rendent
INhttps://www.pileface.com/sollers/spip.php?article2061

Clopine dit: à

Quand arrêterai-je de lécher mes plaies ? Bientôt, disent les psys. Bientôt, murmure mon fils, en croisant les doigts pour moi. Jamais, répond mon âme.

JC..... dit: à

« La préservation de la planète est supérieure à la sexualité individuelle. » (Rossinante)

D’autant plus évident pour les fadas et les bimbos du pays et d’ailleurs, qui confondent facilement Sexualité et Cosmétiques.

et alii dit: à

Lacan relève ainsi combien, du côté de la civilisation scientifique, nul ne veut savoir ce qui advient de ce qu’il rejette. C’est un phénomène de refoulement, dit-il. Il est la cause du refus de penser ce que toute création humaine produit de rebut. Refus qui commence à la poubelle de chacun et finit au parc nucléaire français dont la conception par l’État a été légèrement oublieuse des conséquences de la durée de vie limitée d’un réacteur nucléaire, en clair sur la possibilité même de son démantèlement [14].
https://www.pileface.com/sollers/spip.php?article2061

Jazzi dit: à

Vous êtes tombé bien bas, dit-il de toute la hauteur de sa suffisance !

Blagues mises à part, JJJ, vous croyiez nécessaire de nous faite les témoins captifs des affinités particulières, sensuelles et politiques, entre rose et vous ?
Pour les partouzes en tous genres, il y a des maisons pour ça…

D. dit: à

Toutes la matinée j’ai consulté les astres et j’y ai vu le gouvernement de la France renversé avant ce samedi soir.

Les boules, Emmanuel.

Jazzi dit: à

ça veut dire que la loi passe sans problème et que lundi tout rentre dans l’ordre, D. !

D. dit: à

Jazzi, ça veut dire un déni de démocratie avec un passage au 49.3 aujourd’hui, des émeutes dans la foulée, une motion de censure votée samedi, le gouvernement défait. Macron destitué sous 3 mois.

D. dit: à

J’ai eu cette nuit des songes avec des images très fortes : l’Elysée et plusieurs ministres bloqués dans le Palais de l’Elysée, leur exfiltration par le Raid et le Gign dans des hélicoptères avec hélitreuillage. C’est te dire.

Jazzi dit: à

Et tu as vu Mélenchon à l’Elysée et Martinez à Matignon, D. ?

Chef André dit: à

Ce type est malade.

Janssen J-J dit: à

@ vous croyiez nécessaire de nous faite les témoins captifs des affinités particulières, sensuelles et politiques (sic),

blague mise à part…, elles ont toujours été dans votre tête, lesdites… Anéfé, de ma suffisante hauteur, contrairement à votre trou du cul, je considère la mien comme n’ayant jamais été l’axe principal de ma compréhension du monde.
Estimez-vous que la RDL soit un maison à partouze pour films X ? – Ne répondez surtout pas à cette légère provocation. Vous vous enfonceriez. Merci pour votre dernier CR de cinéma… Je continue à les lire sans voyeurisme, croyez-le bien, mais nul ne m’oblige à en être le témoin, n’est-ce pas !
Bàv,

D. dit: à

J’en ai assez dit, Jazzi. N’importe quel astrologue te confirmerait que Jupiter subit des influences contraires très puissantes.

Jazzi dit: à

C’est fou tous ces gens qui s’intéressent à mon trou du cul !
Mais qu’ont-il donc ?
Relisant intégralement Céline, je découvre que c’était chez lui une véritable obsession, avouant qu’il pratiquait beaucoup « la boutique de derrière » chez les femmes (le meilleur des contraceptifs) et tremblant constamment pour la sienne !

rose dit: à

C’est vrai qu’entre des diarrhées verbales et se taper vingt cinq fois par semaine les compte rendus de tous les films qui sortent à Paris, tous, tous !!! on se demande où est l’hôpital, où est la charité ?

rose dit: à

D.

Le rêve ce rêve !

Et exfiltrés où ? Pas sûr une île grecque si ce n’est Spinalongua qui est rebaptisée depuis, l’ex île des pestiférés filmée par Jean Daniel Collet.

FL dit: à

Je me souviens qu’il raconte surtout son peu de goût pour la chose et que regarder deux femmes entre elles lui suffisait amplement.

Vice Troisième République. Willy n’était pas contre non plus les petites histoires amoureuses de sa femme.

rose dit: à

GTpolitique/live/2023/03/16/vote-de-la-reforme-des-retraites-en-direct-debut-des-explications-de-vote-au-senat-tandis-q

Madame 49-3 a encore sévi.
Hier, à la manif. à Digne, y avait un slogan génial chez nos camarades F-O c’était basé sur l’entreprise mutualiste Entendre et Voir ( opticiens et audioprothésistes) et leurs pancartes montraient des portraits (Macron, Dussopt, Borne-hée) avec au dessous Rien Entendre- Ni-Voir.

Nous vivons cela : le peuple invisibilisé, nous sommes.

Kilékon dit: à

le peuple invisibilisé, nous sommes.

Mais quelle pouffe rose fonctionnaire!
Tu es le peuple comme moi je suis le bon dieu.
sans confession.

rose dit: à

Ne pas acheter de haricots verts provenant de Colombie où ce sont des enfants en haillons qui les cueillent.

Ce matin, à Intermarché, j’ai acheté deux paquets de pois gourmands venant du Guatemala, cueillis par des enfants pieds nus, parce la date de péremption étant le 18/O3 il y avait 30% de ristourne dessus. Congélo.pour l’aïoli de Pâques.

rose dit: à

Mé-kilékon.
Je vais tailler la bignogne.

Gros bisous salés.

Kilékon dit: à

Je vais tailler la bignogne.

L’aîl au lit, aussi!

rose dit: à

J. Lacan, L’objet de la psychanalyse, inédit, 15 décembre 1965.. »

Je le lirai ce soir.
Chez moi c’est 4h 53 l’heure du passage.

Hyper-important de relier cela au culte des morts & à la relégation des vieux dans des EHPAD. Comment on occulte les deux en les invisibiilisant.
Le parisien moyen, il attend de sortir, qu’il n’y ait plus de poubelles sales, et que ce soit proche, même y compris lavé avec un jet d’eau.
À Marseille, ai connu cela dans mon antiquité : les cantonniers avec leurs grands balais et les gros jets d’eau, de bouche d’égouts.
Entre parenthèse, comment le passage de Jean Valjean qui sauve Marius dans les égouts de Paris (un monument en soi) est un magnifique passage des Misérables de notre grand Victor.

rose dit: à

En passant, viols en ligne par des heteros et homosexuels occidentaux d’enfants des Philippines.
Dénoncez.
Dénoncer.

Protection totale dévolue aux enfants.

rose dit: à

Et que ce soit propre (et de préférence lointain, hors de la vue).

Patrice Charoulet dit: à

@pourmapar

Bonjour, Monsieur,

Je vois qu’il n’y a pas sur ce blog (où le blogueur écrit des textes du meilleur aloi et pleins d’intérêt)que des bousilleurs de la langue française, des orduriers et des fous furieux.
En commentant ma liste, vous révélez que vous avez eu le jeune Jean-Luc Marion, maintenant académicien, comme asssistant à la Sorbonne. Que vous êtes à même de louer Ravaisson, Renan,
Lachelier, Couturat, Brunschvicg, Lalo, Gilson, Souriau, Canguilhemù, Alquié, Dufrenne, Picon.
Vuillemin, Granger, Dagognet, Beyssade, Bouveresse. Qui dit mieux ? Je ne poserai pas la question aux trois ou quatre pauvres bougres et tristes sires que nous connnaissons tous.
Comme j’ai loué le Lalande, vous me dites : « Bof..Il y a beaucoup mieux que le Lalande. » Je veux bien vous croire , vu votre C.V.
J’ai aussi sur mon bureau :
Paul Foulquié, Dictionnaire de la langue philosophique, PUF, 1962, 775p
Sylvain Auroux, Vocabulaire des études philosophiques, Hachette, 1975, 256p
Baraquin, Baudart, Dugué, Laffittte, Ribes, Wilfert, Dictionnaire de philosophie, Armand Colin,
1995, 346p
Louis-Marie Morfaux, Vocabulaire de la philosophie et des sciences humaines, Armand Colin,
2001, 400p
Michel Blay (et une cinquantaine d’universitaires), Grand dictionnaire de la philosophie, Larousse-
CNRS, 2012, 1137p
André Comte-Sponville, Dictionnaire philosophique, PUF , 2013 ,
1415 p
Philippe Raynaud, Stéphane Rialks et alii, Dictionnaire de philosophie politique, PUF, 2020, 892p.

Auriez-vous la gentilllesse de bien vouloir me dire quel dictionnaire est « beaucoup mieux que le Lalande » ? Quel ou quels. Je m’empresserai de passer commande.

P.-S . A la dame qui dit ne pas croire à mon émile. Envoyez-moi « Bonjour, Monsieur », je vous répondrai : « Bonjour, Madame ».
Pourquoi diable ne pas croire à un émile  fourni ? Tout le monde n’est pas parano, même s’ils sont légion, manifestement, ici, vu le nombre de pseudos.

Janssen J-J dit: à

49.3 sciemment déclenché par le petit dictateur…
Ils ont voulu épargner les LR à la CMP pour pas prendre le risque d’un rejet par les qq qui auraient pu être contre.
Après eux, Macron et Borne, le déluge… qu’ils se sont dit… Ca va s’arranger…, y’aura pas de succès à la motion censure transpartisane, qu’ils se disent…, donc le nouveau gouvernement est déjà préparé de Macron avec un peu plus toujours de « centre-gauche » (des modem)…
Pas de RIP, il y aura, non plus bien évidemment !… Oui, les français se souviendront de ce jour historique, et de leur cours de droit constitutionnel de notre 5e Répu. !
—–
(à suivre, les pro Macron…)

Mary Curry dit: à

19 II II

« Alors qu’aujourd’hui je voulais sortir du lit, je suis tout simplement tombé dans les pommes. Cela pour une raison très simple : je suis absolument surmené. Non par le bureau mais par mon travail à côté. Ce n’est pas le bureau qui en est responsable, ou bien juste dans la mesure où, si je n’y allais pas, je pourrais vivre tranquillement pour mon travail sans devoir passer là-bas ces six heures par jour qui en particulier vendredi et samedi parce que j’étais complètement accaparé par mes affaires m’ont tourmenté à un point que vous ne pouvez imaginer. Mais finalement je le sais bien tout cela n’est que du blabla, c’est moi qui suis coupable et le bureau a envers moi les exigences les plus claires et les plus justifiées. Juste que c’est précisément pour moi une terrible double vie dont l’issue vraisemblablement ne pourra être que la folie. J’écris cela à la lumière du jour et je ne l’écrirais certainement pas si ce n’était pas vrai et si je ne l’aimais pas comme un fils.
D’ailleurs demain je serai certainement remis et j’irai au bureau où la première chose que j’entendrai, c’est que vous voulez que je quitte votre service. »
Kafka journal
Traduction L. Margantin.

pourmapar dit: à

@ Patrice Charoulet,

Michel Blay (et une cinquantaine d’universitaires), Grand dictionnaire de la philosophie, Larousse-
CNRS, 2012, 1137p

Celui-là, je l’ai aussi et il est très bien! 🙂
Bonne journée à vous.

Mary Curry dit: à

Fini-parti
Désigne la pratique, dans certaines collectivités, autorisant les agents de collecte des déchets à quitter leur travail une fois la tournée terminée.

Janssen J-J dit: à

@ aux kafkologues en général et MS en particulier…
Il savait se ressaisir du jour au lendemain, Franz ; il n’était pas épuisé par son boulot, non, ni assailli par l’idée qu’il n’atteindrait jamais l’âge légal de départ à sa retraite. Non, en réalité, il était déprimé et accablé par autre chose… la conviction qu’il ne pourrait jamais écrire au long cours et tranquillement ce qu’il avait à dire, sans être entravé par mille autres soucis quotidiens.
____
Un peu comme on le voit dans le journal de Joseph Goebbels (pardon pour ce // crapuleux, mais il est TCPEPA), tel que Roberto Saviano en commente certains fragments dans l’un des chapitres les plus saisissants de CRIE-LE (n° 22). En 1938, cet homme était secrètement triste et malheureux à mourir, bien qu’il fût virtuellement l’un des plus puissants « dignitaires » nazi propagandiste et ordure que la terre eut jamais porté auprès de son führer. Il était faible et c’est pourquoi il fut ainsi propulsé et glorifié par le régime, pour ne pas faire d’ombre au sommet.

Bàv,

Mary Curry dit: à

@la conviction qu’il ne pourrait jamais écrire au long cours et tranquillement ce qu’il avait à dire, sans être entravé par mille autres soucis quotidiens.

« Thus, the job gave the writer the hope of travelling, as confirmed by his letters to Hedwig Weiler, his girlfriend at the time. “I am learning Italian because first of all I will probably go to Trieste,” Franz wrote to Hedwig, but he hoped to reach more exotic countries and “look out of the office windows on sugar cane fields or Muslim cemeteries.” Nonetheless, he added: “For the moment my work is sad.”
In fact it was a full-time job, which hindered his writing. What was more, the transfer abroad was slow to arrive. By the end of 1907, the writer was already looking for another job.
“Now my life is in complete disorder,” he wrote to Hedwig. “It is true, I have a job with a tiny salary of 80 crowns and 8-9 interminable hours of work, but I devour the hours outside the office like a fierce beast.”

https://www.generali.com/who-we-are/history/Generali-life-stories/Franz-Kafka–distinguished-clerk-at-Generali

pourmapar dit: à

@ Patrice Charoulet,

Bon, chaque dictionnaire a son utilité et développe un champ lexical bien particulier souvent explicité en préface ou en avant-propos.
J’ apprécie plus particulièrement des dictionnaires sur la philosophie de l’art et/ l’esthétique.
Encore bien à vous.

Alexia Neuhoff dit: à

Le recours au 49.3 pour une telle réforme équivaut dès à présent à une totale perte de crédibilité du président de la R. Seul le conseil constitutionnel peut le réinstaller dans sa fonction en la vidant de son contenu. Ou une révolution.

Jean Langoncet dit: à

Agression de l’Ukraine. De ceux qui inventorient les dommages « collatéraux » en se regardant le nombril qu’ils ont certainement très généreux, et du principe de réalité ; par Annelise Roux via Facebook :

« Kamala Harris, vice-présidente des Etats-Unis avait attiré l’attention des acteurs mondiaux sur ce qu’elle a qualifié de «vol des enfants ukrainiens.»
Des enfants du Donbass, mais aussi des enfants dans des orphelinats ou enlevés dans des institutions d’accueil (il n’est pas exceptionnel en Ukraine que des familles n’ayant pas les moyens de les élever aient recours à ce style de placement) sont déportés et «russifiés» : lavages de cerveau, récits fallacieux et réécriture du conflit, affirmation mensongère que leurs parents sont morts ou les ont «abandonnés».
Le Kremlin a franchi un nouveau pas dans les exactions. Ces faits sont avérés, ils ne tiennent pas du misérabilisme ni d’aucun fantasme. C’est la première fois dans l’histoire que ceux qui les ont perpétrés les assument et les revendiquent comme un «sauvetage». Le régime de Staline couvrait des pratiques de cet acabit, en particulier en exilant des populations en Sibérie, mais ne se targuait pas à ce point de bafouer les conventions internationales.
Du jamais vu : Vladimir Poutine a fait voter en s’en glorifiant la possibilité d’adopter en 24h, le droit de changer les noms et prénoms de l’adopté, ainsi que ses date et lieu de naissance. Cette légalisation administrative est catastrophique. Ainsi les enfants ne sont plus traçables. C’est une disparition sans retour pour leurs parents.
Lors de la célébration de l’anniversaire de l’invasion, la Commissaire russe au Droit des Enfants Maria Belova, elle-même adoptante d’un garçon ukrainien de 15 ans, omniprésente auprès du leader de la Fédération, a fait monter sur scène des enfants de Marioupol qui ont sauté au cou des «héros» censés les avoir arrachés au pire.
Comme les viols, ces affaires sont difficiles à documenter. Des chercheurs de Yale ont néanmoins réussit à objectiver l’existence de camps fermés où ces enfants sont reprogrammés au bénéfice de Moscou.
Environ 88 de ces détournements auraient été signalés de façon patente, avec la perspective de monter une quarantaine de dossiers seulement, tandis que des centaines de cas sont à déplorer. La Croix Rouge et Amnesty International s’emploient à tenter de quantifier l’ampleur du phénomène, premier pas vers des instructions qui, comme l’exigent les démocraties, nécessitent d’être étayées et prouvées.
L’Ukraine au travers de ses enfants perdus se vide de son sang, de sa force et de son avenir. Le président Zelensky hurle au secours tandis que les Alliés et l’UE peinent à trouver les moyens légaux de traduire en justice les coupables devant un tribunal international sous le chef, non plus de «crimes de guerre» mais désormais sous celui de «crimes contre l’humanité» qui répondent ici à l’ensemble des critères génocidaires établis. »

rose dit: à

Bonjour Monsieur Charoulet,

Je ne crois pas à votre émile. Non.
D’ailleurs, j’ai le mien d’Émile.

D. dit: à

Une révolution, Alexia. Ce que j’ai prédit ici-même il y a 3 mois.

D. dit: à

C’est pour cela aussi que j’ai quitté Paris, qui va être mis à feu et à sang par les insurgés. Je l’ai vu dans des songes.

renato dit: à

Du 17.04 au 24.09
Turin, Fondazione Merz, Palermo mon amour : Enzo Sellerio, Letizia Battaglia, et autres.
En collaboration avec Centre International de Photographie Letizia Battaglia.

renato dit: à

« Je ne crois pas à votre émile. Non. »

Vous n’avez qu’à lui envoyer un mail à l’adresse qu’i a donné. S’il vous revient avec un message type « your text message didn’t get delivered » l’adresse est fausse ; si le message ne revient pas elle est bonne. Ce n’est vraiment pas difficile !

renato dit: à

qu’iL

Jazzi dit: à

Dommage qu’Annelise Roux n’ait pas une tribune dans un grand quotidien, JL.
Là est sa place !

Jazzi dit: à

« La démocratie, un mythe relégué aux oubliettes. »

Depuis Michel Rocard, rose, il en était friand du 49.3, lui…

Jazzi dit: à

« où est l’hôpital, où est la charité ? »

Rien ne vous oblige à cliquer sur le bouton rouge menant à mon blog, rose.
Mes articles se méritent…
Passez !

Jazzi dit: à

« Vous n’avez qu’à lui envoyer un mail à l’adresse qu’i a donné. »

L’avez-vous essayé, renato, et votre message est-il passé ?

Clopine dit: à

Ca pète ? Bien sûr que ça pète. Ca fait huit manifs nationales qu’on le dit; Oh, vous, ministres intègres, êtes vous définitivement sourds ?

Jazzi dit: à

« Ce matin, à Intermarché, j’ai acheté deux paquets de pois gourmands venant du Guatemala, cueillis par des enfants pieds nus, parce la date de péremption étant le 18/O3 il y avait 30% de ristourne dessus. »

Adieu les grands principes pour quelques euros d’économisés !
Je ne vous félicite pas, rose…

Kilékon dit: à

Ca pète ? Bien sûr que ça pète.

Et ça pue!
A tue-tête.

D. dit: à

On y va, Clopine.

renato dit: à

Que ce mail soit vrai ou faux, Jacques, ça n’a pour moi aucune importance ; cependant, je ne dirais que c’est faux sans faire un essai.

rose dit: à

Leçon de morale Jazzi ?
J’ai aussi acheté trois boîtes de petites sardines à la tomate Odyssée sous blister en plastoque alors qu’une seule grosse coûtait mon cher au kilo.

rose dit: à

La notion de mérite c’est un truc qui me survole et de très loin, même lorsqu’Emma le souligne.
Non, y a pas de mérite : c’est bougrement manichéen.

rose dit: à

À feu et à sang au milieu des poubelles.
Je vois d’ici le tableau.
Gavroche sur une des barricades.

Janssen J-J dit: à

le masque et la plume, c’est l’émission de jerome garcin je crois, qui écrit beaucoup sur la tristesse de ses « fragiles »… Encore un livre que je ne lirai pas… Ai fini par penser à une indigne atrocité : que la mort de ses proches était devenu un filon littéraire et une source de revenus incroyab’… Je sais, c’est pas bien… Mais je l’ai pensé. Et peut-être que demain je regretterai de l’avoir pensé.
Ainsi sommes nous faits, d’injustice, de rancoeur, de mépris, car tout le monde est ainsi, et moij comme tout le monde, personne ne veut parler ou mettre en avant ce qui est beau, vivant, joyeux et immense…,sous prétexte de parapitr niaiseux un brin. Les jacinthes, les oiseaux, le vert de l’herbe, le printemps… la sortie d’un ancien monde sale et l’espoir irraisonné d’entrer dans un monde que l’on ne verra pas, -et que l’on ne voudrait pas voir- qui sera habité par une génération dépourvue de conscience historique vers un idéal de justice, en dépit de la littérature qui aide à croire…
Brefl.

Jean Langoncet dit: à

@Dommage qu’Annelise Roux n’ait pas une tribune dans un grand quotidien, JL.
Là est sa place !

Ses propos ne me semblent pas inopportuns ici bas

Jean Langoncet dit: à

Bonne soirée aux tartelettes

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*