De la pénibilité au travail dans le milieu littéraire
Au fond, ce n’est pas un hasard si l’expression « chaine du livre » s’est si largement répandue ces derniers temps. Elle correspond à une réalité : tous ceux qui y participent sont des enchainés. Aussi ces galériens de la vie littéraire méritent-ils largement que leur statut soit révisé à la lumière des débats actuels sur la pénibilité au travail.
Les éditeurs ? Ils se sont toujours plaints. Les collections des gazettes littéraires en témoignent : pas une interview dans laquelle ils ne déplorent leurs difficultés. En ce moment, la hausse du coût du papier. De manière récurrente, la baisse de la vente des livres. De temps à autre, les mauvaises pratiques des auteurs, des traducteurs, des agents etc. Bref, même quand ça va, cela ne va pas si bien que ça. De quoi leur rendre la vie pénible.
Le directeur littéraire ? Il doit supporter la réception de manuscrits de plus en plus mal écrits, l’orgueil d’écrivains qui font une jaunisse quand on leur retranche une virgule de travers etc Pénible aussi, non ?
Le directeur commercial de la maison d’édition ? Il lui faut accueillir tous les jours avec le sourire les coups de fil indignés d’auteurs qui ne comprennent pas que leur nouveau livre ne soit pas en pile dans la librairie du village berrichon où vit pourtant leur belle-mère pour ne rien dire des dizaines de milliers de points de vente dans toute la France. Et lorsqu’il croit l’avoir convaincu de l’impossibilité technique de sa requête, le directeur commercial doit une fois de plus lui expliquer qu’il est vain de demander chaque jour le chiffre des ventes de son livre car ce sont des sorties et que le bilan ne sera réaliste que des mois plus tard lorsque les retours des libraires seront déduits. Vraiment pénible, n’est-ce pas ?
Et l’attaché de presse ? Il doit supporter en permanence un procès en incompétence pour n’avoir pas réussi à faire inviter l’auteur à la « Grande librairie » ni obtenu un grand entretien sur son œuvre dans le prochain Télérama. Il a beau expliquer que cela ne se commande pas et que de toute façon, c’est le bouche à oreille qui garantit le succès d’un livre, rien n’y fait. Plus que pénible.
Et le libraire indépendant alors ? Outre que son activité croissante de manutentionnaire lui casse les reins (pour rester poli), que la surproduction et les offices ne lui permettent pas toujours de mettre en valeur des livres qu’il a aimés (à supposer qu’il ait eu le temps de les lire), que les sites de ventes en ligne leur portent préjudice (il n’y a pas qu’Amazon), qu’il y a toujours des lecteurs qui cherchent un livre aperçu à la télévision mais dont ils ignorent le titre, le sujet et le nom de l’auteur, l’augmentation des baux commerciaux en ville a donné le coup de grâce à un métier qui relevait déjà du sacerdoce.
Et le critique littéraire ? Sa direction ne cesse de mesurer ses colonnes et de ronger son espace à mesure qu’il reçoit de plus en plus de livres. Il a beau être dur au mal, sa souffrance au travail est insoupçonnable.
Et les membres des jurys ? Ils doivent se donner la peine de lire un nombre incalculable de romans que leurs auteurs se sont à peine donné la peine d’écrire.
On dira que tout cela est contestable en regard de la pénibilité au travail des chaudronniers, éboueurs, perceurs de tunnels et plongeurs scaphandre en grande profondeur. Mais l’écrivain lui-même, y ont-ils jamais pensé au ministère de la pénibilité ? La littérature et la poésie coalisées, combien de divisions ? Zéro. Qu’ils se mettent en grève ne changera rien à la situation de la France- sauf sur le plan moral, métaphysique, spirituel, mais qui s’en soucie vraiment.
Les lecteurs ont du mal à l’imaginer mais l’écrivain est aussi sujet à des accidents du travail. L’angoisse de la page blanche peut le faire passer de la névrose commune à la psychose à condition, il est vrai, d’être un romancier du genre de Jack Torrance, le héros du Shining de Kubrick qui remplissait des centaines de feuillets de son futur livre de l’unique phrase :
« Trop de travail et pas de plaisir font de Jack un enfant terne ».
Chaque fois qu’un écrivain est sommé de passer le ouikende dans une foire du livre et d’en repartir la valise pleine de manuscrits « juste pour avoir votre avis » alors qu’il n’avait rien demandé, il devrait pouvoir activer son C2P ou Compte professionnel de prévention, lequel permet de déterminer et de référencer les facteurs de risques professionnels d’exposition d’un travailleur au-delà de certains seuils. Ils ouvrent droit, sous certaines conditions, à des mesures de compensation qui varient selon les facteurs concernés. De l’avis général, le seuil de tolérance a été franchi pour tous de longue date dans un milieu où, on au nom de la passion que l’on voue aux livres, la notion même d’heures supplémentaires est une vue de l’esprit. Et l’âge de la retraite itou.
Entendent-ils parler d’environnement physique agressif, de travail de nuit, de postures pénibles, de rythmes de travail, de pression supérieure à la pression atmosphérique, ou tout simplement de bruit qu’un sourire apparait sur leurs lèvres généralement prolongé par une tape amicale dans le dos. Il n’y a guère que les agents chimiques dangereux auxquels ils échappent. Pour le reste, ne jamais oublier qu’avant d’être une activité intellectuelle harassante, l’écriture est un acte physique. Assis toute la journée sur sa chaise, les jambes croisées, les bras tendus vers le clavier, le dos en compote hésitant entre l’arthrose rachidienne et la discopathie dégénérative
Au fil des rencontres, l’écrivain doit souvent payer de sa personne lorsqu’il enquête avant d’écrire. Aussi il n’est pas exagéré de dire qu’il partage certains conditions du travail en hyperbarie : entrée et sortie du poste de travail, habillage/déshabillage, douches répétitives, compression/décompression, Conscience d’évoluer dans un périmètre dangereux mêlant obscurité et isolement au sein d’un milieu biologique hostile… Et puis, nul ne l’ignore, le milieu aqueux est consubstantiel à l’édition, nombre de requins patrouillant dans ses eaux troubles. Et puis quoi, qui osera dire aux écrivains qu’ils ignorent la souffrance au travail alors que ces dernières semaines, Hanif Kureishi, de passage à Rome pour y réfléchir à son prochain roman, a fait une chute qui le laisse paralyser ; et Salman Rushdie, poignardé par un islamiste alors qu’il rencontrait ses lecteurs dans l’Etat de New York, a perdu vingt kgs, l’œil droit, un bout de lèvre et la sensibilité de la main gauche, celle qui écrivait ! Vous avez dit pénibilité ?
(« Marcel Proust sur la plage de Trouville. Collection Mike Lebas ; « Ecrivain en croisière mais lequel ? » photo D.R.)
1 506 Réponses pour De la pénibilité au travail dans le milieu littéraire
Tout compte fait c’est une de leurs têtes de Turc.
Spring is like a perhaps hand
(which comes carefully
out of Nowhere)arranging
a window,into which people look(while
people stare
arranging and changing placing
carefully there a strange
thing and a known thing here)and
changing everything carefully
spring is like a perhaps
Hand in a window
(carefully to
and fro moving New and
Old things,while
people stare carefully
moving a perhaps
fraction of flower here placing
an inch of air there)and
without breaking anything.
Voltaire, Verlaine, Rimbaud, Hanouna : même combat.
« Le Cercles des zutistes, en particulier Verlaine, Rimbaud et Germain Nouveau, multiplie les attaques contre François Coppée, accusé de défendre une littérature paternaliste et familialiste, alors qu’il serait lui-même un « inverti ». Le poème « Les Remembrances du vieillard idiot » est explicite, sur ce point comme le confirme la longue analyse de Steve Murphy. Ce « outing » avant la lettre fut d’autant plus efficace que le célibataire Coppée n’était pas marié et vivait dans une étrange liaison avec sa mère, puis finalement avec sa sœur, également qualifiée implicitement par les poètes zutistes d’incestueuse. »
Ça éclaire les vers cités ci-dessus : des « allusions ».
« En 1906, il appuie fortement Abel Bonnard alors que paraît son premier recueil, Les Familiers ; selon Benjamin Azoulay, il en fait implicitement son ‘ héritier ‘. »
Poh, poh, poh !
« La Gangrène maçonnique », 1899.
Poh, poh, poh !
Poète parnassiens, mon cul !
« Toujours une plume pleine de mystère Rimbaud c’était le génie par excellence. S’il vous plaît ce poème parle de quoi au juste ? »
Des allusions graveleuses, mon ami.
https://www.poetica.fr/poeme-798/arthur-rimbaud-les-remembrances-du-vieillard-idiot/
Une déconnade d’Arthur Rimbaud contre Coppée dont il disait que c’était un vieux con, MC.
Extrait d’un de mes manuscrits inédits sur Verlaine et Rimbaud, titré Les Amants terribles :
« Le ton de l’Album zutique est franchement à la déconnade. Rimbaud y versifie même des Conneries commençant par « Casquette/De moire/Quéquette/D’ivoire… » On s’y moque de soi ou des autres poètes, notamment les Parnassiens auxquels on emprunte leur signature, tel François Coppée, le bouc émissaire tout désigné de cette bande de fêtards. L’album compte cent deux pièces en vers, dues à une vingtaine de zutistes, dont douze de Paul Verlaine et vingt-deux d’Arthur Rimbaud, auxquels il faut rajouter Le sonnet du trou du cul, co-écrit par les deux amants. Parodiant un recueil d’Albert Mérat, intitulé l’Idole, où sont énumérées sous forme de sonnets toutes les parties du corps féminin : le front, les yeux, les fesses…, Verlaine en signe les deux premiers quatrains : « Obscur et froncé comme un œillet violet/Il respire, humblement tapi parmi la mousse/Humide encor d’amour qui suit la pente douce/Des fesses blanches jusqu’au bord de son ourlet/ Des filaments pareils à des larmes de lait/Ont pleuré, sous l’auteur cruel qui les repousse/A travers de petits caillots de marne rousse/Pour s’en aller où la pente les appelait» et Rimbaud les deux derniers tercets : « Ma bouche s’accouple souvent à sa ventouse/Mon âme, du coït matériel jalouse/En fit son larmier fauve et son nid de sanglots/C’est l’olive pâmée et la flûte câline/C’est le tube où descend la céleste praline/ Chanaan féminin dans les moiteurs éclos. » Ce poème, qui sera repris plus tard par Verlaine dans Hombres, ainsi que d’autres pièces de l’Album zutique, était alors suivi de deux calembours de la main de ce dernier : « La pédérastie est un cas/Est un cas bandable. » et « La propreté c’est le viol. » Le premier signé de P. de Molière et le second de Proudhon.
Les textes parodiques, carrément obscènes ou gentiment potaches, illustrés de dessins caricaturaux, parsèment cette anthologie collective, où Verlaine et Rimbaud expérimentent, durant les dernières semaines de 1871, leur nouvelle voie/voix poétique. A bien des égards, ce « foutoir zutique » n’est-il pas aussi un laboratoire de recherche ? »
Juste un petit mot en passant pour alerter les intervenautes du blogapassou d’un scandale politico-culturel.
Sinon, trop pris par la vraie vie pour intervenir dans ce forum, qui continue à exister & c’est tant mieux.
BàV
—
Écoutez l’excellente chronique politico-culturelle diffusée par France Musique ce matin au sujet de la visite de Rima Abdul Malak, Ministre de la Culture de la République française, en Arabie Saoudite pour renflouer le budget de son ministère et payer la rénovation à venir de son Centre Pompidou.
En tant que simple citoyen et ancien du réseau culturel français à l’étranger, je n’accepte pas d’être complice d’une telle compromission de la part de notre pays.
Pour mémoire:
L’Arabie Saoudite finance le terrorisme wahhabite international (voir la fiche Wikipedia, non traduite en français (!) sur State-sponsored terrorism); 15 des 19 terroristes du 11 septembre étaient saoudiens (voir la fiche Wiki sur leurs liens avec leur gouvernement, non traduite en français : Alleged Saudi government role in the September 11 attacks); l’Arabie Saoudite bombarde des populations civiles au Yémen (comme le font les Russes en Ukraine); elle bafoue les droits humains (exécutions de mineurs(1), négation des droits des femmes, criminalisation de l’homosexualité, assassinat de Jamal Khashoggi. (2)..)…
Dans ce contexte, le soi-disant « pays des Droits de l’Homme », qui se targue de posséder un « Ambassadeur » « dédié », est dans les faits la Patrie du Grand Mensonge. Une nation qui, bien que n’ayant plus les moyens de ses ambitions, ni de maintenir son standing moral passé, n’en continue pas moins à faire la leçon au monde, utilisant le vernis de la culture pour dissimuler ses carences…
Que la Ministre de la Culture ait été dans une autre vie (c’était avant le trépas moral) responsable de l’ONG « Clowns sans frontières » pourrait faire rire. Hélas, c’est d’un clown triste qu’il s’agit, membre stipendié d’un cirque de bateleurs de peu de vertu.
(1) La Place des exécutions à Riyad a été construite par Bouygues, dans la plus pure tradition humaniste & hygiéniste française
(2) Il n’y a pas si longtemps, la Chambre de commerce franco-saoudienne occupait les locaux de l’ancienne « Carlingue » de sinistre mémoire, un des repaires de la Gestapo française, au 93 de la rue Lauriston, où furent torturés et exécutés de nombreux résistants. Étonnant, non?
« Un vieux con ».
François Coppée avait à peu près le même âge que Verlaine.
Coppée/Verlaine et Rimbaud
Peut-on tenter une analyse bourdieusienne. Deux pôles du champ littéraire ?
Ce midi j’ai mangé des endives au jambon sauce béchamel.
Pradié député du LIOT! 🙂
Ce soir je me ferai un soufflé aux merguez pour célébrer le vote de la mution ce censore. Je ne sais pas si merguez prend une esse au pluriel. Patrice Charoulet doit savoir ?
Vive la grève des poubelles !!!
Vive Aurelien Pradié !
Vive Charles de Courson !
Pradié député du LIOT!
Ce député chocolatine n’en fait jamais assez pour se distinguer!
Ce député chocolatine
Grand pote à la trois gijeasse du blog!
Ce n’est pas une question d’âge, FL.
Mais j’ai confondu Coppée et Banville
Un autre extrait de mon manuscrit « Les Amants terribles » :
« Un jour, Paul exhibe son jeune prodige devant Théodore de Banville, un des chefs de file des Parnassiens avec François Coppée. A son domicile, Rimbaud lui récite Le Bateau ivre : « Comme je descendais des Fleuves impassibles… » A la fin de la lecture, après les éloges d’usage, Banville lui suggère poliment de remplacer le mot « bateau » par « vaisseau », plus suggestif selon lui. Et il lui conseille de commencer directement, pour la bonne compréhension du lecteur, par : « Je suis un bateau qui descend… » Rimbaud marmonne entre les dents à l’adresse de Verlaine : « Le vieux con !».
et je passe pour un ballot, moij, Jean L., ce qui m’est d’autant plus inadmissib’ que j’avais lu les pantalonades zutiques des 2 compères, l’an passé…
Merci les kultivars, MC, jzmn et autres horions… Pas merci al Jean qui n’avait pas cité ses sources et bien abusé ! Bon, j’ai été abusé, mais je vais pas lui faire un procès, hein !…
Jean-François Coppée, donc ? l’aiglon de Meaux ?… un vieux garçon qui ressemblait étrangement à un oncle paysan « resté avec sa mère ». Il était célibataire mais n’eut jamais besoin d’un pléonasme pour se br… comme il put au ulc des washes ou des torows… Fermons la parabole ! ça pourrait sombrer dans le zutique, @ FLoFLop… 🙂
Rimbaud tours aussi doué pour les mondanités.
« Remembrances.
Lorsque j’étais petit enfant, j’avais coutume,
Pour évoquer la femme et bercer l’amertume
De n’avoir qu’une queue imperceptible, bout
Dérisoire, prépuce immense sous quoi bout
Tout le sperme à venir — ô terreur sébacée ! —
De me branler avec cette
bonne pensée
D’une bonne d’enfants à motte de velours.
Depuis je décalotte, et me branle toujours.
Fs Coppée P. V. »
@ Merci quand même, Jean Langoncet. Z’êtes un sacré lascar, itou !
@ AN ? Aimez-vous les « remembrances » de FL ? Elles ont l’air pas mal gaulées, elles toutes…
Bàv
À Monsieur JJJ
Après avoir plusieurs jours de suite poussé contre moi des cris d’improbation et acclamé plusieurs
jours de suite mon insulteur ordurier, vous tentez un réquisitoire contre moi.
Je le commenterai en deux parties.
A) ORTHOGRAPHE
ligne 1 : découvertes (et n.p. déouvertes)
ligne 2 : Israël ( et n.p. Israel)
ligne 2 : coûte que coûte ( et n.p. coute que coute)
ligne 4 : Elle-même haine : Ce n’est pas français.
Ligne 4 : lepénistes ( et n.p. « lepénistes » . Pourquoi ? « Les guillemets constituent un moyen
d’indiquer qu’on refuse d’assumer le mot. »( Dic. de linguistique, Larousse, 1973, p. 384)
Ligne 6 : défendre ( et n.p. « défendre ». cf. supra.
Ligne 6 : son ex-épouse ( et n.p. son ex épouse)
Ligne 7 : sauf-conduit ( et n.p. sauf conduit)
Ligne 11 : enchaînant ( et n.p. enchainant)
Ligne 12 : partir ( et n.p. partit)
Ligne 13 : spécimen ( et n.p. specimen)
Note 0 / 20
Appréciation : Le français ne paraît pas avoir été à l’école la discipline où vous excelliez.
B) COMMENTAIRE DU FOND
Ligne 2-3 : Je suis un ami et un admirateur d’Israël et n’admets pas l’antisémitismùe depuis un demi-siècle. Je n’ai rien à vous faire accroire.
Vous osez parler de la femme de ma vie, décédée hélas depuis deux ans. Je ne vous permets pas de parler d’elle. Est-ce que je vous parle de la vôtre (si vous en avez ) ? »
« les têtes nègres » : Informez-vous , cet adjectif est à éviter en cette occurrence.
« ma suffisance bilgérienne » : L’expression n,’est pas d’une limpidité de cristal . Précisez votre pensée.
« Toute cette mélasse » : C’est ainsi que vous qualifiez votre premier alinéa ? Je n’en disconviens pas.
A vous en croire , je serais « un homme dénué d’humour » : Vous avez le monopole de l’humour sur ce blog littéraire ? C’est à vos consoeurs et à vos confrère de le dire.
Mon prétendu « racisme de classe » : Surveillant de lycée cinq ans pour payer mes études, puis professeur jusqu’à 65 ans, suis-je le représentant de la haute bourgeoisie et /ou du capitalisme financier apatride ?Et êtes-vous ici le porte-parole du prolétariat ?
Je ne connais ni Ginette ni Aldi.
Commentaire : Pesez chacun des mots que vous employez et réfléchissez avant d’écrire.
Note réservée.
> FL
« Rimbaud et Verlaine avaient la manie de composer des dizains qu’ils appelaient des Vieux Coppées. » »
Baudelaire admirait Théophile Gautier qualifié de pré-parnassien
Tant de temps pour corriger ma copie… C’est plus qu’un apostolat, Patrice Charoulet, une croyance en la valeur évanescente mais apparemment performative de la parole erdélienne ?… J’en suis très touché. Mais je ne vais pas la refaire pour décrocher une meilleure note…
J’aimais beaucoup maître Capello’vici, jadis. Et vous-même ? Je ne me relisais jamais avant d’écrire sauf quand je m’adressais à une revue avec comité de lecture ou à un éditeur pour la publication d’un livre et dieu sait qu’il y en eut… Je ne vais pas commencer à mon âge (qui n’atteindra jamais le vôtre)… Pardon pour la mémoire de feue votre épouse, mais vous en avez suffisamment entretenu la RDL. Voyez le résultat : ceux qui l’ont connue en ont une autre image. Quant à ma femme bien vivante, je peux vous livrer ses mensurations si elles vous intéressent. Vous pourrez en déduire qu’elle pette le feu… Merci de me dire, lcé. Bàv,
Parnassien ou Parisien, Pierre Perret ?
https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/pierre-perret-paris-saccagé/vi-AA18OU4c
[pré-parnassien]
Le mot « parnassien » ne veut pas dire grand chose. Il faudrait peut-être arrêter de l’utiliser. Le « Parnasse contemporain » c’est une revue publiée à partir de 1866 accueillant des poètes dont l’unique point commun est de ne plus pouvoir supporter Lamartine. En quoi Verlaine et Heredia auraient quoi que ce soit en commun ?
Aujourd’hui Parnassien veut dire « qui ressemble à la poésie de Heredia ». C’est pas du tout le sens historique.
Soyon clair je ne dis pas qu’on n’a pas dit que Gautier a été qualifié de « pré-parnassien », c’est juste l’expression « parnassien » comme si c’était une école qui me laisse sceptique.
Le cimetière des poètes : les neuf dixièmes ne sont plus lus.
Ceux qui sont encore lus :
Baudelaire
Cros
Heredia
Leconte de lisle
Mallarmé
Verlaine
Pourquoi ceux-là d’ailleurs ?
Janssen J-J dit: à
@ AN ? Aimez-vous les « remembrances » de FL ? Elles ont l’air pas mal gaulées, elles toutes…
Quién es ?
Ce connard de Bloom qui réapparait dans la Rdl comme un sinistre spectre pour se plaindre de Rima Abdul-je-ne-sais-qui et des séoudiens !
Ferme ta gueule pauvre crétin et retourne vite te branler chez les putes qataries de sexodoha !
vous préféreriez être traité de béotien ou de philistin ?
Oui, malgré quelques. Velléités de Parnasse façon la Mort de Philippe II, Verlaine est déjà lui-même dans les Saturniens, FL. Depuis le temps qu’on nous la sert, il faudrait peut-être voir d’où vient cette anecdote Banvilienne! Évidemment, Banville avait une autre conception delà poésie que Rimbaud…
Autre extrait de mon manuscrit « Les Amants terribles » :
« Mais à quelle tribu néo barbare, ces Parnassiens-là appartiennent-ils ? Qui sont ces poètes, confédérés depuis 1866 autour de la revue du Parnasse contemporain d’Alphonse Lemerre, et qui avaient fait dire à Rimbaud qu’il serait Parnassien sinon rien ? Outre Charles Cros et ses deux frères, Antoine, le médecin, et Henri, le sculpteur (« l’un ausculte et l’autre sculpte »), Rimbaud rencontre, par l’entremise de Verlaine, d’autres connaissances de ce dernier, ceux notamment qui, après avoir lu ses poèmes, s’étaient cotisés pour le faire venir à Paris. Tels Léon Valade, du même âge qu’Arthur, mais qui écrit des poèmes plutôt mièvres ou parfois des portraits satiriques, ou Charles Mérat, trentenaire flamboyant, arborant une superbe canne et surnommé le « Cigare dédaigneux ». Ainsi que le musicien Ernest Cabaner, le doyen et le plus décavé de la bande, qui joue du piano pour gagner sa pitance dans un bar à soldats de l’avenue de la Motte-Piquet, du côte de l’Ecole militaire, ou au Café de Bade, dans le Quartier latin, et auquel Léon Valade avait consacré un sonnet s’achevant sur ces vers : « Il se nourrit de lait, de miel, de harengs-saurs/Pâle quand on le voit s’acheminer vers l’orgue/On lui dit : Où tes pas s’en vont-ils ? A la morgue ?/Ruisselant, il répond : « Je n’y vais pas, j’en sors ». Ou encore, le caricaturiste Louis Forain, de deux ans plus vieux que Rimbaud, et qui, comme lui, a connu l’errance et vit d’expédients. Ces esprits rebelles entretiennent leur amitié à grands coups de verres d’absinthe bien tassés, jusqu’à tard dans la nuit. »
_____________________
Mes sources, MC :
BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE :
Jean-Baptiste BARONIAN, Verlaine, folio biographie 40, Gallimard, 2008.
Jean-Baptiste BARONIAN, Rimbaud, folio biographie 58, Gallimard, 2009.
Dictionnaire Rimbaud, sous la direction de Jean-Baptiste Baronian, Bouquins, Robert Laffont, 2014.
Ernest DELAHAYE, Souvenirs familiers à propos de Rimbaud, Verlaine et Germain Nouveau, Messein, 1925.
Claude JEANCOLAS, Rimbaud, Flammarion 1999.
Henri MATARASSO et Pierre PETITFILS, Album Rimbaud, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, 1967.
Pierre MICHON, Rimbaud le fils, Gallimard, 1991.
Pierre PETITFILS, Album Verlaine, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, 1981.
Arthur RIMBAUD, Œuvres complètes, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, 1972.
Henri TROYAT, Verlaine, Flammarion, 1993.
Paul VERLAINE, Œuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, 1962.
Paul VERLAINE, Œuvres en prose complètes, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, 1972.
Ex-Madame Paul VERLAINE, Mémoires de ma vie, Champ Vallon, 1992.
Edmund WHITE, Rimbaud, la double vie d’un rebelle, Payot & Rivages, 2011.
LE MAGAZINE LITTERAIRE, dossier Verlaine Rimbaud, le couple scandaleux, n° 573, novembre 2016.
World Happiness Report, rapport de l’ONU sur le bonheur.
Le rapport, classant les pays en fonction de l’espérance de vie en bonne santé, le PIB par habitant, le soutien social, la faiblesse de la corruption, la générosité au sein d’une communauté où les gens s’occupent les uns des autres, la liberté de prendre les décisions-clés de la vie, a identifié “les nations les plus heureuses, celles qui se situent tout en bas de l’échelle du bonheur et toutes celles qui se situent entre les deux, et les facteurs qui tendent à conduire à un plus grand bonheur”.
Le top 20 des pays les plus heureux au monde
1. Finlande
2. Danemark
3. Islande
4. Israël
5. Pays-Bas
6. Suède
7. Norvège
8. Suisse
9. Luxembourg
10. Nouvelle-Zélande
11. Autriche
12. Australie
13. Canada
14. Irlande
15. États-Unis
16. Allemagne
17. Belgique
18. République tchèque
19. Royaume-Uni
20. Lituanie
La France, arrivant après l’Australie, le Canada, l’Irlande, les États-Unis et le Royaume-Uni, occupe la 21e place.
« World Happiness Report, rapport de l’ONU sur le bonheur »
Ne sachant faire rien de mieux l’ONU fait des statistiques, et les crétins croient dur comme fer qu’il s’agit d’un machin d’un quelque valeur.
Renato, si la Pythie mâchait du laurier, c’est que la Pythie vient en mangeant…
Bon d’accord, je sors, non sans avoir remercié JJJ et Rose.
Dans un quart d’heure, la motion de censure du gouvernement sera rejetée, à cause des républicains. Le gouvernement fera semblant de croire que ce rejet est un « vote » « favorable » à la réforme de la retraite… Et Macron continuera à jeter du pétrole sur le barbecue.
Clopine JJJ
Nous avons nos chances.
Trente voix c’est peu.
Clopine, au Yémen ils machent le Qat (o Khat, Catha Edulis).
Bien vu renato. L’ONU, ce grand absent de la guerre russo-ukrainienne, entre autres. Et ce classement débile : les pays en tête sont ceux qui ont le plus fort taux de suicides !
Patrice Charoulet pourquoi lisez vous les idiots de la statistique? Dans la « chasse au bonheur » ,spécialité stendhalienne, relisez et méditez une petite note laissée par Henry Beyle : »Sur toutes choses, même sur l’heure qu’il est, je pense le contraire des habitants de ce pays ». Et voilà Charoulet! vous vous sentez déjà mieux après avoir lu ça,non?
Ruer dans les brancards. Félicitations à Borne pour avoir tenu tête à Mélenchon, Le Pen et Macron (eh oui) et pour avoir porté une réforme indispensable (il va falloir mieux l’expliquer), de manière conforme à nos institutions et, surtout, avec un souci de l’intérêt général qui fait défaut aux démagogues qui prétendent gouverner le pays
@ JL, je n’arrive pas à vous situer politiquement… – A moinss que vous ne soyez juste un défenseur de la 5e république gaulliste, j’ai rencontré bien des juristes constitutionnalistes qui crurent dur comme faire (sic) qu’il ne fallait point en changer. De là à accepter tout et n’importe quoi.
Les rockers sympathiques en Hardley Davidson, pacifistes on the road, et costumes 3 pièces dans leurs amphis ont parfois des idées bizarres sur le monde comme il va aujourd’hui.
Bàv, … ne changez surtout rien de vos convictions !
À neuf vois près, nous n’avons pas eu nos chances !
Voix
@ la Pythie vient en mangeant…
Moij je vous adore pour vos saillies… mais rentrez, je vous en prie, ne sortez pas !…
Voilà le genre d’humour qu’une charrue ne comprendra jamais avant d’avoir mis ses boeufs en roue libre ! ouarfl… Bàv,
@A moinss que vous ne soyez juste un défenseur de la 5e république gaulliste
A cet égard, si cela peut aider votre enquête, je vous renvoie aux motifs de la seule motion de censure qui fut adoptée sous la cinquième République ; et au soi-disant « appel au peuple », constant chez les démagogues
Intéressant cher Jazzi. L’épigramme de Léon Valade est remarquable. Merci de l’avoir exhumé.
Et quelle est la source première de l’anecdote sur Banville et Rimbaud, Jazzi ?
Léon Valade c’est le 3e en bas en partant de la gauche dans le tableau « Un coin de table » (1872) de Fantin-Latour. C’est donc l’homme assis juste à côté de Rimbaud.
Albert ou Charles Mérat ?
Ça semble être celui qui aurait dû être à la place du pot de fleur.
Fantin-Latour pas du mais pas du tout impressionniste.
Ces messieurs ont quand-même un aspect très bourgeois.
Et donc le mort-vivant qui « sort de la morgue ».
« Jésus-Christ après trois ans d’absinthe » Paul Verlaine
Celui qui faisait cette vanne, deux ans plus tard avait le nez dans le missel.
« Le Loyola » comme l’appelait Rimbaud en 1875.
Verlaine, Rimbaud, la Commune de Paris donc. Je crois qu’on est dans l’atmosphère.
La CPI (Cour des Pitres Internationaux) lance un mandat d’arrêt international contre le président russe Vladimir Poutin !!!
De quoi se marrer et chialer à la fois.
Jacques, Poutine n’est pas une mauvaise personne, quand on s’efforce de le comprendre un tant soit peu.
Parce que c’est un peu facile de toujours taper sur les mêmes sans jama7s essayer d’aller vers eux.
J’ai un immense respect et une profonde estime pour Monsieur Poutin.
C’est les pantins de la CPI qui me font marrer jusqu’aux larmes avec leur mandat d’arrêt de mes couilles.
Poutine fait ce qu’il dit, lui.
Il ne se contente pas de promesses.
Bon je vais me coucher.
Bonne nuit, renato.
Du temps de Victor Hugo (1851) ou de Verlaine (1871) c’était la déportation : Cayenne, l’Algérie, la Nouvelle-Caledonie. Les pontons.
« Les Châtiments » sont de circonstance.
https://twitter.com/r_macherel/status/1637753321980084225?cxt=HHwWgoC2pYP-u7otAAAA
Voici la liste des 19 députés LR qui ont voté pour la motion de censure. Ces gens-là sont des héros.
Jean-Yves Bony
Cantal
Dino Cinieri
Loire
Vincent Descoeur
Cantal
Jean-Pierre Vigier
Haute-Loire
Isabelle Valentin
Haute-Loire
Julien Dive
Aisne
Fabrice Brun
Ardèche
Pierre Cordier
Ardennes
Emmanuelle Anthoine
Drôme
Aurélien Pradié
Lot
Fabien Di Filippo
Moselle
Pierre Vatin
Oise
Maxime Minot
Oise
Pierre-Henri Dumont
Pas-de-Calais
Raphaël Schellenberger
Haut-Rhin
Ian Boucard
Territoire de Belfort
Josiane Corneloup
Saône-et-Loire
Francis Dubois
Corrèze
Nicolas Forissier
Indre
= Le Sacre (Victor Hugo) =
Sur l’air de Malbrouck
Dans l’affreux cimetière,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Dans l’affreux cimetière
Frémit le nénuphar.
Castaing lève sa pierre,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Castaing lève sa pierre
Dans l’herbe de Clamar,
Et crie et vocifère,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Et crie et vocifère :
Je veux être césar !
Cartouche en son suaire,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Cartouche en son suaire
S’écrie ensanglanté
– Je veux aller sur terre,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Je veux aller sur terre
Pour être majesté !
Mingrat monte à sa chaire,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Mingrat monte à sa chaire,
Et dit, sonnant le glas :
– Je veux, dans l’ombre où j’erre,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Je veux, dans l’ombre où j’erre
Avec mon coutelas,
Etre appelé : mon frère,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Etre appelé : mon frère,
Par le czar Nicolas !
Poulmann, dans l’ossuaire,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Poulmann dans l’ossuaire
S’éveillant en fureur,
Dit à Mandrin : – Compère,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Dit à Mandrin : – Compère,
Je veux être empereur !
– Je veux, dit Lacenaire,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Je veux, dit Lacenaire,
Etre empereur et roi !
Et Soufflard déblatère,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Et Soufflard déblatère,
Hurlant comme un beffroi :
– Au lieu de cette bière,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Au lieu de cette bière,
Je veux le Louvre, moi
Ainsi, dans leur poussière,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Ainsi, dans leur poussière,
Parlent les chenapans.
– Çà, dit Robert Macaire,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
– çà, dit Robert Macaire,
Pourquoi ces cris de paons ?
Pourquoi cette colère ?
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Pourquoi cette colère ?
Ne sommes-nous pas rois ?
Regardez, le saint-père,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Regardez, le saint-père,
Portant sa grande croix,
Nous sacre tous ensemble,
Ô misère, ô douleur, Paris tremble !
Nous sacre tous ensemble
Dans Napoléon trois !
Que c’est beau.
A noter , disait Peguy, l’inversion de la dernière strophe qui amène la rime tremble / ensemble, totalement inattendue. A noter aussi que c’est un rare exemple chez Hugo de chanson politique réussie. On ne peut pas être Béranger et Hugo, il faut choisir. Des exemples dans Châtiments.
Ce monde meurt de trop peu de poésie.
Je vais me coucher.
Merci Jazzi, j’irai voir dans Delahaye, personnage à double vie, si je me rappelle bien . FL n’accablons point trop le Verlaine de Sagesse, et vous savez que cette conversion ne fut pas durable. Oui, il s’agit d’ Albert Merat, Poete dont on ne peut rien sauver, au rebours du Bznville des Funambulesques et des Exilés. Bien à vous. MC
Voilà le résultat
« Après le nord, le sud de la ville. Moins de 24 heures après la mobilisation des agents de la collecte des ordures ménagères et des chauffeurs du garage de la Cabucelle (15e) pour protester contre la réforme des retraites, les salariés métropolitains du garage de Rabatau (10e) depuis lequel partent les camions-bennes vers le centre et le sud de Marseille ont voté ce soir, à leur tour, la grève en assemblée générale.
Conséquence directe de cette mobilisation : la majorité des camions au garage de la Cabucelle et de Rabatau n’ont pas ou ne vont pas effectuer de tournées de collecte des ordures ménagères dans la soirée. A noter également, la mise en place de piquets de grève devant les deux centres de transfert – nord et sud – dans lesquels près de 900 tonnes d’ordures ménagères sont acheminées chaque jour. »
In La Provence
Ma mer Méditerranée va encore pleurer.
Merci D.
D. dit: à
Voici la liste des 19 députés LR qui ont voté pour la motion de censure. Ces gens-là sont des héros.
Jean-Yves Bony
Cantal
Dino Cinieri
Loire
Vincent Descoeur
Cantal
Jean-Pierre Vigier
Haute-Loire
Isabelle Valentin
Haute-Loire
Julien Dive
Aisne
Fabrice Brun
Ardèche
Pierre Cordier
Ardennes
Emmanuelle Anthoine
Drôme
Aurélien Pradié
Lot
Fabien Di Filippo
Moselle
Pierre Vatin
Oise
Maxime Minot
Oise
Pierre-Henri Dumont
Pas-de-Calais
Raphaël Schellenberger
Haut-Rhin
Ian Boucard
Territoire de Belfort
Josiane Corneloup
Saône-et-Loire
Francis Dubois
Corrèze
Nicolas Forissier
Indre
Congratulations, nobles gens !
D.♥️
Parlent les chenapans
Des malandrins.
Des voyous.
@trop pris par la vraie vie
Me too
« Le roi Salmane d’Arabie Saoudite est attendu ce week-end pour ses vacances à Vallauris dans les Alpes-Maritimes, avec pas moins d’un millier de personnes dans son sillage, une aubaine pour le commerce local mais un sérieux désagrément pour les riverains bientôt privés de la plage près de la propriété royale. »
En qualité de féministe, je me réjouis que Babeth ait sauvé son job de l’immonde attaque de la populace pourrie qui tente de nous faire croire qu’elle trimait en France jusqu’à 62 ans.
Il est grand temps pour le gouvernement Borne de réutiliser l’AK49.3 pour passer de 64ans projeté, à 67ans comme partout ailleurs chez les peuples intelligents, adeptes du capitalisme rayonnant !
Vive la retraite à 67 ans !
(…et plus ! pour le plaisir de jouir de la vie active…)
Les politiques et les journalistes n’osent le dire, mais le service de la Propreté de Paris, qu’on devrait rebaptiser le service de la Saleté, est gangréné par une mafia cégétiste, qui agit pour ses propres intérêts, mais en aucun cas pour celui des Parisiens.
Idem à Marseille, mais ce n’est pas le même syndicat…
Xi a loupé la coche : pas étonnant, il veut protéger son vassal.
Xi a loupé la coche
figure de style
la > LE
Retraites : ce que contient la réforme définitivement adoptée
Report de l’âge légal, durée de cotisation, mères de famille, emploi des seniors, carrières longues, pénibilité… Voici les principaux points de la réforme des retraites.
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/retraites-ce-que-contient-la-reforme-definitivement-adoptee_215508.html
Les politiques et les journalistes n’osent le dire
et le syndicat du livre, dear baroz, pire que ceux des poubelles; penibeule wo(r)k. une idée de nouvel opuscule, dear baroz, le goût des rats
Jean Langoncet dit: à
« Retraites : ce que contient la réforme définitivement adoptée »
« adoptée » à la manière dont des Russes adoptent des enfants ukrainiens ?
Cette comparaison ne vous honore pas. Adoptée par le Parlement, conformément à la constitution de la cinquième République. Avez-vous quelque chose à dire sur la teneur de la réforme ?
(JE 21.3.23_9.49) @ RPTV,v — TROUBLES DANS LES ANDINS
I – FACT
L’autre jour, à ma séance de dessin du lundi avec S. de LPL, j’avais OUBLIE d’apporter ma palette de peintures pour continuer chez elle mon huile sur toile représentant une cabane islandaise, de l’été 2015. ELLE me dit en riant : « ô ! ça c’est un acte manqué, JJ ! : tu n’avais peut-être pas vraiment envie de peindre aujourd’hui !? »
MOiJ : « Mais non, pas du tout, je l’avais préparée avant de partir avec les cahiers à dessins… » (et en moi-même : elle ne se rend pas compte que c’est encore une manifestation d’un trouble mnésique devenu habituel, ce genre de perte de mémoire immédiate, comme il s’en produit de plus en plus chaque jour… J’avais en effet préparé ma palette sur la table, mais au dernier moment, je ne l’ai plus vue, les albums étaient pourtant posés un peu plus loin à 50 cm, elle y est restée, cette palette, et l’ai retrouvée en revenant au bercail).
I – DISCUSSION sur les malentendus de la communication verbale primaire dans la vie réelle, comme à la RDL…
-> Pour dédramatiser ma panique, ELLE en fit sur le champ une banale affaire de freudisme de sens commun, sans grande conséquence pour moi, genre : « mais c’est pas grave : ça arrive à tout le monde hein ! » (***brefl, une estimable tactique de réassurance empathique par minimisation de l’angoisse perçue chez l’autre).
-> Et MOIJ, persistant dans mon angoisse de l’inéluctabe avancée d’Alzha… légèrement parano, de me confirmer ce diagnostic, comme une manifestation tangible de ma vérité mentale….(brefl, le même délire auto-interprétatif qu’à l’habitude).
-> Essai d’interprétation de la divergence initiale à l’aide d’un TIERS conciliant :
Peut-être as tu raison pour le début d’Alza, mais bon, tant que tu te SOUVIENS des circonstances de ton oubli, et que tu as toujours ta capacité à l’interpréter à ta façon, cela veut dire que ton cerveau continue à bien travailler ET à s’adapter comme il le peut aux épreuves de tes angoisses. Il sait puiser dans le réservoir de ses ressources additionnelles propres, dès lors qu’il rencontre une faiblesse liée au manque d’huile dans les rouages de tes connexions neuronales*… Ne t’en fais pas trop ! Ce que tu crains en réalité, c’est la perspective qu’un jour, peut-être, tu ne pourras même plus t’expliquer ce que tu auras oublié par effacement de la mécanique travaillant à ton insu. Mais tu n’en es pas encore là… Loin de là, hein, crois-moi !
CONCLUSION PHILOMAG,
Mais bordel, arrêtez de me dire qu’à ce moment-là, nous tous qui pourrons y être confrontés, nous serons peut-être plus heureux, sans plus aucune explication freudienne d’une « retour du refoulé », ni surtout enavahis par la toxine empoisonnée de la pensée autoréflexive à perpétuité, au profit de la béatitude du vivant réduit à l’état de ses actes instinctifs de survie, et sans pensée articulée…
Cessez de m’évoquer le bonheur tao d’être au monde vivant du vide parfait… Car pour moij indécrottable rationaliste occidentalocentré,
il n’y a qu’un « état de grâce » possiblement désirable : la mort du corps et de la conscience cérébrale, le sommeil perpétuel dans le néant, qu’il nous faut juste mieux pressentir ici et maintenant, avant que tout cela n’ai plus aucun sens pour personne.
Bien à moij et Bàv.
———
*Ouij, tu resteras toujours un brin littéraire et primesautier avec tes [mais t’as fort à la con]. Ce pathétisme de la déconnade permanente, voilà…
@soi-disant « appel au peuple », constant chez les démagogues
Illustration
https://twitter.com/f_philippot
@ gangréné par une mafia cégétiste, qui agit pour ses propres intérêts,
ou… les ravages du complotisme chez les esprits prétendument les plus éclairé s par leur sexualité alternative. A qui on se doit d’inlassablement demander : quels sont les intérêts exacts desdits « cégétistes » ? Comment prouve-t-on l’existence d’une « mafia gangrenée » et surtout la définit-on sociologiquement ? Qu’est-ce qu’une conscience ratière ? Peut-on l’objectiver au-delà de la fable freudienne (l’homme au rat) ou de la légende de Hamelin ?
D’une manière générale, peut-on essayer de dire autre chose de plus original que de seulement commenter l’actualité politique et sociale immédiate des parisiens ?
Merci pour la prise de distance d’avec la pénibilité de lecture des erdéliens confrontés au go-billet de la RDL du jour. Bàv, couic.
Au lieu de saluer le courage et la détermination d’Elisabeth Borne, première femme Premier Ministre, sans passer par la case promotion canapé, les femmes de ce blog lui font un mauvais procès.
C’est bien triste !
Il y aurait donc plus de traîtres en nos assemblées que de moutons résignés à honorer la légalité républicaine marchant sur ses brisées…
Une fois de plus, on a mal à la France littérairement convulsionnaire. Le peuple pense, le peuple lit, le peuple lie. Le peuple plie. Le peu plié… italien ?
Marine Le Pen demande la démission d’Elisabeth Borne.
Normal, elle, qui en se rasant chaque matin devant sa glace, s’imagine en première femme présidente de la République française, voit en elle une rivale sérieuse et responsable, capable de lui ravir la place !
Jean Langoncet dit: à
« Adoptée par le Parlement »
Précisément pas par l’assemblée nationale. D’où le recours au 49.3 afin d’éviter le rejet prévisible. Un passage en force, tout constitutionnel qu’il soit, n’équivaut pas à une adoption qui, elle, se mesure à un vote (favorable).
JL a raison, Alexia.
Vous devriez avoir honte de faire l’amalgame entre l’usage démocratique du 49.3 et le rapt d’enfants ukrainiens.
Demain, le chef charismatique Manu va parler au peuple et rendre l’hommage mérité à sa première ministre. Les braves gens, les femmes notamment, pensent qu’il va bientôt se la remanier pour sauver son propre mandat.
Il n’y a aucun calcul de quiconque. Que la stricte application des règles de notre Constitution, et surtout des gouvernants courageux, droits dans leurs botte-ines, ne sombrant jamais dans les autres démagogies populisses.
Bravo, Jean & Jzmn. Vous resterez toujours nos meilleurs analystes littéraires du vécu de la retraite heureuse à la RDL. Il faudra vous inventer, le cas échéant. Bàv,
d’Elisabeth Borne, première femme Premier Ministre
–
Et Edith Cresson, tu en fais quoi, jazouille ?
Cette procédure a eu le mérite de clarifier les choses et les élus se sont déterminés sans faux-fuyants ; si une majorité de députés avait été contre cette réforme des retraites, elle ne serait pas adoptée
Je ne comprends pas que certaines personnes aient peur des rats ou des souris.
C’est risible.
Je suis écœuré par tant de stupiditées (sic), à force.
Vous devriez avoir honte de ce que vous dites à Alexia, jzmn. Parfois, vous me dégoûtez, quand vos attaques gratuites sont uniquement attribuables à votre phobie des rat.es.
Yellow Submarine :
et parfois, D. perçoit des choses justes, en dépit de son aveuglement à l’égard de la Blondasse et de son ami, le financier Vladimir Poupou.
Il voulait dire qu’Edith C. n’était pas une vraie 1st ministress, vu qu’elle était passée par la « promo-canopée »…, mais pas Mme Borne. Un scoop !
J’ai toujours dit que Jzmn ne pourrait jamais s’empêcher d’évacuer sa misogynie à son insu, dès qu’il se trouve objectivement confronté à des rats ou des souris qu’il voit se répandre dans son verdoyant Paris.
Mais il est souvent trop tard pour se mette à kon(in)sulter, hein !… Aucune chance de guérison possib’…
@ JJJ, Arrête de harceler jzmn, c’est pas le + pire de la bande son hein ?
Elle est passée où FL-Marie S. ?
Ok, je sors !… mais je reviendrai (à Kandara) !
« Vous devriez avoir honte de ce que vous dites à Alexia »
Demandez à Annelise Roux ce qu’elle pense de cette comparaison avec le rapt des enfants ukrainiens, JJJ ?
Je suis misogyne en défendant Elisabeth Borne ?
Vous voulez dire qu’elle est un homme !
La phobie des rats est irrationnelle, D.
Selon « L’Homme aux rats » de Freud, le rat symbolise le sexe du père : on est ici dans le domaine du tabou…
(Parlement > Sénat + AN ; hasta luego)
Le « déshonneur » [Lagoncet], la « honte » [Jazzi], oubliez : je n’ai pas ça en boutique. Le mot « adoption » a un sens, un sens précis. Naturellement, il peut à l’occasion être galvaudé…
« Parfois, vous me dégoûtez »
Respirez un bon coup, JJJ, et faites-nous plutôt un « je me souviens… » à partir de votre oncle célibataire, qui vivait seul avec maman !
Ce n’est pas le sens du mot adoption qui pose problème, Aexia, mais l’amalgame que vous en faites.
« je n’ai pas ça en boutique »
Seulement de la putasserie en stock ?
Bravo Jazzi!
Ce matin, seul le journal La Croix donnait la parole aux citoyens favorables à la réforme des retraites.
Dans ma ville, hier, 25 manifestants ( sur 22 000 habitants) encagoulés CGT et FO défilaient.
Et on ose vous dire que c’est ça le peuple!
Guignolade!
…pour ne pas perdre le contact,
Jazzi, vous dites «le service de la Propreté de Paris, […], est gangréné par une mafia cégétiste, qui agit pour ses propres intérêts, mais en aucun cas pour celui des Parisiens».
Si vous les qualifiez de cégétistes c’est que vous les reconnaissez bien comme un syndicat. Les syndicats ont pour seule fonction la défense des travailleurs qu’ils représentent. Les intérêts des parisiens sont défendus par les élus municipaux.
Le peuple a bon dos.
Et la Trois jigeasse monte sur ses grands chevaux.
« gangréné par une mafia cégétiste, qui agit pour ses propres intérêts »
L’expérience, l’observation et le fruit de la réflexion d’un Parisien d’un demi siècle, piéton de Paris, ancien employé de la Mairie de Paris, et éphémère journaliste syndiqué cégétiste, JJJ.
A Paris, au cul des camions poubelles vous ne voyez que des Noirs et des Arabes.
Jamais les cégétistes de souche…
Bravo jazzi!
Tout ce qui est de souche pourrit par la racine.
morales sed laisse, hier, à 20 heures je suis allé voir le films multi oscarisé, que j’avais raté à sa sortie.
Aux Halles, c’était complet, je me suis rabattu en hâte au MK2-Bibliothèque, où j’ai pu le voir dans la grande salle, pleine de jeunes, qui ont applaudi à la fin de la séance.
De retour chez moi, sur BFMTV je vois que 500 jeunes manifestants s’étaient réunis à la Bastille (où j’ai failli aller voir le film) : une modeste rave party plutôt ratée que l’on nous montrait comme une véritable révolution…
Les dockers en manif à L’hôtel du département. Journée port mort.
https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/retraites-les-dockers-manifestent-devant-le-conseil-departemental-a-marseille-nouvelle-journee-port-mort-2577863
Des dockers CGT. Bravo et respect.
Je suis misogyne en défendant Elisabeth Borne ?
Bien évidemment : moi, j’ai honte de Élisabeth Borne. Une grosse honte.
Aucune chance de guérison possib’…
Il y a toujours, jusqu’au dernier jour.
Pas contre il y a risque d’empirer et c effrayant. Hier, il m’a dit « vous ne me reconnaissez pas ? ».
Et bien non. J’ai attrapé peur.
séance de dessin du lundi avec S. de LPL, j’avais OUBLIE d’apporter ma palette de peintures
Cépamalin JJJ.
La RDL ou la métamorphose d’un BLOG littéraire…
Pour une séance de dessin un crayon est amplement suffisant.
C’est gentil et affectueux, les rats. Les mâles ont quand même des testicules un peu trop proéminents. Et il font des petites crottes et des petits pipus partout. Et leurs incisives jaunes ne sont pas très jolies et très coupantes. Et ils ont des sortes de petites mains roses d’aspect troublant. Ainsi qu’une odeur.
Sinon c’est mignon.
Politiquement, belle à croquer…Babeth Borne, la nouvelle B.B. !!!
Contrairement à rose, Elizabeth est une dame Borne, sans accent !
Jazzi dit: à
« je n’ai pas ça en boutique » [moi]
« Seulement de la putasserie en stock ? »
Un effet collatéral de l’amoncellement des ordures des rues ?
Le rat est un animal cæcotrophe, c’est-à-dire qu’il ingère une partie de ses excréments. Des excréments mous et verts, traversant une seconde fois le tube digestif et passant par le cæcum pour être rejetés sous forme de crottes dures et sèches. Cet ingestion leur permet de récupérer certains nutriments mais aussi d’absorber complètement la cellulose.
GP n° ? – zut j’ai encore oublié le numéro..
@ « je me souviens… » qu’à partir de mon oncle célibataire qui vivait seul avec sa môman !
m’être souvent demandé jadis si cet oncle avait été inverti-bré, tel un Rolon barthes de bas étage, à ceci près que paysan inculte ne fréquentant jamais les bals basques de Bourdieu, il n’avait pas eu l’excuse du collège de france, vu qu’il était en outre, anal-fabète. Il ignorait tout du « mal » dont il souffrait. On pu également noter, au sein de cette estimable famille provinciale rurale catholique, une évolution sociologiquement significative durant trois générations au sujet de leurs membres. Pour la 1ère géné dite de « l’oncle à sa maman », personne n’en dit jamais rien. Non, il n’a jamais voulu se marier », disait-on. C’était juste un « vieux garçon qui n’avait jamais trouvé à se marier », disait-on par commodité, comme il y en avait beaucoup dans les campagnes profondes, à l’époque… Pour la deuxième géné, il y eut un couple de jumeaux, l’un était pédé et l’autre bisexuel, lequel après moultes expériences adelphiques et malheureuses avec des garçons pas très clairs sur leur virilité, se mit avec des filles et y resta. Comme le tonton, ce jumeau ne trouva jamais d’amoureux éventuel, car il n’en chercha pas vraiment… Pour la troisième géné, survint un jeune neveu gay depuis toujours et toléré et aimé de ses parents un brin gênés, mais lui-même n’eut jamais trop de soucis… (sauf à noter une addiction patho à l’internet et sans doute une addiction à la pornographie dont personne n’alla jamais voir le contenu)… Ce jeune homme vit toujours comme un tanguy chez eux, quasi asexuellement, vu qu’il n’a pas encore trouvé d’amoureux à son pied pour vivre « maritalement » avec et surtout, débarrasser le plancher.
Brefl : y’a-t-il dans cette famille une gêne héréditaire d’une orientation sexuelle minoritaire comme dans la célèbre famille Mann ?
Cette question théorique et pratique reste controversée. Pour l’instant, je n’ai pas remarqué de lesbiennes assumées dans le premier cercle, mais il y a un un bon paxon pourtant, mais comme ça se voit moins, tout le monde s’en ouf…
Avez-vous besoin, jzmn, de souvenirs supplémentaires à ma liste pour votre éclairage perso ? Dites toujours… Je reste au service des GP (George Perec, du guépier de la grande époque), et il me reste encore pas mal de souvenirs à combler.
Bàv,
_________________
NB / Les liaisons intimes entretenues par les frères Goncourt ou genre Fromentin/Moreau passionneront toujours l’inépuisable curiosité de votre électorat de l’RDL. Ne venez pas vous plaindre après que tant d’erdéliens « s’intéressent » (?) à votre trou du cul de lézard (CDBF ?) ! Dites-leur plutôt de taper sur le portail multicolore ecrivains*LGBTQI+@free.fr avant toute nouvelle découverte littéraire, car on y trouve toujours de quoi se sustenter pour se faire passer pour un spécialiste !
@ Demandez à Annelise Roux
Qui est cette grande penseuse ? Votre maîtresse à panser, jzmn ?
@ animal cæcotrophe,
vous êtes sûr de vous, D… ? Si oui, pourriez vous nous le préciser par l’envoi d’un lien de confirmation des plus scientifiquement sûrs ?
Merci à vous, lcé, je suis bien troublé par cette pratique que je connaissais chez les humains avec leurs endives béchamelles, mais que j’ignorais chez les animaux.
Vous me traitez de caecotrophe, JJJ ? Autrement dit de mange-caca ?
C’est très très grave.
Je demande immédiatement votre suspension pour quelques mois.
Étaient-ce les rêves qui avaient amené la fièvre ou la fièvre les rêves, Walter Gilman n’en savait rien. Derrière tout cela était tapie l’horreur sourde, purulente, de la vieille ville, et de l’abominable mansarde moisie, à l’abri d’un pignon, où il étudiait, écrivait et se colletait avec les chiffres et les formules quand il ne se retournait pas dans son maigre lit de fer. Son oreille devenait d’une sensibilité surnaturelle, intolérable, aussi avait-il depuis longtemps arrêté sur la cheminée la pauvre pendule dont le tic-tac finissait par lui sembler un fracas d’artillerie. La nuit, les mouvements indistincts de la ville obscure au-dehors, les sinistres galopades de rats dans les cloisons vermoulues, et le craquement des poutres invisibles de la maison séculaire lui donnaient à eux seuls l’impression d’un pandémonium de stridences. Les ténèbres grouillaient toujours de sons inexplicables – et pourtant il tremblait parfois que ces bruits-là ne cessent pour faire place à certains autres, plus assourdis, qu’il soupçonnait de rôder derrière eux. Il vivait dans l’immuable cité d’Arkham, hantée de légendes, où les toits en croupe tanguent et ploient les uns contre les autres au-dessus des greniers où se cachaient les sorcières pour échapper aux soldats du roi, dans le sombre passé de la province. Aucun endroit de cette ville n’était plus imprégné de souvenirs macabres que la chambre au pignon où il logeait – car c’étaient cette maison, cette chambre qui avaient abrité aussi la vieille Keziah Mason, dont nul n’a jamais pu expliquer l’évasion in extremis de la prison de Salem. C’était en 1692 – le geôlier devenu fou bredouilla qu’un petit animal à fourrure, aux crocs blancs, s’était échappé de la cellule de Keziah, et Cotton Mather lui-même fut incapable d’interpréter les courbes et les angles barbouillés sur la pierre grise des murs avec un liquide rouge visqueux. Peut-être Gilman aurait-il dû moins s’acharner dans ses études. Le calcul non euclidien et la physique quantique suffisent à fatiguer n’importe quel cerveau ; et quand on y ajoute le folklore, en essayant de déceler un étrange arrière-plan de réalité à plusieurs dimensions sous les allusions morbides des légendes gothiques et les récits extravagants chuchotés au coin de la cheminée, peut-on s’attendre à éviter le surmenage intellectuel ? Gilman venait de Haverhill, mais ce fut seulement à Arkham, après son inscription à l’université, qu’il commença à associer ses mathématiques aux légendes fantastiques de la magie ancienne. Quelque chose dans l’air de la vénérable ville travailla obscurément son imagination. Les professeurs de Miskatonic lui avaient vivement conseillé de se détendre, allégeant à dessein son programme sur certains points. Par ailleurs, ils l’avaient empêché de consulter les vieux livres suspects traitant de secrets interdits qu’on gardait sous clé dans une cave à la bibliothèque de l’université. Autant de précautions qui vinrent trop tard, de sorte que Gilman eut de terribles aperçus du redoutable Necronomicon d’Abdul Alhazred, du fragmentaire Livre d’Eibon, et du livre interdit de von Juntz, Unaussprechlichen Kulten, à mettre en corrélation avec ses formules abstraites sur les propriétés de l’espace et les relations entre les dimensions connues et inconnues. Il savait que sa chambre se trouvait dans la vieille Maison de la Sorcière – en fait c’était pour cela qu’il l’avait prise. On trouvait dans les archives du comté d’Essex beaucoup de documents sur le procès de Keziah Mason, et ce qu’elle avait avoué sous la contrainte devant le tribunal d’Oyer et Terminer avait fasciné Gilman plus que de raison. Elle parlait au juge Hathorne de lignes et de courbes qu’on pouvait tracer pour indiquer les voies qui menaient à travers les murs à des espaces différents au-delà du nôtre, et elle laissait entendre qu’on utilisait fréquemment ces lignes et ces courbes lors de certaines assemblées nocturnes dans la sombre vallée de la Pierre Blanche de l’autre côté de Meadow Hill et sur l’île déserte de la rivière. Elle avait aussi parlé de l’Homme Noir, du serment qu’elle avait prêté et de son nouveau nom secret, Nahab. Puis, ayant tracé ces formules sur les murs de sa cellule, elle avait disparu. Gilman, qui croyait d’étranges choses au sujet de Keziah, avait éprouvé une émotion bizarre en apprenant que sa demeure était encore debout après plus de deux cent trente-cinq ans. Quand il sut quelles rumeurs couraient en secret à Arkham sur la présence persistante de Keziah dans la vieille maison et les rues étroites, les marques irrégulières de dents humaines laissées sur certains dormeurs dans telle ou telle maison, les cris d’enfants entendus vers la veille du Premier-Mai et de la Toussaint, la puanteur souvent observée dans le grenier de la vieille maison après ces périodes redoutables, enfin le petit animal velu aux dents aiguës qui hantait le bâtiment délabré et la ville, venant flairer curieusement les gens aux heures noires d’avant l’aube, alors il résolut de s’y installer à tout prix. Il fut aisé d’y obtenir une chambre ; car la maison, ayant mauvaise réputation, était difficile à louer, et vouée depuis longtemps aux petits loyers. Gilman n’aurait su dire ce qu’il espérait y trouver, il savait seulement qu’il voulait habiter la demeure où on ne sait quelle circonstance avait donné, plus ou moins soudainement, à une vieille femme quelconque du XVIIe siècle l’intuition de perspectives mathématiques qui dépassaient peutêtre les recherches modernes les plus poussées de Planck, de Heisenberg, d’Einstein et de Sitter.
Il examina la charpente et le plâtre des murs pour y chercher des traces de dessins secrets à tous les endroits accessibles où le papier s’était décollé, et en une semaine il parvint à se faire donner la mansarde est où l’on prétendait que Keziah préparait ses sortilèges. Elle était libre dès son arrivée – car personne ne tenait jamais à y rester longtemps – mais le propriétaire polonais avait renoncé à la louer. Pourtant il n’arriva rien de particulier à Gilman jusqu’à l’époque de la fièvre. Aucune ombre de Keziah ne traversa les mornes couloirs et les logements, aucun petit animal velu ne se glissa pour le flairer dans son aire lugubre, et pas le moindre signe des incantations de la sorcière ne vint récompenser sa recherche incessante. Il allait parfois se promener dans l’obscur labyrinthe des ruelles non pavées aux relents de moisissure où de mystérieuses maisons brunes, sans âge, penchées et chancelantes, le lorgnaient ironiquement à travers d’étroites fenêtres à petits carreaux. Il savait que d’étranges choses s’étaient produites là autrefois, et une vague impression, derrière les apparences, suggérait que tout, de ce monstrueux passé – au moins dans les venelles les plus étroites, les plus sombres et tortueuses –, n’était pas complètement mort. Il alla aussi une ou deux fois en barque jusqu’à l’île malfamée de la rivière, et fit un croquis des angles singuliers formés par les alignements moussus de pierres levées grises, dont l’origine était si mystérieuse et d’une si lointaine antiquité. La chambre de Gilman était de bonne taille mais d’une forme bizarrement irrégulière ; le mur nord s’inclinait sensiblement vers l’intérieur de la pièce, d’un bout à l’autre, tandis que le plafond bas descendait en pente douce dans la même direction. À part un trou de rat évident et les traces d’autres trous qu’on avait bouchés, il n’y avait pas d’accès – ni vestiges de quelque moyen de passage – menant à l’espace qui devait exister entre le mur oblique et la muraille extérieure verticale sur la face nord de la maison, bien que celle-ci vue du dehors révélât l’emplacement d’une fenêtre condamnée depuis très longtemps. La soupente au-dessus du plafond – qui devait avoir un plancher oblique – était également inaccessible. Lorsque Gilman grimpa sur une échelle jusqu’à la partie horizontale du grenier, couverte de toiles d’araignées, au-dessus du reste de la mansarde, il découvrit les marques d’une ancienne ouverture, hermétiquement close de lourdes planches fixées par les solides chevilles de bois familières aux charpentiers de l’époque coloniale. Mais aucun effort de persuasion ne put décider l’impassible propriétaire à le laisser explorer aucun de ces deux espaces clos.
Le rat n’est pas le seul animal caecotrophe. Une simple recherche en tapant le mot « caecotrophe » (Query de recherche) dans la barre de moteur de recherche et voilà dévoilé le mystère du mot et en accompagnement une petite liste des animaux interessé.
Incidemment, et caecotrophe bien à part, il y a aussi les anamaux coprophages. Par exemple en Corée du Sud, notamment à Jeju-do, les cochons noirs sont souvent nourris avec des excréments humains, et leur viande (servie dans des restaurants spécialisés) est très appréciée. En Asie du Sud (Inde) et du Sud-Est on trouvait des « toilettes à cochons ».
Les petit des éléphants, koalas, hippopotames mangent les excréments des adultes, car cette pratique produit des bactéries indispensables au bon fonctionnement de l’intestin, absentes à la naissance.
Le sens du Sacre de Victor Hugo : les voyous défaits reviennent au pouvoir et les riches et les puissants en sont bien contents.
En 1940 est-ce que ça ne ressemblait pas à ça ? Catastrophe politique et opportunisme.
Trouvé sur Twitter une personne qui disait : « Si les fascistes arrivent au pouvoir. Le jour d’après ressemblera à celui d’aujourd’hui. Il n’y aura aucune différence. »
Banalité du mal.
MC, j’ai l’idée d’un Verlaine qui est resté chrétien jusqu’au bout. Un christianisme très personnel, pas très convenable j’en conviens.
La fin de sa vie, c’est un chemin de croix.
Est-ce que « L’Étrange défaite » est un bon livre ? La vidéo où Boucheron sort son édition de poche quand Finkielkraut cite pour la n-ième fois Marc Bloch est un régal. Sauf qu’il est trop subtil. On a du mal à le suivre. Il lit une longue analyse. Alors que Finkielkraut se contente d’une courte citation bien timbrée. A l’oral c’est Finkielkraut qui l’emporte…
« A Paris, au cul des camions poubelles vous ne voyez que des Noirs et des Arabes. Jamais les cégétistes de souche… »
Le plafond de verre. D’ordinaire les gauchistes laissent passer un silence à ce moment-là.
La conversation a pris une tournure caecotrophique.
Manuel scolaire.
« Vous étudierez dans le Sacre comment Hugo a utilisé plusieurs types de variations pour rendre sa litanie moins monotone. »
Victor Hugo. Vertige de la liste.
Le Sacre. Le retour des morts-vivants.
Les « célébrités » citées : Castaing, Cartouche, Mingrat, Poulmann, Mandrin, Lacenaire, Soufflard, Macaire.
Et bien entendu Napoléon III.
Soit 9.
C’est du Hugo.
Il lisait trop de mauvais roman de Lovecraft, en mangeant ses endives à la croque au sel.
https://www.parislibrairies.fr/ebook/9782363814111-la-maison-de-la-sorciere-howard-phillips-lovecraft/
Résultat : ses CC n’étaient pas des plus réussis…
Tapez 36-15 Francine -> un bon choix de covert girls.
*Il confondait la demande de suspension à son besoin de suce tension.
**Le robot a encore fait sauter le passage de réplique sur les « cégé.tistes de souche » au cul des camions du préfect aux rats, Manu Poubelle. Ca devient zutique, à force !
Il ne faut pas faire les questions et les réponses, sinon les petits lagardémimiches n’y retrouveront plus leurs viktorzhugos.
Rappellons au bon souvenir des pure-souche : Rachel Keke et le combat des femmes de chambre ;elles ont gagné. (les photos permettent de dire ce qu’on ne sait pas comment dire) :
https://www.liberation.fr/economie/social/femmes-de-chambres-de-libis-batignolles-la-victoire-apres-vingt-deux-mois-de-combat-20210524_OXU7E4ERZRGD5LDXILGSMEBZJI/
Je connais un antidépresseur qui commence par FL, la Fluoxétine, j’en prends une gélule par jour, chaque matin. Est plus efficace que notre nouvelle ex internaute, la panthère des neiges boisées.
Évolution du sens des genres grammaticaux en français contemporain. S’ils étaient le seul média à faire ce genre de bassesse. Wokisme partout, vérité nulle part.
https://twitter.com/KendrickLacogne/status/1638199238961033217
Pas la première fois que Schneidermann est bas devant les wokes. Tout est bon. Pour un homme qui a analysé toute sa vie les manipulations du discours, c’est pas bien fort.
J’ai fort apprécié le rôle de la mère juive, artiste pianiste, une actrice splendide, dans le film autobiographique de Stephen Spielberg… Cette femme était amoureuse d’un autre, mais ne pouvait quitter son mari, en adoration aveugle à son égard et prêt à tout lui pardonner…
Rien à voir avec mes parents. Je ne me souviens pas de ce qu’on en avait pensé à la RDL.
Bàv,
Il avait pitoyablement échoué à vouloir durablement épingler Bourdieu (Sur la télévision) pour prendre sa place médiatique. Difficile pour un journaliste juif de bas étage de vouloir remplacer un sociologue de souche provincial ayant conquis les plus hautes destinées.
On finit toujours par se faire culbuter dans l’Histoire de notre champ culturel, comme dirait PA.
« La guerre du faux » disait Umberto Eco. Everywhere. Everytime.
Didi-Huberman est Barthesien.
Qui va lire Didi-Huberman ? Qui ? Hum ?
https://twitter.com/flr_louis/status/1634872285940310016?cxt=HHwWgIDTidTrnbAtAAAA
Je viens de suivre l’émission « C dans l’air » (F5) où les intervenants n’ont pas manqué d’évoquer une réforme « adoptée » ENTRE GUILLEMETS.
Jérôme Jaffré, politologue et chercheur associé au CEVIPOF
Nathalie Schuck, Grand reporter « Le Point »
Caroline Michel-Aguirre, Grand reporter au service politique « L’Obs »
Jérôme Fourquet, directeur département Opinion – Institut de sondages
Caroline Roux
Il publie chez Lemerre. Il y a des facilités.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k350881.pdf
J’ai pris aussi Banville.
« Je ne me souviens pas de ce qu’on en avait pensé à la RDL »
Pas grand chose, JJJ.
https://www.lelezarddeparis.fr/un-film-a-l-horizon-ethnocentre
@Je viens de suivre l’émission « C dans l’air »
C’est assurément le fait du jour. Plutôt que de finasser sur la procédure, sur le fond, merci aux centristes de LIOT d’avoir permis à l’AN de voter sur cette question ; vote qui met en évidence la réalité suivante : au sein de la représentation nationale, les faux-culs obnubilés par les stratégies à suivre en vue de la prochaine élection « suprême » sont minoritaires vis à vis de ceux soucieux d’oeuvrer pour l’intérêt général ; de peu
évidemment, pas l’ombre d’une attirance pédophilique tourmentée dans l’adolescence du héros du film, ni dans ses films ultérieurs. Quel ennui !… ce John Ford, incarné à l’écran par David Lynch, à la fin. Qu’en a pensé Mme Roux ?
Tout cela aura eu le mérite de permettre à J.L. de faire son « coming out » politicien. Ce n’est pas très rock’n’roll mais….
Le fait du jour ?… Et on a manqué l’air, et c’était dedans.
Décidément, il y aura toujours des lézards torturés par des rats, mais je veux bien surtout rappeler à chaque erdélien.ne ceci : si par miracle la science avait encore un avenir, elle dévoilerait de nouvelles lois de la nature mais aussi de nouvelles natures auxquelles attribuer des lois ». Bàv, les bobbies (cf. Le messager, CMC)
E pur si muove!
en évidence la réalité suivante : au sein de la représentation nationale, les faux-culs obnubilés par les stratégies à suivre en vue de la prochaine élection « suprême » sont minoritaires vis à vis de ceux soucieux d’oeuvrer pour l’intérêt général ; de peu.
Neuf voix.
Bravo pour cette superbe analyse.
3 femmes pour 2 jéromes, -> … la révolution dans l’R est achevée. Passons sur autre chose… Un nouveau billet, peut-être ? Bàv,
Des noirs et des arabes au cul des camions poubelles.
Grand silence chez les gauchistes.
Et chez les communistes ?
À Marseille, ont inventé de gigantesques camions poubelles (seconde fois que je le signale) énormes avec deux bras gigantesques, énormes sur le côté du camion côté trottoir, et ils soulèvent seuls les poubelles énormes gigantesques avec zéro homme derrière. Un chauffeur unique qui sait faire le taf.
Second argument : c’est oublier Mohammed M’Bougar Sarr et un autre étudiant hyper-doué analphabète à sona écrivez en France et désormais capable d’intégrer une des dix grandes écoles qui lui ont été proposées.
Troisième argument : il y a une rotation, oui. C’est tjrs les immigrés de fraîche date et avant les noirs et les arabes, il y eut, faites vos listes.
Pas les gitans, jamais.
C drôle le vrai changement dans ma vie sans Fl.
Lorsque quelqu’un cherche à me pourrir la vie, cela ne prend pas 5 mn pour dépasser.
Bientôt ce sera une seconde.
Puis ce sera rien.
Je n’en reviens pas.
Nous sommes écoeuré.es, mais ne nous laisserons pas abattre en notre vision gauchiste et anarcho syndicaliste du monde politique et social. Balayures de l’histoire à contre-vents,
Jazzi dit: à
Contrairement
Vous êtes souvent très nul Jazzi.
Je viens d repasser à une seconde.
Une telle rapidité d’apprentissage !
Dans la jolie description du rat, jamais remarqué les mimines roses, mais la queue longue, grise et annelée, oui ; c’est peut être le plus répugnant, non ?
Et personne, personne, mais alors personne pour parler de son intelligence ! Comment se fait-ce ?
On finit toujours par se faire culbuter dans l’Histoire de notre champ culturel, comme dirait PA.
Janssen J-J
J’ai plus d’exemples de culbute dans l’Histoire de notre contre-champ culturel.
D’où tenez-vous votre théorie ?
caecotrophique
D.
Comme un caecopharnaüm ?
Commencé Elle, Edmonde
De Jean-Noel Liot
Chez Allary éditions
Ou une caecophonie ?
Mais aucun effort de persuasion ne put décider l’impassible propriétaire à le laisser explorer aucun de ces deux espaces clos.
Bien, bien, bien dommage.
Interlude dans les chances : des voyelles et de l’érosion
« J’avoue le 20 que je me trouve dans un état
mort. » Des mets divins du poème charmant, comme
Le bagage dont s’apprête à disposer l’aubergiste,
Prennent en plein quelque reflet. Le tonnerre
Est à peine venu. Je reconsidère l’avancée
Brutale cette fois de la terre, celle en fri-
Che celle dont les gens sont morts où restent
Des abricotiers où la mort mais pas la leur tombe
Creusée dans les pois lieu des arrestations fos-
Et ainsi de suite la parole n’étant rien.
La fatigue pourrait-elle n’être qu’une sorte de
Discipline ? Qui me rendrait aveugle quand j’
Écris ? Les jeunes voisines de ta beauté
Pourraient en rire de notre colloque ne voyant
Pas ce que nos mains font des mets divins du
Poème charmant ––––––––––––––––––––––
Denis Roche
Incidemment, le 21 mars c’est la journée mondiale de la poésie…
Incidemment, le jour du printemps a été la journée internationale du bonheur.
Et heureusement les CB fonctionnent encore puisque les DAB sont vides et que les convoyeurs de fond ne roulent plus, ceci en ville.
« Neuf voix.
Bravo pour cette superbe analyse. »
Chez Poutin, des millions de voix à qui on ferme le bec.
Travaux forcés au grangeon pour les récalcitrants.
« Neuf voix.
Il n’y en aurait qu’une seule, en majorité.
Cela s’appelle démocratie constitutionnelle.
Pensez-vous qu’Hidalgo soit autant caeco que cata ?
FL dit: à
Ceux qui sont encore lus :
Baudelaire
Cros
Heredia
Leconte de lisle
Mallarmé
Verlaine
FL dit: à
Pourquoi ceux-là d’ailleurs ?
Leconte de Lisle et De Hérédia pour ce que j’appellerai un certain exotisme qu’on retrouve dans la légende des siècles et Salammbô. Quant à Verlaine c’est en tant que symboliste et surtout grace à la musicalité de ses vers qu’on se souvient de lui
Arrêtez de dire sans arrêt du mal de Poutine.
Il y a en tout homme de belles et bonnes choses. Même chez renato, si ça se trouve. Sait-on jamais ?
Velocities :
« Je ne vois pas d’avenir », désespère Théo Thomas, 25 ans, entré à l’UMP en 2015 et ex-responsable départemental des Jeunes Républicains du Morbihan qui a dissous son groupe de 20 militants dès lundi. Le déclencheur ? « Ce ne sont pas les divisions, depuis huit ans, on a fini par être habitués. Mais c’est le rejet majoritaire de la motion de censure, qui revient à une adhésion au parti présidentiel. »
Le jeune militant estime que les divisions ne portent plus sur les tiraillements de sa famille politique « entre Renaissance et le Rassemblement national. Ce sont des divisions de personnalités ». Pour lui, LR « n’a pas compris le changement d’algorithme politique. Dans les années 2000-2010, il y avait la gauche, la droite et le centre, aujourd’hui, cet algorithme ne fonctionne plus. Aujourd’hui, il y a les souverainistes et les mondialistes ».
« Si on ne clarifie pas les choses, on est morts »
In Ouest France.
Moi, j’ai entendu un type à Fos sur mer dire :
« Qu’ils partent à l’étranger et qu’ils ne reviennent plus. Le dépôt on va le reprendre ».
Je plussoie.
Y compris au fait qu’il leur laisse la vie sauve.
J’hésite quand même entre Cayenne et Ouagadougou.
Mais je propose un groupe compact, qu’ils discutent.
Travaux forcés au grangeon pour les récalcitrants
Moraled, Seb baisse :
Je peux vous dire qu’il y a de quoi.
Pour quelques années.
😇😅😂🤣🥲
J’aime pas du tout cet article, beurk:
Et Amélie Nothomb, tu crois qu’elle en chie pas dans sa carrière, chouchou ?
Oui Fl, Merat fut un auteur Lemerre. Pour les Châtiments, il y a les célébrités du jour auxquelles s’opposent les morts de l’exil dont la christique Pauline Roland. Je ne suis pas convaincu par le rapprochement avec 1940, dans la mesure où les noms enumeres sont surtout ceux de criminels de droits commun: Maigrat, Cartouche, etc. Il faudrait cibler le personnel politique avec Maupas, préfet de police du coup d’ Etat, Morny ,relativement nouveaux pour l’époque. En revanche les Juristes Dupin et Troplong, explicitement apostrophés, peuvent avoir à l’époque ce côté fossile.on n’en dira pas autant de l’ Archevêque de Paris, Sibour, tue par un prêtre pendant une retraite, et qui semble lui, une obsession hugolienne. Bien à vous. MC
D’où tenez-vous votre théorie ?
Me permettrez-vous de la tenir de moi-même qui ne suis pas juif, hélas, mais pourquoi n’aurais-je pas une théorie bricolée par moi-même ?
Il arrive aux gens, goys ou juifs, de penser par eux-mêmes, ou d’avoir oublié de par qui ils furent influencés ***
Je (dé)pense, donc je (re)pense. Et j’essuie le tout, et la partie du grand Tout.
Bon, je rentre 🙂 me coucher.
Me permettrez-vous de la tenir de moi-même qui ne suis pas juif, hélas, mais pourquoi n’aurais-je pas une théorie bricolée par moi-même ?
Il arrive aux gens, goys ou juifs, de penser par eux-mêmes, ou d’avoir oublié de par qui ils furent influencés ***
Mais bien sûr, cher Janssen J-J.
In fine, n’est-ce point l’aboutissement de quantités de lectures de penser par soi-même ?
J’espère que vous avez fait un bon retour à la base.
Lorsqu’on proclame dans les textes référents qu’un Parti est une « famille » politique, et qu’on sait quelle bordel souverain règne en général dans le relationnel familial, pourquoi s’étonner que tout cède et rien ne tienne bon dans ces activités politiques qui nous amusent tant ici et maintenant, en ces moments printaniers délicieux à vivre pour eux mêmes ?!!!
Vous avez vu la gueule des Patriarches ? Pitoyable …
« Retraites: Emmanuel Macron affirme que « la foule » n’a « pas de légitimité » face « au peuple qui s’exprime à travers ses élus », rapporte un participant à la réunion à l’Élysée. In BFMTV
Cela, je l’ai entendu de mes propres oreilles par la bouche de l’inféodé Castaner, lors de l’inauguration des clichés du carillon de Forcalquier.
Déjà écrit ici, sur la RDL.
Il a dit » votre point de vue ne nous intéressé pas puisque nous décidons de tout à Paris ».
J’ai pris mes cliques et mes claques et je suis partie illico.
Aujourd’hui, ce dont le gouvernement trinque c’est de ce point de vue sur le peuple.
Voilà, c’est comme cela que répond le peuple : la colère est le fruit du mépris.
Dimanche, l’évêque nous a parlé des gilets jaunes, il a dit que leur rage venait que l’on ne tienne pas compte d’eux et de leurs soucis. À l’époque, c’était faire le plein de sa bagnole.
Macron est très doué pour mettre le peuple en marche pendant que lui stationne.
[…] qu’un Parti est une « famille » politique, et qu’on sait quel bordel* souverain règne en général dans le relationnel familial.
Hier, ai eu une discussion politique avec mon fleuriste : il m’a dit, « c’est la jalousie* » (on parlait de mon cordonnier) et cela arrange Macron de dresser les uns contre les autres.
Il propose trois choses :
-diminuer drastiquement les frais de l’État (je dis Mac Kinsey et Brigitte Macron etc.).
– du travail pour tout le monde : zéro assistanat.
-suppression de la Bourse.
Comment cordonnier tu peux jalouser ton frère éboueur, même si fini/parti, tu fais un second travail l’après-midi ?
Ah, il gagne 2000 euros par mois.
Il peut réinvestir tout le black dans un bien immobilier.
Non, il claque le black, chaîne HiFi, frigo américain qui fabrique de la glace.
Et arrivé à la retraite, il a 800 euros par mois.
Bref, on récolte toujours ce qu’on a semé, surtout quand on veille au grain en ne semant rien et en récoltant que pouic. Y aura toujours papa à faucher en dépit des épis de blés. Bon papa.
Sur son lit de mort.
Je fauche mon papa.
Bon papa.
De toutes manières, la mort t’aurait fauché, même si tu ne savais pas que tu étais mortel.
Tu ne savais pas non plus que tu pouvais bouger ton mode de vie puisque tu étais psycho-rigide, mon bon papa et de droite toute à l’inverse de ton papa, communiste fidèle.
Tu as juste fini ta vie doublement fauché à l’inverse total des 94 ans qui ont précédé : triste sort quand même ta destinée si dramatiquement blackboulée !
« la foule » n’a « pas de légitimité » face « au peuple qui s’exprime à travers ses élus »
« et cela arrange Macron de dresser les uns contre les autres. »
A un moment donné, il faut que les choix soient clairs, rose.
Il est logique que D., qui admire Poutine, souhaite l’arrivée de Marine Le Pen à l’Elysée et soutienne les mouvements de déstabilisation conduits par les cégétistes.
La première est financée par le néo tsar Russe et les seconds sont inféodés depuis toujours à Moscou.
Renverser le gouvernement Macron-Borne, c’est faire le jeu de Poutine.
Au détriment de la France, de l’Europe, de l’Otan, des valeurs de l’Occident et de la démocratie.
Tout le reste n’est que mauvaise littérature…
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