de Pierre Assouline

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La République des livres
De Murakami, des femmes sans hommes et des Dunkin’ Donuts

De Murakami, des femmes sans hommes et des Dunkin’ Donuts

Il fut un temps où c’était vraiment une sinécure pour un écrivain étranger que d’être invité à passer une année en résidence dans une université américaine. On acceptait volontiers la proposition car elle était implicitement assortie d’une promesse de vie agréable sur un campus moderne et bien équipé, avec en sus la possibilité de passer une partie de la nuit à lire paresseusement ou passionnément affalé sur un canapé moelleux de la bibliothèque. Tout cela en échange d’un cours par semaine devant des étudiants admiratifs. Encore l’enseignement est-il facultatif à proportion de la notoriété de l’écrivain car le système existe de longue date pour les écrivains américains eux-mêmes, susceptibles de transmettre aux jeunes génération leur expérience très personnelle du grand art de la fiction.

Un jour, étant moi-même de passage à l’Université de Virginie, je fus frappé par l’empreinte qui y avait laissé mon glorieux prédécesseur William Faulkner en résidence en 1957-1958 : de l’avis unanime, il avait passé son temps à picoler et à monter à cheval, ce qui explique pourquoi il en tombait souvent. N’essayez pas sauf à être protégé par votre prix Nobel de littérature. D’autres écrivains ont été depuis nettement plus sérieux et assidus. Mais de nos jours, cela devient risqué, quand bien même n’oublierait-on pas de bien laisser la porte de l’amphithéâtre ouverte lors des discussions après les cours.

Le japonais Haruki Murakami (1949), dont les romans (La Ballade de l’impossible, Kafka sur le rivage, 1Q84, Le Meurtre du Commandeur…) traduits et récompensés un peu partout dans le monde sont un évènement à chacune de leurs parutions, en fait l’expérience. Coqueluche des étudiants américains longtemps après l’étourdissant Vladimir Nabokov qui y enseigna la littérature comparée dans les années 40, il passe actuellement un semestre à Wellesley College, une très sélective université féminine en sciences humaines près de Boston (Massachussets).

On y apprend à déceler les pratiques non-éthiques derrières des façades trompeuses ; on y archive déjà la diversité des expériences de vies des étudiants trans, non-binaires et genrés sur le campus etc Pourquoi pas ? Après tout, lorsque Uniqlo a annoncé qu’elle mettait dans le commerce des tee-shirts illustrés par des citations de ses romans, cela a provoqué sur les réseaux sociaux un buzz presque aussi considérable que l’annonce de sa nomination en qualité de Visiting Professor in The Humanities, à Boston.

Au début de l’année, d’un séminaire l’autre, on s’interrogea sur la nature de la voix de la narratrice dans plusieurs de ses nouvelles et il s’en tira par un lieu commun sur la part féminine que chaque homme porte en lui et sa propre recherche pour l’y débusquer ; après quoi il eut à conceptualiser la situation d’un romancier par les temps de Covid ; puis il eut à plancher sur « ce que la fiction dit du genre ». Décidément, impossible d’en sortir. Ainsi on n’amène plus des étudiants à l’univers d’un artiste mais on tire celui-ci jusqu’à eux. On se réjouit toujours à raison qu’il en est pour faire bouger les lignes -mais dans quel sens ?

Vraiment, cela valait le coup de faire venir du Japon un écrivain aussi réputé pour son talent à mêler le surréalisme, la science-fiction, le réalisme magique, l’étrange, l’irrationnel, le fantastique, mondialement adulé pour sa capacité à créer des personnages détachés, désenchantés, désillusionnés, pour lui poser une question pareille. Il eut été plus intéressant de l’interroger sur La Ville et ses murs incertains (en France chez Belfond dans deux ans) qui vient de paraitre à Tokyo. Mais lorsqu’on apprend tout cela par The Wellesley News entièrement contrôlé par les étudiants, que ceux-ci préviennent en liminaire que le journal de leur université fonctionne sur les terres ancestrales volées à la tribu Massachusett et qu’il tient à affirmer la souveraineté indigène tout en s’engageant à tenir le Wellesley College responsable des besoins des peuples indigènes et de ses étudiants indigènes, on se dit qu’au fond, il n’y a rien là que de très normal.

A l’issue d’une cérémonie du thé en compagnie de sa femme Yoko avec une vingtaine d’étudiants du Japan Club de l’université, il dut affronter à nouveau des questions du même ordre mais cette fois de la part de professeurs réunis dans un symposium sur le thème « Femmes sans hommes ». C’est peut-être à ce moment-là que Murakami, connu pour son aversion vis-à-vis de l’analyse littéraire, a lâché un cri du cœur face à son auditoire :

« Vous savez, je ne suis qu’un écrivain. La seule chose dont je peux vraiment parler c’est : COMMENT ECRIRE ! »

Mais on lui fait confiance pour tenir bon jusqu’à la fin de l’année universitaire. Ayant déjà participé six fois au marathon de Boston, ce grand sportif d’Haruki Murakami devrait survivre à cette nouvelle épreuve. Mais il lui faudra parcourir encore bien des kilomètres pour compenser les excès d’une autre de ses passions dont Boston, selon lui, détient orgueilleusement la spécialité : la bière pression Samuel Adams (Summer Ale) et les Dunkin’ Donuts, beignets retirés du Japon en 1998. Qui sait si ce n’est pas la clef de sa présence à Wellesley College. Tout le reste n’est que littérature.

(Photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

728 Réponses pour De Murakami, des femmes sans hommes et des Dunkin’ Donuts

Jazzi dit: à

Le « Jeanne d’Arc » de Michelet c’est avant tout un coup d’éditeur, MC !
Sinon, vous pouvez comparer les épisodes de l’enfance de Jésus de Renan et de l’enfance de Jeanne d’Arc chez Michelet.
Kif kif !

_________________

JULES MICHELET

Une légende est née

C’est en 1841 que Jules Michelet (1798-1874) publia le tome V de sa monumentale Histoire de France dont le premier chapitre était consacré à Jeanne d’Arc. Louis Hachette, son éditeur, s’avisa alors qu’il y avait matière à en extraire l’épisode concernant la Pucelle pour en faire un livre unique, à la minceur et à la densité d’un livre populaire. C’est ce même exemplaire, sans cesse réédité et traduit dans le monde entier, que l’on trouve encore de nos jours en livre de poche. Pour rédiger cette biographie, Michelet s’était inspiré de la lecture de copies tardives des actes des deux procès, celui de la condamnation (1431) et celui de la réhabilitation (1456), dont il disposait à la section historique des Archives et à partir desquelles il laissa courir son imagination, se défendant au passage de faire un ouvrage de légende…

« Jeanne était la troisième fille d’un laboureur Jacques Darc ou d’Arc et d’Isabelle Romée. Elle eut deux marraines, dont l’une s’appelait Jeanne, l’autre Sibylle.
Le fils aîné avait été nommé Jacques, un autre Pierre. Les pieux parents donnèrent à l’une de leurs filles le nom plus élevé de saint Jean.
Tandis que les autres enfants allaient avec le père travailler aux champs ou garder les bêtes, la mère tint Jeanne près d’elle, l’occupant à coudre ou à filer. Elle n’apprit ni à lire ni à écrire ; mais elle sut tout ce que savait sa mère des choses saintes. Elle reçut sa religion, non comme une leçon, une cérémonie, mais dans la forme populaire et naïve d’une belle histoire de veillée, comme la foi simple d’une mère… Ce que nous recevons ainsi avec le sang et le lait, c’est chose vivante, et la vie même.
Nous avons sur la piété de Jeanne un touchant témoignage, celui de son amie d’enfance, de son amie de coeur. Haumette, plus jeune de trois ou quatre ans. « Que de fois, dit-elle, j’ai été chez son père, et couché avec elle, de bonne amitié… C’était une bien bonne fille, simple et douce. Elle allait volontiers à l’église et aux saints lieux. Elle filait, faisait le ménage, comme font les autres filles… Elle se confessait souvent. Elle rougissait, quand on lui disait qu’elle était trop dévote, qu’elle allait trop à l’église. » Un laboureur, appelé aussi en témoignage*, ajoute qu’elle soignait les malades, donnait aux pauvres. « Je le sais bien, dit-il ; j’étais enfant alors, et c’est elle qui m’a soigné. »
Tout le monde connaissait sa charité, sa piété. Ils voyaient bien que c’était la meilleure fille du village. Ce qu’ils ignoraient, c’est qu’en elle la vie d’en haut absorba toujours l’autre et en supprima le développement vulgaire. Elle eut, d’âme et de corps, ce don divin de rester enfant. Elle grandit, devint forte et belle, mais elle ignora toujours les misères physiques de la femme. Elles lui furent épargnées, au profit de la pensée et de l’inspiration religieuse. Née sous les murs mêmes de l’église, bercée du son des cloches et nourrie de légendes, elle fut une légende elle-même, rapide et pure, de la naissance à la mort.
Elle fut une légende vivante… Mais la force de vie, exaltée et concentrée, n’en devint pas moins créatrice. La jeune fille, à son insu, créait, pour ainsi parler, et réalisait ses propres idées, elle en faisait des êtres, elle leur communiquait, du trésor de sa vie virginale, une splendide et toute-puissante existence, à faire pâlir les misérables réalités de ce monde. »
(« Jeanne d’Arc », Folio classique 441)

Jazzi dit: à

« Première ministre cherche directeur de cabinet désespérément. Élisabeth Borne subit des départs en cascade dans son cabinet. »

Les rats quittent le navire, mais la capitaine tient courageusement le cap !

D. dit: à

Non, Jazzi. C’est très injuste ce que tu écris. Borne maltraite certains de ses subordonnés et les humilie même devant leurs collègues. C’est ça que tu défends ?

D. dit: à

Borne n’est pas courageuse. Elle est seulement dure, cette dureté détestable dont Macron, qui pour sa part est rusé et hypocrite, se sert, un moment, pour parvenir à ses fins qui sont surtout celles des banquiers, de l’Europe communautaire et donc de l’Allemagne.

B dit: à

Libé titrait Les glaciers fondent, Macron dissout. A-t-on des photos du visage de la manifestante qui chirurgie réparatrice ou pas à perdu la moitié de son visage? De cet autre sorti du coma, un bulletin d’éventuelles séquelles neurologiques? et si le secret d’État ne couvrait pas les blessures des policiers , sait-on si parmi ceux-ci les blessures sont aussi irrémédiables? Éco- terrorisme, évidemment quand un pays n’avance pas- inertie en matière d’écologie et décisions pour le moins paradoxales- il ne reste qu’à opposer une colère dûment arrosée de milliers de fumigenes et grenades. Ce gouvernement se soucie comme d’une guigne d’être la cible des critiques européennes en matière de gestion de l’ordre dans les manifestations. Le capital est bien protégé et plus ce qui en découle révolte la population, plus la réaction est violente. Voir les moyens utilisés . S’il est disponible, jeter un oeil au Thema, sur Arte consacré aux politiques de maintien de l’ordre dans différents pays.

B dit: à

D, ils doivent être suffisamment bien rémunérés pour encaisser les colères de cette dame. De plus, compte tenu du niveau d’études exigé pour ces fonctions, à moins d’être carriériste acharné et servile, s’ils tiennent à leur honneur, il leur est toujours envisageable d’aller se vendre ailleurs.

D. dit: à

Macron ne sert pas là France. L ka trahit. Il a en tête un projet d’État fédérés qu’il va essayer de pousser en avant si on a le malheur de lui permettre un troisième mandat. S’en sera alors fini pour toujours de la nation française. Notre puissance nucléaire sera volée et mutualisée pour quelques dizaines de milliards. De la prostitution pure et simple.
Réveillez-vous tant qu’il est encore temps. Votre responsabilité devant l’histoire ne sera pas effacée. Vous serez ceyx qui auront permis cela, trahit presque 1500 ans de France souveraine.

B dit: à

D, de 2000 milliards, la France en quelques années est passée à 3000 milliards de dettes. Disons en 7ans, à peu près. Dans ces conditions, il faut rassurer les marches et vendre quelques équipements à un assassin ou à un autre. Les marchés de reconstruction de l’Ukraine vont s’arracher entre états européens, même l’économie Allemande bien que plus prospère que la nôtre connait un coup de mou, la dette en moins.

Bloom dit: à

Renan, dans son siècle.

Antoine Compagnon, Les antimodernes, de Joseph de Maistre à Roland Barthes, Ch. II, p.232-233, Folio Esassais, 2005.

(Certes,) quelques textes de Renan sont parfois jugés responsables de l’antisémitisme français de la fin du XIXe siècle (…) »Je suis donc le premier à reconnaitre que la race sémitique, comparée à la race indo-européenne, représente réellement une combinaison inférieure de la nature humaine » (‘Histoire générale et système comparé des langues sémitiques’, 1855).

Note: sur la confusion entre « race linguistique » et « race anthropologique », voir Maurice Olender, ‘Les Langues du paradis. Aryens et sémlites: un couple providentiel, Seuil, coll. « Points », 1994.


Le livre de Maurice Olender (qui nous a quitté l’année dernière) raconte la façon dont lea découverte du sanscrit a bousculé le primat de l’hébreu, et comment ceci servit par ailleurs des fins plus idéologiques que scientifiques.
Selon les dernières recherches, le sumérien de Mésopotamie et l’égyptien pharaonique sont les langues les plus anciennes (- 5000 av ère commune), suivies par l’akkadien de Mésopotamie, le hittite, le grec mycénien, le chinois dit archaïque et le sanscrit (- 2000 AEC) , puis par l’araméen et l’hébreu, qui émergent au cours du 1er millénaire AEC.

D. dit: à

Vous choisissez votre camp, Bérénice.
Moi j’ai choisi le mien, celui de la patrie française. Vos arguments sont ceux du diable et vous ne vous en rendez même pas compte. Je vous plains.

B dit: à

D, une Europe fédérale n’est pas sortie des cartons et quand bien même les discours abondent, celui qui les prononce n’a pas tout pouvoir. Abolir l’unanimité serait un grand pas, pour le reste la machine est bien trop lourde pour avancer aussi rapidement qu’il le faudrait . Alors la fédération, c’est une utopie. Et puis voyez les USA, le pouvoir fédéral ne peut pas tout. En matière de politique étrangère peut-être serait-ce un avantage de pouvoir créer une force de défense indépendante .

D. dit: à

Arte est un organe inconscienr de propagande de la bien pensance normalisée germaneuropéiste.

D. dit: à

Utopie mon cul.

D. dit: à

Parfaitement.

Janssen J-J dit: à

@ Mary Sasseur & ses sbires (Honneur du blog, etalii, Mary Curry, Bill Evola, Jissé, Puck, Jzmn), cessez de toujours harceler les mêmes internautes.

Kilékon dit: à

Lesbire c’est une valse!

Patrice Charoulet dit: à

« LES OEUVRES QUI ONT FAIT CE LIVRE »

Un ami ayant beaucoup aimé le petit livre de Charles Pépin, « La rencontre, une philosophie », m’incite à l’acquérir et à le lire. Je viens de le recevoir. L’auteur écrit « Les livres qui ont fait ce livre » et il indique tous les livres dont il s’est nourri.

Belle franchise et belle modestie !

Janssen J-J dit: à

Bien sûr, dès lors qu’on partage une communauté d’exporience presque identique à celle d’Eribon, on n’apprend strictement rien de bien neuf sur la mort de sa mère à l’ehpad de Fismes. A quoi bon l’avoir lu intégralement, demandera-t-on ? Question idiote…, comme si on lisait toujours pour son plaisir, et pas pour vérifier quelque chose.
Prochaines lectures de l’été sur la pile et sous la plage :

Denis Lehane, Le silence
Goliarda Sapienza, Carnets
Erri de Luca, Grandeur nature
Olga Tokarczuk, Jeu sur tambours et tambourins
Jeroen Brouwers, Le client E. Busken
Honoré de Balzac, le lys dans la vallée
Franck Thilliez, Sharko
Rick Bass, Le guet
Colette, les vrilles de la vigne
Mathieu Belezi, Attaquer la terre et le soleil
Pierre Herbart, Alcyon
Marie-Hélène Lafon, Les sources
Gustave Flaubert, L’éducation sentimentale

*Bonnes lecteurs estivales à tous.tes & à chacun.e

B dit: à

D, la France avec ses petits bras va tout casser, seule elle va faire un malheur, c’est probable voire possible face à ces monstres industriels que sont devenus la Chine,( les USA) l’Inde et le Pakistan! Ne demandez pas pourquoi le Pakistan, je n’en sais fichtrement rien.

B dit: à

Taïwan et le Japon, je les oubliais pour les technologies de pointe sans compter que « l’ami Poutine » comme les Chinois s’en va piller le continent africain, Adieu les ex-colonies accueillantes et bien utiles .

Clopine dit: à

J j-j, vous devriez ajouter « une conversation » d’Ernaux-Lagrave. Si si si.

Clopine dit: à

Triste anniversaire pour moi. IL y a trois ans, jour pour jour, on tuait mon âme.

Ouaip. Mon corps subsiste. C’est déjà ça.

et alii dit: à

clopine
l’un des maîtres mots de la philosophie, c’est « nul ne sait ce que peut le corps »
il ne s’agit pas d’oublier Gogol,mais vous êtes là, courage,

et alii dit: à

erdélien-ne-s, excuses:
Nul ne sait ce que peut le corps » a dit Spinoza (Éthique III, 2, S).

Janssen J-J dit: à

@ vous devriez ajouter « une conversation » d’Ernaux-Lagrave

il y a bien longtemps que je l’ai lue, cette Conversation, mais vous ne suivez pas le Phil, CT… y compris le long entretien que Rose-Marie avait accordé à une étudiante… cf. sur les youtube
Ce n’est pas à moi qu’il faut donner ce genre de conseils, voyez-vous, mais à celzéceux qui ne comprennent pas la singularité douloureuse des trajectoires des « transfuges de classe » devenues féministes, etc. Merci de votre sollicitude. Jz nous donnerai pa de conseils de lecture, mais vous auriez du mérite à essayer de piocher dans ma pile… Bàv,

closer dit: à

« Je viens de le recevoir »…Achèteriez vous vos livres sur le site de vente en ligne que vous savez, Monsieur Charoulet?
Je suis surpris.

Bloom dit: à

Ne demandez pas pourquoi le Pakistan, je n’en sais fichtrement rien.

Effectivement.30 millions de réfugiés l’an dernier à la suite d’inondations sans précédent, une situation politique inflammable comme souvent, et un possible défaut de paiement dans les semaines qui viennent, car le FMI considère qu’il ne peut renflouer les caisses de l’état vu la déréliction de l’économie et de la société du 5e pays le plus peuplé au monde, seul pays musulman à posséder l’arme atomique.
Ajouter une température moyenne ressentie de 48°c en ce moment, on a bien affaire au ‘madderchod’ du monde.
Pas étonnant qu’on cherche à en partir – la moitié des migrants morts noyés au large de la Grèce la semaine dernière, soit 350 personnes, étaient des Pakistanais. Histoire de l’un d’entre eux
https://www.theguardian.com/world/2023/jun/19/he-suffered-pakistani-relatives-mourn-sons-on-greek-shipwreck

D. dit: à

Je pense que vous n’y connaissez rien à toutes ces problématiques, Bérénice, comme beaucoup ici. Cela vous dépasse, tout simplement.

D. dit: à

Personne n’est obligé d’aller au Pakistan, Bloom. Moi par exemple, je n’irai jamais.

MC dit: à

Bloom Sur Renan et plus récent, voir aussi » L’ Atelier des Sémites » paru il y a quelques mois. Bien à vous. MC

D. dit: à

La France a pour mission de guider spirituellement le monde entier. Pas avec Macron inspecteur des finances ancien banquier à sa tête. Évidemment. Il faut changer ça. Nous touchons le fond avec des gens comme Macron et Borne. Quand on regarde derrière soi et que l’on voit tous ces grands rois, et après Napoléon, De Gaulle ! Quelle honte pour nous d’avoir ces gens-là pour présider et gouverner. Moi ça me rend malade.

B dit: à

ces problématiques, Bérénice, comme beaucoup ici. Cela vous dépasse, tout

Ben voyons, 8ème après la GB au classement des puissances économiques d’ailleurs il n’y a qu’à regarder du côté de l’éducation nationale, de l’hôpital, de la recherche, de l’écologie, nos résultats sont épatants. On se demande à quoi sert le PIB. A cela une fuite des cerveaux s’ajoute et si ça continue il n’y aura bientôt plus de cerveaux en France, ils s’atrophient si l’on se réfère aux tests des enfants et au niveau des profs de math.😜

D. dit: à

Je pense que vous êtes fatiguée, Bérénice. Vous n’avez manifestement pas toutes les capacités ni les connaissances nécessaires pourxanalyser ce type de questions complexes et encore moins pour y sonner des réponses adéquates. Il vaudrait mieux vous reposer parce qu’il est tard. Avec un peu de chance mais j’en foute, vous aurez demain gagné en lucidité.

MC dit: à

« .Celles et ceux qui ne comprennent pas la singularité de ces transfuges de classe ». Orémus!

Janssen J-J dit: à

@ Cela ne vous concerne pas, MC, vous… vous avez tout compris depuis longtemps. Le 17e s. vous a bien éclairé sur les féministes transfuges de races… Et depuis lors, vous avez su vous positionner. Bravo !
(Prions, mes soeurs et moi, notre bon Chantecler !)

Janssen J-J dit: à

@« Jz nous donnerai pa de conseils de lecture »

Il fallait lire : « je ne vous donnerai pas de conseils de lecture »…

@ et mon jzmn qui s’est imaginé devoir nous donner les siens ! L’est mugnon ce lézard à sa clopine quand il s’enfourche…

rose dit: à

Le patron du Hellfest a pioché 300 000 euros dans la caisse.

Vin et œuvres d’art.

Comme J P D R il puisait dans le compte commun pour ses dépenses personnelles, pck il était pauvre, ce milliardaire de mes deux.
Comme Papi aussi, il vidait l’assurance-Vie de Mamie 3000 euros par trimestre pour remplir la sienne. Il faisait signer à Mamie des feuilles blanches allègrement.
C’est d’un banal : certains ont évité la peau de banane.

rose dit: à

B.

Pas de blème : moi, non plus, je n’y comprends rien. Un cherche à nous faire accroire qu’avec la royauté, c’était mieux. On lit La princesse de Clèves et on pige illico que ce n’était pas mieux.

Hier soir, ai eu un transfuge de genre dans la cuisine.
Ni je n’ai eu peur.
Ni j’ai critiqué.
Ni je n’ai porté de jugement.
À lui de gérer : il m’a dit être suisse, puis allemand, puis suisse allemand puis à la frontière.
Il est venu à Marseille.
On a une capacité d’accueil ici qui dépasse l’entendement.

rose dit: à

Clopine

Trois ans jour pour jour.

On souffre.
On apprend.
Plus tard, on rit.
Hier, sommes allées de fou rire en fou rire. Et qu’est-ce qu’on s’en fout puisqu’on est vivant.

rose dit: à

vivants.
Mais enterrer ma mère dans un trou dans le jardin, ça non.

MC dit: à

Je n’ai pas travaillé que sur le Dix-Septieme siècle, JJJ, mais s’il vous plaît de le croire. Enfin…

rose dit: à

Et puis voyez les USA, le pouvoir fédéral ne peut pas tout.

Je le découvre. Les américains sont vachement attachés à leur état fédéral à leur territoire, à leurs origines. Je suis texan, je viens de l’Oregon, ma grande université est Colombus, dans l’Ohio, pck nous vivons en Ohio.

Au Canada à Calgary la retraite est à soixante ans. En Ohio, après 35 ans d’ancienneté, prof. on peut arrêter.

Chaque état fédéral marque ses lois qui sont foncièrement différentes.

En passant, le Cachemire est superbe. Le pakistanais, je ne sais, bonjour les massacres durant la partition, mais le Cachemire indien est une portion de paradis, au pied de la chaîne himalayenne.

rose dit: à

La partition 1947.

rose dit: à

MBS, physiquement, me dégoûte.
Tout ce gras.
Recevoir avec les honneurs un type qui a fait couper un journaliste en morceaux dans une ambassade, comment cela est-il possible ?

Ce sont les arabes qui sont les passeurs des migrants vers l’Europe. Les syriens. Les lybiens.

rose dit: à

Macron ne sert pas là France. Il la trahit.

J’irai au-delà : il la démolit.

Jamais je n’ai vu un homme politique (Mitterrand ?) démolir un pays avec autant de conscience. Il a du être un enfant démoli pour autant démolir. Un jour, tous les imbéciles notoires, qui n’ont pas compris les choses au fur et à mesure, réaliseront l’ampleur des dégâts, ils se mangeront les doigts jusqu’aux coudes. On sera un pays de manchots.

rose dit: à

Samedi 24 juin 2023

5h24
Mais est-ce que dans une boîte de sardines on met un hublot ?

Marie Sasseur dit: à

Je ne me souviens plus pourquoi le vieux puceau s’accroche à renan comme une bernique à son rocher. Ça doit tenir à son nationalisme identitaire breton. Un peu raciste et antisémite sur les bords.

Marie Sasseur dit: à

Pour Jésus, préférer celui de JC Petitfils. Certes, il fait un peu une fixette sur le saint suaire, mais on ne peut le soupçonner de faire un catéchisme d’état.

renato dit: à

« Chaque état fédéral marque ses lois qui sont foncièrement différentes. »

Il y a la loi fédérale, puis chaque État a ses particularités curieuses. Cela dit, inutile d’aller voir les USA, car nous avons des exemples plus proches de nous : Allemagne, Autriche, Belgique, Suisse.

En termes simples, l’État fédéral est une union d’États caractérisée par l’attribution d’une personnalité juridique internationale et par la reconnaissance aux différents États fédérés de pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires dans les limites prévues par la Constitution fédérale.

Les fédérations sont toujours fondées sur une constitution écrite qui prévoit une répartition des pouvoirs entre le gouvernement fédéral et les gouvernements des États ou régions fédérés. Elles peuvent comporter deux niveaux de gouvernement (local et fédéral), qui sont indépendants et coordonnés.

Le pouvoir législatif se compose toujours de deux chambres : l’une représente les citoyens de la fédération, de sorte que les États ou régions plus peuplés élisent davantage de députés ; dans l’autre, chaque État fédéré ou région dispose d’un nombre égal de représentants.

24.6 — 7.04

renato dit: à

Cela dit, aucun État ne se sauve tout seul.

Mary Curry dit: à

Jorge Luis Borges
Shinto
When sorrow lays us low
for a second we are saved
by humble windfalls
of the mindfulness or memory:
The taste of a fruit, the taste of water,
that face given back to us by a dream,
the first jasmine of November,
the endless yearning of the compass,
a book we thought was lost,
the throb of a hexameter,
the slight key that opens a house to us,
the smell of a library, or of sandalwood,
the former name of a street,
the colors of a map,
an unforeseen etymology,
the smoothness of a filed fingernail,
the date we were looking for,
the twelve dark bell-strokes, tolling as we count,
a sudden physical pain.

Eight million Shinto deities
travel secretly throughout the earth.
Those modest gods touch us —
touch us and move on.

Jazzi dit: à

C’est qui MBS, rose ?

Jazzi dit: à

« « Jz nous donnerai pa de conseils de lecture »

Il fallait lire : « je ne vous donnerai pas de conseils de lecture »… »

Et si vous vous exprimiez plus simplement et plus clairement, JJJ ?

Jazzi dit: à

Bonne nouvelle, l’hydre à deux têtes s’entre dévore !

« Guerre en Ukraine : Prigojine affirme être entré en Russie et contrôler des sites militaires à Rostov
Le chef de la milice armée Wagner, qui combat en Ukraine pour la Russie, a lancé une charge hier contre le pouvoir militaire russe, l’accusant d’avoir bombardé ses hommes. »

renato dit: à

À propos de MBS, comment les services secrets français ont coulé le Rainbow Warrior et ont tenté de dissimuler leur responsabilité ?

Comment on dit déjà ? Qui sine peccato est vestrum, primus lapidem mittat.

rose dit: à

Chaque État fédéral décide de manière autonome pour la peine de mort, le port des armes, les frais universitaires etc.
C’est quand même bien de l’autonomie au sein d’un groupe uni.

rose dit: à

Jz nous donnerai pa de conseils de lecture »

Il fallait lire : « je ne vous donnerai pas

Moi, j’ai lu
« Jazzi ne nous donnerait pas de conseils de lecture. »

renato dit: à

J’ai bien dit : « Il y a la loi fédérale, puis chaque État a ses particularités curieuses », ou pas ?

Jazzi dit: à

J’avais fini par comprendre, rose.
Merci.
Le recevoir à l’Elysée fait partie du (sale) boulot…

Jazzi dit: à

Céline Interviewé par Claude Sarraute (Le Monde, juin 1960) :

– Qu’est-ce que je pourrais bien vous dire ? Je ne sais pas comment faire pour plaire à vos lecteurs. C’est des gens avec qui il faut être gentil… il ne faut pas les brutaliser. Ils aiment qu`on les amuse sans qu’on les offusque. Bon… parlons. Un auteur n`a pas tellement de livres en lui. Le Voyage au bout de la nuit, Mort â crédit, ça aurait suffi sans cet avatar que j’ai subi… ça m’a donné de nouveaux sujets. J’étais là-dedans par curiosité. La curiosité ça coûte cher. Je suis devenu chroniqueur, chroniqueur tragique. La plupart des auteurs cherchent la tragédie sans la trouver. Ils se souviennent de petites histoires personnelles qui ne sont pas la tragédie. Vous me direz : les Grecs. Les tragiques grecs avaient l’impression de communier avec les dieux… alors, bien sûr… Dame, on n’a pas tous les jours l’occasion de téléphoner aux dieux. Et pour vous, le tragique de notre temps ? – C’est Stalingrad. Ça, comme catharsis ! La chute de Stalingrad c’est la fin de l’Europe. Il y a eu un Cataclysme. L’épicentre c’était Stalingrad. Là on peut dire que c’était fini et bien fini, la civilisation des Blancs. Alors tout ça, ça a fait du bruit, des bouillonnements, des fusées, des cataractes. J’étais dedans… j’en ai profité. .l”ai utilisé cette matière, je la vends. Évidemment je me suis mêlé d’histoires – les histoires juives – qui ne me regardaient pas, je n’avais rien à en faire. Je les ai quand même racontées… à ma manière. – Une manière qui a fait scandale à l’apparition du Voyage. Votre style bousculait beaucoup d’habitudes. – Ça s’appelle inventer. Prenez les impressionnistes. Ils ont sorti leur peinture au grand jour, ils sont allés peindre à l’extérieur, ils ont vu comment on déjeune vraiment sur l’herbe. Les musiciens ont travaillé de leur côté. De Bach à Debussy il y a une grosse différence. Ils ont fait des révolutions. Ils ont fait bouger les couleurs, les sons. Moi c`est les mots, la place des mots. En ce qui concerne la littérature française, alors là je vais faire le savant, il ne faut pas m’en vouloir : nous sommes les pupilles des religions catholique, protestante, juive… enfin des religions chrétiennes. Ceux qui ont dirigé au cours des siècles l’instruction des Français ce sont les jésuites. Ils nous ont appris à faire des phrases traduites du latin, bien balancées, avec un verbe, un sujet, un complément, un rythme. Bref du prêchi, du prêcha, du sermon. On dit d’un auteur ; Il file bien la phraaase ››… Moi je dis : « C’est pas lisible. « On dit quel magnifique langage de théâtre ! « Je regarde, j’écoute : c’est plat, c’est rien, c’est zéro. Moi. J’ai fait passer le langage parlé à travers l’écrit. D`un seul coup. – Ce passage est ce que vous appelez votre « petite musique », n’est-ce pas ? – Je l’appelle « petite musique » parce que je suis modeste, mais c’est une transposition très dure à faire, c’est du travail Les dernières années Ça n`a l`air de rien comme ça, mais c`est calé. Pour faire un roman comme les miens, il faut écrire quatre-vingt mille pages à la main pour en tirer huit cents. Les gens disent en parlant de moi : ‘ Il a l’éloquence naturelle… il écrit comme il parle… c’est les mots de tous les jours… ils sont presque en ordre… on les reconnaît. « Seulement voilà ! c’est ‘ transposé » . C’est juste pas le mot qu°on attendait, pas la situation qu`on attendait. C`est transposé dans le domaine de la rêverie entre le vrai et le pas vrai, et le mot ainsi employé devient en même temps plus intime et plus exact que le mot tel qu’on l’emploie habituellement. On se fait son style. Il faut bien. Le métier c’est facile, ça s’apprend. Les outils tout faits ne tiennent pas dans les bonnes mains. Le style c’est pareil. Ça sert seulement à sortir de soi ce qu`on a envie de montrer. – Que cherchez-vous à montrer ? – L’émotion. Le biologiste Savy a dit une chose très juste : au commencement était l`émotion et pas du tout au commencement était le verbe. Quand vous chatouillez une amibe, elle se rétracte, elle a de l’émotion ; elle parle pas, mais elle a de l’émotion. Le bébé pleure, le cheval galope, à l’un, à l’autre, il faut apprendre à parler, à trotter. Seulement nous on nous a donné le verbe. Ça donne l`homme politique, l’écrivain, le prophète. Le verbe, c’est horrible, c`est pas sentable. Mais arriver à la traduire cette émotion, c`est d’une difficulté qu’on n`imagine pas… c’est horrible… c`est surhumain… C’est un truc qui vous tue le bonhomme. – Vous avez pourtant toujours éprouvé le besoin d’écrire. – On ne fait rien gratuitement. Faut payer. Une histoire qu’on imagine, ça ne vaut rien. Seule compte l’histoire qu’on paye. Quand c’est payé, alors on a le droit de transposer. Autrement c’est mauvais. C’est ce que fait tout le monde… je veux dire ceux qui ont tout : le Nobel, l`Académie, la presse, le grand prix du charlatanisme. Si j`avais de l’argent je les laisserais bien s’arranger entre eux. Je ne peux plus écouter la radio… ils découvrent un « génie » par semaine, des Balzac tous les quinze jours, des George Sand chaque matin. Je n`ai pas le temps de suivre. Moi. Je travaille. J’ai un contrat, faut que je l`exécute. Seulement j’ai eu soixante-six ans aujourd’hui, je suis mutilé å. 75 %. A mon âge la plupart des gens ont pris leur retraite. Je dois six millions à Gallimard. Alors je suis bien obligé de continuer… j’ai déjà un autre livre en train : toujours les mêmes machins… la suite de celui-ci. C’est l’engrenage. Je connais un peu le roman. De mon temps ça se faisait encore. Le roman c’est comme la dentelle… la dentelle aussi c’est un art, un art qui a disparu avec les couvents. Le roman ne peut pas lutter contre la voiture, le cinéma, la télévision, l’alcool. Un type qui a bien bouffé, qui s’est filé du 14°, le soir il donne un baiser à la patronne et puis sa journée est finie. Terminé. Notre entretien aussi. L.-F. Céline me raccompagne, et sur le pas de sa porte. Son œil bleu tout luisant de malice, il me lance : – Vous en voyez souvent des écrivains ? Vous avez vu Montherlant pour son élection ? Ça va bien pour lui, il doit être content. Lui c’est Chateaubriand qui le gêne. Le drapé antique, il n’y arrive pas, ça l’embête. Et Mondor, vous l’avez vu ? Et Sartre ? Ah ! il ne faut pas manquer Sartre. Eh bien ! Au revoir, madame, et bravo : vous avez une jolie carrière devant vous !

Janssen J-J dit: à

@ Et si vous vous exprimiez plus simplement et plus clairement, JJJ ?

Je ne m’étais pas relu avant de poster, et il y avait des fautes de frappe… Désolé. Vous n’en faites jamais, vous autres ?
(Hélas, je n’ai pas toujours le temps de les rattraper à temps qu’on vient à me mésinterpréter, – il est désespérant ce blog, en ce qu’il produit tant de malentendus que PA ne veut pas réparer)…

@ bonjour Marc, je sais très bien que vous n’avez pas travaillé QUE sur le 17e siècle… Sur le 18e, le 19e, le 20e, et la SF du 21e, aussi, et sur la tragédie grecque et bretonne, il me plait de le croire… Une culture monacale vertigineuse, somme toute, nous le savons, et donc la rencontre de transfuges de toutes sortes de genres, et ce, à toutes les époques… (EON, quand tu nous tiens !) – M’enfin, j’espère vous rencontrer à la foire de la LGBTQI+ cette aprèm, rue St Jacques dans le 5e, avec nos ami.es jzmn et D. : il n’y aura pas de chars, c déjssa ! – n’ayons pas peur de nous déplacardiser les rotules !)
Bàv,

Clopine dit: à

Prégojine/Poutine. Quand les loups commencent à s’entredévorer, les moutons ne sont pas mécontents !

B dit: à

Renato, je crois qu’il y a actuellement une épidémie de condamnations à mort en A Saoudite. Hasard ou nécessité?

B dit: à

Ceci étant, anti-cor est dans le collimateur du gouvernement, pour revenir à nos moutons.

Patrice Charoulet dit: à

à Monsieur Jacques Barozzi

Ayant indiqué une phrase étonnante de Charles Pépin, vous me répondez par un lien. J’ai cliqué. J’ai lu vos itinéraires numérotés. Souvent, je loue Facebook, qui permet de donner son vrai nom, de montrer sa photo, d’indiquer sa peofession, de dire ce que l’on aime, d’indiquer ses amis (lire « relations Facebook »), de dire ses livres livres préférés, de développer par des textes ses pensées, et de virer les indésirables.
Vos itinéraires sont très généreux et visent à faire de vous un autoportrait très approfondi.Vous êtes l’anti-parano.A la bonne heure !
Hétérosexuel, mari fidèle pendant 45 ans, je suis un peu surpris de vos aveux dans le domaine de vos activités sexuelles. C’est de vos divers itinéraires, celui qui m’intéresse le moins, vous l’imaginez sans peine.
Cela dit, ces textes m’incitent à vous considérer avec une certaine estime.
Je note que vous avez une mémoire d’éléphant. J’aurais été infoutu de me rappeler avec toute la précsion qui est la vôtre quelles furent mes lectures, mes films, mes chansons, etc. préférés
depuis mon enfance. Moi, j’ai pratiquement tout oublié.

D. dit: à

Les rassemblements comme le hellfest dans lesquels on fait à profusion des salutations sataniques, l’on insulte et détourne la croix de NS Jésus-Christ, l’on arbore sur les tee-shirt des pentacles pointe en bas, l’on se grime outrageusement en prêtre ou en religieux(se), devraient formellement être interdits en raison du trouble à l’ordre public qu’ils constituent.
Et je serais employeur d’un participant au hellfest, je mettrai dehors mon employé à la première faute professionnelle commise le permettant, sans témoigner d’aucune indulgence.

renato dit: à

Tiens ! le facho s’est réveillé et a pondu son opinion à 2cents.

Pattrice Charoulet dit: à

à Monsieur Jacques Barozzi

Grand merci de cet entretien avec Céline et vos itinéraires (très généreux et très francs).

D. dit: à

(…) Le roman ne peut pas lutter contre la voiture, le cinéma, la télévision, l’alcool. (…)

(…)sa journée est finie. Terminé. Notre entretien aussi. (…)

(…).Au revoir, madame, et bravo : vous avez une jolie carrière devant vous ! (…)

Mort de rire. Une autre façon de dire : allez vous faire foutre.

D. dit: à

Mais est-ce que dans une boîte de sardines on met un hublot ?

…il faut demander à Samuel.

D. dit: à

Un jour, tous les imbéciles notoires, qui n’ont pas compris

…j’aurais bien un nom…mais bon.

D. dit: à

Voire deux.

D. dit: à

Voire plus de deux.

Bloom dit: à

Les syriens. Les lybiens.

Tunisiens, Marocains, Algériens, Omanais, Turcs, Libanais, Albanais aussi.

A l’origine, au Pakistan, ce sont des passeurs locaux, très soucieux de la bonne santé de leur « bhai » (= frère; vazy mon frère).
La fête de l’Oumma…

Bloom dit: à

Le vendeur de hot-dog va-t-il faire de la chair à pâté du sous-fifre du KGB?

Baroz, tu ne connais pas MBS…? MBK, tu connais, j’espère; une gloire nationale!

Phil dit: à

Votre style bousculait beaucoup d’habitudes (1960)

Mme Sarraute bien conformiste avait effectivement « une jolie carrière » devant elle.

Bloom dit: à

yes, renato. Les US ne sont que l’extension des 13 colonies originelles. La guerre de Sécession, contrairement à ce que l’on dit trop souvent, ne s’est pas jouée sur l’abolition de l’esclavage mais sur l’extension de « l’institution particulière » aux territoires de l’Ouest en instance d’incorporation comme états (voir le Missouri Compromise de 1820 & la loi Kansas-Nebraska de 1854 qui l’annule).
Les pouvoirs résiduels des états sont importants. Ils ont par exemple permis l’instauration officielle de la ségrégation racaile dans les états du sud (1896, Plessy vs; Fergusson, doctrine du ‘separate but equal’ jugée compatible avec le 14 amendement). Il aura fallu un autre arrêt de la Cour suprême (Brown vs. Topeka Board of Education, 1954) pour déclarer inconstitutionnelle les lois Jim Crow, avant que que les Civil Rights &Voting Rights Acts de 1964 et 1965 inscrivent dans la loi l’égalité raciale.

Inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution fédérale, sous forme d’amendement, requiert une majorité des 2/3 au Congrès comme le prévoit l’article V. Loin d’être gagné avec les rednecks du sud et les réacs du midwest. Pour l’instant, seuls la Californie, le Michigan, and le Vermont ont inscrit ce droit dans leur constituion. Restent 47 états…

Bloom dit: à

ségrégation racaile / racaille…pas mal le lapsus, la racaille étant blanche, oeuf corse. Poo’ white trash…
–>ségrégation racIale, donc

MC dit: à

Michelet un coup d’éditeur, il faut l’oser! Je n’avais pas vu cette « réponse ».

MC dit: à

On pourrait, je le crains, dire la même chose avec autant d’exactitude delà Vie de Jésus!

Jazzi dit: à

Connaissiez-vous le compositeur pragois Josef Myslivecek (1737-1781), dit « le divin Boemo » ? Pour le léZard ce fut une totale découverte, mais il aurait préféré un Visconti ou un Losey à la caméra !

Jazzi dit: à

« il faut l’oser ! »

Moi j’ose, MC, c’est même à ça qu’on me reconnait !
J’ai dit aussi que grâce aux kiosques installés dans les gares, La Vie de Jésus, de l’un, ou le Jeanne d’Arc, de l’autre, voulu par Hachette étaient les premiers livres de poches et têtes de gondole de l’époque.

Jazzi dit: à

Claude, malgré le poids de Nathalie a su trouver sa place, Phil.
A côté de son mari dans leur tombe du cimetière du Montparnasse…

Jazzi dit: à

« Vous n’en faites jamais, vous autres ? »

Dès que j’en fais une (de frappe ou d’orthographe), et alii la souligne et me permet de la corriger !
Est-elle ma bonne conscience ou suis-je son bouc émissaire ?

Jazzi dit: à

N’en jetez plus, Monsieur Patrice Charoulet, mes chevilles gonflent !

Jazzi dit: à

« MBK, tu connais, j’espère; une gloire nationale ! »

A ma grande confusion, ça ne me dit rien, Bloom !

Jazzi dit: à

« Mort de rire. Une autre façon de dire : allez vous faire foutre. »

Le plus drôle, D., c’est que Céline renvoie Claude Sarraute auprès de Sartre !
Quand on sait que Nathalie Sarraute a longtemps minaudé auprès de lui pour entrer à la NRF, ce qui agaçait prodigieusement la grande Simone !

Jazzi dit: à

« Ceux qui ont dirigé au cours des siècles l’instruction des Français ce sont les jésuites. Ils nous ont appris à faire des phrases traduites du latin, bien balancées, avec un verbe, un sujet, un complément, un rythme. Bref du prêchi, du prêcha, du sermon. On dit d’un auteur ; Il file bien la phraaase ››… Moi je dis : « C’est pas lisible. »

Et moi je ne comprends que ce français-là !

Paul Edel dit: à

De son côté la sœur de Claude Sarraute, Anne Sarraute, travaillait avec le grand Maurice Nadeau au sein de la rédaction de la Quinzaine littéraire. Elle avait un côté austère du genre « entré en religion » pour la cause littéraire. Intéressant personnage.

Samuel dit: à

Pourquoi Jésus n’a pas donné son pardon à Judas avant de mourir sur la croix ?

Pablo75 dit: à

Shinto

Cuando nos anonada la desdicha,
durante un segundo nos salvan
las aventuras ínfimas
de la atención o de la memoria:
el sabor de una fruta, el sabor del agua,
esa cara que un sueño nos devuelve,
los primeros jazmines de noviembre,
el anhelo infinito de la brújula,
un libro que creíamos perdido,
el pulso de un hexámetro,
la breve llave que nos abre una casa,
el olor de una biblioteca o del sándalo,
el nombre antiguo de una calle,
los colores de un mapa,
una etimología imprevista,
la lisura de la uña limada,
la fecha que buscábamos,
contar las doce campanadas oscuras,
un brusco dolor físico.
Ocho millones son las divinidades del Shinto
que viajan por la tierra, secretas.
Esos modestos númenes nos tocan,
nos tocan y nos dejan.

Jorge Luis Borges.

SHINTO

Quand le malheur nous accable,
voici que, l’espace d’une seconde, nous sauvent
les aventures infimes
de l’attention ou de la mémoire :
le goût d’un fruit, le goût de l’eau,
ce visage que nous rend un rêve, [ce visage qu’un rêve nous rend]
les premiers jasmins de novembre,
l’attirance infinie de la boussole, [le désir infinie]
un livre que nous pensions avoir perdu,
le battement d’un hexamètre,
cette petite clef qui nous ouvre une maison,
l’odeur du santal ou d’une bibliothèque,
le nom ancien d’une rue,
la couleur d’une mappemonde,
une étymologie insolite,
le poli d’un ongle qu’on a limé,
la date que nous cherchions,
compter les douze coups de l’obscur, [les coups de cloche obscurs]
une brusque douleur physique.
Huit millions, les divinités du Shinto
qui voyagent, secrètement, sur la terre.
Ces dieux modestes nous frôlent, [nous touchent]
nous frôlent puis s’éloignent. [nous touchent puis nous quittent]

Jorge Luis Borges. Traduction de Claude Esteban.

D. dit: à

Samuel, même après son odieux méfait, il aurait pu tomber à genoux et supplier Dieu de lui pardonner, mais il ne l’a pas fait. Il a eu du remords mêlé de crainte, qui l’a poussé à rendre aux Pharisiens l’argent qu’il avait reçu pour sa trahison, mais il ne s’est jamais repenti. Il a préféré commettre un acte d’égoïsme ultime : le suicide (Matthieu 27.5-8).
Jésus pardonne toujours à qui demande sincèrement le pardon.TOUJOURS.

Pablo75 dit: à

Une anecdote sur Borges que j’ai lu l’autre jour:

Borges espera el ascensor en la Biblioteca Nacional. Después de un largo rato, impaciente, le dice a la persona que lo acompañaba: « ¿No prefiere que subamos por la escalera, que ya está totalmente inventada? »

Borges attends l’ascenseur de la Bibliothèque Nationale. Après un bon moment d’attente, impatient, il dit à la personne qui l’accompagnait: « Vous ne préférez pas qu’on monte par l’escalier, qui est déjà totalement inventée? »

D. dit: à

C’est bon les hot-dogs.

renato dit: à

Poutine a finalement apporté la preuve de sa stupidité.

D. dit: à

Pas autant que vous, renato.

renato dit: à

Dédé, le crétin facho a parlé.

Pablo75 dit: à

À propos de Borges, il dit je ne sais pas où (une interview ?), que Victor Hugo a appelé le sexe de l’homme « le doigt de Dieu ». Les victorhuguistes du blog en savent quelque chose ou c’est une invention de l’ami Jorge Luis?

Jazzi dit: à

« sa stupidité »

Le mot est bien faible, renato.

renato dit: à

Et par-dessus le marché le putassier monothéiste qui se veut chef de l’église russe appelle à soutenir le dictateur qui squatte le kremlin.

renato dit: à

Il est un criminel stupide, Jazzi.

Jazzi dit: à

« le crétin facho »

Le mot est un peu fort, renato.
Dédé n’a vraisemblablement pas de sang sur les mains et l’on est même pas sûr qu’il ait foulé le manteau de sa collègue de bureau…

Jazzi dit: à

« un criminel stupide »

Là, c’est plus juste, renato.

Jazzi dit: à

La traduction de Claude Esteban est parfaite, Pablo75.
Légère, aérienne coulante à l’oreille…
Et le poème de Borges est bien beau.

Jazzi dit: à

Dans mon souvenir, il me semblait que Jésus avait pardonné à Judas, Samuel.
Si coupable il y a, n’est-ce pas Dieu lui-même ?
« Père pourquoi m’as-tu abandonné ! »

Bill Evola dit: à

Où en est-on avec la rose mamma?

Bill Evola dit: à

Claude Esteban

Créateur de la collection « poésie » aux éditions de la Différence.
Quel feu catalogue!

renato dit: à

Vu les opinions que ce crétin (dédé) exprime ici, Jazzi, il n’a pas de sang sur les mains mais c’est comme si ; pour le manteau piétiné, comme tout bon facho il nie ses responsabilité — tout comme il nie l’arcellement méthodique de Traube pour après se demander pourquoi il n’est plus sur la RdL : une vraie petite fiente de moineau ce dédé.

Jazzi dit: à

Oui mais la petite fiente du moineau Dédé n’atteindra jamais l’Aigle renato !

renato dit: à

Certes, Jazzi, mais il salit le ‘territoire’.

Jazzi dit: à

Le pire, c’est les pigeons, renato.
A Paris, la plupart des bancs, dans les rues et les jardins publics sont inaccessibles !

D. dit: à

Un aigle, renato ?! Tout au plus un vieux hibou. Hou Hou.

Damien dit: à

Dans mon souvenir, il me semblait que Jésus avait pardonné à Judas, Samuel.
Si coupable il y a, n’est-ce pas Dieu lui-même ?
« Père pourquoi m’as-tu abandonné ! »

Vous n’êtes pas très bon en théologie et vous touches des matières dont vous ne connaissez pas le premier mot. Il faut savoir que Judas n’a pas demandé pardon au Christ. Il a regretté son geste amèrement, peut-être, mais il est allé se pendre sans avoir rien dit. Il a seulement jeté l’argent à la gueule des Juifs, qui n’ont pu l’employer pour le Temple, car cet argent était maudit. Voilà l’histoire de Judas qui a intéressé nombre de romanciers. Judas était un personnage essentiel, que Jésus avait percé à jour. Mais ce n’est pas Judas qui est devenu le Christ, le Messie, c’est Jésus, annoncé par Jean le Baptiste dont on fêtait la naissance aujourd’hui dans les églises. Il fait chaud. Bonne fin de journée, et lisez les Evangiles !

Jazzi dit: à

Grand choix parmi les oiseaux de Paris, D. !

Jazzi dit: à

Judas est un pion sans lequel pas de Jésus, Damien.

Bloom dit: à

‘Le Pigeon’, inquiétante nouvelle de Patrick Süskind. Impossible de les voir de la même façon après lecture.

Baroz, MBK, c’est Motobécane (1924, Pantin), un pan glorieux de l’histoire industrielle du pays.

Bloom dit: à

Pourquoi sont-ce des compositeurs protestants, Bach et Haendel, qui ont célébré le plus génialement les évangile?

Bloom dit: à

évangileS

et alii dit: à

Bloom, ne vous offensez pas que je trouve votre question interressante!
en voici une approche:
Quel est le point commun entre Jean-Sébastien Bach, Aretha Franklin, Georg Friedrich Haendel et Felix Mendelssohn ? Tous sont protestants. Lancée au 16e siècle, la dissidence protestante n’a pas seulement réformé le christianisme. Elle a aussi révolutionné la musique. Cette semaine, Musicus Politicus s’intéresse à une révolte musicale : le protestantisme.
https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/musicus-politicus/une-revolte-musicale-le-protestantisme-7579185

Jean Langoncet dit: à

@Prégojine/Poutine. Quand les loups commencent à s’entredévorer, les moutons ne sont pas mécontents !

Bientôt la mainmise de Wagner sur l’arsenal nucléaire russe au service d’une politique étrangère audacieuse ?
Salut salut

Jazzi dit: à

BENJAMIN FONDANE (1898~1944)

Ulysse

J’ai quitté les trottoirs de la ville pour d’autres trottoirs
de villes,
les millions d’hommes pour d’autres millions d’hommes,
les mêmes à n’en plus finir,
je n’en avais jamais assez !
Pourquoi me suis-je déplacé ?
Les mots se meurent de changer de bouche,
La chance s’use de fournir les dés.
Quel curieux voyage j’ai fait parmi les hommes,
que de routes avons-nous parcourues ô mon œil
et quel étonnement à chaque tournant neuf
que les matins fussent les mêmes,
que les hommes eussent même visage,
vieux canots amarrés aux pontons pourrissants,
existences jaunies ―
ne savais-je donc pas leur racine enfouie
sous terre ― et le voyage inutile, et la soif ?
C’est dans leur tubercule qu’il y avait du neuf :
Miracles de la faim, du froid,
vous êtes si plein de figures !
Que le monde était plein quand nous avons quitté
le port ! Était-ce une vue ou bien une vision ?
Et maintenant que les mers ont salé mes poumons
mouette vieillie, espoir usé et ébruité
je ferme le vieux livre et je dis : À quoi bon ?
Pourquoi tant d’eau multipliée par tant d’eau ?
tant de terre ?
L’homme est peut-être roi de ce monde, mais moi
mais vous, toutes ces ombres usées par la colère,
la pitié et l’envie de n’être nulle part,
qu’y cherchons-nous ? Vous ai-je inventées ? Mon regard
est las. Que font les hommes ? Sont-ils absents ?
d’eux-mêmes ? ―
Ou bien, rongés de fièvres secrètes comme nous,
revenus d’un voyage où eux aussi avaient
vu des êtres, des ports et des mers insensées,
des choses éternelles, si fades au palais,
et de sensibles, tendres et périssables choses
― si chères !

(« Le Mal des Fantômes »)

closer dit: à

A vrai dire la musique religieuse des musiciens catholiques Haydn, Mozart, Beethoven, Verdi, sans parler des italiens des 16ième/17ième siècles, Palestrina, Monteverdi, Vivaldi, etc, n’est pas mal non plus. C’est vrai qu’elle plus centrée sur la liturgie, mais bon…

Samuel dit: à

Pourquoi en amour, la satisfaction sexuelle dépend beaucoup de la tendresse des baisers et des caresses ?

D. dit: à

Il faut être d’une naïveté sans nom pour imaginer un instant que Pr. puisse renverser Po. d’une quelconque manière. Par contre les méthodes hypothéticodeductives montrent avec une haute probabilité que Pr. à été copieusement arrosé à coup de millions de dollar pour faire ce qu’il fait et on va très probablement dans les heures et jours qui viennent observer sa « mystérieuse » disparition, en réalité sa mise à l’abri sous les cocotiers. Et il ne mettra bien sûr pas un pied dans Moscou ni même dans un rayon de 300 km autour.

Jean Langoncet dit: à

De la fidélité des troupes mercenaires dans l’histoire militaire. Calimero monte au cocotier

Jean Langoncet dit: à

(Évocation de Clausewitz chez Paul Edel …)

renato dit: à

Je ne sais pas qui et pourquoi s’est penché sur la question des compositeurs protestants et en bonne substance je m’en fous car il s’agit de narrations qui n’ont rien à voir avec la musique, mais plutôt avec une idée de suprématie pour incultes : les arts non pas de frontières. Voyez plutôt Palestrina ses compositions, modèle inégalé de la polyphonie vocale sacrée de l’Église romaine à la Renaissance et constituent toujours une référence pour l’étude de la composition, en particulier de la technique du contrepoint. Ou les quatre livres de pièces pour clavecin de Couperin aussi que ses Pièces d’orgue. Inutile de faire d’autre exemples.

renato dit: à

Le crétin philo-Poutine fait dans le complotisme pour poivrotes.

renato dit: à

n’ONT pas de frontières…

MC dit: à

Si je comprends bien, Renan aurait copie les épisodes de l’enfance du Christ dans la Vie de Jeanne d’ Arc!? La Vie de Jésus est d’autre part parue chez Lévy en 1863, tandis que pour Jeanne, c’est vingt ans avant! En 1843, il n’y a pas beaucoup de gares! Il y en aura bien plus en 1863. Il faudrait donc tenir compte d’une statistique cumulative des ventes Hachette pour que votre analyse soit tenable! Bien à vous. MC

Pablo75 dit: à

Pourquoi sont-ce des compositeurs protestants, Bach et Haendel, qui ont célébré le plus génialement les évangiles?
Bloom dit:

Les évangiles ont inspiré très peu d’oeuvres à Haendel, que je sache, infiniment moins en tout cas qu’à Bach.

Mais la question n’a pas beaucoup de sens. Dans le cas de Bach, c’est son métier de cantor à Leipzig qui l’a obligé à composer des cantates et des Passions basés sur les évangiles. Mais il ne faut pas oublier qu’en 1733, étant fatigué des problèmes qu’il rencontrait dans son poste à Leipzig, il a sollicité celui de Kapellmeister à Dresde, où le prince était catholique (et pour ce faire il lui a envoyé le Kyrie et le Gloria de sa future Messe en si). S’il avait obtenu le poste, il est bien possible qu’il aurait écrit plein d’autres messes catholiques – et très probablement des opéras.

Des questions qui auraient plus de sens seraient : c’est un hasard que le plus grand compositeur de tous les temps soit protestant? Ou: c’est un hasard que le protestant Bach ait écrit la plus belle messe catholique?

Quand on lui demandait de choisir une seule oeuvre dans la musique classique, Karajan choisissait la Messe en si.

J.S. Bach: Mass In B Minor, BWV 232 / Sanctus
Wiener Singverein · Berliner Philharmoniker · Herbert von Karajan
https://www.youtube.com/watch?v=7O4yF_E9zF0

MC dit: à

Quant à recommander un Petit-fils, Banquier plus à l’aise dans le Grand Siècle que dans l’histoire biblique, passons!

MC dit: à

Petitfils ! Le correcteur fait des blagues!

Bloom dit: à

renato, à propos de Palestrina

And so, you might ask, why are we celebrating the 500th anniversary of the Reformation in music? Why does it have any enduring significance for the culture of western music?

For a start, the Protestant imperative to attend more to text in general and scripture in particular, led to the Catholic church’s own Reformation, the Counter Reformation, in the mid-16th century. It was in this environment that Palestrina became the mythologised father of a new Catholic musical tradition that, like those of the Protestants, purported to present the text more clearly by avoiding the excesses of polyphonic elaboration.

Article complet
https://www.theguardian.com/music/2017/aug/18/the-reformation-classical-musics-punk-moment

renato dit: à

La question de la culture de l’écoute, Bloom.
Je ne sais pas où Barthes est allé chercher ça, car sans culture de l’écoute pas de musique. Pour ne faire qu’un exemple, pas de vrais compositeurs russes avant Glinka, mais pendant tout le XVIIIe siècle, beaucoup d’interprètes amateurs — surtout musique de chambre —. Il y a donc eu une culture de l’écoute avant la création.

Si vous voulez faire une incroyable expérience d’écoute, Gabrieli en San Marco à Venise.

Marie Sasseur dit: à

Le vieux puceau a des arguments de folle de la messe.

Damien dit: à

Un homme, âgé de 42 ans, est activement recherché, soupçonné d’avoir tué sa compagne lors d’une permission de prison. Figaro

L’homme était sûrement en fin de peine, ce qui montre que sa peine ne l’aura pas amendé. Et pourtant, il faut bien qu’un détenu sorte de prison un jour, même s’il a tué un enfant… Cela peut paraître révoltant. Dans le cas que rapporte le Figaro, il aurait fallu protéger la victime. Peut-être larguer le détenu dans une réserve ? La récidive n’est pas prévisible toujours, on est vraiment devant quelque chose de compliqué. Le taulard sort en permission après x années passées à l’ombre. Il en peut plus. Il n’a pas d’endroit où aller, il retourne chez cette femme qu’il connaît, ne sait pas encore qu’il va la tuer. Il sonne à la porte, il lui ouvre. On imagine le face à face, et puis ça dégénère, et le mec commet un homicide et s’enfuit. Un assassinat navrant. On dira : il ne fallait pas libérer l’énergumène. Mais ça ne tient pas. Ou alors : il ne faut les libérer qu’au terme légal de la peine. Et ça ne tient pas non plus. En fait je crois le taux de récidive est très bas. Ici nous avons affaire à une exception, une malheureuse exception. Il a fallu que ça tombe sur cette femme, et puis aussi finalement, disons-le, sur cet homme qui n’est au fond pas responsable de son acte, comme tout meurtrier (cf. Nietzsche et Schopenhauer, tcétéra tcétéra…). Nordal Lelandais, le pédocriminel, vous croyez qu’il est responsable de ses actes ? La psychiatrie démontre que non, quand elle est sérieuse, mais on le clame pas, car c’est difficile à avaler pour tout le monde. C’est pourquoi, les criminels comme ça, qui sont inguérissables, il faut les enfermer, sinon ils recommencent : et ça pose un gros problème. Personnellement, je trouve affreux de mettre quelqu’un en prison, même Nordal Lelandais. Mais que faire ? Et puis un jour, l’assassin a purgé sa peine, ses trente ans… Alors, peut-être, comme Patrick Henry, il ressort à l’air libre, et il recommence. Il deale de la drogue, il ne kidnappe pas un enfant — pas tout de suite. Mais je le redis, néanmoins, la plupart des criminels ne récidivent pas, mais on ne sais jamais lesquels. C’est presque le hasard, la roulette russe, surtout pour les proches, ceux qui sont susceptibles d’être recontactés par le criminel en liberté. Jean Genet voulais qu’on libère les criminels, les maquereaux et les terroristes palestiniens. Alors, ça part d’un bon sentiment, mais c’est dangereux. Il y a des conséquences sur lesquelles Genet passe un peu rapidement. Un vrai forçat, Genet. Le journal du voleur, un beau bouquin ! Les fêtes du bagne… Aujourd’hui, le vaillant Nordal Lelandais croupit en prison, attendant depuis des années ses procès à répétition. La sève monte en lui, la révolte, l’abolition de son jugement. Bonne soirée à tous.

Bloom dit: à

Пригожин, que nous translitérons Prigojine en français, est Prigozjin en néerlandais, Prigoschin, en allemand, Prigozhin, en anglais, espagnol, italien et portugais,
普里戈津 en putonghua & プリゴージン à Tokyo.
Pas d’erreur, c’est bien la même personne.

rose dit: à

En amour, la.satisfacgion sexuelle dépend beaucoup de l’amour.
Rose, la pas lisse.

rose dit: à

En amour, la satisfaction sexuelle dépend beaucoup de l’amour.
Rose, la pas lisse.

Déjà, ce n’est pas vrai.

et alii dit: à

LA PAS LISSE ou l’appât lisse ?

rose dit: à

Il a seulement jeté l’argent à la gueule des Juifs, qui n’ont pu l’employer pour le Temple, car cet argent était maudit.

Pasolini ne le présente pas ainsi.
Judas va donner l’argent aux juifs. Sans leur jeter à la figure. Et les juifs, gentiment, refusent l’argent en disant que cet argent est maudit. Donc Judas n’a aucun moyen de se racheter autre que la pendaison.

Ça, je l’ai appris hyper-récemment que Judas s’était pendu.
Mais ce que je sais depuis longtemps, c’est que l’argent ne rattrape rien, jamais. Et aussi qu’il tue l’amour.
Mon père m’a appris cela en 2005. Et il n’en a tenu aucun compte pour lui-même.

Cela, c’est quelque chose d’assez sidérant, de savoir quelque chose et de ne pas en tenir compte.

Jean Langoncet dit: à

Renan /Michelet ?
« Michelet : ou l’enthousiasme en bras de chemise » selon Nietzsche ; Renan n’est pas mieux logé au Crépuscule des idoles : « Renan. — La théologie, c’est la perversion de la raison par le « péché originel » (le christianisme). À preuve Renan qui, dès qu’il risque un oui ou un non d’un ordre général, frappe à faux avec une régularité scrupuleuse. Il voudrait par exemple unir étroitement la science et la noblesse : mais la science appartient à la démocratie, cela saute aux yeux. Il désire représenter, non sans quelque ambition, une aristocratie de l’esprit : mais en même temps il se met à genoux devant la doctrine contraire, l’évangile des humbles, et non seulement à genoux… À quoi sert toute libre pensée, toute modernité, toute moquerie, toute souplesse de torcol, quand, avec ses entrailles, on est resté chrétien, catholique et même prêtre ! Renan possède, tout comme un jésuite et un confesseur, sa faculté inventive dans la séduction ; sa spiritualité ne manque pas de ce large sourire bonasse de la prêtraille, — comme tous les prêtres il ne devient dangereux que lorsqu’il aime. Personne ne l’égale dans sa façon d’adorer, une façon d’adorer qui met la vie en danger… Cet esprit de Renan, un esprit qui énerve, est une calamité de plus pour cette pauvre France malade, malade dans sa volonté. » Tout ceci se discute encore …)

rose dit: à

Pour moi, une chose ne va pas : les moustiques m’aiment.

Crénom de nom.

renato dit: à

Perle. Dans Trois version de Judas Borges transforme l’un de ses camarades de classe (plus tard député du Parti communiste suisse), Maurice Abramowicz, en un religieux et philosophe français.

et alii dit: à

MOUSTIQUES

ROSE, j’ai dit hier à un spécialiste (cnrs) d’insectes que les moustiques me dévoraient;il m’a dit « ils ont bon goût »!(sic)

Samuel dit: à

Pourquoi le nom du sinistre Prigojine me fait penser à l’autre Prigogine, le Nobel de physique, Ilya de son prénom, auteur d’un célèbre ouvrage « La Fin des certitudes » ?

rose dit: à

Le pire est que ma mère est une vraie chrétienne.
Sans rien exiger, elle est prête à pardonner.
Sans reconnaître tes torts, comment peux -tu être pardonné ?
Et bien ma mère peut.
Souventes fois, je me demande si elle n’est pas une sainte.

Aujourd’hui, elle m’a demandê pourquoi elle vivait cela et dit que rien de sa vie ne l’avait amené à ça. Elle ne comprend pas.

rose dit: à

me dévoraient;il m’a dit « ils ont bon goût »

Et alii

Croix de fer.
Ne me soumets pas à la tentation.
Ai la méthode : lit au carré, pendules à l’heure.

rose dit: à

Tout cela, l’inventaire au-dessus, n’a strictement aucune importance au regard de la.loi des hommes. Mais. ‘est omettre la loi de dieu.

À la gendarmerie de Forcalquier ou un qui venait d’arriver depuis un mois a essayé de me faire passer pour dingo (comme on est soi-même), un gendarme m’a dit « mais Johnny aussi ».

Obligée de lui répondre « mon père n’est pas Johnny ».

Enfin ce texte de Borgès, il est tordu.

Et c’est cela qui est totalement sidérant avec Emma : c’est sa droiture d’esprit. Et son analyse ric-rac des choses.

Je lui fais lire ce qu’écrit Jazzi des mères, un fléau, de la maternité, un viol.
Elle est tout d’abord assommée.
Puis, elle me dit « mais, qu’est ce qu’elle lui a fait sa mère pour qu’il pense cela ? »

C’est sa justesse de jugement tellement autonome qui m’épate.
Hier, elle m’a dit « les parents ont fait ce qu’ils ont pu ».
Je lui ai rétorqué que non, car ils ont fait du mieux que,ils ont pu.

Cela me semble général, cette attitude.

Pour le gars de 42 ans, c’est un drame, mais pour la femme qu’il a assassiné, c’est la fin d’une vie.

rose dit: à

G croisé deux homosexuels au restau italien ****, un tellement extraverti et tapette.
Et deux autres avec lesquels j’ai tellement sypathisé.
Un des deux, c’était inouï lorsque je lui ai parlé de 🍫 m’a croisé deux doigts l’un sur l’autre comme un crucifix et m’a dit « c’est péché « .
C’est pour cela que je le fais à et alii, le signe.
Il a enchaîné avec « si ma mère me déshérite ». Pas de souci lui ai-je répondu, moi c’est mon père. Je n’ai pas développé les détails mais nous avons eu deux complicités affectueuses, le crucifix et le dés-🍫💖🍅🙄☀️🍑👍héritage.
Puis, il a pédalé.
Ben oui.

rose dit: à

tellement sympathisé 👬🧑‍🦳

rose dit: à

Bidons les deux derniers émoticônes…j’avais mis une vieille dame aux cheveux bouclés, et pas de crucifix dans les émoticônes.

renato dit: à

Tordu ? peut-être, mais j’ai lu les trois versions à un sympathique curé avec qui je faisais parfois de l’alpinisme et parfois je péchais sur le lac Majeur et il l’a trouvée de l’ordre des possibles.

et alii dit: à

rose,je me demande si les hommes lorsqu’ils prennent de l’âge, ne se laissent pas menés et gérés par des femmes habiles et bien informés

et alii dit: à

informées

D. dit: à

rose, je me demande si et alii en prenant de l’âge ne fait pas d’énormes fautes d’orthographe.

D. dit: à

Bonne nuit au vieux hibou toto. HOU ! HOU !

Jazzi dit: à

« Si je comprends bien, Renan aurait copié les épisodes de l’enfance du Christ dans la Vie de Jeanne d’ Arc !? La Vie de Jésus est d’autre part parue chez Lévy en 1863, tandis que pour Jeanne, c’est vingt ans avant! En 1843, il n’y a pas beaucoup de gares! Il y en aura bien plus en 1863. Il faudrait donc tenir compte d’une statistique cumulative des ventes Hachette pour que votre analyse soit tenable! Bien à vous. MC

Je n’ai pas dit ça, MC.

Mais que le succès populaire du « Jeanne d’Arc » de Michelet c’est avant tout un coup d’éditeur, MC !

Avant 1850, Louis Hachette, s’inspirant du modèle britannique, fait installer dans chaque gare ferroviaire un point de vente de livres, qui non seulement propose sa production mais aussi celles de ses concurrents : la « Bibliothèques des Chemins de fer » est née.

C’est en 1841 que Jules Michelet (1798-1874) publia le tome V de sa monumentale Histoire de France dont le premier chapitre était consacré à Jeanne d’Arc. Louis Hachette, son éditeur, s’avisa alors qu’il y avait matière à en extraire l’épisode concernant la Pucelle pour en faire un livre unique, à la minceur et à la densité d’un livre populaire.

Renan, c’est encore autre chose.
Mais la stratégie du best seller est une histoire qui ne date pas d’aujourd’hui…

Phil dit: à

parfois je péchais sur le lac Majeur

risque de mort shuman

renato dit: à

Oui, Phil, avec circonflexe… mais sur le téléphone il c’est une manœuvre qui ne réussit pas toujours au premier coup (qui est parfois le dernier).

Phil dit: à

dear Renato, c’était une belle faute, pardonnable

MC dit: à

Faites le compte des Gares existant en 1841, Jazzi. Il ne doit pas il y en avoir beaucoup. C’est après cette date, et sous le Second Empire, que le Reseau s’étoffe. Là les choix de Louis Hachette peuvent signifier quelque chose. Renan a d’abord et surtout été édité par Michel Levy , puis Calmann. Bien à vous. MC

MC dit: à

Il ne paraît pas que Petitfils, au rebours de Renan, maitrise une seule langue ancienne. Cela suffirait à disqualifier ceci….

MC dit: à

Pablo. Pas trouvé cette citation prêtée à Hugo. Il est possible que ce soit une invention de Don Luis. Bien à vous. MC

Marie Sasseur dit: à

renan, auquel le vieux puceau voue un culte , est quand celui pour qui le mot antisémite a été inventé, et compréhensible en langage universel.

Marie Sasseur dit: à

Que la tafiole compte maintebant les gares avec le vieux puceau, ça lui passera l’envie de balancer du renan sur un billet nippon ni mauvais.

rose dit: à

7h07 dimanche 25 juin

Bon dimanche

Jazzi dit: à

Cette manière de juger nos prédécesseurs à la lumière de la pensée dominante actuelle, ainsi que le fait MS à propos de Renan, c’est ce que l’on appelle du wokisme.
Ni plus ni moins.

Marie Sasseur dit: à

Le vieux puceau pratique par effets de manche comme son modèle.
Il serait bien avisé de comparer la ( très courte) bibliographie de son catéchiste breton, pour sa vie de Jésus, où on comprend qu’il a repompé 4 bouquins en tout et pour tout et  » inventé » beaucoup, et on sait dans quel but,
et celle de JC Petitfils, dans son bouquin Jésus, que par curiosité je suis allée voir , ref: version poche, édition mai 2018: pas moins de 70 pages de notes et références biblio, internationales, qu’elles soit historiques, archéologiques, ou  » testamentaires »

Encore une fois, le jour où ce vieux dément mc donnera les preuves de ce qu’il invente, ce jour là, on consentira à envisager la possibilité qu’il ne soit pas un imposteur ridicule. Sur renan et tout le reste !

Jazzi dit: à

« mais, qu’est ce qu’elle lui a fait sa mère pour qu’il pense cela ? »

rose, imprimez et donnez à lire ce texte à votre mère, elle y trouvera peut-être la réponse à sa question.
https://www.lelezarddeparis.fr/la-maison-aux-arcades

La maternité c’est le viol, ou plutôt la parentalité c’est le viol, découle en droite ligne, et fort logiquement de la propriété c’est le vol.
C’était ma réponse aux affirmations, gratuites, de Clopine me reprochant d’être de droite, pro capitaliste, macronien, etc. etc.

Jazzi dit: à

Lire ce passionnant dossier plutôt que les âneries de l’ignorante Sasseur.

« La Vie de Jésus placera, on le sait, Renan au hit-parade des auteurs, immédiatement après Victor Hugo et loin devant Lamartine. Entre 1863 et 1864, le livre connaît douze éditions. La Vie de Jésus est même un long-seller, puisqu’entre 1864 et 1944, on en vendra au total 430 000 exemplaires. »
https://www.cairn.info/revue-mil-neuf-cent-2007-1-page-61.htm

Marie Sasseur dit: à

La tafiole et son hit parade.

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Marie Sasseur dit: à

Entre parenthèse, JC Petitfils expédie la vie ( rêvée) de Jésus du catéchiste breton renan, en quelques mots bien sentis, le renvoyant aux oubliettes du scientisme devot et de l’amateurisme obsolète.

Clopine dit: à

Même si Pregojine vs Poutine ça sert à rien (mais Moscou est placée en alerte terroriste, les moscovites ne vont plus pouvoir regarder soigneusement ailleurs), ça fout le bordel. Et derechef, quand les loups se bouffent entre eux, l’herbe paraît meilleure aux moutons.

renato dit: à

« … Pregojine vs Poutine ça sert à rien… »

Ça a révélé définitivement que la Russie ce n’est qu’un pays sous-développé avec l’arme nucléaire ; que Poutine est un menteur stupide ; qu’un chef de guerre (Pregojine) a pu prétendre traiter avec des chefs d’état, bon il est vrai que Loukachenko est un vassal de Poutine qui est quant à lui un vassal de Xi, mais le fait reste.
Cela bien à part, Pregojine est arrivé à 200 km de Moscoue sans trouver la moindre résistance, donc la question à se poser, si l’on n’est pas un endive-dépendent, est : « cui et prodest ? ».

renato dit: à

cui prodest? sans ET

Jazzi dit: à

Dans la famille Petifils, demandez le père, biographe de Rimbaud, Verlaine et Gérard de Nerval !

Marie Sasseur dit: à

René de Milan et Vladimir de Moscoue( sic), c’est fusionnel.

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