de Pierre Assouline

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La République des livres
De quelques romans de la rentrée (1)

De quelques romans de la rentrée (1)

Dommage que la personnalité d’Eric Rheinhardt et, partant, son œuvre soient aussi clivantes (citez son nom et vous ne récolterez que des réactions radicales pour le meilleur et pour le pire). C’est regrettable et l’on ne peut qu’engager les lecteurs à passer outre car son nouveau roman Sarah, Suzanne et l’écrivain (432 pages, 22 euros, Gallimard) en vaut vraiment la peine. Comment un détail (la découverte d’un acte de propriété de la maison achetée par le couple puis celle des pratiques solitaires du mari, la nuit, isolé dans sa cave) bouleverse l’équilibre d’une famille apparemment tranquille et l’effondre. Le détail qui tue et qui change tout car il révèle la déloyauté du mari vis à vis de sa femme ; cela m’a fait penser à l’avalanche anodine qui a révélé la lâcheté du père de famille dans le film Snow Therapy.

Le personnage de la femme est pathétique par ses fragilités face à une situation inédite, inoubliable par sa complexité, son obsession monomaniaque pour un tableau (des religieuses dans la galerie d’un couvent), l’inquiétante étrangeté qui l’envahit progressivement et nous avec, le sentiment d’être gagnée par la folie, son isolement au sein des siens, la solidarité vacillante de son fils, l’attitude atroce de rejet de sa fille, la veulerie, l’égoïsme et la perversité de son mari etc. Elle est poignante. Cela faisait longtemps que je n’avais pas été proprement aussi captivé par l’univers d’un roman aussi bien construit, si subtilement agencé. En le refermant, une réflexion de Proust dans sa correspondance m’est revenue en mémoire :

« Nous vivons auprès de gens que nous croyons connaitre. Il nous manque l’évènement qui nous les fera apparaitre autres que nous les savons ».

Elle aurait pu figurer en épigraphe de cette histoire puissante, troublante, dérangeante. Que demander de plus ? Des semaines après l’avoir lu, ses personnages à commencer par celui de l’(anti)héroïne reviennent nous hanter ; ils nous interrogent encore ; c’est aussi que ses pages si denses exhalent un parfum d’une grande tristesse. Eric Reinhardt, qui gagnerait désormais à renoncer à son cher dispositif (confessions d’une de ses lectrices à l’auteur) s’affirme vraiment comme le romancier du couple en crise et des rapports de domination en son sein. La lecture de L’Amour et les forêts le confirmait déjà ; et, après avoir vu le beau film que Valérie Donzelli en a tiré, on n’en doute plus.

 J’ai été tout aussi captivé mais surtout bluffé par le premier roman de Cécile Desprairies, La Propagandiste, (224 pages, 19 euros, Seuil). Non tant par l’écriture, sans génie mais sans lourdeur, émaillée de quelques belles formules, mais par le fond et la mise en place des différents éléments. Deux fils rouges : un gynécée de femmes qui font salon ; l’histoire d’amour entre Lucie, mère de la narratrice, qui fut une nazie fort convaincue et fort active sous l’Occupation dans les cercles collabos et un Allemand mort dans des conditions mystérieuses à la Libération. C’est une histoire très française pleine de rumeurs, de non-dits, de secrets de famille, de dénonciations, de lâchetés, de retournements de veste, de chantage ô combien. Et comment tout cela macère au sein d’une respectable famille bien enracinée, dans ses mœurs, son homophobie (inoubliable personnage du grand’oncle rejeté), son antisémitisme rabique, son pillage des biens spoliés aux déportés. Une médiocrité bien crasse malgré l’argent et les manières, toujours avec le petit doigt levé au-dessus de la tasse de thé. Mais une famille caméléon, habile à passer d’un côté à l’autre en fonction de la direction du vent. Non seulement tout est parfaitement amené, sans trompettes ni clichés, mais l’auteure, historienne de l’Occupation née en 1957, philosophe et germaniste de formation, a réussi à se débarrasser de sa documentation au moment de l’écriture.

On ne voit pas le goût et le souci de l’archive (que je partage avec elle, notamment celles de la délation dans lesquelles j’ai pataugé en même temps qu’elle), et donc on ne voit pas l’effort, ce qui est rare chez les historiens lorsqu’ils se mettent au roman. C’est bourré d’informations édifiantes, mais sans appuyer ni dénoncer. Il y a vingt ans elle avait publié Ville lumière, années noires, une incroyable étude topographique rue par rue, quasiment immeuble par immeuble, du Paris des collabos, récidivant dans cet inventaire monomaniaque avec Voyage dans la France occupée 1940-1945 (PUF). Là ça affleure sans peser. Ce premier roman est pour moi l’une des bonnes surprises de la rentrée. L’apprécier comme un roman-à-clés serait l’aimer pour de mauvaises raisons. On se fiche pas mal de savoir qui est qui (à supposer que…) et on n’ira pas consulter la liste des créateurs du festival d’Aix-en-Provence au motif de le grand ’oncle, n’est-ce pas (le cas échéant…). Cécile Desprairies a mis des années avant d’oser enquêter sur le passé de sa mère (« par loyauté », elle reculait le moment de toucher à son image) et les trafics de sa famille.

A ceux qui s’en voudraient de se salir les mains en touchant un premier roman sur des « salauds » (on entend cela souvent à propos de Céline), on ne saurait trop rappeler que c’est aussi la vocation de la littérature que d’aller fouiller dans les zones les plus basses, les plus sombres, les plus viles de l’homme pour les dévoiler. Ne fut-ce que dans l’espoir d’y trouver, tel le Lazare de Malraux, « cette région obscure de l’âme où le mal absolu s’oppose à la fraternité ». Il faut un certain courage pour plonger les mains dans cette fange, et plus encore lorsqu’il s’agit des siens. Après la guerre, la famille de Cécile Desprairies a jeté un voile là-dessus. Nazis, juifs, collabos etc. Autant de mots tabous à la maison. Si pratique quand on se reconvertit ! Cela évite excuses, regrets et remords dont, de toute façon, ces gens durs ne voulaient pas entendre parler. Plus encore que les mensonges qu’il a fallu démonter un par un, c’est la muraille de silence qu’elle a le mérite d’avoir fissurée. Seul un roman pouvait lui permettre d’atteindre ces vérités inaccessibles aux historiens.

      Franchement, je n’aurais jamais imaginé qu’un écrivain m’embarquerait pour près de 400 pages réunies sous le titre Humus (22 euros, éditions de l’Observatoire) dans une histoire de vers de terre, de vermicompostage, d’ophiophobie. Et que je me laisserais prendre par la conscience de chef de l’anécique et séduire par l’érotisme lombricien dont je n’avais jusqu’à ce jour, je l’avoue, qu’une connaissance assez confuse. Il faut dire que Gaspard Koenig a du métier sinon du talent, que les dialogues entre Kevin et Arthur, les deux camarades d’Agro, sonnent juste, que les situations ne manquent pas d’humour, que les personnages secondaires (Anne, Philippine, le Barbier marocain, M. Jobard etc) sont bien brossés, et que le propos, très actuel, nous emmène bien plus loin. Il est plus engagé, plus politique qu’il n’y parait (le greenwashing des entreprises, la transformation des cadavres en humus, l’épuisement des sols et la longue diète d’humanité qui leur serait nécessaire, etc). Les démêlés d’Arthur, petit paysan misanthrope pas trop pressé d’échapper à son destin, avec les envoyés des différentes administrations sont du pur Jarry mais qui vire à du Kafka agricole ; une épreuve supplémentaire pour ce fan de Thoreau à la recherche d’un improbable Walden ; on le sent en permanence déborder de violence éco-anarchiste faute de parvenir à convaincre ses contemporains de la catastrophe en cours.

L’air de rien, ce diable de Koenig aura aussi réussi un roman politiquement incorrect (enfin quelqu’un qui raille « les métaphores foireuses de Pierre Rhabi » !), même lorsqu’il se résout par désespoir à rejoindre les terroristes prédateurs d’Extinction/Rébellion qu’il avait tant critiqués, ce qui change de la musique de fond du paysage littéraire. Depuis que j’ai appris deux ou trucs sur leur respiration, je ne dévisage plus les mottes de terre comme avant. Surtout après les pages d’anthologie où Arthur s’offre « une extase chtonienne »en enfonçant son sexe dans l’humus. Les cent dernières pages, inattendues, réservent des coups de théâtre parfaitement mitonnés. A saluer pour sa maitrise et son originalité qui tranche avec tout ce qui se publie à la rentrée. Ce n’est pas seulement un roman captivant irrigué par des qualités purement littéraires : c’est un livre important. Ne passez pas à côté, nom d’un lombric !

(« Une party à Manhattan, 1965 » et « Paris, 1956 » Photos Frederick Eberstadt. et Franck Horvat)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 276 Réponses pour De quelques romans de la rentrée (1)

rose dit: à

P357, chapitre XIII
Cette fille, aux goûts de perruche

Trois, d’un vert magnifique
Sont sorties de la cage depuis longtemps.
Sont perchées dans le figuier, à trois mètres.
Ravies, mangent les figues sèches éclatées par la pluie.

rose dit: à

Ce désir.
Ce besoin ?

Inaliénable ?

rose dit: à

renato dit: à
Nettoyage et recyclage

https://twitter.com/Levandov_2/status/1696063723134218431?s=20

Totalement extraordinaire (une nuance : la même en verre soufflé, pour le verre, tri, tri).
(Autre chose que A.Nothomb, décomposée, en larmes, devant Léa Salamé, digne successeure de Lenie Grégoire.).

Renato :💪♥️👏

renato dit: à

« Description fidèle de la Fédération espagnole de foot? »

Il cocco di mamma sua (le petit garçon à sa maman)
AgenPress. La mère du président du football espagnol Luis Rubiales, disqualifié, s’est enfermée dans une église et a entamé une grève de la faim pour protester contre le traitement réservé à son fils après qu’il a embrassé la joueuse Jenni Hermoso sur les lèvres lors de la cérémonie de remise des prix pour la victoire de la Coupe du monde de football féminin.
« Elle a entamé une grève de la faim et ne veut plus quitter l’église », a déclaré Vanessa Ruiz, la cousine de Rubiales, devant l’église paroissiale Divina Pastora de Motril, la ville natale de la famille, dans le sud de l’Espagne.

Janssen J-J dit: à

Ce matin (BS, une psycho pathologiste lyonnaise, dans le journal the Conversation) nous dit ceci :
« Nous avons fait l’hypothèse que la consommation de pornographie à l’adolescence procéderait comme un court-circuit de l’activité fantasmatique (…). En soi, la pornographie ne serait ni bonne ni mauvaise, mais (…) en alimentant à la fois l’excitation et son soulagement, tout en faisant l’impasse sur le fantasme et la relation, la pornographie risque d’assujettir les adolescents les plus fragiles. C’est d’ailleurs l’un des enjeux de notre proposition thérapeutique : mettre des mots sur l’excitation provoquée par le sexe et les images du sexe ».
Sans doute inquiète pour LA PROBLEMATIQUE de nos jeunes, la RDL servirait largement cette cause en relayant ce message aux internautes responsables de leurs propres adolescents avant la rentrée des classes. Et de le suivre pour la gouverne même des vieux et vieilles erdélien.nes resté.es un brin attardé.es à ce sujet, ma soeur ou tout.e autre
Bien à vous et alii, 29.8.23_9.06

Jazzi dit: à

Respirer tue !

« La pollution de l’air plus dangereuse pour la santé que le tabac et l’alcool » (Le Parisien)

J J-J dit: à

@ Pourquoi cet artisan me raconte-t-il cet épisode ?
-> Il sait qu’il sera colporté quelque part, sur un réseau sociaux (sic) ou dans un futur roman mémorial.
@ Je pense qu’à terme -> les pb de pollution en Bretagne par les industries porcines vont aller en diminuant, car les responsables ont compris le message des algues vertes. Ils commencent eux-mêmes à tomber un à un sur les bancs de méthane, et se mobilisent déjà autour d’un recyclage du sous-chêne. On trouve toujours de bonnes solutions quand vient le moment de l’alerte maximale. Tant qu’il n’y a pas de solutions, il n’y a pas de problème qu’une absence de solution adéquate pourrait problématiser…, comme le disait ma gardienne de La porte.
@ On respire beaucoup mieux depuis qu’ils ont viré Léas Alamé à 7h50. Deux Morans peut lire tranquillement un livre par jour. Une rentrée fracassante. Fr inter va enfin se redresser la barre plus à babord. On ne sait pas s’ILS vont reprendre Piketty le vendredi matin.

*** Je n’aimej pas la fin du mois d’août, font tous iech avec leur RENTREE scolaire et matinale, et leurs Nothomb, car Amélie, comme si on était concernés par toussa, à l’ère Delly, les pieds dans l’eau céane, el’cul dans lsab’chaud. Hein !?

rose dit: à

Respirer tue.
Ne pas respirer tue.

rose dit: à

Il sait qu’il sera colporté quelque part, sur un réseau sociaux (sic) ou dans un futur roman mémorial..
Non.
Il bosse tellement, c pas sa came.

Patrice Charoulet dit: à

à Monsieur (?) Jean Langoncet (?)

Monsieur,

J’ignore si votre nom est votre nom ; je l’espère.
Je suis assez peu friand des pseudonymes, vous le savez.
Si ce n’est pas votre vrai nom, vous m’obligeriez sensiblement en vous adressant à moi en ne déformant pas mon patronyme.
Après ce préambule, je vous réponds.
Un. Votre lapidaire « Civitas » ne m’avait pas semblé d’une limpidité de cristal.
Votre supplément, plus étendu, clarifie les choses. Je vous comprends enfin. Vous ne m’apprenez rien. Un des malheurs de mon cher Etat d’Israël est son système électoral, que nous connaissions bien…sous la IVe : la proportionnelle. Conséquence : tout gouvernement est un gouvernement de coalition. Là bas, point de parti radical de gauche, point de MoDem, point de démocrates-chrétiens, mais de petits partis, parfois religieux (nous sommes en Israël et la religion dominante est celle que vous savez)
Reste que Bibi est du Likoud, parti de droite, comme pouvaient l’être, chez nous, le RPR, l’UMP..
L’essentiel , pour moi, n’est pas là, mais ceci :
Participer à toutes les élections, laisser faire les élus jusqu’à l’élection suivante, sans manifestations de rue, sans calicots, sans caillassage de police, sans incendie, sans pillages.. Puis revoter pour les mêmes ou pour d’autres si l’on n’est pas content des premiers.
Vous devinerez, après cela, que j’ai réprouvé les Gilets jaunes du premier jour au dernier, les derniers manifestants (l’âge de la retraite) et que je n’ai jamais fait grève de ma vie, en étant professeur…jusqu’à 65 ans. Passant ainsi pour « facho » dans les salles de profs, alors que j’ai toujours été de centre-droit, et que je suis, maintenant, macroniste, et très sereinement.

rose dit: à

@ Je pense qu’à terme -> les pb de pollution en Bretagne par les industries porcines vont aller en diminuant, car les responsables ont compris le message des algues vertes. Ils commencent eux-mêmes à tomber un à un sur les bancs de méthane, et se mobilisent déjà autour d’un recyclage du sous-chêne. On trouve toujours de bonnes solutions quand vient le moment de l’alerte maximale. Tant qu’il n’y a pas de solutions, il n’y a pas de problème qu’une absence de solution adéquate pourrait problématiser.

Cela veut dire qu’il faut aller au bout du bout pour voir un terme ?

Pour les glaciers, qu’ils soient fondus donc ? 40% du débit de l’eau du Rhône vient des glaciers des Alpes.

Janssen J-J dit: à

Après avoir écouté l’itw d’AN (non… pas celle d’Aexia N, je parle de l’autre belge), et tenté de ne pas céder à son émotion qui ne semblait pas feinte, je me demande s’il y a au moins une femme sur cette terre pour ne pas avoir été traumatisée par un viol dans son enfance ou son adolescence. Pmp…, je veux simplement dire que j’ai eu la chance de n’avoir jamais été violé, en dépit de tous mes autres malheurjs. J’ignore si on peut en 10 curés (euj… en discourir).

Jazzi dit: à

Respirer tue.
(mot d’esprit)

Ne pas respirer tue.
(lourdeur)

Jazzi dit: à

« j’ai eu la chance de n’avoir jamais été violée

Comme Marie Sasseur, qui ne l’a jamais pardonné aux non violeurs !

Janssen J-J dit: à

@ c pas sa came (easy rider)
-> Mais son arbre à came, très certainement, car davidson avait tjs eu des pb de harley… 🙂

Janssen J-J dit: à

excellent jzmn, votre 2e réplique… !

Janssen J-J dit: à

@ il faut aller au bout du bout pour voir un terme

ouij, mais seuls les psychopompes d’Amélie le savent, et ne craignent pas d’aller au terme de leur accouchement douloureux.

Marie Sasseur dit: à

la RDL servirait largement cette cause en relayant ce message aux internautes responsables de leurs propres adolescents avant la rentrée des classes.
_____

Il y a des irresponsables , on l’a vu.

________

Pour cette histoire du tableau ( XVIIEME,
en fait) central, ai-je cru comprendre, dans le roman de Reinhardt, j’ai souri, retrospecticement en lisant la correspondance de deux religieuses, l’une peintre, dans le roman de L. Binet: des caleçonneuses, au nom de dieu.
La bulle papiste alors, 1559, ne visait pas à protéger les jeunes des prédateurs sexuels; l’église, ses curés pédophiles, on le voit au XXI siècle, toujours aux prises avec ses demons.

Nicephore dit: à

« autour d’un recyclage du sous-chêne »
C’est pas du chouchen ?

Marie Sasseur dit: à

@Voici ma question, sachant que tu as beaucoup aimé ce chanteur

Jablonķa est un inquisiteur effrayant.

Marie Sasseur dit: à

Jablonka ou la chronique d’un paparazzi.
Ses arguments pour écrire sur une personnalité vivante, en son  » absence  » sont effrayants.

Clopine dit: à

Rose, oui, le poème de Botrel, je vous en remercie et j’en comprends l’intention , mais très franchement, ce n’est pas le style poétique que je préfère. Un peu trop didactique, pas assez musical à mon goût, et pas assez, comment dire ? Concis ?

Je préfère des trucs du genre : « J’ai tendu des cordes de clocher à clocher ; des guirlandes de fenêtre à fenêtre ; des chaînes d’or d’étoile à étoile, et je danse. ». La légèreté préconisée par Botrel, hélas un peu trop lourdement à mon goût (ahaha) est ici incarnée avec une grâce infinie, je trouve.

Et puis songez-y. Si je préfère « danser » avec Rimbaud qu' »aimer, chanter et croire » avec Botrel, c’est sans doute que je ne puis plus le faire. Ce n’est pas pour rien que je m’appelle Clopine : désormais, la danse m’est interdite, et ma démarche est lourde, n’ayant plus de genoux vraiment à moi, ahaha derechef.

Mais ceci n’est rien, encore. Le problème, c’est que la méthode Coué n’a jamais vraiment bien marché avec moi, non que j’accorde mes faveurs au désespoir (je crois qu’il n’y a jamais eu quelqu’un de plus acharné au bonheur que moi, en fait), mais c’est que la réalité est forte, et bien forte… Et que tout est politique, n’est-ce pas ? Plutôt que d’acheter un de ces bouquins « positifs » qui prétendent vous apprendre la manière de jouir de la vie, je préférerai toujours tenter de comprendre comment les choses se passent… Et tant d’autres ont réfléchi vraiment sur les rapports entre les individus et la vie que je n’ai qu’à piocher pour comprendre ce qui m’est arriv, et qui, à mon sens là encore, ne me serait pas arrivé si la société capitaliste n’avait pas, dans un de ses aspects fondamentaux, intégré la bonne vieille domination masculine.

J’y repensais hier, à cette domination qui nous vient des siècles et des siècles, en relisant l’essai de Foucault sur le cas de parricide (en fait, matricide…) de Pierre Rivière. Foucault y dresse le portrait de l’histoire de la folie, qui est l’histoire de la représentation collective de la folie, notamment, ici, sous son aspect judiciaire (Rivière était-il fou ? Et si oui, doit-on lui trancher la tête ?). C’est une problématique intéressante, et désormais bien connue, mais par en-dessous, j’ai quand même noté deux-trois trucs qui m’ont sauté aux yeux, en lisant attentivement le texte de Rivière, c’est-à-dire « le résumé des peines de mon père ». Rivière explique que c’est à cause de ces fameuses peines endurées par son père qu’il est passé à l’acte…

Mais par en-dessous, donc, j’ai noté :

– que la mère de Pierre Rivière était épiée par son père, puis par lui-même. Toutes les conversations que cette femme tenait avec sa fille aînée, ou avec sa soeur, était ainsi entendues par les deux hommes, alors même que Victoire Brion, épouse Rivière, vivait dans une maison séparée de son mari.

– qu’à la suite de péripéties, le père regagne à un moment ce domicile conjugal (la maison où habite Victoire). Et là, il viole la mère plusieurs nuits de suite, dans un lit où un enfant est présent et tente d’arrêter son père, qui « fait mal à sa mère ». Ah quoi le père se borne à répondre qu’il ne fait rien d’autre qu’exercer le droit de tout mari qui entend bien user de son épouse.

– que la mère est tombée enceinte à la suite de ces viols, ce qui sera constaté quand, à la suite de l’égorgement par son fils, une autopsie sera pratiquée sur son corps.

– que la mère tente de se soustraire à l’autorité de ce mari violeur, dès que, par héritage, elle se retrouve en possession de biens matériels. C’est d’ailleurs d’argent qu’il sera constamment question…

Je me suis dit que cette mère, si elle avait pu écrire elle aussi un mémoire, comme Pierre Rivière a écrit le sien sur « les peines que mon père a endurées », aurait sans doute exprimé l’infinie dureté de la condition féminine et paysanne dans la première moitié du dix-neuvième siècle.

Et je me suis dit qu’on pourrait presque écrire un nouveau livre. Au lieu de « un cas de parricide au 19è siècle », cela s’appellerait « un cas de féminicide au 19è siècle », car, au-delà de la problématique de la folie qui intéresse uniquement Foucault, c’est aussi de cela dont il s’agit…

Bref.

(mais merci encore).

Clopine.

MC dit: à

Ah Nothomb! Celle qui se decouvre violee pour augmenter les ventes d’ un tirage stagnant? La Baronne de Sasseur? MC

MC dit: à

Tiens , je pressens que Steinbeck va avoir droit au qualificatif d’himalayesque….

Jazzi dit: à

La théorie, c’est bien, mais la pratique, c’est mieux, Clopine !

Si j’ai bien compris, les hommes de Beaubec vont pouvoir partir tranquillement en vacances tandis que tu garderas (bénévolement ?) la maison…

JC..... dit: à

MESSAGE PERSONNEL

Messire Assouline, bonjour !

Afin d’élargir l’audience de votre blog littéraire prestigieux aux personnes en difficulté, il nous parait nécessaire de vous y aider en vous proposant la création d’un nouveau blog psychanalytique, basé à Constantinople :

LA REPUBLIQUE DU DIVAN OTTOMAN

Les problèmes affectifs, ou sexuels, ou historiques, ou neuronaux, ou éducatifs, ou Epadhiens, encombrent depuis trop longtemps cet espace littéraire merveilleux !

Bien à vous

Jazzi dit: à

« je n’ai qu’à piocher pour comprendre ce qui m’est arrivé, et qui, à mon sens là encore, ne me serait pas arrivé si la société capitaliste n’avait pas, dans un de ses aspects fondamentaux, intégré la bonne vieille domination masculine. »

Il suffit simplement de dire non, pas d’accord !

Jazzi dit: à

Pourquoi, Samuel, dans « la société capitaliste » les plus grands consommateurs sont des consommatrices ?

Jazzi dit: à

« Je suis si intelligent que parfois je ne comprends pas un seul mot de ce que je dis.  »
Oscar Wilde

Jazzi dit: à

« Je suis si beau que je n’ose pas me regarder dans une glace ! »
Jazzi

Jazzi dit: à

Le léZard fait sa rentrée au musée !

Pablo75 dit: à

Encore une trouvaille faite sur le site https://web.archive.org/

« Vous aimez les livres, mon cher ami; mais comme vous avez le malheur de ne point habiter Paris, vous me demandez de vous tenir au courant des excursions que j’ai pu faire et que je ferai sur nos quais; ce sera bien volontiers, je vous assure, et dussent encore en rire les turbulents amis que vous aviez l’autre jour à dîner avec moi, j’afficherai ma passion.
[…]
… ce que l’on trouve sur les quais permettrait de traiter bien des questions. Qu’y voit-on, en effet? Des œuvres écrites dans le feu de la jeunesse et reniées aujourd’hui parleurs auteurs; des brochures attestant la versatilité des hommes; des professions de foi politiques ou religieuses, que la vie de ceux qui les ont faites a démenties cent fois ; des milliers de projets pour réformer le inonde et ses environs! des plaidoyers pour M. N., pour madame V.; des livres offerts, qui n’ont pas été lus, et qu’on a vendus sans avoir même effacé les dédicaces ; des documents administratifs vieux et nouveaux; des budgets, des règlements qui, sous tous les régimes, ont été distribués avec parcimonie à ceux qui en avaient besoin, et qu’on trouve là en masse, livrés au poids par des coquins de valets, comme dirait Voltaire. »

A. de Fontaine de Resbecq. « Voyages littéraires sur les quais de Paris. Lettres à un bibliophile de province. Suivie de Mélanges tirés de quelques bouquins de la boîte à quatre sols » (1864).

Pablo75 dit: à

« Je suis si intelligent que parfois je ne comprends pas un seul mot de ce que je dis. »
Oscar Wilde

« Je suis si beau que je n’ose pas me regarder dans une glace ! »
Jazzi dit:

Cela me rappelle la blague sur les argentins, bien connus pour sa « chulería » (mot très courant en espagnol mais intraduisible). C’est un Argentin qui parle: « Avant j’étais prétentieux. Maintenant je suis parfait. »

Marie Sasseur dit: à

Je ne pense pas un seul instant que ce blog , conservatoire de haines absolument insensées par le truchement de marginaux associaux, soit indiqué pour donner des nouvelles d’Amelie Nothomb.

Et pourtant, aux pères absents:

https://dai.ly/x8nj16h

MC dit: à

Le Fontaine de Rebescq se trouve bien plus simplement , sinon usuellement, sur les Quais ou à Brassens. Mes deux exemplaires en viennent. Il faudrait aussi citer des livres plus récents sur le noble métier de bouquiniste.

MC

Jazzi dit: à

Pour la haine, MS, vous avez droit à la médaille d’or, loin devant tout le monde !

MC dit: à

« Ce blog, conservatoire de haines insensées ». Principalement celles de Marie Sasseur. MC

Jazzi dit: à

Que veut dire travailler sur soi ?

C’est cesser d’espérer que les autres et les choses changent…

Jazzi dit: à

La suite, chez vous, MS, est bien à plaindre !

Jazzi dit: à

Mais quand c’est gratuit, MS, est-ce encore de la prostitution ?

Jazzi dit: à

Passons passons puisque tout passe
Je me retournerai souvent
Les souvenirs sont cors de chasse
Dont meurt le bruit parmi le vent.

(Guillaume Apollinaire – Alcools)

Pablo75 dit: à

Plutôt que d’acheter un de ces bouquins « positifs » qui prétendent vous apprendre la manière de jouir de la vie, je préférerai toujours tenter de comprendre comment les choses se passent… Et tant d’autres ont réfléchi vraiment sur les rapports entre les individus et la vie que je n’ai qu’à piocher pour comprendre ce qui m’est arriv, et qui, à mon sens là encore, ne me serait pas arrivé si la société capitaliste n’avait pas, dans un de ses aspects fondamentaux, intégré la bonne vieille domination masculine.
J’y repensais hier, à cette domination qui nous vient des siècles et des siècles, en relisant l’essai de Foucault sur le cas de parricide
Clopine dit:

Quand on arrive à croire que les épreuves (toujours spirituelles) qu’on subit dans la vie sont dues au capitalisme qui a produit la domination masculine, que pour donner sens à sa vie il faut lire Foucault, c’est qu’on est « más despistada que un pulpo en un garaje », comme on dit en Espagne (plus désorientée qu’un poulpe dans un garage).

Clopine croit que bientôt elle pourra écrire un livre intitulé: « Comment Lénine et Foucault m’ont sauvé la vie ».

C’est difficile d’être plus à l’Ouest.

La Vie nous donne des leçons qui nous font progresser spirituellement, mais il y a des gens qui ne les voient pas, ne les comprennent pas, qui ont l’âme aveugle et s’enfoncent dans des impasses vides avec une obstination et un orgueil monstrueux.

« L’âme ne s’éveille que brisée. »
(Joe Bousquet. Traduit du silence).

Bloom dit: à

Magnifique héron cendré, tout à l’heure. Un autre monde…

Pablo75 dit: à

Le Fontaine de Rebescq se trouve bien plus simplement , sinon usuellement, sur les Quais ou à Brassens. Mes deux exemplaires en viennent.
MC dit:

Comment ça se fait que tu n’aies pas cité ce livre alors qu’on a parlé longuement des bouquinistes? Parce que tu viens de découvrir son existence, malgré tes vantardises à posteriori de faux érudit qui a tout dans sa bibliothèque?

Il faudrait aussi citer des livres plus récents sur le noble métier de bouquiniste.
MC dit:

C’est à toi de le faire, étant le Grand Polymathe du blog. Tu attends que je te fasse découvrir d’autres livres trouvés sur https://web.archive.org/ pour que tu puisses te la péter avec tes amis?

Samuel dit: à

Pourquoi tout lasse, tout passe et tout trépasse ?

Samuel dit: à

Pourquoi seuls les trépassés sont apaisés ?

D. dit: à

J’ai écouté Nothomb hier sur France Inter.
Je l’ai toujours trouvé authentique et sympathique mais là il faudrait qu’elle pense à se renouveler. Réellement.
On a eu droit aux mains invisibles sous l’eau. Pour la nième fois.
(Elle a été violée très jeune.)

rose dit: à

Douze ans.
Quatre types.
On ne comprend pas comment c possible.
Et sa mère lui dit « pauvre fille ».
C la sidération.

Marie Sasseur dit: à

@il faudrait qu’elle pense à se renouveler. Réellement.

Un comble

Nothomb, jamais chroniquee sur la rdl, et encore moins lue par les clébards, a bénéficié, les rares fois où mentionnée dans les chroniques de ce blog, d’un statut d’intouchablle. Rock star.
… C’était certainement subliminal.

Ça me fait penser au sort bloguesque d’Angot.

Seulement voilà, les temps changent, et la société se renouvelle. Tant mieux.

Marie Sasseur dit: à

Depuis 2004, le déni médiatique.

Bolibongo dit: à

tandis que tu garderas (bénévolement ?) la maison…

Une pratique comme une autre de la servitude volontaire?

et alii dit: à

MAIS PERSONNE POUR DIR QUE Nothomb est belge!
Nothomb, est une romancière belge d’expression française née le 9 juillet 1966 à Etterbeek en Belgique.

rose dit: à

Vraiment géniale Amélie Nothomb.
1/j’espère/je suis sûre qu’elle s’en sortira.
2/ pas moi, pourquoi pas moi ?, et jamais moi, mais ma collègue a vécu cela en Inde lors des trajets en bus qui nous reliaient de l’hôpital où l’on travaillait Holy Spirit Hospital, au centre ville de Bombay : les hommes plusieurs soulevaient les jupes pour la tripoter. Elle a très vite pris une aiguille qu’elle cachait dans ses mains et elle piquait à vif les mains baladeuses. N’a jamais rien dit. L’ai découvert fortuitement.
3/je comprends mieux ce viol : misère de la sexualité dans un pays où la misère sévit ; où le Gange déborde des mois durant. Ses parents trop loin.
4/ psychopompe, je le comprends.
5/ l’autre jour, j’ai compté en mon for intérieur 2006 moins seize ans égale trente trois ans. J’en ai soixante six.
Il semblerait que le temps de sidération dépasse les trente ans.

rose dit: à

Marie Sasseur dit: à
Depuis 2004, le déni médiatique.

Elle raconte, bien, les trois horribles réactions qui l’ont assommée.
C’est pour cela que l’on ne dit rien : parce que il faut être à même de dépasser les réactions.

Pablo75 dit: à

Le Fontaine de Rebescq se trouve bien plus simplement, sinon usuellement, sur les Quais ou à Brassens.
MC dit:

Plus simplement qu’en faisant 3 clics? Tu sais qu’internet existe ou tu es encore à la machine à écrire et aux fiches écrites à la main conservées dans des boîtes à chaussures?

Pablo75 dit: à

Sur la rentrée littéraire:

« Dans le domaine de la fiction, les romans […] nous arrivent de toutes parts comme une ultime plaie d’Égypte; ils s’étalent et s’étouffent en une telle confusion à la lumière de la publicité, que les bons pâtissent pour les mauvais et que le lecteur écœuré, désorienté, fatigué par la concurrence qui se dispute son attention, pourrait bien un jour entrer en grève, et mettre ainsi en interdit, pour quelque temps du moins, messieurs les conteurs et amuseurs de foule. Dans la République des lettres, l’anarchie est déjà visible; on est si fortement sollicité par tous les talents éclos de la veille, on se sent si distancé par l’express de la production et par la cohue sans cesse renaissante des hommes nouveaux, on éprouve si bien l’impossibilité de constater par soi-même la valeur réelle des uns et des autres, que l’on accorde sans marchander et sur on dit tout l’esprit et tout le mérite du monde à ceux qui ont eu l’habileté de faire sonner leur nom comme une trompette de tramway à l’oreille distraite des passants. Notre société littéraire se compose donc d’individualités nombreuses, qui tôt ou tard entrent en relation, et qui ne connaissent guère, l’une vis-à-vis de l’autre, que le titre de leurs principaux ouvrages respectifs; pour ce qui est de la valeur intrinsèque et personnelle, la vie est trop hâtive; on se frôle, mais on ne s’analyse pas. On discute encore sur un article de journal, sur une thèse soutenue en Premier Paris; quant aux livres, il faut y renoncer. On les flaire chez les libraires, dans les boudoirs ou dans les antichambres des cabinets de consultation; mais les lire, se les infuser par la vue, y songez-vous… Les faiseurs d’opuscules peinent déjà trop sur leurs propres ouvrages pour songer à ceux du voisin. »

Octave Uzanne. Les zigzags d’un curieux. Causeries sur l’art des livres et la littérature d’art (1888).

rose dit: à

Conservées dans des boîtes à chaussures. Sur les quais. Malaquais.

rose dit: à

Clopine

Ce n’est pas moi Botrel mais cela part d’un excellent bon sentiment à souligner.
Puis, Botrel est un barde.

D. dit: à

Quelle drôle d’idée d’aller travailler en Inde alors que la France est si belle.

D. dit: à

Moi vous me donneriez un outil de téléportation instantané qui emmène dans un autre pays, planète, galaxie, je n’y toucherai que pour aller acheter mon pain quand j’ai oublié.

Janssen J-J dit: à

@ 2006 moins seize ans égale trente trois ans. J’en ai soixante six.

Attendez vos 67. car pour l’instant, elle n’a publié QUE 32 romans, pmp, j’attends-j le 33e avec pas mal d’impatience, juste pour voir l’an prochain de l’olympiade ce qu’avait donné la thérapie du 32e…
Violée à 12 ans par quatre inconnus saoulots ?… Et son père qui le savait ne lui avait rien dit… Heureusement qu’il lui parle d’outre-tombe désormais. Il lui a dit de lire George Sand, elle l’a fait et prépare le 33e sur les terres de la fadette.
Le mien (de père) n’arrive pas à me joindre, depuis 22 ans qu’il EST PARTI je sais pas où, c dommage. Je suis pas trop psycho de ses pompes, faut bin dire.
– Bien à vous cognacqG @ MC.

D. dit: à

Faut dire qu’avec Salamé pour interroger Nothomb, fallait pas trop s’attendre à du nouveau.

D. dit: à

Oui alors ça c’est pas mal aussi, elle a inventé très sérieusement l’histoire des morts qui lui parlent. Donc évidemment elle joue avec nous puisque la première pensée qui vient est de se dire qu’elle est folle (J’en étais sûr etc..) et puis on se rattrape et on pense que non, Nothomb a l’autorisation perpétuelle de se foutre d’elle même et de nous en même temps. Donc absolument pas folle.

Samuel dit: à

Pourquoi acheter des livres, même à des prix modiques alors qu’on pourrait se les procurer gratuitement chez des amis et des connaissances ?

Marie Sasseur dit: à

Quand vous comprendrez que les pseudos d et janssenjj sont un même et unique cinglé, cela vous ouvrira certainement des perspectives sur la facilité de ce toxique, à prendre ceux qui le lisent encore, pour des cons.

Le deni, le votre.

Bloom dit: à

Amélie N , violée à  Dacca, Bangladesh, où son père était ambassadeur de Belgique…comme le fut mon amie Feryal, par son oncle, dans la même ville…

Marie Sasseur dit: à

Nothomb, pourquoi lui dénier son nom.

rose dit: à

Pas à Dakka.
À la mer.

rose dit: à

Pas folle vingt secondes.
Mme Horvilleur dit aussi Vivre avec nos morts.
Et une autre, Maylis de Kerangal écrit Réparer les vivants.

Cela se tient.

et alii dit: à

À l’occasion de la sortie de l’édition critique de Mauprat, roman total publié en 1837, il importe de rappeler la modernité de George Sand, notamment en ce qui touche à l’éducation des citoyens et à la défense des droits des femmes.entretien avec
François Kerlouégan est maître de conférences en littérature française du XIXe siècle à l’université Lyon 2 et membre de l’IHRIM. Il travaille sur le roman de la première moitié du siècle. Il s’intéresse aux représentations du corps et aux usages sociaux des normes, ainsi qu’aux minores. Il a écrit de nombreux articles sur le roman sandien.
https://laviedesidees.fr/Sand-notre-contemporaine

MC dit: à

Pablo. Je ne l’ai pas cite alors parce que je n’ai choisi que certaines trouvailles , et certains bouquinistes, ce dont je me suis’ ailleurs excusé. Reste que oui,j’ai deux Fontaine de Rebescq … dont l’un provient de Brassens! Merci, Michel Benavides! Pour le reste, Pablo que je ne tutoie pas, oui, il en existe au moins un paru vers la fin des annees 1978-80, et il vous échappe peut-être que je n’en retrouve pas le titre ! Mais tranquillisez-vous: je l’ai prêté à des bouquinistes formés par ces gens-là, ceux nommés et photographiés dans ce livre, et ils me l’ont rendu! Au fait, posez-vous la question: n’y a-t-il que vous qui égarez vos livres dans votre bibliothèque? Ou dont la mémoire flanche parfois sur un titre rare et peu lu? MC.

rose dit: à

Ben oui et alii.
Et si son père lui dit ça c’est pour son bien.
Moi aussi avec Emma j’aurai psychopompe.

D. dit: à

Je n’ai pas le moindre quark en commun avec JJJ, Madame Tasseur. Ni même un soupçon d’intrication quantique. Alors hein.

et alii dit: à

Rose,
excusez moi,je n’ai pas compris à quoi renvoie « ça:
Et si son père lui dit ça c’est pour son bien.
par contre, puisque c’est un thème de l’actualité,
je citerai le titre d’ un live aussi
:de la psy ALICE Miller;
« La psychose, la drogue, la criminalité sont-elles les répercussions codées des expériences des premières années de la vie ? Alice Miller dénonce les méfaits de l’éducation traditionnelle, qui a pour but de briser la volonté de l’enfant pour en faire un être docile et obéissant. Elle montre comment les enfants battus battront à leur tour, les menacés menaceront, les humiliés humilieront. Car à l’origine de la pire violence, celle que l’on s’inflige à soi-même ou celle que l’on fait subir à autrui, on trouve presque toujours le meurtre de l’âme enfantine. Cette «pédagogie noire», selon l’expression de l’auteur, est illustrée par des textes des XVIIIe et XIXe siècles, stupéfiants ou tragiques, reflétant les méthodes selon lesquelles ont été élevés nos parents et nos grands-parents, et par trois portraits d’enfances massacrées : celle de Christine F., droguée, prostituée, celle d’un jeune infanticide allemand et enfin celle d’Adolf Hitler, que l’on découvrira ici sous un jour tout à fait inattendu.e.
ce texte m’inspire des réserves, mais il me semble judicieux de le connaître ;
https://www.babelio.com/livres/Miller-Cest-pour-ton-bien/20996

JC..... dit: à

« Je n’ai pas le moindre quark en commun avec JJJ, Madame Tasseur » (D)

Cher Dédé,
…quelques couacs, alors ?…
BàT

Clopine dit: à

Alice Miller a aussi sorti un bouquin intitulé « la souffrance secrète de l’enfant », qui est lui aussi assez éclairant.

A part ça, je me dis que, si jamais un jour Patrice Charoulet et Pablo75 décident de faire des mômes ensemble, faudrait me garder un exemplaire de la portée. L’issue foetale d’une conjonction entre un mec habité par la pensée magique de l’astrologie, d’un côté, et un mec habité par la pensée magique de sa liberté de pensée, de l’autre (alors que dans le genre perroquet déterminé, hein…), devrait forcément osciller entre le pathétique, l’outrancier et, finalement, l’inopérant total. Pauvre petit bébé, tiens.

closer dit: à

Question pour Samuel:

Pourquoi ne tourne t on plus de films avec des acteurs aussi exceptionnels que Marcello Mastroianni et Romy Schneider dirigés par un metteur en scène aussi remarquable que Dino Risi?

(Fantôme d’amour au Champo)

Bloom dit: à

Pas à Dakka.
À la mer.

Effectivement, à Cox’s Bazar, à l’est de Chittagong, proche de la frontière avec la Birmanie, seul endroit baignable au B’desh (si on fait abstraction des milliers de crabes qui y pullulent).

Ne change rien au forfait.

Ne change rien à la destinée des autres, obscures, qui n’ont pas l’écriture & le standing diplomate et familial pour se refaire.

Mon amie Feryal, elle, tout simplement brillantissime, a obtenu une bourse pour continuer ses études aux US où elle vit depuis 1984, en Californie. Such a lovely woman.

NB: C’est Dhaka ou Dacca mais pas ‘kk’

MC dit: à

Belge , et de quelle famille ! En Belgique on peut dire que depuis l’indépendance, il y a la famille royale et la Famille Nothomb, aux origines de la monarchie Belge jusqu’à nos jours. MC

Marie Sasseur dit: à

Mon amie Flicka, c’est bien aussi.

Bloom dit: à

Je n’ai fréquenté que les premiers, MC, sous forme princière, à l’époque. Espiègle Mathilde…!

Bloom dit: à

MC, ci-dessous la liste des contributeurs à la série d’émission sur Hugo, l’Homme qui Vit

-Jean-Baptiste Hugo, arrière-arrière-petit-fils de Victor Hugo et photographe
-Jean-Marc Hovasse, professeur de littérature française à Sorbonne Université et directeur de recherches au CNRS
-Annie Le Brun, écrivaine
-Claude Millet, professeure de littérature à l’Université Paris Cité, responsable du « Groupe Hugo » (CERILAC)
-Jean Maurel, maître de conférences honoraire de philosophie à l’Université Paris-Sorbonne
-Florence Naugrette, professeur de littérature française à l’Université Paris-Sorbonne
-Franck Laurent, professeur en littérature à l’Université du Mans
-Delphine Gleizes, professeur de littérature française à l’Université Grenoble Alpes
– Didier Philippot, professeur de littérature française à Sorbonne Université
-Gérard Audinet, directeur des Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
-Tristan Macé, professeur et musicien
-Pierre Georgel, conservateur général du patrimoine
-Myriam Roman, maîtresse de conférences en littérature française à Sorbonne Université
-Thomas Cazentre, chargé de collection à la Bibliothèque Nationale de France
-Judith Wulf, professeur de littérature française à l’Université Paris Vincennes Saint-Denis
-Dinah Bott, bibliothécaire
-Roy Bisson, secrétaire de l’association The Victor Hugo in Guernsey Society
-Evelyne Poirel, conservateur honoraire du patrimoine

Bien à vous

Bloom dit: à

émissionS

Marie Sasseur dit: à

L’egoulevent oreillard

It is found in Southeast Asia with populations in the Western Ghats and Sri Lanka Bangladesh, India, Indonesia, Laos, Malaysia, Myanmar, the Philippines, Thailand, and Vietnam.

Its natural habitat is subtropical or moist lowland tropical forests.

https://www.thainationalparks.com/species/great-eared-nightjar

Pablo75 dit: à

@ Clopine

Tu étais Sagittaire ascendant Sagittaire, si mes souvenirs sont bons. Je me trompe?

Jazzi dit: à

« Sagittaire ascendant Sagittaire »

C’est grave, Dr Pablo ?

rose dit: à

Dhaka.
Ce que je veux dire, et points sur les I, c’est que c’est un immense delta, et dans la capitale, on ne se baigne pas.
Encore du mal à comprendre comment on se baigne dans un delta.

rose dit: à

Son père lui dit de lire Georges Sand.

rose dit: à

Et alii
ça

rose dit: à

Benoît Gaboriaud

Un viol ce n’est pas une agression sexuelle.
Crénom.
Déjà que nous sommes en train de sortir du moyen-âge, faites un effort.

rose dit: à

L’engoulevent, je l’ai vu.
Oreillard je ne sais pas. Cela me paraissait réservé aux chauve-souris.

L’engoulevent a moult particularités :
Il est rare.
Il sort à la nuit tombée
Il a un vol plongeant.
Son bec s’ouvre immensément, c’est ce qui le caractérise.

Michel Leiris ne se trompe pas de métaphore, il en propose une différente.

rose dit: à

Au fait, posez-vous la question: n’y a-t-il que vous qui égarez vos livres dans votre bibliothèque ?
Là, non.

Moi je sais où et comment mes livres sont rangés. Récemment, j’ai caressé les cartons. Sur un, y a écrit Flaubert reliés, Montaigne, Comtesse de Ségur. Impossible de savoir ce qui m’a pris. De mes cartons, j’ai perdu un, mon préféré. J’ai failli faire un infarctus, mais je ne suis pas cardiaque moi ; contrairement à ma maman et à sa fille aînée. Toutes les deux malades du coeur => cardiaques (péricardites). Je me suis résolue à ne pas le retrouver pendant quelques années et cela n’obère en rien l’amour que je lui porte.

Ou dont la mémoire flanche parfois sur un titre rare et peu lu ? MC.

Moi aussi. Mais en cherchant, je retrouve. Par exemple, Pétronille est le nom d’une poule de la médiation animale. Quelle idée !

rose dit: à

Quatre inconnus sous l’eau parfaitement conscients : non pas le prétexte de sous l’eau.

Votre père il y a vingt deux ans. Mort jeune.
Pour lui parler, s’agit de le vouloir.
Elle a dit « j’aime mon père et il m’aime aussi ». Ce qui me tue, ah, c’est le silence de sa famille. C’était donc la mode à l’époque, le silence.

rose dit: à

Pas le prétexte de saoulots.

Cf récemment les viols en Inde.

MC dit: à

Le cas est différent Rose, et compliqué par le fait que mes bouquins en Bretagne ne sont pas les mêmes que mes bouquins parisiens. Le rayon bouquinistes est légitimement à Paris, ou je ne suis pas, dès lors, il est difficile de me souvenir d’un titre aussi rare que celui-là ! Bien à vous. MC

rose dit: à

Marc Court

N’avez-vous pas un petit carnet pour les titres difficiles des livres rares ?

Pablo75 dit: à

«Sagittaire ascendant Sagittaire». C’est grave, Dr Pablo ?
Jazzi dit:

J’ai un frère qui l’est et il est à moitié fou. Ce sont des gens difficiles à supporter pour le dire finement (ou plus directement: à fuir).

Petite recherche sur le net (vue l’opinion que Clopine a de l’astrologie – qu’elle connaît comme moi la diagonalisation des endomorphismes dans l’algèbre linéaire – elle ne mérite pas que je sorte mes livres d’astrologie – une centaine qui sont, pour une fois, ordonnés dans une même bibliothèque).

« Avec signe et ascendant en Sagittaire, vous pouvez beaucoup brasser, voyager plus que de raison, avoir des envies pléthoriques et sans limite de tout ! L’univers est à vous et la star, c’est bien Vous ! Beaucoup d’idéalisme, de foi dans le genre humain, d’idées grandioses, d’enthousiasmes généreux : attention de ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre mais cette largesse globale est généralement à votre honneur. Vous êtes populaire, foncièrement optimiste, farouchement attaché à l’amitié mais indéniablement déterminé à ne pas limiter vos horizons (professionnels, amoureux…). Vous êtes libre, tolérant mais pas question que l’on vous contraigne trop souvent : l’idée d’être indépendant en tout et pour tout vous poursuit partout. L’aventure, le risque, les challenges vous motivent : tant qu’il y a de nouvelles émotions pour vous couper le souffle, votre monde tourne bien rond mais quant à la routine, elle pourrait bien vous tuer…
*
En tant que Sagittaire ascendant Sagittaire, votre comportement est exactement le même, que vous soyez en société ou dans des contextes privés. Vous vous en tenez fermement à votre indépendance et à votre liberté d’action. Vous êtes curieux de tout et êtes intéressé par toutes les choses à explorer dans des voyages lointains, à la fois intellectuels et concrets. Vous vous démarquez par votre bonne humeur et votre dynamisme et vous vous investissez dans tout ce que vous entreprenez. Vous nouez des relations facilement et vous redoutez la solitude.

Le Sagittaire ascendant Sagittaire tient à sa liberté. C’est pourquoi il a tendance à multiplier les aventures avant de se stabiliser. Le couple a tendance à vous faire peur ! Vous tenez à votre indépendance et vous avez horreur de la routine. Votre parcours sentimental est généralement chaotique, jusqu’à ce que vous trouviez celui ou celle qui vous fera réaliser qu’il est temps de sacrifier un peu de liberté pour une belle histoire d’amour. Lorsque vous êtes en couple, vous vous montrez généreux, tendre et à l’écoute. Votre franchise fait de vous un partenaire loyal et franc. Grâce à votre créativité, vous ne manquez pas d’idée pour sortir de la monotonie et vous redoublez d’attention pour choyer et surprendre votre partenaire.

Dans le domaine professionnel, vous faites preuve d’une grande capacité de travail et ne comptez pas vos heures. Les tâches répétitives vous rebutent et vous avez besoin de vous diversifier pour être pleinement épanoui dans votre travail. C’est pourquoi vous avez parfois tendance à être sur tous les fronts et à parfois vous disperser. Heureusement, votre ténacité et votre volonté font de vous un travailleur hors pair sur qui l’on peut compter. Vous avez le don pour motiver vos collègues et vos équipes et votre optimisme est votre atout principal.

Vous débordez d’énergie et ne supportez pas de ne rien faire. Cela vous incite à multiplier les activités et les loisirs. Mais attention au surmenage ! Pour tenir le rythme, pensez à vous reposer. Votre dynamisme vous honore mais il est important de faire le plein de sommeil et de soigner votre hygiène de vie. À trop tirer sur la corde on finit par s’épuiser.

*

En règle générale, les natifs du Sagittaire, qu’il s’agisse d’une femme ou d’un homme, sont une véritable bouffée d’air frais. En effet, ce signe astrologique ne tient pas en place : s’il a envie de faire quelque chose, il fonce. Il déteste s’enfoncer dans la routine et préfère mener une vie de pleine liberté, totalement instable. Des qualités qui peuvent, selon la situation, tourner aux défauts.

Malgré tout, la Femme Sagittaire n’est pas une solitaire… Au contraire. Elle aime être entourée de personnes de confiance et adore les entraîner dans ses histoires les plus folles. D’ailleurs, si on ne le suit pas, elle n’hésite pas à exposer sa vision des choses, à donner des leçons, de manière claire sans aucun tact. Dans une relation amoureuse, certains traits de sa personnalité, notamment son amour pour la liberté, peuvent parfois lui causer du tort. Cependant, si le jeu en vaut la chandelle, elle sait être très sérieuse et fidèle en amour.

Quoi qu’il arrive, ce signe du zodiaque reste motivé. En amour, amitié mais aussi dans le travail, c’est un éternel optimiste. Il donne tout, quitte à partir dans tous les sens.

Tout ce que fait la Femme Sagittaire, elle le fait avec passion… Notamment lorsqu’elle entretient une relation, d’amour comme d’amitié. Elle est prête à tout donner et partager pour ses proches. Oui, ce signe astro aime détenir ce rôle de personne à qui on demande d’étaler son savoir. Ce trait de personnalité fait d’ailleurs également partie de ces défauts : la Femme Sagittaire est têtue et lorsqu’elle dit ou fait quelque chose, elle est la seule à avoir pris le bon chemin à ses yeux.

Cependant, malgré son amour et sa loyauté infinis pour ses proches, ce signe du zodiaque est très instable, ce qui peut parfois l’éloigner d’eux. Heureusement, il sait faire la part des choses : il est toujours prêt à se poser pour une relation amoureuse qui en vaut la peine…

Nous vous l’avons dit : la Femme Sagittaire déborde d’énergie, notamment dans le milieu du travail. C’est une personnalité avec laquelle on aime travailler et à qui on fait confiance. Tant que ce signe astro n’obtient pas ce qu’il veut, il ne lâche rien ! Seul bémol : les natifs du Sagittaire ont tendance à ne pas, ou très peu, être organisés…

La Femme Sagittaire aime l’aventure, la liberté plus que quiconque et souhaite emmagasiner un maximum d’expériences. En grande optimiste, elle prend toujours la vie du bon côté et déborde constamment d’énergie. Ce signe astro a envie et aime apprendre. D’ailleurs, les natifs du Sagittaire aiment partager leur savoir avec leurs proches. Ils sont également extrêmement généreux et protecteurs avec eux. En amour comme en amitié, ils sont prêts à tout donner.

La Femme Sagittaire a beau avoir de nombreuses qualités, elle a également un bon nombre de défauts plus ou moins marqués. Bien que son âme d’aventurière soit l’un de ses points forts, elle la mène également à une certaine instabilité assez redoutable, notamment dans une relation amoureuse. Ce signe astrologique ne tient pas en place : pour lui, l’ouverture d’esprit est une priorité… N’en déplaise à ses proches. D’ailleurs, en amour comme en amitié, il est extrêmement moralisateur. C’est lui qui a raison et personne d’autre !

Bien qu’optimiste et extrêmement motivée dans tous les domaines, comme dans le travail, la Femme Sagittaire s’éparpille. Elle n’a aucune organisation, est impatiente et, à force de vouloir tout faire, elle finit par tomber. »

vadeboncoeur dit: à

« Il faut être fou pour ouvrir une galerie en pensant qu’elle est le couloir d’entrée à une mine d’or sociale et morale. La galerie et une forme de galère à laquelle on se condamne soi-même et comme tous les accros on arrête le soir et recommence le lendemain. Il ne faut pas croire que ces paroles soient pessimistes, elles ne sont que désespérées. Le mal actuel, dans l’art, est la disparition des galeries qui sont submergées par les Eldorados du numériques, les salles des ventes ou les ventes de salon. Cette sorte d’amazonisation laisse croire à son inutilité alors qu’elle est le lieu de la première reconnaissance professionnelle de l’artiste et la première présentation de son travail.
Il ne faut pas croire que la vie soit un long fleuve tranquille avec certains artistes, qui pensent que s’ils sont achetés c’est grâce à leur talent et que s’ils ne sont pas vendus c’est dû à l’indigence du galériste, qui devient alors un encombrant et très cher intermédiaire, oubliant de ce fait le sacerdoce de l’attente, de la mise en lumière de leurs œuvres et le coût financier qu’ils n’ont pas à assumer.
Quelques galeries, croyant fortement à la relation humaine, à la valeur du temps, aux partages des sensations, résistent. Chacune a une spécificité et s’adresse à une typologie artistique et commerciale spécifique. »
Dans FB.
On pense ici à certaines d’entre elles.
Une, en particulier, qui vient de fêter en toute discrétion ses cinquante années d’existence.
Bonne soirée.

Janssen J-J dit: à

GP n° 219 – Je me souviens surtout d’un Paul Angoulvent, dont le nom m’avait toujours fasciné comme directeur de la collection des Que sais-je ? aux PUF…, ces petits 124 pages dont je m’abreuvais pour rattraper mes retards, n’ayant jamais pu acquérir l’Encyclopédia Universalis… Sur le tard, j’ai publié un QSJ, mais Paul n’était plus là depuis longtemps. Je me demande bien ce qu’il est devenu, depuis que la psychopompe a ressuscité son esprit volatile.
Juste pour dire que mon père est mort à 76 ans, un an avant Bourdieu et quelques mois avant l’attentat des tours jumelles. Il ne m’appelle jamais, non. Il avait toujours souhaité rester tranquille dans sa mort. Bref, @ chacun sa mort d’or.

Janssen J-J dit: à

Aujourd’hui j’ai aidé à la construction d’une charpente d’un carport. Je ne connaissais pas ce mot, mais j’ai mal au dos et quelques ecchymoses au bras. Ce matin, mon médecin traitant m’a rassuré : il m’a gardé trois quarts d’heure et ne m’a fait payer que 25 euros. Il m’a dit sa détestation de Macron qu’il aimait bien au début. Mais depuis qu’ils ont décidé une augmentation de la consult. à 26 euros virgule 50 centimes, ils se sont sentis sciemment humiliés… « il se fout de la gueule des gens, ce mec !… Le dit d’un jeune médecin humaniste et pro sécurité sociale, très rassurant à l’égard de mes troubles mnésiques, il a su trouver les mots d’apaisement et assuré de ne pas arrêter mon traitement contre mon syndrome anxio dépressif. Dans la foulée, j’ai écrit 12 pages, alors que je n’avançais plus, dernièrement. Bin enfin je vais pas raconter ma vie à la RDL, on n’est pas là pour ça, que disait Paul E. qui a mis une nouvelle histoire sur sa messagerie. Bien à vous. Tchin. 20h40 du 29.8.23 <WWWWXXXX

Jazzi dit: à

C’est pas un mauvais signe et ça lui ressemble, Pablo…

closer dit: à

128 pages JJJ.
Un peu de rigueur, svp.

Jazzi dit: à

« j’ai publié un QSJ »

Sur quel thème, JJJ.

J J-J dit: à

moij c’est bélier ascendant sagittaire… CT, si vous voulez bien me tirer le portrait, ne vous gênez pas. Y’a padkoi… merci.

Bloom dit: à

Lachez pas 3j…écrivez tant et plus même si c’est dur…courage, camarade !

rose dit: à

98 ans aurait-il eu, votre père.
Il y a eu cet été nombre de décès de septuagénaires et aussi des quinquagénaires.
C’est bien jeune pour mourir.

Je suis assez pour penser la scission entre le monde des morts et celui des vivants.
Néanmoins, j’envisagerai volontiers une petite psychopompe avec qq.indovidus auxquels je tiens bcp.

rose dit: à

QSJ ???

MC dit: à

«Les flèches du Sagittaire
Sifflent dans le Ciel Profond. ». VH (Oeuvres posthumes)

rose dit: à

depuis qu’ils ont décidé une augmentation de la consult. à 26 euros virgule 50 centimes, ils se sont sentis sciemment humiliés… « il se fout de la gueule des gens, ce mec !

Pas juste.
Mais ils ont tout donné à l’educ nat. puisque personne ne veut plus enseigner.

rose dit: à

Est-ce que vous allez poser des panneaux solaires sur votre carport ?

rose dit: à

Troubles mnésiques : travaillez.

Syndrome dépressif, pas de médocs.

MC dit: à

Pour le carnet, non. Tout ce qui entre ici est étiqueté avec le lieu d’origine.mais je n’ai pas d’ anthologie, Rose! Bien à vous. MC

Jazzi dit: à

« bélier ascendant sagittaire »

Couillu et cornu et doublement têtu, le JJJ !

rose dit: à

Bonne soirée MC.
Mais, collectionnez-vous les livres ?

rose dit: à

QSJ
Que sais-je.p
(Pas grand chose*)

Je lis tout généralement de manière très détaillée.
C’est un job à plein temps.

Jazzi dit: à

JJJ, c’est pas CT mais Pablo qui tire les portraits astro !

Bloom dit: à

rose, le sud du B’desh est un delta avec la forêt de mangrove des sundarbans à l’ouest, et les chors au centre. Un chor est une parcelle de terrain qui apparaît et disparaît au gré de la montée des eaux et de la quantité de dépôts venant des plus grands fleuves du monde, Brahmapoutre et Ganges formant la Padma après confluence. A l’est en revanche, après Chittagong, on trouve une des plus longues plage de sable fin au monde qui débute à Cox’s Bazar, qui fut une station balnéaire où les rares Occidentaux travaillant à Dhaka venaient se délasser. Lorsque j’ y suis allé en 1984, avec des amis venus de France nous avons loué une jeep avec le bidon d’essence servant de réservoir sous le volant et avons fait 10km pour trouver un lieu que nous croyions tranquille…mais 5 mn après notre arrivée, les villageois des alentours étaient rassemblés sur la mince langue de sable à se moquer gentiment de ces bideshis qui nagent dans une eau à crabes et poissons…voilà le décor planté . Derrière la mince dune, les champs truffes de serpents venimeux étaient parsemés de villages pauvres et surpeuplés…
C’est un des bouts du monde…

MC dit: à

Merci Bloom! Beau plateau en effet! Pablo 2 ) oui, sans clic pour ces deux titres là . Rose, je ne suis pas sûr de collectionner pour collectionner. Cet amoncellement ne vaut que pour la fresque qui en est tirée, et dont une au moins à fait enrager qui vous savez. Bien à vous. MC

Samuel dit: à

Pourquoi mon signe astrologique, le Capricorne, signe d’hiver, reflète bien mon caractère rigide et mon âme froide ?

D. dit: à

**Titre : L’influence de l’astrologie : Étude du profil des Sagittaire ascendant Sagittaire**

**Introduction**
L’astrologie, cette croyance millénaire en une corrélation entre les mouvements des planètes et les caractéristiques humaines, continue d’exercer une fascination profonde sur de nombreuses personnes. Au cœur de cette pratique se trouvent les signes du zodiaque et leurs correspondances supposées avec les personnalités individuelles. Parmi ces signes, le Sagittaire se distingue par son enthousiasme et son désir d’aventure. Ajoutez à cela l’influence de l’ascendant Sagittaire, et nous obtenons le Sagittaire ascendant Sagittaire, un être dont la réputation d’excentricité et de passion est souvent citée. Dans cette dissertation, nous explorerons les fondements de l’astrologie, les traits caractéristiques du Sagittaire et de l’ascendant Sagittaire, pour ensuite plonger dans l’analyse approfondie du profil complexe des Sagittaire ascendant Sagittaire.

**Section 1 : Les fondements de l’astrologie**
L’astrologie, ancienne et mystérieuse, repose sur l’idée que la position des planètes au moment de la naissance d’un individu peut influencer ses caractéristiques et son destin. Les deux éléments les plus fondamentaux dans cette pratique sont les signes du zodiaque et les ascendants. Les signes du zodiaque sont déterminés par la position du soleil au moment de la naissance, et chacun est associé à un ensemble de traits de personnalité distinctifs. Le Sagittaire, par exemple, est souvent lié à des qualités telles que l’optimisme, la curiosité et le désir de découverte. D’autre part, l’ascendant, également appelé le signe de l’horizon, est déterminé par la position de l’est au moment de la naissance. Il est considéré comme le masque que l’on présente au monde extérieur, influençant la manière dont nous nous manifestons dans nos interactions.

**Section 2 : Traits de personnalité du Sagittaire**
Les traits caractéristiques du signe du Sagittaire sont à la fois fascinants et saisissants. En tant que signe de feu, le Sagittaire brûle d’une passion ardente pour l’aventure et l’exploration. Son optimisme inné et sa vision positive de la vie peuvent être contagieux, incitant les autres à le suivre dans ses quêtes. La soif de connaissances et de nouvelles expériences est également un élément central de la personnalité sagittaire. Le Sagittaire est souvent le premier à vouloir repousser les limites et à remettre en question le statu quo, une caractéristique qui reflète sa connexion avec la planète Jupiter, symbole d’expansion.

**Section 3 : Influence de l’ascendant Sagittaire**
L’ascendant Sagittaire ajoute une couche supplémentaire de complexité à la personnalité du Sagittaire ascendant Sagittaire. Les individus avec cet ascendant ont tendance à rayonner de charme et de sociabilité. Leur communication est généralement ouverte et directe, ce qui les rend facilement accessibles et agréables à côtoyer. L’indépendance est une valeur clé pour l’ascendant Sagittaire, et cette caractéristique se mêle au désir de liberté du Sagittaire solaire. Ces personnes ont souvent du mal à se sentir à l’aise dans des environnements confinés ou trop structurés, préférant des espaces où elles peuvent laisser libre cours à leur créativité et à leur curiosité.

**Section 4 : Le profil des Sagittaire ascendant Sagittaire**
Lorsque les traits du signe solaire Sagittaire et de l’ascendant Sagittaire se combinent, nous obtenons le fascinant profil des Sagittaire ascendant Sagittaire. Ces individus sont comme des aventuriers intrépides de l’esprit et de l’âme. Leur passion pour l’exploration se manifeste dans tous les aspects de leur vie, qu’il s’agisse de voyages physiques ou de quêtes intellectuelles. Ils ont une soif insatiable d’apprendre et de comprendre le monde qui les entoure, et ils sont souvent attirés par des domaines tels que la philosophie, la spiritualité et la culture.

**Section 5 : Perspectives critiques sur l’astrologie**
Bien que l’astrologie puisse offrir des aperçus fascinants sur la personnalité et les tendances humaines, il est important de garder à l’esprit les perspectives critiques qui entourent cette pratique. De nombreux sceptiques soulignent le manque de preuves scientifiques solides pour soutenir les affirmations astrologiques. Les descriptions de personnalité basées sur les signes du zodiaque sont souvent formulées de manière vague, ce qui permet aux gens de s’identifier facilement à plusieurs traits, créant ainsi une illusion de pertinence.

En outre, l’astrologie peut également être critiquée pour son tendance à favoriser l’essentialisme, c’est-à-dire la croyance que les caractéristiques humaines sont prédéterminées par des facteurs externes tels que les étoiles. Cette approche peut réduire la complexité de l’individu à des généralisations, négligeant ainsi les influences culturelles, éducatives et environnementales qui jouent un rôle majeur dans la formation de la personnalité.

**Conclusion**
L’étude du profil des Sagittaire ascendant Sagittaire nous invite à plonger dans les méandres de l’astrologie, un domaine qui fascine et divise depuis des siècles. Les traits caractéristiques du Sagittaire et de l’ascendant Sagittaire se mêlent pour former une personnalité riche en contradictions et en éclats d’enthousiasme. Cependant, il est essentiel de se rappeler que l’astrologie, bien qu’offrant un cadre pour l’exploration de soi, n’est pas une science établie et ne doit pas être utilisée pour juger ou catégoriser les individus. En fin de compte, la personnalité est le résultat de multiples influences et expériences, bien au-delà des mouvements célestes au moment de la naissance.

En conclusion, l’astrologie reste une source de fascination et de débat, avec les Sagittaire ascendant Sagittaire offrant un exemple captivant de la manière dont les différentes influences peuvent se mêler pour former des personnalités uniques. Cependant, il est toujours sage d’adopter une approche équilibrée en considérant l’astrologie comme une forme de divertissement plutôt que comme une vérité absolue.

renato dit: à

Quelqu’un a des nouvelles de Carmen Nova, un faux Umberto Eco avec préface de Roland Barthes retrouvé chez un bouquiniste allemand ?

renato dit: à

«… préface de Roland Barthes… » fausse, naturellement.

et alii dit: à

Je portais, en ces temps, l’étole d’engoulevent
Qui chantait au soleil et dansait dans l’étang
Vous aviez les allures d’un dieu de lune inca
En ces fièvres, en ces lieux, en ces époques-là
Et moi, pauvre vestale, au vent de vos envies
Au cœur de vos dédales, je n’étais qu’Ophélie
barbara
https://www.youtube.com/watch?v=sjwGmHIdORQ

D.. dit: à

**Section 1 : Anatomie et Physiologie des Chats**
L’anatomie et la physiologie des chats jouent un rôle essentiel dans leur capacité à effectuer divers mouvements, y compris le roulage. Les chats sont dotés d’un squelette souple et de muscles bien développés qui leur permettent d’adopter une grande variété de positions. Leur colonne vertébrale est constituée de nombreuses vertèbres, ce qui leur confère une grande flexibilité. En particulier, les vertèbres thoraciques, situées dans la région de la poitrine, sont plus mobiles, permettant aux chats de se tordre et de se contorsionner avec aisance. Cette flexibilité est renforcée par le fait que les vertèbres sont reliées par des ligaments et des muscles élastiques, ce qui donne aux chats une amplitude de mouvement plus grande que celle de nombreuses autres espèces.

**Section 2 : Comportement des Chats**
Le comportement des chats joue un rôle crucial dans leur capacité à rouler. Les chats sont naturellement curieux et aiment explorer leur environnement. Ils utilisent souvent le roulage comme un moyen de jouer et d’exprimer leur enthousiasme. Par exemple, un chat peut se rouler sur le dos tout en jouant avec un jouet ou en interagissant avec son environnement. Le roulage peut également être un signe de contentement et de satisfaction. Les chats domestiques, en particulier, ont tendance à adopter des comportements de roulage lorsqu’ils se sentent en sécurité et à l’aise dans leur environnement. Cela peut également être lié à des comportements de toilettage, où les chats se roulent pour atteindre des zones difficiles à atteindre avec leur langue.

**Section 3 : Facteurs Psychologiques**
Le roulage des chats est influencé par des facteurs psychologiques tels que leur confort et leur bien-être mental. Les chats se roulent souvent lorsqu’ils sont dans un environnement familier et sûr. Le roulage peut être un moyen pour les chats de marquer leur territoire en laissant leur odeur sur les objets et les surfaces avec lesquels ils interagissent. De plus, le roulage peut être un moyen pour les chats de se calmer et de réduire leur stress. Les chats utilisent leur comportement pour gérer leurs émotions, et le roulage peut être une façon pour eux de se détendre et de se sentir plus à l’aise.

**Section 4 : Contexte Environnemental**
Le contexte environnemental joue un rôle clé dans les comportements de roulage des chats. Les chats sont plus enclins à se rouler dans des environnements où ils se sentent en sécurité et libres de se comporter naturellement. Par exemple, un chat peut se rouler dans un coin ensoleillé de la maison ou dans un jardin clos où il peut explorer en toute confiance. Les chats ont besoin d’espace pour étirer leurs muscles et s’étirer confortablement, ce qui les encourage à se rouler. L’enrichissement de l’environnement avec des jouets et des structures de jeu peut également encourager les comportements de roulage.

**Section 5 : Préjugés et Croyances Populaires**
Les préjugés et les croyances populaires ont souvent influencé la manière dont nous percevons le comportement des chats. Certains pourraient croire que les chats ne peuvent pas rouler en raison de leurs préjugés sur l’anatomie féline. Cependant, en comprenant les caractéristiques physiologiques et comportementales des chats, il devient clair que le roulage est en fait tout à fait possible et naturel pour eux. Il est important de remettre en question ces croyances et de se baser sur des informations scientifiques et observationnelles pour mieux comprendre les comportements des animaux.

**Conclusion**
En somme, l’idée que les chats ne peuvent pas rouler est infirmée par une compréhension approfondie de leur anatomie, de leur comportement et de leur environnement. Le roulage des chats est une expression naturelle de leurs caractéristiques physiques et de leurs émotions. Il est vital de considérer les chats comme des individus avec des comportements variés et complexes, plutôt que de les catégoriser en fonction de croyances populaires ou de préjugés. La capacité des chats à rouler est un exemple fascinant de la manière dont les animaux réagissent à leur environnement et expriment leur nature unique.

D. dit: à

Oui justement j’ai des nouvelles, renato.

Jean Langoncet dit: à

@MC dit: à
«Les flèches du Sagittaire
Sifflent dans le Ciel Profond. ». VH (Oeuvres posthumes)

C’est supposé terrasser l’ennemi virtuel ce genre de sortie ? … Ainsi va la vie mon petit Pierre, à Montevideo comme sur les quais de Seine
https://www.youtube.com/watch?v=57DLhCRuVwg

rose dit: à

5h38 mercredi 30 août

rose dit: à

Samuel dit: à
Pourquoi mon signe astrologique, le Capricorne, signe d’hiver, reflète bien mon caractère rigide et mon âme froide ?

Parce que on a le tempérament de sa saison.

rose dit: à

Je le transmets à Carine qui en revient.
Bloom dit: à
rose, le sud du B’desh est un delta avec la forêt de mangrove des sundarbans à l’ouest, et les chors au centre. Un chor est une parcelle de terrain qui apparaît et disparaît au gré de la montée des eaux et de la quantité de dépôts venant des plus grands fleuves du monde, Brahmapoutre et Ganges formant la Padma après confluence. A l’est en revanche, après Chittagong, on trouve une des plus longues plage de sable fin au monde qui débute à Cox’s Bazar, qui fut une station balnéaire où les rares Occidentaux travaillant à Dhaka venaient se délasser. Lorsque j’ y suis allé en 1984, avec des amis venus de France nous avons loué une jeep avec le bidon d’essence servant de réservoir sous le volant et avons fait 10km pour trouver un lieu que nous croyions tranquille…mais 5 mn après notre arrivée, les villageois des alentours étaient rassemblés sur la mince langue de sable à se moquer gentiment de ces bideshis qui nagent dans une eau à crabes et poissons…voilà le décor planté . Derrière la mince dune, les champs truffes de serpents venimeux étaient parsemés de villages pauvres et surpeuplés…
C’est un des bouts du monde…

Je ne le baignerai jamais dans un delta.
En ce qui concerne le Rhône, Beauduc est une plage de sable fin squattée +++ par des désespérés de la vie. Y ai emmené Emma en hiver en souliers vernis et en décapotable.
Le Jourdain lorsqu’il se jette dans le Lac de Tibériade a de nombreux bras aussi qui sont très profonds.
La partie alluvions sur ce lieu richement irrigué permet la culture d’orangers. Sur ce tas d’oranges jetées, j’avais pu en prendre cinq pour ce trajet alambiqué lors duquel je devais reculer tout le temps, les bras étant infranchissables sans se mouiller.
Votre description est magnifique et je vous en remercie.

rose dit: à

je ne me

rose dit: à

Au Mexique, en allant vers les Chiapas, lorsque l’on longe cette nature sauvage et exubérante le long du Pacifique, on rêve de nager dans les petits lacs ronds, sur le trajet, entourés de jungle.
les champs truffés de serpents venimeux étaient parsemés…
Plus tard, on voit les jeunes gens sur les plages à touristes portant un bébé crocodile ou un boa constrictor ou un python maltais sur les épaules pour obtenir une pièce. Rien d’autre à faire qu’à se féliciter de ne pas s’être précipitée à plonger.

rose dit: à

je ne suis pas sûr de collectionner pour collectionner. Cet amoncellement ne vaut que pour la fresque qui en est tirée, et dont une au moins à fait enrager qui vous savez. Bien à vous. MC

Je ne sais pas qui Marc Court.
Une fresque.
Hier, renonçant a compter les cartons 3X5 quinze sur quatre étages, je fus saisie d’un vertige à l’idée des quinze mille livres.
Si cela représente une fresque, mais qu’elle est la dimension de la fresque ?

rose dit: à

A tempera.

rose dit: à

vous voulez bien me tirer le portrait,

Pas cuistre un brin.
En un, je mettrai timide.

rose dit: à

dos et quelques ecchymoses au bras.

Protégez-vous avec une veste. Huile de lavande sur les ecchymoses.

rose dit: à

Sur le tard, j’ai publié un QSJ,

Lequel ?

Cela me paraît antique.
Y avez-vous trouvé quelque intérêt ?

rose dit: à

Je vais me bouger le q.écouter les épisodes.
N’écoute jamais la radio.

rose dit: à

Jazzi dit: à
Pourquoi, Samuel, dans « la société capitaliste » les plus grands consommateurs sont des consommatrices ?

Idée toute faite : lourdeur terrible.

rose dit: à

– qu’elle connaît comme moi la diagonalisation des endomorphismes dans l’algèbre linéaire – elle ne mérite pas que je sorte mes

Deux remarques :
Ai appris sur l’embolisation de la prostate.
Quid sur la diagonalisation des endomorphismes ?

Notion de mérite : cela ne passe pas. Non.

renato dit: à

Donc, le faux Eco. Carmen Nova, kriminalnovelle.
Pas une préface de Roland Barthes, mais une postface.

Publié en Suisse en 1984 n’est conservé que dans deux bibliothèques ; un exemplaire dans celle de Bibliothèque d’État et universitaire de Brême qui a publié en ligne le texte accompagné d’une notice détaillée (mais on le trouve chez Goodread, 2€).
La traduction allemande fait référence à un original publié à Londres et à Milan en 1966.

https://www.cacciatoredilibri.com/carmen-nova-il-mistero-del-romanzo-sconosciuto-di-umberto-eco-del-1983-una-falsificazione-tedesca/

30.8 — 6.57

renato dit: à

celle de > LA

renato dit: à

Samuel ou du poncif.

renato dit: à

Notion de mérite : cela ne passe pas.

Pourquoi, au juste ?

rose dit: à

Oui, le poncif. Les femmes ceci les hommes cela. Le monde n’est pas Barbie.

rose dit: à

Renato
Pourquoi ?

Pas d’analyse en l’état mais un profond antagonisme.
Ancré.
Autant que pour tout style de pub (SNCF et autres) du genre « premier arrivé, premier servi).
Je ne supporte pas cela.
Le genre de phrase « vous le méritez », suis couverte de boutons ; ces gens qui s’attribuent la distribution des bons points et des mauvais points : non.
Abstraction totale de la notion de mérite.

rose dit: à

Dslée, pas le poncif pour Samuel mais pour jazzi dans les consommatrices.

rose dit: à

Les femmes, les hommes même combat.

rose dit: à

Un point important est omis dans l’article : lorsque Alexandra DavidNeel a cessé de voyager, n’omettant pas toutefois de faire refaire son passeport, à 101 ans le dernier exemplaire, elle a choisi Digne les Bains pck cela ressemblait vraiment à ses montagnes chéries du Tibet.
Un espace très particulier ; la Bléone coule au pied. Le mur d’ammonites à gauche en sortant de Digne et le musée geologique. Le musée Gassendi si intéressant. Les thermes. Et surtout la splendide mise en valeur du paysage par Andy Goldworsthy qui, lui aussi, comme Alexandra, est tombé amoureux de ce paysage. Et y a posé ses sculptures.
https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2023-08-29/la-premiere-femme-entree-dans-la-capitale-interdite-du-tibet-a-installe-son-refuge-a-digne-les-bains-afad7e98-e1ab-409c-8633-9f063d8fc97b

renato dit: à

Merite.
Donc, si, p. ex., un violoniste par son travail devient un virtuose il vaudrait autant qu’un accordéoniste de rue ?

renato dit: à

Tous les posts de Samuel sont des poncifs, je crois que c’est son « dessin ».

Jazzi dit: à

« Le monde n’est pas Barbie. »

Et rose ne voit pas la vie en rose !

renato dit: à

Non, parce que se le cose stanno così, je dois donner à l’accordéoniste autant qu’un auditorium paye le violoniste ?!

renato dit: à

Ou alors, fini le concert, le violoniste fait la manche ?…

Bloom dit: à

Je ne le baignerai jamais dans un delta.

A l’insu de votre plein gré, cela vous est certainement arrivé.
Le delta du delta: on vous déposerait dans ce lieu (Cox’Bazar) les yeux bandés, vous n’en auriez aucune idée, du delta.
Vous vous baigneriez dans le Golfe du Bengale qui est un sous-ensemble de l’Océan indien, qui côtoie la mer d’Andaman où vont se tremper les mecs des cités après avoir fort niqué à Phuket (dite fuckit-racket)….
Carry-le-Rouet et Cassis sont plus proches du delta du Rhône que Cox’s Bazar l’est de celui du Gange…On s’y baigne dans la Méditerranée, non?

Si votre amie était à Bombay (je n’emploie pas le terme ‘Mumbai’ à dessein), elle s’est peut-être baignée dans la Mer d’Arabie, autre partie de l’Océan indien.

Un delta peut cacher un golfe qui cache un océan composé de plusieurs mers….La géographie physique demeure une taxinomie raisonnée…Voir l’histoire d’un ruisseau d’Elisée Reclus et Land of the Seven Rivers, A Brief History of India’s Geography, par Sanjeev Sanyal.

Samuel dit: à

…dessein…

J J-J dit: à

Ci-jointle résumé d’une note alarmante du service central du renseignement territorial sur la pénurie de personnels privés pour assurer la protection des JO de Paris, l’an prochain.
On ne voudrait pas direjjj, mais la RDL se devrait de largement relayer cette info à tous les erdéliens en attente fiévreuse de cette manifestation lustrée de Paris 2024.
_________________________
Une note du Service central du renseignement territorial (SCRT) met en lumière une série de défis et de préoccupations majeures concernant le secteur de la sécurité privée en France, surtout à l’approche des grands événements sportifs comme la Coupe du monde de rugby et les Jeux Olympiques de Paris 2024.
Le SRT considère comme envisageables des tentatives d’infiltration au sein des organisations de sécurité, notamment pour des actions de protestation. Pour renforcer la sécurité et éliminer les failles, les autorités planifient la réalisation de plus de 400 contrôles sur le territoire de l’Île-de-France au cours de cette année.
***Le Service central du renseignement territorial, anciennement connu sous le nom de la Sous-direction de l’information générale (SDIG), est un acteur clé dans le paysage sécuritaire français. Ce service est notamment responsable de la collecte et de l’analyse des renseignements liés aux mouvements sociaux, aux dérives sectaires, et aux autres menaces qui pèsent sur la sécurité intérieure. Il travaille en étroite collaboration avec d’autres organes de l’État, y compris la gendarmerie
Sur 236 sociétés de sécurité privée situées dans les Yvelines, une seule a pu répondre aux appels d’offres émis par l’État. Cette statistique alarmante pose des questions sérieuses sur la capacité du secteur à garantir la sécurité lors de ces événements.
L’un des problèmes majeurs réside dans le manque d’attractivité financière du secteur. Les horaires souvent décalés, le travail de nuit, pendant les week-ends et les jours fériés, rendent les postes moins attrayants malgré leur importance cruciale. Par conséquent, les agents les plus qualifiés se dirigent vers des emplois plus lucratifs, aggravant le manque déjà criant de personnel.
Pour combler ce vide, les 175 heures de formation initiales ont été réduites à 106 heures, et les enquêtes de moralité sont accélérées. Si ces mesures peuvent paraître pratiques à court terme, elles exposent à des risques significatifs, notamment le recrutement d’agents moins préparés et peut-être même suspects.
Pour résoudre ces défis, des mesures urgentes doivent être prises, en termes de revalorisation salariale, de recrutement ciblé ou de formations adaptées et efficaces.

Bloom dit: à

Ce pays a les yeux plus gros que le ventre, 3J.
Il montre les muscles mais c’est de la gonflette. Le Gabon aujourd’hui parce qu’hier le Mali, le Burkina et le Niger.
Question sécurité, tous les spécialistes et anciens acteurs le savent: on a taillé dans le vif, découragé les vocations et préféré le privé. Cela ne date pas d’hier mais des années 90.
Perso, je ne me rendrai à aucun événement de mon sport favori cet automne, ni sur place ou dans les lieux de rassemblement ‘festifs’ ‘(en fait plein de mecs bourrés, barbus et tatoués). Trop dangereux.
Quand on est pas fichu de foutre dehors des dealers incrustés dans les entrées d’immeubles, on a effectivement des questions à se poser.
Le pire, c’est que ce n’est pas beaucoup mieux ailleurs.

Janssen J-J dit: à

Les Repères de 124 p. des éd. La découverte ont largement remplacé les Que sais-je des PUF de 128 p.
Je ne voij pas en quoi il serait déshonorant d’en évoquer l’histoire. Les annales du bac de chez Garnier-Flammarion furent bien utiles jadis aux enseignants de l’EN et des lycéens.
Parfois je ne comprends pas certaines réactions des intervenautes, mais ce n’est pas bien grave.
Le robot bloque toujours mes sympathiques réponses d’hier soir à jzmn, rôz et rBL, je ne sais pas pourquoi.
Belle j. à tous.tes (30.8.23)

Pablo75 dit: à

Pourquoi, Samuel, dans « la société capitaliste » les plus grands consommateurs sont des consommatrices ?
Jazzi dit:
Idée toute faite : lourdeur terrible.
rose dit:

Tous les publicitaires savent que 80 % des achats d’une famille sont faits par les femmes.

renato dit: à

Est-ce que vous aussi vous vos attachez à une banale erreur, Sam ?

Jazzi dit: à

Ma mère ne cessait de me dire : « Tous les hommes sont des cochons ».
Je lui répondais illico : « Toutes les femmes sont des salopes ».
Elle éclatait alors de rire et me disait que c’était vrai.
Il faut dire que ma mère avait de l’humour et ne se faisait pas beaucoup d’illusion sur la sororité…

Phil dit: à

illusion sur la sororité…

ni sur la sonorité, dear Baroz

Phil dit: à

plein de mecs bourrés, barbus et tatoués

history on ze move, dear Bloom. La rentrée littéraire du futur, éditions sur tatouages, sauvons la jungle, arbres et indigénat

D. dit: à

Je ne comprends pas que tu voyes les choses ainsi, Jazzi. Nous aspirons à la sainteté, pas à être cochon ou salope. C’est le malin qui nous entraîne vers le bas et la publicité.

D. dit: à

la lubricité

D. dit: à

Quel est votre sport favori, Bloom ?

Jazzi dit: à

« Je ne comprends pas que tu voyes les choses ainsi »

C’était pour répondre à rose qui voit, comme Clopine, tous les hommes comme ceci (des machos capitalistes) et toutes les femmes comme cela (d’innocentes victimes), D.

MC dit: à

Soit la dernière en préparation, Rose, il faut lire tout ce qui a paru et qui est valable sur le Père Maunoir. Soient au moins six à huit ouvrages, Les Manuscrits dudit Maunoir ( Bibliothèque pour deux d’entre eux), les deux éditions de son Journal, et diverses vies de spirituellesdu début du dix septième siècle pour établir ce qui est convenu et ce qui est original dans le manuscrit de Maunoir. D’où forte documentation sur Loudun, la Correspondance de Surin, la Confession de Jeanne des Anges,soit 4 volumes . mais aussi la Vie de Madame Acarie par Du Val, etc. Et pour parvenir à cette simplicité d’une dizaine d’ouvrages, il a fallu en éliminer d’autres, majoritairement des Vies, au moins aussi nombreuses! Comptez aussi les recherches dans les Correspondances pour voir quand la sensibilité mystique se referme. Piochez de la Correspondance de Madame de Maintenon à l’ Instruction sur les États d’ Oraisons de Bossuet, qui siffle la fin de la récréation. N’oubliez pas non plus le rôle de l’ AA et autres sociétés secrètes catholiques dans l’affaire. ( 4 volumes dont le d’ Argenson et le Allier)Voilà. Bien à vous. MC

Janssen J-J dit: à

sur la 6e chaine, ils vont faire une grande émission de météo climat chaque jour avec un animateur prétendu vulgarisateur scientifique, connu pour son climato-scepticisme.
Très bien, enfin une chaine indépendante !…
Allons tous aux RV de la 6 pour savoir ce qu’il faut faire, filde !

MC dit: à

Plus les familles aristocratiques liées à cette affaire. Les Kermeno, les Kerhuel, les Rosmadec , les Kergournardec’h , qui ont chacune leur généalogie….et parfois des erreurs ds celles-ci ! Il y a le Père Anselme, mais il ne les recouvre pas toutes!

JC..... dit: à

DIVINITES: RESULTAT DU MATCH

Le seul Dieu qui tienne la route, par Cupidon le vaillant, mais c’est le Malin ! Vas y Lucifer, en Avant…

On est tous avec toi ! Même au Vatican, à Médine, à Jérusalem ou à Beaubec !

Samuel dit: à

Pourquoi on ne parle pas beaucoup de Matthias Knutzen, le « Premier Athée », contemporain de Spinoza ?

D. dit: à

Fais attention, JC, parce que l’homme est toujours perdant au final à invoquer celui qui est foncièrement contre Dieu et donc contre l’homme. Logique. Toi qui es logique. Le processus malin est toujours le même et parfaitement éprouvé : séduction par le confort promis, y compris le confort spirituel mensonger (falsification des vérités spirituelles et des doctrines véritables), suggestions de mensonges. Rien d’autre que la perpétuation de la chute originelle par tous moyens efficaces jusqu’au jour du Jugement dernier.

Bloom dit: à

3J, je m’aperçois que je vous « réagis » renseignements extérieurs…vieille déformation… Je vois mon ami & ex-collègue DR très bientôt; il a monté une société après sa retraite du « 5e bureau »…Fort hâte car il y a du taf à traiter…
Le héron cendré, tout de même, quel envol…!

D. dit: à

Mais l’homme n’a pas été laissé seul livré à lui-même dans cette vallée de larmes.
Il a pour lui, Jésus-Christ, le Rédempteur, Fils unique de Dieu, prêt à tout effacer en un instant quand le repentir est sincère.

Janssen J-J dit: à

aucund’souci, car la confusion est fréquente et compréhensible chez les non experts… entre SCRT et l’ex SDECE. Bàv,

D. dit: à

Dieu à fait l’homme à son image.
C’est plutôt plaisant et rassurant, Non.
Et surtout, c’est vrai. C’est pour cela qu’il ne veut en perdre aucun. Mais nous sommes aussi libres. Cette liberté conduit vers Dieu ou nous en éloigne à tous les degrés possibles.

Janssen J-J dit: à

elle était folle mais avait beaucoup d’humour la vôtre, quelle chance vous eûtes !…

rose dit: à

C’était pour répondre à rose qui voit, comme Clopine, tous les hommes comme ceci (des machos capitalistes) et toutes les femm’cescndes comme cela (d’innocentes victimes),

Le grand n’importe quoi.
Prenez des vacances, jazzi.

Janssen J-J dit: à

je sais la question mesquine mais ne me l’empêcherai pas… Amélie, lors de ses passages annuels sur les medias de masse, ne serait-elle pas un brin sous l’empire de quelques rails de coke pour se donner le courage et l’énergie d’affronter les journalistes narquois, et bien assurer sa promo ? Car enfin, si on achète ses livres, n’est-ce pas à cause de l’air pathétique qu’elle se compose pour nous faire accroire à la vérité de ses drames ancestraux ? dernièrement, en faisant l’apologie d’un oiseau rare et se racheter de la sorte une virginité auprès des 4 principaux ornithologues critiques français, en plongées sous marines ?
Bref, c’est une question latente que toute l’RDL à l’affût doit de se poser, non ?…

rose dit: à

Pablo75 dit: à
Pourquoi, Samuel, dans « la société capitaliste » les plus grands consommateurs sont des consommatrices ?
Jazzi dit:
Idée toute faite : lourdeur terrible.
rose dit:

Tous les publicitaires savent que 80 % des achats d’une famille sont faits par les femmes.

Le grand n’importe quoi.
Prenez des vacances, Pablo 75
Ai rencontré deux hommes en voyage. Un à Punta Arenas. Le second à Mexico et à Acapulco. Les deux
j’y pense encore m’ont donné deux adresses pour le shopping.

rose dit: à

Les idées que les hommes se font des femmes. Rien que de l’écrire je suis sur le q.

Janssen J-J dit: à

@ Cela me paraît antique.
Y avez-vous trouvé quelque intérêt ?

Ne sachant à qui s’adresse cette question, elle reste en suspension. C’est dommage,

Clopine dit: à

Ah oui, je suis d’accord avec vous Rose, Jazzi devrait prendre des vacances. Je ne sais pas ce qui s’est passé dans sa vie, je pense que c’est son blog qui l’a déçu, et qu’il ne s’en remet pas. Jazzi est un type honnête, il a cru qu’en proposant un contenu en ligne de ce qu’il est profondément (un piéton de Paris, même si c’est à vélo, bref), il pourrait capter l’attention. Mais bon, internet, c’est le royaume de Tik-Tok et de Twitch, de ce qu’un chercheur comme mon fiston appelle « le capitalisme auto-narratif », et la déception qui en découle ( de ne pas y faire sa place) peut rendre amer.

Or, pour tous ceux qui connaissent et apprécient Jazzy, il existe une évidence : ce type qui a su contourner tous ses déterminismes, qui est cultivé, urbain, curieux des autres et aimable, l’amertume est un sentiment qui lui va comme un tablier à une vache. D’où son injustice envers ses anciennes amies…

(oui, on va encore me sortir que je ne suis qu’une brayonne, mais bon.)

rose dit: à

Janssen J-J

Hey.
Prenez des vacances !

Janssen J-J dit: à

l’idée que deux hommes laissent leur adresse à une seule femme pour voir comment faire avec elle du shopping était le début avorté d’un roman de paul edel, si j’ai bonne mémoire.

rose dit: à

renato dit: à
Merite.
Donc, si, p. ex., un violoniste par son travail devient un virtuose il vaudrait autant qu’un accordéoniste de rue ?

Ben oui.

Jazzi dit: à

J’aimerais bien partir à la mer et refaire le plein de soleil et d’énergie, rose.
Mais je suis bloqué à Paris à cause des travaux interminables à l’intérieur et l’extérieur de ma maison et n’ai pas vraiment le budget pour ça, hélas !
On verra plus tard…

rose dit: à

renato dit: à
Non, parce que se le cose stanno così, je dois donner à l’accordéoniste autant qu’un auditorium paye le violoniste ?!

Non mais hey,et le bonheur donné ? Y a une différence ?

rose dit: à

Jazzi

Tjrs pas fini les travaux de l’immeuble ?

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