Des mondes à jamais disparus
« Doit-on vivre pour soi, en isolant son destin, ou sommes-nous contraints d’être le maillon d’une chaine ? »
La phrase n’apparaît qu’une fois dans Revoir Tanger (290 pages, 22 euros, La Grande ourse) mais le dilemme hante tout le roman de Ralph Toledano, le deuxième après Un Prince à Casablanca. Edith, l’héroïne, toute de légèreté et de simplicité, mystérieuse alchimie de la véritable élégance, a toujours vécu dans la sécurité, au sein d’« une forteresse d’ordre et d’ancienneté ». Son imaginaire semble fasciné autant que façonné par la date qui hante sa famille : 1492. Celle de l’édit d’expulsion des Juifs d’Espagne par les rois catholiques. Ferdinand et Isabelle leur donnèrent le choix entre l’exil et la conversion, autrement dit le renoncement public à la singularité de l’Alliance en la noyant dans l’universalisme chrétien.
Par leur situation sociale, les ancêtres d’Edith auraient été absorbés par la noblesse et ses illusions. Et après ? Ils n’ont pas fait ce choix, sont partis, se sont retrouvés dans cet extrême nord de l’Afrique, cette pointe où ils firent vivre, revivre, survivre jusqu’à nous l’antique séfarade, par ses mœurs, ses traditions et surtout par sa langue, ce judéo-espagnol improprement appelé « ladino », et qui a conservé en lui le vieux castillan autant que le doute et la fragilité propres aux minorités longtemps opprimées. A partir de 1492, le narrateur voit deux Espagnes 
coexister : l’Espagne intramuros jusqu’à son prolongement impérial, et son Espagne intérieure, idéalisée, abstraite. Ayant fui le pays qui avait instauré la limpieza de sangre, prétendue « pureté du sang » censée attester l’ascendance chrétienne (lire à ce sujet la magnifique roman de Michel del Castillo La Tunique d’infamie, 1997), cette Espagne du dehors a tendance à idéaliser l’esprit biblique, tant et si bien qu’elle croit descendre en ligne directe du roi David.
Edith tombe amoureuse de Tullio, issu de la haute société italienne. Mais le pacte intime qui la lie à sa maison est si fort, métaphore de ce qui la relie à son ascendance, qu’elle a le plus grand mal à réconcilier sa vie de femme avec les souvenirs sacrés de son enfance, et à y renoncer pour la Maison du prince romain, lequel n’est pas prêt à renoncer à sa romanité. La fille de Sion épousera-t-elle le fils de César, ce qui marquerait l’éclatante revanche de l’Histoire sur l’échec de l’idylle entre Bérénice et Titus ? A cette perspective, leurs rêves et leurs cauchemars sont hantés par les errements de Poliphile Prénestin dans les labyrinthes, les milliers de cadavres de Juifs crucifiés sur l’ordre d’Hadrien et par le goût amer de la trahison. A moins qu’en s’unissant au prince Flabelli di Roccasanta plutôt qu’à l’un des siens, Edith n’ait été justement fidèle à l’héritage de son père… Il est vrai qu’à Tanger, contrairement à Rome, le rang, ni la fortune, le palais ou la maison ne sont des indicateurs de l’ancienneté d’une famille. Les vrais signes sont illisibles à ceux qui n’y vivent pas.
Ralph Toledano observe en entomologiste aussi précis que précieux une minuscule société obsédée de protocole, de différence et de distinction, attachée aux généalogies, aux boutons armoriés des livrées, à l’aspect ouvert ou fermé des couronnes, à la patine des chaises garnies de cuir de Cordoue gravé d’arabesques, aux vases en faïence de Talavera, dans la quête d’une introuvable harmonie. Ils craignent le déclassement, la technique, l’argent-roi, le progrès. De leurs conversations, on ressort avec l’idée que ces Juifs et ces aristocrates ont ceci en commun que la lignée, l’héritage spirituel, la transmission des valeurs leur importent davantage qu’aux autres. Un Tanger qui, on s’en doute, n’a rien à voir avec ceux, artificiels et éphémères, de Paul Bowles, ou de la Beat Generation.
On y croise des personnages étrangers à leur propre histoire, comme en apesanteur dans un siècle qui n’est pas leur genre. Des gens qui ne semblent guère animés par la haine de soi tant ils sont convaincus de relever d’une lignée immémoriale. Ils se donnent du « ma reine », du « ma rose » et du « ma vie », ne peuvent citer un absent sans demander « qu’il repose en paix », et placent la délicatesse au-dessus de bien des vertus. Des marginaux qui se donnent pour une élite, l’orgueil de leur origine chevillé au corps, convaincus les uns et les autres d’être le Verus Israël, persuadés que les vrais patriciens sont croyants, accablés de constater que décidément les bourgeois n’ont foi qu’en la démocratie dans laquelle ils voient le couronnement de la civilisation.
Tita, la vieille tante, consacre ses dernières années à fermer la porte avec douceur sur deux mille ans de « notre présence » au Maroc tandis que résonnent dans la maison, par la voix enchantée des membres de la confrérie de la Dispensation des grâces, les psaumes composés au Moyen Âge par Ibn Gabirol. L’occasion pour le narrateur, plus nostalgique que jamais, de louer à travers cette union des instrumentistes musulmans et du chantre juif, « les instants dorés des royaumes andalous », âge d’or si mythifié qu’il relève désormais de la légende, sauf à ne le considérer, justement, que comme des instants au sein d’un long passé nettement plus brutal. N’empêche qu’il y a dans ces pages un constat poétique sur la disparition du monde séfarade, sa civilisation et sa langue, qui laisse souvent le lecteur empreint d’une insondable mélancolie.
Certains romans dégagent une odeur, pas toujours suave d’ailleurs ; d’autres, un parfum. Celui-ci, c’est la fleur d’oranger ; ce n’est pas la cuisinière, qui fait partie de la famille, depuis le temps, qui démentirait. La sensation s’impose dès la première page. D’autres parfums s’y mêlent parfois dans les maisons. Comme un mélange d’encaustique et de lavande échappée des draps. Des accents proustiens scandent cette douce méditation sur le passage du temps et sur la transmission. Quelque chose d’un Swannito.
« Quand un phare de notre existence s’éteint, l’habitude que nous avions de compter sur sa lumière s’interrompt impitoyablement. Nous devrons désormais, en hommage aux leçons dispensées qui embellirent notre perception, assumer le rôle du disparu en le transformant à notre mesure. Ainsi, le défunt survivra dans notre personne qu’il avait élue pour continuer son œuvre. L’acceptation de cette tâche insolite et intimidante nous fait soudainement grandir. L’enfant que nous étions jusqu’alors devient brutalement un père. »
On joue à la canasta, on use et on abuse à tout propos d’expressions telles que « Que je meure pour elle ! » et l’on se souvient que les Tangérois appellent familièrement l’Oued Lihoud (« la rivière des Juifs »), dans une anfractuosité entre le plateau du Marshan et la Vieille Montagne, par allusion aux barques des rescapés de l’expulsion d’Espagne qui y échouèrent. Une certaine importance est accordée au vestiaire, à l’usage du monde, à ce que les manières de table révèlent d’une origine sociale et d’une éducation, au mobilier, évoqués par d’infinis détails, ce qui ajoute à la sensualité du récit, surtout lorsqu’il s’agit de cuisine.
Il y a comme ça des romans qui régalent le lecteur : feuilletés de thon et au citron confit, génoise au sabayon, compotier de petites aubergines confites parfumées aux clous de girofle, fricassée de volaille caramélisée aux oignons et aux aubergines. On ne parle pas politique, c’est trop dégradant ; et lorsqu’il question de « Mussolini », c’est d’une charlotte aux amandes et aux pralines roses nappées de chocolat qu’il s’agit !
« Heureux ceux qui n’ont point vu la fumée des fêtes de l’étranger, et qui ne se sont assis qu’aux festins de leurs pères ! »
Cette phrase, tirée d’Atala de Chateaubriand, est placée en épigraphe de Revoir Tanger ; elle pourrait tout aussi bien rayonner sur Le lièvre aux yeux d’ambre (The Hare with Amber Eyes, traduit de l’anglais par Marina Boraso, 471 pages, 8 euros , libres/Champs,) en lieu et place de celle qui y figure, quelques phrases de Proust sur l’esprit de collection tirée de Sodome et Gomorrhe. Un autre monde disparu, celui de la Mitteleuropa ashkénaze, y est évoqué.
De même que l’Edith du roman de Ralph Toledano limitait sa vie en se lovant au creux d’une enfance vénérée, Edmund de Wall n’est sorti de la sienne qu’en écrivant ce livre, attachant récit à la recherche des traces de sa famille. On dira que beaucoup d’autres l’ont précédé sur cette voie. Sauf que lui n’est pas écrivain, et qu’il n’en a pas la prétention. Céramiste de renom, il a refait le chemin en mettant ses pas dans ceux de ses aïeux à l’aide d’un fil d’Ariane des plus orignaux : une collection de 264 netsukes, des miniatures japonaises en ivoire, en nacre, en laque ou en bois signées par leurs artistes, que descendants, survivants et rescapés se sont transmis tel un témoin reliant secrètement les générations.
Sa famille n’est autre que les Ephrussi, l’un des grandes familles israélites européennes de la fin du XIXème et du XXème siècle avec les Rothschild, les Camondo, les Cahen d’Anvers, les Koenigswarter, de riches lignées de banquiers connues aussi pour leur goût de la collection, du faste, de la réception, des grandes demeures, toutes choses leur permettant d’obtenir, selon le mot du poète Heinrich Heine « leur ticket d’entrée dans la civilisation française ». Un droit de passage dont l’Histoire montrera vite à quel point il fut illusoire pour ces obsédés de généalogie.
Au commencement était le netsuke. On pourrait le dire ainsi, du moins chez les Ephrussi bien que ces japonaiseries, si fashionables à la fin du siècle qu’elles furent aussi moquées comme « japoniaiseries », brillantes dans la mise en forme d’une sensation fugace, étaient de peu de valeur en regard des trésors artistiques qu’ils eurent l’occasion d’acquérir.
Sans le faire vraiment exprès, Edmund de Wall a renouvelé le genre bien fatigué de la biographe de groupe, et du portrait de famille, en « netsukant » la sienne de manière assez exclusive. Encore faut-il préciser qu’il a eu l’idée d’embarquer le lecteur dans son enquête, ne lui faisant grâce d’aucun détail, d’aucun raté, d’aucune digression, d’aucune déconvenue, d’aucune surprise ; mais il faut l’entendre dans le bon sens car si cela peut être un pesant bavardage chez d’autres, c’est le plus souvent éclairant sous sa plume.
Ces netsukes avaient été achetés à Paris vers 1870 par un cousin de son arrière-grand-père, Charles Ephrussi qui les exposa en son hôtel de la rue de Monceau, puis dans sa demeure de l’avenue d’Iéna, dans une vitrine noire aux étagères habillées de velours vert ; ils avaient été offerts en cadeau de mariage à son arrière grand-père, Viktor von Ephrussi au début du XXème siècle à Vienne ; puis c’est son descendant Iggie qui les emporta avec lui à Tokyo avant qu’on en retrouve la trace au lendemain de la guerre à Londres.
Au bout de la lignée, Edmund de Waal se sentit investi d’une responsabilité, plutôt que d’un héritage, en veillant au destin de ces figurines représentants des rats, un homme assis, un tonnelier, un renard, une nèfle, des crapauds, un danseur de nô, un prêtre à cheval, une jeune fille, un dragon. En caressant et manipulant ces bibelots faits pour être touchés, il s’est obsédé de l’idée d’en raconter le périple. Son sens du toucher, tout d’innocence sensorielle, lui évite de céder à une mélancolie stérile. Puisqu’un netsuke est un concentré d’exactitude, il lui fallait refaire leur chemin avec le plus de précision. Ce n’est pas seulement l’idée fixe d’un descendant mais celle d’un sculpteur, d’un artiste qui a réalisé des milliers de poteries et qui croit au génie des objets comme d’autres font parler le génie des lieux : « Comment un objet déplace autour de lui un fragment du monde ».
Son arrière grand-père Charles Ephrussi était un historien de l’art mondain, spécialiste de Dürer, qui vouait une passion à sa maîtresse, Louise Cahen d’Anvers, et au Japon. Il était inévitable qu’il entremêlât les deux. C’était un temps où le japonisme était une religion, du moins à Paris, le Journal des Goncourt nous renseigne bien sur la question entre deux saillies antisémites, de même que Jules Laforgue qu’Ephrussi avait engagé comme secrétaire. Des tableaux tels que La Japonaise de Monet ou La Japonaise au bain de James Tissot s’en font l’écho.
On suit Edmund de Waal dans ses pérégrinations, épluchant les carnets mondains des journaux pour y repérer les invités des five o’clock organisés par le collectionneur en l’honneur de la princesse Mathilde, revisitant les maisons, interrogeant les descendants des témoins, allant jusqu’à faire de Charles Ephrussi le modèle exclusif, et non l’un des inspirateurs, du Swann de la Recherche. On se retrouve à Vienne dans le salle de bal d’un palais, chez le baron Ignace von Ephrussi, deuxième banquier le plus riche de Vienne, propriétaire d’un colossal bâtiment sur le Ring, croix de fer récompensé pour services rendus à l’Empereur, chevalier de l’ordre de Saint-Olaf, conseiller impérial, consul honoraire du roi de Suède et de Norvège, membre de l’ordre de la Toison d’or et de l’ordre du Laurier. L’auteur est persuadé que les netsukes, arrivés à Vienne en 1899, lui donneront la clé de la vie intellectuelle locale. En route, on apprend même des mots, des expressions. Ainsi potemkinisch pour désigner une ville toute de stuc et de plâtre.
La collection Ephrussi est mise sous séquestre par les nazis en 1938. Sur les registres officiels, la banque est non pas rayée mais « effacée ». La ville est « nettoyée » de cette famille originaire de Berditchev, Lemberg, Brody et Odessa, alliée aux Théodore Reinach, aux Léon Fould, aux Schey von Koromla. Juges et bourreaux (Richter und Henker) succèdent aux penseurs et poètes (Dichter und Denker). Les figurines japonaises seront récupérées par la gouvernante Anna qui les cachera dans son matelas et les fera échapper aux pillages, aux bombardements et à l’Armée rouge.
Ici l’enquêteur-narrateur se défend de tout sentimentalisme et toute nostalgie. A leur place, il affiche « une espèce de confiance » en dépit de la perte et de l’absence. Malgré ses contacts avec une Autriche persuadée d’être la victime et qui ne supporte pas l’ombre de ce qui pourrait lui porter préjudice en l’obligeant à remettre le nez dans son passé. Aujourd’hui, les netsukes sont chez Edmund de Waal, céramiste à Londres, né en 1964 en Angleterre, sa grand-mère Elisabeth y ayant épousé le hollandais Hendrick de Waal.
Avant qu’il ne reparaisse ces jours-ci en poche, son livre avait été édité en 2011 chez Albin Michel mais sous un autre titre : la Mémoire retrouvée. Car c’est aussi de cela qu’il s’agit pour celui qui, à travers une dérisoire collection de bibelots, a réussi à ressusciter un monde disparu à jamais.
(« Tanger » photos Passou ; Juive de Tanger en costume d’appartement » huile sur toile d’Eugène Delacroix, 1835 ; « Charles Ephrussi » par Léon Bonnat, 1906 ; « Netsukes » photo D.R.)
404 Réponses pour Des mondes à jamais disparus
la vie dans les bois dit:
à
Très belle photo de Tanger. Comme je viens de découvrir celles de Casablanca, proposée sur la rdl, il y a 2 ans presque jour pour jour.
Ralph Toledano a un homonyme, né à Casa. Sa date à lui c’est 1480, Tolède.
Peut-être une occas’ pour les parisiens d’un petit tour à la foire ?
Widergänger dit:
à
Super !
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…je me retire de cette sauce de tomates aux feuilles méditerranéennes,!…
…comme Obélix,!…la potion magique,…je suis né dedans,!…
…
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…mon, 0 h 22 mn,…
…censuré au billard,!…
…très satisfait,!…
…
Bloom dit:
à
Merci Passou de consacrer une partie de ce billet au grand livre élégiaque d’Edmund de Waal, qui vous était étrangement passé à coté lors de sa sortie en français. Il faut dire que le titre était inutilement éloigné de l’original. Un titre retrouvé pour un monde à jamais évanoui.
« The Hare With Amber Eyes » fut mon compagnon d’insomnie quand j’estivais dans un lieu tourmenté par les milliers d’âmes errantes des victimes du Tsunami de 2004. Un mal contre un mal, un monde perdu remarquablement évoqué contre d’autres mondes balayés par la vague mortelle. Lecture suivie d’une relecture immédiate tant la matière est précieuse. L’accueil fait aux nazis par les Viennois et ses conséquences immédiates font froid dans le dos. au moins les Allemands ont-ils assumés leurs crime., pas les Autrichiens.
Tous les amis à qui j’ai conseillé ce chef d’oeuvre m’ont dit avoir été ému comme rarement à sa lecture. Edmund de Waal (de Gaulle en français) est un céramiste de renommé internationale, il modèle sa biographie avec le même geste attentif que celui qui fait naitre les objets du quotidien.
JC..... dit:
à
Rendons grâce à Maître Assouline pour ses qualités d’historien totalement épanouies dans ces romans fantasmagoriques qu’il nous présente, où la vérité se niche peut-être parmi ses sœurs dispersées … Va savoir !
Nadine de Rothschild dit:
à
De leurs conversations, on ressort avec l’idée que ces Juifs et ces aristocrates ont ceci en commun que la lignée, l’héritage spirituel, la transmission des valeurs leur importent davantage qu’aux autres.
Jambrun va hurler, lui dont la mère a probablement fauté avec un officier allemand (voire pire).
JC..... dit:
à
L’appartenance à une communauté juive quelque part aristocratique, peut donner l’illusion d’une éternité, d’une intemporalité qui n’est que tromperie faite de l’orgueil de soi.
Banal…
Notre monde disparaît à chaque instant et cela n’a rien de surprenant. C’est dire l’effroyable stupidité de ceux qui s’enferment dans leurs souches culturelles, religieuses, mortes depuis des siècles !
Spécialité moyen-orientale, cultivée parfois en occident…
Un témoin honnête..... dit:
à
« Jambrun va hurler, lui dont la mère a probablement fauté avec un officier allemand »
…un deuxième classe teutonidé moche comme un pou, mais opportuniste et déluré….
JC..... dit:
à
….et n’oubliez pas : il est temps que ce monde hexagonal trompeur disparaisse, et pour cela VOTEZ BLANC … sans cesse !
Alors, le château de cartes des représentants qui ne vous représentent plus s’effondrera et, votre kalachnikov en main, sanglé dans votre chemise brune bien repassée, vous pourrez faire du neuf !
Ou le croire … !
JC..... dit:
à
Finalement, pour faire de la bonne Histoire historique, il vaut mieux être romancier qu’historien …
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…J.C.,!…forcer les gens à s’aimer,…
…devant madame avec sa Kalachnikof,!…c’est ( copier/coller ),…de mon post précédent à 0 h, 03 mn,!…censurer,!…en modération,!…
…
…çà vous à plus,!…il y en à, un plus récent à copier,!…sisi,!…Hitler c’est un grand con, voleurs de tableaux,!…
…vite, avant que çà s’efface,!…aussi,!…tout seul,!…
…meilleurs connivences, bises,!…
…
Souchien nietzschéen dit:
à
Un peuple est une famille élargie. Tous les peuples forts et conscients d’eux-mêmes ont le souci de leur lignée, de leur race, de la pureté de leur sang autrement dit, dans lequel ils voient une garantie de stabilité. Le métissage chère à Madame Taubira est toujours le prélude à la décadence… jusqu’à ce qu’une nouvelle race se forme, plus forte, plus résistance, née de l’union des précédentes. De ce point de vue on mesure à quel point la France est un pays affaibli, abâtardi, plus que tout autre en Europe, ce qui n’exclue pas une régénérescence, mais qui la transformera en profondeur. Autant de vérités inaudibles pour les contemporains et les cons temporaires qui se croient éternels.
actualité tragique dit:
à
» L’enfant que nous étions jusqu’alors devient brutalement un père. »
Et cela, pierre Assouline, peut aussi finir très tragiquement…
M OU MME dit:
à
La vie littéraire vue par François Bégaudeau et Iegor Gran, ça donne pas envie de faire écrivain quand on sera grand.
Très éclairantes remarques des deux écrivains sur les futilités de la vie littéraire, les incessantes compromissions des auteurs avec les nécessités du commerce, le cirque médiatique, les mondanités burlesques. Temps perdu à la petite semaine. Il est vrai qu’à toutes les époques, les occasions pour l’écrivain de jouer au singe savant n’ont jamais manqué. Même Jean-jacques, quand on y pense… Merci à un Chevillard, à un Echenoz, de résister à ces vulgaires tentations de se frotter au vulgaire.
la vie dans les bois dit:
à
1492, date
« Celle de l’édit d’expulsion des Juifs d’Espagne par les rois catholiques. Ferdinand et Isabelle leur donnèrent le choix entre l’exil et la conversion, autrement dit le renoncement public à la singularité de l’Alliance en la noyant dans l’universalisme chrétien. »
quelques indications temporelles et géographiques ici:
https://books.google.fr/books?id=j1NxKDweZkkC&pg=PT42&dq=isabelle+et+ferdinand+joseph+perez&hl=fr&sa=X&ei=c20OVe2nKNXcaqrUgdgM&ved=0CDIQ6AEwAw#v=onepage&q=isabelle%20et%20ferdinand%20joseph%20perez&f=false
M OU MME dit:
à
Le métissage chère à Madame Taubira
apparemment que souschien nietzschéen est un adepte de la décadence orthographique et de la règle des accords réaccordée à la théorie du genre. Quelle époque, môman, quelle époque !
M OU MME dit:
à
Tous les peuples forts et conscients d’eux-mêmes ont le souci de leur lignée, de leur race, de la pureté de leur sang autrement dit, dans lequel ils voient une garantie de stabilité. (souchien…)
Comme c’est beau. Adolf n’aurait pas mieux dit.
JC..... dit:
à
MOUMOUNE,
Ce souchien, quoique nietzschéen, est admirable dans son jugement sur le métissage de Taubira : métissage complètement raté … uhuhu !
M OU MME dit:
à
Tous les peuples forts et conscients d’eux-mêmes ont le souci de leur lignée, de leur race, de la pureté de leur sang autrement dit, dans lequel ils voient une garantie de stabilité etc. (souchien…)
Quand on écoute les ineptes jappements de souchien, on est en droit de concevoir quelques inquiétudes, en effet, sur une possible dégénérescence d’une partie de la population française, au plan mental tout au moins.
JC..... dit:
à
….on mesure à quel point la France est un pays affaibli, abâtardi, plus que tout autre en Europe….. (souchien)
Qui, ici et maintenant, peut dire et prouver le contraire ? Tu t’y colles, MOUMOUNE ….?
JC..... dit:
à
…le métissage est une couillonnade humaniste qui marche une fois sur 10.000 !!!
D’ailleurs MOUMOUNE, tes potes palestiniens épousent fort peu de juives, hein ?!….
MFM dit:
à
comme le dit Bloom, vous étiez « passé à côté » de « The hare with Amber eyes »… Vous lui donnez une deuxième chance auprès de vos lecteurs.
J’ai eu la chance d’assister à une conférence d’Edmund de Waal, conférence passionnante organisée par Hermione Lee – autre biographe – et de pouvoir toucher, caresser, quelques uns de ses superbes Netsukés…
JC..... dit:
à
uhuhuh dit: 22 mars 2015 à 9 h 04 min
« ma mère de ma mère »
Elle aurait mieux fait de faire une fausse couche, ta mère, bougre d’embryon cérébral !
M OU MME dit:
à
Ferdinand et Isabelle leur donnèrent le choix entre l’exil et la conversion (la vie…)
Beaucoup choisirent la conversion, solution de bon sens dans cette conjoncture particulière. Etape nécessaire à l’ultérieur abandon de l’universalisme chrétien, opération non moins salubre, mais qui, pour beaucoup d’entre eux, devait encore réclamer quelques générations. Quand je pense que Lucrèce et son « De Natura rerum » ont plus de deux mille ans, je me demande s’il n’y a pas là de quoi désespérer de l’humaine nature.
M OU MME dit:
à
Elle aurait mieux fait de faire une fausse couche, ta mère, bougre d’embryon cérébral ! (JC)
De l’inconvénient d’être né…
la vie dans les bois dit:
à
@moumme, 9h11, non, ce n’est pas de moi.
JC..... dit:
à
Tu sais que tu deviens pénible, MOUMOUNE, avec tes réflexions humanistes sur Lucrèce (Borgia ?) auxquelles plus personne ne croit en ces temps troublés.
Achète une kalachnikov à un de tes potes, tu en auras besoin…
la vie dans les bois dit:
à
Autre considération prélevée dans le billet:
« âge d’or si mythifié qu’il relève désormais de la légende, sauf à ne le considérer, justement, que comme des instants au sein d’un long passé nettement plus brutal »
et une proposition, parmi d’autres, d’étaiement:
http://www.mmisi.org/ir/41_02/fernandez-morera.pdf
de nota dit:
à
Compte rendu du livre de De Wall par Ivan Jablonka.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…J.C,…à,..7 h 18 mn,!…
…
…vous vous en êtes régaler de mes 3 posts, sur le sujet précédent,!…censurer,!…
…si, c’est des galettes,!…
…
M OU MME dit:
à
Ferdinand et Isabelle leur donnèrent le choix entre l’exil et la conversion (la vie…)
Ma qué !
Occasion inespérée de liquider toute trace de leur appartenance à la tribu, de renier papa et maman, de changer d’état-civil, d’essayer (très provisoirement) de nouveaux repères. Les Juifs doivent aux persécutions leur aptitude protéiforme à se couler dans des identités d’emprunt. Ce que leur ont toujours reproché les antisémites fut longtemps ce qu’ils avaient de meilleur. Mais, à voir le train des choses, il sont en train d’y renoncer. Pas tous, heureusement. Dire que sur cette terre on en compte quelques milliards qui se désespèrent qu’une pareille chance ne leur soit pas offerte. Tu me diras qu’en général, la seule opportunité qui vous soit offerte, c’est de troquer votre identité contre une autre qui ne vaut pas mieux, qui est souvent même pire. Le prurit identitaire est vraiment l’inguérissable maladie de l’espèce humaine. Proclamons-nous citoyens du monde (à condition d’inclure nos frères et soeurs les animaux) !
M OU MME dit:
à
Tu me diras qu’en général, la seule opportunité qui vous soit offerte, c’est de troquer votre identité contre une autre qui ne vaut pas mieux, qui est souvent même pire.
Tiens, par exemple, tous ces Maghrébins, tous ces Africains qu’on adjure de s’ « assimiler » à l’identité française… C’est-y pas malheureux, vu le parfum rance de ladite identité. Ladite identité : à dada les dentales ! Dites très vite de toutes vos dents : ladite identité. Dis donc la diction ! Dites l’idiome de Diderot. Dis-donc la dondon du tonton.
Ann O'Neam dit:
à
J’ai pensé à DHH (et à vous-même) pendant toute la lecture du billet ; comme si c’était un peu de vos mémoires familiales, à vous aussi, dont il s’agissait.
musicalement dit:
à
Transculturalité et identité musicale dans les répertoires judéo-espagnols
http://ethnomusicologie.revues.org/285
M OU MME dit:
à
Ann O’Nem dit :
Quand j’ai lu le billet d’Assouline, j’ai pensé à mes grands-parents chinois. Quand on a le culculte des ancêtres dans le sang, Singapour ou Tanger, c’est du pareil au même.
tout est là dit:
à
« sauf à ne le considérer, justement, que comme des instants au sein d’un long passé nettement plus brutal. »
instants d’une richesse exceptionnelle
la vie dans les bois dit:
à
A propos de ce mythe de l’âge d’or, en complément du point de vue univoque du lien précédent, voilà un lien- toujours pour universitaires- qui dit aussi le concept de biographie de groupe, en quelque sorte, un essai sur la tolérance, ou comment écrire une histoire nationale:
« Parmi les nombreuses visions idéalisées de la coexistence interreligieuse à travers l’histoire, la convivencia, qui désigne les relations supposément harmonieuses entre chrétiens, juifs et musulmans en péninsule Ibérique à l’époque médiévale, occupe une place importante voire fondatrice. Il ne sera pas question ici de soumettre cette vision irénique à l’épreuve des faits historiques mais de voir comment le terme de convivencia a été conceptualisé, puis comment il s’est affirmé dans le champ historiographique et au-delà, à travers ses multiples usages et mésusages sociaux et politiques. »
ZEUS..... dit:
à
La convivencia ? Un mythe ! Mité …
la vie dans les bois dit:
à
Vous noterez moumme, que pour l’instant, de Tanger nous n’apercevons que le lointain. Vue depuis la côte espagnole.
http://doc-espagne.com/video/36-video/5511-tunnel-espagne-maroc-tunnel-europe-afrique-construction-tunnel-detroit-gibraltar-tunnel-gibraltar
Milena et Dora dit:
à
9 h 23 : décidément, JC dénigre encore et de plus en plus son « cher » Paul Edel, quelle persévérance :
sans idéaliser dit:
à
« convivencia, qui désigne les relations supposément harmonieuses entre chrétiens, juifs et musulmans en péninsule Ibérique à l’époque médiévale »
ça s’est gâté après les premiers siècles (qui avaient été un soulagement en comparaison des débilités des royautés christiano-wisigoth)
en bref dit:
à
Les Juifs espagnols sous les Wisigoths
http://www.histoiredesjuifs.com/articles.php?lng=fr&pg=715
M OU MME dit:
à
Tanger sur la photo, c’est vraiment le trou du cul du monde. Si tu entreprends de dénombrer tous les trous du cul du monde du même genre ou d’un genre approchant à la surface de la terre, il y a de quoi ruiner définitivement la preuve de l’existence de dieu par l’harmonie universelle. Quand on prend conscience que la Méditerranée sert de pot de chambre quotidien à tant de populations interlopes, on se sent saisi d’une allergie insurmontable aux croisières touristiques.
Polémikoeur. dit:
à
Peut-être que le commentarium
devrait étudier le fonctionnement
des merveilles autant techniques
qu’esthétiques plantées ici et là
en décor urbain pour permettre
de se soulager organiquement
hors de chez soi sans laisser
de trace hasardeuse ni dehors,
au petit bonheur, ni à l’intérieur
des dits édicules, rincés, en principe,
après chaque utilisation.
Sanizêtement.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…le temps libre aide a penser,…
…bien, sûr, avec le comfort en plus,!…
…
…mais, rester en perpétuel conflit des valeurs du profit, des soumissions en relief,!…sur planches,!…etc,!…
…
…plutôt à privilégiers les héritiers du même sang en familles,!…
…niveau, pour monter en flèche pour guillaume de Normandie en épousant sa femme juive,!…
…Oui, et le serment forcé sur des reliques d’un saint, pour en soumettre Alfred,…
…Normands, hommes de ruses, de proues en poupes,!…pas les premiers, ni les derniers,!…le temps de la distance à la croissance, l’évolution des saisons,!…
…et des parasites édulcorés,!…
…
…
M OU MME dit:
à
Quand on prend conscience que la Méditerranée sert de pot de chambre quotidien à tant de populations interlopes
Je me demande quelle est l’étymologie du mot « interlope » : ça sonne assez comme « »interfiottes ». Mais, vu le contexte, ce serait plutôt « interchiottes ».
Mariage pour tous dit:
à
L’union immonde des interlopes
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…vous ne croyez pas mieux en être aux parfums,!…d’exceptions,!…la distanciation s’impose aussi en famille,!…
…
M OU MME dit:
à
Je me demande quelle est l’étymologie du mot « interlope »
Consulté l’article du TLF. Très intéressant : « interlope » est un emprunt (encore un) à l’anglais (circa 1590) et viendrait d’un vieil anglais « to lope », équivalent de « to leap ». Être interlope, ce serait en somme sauter d’un endroit à l’autre. Dans le contexte d’universel métissage ethnique, linguistique, culturel etc., où notre espèce irrémédiablement engagée, nous sommes tous plus ou mois interlopes. Saute, ma puce !
renato dit:
à
Il y en a qui seraient plus inspirés s’ils s’appliqueraient dans un bon balayage de la mer… méditerranéenne… même un tout petit bout… compte tenu que l’échange est très lent et que dans les profondeurs l’on trouve encore des échantillons du pipi de Pline l’Ancien, ce serait une bonne action…
Souchien dit:
à
Le prurit identitaire est vraiment l’inguérissable maladie de l’espèce humaine. Proclamons-nous citoyens du monde (à condition d’inclure nos frères et soeurs les animaux) !
« Être citoyen de la Terre ! Citoyen ! Et la Terre ! » (Henri Michaux, Ecuador). Ce délire universaliste (« le clézien ») revient ni plus ni moins à éradiquer toute particularité, et à ruiner l’idée même de diversité. La conséquence logique en est l’uniformisation appauvrissante du monde et le règne sans partage de la mono-culture comme dirait Finkie citant Lévy-Strauss. Votre monde idéal est un cauchemar pour moi.
N'oublions jamais de relativiser ! dit:
à
La convivencia ? Un mythe ! Mité …
Seulement là où règne la loi du chantage !!!
closer dit:
à
« En bref »…on peut faire confiance à votre petite résumé de l’histoire des juifs tout en nuances… »ils se virent imposés une version modérée du pacte d’Omar »…Allez voir le pacte d’Omar qu’on rigole.
Une info: les deux plus anciennes synagogues d’Espagne encore en état ont été construites à Tolède sous les rois chrétiens après la Reconquista. Là où ils régnaient, les musulmans interdisaient toute construction d’églises ou de synagogues, et même la réparation de celles qui avaient échappé à la destruction ou à la conversion en mosquée.
Lisez plutôt le lien de lvdlb à 9h19.
la vie dans les bois dit:
à
Giovanni à 10h40, distanciation dans la famille, on ne saurait mieux résumer l’expression du billet:
« Ils se donnent du « ma reine », du « ma rose » et du « ma vie », ne peuvent citer un absent sans demander « qu’il repose en paix », et placent la délicatesse au-dessus de bien des vertus. »
C’est un peu comme de retrouver une généalogie calligraphiée, où un nom apparait pour la première fois au moyen-âge, circa 1396, et de « brutalement » se retrouver des ancêtres. Comme des visiteurs, un peu.
M OU MME dit:
à
Être interlope, ce serait en somme sauter d’un endroit à l’autre. Saute, ma puce !
La dimension érotique de l’interlopie saute aux yeux.
l'autre pour the same dit:
à
ya-t-il un japo-nissan sur ce blog qui saurait me dire si netsuke et setsuko ont un lien ?
l'autre pour the same dit:
à
d’ailleurs dans la bible, les filles de Laban sont parties avec les netsuke : l’histoire de leur trouvaille est connue et vlan
M OU MME dit:
à
Là où ils régnaient, les musulmans interdisaient toute construction d’églises ou de synagogues, et même la réparation de celles qui avaient échappé à la destruction ou à la conversion en mosquée. (Closer)
Rien que de naturel, dans un contexte d’islamisation rationnellement gérée.
Humanistes ?... des artistes ! dit:
à
Ce que ces loques nous auront fait endurer comme concepts idiots, battus en brèche par un réel tenace, puissant, visible partout, immuable !
Ah ! les C.ns de luxe !….
Phil dit:
à
Ha ! Tanger ! mais rien ne disparait à jamais, dear Passou, surtout pas à Tanger, plaque-tournante de…beaucoup de choses. savez bien la villa de Morand affreusement politiquement incorrecte a été rasée pour être remplacée par celle de bhl, trois fois plus grande derrière son mur libanais qui ephrussise la vue sur mer du modeste passant de la rue. that’s life.
l'autre pour the same dit:
à
l’histoire des netsuke bibliques
34 Mais Rachel avait pris les pénates, les avait cachés dans la selle du chameau et s’était assise dessus. Laban fouilla toute la tente et ne les trouva point.
לה וַתֹּאמֶר אֶל-אָבִיהָ, אַל-יִחַר בְּעֵינֵי אֲדֹנִי, כִּי לוֹא אוּכַל לָקוּם מִפָּנֶיךָ, כִּי-דֶרֶךְ נָשִׁים לִי; וַיְחַפֵּשׂ, וְלֹא מָצָא אֶת-הַתְּרָפִים. 35 Elle dit à son père: « Ne sois pas offensé, mon seigneur, si je ne puis me lever devant toi à cause de l’incommodité habituelle des femmes. » Il chercha encore et il ne trouva point les pénates.
en direct de l'office du vatican dit:
à
» votre petite résumé de l’histoire des juifs tout en nuances… » »
closer, grande historienne s’il en est, piquée au vif dans son schématisme la pauvre est trop obtuse pour admettre qu’ un long résumé de l’attitude antisémite des souverains chrétiens wisigoths ne serait pas moins édifiant
ben voyons dit:
à
« construites à Tolède sous les rois chrétiens après la Reconquista. »
sans blague! la reconquista, si bonne comme chacu sait et surtout cette pauvre closer, a tant fait pour les Juifs d’Espagne qu’ils ne représentent qu’un infime pourcentage
l'autre pour the same dit:
à
le tableeau
Laurent de LA HYRE
Paris, 1606 – Paris, 1656
Laban cherchant ses idoles dans les bagages de Jacob
1647
H. : 0,95 m. ; L. : 1,33 m.
Le sujet est tiré de la Genèse : fatigué de sa longue servitude chez son oncle Laban, Jacob s’était enfui avec les troupeaux qui faisaient partie de son salaire et ses deux épouses Léa et Rachel, filles de Laban. Celui-ci les rattrapa mais ne retrouva pas ses idoles emportées par Jacob.
http://cartelfr.louvre.fr/cartelfr/visite?srv=car_not_frame&idNotice=4735
Humanistes ?... des artistes ! dit:
à
La Reconquista !
Quel beau travail ! Bouter les barbaresques, les envahisseurs, hors d’Espagne… Virer ces ennemis du Christ-Roi, ces racketteurs nés, ces fourbes exploiteurs, et construire dans leur lieux de culte une chapelle, une église, un cancer chrétien…
Quel beau programme ! Quelle réussite ! Quelle merveille servant d’exemple…
l'autre pour the same dit:
à
un aute tableau de la même scène
Reynaud LEVIEUX
Laban cherchant ses idoles
Huile sur toile
H : 245 cm ; L : 288 cm
Date de création : vers 1655
Le sujet est tiré de la Bible : Jacob, après avoir fait fortune auprès de Laban, dont il a épousé les deux filles, Léa et Rachel, décide de retourner auprès de son père Isaac. Son départ clandestin est découvert par son beau-père qui se met à sa poursuite. D’autant que Rachel, avant de partir, a dérobé « les idoles » de son père. On voit ici le malheureux Laban fouillant les bagages de Jacob, sous l’œil narquois de Rachel, assise à gauche en train d’allaiter son dernier né, Joseph.
http://www.musee-calvet.org/beaux-arts-archeologie/fr/oeuvre/laban-cherchant-ses-idoles
DHH dit:
à
Je lirai sans doute ce livre de Ralph Toledano car j’avais aimé un Roi à Casablanca ,bien que ce ne soit pas un tres bon roman ;mais je l’avais lu comme un document ethnologique passionnant et le billet d’aujourd’hui me laisse penser que son nouveau roman me promet le même plaisir de lecture
Car malgré ses faiblesses ce « roi à Casablanca » m’avait fasciné par le portrait plein de finesse, d’ intelligence et de justesse qu’il brosse de la bourgeoisie juive marocaine friquée et assimilée de la fin des années 60, à la veille de son déclin et de sa dispersion au cours de la décennie suivante, qui a vu la fin de la vie juive dans ce pays .
L’auteur sait met en situation une « classe de loisir » lovée dans son insouciance, installée dans le confort d’un triomphalisme tranquille, assise sur des fortunes solides, en général récentes, édifiées dans les « affaires » et le négoce ,assez souvent à faveur du clientélisme et toujours le fruit de cette aptitude à l’entregent qui constitue depuis toujours le savoir-faire de juifs en terre d’islam et le fondement de leur ancrage dans ces mondes
Il décrit avec bonheur l’obsession omniprésente de paraître qui habite les femmes de la bourgeoisie d’affaires, dont la vie est rythmée par les rituels du bridge ou de la canasta entre amies du même monde ;certaines se piquent de culture et toutes tiennent à faire montre de goûts rares et raffinés ,cherchant à « en jeter » ,à afficher en toute occasion les marques significatives de ce qu’elles considèrent comme leur rang, à travers les robes griffées des grands couturiers parisiens , des intérieurs où s’affichent avec ostentation les signes obligés de reconnaissance sociale que sont la porcelaine de Limoges ou les cristaux de Lalique et de Baccarat et aussi un personnel domestique nombreux, dévoué ,et surtout »stylé »,autant de postures qui frisent la vulgarité par leur côté ostentatoire.
De ce microcosme étanche, monde d’entre soi, marqué par la consanguinité sociale, où chacun est étiqueté par ses liens de parenté et son niveau de fortune, l’auteur nous fait découvrir que loin d’être monolithique ,il est rigidement stratifié, chaque couche tenant à faire reconnaître avec condescendance sa différence avec les couches qu’elle considère comme inferieures . La syntaxe sociale du monde décrit par Proust n’est pas loin , sauf que ce sont des Orianes nées Attia ou Benitah qui tiennent ici à se demarquer d’une Cambremer qui s’appellerait Sananes ou Bencheton
en esperant que ça change avec les nouvelles générations dit:
à
http://jssnews.com/2011/12/26/un-etudiant-espagnol-sur-deux-refuse-de-sasseoir-a-cote-dun-juif/
Un étudiant espagnol sur deux refuse de s’asseoir à côté d’un Juif
maurice dit:
à
11 h 29 min
JC apôtre de l’opus dei
closer dit:
à
« sans blague! la reconquista, si bonne comme chacu sait et surtout cette pauvre closer, a tant fait pour les Juifs d’Espagne qu’ils ne représentent qu’un infime pourcentage »
Je parlais de la reconquête de la ville de Tolède bien sûr. Et mon but n’est pas de présenter la Reconquista en général comme un bienfait pour les juifs. J’essaye d’introduire de l’objectivité dans une histoire présentée systématiquement de manière mensongère.
Humanistes ?... des artistes ! dit:
à
« en esperant que ça change avec les nouvelles générations »
Quel intérêt de remplacer un juif par un arabe, un arabe par un nègre, un nègre par un blanc, un chinois par un japonais…
Phénomène normal, naturel, chez les mammifères évolués ou non !
Anatomie du crime ordinaire dit:
à
Phénomène normal, naturel, chez les mammifères évolués ou non !
D’avoir le nombril hors de lui ?
le saryre de pq dit:
à
je vais me confesser de tous mes péchés et à la messe prier pour vous
C'est cela oui..... dit:
à
prier pour vous
hé bé ça nous changera un peu de votre habitude de mendier pour qu’on adore vos idoles….
M OU MME dit:
à
un cancer chrétien… (Humanistes…)
Un cancer chrétien… comme c’est bien dit.. A vrai dire, chacun des trois monothéismes est un cancer. mais il arrive qu’on en guérisse.
spéciale dédicace dit:
à
vos idoles
chez certains baudelairiens dégénérés se trouve une horloge parlante chevelue couverte de bijoux qui pue la charogne et danse comme un serpent
C'est cela oui..... dit:
à
parlante… avec le doigt ?
M OU MME dit:
à
La conséquence logique en est l’uniformisation appauvrissante du monde et le règne sans partage de la mono-culture (souchien)
Mais non, le métissage, c’est le mariage des cultures, et surtout l’incessante circulation de l’une à l’autre. Quand on pense à tous ces malheureux qui ressassent leur « comme je suis fier d’être Français », » comme je suis heureux d’être Juif », « comme je suis content d’être anglais ricain, russe, chinois, chrétien, musulman, hindou polythéiste », etc etc, les bras vous en tombent. Ah comme ces gens se sentent bien d’être bornés. Comme ils se sentent plus fortement exister, dans leurs limites, derrière leurs frontières. On croirait des Juifs orthodoxes derrière les barbelés de leurs colonies, tiens. Comme j’aimerais être chat, de temps en temps. Et chêne vert donc! ça me consolerait de n’être qu’humain, et d’être le « semblable » de ces gens-là.
Widergänger dit:
à
Une partie des électeurs de gauche s’apprêtent à rester chez eux. (L. J.)
________
La langue française est drôle.
Widergänger dit:
à
Juif et borné, c’est nouveau.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…lvdlb,!…10 h 59 mn,!…
…
…je ne dit rien,!…j’ai tout effacer,…
…mais je voyais plus,…
… une distanciation entre les gens et convives à parader en châteaux et salles de fêtes comme des marionnettes,!…d’horlogerie,!…
…avec un même décors, pour couvrir de feintes et amuses-gueules, l’improvisation coordonnée,!…du seigneur en fêtes,!…
…une jolie mascarade, de politesses,!…
…une répétition d’acteur en foire,!…
…tout des faux- semblants,!…soignés,!…
…sans-soucis, avec distanciation ,!…
…rien, des harengs en boite,!…etc,!…
…
jicé dit:
à
je vais rentrer dans les ordres pour sauver porquerolles et le reste du monde what else
"Netsuke" dit:
à
Si vous les aimez, ils prolongent l’amour; ce sont les objets, bien sûr…
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…suite de cette image du mot distanciation,…
…les marges entre les objets, qui reflètent la lumière irisée du soleil,!…très chatoiement,!…de velours pistillés,…
…une source de régénération d’esprits des sens,à la vue,!…comme les fleurs et papillons en photo – macro,!…etc,!…
…? une distanciation vue de très près,!…imaginaire à la vision,!…
…etc,!…
la vie dans les bois dit:
à
Souvenirs.
« A l’exception de Tanger et de Larache, toutes les villes importantes du Maroc ont leur mellah, c’est-à-dire le quartier qui fut durant des siècles réservé aux juifs. »
http://rol-benzaken.centerblog.net/rub-les-mellahs-du-maroc-.html
V.T. dit:
à
(twit)Le Présdent n’a guère le temps de lire mais le trouve pour Ozouf, Salvayre, Quignard et pour défendre Erri de Luca
et pas une seconde pour le mailleur livre qui ait jamais été écrit
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…Ah,!Ah,!…
…un texte qui me surprend en lecture,…
…
… » il se rencontrera bien un groupement, une ligue de contribuables pour demander des explications au gouvernement et s’étonner de la mansuétude des pouvoirs publics envers des citoyens qui se placent au-dessus des lois.
…La complicité des ministres ne sera pas éternelle.
…Malgré les dîners, rendez-vous, cuissages et autres combinaisons, il faudra bien que les faux gentilshommes, les authentiques maquereaux, prennent le chemin qui conduit chez le percepteur.
…les impôts nobiliaires,!…( … )
…Alors, que l’époux de Rébecca les acquittera avec le sourire.
…Nom de Dieu,…au parfums,!…Ah,!
…photo, envoyez,!…of course,!…
…
M OU MME dit:
à
Widergänger dit: 22 mars 2015 à 12 h 27 min
Juif et borné, c’est nouveau.
C’est à des remarques comme celle-là qu’on peut mesurer la dramatique perte de pouvoir d’achat des enseignants : ce pauvre Widergänger n’a même plus les moyens de se payer une glace, même de poche.
le tragique de l' homme dit:
à
« Doit-on vivre pour soi, en isolant son destin, ou sommes-nous contraints d’être le maillon d’une chaine ? »
Le plus grave c’est d’être la maillon faible.
De ne pas pouvoir assumer et alors c’ est le meurtre ou la guerre…
Avec soi ou avec les autres.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…les femmes aux enchères en allemagne de l’Ouest,roman,!…
…c’est plus un scoup, une tradition, mon furreur,!… mon €uros, à Don Quichtte,…
…pas disparu ce monde,!…
…les mixités turques,!…depuis le temps pour faire des anges en cage aux folles,!…
…quel bordel,!…
…pour la modération aux poules ,!…
…les règlements et taxes pour croire » la morale » menteuse,!…en décors,!…
…l’Allemagne forte, d’aujourd’hui en pâture,!…Ah,!Ah,!Ah,!…etc,!…
…
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…un droit de cuissage sur J.C.,à mes post modérer,!…Ah,!Ah,!Ah,!,…
…les cuissages,!…sur mes châteaux et domaines,!…etc,!…
…quel moche travail à faire, pour montez au ciel,!…des cours du soir, aux dix-ans d’aumones,!…
…quel Cinéma,!…de têtes de turcs,!…à Harem,!…
M OU MME dit:
à
et pas une seconde pour le mailleur livre qui ait jamais été écrit (V.T.)
On se demande bien lequel ? Le Kamasoutra ? Les Onze Mille Verges ? Les Cent vingt journées de Sodome ? Histoire d’O. ?
M OU MME dit:
à
« Doit-on vivre pour soi, en isolant son destin, ou sommes-nous contraints d’être le maillon d’une chaine ? »
Bonne question. A ce propos, l’article du « Monde » consacré au « Dahlia noir », le film de Brian De Palma, évoque « la famille, moteur de destruction « . Tout est là. La transmission de l’identité (personnelle, biologique,ethnique, nationale religieuse, culturelle) se fait par le vecteur de la famille. Pour le meilleur, parfois; pour le pire, presque toujours. On n’a toujours pas pris la mesure — ou on n’en a pris qu’une mesure très partielle — des monstrueux abus de pouvoir commis par les parents sur leurs enfants. Qu’est-ce qui autorise, par exemple, des parents à imposer leurs croyances religieuses à leurs enfants ? leurs « valeurs », morales ou autres ? Des réformes sociétales d’envergure s’imposent si l’on veut soustraire les enfants à la monstrueuse emprise psychologique exercée sur eux par leurs propres parents.
ici Londres dit:
à
12 h 56 : « je vais rentrer dans les ordres » se lit : je vais continuer à me vautrer dans les ordures
M OU MME dit:
à
« Doit-on vivre pour soi, en isolant son destin, ou sommes-nous contraints d’être le maillon d’une chaine ? »
Personne n’est jamais contraint d’être le maillon d’une chaîne. Toutes les chaînes sont faites pour être rompues.
ici Londres dit:
à
Marine, la copine à JC se fait traiter de » maillon faible du FN » par Alain Duhamel dans Le Monde, splendide et juste analyse, le porquerollais en reste coi, quoi ?
DHH dit:
à
@pierre assouline
ce dialecte judeo-espagnonl parlé à Tanger et Tetouan dont vous dites fort justement qu’on le confond avec le ladino s’appelle haïketia ;l’appellation ladino devant etre reservée à cette langue liturgique ,espagnol calqué sur les structures de l’hebreu dans laquelle sont parfois traduits les textes sacrés
Widergänger dit:
à
Le ladino est une langue créée par les rabbins espagnols pour traduire et enseigner les textes sacrés hébreux. Il consiste à traduire un mot hébreu par un mot espagnol et toujours le même à moins que ne s’y opposent des considérations exégétiques, en respectant l’ordre des mots et la syntaxe de l’original hébreu. La langue a donc une syntaxe hébraïque, mais un vocabulaire roman, au contraire du judéo-espagnol qui a lui une syntaxe romane.
Une différence est faite entre le ladino, comme langue sacrée et écrite, et le judéo-espagnol (que l’on appelle aussi djudezmo, djidyo, djudyo, espanyol), comme langue parlée.
Cependant, cette définition du ladino, comme une langue uniquement écrite servant à l’étude de la Torah, ne fait pas l’unanimité. En effet, les descendants des Juifs chassés d’Espagne par les Rois catholiques à la fin du xve siècle revendiquent la pratique du ladino et non du « judéo-espagnol ». Ces Juifs sont ceux qui se réfugièrent, après l’Inquisition, en Turquie, en Grèce et dans la partie « séfarade » de la Bulgarie. Ils désignent donc :
par ladino la langue qu’ils parlent, essentiellement composée d’espagnol du xve siècle, de quelques mots d’hébreu (surtout concernant la religion), et d’autres mots provenant des différents pays d’accueil (turcs, grecs ou bulgares) ;
par « judéo-espagnol » la langue parlée par les Juifs du Maroc espagnol.
On ne doit pas non plus le confondre avec le ladin, langue rhéto-romane parlée dans les Dolomites italiennes.
vue d'ensemble dit:
à
Sue le judeo-espagnol
http://michel.azaria.free.fr/Histoire.htm#A renaissance
vue d'ensemble dit:
à
SuR
DHH dit:
à
@widergänger
le pape du judeo-espagnol Vidal Haim sephiha dont je ne sais pas s’il vit toujours insistait bien sur cette distinction à operer dans les langages judeo-espagnols des juifs originaires d’espagne et continuant à parler espagnol au maroc et dans l’empire ottoman;il distinguait
le Ladino:espagnol calque reservé aux textes religieux et calqué sur la syntaxe du texte hebraïque correspondant
Le djudaizmo:langue parlée par les sefarad de l’empire ottoman
L’haiketia :langue des juifs de Tanger et de Tetouan qui, vivant en terre espagnole ont continué à parler cette langue contrairemnt aux autres « rapatriés » d’espagne venus au Maroc , les megorashim,qui ont adopté l’arabe en le convertissant en un dialecte propre le judro arabe
Widergänger dit:
à
@DHH
Peut-on lire encore des livres écrits en judéo-espagnol et/ou en ladino comme on en trouve encore en yiddish ?
Il n’y a pas eu pour le ladino ce qu’il y a eu pour le yiddisch, le congrès de la langue yiddisch de 1909 qui l’institue comme langue du peuple juif ashkenaze. Je me demande pourquoi.
apparemment dit:
à
DHH dit: 22 mars 2015 à 18 h 05 min
il est toujours de ce monde semble-t-il
son article @ 17 h 48 min date de 97
dans la foulée dit:
à
Vient de soortir un livre de B Stora » Les clés retrouvées, ou une enfance juive à Constantine »
http://blogs.mediapart.fr/blog/benjamin-stora/210315/les-cles-retrouvees-ou-une-enfance-juive-constantine
JC..... dit:
à
…un peu de musique cubaine, mal enregistrée mais séduisante comme une nonne défroquée….
Chucho Valdès et son septet
https://youtu.be/Zy7JNMOIN2Y
bab el-oueda dit:
à
Bon papier, comme disait l’autre, avec un petit a.
« Car c’est aussi de cela qu’il s’agit pour celui qui, à travers une dérisoire collection de bibelots »
Douloureux pour les collectionneurs, mais bien vu.
Je peux nommer au moins deux emmerdeurs de première division (« national League assoles » disait Bush junior) qui collectionnent les netsuke japonais ou les snuff boxes chinoises.
Aussi monomaniaques que d’autres avec Allah.
DHH dit:
à
@widergänger
Les tenants du judéo-espagnol rêvent avec jalousie de susciter pour leur langue le même type de résurrection que celui qu’a réalisé pour le yddish la bibliothèque Medem .
Ils ont des associations actives qui publient des textes et des journaux ,je n’ai en tête que l’intitulé de l’une d’elles (je crois qu’il y en a trois ) ;Aqui estamos
Autrefois Vidal Haim Sephiha animait une association Vidas Largas dont je ne sais pas si elle existe toujours, qui avait publié des textes, des poèmes et aussi un recueil de proverbes (refranero)
Mais tout cela est si je puis dire » d’obédience ottomane », animé par les anciens de Salonique et des autre villes juives de l’empire turc notamment de ce qui est devenu la Bulgarie (Plovdiv par exemple )
Je ne sache pas qu’il existe un tel mouvement de nostalgie fédérative chez les anciens de Tanger et de Tetouan et leurs descendants
Je peux neanmoins signaler une trace ecrite du folklore de ce monde, publiée dans les annéees 30 par Paul Benichou- oui celui des Morales du Grand Siecle ,qui a livré un recueil des romances judeo-espagnoles qu’on chantait dans sa famille ,originaire de Tetouan du temps de son enfance oranaise
Curieusement c’est une note de la Mediterranée de Braudel qui m’a mise sur la trace de cette pépite
JC..... dit:
à
Une pépite ? On la mérite ….
la vie dans les bois dit:
à
Picador 1er s’est pris une déculottée.
bab el-oueda dit:
à
Quelle acuité et quel charme chez « James » Tissot lorsqu’il parle de ce qu’il connaît, les salons et les bals.
En revanche, sa « Japonaise », quelle douleur pour l’oeil (eyesore).
Je sais, je sais, même quand, même si…
C’est épouvantable.
bab el-oueda dit:
à
publiée dans les annéees 30 par Paul Benichou- oui celui des Morales du Grand Siecle ,qui a livré un recueil des romances judeo-espagnoles
Merci, DHH.
Que les visiteurs de ce blog se rassurent.
Il arrive qu’on apprenne des commentateurs.
l'autre pour the same dit:
à
FACE à ces récits, histoires, je ne me sens pas nostalgique de ne pas avoirconnu une histoire familiale traversée d’une mémoire toute de signes, mais presque en colère de ne pas avoir une part et une place sinon de presque de voyeur de mon histoire
l'autre pour the same dit:
à
toute nappées de sorbet, ces toitures me chatouillent les papilles
l'autre pour the same dit:
à
j’ai survécu d’une histoire dont j’étais le maillon faible, et ce sera bientôt the missing link
Widergänger dit:
à
Ils vont nous foutre le FN, ces c.ons !
D. dit:
à
La démission du Gouvernement serait désormais la seule issue raisonnable. Mais à quoi sert-il d’évoquer la raison chez un socialiste ?
Widergänger dit:
à
Ces sinistres hommes politiques, complètement hors service, vont nous foutre le FN, c’est clair.
Bloom dit:
à
Le tsunami lepénien n’a pas eu lieu, et le minable en chef qui avait bruyamment claqué la porte de la politique fait des gorges chaudes, prêt à pactiser avec le plus offrant. Pour ceux-là, même les élections locales sont l’occasion de se couvrir de ridicule.
Bloom dit:
à
selon le mot du poète Heinrich Hein « leur ticket d’entrée dans la civilisation française ».
—
Manque un E à HeinE.
Marcel dit:
à
Beau papier.
Comme j’ai distrait les citoyens de la république l’hiver dernier avec mes triolets et les sonnets, je soumets à votre appréciation un petite rondel
http://short-edition.com/oeuvre/poetik/merle-rondel
propre à séduire les Passou, les Montaigne à ch’wal, les Jean, les Daaphnée, les Judith, les Bouguereau, les Chaloux, les Bloom, les Renato, les Sergio, les Thierry V K, les Raignier, les Barozzi, les Polémikoeur, les Giovanni, les ML, les Christiane, les Clopine, les Bérénice, les Rose, les JC…, les DJEDA, les Court, les Paul, les ueda, les Hamelet, Jean Marron, les D., les Jean Passédémeilleurs.
JC..... dit:
à
Patientons encore jusqu’à dimanche prochain, puis les élections départementales finies, les binômes nuls mis en place, les sourires figés, les larmes séchées, la décomposition/recomposition achevée, on pourra se débarrasser des départements eux-mêmes, vieilleries clientélistes datant de la Révolution Française qui a rêvé d’une liberté, égalité, fraternité, impossible à réaliser ….
Débarrassés de cette feuille de mille-feuilles inutile, nous pourrons parler de choses sérieuses : littérature, par exemple !
Ou des beaux jours qui reviennent au galop…
JC..... dit:
à
J’ai attaqué comme un agnostique forcené un livre de Sylvie Barnay, livre curieux « Les apparitions de la Vierge Marie au Moyen Âge ».
Une analyse d’environ 5.000 visions qui débutèrent en 380 à Constantinople, avec de belles illustrations, chez Editions du Cerf 1999.
Passionnantes… les apparitions avant la télévision, le net, et l’information globale, généralisée, obligatoire, inévitable !
OU MME dit:
à
Une analyse d’environ 5.000 visions qui débutèrent en 380 à Constantinople, avec de belles illustrations, chez Editions du Cerf 1999. (JC)
Qu’un agnostique de votre qualité aille chercher des satisfactions érotiques dans d’aussi fades billevesées me plonge dans d’insondables méditations.
ces jeunes faut leur mâcher le travail dit:
à
@DHH « une association Vidas Largas dont je ne sais pas si elle existe toujours, »
elle existe toujours. Ne savez-vous donc pas lire?!! (cf le lien sous ‘vue d’ensemble dit: 22 mars 2015 à 17 h 48 min’)
jc futur prélat dit:
à
je vais faire curé pour pouvoir confesser les jeunes -filles
JC..... dit:
à
OUMMA, ce ne sont pas des billevesées, la Vierge Marie leur est réellement apparue ! Réellement !…. c’est ce qui m’épate.
Chaloux dit:
à
Marcel, mon bon, tu aurais pu inclure dans la version définitive de ce poème historique les corrections que je m’étais fatigué à y apporter!
pour info dit:
à
@DHH
JC..... dit:
à
Apparaissent clairement les forces politiques capables d’élever la Nation au sommet de la réussite économique, culturelle et sociale pour 2017 :
-un petit Nul, bedonnant bidouillant, en place, à la tête d’une bande de c.ns, idiots utiles en échec, complètement éclatés en courants solfériniens …
-un petit Agité, crane creux, opportuniste sans projet, à la tête d’une bande de c.ns, repaire d’anciens incapables, ayant déjà échoué …
-une grosse Pétass., blondasse à grande gueule essayant de tuer le père, à la tête d’une bande de c.ns, farfelus pas du tout prêts à gouverner …
Dans la poubelle, les cerveaux malades, humanistes moisis : EELV, FdG, PCF, etc, etc…
On est mal barré !
pour info dit:
à
DHH pour info rencontre avril 2015 :http://www.mahj.org/fr/5_auditorium/rencontre-Haim-Vidal-Sephiha.php?niv=7&ssniv=1
jc futur prélat dit:
à
Et après les avoir confessées je leur pardonnerai jusqu’à prochaine confesse
renato dit:
à
« … ci sono cretini che hanno visto la Madonna e ci sono cretini che non hanno visto la Madonna « . I primi, è chiaro, sono i santi ignoranti, come san Giuseppe da Copertino, che, “a bocca aperta” e sguardo rivolto verso l’alto, volava e vedeva la Madonna: » ma quelli che vedono non vedono quello che vedono, quelli che volano sono essi stessi il volo. Chi vola non si sa. Un siffatto miracolo li annienta: più che vedere la Madonna, sono loro la Madonna che vedono « , sfuggendo al loro io attraverso l’identificazione con l’oggetto della loro contemplazione: vedono in una visione se stessi, con le varianti che la fede apporta: se vermi, si vedono farfalle, se pozzanghere nuvole, se mare cielo. E dinanzi a questo alter ego si inginocchiano come davanti a Dio […]. Divino è tutto quanto inconsciamente hanno imparato di sé. Hanno visto la Madonna. Santi.
renato dit:
à
Oups! la source du post de 8 h 38…
http://www.kainos-portale.com/index.php/97-teatro/parole-chiave-teatro/311-nostrasignoraturchibene
jc futur prélat dit:
à
« réellement apparue »
c’est vrai c’est réel
Un avis comme un autre dit:
à
Faudra revoir la notion d’opportunité dans certaines églises…
en idrcet du vatican dit:
à
9 h 16 min
il faut bien remédier à la baisse du nombre de fidèles!la fin justifie les moyens
"apparition" dit:
à
« Celui qui est impatient d’avoir un enfant épouse une femme enceinte »(proverbe toucouleur,sénégal)
pour info dit:
à
http://michel.azaria.free.fr/Histoire.htm#A renaissance
texte original rédigé par le professeur émérite Haïm –Vidal Sephiha, Université Paris Sorbonne Nouvelle, de la brochure intitulée: « Yiddish et Judéo-Espagnol, un héritage européen » publiée à l’initiative du Bureau Européen Pour Les Langues Moins Répandues et avec le soutien financier de la Communauté Européenne (1997).
OU MME dit:
à
Allons bon, v’la aut’chose : il paraît que Molière était gay.
La question de la paternité des oeuvres de Molière s’en trouverait posée sur de nouvelles bases : Corneille était l’amant de Molière, à qui il a dicté au lit les pièces que nos enfa
OU MME dit:
à
Corneille était l’amant de Molière, à qui il a dicté au lit les pièces que nos enfa
auquel il a dicté au lit les pièces que nos enfants étudient dès la classe de sixième. C’est du propre. Jugez de mon trouble.
OU MME dit:
à
avec le soutien financier de la Communauté Européenne (pour info)
On aimerait connaître le montant précis de ce soutien financier.
renato dit:
à
“On aimerait connaître le montant précis de ce soutien financier.”
Ce n’est pas une aventure type “source du Nil”, il suffit de se référer à l’instance chargée de la chose…
DHH dit:
à
@pour info
merci de toutes ces precisions sur un sujet que j’avais un peu perdu de vue ;j’en etais restée à l’ epoque où je m’etais interessée à la question du judeo espagnol il y a une vingtaine d’années et j’avais alors suivi avec interet un atelier judeo-espagnol animé par V-H Sephiah.
mais il ne concernait que la langue et les moeurs des juifs de de l’ex l’empire turc et reunissait des gens assez âges pour certais nés dans la Turquie d’aujourd’hui et d’autres nes en Grece ou en Bulgarie
j’avais connu une vieille dame issue de ce monde ,fille d’un grand rabbin d’istamboul, qui expliquait que son pere, ami d’Attaturk avait eu beaucoup d’influence sur lui notamment en le persuadant que son combat pour la laîcité passait par une action émancipatrice aupres des femmes
OU MME dit:
à
« Yiddish et Judéo-Espagnol, un héritage européen » (pourinfo)
En dehors du cercle très restreint de passionnés des patois aussi rares que morts, je me demande qui ce genre d’ouvrage peut bien intéresser.
OU MME dit:
à
il suffit de se référer à l’instance chargée de la chose… (renato)
Vous semblez sous-estimer la complexité des labyrinthes administratifs.
Un avis comme un autre dit:
à
remédier à la baisse du nombre de fidèles!
Ce n’est pas pour rien que je prêchais avant tout pour ma paroisse…
pitié pour les aveugles dit:
à
23 mars 2015 à 10 h 16 min
yen a que ça intéressent, sur l’Histoire – des peuples, leurs déplacements, l’évolution des langues,
pitié pour les aveugles dit:
à
intéresse
closer dit:
à
« Ces sinistres hommes politiques, complètement hors service, vont nous foutre le FN, c’est clair. »
« Ils vont nous foutre le FN, ces c.ons ! »
WG, la profondeur de vos analyses politiques me donne le vertige.
OU MME dit:
à
WG, la profondeur de vos analyses politiques me donne le vertige. (Closer)
Sentiment partagé. J’en titube.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…ce qu’il en est des apparitions des vierges,!…déjà les dissimulées avec des putes en devenir, bien cachées,!…
…sans parler des scénarios préparées, mariées 10 ans, pour se faire divorcée, ( déjà au Moyen-Age,… » puer de la bouche « , en comité restreint aux parfums, sans délibérer plus, un raccourcis pour divorcée, avec pignon rue pour la communauté de grande soeur, au repos des voyageur à St-Christophe à tête de chiens,!…
…les conversions d’abrutis, à l’imaginaire bégueule,!… » passé moi un savon, frotté bien mon corps, réveillé mes cinq sens « ,…
…mais, aller y, qu’est ce que vous attendez, pas plus de deux heures, vous me payerais à crédit,…vous trouverez toujours de quoi vous nourrir, en paix,…
… » les voies du seigneur sont impénétrables à nos esprits – saints « ,!…
…que du contraire, la fortune, aux dons, façons » presse-bite-terre » à gober,!…
…mon téléphone rose,!…le saint des saint,!…
…un téléphone des culs-mendiants,!…
…
…un château-fort imprenable çà n’existe pas, il faut dégrossir de l’intérieur,…
…
…vous avez-vu, combien de vierge-nue,…
…depuis ce matin, je les ait pas comptez,!…
…nue, Oui,!…
…mais, vierges ?,…
…j’ai pas peint une miniature sur chaque hymen,!…déjà trop de blanc,!…à vue,…
…
…et, pareil, pour les grottes de Lascaux,!…pas de commande, la crise, au bénitier,!…
…les saints Cristophe à têtes de chiens, sont passés avant, comme Marco Polo en Chine,…déchainé,!…
…les fresques et pour goulot à temples,…
…la médecine traditionnel, avec carte à pointée,!…à la mondialisation, les chasses-gardées,!…
…le lobbying au cours du jour,!…
…les bourses en baises,!…
…l’acrobate à baise,!…tout en tête,!…
…les lolitas, à Cambronne aux écoles mixtes, sans mur de chine,!…
…les apparitions Oui,!les yeux fermés avec bandeaux,!…of course,…avec attaché – case,!…&…vos apparitions de nuits, les inversions de pyjama en colonie de vacances,!…le matin, les douches mixes,!…
…
…les histoires,en apparitions,longtemps les en tubés,!…en pertes de génies,…
…s’en remettre aux têtes à chiens des voyages,!…chirurgie esthétique,!..
…
…Trop sexy, Alix Townsend est obligée de se déshabillé en public pour prendre l’avion,!…
…allégé l’avion, en se les gonflants à l’oeil,!…
…les premiers gestes en miniatures » shawed « ,!…treesome,!…etc,!…
…etc,!…
…les cultes des processus d’enfoirés-bénis,!…Ah,Ah,!Ah,!…Bip,Bip,!…Go,!…
…
…
JC..... dit:
à
DHH dit: 23 mars 2015 à 10 h 08 min
« … que son combat pour la laîcité passait par une action émancipatrice aupres des femmes »
Judith, c’est ce que nous autres, ici, nombreux combattants de la Laïcité, poursuivons comme combat : l’émancipation des femmes, de toutes les femmes, par tous moyens appropriés …
Ortegason dit:
à
Dash cancellation move
OU MME dit:
à
Ce billet excessivement poupinisant me paraît confirmer la tendance du sieur Assouline à privilégier les sujets susceptibles d’intéresser les membres de la tribu, qui, d’ailleurs, forment le noyau de son lectorat. Je ne lui reprocherai pas de les contenter, ne serait-ce que par solidarité tribale. Mais comme je ne me sens ni affinités avec ces gens-là, ni sympathie pour eux ni pour le tenancier de cette gargote, et que, par ailleurs l’éventail de mes préoccupations littéraires et intellectuelles est tout de même beaucoup plus large et plus ouvert, je tire définitivement ma révérence.
renato dit:
à
Une tribu? Quelle tribu?
Préoccupations littéraires et intellectuelles ? c’est quoi ça, quelque chose qui se mange ?
sigh dit:
à
« je tire définitivement ma révérence. »
Quel esprit ouvert!Etonnant!
renato dit:
à
Poupinisez-vous, poupinisez-vous, quelque chose restera…
JC..... dit:
à
OU MME dit: 23 mars 2015 à 11 h 55 min
« …et que, par ailleurs l’éventail de mes préoccupations littéraires et intellectuelles est tout de même beaucoup plus large et plus ouvert, je tire définitivement ma révérence. »
Ce serait malheureux qu’une fausseté, large et ouverte, nous prive d’un commentateur atteignant parfois le génie !
Voire au sublime !
JC..... dit:
à
Si MOUMOUNE s’en va, il est hors de question que je reste ! En tant que sioniste convaincu, j’ai besoin d’un pro-palestinien intelligent. …. C’est si rare !
l'autre pour the same dit:
à
le tenancier de cette crèche m’inspire une très certaine sympathie , sans plus ni moins.
Il n’en va pas de même pour les soi-proclamants émancipateurs (de femmes disent-ils) qui me rendraient plus zazie que zinzin .
je ne me propose rien de si élevé en lâchant une remarque ci-là en phase sipossible avec tel billet particulier.
renato dit:
à
Je ne me fais aucun souci relativement au départ de OU MME : il ou elle reviendra jouer le « grand intellectuel » sous un autre pseudo car il faut bien qu’il parle avec quelqu’un…
JC..... dit:
à
Renato, s’il faut, au pied levé, remplacer le « grand intellectuel », je reste … naturellement !
Marcel dit:
à
Beau papier.
Comme j’ai distrait les citoyens de la république l’hiver dernier avec mes triolets et les sonnets, je soumets à votre appréciation un petite rondel
http://short-edition.com/oeuvre/poetik/merle-rondel
Je signale que ce rondel a obtenu une médaille d’argent aux doctes jeux floraux de Toulouse en 2007. Remise des prix sous les lambris du Capitole.
Monsieux Chaloux, soyez un peu sérieux s’il vous plaît !
Un avis comme un autre dit:
à
Marcel, la B.O. suffit pas ? faut des titres dessus/dessous ? Vous cherchez une doubleuse ?
Un avis comme un autre dit:
à
« grand intellectuel »
– malhonnête –
!
Questionnement..... dit:
à
c’est quoi ça, quelque chose qui se mange ?
la branlette collective ça nourrit bien ?
florilège en république dit:
à
la branlette collective ça nourrit bien ?
Renato, s’il faut, au pied levé, remplacer le « grand intellectuel », je reste … naturellement !
je ne me propose rien de si élevé en lâchant une remarque ci-là en phase sipossible avec tel billet particulier.
Widergänger dit:
à
En 1970, en date du Vendredi 9 janvier, la Zeit écrivait déjà :
Ein Gespenst geht um in Europa. Das Gespenst der deutschen Gefahr. Wieder einmal. Einige unserer Nachbarn fühlen sich bedroht. Zum drittenmal in diesem Jahrhundert.
Diesmal ist es nicht das Dröhnen deutscher Marschstiefel und das Rasseln von Panzerketten, das ängstlichen Gemütern jenseits unserer Grenzen den Schlaft raubt. Es ist das Getöse der deutschen Wirtschaftmaschinerie und die Furcht vor deutschen Exportoffensiven.
________
Un spectre hante l’Europe. Le spectre du danger allemand. Cela recommence. Certains de nos voisins se sentent menacés. Cela fait la troisième fois en ce vingtième siècle.
Cette fois, ce n’est ni le martèlement des bottes allemandes, ni le bruit des chenilles de blindés qui ôte le sommeil aux esprits anxieux au-delà de nos frontières. C’est le fracas de la machine économique allemande et la peur d’une offensive allemande des exportations.
_________
Les choses n’ont guère changé en ce mois de mars 2015, 45 ans plus tard…
l'autre pour the same dit:
à
ah oui, spectres de MARX/
3La notion de spectralité présente dans le titre trouve son origine dans les premières lignes du Manifeste du parti communiste, où Karl Marx écrit : « Un spectre hante l’Europe – le spectre du communisme »[1].
l'autre pour the same dit:
à
Aujourd’hui, on parle en français de vivre en semble, expresssion dans laquelle semble résonner
convivencia
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…l’autre pour the same à 12 h 11 mn,…
…
…je ne me propose rien de plus élevé ( salée ) en làchant une remarque ci-là en phrase sipossible avec tel billet particulier.
…
…plus zazi que zinzin, à la distanciation adéquate,!…aucun risque et incognito, une commande pour une miniature sur selle,!…
…
…à moins, de ne pas abuser des tubes en tourisme à Lascaux,…déjà en fermeture Bio-Verte,!…
…
…tout ces voyeurs à jouer à la bas-balle, pour entrer sans » frapper « ,!..Oui,!…ma squaw,…quoi d’autre,!…etc,!…
…
…jamais, sans châteaux, les gâteries,!…
…et pas de pages en servitude volontaire,!…aux parfums,!…
… » les très riches heures du Duc de Berry « !…que je vous essuie,…c’est un zèle du Périgord,…c’est gonflant vos directives,!…
…etc,!…
…l’orthographe en l’air,…Bip,!Bip,!…
…
raymond dit:
à
« il faut bien qu’il parle avec quelqu’un… »
Josette ne fait même plus semblant de l’écouter
burntoast4460 dit:
à
OU MME nous confie : « L’éventail de mes préoccupations littéraires et intellectuelles est tout de même beaucoup plus large et plus ouvert »
Winkelmann : « Nous sommes comme ceux qui veulent voir des fantômes, et qui croient les apercevoir là où il n’y a rien. »
Questionnement..... dit:
à
résonner
convivencia
faites attention en utilisant tous le même sex toy…..
burntoast4460 dit:
à
Mon billet sur les noyaux de cerises du Tyrol semble avoir connu un aléa.
Matveï dit:
à
Un spectre hante l’Europe. Le spectre du danger allemand. Cela recommence. Certains de nos voisins se sentent menacés. Cela fait la troisième fois en ce vingtième siècle. (Widergänger)
En somme, pour Widergänger, il existe une essence de l’Allemagne, qui perdure, inchangée au fil du temps, telle une Idée platonicienne. Malheureusement pour cette vision des choses, les temps ont changé et l’Allemagne d’aujourd’hui, ce grand pays démocratique, notre allié, notre ami, n’a plus rien à voir avec l’Allemagne d’avant 1944 ou d’avant 1914. Mais on ne s’étonnera pas qu’un esprit hanté par les essences et quelque peu égaré par leurs vapeurs soit victime de quelques fixettes.
Phil dit:
à
die Wirtschaftsmaschinerie ..avec le partage de la Pologne ? espérons-le, pour faire plaisir au nouillorquais cinéaste joueur de flûte.
On a donc quitté Tanger pour finir à Casablanca, années 40.
DHH dit:
à
@marcel
ce qui m(epate en vous ce n’est pas que vous soyez un honnête rimailleur;ils sont legion;mais que vous soyez à la fois ce petit poete et aussi un auteur de polar et aussi un mathematicien de niveau elevé ,ça c’est rare .
comme le disait Leon Blum les gens exceptionnels sont les gens qui ont des qualités qui habituellemnt s’excluent.il y a un peu de ça chez vous
Bloom dit:
à
Les premiers juifs à s’établir en Amérique du Nord, à New Amsterdam, la future New York, étaient des commerçants séfarades venus du Brésil.
Le célèbre poème The New Colossus (« Give me your tired, your poor, Your huddled masses yearning to breathe free, The wretched refuse of your teeming shore (…) » inscrit au pied de la Statue de la Liberté est dû à une poétesse d’origine séfarade, Emma Lazarus.
Après les séfarades vinrent les ashkénazes d’Allemagne, puis les juifs d’Europe centrale et orientale. C’est alors que New York devint « Jew York ».
Au fat qui nous fait un petit KK nerveux, « la tribu » (vocabulaire classique des lettres de dénonciation envoyées aux Kommandantur pendant l’Occupation) la met de profondis morpionibus.
D. dit:
à
renato, moi aussi j’ai une histoire vraie à raconter. Et ça c’est passé cette nuit.
Je me suis réveillé vers 3h 16 et ensuite, difficulté pour me rendormir. Au bout d’un moment je suis allé prendre l’air à la fenêtre et là, sous mes yeux, à 25 mètres devant moi, peut-être quinze petits cosmonautes, mais tous petits, très trapus, avec un scaphandre noir et blanc, en train de graviter autour de sa maison en un étrange ballet, tête à l’endroit, tête à l’envers.
Au bout d’un moment je me suis dit que ce n’était pas si grave et je suis allé me recoucher et j’avoue que j’ai très bien dormi jusqu’à ce matin 10 h 30 (j’aime me lever tard).
Dans l’après-midi je suis allé dire au voisin ce qui c’était passé, il n’a pas semblé surpris outre mesure, ce qui me laisse penser qu’il serait sous l’emprise de ces petits êtres qui ont dû exiger de lui qu’il fasse comme si de rien n’était.
D. dit:
à
sa maison, c’est sa maison, je précise parce que ça peut sembler étrange.
D. dit:
à
Sinon je vous informe que Clopine possède un peignoir jaune. C’est la pure vérité.
Widergänger dit:
à
Matveï dit: 23 mars 2015 à 18 h 47 min
_______
Y a pas que l’Allemagne qui n’a guère changé, y a aussi les bœufs qui ne comprennent jamais rien…!
C’est la Zeit qui le dit, pas moi !
Encore un qu’a un gruyère à la place du cerveau. Il a bouffé trop de vache contaminée…
Max Lampin dit:
à
Vous avez vu Danny Balint, Bloom ? Vous devriez. Ensuite, en guise de pénitence, vous regarderez Max de Menno Meyjes. Ça va vous plaire.
étonné dit:
à
Au fat
Il n’y en a qu’un ??
burntoast dit:
à
Dans les collections de l’archiduc d’Autriche Ferdinand II, Régent du Tyrol, on pouvait admirer des noyaux de cerise sculptés. Ces noyaux sculptés me font penser à la culture de W.
Vérité historique...... dit:
à
Il semblerait que les Kommandantur s’écrivent des lettres à elles-mêmes….. D’autres ne peuvent même plus ch.er en paix, ainsi va le monde…..
par exemple dit:
à
« les gens exceptionnels sont les gens qui ont des qualités qui habituellement s’excluent.il y a un peu de ça chez vous » DHH.
Souvenez-vous de Louis Le prince Ringuet, un fameux scientifique…et qui se voulait être aussi hélas un très grand peintre!
Marie Chantal dit:
à
On parle souvent de délation en RDL mais jamais de calomnie, je suppose que cela doit être amusant.
Euh... vous savez lire ? dit:
à
Marie Chantal, un anonyme a cité Cioran pour parler de ce sujet avec un grand sourire, il y a peu…
l'autre pour the same dit:
à
j’ai connu une femme qui sculptait des noyaux de pêche: je l’enviais de ce savoir-faire qui m’émerveillait
Nous avons les moyens... dit:
à
La violence c’est tellement mieux de ne pas la voir, faut absolument que la bourgeoisie garde son charme discret, caché derrière une constante variable…
l'autre pour the same dit:
à
disparus à jamais , certes, mais aurions nous su les apprécier si nous avions vécu dans leur temps?
ils ont cette saveur aujourd’hui qui nous les rend précieux comme le bonheur , mais ce n’était pas pour tous que du bonheur
Une curieuse ordinaire roulant au sans plomb dans la tête dit:
à
disparus à jamais , certes
De qui parlez-vous ? Oh, et puis enfin quelle importance, depuis le temps qu’on dirait que personne ne sait de quoi il parle dans les coms et même plus haut !
Duc Bihoreau de Bellerente dit:
à
Il m’arrive de penser que les Palestiniens pourraient émigrer dans ces pays qu’ont dû quitter les Juifs (du Maroc à l’Iran) mais tout de suite je me rends compte qu’ils y perdraient peut-être au change. Après tout, qui veut aller là où l’Islam règne? Il n’y a qu’Israël où on vet aller. Pauvres Musulmans…
bonbons, petite, pas maillon dit:
à
choisir son camp c’est surtout valable pour ceux qui ont l’habitude d’en changer
la plume de ma tante dit:
à
closer dit: 22 mars 2015 à 10 h 59 min
Une info: les deux plus anciennes synagogues d’Espagne encore en état ont été construites à Tolède sous les rois chrétiens après la Reconquista.
Lisez plutôt le lien de lvdlb à 9h19.
Si je comprends bien, après avoir intimé aux musulmans et aux juifs de se convertir ou de se barrer, les rois chrétiens APRES la Reconquista récompensèrent ceux d’entre-eux qui sont restees et ne se sont donc pas convertis, en leur permettant de construire des synagogues? (les juifs hein car les musulmans, eux ils n’existent pas dans ce narratif, mais c’est une autre histoire)…mais c’est extraordinaire ! quelqu’un devrait avertir les histoiriens…peut-être que Mr Delpla pourrait en tirer matière pour sa prochaine controverse ?
faut surtout pas laisser les faits encombrer vos préjugés…
petit proseur dit:
à
les pierres ne tombent pas loin des murs
la vanité trônant sur socle dit:
à
laisser les faits encombrer vos préjugés…
Oh ça… Quand ça ne bouge plus comme du mort et enterré…
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