Des polars pour ceux qui n’en lisent jamais
Ce n’est pas un genre littéraire en soi mais cela pourrait le devenir. Car à côté des polardeux professionnels, ceux qui en maitrisent parfaitement les codes et n’écrivent rien d’autre que des intrigues admirablement ficelées à destination d’un très vaste public de fidèles et d’amateurs qui ne se détournent des Américains que pour se tourner vers les scandinaves, on voit éclore une catégorie d’écrivains qui s’y essayent l’air de rien mais sans renoncer à rien de ce qu’ils sont et de leur absolu de la littérature. Certainement pas une école, trop tôt pour une famille d’esprit, peut-être une nouvelle tendance, on verra bien.
Pas de whodunit ni de tueur en série. Garantie sans hémoglobine ni éviscération dès le premier chapitre. Il y a bien une mort suspecte et une enquête policière, ce qui suffit le plus souvent à l’étiqueter parmi les polars sinon les thrillers, tous les libraires ne sont pas des maniaques et tous les critiques littéraires non plus. Mais enfin le genre a été si longtemps méprisé que n’entre pas qui veut dans ce pré carré. « Entourage et voisinages sont les deux mamelles des suspects » écrit Mathieu Lindon dans Moi, qui que je sois (386 pages, 21,90 euros, Pol), étrange livre particulièrement digressif où se mêlent un crime, des fantasmes, un assassin, des contes de fées, des orgies, des partouzes, des culs en veux-tu en voilà, des godemichés, des analphabites (sic), des enculeurs, du fist fucking, des scatophiles et pourtant, ce n’est jamais obscène. On n’imagine pas l’auteur invité à l’un des nombreux salons et festivals du polar dont notre pays s’honore, que ce soit à Mortagne-sur-Sèvre, à Frontignan, à Saint-Symphorien, à Ozouer le Voulgis, encore qu’à Noeux-les-Mines, qui sait, à la faveur d’un malentendu…
Mathieu Lindon rejoint là, à sa manière, ces écrivains qui font faire un pas de côté à un genre traditionnel. Ils le déboitent. Ce qu’avait également réussi Tahar Ben Jelloun avec L’Insomnie que son éditeur et ses critiques italiens ont classé sans hésiter parmi les polars ; le narrateur y prenait plaisir à accélérer la fin de sales types et à précipiter l’agonie de sales bonnes femmes, persuadé de rendre là un signalé service à la société. Il y en a d’autres, les exemples n’ont pas manqué ces dernières années sans pour autant que cela constitue un phénomène de librairie. Ce qui était probablement dû, aussi, à ce que dans la bibliographie des auteurs, ce n’était qu’un hapax sans lendemain ni récidive.
On verra bien si c’est également le cas de Que sont nos amis devenus ? (220 pages, 18 euros, Grasset), l’un de ces livres parus en librairie à l’office du 11 mars et sacrifiés au bout de quelques jours pour cause de coronavirus. D’autant plus injuste que c’est l’un des plus savoureux de la cuvée de printemps. Pour son huitième roman, Antoine Sénanque, neurologue dans le civil, n’a pas totalement retiré sa blouse blanche en écrivant. Pour autant, on ne se croirait pas dans le décor désormais familier du Journal télévisé depuis deux mois. Mais qu’est-ce qui lui a pris à Pierre Mourange, ce médecin quinquagénaire à la tête d’un EHPAD (on ne sait même plus si c’est bien ou mal porté ces derniers temps) de s’emparer du revolver qui trainait sur le bureau de son psychiatre, et de le manipuler suffisamment pour y laisser ses empreintes avant de le reposer ? La curiosité, probablement. Seulement voilà, le soir même, le type se suicide avec l’arme. A moins que…
La police lui tombe dessus aussitôt. Le coupable idéal. Tout est en place pour qu’il se perde ; et pourtant, en mettant ses amis (ce n’est pas un hasard si le titre emprunte à Rutebeuf via Léo Ferré) et ses amours à l’épreuve, ce concours de circonstances va lui permettre de se retrouver en regagnant leur estime et, plus encore, leur confiance. Mort suspecte, enquête policière, imbroglio, suspense etc Interdit d’en dire davantage sur l’intrigue. Tout est résolu à la fin. Et pourtant, on s’en fiche. Car le plaisir de lecture que procure ce roman ne vient pas de cette satisfaction là. Il tient à l’écriture, sobre, économe, elliptique (ici lire un extrait) ; à la sensibilité de l’auteur, son souci du mot juste comme étant la moindre des choses ; à sa cruelle ironie ; à ses propres tropismes qu’il prête à son narrateur, mise en abyme d’un médecin-écrivain par lui-même ; à de formidables portraits où les personnages, y compris les plus insignifiants, sont campés et vivants en deux paragraphes et où l’on sent, à la manière dont tel s’avance déjà essoufflé, qu’il manque d’avenir ; à ce charme si particulier qui fait, de livre en livre, la touche Sénanque, secret alliage d’humour froid, de mélancolie, de fragilité, de goût des autres. On y voit même le déclin de la relation au sein d’un couple s’accomplir dans le paisible.
Alors, qui a tué le docteur Petit-Jean ? A moins que… Aucune importance au fond. Les meilleurs polars sont ceux où l’on ne cherche même plus à comprendre. La résolution de l’énigme compte moins que son ambiance, ses à-côtés. Et un personnage de commissaire épatant, une quadra déjà légendaire pour avoir pris une balle dans le genou quand elle oeuvrait à la brigade criminelle, du nom de commissaire Guillaume (un clin d’œil au grand flic du même nom qui démêla de fameuses affaires de l’entre-deux-guerre –Bonnot, Nozière, Prince etc- et inspira Maigret à Simenon ?). Ou un autre, pensionnaire de l’Ehpad, un Hongrois qui se porte comme un charme cerveau mis à part (infarctus massif) et qui, à toute question, répond invariablement par un « C’est dans le Gâtinais » désarmant mais qui à tout prendre vaut bien le « Bonsoir les choses de la vie » sur lequel s’était fixé Valery Larbaud en son aphasie. Après avoir lu Sénanque, on hésite à serrer la main d’un médecin de crainte qu’il ne glisse l’index hors de la paume à la recherche du pouls. De toute façon, on ne va plus serrer la main de quiconque avant longtemps. Difficile de se défendre ici ou là le relevé de quelques phrases qui ne sont pourtant ni des formules ni des mots d’auteur :
« Les psychiatres sont plus des lieux que des personnes. Des endroits où le rendez-vous avec vous-même coûte de l’argent »… « Les dépressifs sont presque toujours des malades qui ne veulent pas guérir »… « On est presque toujours félicité pour des comportements qui ne doivent rien à notre volonté »… « Il n’y a que deux matières solides émises par le corps humain, Pierre : la merde et les enfants. Toute femme enceinte devrait méditer cette évidence et réfléchir à l’idée que surestimer l’une revient à surestimer l’autre »… « L’accès au monde de la santé lui avait été refusé en tant que praticienne, elle avait trouvé une autre voie pour y pénétrer. Puisqu’elle avait raté médecine, elle était devenue malade ».
On y découvre que la lucidité est une qualité de médecin, ce qui est contestable. Ou que les maladies ont une odeur : l’acétone pour les diabétiques, le chlore pour les tuberculeux, l’ammoniac pour les cirrhotiques… Et les urgences, l’oxygène formolé. Et, comme les chiens reniflent tout ça mieux que les hommes, de se demander si les médecins n’auraient pas intérêt à se baisser sur la piste des maladies… N’empêche qu’on se demande encore de quoi peuvent bien être malades ceux dont la peau sent la bière. Sénanque ne s’y attarde pas, préférant clouer au pilori une fois de plus ceux qui l’insupportent : les gardiens de l’ordre moral, les obsédés de l’asepsie urbaine, les vigilants de l’axe du bien, les huileux professionnels de la gentillesse, les princes du consensus, ceux qui ne supportent ni le bruit ni la fumée et ont toujours une céphalée d’avance. Et tant mieux si les couloirs de la nouvelle PJ sont « déjà » crasseux et si on a l’impression que les chats ont toujours l’air de « se foutre de notre gueule » !
Il y est écrit quelque part que c’est un roman non vécu plein de la vérité d’un autre. Bien vu à condition d’y ajouter une qualité des plus rares chez les romanciers : la délicatesse. Bien employée, surtout quand il s’agit des trahisons d’amitié, elle peut être une clé pour accéder à l’inaccessible Graal : la légèreté. Mais ne rêvons pas, lisons puisque tout conspire à nous faire lire. Avec Que sont nos amis devenus ?, Antoine Sénanque m’a ramené sans le vouloir, par sa musique et le son qui s’en dégage, à l’atmosphère de certains livres du regretté Jean-Patrick Manchette et surtout à Tanguy Viel et Yves Ravey. Que ceux qui les aiment le suivent.
(Photos Letizia Battaglia et Bernard Plossu)
1 863 Réponses pour Des polars pour ceux qui n’en lisent jamais
Si j’avais « l’intelligence et le savoir » du JiCé….., le Justin Crétin (Dieu m’en garde), je n’oserai pas commenter ici mais lui il y va incontinent (!) quotidiennement urkurkurk
on ne lit pas
ailleurs
Dslée Monsieur Court.
Plancher à pois pour revenir (par petites étapes) à la vie normale
Le dispositif s’appelle « Safety Pois » et est un régulateur comportemental à appliquer dans les lieux publics pour garder les gens à la bonne distance.
Source 24ore
Safety Pois #2
Safety Pois #3
Etc.
le Figolu, victime sucrée de la globalisation, dear JJJ. gâteau aux figues créé par le nantais Lu, vendu au british kraft qui va le ressusciter dans son pays sans figuiers.
Comme le « Chamonix », autre gâterie de la France d’autrefois aujourd’hui produit dans la nationaliste Pologne, le Figolu est apprécié des des cinéphiles.
D’autres exemples :
@ rose dit: à Janssen J-J peut-être pourriez-vous en énoncer l’argument puis en donner lecture entière ici.
Je sens bien que je m’y devrai un jour ou l’autre. Alors voilà… Il s’agit d’expérimenter durant ma retraite un projet de bio(graphie)-bibliographique que je n’ai jamais réussi à mener à terme à cause de mon boulot scientifique trop prenant par ailleurs.
Je souhaite montrer comme l’ensemble des bouquins intégralement dévorés depuis l’âge de 15 ans ont contribué à former ma personnalité.
L’introduction générale fournit le matériau de travail, càd qu’il met à plat pour chaque année de ma vie les bouquins lus dans leur ordre. Un tri ultérieur différencie en gros, ceux qui relèvent de la littérature pure (55%) et tous les autres (SHS et autres) (45%). Mon hypothèse est que les deux se sont toujours fécondées en moi, et mon objectif est de monter comment. Pour cela, j’expliquerai de manière ordonnée moins le contenu des bouquins lus, que le souvenir de l’impact qu’ils eurent dans les décisions de bifurcations et choix de ma vie itinérante au moment où je les ai fréquentés (d’où l’importance de les situer rigoureusement dans le temps)… autement dit à mettre ces lectrues en parallèles avec les étapes décisives de ma bio (privée et publique). Outillé de la sorte, ma bio-bibliogaphie peut se résumer à vingt thématiques (20 chapitres) dont l’ordre n’est pas encore définitivement fixé. Cinq d’entre eux seulement sont à peu près définitivement rédigés. Il me faudra quelques années pour venir à bout de reste…
Et cela me permet, rôz, de vous expliquer mes tentatives d’apparition sur la rdl, pour voir ce que certains fragments valent dans les yeux des erdéliens (mais je ne suis pas encore très clair au sujet de cette tactique). Quoiqu’il en soit, voilà quelles seront les entrées principales :
– Descriptif des lectures annuelles parallèles aux étapes de mon itinéraire (de 15 à 65 ans /1970-2020)
– Le monde rural et moi
– Gémellité et fratrie
– Circoncision, Juifs et Shoah
– Mes parcours et bifurcations sociologiques
– Le grand large et moi
– La mort et moi
– Mes autres vies oniriques
– Sciences dures, astrophysique et moi
– Pouvoir de lire, pouvoir d’écrire
– Les flics, la loi, l’ordre et moi
– Histoire de mes 80 recensions scientifiques
– Le best-off de mes romans et ouvrages savants « coups de coeur »
– Réfractaire à la révolution informatique, numérique et connectique
– Un goût insatiable pour les autobiographies et biographies des autres
– Mes excursions littéraires africaines, asiatiques et sud-américaines
– Mes excusions littéraires britanniques, américaines et canadiennes
– Mes excursions littéraires europennes et moyen-orientales
– Mes littératures mineures
Conclusion : Qui est-tu, l’erdélien en diagonale de JJJ ?
(voilà en gros le projet d’écriture pour quelques années… C’est qu’il faut bien toujours en avoir un peu, non ? Pour l’instant, l’entretien du jardin, des soins à la basse-cour et les préparatifs d’une nouvelle vie occupent largement la place… Et le souci pour quelques erdéliennes de très bonne volonté.
A bientôt, courage. Bien à vous,
« Je souhaite montrer comme l’ensemble des bouquins intégralement dévorés depuis l’âge de 15 ans ont contribué à former ma personnalité. »
Ça c’est incroyable.
hamlet et M.Court,
vous en posez des questions graves !
Alors, ce Père Brown ? ce personnage pas très sérieux qui n’est pas détective à plein temps. Le voilà traversant une cinquantaine d’enquêtes. Des contes policiers très drôles, pleins de fantaisie et d’humour.
Qui est donc ce petit homme excentrique, espiègle, portant des lunettes rondes cerclées d’acier, prêtre d’une petite paroisse du Sussex ?
En le suivant, dans la première enquête « La croix bleue » on devient déraisonnable pour le comprendre car pour lui – qui fait tout à l’envers – seul l’improbable est vrai et l’imagination a tous les droits.
Ainsi dans ce premier récit, nous faisons connaissance avec lui, SUIVI par le bandit Flambeau. Il se fait suivre volontairement, laissant un nombre innombrable d’indices. Pour l’inspecteur français, Valentin, qui est venu jusqu’à Londres pour arrêter Flambeau, la conduite de ce Père Brown est dépourvue de bon sens. C’est un idiot pense-t-il…
Mais le Père Brown préfère sa façon de faire, cette sorte de folie, à l’objectivité traditionnelle et conventionnelle des policiers.
A-t-il trouvé Dieu au centre du labyrinthe, M.Court ? Peut-être… Sa métaphysique est paradoxale…
« – Je persiste pourtant à croire que d’autres mondes peuvent s’élever au-delà de notre raison. Le mystère du ciel est insondable et, pour ma part, je ne puis que m’incliner devant lui. » dit-il à Valentin.
« Son visage, levé vers les étoiles, semblait conserver la même expression béate. Peut-être n’avait-il pas entendu. Ou peut-être avait-il entendu… »
Quant au bandit Flambeau, à la fin du récit : « Le colosse du crime s’inclina vers le petit curé de campagne » et s’écria : »
– Vous valez mieux à vous seul qu’un vaudeville. Oui, poire que vous êtes, j’en suis certain. »
Puis, désarçonné par la logique de Brown qui lui explique la raison de tous ses actes :
« – Je ne vous crois pas. Je ne crois pas qu’un nigaud comme vous ait pu arranger tout cela. »
[…] Mais comment diantre connaissez-vous ces horreurs ? »
Et le récit va s’achever, limpidement.
« L’ombre d’un sourire effleura le visage simple et rond de son adversaire [le Père Brown] :
– Oh ! en faisant mon métier de stupide petit célibataire, je suppose. N’avez-vous jamais songé qu’un homme qui passe sa vie à entendre les autres lui conter les péchés qu’ils ont commis ne doit pas être entièrement ignorant du mal ? D’ailleurs, à un autre indice, j’aurais pu dire que vous n’étiez pas un prêtre. [Flambeau s’était déguisé en prêtre pour suivre le Père Brown].
– Quoi ? dit le voleur, bouche bée.
– Vous avez attaqué la raison, dit le père Brown. Ce n’est pas orthodoxe. […]
Flambeau était un artiste et un beau joueur. Il s’arrêta et salua profondément Valentin.
– Ne me salue pas, mon ami, dit Valentin, d’une voix claire. Saluons tous deux notre maître.
Et il se découvrit un instant, tandis que le petit prêtre de l’Essex cherchait à tâtons son parapluie. » (Fin du récit).
Et jien alors là je suis sur le coccyx.
Les avez-vous recensés dans l’ordre ou dans le désordre ?
Comment comptez-vous ne pas lasser/étouffer/déborder le lecteur en disant tout en ne donnant pas tout le contenu ?
Pensez-vous in fine, ou voulez-vous démontrer que je suis ce que je lis ? Ou je suis devenu qui je suis pck j’ai lu cela ?
Entreprise d’envergure, passionnnante, qui me motive :=> je vous lis.
PROJET GIGI
On peut imaginer projet plus chiant que celui là, mais ça va être dur !
Tous les journaux adoptent la même politique. On lit les infos ailmeurs. Avec différents points de vue et c’est très bien
ici on lit pas lassouline..c’est baroz le tendanceur prescripteur pour la litterature..rose c’est l’absynthe..bonne clopine la pipe..dirphiloo la wurst..et last but not list dorénavant just call en plus long comme les aristo meussieu courte la science
hamlet et M.Court,
vous en posez des questions graves !
havec cricri c’est du drâââme a tous les étages
Heureux rappel, Petit rappel :
https://www.youtube.com/watch?time_continue=47&v=BFOJtRFlY-8&feature=emb_title
Ils sont extra tous les deux !
– Histoire de mes 80 recensions scientifiques
haaa toute hune étagère..ça se redresse de toute sa hauteur..mais mon larbin ajoute degaulle a dit..’comme je suis plus grand que vous j’en ai jusqu’au genoux’
#Conclusion : Qui est-tu, l’erdélien en diagonale de JJJ ?
Un très simple constat : perso, je m’en tape d’un pervers.
Qui en plus prend la rdl pour un élevage de cobayes.
Envoie ton ours directement à Passou , il a assez d’expérience dans l’auto fiction, et » le livre qui a changé ma vie »;tu auras peut-être tes cinq tirages pour la gloire.
cricri c’est à 4 pattes pour compter les lames du plancher…ha c’est pas brillant qu’elle lui dirait bonne clopine..la pipe concerve un peu de semblant de tenue
Envoie ton ours directement à Passou
t’as pas faux tèrezoune..mais jme dmande si c’est pas les lois des grands nombes..nonobstant..pas de ligne congelée..peu de citation..peu de liens..pas trop de blattes..et que ça pendouille hic et nunc..surtout hic sacrénom quelle dirait rozy
Ce n’est pourtant pas une langue morte !
vendu au british kraft qui va le ressusciter dans son pays sans figuiers
la france haprés la bouteille d’eau..les emissions culinaires..les pets..le chocolat nouarte..écrase les lombards et rénateau dans le global faut rconnaite
Une entreprise de grande haleine.
Janssen J-J
Dimanche, 26 avril 2020, 10h33
Le talent des confinés:
T’as voulu voir le salon – Les Goguettes (en trio mais à quatre)
@clopine
tres reussie et ressemblante l’image du narrateur racontant le confinement de ses personnages.
et il a un air de santé qui ne lui est pas habituel comme si la mort des autres lui avait fait du bien
Plancher à pois pour revenir (par petites étapes) à la vie normale
hencore une démarque hitalienne de notre daniel burènne nationale..en porno et mafioso comme versatché
@ rôz. Pensez-vous in fine, ou voulez-vous démontrer que je suis ce que je lis ? Ou je suis devenu qui je suis pck j’ai lu cela ?
Oui, vous avez fort bien compris le sens encore obscur d’une telle entreprise…
Mais détendez-vous, cher.es erdélien.nes, le blog a déjà décidé du sort de cette entreprise, et moi itou… Le manuscrit intégral sera déposé à l’APA et consultable après ma mort… Pour l’instant, je distribue ça et là des épisodes à mon entourage immédiat, curieux de savoir ce que je crois sur tel ou tel aspect d’une question que je connais à peu près bien, et pourquoi je la connais.
Vous imginez bien que je ne vais pas tout balancer icite, tant que mon identité restera ignorée. Du reste, elle ne sera jamais connue, si Pierre A. ne la dévoile pas avant ma mort. Or, depuis 15 ans, il est resté d’une discrétion exemplaire, ce qui m’a permis de conduire une double vie fort agréable. Après ma mort, il sera, par voie testamentaire, dûment informé du faire-part et invité à le communiquer. Deal honnête, non ?
Ce mystère du Ciel qui est insondable n’st peut-etre ps sans renvoyer à …Hamlet!
« Il y a tant de choses sous le ciel que toute votre philosophie ne saurait expliquer, Horatio. »
C’est le topo de l’Enigme que manie Brown beaucoup plus que celui de la Révélation,et des normes qu’on y attache, Christiane.
bordels mes sales cleps me bouffent mes louboutins..c’est con je voyais pédro havec ses grosses pompe d’empreur auguste de contre pitre de mon larbin..tant pire pour vous
Nuit du 26 avril 1986 : catastrophe nucléaire de Tchernobyl.
lexique
La pandémie favorise les « coups d’État du coronavirus » [« Coronavirus coups »]
https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2020/04/coronavirus-la-presse-commente-le-vocabulaire-.html%20
bonne journée
@JJJ
ne vous souvenez vous pas que Passou a dit beaucoup de choses sur vous et vos éminentes fonctions au ministère de l’intérieur?
C’était lorsqu’il a parlé de ce colloque où vous vous êtes présenté a lui comme le Diagonal de son blog, et il a eu la surprise de vous voir ensuite intervenir es qualités
#et il a eu la surprise de vous voir ensuite intervenir es qualités.
Une bonne droite, bien alignée, je l’ai toujours regrettée.
Petit Rappel dit: « Ce mystère du Ciel qui est insondable n’est peut-être ps sans renvoyer à …Hamlet!
«Il y a tant de choses sous le ciel que toute votre philosophie ne saurait expliquer, Horatio.»
C’est le topo de l’Énigme que manie Brown beaucoup plus que celui de la Révélation,et des normes qu’on y attache, Christiane. »
Parfait ! (C’est comme le mouton dans la boîte percée de trois trous…
@JJJJ
j’ajoute que vous avez apparemment une culture et un bagage de lectures qui est assez rare chez les hauts fonctionnaires et autres énarques, a ce que j’ai pu observer pendant les quarante années où je les ai côtoyés
8 Pandemic Words & Phrases People Absolutely Never Want To Hear Again
https://www.dictionary.com/e/pandemic-words-people-hate/
ajoutez chaotique, gogo, et what else
Il paraît que Les Goguettes sont connus:
Dis quand traverseras-tu ? – Les Goguettes (en trio mais à quatre)
tu vois, inutile de préparer ton grand-oeuvre frelaté, pour la postérité, » souviens-toi de moi », deachach a déjà commencé le boulot, haut fonctionnaire! énarque!, et pourquoi pas petit besogneux arrogant du ministere de l’Intérieur, le ben alla des chiffres et des lettres, et du piano bon tant pis, tant qu’on y est …
Enigma Variations (Warsaw Philharmonic Orchestra, Jacek Kaspszyk)
https://www.youtube.com/watch?v=vLNLvcBmoqo
#une culture et un bagage de lectures qui est assez rare chez les hauts fonctionnaires et autres énarques.
deachach est en train de ficher en l’air toute sa carrière…lol
On n’a rien vu venir (version covid-19) – Les Goguettes (en trio mais à quatre)
Mon dieu ! toi qui là haut règne qua nd tu n’es pas en RTT…. que sont conformistes les esprits éclairés* de ce blog !
*genre Gigi ou DHH, esprits fins, racés, pesants, éclairés à la lampe à huile, à la bougie, au cierge, à la lampe à pétrole….uhuhu !
Mon dieu ! toi qui là haut règne quand tu n’es pas.
Il y était à la messe sur France Culture.
Suis témoin sous la douche.
le Justin Crétin et le Gaga bouguereau en prennent plein la poire (paf !) sur le blog de Lucienne avec Keupu et Goering
« Vous imaginez bien que je ne vais pas tout balancer icite, tant que mon identité restera ignorée. Du reste, elle ne sera jamais connue, si Pierre A. ne la dévoile pas avant ma mort. Or, depuis 15 ans, il est resté d’une discrétion exemplaire, ce qui m’a permis de conduire une double vie. »
Janssen J-J
Double seulement ?
Mais je croyais avoir lu que vous étiez le nouveau pseudo de Diagonal ?
Pablo75 dit: à
On n’a rien vu venir (version covid-19) – Les Goguettes (en trio mais à quatre)
https://www.youtube.com/watch?v=HkIHXGL74_Y
Caustique à souhait.
Et une sur les EHPAD sur la musique de Mon vieux de Daniel Guichard ?
Cui-ci l’est très excellent.
Pablo75 dit: à
Il paraît que Les Goguettes sont connus:
Dis quand traverseras-tu ? – Les Goguettes (en trio mais à quatre)
Comme.l’on vient de passer Pâques, allons vers la Trinité. Toites les chances de traverser.
copiée de wiki:c’est une histoire très connue:
Enigma est une machine électromécanique portable servant au chiffrement et au déchiffrement de l’information. Elle fut inventée par l’Allemand Arthur Scherbius, reprenant un brevet du Néerlandais Hugo Koch, datant de 19191,2. Enigma fut utilisée principalement par les Allemands (Die Chiffriermaschine Enigma) pendant la Seconde Guerre mondiale. Le terme Enigma désigne en fait toute une famille de machines, car il en a existé de nombreuses et subtiles variantes, commercialisées en Europe et dans le reste du monde à partir de 1923. Elle fut aussi adoptée par les services militaires et diplomatiques de nombreuses nations.
Epatants, ces Goguettes en quatuor !
C’est de la variétoche en pastiche ?
« Et si le destin, si variable, d’une personne touchée par le Covid-19 se jouait lors des 10 ou 15 premiers jours suivant l’infection au Covid-19 ? »
qui pourrait me citer une maladie qu’il ne faut pas soigner le plus tôt possible ?
une des premières choses que Raoult avait dit c’est : il faut mettre les malades sous médicaments dès les premiers symptômes.
comme pour les masques : le gouvernement avait dit « il faut attendre le dernier moment » parce qu’il se pensait submerger.
en fait ils se sont submergés tous seuls en refusant de soigner chez eux dès les premiers signes : ils ont fabriqué un état d’urgence.
Je ne me souviens pas d’avoir assisté, depuis mon balcon, à une telle succession de belles journées ensoleillées à Paris !
Ne serait-il pas un peu facétieux ce coronavirus ?
là encore il suffisait d’envoyer en Allemagne un type avec un bloc note et un crayon.
Un état de pénurie organisée..
« Après les multiples blocages pour rendre inaccessible la chloroquine, notamment l’hydroxychloroquine (Plaquenil) aux médecins libéraux, nous apprenons que le Piémont a décidé de mettre gratuitement à disposition cette molécule dans 1500 pharmacies pour tous les patients atteints de Covid-19 et que la Chine vient d’envoyer 69 kgs de chloroquine pour le service de santé des armées ! »
Mediapart
P = NP
L’enjeu de ce problème du millénaire est sûrement le plus important de tous.
En effet, de sa résolution découlerait certainement celle des autres problèmes, tandis que le contraire impliquerait qu’ils resteraient sûrement insolvables…
Dans P=NP, on appelle P le problème qui consiste à trouver une liste d’éléments dans un ensemble donné.
Lié de près au fonctionnement des ordinateurs et des algorithmes, on pourrait traduire littéralement ce problème par la question suivante : « pouvons-nous trouver grâce à un calcul intelligent ce que nous pouvons trouver en ayant de la chance ? ».
Parviendrez-vous à répondre à cette question pour le moment sans réponse ?
https://www.superprof.fr/blog/problemes-du-millenaire-maths/
une phrase très drôle à savourer par ces belles journées ensoleillées :
« »Nous partons du principe que les patients sont diagnostiqués avant de mourir », expliquait ainsi fin mars l’Institut Robert Koch (IRK), qui pilote la lutte contre l’épidémie au niveau fédéral. »
« un projet de bio(graphie)-bibliographique »
JJJ, depuis 2006, on peut lire les 23 tomes publiés à ce jour de mon journal de lectures, entrelardé de mes souvenirs personnels.
Les livres que nous lisons ne nous forment ni ne nous déforment, ils sont plutôt là pour affermir nos goûts.
« J’ai intégré cette collection avec Le goût de Cannes, qui se voulait un hommage à ma mère, qui venait juste de mourir.
Depuis, me prenant au jeu de cette forme littéraire qui me passionne et m’incite à la lecture, je n’ai cessé d’en publier.
Lorsque nous parvenons à un accord sur un titre géographique ou thématique avec Isabelle G., voilà comment je procède.
Dans un premier temps, je laisse remonter à ma mémoires les livres que j’ai lu sur le sujet et qui ont motivé dans mon subconscient mon désir pour un titre particuliers.
Le filtre du temps ayant fait son travail, c’est à partir d’eux que je vais alors pouvoir composer mon plus beau bouquet de textes d’anthologie.
Généralement, un livre me conduit à un autre, et peu à peu se construit le manuscrit.
Il me faut progressivement le structurer en trois parties de neuf extraits chacune (3 x 9 = 27), un choix arbitraire qui s’est imposé à moi et auquel j’ai rarement dérogé !
Ce n’est que lorsque le manuscrit est déjà bien avancé, avec des extraits qui sont autant de pièces constitutives du puzzle général, que je rédige l’introduction : contrairement aux autres auteurs de cette collection, je n’hésite pas alors à entrer en scène et à parler de mes proches, de mes souvenirs d’enfance, de mes expériences personnelles… car le goût que je propose au lecteur est avant tout mon propre goût.
Ainsi se met en place le « roman à plusieurs voix » que je lui donne à lire sur : Cannes, Nice, les Jardins, le bonheur, le cinéma, la marche, le café, le rêve, l’été, la Corse, la mer, les îles Baléares ou encore les chats…
Fruit d’une enquête complète sur le site géographique ou le thème retenu, chacun de mes goûts de… se veut à la fois subjectif et universel.
Je lis tout ce qui a été écrit sur le sujet, dans la littérature francophone et étrangère (celle du moins qui à fait l’objet d’une traduction), tous genres (romans, textes autobiographiques, poèmes, pièces de théâtre) et toutes époques confondus.
Chez moi, la sélection des extraits se fait d’instinct : les fragments recherchés se détachent comme « naturellement » au cours de mes lectures, et iront occuper, sous un angle différent et original, la case qui leur était plus ou moins consciemment octroyée dans le plan d’ensemble !
On dirait que c’est eux qui me trouvent plutôt que l’inverse et lorsque je tombe en arrêt dessus, je me dit à chaque fois : « Ah oui, c’est bien ça ! »
Mon travail s’apparente un peu à celui d’un réalisateur de films documentaires, montant bout à bout les plans qu’il a tournés.
L’enquête, la recherche, la réalisation de l’ouvrage, la rédaction des textes d’introduction, de présentation des extraits et de liaison me prennent environ de six à huit semaines : un temps de concentration intense, qui m’occupe 24h/24. »
Publications au Mercure de France :
À paraître : Le goût de Jeanne d’Arc ;
2020 : Le goût de la paresse ;
2019 : Le goût du printemps et Le goût de la Méditerranée ;
2017 : Le goût du Portugal et Le goût de la beauté ;
2016 : Le goût de l’été ;
2013 : Le goût de Versailles et Le goût de l’Afrique ;
2012 : Le goût de Montpellier et Le goût de la campagne ;
2011 : Le goût du bonheur et Le goût des Îles baléares ;
2010 : Le goût du tabac et Le goût du rêve ;
2009 : Le goût du café ;
2008 : Le goût de Nice, Le goût de la marche et Le goût du cinéma ;
2007 : Le goût des chats, Le goût de la Corse et Le goût de la mer ;
2006 : Le goût de Cannes et Le goût des jardins ;
NB. : Plusieurs de ces titres ont fait l’objet de nombreuses rééditions, tels Le goût des chats et Le goût de la marche, qui ont été réédités plus d’une dizaine de fois.
Nous partons du principevoilà des gens qui ont des principes;et vous Hamlet, avez-vous des principes,lesquels?
>D
Dimanche 26 avril 2020
Grand beau, vent nul, nuages effilochés.
Je m’en ba te faire une confidence : je n’ai pas beaucoup d’amis sur ce blog, de potes guère plus, mais je t’ai toi, D. et sam suffit.
Je tenais à ce que tu le saches.
Ceci est une déclaration publique.
rose
rose dit: à
>D
Dimanche 26 avril 2020
Grand beau, vent nul, nuages effilochés.
Je m’en va te faire une confidence : je n’ai pas beaucoup d’amis sur ce blog, de potes guère plus, mais je t’ai toi, D. et sam suffit.
Je tenais à ce que tu le saches.
Ceci est une déclaration publique.
rose
Jazzi
Ce que tu ne dis pas pas, mais que souligne Janssen J-J c’est si ces livres te constituent.
L’entreprise de Janssen J-J se donne pour but d’établir comment la lecture construit un homme.
Il me semble que ce n’est pas la même chose. Peut-être me trompé-je.
Je ne pense pas qu’ils nous constituent, rose, ils nous accompagnent.
C’est ce que je voulais dire par cette phrase : « Les livres que nous lisons ne nous forment ni ne nous déforment, ils sont plutôt là pour affermir nos goûts. »
Pablo : C’est elle qui a raconté cela?
Oui.
Les projets pharaoniques de la Gigi me laissent sans voix. Une pyramide pour les funérailles d’une mouche.
Quant à la photocopie de la carte d’identité rayée à Assouline, c’est d’un grotesque qui me laisse sans voix. Peu de contrôles d’identité dans les cimetières.
Souvenons-nous:
Il en est des races des hommes comme de celles des feuilles.
Henri Laborit où êtes-vous?
(Ed, Giono t’imposes la lenteur de la situation.)
Je ne me souviens pas d’avoir assisté, depuis mon balcon, à une telle succession de belles journées ensoleillées à Paris !
Ne serait-il pas un peu facétieux ce coronavirus ?
Jazzi dit:
Et depuis quand il ne pleut pas à Paris, alors que l’humidité est mauvaise pour le covid?
je pense que lorsqu’on a commencé à lire jeune, (à l’âge du lycée et même avant)les livres sont pour nous une ressource unique de retrouver, chercher, comprendre parfois;ils font bien plus que nous accompagner; ils nous questionnent, nous relancent nous détournent ,nous PREoccupent
Ma « carrière » est achevée. Et peu me chaut ce que l’on en pensera ultérieurement. Ce n’est pas ça dont je parle. Je prétend mieux pouvoir me laisser aller sur des projets personnels dont l’accountability me regarde seul. – « la double vie », c’était le cloisonnement nécessaire aux impératifs d’une obligation de réserve professionnelle pesante, par rapport au même intervenauite sous 2 pseudos successifs dans le monde virtuel de l’erdélie (Diagonal puis J J-J).
Dans le « chapitre ambigu » intitulé « Réfractaire », il sera pas mal question de la façon dont il m’a semblé avoir été un brin « influencé » littérairement par des erdéliens de bonne facture et de haute tenue morale. J’y raconterai comment je me suis détourné de mas agacements de Passoul, et comment plus tard, j’ai pris bonne notre de son fair-playisme. Puis, comment je me suis progressivement intéressé aux « fidèles » de l’erdélie avec lesquels nous avons évolué à la mesure de nos personnalités bien trempées. Tout cela sera mis à l’actif de ma bio-biblio, bien sûr…
Quelques exemples :
– après avoir lu l’intégralité de la RDTP, mon regard de prévention sur CT a pas mal changé, et en clé positive.
– Après avoir été accroché par victor hugo avec rôz, je me suis persuadé d’avoir trouvé une nouvelle compagne littéraire, dont le style d’intervention me passionne
– Après nous être trouvés avec DHH un complexe d’écriture, la sympathie que m’inspire cette grammairienne n’en fut que décuplée et jamais déçue.
– J’ai beaucoup évolué à l’égard de jzmn au fil de temps, mais mainteannt que je connais son entreprise, son sens pédagogique de vouloir mieux connaître les écrivains sur une thèmatique, mon antipathie n’est plus de mise depuis longtemps (nos goûts communs sont de plus en plus nombreux : cimetières, marche, paresse, rêve, etc.). Je ne partage pas son amour du cinéma mais reconnais un tâcheron bien informé qui détruit l’image de l’amateur flâneur qu’il veut bien se donner…
– J’ai toujours admiré l’érudition non complexée et bien assumée de MC, et mieux perçu depuis qq temps son ironie décrispée à l’égard de MS et CT…
– Quant à l’enfant terrible qui se sent un « cobaye » de ma perversion, elle m’a toujours amusé dans la rigidité intangible et si prévisibile de ses réactions. Je retiens les rares choses qui nous réunissent dont je lui sais gré : la défense de Houellebecq contre Passoul et sa bonne connaissance de Philippe Descola. Pour le reste, hein, des villégiatures…
(Continuerai la liste de mes « hommages » plus tard…, n’impatientez pas !) – A bintôt mes tendres kongs et konasses, heureusement qu’on vouza pour le délassement quotidien…
@ Jazzi
« Plusieurs de ces titres ont fait l’objet de nombreuses rééditions, tels Le goût des chats et Le goût de la marche, qui ont été réédités plus d’une dizaine de fois. »
Tu sais combien d’exemplaires tu as vendus en tout?
@Jazzi
vous avez edifié une œuvre
moi qui ai oublié la moitié des livres que j’ai lus, suis impressionnée.
bravo!!
>D
Je m’en ba te faire une confidence : je n’ai pas beaucoup d’amis sur ce blog, de potes guère plus, mais je t’ai toi, D. et sam suffit.
rose dit:
Si tu as D. tu as plein d’amis et de potes ici…
On n’édifie pas un œuvre avec une paire de ciseaux.
#Houellebecq et Descola…
Au moins ta reductio ad hominem en dit beaucoup sur ta boursouflure.
Un bon titre, ça, pense-y.
« Eguchi se sentit lui-même misérable comme s’il avait mal au coeur, il se surprit à murmurer :
Au vieil homme, la mort, au jeune homme, l’amour. La mort, une seule fois. L’amour, je ne sais combien de fois ».
Yasunari Kawabata ( Les Belles endormies ).
je ne vais surtout pas faire un commentaire pour ne pas froisser encore plus les vieux et les vieilles de ce blog.
Cette histoire de « double-vie » s’agissant de ce que nous bredouillons sur la RDL c’est la cerise sur la gâteau. Il faut vraiment être en perte d’identité pour y croire.
La Gigi est décidément stupéfiante de lourdeur et d’illusions.
Un cas.
« On n’édifie pas un œuvre avec une paire de ciseaux. »
Tres juste, plus encore à l’heure du web avec un ctrl f.
Une oeuvre ?
Un bien grand mot, DHH.
J’ai fait en sorte de pouvoir plus ou moins vivre de mes « passions » et, toujours à court d’argent, d’être dans l’obligation de secouer ma paresse !
Non, Pablo75. Les goûts de… sont généralement tirés à 5 000 exemplaires. Et j’ai publié régulièrement chez une demi douzaine d’éditeurs différents.
E.Todd sur le corona révélateur:
n, c’est de constater que l’Allemagne n’est toujours pas un pays comme les autres, qu’elle est capable, comme durant les deux guerres mondiales, de performances qui apparaissent surhumaines, même si on peut leur trouver une explication technique. Ce sera ça le vrai choc psychologique et moral pour les Européens, quand la peur et la mort se seront retirées du continent : l’Allemagne est différente. »
#une explication technique
Arbeit macht frei ?
L’histoire de la France c’est l’histoire d’un effondrement. Les allemands ont mis des fous au pouvoir (fous méthodiques mais fous tout de même). Nous, nous avons les nuls. Spectaculaire démonstration depuis quinze ans avec Sarkozy, Hollande et Macron.
« L’histoire de la France c’est l’histoire d’un effondrement. »
Et de quelques redressements, Chaloux.
L’Allemagne est dufférente
Une exolication technique : une rigueur morale ?
Des redressements qui finissent mal. Vois cette pauvre Jeanne.
rose dit: à
L’Allemagne est différente
Une explication technique : une rigueur morale ?
Dimanche de sécheresse, confession de JJJ, recherche du temps perdu en diagonal. Dear Chaloux au goupillon, sans pardon. Pas de messe pour Miss Sasseur, déversoir de haines recuites.
Moi, j’ai toujours trouvé Janssen J-J l’un des participants à ce blog les moins intéressants, pour ne pas dire les plus cons (cela fait très longtemps que j’ai arrêté de lire ses soupes incohérentes de mots). Je ne me rappelle pas de réflexions de lui intéressantes ou même de bonnes citations. Ce qu’il écrit est toujours brouillon, confus, indéfini, sans personnalité. Je trouve le surnom de Chaloux « Gigi la visqueuse » très bon. C’est ça JJJ: quelqu’un de visqueux, de gluant, de jamais clair. S’il a fait l’ENA et Sciences Po tout s’explique. C’est des cerveaux en compote comme le sien qui ont mis la France en faillite.
Entre parenthèses, la France paye très cher son délire avec les titres académiques: énarque, agrégé, centralien, polytechnicien, etc, etc, etc.
Avec un titre en France on peut faire toutes les conneries possibles: couler des entreprises, dépenser des fortunes pour des broutilles, multiplier à l’infini la bureaucratie, prendre des mesures débiles dans n’importe quel domaine, réaliser des projets inutiles et ruineux, inventer des lois qui n’existent nulle part au monde, publier les plus grosses bêtises, tomber dans tous les pièges philosophique et idéologiques possibles, etc, etc. Dans le monde anglo-saxon ce sont les compétences qui servent pour travailler, pour monter dans la société, en France c’est le titre. Les Grandes Écoles françaises sont devenues des usines à crétins dont le seul but paraît être faire de la France un pays du tiers-monde. La crise du Covid a montré qu’elles étaient presque arrivées à leur fin.
Hier, j’ai entendu à la TV un chef de service de Bichat dire que sur les 100.000 employés publics des hôpitaux d’Île de France 35.000 ne voyaient jamais de malades, étant de bureaucrates totalement inutiles ou nuisibles pour une grande part. Avant quand un chef de service avait un projet sanitaire, il consultait ses « troupes » dans son hôpital et après il le proposait à un interlocuteur unique ; maintenant il passe par 9 commissions différentes et totalement inutiles. Et l’énarque Macron, dont le père est neurologue et qui a un frère et une soeur médecins, il propose quoi comme reforme de la Santé?
Accountability de Janssen J-J
Attention au faux ami.
Ce n’est pas la comptabilité mais la responsabilité.
#Pas de messe pour Miss Sasseur, déversoir de haines recuites
Le philopede y va de sa petite rengaine éculée, et vient toujours commenter ici plein d’amour, plein des feux de l’amour, lol.
Fait comme l’autre Kong, boursouflé en chef, il vient ici pour aimer ou haïr .
Doit pas avoir été « initié « , lui non plus, ou alors avec une balayette dans le cul.
#Dimanche de sécheresse. Les bourses vides, sans doute.
La où je suis, il pleut, et c’est vivifiant.
Sasseur, vous ne lisez pas d’écrivains homosexuels? Ça doit faire un sacré trou dans votre culture. Avec quoi le comblez-vous?
Miss Sasseur, déversoir de haines recuites
Phil
Dans chaque forum, il y a au moins une blatte. Ici on a Marie la Chiasse, dite Gregorette Samsa.
Sasseur, vous ne lisez pas d’écrivains homosexuels?
Chaloux dit:
Marie la Chiasse a un très gros problème avec le sexe. Elle doit être du signe de la Vierge.
« Ça doit faire un sacré trou dans votre cul. Avec quoi le comblez-vous ? »
De l’utilité des ciseaux, Chaloux ! Pauvre Marie…
Et ça continue.
La madame soleil, franquiste non repenti, qui tire profit, sonnant et trébuchant, de la crédulité de pauvres ignorants, devrait prendre conseil après de l’huissier véreux. Non pour un concours d’invectives ordurieres, car impossible de les départager.
Non, tout simplement: comment aller aux putes.
L’huissier vereux, et lâche n’a pas beaucoup de compétences, surtout pas en lecture.
Mais il faut le croire, quand il dit qu’il est obligé de payer, lol.
Allez, les 2 puciers orduriers et compulsifs, c’est mon jour de bonté, aimer est l’anagramme de Marie.
Mais il faut le croire, quand il dit qu’il est obligé de payer, lol.
Rires… J’ai dit ça, moi? Encore une addiction, et la vieille dingue qui n’en savait rien.
Rose, vous mangez les commissions!
Hurkhurkhurk!
L’huissier vereux est en surpoids, et ce n’est pas que du verbe.
Marie la Chiasse, de profession Blatte de Blog, rampe sur ce site tous les jours, laissant sa trace de crottes de mots.
Elle vit dans la crasse de sa haine, Gregorette Samsa la nuisible…
Le réseau de ce qui peut circuler ici en off est stupéfiant et serait beaucoup plus intéressant à étudier que les petits prurits de la Gigi.
Rose, vous mangez les commissions!
Qu’est ce à dire, Chaloux ?
Penser entre la peste et le corona, par Fabrice Hadjadj
http://www.pileface.com/sollers/spip.php?breve4834
Accountability de Janssen J-J Attention au faux ami. Ce n’est pas la comptabilité (qui a parlé de ça ????)… mais la responsabilité.
Ni l’un ni l’autre, très chère rôz… Plutôt « reddition des comptes », (ou redevabilité), art de rendre des comptes sur les actions engagées… Pas vraiment traduisible en français car sans équivalent…, rôz… dslé, pas vrai Bloomy ?…
Pour en revenir à JP Manchette: l’intégrale de ses chroniques ciné sort chez Wombat, sa correspondance à La table ronde.
@JJJ @Jazzi
Peut-être n’est -il pas grave d’oublier les livres qu’on a lus.
A la réflexion que pense en effet que les seuls livres qui nous servent vraiment à grandir ,à murir , à « nous changer en nous-mêmes enfin » sont ceux qu’on relit ,et singulièrement ceux qu’on relit souvent .
Tous ces ouvrages que je relis, encore et toujours, sont comme de vieux amants, retrouvés chaque fois avec émotion, la passion première désormais éteinte, et remplacée par quelque chose de plus mur, de plus apaisé et de plus dense.
A force de fréquentation, ces livres se présentent à moi à chaque lecture ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait autres. Ils deviennent comme une maison aimée où j’ai mes coins préférés, mes habitudes, et où ma vie a laissé ses marques avec le temps et ou je retrouve celle que j’étais autrefois . Le dialogue avec eux s’enrichit, à chaque nouvelle rencontre, de ce que j’ai appris, aimé ou découvert avec temps et il m’enrichit en retour. Nos mondes se croisent et se fécondent à travers ce commerce permanent.
Souvent, je m’offre comme une friandise , la relecture de tel ou tel passage où je me sens bien ; et je déguste, une fois de plus, l’enterrement et la veillée funèbre d’Emma Bovary ,la scène cruelle des souliers rouges dans Le côté de Guermantes ,les propos de Monsieur de Norpois, increvable et éternelle figure de l’idiot solennel ,la ballade à Fontainebleau avec le face à face de Rosannette et des carpes dans l’Education Sentimentale , la lumière des tropiques pénétrant par une jalousie dans une salle ombreuse, comme la décrivent Duras ou Claude Simon ; et les récits emboités du double crime de la « vie mode d’emploi » .
(qui a parlé de ça ????)
Personne.
Ah…comptabilité ; la phonétique.
@ Un bon titre, ça, pense-y.
Grâce à vous, je vais réfléchir à :
« Mémoires d’une boursouflure visqueuse »
Oui, j’y réflexisse, serait pas mal, insolite et drôle comme titre, surtout pour ma gardienne portugaise qui attend le tapuscrit complet avec impatience en 5 exemplaires, un rien énamourée par un si haut fonctionnaire qui sait comment redresser la France.
Ma mère -rarement-
« C’est pas la peine de tortiller du coccyx pour iech droit ».
Tu réfléchis.
Tout seul.
Tu dis non.
Tu as le droit.
Tu dis oui.
Tu as le droit aussi.
Moi, rose Dupont de Nemours ne me courberai pas et te conserverai mon amitié.
bonne Manchette, Soylent Green, mais les sorties de livres sont viruretardées, les yeux de la momie veillent
Christiane
Crépuscule (Marie Noël)
Encore un poème superbe.Merci
Ce que j’aime chez vous, DHH, c’est ce que produisent mes petites confidences. Je n’ai pas votre expérience, mais vous parlez bien de votre attitude envers la lecture… Je pense que je relirai, plus tard, comme vous, quand la faim la nouveauté aura disparu de mon horizon. Oui, peut-être aurais-je alors envie de retrouver mes veilles maîtresses, dans le vieux parc solitaire et glacé…
Année LvB, WoO 44/1:
Vers 1796, lors d’un séjour à Prague, Ludwig van Beethoven écrit un ensemble de compositions pour mandoline et clavecin d’une simplicité constructive élémentaire, dont certaines sont dédiées à la comtesse Josephine von Clary-Aldringen, une jeune aristocrate qui se délectait de l’instrument (le Concertino de Pietro Longhi, aujourd’hui à l’Accademia di Brera, semble dépeindre cet environnement social). Dans ces pièces — destinées à un usage « privé » — Beethoven a suivi les préceptes du genre, écrivant une musique agréable, d’un certain engagement technique (les deux instruments ont un rôle égal), préférant des formes peu problématiques comme le thème avec variations ou le rondo.
Pietro Longhi, Concertino :
https://pinacotecabrera.org/collezione-online/opere/il-concertino-concerto-familiare/
Qu’est ce à dire, Chaloux ?
Allusion transparente à votre volumineuse -et tout de même très déplacée- correspondance avec une vieille peintresse d’école.
A ce propos, je dois dire que je n’ai jamais lu un tel couplet d’auto-satisfaction que celui éjaculé par la pauvre sotte à propos de son tableau, qu’on aimerait bien voir… Pour voir… Nom d’une pipe! (Ceci n’en est pas une, évidemment).
Clopine illustrée par la vieille peintresse… On verra peut-être ça un jour….
Nom d’une cheminée d’usine…
« Peut-être n’est -il pas grave d’oublier les livres qu’on a lus. »
Surtout ceux que l’on a oubliés, DHH !
Ne sois pas jaloux, Chaloux, Christiane est tout à fait disposée à faire ton portrait !
@ DHH et Jzm. J’ai décompté 120 titres de romans sur 2000 dont je suis incapable de me rappeler le moindre contenu, s’agisant d’un.e auteur.e lu.e une seule fois, et par scqt laissé tomber. Et pour cause. J’en ai laissé tomber d’autres mais pour des raisons de fulminaations, et là, je sais vraiment pourquoi je m’en souviens. La déception et la trahison sont des stimulants mémoriels très puissant, itou à l’égard de prétendu.es ami.es qui vous ont « mal » conseillés, hein !
Nonobstant, nulle envie d’aller revoir ce qu’en dit le babelio pour les répertorités totalement oubliés. –
Mise au point 4 à placer en exergue, NPO.
Jazzi, ton (clop’) opportunisme est vraiment dégoûtant. Oublie moi. Merci.
le confinement vu par la Fontaine :
Certain Ours montagnard, Ours à demi léché,
Confiné par le sort dans un bois solitaire,
Nouveau Bellérophon vivait seul et caché :
Il fût devenu fou ; la raison d’ordinaire
N’habite pas longtemps chez les gens séquestrés:
Il est bon de parler, et meilleur de se taire,
Mais tous deux sont mauvais alors qu’ils sont outrés.
Nul animal n’avait affaire
Dans les lieux que l’Ours habitait ;
Si bien que tout Ours qu’il était
Il vint à s’ennuyer de cette triste vie.
Pendant qu’il se livrait à la mélancolie,
Non loin de là certain vieillard
S’ennuyait aussi de sa part.
Il aimait les jardins, était Prêtre de Flore,
Il l’était de Pomone encore :
Ces deux emplois sont beaux. Mais je voudrais parmi
Quelque doux et discret ami.
Les jardins parlent peu , si ce n’est dans mon livre ;
De façon que, lassé de vivre
Avec des gens muets notre homme un beau matin
Va chercher compagnie, et se met en campagne.
L’Ours porté d’un même dessein
Venait de quitter sa montagne :
Tous deux, par un cas surprenant
Se rencontrent en un tournant.
L’homme eut peur : mais comment esquiver ; et que faire ?
Se tirer en Gascon d’une semblable affaire
Est le mieux. Il sut donc dissimuler sa peur.
L’Ours très mauvais complimenteur,
Lui dit : Viens-t’en me voir. L’autre reprit : Seigneur,
Vous voyez mon logis ; si vous me vouliez faire
Tant d’honneur que d’y prendre un champêtre repas,
J’ai des fruits, j’ai du lait : Ce n’est peut-être pas
De nosseigneurs les Ours le manger ordinaire ;
Mais j’offre ce que j’ai. L’Ours l’accepte ; et d’aller.
Les voilà bons amis avant que d’arriver.
Arrivés, les voilà se trouvant bien ensemble ;
Et bien qu’on soit à ce qu’il semble
Beaucoup mieux seul qu’avec des sots,
Comme l’Ours en un jour ne disait pas deux mots
L’Homme pouvait sans bruit vaquer à son ouvrage.
L’Ours allait à la chasse, apportait du gibier,
Faisait son principal métier
D’être bon émoucheur, écartait du visage
De son ami dormant, ce parasite ailé,
Que nous avons mouche appelé.
Un jour que le vieillard dormait d’un profond somme,
Sur le bout de son nez une allant se placer
Mit l’Ours au désespoir ; il eut beau la chasser.
Je t’attraperai bien, dit-il. Et voici comme.
Aussitôt fait que dit ; le fidèle émoucheur
Vous empoigne un pavé, le lance avec roideur,
Casse la tête à l’homme en écrasant la mouche,
Et non moins bon archer que mauvais raisonneur :
Roide mort étendu sur la place il le couche.
Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ;
Mieux vaudrait un sage ennemi.
Lire moins, relire sans relâche. Le lecteur compulsif qui ne se souvient de rien (pas même de ce qu’il est en train de lire : George Sand et le piano) n’est pas un lecteur. Souvent une machine à prétentions livresques tournant à vide, pas davantage. Au moins deux exemples ici.
« Marie la Chiasse a un très gros problème avec le sexe. Elle doit être du signe de la Vierge. »
non en principe l’astrologie c’est l’inverse :
on fait le thème et ensuite on en déduit le caractère.
au lieu de partir du caractère et en déduire le signe.
enfin je crois.
cela dit peut-être qu’avec les techniques modernes on peut faire un thème astral en se passant des astres.
l’AAO : l’astrologie assistée par ordinateur.
paraît qu’à un des derniers sommets rassemblant les chefs d’états, lors d’un déjeuner Trump a dit à Merkel « nous avons un programme spatiale visant à envoyé un astronaute sur le soleil » – Merkel lui a répondu « enfin ce n’est pas possible, il fait trop chaud sur le soleil » et Trump lui aurait alors dit « non parce que nous l’enverrons de nuit ».
uopss : programme spatial visant à envoyER
Trump aussi c’est un spécialiste des astres.
« Egushi se sentit lui-même misérable comme s’il avait mal au coeur. Il se surprit à murmurer :
Au vieil homme, la mort. Au jeune homme, l’amour. La mort, une seule fois. L’amour, je ne sais combien de fois ».
Yasunari Kawabata ( Les Belles endormies )
Je ne vais surtout pas faire un commentaire pour ne pas froisser encore plus les vieux et les vieilles de ce blog. Peaux froissées, esprits moisis.
l’homme s’est épuisé à changer la terre
il est temps que la terre change l’homme
Cortazar (le tour du jour en 80 mondes)
l’AAP : l’Astrologie Assistée par Pablo.
d’autant que la Virginité de Marie c’est tout sauf un scoop.
DHH, Oui, et on peut aussi mentionner les textes appris par coeur (si je pouvais avoir une seule recommendation à faire aux 20 ans, c’est d’apprendre le plus possible de textes par coeur). Même expérience avec les morceaux de musique qu’on a joués depuis longtemps, et que l’on rejoue. Et dans ce cas, on peut avoir en plus la partie physique de soi-même.
C’est pas trop douloureux de vivre avec le sindrome de Gilles de la Tourette, Chaloux ? Enfin, ça doit surtout être pénible pour l’entourage !
Syndrome…
Advienne que pourra.
Jazzi, ton syndrome de cloportunisme n’est pas mal non plus. Je te rappelle que la maladie de La Tourette concerne des allégations disproportionnées, ce qui n’est pas le cas ici. Pour ce qui te concerne, mes propos seraient plutôt atteints d’un syndrome de la litote. Tu es une chiffe morale, mais évidemment, pas le premier malade du genre. « On se croyait singulier, on n’est que typique », comme dit Compagnon.
C’est pas trop douloureux de vivre avec le sindrome de Gilles de la Tourette, Chaloux ?
tout ce qui figure dla particul attire mon larbin comme les lapin les pleins phares..30 secondes de célébrité..tout est à la baisse
Advienne que pourra
et t’y vois quoi dans ton porno gonzo..pasque c’est pas ltout..à bas l’imagination
La déception et la trahison sont des stimulants mémoriels très puissant, itou à l’égard de prétendu.es ami.es qui vous ont « mal » conseillés, hein !
la mémoire n’est pas une preuve de fait de la valeur qu’on accorde. sinon l’éternelle retour des anciens n’aurait aucun sens..ou plutôt il est perdu
Fritz Eschen :
La madame soleil, franquiste non repenti, qui tire profit, sonnant et trébuchant, de la crédulité de pauvres ignorants, devrait prendre conseil après de l’huissier véreux. Non pour un concours d’invectives ordurieres, car impossible de les départager.
Non, tout simplement: comment aller aux putes
tèrezoune touche sa bille en catarsis..le dirty cornère un truc a particul qui attire les rabits dans ses plein phares..jdis ça sans acrimonie tèrezoune
Pour Petit Rappel; 26/4 vers 17 H.Votre réponse me surprend, je n’en attendais pas.Je cherchais et cherche toujours un long post de Pablo75 sur la Catalogne. Entreprise difficile que de se retrouver dans le blog.
Les délacements qui délassent , saine lecture ,c’est sûr ! mais je ne comprends pas les 9/10° de votre réponse qui doivent s’adresser à quelqu’un d’autre. En fait, je voulais dire grand bien de « Salomé » de Richard Strauss (adaptation en allemand du texte d’Oscar Wilde) sur Mezzo Live. Remarquable Salomé,soprano/ comédienne; dernière scène exceptionnelle,si difficile. Cantatrice suédoise,a la longue chevelure blonde, vraie liane qui donne au personnage une vraie force dramatique.
Ignorant à peu près tout du roman policier, je peux conseiller un livre sur le jardin japonais, la taille, le ratissage, l’évolution au cours des siècles. Passionnant. Quand Gisèle sera libérée ,elle pourra donner la référence.
Bon polar. Le jardinier ganté de Gisèle, chargé de l’arrosage des rhodos en fleurs, tous.
C EST LE MOMENT OU JAMAIS DE PASSER A L ASTROLOGIE CHINOISE
A la réflexion que pense en effet que les seuls livres qui nous servent vraiment à grandir ,à murir , à « nous changer en nous-mêmes enfin » sont ceux qu’on relit ,et singulièrement ceux qu’on relit souvent
c’est l’nom du bartabac à mélkisédèque à jéruzalème..bordel de bordel jai houblié le titre!
pour renfield c’est l’année dla blatte tous les ans
Boumou des faits que (sic), prudents, nous nous refusons à commenter…
Hurkhurkhurk!
et alii bonne idée, en plus ils ont plein d’animaux, cette année c’était celle de la chauve-souris.
Soleil vert dit: « Christiane
Crépuscule (Marie Noël) Encore un poème superbe.Merci »
Le Fuji bleu est un fantôme, Soleil vert. Il est la belle ombre du vrai mais il appartient à autrefois.
Je l’ai juste rendu à lui-même en le nettoyant…
Le hasard a fait qu’une amie est venue déjeuner et depuis la porte, elle a soudain aperçu la toile….
greubou, vous en avez pas marre, après avoir passé toute votre vie professionnelle à vous foutre de la figure des gens, de venir ici, à la retraite, pour continuer de vous foutre de la figure des blogguers du blog à passou ?
Par Jacques Drillon
le 24 avril 2020
Ceux qui ne marchent dans Paris que les jours de grève des transports.
tadicoi..dirphilou qui a instalé l’apli podomètre sur son ruaouaï atteint le léveul ilote maratonien rien que pour aller a la cinématèque.. il suffit d’être un peu en province pour gouter ce repos de spartiate dla haute
Eh bien, JJJ, si vous changez d’opinion à mon sujet, ce sera une sorte de première ici, où les erdéliens ne sont pas connus pour leur capacité à évoluer. Je devrais d’ailleurs suivre votre exemple, par exemple à l’égard d’Hamlet qui m’a si souvent agacée, que je croyais arrogant alors que, ça se trouve, il n’est surtout que maladroit, mais bon.
et alii, j’avais un pote à qui une tireuse de cartes avait prédit qu’il gagnerait le gros au loto, bingo ! cette prédiction s’est réalisée…
le seul truc qu’elle avait oublié de lui dire c’est de ne pas oublier son billet de loterie dans la poche de son jean avant de le mettre dans la machine à laver.
Christiane, vous avez des amies qui sortent en plein confinement pour venir diner chez vous ? Mais c’est très très très mal, ça, et interdit, ma parole !!!
Clopine : « à l’égard d’Hamlet qui m’a si souvent agacée, que je croyais arrogant alors que, ça se trouve, il n’est surtout que maladroit, mais bon. »
bourrée ou pas bourrée ?
suppute keupu..suppute..puisque du vrai tu n’en sais rien
hamlet dit: à
l’AAP : l’Astrologie Assistée par Pablo.
Janssen J-J
l’APA : Assistance Pablo Astrologie.
C’est cela votre manuscrit posthume déposé à l’APA ?
greubou : « tu n’en sais rien »
tu n’en sais rien que quoi ?
que vous reprenez tout ce que les gens écrivent pour se foutre de leur gueule ?
vous vous êtes relu parfois ? je veux dire au moins une fois dans votre vie ?
greubou quand je demande si vous vous êtes relu je veux dire pour comprendre le sens de ce que vous écrivez bien sûr.
Personne ne sait
Si la Méduse du Caravage est un homme ou une femme
..en plus ptête que tout l’monde y s’en fout
Finalement, vous persistez à être agaçant, Hamlet. Un peu comme un ado prolongé… Encore que j’ai bu un vin, ce midi, un gewurztraminer assez remarquable. Voulez-vous que j’aille examiner le cadavre, histoire de vous en donner le nom ? Je crois qu’à Beaubec, les plaisirs de la table sont encore plus prégnants, à cause du confinement, que d’habitude. Nous traînons un peu, nous resservons deux fois… Et j’apporte un soin tout particulier aux plats. Ce soir, lasagne aux bettes…
Clopine dit: Finalement, vous persistez à être agaçant, Hamlet.
non Clopine c’est juste de la maladresse.
Moi perso j’ai toujours pris la Méduse pour une sorte d’autoportrait, avec en plus cette obsession pour la décapitation…
tu vois keupu..tu dvrais trelire..bonne clopine en a marre de toi
Vous êtes mal aimé à ce point-là, Hamlet ? Et seul à ce point-là ? Et vous vous détestez vous-même à ce point-là ?
Moi, longtemps, longtemps, je n’ai pas su qui j’étais, mais je détestais cordialement ce « je ». Après, j’ai un peu mieux compris mais je me vivais toujours très très mal. En fait, je voulais tour à tour m’enfuir à toutes jambes et me détruire, si je le pouvais. Mais j’avais quand même la prescience, à travers tous ces égarements, que « ma fin serait meilleure que mon début ». Et voici que cette auto-prédiction se réalise. Comme si j’avais attendu mes rides pour que mon visage puisse exprimer, à travers elle, son contentement…
Ou bien vous êtes comme ces sales types qui passent leur vie à critiquer les autres, tout en supportant pas la moindre allusion à ce qu’ils sont eux ?
Gisèle
Une des méthodes de repérage est quand la page tourne.
Je vous ai trouvé la dernière, juste avant cette page ci et ensuite il vous faudra remonter pas mal.
nous resservons deux fois…
putain c’est pas faux..le gras c’est la vie bonne clopine..mais faut faire dla muscu
Moi je veux bien le nom du Ge!w!urztraminner. C un vin que j’aime bien, Clopine.
Moi je n’aime pas songer à quand vous soignez la table plus que d’habitude. Ça m’fout l’cafard.
Gisèle
Pablo75 dit: à
Sur la Catalogne et les Catalans, une vue d’un des meilleurs historiens sur l’Espagne, J.H. Elliot, « Scots and Catalans: Union and Disunion ». (Il ne soutient certes pas le point de vue des séparatistes)
vedo dit: à
John Elliott, qui connaît très bien le problème, a donné beaucoup d’interviews en Espagne où il parle très durement contre les indépendantistes catalans. Pour lui, ce sont des fous qui vivent en dehors de la réalité:
[John H. Elliott] « La declaración unilateral de independencia fue un acto de locura […] A pesar de los numerosos errores del Gobierno de España y de la clase política española a lo largo de muchos años, la responsabilidad principal de esta situación trágica la tiene una parte del establishment catalán. Un sector de la élite decidió tomarse la ley por su propia mano y seguir adelante con sus planes sin valorar el precio a pagar. En muchos aspectos, en efecto, ni siquiera era consciente del precio porque vivía en un mundo de fantasía ».
elmundo.es/espana/2018/08/06/5b673d96ca4741b7698b458c.html
John Elliott: « El independentismo catalán y el escocés se basan en disparates »
elconfidencial.com/cultura/2018-07-23/cataluna-escocia-john-elliott-independencia_1596204/
El historiador John H. Elliott, entre catalanes y escoceses: « Se necesitará una generación para aderezar los destrozos del último año »
elmundo.es/cultura/2018/10/20/5bcaed13e2704e97348bf37a.html
John H. Elliott: “El principal error de los independentistas fue vivir en una realidad virtual”
elpais.com/cultura/2018/10/19/actualidad/1539961025_771429.html
John H. Elliott: «En Cataluña se ha intentado manipular la Historia»
abc.es/cultura/abci-john-elliott-cataluna-intentado-manipular-historia-201804250112_noticia.html
L’année dernière il a signé une lettre pour dénoncer ce qui se passe en Catalogne:
230 académicos denuncian las « restricciones » al castellano y el « deterioro del tejido social » en Cataluña.
« El silencio de la comunidad académica ya no es una opción frente a la violación de derechos civiles en Cataluña », expresan el historiador John Elliott y otros profesores universitarios en una carta publicada por el diario nacionalista escocés The National
elmundo.es/espana/2019/05/27/5cec1b85fc6c83d81f8b45f6.html
OZYMANDIAS dit: à
Se souvenir de Dieu en regardant un ciel nocturne tout en essayant de compter les étoiles sans y parvenir ou en regardant le ventre d’une femme sans comprendre réellement sa sensuelle et féconde utilité pour la vie et pour le monde.
Ventre et ciel, immanence et transcendance…
Dieu est. En tout. Pour tout. On ne peut que L’oublier et se souvenir après l’oubli de Son souvenir.
hamlet dit: à
christiane, oui comme je viens de répondre à Mr Court, parce que Brown sort des rails de la raison raisonnante, ce qui lui permet d’élargir le champ de la seule connaissance, parce qua la connaissance a besoin justement de délimiter les objets, comme le dit Levinas : connaitre c’est toujours restreindre, c’est rapetisser.
Ce n’est pas le monde de Brown qui est différent, c’est juste le regard qu’il porte sur ce monde, comme il n’est pas prisonnier de notre façon commune de voir les choses il nous fait découvrir ce que nous voyons pas. Chesterton le dit : le merveilleux est là sous vos yeux, pas la peine de poètes où d’élans lyriques pour dire le Beau et Vrai, il suffit de changer son regard pour le voir, c’est presque une idée révolutionnaire, parce qu’accéder à la pensée poétique c’est un truc pour les élus qui ont ont reçu la grâce divine et l’intelligence sur leur tête, par contre regarder le monde tout le monde peut le faire, oui politiquement c’est génial.
Là vous sautez assez longuement hamlet et christiane (renato au milieu)et youp vous retombez sur pablo 75, un cawtillan du nord contre les catalans séparatistes.
j’ai la fille d’une copine qui fait du rameur à poele bonne clopine..pour motiver les troupes sur zoum..et ben c’est un héternel retour qui marche..t’as dla chance en campagne..’profite pour les autres’..c’est une citation en angliche normalment..les français y comprenne pas bien mais c’est pas grave..profite
un castillan du nord anti séparatistes catalans.
Oui, Rose, vous avez raison et j’ai des remords, parce que je vis cette période si douloureuse pour certains dans une sorte de quiétude heureuse, ce qui m’interroge fortement. Aurais-je perdu toute empathie ? Ma sensibilité se serait-elle émoussée ? Je crois surtout que j’espace le plus possible toute source d’information (pas de télé, radio branchée de préférence sur France Mu) et que la vie vient me lécher le visage, dirait-on !!! Je ne veux pas en parler, mais c’est difficile, pour quelqu’un d’aussi extraverti, et prolixe, que moi, d’y échapper tout le temps… Bref. Je pense aux affligés, à votre maman, à mon « Jim » dans son EPHAD, bien sûr. Je tente de rendre des services autour de moi… Mais pour de vrai, ce printemps si beau a raison de mes afflictions, je dois le reconnaître. En même temps, Rose, pensez-y : je suis innocente, hein, pas vrai ?
Sinon : Pierre Arnold, vin biologique, Alsace, 2016.
@ Renato
Je parie que tu ne connais pas ce Beethoven:
5ª SINFONIA / MAMBO Nº 5. Beethoven/Pérez Prado.
Jardinier de Gisèle
Attendu que chez vous les Délassements sont lus cum grano salis délacements, il n’y a rien d’extraordinaire qu’au nom de la meme logique déformante, La Malibran, qui en est le sujet, devienne le Lama Libran, passant ainsi de l’Espagne au Tibet !
Bien à vous et prenez soin de vos plates-bandes!
MC
« Clopine dit: Vous êtes mal aimé à ce point-là, Hamlet ? Et seul à ce point-là ? Et vous vous détestez vous-même à ce point-là ? »
non bonne Clopine, bien au delà de ce point-là, car ce point-là n’est que le point-là visible de l’iceberg, un tout petit point-là, que dis-je même pas un point-là, tout juste un point-virgule-là, un minuscule point-là, un macroscopique point-là, qui cache un gigantesque autre point-là.
Clopine les point-là c’est comme les trains, il peut toujours y en avoir un qui en cache un autre.
Plus d’un million de morts, lors de la bataille de la Somme (juillet 1916). L’Offensive Broussilov (juin 1916) : presque le double. Mais c’était rien que des Russes.
t’aurais du ajouter ‘que des hommes’ ‘et en pleine fleurs’..des ‘jeunes et beaux’..le vrai mauvais gout demande un effort..du courage enfin
haaa enter..pédro..devancé de ses pompes et de sa clarinette molle
« Clopine dit: Oui, Rose, vous avez raison et j’ai des remords, parce que je vis cette période si douloureuse pour certains dans une sorte de quiétude heureuse, ce qui m’interroge fortement. Aurais-je perdu toute empathie ? »
allez un petit dernier pour la route ?
Rose, pensez-y : je suis innocente, hein, pas vrai ?
sapré bonne clopine..la fessée lui manque kruèlment..mais a t’on droit à l’hinnocence bonne clopine
Clopine
Merci je vais noter. Je vous dirai le mien lorsque j’irai à la cave.
Sinon, j’ai plein d’amis comme vous. Confinés et heureux.
« En même temps, Rose, pensez-y : je suis innocente, hein, pas vrai ? »
On est comme on se sent. Si vous vous sentez innocente c’est que vous l’êtes sans doute.
Moi je me sens responsable et tout le temps.
Mais ça va quand même.
Cordialement,
roseleï
Finalement, vous persistez à être agaçant, Hamlet. Un peu comme un ado prolongé…
Clopine dit:
Vu son âge et la chute de ses facultés mentales en direct ici depuis quelque temps, on peut dire sans peur de se tromper qu’il a quitté l’adolescence et il est tout près maintenant de l’enfance…
Pablo75, je sais que vous me détestez parce que mon athéisme recouvre l’astrologie, mais pourtant, je vous dis « merci » pour cette cinquième mambo. C’est tout ce que j’aime. C’est super bien fait, drôle, ça ne se prend pas au sérieux et ça bouscule au passage les petits marteaux, enclumes et étriers si formatés de nos oreilles…
allez un petit dernier pour la route ?
davaï davaï keupu..tencombres
greubou ne vous moquez pas de Clopine svp !
de moi si vous voulez, mais pas de Clopine !
ni de moi non plus d’ailleurs.
t’es toujours là mon larbin ? jespère que tu notes..kurkurk?
Ben Rose, je sais que rien n’est plus pénible qu’un qui ramène sa fraise avec ses « je vous l’avais bien dit » et « regardez, moi je suis tellement plus mieux que vous que moi je fais tout bien et pas vous, pauvres merdeux », m’enfin, cependant et tout de même… Ca va faire quarante ans que je suis une écologauchiasse féministe (et fière de l’être), et dans le genre à foutre mes contemporains dans une merde noire sur fond de capitalisme, je ne suis pas en première ligne, ni dans ma manière de penser, ni dans ma manière de vivre, n’est-ce pas… Bon, le pex moralisateur est terminé !!! je vous conseille une bonne bande dessinée en ces temps de confinement : Manu Larcenet. Une petite merveille de mélancolie.
« Clopine dit: Pablo75, je sais que vous me détestez… »
Clopine je vais vous faire une confidence : vous n’avez pas ce privilège, car je crois bien qu’en dehors de lui Pablo déteste tout le monde ici.
gisèle, il suffit de faire une recherche :
1. Presser en même temps « Ctrl » et « F » pour les PC ou « Pomme » et « F » pour les Mac, une fenêtre s’ouvre en haut à droite de votre écran.
2. Tapez à l’intérieur de cette zone le mot, la date, l’expression.
3. Le mot, etc., recherchés apparaîtront alors surlignés dans votre page.
Sur ipad :
1. Saisissez un terme de recherche dans le champ de recherche situé en haut de la page.
2. Touchez une suggestion de recherche, ou touchez OK sur le clavier pour rechercher l’expression exacte que vous avez saisie.
Le mot recherché apparaîtra sur la dernière ligne.
La recherche se fait seulement sur la page active.
bouguereau dit: t’es toujours là mon larbin ?
voilà greubou, vous voyez : quand vous parlez de façon plus claire on perçoit mieux ce que vous êtes.
« je vous conseille une bonne bande dessinée en ces temps de confinement : Manu Larcenet. »
sinon, si vous n’aimez pas les BD dans le genre divertissant il y a aussi « les grands courants de la mystique juive » de Gershom Scholem ?
… Quant aux écolos depuis douze minutes et demie, façon Régis Debray, un test IMPARABLE, pour les empêcher de vous polluer avec leur nouvelle « vertu », c’est de leur poser trois questions :
– la date du naufrage de l’Amocco Cadiz
– la date de l’explosion de Tchernobyl
– La fuite d’eau radioactive qui s’échappe du réacteur de la centrale de Fukushima est-elle stoppée au jour d’aujourd’hui, ou non ?
Voilà, voili. Je ramasse les non-copies dans deux minutes…
(mais non, je rigole, là. Mais c’est drôle tout de même à quel point nous rigolons tous jaune, désormais…)
M.Court,
vous écrivez « Chesterton, l’anti-Mauriac par excellence. »
« On me répète : C’est l’antique terreur, c’est cette peur des dieux qui a créé les dieux, – cette hideuse peur qui survit à la foi même. Suis-je cet animal dressé dès l’enfance à certaines adorations, dressé par la crainte ? Souviens-toi : Ce Dieu de ton enfance qui régnait dans la maison de famille contrôlait non seulement tes moindres gestes, tes plus furtives pensées, mais encore il entrait dans d’infimes détails de nourriture : il fallait faire attention au jour du Vendredi Saint que la croûte du petit pain de quatre heures ne fût pas « jaunie », car l’usage des œufs était interdit, même aux enfants. Une gorgée d’eau avalée en se lavant les dents, et ta Communion, croyais-tu, devenait sacrilège. Tu connaissais beaucoup mieux ton âme que ton corps. Es-tu bien sûr que le Dieu de ton enfance, qui s’amusait au détail, ne continue pas de t’épier dans l’ombre ? […]
Je savais déjà que je ne sortirais jamais du catholicisme ; il était au dedans de moi. Où que je fusse, il y serait aussi. Pour moi qui n’en étais jamais sorti, qui n’en pourrais jamais sortir, sans cesse je passais d’un extrême à l’autre ; tantôt m’imaginant que le Christianisme était l’unique préoccupation du monde et tantôt persuadé que je vivais prisonnier d’une petite secte méditerranéenne. Mais il y fallait vivre bon gré mal gré ; impossible de ne pas y vivre ; je devais m’en arranger coûte que coûte […].
Sans doute suis-je plus coupable qu’un garçon simplement tiraillé, qui veut écrire ses livres sans rater le ciel et atteindre le ciel sans rater ses livres. C’est peu de dire que je ne perds pas de vue Mammon : tout le monde peut me voir au premier rang de la foule qui l’assiège. »
Extraits de Dieu et Mammon – F.Mauriac
Gide, dans une lettre, demandait à Mauriac de choisir entre Dieu et les passions et avait fini par lui lancer: «Mais vous êtes couvert de chaînes !». Il avait raison.
Dieu et Mammon, publié en 1929 aux éditions « Le Capitole », fut la réponse de Mauriac.
Mauriac, à la mort de son père fut élevé par sa mère et sa grand-mère, dévotes, puritaines et conformistes, persuadant l’enfant qu’il était d’être dans la crainte d’un Dieu implacable qui lisait au fond de son cœur, d’où son obsession du péché et du mal.
Il ne pourra leur dévoiler son penchant à concilier… l’inconciliable, la lutte entre la chair et la grâce, les amours non conventionnelles…
Chesterton était-il plus clairvoyant, plus libre intérieurement ?
@ Clopine
Je sais que tu dis que je déteste pour que j’écrive que ce n’est pas le cas. Sache que je ne déteste personne, ni ici ni ailleurs. Et cela par pur égoïsme: les sentiments négatifs sont des boomerangs qui nous reviennent sur la tête tôt ou tard. Il ne faut pas confondre le fait de s’amuser ici à taper sur des gens qui le cherchent avec le fait de détester. Même la Blatte du Blog je ne la déteste pas, elle est trop insignifiante pour cela… 😉
Si tu aimes la musique sud-américaine (qui devrait être plus connue, c’est vrai) tu vas peut-être aimer ça:
Arturo Márquez (Álamos – México -1950) – Danzón No. 2
Orchestre de Paris dirigée par la mexicaine Alondra de la Parra
https://www.youtube.com/watch?v=pjZPHW0qVvo
A PROPOS DE CHAUVE SOURIS, il y en avait à Sénanque quand nous avons été visiter, profitant que le guide était une amie étudiante en histoire amie de la famille;ça faisait plus vrai, moins touristique;
je crois bien qu’en dehors de lui Pablo déteste tout le monde ici.
hamlet dit:
Comme disent Les Inconnus dans un sketch: « Et pourquoi faire? »
C’est du boulot de détester les gens. Si on est pas payé pour le faire, pourquoi se fatiguer? Tu confond s’amuser et travailler…
Clopine dit: « Christiane, vous avez des amies qui sortent en plein confinement pour venir diner chez vous ? Mais c’est très très très mal, ça, et interdit, ma parole !!! »
Cela rend la rencontre encore plus délicieuse… Ah, le Fuji…
ily a à Noirlac une nuit de la chauve souris;
Nuit internationale de la chauve-souris
Après une présentation des différentes espèces de chauve-souris, de leurs modes de vie et habitats, une guide nature vous emmène au cœur du monument à la recherche de ces petits mammifères étonnants, les seuls volant de notre planète.
Grâce à votre sens de l’observation et à une batbox*, vous aurez sans doute l’occasion d’observer et d’écouter pipistrelle, grand murin ou oreillard qui nichent dans le monument ou ses jardins.
Clopine, fuites radioactives d’accord ! mais il faut absolument que vos engagements écologistes prennent en compte de nouvelles fuites !
parait que le chasseur de chauve-souris chargé de ramener des chauve-souris au labo était mis en quarantaine tous les 3 jours !
vous savez pourquoi ? parce que quand il rentrait dans la grotte où vivaient les chauve souris elles lui faisaient pipi dessus !
se faire faire pipi dessus par une chauve souris : si ça c’est pas une fuite alors qu’on me dise ce que c’est !
Clopine dit: à
… Quant aux écolos depuis douze minutes et demie, façon Régis Debray, un test IMPARABLE, pour les empêcher de vous polluer avec leur nouvelle « vertu », c’est de leur poser trois questions :
– la date du naufrage de l’Amocco Cadiz
– la date de l’explosion de Tchernobyl
– La fuite d’eau radioactive qui s’échappe du réacteur de la centrale de Fukushima est-elle stoppée au jour d’aujourd’hui, ou non ?
Voilà, voili. Je ramasse les non-copies dans deux minutes…
(mais non, je rigole, là. Mais c’est drôle tout de même à quel point nous rigolons tous jaune, désormais…)
Très sensible à ce que vous écrivez.
Me souviens parfaitement des trois évènements.
Comprends aussi votre position.
Les deux couples d’amis auxquels je pense vivent en couple et sont très ecolos aussi.
C’est comme si vous étiez à contre-courant et que soudain tout vous donne raison.
Je crois néanmoins qu’il est préférable d’avoir la victoire modeste. De manière générale.
pédro y doit être scientologue ou quelquechose..un compound comme ils disent de psychologie abruti..plutôt que ton prodomo satisfait et décidément stupide connais tu son dernier opus a larcenet bonne clopine
Tu confond s’amuser et travailler…
t’as soutiré ça a un communiste a la tenaille qui se trouvait quand même à la fête ? pour dire ça mon couillon dpédro tu sauras -jamais- ce qu’est et l’un et l’autre
Non, Rose, c’est tout dans ma tête sauf une « victoire ». C’est une défaite : nous n’avons pas su. Nous qui savions, nous qui avions cette conscience qu’on allait droit dans le mur, nous qui avions, par chance, opportunités, rencontres ou lectures, eu connaissance de la dangerosité de ce que l’être humain faisait à cette foutue planète, NOUS N’AVONS PAS SU CONVAINCRE. Les mouvements écolos ont si souvent été pathétiques, non crédibles, gangrenés par de petits calculs personnels, sans vue d’ensemble, pleins de bons sentiments et d’inefficacité, repliés dans l’entre-soi et la bonne conscience, impuissants devant la misère du monde et réfractaires à toute pédagogie.
Nous avons failli. Avec la bonne conscience que donnent les « bonnes pratiques ». Mais failli quand même.
Car la seule solution était collective… Et nous avons préféré « garder notre pureté » et ne pas nous salir les mains.
Hamlet
Jamais vu ça.
« vous savez pourquoi ? parce que quand il rentrait dans la grotte où vivaient les chauve souris elles lui faisaient pipi dessus ! »
En général elles dorment ! 🦇🦇🦇🦇🦇
Accrochées au plafond de la grotte, la tête en bas.
C’est peu de dire que je ne perds pas de vue Mammon : tout le monde peut me voir au premier rang de la foule qui l’assiège
sapré momo..gide aurait dit que décidément lui haussi aurait fait que réclamer sa fessée..qu’il y avait droit..l’hinnocence ça se mérite sacrénom bonne clopine..non à ta prédestination
« Car la seule solution était collective… Et nous avons préféré « garder notre pureté » et ne pas nous salir les mains. »
Le mouvement vers le consumérisle et le capitalisle dévastateur broyait tout.
Faut une catastrophe sanitaire comme celle-là pour tout remettre en question.
Et encore le Medef n’a pas tout compris.
Jeff Bezos non plus.
Pablo75, mais oui ! Et ce qu’il a de jolies mains, le chef d’orchestre…
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