Détester Wagner sans être germanophobe
L’Italie passe pour être la patrie de la voix, l’Allemagne celle de l’orchestre et la France celle du théâtre donc de l’opéra. Et au chapitre des idées reçues, la France serait le pays qui a le mieux compris Richard Wagner. Nietzsche, André Suarès et d’autres l’ont écrit. Pour comprendre le phénomène, à supposer qu’il soit avéré, il faudrait y adjoindre d’autres grands esprits venus d’Allemagne, Martin Heidegger et Ernst Jünger, qui ont également chez nous une faveur (recherches, intérêt critique etc) qu’ils n’ont pas toujours eu chez eux. Fin XIXème/début XXème, notre littérature fut prise de mélomanie avec un tropisme allemand prononcé. Dans Verdi-Wagner. Imaginaire de l’opéra et identités nationales (320 pages, 22,80 euros, Actes sud), Timothée Picard a bien raison de nous renvoyer à l’index des noms cités dans l’édition de la Pléiade d’A la recherche du temps perdu : tout pour Wagner, des miettes pour Verdi…
Les tintinophiles, de même que les charlotôlâtres, savent gré à leur maître d’avoir caricaturé l’Opéra à travers la Castafiore et ces-gens-qu’on-paie-vraiment-pour-crier-comme-ça ? Ce trait bien appuyé s’inscrit dans une longue tradition où l’opéra est supposé plaire à une élite argentée tandis que l’homme du commun doté d’un solide bon sens ne s’y laisse pas prendre. Mais Gounod n’est pas le seul à en faire les frais. Ni même tel ou tel compositeur. En témoigne la réplique d’Omar Sy dans Intouchables, lorsqu’il doit accompagner son paraplégique à l’Opéra : « C’est de l’allemand ! C’est de l’allemand en plus ! » s’étrangle-t-il de rire en se tapant sur les cuisses, avant de récidiver en voyant des arbres marcher, et les spectateurs du film également, même s’ils réagiraient tout autrement en voyant la même scène dans le Seigneur des anneaux. Le plus drôle, comme l’a relevé l’auteur tant dans les commentaires sur la Toile que dans les articles des critiques, c’est que les spectateurs sont convaincus que « c’est du Wagner » alors qu’il s’agit d’une représentation du Freischütz de Weber. En cela les scénaristes jouent délibérément la carte de la germanophobie douce et railleuse, alors que dans l’inconscient populaire Verdi a longtemps symbolisé par excellence l’Opéra. Ce ne fut pas sans mal, Wagner l’ayant durablement éclipsé. En France, il y fallut la passion communicative de Boris de Schoelzer, Francis Poulenc, Michel Leiris (un fervent du Bal masqué) et Dominique Fernandez, pour qu’il retrouve sa place. Même s’il reste aujourd’hui encore largement folklorisé. N’empêche, Savinio pose la bonne question : « Pourquoi n’est-ce que face à la musique de Wagner que l’on est wagnérien ou antiwagnérien ? » Il est vrai que rares sont ceux qui se disent verdiens ou antiverdiens.
L’essai de Picard est savant sans en avoir l’air. Le récit, des plus fluides, est composé dans une langue claire, que l’on dirait « à la Plutarque » tant il est inspiré par le canevas des Vies parallèles des hommes illustres. Il est de pires modèles. Celui-ci est fidèle jusque dans la volonté d’édification du lecteur, ce qui le distingue de l’un de ses prédécesseurs sur cette fois, l’Alberto Savinio de Narrate, uomini, la vostra storia (1942, Hommes,, racontez-vous). On n’est pas étonné d’apprendre que l’auteur, spécialiste de l’étude des conceptions et des représentations de la musique à travers l’histoire des idées, et notamment du wagnérisme européen, enseigne la littérature comparée à l’université de Rennes. Le comparatisme semble lui être devenu un réflexe naturel.
Son essai entend décortiquer nos imaginaires verdiens et wagnériens, à travers les stéréotypes, poncifs et lieux communs qu’ils véhiculent sur les Italiens et les Allemands, et sur ce que notre mémoire collective en a fait. Car il est difficile de nier que l’un est devenu le symbole de l’italianité et au-delà celui de la culture méditerranéenne, et l’autre le symbole de la germanité et au-delà celui de la culture nordique, les embrassant chacun sans nuance en des blocs homogènes afin de mieux les dresser l’un contre l’autre. Un phénomène qui ne s’est pas dupliqué en France, ni avec Berlioz, ni avec Debussy, ni avec Bizet. Timothée Picard, qui connaît bien le monde des revues musicales, rappelle opportunément qu’il fut un temps où Richard Wagner servait de « prête-nom » à Edouard Dujardin et à ses amis de la Revue wagnérienne (1885-1888) pour défendre leurs principes artistiques et spirituels.
L’auteur s’emploie à traquer les moindres signes dans les plus grandes œuvres, dans une nouvelle particulièrement musicale de Pirandello, aussi bien que chez Andrea Camilleri. Ainsi voit-il en Thomas Mann une volonté de germaniser de manière subliminale sa Montagne magique dans l’usage permanent que l’écrivain y fait de la technique wagnérienne du leitmotiv. Placée dans les profondeurs du texte, elle peut y entrer en conversation avec la latinité verdienne qui, elle, ne peut être qu’en surface, l’enjeu de leur conversation secrète n’étant autre que la spiritualité de l’Europe (quant à la France, elle y est incarnée par la musique de Bizet).
Combien de militants du Front national ont-ils eu à l’esprit, en entendant le chœur des esclaves tel un hymne de leur parti dans les meetings, que Nabucco évoque la persécution des juifs par les Babyloniens ? Dans Senso comme dans le Guépard, Visconti convoquait la musique de Verdi comme un rappel du Risorgimento. Dans Django unchained, Quentin Tarantino a été assez virtuose pour faire sa sauce des deux identités : italienne avec du Verdi, son Requiem accompagnant la cavalcade meurtrière du Ku Klux Klan ; allemande avec un pastiche d’une séquence wagnérienne, et le prénom de l’héroïne, Broomhilda ou Brünnhilde.
Ce passionnant essai a également le mérite de montrer en creux l’inanité des injonctions binaires qui nous sans cesse proposées : Voltaire ou Rousseau ? Gluck ou Piccinni ? Beatles ou Rolling Stones ? Bordeaux ou Bourgogne ? Football ou Rugby ? etc Beaucoup se sont évertués à faire en sorte que Verdi incarne la tradition et Wagner l’avant-garde en réactivant pour l’occasion une querelle des Anciens et des Modernes. Mais notre cas serait-il désespéré, docteur, si nous avouons notre égale admiration pour l’un et pour l’autre ? Timothée Picard nous rassure, et ce n’est pas par goût du consensus, son brillant essai en témoigne : « ce sont deux visages certes divergents mais néanmoins complémentaires du romantisme- et de la sensibilité au romantisme ». Ouf ! Nous n’aurons même pas à nous soigner.
Après avoir lu cet essai, on s’étonne que Georges Valance fasse si peu cas de la musique dans Petite histoire de la germanophobie (244 pages, 18 euros, Flammarion). Elle s’y trouve bien sûr, mais à peine. Comme si elle n’avait pas compté dans la crise allemande de la pensée française. Tout pour la bataille fondatrice de Bouvines, l’histoire, la politique, la poésie, la littérature, la religion… Le traité de Versailles et la communauté européenne du charbon et de l’acier. A croire que pour les Français, la notion de fédéralisme a éclipsé Wagner dans l’idée qu’ils se feraient du génie allemand. Et pourtant… En cherchant bien, on trouverait certainement dans les relations musicales entre les deux pays de quoi nourrir cette fameuse méfiance qui a engendré « une psychose de l’invasion ». Friedrich Sieburg n’avait pas tout à fait tort en écrivant (1931) que la conscience française avait fini par considérer comme allemand tout ce qui lui était opposé. Curieux essai que celui de Georges Valance qui ignore la wagnérophobie alors que d’aucuns se sont échinés à la rendre consubstantielle à la germanophobie. Par ses absences, ce livre plaide a contrario pour l’urgence à inscrire l’enseignement de l’histoire des arts (peinture mais aussi musique) au programme des collèges et lycées. Sa réflexion est d’un journaliste aussi français que germanophile, mais elle n’en fait pas moins preuve de pessimisme sur l’avenir des relations entre les deux pays. Il craint que l’Allemagne ne se laisse à nouveau emporter par sa puissance « pour son malheur et celui de ses voisins ». Le sentiment de supériorité en serait le symptôme le plus alarmant. Et Valance de finir son essai par une citation de l’écrivain Günter Grass que l’on connût mieux inspiré mais à qui il laisseR le dernier mot :
« Nous devrions avoir conscience, nos voisins l’ont, de la masse de souffrance que cause l’Etat unitaire, de l’étendue du malheur qu’il a apporté aux autres et à nous-mêmes (…) Auschwitz, ce lieu d’épouvante, cité comme exemple de traumatisme permanent, exclut à l’avenir un Etat unitaire allemand. Si, comme il reste à craindre, il s’impose quand même, son échec est écrit d’avance ».
Ces lignes sont extraites d’un discours prononcé à Tutzing le 1e février 1990.
(« Le Ring mis en scène par Patrice Chéreau en 1976 à Bayreuth » ; « Richard Wagner » ; Giuseppe Verdi » photos D.R.)
650 Réponses pour Détester Wagner sans être germanophobe
Thierry, je viens de lire votre critique théâtrale sur votre joli blog : elle est brève mais va à l’essentiel.
un attaché culturel dressé sur un rocher celtique, brandissant l’épée de l’exception culturelle, on tient un début de livret .. pour le compositeur de musique électronique et les lightings faire un audit ils n’ont pas un letton subventionné ? .. bon on a bien ri ..
S’i s’avère que JC est D, alors, sachant que Renato est souvent Chaloux, il va de soi que Bouguereau est un peu Court, jeune homme.
Ne le prenez pas mal, Thierry ô notre frère : nous sommes restés gamins.
C’est vrai !
Alice Muro, prix Nobel de littérature.
JC avait vu juste.
Hats off.
Eh ! oh ! je l’avais dit le premier !
Vite Passoul, une notice sur Alice Munro, SVP. Je n’en ai jamais lu, sauf erreur, sous votre plume si avisée.
Mais, dites-nous, où vont-ils chercher tout ça ? Ne serait-ce pas par hasard cette romancière qui aurait commis un essai définitif au sujet de l’influence de Cherubini sur Wagner ? Il me semblait bien que cette référence manquait dans votre dernier billet.
ah non, c’est moi ! même que je le savais depuis longtemps.
Murno.
Munro.
Murakami retoqué.
Ça me fait de la peine pour les adolescents de 7 à 77 ans.
Alice Munro, les femmes l’adorent. Les hommes beaucoup moins. On se demande ou bien ?
Mornu.
Voyons ! Soyons sérieux : c’est Josquin des près qui a influencé Cherubini, lequel n’a fait que transmettre à Wagner…
Ne mélenchons pas tout, svp !
Monru.
Mruno.
Mronu.
Super ! Enfin une bonne nouvelle ..
Alcie
Alice
Quel vent de désespoir sur le monde.
Joyce boite, et Philip rote.
Enfin ! Super une bonne nouvelle ..
« Alice Munro, les femmes l’adorent. Les hommes beaucoup moins. »
C’est tout à fait JC.
A Milan, Kundera fait le mur à Camille.
Klaus Tennstedt (Siegfrieds Tod) — Pablo
MOST impressive.
Sang et feu sur la scène, sueur et larmes dans la fosse.
D’Alice Munro, je n’ai lu que Friendship, Loveship etc., c’est charmant, bien troussé, sans plus. Drôle de prix.
@ u ou jc, etc… « Alice Munro, les femmes l’adorent. Les hommes beaucoup moins »
Dommage… Depuis l’érection de Tomas Tranströmer ce poète adoré des hommes et détesté des femmes, au panthéon suédois en 2011, la face de la littérature mondiale s’en est trouvée profondément ébranlée. Faudrait pas qu’elle rebascule dans l’autre sens…
Sinon, c’est qui déjà le nobel pour la paix et la chimie ? El Assad, vous dites ?…
@Joyce boite, et Philip rote.
Non Philip boite, depuis Némésis, son dernier roman sur la poliomyélite qui n’a guère convaincu… Et Joyce rotait, mais il n’est plus là. Quant à Pol Austère, c’était très exagéré.
u est une femme
Phil dit: 10 octobre 2013 à 14 h 09 min
l’autriche-hongrie versus italie
l’autruchon vert-gris suce italie
Mais si Clopine, pousser jusqu’aux Maitres-Chanteurs de Nuremberg vous eut fait voir un Wagner défenseur en grand du petit commerce!un rapide coup d’œil à la distribution montre qu’ Hans Sachs est cordonnier, Karl Vogelgesang, Pelletier, Konrad Nachtigall, Ferblantier, Beckmesser, greffier-(bon, sur ce point, je peux vous accorder que c’est aussi le critique Hanslick, donc ça ne vaut pas- Fritz Kotner, boulanger,Balthasar Zorn étameur, Ulrich Eislinger, épicier, Augustin Moser, tailleur, Hermann Ortel, savonnier, Hans Schwartz bonnetier, Hans Folz, chaudronnier, plus les « bourgeois de toutes les corporations ». L’œuvre glorifie un modèle économique ancien, corporatiste au sens noble, ou l’Art à sa place, du moins tel que Wagner le revisite, puisque ces commerçants sont aussi Meister Singer comme Hans Sachs. Aujourd’hui, on dépoussièrerait sans doute l’œuvre en en faisant un péan à la gloire du commerce seul, et en donnant à la jeune première le doux visage d’Angela…Ainsi progresse l’inculture scènique
Bien à vous
MCourt
le tricheur gris sans verre suisse est talé.
Vous n’avez rien sur l’agriculture, Court ? Je suis sûr que vous allez trouver.
Loth, riche hongre vert, sous scie étalé.
ou plutôt sur l’élevage : le haut-landais, veau lent.
comme on dit au chanoine : lâchez vos chais des vals, Kir.
J’allais oublier : en recherchant la taille de Mae West (1m63, talon de 20 cm !) dans Célébrités.fr, je suis tombé sur la date anniversaire de Merah ! Célébrité ! Vous n’avez pas encore oublié ?
Aujourd’hui, cette saleté, née le 10 octobre 88, aurait eu 25 ans … R.I.I.
Parait qu’on peut entendre la Marche funèbre du « Crépuscule des Dieux » dans la salle de shoot-au-déficit ouverte en toute légalité, il y a 40 ans, à Bercy ….
Cela fait froid dans le dos, non ?
…
…tout Opéra est dans les différences de matières pour les rouages des scénarios,…
…une horlogerie de boîte a musique,…pour nous consommer sans en être du tabac,…plus qu’un rouage social,…
…la pensée unique du chapeau,…déjà,…sans » french-cancan « ,…
…la France-cul ou l’ Opéra,…les nouveaux occupants – étrangers, à trier des collabo’s,…sus à Gargantua, à Rabelais aux romans de la rose,…en pots d’opéras,…
…
…nos à-droites pensées pour en rester détacher de nos illustres Tartufes qui nous lavent plus blanc sans oseilles,…tout ces trappeurs de théâtres à nous faire des voyages sur Tapis-volant,…et F.M.I.,…à la garde à nous négociers nos peaux d’ours,…doublés d’€uros à droites toutes à babord du galion et à tribord de la culture des pensées » u’niques « ….à l’union des escroqueries-tartufes d’opérettes à deux balles,…etc,…
…
…Toc,…Toc,…ma maidservant se pointe
…votre pipe Sir,…Oui,…ouvrer la fenêtre pour votre sécurité,…tient donc,…l’attention est première,…envoyé du tabac pour en faire un clan,…Méduse à poils,…etc,…et je susse comme çà,…vous faite pour le mieux,…logées, nourries, entretenues,…faut pas pousser pour une augmentation improvisée,…Yes Sir,…Non,…vous pouvez continuer, vous avez carte-blanche,…tout ces bond’s de service, çà vous montent à la tête sans Opéra Bastille en moins de deux,…deux balles sur le net,…Oui,…elle joue bien du revers et quels smatch’s qu’elle tire,…ces professionnelles maison, trier sur le volet,…la classe, quel Opéra revue,…french-cancan en private-audition,…
…etc,…Stop,…ou,…Ah,…Ah,..Bip,…Bip,…etc,…belle peau, le léopard,…
…Oui,…couleur » Tigre « ,…à repasser,…à droite,…après la main gauche,…
…c’est du magnifique à gogo,…pierre-ponce,…le lustre,…un savoir -faire,…d’Opéra,…musique,…etc,…Ollé,…
…envoyez sans partages,…etc,…
…
Comme femmes au panthéon, û ou jc
…
…ramener tout ce beau-monde,…dans le droit chemin,…c’est pas une Ciné-cure,…Oui,…encore,…pour faire dix-versions de tabac,…Ah,…Sissi vous assumer,…etc,…
…
Non mais sérieux il faut un parapluie pour jouer dans cet opéra ? Ou c’est la Castafiore qui chante encore faux ?
john lennon aurait 73 ans aujourd’hui
Ou c’est la Castafiore qui chante encore faux ?
non, c’est la daaf
proposition dit: 10 octobre 2013 à 16 h 38 min
« Comme femmes au panthéon, u. ou JC »
CHANSON DES JUMELLES U. et JC
(paroles Michel Legrand, musique Richard Wagner)
Nous sommes deux soeurs jumelles
Nées sous le signe des gémeaux
Mi fa sol la mi ré, ré mi fa sol sol sol ré do
Toutes deux demoiselles
Ayant eu des amants très tôt
Mi fa sol la mi ré, ré mi fa sol sol sol ré do
U.
Nous fûmes toutes deux élevées par Maman
Qui pour nous se priva, travailla vaillamment
JC
Elle voulait de nous faire des érudites
Et pour cela vendit toute sa vie des frites.
U. et JC
Nous sommes toutes deux nées de père inconnu
Cela ne se voit pas, mais quand nous sommes nues
Nous avons toutes deux au creux des reins
C’est fou…
U.
… là un grain de beauté…
JC
… qu’il avait sur la joue
U. et JC
Nous sommes deux soeurs jumelles, nées sous le signe des gémeaux
Mi fa sol la mi ré, ré mi fa sol sol sol ré do
Aimant la ritournelle, les calembours et les bons mots
Mi fa sol la mi ré, ré mi fa sol sol sol ré do.
Notre corporation souffre : u. et JC méritent bien sûr d’être trollés, mais proposition/zeuzeu est la honte de la profession.
Il est extrêmement rare que les rats empêchent les navires solides d’arriver à bon port !
No problem, regret de troll !
Giovanni Sant’Angelo dit: 10 octobre 2013 à 16 h 32 min
…
…tout Opéra est dans les différences de matières pour les rouages des scénarios,…
Il va me falloir un certain temps pour méditer cette profonde pensée. Je vais essayer la technique front dans la main, cul dans l’eau préconisée par bouguereau.
Soit dit en passant, le concert donné par Lorin Maazel (son montage orchestral de la tétralogie) est la meilleure des réponses à ceux qui renaclent devant le côté corporel de l’opéra (« Cette Mae West, qui transpire devant moi »…)
Comme cette musique est sublime, en micro, en macro et en méso (hein), on peut l’écouter en boucle, en étant infidèle au père wagner, c’est sans importance.
Je redonne le lien, que P. a donné plus haut:
http://www.youtube.com/watch?v=ij2UfkIgoFQ
au cas où vous l’auriez raté, voici à nouveau le lien que P. a donné plus haut et u. redonné plus bas :
http://www.youtube.com/watch?v=ij2UfkIgoFQ
habituellement les e vont dans l’o que ne nous parlez-vous pas de front dans la main et pire encore de main dans la main après demain mais je ne critique pas votre approche du problème giovanni sait se reclure dans une forteresse spécialement aménagée pour que rien ne filtre en conséquence il apparaît de temps à autre sur les créneaux du donjon comme incompréhensible aussi faut-il conclure à de la poésie dans le brouillard et sans feux pour nous éviter l’obstacle.
Bien à vous itou, M. Court. Vous avez éveillé ma curiosité : je crois bien n’avoir jamais écouté (sinon entendu par inadvertance sur France MU) les « maîtres chanteurs ». Je m’en vais faire un tour sur deezer…
le même lien, mais inopérant cette fois (donc ne vous trompez pas) :
http://www.youtube.com/watch?w=ij2UfkIgoFQ
Marie, mère de Dieu à l’Archange Gabriel, venu lui faire le coup de l’Esprit Saint :
« Vous avez éveillé ma curiosité…. »
Le blasphème n’est pas puni en Gaule, n’est ce pas ?
…
…mais, enfin,…c’est simple à méditer,…
…
…exemple;…tu ne vas pas nous faire un Opéra de feux et lumières,…dans un décors en carton,…il faut que çà reste jouable,…aussi par la construction des événements pour un public en manque,…
…
…on ne sert pas des pommes, si l’hôte attend des cerises sur le gâteaux,…
…et en faire de l’Opéra, uniquement parce que c’est de saison de la chute des feuilles d’été indien,…
…autrement dis,…le feeling,…quoi,…s’il en reste,…sans en cartonnés le public,…les têtes ailleurs,…dans la global-sphère à conditionnée,…etc,…
…
La Mort d’Isolde dans une version un peu décalée, inattendue mais intéressante :
http://www.youtube.com/watch?v=bcD5twysKkw
Dites, les grands airs, vous vous êtes gourés, là. Isolde, on la reconnaît aisément ici :
ha les maitres chanteurs..y’a même un cordonnier qui fait l’beat avec son marteau en chantant ich bin alein..ou un truc du genre..mais ya pas de pute..à nurumbère c’est du volquiche mais pas trop
@ 15h54, Wagner était lui-même peut-être issu d’une lignée appartenant à la corporation des charrons si l’on se fie à son nom. Les charrettes et les charrues étaient les voitures d’aujourd’hui. En 2013 il serait zoupehr fier que le peuple bavarois roule en Audi A 8 livrée d’origine avec une chaîne HiFi-WiFi Bang et Olufsen à vingt-cinq haut-parleurs tri-bandes, lui permettant de foncer à 205 mph sur la BAB A 9 de Munich à Leipzig (et pit-stoppant à Bayreuth juste pour une pause « Fifi » avec une demoiselle chère à Offenbach) sans perte dans les aiguës ni les graves, encore moins les medium. Tous les potards à fond, avec l’ouverture du Rienzi crachant ses décibels dans l’habitacle submergé par l’éros volumétrique de nappes de violons méta-océaniques. Il n’y a pas à chiquer, nos amis allemands savent se conduire en voiture.
J’ai aimé lire les très synthétiques analyses de MCourt, le poireau amateur de musique qui est en moi tique juste un peu en lisant « opérette » sous sa plume ; « Opéra-bouffe » (l’entertainment italien par excellence) eût pu peut-être revendiquer l’autorité d’une petite place.
En ce qui me concerne, il y a une quinzaine d’année la question était plutôt : « Peut-on détester Dusapin sans être germano-pratinophobe ? » Le compositeur s’est racheté une conduite depuis ces fatales années, heureusement. En revanche l’Ircam à l’époque était l’une des plus chouettes institutions étatiques, quand on l’avait sommée de donner publiquement des preuves de ses recherches, elle ne s’était guère fait prier. Aujourd’hui c’est un institut pédagogique de plus. Le grand Charon Boulez s’en est allé, le nouveau n’exige plus la fameuse obole sous la langue ou les deniers sur les yeux, l’entrée dans l’enfer du monde de la musique est libre.
Cela fait froid dans le dos, non ?
..tu mets trop tes gods au congélo jicé
le poireau amateur de musique qui est en moi tique juste un peu
..à la vapeur le poireau ?
ha les bananes..et ben tu vois clopine..y’a même des noirs qu’ont chanté les maitres chanteurs..parfaitment!
C’est un terme motocycliste, bouguereau. Tu peux pas comprendre, Kannst Du mich verstehen ? Demande à Sergio si c’est pas vrai.
Notez que le petit commerce aussi. Sous-représenté chez Wagner.
Trouillefou
clopine connaît ach’ment bien vu qu’elle a reconnu sur la pochette du disk à Richard Vachener, la fée Clochette et Peter Pan.
comme le vélo électrique de dracul, sans sel..et sans moutarde !
Avec du curry Balti et du ketchup.
Le problème du vélo électrique faut bien voir c’est le jus : si on envoie la purée avec trois rangs de longue-portée, les antibrouillards, le projecteur latéral contre les bisons évidemment pour le moulbif reste pas lerche faut pédaler tout cru…
Ou c’est la Castafiore qui chante encore faux ?
un son de casserole, c’est Clocloche
found une version en noir et blanc tout à fait correckts
ach zuuut, es gibt merdik aber ich love the details in the tapisserie:
ew.m dit: 10 octobre 2013 à 17 h 59 min
du ketchup.
Boh le Ketchup il reste immondément dans le pot, avec une obstination non feinte, même sans s’énerver comme dirait Renaud ça dénégère, faut augmenter le pilonnage pire qu’à Khê-Sanh finalement y a énormément de personnels touchés…
@ « D. dit: 10 octobre 2013 à 14 h 42: « Thierry, je viens de lire votre critique théâtrale sur votre joli blog : elle est brève mais va à l’essentiel. »:
Ducornaud, ce n’est pas une critique, ni même la chronique d’une soirée théâtrale parfaite. Je ne sais même pas si je vais écrire quoi que ce soit.
Vos connentaires au sujet de la salle du Théâtre Labruyère surchauffé sont particulièrement con, un peu comme votre connentaire, sur mon passage à Berlin, en 2011/12.
Lu sur une affiche dans le métro, la promotion du spectacle le plus crétin de Paris. La différence avec vous, vous n’êtes même pas drôle, vous êtes sinistre de bêtise et d’esprit mauvais anti-chrétien.
Pourriez vous cesser d’utiliser mon prénom svp ? Je ne connais pas le votre, n’utilisez donc pas le mien, c’est assez vulgaire de votre part.
D.
Il vous faut calmer le jeu…
Répétez après moi :
« Oui, Monsieur ! »
« Ouiiii, oh ouiiiiiiii ! »
« Merci, Monsieur TKT ! »
BOURRONS LE PANTHEON DE FEMMES ILLUSTRES !
–
Y’a une contrepèterie à deviner ?
C’était pas Denise comme la mère Denis?
I can’t cope
Yes you can ! Just try harder.
Salut, Thierry. Laisse tomber Ducornaud, il connaît aux problèmes de chauffage.
On peut détester la musique de Wagner et ses opéras, sans être germanophobe. Il y a sûrement des Allemands qui n’aiment pas Wagner et son œuvre. On peut détester Wagner, pour ses positions antisémites, tout en aimant sa musique. Comme il est possible d’aimer Céline l’auteur, et vomir en pensant à ses éructions* antisémites.
Pour ceux qui n’aiment pas Carmen, et donc Bizet, pour des raisons de snobisme ou des raisons àlaclopine-anti-tabac (tout à fait niais), il me semble qu’il ne peuvent avoir de bons arguments. C’est un des rares opéras, où le livret n’est pas trop vide. Parfois les livrets devraient être supprimés. On écoute rarement ce qui se dit, lire le texte sur un écran empêche de regarder la scène et franchement, les histoires ne valent souvent pas grand chose.
* Niet, Rose, je me refuse d’écrire éructation, c’est trop moche musicalement. Sauf bien sûr si on roulait le r, et si le mot n’en finissait, comme Fanny Ardant à l’immense talent de le faire.
Hier soir j’ai vu « Nos Femmes », au Théâtre de Paris, j’ai observé la diction de Richard Berry qui lui aussi, sait donner à un mot une vie un peu plus longue.
Je peux témoigner de la bienséance de Thierry Kron Traube. J’étais au théâtre Labruyère en même temps que lui et j’ai été très impressionnée par son comportement imperturbable dans la chaleur accablante. Il n’a même pas esquissé un geste pour essuyer ses lunettes embuées, alors que le plupart des spectateurs étaient déjà en slip. Eh bien, vous pouvez toujours persifler, JC et les autres, mais personnellement je l’admire.
D., vous vous appelez Dimitri ? Votre père était enrôlé volontaire dans un régiment du Reich, et fut prisonnier en URSS ? Allez Dédé, vous avez sûrement un prénom du cantal qui sent la campagne et le fumier frais.
« Parfois les livrets devraient être supprimés. »
Je suis bien d’accord avec vous, monsieur Kron. De même, tout comme vous, je préfère de loin le mot « éruction » à « éructation », que je trouve beaucoup moins parlant.
Je préfère également « érection » à « érectation », qui évoque par trop une décharge de mitraillette.
Excellente idée, TKT. Supprimons les livrets !
Théâtre Labruyère, Théâtre de Paris… vous êtes décidément trop avant-gardiste, TKT.
Juste une précision : je ne suis pas anti-tabac. Putaing, j’ai trempé ma première clope dans ma tasse de thé du matin pendant quinze ans environ, écrasant la dernière à des heures aléatoires mais néanmoins toujours nocturnes. Comment voulez-vous être anti-tabac, après ça ? (et pourtant, voilà donc vingt ans d’abstinence accomplis)
Alice Montroux,
Vos propos sont infiniment séduisants ! Irez-vous jusqu’à me confier votre amour pour Wagner ?
verdamt..y’a longtemps qu’on ne fume plus de belge clopine..c’est que c’est des sales types maintenant tu sais madame..moi quand j’y vais..pour à la rigueur une exposition des cochons de wim et une bière ou deux et je ne m’arrête même plus pour pisser..terminé..je pisse sur france comme phil gotferdom
ach zuuut, es gibt merdik aber ich love the details in the tapisserie:
gut ! ce que je préfère de tout c’est les commentaire meusieu..celui là
Negri is the best thing in it. She’s so charming and funny and winning, and she looks like a million dollars.
..c’est surement vontraube qui l’a écrit..on reconnait tout de suite son style spirituel trés français et suisse
Putaing, j’ai trempé ma première clope dans ma tasse de thé du matin pendant quinze ans environ
mais madame tu chiquais plutôt..pour les galoches comme ils disent a paris..ça devait donner un drole de gout
c’est pas du chiqué:
L’opéra proprement dit émane d’un groupe de musiciens et d’intellectuels humanistes florentins qui s’étaient donné le nom de Camerata («salon» en italien). La Camerata fiorentina ou Camerata de’ Bardi, du nom de son principal mécène le comte Giovanni Bardi, s’était fixé pour objectif de faire revivre le style musical du théâtre grec antique et s’opposer au style contrapuntique de la musique de la Renaissance. Les reproches que la Camerata adressait à la musique contemporaine visaient tout particulièrement l’usage abusif de la polyphonie, aux dépens de l’intelligibilité du texte. La raison pour laquelle le contrepoint rigoureux était si désagréable aux oreilles des membres de la Camerata était qu’il gâchait l’affetto (l’émotion) – or, selon la Camerata, le travail du compositeur est précisément de communiquer l’affetto par un son distinct et compréhensible. Ils souhaitaient que la musique reflète, simplement et mot pour mot, la signification des textes. La Camerata pensait reprendre en cela les caractéristiques de la musique grecque antique. Pour atteindre ce but, on utilise la monodie accompagnée par la basse continue, les chœurs madrigalesques et les ritournelles et danses instrumentales. L’influence de la Camerata connut son apogée entre 1577 et 1582. On croyait à l’époque que les Grecs utilisaient pour leurs pièces de théâtre un style à mi-chemin entre le parlé et le chanté (thèse soutenue par Girolamo Mei, helléniste érudit). Les bases de cette conviction se trouvaient dans les textes d’Aristoxène, qui proposait de se baser sur le discours parlé pour le chant. Les expériences musicales de la Camerata amenèrent l’invention du stile recitativo. Cavalieri fut le premier à employer le nouveau «style récitatif», lié ultérieurement au développement de l’opéra.
http://ehess.tessitures.org/orfeo/parler-chanter/opera/camerata-fiorentina.html
et ça non plus :
http://www.fetedelascience.fr/
Tu sais, Thierry, ce serait beaucoup plus simple qu’on profite de ta venue à Paris pour aller boire un verre dans un endroit chic comme tu aimes. Moi aussi j’apprécie le raffinement.
Le bar de l’Hôtel Montalembert demain soir à 20h ?
@Row Dowdow dit: 10 octobre 2013 à 15 h 32 min
/// D’Alice Munro, je n’ai lu que Friendship, Loveship etc., c’est charmant, bien troussé, sans plus. Drôle de prix. ///
Pouvez-vous nous en dire un peu plus, tabernac’ ? – Non, pas de « tabernac » ici, ils disent pas de ces interjections en Canada anglophone, laissez les à passoulkimélangetout, c la foolishness du follower tweet là…
« Non, pas de « tabernac » ici, ils disent pas de ces interjections en Canada anglophone, laissez les à passoulkimélangetout, c la foolishness du follower tweet là… »
c’est tout à fait right !
et la Geneviève Brisac, elle a du flair comme madame irma.
Le Montalembert, c’est un peu loin pour TKT, D. Compte tenu des adresses qu’il laisse filtrer (librairie Vendredi, Labruyère, th. de Paris), il zone plutôt entre Pigalle et la place Clichy.
…
…au hasards du théâtre grec,…
…
…les acteurs portaient aussi, en plus d’un grand masque de reconnaissance du rôle à jouer,…
…un grand signe différent sur la toge,…pour les différenciés du hasard de simple pion à la carte du jeux de bataille ou ( à Dame ),…
…mais,…plus proche du jeux d’échec,…dans les signes des rôles à jouer de victime – morale – perfide – persécuteur,…etc,…
…donc,…la pièce de théâtre grec,…se rapproche plus des polichinele-arlequin pour enfants de la maisonnée trier sur le volet,…pour rôle des grands et enfants réunis, de ces messes royales aux rôles endoctrinés à jouer par après au réel de plein jour ,…une école plus que conservateur,…
…des fondements de la république déjà avant Platon,…la télé-réalité,…plein-cadre en terre à pipe,…trier sur le volet,…
…on revient de loin,…
…pourquoi en faire des fioritures stratifiées,…tiens voilà du boudin,…
…naïveté bien ordonnée,…le temps perdu des parties d’échecs le tabac en terre à pipe,…Ollé,…Ah,…Ah,…Bip,…Bip,…etc,..
…au suivant,…envoyez,…
…des fondements de la république déjà avant Platon,…la télé-réalité,…plein-cadre en terre à pipe,…trier sur le volet,…
…on revient de loin,…
C’est vrai, on peut dire qu’on a eu chaud.
…
…jeux de cartes du hasards, batailles et autres ( à Dames ),…
…déjà en perdre des repères et se subvertir en vandale,…conclusion,…
…les rôles de théâtres des messes des maisonnées ( et trier sur le volet ),…les rôles de courtisans sinon rien,…
…Saint-Patron du théâtre des tabacs cousus main pour galères,…l’antique et le nouveau Ah,!,…l’€urope , quelle vache du monde,…Zeus quel emmerdeur aussi,…
…un bouc émissaire,…en langue de bois,…etc,…
…
Bizarre tout de même, cette histoire.
Thierry n’aime pas l’hôtel Montalenvers, D. je vous assure.
Tant que j’y suis, Giovanni, vos déblatérations quotidienne m’exaspèrent.
D., vous m’énervez positivement. Je crois que vous n’aimez pas sincèrement TKT, qui est pourtant un homme extrêmement sympathique, intègre, cultivé, grand voyageur et plein d’humour.
D’ailleurs, je vais vous prier de vous taire.
Ben voyons ! Vous vous attaquez-vous à Giovanni maintenant ? Vous vous en prenez toujours aux faibles, vous êtes un lâche.
Eh bien si, j’aime sincèrement TKT, c’est à dire sue je l’apprécie -entendons nous bien- car justement c’est un homme extrêmement sympathique, intègre, cultivé, grand voyageur et plein d’humour.
Thierry aime ce que j’aime
Les épinards à la crème ? Certainement pas !
un qui sait dit: 10 octobre 2013 à 23 h 55 min
–
C’est pour l’endurcir un peu.
Thierry ne peut qu’aimer les épinards à la crème du moment qu’ils sont préparés dans les règles de l’Art.
D’ailleurs comment savez-vous que les apprécie moi-même ?
Il faut que j’aille me coucher parce que demain je passe ma ceinture orange d’éventail de combat.
…
…@,…D,…à 23 h 50 mn,…
…
…tant que j’y suis,…un quotidien moins vache avec un grain de sel,…qui m’exaspère,…
…vous n’êtes pas seul terre, et je vous connais comme si je vous est fait en des temps ou le temps n’existait que pas à pas,…etc,…
…çà change de ton quotidien, un point c’est tout,…aussi passe à côté,…etc,…Ah,…Ah,…
…
J’ai Vu Coppé ce soir sur France 2 et je l’ai trouvé très bien. Le problème est qu’il est de droite et la droite défend le capitalisme qui est un système archaïque et vicieux qu’il faut absolument réformer.
Thierry a d’ailleurs écrit un ouvrage sur les règles de l’art des épinards à la crème.
Dans le style « goût de … »
15 € je crois, Mercure de France
…
…Oui,…le morceau avec la Dame alsacienne,…c’était pas mal,…
…
…et dire que j’en connait un brin, sur l’Alsace de mon enfance,…c’était autre chose au début des années 60′,…
…le fromage de Munster,…etc,…
…
D+
C’est parce que je cours le risque, en regardant les lucarnes, de tomber sur Coppé, sur Fillon, sur tous ces gens dévoués au bien public qui me montrent un chemin qui ne mène nulle part que je ne regarde plus la TV aux heures de propaganda ….
Cincinnatus, reviens !
Ces plébéiens de tous bords ne pensent qu’à eux, qu’à leur carrière, qu’à leur patrimoine (bonjour, Cahuzac !) et jamais à sauver Rome des barbares de tous poils qui la saignent.
il y a deux gateux sur ce Blog, qui se font à eux-mêmes la conversation en utilisant différents pseudos. D., vous devez détester votre vraie vie…
Ne soyez pas pessimiste, Thierry, il y a beaucoup plus que deux gâteux sur ce blog !
On les compte ensemble, voulez-vous ?
(…et ne parlons pas des gâteuses …)
Se faire à soi-même la conversation, c’ est quelquefois pas mal et souvent bien mieux que des monologues en vol d’ avion…
Au moins il y a deux points de vue.
deux gâteux trois gâteaux? JC parce que vous ne vous trouvez pas dans cette propagande légère édulcorée 0% de matière grasse je vous lis tout de même souvent pourfendant à gauche laissant supposer vote à droite mais qui donc ou quoi défendez-vous s’il est possible de défendre projetant une efficacité certaine au service des idées et si oui lesquelles? Pouvez-vous préciser?
Vous devriez converser avec vous-même tkt, même et surtout en public, cela nous donnerait le change.
En toute cordialité.
Oui, JC, mais ceux qui se font une conversation tout seul, se donnant la réplique à eux-mêmes, là je ne crois pas qu’ils soient nombreux. HR a l’âge pour un gâtisme pas encore constant, avec 54 ans D. me semble, un peu précoce. By the way, JC, aimez vous les voitures vintage ?
Allez, Thierry, un peu de courage ! Parlez ! vous en avez trop dit et pas assez !
(là, à ce moment précis, démarre « La Chevauchée des walkyries »… la mort est sur ce blog wagnérien)
QUELS sont les gâteux ? QUELLES sont les gâteuses ?
(l’intensité dramatique est palpable, chacun, chacune, tremble … que va dire TKT ?)
Le pour et le contre, le négatif et le positif, l’ avant et l’ après, l’art de la conversation, quoi!
je n’ai pas bien suivi et je ne comprends pas cette animosité entre D JC TKT qui peut aller jusqu’à la haine, le motif est-il politique intime
artistique esthétique, s’agit-il de racisme ordinaire? Quoiqu’il en soit, il traîne comme un lent ciel d’hiver qui ne finit pas de refroidir la région concernée, ne pourriez-vous pas en finir une fois pour toutes et exploser la réserve de ressentiments quitte à accidenter momentanément la communication?
Bérénice
le troll de proculrol, engagé dans la Marine pour attirer l’attention, n’est qu’un râté
TKT les voitures vintage? Il existe de fabuleux modèles, il m’est arrivé de tomber amoureuse de la voiture mystérieuse pour ensuite m’attacher au propriétaire, c’est un point d’appel parfois.
A votre service, Bérénice !
Je m’explique. Je n’attaque, ni défend, qui ou quoi que ce soit, ayant tâté de l’absence d’absolu dans ce monde. Je veux dire que tout « évènement » n’a de sens que dans un référentiel choisi ou imposé. Il y a des géométries, que l’on peut étudier sans difficulté, où les parallèles se coupent. Vous comprenez ce que je veux dire. Difficulté…
Comme il y a une infinité de référentiel possibles, l’étiquetage au hasard de la pensée, des idées, les combats idéologiques sont une Farce Majeure. Ce n’est pas mon truc !
Factuellement, je vote : càd je me déplace pour mettre un bulletin dans une boite.
Vote blanc. Tant le choix proposé est généralement avarié ! BàV
TKT,
J’ai eu des voitures vintage à l’époque où les voitures étaient plaisantes par leur diversité … souvent des anglaises. La normalisation a détruit la partie esthétique, artistique, des véhicules. Le côté positif est quelles sont plus sûres.
à ce propos votes blancs quelle méthode de comptage permettrait de les prendre en considération autrement qu’à tracer le pourcentage de ceux qui aimeraient choisir un candidat mais n’en trouvent aucun à désigner?
vintedj c’est trop hasbin et la marine elle est trop gocho
Bérénice, vouloir repartir avec le ou la propriétaire d’une voiture « carte de visite », garée devant un endroit convivial, me semble légitime. Mais pour des raisons, qui mériteraient un plus long développement, pour draguer en fait, une certaine classe sociale au vu de ses gadgets, il faut quand même avoir l’âge adéquat. D’autre part il faut que la personne conductrice ait l’allure de l’emploi, autrement on risque de tomber sur un/e employé/e…
On dit que chez les hommes, les voitures voyantes et chères, sont un ersatz quand il n’y a rien dans la culotte. Cela doit être pour cela, que les dames des quartiers chics, worldwide, aiment les SUV de marques allemandes. C’est gros, haut sur roues et chers.
D. fantasme d’une voiture vintage, pour draguer les hommes jeunes du 7ème arrdt. Il ferait mieux de fantasmer une limousine noire avec chauffeur, non, une chauffeuse canon en tailleur Prada sur Louboutin de 28 cm… Un comptable junior, même retraité précoce, reste un comptable junior, cela sent le back-office.
il n’y a rien dans la culotte
tu fais trop le mètzguère vontraube..va falloir tu coltine la barbac dans ta limouzine en louboutin..t’a pas peur des mouche au moinss ?
Vote blanc ? La République considère qu’elle a fait son travail lorsqu’elle permet de présenter pour un poste donné, plusieurs candidats. Démocratie brute de fonderie car ils peuvent être TOUS incompétents ou malhonnêtes !
Ce que la République, brave fille, dans sa vision optimiste/irréaliste des choses, n’imagine pas possible.
Il serait bon d’affiner le vote en proposant un bulletin « BLANC », en plus de ceux des candidats, qui serait décompté et comptabiliserait le nombre de ceux qui jugent qu’aucun candidat n’est digne du poste proposé.
Cela m’éviterait de voter pour Wagner, Charlemagne, Dupanloup, Buster Keaton, Landru, Pie XII, Sophocle ou Loana lorsque tout le poisson à l’étalage n’est pas frais ! Ce qui était le cas dans toutes les dernières élections présidentielles, par exemple.
bérénice dit: 11 octobre 2013 à 9 h 07 min
je n’ai pas bien suivi et je ne comprends pas cette animosité entre D JC TKT qui peut aller jusqu’à la haine, le motif est-il politique intime
artistique esthétique
Cette animosité est à sens unique, bérénice. Thierry, qui me jalouse pour une raison que j’ignore, me reproche d’avoir repoussé ses avances et, depuis, il me poursuit d’une vindicte incompréhensible. Je ne l’ai pas repoussé, je suis simplement timide. Mais, comme j’incarne l’esprit scientifique sur ce blog, son dépit l’a conduit à détester aussi l’autre scientifique de la RdL, à savoir JC.
Il ne se rend pas compte que nous avons en fait, JC et moi, une profonde tendresse pour lui.
…
…voter pour un candidat,…
…
…ma propriété-privé,…ou est t’elle dans tout çà,…
…les élus du peuples c’est pas pour nous trahir et nous les gonfler,…à l’€uro à pointe,…d’institutions des normes à l’état,…
…
…ou on va,…aussi,…avec la vie – privé,…et la pensée-unique,…çà ne vas pas la tête,…le néant, pour accepter la légitimité des constitutions d’escrocs – légitimes,…et tout le reste,…etc,…
…
Giovanni, il me semble vous avoir déjà dit que vous commenciez à me les briser menu. Nous sommes entre grandes personnes ici. Un peu de tenue ! Refermez votre braguette, tenez-vous droit et gardez le silence. Comme un grand garçon.
Pour des raisons strictement personnelles, le fait que ce soit une nouveliste qui ait reçu le nobel me réjouit fortement. De plus, c’est l’occasion d’une découverte, car je n’ai jamais lu Alice Munro – et j’ai entendu dire qu’elle menait une vie « ordinaire », ce qui me la rend d’emblée sympathique. Et puis, le Canada, ça se rapproche des Etats-Unis, donc de Philip Roth, nobelisable depuis une décennie. Encore un petit effort, et justice sera rendue.
…
…D,…vous parler pour vos meubles,…
…
…un rien, vous les brise-menu,…le vernis,…plusieurs couches bien laqués,…
…etc,…
« Il ne se rend pas compte que nous avons en fait, JC et moi, une profonde tendresse pour lui. »
Vous êtes timide, D+, et c’est tout à votre honneur. Ce sera de la tendresse, donc, pour vous. Pour moi, ce sera de l’Amour, car j’aime Thierry de tout mon coeur !
(… j’ai mis une majuscule à Amour car je ne veux pas qu’il y ait méprise …)
Encore un petit effort, et justice sera rendue.
Le comité Nobel n’est pas un tribunal, Clopine.
oui Clopine. et nous pourrons lire en vo, ce qui comblera les lecteurs exigeants du prestigieux blog à passou. qui se souvient au débotté du prix nobel de l’an passé ?
Quand Roth (des us) sera couronné, dame clopine, vous risquez d’imploser.
Le futur Nobel de littérature sera normand, ou ne sera pas ! Hurk !
Roth n’aura jamais le Nobel. Il n’était déjà plus dans les favoris des bookmakers.
voter blanc, ça peut donner l’illusion de se démarquer de la masse soi disant stupide, qui vote -en général sans illusion ( mais par exemple pour virer le crétin mafieux, escroc décomplexé)- , ça revient à prendre les gens pour des cons, à ne faire que suivre pour continuer à ricaner, à geindre de ce que la réalité n’est pas parfaite ( comme c’est bizarre) : un bon prétexte pour les infantiles, les frustrés et aigris de râler d’autant plus
…
…écrire pour un prix Nobel,…que des niaiseries en chaines,…pour un genre humain,…etc,…
…
encore une réunion .. et à Bozar .. vraiment .. le politique prend toute la place ..
…écrire pour un prix Nobel,…que des niaiseries en chaines,
Ne nous dites pas que vous avez déjà renoncé, Giovanni !
Mon cher Maurice,
relisez votre post de 10h46, vous verrez combien il traduit un esprit haineux, infantile et frustré : le vôtre !
(Pil n’est pas Phil, cette ressemblance était involontaire, excusez, désormais je signerai Pilou)
Bàv,
Pilou
Je suis sûr que maurice a un bon fond, mais il est un peu soupe au lait.
…
…@,…maurice,…va relire,…mon post de hier-soir à 23 h 29 mn,…
…pour ne pas te retrouver sur la liste des gâteux à Jeanne d’Arc,…la tête dans le sable,…les plumes aux vents,…
…du vernis d’intello’s a deux balles,…
…etc,…envoyez,…le Proust en guerre,…
…etc,…
Au fait, maurice, inutile de changer tout le temps de pseudo (fred, proposition, etc.), vous êtes comme HR, vous avez un style reconnaissable entre tous.
Bon, ça suffit maintenant, Giovanni.
…
…Pil,…
…on écrit,…pour l’humanité,…un grand dessein,…mais pas, pour un prix,…quel qu’il soit,…enfin,…
…rien ne vaut son indépendance envers et contre tout,…etc,…merci, de me le rappeler,…
…j’ai autre chose a faire ce matin,…Ollé,…ou Ciao,…
…
…
…Oui,…D,…
…
…çà suffit,…tes remontrances à deux balles,…vas jouer dans le bac à sable,…
…l’intimidateur à l’épée de Damoclès,…
…etc,…
« Cela m’éviterait de voter pour Wagner, Charlemagne, Dupanloup, Buster Keaton, Landru, Pie XII, Sophocle ou Loana »
J’observe avec consternation que JC n’a jamais voté pour le grand Lénine.
u.
Loana a remplacé Lenin, fort avantageusement du temps qu’elle était dodue, charnue…
à geindre de ce que la réalité n’est pas parfaite, vous nous prenez pour des débiles comme si nous ne nous en étions pas aperçu dans l’espace qui sépare la naissance de ce jour commun comme un programme? Enfin si vous ne pouvez toujours pas choisir à droite à gauche sans vous décider encore pour la gauche la droite qu’est-ce qu’il reste? Ne pas se déplacer du tout, le vote blanc, ou le vote nul avec ajout sur le bulletin d’un slogan personnel qui ne sera pas retransmis au 20 heures .
On entend parfois dire que Wagner est passé de la « gauche » de sa jeunesse à la « droite » de sa maturité ou de sa vieillesse.
Ce n’est pas exact.
Il est passé d’un ordre des choses à un autre.
Quand il était jeune, il pensait que la révolution politique pouvait sauver le monde, et que l’art jouait son rôle dans un tel contexte..
Plus tard, il a abandonné cette idée: la « rédemption » ne se ferait pas par la politique mais seulement par l’art.
La vraie révolution n’est plus à Dresde mais à Bayreuth.
Il ne passe pas d’une politique de gauche à une politique de droite.
Il fait ses adieux au politique en général.
Ça n’empêche pas que ses propos ou ses actes puissent être jugés (par lui-même ou ses adversaires) comme « conservateurs », mais c’est devenu d’une importance secondaire.
Le « Nobel » n’aurait pas cédé à la tentation
de « couronner » un phénomène de mode,
une tête de gondole à gros tirage ?
Plutôt bonne nouvelle !
Eloignement.
« Enfin si vous ne pouvez toujours pas choisir à droite à gauche sans vous décider encore pour la gauche la droite qu’est-ce qu’il reste? »
Relisez mon commentaire de 10:04 pour éviter de finir « borgne » ! Il y a de l’espace au delà de DROITE/GAUCHE !!!
jicé t’as toujours trop d’place par derrière
Compter à part les votes blancs, je suis pour.
Un bulletin blanc devrait être fourni avec ceux portant le nom des candidats.
Ça éviterait d’être mis dans le même sac que celui qui a oublié de remplir son enveloppe.
C’est déjà le cas dans quelques pays.
Indispensable quand on est confrontés à des Plague and Cholera parties.
Il ne passe pas d’une politique de gauche à une politique de droite.
Il fait ses adieux au politique en général.
..les artiss c’est des larbins zouzou..et wagnère a larbiné plus que les autres..a t’il besoin de notre pardon et notre compréhension ? déjà a nietzleucheu il disait qu’il comprenait nibe..alors nous..
« Indispensable quand on est confrontés à des Plague and Cholera parties. »
surtout si efficace pour faire le jeu des idoles d’un jc
TKT 9h50 je dirai que c’est comme une recette de cuisine il faut selon que vous soyez femme ou homme soustraire dix bonnes années pour conserver une marge de sécurité, à mon age je renonce à les ajouter je ne regarde plus que les jeunes gens vigoureux qui passent à l’horizon, j’en distille des poèmes.
Loana a remplacé Lenin
jles vois trés bien cohabitant pour nous faire l’homme nouveau en dirèk..ça ça t’épatrait hin jicé
Pour des raisons strictement personnelles
je préfère quand tu dis perso..aimer se faire fesser c’est commun clopine, enfin je veux dire que tu partages ça avec beaucoup de gens..le rouge..c’est élégant!
« Un bulletin blanc devrait être fourni avec ceux portant le nom des candidats. »
Oui, mais on risque le shutdown. Plus de 50% de votes blancs signifie qu’aucun candidat ne convient, d’accord. Mais la situation est intenable. Alors on revote, encore et encore, comme au Goncourt, pour finalement élire au sixième tour un des candidats rejetés précédemment.
Pas de fosse modestie, Bougboug … ! tu vaux bien plus que Nietzche (…qu’est mort, le pauvret…)
« Oui, mais on risque le shutdown. »
Très sain, le shutdown …
Si bouguereau croit que christian/maurice est keupu, c’est qu’il a la berlue.
Certains ici semblent croire que bouguereau est fondamentalement con et prétentieux c’est un avis comme un autre ..
« quand on est confrontés à des Plague and Cholera parties »
ah ces rêveurs d’absolu qui s’impatientent…
« Il y a de l’espace au delà de DROITE/GAUCHE »
JC et l’extrême-droite …
La normalisation a détruit la partie esthétique, artistique, des véhicules. Le côté positif est quelles sont plus sûres.
la bagnole c’t’un nanar vontraube..le prolo qu’a pas d’permis peut te doubler ta porsche et t’énerver et t’faire perde tout tes points..tût t’rends compte !..avec goering ça marcherait pas comme ça..les adhérants au nsdap pourraient rouler plus vite
« Plus de 50% de votes blancs signifie »…
Ça signifie avant tout la nullité de l’offre politique.
C’est une invite brutale à l’auto-dissolution, ou au moins à la remise en cause radicale!
Evidemment, il faudrait se creuser la tête pour replacer M. Placé, c’est bien angoissant.
Certains ici
..ils se consultent en lousdé en plus les raclures
« Nietzche (…qu’est mort, le pauvret…) »
Dieu est mort, Nietzsche est mort, putain ça commence à faire beaucoup.
Ça signifie avant tout la nullité de l’offre politique.
sûr faut démettre le populo et le remplacer par le consommateur..y’a pas d’consommateur blanc hin zouzou..ceux sans calçon sont topé..c’est pus trés grave zouzou..on va juste en hp maintenant pour ça..spèce de lisenkiss
putain ça commence à faire beaucoup
..toi même tu te sens pus trés bien ?
« ..les artiss c’est des larbins zouzou..et wagnère a larbiné plus que les autres.. »
C’est juste, bouguereau, mais les loufiats sont retors.
La dialectique incarnée par Bogarde dans The servant, hein.
Ludwig II, il lui léchait la main.
Pas de fosse modestie, Bougboug … ! tu vaux bien plus que Nietzche
..est ce que c’est pas vrai que wagnère il a pas arrété de faire la manche et le faux cul?
épidabord c’est çui qui dit qui ê, épicétout
est ce que c’est pas vrai que wagnère il a pas arrété de faire la manche et le faux cul?
je sais pas j’i été pas né
Réfléchis, u., je sais que tu es très fort en réflexion.
« Nullité de l’offre politique », « remise en cause radicale ». Une offre politique non-nulle est forcément radicale. Donc confrontée à une opposition également radicale. Comment tu t’en sors ? Si c’est une offre à la JC, tous les anti-JC montent au créneau. Si c’est une offre anti-JC, tous les JC montent au créneau.
Si les pour et les contre étaient répartis géographiquement, on pourrait envisager une sécession. Mais c’est pas le cas. Alors, entre deux maux on choisit le moindre. C’est pour ça qu’on a un scrutin à deux tours, pour pouvoir trancher au bout du compte.
Evidemment, le meilleur système serait un despotisme éclairé. Seulement voilà, un despote vraiment éclairé, ça ne peut pas humainement exister. D’où les religieux, qui veulent un Etat gouverné par Dieu. Je pense que ni toi ni JC ne défendent cette idée-là.
Ludwig II, il lui léchait la main
oser confondre les manières de ludwig avec celui d’un larbin !.. t’es qu’un croquant zouzou qui comprendra jamais les aristos..
Je pense que ni toi ni JC ne défendent cette idée-là
..ça dépend..avec ces gars là y’a plein d’alliances « objectives »..c’est eux qu’il l’ont inventé (chut)
Ça signifie avant tout la nullité de l’offre politique.
quelle découverte époustouflante
@un despote vraiment éclairé, ça ne peut pas humainement exister.
avec le couple û-jc au pouvoir, ça peut
Vous dites que les politiciens sont nuls, c’est possible. Le probloc, c’est qu’on n’en a pas d’autres. Vous vous dévouez pour être candidats, u. ou JC ? Non ? Alors il ne vous plus qu’à choisir dans ce qu’on offre.
Comme au marché. Tu te trouves que les patates sont pas belles, mais faut bien bouffer, alors t’en prends un kilo quand même.
louchmoll il est con..c’est keupu
T’as raison à 50%, bouguereau. Je suis con, mais je suis pas keupu.
c’est not bon roi françois qui a eu le prix nobel jicé..il t’authorise à être fier..ça va te changer
bouguereau il est con..c’est mac
Vous vous dévouez pour être candidats, u. ou JC
le bas peuple espère que ces génies voudront bien leur faire cette grâce
le pouvoir ne les intéresse que pour disposer leur position dans l’opposition, une roche inaltérable qoiqu’u. se montre par trop timoré alors que JC ressemble à une figure de proue, un Jean d’Arc qui traque l’ennemi reste à définir la notion d’ennemi selon JC.
« un Jean d’Arc qui traque l’ennemi reste à définir la notion d’ennemi selon JC. »
Mais non.
C’est l’ennemi qui désigne le démocrate comme son ennemi.
Il faut un peu d’oreille.
Depuis JP R plus personne n’a conceptualisé pour la spatialité géo-politique dans ce pays, être à l’ouest depuis la chute du mur ne dit plus rien et après la France d’en bas la France d’en haut n’a pas éradiqué ce gros problème qui appartient comme un richesse à la France du sous-sol les aciéries fermées nous n’iront plus au bois les lauriers sont fanés.
« Une offre politique non-nulle est forcément radicale. »
Je ne vois pas pourquoi.
Par exemple, Mendès-France était non-nul.
Ce sont les institutions qui l’ont empêché de donner sa mesure.
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