Deux manières d’écrire sur la musique
Il y a des écrivains de musique comme il y a des écrivains d’histoire. On les reconnaît au pas de côté qu’ils effectuent « en écoutant en écrivant » pour paraphraser un titre de Julien Gracq- sans la virgule afin de souligner qu’il s’agit bien dans leur cas d’une seule et même activité. Deux livres viennent de paraître qui reflètent avec brio deux manières très différentes quoique complémentaires d’écrire sur la musique, ceux qui la composent, ceux qui la dirigent et ceux qui l’interprètent.
D’abord la plus connue des deux : « la manière Tubeuf », qui s’est illustrée par le passé à travers trois romans et surtout une vingtaine d’essais consacrés à Beethoven, Verdi, Bach, Wagner, Mozart, le lied, l’opéra… Philosophe de formation, critique musical des plus répandus, André Tubeuf (1930) est apprécié pour la solidité de son érudition musicale, l’exigence de son écriture aussi classique que colorée, sa connaissance du milieu et son vécu des concerts, sa mémoire des enregistrements, ses choses vues en coulisses. C’est peu dire que ce monde lui est familier, personnel. On retrouve toutes ces qualités conjuguées dans l’hommage chaleureux qu’il rend cette fois à l’un des plus grands pianistes dans Rudi. La leçon Serkin (204 pages, 18 euros, Actes sud).
Le témoignage d’un auditeur reconnaissant qui eut le privilège d’être de ses proches des années durant. C’est bien le livre d’un écrivain. Nul besoin de passer par la case « roman » tant son héros est déjà un personnage romanesque ; c’est déjà assez subjectif de le raconter intimement tel qu’on l’a connu, inutile d’en rajouter. La leçon en question est d’abord une leçon d’incarnation tant son ami, Juif autrichien un peu tchèque sur les bords, tout en mains noueuses, était un concentré d’énergies, de conviction, de foi ; car c’est bien le portrait d’une amitié nouée dans la connivence d’une passion commune qu’il s’agit tout au long de ce récit. L’auteur ne le cache pas et s’en réjouit même : longtemps il a été sous son emprise et il n’a guère connu, parmi ceux qui ont approché l’interprète, d’hommes ou des femmes qui n’aient pas été sous la coupe de son magnétisme. Serkin selon lui, c’était une absence de complaisance avec soi et donc avec autrui, pas la moindre concession à l’air du temps, l’indifférence à la doxa, un tempérament inflexible, dans la règle plutôt que dans le siècle.
L’auteur avait déjà consacré un livre à un pianiste (Claudio Arrau en 2003) et récemment approché Serkin par la plume en en écrivant un autre sur son beau-père, le violoniste Adolph Busch La premier des justes (Actes sud, 2015). Cette fois, il a traité le gendre en cinquante courts chapitres vifs et enlevés où il réussit à nous rendre dès les premières pages si proches du personnage. Tout y est de l’homme même, de ses doutes, de ses découragements, de son caractère dans les guerres, les exils, les proscriptions, de son amitié indéfectible avec Pablo Casals, de sa façon de marcher sur scène vers le piano, de sa voussure dorsale lorsqu’il salue le public, de l’intensité du regard qu’il portait sur les autres, du nomadisme du musicien de festivals, des loges, de sa réaction aux si allemands Vier letze Lieder de Richard Strauss…
Tubeuf n’est pas un ingrat. Il doit à Serkin d’avoir été forcé à Bach en découvrant la cadence du Cinquième Brandebourgeois. En retour, Serkin lui doit d’avoir découvert Marilyn Monroe saisie par la Sehnsucht lorsqu’elle chantait River of No Return, exemple d’un chant sans voix et presque dénué de musique : « Mais c’est du Schubert… ». Bien sûr, ce récit sur « Rudi et moi » offre sa part d’anecdotes, mais elles sont de la même tenue littéraire que le reste. Certaines se déroulent à table, à la maison plus souvent qu’au restaurant ; l’auteur nous confie d’ailleurs qu’un jour, lui-même se mettra à table pour écrire un livre sur les musiciens lorsqu’ils sont enfin hors-micro, déboutonnés, loin de toute représentation, libérés du corset de l’interview questions-réponses, prêts enfin à s’abandonner aux délices de la conversation et aux confidences sur leur ressenti des choses, après un ou deux verres…
Le lexique varié dont disposent les écrivains de musique, la richesse de leurs métaphores, l’inventivité parfois mystérieuse du vocabulaire technique dont ils usent pour faire entendre la musique par les mots, tout cela est de nature à impressionner le simple mélomane incapable de déchiffrer une partition. Mais avec André Tubeuf, il ne s’agit pas d’en mettre plein la vue ou d’écraser le lecteur au risque de l’exclure. Même si l’on ne saisit pas toujours la signification exacte d’une image, le sens flotte entre les lignes et c’est bien assez. Qu’importe après tout si dans les triolets inauguraux de la sonate Clair de lune, un mouvement implacable est vu comme « une pulsion qui est la nuit qui marche » ( ?)…
On s’en doute, la lecture d’un tel livre, à l’enthousiasme si communicatif, renvoie inévitablement aux enregistrements de Rudolf Serkin. C’est sa vertu. Impossible d’échapper au disque jugé miraculeux car « à lui seul il dit tout » de la vérité de l’artiste : l’opus 109 de Beethoven. D’autres encore, le tragique des Impromptus de l’opus 142 de Schubert, son autre dieu, ou « son » Mozart aussi car c’est avec lui que Tubeuf dit retrouver « le Serkin le plus total et le plus simple à la fois ».
« L’ai-je assez dit, assez bien dit, que je l’aimais ? »
Oui, sans aucun doute. Voilà pour la manière Tubeuf. De l’autre, on pourrait dire déjà que c’est « la manière Gruber » bien que l’auteure soit plus jeune (1972) et que Trois concerts (592 pages, 24 euros, Phébus) ne soit que son troisième livre ; mais il est si original, doté d’une telle énergie et si vivant qu’il révèle un ton, un son, un univers qui suffisent déjà à savourer une autre façon d’écrire sur la musique. Cette fois, c’est bien d’un roman d’apprentissage qu’il s’agit, cette fiction fût-elle nourrie de toute évidence d’une longue et profonde fréquentation de celles et ceux qui la font et la servent. La musique dite classique est partout dans ces (nombreuses) pages remarquablement architecturées autour de trois personnages : Clarisse Villain, une petite violoncelliste, du genre renfermée, pas commode et plutôt paumée, qui n’a pas dix ans mais assez de personnalité pour téléphoner au grand violoncelliste Viktor Sobolevitz, désormais éloigné des grandes scènes, afin que le maitre la prenne pour élève, et Rémy Nevel, un important critique musical. Le pari narratif est ambitieux car le lecteur est invité à suivre leur évolution dans un écheveau de situations actuelles ou passées, que leurs routes se croisent ou qu’elles affrontent d’autres personnages. Un foisonnement d’émotions, d’observations qui démentent le manque de souffle, le nombrilisme et l’anémie généralement reprochés à la fiction française. L’incipit est habile :
« C’est par la suite que tout a commencé. La Suite, la première des trois que Paul Crespen écrivait à Londres… »
On songe alors à un fameux incipit, celui du Fin de partie de Beckett, lorsque Clov dit, le regard fixe et la voix blanche :
« Fini, c’est fini, ça va finir, ça va peut-être finir. Les grains s’ajoutent aux grains, un à un et un jour, soudain, c’est un tas, un petit tas, l’impossible tas. »
Clarisse, cette grande silencieuse qui a tant de mal trouver ses mots, ne fait pas de la musique en plus ou à côté d’autre chose. La musique, c’est sa seule vie et sa vraie langue. Il y a de l’enfant prodige en elle, mais cela ne suffira pas ensuite si les qualités humaines n’y sont pas. Pour faire carrière, on lui explique qu’elle doit assouplir un caractère trop rugueux, qu’elle doit abaisser un peu son niveau d’exigence en société. Le talent ne suffit pas -même dans les concours. Et encore… Comme dans la vie, les inégalités se manifestent dès le tout début. Si Clarisse est jalouse de la petite Violette Kelemen qui est encore plus jeune qu’elle, ce n’est pas seulement parce qu’elle est déjà professionnelle et que, dès qu’elle s’empare du violoncelle, elle a en elle la grâce, le son et l’aisance : ce qu’elle lui envie le plus, c’est d’avoir grandi dans une famille de musiciens, d’avoir été bercée par leurs amis musiciens, d’avoir été conçue dans la musique, d’être née dans la musique et de n’être jamais sortie de ce liquide amniotique : « Aussi dur que tu travailles, tu ne pourras jamais changer l’endroit d’où tu viens ». Clarisse, elle, sera toujours plus dans le sombre et l’effort.
Lorsque le maître l’envoie au casse-pipe, traduisez : à la sonate de Kodaly, elle n’est pas désarmée ; car à force, elle a intégrée une certaine perception de ce qui est juste, qui n’a rien à voir avec la technique mais qui est simplement la vérité même si, comme le Maître le lui fait observer, « elle est obscurcie par l’éclat de votre perfection ». N’empêche que la légèreté qui lui fait défaut lui manquera toujours ; ces choses-là ne s’apprennent pas ni ne se transmettent ; on croirait une fatalité génétique ; allez expliquer à une artiste, qu’elle soit musicienne, danseuse, comédienne, que même si ce n’est pas une raison pour renoncer, rien n’y fera. Nous sommes constamment dans l’intimité des musiciens, et pas que les grands : ceux qui, comme tant de comédiens, vivent de panouilles, cachetons, remplacements, dépannages, et doivent se résoudre à faire moins« de la petit musique que de la musique petitement ».
Un récit profus sans être bavard, une écriture cash, directe, allègre, mêlant les registres de voix et d’accents, interpellant ses personnages, les engueulant parfois. Lola Gruber tient le rythme sans faiblir, chose remarquable sur une telle distance (près de 600 pages, tout de même). Les biographies exhaustives des uns et des autres nous sont épargnées au profit de ce qui fait leur faille ; de toute façon, du vivant du concerné, c’est le plus souvent ennuyeux ; post mortem, c’est là que cela devient intéressant ; non dans la nécrologie, c’est trop tôt mais bien après, lorsque les langues se délient et que se fait jour le misérable tas de secrets et la somme de contradictions et de petites ou grandes corruptions qui nous constituent aussi. Tout sonne juste dans ce livre, tant de pages entrent en résonance avec ce que l’on a pu vivre de ce monde-là – à commencer par le nom sur la couverture, la vibration produite par « Lola Gruber » renvoyant étrangement à celle de « Dora Bruder »… On n’échappe pas à la technique, comme dans Rudi. La leçon Serkin. Ici aussi, il y a bien des passages qui demeureront obscurs au néophyte mais aussi d’autres plus accessibles sur la mélodie du tararariraradim-dam-yaaa lorsque ça rencontre le tarararariraradim-dam-yoo ! C’est ainsi : Beethoven était sourd et Liszt, hongrois, débrouillez-vous avec ça.
On s’en doute, la réflexion sur la musique, plus élaborée et plus dense que par les formules, est permanente dans ce roman dès que l’interprète est enjointe de se choisir un style :
« Je ne sais pas ce que c’est. Un musicien n’est pas là pour améliorer un chef d’œuvre. Je joue… je jouais ce qui est écrit du mieux possible. C’est tout ».
Un petit tout qui renvoie au grand tout, à la quête de l’inaccessible pureté, au tête à tête avec la solitude. Pas seulement la solitude des tournées et des chambres d’hôtel, mais la solitude face à la partition : que faire au juste du « Nicht zu schnell » lorsque c’est Schumann qui le précise ? Chacun a sa propre respiration dans l’art et la manière de ne pas aller trop vite. Mais qu’est-ce que cela peut bien être un tempo qui corresponde à quelque chose tout en étant « légèrement retenu » quand on sait que le violoncelle chante tout le temps dans ce concerto ? Le maître tranche en rappelant que tout est déjà dans le titre et que ce n’est pas un hasard si le compositeur n’a pas écrit un « Concerto pour violoncelle et orchestre » mais bien un « Concerto pour violoncelle avec accompagnement de l’orchestre ». Et voilà. Suffit de le savoir sans pour autant se laisser impressionner par les règles, fussent-elles énoncées en rappel par la-grande-critique, laquelle est définie comme une certaine pratique des « approches croisées, diagonales, savantes mais vivantes, limpides, légères ». Ne pas se laisser non plus abattre par les traditions. Encore que certaines en imposent : à Leipzig, on joue toujours Bach sans vibrato parce que c’est comme ça, foi de Konzertmeister, quoi qu’en pense Pinchas Zuckerman (le débat est un serpent de mer) ! Aussi indiscutable que la prise de l’instrument dès qu’on le sort de l’étui : le violoncelle dans la main gauche, l’archet dans la main droite.
« Vous ne devez pas manipuler la musique, ni vous laisser manipuler par elle. Si quelqu’un doit être manipulé, c’est moi qui vous écoute. C’est un pacte entre nous : si je suis venu au concert, c’est pour qu’il m’arrive quelque chose. Pour que m’arrive à moi, et pas pour contempler ce qui vous arrive à vous. Reprenez »
Si le personnage du Maitre sortait de ce roman et le lisait, il le trouverait tout sauf Schmaltz, son expression favorite pour enfoncer une interprétation jugée trop mièvre ou excessivement sentimentale. Car Trois concerts, ça secoue, ça vibre, ça vit. Pas de doute : Lola Gruber connaît la musique.
(« Rudolf Serkin en concert puis avec Pablo Casals au festival de Marlboro » photos Gjon Milli pour Life magazine ; « photos D.R.)
1 853 Réponses pour Deux manières d’écrire sur la musique
« Et comment ne pas rappeler ici la réaction du prince de Ligne à qui Casanova avait soumis son deuxième chapitre, et qui lui écrivit avec une désarmante franchise : « Un tiers de ce tome second, mon ami, m’a fait rire, un tiers m’a fait bander, un tiers m’a fait penser. Envoyez-moi très vite le troisième » ? »
second..troisième..on nage en plein cocquetèle à marius baroz..t’es de marseilles
Le choix de la violence est toujours réactionnaire
c’est pour ça qu’on fait tirer l’anglais le premier rénateau..
L’attrait caché de PaulEdel pour Ulrike Meinhof !
oulriké si qu’elle avait dansée avec une belle plume polo il aurait fait rempart de son corps..
avec sa douzaine d’huîtres au petit déjeuner, le régime du Prince de Ligne pouvait enfourcher son Casanova
Ce ne sont pas du tout mes goûts. Demande à jazzi, il sait
pourtant..’le gout du rudbyman complétement con’..ça frait un sacré billet dédède..t’as peur que baroz te fasse un procés?
Quadru peut toujours ironiser sur les « arguments » de Jallon pour différer la sortie du roman de Battisti. L’enjeu n’est pas aussi simple que celui qu’il prétend : la « peur du mauvais buzz » ou du fait que Battisti serait passé aux aveux « le flingue sur la tempe ».
Les temps ont bien changé hélas, et d’aucuns n’ont pas beaucoup évolué depuis les années de plomb. On ne peut plus si facilement différencier entre les terrorismes depuis Charlie, qu’on le veuille ou non. Et donc, que les hiérarchies dans les conséquences de l’horreur sont obscène tout comme les Delaportes éructant sur « l’innocence » rétrospective de la grande U. Meinhof et de la « culpabilité imprescriptible » d’un petit Polanski…
Mais dans quel monde de taches vivons-vous, noms de dieux ?…
comment qu’elles voyageaient à l’époque les huitres..il havait de l’estomac qu’il aurait dit juju
Mais dans quel monde de taches vivons-vous, noms de dieux ?…
faudrait pende quelques gilets mais danny il est conte la violence qu’il leur a dit..bien en face..tout ça c’est cornélien
Clopine, je manque d’arguments en general et là en particulier. Mais j’admire le lierre qui étouffe l’arbre, les bouquets de gui bien que funestes si trop envahissants.
Chamonix, sans les réseaux et cette hypermediatisation, Seuil eût pu ( me souffle t on) prendre la décision de publier , les conditions sont telles … Tout le monde ne peut pas dire merci . Il est vrai qu’avec l’illusion d’un accès In- fini à tout rendu possible nous sommes victimes et soumis à l’ordre et l’état du monde.
si l’bouquin est bon un éditeur qui fait son boulot doit publier voilà tout cque dit polo..mais les temps changent qu’il dit jjj..des braves gens..pleins!..des sots métiers..toupartout
béré elle craque sous le sac de ciment..pour miss culte en 2075 c’est rapé..
Phil, un prince au lit finit les ennuis.
Sinon, pour ceux qui sont obligés d’y passer, la liste des palaces exploités par le régime de la charia est disponible .
@acid eaters
My back pages
https://www.youtube.com/watch?v=L7FgZhLl7i4
Le prince de Ligne, auteur très surfait. Ses Mémoires sont à mon sens illisibles.
Nous vivons dans une société où, même chez les gens qui se veulent cultivés et certains politiques, l’idée du Droit est très approximative pour ne pas dire inexistante, de là la confusion qui est faite entre activité professionnelle et faits criminels.
Cela dit, il y a dans les papiers de Leonardo quelques dessins — dont un avec didascalie — très explicits relativement à la relation qu’il entretenait avec Caprotti-Salai. Aujourd’hui il serait accusé de pedophilie.
D’ailleurs, d’où vient le nom Salai je l’ai écrit ici il y a quelques années de là. Je n’avais pas dit comment ce nom se forme et pas envie d’écrire plus que ça, il suffit de savoir que si les associations antiracistes se donnent la peine de conduire une petite enquête, elle lanceraient le boycot du 500e.
Que viendraient faire « les associations antiracistes » dans le débat ou les prétendus ébats entre Léonard et son Petit Diable ?
« Nous vivons dans une société où, même chez les gens qui se veulent cultivés et certains politiques, l’idée du Droit est très approximative pour ne pas dire inexistante, de là la confusion qui est faite entre activité professionnelle et faits criminels. » Renato.
Si l’on devait s’en tenir aux déclarations politiques de S. Quadruppani, faites en parfaite ignorance du Droit français, et lui en faire grief, on se priverait de son excellent travail de traducteur, s’agissant d’A. Camilleri.
Si les lecteurs français étaient privés, pour un an ou deux, de la lecture du dernier roman de Battisti, criminel, reconverti en auteur de polar, que les connaisseurs, comme son éditrice, disent tres bon, cela ne porte pas atteinte, à la liberté d’expression, si chère à ceux qui n’en usent que pour la transgresser.
S. Quaddruppani, dans sa lettre ouverte au directeur des editions du Seuil va beaucoup plus loin.
Il utilise le Droit, tel que pratiqué par les mafieux, légitimant une « doctrine », verbale, jamais légalisée, et que le Conseil d’État français a cassé à plusieurs reprises. Cette « doctrine » dite doctrine Mitterrand , sorte de loi non écrite, qui rappelle des pratiques peu glorieuses de l’histoire, S. Quaddruppani, qui se présente comme ancien sage de cette confrérie de « la doctrine », entend, non seulement veut la faire valoir, mais également l’étendre, à la production « intellectuelle » des activistes de l’extrême gauche italienne, sans distinction de personnes et des crimes commis par certains.
Ce terrorisme intellectuel ne tient aucun compte de l’époque, des lois en vigueur, ni de ce qu’en pensent les principaux intéressés, les italiens. Et M. Quaddruppani a une bien piètre idée de la justice, en Italie, niant là encore la justice, institution, dans uns un délire inquiétant.
Gageons que M. Quaddruppani suivra dans ke détail, ce procès Battisti. Car aussi étonnant que cela puisse paraître aux amis de M. Quaddruppani, la justice va passer.
Et même si le directeur du Seuil cède à cette « amicale » pression se son « ami » ( Passou vient de faire in billet sur Corleone, ça donne des idées…), et décide de publier ce polar extraordinaire de Battisti, M. Quaddruppani nous annonce un chef d’oeuvre, cela ne lui vaudra pas un non-lieu.
l’homme de goût, dear Renato, est aussi légèrement pédophile qu’antisémite. c’est avoir du chic, « mot qui nous vient des Allemands qui n’en ont aucun ». Bougreau comprend bien le Morand, Mme Sasseur un peu moins.
ce matin, M. Erner franceculture, qui n’a pas soufflé un mot sur ses ondes frelatées du documentaire « M. » de Yolande Zaubermann, s’encanaille à causer mafia avec Saviano. à midi, nouilles aux truffes chinetoques (Burt Reynolds causait ça dans ses films) dans la maison ronde.
Prenez de la graine de Ligne, Delaporte.
Exact Phil, les bandaisons de Morand et prince consort , me laissent de marbre.
Il y a plusieurs fautes de frappe dans mon message. Que cela n’offusque pas les amis de la « doctrine « .
Renato essaie d’expliquer que dans le da Vinci Code, Léonard se paie un p’tit noir. Comme d’autres prennent leur café.
Sur le Prince de Ligne, Delaporte démontre une fois de plus à quel point il est sot. Une oeuvre pleine de notations étonnantes, notamment sur l’enfance.
N’est-ce pas lui qui avait dit à Casanova : »Vous êtes un très bel homme ». Mort d’un abcès à la fesse. Amen.
Lindon qu’on croisait très souvent naguère au marché de Neuilly -quel déclassement, Assouline!- n’a rien d’un très bel homme.
Drame au lycée de WGG…
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-un-lyceen-se-pend-a-l-internat-janson-de-sailly-01-04-2019-8043906.php
Chaloux, Lindon m’a l’air de quelqu’un de bien. Suivi une emission qui lui était consacrée il y a quelques années, je ne pense pas confondre l’homme aux personnages qu’il interprète.
36, de toutes manières, elles ne sont plus exploitables. Un marbre érigé offre tout de même la qualité du toucher, finesse du grain de cette pierre, lisse et qui peut se réchauffer en insistant.
@rose dit: 1 avril 2019 à 21 h 52 min
Vous lisant, souvent en silence, il me semble avoir compris que chez vous l’extrême désespoir, le dégoût du mensonge, le doute face à l’illusion virent, coïncident souvent avec la joie. Vous êtes alors tonique et réconfortante et versez sur ces fils de commentaires espiègleries et pirouettes inimitables. Plume d’un amour désenchanté, décisions courageuses derrière ces pitreries. Vous restez derrière ce rideau de scène discrète, presque absente…
Vous lire est alors un rapport de ces mots-clown au silence.
La mémoire retrouvée de renato !
« J’ai aimé les mets au haut goût : le pâté de macaroni fait par un bon cuisinier napolitain, l’olla-podrida, la morue de Terre-Neuve bien gluante, le gibier au fumet qui confine, et les fromages dont la perfection se manifeste quand les petits êtres qui les habitent commencent à se rendre visibles. Pour ce qui regarde les femmes, j’ai toujours trouvé que celle que j’aimais sentait bon, et plus sa transpiration était forte plus elle me semblait suave. »
Jazzi, le goût évolue au fil des siecles. On dirait qu’il s’adapte, à cette époque j’imagine que la sueur devait appartenir aux odeurs agréables et bien qu’il y eut des fleurs pour rappeler l’existence des parfums.
Toutes les séances ont lieu à l’Université Paris 8
Bâtiment A | Département de Philosophie | Salle A028
Accès libre dans la limite des places disponibles
Ven. 15 février, 15h-17h : Philippe SABOT (Université Lille 3 – STL / Centre Michel Foucault) : Foucault lecteur de Husserl. Notes sur le manuscrit “Phénoménologie et psychologie” (1953-1954) » : ENREGISTREMENT* Première séance
Ven. 22 février, 15h-17h : Alain BROSSAT (National Chiao Tung University of Taiwan) & Philippe CHEVALLIER (Bibliothèque nationale de France) : Foucault et le CERFI, des Équipements du pouvoir à Surveiller et punir Un « état d’avancement des travaux », inédit de 1974″. ENREGISTREMENT* Deuxième séance
Ven. 15 mars, 15h-17h : Gianvito BRINDISI (Università della Campania “Luigi Vanvitelli”) : La folie en jugement. Autour du manuscrit « La raison du crime » et du séminaire fermé du Collège de France de 1974-75.
Ven. 22 mars 15h-17h : Judith REVEL (Université Paris-Ouest Nanterre – Sophiapol) : Construire une pensée. A propos de treize inédits de Foucault sur la folie, le langage et la littérature.
Ven. 29 mars, 15h-17h : Elisabetta BASSO (Universidade de Lisboa – Centro de Filosofia) : La « philosophie de la psychologie » dans le Foucault inédit des années 1950. Le manuscrit sur La phénoménologie et Binswanger (1953-54).
Ven. 12 avril, 15h-17h : Arianna SFORZINI (Université Paris-Est Créteil – LIS / Bibliothèque nationale de France) : L’homme, avant la mort de l’homme. A propos du cours de Michel Foucault sur l’anthropologie (Lille-ENS, 1952-1954).
Ven. 19 avril, 15h-17h : Claude-Olivier DORON (Université Paris Diderot / SPHERE – Centre Canguilhem) : A la recherche d’un continent perdu. Enjeux épistémologiques et politiques du projet d’une archéologie de la sexualité : des Carnets (1963-1969) au manuscrit sur « La croisade des enfants ».
Ven. 3 mai, 15h-17h : Orazio IRRERA (Université Paris 8 – LLCP / Collège international de philosophie) : L’idée d’homme et l’universalisation de la culture occidentale : discours philosophique, humanisme et colonialisme dans le cours de M. Foucault de Tunis (1966-1967).
Ven. 10 mai, 15h-17h : Daniele LORENZINI (University of Warwick) : Foucault, Descartes et les (més)aventures du discours philosophique.
Ven. 31 mai, 12h-14h : Bernard E. HARCOURT (Columbia University / EHESS)
Jazzi, la triste nouvelle de l’étudiant pendu à Janson réveille en moi quelques souvenirs, et surtout me fait reconsidérer des attitudes et des positions que j’ai adoptées par le passé, (étourdiment ? Je me le demande désormais !) alors que je n’avais pas conscience de cette pression exercée sur les jeunes gens, surtout à Janson ! Bref, me voilà troublée, et triste, et si j’étais l’équipe éducative de Janson, j’en profiterais pour me remettre en cause, et sérieusement, et pas dans l’aveuglement (je sais de quoi je parle !) ou le déni social…
Bérénice, voici le genre de femmes dont Casanova avait le goût, lui qui fut l’amant de la mère et de la fille Balletti. Rien à voir avec le physique anorexique du « Casanova de Jacquot ». C’est à se demander si Delaporte a vraiment lu les Mémoires du chevalier de Seingalt ?
https://oliaklodvenitiens.wordpress.com/2012/07/17/sur-les-traces-de-giacomo-3/
SEMINAIRE PARIS 8 / Journée d’études. Foucault et la sexualité 5 avril 2019
L’archéologie de la sexualité et les aveux de la chair.
Relire l’Histoire de la sexualité de Michel Foucault aujourd’hui
Journée d’étude organisée en collaboration avec le Département de Philosophie de l’Université Paris 8 Vincennes – Saint-Denis ; le Laboratoire des Logiques Contemporaines de la Philosophie (LLCP, EA 4008) et le Centre Michel Foucault.
Organisateurs : Agustín COLOMBO (Boston College/Clough Center) ; Orazio IRRERA (Université Paris 8/LLCP) ; Frédéric RAMBEAU (Université Paris 8/LLCP)
Présentation
Les parutions récentes des cours sur la sexualité, que Foucault a tenus à l’Université de Vincennes en 1969 et à l’Université de Clermont-Ferrand en 1964, et du quatrième volume de l’Histoire de la sexualité, Les aveux de la chair invitent à réinterroger son archéologie de la sexualité, une des entreprises les plus importantes du philosophe, comme une véritable œuvre processuelle. Elles permettent aussi de relireà partir d’une multiplicité inédite d’angles d’attaque les trois volumes de cette Histoire de la sexualité qui dénaturalise les cadres conceptuels selon lesquels la sexualité est pensée, en soumettant à une critique antihumaniste toute représentation de la sexualité basée sur une norme naturelle ou une essence humaine.
La matinée sera consacrée aux deux cours des années 60. Qu’en est-il de ce jeu de la modernité entre la limite et la transgression, que Foucault confronte à l’émergence d’une conscience problématique de la sexualité et à sa constitution en objet possible pour certains savoirs ? Qu’est-ce que le « discours de la sexualité », cet ensemble de pratiques réglées, savoir social et anonyme qui s’élabore en discours scientifique et dont Foucault propose l’archéologie, en l’inscrivant dans les débats de l’époque à propos des rapports entre science et idéologie.
L’après-midi portera sur les Aveux de la chair, dont la publication complète la série des recherches consacrées au projet de l’Histoire de la sexualité. En se focalisant sur les Pères de l’Église du IIejusqu’au Vesiècle, ce texte vient clore l’exploration de la morale sexuelle de l’Antiquité, et lui offre de nouvelles perspectives. Qu’en est-il de cette notion de « chair », de la problématisation augustinienne du désir, des pratiques sexuelles et de la virginité qui répondent à l’exigence de manifester la vérité sur soi-même ? Les Aveux de la chairpermettent de mieux saisir les discontinuités introduites par le christianisme dans la morale sexuelle des philosophes dits « païens », et d’interroger sous un nouveau jour les premières hypothèses avancées par Foucault dans La volonté de savoirà propos de l’origine chrétienne de la sexualité moderne.
Salaï, voyons donc — à pas de course :
En Toscane le nom désigne une divinité malfaisante ou un démon. Voir dictionnaire italien-français d’Aliberti de Villeneuve, 1772 : « Se dit couramment à la place d’Allah — mot turc qui signifie Dieu ».
On trouve le nom dans l’épopée burlesque Il Morgante Maggiore de Luigi Pulci.
Il faut « faire » un brin de bibliothèque plutôt que de la navigation sur le net, chers amis.
Tout aussi fascinante que la vie du chevalier de Seingalt, celle du chevalier d’Eon !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_d%27Éon_de_Beaumont
renato dit: 2 avril 2019 à 10 h 48 min
merci renato
Des conjugaisons ! Des leçons de grammaire ! Une nouvelle langue ! Peut-on réellement apprendre de nouvelles choses en dormant ?
L’hypnopédie est une méthode reposant sur une théorie simple, nous pouvons apprendre en dormant. Pour ce faire, il suffit seulement d’écouter pendant son sommeil la leçon à apprendre, le vocabulaire de la nouvelle langue, pour que le cerveau s’en abreuve, s’en nourrisse, s’en gorge. Et le matin venu, comme par miracle, ces nouveaux éléments auront été assimilés.
the conversation
Jandib de Sailly, comme quelques autres lycées parisiens de haut de panier est connu pour développer l’esprit de compétition.
Certaines personnes quoique très douées peuvent y être totalement réfractaire et en souffrir énormément. J’ignore si c’était le cas de cet élève. À l’origine d’un suicide se trouve une souffrance et du désespoir, c’est certain.
Allez savoir pourquoi le correcteur d’orthographe me transforme Janson en Jandib ni vu ni connu. Un mot qui n’existe nulle par t et je ne connais aucun « Jandib » nulle part.
Frédéric II a dit aussi que Casanova était « beau ».
J’ajoute que, comme structure reproduisant à l’identique le champ social, Janson de Sailly se pose là, et pas qu’un peu. Les quelques individus (le « cache-sexe », quoi, réduits à 1 ou 2 par classe…) provenant d’ailleurs qu’ Auteuil-Neuilly-Passy se voient confrontés à des élèves qui, dès la seconde (!), ont eu des programmes adaptés « en fonction de » la prépa de Janson. La terminale et le bac sont, pour ces élèves privilégiés, des plaisanteries : la dernière année du secondaire est déjà la rampe de lancement de la prépa. Elitisme, conformisme social, et des élèves grégaires qui ne sont certes pas là pour « critiquer le système » ou « penser par soi-même ». Vous y ajoutez une adéquation, que dis-je ? Une vénération pour la société capitaliste néo-libérale : vous obtenez le plus fort taux de réussite d’entrée à HEC (par exemple).
Et un gamin perdu, pendu au bout d’une corde.
Dire que notre hôte vient de là…
B. CYRULNIK, un enfant se donne la mort, attachement et sociétés, Paris, éditions Odile Jacob, 2011. (Issu du rapport sur le suicide chez les enfants et les jeunes, remis le 29 septembre 2011 par Boris Cyrulnik à Jeannette Bougrab, Secrétaire d’Etat à la Jeunesse)
Désolé, Jacques, les gens de ma génération ont appris à apprendre par cœur. Bon, maintenant, parfois, je perds des coups, mais c’est rare : je reste un éléphant.
Pour ce qui est des goûts culinaires de Casanova, je ne me suis pas donné la peine de me farcir sa mythologie ; plus simplement, il y a quelques années de là, on m’a invité à un « dîner Casanova » dans un restaurant dans la campagne de la Vénétie, où après avoir regardé les chefs d’œuvre aimés par le Grand Séducteur et en avoir senti leur odeur, on pouvait, heureusement, accéder à une carte moderne !
Dame Clopine bien rapide dans ses conclusions bourdieusesques. Ce jeune homme est « mort de ses vingt ans » comme disait le fondateur de la dynastie Schneider, fabricant de canons aux devises latines gravées sur les fûts.
http://agora.qc.ca/thematiques/mort/documents/le_rapport_boris_Le rapport Boris Cyrulnik: « Quand un enfant se donne la mort »cyrulnik_quand_un_enfant_se_donne_la_mort_
« je reste un éléphant »
Message reçu, renato. Je range la porcelaine !
Passou « vient de là »
Wiki tient ses fiches à jour, car Passou est bien cité dans les
Personnalités liées au lycée.
C’est un grand honneur qu »il daigne se « declasser » pour laisser s’exprimer ici des jalousies assez bestiales, il faut le dire.
Jandib au jambon.
Oui Rose, j’y ai pensé. Un nouveau mot pour désigner sous une forme plus compacte l’endive au jambon.
Ce soir j’me fais des Jandib.
Jandib, c’est l’anagramme d’A.bidjan ?
À l’origine du suicide se trouvent le sentiment que l’ on ne va pas s’en sortir/s’ en exrtirpet et aussi une absolue absence de confiance en soi- même. Pour la pendaison particulièrement. Le taux de suicide est exponentiel à l’ adolescence.
« À l’origine du suicide se trouvent le sentiment que l’ on ne va pas s’en sortir »
Il avait pourtant les meilleurs notes de la classe, rose !
extirper
justement.
macron aussi.
on voit le résultat. 😐
Un de les camarade de classe dont le père était un petit artisan arrivant à peine à joindre les 2 bouts pourtant terminé à HEC.
Aux dernières nouvelles il est directeur pour toute l’Amerique du Sud pour une très très grosse boite anglo-saxonne.
Il ramasse très probablement un pognon de dingue et rien que pour cela je ne l’envie pzs du tout. Mais c’était un camarade très agréable et courtois. Peut-être un peu trop avec le recul.
Sa mère qui « ne travaillait pas » était sans arrêt sur son dos à le booster. Et lui semblait aimer ça et la suivait.
On peut dire qu’elle a eu un juste retour sur investissement.
Ben non, Zarribo, su tu fais un peu attention tu verras que c’est pas l’anagramme d’Abidjan.
Une tragédie à J de Sailly.
Cela signifie surtout qu’il n’a pu en parler à personne.
Pas d’amis, pas de réseau ?
et surtout jamais de Jandib au menu de l’internat. Et ça c’est dur.
D. dit: 2 avril 2019 à 12 h 18 min
Encore ? Ou c’est juste un exemple ?
Ce soir, Frikadellen et Zucchini.
« Il avait pourtant les meilleurs notes de la classe, rose ! »
Raison de plus. Des vexations anti « intello » font fureur dans les cours de récré et sur les reseaux sociaux.
Ed, je pourrais en manger tous les jours mais je cherche à diversifier. C’est un plat qui est bien pour le soir mais pour le midi ça manque de glucides lents.
Ce jeune homme a laissé une lettre : n’extrapolons pas sur les raisons de son acte…
Le suicide des ados, rien de plus banal, comme le rappelle Phil, hélas !
A 17 ans j’écrivais un « poème » qui disait :
Ma vie n’a pas vingt ans
Et je ne sais que faire
Nous vivons dans des temps où règne la colère
Mon coeur n’a pas aimé
Il sait que s’il le fait
Pour lui c’est la misère
Mes mains n’ont pas créées
A quoi cela nous sert
De tant nous fatiguer
Pour n’être que des serfs
La vie est un boulet
Dont il faut nous défaire
Dire que vous avez failli ne pas me connaitre !
« Ce jeune homme a laissé une lettre : n’extrapolons pas sur les raisons de son acte…
Le suicide des ados, rien de plus banal, comme le rappelle Phil, hélas ! »
Propos de bons pères de famille, on l’aura compris….
« « C’était un camarade de ma classe préparatoire de mathématiques et physique. Nous sommes une classe de 38. Il s’appelait Djenfu. Cette année, il était le premier de la classe. Il travaillait toujours au fond, de façon isolée. Mais il ne semblait pas avoir de problème. Rien ne pouvait laisser présager un tel geste », souligne Hugo, un grand gaillard d’une vingtaine d’années, casquette sur la tête. »
Le parisien
vouliez pas être « serf » à dix-sept ans…sapré baroz, y faut coucher avec du plus vieux
Le suicide des ados, rien de plus banal,
ce n’est jamais banal
des ados, rien de plus banal, et n’oublions pas que l’on qualifie les « adultes » d’aujourd’hui des adulescents
bonne journée
Non, d’ancien ado qui se souvient, Marie Sasseur.
Ce « poème », je l’avais écrit au feutre noir sur le mur de la chambre de service qui m’avait été attribuée dans un hôtel de luxe de l’Estérel, où je travaillais comme bagagiste-réceptionniste durant la saison d’été 1969.
L’année suivante, lorsque j’ai voulu rempiler, le directeur, Monsieur Boegart, une vieille folle belge, que nous appelions Monsieur Philippe, qui ne pouvait pas parler sans ponctuer ses phrases d’un rires hystériques, me tint à peu près ce langage :
– Ah Jacky hi hi hi ! vous avez certainement beaucoup de talent ah ah ah ! mais vous auriez dû vous servir d’une feuille de papier eh eh eh ! car nous avons dû reblanchir votre chambre oh oh oh !
Je fus réengagé. Pas besoin néanmoins de papier pour retranscrire ce « poème », un demi siècle plus tard, je m’en souviens encore…
« Alexandre Bande, professeur d’histoire en prépa, tente de faire la part des choses : « Oui, il y a un rythme de travail important. A Janson, il y a la volonté d’atteindre de bons résultats. Mais c’est compensé par une vraie humanité. Je ne connais pas le problème que vivait ce jeune homme. Mais au rythme de travail, s’ajoute souvent la fragilité des jeunes, l’éloignement des parents. Dans certains pays asiatiques, la pression des résultats est aussi parfois très forte ». Le jeune Djenfu avait redoublé sa deuxième année, sans doute pour avoir un meilleur classement afin d’intégrer X, Centrale ou les Mines. »
Le Parisien
Non aprèm Et Al.
J’avais adoré ce clip.
Phil, si tout le monde se dit cela , plus rien ne va être possible ou seulement pour le dernier des couples des longues chaines d’humains et encore leur faudra t il abdiquer sur l’exigence s’ils ne sont pas du meme âge.
@ Dire que vous avez failli ne pas me connaitre !
(no comment – mais, dommage qu’on ait failli).
@ de l’apologie de rose, une internaute d’une extraordinaire aura, de consensualisme y compris, dès sa germination, parmi les plus rétives qui finirent par s’avouer vaincues. Nul n’a de prise sur sa mystèrieuse et lumineuse personnalité. Ne génère pourtant que des bienveillances, beauté de l’âme et mystère du corps.
@ sur cet adolescent suicidé, dire qu’on aurait pu ne rien en savoir, comme de celui de cette gosse du collège de St Porchaire, la semaine dernière.
@ parution d’un nouveau book savant pour l’éffondrement éventuel de p. edel, très loin derrière ses carreaux : https://journals.openedition.org/lectures/32198
<<< Bouteflique, à suivre <<<.
Et al et sasseur, je me demandais si vous n’étiez pas les deux parties d’une même pince.
Il faut toujours leur rabattre le caquet, icite.
(« Rabattre le caquet à quelqu’un » insinue le fait de clouer le bec ou de réduire au silence une personne dans le but de dégonfler son orgueil).
[les cookies de Marie Coudre].
D, pour midi des canellonis.
Non aprèm Et Al.
pourquoi non?
C’était bpeut-être bon? alors bon aprèm!
je sors
Les shadoks
Exactement dede. C’est un plat pour le dîner. Parfois j’en amène pour la pause déjeuner et ce n’est pas le même plaisir ( en dehors du fait que cest réchauffé au micro-ondes).
ED, la béchamel souffre au réchauffage, il faut une prépa extemporanée. C’est vous qui les cuisinez, ed, ? Si oui vous pourriez y préférer les lasagnes qui ne sont pas plus difficile à preparer et se réchauffent mieux.
Ceci dit , je rêve encore à ces pâtes fraîches que ma mère préparaient bien avant la fonte des glaciers. Elles faisaient tout, y compris la pâte. Un regal dont seul le souvenir de la réussite gastronomique subsiste .
Oui. J’ai bien senti que la perte de goût venait de la béchamel
Et bien figurez-vous que j’y ai pensé récemment. Je vais m’y mettre. Sachant que c’est l’un de mes plats préférés, j’ai intérêt à ne pas me décevoir !
Préparait . ED, je ne suis pas exactement parfumée au pâté. J’ai remarqué qu’hormis pour vous moquer vous ne m’adressiez quasi aucun post. Cela n’a de fait rien d’obligatoire.
…. Où se produisit, matinalement, cette algarade entre le professeur J-P. B et trois douaniers à l’aéroport où je l’avais reconduit pour son départ à Montréal. Légèrement énervé, il s’en était pris aux gabelous à cause de mon propre énervement, ma peur du ratage de son avion. Il faut dire que j’avais en outre refusé de reprendre à la maison toutes les affaires qu’il y avait volontairement laissées, ce qui n’était vraiment pas un cadeau, contrairement à ce qu’il avait imaginé : un petit chien, un iguane, et quelques autres souvenirs vivants de son ex-collègue et complice, D. M. A mon retour de l’aéroport, je ne racontais rien de l’incident, ni à D. ni à N., sa femme s’étant attardée en France pour un dernier nettoyage de notre future maison (non sans avoir elle-même dû gérer, en la tuant dans l’œuf, une querelle de voisinage menaçant de nous empoisonner la suite). Une harmonie très relative de ce côté entre les deux femmes, du reste, qui ne se connaissaient guère. Jusqu’au moment où des enfants du quartier, messagers de malheur, vinrent lui apporter un câble de la PAF signifiant que J-P B. était toujours cloué à l’aéroport en GAV pour avoir « proféré des injures, outrages et rebellions à l’égard des fonctionnaires des douanes françaises ». Le pneu faisait état de ces termes crus entre guillemets, très incirminants : bande de connards, de salauds et de fumiers de maudits flics français. Notre ami n’en serait libéré que moyennant une importante amende ou caution. Les deux femmes ne croyaient rien de tout cela et se tordaient les côtes avec les messagers, comme s’ils venaient de leur jouer un bon tour, au point que je dus prendre le téléphone. Car mis en contact avec elles depuis sa cellule, JPB ne parvenait pas à leur expliquer ce qui s’était réellement s’était passé, vu que la surenchère où il s’était laissé entrainer n’aurait jamais dû se produire sur notre sol. J’étais donc le seul capable d’expliquer les dessous de l’incident en lui donnant un semmblant de cohérence pour le dédouaner. Je me confondis en excuses auprès de lui, lui assurant que j’allais tout leur expliquer calmement, et que, naturellement, je prendrais l’amende à ma charge. Mais avant tout, il me fallait connaitre son état psychologique, alors qu’il avait été lui-même si courtois à l’égard de toutes les polices du monde, dont il avait fait son métier de les étudier et de les comprendre, sans compter que son père avait toujours été lui-même reconnu comme un honnête patrouilleur canadien, en Abitibi Témiscamingue. Grand silence au bout du fil, puis…, le bruit de ses larmes d’humiliation, d’impuissance et de rage. J’en restais médusé, car jamais je n’avais vu de ma vie cet homme craquer de la sorte. Comment allais-je pouvoir maintenant gérer la catastrophe qui n’allait pas manquer d’advenir avec sa femme N. et la mienne, et plus largement, avec l’université et nos propres services de police ?
La journée commençait bien mal. Impossible de me rendormir, je partis bosser dès 7 heures du matin pour oublier ma misère.
Votre club de lecture où chacun présente son livre du mois, JJJ, est-ce par amour de la littérature ou bien par nostalgie des exposés scolaires de l’enfance ?
Cela me semble plus besogneux que passionnel…
« club de lecture où chacun présente son livre du mois, »
L’idée est géniale.
ruskin, et les nuages
It was here, on February 4 and February 11, 1884, that the essayist and art critic John Ruskin (who was born two hundred years ago last month) delivered “The Storm-Cloud of the Nineteenth Century”: a pair of apocalyptic lectures on modern weather. Ruskin was days away from his sixty-sixth birthday when he rose to address a skeptical audience on the subject of “a series of cloud phenomena, which, so far as I can weight existing evidence, are peculiar to our own times.” His powers as writer and orator were not yet depleted; such masterpieces as Modern Painters and The Stones of Venice were behind him, but the autobiographical Praeterita, his last great work, remained to be written. Still, Ruskin’s psychic weather was on the turn. In 1878 he suffered the first of several breakdowns, and was unwell enough, later that year, to miss the infamous libel case that James McNeill Whistler brought against him after Ruskin accused the artist in print of “flinging a pot of paint in the public’s face.”
Was Ruskin mad in the spring of 1884? He had recently progressed, in his ideas, from Romantic anti-modernity to outright rage against scientific knowledge, and when he finally resigned his post as Slade Professor of Fine Art at Oxford, it was partly in protest against the university’s teaching of anatomy and pathology. “The Storm-Cloud of the Nineteenth Century,” with its vision of late-Victorian life being blasted from above, is a work of what we might call higher paranoia, and its morbidities are perhaps entirely personal to Ruskin. But the text is many things besides: a piece of prescient environmental polemic, an allegory for the depredations of war in Europe, a dark hymn to preternatural weather, and an experiment in formally undermining all the stout virtues of nineteenth-century prose. It was here, on February 4 and February 11, 1884, that the essayist and art critic John Ruskin (who was born two hundred years ago last month) delivered “The Storm-Cloud of the Nineteenth Century”: a pair of apocalyptic lectures on modern weather. Ruskin was days away from his sixty-sixth birthday when he rose to address a skeptical audience on the subject of “a series of cloud phenomena, which, so far as I can weight existing evidence, are peculiar to our own times.” His powers as writer and orator were not yet depleted; such masterpieces as Modern Painters and The Stones of Venice were behind him, but the autobiographical Praeterita, his last great work, remained to be written. Still, Ruskin’s psychic weather was on the turn. In 1878 he suffered the first of several breakdowns, and was unwell enough, later that year, to miss the infamous libel case that James McNeill Whistler brought against him after Ruskin accused the artist in print of “flinging a pot of paint in the public’s face.”
Was Ruskin mad in the spring of 1884? He had recently progressed, in his ideas, from Romantic anti-modernity to outright rage against scientific knowledge, and when he finally resigned his post as Slade Professor of Fine Art at Oxford, it was partly in protest against the university’s teaching of anatomy and pathology. “The Storm-Cloud of the Nineteenth Century,” with its vision of late-Victorian life being blasted from above, is a work of what we might call higher paranoia, and its morbidities are perhaps entirely personal to Ruskin. But the text is many things besides: a piece of prescient environmental polemic, an allegory for the depredations of war in Europe, a dark hymn to preternatural weather, and an experiment in formally undermining all the stout virtues of nineteenth-century prose.
https://www.theparisreview.org/blog/2019/04/01/a-storm-is-blowing/?utm_source=Breakfast+with+ARTnews&utm_campaign=dc424b23f0-EMAIL_CAMPAIGN_2019_04_01_02_27&utm_medium=email&utm_term=0_c5d7f10ceb-dc424b23f0-293418193#more-135051
@15.24, ça fait plutôt partie de notre atelier mémoire collectif (8 personnes de 45 à 71 ans, dont 5 femmes et 3 hommes). On garde la trace de nos échanges mensuels, surtout pour les membres qui n’ont pas pu venir… On s’échange les bouquins, l’objectif est de se convaincre les uns les autres. Je garde pour mon journal intime la trace des passions ginette? Non, il ne s’agit aucunement d’un exercice scolaire, mais il nous arrive de revisiter des classiques (et je me suis fait bien chambrer avec L’homme qui rit, je vou slaisse imaginer les quolibets entre la poire et le fromage). Vous me faites penser qu’on a besoin de recruter un lecteur, car le poids des lectrices est, comme toujours dans les chorales ou les groupes de marcheurs, toujours en porportion asyémtérique par rapport à celui des lecteurs.
Voulez-vous nous rejoindre, jzman ? Nous restons très ouverts à la pluralité culturalo-sexuelle, et vous y feriez sans doute un très bon carton. Mais attention ! Restons très vigilants à l’égard de toute tentation d’occuper un leadership sur le club, la moindre emprise morale : le problème, c’est que vous n’êtes pas exempt de ce type de tentation, comme nous le remarquons icite, et que vous aimez faire fuiter… Cela dit, nous saurions vous mettre rapidement au pas. Topons là ?
les nuages
existent!
https://www.theparisreview.org/blog/wp-content/uploads/2019/03/wa_rs_ed_005-a-l.jpg
Restons très vigilants à l’égard de toute tentation d’occuper un leadership sur le club, la moindre emprise morale : le problème, c’est que vous n’êtes pas exempt de ce type de tentation, comme nous le remarquons icite, et que vous aimez faire fuiter… Cela dit, nous saurions vous mettre rapidement au pas.
bien vu!
« Sur le Prince de Ligne, Delaporte démontre une fois de plus à quel point il est sot. Une oeuvre pleine de notations étonnantes, notamment sur l’enfance. »
J’ai pourtant les mémoires du prince de Ligne, et je n’ai pas été enthousiaste du tout. C’est froid, abstrait, fragmentaire, sans âme. Le style n’en est pas intéressant, ce qu’il raconte non plus, trop anecdotique. J’ai vraiment été déçu. Maintenant, le prince de Ligne a sans doute vécu une vie passionnante, qui a fait les délices de divers biographes ; ce sont ces derniers qu’il faut peut-être lire, et non Ligne lui-même, qui n’a pas su retranscrire l’intensité de son existence dans sa prose insuffisante. Chaloux, vous manquez de goût, voilà tout. Vous avez appris que Ligne ceci, cela, et vous n’en dérogez pas. Vous êtes incapable de vous faire une opinion par vous-même. Des « notations étonnantes », dites-vous ? Eh bien, donnez-nous quelques exemples au lieu de rester dans le vague, dans le flou, dans la masse…
« Parfois j’en amène pour la pause déjeuner et ce n’est pas le même plaisir ( en dehors du fait que cest réchauffé au micro-ondes). »
Le micro-ondes réchauffe parfaitement la béchamel. Les lasagnes et les endives-jambon arrivent à point après deux minutes de micro-ondes. Le micro-ondes, par contre, réchauffe mal la semoule dans le couscous, il vaut mieux éviter. Sinon, y compris pour cuire le poisson, le micro-ondes est parfait, efficace, rapide. On peut tout de suite, grâce à lui, se jeter sur la nourriture, sans attendre.
pour D
Les nombres chanceux d’Euler
https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/mathematiques-nombres-chanceux-euler-10983/#xtor=EPR-69-%5BQUESTIONMATH%5D-20190402
François Le Lionnais (1901-1984), le fondateur et premier président de l’Oulipo, l’Ouvroir de littérature potentielle, un mouvement littéraire très proche des mathématiques, a nommé « nombres chanceux d’Euler » les nombres A, tels que x2 + x + A, soient un nombre premier pour x entier variant de 0 à A – 2.
Merci, JJJ. Mais ça a un côté réunion du Rotary club local. Pas trop ma tasse de thé, désolé. Il doit y avoir une majorité de Gilets jaunes, non ? Vous me voyez vous présenter « Tricks » de Renaud Camus !
En revanche, pour rose ou Bérénice, dans leurs régions, ce pourrait être une opportunité pour rencontrer l’âme soeur ?
Ed, on dirait une situation à la Houellebecq, mais sans la partouze…
Chaloux, en se gourant ainsi sur le prince de Ligne, nous prouve que la littérature et lui, ça fait deux. Chaloux est un prétentieux qui la ramène, qui commente ponctuellement et fragmentairement, faisant planer le doute sur ses véritables compétences en matière de littérature. Or, ces compétences sont nulles et non avenues. Chaloux ne sait construire un discours cohérent, ce qu’il écrit n’est qu’un ramassis de bribes éparses sans consistance. C’est un peu comme s’il souffrait déjà d’Alzheimer. Chaloux devrait définitivement arrêter de parler des livres qu’il a si mal et si peu lus, et se contenter de nous parler du temps qu’il fait : mais, même cela, qui est pourtant simple, serait très au-dessus de sa portée. Non, le mieux qu’il ait à faire est d’aller se reposer et prendre son médicament.
Par exemple, Chaloux était amoureux de cette pauvre Ed, qui n’aime pourtant pas les vieillards libidineux et baveux. Il lui disait « mon chou », la tutoyait, etc., essayait de se rapprocher d’elle pour la consommer de manière obscène. Mais Ed est une fine mouche, qui sait courir. Elle a vu venir le coup, et elle n’était pas du tout d’accord avec les élucubrations amoureuses de notre faux savant, qui s’est montré une fois de plus impuissant et ridicule, et qui a été balayé comme une poussière. Chaloux, à la retraite ! Allez faire votre sieste, et bonne nuit !
Roh ben si tu veux de la testostérone, rejoins le club de whisky et non celui de zumba banane.
« les vieillards libidineux et baveux »
Autoportrait ?
Ce qu’il y a de malsain aussi, avec Chaloux, c’est qu’il crache dans la soupe. Passou l’accueille avec générosité, et lui, chaque fois qu’il peut, il lui envoie des insultes gratuites et désobligeantes, hors de propos. Chaloux prétend avoir lu Ligne, Saint-Simon, etc., mais que fait-il de la politesse et de la courtoisie françaises ? Ces qualités bien de chez nous lui sont étrangères, comme la conduite des rapports homme-femme. Pour la séduction, on repassera. Chaloux est aussi civilisé qu’un bagnard qui aurait tué père et mère et violé sa soeur (Sasseur !).
« L’idée est géniale. »
Chacun pourrait créer dans son coin, sur ce modèle, une antenne des Clubs de la République des Livres (CRDL) : Clopine en pays de Bray, rose dans les Hautes-Alpes, Bérénice du côté de Bezier, Paul Edel à Saint-Malo, Chaloux dans sa banlieue, Christiane dans son arrondissement parisien…
Avec compte-rendu mensuel, ici même, et invitation à Passou pour venir présenter et dédicacer son dernier livre ?
YUKIO MISHIMA
La musique
[Ongaku]
Delaporte, tu devrais changer un peu de disque. Si on est pas d’accord avec toi, c’est parce qu’on est trop bête ou inculte ! C’est un peu infantile comme argumentation.
Ne pas oublier les beaux jardins du château de Beloeil, oeuvre du prince de Ligne !
http://www.chateaudebeloeil.com/les-jardins-de-beloeil/
« Roh ben si tu veux de la testostérone, rejoins le club de whisky et non celui de zumba banane. »
Le boug et moi, on préfère aller dans les backrooms, Ed, la lecture y est plus radicale !
« Delaporte, tu devrais changer un peu de disque. Si on est pas d’accord avec toi, c’est parce qu’on est trop bête ou inculte ! C’est un peu infantile comme argumentation. »
Ce n’est pas du tout ce que je dis, je critique toujours des arguments et j’en donne moi-même. Je sais que ce n’est pas facile. Mais par exemple, sur le film de Jacquot, vos arguments, Jacuzzi, étaient faibles et vous dominiez mal le sujet. Cela ne retire rien à votre intelligence et à votre culture, Jacuzzi !
C’est chouette de ne pas me citer jazouille. Je vous rappelle à toute fin utile que j’ai co-organisé un concours d’écriture pour l’année du francais à Hambourg. Alors la promotion de la littérature francaise à Hambourg, c’est quelque chose qui me touche particulièrement.
Ligne est un homme de guerre qui connait ses classiques littéraires. Son style endosse la mort de ses enfants à la manière de Louis XIV. A notre époque d’ateliers littéraires, il faut se cotiser pour le comprendre.
Paul Edel habite à Saint-Malo ?!
Sans vouloir polémiquer c’est un drôle de choix.
@ Vous me voyez vous présenter « Tricks » de Renaud Camus !
Mais je l’ai déjà présenté et tout le monde l’a lu, voyhons ! Que croyez-vous prouver avec vos bouquins prétendument sulfureux, en dehors d’afficher votre détestable snobisme mondain, mépris de classe et anti provincialisme invétérés ?…
Il serait peut-être temps de vous apercevoir que votre univers a vécu, et qu’il n’excite plus aucun.e hétéro un brin libéré.e du noeud ou du con.
Restons-en là, je vous prie, je vous pensais un pile-poil plus subtil… Mais c’est bien là, une fois de plus, votre navrante manière de concierge.
(NB/ Je vous dirai n’avoir jamais eu l’idée, dans ce cercle de spécialistes et d’amateurs, d’aller y faire l’apologie des nombreux et immenses ouvrages du grand écrivain Jacques Barozzi, de noble descendance aristocratique. Ses « goûts de » (chiotte ?) sont sont peut-être les tasses de thé de quelqu’un.es scolarisé.es d’icite, et grand bien leur fasse… J’évoque évidememnt les célèbres pissotières dont cet internaute cultive la nostalgie… Car, telle est bien, au fond-ement, la place qu’il en fantasme et pratique toujours au coin de la rue. Restez-y alors, cjr jzmn, mais un conseil : numérotez bien vos abatis, des GJ y rôdent parfois aussi ! C’est le printemps…, ils ont le droit de chercher à connaître les derniers dinosaures de Paname, l’en faut pour tous les goûts et dégoûts, n’est-il pas ?…
Non s’il vous plaît Delaporte, n’encouragez pas l’utilisation du micro-ondes. Le poisson y est très mal cuit au contraire. Le poisson se cuit à la plancha, au grill ou au four.
Par ailleurs le micro-onde est dangereux. Beaucoup fuient, j’ai moi-même fait des mesures et je vous assure que souvent à quelques cm de la porte vous encaissez des micro-ondes dangereuses notamment pour les yeux. Ne restez jamais devant votre micri-ondes en marche, gardez une distance de sécurité d’un bon mètre. Et surtout ne collez JAMAIS le visage contre la vitre sauf si vous voulez bousiller cornée, cristallin, humeur vitrée voire rétine. Vos yeux cuiraient littéralement. À feu très doux, mais il cuiraient.
« Je vous rappelle à toute fin utile que j’ai co-organisé un concours d’écriture pour l’année du francais à Hambourg. Alors la promotion de la littérature francaise à Hambourg, c’est quelque chose qui me touche particulièrement. »
Bien sûr, Ed : si le français conserve encore toute sa vitalité dans le monde connu, c’est grâce à vous et à vous seule !
« Alors la promotion de la littérature francaise à Hambourg, c’est quelque chose qui me touche particulièrement. »
Merci, Ed !
Si vous voulez, je peux venir dédicacer quelques exemplaires de mes oeuvres complète ?
« Cela ne retire rien à votre intelligence et à votre culture, Jacuzzi ! »
Ce n’est pas en me léchant le cul que tu vas pouvoir mieux m’entuber, Delaporte !
Ta culture cinématographique ne me parait pas à la hauteur…
« Et surtout ne collez JAMAIS le visage contre la vitre sauf si vous voulez bousiller cornée, cristallin, humeur vitrée voire rétine. Vos yeux cuiraient littéralement. À feu très doux, mais il cuiraient. »
C’est un super scénario de film d’horreur, D. !
J’ai déjà peur…
@17.O6 tout dépend s’il y a met de la vaseline au miel
Dédé critique une ville inconnue – de préférence une ville super – à peu prés autant de fois qu’il mange des endives au halouf.
« votre détestable snobisme mondain, mépris de classe et anti provincialisme invétérés ?… »
« votre navrante manière de concierge. »
« Ses « goûts de » (chiotte ?) »
« numérotez bien vos abatis, des GJ y rôdent parfois aussi ! »
Avez-vous bien percé tous vos abcès, JJJ ?
« C’est chouette de ne pas me citer jazouille. »
Vous étiez en première ligne dans les pointillés, Ed.
Bien sûr, les Clubs de la RDL s’étendent jusqu’aux territoires de nos expatriés (à t-on des nouvelles de Bloom ?) !
Avez-vous bien percé tous vos abcès, JJJ ?
pas encore…, ils purulent et je les dorlote, nonobstant. Vous connaissez mon extrême sensibilité aux attaques portées à nos amies internautes.
(Merci pour la peine prise à copier-coller mes légitimes reparties et autres saillies : extraites des meilleurs culs de basse-fosse, elles sont à plusieurs détentes, en général).
« Vous connaissez mon extrême sensibilité aux attaques portées à nos amies internautes. »
Aurais-je manqué de courtoisie envers l’une de nos amies, JJJ ?
Je suis allé une fois à Saint-Malo par accident et il n’y a que des murailles là-bas. Je sais de quoi je parle. N’essayez pas.
des tas dmurailles mais tu t’es fait pécho à pisser sur la tombe de chateaubriand dédé..
des hendives au ralouf..c’est hinsulter l’être suprème a robespierre
Ce n’est pas en me léchant le cul que tu vas pouvoir mieux m’entuber
c’est pas comme ça que dlalourde mettra l’hendive dans le ralouf comme on dit à humburg
D… enfin..D.. voyons..Pas aimer Saint-Malo…. t’as le mauvais oeil?..t’es en cellule de dégrisement..?..Saint-Malo..avec la Manche toute enièr pour toi , vert bouteille qui chahute.. ses grandes houles panorama.., ou ses petits matins sesgris nacres dans la brume,vu des remparts hamletiens. .immense côte avec les camélias, pins maritimes, remparts et bassins Vauban…les vielle anglaises à capuchons plastique et frisotis.. Villas avec frises céramique anglo- normandes sur le front de mer. Les malouinières tout granit avec perrons moussus, lions dressés.. chênes centenaires…embarcaderes, serres, briques et ardoises, terrasses, escaliers…. parcs à magnolias, mimosas, tapis de genets, qui descendent vers la Rance vers le a cité d’Alet .. et le noir des orages qui blanchit les villas blanches de Dinard.. odeurs lourdes de varech entre les brise-lames.. Chemins empêtrés d’ hortensias…. Et les dunes vers Cancale.. et les paquets de mer qui éclatent en geysers, pas aimer Saint-Malo.non j’vous jure!..viens manger une soupe d ‘étrilles un soir sur le quai Solidor..avec les gens du bocage qui se lavent les pieds sur la plage.. comme si c’était leur bassine dans la cour ..
Le boug est le commentateur le plus drôle de la RDL. Je suis obligée de l’écrire car vous ne m’entendez pas rire à la lecture de ses commentaires.
Dede, pourriez-vous nous citer 10 villes que vous appréciez ? Parce que vous critiquez la ville de Edel, celle de Lavande et la mienne, mais tout le monde se demande si la moindre cité trouve grâce à vos yeux. Si tant est que vous ne vous fichez pas de nous depuis le début, ce qui est l’explication que je retiens pour le moment.
Ralouf, c’est jambon? Bouguereau, d’où tenez vous ces expressions inusitees, ici la grossièreté se resume à quelques mots et je ne connais pas bien les expressions locales. Ils utilisent des mots de vieux français comme escamper, diner pour le repas de midi .
@16.07 « En revanche, pour rose ou Bérénice, dans leurs régions (LEURS REGIONS !), ce pourrait être (LA REUNION DU ROTARY CLUB LOCAL) une opportunité (UN BON COUP ?) pour rencontrer l’âme soeur (le MASSEUR ?) »
Se donner en marieuse tupperware…, voilà une insulte pour nos meilleures et valeureuses erdéliennes vivant et voyageant hors d’ile de france, en général. Pareil affront ne devrait pas rester longtemps impuni. Vous voilà démasqué en votre harcèlement dument consommé, vous êtes désormais tracé/fiché par les hashtags de # »balancetonporc » et # »metoo »
« Ce n’est pas en me léchant le cul que tu vas pouvoir mieux m’entuber, Delaporte !
Ta culture cinématographique ne me parait pas à la hauteur… »
Vous êtes le seul à croire que je « vous lèche le cul ». Mais pas du tout, je crois que c’est évident. J’ai bien mis en lumière vos limites de cinéphile, et même vos limites intellectuelles. Vous essayez de nous parler de Casanova, et vous n’y arrivez même pas convenablement. Moi, je réplique à vos inepties cinéphiliques par des arguments qui se tiennent, et vous, vous restez dans la légèreté et la grosse bêtise du spectateur qui va une fois par jour au cinéma et qui gobe les pires nullités, si bien que votre goût en a été gâté. Vous n’êtes plus bon à rien, Jacuzzi, et surtout pas à raisonner ! Et ce serait moi qui ne serait pas à la hauteur ! J’attends encore vos arguments sur le film de Jacquot. Mais bien entendu, vous en êtes incapable.
JJJ, ne vous en faites pas, je me moque des suggestions d’où qu’elles viennent et quelles que soient les zones d’ombres réelles ou fantasmées. En province il faut être introduit ou natif sans quoi vous restez sur la touche jusqu’à ce que mort arrive. Mais la solitude atteint de plus en plus d’individus ici ou ailleurs.
Jazzi, je ne crois pas qu’il y ait de Rotary dans cette petite ville. Si vous aimez fumer le cigare je sais qu’il existe un club qui lui est dédié. Cela suppose un minimum de raffinement, une education, une conversation et de bons cigares.
Yes, on vous sait cuirassée mais quand même, un moment y’a marre de ce terme de « povince » ou de « local », quand on sait d’où ça pue. « Natif de la province », euh, non… moi qui suis un pur produit extrait du bledard d’une charente inférieure, j’ai toujours pensé que paris était ma province périphérique, et gare aux têtes de chiens et aux têtes de veaux qui m’auraient contrarié.
On peut contraster deux bonnes nouvelles, ce soir : Bouteflika et Erdogan, et une mauvaise : A. de Montchalin.
Autant j’apprécie assez peu Saint-Malo, autant j’aime Granville et toute la côte ouest du Cotentin, Barneville-Carteret etc. un vrai paradis.
@ 18.24, du lyrisme et du souffle pour l’évocation de Saint Malo. Chapiteau…
D. aide souvent les prix goncourt à donner le meilleur d’eux-mêmes, l’est très fort ce gars-là. Et ses conseils sont toujours très utiles, l’nous empêche de faire pas mal de bêtises, par ex., ce soir j’avais décidé de regarder au plus profond comment marche mon nouveau micro-four à ondes moulinex, et ben non, j’vais pas le faire, finalement. L’insolite est dangereux, je laisse putôt mes gosses s’en débrouiller tous seuls.
Un vrai cinéphile va par définition peu au cinéma. Il préfère parler des films plutôt que de les voir. Et puis, surtout, il évite les nouveautés stupides : or, Jacuzzi ne va voir que ça. Du coup, lorsqu’un film intéressant arrive, il est strictement INCAPABLE de le reconnaître comme tel. Il n’a plus aucun discernement, évidemment. Mais ce n’est pas de votre faute, Jacuzzi. Vous êtes englué dans la société médiatique, et comment allez-vous vous en sortir ? Pas moyen !!!
@un minimum de raffinement, une education, une conversation et de bons cigares
Un boudoir bolivarien ?
Chaque semaine, Jacuzzi tient à nous faire une critique inepte d’un film inepte qu’il a ineptement vu de manière inepte avec sa sensibilité émoussée et tout aussi inepte : que d’inepties, vraiment, pour un seul homme ! Et quand il croit que sa critique n’a pas été comprise, il la reposte pour que chacun en déguste sans doute l’ineptie irréfragable et n’en perde pas une miette de débilité. Merci Jacuzzi de nous rendre intelligent !
Un boudoir bolivarien
Je n’en sais rien, c’est comment le boudoir?
Chaloux, me too. La promenade aux Chausey est tout simplement sublime, avec un bémol cependan : si vous n’y allez pas « en saison », là où les 2-3 établissements de la ville sont ouverts, vous risquez, si vous n’y avez pris garde, de mourir de soif, faute d’eau douce, et potable.
Chausey réclame, comme toute la côte cotentine, des bottes, et du coeur. De quoi décourager bien des citadins…
Phil, c’est vous qui avez raison. C’est Frédéric II qui a dit à Casanova: « Vous êtes un bel homme ». Il s’exprimait en connaisseur.
Le prince de Ligne écrit : »ce serait un bien bel homme, s’il n’était pas laid ». Troisième volume de l’édition des mémoires que j’ai, en Bouquins, mais ce n’est pas la dernière, page 1162.
Il faut lire les lettres à Faulkircher,bourreau de Casanova à Dux, qui sont extrêmement drôles par endroits.
(Relire le Prince de Ligne un crayon à la main serait en effet une bonne idée. Une des rares du pauvre ciron Delaporte).
Le texte de Ligne sur Casanova à Dux est aussi très touchant, surtout lorsqu’il évoque sa fin : »Son appétit diminuant tous les jours, il regretta assez peu la vie ; mais il la finit noblement vis-à-vis de Dieu et des hommes. Il reçut avec de grands gestes et quelques sentences les Sacrements, et dit : »Grand Dieu, et vous témoins de ma mort, j’ai vécu en philosophe et je meurs en chrétien ».
j’ai écrit « de la ville ». C’est « de l’île’ qu’il faut lire, évidemment…
Casanova pendant son séjour à Londres offre une pension à Charpillon et une petite maison à Chelsea. Elle se dérobe, invoque une poussée de Lune, il bat le pavé, la bat même. Elle lui file entre les doigts, il la retrouve au lit avec son perruquier. Casanova se désole, menace de se jeter dans la Tamise avec des pierres en poche … ( original … hu hu … ) finalement il passe devant le juge accusé d’avoir voulu la balafrer, le juge lui réclame deux cautions et le renvoie dans ses pénates…
Pas vu le film encore, et sais pas si envie.
PS : Est – ce que quelqu’un a déjà été à Ludwigsburg ?
la musique est un exercice caché d’arithmétique tel que l’esprit ignore qu’il compte
Ralouf veut dire cochon, dear Bérénice, insulte adressée généralement par des jeunes gens Français dits de droite à ceux qui ne peuvent l’être, comme ce groupe qui manifestait pour la destitution de Bouteflika place de la République à Paris et faillit lyncher un homme habillé en femme, créature odieuse à leurs yeux incultes. Comme quoi il n’est pas nécessaire de supprimer trop vite certaines dictatures. que reprochez-vous Melle de Montchalin, dear JJJ ?
Non aprèm Et Al.
Évidement vous avez raison Et AL, une petite faute de clavier, avant de quitter.
Je vous souhaitais un bon après-midi. ( merci pour Euler !)
Et puis c’est vrai que ce clip a une importance toute particulière pour moi.
Signé de Saint-Saëns, c’est, et je vous le dis, une petite « nique » involontaire à Passou, le Casanova espagnol.
Et je persiste dans mon idée qu’un contest des tubes à Passou serait riche d’enseignements pour certains…
Nique, gentille et tout et tout, pour relativiser l’importance des seaux de merde qui se déversent ici quotidiennement sur son blog par les chaisières au balcon, rendant nécessaire de cheminer sur le haut du pavé…
Car figurer-vous Delaporte, que Saint Saëns est une commune de Seine Maritime, comme l’explique Passou dans son Retour à Séfarad ( ref. op. cit. p.208 et suivantes)
@c’est comment
Plutôt conservateur et intimiste quand le cigare est traditionnellement libérateur, sinon révolutionnaire
– Sofia
– Istambul
– Rio de Janeiro
– Varanasi
– Tamanrasset
– Munich
– Lisbonne
– Bourges
– San Diego
– Je n’en connais pas de dixième
l’est très fort ce gars-là.
–
surtout physiquement, JJJ.
@Comme quoi il n’est pas nécessaire de supprimer trop vite certaines dictatures.
Et pour un sophisme convaincu de rectitude, un opuscule de circonstance : le banquier anarchiste
Saint Malo est une ville dont ne garde que l’idée des remparts. A oublier.
Maria Sibylla Merian :
Sasseur, si l’on tient compte de votre debit horaire, aucun doute. Vous tenez le haut du pavé. Vous parlez également petit n’être ce soir . Chaisieres aux balcons, je découvre. Je l’ajoute au lexique balcon, fumer au balcon, il y a du monde au balcon, un balcon nommé désir( j’invente). A qui vous en prenez vous avec tant d’ardeur et d’odeurs ?
Vous ne retenez pas l’idée de la pince et meme vous l’écartez, suis déçue.
Plutôt : Maria Sibylla Merian [?]
Plus que les maths, Euler que Casanova a bien connu, a laissé à la postérité d’autres considérations toutes aussi intéressantes.
« Euler a contribué à l’élaboration de la théorie d’Euler-Bernoulli, qui est un modèle utilisé dans le domaine de la résistance des matériaux. En dehors de l’application avec succès de ses outils d’analyse aux problèmes liés à la mécanique newtonienne, Euler a également appliqué ses techniques à des problèmes d’astronomie. Ses travaux dans cette science ont été reconnus par un certain nombre de prix décernés par l’Académie de Paris au cours de sa carrière[47]. Ses réalisations comprennent la détermination avec une grande précision des orbites des comètes et des autres corps célestes, mais aussi la compréhension de la nature des comètes, et le calcul de la parallaxe du Soleil. Ses calculs ont également contribué à l’élaboration de tables précises de longitudes[48]. »
Wiki
Sasseur. Je lisais hier que les mathématiciens le considèrent encore comme leur père fondateur.
idée des remparts. A oublier
haliénée..ha que t’as du souffir a te cacher et secouer les bananiers pendant tous ces jours tèrezoune..sapré tèrezoune
– Bourges
pas mal..surtout la campagne halentour dédé..charmants ptits bleds
Maria Sibylla Merian :
http://earlywomeninscience.biodiversityexhibition.com/en/card/maria-sibylla-merian-0
Je ne me souviens plus quand j’ai fait étape à Saint Malo. C’était, je pense, lorsque je suis allée au Mont Saint Michel.
Et de fait, je n’ai gardé de Saint Malo que l’idée des remparts. Triste et sans intérêt.
Maintenant, si ça gene le poulet grillé du blog, je n’y peux rien.
la musique est un exercice caché d’arithmétique tel que l’esprit ignore qu’il compte
c’est vrai pour presque tout..coder un robot a jouer au ping pong..terrifiant cqu’on sait renfield..y’a même une pathologie subreptice qui nous rend à la conscience ces calculs..plétement ouf de chez ouf
Maintenant, si ça gene le poulet grillé du blog, je n’y peux rien
tu t’uses trop l’cul tèrezoune..ta corde est trop longue..
Une association féministe dont j’ai déjà oublié le nom propose de rendre femmage à Agnès Varda, plutôt que de lui rendre hommage.
Manque tragique de personnel dans son ehpad, on ne couche plus quemol.
pfiou..dlalourde est furieuzment amoureux de toi baroz..demain matin tu dvrais faire une main courante chez les keufs pour marcèlement
« Casanova a accepté la proposition du duc de Waldstein : il est bibliothécaire du château de Dux, en Bohême. En fin de vie, il s’est mis à y écrire ses Mémoires. C’est là qu’il reçoit la visite d’Elisa von der Recke, qui s’intéresse de près à son manuscrit. Casanova ne reconnaît pas dans les traits de cette femme pleine de charme une jeune fille qu’il avait séduite jadis et qui avait voulumourir pour lui.
Pour le fameux libertin, l’arrivée d’Elisa est à la fois stimulante, l’occasion de se lancer un nouveau défi (celui de la conquérir), et menaçante (il s’interroge sur la motivation de la voyageuse). Vient-elle pour se faire confier le texte et le publier ? Est-elle poussée par la curiosité, inquiète de ce qu’il a pu livrer de leur liaison ? A-t-elle l’intention de lire le texte convoité afin de s’en inspirer pour écrire elle-même une biographie à charge, comme elle le fit pour Cagliostro dans un ouvrage ayant rencontré un réel succès ? Elisa suscite à la fois chez son hôte un sursaut de vieinsouciant et la lassitude lucide d’un corps fatigué qui craint la mort. »
Mots clés :Musique classique
Je suis obligée de l’écrire car vous ne m’entendez pas rire à la lecture de ses commentaires.
saprée dédède..
Fils d’un pauvre cordonnier, il a passé son enfance dans son monde fermé de oisif sensible et imaginatif. En 1819, il se rendit à Copenhague, à la recherche de fortune, et s’essaya au chant, au théâtre et à la danse, mais sans succès. Première tentative littéraire dans le style romantique-ironique de Hoffmann, Heine et Waiblinger: Voyage à pied du canal de Holmen à la pointe est d’Amager…
Amélie Bommier est mariée avec Guillaume de Montchalin, qui travaille pour le cabinet de conseil Boston Consulting Group (BCG). Mère de trois enfants, elle est catholique pratiquante (explique sa fiche).
J’aime pas trop de genre de caryotype ni de pedigree pour me représenter dans mes rapports avec Bruxelles, voyez. J’en vois assez autour de moi des comme ça. Epicétou.
« saprée dédède.. »
Ce serait plutôt Dead Ed…
Les grands esprits se rencontrent, c’est la fête à noeud-noeud.
Les députés Larem qui ne peuvent plus la voir en peinture l’appellent désormais Homélie, de quoi, déjà? de Monmachin. Homélie de Monmachin ça lui va comme un gant.
« J’aime pas trop de genre de caryotype »
Surtout quand on se goure de phénotype.
« homélie de Montchalin » est une jesuite de HEC, c’est assez parlant comme ça; toujours ces vieux cretins mysogynes à penser qu’elle est son mari…
Et si on lui rendait (bas) vardage, pour cesser toute polémique ?
La Belloubête est du même avis qu’Assouline sur l’anonymat Internet (qui par ailleurs n’existe pas).
Je me demande s’il n’y aurait pas un petit quelque chose entre eux.
Elle doit être si abêtissante quand elle retire sa perruique!
Le critique et la Belloubête.
On dirait du Costeau! ( Du Jean Costeau).
(qui par ailleurs n’existe pas).
Gageons que le petit huissier pas très propre sur lui,et courageux comme une tafiole un soir de beuverie, a donné son identité à Passou.
Encore que quoi faire d’un tel inconsistant. Rien.
En matière de tafiolage, j’ai idée que t’y connais plus que moi.
Dede
Vous ignorez volontairement ma question ? Juste pour savoir.
Je n’ai pas le niveau ici. Quelques individus aussi mesquins que betes et méchants comme l’huissier chaloux, ne feront pas mentir la seconde loi de la thermodynamique.
J’en suis désolée pour Passou et deux personnes ici.
Bonne nuit.
Mais quelle question, Ed ?
Dede roh !
Êtes-vous capable de citer 10 villes que vous appréciez ? Si oui, lesquelles ?
Mais j’on répondu à 19h 57
Je n’avais pas vu. Tschuldigung!
Liste très intéressante. Une seule ville française trouve grâce à vos yeux, très bon choix cependant. J’ai habité à Bourges pendant mon enfance.
– Sofia
– Istambul
– Rio de Janeiro
– Varanasi
– Tamanrasset
– Munich
– Lisbonne
– Bourges
– San Diego
Je ne suis pas tout à fait d’accord. Par exemple, pourquoi Sofia ? Et puis, vous oubliez New York, qui est une ville qui donne la pêche. Rio aussi. Quant à Lisbonne, c’est la meilleure. Les autres, non !
Et puis, D a oublié Rome, à défaut de Jérusalem. Deux villes spirituelles, où le chaos règne, à l’image du monde et de nos vies actuelles.
Je ne les ai pas oubliées, Delaporte.
Je ne les connais pas rt n’éprouve pas de désir de m’y rendre.
Et pourquoi Bourges ? Une ville perdue, avec une cathédrale gothique tout à fait hideuse. Donnez-moi du roman, et on en reparlera !!!
New-York très peu pour moi, vous ne risquez pas de m’y voir. Lovecraft la détestait tout comme moi.
Sofia, parce que j’aime les bulgares. Tout simplement.
« J’ai habité à Bourges pendant mon enfance. »
Vous n’avez pas de bol. Tous les mauvais plans, c’est pour vous ! Et vous vous en êtes remise ? Notez qu’en ce moment à Hambourg, vous devez également déguster. Cela ne rigole pas pour vous !!!
e la nave va
https://www.youtube.com/watch?v=h54-WWqlSt4
Sofia, je n’aurais pas dit non plus.
Gotlib
https://www.seronet.info/sites/default/files/11447/Deep_Purple.jpg
« pfiou..dlalourde est furieuzment amoureux de toi »
Il suffit que je lui parle de mon cul et tout de suite il s’excite, le boug. T’inquiète, entre les abcès purulents de JJJ et les crises de chaleur de Delaporte, je gère !
D’autant que Delaporte doit récupérer les vieilles soutanes de la Morandais.
Voulez-vous que nous visitions Sofia ensemble, Ed ?
« Il suffit que je lui parle de mon cul et tout de suite il s’excite, le boug. »
Je pensais seulement qu’on allait gentiment parler de cinéma, devant une tasse de thé. Résultat des courses : tout de suite, la pornographie, les insinuations sexuelles gay, les histoires de cul balourdes. Vraiment, Jacuzzi, vous me décevez. Je ne croyais pas qu’on descendrait dans de tels bas-fonds, avec vous. Vous et le boug, vous faites la paire, dans l’ignominie, la déjection, le stupre style années 70. Je ne suis pas amateur de propos putrides, en tant que grand catholique je condamne ce rabaissement humain. Enfin, bonne nuit quand même.
« D’autant que Delaporte doit récupérer les vieilles soutanes de la Morandais. »
Je n’aime pas trop les vieilles soutanes : un costume sobre et sombre, avec une croix et un col blanc me semble parfait, surtout après Vatican II. Si vous suiviez un peu, Chaloux, et si vous aviez deux doigts d’intelligence et de lucidité, vous le sauriez, ce qui vous éviterait de dire des choses vulgaires et fausses. Sinon, je ne suis pas une groupie de la Morandais. J’en admire d’autres. Cette admiration se synthétise autour de la figure charismatique d’Ulrike Meinhof, véritable source vivifiante pour moi.
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