de Pierre Assouline

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La République des livres
Deux princes de la litote

Deux princes de la litote

Incroyable ce qu’Eric Chevillard suscite de réactions, souvent épidermiques et hostiles, dans la République des livres. Que leur a-t-il fait ? A croire qu’il déplaît souverainement à un type de lecteurs, que l’on aurait tort de ranger parmi les internautes car, depuis des années qu’il tient blog à l’enseigne de l’Autofictif, il a su créer son propre cercle d’@ficionados. Le fait est qu’ici, même quand il s’agit de toute autre chose que de ses livres ou de sa personne, il surgit vers le centième commentaire, se fait déchirer ou louer avant de disparaître tel un point Godwin de la conversation numérique. Qu’est-ce qu’il prendrait chaque jour s’il ouvrait le robinet à parlotes sur son propre blog ! Une légion de modérateurs éprouvés n’y suffirait pas.

Cela ne devrait pas s’arranger avec Le désordre Azerty (201 pages, 17 euros, Les éditions de Minuit). Sa prose d’eau claire est pourtant harmonieuse, douce et tempérée. On n’y sent pas l’encouragement à la violence. Il tient que la chaussure fut d’abord inventée pour dissimuler le pied, ce qui se discute. Il tient aussi que le style est la langue natale de l’écrivain, le pays suit, étant entendu qu’un style impose une présence dès la première page, dès les premières lignes, ce qui est son cas incontestablement ; l’écriture blanche, qualifiée de neutre et plate, ennemie des effets et de la métaphore, en prend pour son grade, ce qui ne manque pas de sel sous la livrée de Minuit. Il tient enfin que le photographie recouvre le monde d’une pellicule supplémentaire, et que les écrivains sont rarement beaux ce qui ne facilite pas la tache des photographes commis à leur tirer le portrait. Lui a commencé à se faire la tête de Rimbaud (moue orgueilleuse et butée, iris d’un éclat violet, moue dégoûtée), et l’âge venant, a fini par se faire la tête de Beckett (visage ascétique et buriné) ce qui ne l’empêche pas, dans un élan de lucidité, de se résoudre à sa tête à claques « face de cire molle où l’ennui et l’imbécillité ont empreints et confondu leurs traits »ericchevillardazerty

Doué pour l’inventaire. Non pas « à la Prévert », plutôt à la Chevillard, c’est plus absurde. Il se souvient aussi. Non pas « à la Perec », plutôt à la Chevillard. Cela n’est pas moins immémorial. L’article « Quinquagénaire » en témoigne avec éclat. Les entrées de ce dictionnaire enamouré de la littérature, du zoo, du kangourou et du water-closet sont étranges. Quel autre abécédaire se lancerait à l’assaut du lecteur en commençant par huit pages sur « Aspe » ? A l’entrée « Humour », on croit découvrir les secrets de celui de l’auteur, l’un des ressorts de son œuvre, et pas le moindre de ses attraits ; mais en réalité, c’est plutôt « Humoriste » qu’il aurait dû intituler ce chapitre car il s’intéresse à ceux qui en font profession, et dont chacun sait qu’ils sont, en fait, des rabat-joie. .

« Chevillard : Boucher d’abattoir qui vend sa viande en gros ou demi-gros ». Sauf que dans sa variante littéraire, il fait plutôt dans le détail, le fragment, l’ellipse. Tout le monde rêve. Mais quand Chevillard s’y met, cela prend un tour spéculatif. En surgit un charme certain destiné à enfoncer le réel. Dieu n’est pas son cousin, contrairement aux apparences. Il se dit même athée, carrément, ce qui ne l’empêche pas d’aspirer au repos éternel afin de rattraper une partie de son sommeil en retard. Quant aux preuves de l’inexistence de Dieu, qu’il prétend être en mesure de produire publiquement, vous pouvez le croire sur parole ; je n’en dirai pas davantage afin de ne pas gâcher le suspense. En revanche, je puis vous confier qu’il s’autorise un morceau de bravoure sur l’utilité de la littérature.

Il la divise en deux catégories : celle qui délaye et celle qui condense. On sait qu’il relève de la seconde, craignant d’être asphyxié par l’épaisseur produite par l’universel bavardage. On voit que sa théorie de la littérature ne risque pas de faire concurrence aux essais de Gérard Genette. Ainsi lorsqu’il veut justifier  du nom de l’auteur sur la couverture : « Plutôt que de courir toute sa vie après le dernier mot, formuler le premier ». Et voilà. A ne pas rater, l’entrée « Marquise ». Irrésistible. Chez lui, la marquise sort à pas d’heure. « Le roman sortit à cinq heures. A six heures, on réimprimait. Merci qui ? Merci marquise ! ». Il n’y a que lui pour déceler dans une mâchoire des prémolaires en voie de molairisation, et une intelligence de 1400 cm3 dans le cerveau d’André Leroi-Gourhan, préhistorien il est vrai.

Un peu Aymé pour le fantastique, un peu Vialatte pour les métaphores animales, un peu Wilde pour le sens de l’understatement, et c’est ainsi que Chevillard n’est pas le plus petit. Son livre est aussi réjouissant qu’est décourageant le bouquet d’hommages qui paraît en même temps, pierre tombale légèrement prématurée, à peine moins granitique qu’une Pléiade. A se demander si ce Pour Eric Chevillard n’a pas été dirigé contre lui. Malheur à celui qui se laisse embaumer de son vivant ! Le désordre Azerty, ça ne sert à rien, mais ça fait tellement plaisir, ce qui est déjà beaucoup.

Dans le paysage littéraire français, un autre qu’Eric Chevillard élève avec grâce l’art de la litote au rang des beaux-arts. Jacques A. Bertrand est son état-civil mais il est si banal, et son propriétaire si discret, que cela ne se sait pas assez. Sa voix offre bien des ressemblances avec celle d’Eric Chevillard. Un alliage de douceur, de légèreté, d’humour, d’euphémisme, de charme, de poésie du quotidien, bouquet tressé par une langue d’une précision remarquable. Ce qui n’empêche pas, à l’occasion, la gravité du propos non plus que la dureté du jugement. Encore faut-il qu’ils s’imposent. Ce qui aurait pu être le cas de Comment j’ai mangé mon estomac (111 pages, 14 euros, Julliard). Explication : cet homme incite son estomac à se digérer lui-même. Ce qui est déconseillé. Imaginez : le narrateur (Je n’est pas un autre, pas celui-là) se découvre un cancer avancé du cardia et de l’œsophage, tandis que sa femme, à qui on avait trouvé une tumeur au sein, pousse la mélancolie jusqu’à faire ses adieux au monde.

bertrandPlus désespérant, il n’y a pas. Même lorsqu’on a été prévenu par le Docteur Knock : « La santé est un état précaire qui ne présage rien de bon ». Il voit une chance dans cette simultanéité. D’autres écrivains, la plupart, en auraient fait un chant des plus sombres. Chronique de nos morts annoncées ! En stéréo ! Lui est resté Jacques A. Bertrand, fidèle à sa manière n’importe la météo. Chacune de ses réflexions, quelle qu’en soit la nature, pourrait s’achever par : « … ce qui n’était pas dans mes habitudes ». Le cancer aussi. Il raconte donc cela en facétieux sous des dehors nonchalants, sinon blasés, malgré le cynisme qui pointe son museau lorsqu’il dénonce la bêtise chez ses contemporains. Il ne sait pas ce qui l’attend au juste mais ne s’en désole pas. On se doute bien que la souffrance est là, et la douleur jamais loin, mais ce serait inélégant d’insister, alors l’espiègle demeure dans l’insouciance. Sans abuser des bons maux. En shakespearien accompli, il ne pense qu’à ça : mourir, dormir, rêver peut-être… Ici aussi, comme chez Chevillard, on retrouve l’ombre familière d’Antoine Blondin (« L’Homme descend du songe ») et celle d’Alexandre Vialatte décidément (« L’Être humain, à l’exemple de l’automobile et de la bicyclette, réclame des contrôles techniques réguliers »).

Pas l’ombre de la dérision dans son évocation de l’indignité du corps malade mis à nu devant les infirmières même, de la chambre aux allures de cellule, des plateaux-repas cafardogènes, des nausées provoquées par la chimiothérapie, du trou noir consécutif à une anesthésie lourde, de l’attente interminable dans l’atroce salle du même nom et de l’angoisse qui s’en suit. L’hôpital lui fait découvrir son corps pour la première fois. Pas le moindre lamento. Ce récit hospitalier, couturé d’incertitudes, est composé dans l’esprit de la mise à distance et du pas de côté. Un leitmotiv un brin nostalgique le ponctue : « Il restera toujours les dîners au clair de lune, les soirs de fin d’été ». Loin, très loin du luxe affiché dont il se moque en un paragraphe où il exécute « la misère coûteuse » des riches dépourvus de la moindre imagination, de toute étincelle d’esprit.

On lui épargnera la scie selon laquelle l’humour est la politesse du désespoir. Disons plutôt que si son ironie est douce, elle n’a rien d’amère. Quelque chose de l’anti-Job en lui : au lieu de demander au ciel « Pourquoi moi ? » il demande à la terre : « Pourquoi pas moi ? ». Il est vrai que Jacques A. Bertrand pousse la délicatesse, tel François Villon, jusqu’à « dire à toutes gens merci », au cas où, par précaution. Ce récit épatant d’un homme qui a pour principe de séjourner le moins possible dans les hôpitaux, et qui a vraiment du mal à envisager la vie sans lui, on en aurait ri si on n’en avait pleuré.

(« Intellectuels à la rotonde » toile de Tullio Garbari ; Eric Chevillard et Jacques A. Bertrand » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

704 Réponses pour Deux princes de la litote

Marcel dit: à

J’ai rencontré monsieur le rire,
Mais de rire, il ne savait quoi.
A la main, une poêle à frire,
J’ai rencontré monsieur le rire.

Pourtant dedans, il faisait cuire
Un peu d’autofictif, ma foi.
J’ai rencontré monsieur le rire,
Mais de rire, il ne savait quoi.

Jean Calbrix, le 01/02/14

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…les bons rapports administratifs développer des services au public des usagers,…

…rien ne garantit que vous ne l’importuniez pas.
Il est poli en silence et éternua trois fois.

…tiens, tu est enrhumé ?
L’infortuné répondit doucement :
…je ne l’était pas tout à l’heure.
Seulement, à force de rester pieds nus…
Quand tu m’as appelé, j’étais en train de me chausser.
Et tu m’avais dit que tu n’en avait que pour deux minutes…

…les fonctionnaires aux joies équitables,…
…nos bouderies et nos altercations de citoyen contribuable.
…etc,…malpolis & oisifs,…voisinage à forcer l’intimité des gens,…
…<< mais, Oui!, je sais, j'y étais <<
…et de la pitié irritée que l'on suscite pour les gens qui parlent pour la galerie,…en l'occurrence, la banquette d'en face,…

…les effervescentes amabilités dans les endroits publics,…
…les querelles de ménage n'intéressent que les intéressés, comme eût dit La Palisse.

…Ah,…des personnes causantes,…obligeantes,…ennemi de la serviabilité et en amorcer les préliminaires,…$ cash $,…combien, pour la conversation,…
…en voilà des impôts nouveaux,…etc,…

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

Dites donc, c’est fou ce qu’Edouard Louis ressemble à Dany Boon. Une vraie tête de par chez nous.

http://www.leparisien.fr/livres/video-rencontre-avec-edouard-louis-l-auteur-d-en-finir-avec-eddy-bellegueule-26-01-2014-3528825.php

Après avoir « avalé » ce bouquin, parce qu’on l’avale, savez-vous ? Il faut le digérer… Ce qui est fou : la différence, qui a causé les infinies souffrances de cette enfance martyre, a permis aussi la mise au monde d’un jeune adulte cultivé, courtois, « sauvé ». Les mécanismes de la résilience me ramènent à Sartre : « l’important n’est pas ce qu’on vous a fait, l’important est ce que vous faitres de ce qu’on vous a fait ». La phrase est hideuse mais l’idée est juste – en tout cas pour Eddie Louis.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Agnès Sorel,…Non,…vous ne faite pas, ce que vous voulez avec votre corps,…

…c’est notre gagne-pain,…
…élevée pour la caste, la famille,…
…en voilà des idées,…
…à se rythme là,…
…j’attend les mercenaires!…à la douzaine,…
…après ma chérie,…
…motive, déjà,…nos conscrits!,…
…Ah!,…çà iras!,…çà iras!,…la guêpière taille fine au beurre!,…
…et au sein-doux,…Ah!,…Ah,…etc,…

bouguereau dit: à

Une vraie tête de par chez nous.

dans la somme j’y ai un poteau qui fait collec des chiens écrasés..des histoire sordos pas popo..faut reconnaitre que la somme derrière ses murs c’est un meust, il y a tout et plus et jusque dans les 80’s c’était trop hard pour être relayé par la presse nationale (je pèse mes mots).
il y a une histoire formid des 60’s ou une famille avait balancé son vioc en chaise roulante de la falaise et qui était resté accroché a un arbrisseau entre ciel et terre..ces cons (les enfants et petits enfants) avait jeté cailloux cric et roue de secours pour le décrocher..en vain..il était reparti et avait crevé sur le chemin abandonnant la voiture..le lendemain les flics avaient retrouvé le vieux 50m en bas avec cric et les enfants faisant remorquer la 4l en haut..la roue de secours avait été emporté par la marée..l’enquête a démontré que le vieux avait du rester au moins 6 heures accroché dans son fauteuil..et d’autre détails de ouf..la somme mais c’est le texas en mieux évidemment

des journées entières dans les arbres dit: à

Chevillard ! Ne te fais pas désirer.
Au mitan de la nuit, Entre ici !
Dans l’antre des e-nervés.
Viens nous donner le tempo, « démolir l’Assou »
Au Pierrot qui rêve, pique lui sa plume et bats le briquet.
Ne laisse pas passer le biographe avec son cortège funèbre au panthéon de l’analyse.
Mets le feu à ses litotes.
Et je t’en passe des :
-rien ne console parce que rien ne remplace
-un jour nous avons recommencé à prendre des trains qui partent
-il en est que le bonheur des autre ulcère

Règle-lui son compte à cet accablé des Ecritures !

Achève à sa place les Pensées de Pascal ( inachevées, le savais-tu ?)
Et récite à ton tour, en dressant la table de la loi scientifique, le poème du réel: « Il y a énormément de calcium dans le persil »

« Fais-le pour moi, en souvenir de nous »

u. dit: à

La peinture est un des rares témoignages que nous ayons du passage de Koba à Paris en 1913.

Il était venu d’abord rencontrer Illich à Vienne pour des histoires internes à la « Pravda », et surtout parce qu’il ne s’en sortait pas de son fameux livre sur les nationalités (Марксизм и национальный вопрос).
Illich accordait beaucoup d’importance à ce texte du Georgien: « Sosso, pour comprendre la question nationale, vous devez venir ici. En restant chez nos Russes, vous n’y comprendrez rien ».

Illich, qui était à Vienne avec Kroupskaia, avait le coeur brisé de ne pas pouvoir revoir Inès, qui était à Longjumeau. C’est en vainquant ses scrupules qu’il avait demandé à Koba d’aller la voir de sa part.

Personne ne sait comment Koba a pu rencontrer Proust à la Coupole.

« J’ai toujours été impressionné par l’idéalisme généreux de la jeunesse russe », dit distraitement Proust à Koba, qui lui propose une argumentation dialectique.

(Just a coffee)

bouguereau dit: à

(Just a coffee)

tu cherches à nous ulcérer avec ton bonheur

bouguereau dit: à

Chevillard ! Ne te fais pas désirer

chevillard..faut reconnaitre que le blaze est bon, c’est 50% du boulot

renato dit: à

Je trouve absurde d’emprunter un vocabulaire… et tout ce qui va avec… cela trahit une idée de la littérature vague, adultérée de survivances…

xlew.m dit: à

bouguereau, la 4 L Renault n’était pas que la caisse par excellence des malfictifs de la France invisible des petites gens qui s’auto-décrivaient dans les colonnes de faits divers et des chiens outragés, c’était aussi la seconde voiture des foyers fondés par les radiologues, certains avocats, ou hauts fonctionnaires. Bien des choses inavouables se sont aussi passées sur les banquettes arrières et dans les coffres de ces 4 L-là, si la chronique judiciaire ne s’en fit pas l’écho, c’est pour les mêmes raisons, bro. Cela ne m’empêche pas d’avoir une pensée pour le grand-père de la falaise d’Ault (mais peut-être était-ce un suicide assisté ?) de ton histoire.
Ce que tu dis de la Somme, d’un vérisme plus vrai que nature (serais-tu « l’Autovériste » du fleuve Samara ?) fait refluer chez moi des images et des souvenirs du quartier saint-Leu d’Amiens des années quatre-vingt, un lieu magnifiquement dickensien pour un gosse, avec ses quartiers d’apaches, ses odeurs de feux de cheminées mal ventilés, ses pavés luisant sous la maigre pluie de lumière de réverbères tout à fait fictifs puisqu’il n’y en avait pas un seul. C’était le coeur de la ville d’Amiens, tel que lui laissèrent vivre sa vie de slum humide et brumeux, comme une minuscule Venise du nord artificiellement tenue dans sa fabuleusement graphique pauvreté,, le Maire René Lamps et l’inénarrable député du secteur, Gremetz Maxime. Aujourd’hui la gentrification a fait son oeuvre, son terrible ouvrage, son travail de sape, c’est d’ailleurs pas mal réussi, même beau. Mais derrière tous les rideaux des petites fenêtres triple-vitrage en pvc imitation bois, on sent bien que les filles et les fils des maisons ont des blogs, écrivent des romans et balancent le tout sur internet, voire les publient, selon l’ancienne tradition, chez des éditeurs qui font confiance au papier, le malheur est dépassé, la malavita oubliée. Ce coin de la ville fut aussi propice, par l’entremise de Ruskin, à l’éveil du Bouddha-écrivain chez le jeune Marcel P. Son Texas à lui.

Onésiphore de Prébois dit: à

Je trouve absurde d’emprunter un vocabulaire… et tout ce qui va avec… (Renato)

C’est pourtant ce que nous avons tous fait, dès que nous avons appris à dire papa maman

atelier d'écriture dit: à

Bouguereau, votre récit de cette sordide histoire de Somme (un cauchemar, en vérité) mériterait d’être retravaillé : qui est ce « il » (il était reparti et avait crevé sur le chemin abandonnant la voiture)? Essayez tant qu’à faire de relier l’abandon de la voiture à la crevaison du pneu.

Onésiphore de Prébois dit: à

Bien des choses inavouables se sont aussi passées sur les banquettes arrières et dans les coffres de ces 4 L-là (xlew)

Ah là la, mon bon monsieur, si je vous disais…

u. dit: à

Koba est hébergé au 30 de la Schönbrunnerschloss Strasse, qui n’est pas si loin que ça de la Meldemannstrasse, à Brigettenau, lieu du foyer du jeune Adolf et de sa chambre pourrie. Tous les deux aiment se promener dans le parc près du château de Schöbrunn. Ne comptez pas sur moi pour la rencontre. Pourquoi pas Hitler et Wittgenstein?

Contrairement à Illich, qui est excellent, Koba ne lit pas l’allemand, ce qui est embêtant pour les Saintes écritures.
Il tire la langue sur son texte.

Il écrit notamment sur les Juifs:

Бауэр говорит об евреях, как о нации, хотя и « вовсе не имеют они общего языка », но о какой « общности судьбы » и национальной связности может быть речь, например, у грузинских, дагестанских, русских и американских евреев, совершенно оторванных друг от друга, живущих на разных территориях и говорящих на разных языках?

Упомянутые евреи, без сомнения, живут общей экономической и политической жизнью с грузинами, дагестанцами, русскими и американцами, в общей с ними культурной атмосфере; это не может не накладывать на их национальный характер своей печати; если что и осталось у них общего, так это религия, общее происхождение и некоторые остатки национального характера. Все это несомненно. Но как можно серьезно говорить, что окостенелые религиозные обряды и выветривающиеся психологические остатки влияют на « судьбу » упомянутых евреев сильнее, чем окружающая их живая социально-экономическая и культурная среда? А ведь только при таком предположении можно говорить об евреях вообще как об единой нации. »

Comme vous l’avez compris, il n’est pas d’accord avec le camarade Bauer.
C’est quoi ce « destin commun » entre les Juifs de la Georgie, du Daghestan, de la Russie ou de l’Amérique?

Comment dire sérieusement que les rites religieux fossilisés et les vagues vestiges psychologiques qui affectent le «destin» de ces Juifs sont plus forts que l’environnement socio-économique et culturel ?

Mais il avait du mal avec les concepts, Koba, il tâtonnait.
Une pipe, une phrase.

(Dernier café)

Daaphnée dit: à

il y a une histoire formid des 60′s ou une famille avait balancé son vioc en chaise roulante de la falaise et qui était resté accroché a un arbrisseau entre ciel et terre..ces cons (les enfants et petits enfants) avait jeté cailloux cric et roue de secours pour le décrocher..en vain..il était reparti et avait crevé sur le chemin abandonnant la voiture..le lendemain les flics avaient retrouvé le vieux 50m en bas avec cric et les enfants faisant remorquer la 4l en haut..la roue de secours avait été emporté par la marée..l’enquête a démontré que le vieux avait du rester au moins 6 heures accroché dans son fauteuil..et d’autre détails de ouf..la somme mais c’est le texas en mieux évidemment

Ben voilà, en lisant cela on comprend mieux que certains qui semblent en être un peu sortis, soient quand même assez handicapés …

atelier d'écriture dit: à

Daaphnée pourrait-elle nous expliquer ces apparitions de Staline sur le clavier d’u. ?

bouguereau dit: à

hum..j’avais ouvert mon robinet a parlote concernant le billet de lassouline dafnoz..
le bouquin est pas mal

Daaphnée dit: à

U. est resté très joueur ..

Jacques Barozzi dit: à

Ce serait quoi le robinet à parlotes selon saint Passou ?

Voilà ce qu’en dit Clopine pour décrire son propre blog, où pourtant le robinet ne coule plus !
Cela fonctionne mieux ici ?

« Description : bavardages, causeries, conversations, colloque, conférence, discussion, échange de vues, propos, causerie babillage, causette, palabre, commérage, conciliabule, jacasserie, parlote et autres considérations. »

bouguereau dit: à

ça demandrait de long développement..
mon poteau était à l’époque vaguement lié a libé..son histoire à bellegueule aurait fait retrousser leur nez à l’époque mais il aurait décliné..province..province..selon!

atelier d'écriture (analyse) dit: à

u. écrit dans un état semi hallucinatoire et pratique une technique personnelle à laquelle on donne le nom de ‘paranoïa critique’ :  » Au lever du soleil, je me réveillais et, sans me laver ni m’habiller, je m’asseyais devant mon ordinateur placé dans ma chambre face à mon lit… Toute la journée assis devant mon ordinateur, je fixais mon écran comme un médium pour en voir surgir les éléments de ma propre imagination. Quand les images de Staline se situaient très exactement dans l’espace de l’écran, je les transcrivais à chaud immédiatement « 

Daaphnée dit: à

(Je ne disais pas cela contre vous, le Boug’)

Onésiphore de Prébois dit: à

Il écrit notamment sur les Juifs:

Бауэр говорит об евреях, как о нации, хотя и « вовсе не имеют они общего языка », но о какой « общности судьбы » и национальной связности может быть речь, например, (u.)

C’est pas pour dire, on est tous polyglottes bien entendu, mais si u. avait la gentillesse de nous traduire… J’ai essayé avec la traducteur automatique de Google, mais ça le fait pas.

bouguereau dit: à

mériterait d’être retravaillé

oui c’est facile et voulu, laisser plus ou moins à l’état de matériau

bouguereau dit: à

(Je ne disais pas cela contre vous, le Boug’)

tu aurais pu et c’était bien compréhensibe vu ce que j’ai dit.. quelquefois par des nuits sans lune il m’arrive de vaguement comprendre pourquoi le texan tient à son arme a sa ceinture..c’est cosmique

Bitpull dit: à

paranoïa critique

Je ne comprends pas bien « paranoïa critique ». C’est bizarre

Aux enfants perdus en Numerland dit: à

Bauer parle des Juifs comme une nation, mais « ils n’ont pas un langage commun», mais ce «destin commun» et la cohésion nationale peuvent être référence à, par exemple, (u.)

u. dit: à

« u. écrit dans un état semi hallucinatoire et pratique une technique personnelle à laquelle on donne le nom de ‘paranoïa critique’ : »

J’aime beaucoup ça.

bouguereau dit: à

souvenirs du quartier saint-Leu d’Amiens

aujourdhui c’est classieux je crois..ça a été l’un des derniers quartiers centraux de ville de province a être reconquis..peut être que bordeaux aussi dernièrement, mais c’est beaucoup plus diffus..disons que ça reste vrai, qu’il y a des quartiers pauvres dans les villes, mais il n’ont plus droit a aucun statut..la concentration de tags peut être

u. dit: à

« classieux..disons que ça reste vrai, qu’il y a des quartiers pauvres dans les villes » (b.)

Tada.. T’as rien compris.
Vas à Beziers, Nimes ou Carcassonne.

u. dit: à

Bon, il y a ici d’excellents littéraires, mais j’ai bien compris que pour l’analyse narratologique comparée de Chevillard et Bertrand je pouvais me gratter.

En tout cas ce matin.
Bande de jean-foutres.

Paka.

u. dit: à

(Pas de trace du camarade JC.
C’est signe qu’hier le gouvernement n’a pas fait de connerie)

Marcel dit: à

En vérité, Boug, je pense que la petite famille amiénoise jouait aux échecs. Tout le monde poussait de case en case la chaise roulante du vénérable aïeul. Au final, au moment où la partie devait s’arrêter sur un mat retentissant, un arbuste providentiel permis le pat.
Cependant, un vent nocturne se leva, ce qui fit que le vieillard finit par boire la tasse de onze heures, et le chef de la brigade de gendarmerie, convoqué au petit matin pour constater la régularité de la partie, s’exclama : « En Somme, y est mat là ».

atelier d'écriture dit: à

« En Somme, y est mat là ».
Nous avons un poste à pourvoir, catégorie « calembour », ça vous dit ?

D. dit: à

Vous écrivez : « так это религия, общее происхождение и некоторые остатки национального характера ». En ce qui me concerne j’aurais écrit : « так это религия, общее возникновение и некоторые остатки национального характера »

would prefer not dit: à

Etouffe le matheux orthographique

because il y a un autre prince: prince hippia math dramatica voir y ted Enrustle cité dans un livre recommndé par passou

Jacques Barozzi dit: à

Merci pour le lien, Christiane.
Sous la note à Chevillard sommeille encore celle de Louis…

kicking dit: à

… parce qu’on l’avale, savez-vous ?
… l’important est ce que vous faitres de ce qu’on vous a fait

non mais qu’est-ce que je t’en foutrais comme dirait l’autre..

Bitpull dit: à

Si je tire le Chevillard, la Chevillarde m’échoira ?

Blobitt dit: à

Si je tire le Chevillard, la Chevillarde m’échoira ? (Bitpull)

Tu prends tes autofictions pour des réalités

atelier d'écriture dit: à

Luis Aragones vient de mourir. Cette annonce afin de lancer u. dans une analyse narratologique comparée, sous l’angle de la sémiotique, naturellement.

Bitpull dit: à

Luis Aragones, c’est l’auteur du Romancero gitan ?

Blobitt dit: à

Luis Aragones, c’est l’auteur du Romancero gitan ? (Bitpull)

Tu confonds avec Garcia Marquez

Sergio dit: à

Garcia Marquez, ou Fermina Marquez ? Y a une nuance bon Dieu !

Ciboulette dit: à

Chevillard in english = ankle hard

Ciboulette dit: à

court in english = short… MCourt sur pattes en short, hihihi

would prefer not dit: à

christiane dit: 1 février 2014 à 12 h 41 min
j’ai complété mes souvenirs en relisant Butès de quignard

would prefer not dit: à

Boutès, Galilée, 2008
je ne sais plus si je venais déjà alors en RdLand

Phil dit: à

Fermina Marquez, Lolita chez les Ibères
Le prestigieux fil à passou se débulle, comme le champagne de tkt touillé au mitigeur d’ivoire étoilé.

Jacques Barozzi dit: à

Moi j’aime pas le champagne, boisson privilégiée des femmes et des tantes, et qui n’est après tout qu’un vin frelaté, qui doit son renom à un dom Pérignon de génie !
Rien de plus.
Donnez-moi plutôt un bon verre de vin rouge, lourd et ample à mon goût, un Bourgogne de préférence au Bordeaux…

D. dit: à

Le Bourgogne n’est jamais lourd.

Caterina dit: à

« Le prestigieux fil à passou se débulle, comme le champagne de tkt touillé au mitigeur »

Passage à vide ici car les hommes sont en attente du France-Angleterre de rugby devant la TV, les canettes de bière au frais. Doit y avoir les brutes genre JC, celui là parti ça devient plus calme !

Sergio dit: à

acques Barozzi dit: 1 février 2014 à 16 h 19 min
le champagne, boisson privilégiée des femmes et des tantes

Il y a aussi Otto von Stroheim… Sans parler de charles Hernu… Il en faisait remplir le DC8 ravitailleur !

Phil dit: à

sapré baroz, le bourgogne alourdit les paupières, donne un air de phoque.
à l’époque du Téméraire, on mettait Liège à sac pour digérer. aujourd’hui, plus qu’une manif de mariage contre tous pour libérer les (h)ardeurs.

Jacques Barozzi dit: à

Et les leaders de ces manifestations fin de siècle ont tous des noms à particule, ils ont lourdé leur tonitruante concierge, la môme Barjot, Phil !

Phil dit: à

eh oui Baroz. on s’improve pas en égérie des particulés. Pensez si la Sévigné tenait le cortège.. ça pendrait haut et court tous ces gens du derrière, avant de regagner son mail.

Phil dit: à

s’improvise..
von stroheim ne boit que cul sec. minerve oblige.

bouguereau dit: à

donne un air de phoque

te fait changer de genre ?

Phil dit: à

pourtant pas née de la dernière pluie, la Marquise. Le cousin Rabutin avait partouzé du côté de Roissy (avant que les navions lui passent dessus). tout ça est complexifiant, baroz. la barjot a besoin d’être revitaminée.

bouguereau dit: à

Donnez-moi plutôt un bon verre de vin rouge, lourd et ample à mon goût

pour le gout du ample et du lourd le bordeaux a ce qu’il faut aussi, le bourgogne c’est bien mais c’est un patelin, le bordeaux c’est un continent

Bitpull dit: à

Dans le tableau, le barbichu du fond a visiblement mangé son estomac.

Blobitt dit: à

Dans le tableau, le barbichu du fond a visiblement mangé son estomac. (Bitpull)

Je ne lui vois pas non plus de chapeau

bouguereau dit: à

la barjot a besoin d’être revitaminée.

cette barjot c’est un météore rare..un genre de grélon mouillé qui tombe qu’avec des conditions de chaud froid qui font les été indiens a knock le zout tous les 1000 ans

Phil dit: à

c’est vrai bougreau, y’a des crus comme ça. 2005 était centenal en rouge. les abonnés aux starbuques savent pas ce qu’est le bonheur.

Constance du Clos Dement-Barjot dit: à

Demain nous serons nombreuses et nombreux à crier notre désespoir devant l’attitude familiphobe de ces misérables socialistes qui cassent une société déjà bien malmenée ! Que cessent les menaces de ce freluquet de Valls, sa carrière politique ne nous intéresse pas. En avant ! A demain.

Sergio dit: à

Phil dit: 1 février 2014 à 16 h 53 min
avait partouzé du côté de Roissy

Avec sir Stephen alors…

Mme Michu dit: à

Etre snob du cul au point de ne pouvoir rêver d’un doggie-style sans pedigree c’est vrai que ça me dépasse…

christiane dit: à

Vous écrivez : »j’ai complété mes souvenirs en relisant Boutès de Quignard »
Pourquoi parmi les argonautes lui seul a plongé. il n’est plus dans le groupe. Il veut rejoindre quelque chose de perdu, d’absent, qui était là avant l’acquisition de la langue, ce « premier royaume » où tout était bercement sonore. Il répond à l’appel des sirènes donc de la mort. Oui, c’est un étrange livre… une ellipse. Une sorte de silence de la disparition…
Mais pourquoi l’évoquez-vous, ici ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Bien vu !

« Le plus grand philosophe du monde sur une planche plus large qu’il ne faut pour marcher à son ordinaire, s’il y a au dessous un précipice, quoique sa raison le convainque de sa sûteté, s’il y a au dessous un précipice, son imagination prévaudra. Plusieurs n’en sauraient soutenir la pensée sans pâlir ni suer.. « 

christiane dit: à

Je reprends le livre « Boutès » (p.51):
« Sur quelle paroi a été peint le plongeon de Paestum ? Sur la paroi interne de la pierre fermant le sarcophage. Elle était faite pour les yeux du mort, non pour nos yeux.(…)
L’homme qui plonge du cap Leucate ne saute pas dans l’air ou dans le vide ou dans la mer ou dans la mort. Il saute dans le temps. Il saute dans l’irréversibilité. »

renato dit: à

« C’est pourtant ce que nous avons tous fait, dès que nous avons appris à dire papa maman » (Onésiphore de Prébois)

Et vous avez payé des intérêts, je suppose…

Marcel dit: à

un continent, un continent ! Parle pour toi, boug.

renato dit: à

« Il saute dans l’irréversibilité. »

Ah, si seulement !

des journées entières dans les arbres dit: à

Renato, pour écrire « sauter dans l’irréversiblité », il faut beaucoup d’imagination.
A pieds joints, ça doit être vachement plus planant.

des journées entières dans les arbres dit: à

Et je dirais même plus Renato, l’exact contraire de  » sauter dans l’irréversibilité », quand cela ne relève pas de la Vanité, c’est très modestement la pensée du philosophe qui n’a pas le vertige à 20 cm du sol:  » Ah, si j’avais fait ce qu’il fallait faire au bon moment » !

would prefer not dit: à

christiane dit: 1 février 2014 à 19 h 03 min
comme vous le remarquez, chère madame, pus trouez des réponses qui vous intéressent .
je n’étais pas de la première fournée de la RdL et ne me représente pas de quels commentateurs une autre commentatrice déplore le silence sur ce blog que je troué très ..bruyant et bavard : des ex-corybantes , vos amis ?
vous n’êtes pas celui qu’on appelait Monsieur pourquoi ou son enfant ?
bonne suite !

would prefer not dit: à

vous trouvez
d’ailleurs , question définition, j’ai connu des enfants de chevillards et les pères de ceux-ci (même un président , et qui dit président dit guerres, guerres et discours !

des journées entières dans les arbres dit: à

Comment on conjugue le verbe choir sur un clavier français ?

Il a chû?

renato dit: à

Il y en a qu’après coup ils se persuadent qu’ils ont vécu un moment qui aurait pu être le bon moment…

renato dit: à

… mais… le cose stanno così : si je n’ai pas fait ce qu’il fallait faire, j’ai fait exactement ce qu’il fallait faire…

christiane dit: à

@19h29
Mais qu’est-ce que c’est que ce charabia ? Vous avez, semble-t-il, l’esprit embrumé… Allez, hop, au dodo !
Je vous cite :
« comme vous le remarquez, chère madame, pus trouez des réponses qui vous intéressent .
je n’étais pas de la première fournée de la RdL et ne me représente pas de quels commentateurs une autre commentatrice déplore le silence sur ce blog que je troué très ..bruyant et bavard : des ex-corybantes , vos amis ?
vous n’êtes pas celui qu’on appelait Monsieur pourquoi ou son enfant ? »

des journées entières dans les arbres dit: à

Et la mater dolorosa, va vous border tout ça.

renato dit: à

« Comment j’ai mangé mon estomac » ?!

Zut ! reste le risque qu’il ne soit aussi digeste qu’une bisque

renato dit: à

« C’est trop tôt.
– C’est trop tard.
– Ce n’est jamais le bon moment, donc ?
– En un sens… ».

renato dit: à

Courage, un mot dont on abuse : t’es dans un lit, sauf pour le pipi (sonde), tu dépends des autres, si tu n’y met pas un brin d’humour c’est à se tirer une balle… ce qui t’est empêché puisque tu dépends des autres…

Bitpull dit: à

Renato, il est italien ou chuiche ?

Blobitt dit: à

Renato, il est italien ou chuiche ? (Bitpull)

C’est selon. Un peu des deux. Hispano-suisse, en fait.

Bitpull dit: à

Hispano-suisse, c’est pas une marque d’autos ?

Blobitt dit: à

Hispano-suisse, c’est pas une marque d’autos ? (Bitpull)

Tu confonds avec Italo-Svevo

renato dit: à

« … des plateaux-repas cafardogènes… »

On ne peut pas mieux dire…

renato dit: à

… bon, on peut toujours admettre que par le plateau-repas, l’on paye on ne sait quelle faute… même si ce n’est que de la mauvaise littérature… pourvu que l’aumônier sorte vite de la scène…

Bitpull dit: à

Vous écrivez : »j’ai complété mes souvenirs en relisant Boutès de Quignard »
Pourquoi parmi les argonautes lui seul a plongé. il n’est plus dans le groupe. Il veut rejoindre quelque chose de perdu, d’absent, qui était là avant l’acquisition de la langue, ce « premier royaume » où tout était bercement sonore. Il répond à l’appel des sirènes donc de la mort. Oui, c’est un étrange livre… une ellipse. Une sorte de silence de la disparition… (Christiane)

J’aime beaucoup les posts de Christiane, ce côté langoureux vaporetto exquis. très féminine, je trouve. Elle cause bien.

Blobitt dit: à

Ce que tu peux être vulgaire, des fois (Bitpull)

Je suis comme ça. Direct. Carré. Tourner autour du pot, j’aime pas.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…pourquoi écrire, quels intérêts,…etc,…

…de toute façons çà ne change rien,…de rien,…

Bitpull dit: à

Va, je ne te hais point

Blobitt dit: à

Va, je ne te hais point (Bitpull)

Oui, et alors ?

Bitpull dit: à

Oui, et alors ? (Blobitt)

Et alors, c’est une litote. Je suis le Prince de la litote

Blobitt dit: à

Et alors, c’est une litote. Je suis le Prince de la litote (Bitpull)

Je ne sais pas si tu es le prince de la litote, mais moi,je peux te dire que tu es surtout le roi des cons.

Marcel dit: à

Un pigeon hèle un vent qui passe,
Le suppliant de le porter
Loin du chasseur qui le pourchasse.
Un pigeon parle au vent qui passe.

Mais le vent sourd ne se tracasse
De l’oiseau qu’un plomb va tuer.
Un pigeon hèle un vent qui passe,
Le suppliant de le porter.

Jean Calbrix, le 02/02/14

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…déjà,…les exercices d’identifications de la personnalité à vérifier,…

…lancer de balle,…droitier ou gaucher,…
…il là renvoie,…la balle,…ou la garde,…
…discourir,…sur des marais,…il me suis à la trace,…ou devine t’il le terrain,…
…m’attend t’il en ma demeure,…
…de quoi, me cause t’il donc,…
…il dit, qu’il m’aime, en quelle version,… à quatre pattes, ou à l’établit,…

…vous êtes recommander pour me les casser,…les pierres,…ou sont’elles,…
…Ah!,…des lois sur pierre,…elles font double-jeux d’humours,…

…de la poésie  » catapultée « ,…S.V.P.,…pour mes fesses en l’air,…

…un ticket, pour faire la queue,…à l’année de la mustang,…
…normal,…moral,…
…et, vos comptes en partage,…les vôtres, les nôtres, les leurs,…
…c’est donc, les lois sur pierre,…Ô’ presser aux  » bures’un « ,…
…vous voter,…pour être des vôtres le dindon de la farce,…

…l’hydre aux milles têtes,…des saints, des seins,…du boursin à la régénération de la dégénérescence,…et du vin au fines herbes,…
…vous êtes tout rouge,…
…c’est la première fois,…à petites gorgées!,…les lois  » normales-morales « ,…

…Ah!,…vous pousser du burin,…sur notre St-Pierre de l’innocence,…
…Putain, c’est du basalte,…il faut nous revenir au marteau-pilon,…
…à moins, qu’un coulis de ciment,…sur votre maquette,…Oui!,…huilé-là d’abord,…à la vierge d’olive,…
…Ah,…mais, c’est tout petit,…pour un temple!,…
…enfin, des miniatures qui se crèchent, faut tout voir,…pour continuer son chemin,…
…etc,…envoyez!,…

u. dit: à

Mais l’adorable infirmière Najat est là, Antonio. Par son sourire enfantin, elle panse nos plaies, tandis que sa douce main nous conduit avec compassion sur le chemin de notre descente, une descente qu’elle nous souhaite la moins traumatique possible.

joe dit: à

la commère JC la raclure intégriste( 8 h 16 et 7 h 28 min) et son mini papa u.(7 h 01) vieux réacs fascisants de bon matin boursouflés de crétinerie

octosyllabe du matin dit: à

Joe est con comme un boulon.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Giovanni San Antonio,…

…usurpation de patronyme,…à portez en dérision,…c’est du propre,…

…dans votre cas!,…
…j’aurais écrit, calmement,…

…validations d’instituer la malhonnêteté intellectuelle dans l’administration publique politique et sociétaires d’industries,…dans l’état,…

…un petit retard à rattraper sur nos amis  » outre-atlantique à Dallas J.R.& Trust C° « , à Lafayete,…
…comme le chômage est choisi,…par la demande de spécialiste très  » abrutis « , ne pas se mettre la Famille du Turpin sur le dos,…

…la loi, une et indivisible,…Louis XIV c’est moi, dit’il,…toutes ces défaites aux Pays-Bas,…mon d’Artagnan enfin au repos enfin les fesses en l’air,…Lady Véronica,…aux ferrets,…
…Non,…tu change de disque,…les trucs,…c’est ,…après,…Voltaire,…Ah!,…
…etc!,…et Dieu-offert il se fait une tartine au beurre,…
…Oui!,…parce que c’est toi!,…çà ira,…çà ira,…
…et ou est ce qu’on va, avec ce froid,…

…tourner en rond!,…après les paradis offshores,…c’est ta mayonnaise qui te monte à la tête,…sur ta fritte une fois,…etc,…

Bitpull dit: à

Giovanni, c’est JC ?

Blobitt dit: à

Giovanni, c’est JC ? (Bitpull)

Vu la musique de la sonnerie, ça ne peut guère être CJ

Jacques Barozzi dit: à

droits et non droites, oups, un autre café avec u. !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Non,…Giovanni le vrai,…
…il reste calme et ponctuel,…
…rien à glander avec qui que se soit,…
…calmer vous,…à m’écorché mon nom,…

…allez-voir à la Bastille,…une chambre d’hôte,…les soubrettes aux étoiles,…Bio-natures,…aux guêpières,…
…la révolution par les fesses en l’air,…
…Da!,…Da!,…etc,…

Commissaire San Antonio dit: à

Content, Giovanni ?

Bitpull dit: à

Vu la musique de la sonnerie, ça ne peut guère être CJ (Blobitt)

Tu mets une cédille à « sonnerie » ?

Blobitt dit: à

Tu mets une cédille à « sonnerie » ? (Bitpull)

Carrément un K

christiane dit: à

@Bitpull dit: 1 février 2014 à 21 h 51 min
Sympa !
Quignard est vraiment un écrivain singulier. Tenez dans Les ombres errantes, il écrit :
« Le langage est un mentir.L’écrivain est le langage qui se dévore lui-même dans l’homme dévoré par le mentir qui en fait le noyau. »

A propos des deux livres présentés dans le billet de P.Assouline, le deuxième (celui de Jacques A. Bertrand) m’attire beaucoup. Pour le premier (celui d’Eric Chevillard), je retiens de l’auteur un livre hors-norme, édité par Fata morgana (qui fait toujours de la belle ouvrage). Commentaire autorisé sur l’état de squelette avec des dessins fluides, drôles et précis de Philippe Favier. Des petites séquences courtes, plutôt acides, d’un humour très sombre.
Je l’ai ressorti de ma bibliothèque pour relire la huitième séquence « Sfumato ». il y évoque « des effets de brume où se fondent imperceptiblement les couleurs, où s’estompent les contours en doux dégradés de lumière et d’ombre… » Et là, quand vous glissez dans une douce torpeur, E. Chevillard vous glisse des conseils de stratège – imprimés en italique – comme celui-ci :
« Si par sa hauteur ou par sa force, la place ne peut être bombardée, j’ai un moyen de miner toute forteresse dont les fondations ne sont pas en pierre. Je puis construire des canons, des mortiers, des engins à feu différents de ceux en usage, des catapultes qui lancent des traits d’une efficacité étonnante et jusqu’ici inconnues…« 

Commissaire San Antonio dit: à

Vous commencez à nous les briser gravement, Castor et Paulette ! Basta avec votre dialogue nul de chez nul !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Non,…Commissaire,…

…Giovanni!,…n’est pas content,…lui,…se voit mieux en Capétien-Bourbon,…
…une autre branche perdue du fond des âges,…à monter en mustang,…

…en Bacchus en ses vignes,…etc,…
…encore du Médoc!,…avec des pêches!,…

Commissaire San Antonio dit: à

« Le langage est un mentir.L’écrivain est le langage qui se dévore lui-même dans l’homme dévoré par le mentir qui en fait le noyau. »

Cette phrase est idiote !

Bitpull dit: à

. Pour le premier (celui d’Eric Chevillard), je retiens de l’auteur un livre hors-norme, édité par Fata morgana (qui fait toujours de la belle ouvrage). Commentaire autorisé sur l’état de squelette avec des dessins fluides, drôles et précis de Philippe Favier. Des petites séquences courtes, plutôt acides, d’un humour très sombre. (Christinane)

Christiane m’émeut. Elle aime Chevillard

Blobitt dit: à

Christiane m’émeut. Elle aime Chevillard (Bitpull)

On se tient

Bitpull dit: à

On se tient (Blobitt)

Mais elle aime Quignard aussi

Blobitt dit: à

Mais elle aime Quignard aussi (Bitpull)

Dans ce cas… Lâche-toi

Commissaire San Antonio dit: à

Christiane, vous feriez mieux de vous occuper de vos jumeaux Blobitt et Bitpull. Pas la peine d’adopter des gosses si c’est pour les laisser à l’abandon !

Bitpull dit: à

Christiane, vous feriez mieux de vous occuper de vos jumeaux Blobitt et Bitpull. (Commissaire San Antonio)

Commissaire, je me souviens qu’un jour que Christiane nous avait laissés au grenier, pendant que je lisais un illustré, Blobitt m’a sexuellement agressé.

Blobitt dit: à

Commissaire, je me souviens qu’un jour que Christiane nous avait laissés au grenier, pendant que je lisais un illustré, Blobitt m’a sexuellement agressé. (Bitpull)

Tais-toi donc. Comme si à ton âge tu étais capable de distinguer une agression sexuelle d’une agression textuelle. Déjà que tu confondais Quignard avec Chevillard.

Commissaire San Antonio dit: à

Bitpull, tu écris un livre de cul cérébro-spinal comme l’Eddie de Nantes, et tu vends ça aux voyeurs du style ! Ta fortune est faite

Curiosa dit: à

Je crois que Christiane va bientôt rebouder, comme chez Popaul où elle a quasiment disparu

Curiosa dit: à

JC sous innombrable pseudos néanmoins reconnaissables élu Président d’honneur à vie de la manif pour tous, nouveau tea party à la française

des journées entières dans les arbres dit: à

« …Putain, c’est du basalte,…il faut nous revenir au marteau-pilon,… »

Larousse, au parloir !

« Le siècle d’Heiddegger est pour Pierrot de la lune, non seulement l’idéal littéraire, mais l’idéal politique et social; la langue de « ne boit pas d’eau » est le modèle à imiter, depuis on n’a plus écrit qu’en patois; c’est à elle et en même temps qu’à la politesse exquise des moeurs que la France a dû sa suprématie en Europe. En deça de Blondin et au-delà de Morand, il n’y a plus rien qui mérite l’attention dans la littérature, et les moeurs se sont perverties en même temps que la langue »

Chevillard, j’ai emprunté votre clavier, à la page 90.

Commissaire San Antonio dit: à

« Alors que les partisans de la Manif pour tous sont appelés à manifester dimanche, Manuel Valls s’inquiète de voir la société « tourmentée par les forces sombres de la division ». « La République a connu des moments difficiles, elle les a surmonté mais elle reste fragile. »

P’tain, il devient complètement con, le ministre ! Quand ce sont les forces qui arrangent le Parti, elles sont merveilleusement claires ???? Facho, le stalinien !

Cristobal dit: à

eh oui, Curiosa, je suis comme vous, je trouve que ce JC a vraiment très mauvais « genre »… et en plus il se croit très malin alors que tous le intervenants le reconnaissent facilement ; il arrive à rendre boudegrosgras acceptable, c’est dire

u. dit: à

joe dit: 2 février 2014 à 8 h 34 min
la commère JC la raclure intégriste( 8 h 16 et 7 h 28 min) et son mini papa u.(7 h 01) vieux réacs fascisants de bon matin boursouflés de crétinerie

C’est ego boosting d’être lu avec attention, même si c’est incomplet.
Fascisants certes, mais aussi bourreaux de femmes et empaleurs d’enfants.

« Joe »…
« Joe », c’était comme ça que FDR appelait Koba quand il était devenu gâteux.
Koba savait qu’il n’en ferait qu’une bouchée s’il arrivait à semer la discorde entre lui et le foutu Anglais. Du beau travail, il avait fait ça toute sa vie.

En 1915, dans la taïga sibérienne bloquée par les glaces, il était rejoint par Kamenev qu’il méprisait, mais il y avait son pote Spandarian. Et son chien Tichka, avec qui, disait-il, il parlait de politique internationale. Et la petite Lidia, qui n’avait que 13 ans, mais en paraissait plus, et à laquelle il avait fait un enfant, à la grande colère des frères (elle en dira du bien plus tard). Les gens du coin, russes ou toungouses, ne le connaissaient pas comme Koba, encore moins Sosso, mais comme « Ossip le Vérolé » qui savait chasser.

Comme tous les vrais bandits, Koba aimait les fêtes, où on picolait, il chantait très bien.
Un soir, il n’y avait pas seulement Kamenev et son pote Spandarian mais aussi Sverdlov. Kamenev demande à chacun quel est son plaisir le plus grand dans la vie. Deux disent les femmes, un dit que c’est le progrès du matérialisme dialectique.
Quand c’est à Koba, il répond: « Mon plaisir le plus grand est de choisir une victime, de préparer des plans minutieusement, d’assouvir une vengeance implacable et ensuite d’aller me coucher. Il n’y a rien de plus doux au monde ».

On croyait toujours qu’il plaisantait, Koba.

— Chevillard et Bertrand, ils ont aussi écrit sur Koba?

Bitpull dit: à

« Le langage est un mentir.L’écrivain est le langage qui se dévore lui-même dans l’homme dévoré par le mentir qui en fait le noyau. » (Quignard)

Comme c’est beau… On dirait du Planchon.

Blobitt dit: à

Comme c’est beau… On dirait du Planchon. (Bitpull)

Blanchot. Pas Planchon. Blanchot.

Bitpull dit: à

« Le langage est un mentir.L’écrivain est le langage qui se dévore lui-même dans l’homme dévoré par le mentir qui en fait le noyau. » (Quignard)

Si, dans cette phrase de Quignard, tu intervertis tous les substantifs, eh bien, ça veut encore dire quelque chose !

Blobitt dit: à

Si, dans cette phrase de Quignard, tu intervertis tous les substantifs, eh bien, ça veut encore dire quelque chose ! (Bitpull)

C’est le privilège des grands écrivains.

u. dit: à

« Commissaire San Antonio dit: 2 février 2014 à 9 h 56 min
« Le langage est un mentir.L’écrivain est le langage qui se dévore lui-même dans l’homme dévoré par le mentir qui en fait le noyau. »
Cette phrase est idiote !

Je dirais plutôt qu’elle est travaillée, chantournée.
Mais qu’elle traduit une expérience juste, venant de Guignard.

Commissaire KOBA dit: à

Les Jumeaux ! Il faut foutre au goulag tous les « intervertis substantifs » qui mettent en danger l’évolution vers une société plus juste, plus solidaire et plus humaine !

Union des Commissaires Politiques Littéraires dit: à

Nous confirmons que cette phrase est délicatement travaillée et merveilleusement chantournée ; voire idiote pour certains d’entre nous.

Jacques Barozzi dit: à

« Le langage est un mentir.L’écrivain est le langage qui se dévore lui-même dans l’homme dévoré par le mentir qui en fait le noyau. »

Ultime variation maniérée après le Mentir-Vrai d’Aragon. Un lieu commun, en somme, qui dit tout et son contraire : vérité ou mensonge la littérature ?

Marcel dit: à

Commissaire San Antonio dit: 2 février 2014 à 10 h 36 min
Facho, le stalinien !

Pensée profonde du matin par un génie de l’amalgame sous couvert d’un commissaire comique troupier. Rentre dans ta boîte l’esclave !

bouguereau dit: à

« Mon plaisir le plus grand est de choisir une victime, de préparer des plans minutieusement, d’assouvir une vengeance implacable et ensuite d’aller me coucher. Il n’y a rien de plus doux au monde »

« le plus grand bonheur pour un mongol c’est de tuer son ennemi et de serrer sa femme dans ses bras »
zouzou veut nous faire croire que le matérialisme dialectique a libérer les hommes..propagande de la nsa

u. dit: à

Je relis: la phrase est ratée.
Elle ne coule pas de source, elle sent l’effort pour traduire quelque chose de juste, on y lit la trace de plusieurs corrections.
Il y a quand même l’auteur derrière.

Koba aussi se battait avec les mots.
Il écrivait avec de grosses mitaines.
Quand il soufflait, ça faisait un gros nuage où brûlait la pipe.
Il avait la haine des intellos qui écrivent avec facilité.
Quignard aurait probablement participé aux héroïques travaux du canal sur la Mer blanche.

Commissaire San Antonio dit: à

« Rentre dans ta boîte, l’esclave ! »

Sors de ta naphtaline soviétique, Marcel !

Marcel dit: à

« Le langage est un mentir.L’écrivain est le langage qui se dévore lui-même dans l’homme dévoré par le mentir qui en fait le noyau. »

N’importe quoi ! S’entend-elle parler au moins m’ame Christiane ?

u. dit: à

Les deux jumeaux sont les Guéant et Guaino de la RdL.
Il faut placer chacun sur un genou et caresser leurs cheveux avec douceur.

bouguereau dit: à

vérité ou mensonge la littérature ?

la vérité est un moment du faux qu’il disait guitoune..des conneries!

bouguereau dit: à

Il avait la haine des intellos qui écrivent avec facilité

hum..autoportrait jouissif de zouzou en saint sébastien à calçon..puritain compatible

Commissaire KOBA dit: à

« Les deux jumeaux sont les Guéant et Guaino de la RdL. Il faut placer chacun sur un genou et caresser leurs cheveux avec douceur. »

Il faut les placer sur leur deux genoux, leur faire une coupe de cheveux à la Sanson, et montrer minois et chevelures au peuple télévisuel en prime time, ça calmera les dissidents.

bouguereau dit: à

« Rentre dans ta boîte, l’esclave ! »

Sors de ta naphtaline soviétique, Marcel !

quand que marcel avance jicé recule..comment voulez vous..vous ne croyez pas au dialogue

Marcel dit: à

Sors de ta naphtaline soviétique, Marcel !(JC)

Rentre dans ta gangue hitlérienne JC et bonne manif au sortir de la messe.

Commissaire KOBA dit: à

Faites moi penser à rajouter Marcel aux deux autres : la Révolution dévore toujours ses enfants !

alexandre dit: à

Qu’est-ce que ce poseur de Quignard vient faire là ?

u. dit: à

Il ne faut jamais oublier que Koba était poète.

Seuls des poètes savent haïr les poètes.

Voici une Ode à la lune, écrite en Georgie.
Comme Brown a fait l’éloge du Dr. Kugel pour la traduction, je ne vais quand même me fatiguer.

ЛУНЕ

Плыви, как прежде, неустанно
Над скрытой тучами землей,
Своим серебряным сияньем
Развей тумана мрак густой.

(Je coupe)

Я грудь свою тебе раскрою,
Навстречу руку протяну,
И снова с трепетом душевным
Увижу светлую луну.

http://vk.com/pages?oid=-4318349&p=Стихи_молодого_Сталина_И._В.

Commissaire San Antonio dit: à

Nous, les commissaires, on en a marre du Ministricule mussolinien et de la ténébreuse laxiste : on est avec vous pour la Manif pour Tous ! On peut pas trop le montrer, vu qu’on est aux ordres pour la carrière… Brisons là. Faut y aller : bonne manif et derrière, Irlande-Ecosse pour encourager nos frères écossais !

u. dit: à

Hihihi…

La « traduction » du Dr. Kugel est meilleure que le texte de Koba.
On n’y comprend rien, mais c’est très modernski.

des journées entières dans les arbres dit: à

On n’y comprend rien, mais c’est très modernski.
uh uh, on n’y comprend rien; mais c’est son plaisir de troller.
http://www.cnrtl.fr/definition/troller

Cristobal dit: à

JC à 10h43 : 64 kilos, c’est gros ??? toi C… tout court, comme l’autre

atelier d'écriture dit: à

C’est bien, continuez comme ça, vous noyautez ce blog, vous l’étranglez et finirez par le tuer.

Marcel dit: à

S’entend-elle parler au moins m’ame Christiane ?

Je vous dois mes excuses, m’ame Christiane, je me suis confusionné dans les posts.

Bitpull dit: à

Si on allait à la manif pour tous ? Il paraît qu’il défendent la famille

Blobitt dit: à

Si on allait à la manif pour tous ? Il paraît qu’il défendent la famille (Bitpull)

Tu ne crois pas que je vais te pousser dans ta chaise roulante de Concorde à Bastille. Et puis, toi, comme mélange des genres, on fait pas mieux. Bravo la contre-publicité.

Bitpull dit: à

Tu ne crois pas que je vais te pousser dans ta chaise roulante de Concorde à Bastille. (Blobitt)

Ma chaise roulante ? Mon landau, oui.

Amicale des Lanceurs de Nains dit: à

64 kilos c’est du lourd Cristobal ! Mettez vous au régime…

atelier d'écriture dit: à

u. dit: 2 février 2014 à 11 h 49 min
Fidèle à sa vocation, le journal Le Monde confond l’information et l’endoctrinement moral

Ne lisez plus le Monde. Voyez du côté de Minute, vous aurez votre content d’information et strictement aucun endoctrinement moral, encore moins de propagande.

Blobitt dit: à

Ma chaise roulante ? Mon landau, oui. (Bitpull)

C’est pareil

Ancien abonné dit: à

Ne pas voir que le monde a fait que le Monde n’est plus le Monde, c’est un monde !

u. dit: à

« atelier d’écriture dit: 2 février 2014 à 11 h 53 min
C’est bien, continuez comme ça, vous noyautez ce blog, vous l’étranglez et finirez par le tuer. »

Arrêtez de râler, atelier, frottez-vous les mains et hop, à votre écritoire.

atelier d'écriture dit: à

u. dit: 2 février 2014 à 11 h 49 min
Les lettrés n’iront pas à cette manif’

C’est tout le contraire ! Que des gens qui lisent quotidiennement leur bible (ou leur coran) et font réciter leur catéchisme à leur progéniture et entretiennent une correspondance nourrie avec la caisse d’allocations familiales quand ce n’est pas avec l’évêché.

Manifestons, au sens d'Hessel dit: à

Un loi faite, mais inique, se défait. Patience…

atelier d'écriture dit: à

u. dit: 2 février 2014 à 12 h 08 min
Arrêtez de râler, atelier, frottez-vous les mains et hop, à votre écritoire.

Dommage que vous ne soyez pas à portée de mains, je saurais les utiliser pour vous mettre mon poing dans la gueule.

Marcel dit: à

u. dit: 2 février 2014 à 11 h 49 min
Les lettrés n’iront pas à cette manif’

Il y aura quand même des gens aux laids traits.

Commissaire KOBA dit: à

Le doute taraude les meilleurs d’entre nous : que faire des déviants nombreux qui se marient au mépris du bon goût ? Est ce que l’Ecosse va battre l’Irlande ? Hidalgo est elle intelligente ? La RdL sera t elle suffisamment forte pour passer de l’écrit à l’image, et survivre ? Passou finira t il cinéaste ? Lars est il fou ?

des journées entières dans les arbres dit: à

« KNOCK

Vous me donnez un canton peuplé de quelques milliers d’individus neutres, indéterminés. Mon rôle, c’est de les déterminer, de les amener à l’existence médicale. Je les mets au lit, et je regarde ce qui va pouvoir en sortir : un tuberculeux, un névropathe, un artério-scléreux, ce qu’on voudra, mais quelqu’un, bon Dieu! quelqu’un! Rien ne m’agace comme cet être ni chair ni poisson que vous appelez un homme bien portant.

LE DOCTEUR

Vous ne pouvez cependant pas mettre tout un canton au lit!

KNOCK, tandis qu’il s’essuie les mains.

Cela se discuterait. Car j’ai connu, moi, cinq personnes de la même famille, malades toutes à la fois, au lit toutes à la fois, et qui se débrouillaient fort bien. Votre objection me fait penser à ces fameux économistes qui prétendaient qu’une grande guerre moderne ne pourrait pas durer plus de six semaines. La vérité, c’est que nous manquons tous d’audace, que personne, pas même moi, n’osera aller jusqu’au bout et mettre toute une population au lit, pour voir, pour voir! Mais soit! Je vous accorderai qu’il faut des gens bien portants, ne serait-ce que pour soigner les autres, ou former, à l’arrière des malades en activité, une espèce de réserve. Ce que je n’aime pas, c’est que la santé prenne des airs de provocation, car alors vous avouerez que c’est excessif. Nous fermons les yeux sur un certain nombre de cas, nous laissons à un certain nombre de gens leur masque de prospérité. Mais s’ils viennent ensuite se pavaner devant nous et nous faire la nique, je me fâche. C’est arrivé ici pour M. Raffalens. »

christiane dit: à

Une phrase de Quignard isolée devient obscure. Mais lire un de ses livres en entier, patiemment, donne un sens à ses phrases. Ce qui paraissait maniéré devient sa langue, sa recherche. C’est un homme cultivé, d’une érudition époustouflante. sa recherche musicale explique beaucoup de ses livres. De plus, il est discret.
Quant à E. Chevillard. Je n’ai pas dit que j’aimais toute son écriture. Je ne la connais pas assez et que veut dire « aimer ou ne pas aimer » un écrivain ? et qu’est-ce qu’un livre, un vrai livre ? une œuvre ? Je le ressens comme un jongleur de mots (un peu comme certains, ici…), qui aime le langage, les aphorismes. J’ai eu l’occasion, un temps, de lire son blog. Mais, à la longue, c’était devenu un peu répétitif et moins surprenant. J’aimais les petites annotations concernant sa fille après sa naissance.
La vie est si brève. Il faut faire des choix de lectures comme on le fait pour ses actes, ses paroles ou ses silences, ses amis, aussi.
Oui, Quignard est dans ma bibliothèque auprès d’autres écrivains que j’ai besoin de lire et relire. Relire me parait souvent plus important que lire.
Quant à « m’écouter parler » ? quelle drôle d’idée. Réservons cette activité aux comédiens qui tentent de parfaire leur métier.

Club de Boxe Drouant dit: à

atelier de gribouillage
Battez-vous ! l’important c’est participer

xlew.m dit: à

« Un peu Aymé pour le fantastique, un peu Vialatte pour les métaphores animales, un peu Wilde pour le sens de l’understatement, et c’est ainsi que Chevillard n’est pas le plus petit »

Homme de peu un jour, pommes au four de rapport juteux toujours.
(Et c’est de Quincey qui dit que plus on est Akbar, plus on fume l’opium du peu, seul dans son petit Dove Cottage, ou dans un petit bar d’Oxford, en tout cas jusqu’au St Cuhthbert’s churchyard, peu par peu égale beaucoup de feu.) HCB, modeste photographe devant l’éternel, pensait peut-être qu’il fallait toujours faire « L’Autopaucus » en soi avant de shooter dans le viseur et voler les âmes des gens de peu qui se retrouvaient par hasard dans la paucité du cadre.

des journées entières dans les arbres dit: à

Pascal Quignard n’est pas si discret que cela. Qu’il ait fait la nique à Levinas est déjà un grand pas vers l’intelligence.

Linguiste affectueux dit: à

« Quant à « m’écouter parler » ? quelle drôle d’idée. »

Impossible de parler sans s’écouter parler

Amicale des Lanceurs de Fatwa dit: à

« Un jeune de 25 ans a été filmé en train de violemment lancer un chat contre un mur. La vidéo a suscité des réactions très vives sur internet. Alertée, la police l’a placé en garde à vue. Le chat, lui, va bien. »

Nous aussi….

Liposucez-vous utilement ! dit: à

Notre Clinique Privée, inaugurée sous le haut patronage de Stéphane Hessel retiré trop tôt à notre affection, vous débarrasse des mauvaises lectures qui vous alourdissent inutilement. Tarif spécial aux monothéistes.

Jacques Barozzi dit: à

Qui vol plane un chaton vol plane un lardon !

Himiltrude dit: à

Passou finira t il cinéaste ? Lars est il fou ? (Commissaire Koba)

Passou est-il fou ? Lars finira-t-il cinéaste ?

renato dit: à

« Un jeune de 25 ans a été filmé en train de violemment lancer un chat contre un mur. La vidéo a suscité des réactions très vives sur internet. Alertée, la police l’a placé en garde à vue. Le chat, lui, va bien. »

Et pas un galeriste de génie pour lui proposer un contrat ?

renato dit: à

Théorie du genre, c’est quoi ça ?! pourquoi les gens ne prennent pas quelques infos à la source avant de causer en masse à la masse ? Et naturellement pas un curé de génie pour leur expliquer la différence entre “théorie” et “étude”…

Commissaire KOBA dit: à

Chez nous, au pays de la vodka, tu as un zizi, c’est bon ; tu as une absence fendue de zizi, c’est bon ; tu es incertain dans tes choix sexuels ; on t’expose à la grecque sur la fenêtre. Le lendemain, l’affaire est réglée. Certains en réchappent, et finissent oligarques ou à la Douma.

atelier d'écriture dit: à

Mon coup de poing -quoique virtuel- a porté : u. est knockout.

Jacques Barozzi dit: à

Là, la signature de Liotard va agacer Giovanni Sant’Angelo, renato !

atelier d'écriture dit: à

renato dit: 2 février 2014 à 12 h 56 min
Et naturellement pas un curé de génie pour …

Voilà qui ne se trouve pas sous le sabot d’une mule (même du pape). Il reste paraît-il quelques exorcistes…

atelier d'écriture dit: à

Restons sur la littérature. En ce jour de Fête des Chandelles, cette lumineuse citation de Farida Belghoul (nouvelle aéronef à réaction) : « La théorie du genre veut de manière définitive nous faire porter le pantalon. »

Marcel dit: à

Relire me parait souvent plus important que lire.
Et délire encore plus, chère Christiane.

Marcel dit: à

renato dit: 2 février 2014 à 12 h 56 min
pas un curé de génie pour leur expliquer la différence entre “théorie” et “étude”…

Manquait plus que ça !

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