Deux princes de la litote
Incroyable ce qu’Eric Chevillard suscite de réactions, souvent épidermiques et hostiles, dans la République des livres. Que leur a-t-il fait ? A croire qu’il déplaît souverainement à un type de lecteurs, que l’on aurait tort de ranger parmi les internautes car, depuis des années qu’il tient blog à l’enseigne de l’Autofictif, il a su créer son propre cercle d’@ficionados. Le fait est qu’ici, même quand il s’agit de toute autre chose que de ses livres ou de sa personne, il surgit vers le centième commentaire, se fait déchirer ou louer avant de disparaître tel un point Godwin de la conversation numérique. Qu’est-ce qu’il prendrait chaque jour s’il ouvrait le robinet à parlotes sur son propre blog ! Une légion de modérateurs éprouvés n’y suffirait pas.
Cela ne devrait pas s’arranger avec Le désordre Azerty (201 pages, 17 euros, Les éditions de Minuit). Sa prose d’eau claire est pourtant harmonieuse, douce et tempérée. On n’y sent pas l’encouragement à la violence. Il tient que la chaussure fut d’abord inventée pour dissimuler le pied, ce qui se discute. Il tient aussi que le style est la langue natale de l’écrivain, le pays suit, étant entendu qu’un style impose une présence dès la première page, dès les premières lignes, ce qui est son cas incontestablement ; l’écriture blanche, qualifiée de neutre et plate, ennemie des effets et de la métaphore, en prend pour son grade, ce qui ne manque pas de sel sous la livrée de Minuit. Il tient enfin que le photographie recouvre le monde d’une pellicule supplémentaire, et que les écrivains sont rarement beaux ce qui ne facilite pas la tache des photographes commis à leur tirer le portrait. Lui a commencé à se faire la tête de Rimbaud (moue orgueilleuse et butée, iris d’un éclat violet, moue dégoûtée), et l’âge venant, a fini par se faire la tête de Beckett (visage ascétique et buriné) ce qui ne l’empêche pas, dans un élan de lucidité, de se résoudre à sa tête à claques « face de cire molle où l’ennui et l’imbécillité ont empreints et confondu leurs traits »
Doué pour l’inventaire. Non pas « à la Prévert », plutôt à la Chevillard, c’est plus absurde. Il se souvient aussi. Non pas « à la Perec », plutôt à la Chevillard. Cela n’est pas moins immémorial. L’article « Quinquagénaire » en témoigne avec éclat. Les entrées de ce dictionnaire enamouré de la littérature, du zoo, du kangourou et du water-closet sont étranges. Quel autre abécédaire se lancerait à l’assaut du lecteur en commençant par huit pages sur « Aspe » ? A l’entrée « Humour », on croit découvrir les secrets de celui de l’auteur, l’un des ressorts de son œuvre, et pas le moindre de ses attraits ; mais en réalité, c’est plutôt « Humoriste » qu’il aurait dû intituler ce chapitre car il s’intéresse à ceux qui en font profession, et dont chacun sait qu’ils sont, en fait, des rabat-joie. .
« Chevillard : Boucher d’abattoir qui vend sa viande en gros ou demi-gros ». Sauf que dans sa variante littéraire, il fait plutôt dans le détail, le fragment, l’ellipse. Tout le monde rêve. Mais quand Chevillard s’y met, cela prend un tour spéculatif. En surgit un charme certain destiné à enfoncer le réel. Dieu n’est pas son cousin, contrairement aux apparences. Il se dit même athée, carrément, ce qui ne l’empêche pas d’aspirer au repos éternel afin de rattraper une partie de son sommeil en retard. Quant aux preuves de l’inexistence de Dieu, qu’il prétend être en mesure de produire publiquement, vous pouvez le croire sur parole ; je n’en dirai pas davantage afin de ne pas gâcher le suspense. En revanche, je puis vous confier qu’il s’autorise un morceau de bravoure sur l’utilité de la littérature.
Il la divise en deux catégories : celle qui délaye et celle qui condense. On sait qu’il relève de la seconde, craignant d’être asphyxié par l’épaisseur produite par l’universel bavardage. On voit que sa théorie de la littérature ne risque pas de faire concurrence aux essais de Gérard Genette. Ainsi lorsqu’il veut justifier du nom de l’auteur sur la couverture : « Plutôt que de courir toute sa vie après le dernier mot, formuler le premier ». Et voilà. A ne pas rater, l’entrée « Marquise ». Irrésistible. Chez lui, la marquise sort à pas d’heure. « Le roman sortit à cinq heures. A six heures, on réimprimait. Merci qui ? Merci marquise ! ». Il n’y a que lui pour déceler dans une mâchoire des prémolaires en voie de molairisation, et une intelligence de 1400 cm3 dans le cerveau d’André Leroi-Gourhan, préhistorien il est vrai.
Un peu Aymé pour le fantastique, un peu Vialatte pour les métaphores animales, un peu Wilde pour le sens de l’understatement, et c’est ainsi que Chevillard n’est pas le plus petit. Son livre est aussi réjouissant qu’est décourageant le bouquet d’hommages qui paraît en même temps, pierre tombale légèrement prématurée, à peine moins granitique qu’une Pléiade. A se demander si ce Pour Eric Chevillard n’a pas été dirigé contre lui. Malheur à celui qui se laisse embaumer de son vivant ! Le désordre Azerty, ça ne sert à rien, mais ça fait tellement plaisir, ce qui est déjà beaucoup.
Dans le paysage littéraire français, un autre qu’Eric Chevillard élève avec grâce l’art de la litote au rang des beaux-arts. Jacques A. Bertrand est son état-civil mais il est si banal, et son propriétaire si discret, que cela ne se sait pas assez. Sa voix offre bien des ressemblances avec celle d’Eric Chevillard. Un alliage de douceur, de légèreté, d’humour, d’euphémisme, de charme, de poésie du quotidien, bouquet tressé par une langue d’une précision remarquable. Ce qui n’empêche pas, à l’occasion, la gravité du propos non plus que la dureté du jugement. Encore faut-il qu’ils s’imposent. Ce qui aurait pu être le cas de Comment j’ai mangé mon estomac (111 pages, 14 euros, Julliard). Explication : cet homme incite son estomac à se digérer lui-même. Ce qui est déconseillé. Imaginez : le narrateur (Je n’est pas un autre, pas celui-là) se découvre un cancer avancé du cardia et de l’œsophage, tandis que sa femme, à qui on avait trouvé une tumeur au sein, pousse la mélancolie jusqu’à faire ses adieux au monde.
Plus désespérant, il n’y a pas. Même lorsqu’on a été prévenu par le Docteur Knock : « La santé est un état précaire qui ne présage rien de bon ». Il voit une chance dans cette simultanéité. D’autres écrivains, la plupart, en auraient fait un chant des plus sombres. Chronique de nos morts annoncées ! En stéréo ! Lui est resté Jacques A. Bertrand, fidèle à sa manière n’importe la météo. Chacune de ses réflexions, quelle qu’en soit la nature, pourrait s’achever par : « … ce qui n’était pas dans mes habitudes ». Le cancer aussi. Il raconte donc cela en facétieux sous des dehors nonchalants, sinon blasés, malgré le cynisme qui pointe son museau lorsqu’il dénonce la bêtise chez ses contemporains. Il ne sait pas ce qui l’attend au juste mais ne s’en désole pas. On se doute bien que la souffrance est là, et la douleur jamais loin, mais ce serait inélégant d’insister, alors l’espiègle demeure dans l’insouciance. Sans abuser des bons maux. En shakespearien accompli, il ne pense qu’à ça : mourir, dormir, rêver peut-être… Ici aussi, comme chez Chevillard, on retrouve l’ombre familière d’Antoine Blondin (« L’Homme descend du songe ») et celle d’Alexandre Vialatte décidément (« L’Être humain, à l’exemple de l’automobile et de la bicyclette, réclame des contrôles techniques réguliers »).
Pas l’ombre de la dérision dans son évocation de l’indignité du corps malade mis à nu devant les infirmières même, de la chambre aux allures de cellule, des plateaux-repas cafardogènes, des nausées provoquées par la chimiothérapie, du trou noir consécutif à une anesthésie lourde, de l’attente interminable dans l’atroce salle du même nom et de l’angoisse qui s’en suit. L’hôpital lui fait découvrir son corps pour la première fois. Pas le moindre lamento. Ce récit hospitalier, couturé d’incertitudes, est composé dans l’esprit de la mise à distance et du pas de côté. Un leitmotiv un brin nostalgique le ponctue : « Il restera toujours les dîners au clair de lune, les soirs de fin d’été ». Loin, très loin du luxe affiché dont il se moque en un paragraphe où il exécute « la misère coûteuse » des riches dépourvus de la moindre imagination, de toute étincelle d’esprit.
On lui épargnera la scie selon laquelle l’humour est la politesse du désespoir. Disons plutôt que si son ironie est douce, elle n’a rien d’amère. Quelque chose de l’anti-Job en lui : au lieu de demander au ciel « Pourquoi moi ? » il demande à la terre : « Pourquoi pas moi ? ». Il est vrai que Jacques A. Bertrand pousse la délicatesse, tel François Villon, jusqu’à « dire à toutes gens merci », au cas où, par précaution. Ce récit épatant d’un homme qui a pour principe de séjourner le moins possible dans les hôpitaux, et qui a vraiment du mal à envisager la vie sans lui, on en aurait ri si on n’en avait pleuré.
(« Intellectuels à la rotonde » toile de Tullio Garbari ; Eric Chevillard et Jacques A. Bertrand » photos D.R.)
704 Réponses pour Deux princes de la litote
Pascal Quignard n’est pas si discret que cela. Qu’il ait fait la nique à Levinas est déjà un grand pas vers l’intelligence.(des journées)
Vu l’absconserie du bonhomme, l’intelligence est mise à mal.
atelier d’écriture dit: 2 février 2014 à 12 h 13 min
u. dit: 2 février 2014 à 12 h 08 min
Arrêtez de râler, atelier, frottez-vous les mains et hop, à votre écritoire.
Dommage que vous ne soyez pas à portée de mains, je saurais les utiliser pour vous mettre mon poing dans la gueule.
Vous faites du mauvais Chevillard, atelier des cris durs.
« Le langage est un mentir.L’écrivain est le langage qui se dévore lui-même dans l’homme dévoré par le mentir qui en fait le noyau. »
J’espère que le Quignard n’a pas oublié de cracher les pépins.
Ma parole, ils sont tous partis à la manif !
Pourquoi, on ne manifeste pas dans la Normandie bocagère et giboyeuse, Marcel ?
Il faut dire qu’il fait un temps printanier à Paris et je ne vais pas tarder à aller me promener…
Marcel dit: 2 février 2014 à 14 h 24 min
Vous faites du mauvais Chevillard, atelier des cris durs.
Attention, Marcel, vous risquez d’être embauché par ces dames patronnesses pour leur concocter des slogans percutants !
@christiane dit: 1 février 2014 à 20 h 19 min
JE NE SAIS PAS AEC QUI VOUS ËTES EN CHEVILLE, mais si ous n’avez pas entendu parler de Monsieur pourquoi, c’est quue ous vous voulez être aussi « reine » et n’avez jamais entendu parler de l’hippias majeur : attention:
P.Assouline potasse le grec , et pas seulement
le nombre g de GÖDEL
avec qui vous êtes en cheville
et quels sont les contraires de la politesse, et de la grossièreté ?(oubliez un peu la philosophie et ne faites pas votre Lacan ni son Heidegger du dimanche à domicile
L’étude reste ouverte à de nouvelles sur un même sujet, la théorie referme la porte sur elle-même dans l’attente d’être visitée pour exploitation dans une concrétude qui serait un des terrains adéquats.
« …Je pris les vertus célestes que vos plaisirs soient sans mélange, votre beauté durable, et votre bonheur sans fin. »
« Leurs lois imitent leurs préjugés; les punitions publiques sont aussi cruelles que les vengeances particulières, et les actes de leur raison ne sont guère moins impitoyables que ceux de leurs passions. Quelle est donc la cause de cette bizarre opposition? C’est que nos préjugés sont anciens, et que notre morale est nouvelle; c’est que nous sommes aussi pénétrés de nos sentiments qu’inattentifs à nos idées; c’est que l’avidité des plaisirs nous empêche de réfléchir sur nos besoins, et que nous sommes plus empressés de vivre que de nous diriger. C’est, en un mot, que nos mœurs sont douces, et qu’elles ne sont pas bonnes; c’est que nous sommes polis, et nous ne sommes seulement pas humains. » Hors contexte de V.
douglas Hofstadter a reconnu deux sortes d’hommes :j’en ai identifié au moins trois – sans les princes non- fils de king
Au rayon pancartes de la manif : «Un papa, une maman, y a pas mieux pour faire un enfant» / «Non au mariage gay» / «Tous nés d’un homme et d’une femme» / «Le gender c’est pas mon genre» / «PMA, GPA, gender, c’est non!»
Voyez, Marcel, votre talent est requis. Auriez-vous inspiré celui-ci : «Un garçon, une fille, pas une cagouille*» ?
*cagouille : nom donné aux escargots en Charente.
…
…en passant,…
…
…@,…Jacques Barozzi,…à 13 h 36 mn,…
…un tableaux de Liotard,…quel amalgame!,…pourquoi!?,…
…
…ils sont excellents,…et le tableau dans son temps,…et l’homme politique français de notre temps,…
…le devoir accompli et sa croûte en politique,…
…rien d’un boute en train de guerre & finances,…
…un genre Raymond Barre,…rien à redire!,…
…& les contraintes aux aléas du futur,…etc,…
…
@Marcel dit: 2 février 2014 à 14 h 13 min
délire – délirer – dé-lire – délier – lire et lier. Vous êtes fort, cher Marcel !
Le seul point commun entre l’étude et la théorie est que leur mutuelle cardinalité se trouve la même : (1,n). En dehors de cela…
délire – délirer – dé-lire – délier – lire et lier. Vous êtes fort, cher Marcel
Délier, relier, élire, réélire, déréliction.
renato dit: 2 février 2014 à 12 h 56 min
Théorie du genre, c’est quoi ça ?! pourquoi les gens ne prennent pas quelques infos à la source avant de causer en masse à la masse ? Et naturellement pas un curé de génie pour leur expliquer la différence entre “théorie” et “étude”…
–
Pourquoi « naturellement » ?
Qu’est-ce que vous tentez de sous-entendre là ?
Non mais les surhommes faut les faire en laboratoire après on peut instaurer des sociétés de flics comme maintenant mais pire…
…
…un familier,…
…vient de m’appeler,…toi,…qui ne veut plus de télé,…Oui,!?…
quoi!,…
…un député italien du mouvement 5 étoiles, a aussi, dénoncé,…la raison d’être des femmes en politique,…Ah!,…bon!,…c’est une devinette,…
…Ah!,…bon,…même si on ne s’appelle » gorge profonde « ,…les convictions en mains,!…
…
…Alessandro,…j’ai miss 2005, miss 2009,…
…
…un mois, en stage de notoriété,…
…Oui!,…c’est pour ta n° 14 du con-cours 2012,…
…Je l’ai promis pour septembre à Adolf,…
…Oh,…d’ici là,…elle aura fait la Hollande aussi,…
…tu l’a encore sous garantis,…en ordre, un service pareil, çà ne se refuse pas, la classe Benvenuto à tè!,…Ah,…
…Non,…c’est mieux à la télé, on en parle encore,…Oh!,..ces garnements italiens, y sont » gâtés « , avec deux papes en plus,…le paradis sans off-shorts,…Ah,..Ah,…
…etc,…
Et naturellement pas un curé de génie pour leur expliquer la différence entre “théorie” et “étude”… (Renato)
Un curé de génie, c’est un oxymore ?
Ultime variation maniérée après le Mentir-Vrai d’Aragon. Un lieu commun, en somme, qui dit tout et son contraire : vérité ou mensonge la littérature ?
La littérature c’est tout le reste.
Mais j’y vois une similitude avec les experts en politiquement incorrect qui préfèrent les gens ne faisant jamais la gueule.
De quoi se marrer. Intérieurement…
Douglas Hofstadter ?
» en est venu « à conclure avec une quasi-certitude que nous pensons toujours en traçant des parallèles entre les choses provenant de notre passé et que nous communiquons le mieux en usant abondamment d’analogies et de métaphores, en évitant les abstractions, en ayant recours à un langage terre-à-terre, très simple, concret, et en parlant directement de nos propres expériences. » Il se définit d’ailleurs lui-même comme « quelqu’un dont les idées sont tout sauf « dans les nuages », quelqu’un de terre-à -terre au point d’en être gêné ». »
La loi de Hofstadter: Cette loi fut initialement en relation avec les ordinateurs jouant aux échecs, où les meilleurs joueur battaient toujours les machines
ça me fait penser, contrairement à la version française du film 2001 Space Odyssey, la dernière chanson de HAL, n’est pas » au clair de la lune »
(au lieu de rêver, analyser cela :
« le son ferrugineux des cloches »
» en levant les yeux au ciel on recevait des bouffées d’étoiles ».
Et surtout » quoi de plus inquiétant qu’un château si ce n’est l’idée qu’on s’en fait »)
Les idées toutes faites sont souvent celles qu’on n’a pas vu
monsieur michu, de fait, vos idées, on ne les cherche plus..
Bonne suite, comme on dit.
Angoulême : le Grand Prix attribué à Bill Watterson, le père de « Calvin et Hobbes »
Bon, ben arrête de râler pour le pont-levis alors, si tu ne cherches plus. Déjà que t’avais de la peine à assumer quand tu cherchais… Et puis, personne, quel modeste le mec: il sait tout de tout le monde. Un génie…
Mme Michu dit: 2 février 2014 à 16 h 55 min
Les idées toutes faites sont souvent celles qu’on n’a pas vu
Là, c’est bigrement profond. On en arrive à se faire des idées sur l’idée, mais personne n’a jamais eu l’idée d’avoir une idées sur les idées. L’idéal serait que l’on ait l’idée de perdre les idées. En bref, un casino de l’idée où l’on viendr
Bon d’accord, une erreur de manip et paf, ça m’a coupé les idées.
c’t’un curé d’génie dans une sacristie qui te manque marcel..bonne ou mauvaise manip tout te reviendrait
c’est bigrement profond
Va savoir, peut-être pas moins que la théorie du genre. Un comique a bien dit que la peau c’est ce qu’il y a de plus profond, alors rajouter des couches d’étiquettes pour viser la profondeur ça va pas attendrir la viande et rendre la chair moins triste.
aaaaaa
jean marron il l’a rencontré et il n’a pas besoin d’un dire plus
ça va pas attendrir la viande et rendre la chair moins triste
t’as une piètre opinion de ton cul madame michu
La manif pour tous passe sous mes fenêtres. Une bande joyeux drilles hurle :
Ya qu’la peau d’couille pour conserver l’tabac,
Voilà, voilà, voilà la chanson militaire.
Ya qu’la peau d’couille pour conserver l’tabac,
Voilà, voilà, voilà la chanson du soldat.
Plus loin d’autres répondent en écho :
Tiens Titine
Voilà cent sous
Pompe-moi l’nœud rend mois trois francs
Non monsieur
C’est bien trop peu
Pour pomper un si gros nœud.
t’as une piètre opinion de ton cul madame michu
Non, boug, en tout cas pas au point de cherche la mise en boîte tout le temps…
Une bande joyeux drilles hurle
y a pus que dans les bus payés et conduis par l’évèque que ça chante de la paillarde marcel..et tu l’sais bien
la mise en boîte
version originale ou figurée ?
mais personne n’a jamais eu l’idée d’avoir une idées sur les idées (Marcel)
On voit bien que Marcel n’est pas un familier de la recherche universitaire ; pas plus d’ailleurs de la philosophie scolastique ni de la théologie ; ni même du moindre « think tank » qui se respecte.
VERSION OFFICIELLE
Tiens Marie
V’là cent sous
Pompe-moi l’nœud
Rend moi trois francs
Non monsieur !
C’est beaucoup trop
Pour pomper un nœud si beau.
au lieu de demander au ciel « Pourquoi moi ? » il demande à la terre : « Pourquoi pas moi ?
C’est beau, non ? N’est-ce pas très exactement ce qu’on nomme l’humilité ?
Il est vrai que Jacques A. Bertrand pousse la délicatesse, tel François Villon, jusqu’à « dire à toutes gens merci », au cas où, par précaution
C’est de la délicatesse sans doute, mais c’est aussi du réalisme. On n’est rien sans tous les autres. On ne reste en vie que parce que d’autres vous maintiennent en vie. Tant d’autres.
Ce n’est pas en refusant la conversation que vous ferais avancer les chose.
C’est un comportement puéril.
Djedla, ayant eu la chance de lire « Gödel, Escher, Bach : les brins d’une guirlande éternelle » de Doug Hofstadter, je peux vous confirmer que c’est facile à lire et à comprendre
Et aussi jouissif que de voir la réussite de cette Manif pour Tous qui emmerde tant les glandus étroit du cul !
On n’est rien sans tous les autres. On ne reste en vie que parce que d’autres vous maintiennent en vie. Tant d’autres
ma parole ! jean marron qui se refroque et monte en chaire
es glandus étroit du cul !
on sait bien que dans l’tien on y loge le vieux berliet de son éminence jicé
je peux vous confirmer que c’est facile à lire et à comprendre
fais gaffe.. on dirait une démonstration à la ofchtatère
Je suis triste que la France suive le chemin qu’elle est en train de suivre.
Depuis la révolution on a eu que des très gros ennuis en permettant aux gens d’en bas d’exprimer des idées qu’ils ont cru être d’en haut. Chacun à sa place s’il vous plait : la noblesse au pouvoir, les bourgeois au commerce et le reste aux labours et à l’usine, mais en silence par pitié.
Messieurs Boug & Brown
Non ! Avec ou sans, on est rien.
Tout simplement.
cette Manif pour Tous qui emmerde tant les glandus étroit du cul ! (Giovanni etc)
Mais non. Elle est utile, cette manif, ne serait-ce que pour identifier nos ennemis
t’es prét a te réduire jusqu’à neant pour ne pas avoir de gratitude jicé..aucun évèque ne voudrait de toi comme enfant de coeur..t’es capable d’aller le dénoncer aux flics toudsuite..ça se sent
« Doug Hofstadter, je peux vous confirmer que c’est facile à lire et à comprendre »
et à croire, c’est aussi facile à croire ?
Même être Bourgeois, ça ne devrait pas être permis au premier venu. L’argent ça se mérite.
Elle est utile, cette manif, ne serait-ce que pour identifier nos ennemis
mieux que ça jean marron : ils augmente notre plaisir.. »tous les autres » tu disais
« C’est beau, non ? N’est-ce pas très exactement ce qu’on nomme l’humilité ? » (Brown)
L’humilité est une vertu de footballeur.
Elle se récite avant le match sous les caméras.
Après?
» ‘culés! »
Nous avions ordre de tirer… « Ce sont vos ennemis ! Tirez !!! » ….Impossible : on est de cœur avec ces braves gens !
mieux que ça jean marron : ils augmente notre plaisir.. »tous les autres » tu disais (Bouguereau)
Je n’ai pas dit « tous les autres ». J’ai dit « tant d’autres ». D’ailleurs, je retire le mot « ennemis », pauvre mot, pauvre leurre. Qui sait si, parmi tous ces gens qui défilent à Paris ou à Lyon, et dont je ne partage pas les idées, il n’yen a pas, pourtant, qui…
Onésiphore de Prébois dit: 2 février 2014 à 18 h 03 min
Ce à quoi il est ajouté :
« Et on en aurait ri si on n’en avait pleuré »
citation libre du « juste souffrant »
Je viens de lire du bout des yeux le début du mythe. Et historiquement, il y a à dire.
« J’aime Odette de tout mon cœur, mais pour lui faire des théories d’esthétique, il faut tout de même être un fameux jobard! (Proust, Swann,1913, p. 228).V. canaillerie »
source: le dictionnaire
Certains pensent que je plaisante ou que je provoque en disant ça, mais il n’en est rien.
Bien diriger, bien penser, bien commercer, sont des qualités qui s’acquièrent sous l’influence de l’Esprit Saint. Sinon c’est de l’usurpation, c’est de l’effraction, et le résultat c’est la France d’aujourd’hui.
Très cher John Brown, défoncer les crâne à coup de barres de fer, ce sont certainement les TP de ta sclolastique, théologie et autre tank de la pensée. Merci bien. L’université n’a nul besoin d’être gangrénée par tes conceptions rétrogrades et obscurentistes qui n’a que pour but d’asseoir ton pouvoir sur les « âmes » naïves.
Week-end avec Béatrice, Ludovine, Frigide ou Farida?
(Moi j’ai fait mon choix)
C’est à ça que je voulais en venir, mais j’ai voulu introduire ma pensée graduellement, par égard.
J’aime Odette de tout mon cœur
d’ailleurs odette ça rime riche avec coeur
Ah ?
version originale ou figurée ?
Du moment que c’est match in the box, version vs thème serait seulement pour en parler…
introduire ma pensée
..ça va bien dédé
Depuis que D. ne venait plus, il manquait qqc ..
Très cher John Brown, défoncer les crâne à coup de barres de fer, ce sont certainement les TP de ta sclolastique, théologie et autre tank de la pensée. Merci bien. L’université n’a nul besoin d’être gangrénée par tes conceptions rétrogrades et obscurentistes qui n’a que pour but d’asseoir ton pouvoir sur les « âmes » naïves. (Marcel)
Il semble que Marcel n’ait strictement rien compris à ce que j’ai écrit.
Il semble que Marcel n’ait strictement rien compris à ce que j’ai écrit
mais si..mais c’est « pouvoir sur les ames naives » qui lui fait mal au cul..un « engramme » comme disent les scientologues
Evidemment, il faut maintenir les nobles à leur place, les commerçants à leur place, les guerriers à leur place, les religieux à leur place et surtout le peuple, infâme assemblage de crapules incompétentes, à sa place, tout en bas … ! Je ne vais pas vous faire un dessin : vous voyez ce que ça donne lorsqu’on imagine que n’importe quel Mimile, Rachid, Aaron, Popaul, Eddie, Giovanni, Manuel, peut exercer son droit de vote alors qu’il n’a aucun titre universitaire en garantie… !
Mal écrit… Oh et zut, quand on lit mal rien n’est jamais bien écrit. Le pire c’est que ça donne envie de dire tant mieux.
il ne manque plus rien a ton bonheur dafnoz..joie joie
Daaphnée dit: 2 février 2014 à 18 h 43 min
Depuis que D. ne venait plus, il manquait qqc ..
–
Je dis ce qu’une majorité pense mais n’ose pas exprimer. Et je sais que vous en faites partie.
des journées profite que Clopine n’est pas là pour lui piquer la vedette. Voilà qu’il bave du Proust maintenant.
vous voyez ce que ça donne lorsqu’on imagine que n’importe quel Mimile, Rachid, Aaron, Popaul, Eddie, Giovanni, Manuel, peut exercer son droit de vote alors qu’il n’a aucun titre universitaire en garantie… !
c’est des thunes qu’ils devraient donner,censitaire le vote..
De beaux types de Françaises dans cette manif.
Une superbe bourgeoise prénommée Nathalie, beaucoup d’allure, mère de 4 enfants, catholique mais sans ostentation, qui habite dans « le bon dix-septième » (pas le siècle). Vraiment du chien.
Un certain Mourad, qui a une théorie des genres (l’un reste à la maison).
Quelques poussettes, sans cocktails Molotov à l’intérieur.
Une ambiance bon-enfant.
on ne parle jamais des personnes morales en rapportant des affaires de corruption..
how bizarre..
et obscurentistes qui n’a que pour but d’asseoir ton pouvoir sur les « âmes » naïves. marcel
qui n’a pour but qu’asseoir … ça marche aussi.
D votre théorie sur l’argent qui se mérite, vient elle de ce que Chaloux délaisse la classe A pour une Classe E comme un pauvre T?
http://www.allmusic.com/album/dangerous-rip-mw0000245083
Comme moi, vous avez remarqué combien le sieur bouguereau était lucide. Il a raison : seul les riches instruits et éduqués devraient voter. Revenons au vote des propriétaires, bien portants friqués et si j’osais je dirais blanc, chrétiens, aimant la Police !
Petit cours sur la théorie du genre à l’usage des manifestants pour tous :
Je suis un homme. C’est mon sexe.
Mais il arrive aussi que je sois une femme.
C’est un genre que je me donne.
Je me le donne en vertu de la déclaration des droits de l’homme.
Onesiphore, pouvons nous procéder à un contrôle ?
u. dit: 2 février 2014 à 18 h 51 min
Une ambiance bon-enfant.
Témoignage de première bourre d’un membre du gU.d.
C’est un genre que je me donne.
Etes-vous certain de décider de votre inversion, de l’avoir calculé, désirée, souhaitée?
C’est un genre que je me donne
il y a bien des dindes qui ont des pattes d’oie..
« Je suis un homme. C’est mon sexe.
Mais il arrive aussi que je sois une femme. »
En fait, vous ne savez plus où vous en êtes à cause de ces conneries modernes, hein ?
Marcel, continuez de faire des ronds carrés calembourdiques.
Odette c’est pour le « juste souffrant ».
Vous avez besoin de lunettes ?
et là on devrait voir venir les habituelles stupidités sur la schizophrénie..
bien sûr, il fallait lire « marcel calbrix ».
Etes-vous certain de décider de votre inversion (Bérénice)
J’en suis certaine (en ce moment, je me sens très femme (mulier) et même très jeune fille (puella)). J’ai aussi un peu de la chatte en chaleur et de la chienne en rut. Mais il ne faudrait pas croire que je me limite aux mammifères. Vive le mélange des genres tous azimuts !
marcel calbrix, pour déclarer votre flamme à la brayonne, ne vous génez pas.
Vos vers de mirliton, comme dit M. Court, ne trompent personne.
Maintenant pour ce qui est des nombres compexes, il va vous falloir vous accrocher mon p’tit marcel.
Onesiphore, pouvons nous procéder à un contrôle ? (Commissaire…)
Certainement, à condition que vous en fassiez autant dans le calebard de Calbrix
…
…il n’y a pas d’ennemis,…
…juste des déplacements alambiqués du portefeuille,…
…et du cinéma,…
…la période des réponses Haddock de la châtelaine de Montreuille des Habilles en Cour,…
…Non,…Nous n’avons plus rien,…une tasse de thé, un café,…deux biscuits,…le château est vide,…des bricoles sans valeurs pour donner le change et vous voilà,…des voleurs amateurs,…des pro’s,…savent qu’il n’y a rien, chez moi,…
…
…mais puisque, mon mari, est en froid avec moi,…Oui!,…
…n’est ce pas Véronique,…Oui, Madame,…
…un bon souvenir, du château,…un blanc sec!,…avec nos gâteries,…Oui!,…à l’étage,…vous allez être servis, comme deux coqs en pâte,…
…n’est ce pas Véronique,…Oui!,…Madame,…
…toutes ces manifestations c’est renversant,…
…n’est ce pas Véronique,…Oui,…Madame!,…
…mais vous prenez les deux!,…
…un souper pour deux,…à quatre pattes,…
…téléphone, Oui,…
…Non,…y pas de voleurs chez-nous, Mr le brigadier-chef,…
…des invités de » 68 « ,…encore prometteurs ,…Oui,…le coup du Berger!,…
…Non!,…un jardinier, ou deux,…on prend des volontaires dans la contrée, logées nourris, les pour-boires aux noces,…le ravitaillement en somme,…
…entendu,…c’est du Channel 5,…
…un château dans l’autre,…à la poupée russe!,…etc,…trier sur les volets,…
…les bien achalandés de la manif,…
…suivants,…etc,…
…
Nous, la Police, on est là pour vous protéger, pour protéger la Société, même si elle est mauvaise. La Justice aussi, avec ses magistrats compétents, riches d’affects, et indépendants. Comment ! pas tous ?
Et même avec les nombres compleXes, mon p’tit marcel.
Nous sommes pour la protection des citoyens vivant en libre servitude, mais pas au point de contrôler dans le calebard de Calbrix, là où la main de l’homme n’a jamais mis le pied !
Surmontant notre répugnance, nous avons trouvé un parchemin dans le calbut de Marcel, rempli de vers :
« Ce soir c’est jour de fête
Zippe donc ma braguette !
Belle brayonne, t’y aura droit
Zippe, Zippe, c’est la fiesta ! »
Elève des journées, vous êtes prié de résoudre l’équation (e^(ix)+e^(-ix))/2= ?
et sans compexe. Vous êtes autorisé à demander de l’aide à Monsieur Court sur pattes.
Laissez tomber, Djedla !
La solution est cosx ! On a arrêté le type qui portait cette pancarte incompréhensible (quand on comprend pas, nous, on arrête), un certain Leonhard Euler, un Suisse …
(e^(ix)+e^(-ix))/2= chacun la main dans sa culotte.
il est « puissant », ce marcel calbrix.
Il fait la roue, comme le paon.
JB, c’est en redescendant l’ascenseur que je m’attarde ici :
« J’ai lu dans les gazettes que le comédien Jean-François Balmer disait sur scène des textes du Voyage au bout de la nuit. Avant lui, Fabrice Lucchini s’y était déjà essayé. Je serais le dernier à méconnaître la prodigieuse oralité du texte célinien. »
http://www.dailymotion.com/video/x43n50_luchini-nous-recite-celine-1-3_travel
La beauté révélée par Euler est infinie ! Bonsoir mes petits choux, comme dirait l’autre !
« Qu’est-ce qu’il prendrait chaque jour s’il ouvrait le robinet à parlotes sur son propre blog ! P.A.
En vous lisant, je me dis que Quignard devrait aussi ouvrir un blog avec un robinet à parlotes : « Qu’est-ce qu’il prendrait »!
Fermeture du robinet,
Bonne soirée.
des journées entières dans les arbres dit: 2 février 2014 à 19 h 49 min
il est « puissant », ce marcel calbrix.
Et toi aussi t’es pissant.
La solution est cosx ! (JC)
C’est pas réglo de souffler la solution à l’inculte, JCTounet. C’est quand même lui qui a parlé de compexe sans en avoir aucun !
Onésiphore de Prébois dit: 2 février 2014 à 19 h 15 min
Onesiphore, pouvons nous procéder à un contrôle ? (Commissaire…)
Certainement, à condition que vous en fassiez autant dans le calebard de Calbrix
Bon, d’accord, John, mais la prochaine fois que tu mêleras la connerie magistrale aux sujets d’étude des universités, prévient que tu fais de l’humour au troisième degré.
Et puis tu peux remarquer que ne parle pas de ta quéquette, ce n’est vraiment pas un sujet de discussion intéressant.
« Témoignage de première bourre d’un membre du gU.d. »
Partez à la rencontre de l’Autre, atelier.
Une infime minorité avait sur la tête une sorte de casque présidentiel, mais la majorité d’entre eux, le coeur sur ma main, j’en suis persuadé.
(Avez-vous déjà serré la pogne d’un homme le coeur sur la main?)
Ouvrez les fenêtre de votre écritoire, Ami du peuple!, vous pourrez parfaitement laisser au mur les visages de Marat et de Vallès (bravo),
il n’y a aucun problème par ici!
Quelles belles jeunes filles au premier rang, le rouge phrygien sur la blondeur du crin…
Un crin honnête, en ces milieux catholiques.
Cette couleur de blé, elle vous aurait attendu sur l’ensemble de leur personne, gentil pupitre!
Une question me brûle mes lèvres, mais je ne veux blesser personne.
Êtes vous … gauchiste par gaucherie?
Réouverture du robinet :
Marcel-John Brown :
Gros débat à l’hospice.
Fermeture du robinet.
Une question me brûle mes lèvres, mais je ne veux blesser personne.
Êtes vous … gauchiste par gaucherie?
Vous pouviez dire par « connerie », U., mais votre interlocutrice ayant tout juste accès au 1° degré, l’aurait mal pris.
En effet.
Ces demeurés à la manif-chose à pousser leur progéniture en avant ou, occasionnellement ici, des hystériques à brandir des banderoles accusatrices: kif kif.
« banderoles accusatrices: kif kif. »
Pourquoi diable ce passage à l’arabe, Daaphnée?
J’ai lu que Mme Farida Belghoul était à l’origine de la « journée de retrait».
Convergence des monothéismes, dans l’éloge de l’interruptus?
mon p’tit marcel calbrix, vous êtes un peu comme Chaloux. Il vous manque un électricien.
Notez, ça tombe bien, c’est la journée des chandelles !
Je ne sais pas , U., tant de sottise me laisse pantoise en réalité ..
Ces Farida ,Ludovina … mais quel paquet elles se trainent !
( non, « kif kif » c’est par seulement par jeu … et fort heureusement, il existe des gens ouverts d’esprit dans toutes les cultures ..)
(cela dit si les monothïsmes ont commis des dégats, ce ne doit pas être que dans l’interruptus … quoique, déjà là ..l’avenir est compromis, forcément.
Des morbides, en définitive .
Biiiiiiiiii !)
(les 4 que vous nommiez font qd même peine à jouir. Il faut parfois dire les choses.
Si.
Au risque de déplaire à d’autres qui leur ressembleraient.
Tant pis.
C’est dit.
Alea jacta est.)
c’est la journée des chandelles !
Exactement! Cette manifestation, c’était celles des crèpes.
(quand je pense que D. se force à manger des feuilles de laitue toute l’année, le pauvre. pfff !)
(Pierre Assouline, j’ai un reproche à vous faire.
Si.
Concernant la littérature étrangère.. Excepté le billet des traducteurs, vous ne mettez guère la main à la pâte ..)
Il y a tout de même quelque chose que je ne comprends pas dans le comportement de ces gens qui se sont retrouvés à la manif-pour-tous-sauf-tous-ceux-qui-n’y-vont-pas : en quoi l’IVG, le mariage homosexuel, l’euthanasie, la PMA,les libertés prises avec le genre, en quoi tout cela les concerne-t-il ? On n’exigera pas d’eux ( d’elles, surtout ) qu’il se fassent avorter, euthanasier, s’ils n’en ont pas envie; ni de faire leur coming out s’ils n’en éprouvent pas le besoin; ni de broder des napperons s’ils préfèrent jouer au football américain. De quoi ont-ils peur ? Quelle menace pèse sur eux personnellement ? Personne ne les empêchera de continuer à mener leur gentille petite vie, d’aller à confesse et de regarder la nième suite de « la petite maison dans la prairie ». Je ne comprends pas cet acharnement à se mêler de ce qui ne les regarde pas. Je voudrais qu’on m’explique.
Je ne comprends pas cet acharnement à se mêler de ce qui ne les regarde pas. Je voudrais qu’on m’explique. (mézigue)
Je crois que j’ai trouvé ce qui leur fait peur : ils ont peur de se retrouver avec un rejeton dans le genre d’Edouard Louis qui, à dix-huit ans, publiera chez Gallimard une transparente autofiction où il se fera le plaisir de leur cracher son mépris dans la gueule.
Onésiphore de Prébois dit: 2 février 2014 à 22 h 38 min
Il y a tout de même quelque chose que je ne comprends pas dans le comportement de ces gens qui se sont retrouvés à la manif-pour-tous-sauf-tous-ceux-qui-n’y-vont-pas
Faut voir ça dépend comment on envisage le problème c’était peut-être bien… Y avait des saucisses à la moutarde ? Des Wiener Schnitzel ?
Dame la Courbe du Chômage
Grimpe aux rideaux allègrement.
L’on voudrait qu’elle soit plus sage,
Dame la Courbe du Chômage.
Elle aime faire son chantage,
Et chacun file gentiment.
Dame la Courbe du Chômage
Grimpe aux rideaux allègrement.
Jean Calbrix, le 03/02/14
« Quelle menace pèse sur eux personnellement ? » (Brown)
Mon dieu ! Que vous êtes mignon quand vous faites l’innocent, les Tartuffes… Vous êtes prêt pour lire ma réponse ? Partez !
« Il y a tout de même quelque chose que je ne comprends pas dans le comportement de ces gens qui se sont retrouvés à la manif-pour-tous-sauf-tous-ceux-qui-n’y-vont-pas : en quoi la zoophilie, l’inceste, le meurtre libre et remboursé par la Sécu, en quoi tout cela les concerne-t-il ? On n’exigera pas d’eux ( d’elles, surtout ) qu’ils enculent le chien, baisent leur fillette mignonne, butent leur voisin ou leur belle-mère sans problème, s’ils n’en ont pas envie. Je ne comprends pas cet acharnement à se mêler de ce qui ne les regarde pas. Je voudrais qu’on m’explique. »
Tu as compris, mon biquet, qu’il s’agit de ces lois communes, de l’environnement sociétal qui définissent « le bien et le mal » et que pour ceux là, Mariage des Pédés et des Gouines, adoptions par les tantouses, ventres à louer, zoophilie, inceste… c’est mal ?!!!
Bien à toi
Quand va t on s’occuper du chômage au lieu de faire les pitres en Afrique où ça va très mal, même au Mali ? Marre des amusements distractifs, Mariage, ABCD, etc, organisés par le gouvernement socialiste d’amateurs pour faire oublier ses graves échecs …
Le chômage entraîne l’augmentation des cambriolages. Un exemple ? On a vu une bagnole immatriculée dans la région du Bray arriver dans la région ; la cambrioleuse, jolie ménagère de plus de 50 ans, rentrait chez les gens, piquait La Recherche du Marcel dans la bibliothèque, et leur laissait la Correspondance Morand-Chardonne !!!… Ce sont des choses qui ne se font pas. Comme dirait l’enfoiré : « ça sent le nauséabond des années 30 ! »
( non, « kif kif » c’est par seulement par jeu … et fort heureusement, il existe des gens ouverts d’esprit dans toutes les cultures ..
Voulez-vous dire aussi pour continuer, dans le genre féministe occidental à l’esprit ouvert, qu’il y a des femmes de tous les milieux qui écartent plutôt bien pour laisser passer les idées encore vivaces et pas seulement le courant dominant de la pensée? Une bonne toilette vaginale destinée à évacuer ce qui ne peut être retenu, comme la nuit si l’on se noie dans le romantisme, ou les spermatozoïdes en raison d’un manque de pragmatisme ou d’une déchirure du préservatif?
Quel belle image, Béré ! Nous sommes passé de la « fracture sociale » chiraquienne à la » déchirure du préservatif » hollandais…
des hystériques à brandir des banderoles accusatrices:
Pour une nympho se moquer des hystériques ressemble un peu à l’hôpital qui se moquerait de la charité, mieux vaut se réserver pour une énième monstration porno-chic à moins de préférer manifester porcs no chics. Exposer des enfants,leur utilisation à des fins politiques, en faire des instruments attendrissants, les incorporer d’office pour donner plus de poids à l’illustration quelqu’en soit la destination s’apparente au domaine de l’inacceptable.
Pas suivi l’actu, au juste pourquoi ses gens manifestaient-ils ou contre quoi? L’amalgame encore? mariage pour tous, PMA, avortements « à gogo » licence et déliquescence, la théorie du genre qui serait infligée dés la première section de maternelle dans les incubateurs?
« Exposer des enfants,leur utilisation à des fins politiques, en faire des instruments attendrissants, les incorporer d’office pour donner plus de poids à l’illustration quelqu’en soit la destination s’apparente au domaine de l’inacceptable » (Bérénice)
Exact ! INACCEPTABLE ! C’est dégueulasse de manifester avec ses enfants ! Je ne supporte pas ces manifestants antiracistes, ou luttant contre l’homophobie, ou le capitalisme, ou l’antisémitisme, ou la fermeture d’une usine, qui sous prétexte de « Pédagogie, Education Parentale » active, emmènent leurs mioches dans la vie des rues ! Pour qui se prennent ces parents ? Pour des responsables ?!
Les familles n’ont pas la propriété éducative de leurs gosses ! C’est l’Education Nationale qui doit éducationnaliser les enfants, lesquels sont PROPRIETE DE L’ETAT, embryon compris ….
Les familles n’ont pas la propriété éducative de leurs gosses ! C’est l’Education Nationale qui doit éducationnaliser les enfants, lesquels sont PROPRIETE DE L’ETAT,
Ne sachant ou devinant où vous situez votre ligne d’arrivée, je tiens à préciser que tel n’est pas le sens de mon propos. Les enfants seront soumis à l’influence d’autres éducateurs que leurs parents et à ces derniers d’opérer des choix qu’ils veulent et voient comme des meilleurs, le mixage des apports éducatifs est bénéfique sans vouloir soustraire l’enfant à l’autorité parentale qui demeure prédominante, il existe aussi des parents démissionnaires et dansd ce cas les systèmes éducatifs n’agissent plus uniquement comme complétifs mais comme palliatifs à la carence parentale. Dans tous les cas que l’éducation passe par les apprentissages scolaires et par d’autres vecteurs qui trouvent placent dans les temps extra-scolaires, elles ont pour but de construire et de faciliter le développement de la personnalité et mettre à jour en les facilitant les potentialités propres à chacun d’entre eux.
ils ont pour but..
« Dans tous les cas que l’éducation passe par les apprentissages scolaires…/…elles ont pour but de construire et de faciliter le développement de la personnalité et mettre à jour en les facilitant les potentialités propres à chacun d’entre eux. » (Bérénice)
Dans le cadre scolaire ? Vous rigolez ou quoi ? Ce monstre, l’EN, incapable de se réformer lui-même ? Ces profs sans autorité ? lâchés par leur hiérarchie molle et froussarde ? ce rouleau compresseur, incapable de s’adapter aux nouvelles condition de fonctionnement, aux nouvelles populations d’élèves ? Cette usine à décerveler servirait à « construire » ? à « développer la personnalité » ?… huhuhu !!!!
Vous devriez entendre les profs parler de leur quotidien réel, en toute franchise … Epouvantable évolution ! Impossibilité de travailler à « éduquer », même pas à « instruire », avec les parents des quartiers défavorisés qui viennent vous agresser au moindre reproche …
avec les parents des quartiers défavorisés qui viennent vous agresser au moindre reproche …
c’est un boulot de courageux jicé..les trouillards..les fonctionnaires du risque vont à la corbeille prendre leur com sur les investissement de « bon père de famille »..bon père de famille biffé de notre droit pénal lately..pus que des marchands de crack dirait clopine
Devant le drame, la tragédie d’une Frigide Barjot à côté de la plaque, dépassée par l’évènement, critique, expulsée, anéantie, seule, en échec… pour elle, cette petite citation d’Eric le Chevillard :
« Orée, Entame, Bourgeon, Aube, tous les départs, Ilinuk ! Lauréat du plus gros potiron ! Extra-fine Illusion ! Lanceur d’oies ! Imputrescible salaison ! Algue dans le fer ! Ilinuk ! Cheval de nuages, Ours de neige, Papillon de cendre et de toutes les autres farines la brioche insécable ! Petite Lune dans la nuit et déjà morte, ô Iinuk, fils du Chameau dyspepsique et de la Loutre noyée, reviens ! «
Prof ? Un boulot de cons, dans le secteur public !…
reviens !
jamais! tu pues du cul tu sens l’tabac
quand tu pètes tu dis qu’c’est pas toi
t’as les roupètes en chocolat
dans le secteur public !…
sois roquênerol jicé
http://www.rollingstone.com/music/news/marx-was-right-five-surprising-ways-karl-marx-predicted-2014-20140130
t’as que ta gourmette a perdre..c’est pus la mode
des hystériques à brandir des banderoles accusatrices:
Pour une nympho se moquer des hystériques ressemble un peu à l’hôpital qui se moquerait de la charité, mieux vaut se réserver pour une énième monstration porno-chic à moins de préférer manifester porcs no chics
Heu .. pardon, Bérénice ?
Vous nous parlez de quoi/de qui là ?
De votre échec à coucher D. sur le clavier ???
Un peu d’auto-critique ne vous ferait pas de mal.
En plus, vous dites ne pas avoir suivi l’actualité .. !
(D., je crains que vous n’ayez fait quelques dégats . Si . Bérénice s’était fait des idées .. et ne s’en remet pas. )
Une bonne toilette vaginale destinée à évacuer ce qui ne peut être retenu, comme la nuit si l’on se noie dans le romantisme, ou les spermatozoïdes en raison d’un manque de pragmatisme ou d’une déchirure du préservatif?
Bon, ou Bérénice a des problèmes de contraception ou Bérénice fantasme un prince charmant, pas très dégourdi.
(S’il y a un volontaire dans l’assemblée ..)
J’avais cru comprendre que l’éducation était une prérogative de la famille (unesco) : chacun éduque ses enfants comme bon lui semble ; et que l’instruction revenait à l’école – après, si on veut vivre comme on vivait à Sparte…
Cela dit, il serait opportun que, des deux côté de la courtine idéologique, les gens sachent de quoi ils parlent… de l’utilité des glossaires… enfin !
Personne ne les empêchera de continuer à mener leur gentille petite vie, d’aller à confesse et de regarder la nième suite de « la petite maison dans la prairie ». Je ne comprends pas cet acharnement à se mêler de ce qui ne les regarde pas. Je voudrais qu’on m’explique.
En effet, il y a qqc d’assez surprenant dans cette paranoïa à craindre des lois qui encadrent, justement, ce qui n’est pas leur pratique.
L’autre est le Diable !
Vade retro !
la petit maison dans la prairie, production olyhood, de la section: « la misère pour tout le monde ».
Voyons, lorsqu’un gouvernement n’arrive pas à résoudre les problèmes de fond il fait dans le sociétale ce qui généralement suffit à contenter cette partie de sa base électorale qui n’est pas dans le besoin.
Or, lorsqu’on fait dans le sociétale il faut s’attendre que l’autre côté fasse dans le subversivisme, c’est-à-dire dans des formes de rébellion sans autre programme que le status quo ante (voyez Gramsci).
Si par-dessus le marché l’on fait dans le sociétale brouillon (juste observation de u. à propos de l’usage abusif du mot “pédagogie”), on tombe dans l’abîme de l’incompréhension plus par refus que par incapacité de comprendre, et cela d’un côté de la courtine comme dans l’autre.
Cela dit, c’est quand même incroyable que le débat politique soit si fruste…
« la misère pour tout le monde ».
Oui, je ne sais pas ce qu’en disent les anthropologues .. mais on peut penser qu’il doit y avoir des réflexes, douteux, « primaires » (?) à se regrouper autour du plus petit dénominateur commun: la frustration, la hargne, la haine de l’autre ..et autres joyeusetés à vivre ..
Cette manifestation, pouah !
Cette manifestation, pouah !
Notre ethnologue en pantalon du blog nous lance sa petite culotte en forme de réflexion dans les fentes des commentaires…
L’ odeur la rebute?
« Cette manifestation, pouah ! »
Quel cri du c…oeur. Moi aussi, je déteste les manifestations : cela donne du travail en plus ! En plus, il n’y avait personne pour défendre la famille calmement.
Gabriel Matzneff déthéorise les genres.
L’Archange Gabriel met en déroute les légions du Malin ! Vive Lui !
« … déthéorise les genres » ?!
Magnifique et salubre article de Gabriel Matzneff dans « le Point »
« … déthéorise les genres » ?! (renato)
« déthéorise » est vraiment affreux. Mais l’introuvable « théorie du genre » en prend un coup de plus derrière ses vilaines oneilles.
L’ odeur la rebute?
Ben si tu dis que tu pues on te croit sur parole
Lorsque l’on lit dans le Point la prose du Gaby :
« Livrée aux professeurs de vertu, aux pharisiens croyants et athées, aux sycophantes de l’ordre moral, notre époque est devenue extraordinairement bête »,
on est certain d’une chose, il est comme donneur de leçons, parfaitement de son époque ! …
Celle ou celui qui n’ a pas d’ odeur est un pur esprit, n’ existe pas.
Airwick , une odeur hygiéniste pour cacher l’ odeur?
Royal-Boutin est notre aliment obligé nous dirait Canigou-ronron?
Ces dames pètes ( baaphnée aussi ) comme les hommes, en toute égalité!
« Manuel Valls a répété, lundi 3 février au micro de RTL, qu’il n’y aura ni gestation pour autrui (GPA) ni procréation médicalement assistée (PMA) dans le projet de loi sur la famille »
C’est à ce ministre de s’exprimer sur ce dossier-là?
Depuis l’affaire Dieudonné, il amorce une courbe descendante.
Comme je ne crois pas qu’il ait beaucoup de convictions, je pense qu’il devrait revoir sa com’.
Afficher le même ton mobilisateur, le même masque de gravité sur tous les sujets, petits et grands, va finir par le transformer en personnage de la Commedia dell’arte.
Son patron affiche une sorte de mollesse qui est lestée par un cul de plomb, il ne bouge pas tant que ça.
Lui est une petite statuette d’airain qui commence à sonner creux.
Les propos tenus avant la manif’ étaient ridicules, je crois bien qu’il mettait en cause l’exercice de droits élémentaires (Mme de la Rochère en semblait plus démocrate), et parler en permanence de février 34 contribue pour pas grand chose contribue à l’hystérisation du débat politique.
Je pensais que sa stratégie était qu’après avoir plu à l’électorat de « droite » sur les gros dossiers (immigration, insécurité), il lui fallait ensuite se montrer de « gauche » avant les prochaines échéances.
Car son souci numéro 1, comme un autre ancien ministre de l’Intérieur, est sa propre personne.
Mais je vois que sur sa dernière intervention sa secte parlementaire l’agonie d’injures.
Ma… che casino!
Je ne partage pas la vision politique du camarade commissaire (JC, ton libéralisme est tombé en panne!), mais sur le fond: trop de fumée inutile pour détourner les énergie des tâches essentielles, ça c’est sûr.
A 2000 km de ce microcosme, on rit ou on s’afflige.
Café du commerce.
Café: se dit d’un instant de lecture volé à l’accomplissement des devoirs
Commerce: se dit des relations avec autrui, avec le prochain comme avec les esprits.
Rdl: se dit du lieu de rencontre passager de ces deux phénomènes
u. dit: 3 février 2014 à 11 h 34 min
Bravo, en avant,U!
« Ces profs sans autorité ? lâchés par leur hiérarchie molle et froussarde ? »
Halte, commissaire, et Mme Ludovine de la Rochère, capésienne, prof d’histoire-géo en collège?
Quelle belle autorité!
M’enfin, Onésiphore ! puisqu’il n’y a pas de théorie il n’y a rien à déthéoriser… il serait donc plus opportun de remettre les choses en place (il n’y a aucune théorie des genres), plutôt que se gargariser avec un “il était une fois” réel, certes, mais au même temps de façade…
« Ma… che casino! »
On ne peut pas mieux dire…
salubre article de Gabriel Matzneff dans « le Point »
ben mon colon.. »moi j’ai vachment mieux jouis que vous »..d’ête aout de la bite ça donne la respectabilité
Depuis l’affaire Dieudonné, il amorce une courbe descendante. (u.)
La gestion de l’affaire Dieudonné a été exemplaire. Il ne faut pas trop se fier aux sondages.
on théorise ce qu’on veut rénato..l’histoire l’a fait assez pour qut’aies pas trop à te mettre en tutu, tu peux la remercier ou pas..selon ton gout de
A 2000 km de ce microcosme, on rit ou on s’afflige
obesturmfurer zouzou gross communication « frankreich ist ein tout pititite mikrokosm..pas beaucoup arbeit..toujours la tête dans les jupons..toujours blah blah blah..facile a envahir »
« Je ne partage pas la vision politique du camarade commissaire »
Mais, camarade U., je n’ai pas de « vision » politique ! Juste une aversion pour les donneurs de leçons dans un domaine qui est celui de tous. Referendum ! Il est insupportable qu’une minorité de pitres essaient d’imposer de fausses valeurs à une majorité. Le bon côté, c’est le rire que procure Najat Languedebois, franco-marocaine gentille, mignonne mais arrogante et doucereuse, lorsqu’elle définit les valeurs obligatoires, la doxa, d’un pays de 66 millions d’habitants, et cela avec toute la candeur d’une pionne de collège du XVIème, prenant ceux qui ne pensent pas solférinien (!) pour des cons.
Toujours à côté de la plaque, bouguereau ?
Enfin, Onésiphore ! la liberté d’expression implique que s’il n’y a pas une loi spécifique, toute opinion peut se dire. L’action aurait été bien conduite si ayant constaté une infraction, des policiers auraient arrêté le spectacle et mis le comique en infraction aux arrêts…
Referendum !
sur la peine de mort que pour les femmes ?..ça demande plus ample reflexion..faut théoriser avant jicé
Matzneff se prend pour Gide. Il lui manque l’imparfait du subjonctif.
Bref, on se donne du mal pour quatre trouducs invertis, on « genderise » à l’école où Peillon fait son malin … et, pendant ce temps Sapin est tranquille et 5 millions de chômeurs attendent l’inversion de la courbe du chômage. Cherchez l’erreur ! Misère ….
Il n’y a certainement pas grand’chose de commun, quant au statut social et à l’éducation, entre les parents d’Eddy Bellegueule et la plupart des gens qui sont allés manifester dimanche. D’un côté le prolo bas de gamme, de l’autre le bourge ou petit bourge BCBG. Mais ils ont au moins un point commun : la volonté de transmettre à leur progéniture leurs stéréotypes moraux et existentiels; la réécriture, par les uns ou par les autres, du célèbre poème de Kipling, se terminerait certainement par un martial « Tu seras un homme, mon fils, donc pas un pédé ! ». « Mon Dieu, faites que ma fille ne soit pas une gouine et que mon fils ne soit pas une tante, nongdieu ! palsambleu ! morbleu ! jarnidieu! » Tous ces gens restent décidément persuadés que leurs enfants leur appartiennent. Abominable engeance.
La gestion de l’affaire Dieudonné a été exemplaire
lamentabe..mais à la reflexion c’est peut être pas grave vu que valls a fait ça a ses dépends..sans déconner zouzou..calme toi..à moins de se faire choper dans un hotel à new york..pour le moment il a aucune chance
Il est bête, cet Onésiphonné : rendez-nous l’admirable Jambrun !
valls et son « microcosme » hin..bien sûr..ouyouye.. méfie!..on sait jamais si on en est ou pas..alors uoyouyouye on essaie de confiner hin zouzou
la volonté de transmettre à leur progéniture leurs stéréotypes moraux et existentiels; la réécriture, par les uns ou par les autres, du célèbre poème de Kipling, se terminerait certainement par un martial « Tu seras un homme, mon fils,( Erogène sans gène)
Mais que font idéologiquement les autres?
L’affaire Dieudonné a démontré le creux fascisant de la cloche ministérielle intérieure, sonnante et, là, trébuchante : ça le dépasse, ce type de problème lourd et fondamental. Le sarkozysme est contagieux !
Tous ces gens restent décidément persuadés que leurs enfants leur appartiennent. Abominable engeance.
hahem jean marron..qu’il ne leur appartienne pas peut faire le lebensborn..c’est pas qu’un modèle de droite..pas d’atroce morale jean marron, on ne légifère pas sur les intentions
Royal/Boutin que te dis Matznef, sacré Erogène!
Tu en faisais même l’ éloge il y a à peine quelques minutes!
démontré le creux fascisant de la cloche ministérielle intérieure
..ha toi aussi tu essaies de confiner..t’emploie les gros mots « fachisants » comme un nanard à la rénato
Mais enfin, Boug ! Le comportement du ministricule dans l’affaire Dieudonné est fascisant … c’est clair ! Et le Conseil d’Etat s’est ridiculisé
Mais ils ont au moins un point commun : la volonté de transmettre à leur progéniture leurs stéréotypes moraux et existentiels (mézigue)
En fait, ce qui manque à tous ces gens, c’est un stage de recyclage philosophique, dont la première séance serait entièrement consacrée à la méditation de la célèbre parole du sage : tout ce que je sais, c’est que je suis un con.
Onésiphore de Prébois dit: 3 février 2014 à 12 h 09 min
la volonté de transmettre à leur progéniture leurs stéréotypes moraux et existentiels; la réécriture, par les uns ou par les autres, du célèbre poème de Kipling, se terminerait certainement par un martial « Tu seras un homme, mon fils, donc pas un pédé ! ».
Une fois de plus tu trahis ta vraie nature Chambrun.
Selon toi on ne pourrait prétendre être « un homme » parce qu’on serait homosexuel ?
Ce n’est pas du tout ce qu’à voulu dire Kipling.
Tu n’as vraiment aucune finesse. Tu ressembles beaucoup à ta Némésis Châalouse sur ce plan.
12.26 et bouguereau a déjà fait le plein d’apéros…
« Intellectuels à la rotonde »
Le titre est : « Intellectuels à la Rotonde ».
Si une nouvelle majorité arrive, par malheur, au pouvoir …
Car tudieu ! ils font ce qu’ils peuvent les pitres depuis 40 ans, j’espère qu’elle conduira les gays de tout poil dans des Centres de rééducation, on appellerait ça des Goulags Montaigne, pour révision générale anatomique. Et là : on les obligerait à s’accoupler à l’ancienne, sinon pas de nourriture… héhéhéhéhé !
( ça requiert l’aval de Pope François, naturellement !)
Le comportement du ministricule dans l’affaire Dieudonné est fascisant
c’est un petit oukaz de rien du tout..et dailleurs la droite s’est empressée de dire que c’était une manip grossière mais légale..not genre à nous quoi..
mais rassure toi, bien malin celui qui ramassera le bénèfe politique d’une telle gaffe, c’est à ça qu’on reconnait une gaffe en politique non ?
À 12.26 je disais : « 12.26 et bouguereau a déjà fait le plein d’apéros… »…
Pardonnez-moi, votre granditude : « 12.26 et le petit célinien a déjà fait le plein d’apéros… »
Épépèp…
Et Chevillard?
Et surtout Bertrand?
« Selon toi on ne pourrait prétendre être « un homme » parce qu’on serait homosexuel ? »
Un Romain restait un homme s’il en enfilait un autre, faute de chèvre. L’enculé était, lui, considéré comme une estrasse, sans droit et méprisable. C’était le bon temps !
Alors, Commissaire San Antonio, n’avez-vous pas de bêtises moins caricaturales dans votre arsenal de lieux communs ?
Qu’est-ce, une bêtise ?
« André Gide n’a pas seulement écrit : il a aussi beaucoup réécrit. »
La réécriture « palimpsestique » gidienne, c’est un peu l’équivalent des paperolles proustiennes ?
On parle du rapport entre ces deux auteurs chez Paul Edel, notamment sur leur conception de la théorie du genre…
« Et Chevillard?
Et surtout Bertrand? »
Honnêtement, on s’en fout.
(quand j’entends parler de culture, de littérature, je sors mon chômage… !)
Et surtout Bertrand?
j’ai dit qu’il avait une bonne tête, fier de ses plans de beuh au fond..personne n’a repris
Une fille (Julie, il me semble) avait demandé plus de discrétion dans l’usage du mot “connerie”… “bêtise” me semble donc un bon succédané…
Les petits garçons, dès la maternelle, n’hésitent pas à se traiter d’enculé ou de sale pédé. Qui peut croire qu’une quelconque théorie du genre pourrait les traumatiser ? Leur apprendre un peu de tolérance ne peut pas leur faire de mal…
9h32, 9h40/ Grotesque, abracadabrantesque.
Qu’est-ce, une bêtise ?
tant que ça n’a pas rapporté on est dans l’expectative jicé.. »le suspens » c’est le libéralisme
Pour vous, renato mio, une bêtise serait une connerie présentable, une connerie light ? Toto Rina ?
Leur apprendre un peu de tolérance ne peut pas leur faire de mal…
..leur apprendre a se laver l’cul ça déjà été une révolution..qui a fait débat..si si
Si JC est un libéral moi, je suis an anarcho-syndicaliste…
« Toto Rina » ?!
Toto Riina, éventuellement…
Pour ce qui est du présentable, je vous en laisse la responsabilité…
« ..leur apprendre a se laver l’cul » avec le savon, « ça déjà été une révolution.. ».
Heu .. pardon, Bérénice ?
Vous nous parlez de quoi/de qui là ?
Si c’est une question, voici la réponse: de vous, mais ce n’est qu’une idée fantasmatique, on n’en sort difficilement cependant qui peut prétendre à une vérité quant à la vision de l’autre sans l’appréhender dans la réalité et quand bien même, surement est-ce la faute à vos jets littéraires sur ce blog et à votre facilitation de l’échange inter-personnel qui ressemble schématiquement à celui de la séductrice type qui pour s’assurer l’exclusivité des mâles dominants et procréatifs tentent d’éliminer jusqu’à la dernière des ombres potentiellement rivales. Bon, mon sens du discernement n’étant pas infaillible, le champ reste ouvert aux différentes approches vous concernant, ceci dit, mon regard ne revendique rien d’autre que des lunettes de soleil pour éviter l’aveuglement partial.
tente; cependant j’hésite encore, Quechua?
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