de Pierre Assouline

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Diable de Caubère !

Diable de Caubère !

Mais comment fait-il ? Trois heures durant, Philippe Caubère est partout sur la scène de l’Athénée-Louis Jouvet, on ne voit et on n’entend que lui, et à la fin, il a l’élégance de ne pas paraître exténué quand les spectateurs le sont allègrement d’avoir autant savouré, souri et surtout ri sans discontinuer. Que c’est bon d’entendre des gens rire de bon cœur, d’un rire qui n’est pas le rire gras des shows télévisés ni le rire de dérision que Canal + a incrusté dans les esprits. Rire moliéresque, finesse de marivaudage, tragique russe, hénaurmité rabelaisienne, humour bouffon, ridicule de la farce, et le tout fait un excellent auteur dont la voix est unique dans le spectacle français, aussi pétaradante qu’étincelante.

Avec l’air de ne pas y toucher, à sa manière burlesque et déjantée et sans jamais se prendre au sérieux, La Danse du diable est aussi une réflexion en abîme sur le théâtre et le transmission, avec la mère comme fil rouge et personnage central. Ce pur projet de théâtre d’un seul homme n’a rien d’un one man show. C’est juste un grand comédien qui nous raconte une histoire, mais si comique qu’elle nous fait rire comme on ne sait plus le faire au théâtre, et si fantastique qu’elle nous fait rêver comme on n’ose plus le faire au théâtre. Le personnage qui remplit la scène de sa présence s’appelle Ferdinand Faure, son alter ego. Il a des fantasmes de gloire.

«Peut-on, de nos jours, parler de soi-même, de ses craintes intimes, de ses espérances, et que ce soit gai ? Peut-être que je suis fou, ou prétentieux, ou les deux à la fois. Tant pis.”

Vingt ans après avoir rempli l’Athénée-Louis Jouvet de milliers de spectateurs, tous les soirs pendant des semaines, et un an après avoir dû renoncer à le présenter à ses compatriotes marseillais, un tendon d’Achille ayant rompu les amarres lors d’une cabriole à Tarascon-sur-Ariège, et ce n’était pas que métaphorique, il remet donc ça avec son spectacle-fétiche La Danse du diable, créé en 1981 au Festival d’Avignon, premier d’une saga autobiographique mais si peu nombriliste qui sera suivi par le Roman d’un acteur et L’Homme qui danse. Autant d’œuvres qui sont désormais à voir et à écouter autant qu’à lire. L’ensemble constitue une épopée personnelle parmi les plus originales du théâtre contemporain en France.

En 1981, Philippe Caubère avait 31 ans ; or il n’hésite pas à reprendre à 64 ans un spectacle aussi physique, qui exige tant de l’intensité de la mémoire que de la tension nerveuse. On comprend qu’il le dédie au danseur Jean Babilée, immortel interprète du Jeune homme et la mort qu’il avait créé à 23 ans avant de le reprendre à 60 ans. Un modèle éblouissant pour celui qui, à ses débuts, avait pris le soleil du côté de chez Mouchkine.IMG_3110

Il est tout à tour, et parfois à quelques secondes d’intervalle, des hommes et des femmes, des Marseillais et des Aixois, Malraux l’agitateur agité, Sartre en nain globuleux, l’omniprésent général de Gaulle en héron enchanté, sans oublier le déhanché Johnny Ouliday, François Mauriac confit en méchancetés, et Jean Vilar, et Gérard Philippe et Roger Lanzac et Lucien Jeunesse, tous traités dans un irrespect étincelant. Tel est le bestiaire de Caubère : la France des années 60. Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline.

Caubère joue vite sans se presser. Il est rapide où d’autres se précipitent, car le temps sur scène n’a pas le droit de prendre son temps comme dans la vraie vie. Il faut condenser et comprimer, pratiquer l’ellipse jusqu’à l’os. Il réussit l’exploit d’être toujours dans l’énergie sans jamais verser dans l’hystérie, qu’il murmure, se lamente, vocifère, radote, se récrie, se confie. Il parvient même à n’en faire jamais trop tout en en faisant jours plus. Le temps est loin où l’on parlait de ce spectacle avec admiration mais en louant le phénomène en lui, le comédien marathonien, le logorrhéique inspiré, celui qui pouvait aligner ses « morceaux » sans reprendre son souffle. Car on a beau chercher, il n’y a pas le moindre excès dans cette entreprise pourtant démesurée.

C’est un grand privilège que de voir un tel comédien, l’un des rares à être véritablement un artiste total, un auteur complet, usant du verbe, de la danse, du mime, recréer son monde soir après soir. Ce qu’il raconte est né de l’improvisation, avant d’être fixé dans des livres, puis de retourner mordre la poussière des planches mais sans jamais perdre en chemin la spontanéité, la fraicheur et la vitalité de l’ invention première.

Et quel bonheur d’entendre prononcés des milliers de mots, dont on a l’impression qu’ils se rencontrent pour la première fois ainsi parfaitement articulés, et non marmonnés à voix basse en tournant le dos au quatrième mur comme ça se fait de plus en plus souvent au Français, avec ces liaisons magnifiques que l’on dirait d’un autre temps tant la radio prend à cœur de les ignorer de nos jours. Philippe Caubère, c’est une présence portée par une voix et c’est si rare…

Et pour finir, on entend sa voix mais d’outre-tombe nous murmurer que « le théâtre, c’est un peu comme les rêves, ça n’existe pas ». Ce qui est plutôt bien vu pour un homme tourmenté comme un insomniaque. Voilà, c’est jusqu’au 7 décembre et si vous n’avez pas compris qu’on y va pour se faire du bien, qu’on en ressort heureux et provisoirement réconcilié avec ses contemporains, c’est que vous êtes bouchés à l’émeri.

 (« La danse du diable » photo D.R.; « Philippe Caubère dans les airs » photo Passou)

 

 

 

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française, Théâtre.

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commentaires

1 443 Réponses pour Diable de Caubère !

Puisqu'il vient, acceptons le fou-rire... dit: 13 novembre 2014 à 13h41

Puisqu’il vient, acceptons le fou-rire… dit: 13 novembre 2014 à 14 h 39 min

même pour énoncer une vérité, prière de ne pas usurper (pépé).

Phil dit: 13 novembre 2014 à 13h41

la clopine, c’est speedy gonzales de la réplique. baroz au wepler a pu siffler ses huîtres tranquillos.

l'observatoire dit: 13 novembre 2014 à 13h41

14 h 38 : « pléyel bordel » : 39 fois depuis le début de l’année (service comptabilité) : radotage

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 13h42

14H 34 : non, pour que je puisse conserver mon estime pour vous.

C’est vous qui voyez, mais enfin, je ne vais pas me renier pour vous, Paul Edel !

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 13h44

je sens que je vais passer pour un monstre….

mais laisse parler l’homme à grosses mains calleuses qui est en toi polo..

tout finit pas se savoir dit: 13 novembre 2014 à 13h44

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 14 h 36 min
Amette n’est vraiment qu’un tout petit bonhomme.

Quel aigri, ce Chaloux. Encore plus jaloux que Widergang, le petit teigneux.

Sergio dit: 13 novembre 2014 à 13h44

qui vous savez dit: 13 novembre 2014 à 14 h 24 min
et une handouillette AAA, ça vaut pas une andouillette AAAAA.

C’est vrai, ça ! Je vais retourner casser le gourbi… A des prix hors de prix ! Les gaspards monumentaux…

versubtil dit: 13 novembre 2014 à 13h45

@en automne,
Vous ne manquez pas de culot de vous servir de mes images à des fins personnelles pour ridiculiser autrui.
Vous auriez pu adoucir votre propos ou du moins le relativiser avec cette image-ci :

http://4.bp.blogspot.com/-_busxfY3IU8/VGC0FpjIFOI/AAAAAAAACug/j9klxev9yJI/s1600/081120144052.jpg

Chantal, je vous conseille chez Robert Laffont La saga Maeght de Yoyo Maeght, formidable bouquin qui est un hymne à son grand-père mais aussi et surtout a la rencontres des artistes, à la pratique de l’ édition d’ art sous toutes ses formes et aux rencontres créatrices.
 » Tout ce qui ne me passionne pas m’ ennuie », formule de Guitry que Yoyo Maeght reprend à son compte et qui lui sert à qualifier l’ activité grand-paternelle.
A bientôt.

Le jean Michel Frodon, l’ art du cinéma chez Citadelle et Mazenod, grandiose aussi par la taille et le poids, un cadeau avant les fêtes!

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 13h47

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 14 h 44 min
je sens que je vais passer pour un monstre….

mais laisse parler l’homme à grosses mains calleuses qui est en toi polo..

Faites comme bouguereau la vraie chique parisienne…

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 13h48

C.P., je ne suis plus retourné aux Bouffes du Nord depuis le départ de Peter Brook. Oui, ce théâtre italien en ruine, caché derrière la façade d’un immeuble bourgeois, dans un quartier improbable, où j’habitais étudiant, est plein de charme. J’y ai vu Isabelle Huppert dans un délicieux Marivaux et La Tempête du grand Willy ! Un lieu encore magique aujourd’hui, pas sûr ?

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 13h52

et un Cioran pour la route, un !

 » Nul n’est responsable de ce qu’il est ni même de ce qu’il fait. Cela est évident et tout le monde en convient plus ou moins. Pourquoi alors célébrer ou dénigrer ? Parce qu’exister équivaut à évaluer, à émettre des jugements, et que l’abstention, quand elle n’est pas l’effet de l’apathie ou de la lâcheté, exige un effort que personne n’entend fournir. « 

l'amateur dit: 13 novembre 2014 à 13h55

Un lieu encore magique aujourd’hui, pas sûr ? (Jacques Barozzi sur les Bouffes du Nord)

Je sais que Peter Brook a voulu préserver l’aspect « ruines » de l’intérieur, et il est vrai que ça a du charme même si ça fait un peu toc, mais enfin une réfection des sièges, de leur disposition notamment, et de l’agencement des balcons ne serait pas du luxe.
Et puis, ce qui fait la magie d’un lieu, c’est aussi et surtout la programmation. Elle est un peu en baisse depuis le départ de P. Brook, il faut reconnaître.

C.P. dit: 13 novembre 2014 à 13h57

John, pas de fantômes pour moi. Evidemment, il se passe, ou plutôt il se PASSERA quelque chose.
Quant à l’appareillage technique, il veille sur la présence « actuelle », celle des comédiens, c’est tout ce que j’ai voulu dire, et peut-être aussi que leur action d’acteurs est aidée selon les époques de cette technique, ce qui n’est pas du tout la revendication d’un progrès, de la chandelle au projecteur, du décor-meuble à la vidéo, du gueuloir au micro-collier (et à l’oreillette pour les défauts de mémoire, tout de même : vous savez qui en a besoin).

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 14h00

« Orwellien » est le plus répandu des adjectifs dérivés d’un nom d’écrivain. Mais que peut-il encore signifier ?

Mais à peu près rien du tout, rien du tout. C’est le genre d’épithète qui dispense ceux qui s’en servent d’expliquer avec précision ce qu’ils mettent au juste dessous, sans doute parce qu’ils seraient bien en peine d’y parvenir.

l'amateur dit: 13 novembre 2014 à 14h00

Suggestion dit: 13 novembre 2014 à 12 h 46 min

Entièrement d’accord. Il est urgent de ranimer ce blog. Sinon, la République des ceci cela ne sera pas ce qu’elle se proposait d’être à son lancement.

Faire appel à plusieurs chroniqueurs pour pallier une défaillance est sûrement une solution, effectivement.

renato dit: 13 novembre 2014 à 14h02

Ça ne vaut pas un épisode de Futurama, mais vus comme BD les échanges Clopine – Paul sont d’un comique impayable…

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 14h04

Oui, l’amateur, mais le nouveau Bobino, hélas, n’a plus rien à voir avec l’ancien, tandis que l’Olympia, légèrement déplacé et reconstitué à l’identique, s’en sort beaucoup mieux. Le théâtre Déjazet a conservé pas mal de son charme, sous la férule de Jean Bouquin. Le cinéma le Louxor, magnifiquement rénové, a perdu malheureusement sa grande salle au profit de plusieurs salles minuscules !

Colette la pâle nue dans ses châles pliants dit: 13 novembre 2014 à 14h07

Orwellien, kafkaïen, platonicien, jambrunien…
C’est comme quand renato dit « kantien », ça ne signifie rien sans attribut ou référence précise.

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 14h07

C.P., il est même des lieux de spectacle contemporains qui ont néanmoins une certaine âme. Celui-ci, par exemple, qui devrait vous parler ?

20e arrondissement

Théâtre national de la Colline
15, rue Malte Brun
Tél. : 01 44 62 52 52
Métro : Gambetta

Inauguré en janvier 1988, le Théâtre national de la Colline a été aménagé à l’emplacement du théâtre de l’Est parisien, créé en 1963 par Guy Rétoré dans les murs de l’ancien cinéma Zénith et transféré depuis au 159, avenue Gambetta (20e arr.).
Avec sa large façade entièrement vitrée et encadrée d’un grand portique en béton, ce bâtiment représentatif de l’architecture des années 1980 a été conçu par les architectes Valentin Fabre et Jean Perrotet, assistés d’Alberto Cattani.
Il est constitué de deux salles de spectacle : le Grand théâtre (750 places) et le Petit théâtre (200 places).
Jorge Lavelli, premier directeur de la Colline, y présenta exclusivement des œuvres d’auteurs contemporains, comme Une visite inopportune de Copi (1988), La Nuit des chasseurs de Dominique Müller et André Engel (1989), Avant la retraite de Thomas Bernhard (1990) ou encore Les Larmes amères de Petra van Kant de Rainer Werner Fassbinder.
Alain Françon, qui lui succèda en novembre 1996, poursuivit dans la même lignée en ne s’interdisant pas toutefois d’y présenter des auteurs plus anciens du 20e siècle. Citons, pour cette période : La Tragédie du roi Christophe d’Aimé Césaire (1997), Orgia de Pier Paolo Pasolini (2002), L’Acte inconnu de Valère Novarina (2007) ou Combat de nègre et de chiens de Bernard-Marie Koltès (2010).
Dirigé depuis janvier 2010 par Stéphane Braunschweig, le Théâtre de la Colline, qui privilégie toujours les auteurs vivants français et étrangers, se veut « un lieu d’émergence de nouvelles écritures scéniques » : Une douzaine de spectacles y sont proposés chaque saison, parmi lesquels 3 à 4 créations. C’est ainsi que l’on a pu y voir Les Autonautes de la cosmoroute d’après l’œuvre de Julio Cortázar et Carol Dunlop (saison 2011-2012) ou Tout mon amour de Laurent Mauvignier et Nouveau Roman de Christophe Honoré (saison 2012-2013).

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 14h09

John, pas de fantômes pour moi. Evidemment, il se passe, ou plutôt il se PASSERA quelque chose.(C.P.)

Oui, mais dans le même lieu, il s’est passé quelque chose, il s’est passé bien des choses. Que savons-nous des rémanences du passé dans certains lieux privilégiés ? Et l’espace scénique est un espace magique entre tous. L’émotion n’y fait pas le départ entre ce qui s’y est passé, ce qui s’y passe et ce qui va s’y passer. L’espace scénique est un enchevêtrement de traces.

TKT dit: 13 novembre 2014 à 14h10

JCouille, vous me voyez derrière tous les commentaires qui ne sont pas de vous.
Je ne sais pas qui était cette Laurence de Sainte Lumière.
À propos, JCulé, vous avez abandonné l’utilisation des signatures se référant à D.bile ?

PS: Je n’ai jamais mis un crayon dans une poche de chemise, vous devez confondre avec le derrière de votre lobe d’oreille, porte-crayon des comptables et des épiciers.

chantal dit: 13 novembre 2014 à 14h12

la colline c’est une belle salle, j’y ai déjà été pour un colloque, un que j’aime bien c’est le théâtre hébertot.

un très chouette aussi le théâtre en bois de Bussang, dans le ballon d’Alsace, çà c’est de la cabane !

renato dit: 13 novembre 2014 à 14h14

Colette, en espérant que « pâle nue dans ses châles pliants » ne soit pas un spectacle désolant, est-ce que vous faites référence au fait que j’ai fait référence à la « nébuleuse » ?

C.P. dit: 13 novembre 2014 à 14h16

Jacques, me suis-je fait mal comprendre ? J’aime les Bouffes du Nord,le lieu et son accueil aussi, mais vous savez qu’il est maintenant fragile (d’où l’an passé des prises en charge de spectacles par déplacement de La Colline, etc.) Non, je voulais seulement dire que l’appareil technique y est bel et bien présent et nécessaire. Et, près d’Avignon-la-ville, la Carrière Boulbon sans éclairage, que serait-ce ? Au fond, une partie au moins de mon plaisir au théâtre vient de : comment vont-ils (les comédiens) faire avec ça ? Et pourquoi ne serait-ce pas une émotion aussi que l’intérêt pour le boulot ? Je vous passe les raisons -vous en connaissez certaines- de cet intérêt particulier.

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 14h17

Très intéressant votre lien sur la projection, Chantal. Comme personne ne semble y échapper, je reconnais avoir moi aussi pratiqué la chose, très certainement, et pourquoi pas à l’égard de notre hôte ?

Mais en tout cas moins, me semble-t-il, que ce qu’autrui projette sur moi (wouarf) !!!

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 14h19

Chantal, il y a encore pleins de lieux qui ont conservé du charme, heureusement !
Allez, un dernier pour toi, avant que je ne parte au… cinéma !

17e arrondissement

Théâtre Hébertot
78, boulevard des Batignolles
Tél. : 01 43 87 23 23
Métro : Rome

Lorsque la nouvelle commune des Batignolles-Monceaux fut créée par ordonnance royale de 1830 sur une portion du territoire de la commune de Clichy, elle se fit construire huit ans plus tard par l’architecte Adolphe Azémar son propre théâtre, qui s’appelait alors Théâtre des Batignolles.
Rebaptisé Théâtre des Arts en 1907, celui-ci prit en 1940 le nom du dramaturge et journaliste Jacques Hébertot, qui le dirigea depuis cette date jusqu’à sa mort en 1970.
Inscrit au titre des Monuments historiques en août 1974, le théâtre Hébertot fut placé aux débuts des années 1980 sous la responsabilité artistique du comédien Jean-Laurent Cochet.
Doté d’une salle à l’italienne de 630 places, il est dirigé depuis 2003 par Danièle et Pierre Franck, qui y ont aménagé une seconde salle, le Petit-Hébertot, d’une capacité de 110 places.
Figurant parmi les plus anciennes salles de la capitale, le théâtre Hébertot conserve la mémoire des nombreux spectacles qui y ont été programmés au fil du temps.
C’est dans cette salle bâti sous la Restauration que dans les années 1920 Georges Pitoëff assura la mise en scène d’œuvres dramatiques de George Bernard Shaw, Luigi Pirandello, Marcel Achard, Jean Cocteau ou Jules Romains.
En 1938, André Barsacq y mit en scène Le Bal des voleurs de Jean Anouilh, avec Jean Dasté et Michel Vitold.
En 1945, Gérard Philipe et Michel Bouquet s’y illustrèrent dans le Caligula d’Albert Camus, et, en 1949, Maria Casarès, Michel Bouquet et Serge Reggiani
dans Les Justes, du même Albert Camus.
En 1956, Marcelle Tassencourt y mit en scène L’Éventail de Lady Windermere d’ Oscar Wilde, et en 1959 le Long voyage vers la nuit d’Eugene O’Neill.
En 1965, Claude Régy y monta La Collection et L’Amant d’Harold Pinter, avec Delphine Seyrig, Jean Rochefort et… Michel Bouquet.
En 1988 et 1989, Philippe Caubère y créa deux spectacles et on a pu y voir, plus récemment : Art de Yasmina Reza (1998) ; Comédie sur un quai de gare de Samuel Benchetrit, avec Marie et Jean-Louis Trintignant (2002) ; Doute de John Patrick Shanley, dans une mise en scène de Roman Polanski, avec Thierry Frémont (2006) ou encore La Femme du boulanger de Marcel Pagnol, mis en scène par Alain Sachs, avec Michel Galabru (2012).

un spectateur fatigué dit: 13 novembre 2014 à 14h19

le théâtre en bois de Bussang

Ouais, c’est vrai, mais pour y aller bonjour ! Des p’tites routes, des p’tites routes, toujours des p’tites routes, comme dit le tronçonneur Dalila.

Phil dit: 13 novembre 2014 à 14h20

pepep..ursupapateur, phil(ae).
certes, TKT a bien croisé laurence de sainte lumière, y’a un lustre.
baroz, que des pièces gays dans vos théâtres ravalés ! c’est normal ?

chantal dit: 13 novembre 2014 à 14h22

il n’y a pas loin entre les deux C.P. & JB et je me souviens avoir poussé l’orteil du temps où les travaux des bouffes n’avaient pas encore eu lieu, c’était désolant.

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 14h29

Le 15 h 27 min est un faux, et il n’y en aura plus d’autres de moi ensuite car… je suis parti !

TKT dit: 13 novembre 2014 à 14h30

Phil, je répondais au pseudo « la population ».
Pourquoi parliez vous de L de SL ?
Je ne l’ai jamais rencontré, mais j’allais sur son Blog où LdeSL publiait un roman qui au moins avançait.

C.P. dit: 13 novembre 2014 à 14h30

Jacques, vous vous moquez gentiment de moi : ma fidélité et ma familiarité avec La Colline s’augmentent aujourd’hui de raisons … familiales. Quant à « privilégier » des auteurs du XXe siècle et contemporains, c’est bien, mais c’est aussi bien plus que cela : le cahier des charges INTERDIT de monter des auteurs et textes précédant le XXe siècle, avec l’exception permissive accordée à Ibsen, Tchekhov, Maeterlinck, … ceux qui frôlent en somme une fin de siècle. C’est la raison pour laquelle Stéphane Braunschweig, qui était plus libre à Strasbourg, a désiré la Comédie Française. Bon, tout va bien…

chantal dit: 13 novembre 2014 à 14h31

spectateur fatigué je vous comprend, j’ai tortilloné pour le trouver ce chalet, je me suis échappée de la mousson d’été pour aller voir ce fameux petit théâtre ..

versubtil la fondation maeght c’est trop chicos pour moi, le musée de clermont ferrand me convient tout autan.

clopine, moi aussi je le fais, ce n’est pas criminel 😉 ..

Phil dit: 13 novembre 2014 à 14h32

Baroz, le dernier Nolan est raté. science fiction sur trois pattes, comme la sonde cométeuse. gardez votre crédit sur votre pass.

Phil dit: 13 novembre 2014 à 14h35

dear tkt, pas de confusion, alles gute. le test laurence de sainte lumière révèle les fondations du prestigieux blog à passou. no harm. z’allez pas à la séance de cinq heures comme baroz

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 14h37

JC Azerty, si je peux m’immiscer dans votre conversation avec C.P. ? Une anecdote : j’avais une copine qui voulait donner des cours de théâtre, via un financement public. Le deal était d’utiliser ces cours en direction de personnes à réinsérer (notez que la copine en question était pas mal à insérer
non plus, elle, m’enfin bref, là n’est pas la question.)

Son projet commença à voir le jour quand des assistantes sociales commencèrent à s’y intéresser. Certes, la copine s’impatientait : les assistantes en question avaient le culot de partir en vacances, au lieu de se démener tant et plus autour de son si beau projet ! (euh, je crois qu’on commence à sentir, là, que je ne tenais pas la copine en question en grande estime… Bon je continue, en assumant ma subjectivité.)

Elle obtint cependant quelques financements. Et installa un « atelier théâtral ».

Qu’elle commença, funeste erreur, à envahir de sa propre personnalité : elle installa une sorte de décor, avec bateau, tentures, poufs, lampes diverses et variées… Elle imaginait, à partir de ce décor, une espèce d’histoire qu’elle entendait partager avec ses (futurs) stagiaires, et en rajoutait jour après jour, en attendant le retour des assistantes avec qui elle serait en partenariat pour trouver les élèves…

J’étais entrée dans cet invraisemblable « atelier théâtral », j’avais ouvert de grands yeux, écouté le projet grandiose qui s’élaborait là, n’avait pas osé donner mon opinion (on m’aurait accusée de méchanceté, de saper l’espoir…) mais j’aurais bien fiché mon billet que pas un seul stagiaire n’allait pouvoir commencer à pratiquer un seul petit acte théâtral, dans un tel fourbi.

Ce fut bien entendu ce qui arriva. Le premier cours fut si catastrophique que la copine dut brader le tout – et l’équipe sociale qui était derrière fut bien embarrassée.

Pourtant, l’idée de départ était à mon avis juste et attirante. La pratique du théâtre oblige à habiter son corps consciemment, à prendre une posture : les personnes laminées par le chômage et l’exclusion pouvaient utilement s’emparer des techniques de jeu pour retrouver une assurance perdue.

J’ai donc, via la copine qui était déjà passée à autre chose, présenté à l’équipe sociale un jeune acteur de mes relations, qui voulait bien devenir professeur et qui était un « pro ».

Je le revois arpentant avec moi « l’atelier théâtre », et je le regardais du coin de l’oeil pendant qu’il soulevait les tentures, qu’il ouvrait les lampes, essayait les poufs et s’asseyait dans l’invraisemblable « bateau » placé au milieu de la pièce…

Il a tout fichu dehors. Tout. Et les fanfreluches roses et les coussins bleus. Ne sont plus restés, dans la pièce, que l’estrade, une dizaine de chaises, deux gamelles, et trois paravents noirs. Point final.

Les cours ont commencé, avec un tel succès que l’atelier a duré dix ans (avant que les financements ne tarissent) et qu’encore aujourd’hui, les « anciens » évoquent les lieux avec une émotion non feinte…

Je n’ai jamais oublié cette histoire, qui me fait dire que peu importe le lieu, la salle ou la beauté d’un « décor ». C’est le jeu, le théâtre, qui est vainqueur. Pas les fantômes, même ceux de l’opéra. Et peu importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse…

Au service des brandouilleurs dit: 13 novembre 2014 à 14h37

C.P. dit: 13 novembre 2014 à 15 h 30 min
C’est la raison pour laquelle Stéphane Braunschweig, qui était plus libre à Strasbourg, a désiré la Comédie Française.

Si vous voulez, on peut aller casser la gueule d’Eric Ruf, c’est qu’une question de prix. G. Holz nous accompagnera.

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 14h41

… Ce qui ne retire rien, bien entendu, à la beauté architecturale de tel ou tel lieu, bien entendu, à leur charme intrinsèque, qu’il soit hypermoderne ou au contraire désuet.

Simplement, je crois sincèrement qu’on peut faire du théâtre génial dans un garage, ou dans la rue… L’important est le jeu !

Josette dit: 13 novembre 2014 à 14h42

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 15 h 37 min
simple et beau , comme au premier jour.

Rho, tu te souviens, choupinou ?

chantal dit: 13 novembre 2014 à 14h47

il faut tout avouer ici jc azerty ? je n’ai pas été à la fondation maeght parce que je me suis perdue en sortant de saint paul de vence, et que sur le chemin il y avait les fameuses usines florian au gorges du loup qui font des confits délicieux des feuilles de verveines enrobées de sucres et de blanc d’oeuf battu neige, j’ai essayé chez moi c’est pas évident.

cet été j’étais en auvergne, mon cousin germain crèche par là.

Sergio dit: 13 novembre 2014 à 14h50

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 14 h 52 min
exister équivaut à évaluer

… pour aboutir à cette saloperie de relation d’ordre (au sens mathématique)…

Ca a l’air bien, Cioran…

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 14h52

( C’est quand même étonnant de votre part, Paul, que vous ayez encouragé ce qui ne pouvait être que bagou .. et pour cause. Mais bon ..)

je me dénonce dit: 13 novembre 2014 à 14h55

j’avoue avoir usurpé les pseudos de Bourtafiol, rodaballo, Fribert, Julius, entre autres. Mais c’est pas une raison pour usurper le mien, attention!

Sergio dit: 13 novembre 2014 à 14h55

chantal dit: 13 novembre 2014 à 15 h 31 min
la fondation maeght c’est trop chicos pour moi

C’est surtout qu’on peut pas garer…

Les Brandouilleurs de Malicornay dit: 13 novembre 2014 à 14h56

@ Notre service :

Nous, on lui a dit, au Stéphane : n’y va pas, mon gars ! Par le fait, tu auras comme les autres des ennuis avec les sociétaires. Et le Ruf, tout sociétaire qu’il est, en aura aussi demain, comme Muriel hier, comme les administrateurs extérieurs. Le Stéphane, du coup, il va monter avec la rage son quatrième, son cinquième, son dixième Arne Lygre. Nous, on lui dit : trop, c’est trop ! Mais on ne peut pas le priver de hareng norvégien, bon dieu ! Enfin, quand même, un Pirandello l’année prochaine sans doute…

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 14h57

il faut tout avouer ici jc azerty ? je n’ai pas été à la fondation maeght parce que je me suis perdue en sortant de saint paul de vence, et que sur le chemin il y avait les fameuses usines florian au gorges du loup qui font des confits délicieux des feuilles de verveines enrobées de sucres et de blanc d’oeuf battu neige, j’ai essayé chez moi c’est pas évident. (Chantal)

Eh bien, c’est du joli !

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 14h59

C’est surtout qu’on peut pas garer…

il faut y aller quand il fait soleil, Sergio, en moto ! Là avec ces belles couleurs d’automne, ce doit être assez beau ..

Lavande dit: 13 novembre 2014 à 15h15

@Un spectateur fatigué et Chantal:
Parfois c’est difficile d’aller à un théâtre mais il arrive que ce soit pire encore pour en revenir.
Quand le Théâtre du Soleil a fêté ses 50 ans, le Monde avait demandé aux lecteurs de raconter leur expérience avec ce Théâtre et j’avais proposé ce petit texte racontant deux anecdotes:
« 1981 : notre première participation au festival d’Avignon, dans le cadre des CEMEA . Séjour dans un lycée hors de la ville. Des débats passionnés et passionnants avec des comédiens, des journalistes, des metteurs en scène qui venaient discuter dans les cours de récréation sous un soleil de plomb. Et … Ariane Mnouchkine, éblouissante de finesse, d’intelligence et de chaleur humaine.
Ma première rencontre, inoubliable, avec le Palais des Papes a donc été Richard II. Des costumes japonais somptueux et j’ai encore dans l’œil le spectacle époustouflant de ces comédiens qui glissaient sur le plateau sans un seul mouvement apparent.
Aux antipodes (météorologiques), un spectacle d’hiver à la Cartoucherie. Mon mari étant en fauteuil roulant et le métro et la navette n’étant pas accessibles, nous allons à Vincennes en taxi. A la sortie, dans le froid et le vent, les allées du bois sont sinistres. Le taxi commandé n’arrive pas. «Il est passé mais il ne vous a pas vus» dixit le standard. C’est fou ce que les taxis ont du mal à «voir» les personnes en fauteuil! «Pas d’autre possibilité avant au moins 3/4 d’heure». Un couple d’un certain âge, désolé pour nous, reste un moment. Leur voiture est trop petite pour nous emmener mais le monsieur nous donne son numéro de téléphone: «Nous n’habitons pas loin: si vous avez des problèmes, je reviendrai avec une autre voiture». L’esprit Cartoucherie? »

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 15h16

Simplement, je crois sincèrement qu’on peut faire du théâtre génial dans un garage, ou dans la rue… L’important est le jeu ! (Clopine)

Bien sûr que oui. Et votre ami animateur d’atelier-théâtre avait bien raison de déménager le bric-à-brac inutile et encombrant laissée par l’occupante antérieure, manifestement incompétente. L’espace scénique — Peter Brook l’a suffisamment souligné — est un espace vide, et pourtant, après des années d’usage, le même espace devient mystérieusement habité, et, je n’hésite pas à le dire, hanté. Cela n’implique pas que le metteur en scène et la troupe qui vont s’y installer seront requis de s’inscrire dans je ne sais quelle tradition. Au contraire. On sait bien que l’art du théâtre ne vit que de renouvellement. Simplement, il existe des lieux privilégiés (ils ne le sont pas tous), qui ne sont pas de simples granges, que leur passé prestigieux continue d’habiter, quoique invisible. et qu’il me paraîtrait sacrilège (et imbécile) de « rénover », sous prétexte de les adapter aux exigences et aux modes du théâtre contemporain. Il est évidemment plus raisonnable de construire un édifice neuf adapté à ces nouvelles exigences. Je pense qu’un Georges Perec, armé de l’extraordinaire sens de la trace et de la reconstitution du passé révolu, presque défunt,presque inatteignable, qu’il exploite génialement dans « La vie mode d’emploi », aurait pu écrire sur un théâtre de ce genre un livre inoubliable.

je me dénonce dit: 13 novembre 2014 à 15h29

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 15 h 57 min
usurpateur .

Pas moi. Faudrait pas non plus m’imputer tous les péchés du monde, hein.

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 15h31

Puisqu’il vient, acceptons le fou-rire… dit: 13 novembre 2014 à 14 h 39 min

ce qui est embêtant dans la haine, c’est qu’elle rabâche

versubtil dit: 13 novembre 2014 à 15h34

la fondation maeght c’est trop chicos pour moi Chantal

C’ est un genre Musée cette fondation.
Plus sympathique est de feuilleter les somptueux catalogues de la collection « Derrière le miroir », quasiment toujours en impression lithographique – la spécialité d’ Adrien Maeght – j’ en possédais pas mal depuis les années 70 ( partis avec ma première bibliothèque).
Maintenant, lorsque je vois les prix chez les libraires spécialisés ou non…

Et faire attention aux retirages.
Des textes de tardieu, Bonnefoy, Paulhan, Ponge, etc…dans une typographie impeccable.

( Bon, désolé, je viens ici que par intermittence.)

je me dénonce dit: 13 novembre 2014 à 15h37

versubtil dit: 13 novembre 2014 à 16 h 34 min
( Bon, désolé, je viens ici que par intermittence.)

Pas grave, versubtil, vos intermittences sont des fulgurances. Mais je peux vous remplacer si vous voulez.

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 15h38

Pas de com’ de C.P. à 15 h 56 sur mon ordi ! Par contre, un peu plus tard, une jolie petite méchanceté de Daaphnée, qui laisse comme à son ordinaire dépasser sa langue bifide, pendant qu’elle agite lentement sa tête triangulaire, carapçonnée d’écailles vertes, sous ses yeux perfides et demi-clos, histoire d’hypnotiser son monde… Cette fille a le coeur froid, comme celui d’un serpent (ahaha).

Jean-René F. dit: 13 novembre 2014 à 15h39

C.P. dit: 13 novembre 2014 à 15 h 56 min
Ce n’est pas bien grave, mais allez tous vous enculer.

D’un certain côté, on peut comprendre que la modération hésite, C.P.

versubtil dit: 13 novembre 2014 à 15h43

J’ en ai même oublié le lien :

http://www.maeght.com/editions/selection.asp?id=8

Sinon sur ebook, on peu même agrandir les gravures ou lithos.

( Si vous êtes fulgurant, vous êtes assurément un je me dénonce qui fonce.)
Je me défonce est plus euphonique pour des répliques à l’ emporte pièce,gardez-le, c’ est pas mal du tout.)

C.P. dit: 13 novembre 2014 à 15h46

Ben non ! le 15h56 a été sucré. Merci @ Notre service. Je m’en vais. Il y avait un scoop, et tant pis, ce n’est pas grave.

Sergio dit: 13 novembre 2014 à 15h50

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 15 h 59 min
il faut y aller quand il fait soleil

J’ai fait une fois le trajet vers la côte toute la nuit, par désoeuvrement et sans prévenir, partant de la France du Nord, je me suis fait gueuler à l’arrivée mais gueuler ! Cependant il faisait, hassurément, soleil… Au reste c’était à peu près la période actuelle de l’année.

Puisqu'il vient, acceptons le fou-rire... dit: 13 novembre 2014 à 15h52

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 16 h 31 min

Mon pauvre Edel, que peut-il y avoir de haïssable en vous? Le ridicule prend toute la place.

Sergio dit: 13 novembre 2014 à 15h55

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 16 h 38 min
langue bifide

Bon Dieu l’idée érotique du siècle ! Une révolution… Du boulot pour les chirurgiens les marketings ! Quand même si ça fait des noeuds comme dans la Royale…

chantal dit: 13 novembre 2014 à 16h05

je comprend sergio, j’ai envie de me traçer une petite route en solo .. ce n’est pas archi raisonnable vu le prix du diesel, l’an prochain j’opte pour une moto ou bien j’ai repéré un vélo électrique chez un revendeur hollandais qui tient vachement longtemps ..

Bon ce n’est pas le sujet. Mais pour le prix d’un catalogue maeght somptueux .. brrr .. http://www.maeght.com/editions/article.asp?id_selection=8&id=1271

En kindle je serait trop frustrée.

Talons aiguilles dit: 13 novembre 2014 à 16h09

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 16 h 38 min
langue bifide

Mi-figue ou bas résilles?

C.P. dit: 13 novembre 2014 à 16h11

Tout de même :

Nous fîmes donc observer à Stéphane Braunschweig que peut-être il n’y avait point regrets à remâcher. Qu’on lui aurait bientôt jeté le chat aux jambes comme à d’autres, résidents ou non de la Maison. Il en retira qu’il persisterait dans son affection pour Arne Lygre et le hareng norvégien. Que pourtant l’idée d’un Pirandello l’occupait fort…

versubtil dit: 13 novembre 2014 à 16h12

le prix d’un catalogue maeght somptueux .. brrr ..

Vous avez bon goût Chantal, vous tapez sur l’ un des plus chers sans avoir jeté un coup d’ œil à l’ intérieur..

Esprit critique dit: 13 novembre 2014 à 16h20

Que pourtant l’idée d’un Pirandello l’occupait fort… (C.P.)

Pour faire oublier la désastreuse mise en scène de Stan Nordey qu’il avait invité ?

chantal dit: 13 novembre 2014 à 16h21

pour mon malheur versubtil .. redois avoir ququ part un catalogue d’Ato Carte, ne sais pas ce que cela peut bien valoir

DHH dit: 13 novembre 2014 à 16h41

Z’étaient tous en gris! dit: 13 novembre 2014 à 13 h 24 min
« T’aurais vu le cortège au cimitière!
La grosse en vert devant, flanquée de deux freluquets et d’une vieille tata et derrière les deux mamies à petits pas. Il ne manquait que le corbillard! »
C’est tres mal de venir perfidement incognito epier les gens pour les observer sans indulgence et balancer ensuite d’eux l image miserabiliste d’un ramassis de tocards

JC dit: 13 novembre 2014 à 16h45

DHH dit: 13 novembre 2014 à 17 h 41 min
Z’étaient tous en gris! dit: 13 novembre 2014 à 13 h 24 min
« T’aurais vu le cortège au cimitière!
La grosse en vert devant, flanquée de deux freluquets et d’une vieille tata et derrière les deux mamies à petits pas. Il ne manquait que le corbillard! »

C’est tres mal de venir perfidement incognito epier les gens pour les observer sans indulgence et balancer ensuite d’eux l image miserabiliste d’un ramassis de tocards

ET SI CETTE IMAGE ETAIT VRAIE ? …..

versubtil dit: 13 novembre 2014 à 16h47

Anto Carte, un catalogue, pas un tableau…

Cela dépend de l’ originalité et de la rareté de votre catalogue ainsi que de la qualité du texte de l’ auteur qui souvent l’ accompagne. Un catalogue banalement imprimé ne vaut pas grand chose.
Par contre avec 3000 euros vous pouvez vous payer un original sur papier ou sur toile de pas mal d’ artistes de qualité.
Je peux vous conseiller avec grand plaisir.

renato dit: 13 novembre 2014 à 16h49

« Je me suis laissé dire que c’était plus pour le modèle que pour le peintre. »

C’est vrai. Et dommage que le peintre ait fléchi sur la main droite…

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 16h50

c’était plus pour le modèle que pour le peintre

comme si tu disais que c’est plus pour la pissoire que pour duchamp..

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 16h54

Je peux vous conseiller avec grand plaisir

comme rénato..fais péter dla femme nue à 3000 mais avec une main droite qui rsembe pas a une gauche

Sécalier dit: 13 novembre 2014 à 16h54

avec 3000 euros vous pouvez vous payer un original sur papier ou sur toile de pas mal d’ artistes de qualité.

Des petits bras. Si vous voulez un Renato Maestri, par exemple, faut compter beaucoup plus cher.

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: 13 novembre 2014 à 16h55

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 17 h 50 min

comme si tu disais que c’est plus pour la pissoire que pour duchamp..

La preuve par l’exemple.

renato dit: 13 novembre 2014 à 16h55

« comme si tu disais que c’est plus pour la pissoire que pour duchamp.. »

C’est selon… l’envie du moment…

collectionneur dit: 13 novembre 2014 à 16h57

Si vous voulez un Renato Maestri, par exemple, faut compter beaucoup plus cher.

Impossible à trouver sur le marché, introuvable en salle des ventes, artiste virtuel?

Il en manque une dit: 13 novembre 2014 à 16h57

JC dit: 13 novembre 2014 à 17 h 45 min

Et encore, il y avait pas le prix coucourge!

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 16h58

C’est selon… l’envie du moment…

à stalingrad les tableaux de maitre servaient a boucher les fenêtres..et c’est ce qui les a sauvé du feu..dieu aime les artistes

dompteur dit: 13 novembre 2014 à 17h04

Policiers, pompiers et personnels spécialisés sont en effervescence ce jeudi après-midi à Montévrain en Seine-et-Marne. Depuis le milieu de la journée, ils sont à la recherche… d’un tigre en liberté. Des experts du parc des Félins de Nesles (Seine-et-Marne) ont été dépêchés sur place. Selon leurs analyses et les traces de pas retrouvées sur place, il s’agirait bien d’un tigre «adolescent» dont le poids est estimé à 😯 kilos, environ et nommé « mes p’tits chéris » .la dernière fois il rôdait dans un lycée parisien notamment dans une classe de cinquième qui étudiait un texte de Le Clézio…..

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: 13 novembre 2014 à 17h04

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 17 h 58 min

nœud-nœud fait de l’histoire

roudoudou dit: 13 novembre 2014 à 17h10

bouguereau peut être pénible parfois, d’accord, mais les anti-bouguereau alors, qu’est-ce qu’ils sont chiants !

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: 13 novembre 2014 à 17h14

Violente manifestation de bouguereau contre les anti-bouguereau.
Une cellule psychologique est mise en place pour bouguereau.

Passou dit: 13 novembre 2014 à 17h14

Phil, Je n’ai pas vu la pièce de BHL (il y a des limites au sacrifice et à la conscience professionnelle) mais je l’ai lue. Affligeant. C’est à se demander comment il n’a pas eu honte de faire venir (car en majorité, il les a fait venir) les spectateurs VIP (Hollande, Valls & co) à l’Atelier pour assister à ça : une boursouflure egolâtre qui ose instrumentaliser les guerres au profit de son image.

Jacques Barozzi, Non, je suis désolé de vous le redire, mais vous, autrement dit : les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site. Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… Ne vous suicidez pas pour autant.

boudegras dit: 13 novembre 2014 à 17h14

cela dit, t’as raison, roudoudou, je suis chiant, je le sais mais je peux pas m’en empêcher, je suis né comme ça.

DHH dit: 13 novembre 2014 à 17h16

Léon Blum exprime dans ses « souvenirs de l’affaire » cette idée d’une grande vérité ,que les gens exceptionnels sont ceux qui cumulent des qualités qui habituellement s’excluent ;
C’est ce ce qui m’est revenu venu à l’idée quand Lavande , que ses post révèlaient si fine connaisseuse de littérature et de théâtre, nous a appris qu’elle était physicienne de profession

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: 13 novembre 2014 à 17h18

Emmerder le monde, c’est tout ce que je sais faire, comme dit Chaloux mon maître.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 17h19

Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… Ne vous suicidez pas pour autant.

comment qutu l’sais dabord (un suicide mimétique serait encore plus bête)

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: 13 novembre 2014 à 17h21

Tais-toi, bouguereau. A quatre pattes, tout de suite ! Chaloux est là, tu ne fais pas le poids.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 17h22

que chaloux soit plus con que bougue-rototo, ça se discute pas.

keupu peut pas encadrer plus lémure que lui..

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: 13 novembre 2014 à 17h24

Chaloux et TKT : les deux seuls grands.
Les autres : de la roupette de samsonite.

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 17h24

« les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site. Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… Ne vous suicidez pas pour autant. »
???
encore heureux que personne ne lit mes commentaires….
sérieux, même moi je ne les lis pas, sinon je ne verrais vraiment pas l’intérêt de les écrire.

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 17h24

les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site.

Gallimard vient de lui promettre la Pléiade?
On rêve…
Bonne soirée,

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 17h25

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 18 h 22 min
que chaloux soit plus con que bougue-rototo, ça se discute pas.

keupu peut pas encadrer plus lémure que lui..

Parole de ténia.

l'observatoire dit: 13 novembre 2014 à 17h26

maintenant qu’il est observé à la loupe, bougue-rototo fait moins le malin, on va pas le louper
(attention ya ton bavoir qui dépasse)

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 17h32

question : qui parmi les commentateurs du blog de Monsieur Assouline lit les commentaires.
allez-y : levez les doigts que je compte…
Monsieur Chaloux ? non ? Jacky ? non plus ?
voilà, c’est bien ce que je disais personne ne les lit, à la limite il y en aurait 5 ou 6, mais 800 ! qui aurait le courage de se taper 800 commentaires ?

non moi je viens sur ce blog uniquement pour lire les articles de Monsieur Assouline, et encore pas à tous les coups.

non, ce blogil faut le prendre comme un lieu de relaxation, inspirer…. souffler !! inspirer…. souffler !!!

c’est comme au théâtre, on inspire et après hop ! on souffle.

d’ailleurs depuis qu’ils ont viré les souffleurs je ne vais plus au théâtre.
le souffleur c’est le truc le plus intéressant dans les pièces.
souvent au milieu d’une pièce je me levais du mon fauteuil et j’allais les voir, pour leur dire bonjour, et aussi combien j’admirais leur travail, on restait là à papoter, c’était sympa.
les souffleurs étaient tous des gens adorables, toujours le mot pour rire, à la limite on aurait dû virer tous les acteurs et garder que les souffleurs.

l'observatoire dit: 13 novembre 2014 à 17h36

à propos de bavoir, qu’est-ce que j’ai fait du mien ? J’arrête pas de me cracher dessus.

JC... dit: 13 novembre 2014 à 17h37

l’observatoire dit: 13 novembre 2014 à 18 h 36 min
à propos de bavoir, qu’est-ce que j’ai fait du mien ?

je viens de torcher bouguereau avec.

Faire-part dit: 13 novembre 2014 à 17h38

On apprend que Jacques Barozzi vient de se suicider. Pour seule explication il a laissé le mot suivant :
Passou m’a tuer.

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 17h38

le souffleur est le grand oublié de l’histoire des arts et de la culture.
pourtant ils doivent énormément.
sans souffleur la culture n’aurait été ce qu’elle a été.
on va me rétorquer les décorateurs et les électriciens aussi !
là je dis hého !! non ! surement pas ! faut pas prendre un souffleur pour un éclairagiste.
c’est deux métiers totalement différents : l’éclairagiste éclaire, et le souffleur, lui, il souffle.
parce qu’appuyer sur un interrupteur pour mettre la lumière tout sait le faire, par contre allez demander à un électricien de souffler ! il n’y arrivera jamais, never !

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 17h39

Jacky est mort ?
misère, pour une fois que je lis un commentaire il faut que ce soit pour apprendre un drame.
comme quoi, il faut surtout pas les lire.

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: 13 novembre 2014 à 17h39

je viens de torcher bouguereau avec.

Je savais bien que tu étais son larbin.

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 17h40

« les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site. »
c’est clair,vous n’êtes que du poivre,ce qui n’est pas mal du tout…

felix d dit: 13 novembre 2014 à 17h41

Le « souffleur » c’est aussi le nom du cheval qui n’a le droit que de renifler la jument pour vérifier qu’elle est d’accord pour une vraie saillie par le bel étalon.
On appelle cela un boute en train.
C’est un beau métier, souffleur.

le sel de ce site dit: 13 novembre 2014 à 17h42

Ne le prenez pas mal, Paul Edel, nous sommes sûrs que vous n’étiez pas visé.

casio dit: 13 novembre 2014 à 17h45

nez cassé, ephèbe, avec une plume sur le côté
vu le sweet poulpe aussi
sinon c’est pas rantamplan

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 17h45

« C’est un grand privilège que de voir un tel comédien… recréer son monde soir après soir. »

effectivement ce doit être un sacré privilège de voir quelqu’un recréer ce monde parce que celui qui l’a créé la première fois il était tout sauf clair.

c’est ce que j’aime aussi chez artistes, leur aptitude à recréer le monde.

parce que beaucoup s’y sont essayés et ils sont vautrés complet.
par exemple les socialistes, eux aussi ils voulaient recréer le monde, et ben vu le résultat on se dit qu’il aurait dû mieux faire du théâtre.

à la limité on leur demande même pas de le recréer complètement, juste inverser la courbe du chômage, c’est moins difficile à faire que recréer complètement le monde, et ben même ça il y arrivent pas, comparés aux artistes c’est vraiment des manches.

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 17h47

non, je ne vois vraiment pas l’intérêt de lire les commentaires de ce blog.
je ne vois pas l’intérêt de lire en général.

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 17h51

si les gens passaient moins de temps à lire et plus à écrire, pour arriver à un monde où tout le monde écrit et personne ne lit, ça ce serait génial !
le monde parfait.
il faudrait demander à ce comédien de recréer un monde de ce genre.
à moins bien sûr qu’il n’aime pas les mondes parfaits, à la limite c’est son droit, on est pas obligé.

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 17h52

Que c’est bon d’entendre des gens rire de bon cœur, d’un rire qui n’est pas le rire gras des shows télévisés ni le rire de dérision que Canal + a incrusté dans les esprits.

(Dans l’obscurité de la salle de l’Athénée Louis-Jouvet, deux spectateurs)

Esther Assouline (se tournant à demi vers son mari Pierre) – Pourquoi tu ris comme ça ?

Pierre – Ben… je ris. Pourquoi, y a un problème ?

Esther – Tu ris pas comme ça d’habitude.

Pierre – Ah bon. Et je ris comment ?

Esther – Tu ris … plus gras.

Pierre – Et quoi encore ?

Esther – Plus fort aussi. Rappelle-toi, au show de Bigard.

Pierre – Oui mais là, c’est Caubère, ça va bientôt faire trente ans que je vais écouter ses vannes, tu comprends que je ne me morde pas les couilles. Je ris d’un rire plus…

Esther – … distinglé.

Pierre – … entendu.

Esther – … de connivence.

Pierre – Commence pas, veux-tu.

Esther – Tu es sûr que tu te sens bien ?

Pierre – Je t’emmerde.

Spectateur anonyme – Dites-donc, je sais bien que le spectacle est aussi dans la salle, mais si vous la fermiez un peu , hein ? On ne s’entend plus rire.

Pierre – De couaille, de couaille ?

Esther – De couaille, de couaille ?

(Pugilat. Entrée des pompiers. Caubère perd son texte. Il s’enquille dans le monologue de Figaro, bifurque sur la tirade des nez, sent brusquement le poids des ans. le sentiment de la dérision du métier de saltimbanque l’écrase brusquement. Il s’écroule. Invectives dans le public : « escroc! », « vieux ringard! » « remboursez ! »).

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 17h52

dans la mesure où personne ne lit on peut se permettre de pas terminer ce qu’on écrit.

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 17h54

c’est le téléphérique qui monte à Beauregard, à la Clusaz, je reconnais, j’ai un chalet dans le coin, un petit.

JC..... dit: 13 novembre 2014 à 18h11

« Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… Ne vous suicidez pas pour autant. » (Passou)

Dans ces conditions, je ne commenterai plus jamais, JAMAIS, chez Messire Assouline …. A quoi ça servirait que je me décarcasse ?

Assouline ?
Finira comme Paul Edel !
Seul… triste…. non-imposable !

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 18h11

Passou, je ne faisais que rapporter les propos d’une ex-commentatrice. Mais il me semble cependant que ce qui fait le plus causer le commentarium, c’est plutôt l’étage de l’auberge espagnole que celui du salon littéraire situé juste au-dessus. Quoiqu’il en soit, tout le mérite de ce blog vous revient de droit et je vous en suis infiniment gré,
avec mes compliments réitérés !

Erdélien lambda dit: 13 novembre 2014 à 18h17

–les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site. Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires…–

Quand je le dis, on rigole, quand c’est Passou qui le dit… le JC en fait un caca nerveux !

PMB dit: 13 novembre 2014 à 18h23

//C’est à se demander comment il n’a pas eu honte de faire venir (car en majorité, il les a fait venir) les spectateurs VIP (Hollande, Valls & co) à l’Atelier pour assister à ça//

Honte qu’il partage équitablement avec les dits VIP, dont la vie semble régie par le seul calcul.

Sur Médiapart, un auteur se plaignat que Mr Décolleté faisait régner une « terreur intellectuelle ».

Il n’y a bien que lui et BHL à le croire.

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 18h32

« Ce n’est pas chicos du tout, c’est simple et beau , comme au premier jour. »

Et le parc aux sculptures de la fondation Maeght est un lieu magique où il fait bon se promener.
Chantal, j’ai encore dans mes placards, un pot de confiture de rose, acheté chez Florian cet été ! Celui à la violette était un pur délice !

Étonnons-nous..... dit: 13 novembre 2014 à 18h35

Je ne comprends pas pourquoi Chaloux déteste autant Paul Edel.
Que Clopine déteste Daaphnée, bon, on en devine les raisons, que TKT déteste D., on le conçoit, que Widergänger déteste tout le monde, on voit pourquoi aussi, mais cette vindicte de Chaloux à l’égard de Paul Edel me dépasse.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 18h39

Evidemment.

non tête de fion qui nous laisse..ta performance lassouline serait plus grande a aquiecer sur tes pouvoirs a faire du social endginiring que le fair play de baroz a te rappeler qu’on est plus dans l’ancien monde où la flatterie coutait quelquechose..c’est zukèrebèrgue qu’il faut lire quand on fait d’l’internet pus lafontaine dirait phil..le moderne on le reconnait a un changement de moral

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 18h45

un pot de confiture de rose

ça casse pas trois patte a un canard..un gout de loukoum dans l’cul d’une mousmé

chantal dit: 13 novembre 2014 à 18h50

c’est vrai que c’est délicieux ces confitures, la prochaine fois j’irais me promener dans le jardin de statues, çà sent très bon par là, je lis que merce cunningham y a créé des spectacles et tant d’autres ..

http://www.fondation-maeght.com/index.php/fr/la-fondation

mon catalogue est tout simple versubtil, je ne crois pas qu’il vaille grand chose, mais j’ai de ravissantes tourterelles esquissées que je vais encadrer 😉

Étonnons-nous.... dit: 13 novembre 2014 à 18h57

que JC aime D. et vice-versa, c’est évident, l’un est l’envers de l’autre.
Ce sont deux frères siamois attachés par devant, seuls leurs trous du cul sont opérationnels.

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 18h58

Assouline ?
Finira comme Paul Edel !
Seul… triste…. non-imposable !
tout faux!! JC
Que des contre vérités. mon, petit JC .
je suis gai.. tres entouré , entre famille nombreuse et chaleureuse, avec amis écrivains, grappa et voyages à Rome monte sacro..

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 19h02

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 19 h 39 min

Une leçon du ténia. Y touillera qui voudra, mais le fond ne décolle pas de l’imbécillité habituelle du personnage.

(Je ne déteste absolument pas ce pleurnichard d’Edel quoiqu’il en soit persuadé).

Étonnons-nous.... dit: 13 novembre 2014 à 19h03

JC en dehors de sa vie sur internet, doit passer sa vie à détester les imposables et les non-imposables.
En tant que D., cette burne depuis des années au chômage, compte sur les impôts des autres pour payer son entretien.

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 19h07

« les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site. Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… Ne vous suicidez pas pour autant. »

Bon, si on prend les billets … je n’y vois pas de « sel » particulier.
Du sucre ? Noooooooooon !

En réalité, on (je) passe comme on feuilletterait une revue … parfois arrêt sur un article, un tweet. Pparfois .
Puis, il y a quelques signatures dont il est amusant ou intéressant, selon, de voir ce qui leur passe par la tête …

Mais si c’est au nombre de connexions sur le site – d’ailleurs quoi d’autre ? – que s’évalue la fréquentation et le nombre supposé de lecteurs, alors nul doute que les commentateurs contribuent amplement à ce « succès » ….

Une question me vient.
Est-ce, en définitive, un échec ?

quel fou rire, répétitif qui plus est ! dit: 13 novembre 2014 à 19h09

Phil dit: 13 novembre 2014 à 14 h 41 min

la clopine, c’est speedy gonzales de la réplique. baroz au wepler a pu siffler ses huîtres tranquillos.

too much ! j’ai failli m’étrangler (faut dire qu’il y a une certaine pression ; que de cocotte minute) – psitt ! woody-woodpecker, ça marcherait aussi … elle a un mega sens de la convivialité la Clopine !

// bouffes du nord dit: 13 novembre 2014 à 19h23

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 14 h 48 min

C.P., je ne suis plus retourné aux Bouffes du Nord depuis le départ de Peter Brook. Oui, ce théâtre italien en ruine, caché derrière la façade d’un immeuble bourgeois, dans un quartier improbable, où j’habitais étudiant, est plein de charme. J’y ai vu Isabelle Huppert dans un délicieux Marivaux et La Tempête du grand Willy !
Un lieu encore magique aujourd’hui, pas sûr ?

Bien sûr que si, encore plus de magie, pardi ! y a eu un incendie ; la calcination a été laissée sur certains murs (et ce que j’y apprécie, c’est qu’on y a le droit, 3 mn avant le tout début, de bouger, de se glisser vers les coussins juste devant la scène, faut être bon en yoga ! de plus, de mémoire, j’y ai entendu, minimum 2 fois, Arthur H).

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 19h36

faites donc comme moi, lancez-vous dans l’écriture !
moi c’est Clopine qui m’a conseillé de le faire…
du coup j’ai passé l’après-midi à la spa pour trouver un chat, je sais pas si Paul Edel en a un, le chat c’est le truc le important, tous les grands écrivain on un chat, j’en ai trouvé un super, roux à poils roux, il s’appelle Schrody, je lui acheté déjà un sac de croquettes pour le remercier pour sa contribution à mon oeuvre, le truc le plus galère du monde, encore plus galère que se coincer un doigt une porte ou se faire enlevé par des djihadistes, c’est pour choisir les croquettes, il y a des centaines de croquettes de marques différentes, que dis-je des milliers, n’empêche heureusement que personne ne lit les commentaires, si c’était le cas on serait obligés d’écrire que des trucs intéressants, misère quel stress ce serait, bon maintenant il faut trouver un bon sujet, du genre qu’on peut dire aux gens « ouai heu ce sujet heu je le porte en moi depuis des années heu, ce livre tu sais heu c’est un accouchement heu, ça c’est heu dans la douleur heu », je sais pas si la spa reprend les chats ?

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 19h41

Cher Chaloux, vous savez les questions d’affinités dépassent parfois toute logique .
Pour ma part, j’aime bien votre présence ici et j’aime bien aussi celle du Boug’ .

Lui, parle d’un changement de morale ..

mmm … Je ne sais pas, toujours est-il que c’est curieux ce phénomène où des gens échangent depuis plusieurs années, à distance .. Comment dire … Moi, c’est cette distance ou cette grande proximité parfois, qui m’interpelle le plus ..
Plutôt, que j’aime bien observer ..

Puis, il y a cette manière particulière dont les uns ou les autres se positionnent ou non sur un sujet. Ce qui m’a le plus intéressée c’est l’article de Charles sur le plagiat, et voyez que je n’ai fait que le signaler ..
.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 19h43

je suis gai.. tres entouré

sapré polo ! phil est seulabre sur son tabouret avec sa duvel et son kipper..lhomme heureux na pas de chemise pour pas sla tacher

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 19h44

mais cette vindicte de Chaloux à l’égard de Paul Edel me dépasse.

l’envie.vaut mieux faire envie que pitché polo

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 19h45

Daaphnée, le « changement de morale » de boumou est une vieille histoire. On est déjà passés à autre chose.

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 19h47

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 20 h 44 min

Explication de ténia. toujours au plus bas, le boumou. Va tout vous espliquer, par le bas, le sale, l’inavoué, ce que je disais hier.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 19h47

baroz au wepler a pu siffler ses huîtres tranquillos.

oui oui certain(slurp)ment clopine..et gratos! et que je te cire les pompes de lassouline..c’est un malin..

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 19h48

je sais pas si la spa reprend les chats ?

Ah mais, Hamlet, n’allez pas vous débarrasser si vite de ce chat !
Et le crayon ?
Plume ou papier ?
Comment ???
Sur votre ordinateur ???????????????
Malheur !
Vous allez continuer à faire le zouave et votre chat pourra toujours attendre ses croquettes !

C’est dommage, pour le chat .

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 19h51

Hamlet, offrez-lui plutôt une paire de bergères Louis XV. Gustave, mon chat, les adore.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 19h53

Va tout vous espliquer, par le bas, le sale, l’inavoué, ce que je disais hier

tous les jours que dieu fait..allez

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 19h53

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 20 h 53 min

mais voui, vieux ténia, tout ce que tu sais faire. Et encore…

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 19h54

une paire de bergères Louis XV. Gustave, mon chat, les adore

toi aussi t’es gai et entouré..sapré chaloux

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 19h55

Non, je ne veux pas jouer les rabats joies mais je dirais que, même si la religion et la culture sont destinés à élever nos âmes, les voies pour y parvenir sont très différentes. Le croyant élève son esprit vers la présence du Seigneur tout puissant et non pas vers la beauté d’une œuvre. Sans vouloir dénigrer ceux qui prennent cette route, je pense que la voie du Divin est bien plus facile à suivre. Car si l’appel de Dieu ne s’adresse qu’à l’âme, celui de l’Art et de la Culture s’adresse autant à l’âme qu’à l’esprit. Si pour un simple croyant, l’intelligence n’est pas utile pour exercer sa Foi, pour un amoureux de l’Art et de la Culture elle est évidemment indispensable. L’art et la culture nourrissent à la fois l’âme et l’esprit par un savant dosage où le moindre déséquilibre se solde par un inévitable échec. Toutefois, s’il fallait trouver un point commun entre les deux, je crois que le divin comme la culture procèdent d’un même travail d’humilité où chacun constate sa petitesse face à la grandeur d’œuvres qui le transcendent.

voilà, c’est le premier chapitre de livre.
il ne me reste plus maintenant qu’à trouver le sujet.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 19h56

Va tout vous espliquer, par le bas, le sale, l’inavoué, ce que je disais hier

l’envie ! chaloux..l’envie..la tienne..et pense a te rapprocher d’un tatami..ça pourrait servir

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 19h56

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 20 h 54 min

Souvent beaucoup trop, vieux ténia. Et puis pas besoin de payer…

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 19h57

( le mien, de chat, en ce moment me tourne le dos !
Signe qu’il est temps que je cesse ce tapotis sur le clavier .. je suis à un bout du canapé, lui à l’autre .. et il hume l’odeur du plat qui mijote à la cuisine .. Tiens, on me dit que c’est prêt .. )

Widergänger dit: 13 novembre 2014 à 19h58

Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… (passou)
Je voudrais bien savoir comment il peut en être aussi sûr !

Il n’a aucun moyen technique de le savoir. Rien en vérité ne lui permet d’affirmer que les visiteurs qui ne commentent pas ne lisent pas les commentaires.

Ceci dit, je m’en fous…

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 19h58

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 20 h 56 min

J’avais compris, vieux ténia, pas la peine de répéter… Le bas, le sale, l’inavoué. Mais non…

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 20h01

La vérité ? Toutes les créations artistiques, la peinture, la musique, la littérature permettent de dévoiler une partie de la vérité du monde. Toutes les œuvres d’art nous disent quelque chose de cette vérité, et sans elles, nous ne pourrions y parvenir. Mais cette Vérité ne tombe pas du ciel, elle exige une contrepartie. Cette contrepartie est la prise de risque de l’artiste lorsqu’il produit son œuvre. Chaque réalisation artistique représente une mise en danger de son auteur. Si le créateur accepte de courir ce risque, alors, dans ce cas, son œuvre nous dévoilera une vérité. Si à l’inverse, le créateur, par peur, refuse de prendre ce risque son œuvre n’atteindra jamais cette vérité. Voilà pourquoi nous ne devons avoir de cesse de louer l’admirable courage des artistes qui osent assumer cette prise de risque ! Car pour bon nombre d’entre eux cette aventure dangereuse connaît une fin dramatique !
Croyez-moi c’est un grand privilège que de voir un comédien ou un artiste véritable, total, un auteur complet, usant du verbe, de la danse, du mime, recréer son monde soir après soir. Ce qu’il raconte est né de l’improvisation, avant d’être fixé dans des livres, puis de retourner mordre la poussière des planches mais sans jamais perdre en chemin la spontanéité, la fraicheur et la vitalité de l’invention première. »

ça c’est le deuxième chapitre….
comme sujet du livre je crois que jais vais prendre le sport de combat.

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 20h05

un truc hyper important pour les écrivains c’est les interviews des journalistes.
avant de me lancer dans le livre je vais commencer par préparer mes interviews sur france culture avec des réponses du genre :

« Ce serait faire preuve de vanité que refuser vos compliments sur mon ouvrage. Alors je les accepte ! Mais étant l’auteur de ce petit livre vous comprendrez que je ne peux pas parler de ses qualités, on ne peut être à la fois juge et partie. Toutefois, je veux bien répondre sur un point. Vous avez prononcer le mot « morale ». Pour l’art en général, et la littérature en particulier, la morale ne doit pas être une préoccupation. Notre seul soucis, notre seule exigence c’est, comme nous le disions, la Vérité ! Si ce livre devait receler une qualité, ce serait justement celle de refuser le mensonge. Chaque être est multiple. Je me suis rendu compte, en l’ écrivant, à quel point la littérature est un moyen de nous plonger dans cette multiplicité. L’art seul permet d’entrer dans le jeu de cette complexité. Il y parvient essentiellement dans un processus de dévoilement. Là encore, nous retrouvons des forces antagonistes : le mensonge nous éloigne de la beauté tandis que la vérité nous en rapproche. Mon livre est peut-être critiquable sur la forme, je laisse les critiques et les lecteurs en juger, mais je tiens à dire que sur le fond, il est inattaquable car il ne dit rien d’autre que la vérité. Je le dis d’un point de vue éthique, et non pas moral, car si la morale n’a rien à voir avec l’art il existe bien une éthique artistique, à savoir d’une part, ne pas faire de la beauté de l’œuvre une fin en soi et d’autre part, toujours rester fidèle et toujours sincère par rapport à soi-même. Bien sûr cette Vérité n’est pas toujours facile à dire. Ni d’ailleurs à entendre. Elle constitue toujours une prise de risque et une mise en danger de l’auteur. Vous vous en êtes certainement rendue compte si vous l’avez lu. »

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 20h08

« l’odeur du plat qui mijote à la cuisine ..  »

Quoi de bon à dîner, Daaphnée ?

Hamlet, vos commentaires accusent une baisse de régime, comment expliquez-vous comment ?

Il y a des chats aussi snobs que leurs maîtres, Chaloux, et d’autres tout aussi indépendants que leurs maîtres et qui trouvent leur confort partout !

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 20h10

dans la foulée j’ai commencé à écrire le début de mon discours pour le nobel :

« Nous devons aujourd’hui tous nous battre en faveur d’une culture portant des vertus émancipatrices et humanistes… d’une culture exigeante pour le plus grand nombre. Si certains veulent détourner ce combat à leur seul profit il ne faut les dénoncer et les condamner ! Si ces gens ne possèdent pas les vertus nécessaire pour mener ce combat le mieux est de les oublier parce que la véritable culture n’a aucun besoin de s’encombrer de ces gens-là ! La culture que je connais… ma culture se situe à l’opposé de la leur. Je peux en témoigner, au nom de tous le artistes que je côtoie, jour après jour. Ces personnes admirables partagent une même mission : se battre pour imposer imposer une vraie culture… une culture qui défend des valeurs fondées sur l’humanisme et la générosité ! Permettez-moi d’insister sur ce point parce que c’est important. Nos sociétés traversent des crises très graves. Chaque heure qui passe voit la barbarie gagner du terrain. La misère la plus infâme touche une part de plus en plus grande de la population. Nous savons tous que, pour des raisons économiques, nous ne pouvons pas améliorer pour le moment le sort de ces personnes. Pour cela, il faudra se montrer patients et attendre de renouer enfin avec une croissance qui tarde à arriver. Mais faut-il pour autant abandonner ces personnes qui se sentent déjà exclues par la société ? La réponse est non ! L’art et la culture est le seul moyen à notre disposition pour leur apporter un peu de réconfort. Voilà les missions que nous nous sommes fixées : à la fois rendre les hommes meilleurs et leur apporter un peu de consolation à ceux qui en ont besoin. Voilà comment la culture peut transformer notre vie à tous ! C’est pourquoi nous devons tous nous unir pour réussir cette mission. Si nous échouons ce sera la fin de notre civilisation !!! »

il me reste plus qu’à trouver le sujet du livre.

Widergänger dit: 13 novembre 2014 à 20h10

Ce qui est amusant quand même, c’est que maintenant notre passou chéri avoue que son bouquin Brèves de blog n’était au fond qu’un livre secondaire, voire inutile. Enfin, quand je dis inutile, pas pour tout le monde… pour se faire de la pub sur notre dos… Sont bon qu’à ça les commentateurs… rapporter un max de fric…! ce faisant, on pousse le cynisme jusqu’à les mépriser… pourquoi se gêner, il est vrai… tas de bœufs, qu’il vous dit, notre passou chéri…!

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 20h10

« Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… (passou)
Je voudrais bien savoir comment il peut en être aussi sûr ! »

Il se fie aux compliments hypocrites de ses relations et amis ?

hamlet dit: 13 novembre 2014 à 20h12

Jacky moi non plus j’aime pas trop la fin de celui de 21h04.
j’ai pas dû prendre le bon chat.

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 20h13

« rapporter un max de fric…! »

Pas sûr, ML. M’étonnerait qu’il y ait eu plus de 5 000 exemplaires vendus, ce qui couvre à peine les frais d’édition.

Widergänger dit: 13 novembre 2014 à 20h15

Si c’est ça le théâtre d’aujourd’hui…!

Et en effet c’est ça le théâtre d’aujourd’hui…

Le théâtre est mort.

Je soupçonne fort les nombreux lecteurs du blog de venir lire en douce les commentaires sans le dire à passou parce que cette nef des fous a je ne sais quoi de jéromeboschien en diable tout à fait dans l’air du temps, le théâtre des fantômes…

Giovanni Sant'Angelo dit: 13 novembre 2014 à 20h16


…quels, nuls,!…
…pas capable de poser la Roseta comme il faut sur une si grande comète,!…
…près d’un abîme intérieur, comme une bouche d’aspiration, à première vue,!…

…comète qui à l’air bizarre,!…pourvu que c’est pas un camouflage d’extra-terrestre sur le tard,!…venir se réchauffer le nombril autour du soleil,!…Costa del Sol,! Ollé,!…

…même pas, un double-jeux de longues pattes amovibles ( comme les araignées ),!…pour atterrir et déambuler sur cette comète,!…

…lamentable la technologie  » européenne « ,!…Cinéma politique, tout au plus,!…pour la bande à Bordeaux – Mickey – Mousse,!…

…ingénieurs de merde,!…ou vont nos impôts,!…envoyez en l’air,!…la part des anges,!…
…encore du mousseux,!…quel horreur,!…
…Ah,!Ah,!…toute une équipe à l’image ridicule du progrès,!…

…faite du porno-politique, c’est plus dans vos compétences technologiques,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,!…
…Go,!…etc,!…

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 20h18

Notre chat, Jacques, c’est un voyou noir et blanc pas snob pour deux sous que nous avons pour ainsi dire ramassé dans le caniveau. Surtout d’une intelligence et d’une finesse stupéfiantes dans ses relations avec -tous-les autres. (Et snob, pas besoin de l’être pour aimer les belles choses).

Widergänger dit: 13 novembre 2014 à 20h18

T’es naïf, Baroz, ou t’es con ?

Il ne s’agit pas du tout du livre. T’as pas encore compris que le livre n’était là que comme une amorce pour la rentrée publicitaire qui fait de ce blog une véritable petite entreprise qui rapporte gros ?!

Tu piges, là ? Ou faut te faire un dessin ? Mon pov Baroz, tu feras bien toujours parti des enculés dans ce monde de rapaces !

renato dit: 13 novembre 2014 à 20h27

« Je voudrais bien savoir comment il peut en être aussi sûr ! »

Il est chez WordPress, si je ne fais erreur, donc… il a l’accès aux statistiques et aux adresses IP… il y a de quoi se faire une idée…

Widergänger dit: 13 novembre 2014 à 20h29

il a l’accès aux statistiques et aux adresses IP… il y a de quoi se faire une idée… (renato)

L’idiot du village a parlé !

Les adresses Ip n’ont jamais permis de savoir s’ils cliquait pour lire les commentaires ou pas, tartuffe !

Giovanni Sant'Angelo dit: 13 novembre 2014 à 20h32


…parler pour ne rien dire,!…des envies de se faire baiser,!…rémunérer,!…
…un peu les fils de putes de la culture,!…
…d’une église à l’autre, le bouillon de culture,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…

Widergänger dit: 13 novembre 2014 à 20h32

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 21 h 24 min
moi…je veux être rénuméré!
Òn va fonder un syndicat pour défendre les intérêts des forçats du blogage.

On va demander une rémunération au prorata des rentrées publicitaires. Sinon, on fait la grève des commentaires ! Pu de pub ! Couic ! Out !

Widergänger dit: 13 novembre 2014 à 20h34

How is it that someone sharing my world wrote this book that I perhaps find strange and difficult?

Que de préjugés ! Comme la littérature ancienne était plus facile à lire que la littérature moderne !

Qu’est-ce qu’on peut faire avec des gens qui pensent comme des pieds ?

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