de Pierre Assouline

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La République des livres
Diable de Caubère !

Diable de Caubère !

Mais comment fait-il ? Trois heures durant, Philippe Caubère est partout sur la scène de l’Athénée-Louis Jouvet, on ne voit et on n’entend que lui, et à la fin, il a l’élégance de ne pas paraître exténué quand les spectateurs le sont allègrement d’avoir autant savouré, souri et surtout ri sans discontinuer. Que c’est bon d’entendre des gens rire de bon cœur, d’un rire qui n’est pas le rire gras des shows télévisés ni le rire de dérision que Canal + a incrusté dans les esprits. Rire moliéresque, finesse de marivaudage, tragique russe, hénaurmité rabelaisienne, humour bouffon, ridicule de la farce, et le tout fait un excellent auteur dont la voix est unique dans le spectacle français, aussi pétaradante qu’étincelante.

Avec l’air de ne pas y toucher, à sa manière burlesque et déjantée et sans jamais se prendre au sérieux, La Danse du diable est aussi une réflexion en abîme sur le théâtre et le transmission, avec la mère comme fil rouge et personnage central. Ce pur projet de théâtre d’un seul homme n’a rien d’un one man show. C’est juste un grand comédien qui nous raconte une histoire, mais si comique qu’elle nous fait rire comme on ne sait plus le faire au théâtre, et si fantastique qu’elle nous fait rêver comme on n’ose plus le faire au théâtre. Le personnage qui remplit la scène de sa présence s’appelle Ferdinand Faure, son alter ego. Il a des fantasmes de gloire.

«Peut-on, de nos jours, parler de soi-même, de ses craintes intimes, de ses espérances, et que ce soit gai ? Peut-être que je suis fou, ou prétentieux, ou les deux à la fois. Tant pis.”

Vingt ans après avoir rempli l’Athénée-Louis Jouvet de milliers de spectateurs, tous les soirs pendant des semaines, et un an après avoir dû renoncer à le présenter à ses compatriotes marseillais, un tendon d’Achille ayant rompu les amarres lors d’une cabriole à Tarascon-sur-Ariège, et ce n’était pas que métaphorique, il remet donc ça avec son spectacle-fétiche La Danse du diable, créé en 1981 au Festival d’Avignon, premier d’une saga autobiographique mais si peu nombriliste qui sera suivi par le Roman d’un acteur et L’Homme qui danse. Autant d’œuvres qui sont désormais à voir et à écouter autant qu’à lire. L’ensemble constitue une épopée personnelle parmi les plus originales du théâtre contemporain en France.

En 1981, Philippe Caubère avait 31 ans ; or il n’hésite pas à reprendre à 64 ans un spectacle aussi physique, qui exige tant de l’intensité de la mémoire que de la tension nerveuse. On comprend qu’il le dédie au danseur Jean Babilée, immortel interprète du Jeune homme et la mort qu’il avait créé à 23 ans avant de le reprendre à 60 ans. Un modèle éblouissant pour celui qui, à ses débuts, avait pris le soleil du côté de chez Mouchkine.IMG_3110

Il est tout à tour, et parfois à quelques secondes d’intervalle, des hommes et des femmes, des Marseillais et des Aixois, Malraux l’agitateur agité, Sartre en nain globuleux, l’omniprésent général de Gaulle en héron enchanté, sans oublier le déhanché Johnny Ouliday, François Mauriac confit en méchancetés, et Jean Vilar, et Gérard Philippe et Roger Lanzac et Lucien Jeunesse, tous traités dans un irrespect étincelant. Tel est le bestiaire de Caubère : la France des années 60. Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline.

Caubère joue vite sans se presser. Il est rapide où d’autres se précipitent, car le temps sur scène n’a pas le droit de prendre son temps comme dans la vraie vie. Il faut condenser et comprimer, pratiquer l’ellipse jusqu’à l’os. Il réussit l’exploit d’être toujours dans l’énergie sans jamais verser dans l’hystérie, qu’il murmure, se lamente, vocifère, radote, se récrie, se confie. Il parvient même à n’en faire jamais trop tout en en faisant jours plus. Le temps est loin où l’on parlait de ce spectacle avec admiration mais en louant le phénomène en lui, le comédien marathonien, le logorrhéique inspiré, celui qui pouvait aligner ses « morceaux » sans reprendre son souffle. Car on a beau chercher, il n’y a pas le moindre excès dans cette entreprise pourtant démesurée.

C’est un grand privilège que de voir un tel comédien, l’un des rares à être véritablement un artiste total, un auteur complet, usant du verbe, de la danse, du mime, recréer son monde soir après soir. Ce qu’il raconte est né de l’improvisation, avant d’être fixé dans des livres, puis de retourner mordre la poussière des planches mais sans jamais perdre en chemin la spontanéité, la fraicheur et la vitalité de l’ invention première.

Et quel bonheur d’entendre prononcés des milliers de mots, dont on a l’impression qu’ils se rencontrent pour la première fois ainsi parfaitement articulés, et non marmonnés à voix basse en tournant le dos au quatrième mur comme ça se fait de plus en plus souvent au Français, avec ces liaisons magnifiques que l’on dirait d’un autre temps tant la radio prend à cœur de les ignorer de nos jours. Philippe Caubère, c’est une présence portée par une voix et c’est si rare…

Et pour finir, on entend sa voix mais d’outre-tombe nous murmurer que « le théâtre, c’est un peu comme les rêves, ça n’existe pas ». Ce qui est plutôt bien vu pour un homme tourmenté comme un insomniaque. Voilà, c’est jusqu’au 7 décembre et si vous n’avez pas compris qu’on y va pour se faire du bien, qu’on en ressort heureux et provisoirement réconcilié avec ses contemporains, c’est que vous êtes bouchés à l’émeri.

 (« La danse du diable » photo D.R.; « Philippe Caubère dans les airs » photo Passou)

 

 

 

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française, Théâtre.

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commentaires

1 443 Réponses pour Diable de Caubère !

TKT dit: à

Michel Alba, vous et Clopine vous en avez fait une jaunisse de ne pas toucher des droits d’auteur-de-commentaires pour Brèves-de-Blog. Votre salaire de prof de 5ème ne vous suffit pas ?
Un Blog rapporte de l’argent quand les visiteurs vont cliquer sur une publicité qui les dirigent alors sur un autre site. Croyez vous sérieusement que Pierre Assouline compte sur ces revenus là, pour devenir riche ?
Comme tous les ploucs populistes, vous êtes jaloux.

Widergänger dit: à

Devenir peut-être pas, mon couillon. Mais en vivre confortablement, c’est évident, pov idiot de village !

Chaloux dit: à

Ce qui est évident, c’est que la partie commentaires s’est émancipée de l’article. La réplique un peu gourmée et « pravda » d’Assouline marque-t-elle le début d’hostilités entre ces deux nations?

Tetram dit: à

Dans Brèves de Blog, j’avais droit à la dernière citation.
D. ne se trompe jamais, Marine Le pen sera la prochaine Présidente

renato dit: à

« L’idiot du village a parlé ! »

Si vous le dites ça doit être vrai, reste que l’on peut savoir qui met en ligne un commentaire et qui non, mais vous avez, évidemment, une intelligence du monde économique super ultra extra, inutile donc de vous mettre au parfum… mais si vous réfléchissez… en admettant que cela vous soit donné…

Widergänger dit: à

Personnellement, j’en ai vraiment rien à foutre qu’il gagne du fric avec son blog ! Ça m’est complètement indifférent. Mais ce qui me choque, c’est que ce n’est pas dit. Toute cette hypocrisie me dégoute profondément.

Il tape à bras raccourci sur BHL qui se sert des guerres pour se mettre en avant. Ce narcissicisme est en effet profondément délétère.

Mais qu’a-t-il fait d’autre, lui, ce brave Assouline avec ses Brèves de blog, sinon se servir de nous, les braves couillons de commentateurs de base pour se faire connaître d’un plus large public, en espérant que la sauce prenne. Et c’est après qu’on a vu les rentrées d’argent arriver avec la pub. Faut quand même pas nous prendre pour des couillons ! Rendre hommage aux commentateurs, qu’il disait… à leur amour de la littérature, qu’il serinait à qui voulait bien l’entendre… Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages, quand même !

Jedermann dit: à

Pour vous, Michel Alba, c’est quoi vivre convenablement ?
Ce n’est pas ce Blog avec ou sans revenus, qui vont changer son train de vie.
Vous voyez petit, Alba, c’est ce qui vous rapproche le plus de D’JC.
Alba, vous n’êtes pas « mon couillon », je ne puis vous renvoyer l’ascenseur. Si j’avais un couillon, il serait plus soigné et moins fou.

Widergänger dit: à

reste que l’on peut savoir qui met en ligne un commentaire et qui non (renato)

Mais il ne s’agit pas du tout de ça, mon couillon !

T’as rien compris !

Il s’agit de savoir si ceux qui lisent les articles du blog lisent aussi ou pas les commentaires. Or, rien, aucun instrument technique ne permet de le savoir. Patate !

bof dit: à

If you want to destroy my sweater
Hold this thread as I walk away

Vorwärtsgänger dit: à

Alba, j’ai rencontré votre fantôme.

Widergänger dit: à

Jedermann dit: 13 novembre 2014 à 21 h 46 min
Pour vous, Michel Alba, c’est quoi vivre convenablement ?
Ce n’est pas ce Blog avec ou sans revenus, qui vont changer son train de vie.
Mon pov TKT, t’es complètement idiot !

Mais bien sûr que si que la pub ça rapporte beaucoup d’argent et que change le niveau de vie ! Je suis sûr qu’Assouline se paye des rentrées d’argent qui dépassent au total les dix mille euros par mois. Quand la majorité des couillons qui publie ici ne gagne qu’une misère ! C’est tout à fait choquant. Moi, je m’en fous, je gagne plus de 5000 €/mois !

Géraldine dit: à

il me reste plus qu’à trouver le sujet du livre. Hamlet

Je ne voudrais pas ternir votre espoir cependant une œuvre comporte quelques livres. Du travail de recherche en perspective avec en plus ce robot auquel il manque un support, ça va amoindrir votre essor pour un temps, ils vont appeler Siemens pour leur bricoler ça par endoscope. Quoiqu’il en soit mon cher, la vie est parfois trop courte pour rassembler les feuillets noircis de nos pensées les plus lumineuses et d’un livre se présenter.

jusqu'à l' os (il vous l' a mis) dit: à

fonder un syndicat pour défendre les intérêts des forçats du blogage.wg

C’ est sûr que rémunéré à la ligne, le pigiste copiant/collant que vous êtes sur ce blog serait gagnant.
Pour ce qui concerne le contenu, le style ou l’ esprit de répartie,là il faut voir.
Et puis, forçat de quoi? Personne vous oblige.

Vorwärtsgänger dit: à

Il s’agit de savoir si ceux qui lisent les articles du blog lisent aussi ou pas les commentaires. Or, rien, aucun instrument technique ne permet de le savoir. Patate !

Oui, là Alba a raison.

on se confond tous un peu dans l'univers dit: à

pardon, madame

Géraldine dit: à

des envies de se faire baiser,!… GSA

Certainement pas en revanche s’il vous restait un peu de votre capital amour, le mien est asséché, nous pourrions par une sorte de canalisation type Suez communiquer?

Vorwärtsgänger dit: à

Albakaka, écrire ici des commentaires n’est pas être publié.

jusqu'à l' os (il vous l' a mis) dit: à

Arrêtez de commenter ici et puis on verra, non?

renato dit: à

« Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages, quand même ! »

Avec vous c’est la chose la plus simple du monde…

Cela dit, merci pour l’allusion à Rabelais, vous devriez cependant ne pas sous-estimer les robots… maintenant, assez joué avec vous : vivez dans et avec vos illusions…

Bonne soirée.

Widergänger dit: à

Mon pov Assouline, je comprends que tu les exploites tous ces crétins ! Parce qu’y ont vraiment rien dans le citron ! Des buses mais des buses !

TKT dit: à

Albakaka, vous avez le tutoiement des gens du 93.

CGTiste alerté dit: à

je gagne plus de 5000 €/mois !

Comment?

TKT dit: à

Albakaka, vous devriez signer « Amokgänger »
Bonne nuit !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…Géraldine à 21 h 54 mn,!…type Suez,!…canal de communication,!…

…je suis, tout ouie pour tout le monde,!…
…en restant totalement indépendant de mes propos par rapport aux décisions que je prend en mon sein,!…
…je suis mon roi,!…pour moi,!…
…v’là,…je vous écoute,!…restons serein,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…

hamlet dit: à

bon, puisque personne ne lit les commentaires je peux faire un aveu : D. c’est moi !
je suis aussi puck, berenice et Giovanni.
par contre je suis pas Monsieur Chaloux, ni Clopine, ni passou, ni Paul Edel.
ni Monsieur Court, ni Alba, ni Jacky.
par contre je suis aussi bougueureau, Sergio, JC et chantal.
je dois représenté à peu près la moitié des pseudos de ce blog.
je m’y perds mais maintenant cela n’a plus guère d’importance.
adieu.

chantal dit: à

donc si je ne clique sur aucune pub selon tkt cela ne lui rapporte pas un clou ?

à mon avis il gagne plus en faisant des conférences sur ses expériences du net. Et sa réputation de geek du goncourt, c’est un package. Il crée l’appel, après je m’en fout qu’il gagne des sous, ils sont tous occupés à nous vendre des formations du livre subventionnées avec l’argent de la caisse des droits d’auteurs, bref pas le choix, enfin c’est ce qu’on nous serine moi çà me gave tellement, que je préfère faire autre chose que valet.

hamlet dit: à

non la vraie expression c’est : « il ne faut pas prendre les enfants sauvages pour les canards du bon Dieu. »
ça a quand même plus de gueule.

la vie dans les bois dit: à

Ferdinand, j’ai des nouvelles de ta mère. Elle a tonné de la voix comme ton idole le grand Charles
Elle ne comprend pas ce spectateur qui demande du sel au car de gôchisstes parisianistes qui vont venir voir ton spectacle de théâtre russe, tous des possédés, comme dirait Dostoïevski. Donne leur le goût du goulash.
http://www.youtube.com/watch?v=UTiZmxXR_9Y&

Phil dit: à

Dear passou, vu la pièce bhl vor Ort, à Sarajevo. La moitié du public n’a rien compris, l’autre attendait le buffet à loukoums, tres honnete il faut dire. Bhl devrait pas forcer sur les smarties mais il doit tout à la mort de l’archiduc. Attali est jaloux, c’est l’essentiel.
Votre prestigieux blog sans les commentaires ? comme pauledel sans la grappa, la deprimette assurée. Sapré passou, faudra nous offrir une rincee d’huitres au wepler. Bhl en fera une jaunisse et vous serez ranké dans gogol pour l’aeternam.

Géraldine dit: à

le début d’hostilités – 21h39 Chaloux

Passeraient-ils plus souvent que rarement de véritables fauves affamés de pensée fraiche et de prose nouvelle, trop d’animaux faméliques errant mendiant une fausse chaleur quand d’autres consolident un flux comme les chiens marquent un territoire, déposant lettres pour créances.

hamlet dit: à

Jacky, passer des heures à trouver un chat d’écrivain, rédiger ses réponses aux questions des journalistes et le discours du nobel pour s’entendre dire à la fin qu’on a aucun talent pour écrire c’est limite de la cruauté.
c’est votre gros problème : l’absence totale de bienveillance à l’égard de vos semblables.
aussi c’est dit : je quitte définitivement ce blog et je n’y remettrai jamais plus les pieds !!!

la vie dans les bois dit: à

Phil, ça me fait penser à un truc. J’ai du reprendre le train dans des conditions assez difficiles, pas de métro pour récupérer les valises rue de Malte, et dans la cohue le chauffeur de taxi a juste egratigné l’arrière du scooter d’un jeune cadre dynamique hyper ipodé, le tout me laissant 2 minutes pour sauter dans le train, sans billet.
Vous avez vu toutes ces manifestations de jeunes aujourd’hui à Paris ?

hamlet dit: à

c’est comme ce pauvre BHL, cette obsession à vouloir toujours le rabaisser plus bas que terre, vous n’êtes donc capable d’aucune bonté !
je suis désolé mais même si ce type est un crétin il faut quand même aller voir sa pièce, et dire à la sortie : « ouai j’ai passé un super bon moment ».
voilà comment se comportent des êtres véritablement humains, ils je passent pas leur temps à dire à un type que c’est un crétin au simple motif que c’est la vérité !

Géraldine dit: à

Hamlet ne partez pas nous serons bons cons et gentils! cuits aussi

hamlet dit: à

ah chantal, ça fait plaisir un peu de tendresse dans ce monde brutes.
c’est vrai je ne vous ai jamais entendu dire le moindre mal de personne, non ça fait une double négation, je recommence : je ne vous ai jamais entendu dire du mal de personne, de quelqu’un.
croyez-moi c’est le genre de truc qui réchauffe le coeur.
vous connaissez la chanson l’auvergnat de Brassens, et Léon : Y a tout à l´heure quinze ans d´malheur mon vieux Léon, que tu es parti au paradis de l´accordéon…
ça c’était de la chanson, pas comme celle de maintenant : yo moi je tébu tous les keufs de la téci.. touche ma à ma meuf tête de boeuf…

chantal dit: à

bon hamlet chacun ses marottes, tu vois passou trouver géniale une pièce de bhl ou un poème de tarik ramadan ? faut pas pousser quand même.. ce serait archi suspect, il a ses réflexes de classe comme toute monde.

je dois te laisser même si tu fait six chantal sur la soirée pour te défouler, je fais des expériences bizarres dans ma cuisine, bloup, bloup.

la vie dans les bois dit: à

« Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline. »
Pas du tout; passe-moi la moutarde.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…Géraldine,…s’il me restait un peu de capital-amour,!…
…il m’en reste juste pour moi-même,!…du capital-amour,!…Ah,!Ah,!…surtout sans châteaux et principautés,!…ou autres domaines à festoyez l’amour de la vraie vie,!…du matin au soir,!…
…trop de gens, qui vivent  » étriqués « , pour vivre dans la sérénité du bonheur en partage,!…
…chacun à sa place,…toute généalogie confondue,!…Ah,!Ah,!…etc,!…

Géraldine dit: à

Ce n’est pas grave Giovanni on fera comme c’est écrit, pourvu que nos choix littéraires nous éloignent de l’établi pour rompre avec la monotonie du semblable trop ressemblant.

chantal dit: à

bisous hamlet, moi je n’ai pas de chat, j’avais un copain qui en avait un et ce chat faisait un bruit de crécelle la nuit en faisant son affreux jaloux, du coup je lui ai demandé de choisir entre son chat et moi. Une autre fois à la campagne mon fils qui me réclamait un chat avec des yeux de cocker malade, a piqué une crise après deux jours, le chat du voisin le suivait partout. A bout de nerf il l’a lancé sur le pauvre petit âne qui lui réclamait une carotte. J’ai bien un panier en osier tressé acheté sur une brocante, il me servira à autre chose ..

hamlet dit: à

chantal, je ne parle pas de passou, il est du milieu,, mais nous, nous sommes encore des coeurs purs, innocents, pourquoi s’acharner sur le premier imbécile venu.
d’autant que BHL est le seul à avoir rendu hommage dans un de ses livres à un de mes philosophes préférés : Botul, et pas qu’un petit hommage, un éloge admirable, rien que pour ça ce type je l’estime.
il faudrait que d’autres rendent aussi hommage à JB Botul, qui est un des plus grands philosophes français ! sinon le plus grand.
il a écrit un ouvrage remarquable sur la vie sexuelle de Kant, et un autre sur la vie sexuelle de Nietzsche, je vous donne un scoop : il va bientôt en sortir un sur la vie sexuelle d’Onfray, mais ça vous le gardez pour vous, c’est hyper confidentiel, je veux dire n’allez pas le clamer sur tous les toits.

hamlet dit: à

chantal, un chat avec des yeux de cocker malade ? c’est une belle histoire, très émouvant.

renato dit: à

Quoi, hamlet, Botul c’est vous?

A propos, saviez-vous que la rougeole touche les dauphins aussi?

Hors série dit: à

C’est quand même la mort d’un mystérieux scandale.

chantal dit: à

c’est vrai qu’on perdrait une solide occasion de rire si bhl disparaissait, un vide effrayant ..

je risque très peu de le croiser, bon ces confitures écorce de mandarine gingembre et potiron sentent rudement bon, tout ces gens qui abandonnent leur potiron d’haloween, c’est effrayant .. je ne sait qu’en faire je vais ouvrir une spa de potirons.

Sergio dit: à

chantal dit: 13 novembre 2014 à 17 h 05 min
j’opte pour une moto

Bon mais les cônes, hein ! Et béquiller ! Une dame peut béquiller une six cents une fois j’y ai expliqué à une elle a réussi…

chantal dit: à

c’est quoi béquiller ? une six cent faut pas pousser sergio, c’est archi lourd ! J’ai mis dix ans à lire le mode d’emploi de ma voiture, et pour randonner en covoiturage j’ai acheté un gis qui est resté calé avec la voix de bart simpson. On me dit je je pourrais changer, ces dames préfèreraient cloney, si au moins il y avait fernandel ce serait plus convivial !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…mince alors,!…Géraldine collectionne les timbrés comme moi,!…çà doit-être la couleur,le cachet, ou le papier, j’ai du filigrane,!…

…de main en main timbré ou monnaie pourvu que ma préciosité m’évite les endroits mouillés,!…encore que même vernis et enroulé je ne sert de joint,!…à consommé à sec,!…

…avec, tout çà,!…qu’elle banque privée,!…pour les revenue de nos dirigeants,!…Oui,!…mon compte est ouvert,!…mais aussi vide,!…après Dieu,!…
…etc,!…

la vie dans les bois dit: à

Phil que vous alliez voir une exhibition de l’exégète de Botul, en VO stokavien, c’est rudement fort, mais faire une roulade au sol à 64 ans, j’aimerais bien vous y voir.

la vie dans les bois dit: à

« on en ressort heureux et provisoirement réconcilié avec ses contemporains »
ça a pas l’air.

chantal dit: à

dites giovanni sans indiscrétion c’est quoi votre artisanat haute préciosité, collage timbre et vernis ? la cyanolite vous connaissez pour coller avec précision ? j’utilise çà pour mes petits strass, j’ai des couleurs naturelles en poudre dans des petites boites, je mélange avec de la cire, pour polychromer mes statues en terre cuite.

c'est évident dit: à

ça a pas l’air

pas le même que le tien qu’on dirait…

la vie dans les bois dit: à

Enfin il y a ceux qui auront vu le diable Caubère.
Et les autres un peu nazes, comme ce no-life de 23h30.

la vie dans les bois dit: à

Sinon, à quelques uns, les marseillais qui seraient de passage à Paris, courez-y vite à l’Athénée.

la vie dans les bois dit: à

Abdel, as You know L’Estaque, there’s another place to be in Paris. Le musée du Louvre. A great exhibition sur les Almoravides.

c'est évident dit: à

vous faites plus esclave que maître chère vie

la vie dans les bois dit: à

Il y avait un jeune homme qui filmait l’expo « before landing » pour l’INA, j’ai oublié de vous le dire.

rosé, rosé, rozam dit: à

la pelure d’oignon, c’est pour les tristes

la vie dans les bois dit: à

je ne m’adresse pas à vous, c’est évident.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…chantal,…à 23 h 21 mn,!…votre artisanat haute préciosité,!…à la cyanolite

…c’est en réponse à notre chère Géraldine à 21 h 54 mn,…type Suez communication,…
…à l’imagination à recharger les piles,!…au saint des seins,!…
…comme vous diriez le fil, à ne pas se laisser rebobiner ailleurs,!…
…etc,!…repos & au lit,!…Ah,!Ah,!…Go,!…

Sergio dit: à

chantal dit: 13 novembre 2014 à 23 h 02 min
si au moins il y avait fernandel ce serait plus convivial !

C’est grandement vrai ; mais il y en a d’autres pour provoquer la fascination comme dirait Quignard, Chaliapine, Ivan Rebroff, Pavarotti…

Bloom dit: à

Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline.

Sapré Louis-Ferdinand Bardamu, le plus juif de tous les auteurs français, comme dirait le noble Nobel.

on dit ça, on dit tout dit: à

mais cela reste assez catégorique tout de même

Fons dit: à

Mon cher Playmobil Man,

qu’est-ce qui se passe? On ne sonne pas les cloches? Vous laissez dormir la rdl un peu plus longtemps aujourd’hui? C’est bien, c’est bien! La nuit a quand même été très calme, comme je viens de constater. Aucun hurlement et aboiement n’a dérangé se sommeil des justes rdliens. Et le cher Herr Wieder, dites moi, il est parti en prévacance ou quoi? Pour vous même, j’espère que vous n’avez pas attrapé un microbe of the Z caterogy, à ce qu’il paraît il se reproduit assez rapridement pour ces temps ci. Car je vous ai trouvé un peu trop calme hier, juste quelques petits « Wau, wau » en toute franchise et puis plus rien. J’espère que vous ne faisez pas de la température, parce que vos Freunde de l’autre côté ne vous ont pas reconnu.

Donc pas trop de nouvelles, vous dites, et le « Royaume » ça vous dit ou non? Si non je peux vous proposer quelques lignes pour votre pote Klein Bijou, à ce qu’il paraît il me cherche un peu dans le temps perdu:

QUOTE

« Meursault, contre-enquête » Par Kamel Daoud page 73:

Aujourd’hui, comme c’était déjà le cas il y a quelques années, lorsque je fais mes compte et trace mes colonnes, je reste un peu surpris. D’abord la plage n’existe pas réellement, ensuite la prétendue soeur de Moussa est une allégorie ou simplement une excuse minable de dernière minute, et enfin les témoins: un à un, ils révéleront des PSEUDONYMES, de faux voisins, des souvenirs ou des gens qui ont fui après le crime. Dans la liste il ne reste que deux couples et u orphelin. Ton Meursault et sa mère d’une part; M’ma et Moussa de l’autre et au beau milieu , ne sachant être le fils d’aucun des deux, moi, assis dans ce bar à essayer de retenir ton attention.

END QUOTE

aber Playmobil, auch wenn die harten Kerle Sie nicht mögen, Sie sollen trotzdem nicht verstossen sein, und ich lasse Ihnen auch einige Zeile von Daoud um Sie etwas wach zu rütteln,

car même si ça doit faire mal aux Türvorsteher que le chef de la république leur a dit hier après-midi qu’ils gardent un lieu de commentaires pas trop importants, il ne faut quand même pas s’endormir tout à fait, ne sait on jamais qu’un Étranger ne cherche à trouver un passage:

QUOTE

page 63 du même Daoud

Ensuite, personne ne s’inquiète de l’Arabe, de sa famille, de son peuple. À sa sortie de prison, l’assassin écrit un livre qui devient célèbre, où il raconte comment il a tenu tête à son Dieu, à un prêtre et à l’absurde. Tu peux retourner cette histoire dans tous les sens, elle ne tient pas la route. C’est l’histoire d’un crime, mais l’Arabe n’y est même pas tué-enfin, il l’est à peine, il l’est du bout des doigts. C’est lui le deuxième personnage le plus important, mais il n’a ni nom, ni visage, ni paroles. Tu y comprends quelque chose, toi, l’universitaire? Cette histoire est absurde! C’est un mensonge cousu de fil blanc. PRENDS UN AUTRE VERRE, JE TE L’OFFRE. Ce n’est pas un monde , mais la fin du monde que ton Meursault raconte dans ce livre. La propriété y est unitule, le mariage si peu nécessaire, la noce tiède, le goût fade et les gens sont comme déjà assis sur des valises, vides, sans consistance, cramponnés à des chiens malades et putrides, icapables de formuler plus de DEUX PHRASES ET DE PRONONCER PLUS DE QUATRE MOTS À LA FOIS. DES AUTOMATES!

END QUOTE

Bonne journée de Playmobil, cher captaine et bon rétablissement, vous me manquez déjà un peu. Ooooops, je vois que j’ai oublié un peu to release the shi(f)t button, sorry for that, but no time to correct, as I have to run for the train to report about some art auction, who knows, maybe I will meet your friend TKT.

Ah ah ah dit: à

Michel Alba, vous et Clopine vous en avez fait une jaunisse de ne pas toucher des droits d’auteur-de-commentaires pour Brèves-de-Blog.
……………………………….

Surtout que les nombreuses citations de la dame lui donnaient (en principe) une visibilité pour d’éventuels éditeurs.

Oignez vilain, il vous poindra.

(Un qui avait bien renaudé de ne pas avoir été cité, c’était Barozzi. Ah ah ah)

Jacques Barozzi dit: à

Et si vous nous disiez ce que vous avez pensé du spectacle de Caubère, la Vie ? Comment avez-vous trouvé le théâtre de l’Athénée- Louis Jouvet ?

Géraldine dit: à

Fons je vous lis remonté comme un coucou suisse (la montre n’est pas encore parvenue sur le seuil de votre débat à la découverte ultrafine, silencieuse, aussi légère qu’une feuille à bracelet…) êtes vous allé faire un tour du côté de cette merveilleuse Clara Haskil proposée hier à ceux qui n’auraient pas eu cette chance de l’entendre, si non pensez-y à moins que vous soyez sourd, ça vaut bien Daoud, elle était juive et uniquement pianiste.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…nous revoilà,!…donc, sur l’échiquier,!…

…qu’est ce encore,!…c’est simple,!…

…dans la mesure ou les discutions de hier-soir doivent indéniablement tourner autour du  » profit « , quel qu’il soit,!…l’ensemble des discutions vont par graduations dans une case réductrice sur l’échiquier des ouvertures d’esprits,!…

…par contre, avec des pensées sincères,.. sans rouages de connivences pour doubler les interlocuteurs,…( pour racler des informations en toute morale, comme les Luxlead’s du droit-fiscal en accords secret-multinational )
…donc, pour avec des pensées sincères,…il ne faut pas avoir des préoccupations environnementales d’argent,!…

…autrement, le doute s’installe sur le véritable progrès qui ne véhiculerait que des artifices en diversions, pour assurer le bide-abrutis des commentaires, pour perdre son temps, à tout les niveaux pour les autres sans respects d’authenticité,!…

…conclusion, faire écrire sur le net,… le venin de serpent des commentateurs, pour l’édulcorer en contre-vérités du pouvoir en place,!…donc,!…faire  » jaser  » les chaumières,!…comme ramasser en analogie des statistiques,!… » sans frais « ,!…

…conclusions donc, marché de dupes,!…dans le transfert des informations, et l’effort qui n’est pas rémunérer, pour s’informer ensemble,!…çà se tient,!…

…un payement, pour journalisme  » libre  » rémunérer par l’état, pour les interventions conviviales exposés,!…
…un chèque mensuel,!…sans être classé comme revenu imposable,!…qui va refusé,!…
…dans de telles conditions,!…etc,!…
…Ah,!Ah,!…Croix-Rouge,…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…
…combien sans tableaux à vendre,!…un rictus,!…

J.-C. Azerty dit: à

Sapré Louis-Ferdinand Bardamu, le plus juif de tous les auteurs français (Bloom)

Si ce n’est pas simplement une joyeuse boutade, voilà une affirmation qui mériterait un brin d’explication, à l’intention du lecteur interloqué. Mais Céline vu comme « le plus juif des auteurs français », avouons que c’est sûrement plus excitant que le définir comme « le plus aryen des auteurs français ». Moi je le verrais plutôt Chinois mâtiné de Bellevillois.

la vie dans les bois dit: à

Barozzi, le théâtre Athénée est dans une impasse, en travaux. Comme j’ai pris le métro, il faisait nuit, et que la station la plus proche du théâtre était fermée, je n’ai pas eu le temps de regarder les animations dans la vitrine du magasin  » le printemps », vous pouvez me dire ce que j’ai raté ?

Jacques Barozzi dit: à

On dirait que vous n’avez pas partagé l’enthousiasme de Passsou pour le one man show cabotin de Caubere ?

la vie dans les bois dit: à

Barozzi, plus bouché à l’emeri que vous, je pense que c’est assez rare.
Si vous pouviez reprendre tous les messages que j’ai laissé sur ce fil à propos de cet extrordinaire moment de Théâtre, j’ai envie de vous dire comme Ferdinand à sa mère:  » Merde »
D’ailleurs je viens de lire que le Diable part en tournée après ses soirées parisiennes. Et c’est ce qu’il pouvait lui arriver de mieux.

renato dit: à

« Michel Alba, vous et Clopine vous en avez fait une jaunisse de ne pas toucher des droits d’auteur-de-commentaires… »

Bof, ces deux là font une jaunisse pour tout et n’importe quoi. C’est le général des éléphants qui m’étonne, plutôt…

Candide dit: à

YouScribe et Chapitre.com, l’union fait la force

Inspirés par l’essor sur la Toile des services de musique et de vidéo illimités sur abonnement, deux spécialistes du livre viennent de faire cause commune. YouScribe, site de streaming, et Chapitre.com, une librairie en ligne, ont lancé la semaine dernière leur librairie numérique, accessible pour moins de 10 euros par mois. Une association guère surprenante, dans la mesure où Juan Pirlot de Corbion, fondateur de Chapitre.com, est aussi à l’origine de YouScribe, créé en 2011. Le principe de cette nouvelle offre fonctionne comme une bibliothèque : tant que le lecteur internaute règle son abonnement mensuel, il a accès a l’intégralité du catalogue numérique sur tous les écrans (tablette, smartphone, ordinateur…). Ce type d’abonnement novateur avait été lancé à l’origine par YouScribe en mai, avec un catalogue riche de 450 000 livres numériques. Désormais, ce partenariat est accessible à tous les libraires qui voudraient lancer un service en ligne par le biais de Chapitre.com. Outre le catalogue de YouScribe, ils auront accès à celui de Chapitre, qui référence 180 000 e-books et, surtout, renferme des exclusivités littéraires. Car, c’est le point faible de YouScribe, malgré sa richesse thématique (romans, BD, santé, vie pratique…), son catalogue contient peu de nouveautés. Le concurrent Amazon propose déjà ce genre d’abonnement, qui a présenté cet été une offre de lecture en illimité sur ses liseuses Kindle. Mais le géant du commerce en ligne est confronté au même problème avec son catalogue : parmi ses 600 000 livres numériques, peu sont de véritables nouveautés, faute d’accord trouvé avec les éditeurs. De fait, les cinq maisons les plus importantes n’ont pas souhaité rejoindre le service d’Amazon.

Géraldine dit: à

Jacques Barozzi j’avais revu Philipe Caubère longtemps après la première fois et je ne sais ce que les circonstances ont pu modifier de sa présence sur les planches alors ou de la mienne à la sienne mais je n’ai pu retrouver cet enthousiasme et l’intérêt, du premier temps. Au théâtre, comme pour le concert chaque soir est unique, se joue quelque chose de différent. Le comédien seul comme un funambule cherche le fil d’accord avec son public, c’est un travail risqué.

Phil dit: à

Céline est le plus juif des auteurs français comme Stroheim fut le plus antisémite des réalisateurs hollywoodiens.
Bloom carbure à la mangue saint-émilion, ça pose son homme.

La Reine des chats dit: à

Phil, deux fs que vs piquez ma curiosité, Bloom carbure à la « mangue saint-émilion »? Private joke?Sans vouloir faire une phrase de chansonnière, saint-émilion j’en connais un rayon, mais que vient faire la mangue là-dedans? Ou bien vs ns avez caché votre véritable identité,Phil = Philippe Etchebest, venu en douce chez PA, ne pouvant pas se retenir d’évoquer son rosebud près de la muraille?

Jacques Barozzi dit: à

J’ai beau chercher, la Vie, je ne vois pas où vous avez parlé du spectacle de Caubère ?

Bloom dit: à

Sapré Louis-Ferdinand Bardamu, le plus juif de tous les auteurs français (…)
voilà une affirmation qui mériterait un brin d’explication

Allez donc voir du côté de ce qu’en dit Raphaël Schlemilovitch, dans le fracassant premier chapitre de La Place de l’étoile, de notre bon Patrick Modiano.
« Le docteur Bardamu consacre une bonne partie de son oeuvre à la question juive. Rien d’étonnant à cela. Le docteur Bardamu est l’un des nôtres. C’est le plus grand écrivain juif de tous les temps. Voilà pourquoi il parle de ses frères de race avec passion (…) »

La Reine des chats dit: à

Longtemps que je n’ai pas vu Caubère sur scène. D’après ce qu’en dit Charlotte sur le fil théâtre, j’irai peut-être le voir avant l’homme à la chemise déboutonnée l’hiver, veste de smocking blanc porté à cru l’été (ceci dénote pourtant un certain courage, de la fraîcheur, ou une invraisemblable inconscience)

Clopine dit: à

Renato, je fais peut-être une jaunisse pour n’importe quoi, mais j’ai toujours fait partie des commentateurs qui n’en ont rien eu à battre des droits d’auteurs du bouquin d’Assouline. Et j’étais la seule, à l’époque, à être emplie de méfiance et de septicisme sur la sortie du livre, à craindre « les effets secondaires ». Et j’avais raison !!!

(ras le bol de tout le temps devoir rétablir la vérité ! C’est dingue, ça, à la fin !)

Jacques Barozzi dit: à

A part çà :

« la vie dans les bois dit: 13 novembre 2014 à 22 h 26 min
« Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline. »
Pas du tout; passe-moi la moutarde. »

ou çà :

« la vie dans les bois dit: 13 novembre 2014 à 23 h 15 min
« on en ressort heureux et provisoirement réconcilié avec ses contemporains »
ça a pas l’air. »

??????

Bloom dit: à

Phil, saison oblige j’ai remplacé la mangue par la papaye. Quand cette dernière est choisie avec soin, l’effet est assez bluffant.

Clopine dit: à

Bon, ce n’est pas renato mais TKT qui a déclaré, à tort, que j’avais « fait une jaunisse » à propos de BDb. Alors que c’est tout l’inverse !!! ah là là ! La seule chose, à l’époque, qui m’avait un peu peinée, était que j’avais dû aller l’acheter, ce maudit bouquin. J’avais espéré que notre hôte l’offrît à ceux qu’il avait cités… (tiens, un subjonctif ! Bon signe astral pour ma journée !!)

Jacques Barozzi dit: à

Reste plus qu’à remplacer le saint-émilion par du coca, Bloom !

la vie dans les bois dit: à

Barozzi, s’il s’agissait d’aller voir Mister Caubère pour dire que c’est proustien, vous pensez bien que je n’aurai pas fait le déplacement. Comme je ne supporte pas les sartriens, ce fut un vrai bonheur de voir leur idole rhabillée par Caubère, comme momone, d’ailleurs.

bérénice dit: à

Un soda/jour et vous hâterez votre fin! Alors qu’un peu de tanin des vins de Bordeaux prolongeront votre cœur si vous réchappez à l’inquiétante statistique qui encercle les maladies et accidents mortels.

robert dit: à

« personne ne s’inquiète de l’Arabe, de sa famille, de son peuple.  »

En effet
Il a tout compris ! !
Ne pas oublier qu’en plus, à l’époque donc, aucun Européen n’aurait été emprisonné et condamné pour le meurtre d’un « Arabe »( « Arabe(s) » mot equi désignait aussi [le(s)] Kabyle(s)

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…le bouchon,!…ou un bon noeud,!…avant de lâcher le ballon à l’hélium,!…
…vous faite contre-poids,!…et balance,!…
…etc,!…

bérénice dit: à

Comme je ne supporte pas les sartriens

je n’en connais aucun pas même le chef de la secte, j’ai honte.

Jacques Barozzi dit: à

« Comme je ne supporte pas les sartriens, ce fut un vrai bonheur de voir leur idole rhabillée par Caubère, comme momone, d’ailleurs. »

Et vous trouvez que ça vaut le déplacement, çà, la Vie ?

guillaume dit: à

Fons ‘Aucun hurlement et aboiement n’a dérangé se sommeil des justes rdliens’

C’est très inquiétant

Phil dit: à

dear Bloom, la papaye délicate comme une native, épépinée au saint émilion, c’est de la dentelle des flandres.
Reinedeschats, Bloom veut pas froisser les ligues anorexiques mais il accommode ainsi son foie gras. A l’époque de Morand les indigènes éventaient le touriste du Raffles.

bérénice dit: à

GSA avez-vous vu tous ces scientifiques armés de leur puissants calculs et de cette joie pour l’aboutissement à ces longs travaux, 20 ans pour des poussières, on les comprend pourtant, encore plus perdue dans l’infinité.

closer dit: à

Fons, t’as bien fait de mettre des extraits du bouquin de Daoud, ça nous évitera de l’acheter…style inexistant, avec des majuscules au cas où on aurait pas compris.

N’y-a-t-il plus un seul écrivain qui ait une écriture qui dépasse la platitude de celle d’un journaliste moyen?

la vie dans les bois dit: à

Barozzi, inutile de me tenir la jambe. Le spectacle de ce diable d’homme dure 3 heures, entr’acte compris.
Autrement dit: pas résumable à la manière de vos ready-made « littéraires ».

la vie dans les bois dit: à

Mais pour le théâtre russe de Ferdinand Faure, c’est beaucoup plus long. Comptez bien toute la nuit.

Jacques Barozzi dit: à

On ne peut pas dire que vous ayez le sens de la communication, la Vie, ni beaucoup de générosité en partage. Vous êtes la seule, apparemment, à avoir vu le spectacle chroniqué ici par Passou, et vous êtes incapable de nous dire en trois phrases si vous êtes d’accord avec lui ou si vous avez aimé ou pas !
Vous êtes juste là pour remuer l’air ?

Jacques Barozzi dit: à

Ou pour faire du gringue à Abdel et Fons, la Vie ?

la vie dans les bois dit: à

Barozzi, telle une vieille comtesse, voudrait être servie sur un plateau ?
Mais le plateau était nu, ça commence comme ça.

Sani-broyeur dit: à

Après ces extraits du Meursault de Daoud, on pourrait tirer la chasse, svp !

la vie dans les bois dit: à

l’album de la comtesse barozzi, qui voulait tout savoir et rien payer.
Eh bien, non. Qu’elle prenne ses cliques et sa claque et fasse le déplacement jusqu’au théâtre.

Jacques Barozzi dit: à

Quand on n’a pas d’arguments on insulte ou on insinue, la Vie, c’est pas joli, joli…

la vie dans les bois dit: à

Barozzi, vous conseiller d’aller au théâtre et de payer votre place ( pour ceux qui ont vu la pièce, c’est évidemment un clin d’oeil outrancier à l’artiste) c’est vous insulter ?

Urbain dit: à

La vie dans les bois est sinistre ! Trop de journées dans les arbres

Jacques Barozzi dit: à

Ta gueule, connasse !

la vie dans les bois dit: à

Apparemment, ça fait mouche.
( on est au moins deux à rire, c’est déjà beaucoup)

bouguereau dit: à

Autrement dit: pas résumable

les critiques doivent faire des résumés maintenant..chiennerie de métier

Fons dit: à

Comme vous dites vrai, Guillaume 10:05.

Tellement calme que je me sens un peu tout perdu et avec les portes rdliennes si largement ouvertes et elles me font presque peur. Espérons que la radio de service ne va pas rapporter trop de gardiens empoisonés et leurs chiens de garde ayant mordu leurs queues à eux. Si seulement je ne savais par la parabole de Kafka, dès que la porte est restée ouverte, c’était trop tard pour le petit paysan.

Bien que j’entends un petit remue ménage de réveil, le HAUPTTÜRVORSTEHER semble toujours bien endormi, allez j’essaye de monter un peu le volume du réveil Palymobil:

QUOTE

Daoud page 41:

Moi j’ai cherché cette tombe, et je ne l’ai jamais trouvée. Il y en avait des tas, dans ce village, qui portaient des noms similaires, mais celle de la mère de l’assassin est restée introuvable. Oui, bien sûr, il y a une explication possible, la décolonisation chez nous s’en est même pris aux cimetières des colons et on a souvent vu nos gamins JOUER AU BALLON AVEC DES CRÂNES DÉTERRÉS, je sais. C’est presque devenu une tradition ici, quand les colons s’enfuient, ils nous laissent souvent trois choses: DES OS, DES ROUTES ET DES MORTS – ou DES MORTS… Sauf que je n’ai jamais retrouvé la tombe de sa mère à lui.

END QUOTE

bouguereau dit: à

Le docteur Bardamu est l’un des nôtres. C’est le plus grand écrivain juif de tous les temps. Voilà pourquoi il parle de ses frères de race avec passion

imaginer le gout du fruit de la passion quand on a tuté de la nouille à la lessiveuse prouverait que l’imagination a des pouvoirs..c’est un fruit formidable..pas facile a trouver ici

la vie dans les bois dit: à

oups, j’ai oublié le car des paumés de la toundra, qui arrivent pour le spectacle.
Bonne journée !

« Combien sont-ils ? Où les chasse-t- on ?
Pourquoi chantent-ils si lugubrement ?
Enterrent-ils un farfadet,
Ou marient-ils une sorcière ? »
A. Pouchkine

renato dit: à

Ici, quand ce n’est pas « L’invention de Morel », c’est le paon et le dindon de Konrad Lorenz.

Alain Gerbier dit: à

Pas étonnant qu’il n’ait pas obtenu le Goncourt, Daoud, sa prose est pauvre !

Jacques Barozzi dit: à

« quand les colons s’enfuient, ils nous laissent souvent trois choses: DES OS, DES ROUTES ET DES MORTS »

Je n’en compte que deux ?

bouguereau dit: à

t’as raisons baroz faut slaisser impressionner par les big letters..dans tous les cas faut raser à l’os

Fons dit: à

Barozzi, qu’st-ce qui se passe? ne me dites quand même pas que vous ne trouvez pas le chemin du théâtre. Alors là! Après toute la pub d’hier, je ne sais plus trop si votre guide vaut d’être mis sur la liste pour la cheffe. Dites moi au moins si le George Sand vaut qch. Ou vous ne faites pas trop dans les guides d’hôtel? Les cimetières je suis d’accord c’est bien pour une promenade entre amis, mais pour dormir tard après le spectacle, je ne sais pas trop si la cheffe va être d’accord.

traçabilité dit: à

vous avez donc lu Daoud, JC ? pour un type qui ne lit c’est courageux

bouguereau dit: à

la cours de récré de mon patelin avait été réaménagé sur le cimetière d’avant 14..enfin ce qu’il en était resté..un jour une pelleteuse est venue..en ce temps là il se faisait pas chier avec les consignes de sécurité..a tour de role on allait sur les genoux du grutier..enfant de putain les cranes dévalait tel des culs des remblasses..on tapait dedans..c’était trop tentant

Anonyme dit: à

J’ai eu en son temps quelques échanges épistolaires avec Laurence de Sainte-Lumière à partir de son blog.

Personne (homme ou femme, osef) courtoise, accessible à la critique.

Un genre bien rare ici.

Fons dit: à

Gerbier 10:42, ne me dites quand même pas que vous découvrez seulement maintenant L’enquête par Daoud! Moi je croyais que c’était lecture imposée à la rdl. Ne me dites pas, que vous êtes aussi radin que Herr Playmobil qui semble se trouver toujours au bois dormant de la belle Dornröschen.

Jacques Barozzi dit: à

Le théâtre de Caubère, le Goncourt à Daoud, j’ai l’impression, le boug, que Passou a perdu toute mesure critique ? Faudrait pas que ça le conduise au suicide !

guillaume dit: à

‘quand les colons s’enfuient, ils nous laissent souvent trois choses’ (Fons 10h37)
les mecs du Parti, de l’armée et de la police n’ont quand même pas accaparé toutes les maisons et appartes,tous les rouages du pouvoir laissés vides, si ?

sherlok dit: à

je n’ai jamais retrouvé la tombe de sa mère à lui

elle est peut-être pas morte pardi

renato dit: à

« … lecture imposée »?! c’est quoi ça? Plutôt, avez-vous lu « Josef » de Marie-Hélène Lafon? C’est le seul livre français que j’ai acheté cette année: une oasis dans le désert.

bouguereau dit: à

Faudrait pas que ça le conduise au suicide !

quil trouve que tu aies plus de raison que lui à le commettre suffit a sa survie..à son bonheur?..ne pas montrer sa reconnaissance fait aristocratique baroz..tu paies pour son look

Serviteur dit: à

« J’avais espéré que notre hôte l’offrît à ceux qu’il avait cités… »

Il l’a fait pour votre serviteur.

Fons dit: à

Traçabilité 10:42

Je me demandais aussi s’il avait lu au moins l’édition Playmobil agrégée, mais c’est même marqué dans la Contre-Enquête, qu’il s’est mis à la lecture

QUOTE

page 74

Tiens, le fantôme est encore absent ce soir. Deux nuits de suite. Il doit être en train de guider les morts ou de lire des LIVRES QUE PERSONNE NE COMPREND.

END QUOTE

si jamais il se réveille envoyez moi un sms, si ça ne vous dérange pas trop, car je dois courir maintenant autrement TKT va encore acquérir les plus belles pièces avant que je n’arrive pour faire le rapport.

page

bouguereau dit: à

Il l’a fait pour votre serviteur

on est pus servit..allez

Fons dit: à

abrégée,

mille de mille,….

je ne devrais pas commenter quand je suis trop pressé

bouguereau dit: à

je ne devrais pas commenter quand je suis trop pressé

tu baisses culotte aux chiottes au moins défonse?

Fons dit: à

Sherlock 11:01, vous allez me faire rater le train,

BUT,

NO SPOILER please! Ne rapportez pas à Abdel svp., mais je n’ai pas encore fini Daoud.

Bernadette dit: à

11 h 09 : saluons la délicatesse de Monsieur Bouguereau en progrès constants

albert C dit: à

« Cette histoire est absurde!  »

Sans blague!

Jacques Barozzi dit: à

« Serviteur dit: 14 novembre 2014 à 11 h 05 min
« J’avais espéré que notre hôte l’offrît à ceux qu’il avait cités… »

Il l’a fait pour votre serviteur. »

Seriez-vous par hasard un professionnel de la profession, Serviteur ?

Albert C dit: à

« il suffisait de faire quelques mètres dans la ville des Français, il suffisait du seul regard de l’un d’entre eux pour tout perdre, à commencer par son prénom, flottant dans l’angle mort du paysage »

eh oui

renato dit: à

« Il l’a fait pour votre serviteur. »

Assez pour déclencher quelque crises de foie.

commentaire restreint dit: à

La vie manie la trique à l’ eau de vit, Jacques laissez tomber, ça poisse.;)

bouguereau dit: à

11 h 09 : saluons la délicatesse de Monsieur Bouguereau

..si si on est servi baroz..mon larbin

Albert C dit: à

« vivre dans un pays où le marbre des sépultures est volé chaque nuit, où tout est devenu sale, où l’on repeint sans cesse des immeubles sales insalubres »

guillaume dit: à

« Elle appartient à un genre de femmes qui, aujourd’hui , a disparu dans ce pays: libre, conquérante, insoumise et vivant son corps comme un don, non comme un péché ou une honte. »

ça craint

bouguereau dit: à

ce qui me plait beaucoup baroz..c’est les « jacques » les « jacques barozzi » les baroze (avec un e) -selon-..il témoigne d’une certaine température..d’un certain élan

le keupu de bougue-rototo dit: à

« larbin » expression employée régulièrement par bougue-rototo que se défend de radoter ! il y a d’autres mots, dugland

brigitte dit: à

« Wiedergänger, ce sera du nanan ! »

C’est quoi nanan?

lecteur outré dit: à

la fantôme de Pork And Roll : JC c’est caca boudin, gros

bouguereau dit: à

il y a d’autres mots, dugland

comme les esquimaux pour la couleur de la neige..les larbins..trés fleurit sur la larbinerie..c’est certain

Serviteur dit: à

Jacques Barozzi dit: 14 novembre 2014 à 11 h 24 min

« Seriez-vous par hasard un professionnel de la profession, Serviteur ? »

Aucunement, juste un lecteur parmi d’autres qui met la courtoisie en haut de l’étagère.

Et dont aucun message n’a paru dans ce livre, s’il se souvient bien. Ce qui était aussi votre cas, et vous en fûtes fort marri.

Allez, faites-nous un démenti à la Clopine !

Jacques Barozzi dit: à

« Aucunement, juste un lecteur parmi d’autres qui met la courtoisie en haut de l’étagère. »

Elle a dû prendre la poussière depuis, Serviteur ; je ne déments pas les basses rumeurs !

Victoire vecteur dit: à

bravo, Barozzi, vous avez compris que JC est complètement taré

Victor Lecteur dit: à

Victoire ?

J.-C. Azerty dit: à

Allez donc voir du côté de ce qu’en dit Raphaël Schlemilovitch, dans le fracassant premier chapitre de La Place de l’étoile, de notre bon Patrick Modiano.
« Le docteur Bardamu consacre une bonne partie de son oeuvre à la question juive. Rien d’étonnant à cela. Le docteur Bardamu est l’un des nôtres. C’est le plus grand écrivain juif de tous les temps. Voilà pourquoi il parle de ses frères de race avec passion (…) » (Bloom)

Il y a si longtemps que j’ai lu (ou plutôt essayé de lire) « la Place de l’étoile » que j’avais complètement oublié ce passage. Fracassant, c’est le mot, et c’est d’ailleurs ce côté « fracassant » qui m’avait détourné de ce premier livre, si peu modianesque. L’envoûtement Modiano, il est venu après. C’est même assez étonnant qu’un écrivain donne un premier livre aussi éloigné de sa vraie nature, de sa vraie vocation. Peut-être une façon de conjurer définitivement la tentation de devenir l’écrivain qu’il n’était pas question qu’il fût.

guillaume dit: à

« (…) Un jour, on l’espère, Camus nous reviendra. Et Saint-Augustin, et les autres, tous les autres, toutes nos histoires, nos pierres, architectures, mausolées et croyances, vignes et palmiers, oliviers surtout. Et nous sortirons tellement vivants d’accepter nos morts et notre terre nous sera réconciliée et nous vivrons plus longtemps que le FLN et la France et la guerre et les histoires des couples. C’est une question essentielle : celui qui accepte son passé est maître de son avenir. Les cendres de Camus nous sont essentielles malgré ce que l’on dit. Il est le lieu de la guérison car le lieu du malaise, lui comme ce pan de l’histoire qui est nous, malgré nous. Ses cendres sont notre feu. C’est ici son royaume, malgré son exil. Cet homme obsède si fort et encore que son étrange phrase pour l’étranger vaut pour lui plus que pour son personnage : hier Camus est mort, ou peut-être aujourd’hui. On ne sait plus. On doit pourtant savoir et cesser. »
Kamel Daoud

Albert Kamel, bouddhiste algérois..... dit: à

Daoud, étant la réincarnation d’Hessel … on est prié de ne pas rêver !

Clopine dit: à

Ca aussi, ça me déplait : cette incapacité à reconnaître la moindre erreur. TKT a commis une erreur, en m’associant du même coup à WGG (°^° !!), bon ce n’est pas très grave en soi mais le moindre serait qu’il le reconnaisse ?

Monsieur Court a lui aussi, dernièrement, lu « tout de travers » et commis une erreur à mon égard. Là encore, rien, oh, je ne demande même pas d’excuses n’est-ce pas, juste qu’on dise « ok, là j’ai eu tort »…

D’autant que perso, quand je suis convaincue d’en avoir commis une, je suis la première à le reconnaître bien volontiers. Ce n’est qu’en corrigeant ses erreurs que l’on progresse, alors, je ne vois VRAIMENT pas pourquoi cela défrise autant les erdéliens, surtout ceux qui passent leur temps à chasser les erreurs des autres (quand ce n’est pas les autres tout court.)

Soupir.

Le chemin est long jusqu’à Tipperary.

Nouille froide..... dit: à

« D’autant que perso, quand je suis convaincue d’en avoir commis une, je suis la première à le reconnaître bien volontiers. »

Ouarff, le mensonge !

TKT dit: à

Clopine, soit vous avez la mémoire sélective, soit vous êtes de mauvaise foi et cela vous rapprocherait de D’JC.
Sauf que chez D. Tetram und co, cela fait partie de la stratégie, le mensonge, les accusations, tout ce que pratiquent les dictatures, SS, Stasi, KGB etc…
J’ai un excellent souvenir de la parution de BdB et de votre réaction, vous étiez outrée de ne pas être payée.
Pour ce qui est du livre, je l’ai reçu en cadeau via la poste, à Singapore.
Vous avez donc changé d’avis entre 2008 et 2014, c’est une question ?
Aujourd’hui vous affirmez le contraire sur votre envie d’être payée.
Pas logique, seuls les gens dépités de ne rien toucher, pouvaient se plaindre. Vous savez bien, Clopine, vous êtes une grande « tricoteuse », une constante révolutionnaire, une femme de gauche des années 1871, une rouge. Avez vous fait carrière dans un syndicat ? Non ?

Je ferais remarquer que sur votre Blog, tout est construit pour faire cliquer sur des liens de publicité.

Quant à Michel Alba, c’est comme JC, un éternel insatisfait.
Il vit dans un appartement, dans un quartier multikulti, il doit rêver de grands appartements près de la mairie du seizième. Ce qui est légitime.
Ce qui l’est moins, c’est d’être jaloux, cela rend encore plus frustré.

Clopine/ TKT..... dit: à

Homer, vieil aède, reviens ! Un combat digne de toi se présente à nos bourses, déliées…

TKT dit: à

Clopine, n’insistez pas, vous auriez aimé être payée.
C’est votre droit.
Avouez que sur ce coup là, aujourd’hui vous trouvez mesquin de réclamer quelque chose.

Jacques Barozzi dit: à

TKT, la moindre des politesses aurait été que Passou envoie un exemplaire de « Brèves de blog » à chacun des commentateurs et chacune des commentatrices sélectionnés dans le livre !
D’autant plus qu’il doit rester pas mal d’invendus ?

TKT dit: à

Clopine, je me suis trompé, sur votre Blog « actuel », il n’y a aucun lien publicitaire. J’ai bien aimé les photographies de votre beau-fils et de sa compagne.

Jacques Barozzi dit: à

Par ailleurs, s’agissant d’un tel livre, la question des droits d’auteur mérite d’être posée, ne serait-ce que du stricte point de vue légal : le propriétaire d’un blog est-il propriétaire des textes déposés volontairement par d’autres chez lui ? Qui est propriétaire des lettres, l’expéditeur ou le destinataire ? Peut-on les publier sans son consentement ?

la vie dans les bois dit: à

La comtesse va faire une manif’ place de la Rep’: des droits d’auteur pour elle.

R. dit: à

Baroz, tu avais déposé le pseudo Annibal à la SACD, la SGDL ou la SACEM ? Non, je suppose, d’autant qu’il était recyclé, alors ton histoire de légalité des droits d’auteur, c’est du pipeau.

B comme BERLIN dit: à

Jacques Barozzi,
vous semblez vous être levé du pied gauche ce matin.

R. dit: à

Et puis, ça me fait rigoler ces mecs qui se plaignent que le blog soit (aussi) une entreprise commerciale. C’est une revue. Une revue a besoin de justifier d’un certain tirage pour attirer les annonceurs. Ici, l’équivalent du tirage, c’est le nombre de clics.
C’est uniquement pour avoir des clics qu’on vous laisse dire toutes vos conneries. Sinon, ça dégagerait. Alors ne vous plaignez pas.

chantal dit: à

Vous n’allez pas recommencer avec cette vieille histoire, moi j’ai réglé çà fissa avec MAC qui hurlait à l’imposture par bonté d’âme je lui ai envoyé les coordonnées d’Alain Berenboom spécialiste pour ce genre de trucs un homme pondéré, il n’en a rien fait .. j’ai acheté le livre par curiosité pas de quoi faire un flan, comme mes pseudo étaient masculins et les citations minuscules je dors super cool, passou ne m’a pas taillé le portrait donc je n’endosse pas les querelles des autres.

TKT dit: à

 » le propriétaire d’un blog est-il propriétaire des textes déposés volontairement par d’autres chez lui ? Qui est propriétaire des lettres, l’expéditeur ou le destinataire ? Peut-on les publier sans son consentement ? »

Jacques, si on se met tout nu dans un endroit public, on ne demande pas aux regardeurs de payer.

Phil dit: à

tkt, exhibitioniss à singapore, ça peut coûter la peau des fesses

Jacques Barozzi dit: à

R., je ne parle pas pour moi, mais de manière générale. Je n’étais pas cité dans le livre et m’en étais très bien porté à l’époque, quoiqu’on en dise…

Jacques Barozzi dit: à

Je ne vois pas bien le rapport, Thierry ? Et le droit à l’image est particulièrement bien (trop) protégé !

Communautarisme..... dit: à

Il y a vraiment des vrais cons ici, et des vraies connes … On se sent comme chez soi ! Sympa !

renato dit: à

Vous faites chier avec vos histoires de sous! vous n’aviez qu’à travailler dans une banque, vous seriez à la retraite maintenant et vous n’emmerderez pas le peuple, c’est-à-dire moi, avec cette histoire de merde: commenter ici? ersonne ne vous le demande ni vous oblige…

bérénice dit: à

Fons

C’était quoi déjà le bouquin de J Ferrari , un livre de plus qu’aucun(e) n’aura lu, ici bataille sans morts ni blessés, pour ne pas tuer le principe de l’échange indispensable, l’essentiel dans la participation , les ennemis dissimulés entre les signes de ponctuation. 1/2 siècle après, Fons puisque vous le lisez où situez vous le motif de ce livre? Ce passé à quoi le présent n’apporte de solutions?

bérénice dit: à

tkt, exhibitioniss à singapore, ça peut coûter la peau des fesses

TKT l’homme qui a vu l’ours ne craint plus rien.

robert dit: à

Daoud, étant la réincarnation d’Hessel …

jc toujours aussi con

René C. dit: à

chantal dit: 14 novembre 2014 à 11 h 47 min – Je vois mal le lien entre Madame Coty et « le bougre ».

Cette femme avait une simplicité dont furent dépourvues quelques-unes de celles qui ont suivi à l’Élysée. Sa mort a suscité une vraie émotion populaire, car elle ressemblait aux femmes ordinaires. Elle n’avait rien d’une intrigante, rien d’une gravure de mode, ce qui lui fut reproché comme on va voir ci-dessous*.

Simple, mais pas simplette. Le Canard Enchaîné, machiste quand il le faut, l’avait surnommée Madame Sans-gaine. Elle avait réparti : sans gaine, peut-être, mais sans scandale !

* Ni non plus d’un bonnet de nuit comme Tante Yvonne.

bouguereau dit: à

tatata baroz lassouline en donnant un peu d’importance a ton robinet a parlotte te sauve du suicide..il agit comme un thérapeute..il se paie sur la bête..t’es qu’un chtuc taillabe ! un numéro bis ! sans lui tirait mourir..

bouguereau dit: à

je lui ai envoyé les coordonnées d’Alain Berenboom spécialiste pour ce genre de trucs un homme pondéré, il n’en a rien fait

ha..t’as son adresse que je lui cyberposte ?

Clopine dit: à

ma mémoire n’est pas sélective, TKT : il faudrait faire des recherches qui m’ennuient d’avance, mais enfin cette revendication à être payée est si loin de moi, et ce de tout temps, que je suis VRAIMENT sûre de moi. Bon, vous vous trompez, ce n’est pas grave, d’autres l’ont fait avant vous (Christiane est ainsi PERSUADEE que j’ai décrit des rapports sexuels avec Clopin, mais elle n’en a jamais fourni la preuve).

Je ne pourrai vous convaincre que preuves à l’appui, évidemment, et je n’ai pas le goût à ça !

Ma seule véritable réaction avait été de redouter cette parution (évidemment, j’étais flattée, aussi, la bonne blague, quand on sait qui je suis, aussi insignifiante veux-je dire) : et j’avais raison, les trolls sont arrivés, alléchés par la bonne odeur…

bouguereau dit: à

chantal dit: 14 novembre 2014 à 11 h 47 min – Je vois mal le lien entre Madame Coty et « le bougre

‘deuil’ en gros et noir..aprés la concessions..les crocs de boucher.. les pendaison..on s’en prend « aux miens »..

TKT dit: à

@ renato dit 14 novembre 2014 à 13 h 00:
Que voulez vous, Renato, les franchouillards et même quelques Français normaux, sont des jaloux.
Les Français détestent les gens qui vivent un peu mieux qu’eux, juste un peu.
La mentalité actuelle est une horreur, vu de Suisse, mais cela serait pareil vu d’ailleurs.
Le plus étonnant, c’est que ces jaloux, ne se posent pas de question sur eux-mêmes.
Alba avec ses 5000 € de salaire mensuel, doit aussi penser que les proviseurs sont surpayés et les profs d’Université, des rapaces.
Avec 5000 €, on n’est ni riche, ni vraiment pauvre, quoique, vu les impôts à payer en France…

Serviteur dit: à

Jacques Barozzi dit: 14 novembre 2014 à 11 h 46 min « je ne déments pas les basses rumeurs ! »

Bien dommage que je ne puisse pas retrouver les commentaires où vous étaliez vos aigreurs alors…

Bof, passons à autre chose !

(Par exemple la citation de Daoud, donnée par Guillaume, qui me donne envoie de lire son livre

bouguereau dit: à

clopine et ses dénégations..on dirait un baboin

chantal dit: à

scrongneugneu .. tu sais taper son nom sur google encore ? ou tu es au fortimel ? ce sont des matières en pleine évolution.

mme coty c’est galéjade, avec ses fourrures elle est plus large que haute.

bérénice dit: à

mais cela serait pareil vu d’ailleurs.

Du ciel? Le septième? En êtes vous capable sans parachute?

bouguereau dit: à

vontraube « ces français jaloux » dracul « pays de cons ».. et pendant ce temps là israel nous encule..

on ne le répètera pas dit: à

que j’ai décrit des rapports sexuels avec Clopin

la mère et le fils sous l’oeil torve du cochon lubrique.

daaaphnase dit: à

elle ressemblait aux femmes ordinaires

c’est afffreux

ouaida dit: à

« elle ressemblait aux femmes ordinaires »

elle ne s’est pas suicidée?

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