En attendant le « J’accuse » de Roman Polanski
Le J’accuse de Roman Polanski aura-t-il la puissance de son Pianiste ? On pourra juger sur pièces fin 2019 ou début 2020, le tournage devant se dérouler à Paris et dans sa région de décembre à mars prochains. Cela fait une dizaine d’années que le projet d’un film sur l’Affaire résiste au réalisateur jusqu’à ce que le producteur Ilan Goldman le reprenne, associé à Gaumont et France Télévisions, Polanski ayant accepté de le tourner en français et en extérieurs pour un budget réduit à 18 millions de dollars.
Ce genre de péripéties constituant l’ordinaire de la vie cinématographique, l’essentiel est ailleurs : dans le déclic qui se produisit lorsque le réalisateur lut An officer and a spy (2013), en français D. (Plon). Le britannique Robert Harris, plus écrivain d’histoire que romancier historique, y privilégiait un point de vue : celui du lieutenant-colonel Georges Picquart (1854-1914), le chef du Deuxième Bureau (renseignement militaire) qui a établi l’innocence de Dreyfus, interprété par Jean Dujardin. Polanski en fait son narrateur comme Milos Forman le fit de Salieri dans Amadeus. C’est un Picquart lanceur d’alerte avant l’heure, campé comme une personnalité complexe dotée d’un grand sens moral, officier hanté par le sens du devoir, déchiré par ses cas de conscience au risque d’affronter sa hiérarchie. Roman Polanski est encore à 85 ans sous l’influence d’un film qu’il rêve d’égaler Odd Man Out (« Huit heures de sursis », 1947) dans lequel Carol Reed racontait une chasse à l’homme contre un nationaliste irlandais dans les rues de Belfast.
Le livre et son adaptation pour l’écran sont documentés aux meilleures sources chez les historiens et de écrivains. Robert Harris n’en a pas moins tenu à avertir en liminaire de son roman des libertés qu’il avait prises avec l’Histoire, on n’est jamais trop prudent. Le portrait qu’il fait du capitaine Dreyfus, personnage principal mais quasi invisible, renvoie l’image-cliché d’un homme inintéressant, antipathique, ingrat, affairiste, arriviste, arrogant. Dans une critique argumentée et anonyme du roman publiée sur le blog de la Société internationale d’histoire de l’affaire Dreyfus, le roman est apprécié pourr ses qualités littéraires et sa capacité à emporter le lecteur ; mais la « néantisation »et la « défiguration » de Dreyfus y sont amèrement pointées. Tout en convenant qu’un tel scénario soit réducteur pour des raisons de dramaturgie (procès, dégradation etc), ce traitement caricatural est reproché de même qu’une simplification excessive toutes nuances abolies, ainsi que « l’oubli » de la responsabilité du général Mercier, le ministre de la guerre qui désignait Dreyfus comme « le criminel en chef ».
Ce ne sera pas un biopic ni un drame en costumes mais bien un thriller sur fond d’espionnage. Dès les débuts du cinéma, au moment du second procès Dreyfus (1899), Georges Méliès avait traité l’Affaire ; quelques années après ce fut le tour Ferdinand Zecca avec Pathé ; puis des cinéastes étrangers, en osmose avec les opinions publiques de leurs pays plutôt dreyfusardes, s’en emparèrent. En France, il reviendra à la télévision de relancer l’intérêt pour le sujet avec Émile Zola ou la conscience humaine(1978) de Stellio Lorenzi, inspiré d’Armand Lanoux, puis en 1995 avec Yves Boisset pour France 2 sur un scénario écrit par Jorge Semprun d’après le livre de Jean-Denis Bredin. D’une manière générale à l’écran qu’il soit grand ou petit, les hommes politiques s’en sortent mieux que les officiers, guère épargnés, a pu constater l’historien Vincent Duclert.
Que le film de Roman Polanski s’intitule J’accuse comme un autre sur le même sujet (I accuse de José Ferrer en 1958 (et comme celui d’Abel Gance dénonçant la guerre en 1919) n’est pas gênant ; pas plus que Ken Russell ait déjà adopté dans Prisoner of Honor le point de vue de Picquart (interprété par… Richard Dreyfuss !). Mais outre que le roman de Robert Thomas nous en donne déjà une petite idée (pas nécessairement négative), un facteur provoque un certain malaise, sur lequel Roman Polanski gagnerait à ne plus insister quand son J’accuse sortira : son identification toute personnelle avec Alfred Dreyfus.
Evoquant son projet dans The Hollywood Reporter en 2012, et à nouveau par la suite, il dressait une analogie avec ses démêlés avec la justice américaine (le viol d’une mineure de 13 ans en Californie) :
« Il y a un aspect de cette histoire qui me fascine. C’est l’aplomb avec lequel les médias ont persisté à mentir, comme l’armée à l’époque de Dreyfus, et au même titre que n’importe quelle institution d’ailleurs…Il arrive souvent que les journaux racontent des mensonges à mon sujet. Même si je réagis, ils auront toujours le dernier mot. Ils n’avoueront jamais leur erreur, exactement comme l’armée au cours de l’Affaire Dreyfus ».
De là à établir un parallèle entre son chalet de Gstaad où il vécut en reclus pour échapper à une extradition et la situation de Dreyfus à l’île du Diable, il y a pas qu’il lui serait indécent de franchir à nouveau, d’autant que son film en serait la première victime.
( « Extrait d’un dessin paru à la une du supplément illustré du Petit Journal, 13 janvier 1895 » ; « Alfred Dreyfus photographie Aron Gerschel vers 1890 »)
1 011 Réponses pour En attendant le « J’accuse » de Roman Polanski
ED 0h 41
vous écrivez
Ici, on me corrige souvent et je ne le prend pas mal si c’est dit sérieusement et sans volonté d’humilier (coucou DHH).
il n’est pas dans mon temperament d’humilier qui que ce soit
si j’ai parfois eté un peu ironique avec vous c’est que vous aviez mal pris et de manière agressive ce qui était pur reflexe de vieille prof en face d’une erreur ,en realité l’expression d’une bienveillance tutélaire : c’est du moins comme cela que prenaient mes remarques autrefois mes élevés qui m’adoraient.
et pour tout vous dire il y a quelque chose que j’admire et j’envie chez vous, moi qui rédige très laborieusement, c’est votre capacité à noircir des pages sans effort sur votre blog avec des mots qui viennent sans qu’on les cherche sur le clavier,ce qui est une grande chance, même si cela ne préjuge pas de la qualité du produit fini
22h30 , bien qu’il soit nécessaire de penser sérieusement à la transition du parc automobile je ne discerne aucune annonce ou projet proposant la multiplication des transports aériens, voir leur limitation, leur taxation ainsi que celle de tous les transports commerciaux et industriels tout aussi sinon plus polluants. Sans meme parler des projets pour n’évoquer que de la France d’exploitation minière polluants ou dégradants mettant en danger la flore, la faune, les paysages. Aucune coherence dans cette soit disant politique verte. Mon avis est qu’il faut tondre les moutons les plus faciles à tondre sans s’attaquer aux pollueurs d3cideurs.
Si je dois m’intéresser à quelqu’un qui raconte une histoire, Jacques, je vais dans un « lieu de rencontre pour marins » ; au pire je lis un livres.
La réglementation ou limitation pour multiplication.exploitations minières, décideurs.
jazzi dit: 25 novembre 2018 à 10 h 26 min
Une résurgence en nous du caca-boudin de l’enfance, Pat V ?
Le grand refoulé de la littérature Jazzi. Considérez l’ incidence par exemple de la blennorragie sur nos écrivains et poètes du XIX ème. siècle…
10h39 on vous croit ! Sous couvert.
Tout flatteur vit aux depens de celui qui l’écoute. Le corbeau et le renard.
renato
Pour Anne Sexton
la beauté de sa poésie
Le grand refoulé de la littérature Jazzi.( moi-même.)
…Cet oubli du corps qui écrit, thématique qui est devenu dans les années soixante-dix la tarte à la crème des écrivains et de certains philosophes.
Ne sentez-vous pas qu’ici même, sur ce blog, certains écrivent des commentaires en pyjama ? 😉
devenue
Noircir les pages, à votre place, ED , et bien que je ne lise rien de votre production et bien que cela laisse libre cours à l’interprétation, connaissant l’oiseau qui signe dhh, je ne le prendrais pas pour du bon pain à moins qu’à travers vos écrits vous rentrez de dresser le portrait de protagonistes que vous auriez décidé de rectifier en les peignant au noir. Dans ce cas vous rejoindre l’esprit qui l’anime, toujours facétieux, prompt à l’intrigue et pour résumer toujours apte à la fourberie tempérée mais tendue vers un but unique: se fiche du monde et le tromper.
Tentiez pour rentrez, rejoignez, ~ correcteur.
un savannah
est-il vraiment domestique , n’importe quoi ?
Je réitère, dhh est pour moi Lvdlb, qui grace à son indéniable culture et à son Sens des public relations n’éprouve aucune difficultés à adopter un type de langage approprié aux personnages qu’elle choisit d’incarner à l’écrit.
Avec la révolution industrielle, N’IQ, l’on transforma les paysans en ouvrier et le prolétaire fit son apparition sur la scène politique ; dans les moments de crises — production excessive, p. ex. — on licencie et le prolétaire devient sous-prolétaires — Lumpenproletariat (prolétariat en lambeaux ?) —. Le coup de la guerre pour « dégraisser » ce segment de la société a fonctionné 2 fois, alors les politiques, ayant mal ou pas lu Arendt, cherchent des solutions pour les isoler socialement : « Qu’ils-elles crèvent dans leurs trous ».
Rose, oui.https://www.lemagduchat.com/dossier-6-chat-savannah.html
Parmi les solutions fiables à la crise des gilets jaunes, certains ont bien dû songer à l’assassinat de Macron. Affaire à suivre.
« 2 fois, alors les politiques », manque un segment :
2 fois, mais il est désormais refusé par les masses, alors les politiques
Pardon, etc.
Aucune difficulté, indulgence pour les nombreuses et impardonnables autres. Merci.
Renaît, je ne pense même pas qu’ils songent à cela. Là d’où ils proviennent et d’où ils sont durablement installes, cette fraction pourtant majoritaire de la population est une inconnue dont ils ignorent tout n’ayant pas à envisager une seule de leur minute leurs conditions d’existence. Je garde tout de même un bon souvenir d’Arnaud de Montebourd essayant de sauver Florange et suivant à Paris la delegation des ouvriers venus se manifester , leur apportant des croissants au petit matin après la nuit qu’ils avaient passé dehors.
Renato.
leurs minutes.
passée. Je devrais me relire, excusez moi.
« je ne pense même pas qu’ils songent à cela. »
Pour songer à quelque chose il faut disposer de la faculté de penser. Or, puisque cette faculté leur manque il le font comme des animaux spinaux, ce n’est même pas un instinct, ce n’est qu’un comportement primaire — un chimpanzé serait plus rationnel —, pourtant Salvini & Co sont là pour leur rappeler où l’on arrive. Je sais, je suis plein de contradictions : ils ne disposent pas de la faculté de penser donc ils ne peuvent tirer aucun enseignement de l’accession de Salvini au pouvoir.
il > ilS
@N’importe quoi
La conviction que je suis LVDB qui alimente votre préjugé vous fait détecter derrière tout ce que j’écris ici l’expression de ma fourberie et de ma malveillance,qui s’exprimeraient dans le second degré auquel doivent être pris mes propos .
De sorte que ,quoi que j’écrive , le miroir de la RDL me renvoie à travers vous une image de moi que je trouve monstrueuse , et cet inconfort me fait envisager de ne plus m’exprimer ici ;
Qui i d’assez crédible pourrait vous dire que je n’ai rien à voir avec LVDB et que je suis une brave fille sans mystère qui doit à son grand âge ses forces et ses faiblesses ?
et si LVDB c’était vous !
Pierre Assouline pourrait démentir si toutefois l’adresse communiquee en aparté n’est pas falsifiéd elle aussi. cela dit vos dénégations ne changent strictement rien à mon sentiment. Quant à m’associer à cette garce que moi même je vous soupçonne d’être, il n’y a qu’à lire l’esprit du texte, je ne lui arrive pas à la cheville pour ce qui est du culot, de sa grossièreté, de son sans gêne et de sa fatuité. Fatuité que vous n’avez aucun mal à égaler, cela dit en passant.
Et ce ne sont pas des préjugés mais des soupçons étayés par quelques hardiesses auxquelles vous n’aurez pris garde.
Je ne crois pas que DHH alias Judith soit LVDB. La première est une vieille personne comme moi qui parfois s’impatiente — comme moi — ; l’autre n’est qu’une… rien, chacun trouvera la définition opportune.
DHH, tant mieux si vous décidez de vous éclipser, vous trouverez bien de quoi vous habiller d’un autre pseudo, la RDL ne refuse pas les nouveaux quand bien même il leur faudrait s’initier à ses us et coutumes.
Renaît, désolée avec la meilleure volonté du monde, j’attends des preuves plus solides que votre avis pour changer d’idée la concernant. Au cas où elles se présentent je conviendrai de mon erreur qui pourra des lors être classée parmi les convictions au sens psychiatrique du terme, n’étant pas tout à fait atteinte , je me rangerai du côté de la raison.
@ n’importe quoi 12 h 26
je vois que vous apprécieriez une RDL qui serait DHHHrein
y en a -t-il d’autres de cet avis?
Je pourrais me porter garant de votre intégrité, DHH, mais ça ne servirait à rien. Les fantasmes de N’IQ sont imperturbables ! Vous auriez tort de ne plus venir vous exprimer ici, nous pénalisant de votre absence, pour le plus grand plaisir de l’une qui vous a dans son collimateur, on se demande bien pourquoi !
N’IQ avait un comportement sadomasochiste avec LVDLB. S’accrochant continuellement à ses basques tandis que celle-ci la renvoyait régulièrement dans les cordes. Elle reproduit le même schéma avec Ed !
Etrange…
@jazzi
merci!
je commençais à me demander qui j’etais vraiment ….
la pathologie qui consiste à voir dans les éléments les plus anodins des indices probants de ce à quoi on croit dur comme fer et qui est totalement faux s’appelle PARANOIA
Et que dire de rose, qui est persuadée que Ed est un homme, et ne veut pas en démordre !
Et puis, après tout, pourquoi se faire du souci pour qui est qui ? cultivez plutôt de la Calendula officinalis sur votre balcon.
Jazzi, je vous ferai prendre note de diverses tentatives de mon côté de nouer le contact sans animosité avec cette demoiselle qui affiche une susceptibilité notoire. Que vous preniez son parti ne m’étonne guère mais je ne vois pas en quoi je me montre agressive avec cette derniere, que moquer certaines fixations comme voir de la misogynie, du sexisme, du racisme et lui montrer ses contradictions flagrantes vous apparaissent comme autant d’agressions me surprend, mais je réaffirme que se défendre avec des motifs, toujours les mêmes, est une facilité qui me parait discutable. Si donner son avis de façon ironique ou franchement c’est agresser, plus aucun échange ne va être possible. Je peux aussi vous rappeler son entrée en matière sur ce blog, elle dénonçait mon inculture, et plus récemment me prêtait pour pseudo bereneuneu, rien de bien méchant, n’est ce pas. Quant à ceux qui lui tendent qu’elle a encore trop bu, vous passerez cela sous silence. Et ses histoires de chats sont à vrai dire autant d’ouvertures comme l’appelait je ne sais plus qui.
DHH
je me porte garante absolue de votre intégrité.
S’il faut témoigner en votre faveur, je le ferais sans hésiter.
Comment s’appelle une maladie qui consiste à penser avoir raison et à construire les preuves pour se convaincre que l’on a raison alors que l’on a tort ?
DHH
concernant une autre maladie : comment s’appelle se croire supérieure à tous les autres en étant intimement convaincue ?
je ne parle ni de lvdlb ni de N’i Q.
Suis passée chez moi après 3 semaines d’absence. Panne de piles à ma souris. Y retourne demain. Si je ne réussis à lire mes mails vous contacte grâce à qqu’un à qui je demanderai de transférer mon adresse mail. Je vous remercie. Ai acheté saumon et cabillaud en attendant.
12h47 bien sûr, quoi de la paranoia , de la schizophrénie, de la perversion narcissique, de la psychopathe ordinaire serait le plus dangereux pour autrui. Les uns sont soignés dans le meilleur des cas , les autres s’insèrent dans le tissu social et c’est sans parler des personnalités multiples .
Je vous apprécie énormément DHH et tiens beaucoup à votre présence ici.
DHH,on a déjà eu le couplet des élèves en adoration;
le temps semble avoir changé!,ceci dit puisque vous étes c’est bien connu la championne de grammaire sexuelle et psychologique des genres, je crois que vousêtes PA
https://www.lexpress.fr/styles/psycho/passif-agressif-un-comportement-qui-peut-nous-rendre-fou_1671413.html
12h47 je reviens sur votre affirmation, cela entre dans ce qu’on classe sous le nom de délire interprétative et sous sécheresse conviction, dans le jargon des psy.
Le nom, sécheresse est encore une excentricité du correcteur automatique.
BONS FANTASMES A TOUTES ET A TOUS.
JE VAIS ME REPOSER ET ME VIDER LA TETE
« de diverses tentatives de mon côté de nouer le contact sans animosité avec cette demoiselle »
Avec des mots orduriers en affirmant qu’Ed était la maîtresse de Chaloux, N’IQ ?
12h32, je vous rappelle que vous le proposiez à moins d’y lire une menace. Personne n’est indispensable et vous perdre ne dessinerait guere plus qu’un rond dans l’eau, un zero de plus ou de moins après Carlos Ghosn, soit une grande perte qui serait vite comblée.
DHH, N’IMPORTE QUOI m’a déjà fait le coup d’affirmer mordicus que j’étais lvdlb, et ce pendant plusieurs semaines ! Etonnant cette obsession qu’elle transfère sur vous.
Je crois qu’être infirmière psy (ou ex-infirmière psy) est un métier à haut risque … de contagion.
Par exemple, N’IQ, le fait que vous vous trompez standard sur mon pseudo — je ne m’appelle pas Renaît ! —, pourrait m’autoriser à croire que vous êtes LVDB ; mais, voyez-vous, cela me touche moins que le souvenir de ma première sucette.
Jazzi,être la maitresse de chaloux ou un autre n’est pas de l’ordre de l’ordure! Vous montrez une bien curieuse conception des liens amoureux qui en cette occurrence prennent tout de même l’apparence d’une certitude. J’ai meme été taxée de jalousie par Ed et par Pablo, son ami, qui voyait en la pureté d’ED le motif de cette prétendue jalousie.
J’ai déjà analysé ici la personnalité de lvdb et conclu que la seule internaute qui lui ressemblait était partie en apparence depuis des année: SMDR.
L’affaire est donc entendue et je soutiens à fond DHH, dont les commentaires sont parmi les plus intéressants du blog quand elle n’est pas obligé de passer du temps à répondre à des attaques absurdes.
Lavande, acceptez mes excuses, toutefois ma méprise n’a pas duré des semaines. Je suis infirmière généraliste et puéricultrice. La psychiatrie m’a offert un repos salutaite durant trois années sur les 35 exercées, des vacances.
@ renato, renait est le terme dominant ds mon correcteur , c’est faute d’attention s’il parait à la place de votre pseudo.
DHH la pathologie qui consiste à voir dans les éléments les plus anodins des indices probants de ce à quoi on croit dur comme fer et qui est totalement faux s’appelle PARANOIA
c’est tout juste ce que vous avez fait avec moi!
vous voyez que votre demande de « miroir » ou d’écho est sujette à caution!préférez les chats, ils ne parlent pas;et ils ont de l’intuition du temps et de l’heure
renato, la sucette, était-elle lumineuse ou luminante?
D’ailleurs, j’apprécie toutes les femmes du blog, DHH, Christiane, Rose, Bérénice, Lavande…Le problème, c’est leur cohabitation. Pour les hommes aussi, souvent. L’atmosphère s’est apaisé depuis que celui dont il ne faut pas prononcer le nom s’est éclipsé et qu’un autre s’est un peu calmé.
Closer, j’ai eu affaire à Lvdlb dans la vie, votre expertise ne prouve que votre naïveté.
pas mal calmé. Pas qu’un peu.
Pas de pb. de cohabitation avec les femmes sur le blog pour moi.
De manière générale, rien d’ individuel, les infirmières c’ est une catastrophe.
D, j’ai grande confiance dans vos compétences en matière de smartphones. J’ai actuellement un Galaxy J 3.6, plutôt bas de gamme donc. Que me conseillez-vous pour le remplacer sans dépenser des fortunes pour un modèle dont la principale qualité serait de répondre toujours présent, à chaque fois que j’en ai besoin? (les performances et les pixels ne sont pas primordiaux pour moi).
Merci D.
Mais bon, pour conclure, disons que le jeu des pseudos est un jeu qui marche et marchera encore longtemps. C’est l’essentiel , chacun pourra rester sur son quant à soi .
quand elle n’est pas obligé de passer du temps à répondre à des attaques absurdes.
je plussoie, closer. Absurdes et sans fondements. De plus, cela vire désormais au harcèlement.
Je maintiens NQ. Aucune des femmes que j’ai citées n’est lvdb.
Pourquoi ce post ne veut pas passer ?
[ Changeons d’air ?
Misty Copeland :
Rose??? Quels différents vous opposent à ce corps de métier?
D’ailleurs, selon mon point de vue délétère dans ce cas précis, le nombre d’infirmières particulièrement dingos qui assassinent leurs malades après les avoir tenus en sujétion est extrêmement élevé.
Closer, c’est votre droit , votre idée, votre conviction, rien ni personne ne vous en empêche comme rien ni personne ne peut s’opposer à ce que je fasse part de mon sentiment.
Ma soeur en est. Elle est totalement frappée.
Elle pose des diagnostics sur tout et tout le monde. A tout le temps raison. Est la seule infirmière compétente de tout le pays. Peut- être de la terre entière. Je la trouve particulièrement atteinte et surtout extrêmement maltraitante.
Rose, oui, d’accord avec vous, laissons donc les médecins s’occuper de leur patientele de À à Z.
Lavande
je plussoie
Etonnant cette obsession qu’elle transfère sur vous.
Je crois qu’être infirmière psy (ou ex-infirmière psy) est un métier à haut risque … de contagion
L’ idéal étant de ne jamais être malade.
C’est tellement loin, et alii.
« rien ni personne ne peut s’opposer à ce que je fasse part de mon sentiment »
A part, qu’en l’occurence, il ne s’agit pas d’un sentiment mais d’une accusation. Pour le moins, il faudrait présenter des preuves, N’IQ. En avez-vous ?
Rose, cela a été inférieures secours, ce métier particulièrement éprouvant tant physiquement que moralement est extrêmement difficile à endurer passée la cinquantaine. Ce n’est pas mon unique experience, c’est la dernière. Un temps partiel causé par un secteur interim qui a connu une baisse de demandes et donc une baisse de recrutement. Une voie de garage en quelque sorte dont je me suis accomodee.
Une roue de secours.
… patientele ?! clientèle plutôt ! nous payons quand même la sécu et une complémentaire, nous sommes donc des clients.
Jazzi, j’ai fait part de soupçons étayés, pas envie de m’étendre sur cette question . J’accuse rarement et ici n’est pas le lieu quand bien même trainent dans les tiroirs motifs .
« Jazzi, être la maitresse de chaloux ou un autre n’est pas de l’ordre de l’ordure ! »
Bien sûr, N’IQ, quelle idée ! C’est la manière dont vous en avez parlé qui était ordurière. J’ai le souvenir de votre description du sexe épilé et offert, selon vous, de Ed, et autres délicatesses de la même eau…
Renato, je me suis rabrouer par un médecin à qui je parlais de malades alors dire clients pour patients, je n’oserai pas.
« Jazzi, j’ai fait part de soupçons étayés, pas envie de m’étendre sur cette question. »
Alors ne vaudrait-il pas mieux vous taire, N’IQ ? Vous trouvez tout le temps qu’il faut pour accuser, mais pas celui pour justifier vos propos ! Vous vous foutez de qui ?
N’IMPORTEQUOI dit: 25 novembre 2018 à 11 h 05 min
Je réitère, dhh est pour moi Lvdlb, qui grace à son indéniable culture
Ceci ci-dessus est du pur délire. Malfaisant et mensonger. Je reconnais quand même ici une grosse propension à attribuer à autrui ce dont on est soi- même atteint.
DHH je vous assure de mon soutien sans faille.
Jazzi, je suis revenue là dessus, c’était une blague qui d’ailleurs avait déjà servi auprès d’une de mes amies, vous conveniez vous meme qu’ed manquait cruellement’humour. Je precise que l’amie en question n’en avait pas fait une affaire’d’état , fausse blonde, je lui avais demandé si elle pouvait prouver qu’elle l’etait , nous nous trouvions dans un couloir et cela me paraissait cocasse.
C’est un troll, jazzi. Elle est folle. Vous remarquerez que depuis quelque temps je ne lui réponds plus. Comme Delaporte, dans un autre genre. Et « petasse », « petite conne » sans compter cette fameuse histoire de poils punies blonds (ou pas vu qu’elle se posait la question) montrent bien ses tentatives de communication apaisée avec moi 😀
Pubiens
Je ne l’ admets que de gens comme Mère Thérésa et Albert Schweitzer le soin : un dévouement absolu et totalement désintéressé. Dans l’ abnégation.
Sinon, c’ est une prise de pouvoir sur autrui en se faisant mousser.
De l’ autoritarisme.
Et, il n’y a rien de pire que l’ autoritarisme. Qui ouvre à la tyrannie. Antichambre de la dictature.
Et voilà :
Je hais la dictature : César et ses copains. Alexandre, Tibère, Brutus et autres rigolos imbus de leur personne.
Et pourquoi lvdb a-t-elle été interdite de séjour ? J’ai compris que JC avait tenu des propos antisémites, mais lvdb ?
Et si prononcer ou écrire épilation est un crime, alors dans ce cas je plaide coupable: je suis grossière orduriere. Pour rappel, la grossièreté dont m’accuse jazzi tient en cette phrase :à défaut d’émulation, epilogons, ou quelque chose de ce genre ce qui somme routeurs assez loin d’une scene de touchercrectal à bord d’un voilier. Le mot sexe ne figurait pas dans ma boutade potache.
D’epilation, pour emulation. Correcteur.
Qui i d’assez crédible pourrait vous dire que je n’ai rien à voir avec LVDB et que je suis une brave fille sans mystère qui doit à son grand âge ses forces et ses faiblesses ?
et si LVDB c’était vous !
DHH
moi.
Je témoigne haut et fort : vous n’ avez rien à voir avec l’ accusation portée contre vous. Je partage totalement votre inconfort.
Et votre hypothèse finale me semble drôlement justifiée.
« … Mère Thérésa et Albert Schweitzer… »
De la première je ne sais rien, rose ; du deuxième je sais pour sûr qu’il se vivait comme le personnage d’un film hollywoodien et que son approche humanitaire était plutôt colonialiste.
Somme toute. J’ai envoyé ces mots ? » Petasse,petite conne » il se pourrait car ils sont fidèles à mon opinion mais si quelqu’un pouvait en donner la date et l’heure afin que l’on ne m’y reprenne plus car le jeu ne vaut pas la chandelle. Merci.
La preuve que c’est un troll. Vous lui répondez une fois et elle ne s’arrête plus. DHH n’aurait pas dû. Je n’aurais pas dû. Les trolls ont besoin d’attention et pour cela, quoi de mieux que la provocation ? Allez Stop, on a tous une vie. Pas les trolls.
N’importe quoi
le Savannah famille du guépard dans votre lien.
Je croyais du jaguar. C ‘ est proche.
Merci de fiche la paix -royale- à DHH. Elle est formidable.
Je n’ irai pas chercher, ni la date, ni l’ heure : besoin de relations sociales correctes.
Pas de ce type.( de relations).
Tout cela est lié à une très faible estime de soi collective. J’atteste être lvdb qui pendant très longtemps a dû usurper le pseudo de clopine t. pour arrêter de se quereller avec tout le monde. En ce moment, CT s’est mise au vert par crainte des jaunes, donc je lui envoie ce questionnaire, car les jeux lui manquent beaucoup. Mais chacun peut s’y mettre pour se rehausser, le recul de la paranoïa collective aurait tout à y gagner 😉
https://www.cahiersdelimaginaire.com/cahier-d-exercices/exercice-99
Don’t forget…
Rose, pour le croisement, c’est avec un Serval.
ED, je crois que vous valez mieux aussi vous demanderai je de vous occuper de vos fesses ou de votre roman, avec un peu de chance ces bons mots achèveront de vous fâcher comme ils ont su fâcher Pablo. Je ne suis pas plus un troll que vous avec votre feuilleton pets et chats quoique je vous estime capable de faire partager des faits autrement plus captivants .
« Les patients enseignants, une révolution dans la formation des médecins »
Pour Olivia Gross, Yannick Ruelle et Rémi Gagnayre, chercheurs et enseignants à la faculté de médecine de Bobigny, les patients ont un rôle à jouer dans la formation des futurs médecins
https://www.lemonde.fr/festival/article/2016/09/12/les-patients-enseignants-une-revolution-dans-la-formation-des-medecins_4996489_4415198.html
Ce commentaire de Jazzi (« N’IQ avait un comportement sadomasochiste avec LVDLB. S’accrochant continuellement à ses basques tandis que celle-ci la renvoyait régulièrement dans les cordes.(…) Etrange… ») est vraiment intéressant dans cet échange sur les pseudos (qui ressemble à un chat qui se mord la queue : qui est qui ? c’est toi ! non, c’est pas moi ! c’est elle ! non, c’est pas elle ! c’est lui ! non, c’est pas lui…)
Intéressant, parce qu’il rappelle que Bérénice vouait une grande admiration à LVDB. Donc, si elle croit retrouver dans Lavande, puis dans DHH, cette LVDB qui la fascinait, ce ne peut être une « accusation » mais une marque… d’admiration.
La question serait donc à poser à Bérénice : Qu’est-ce qui vous attirait tant chez LVDB pour que, comme le rappelle si bien Jazzi, vous reveniez inlassablement vers elle avec des commentaires ouverts, sympathiques alors qu’elle vous renvoyait abruptement au néant ?
Il est vrai que la personne cachée sous le pseudo LVDB, comme Janus, avait deux visages et que ses remarques agressives et vulgaires ne pouvaient cacher un savoir et une culture que DHH avait d’ailleurs reconnus.
De la même façon quand DHH a cru se rappeler sous le pseudo « Et Alii » une autre personnalité qui a disparu de ces pages, son interrogation cachait mal une estime pour cet absent…
« Des personnages en quête d’auteurs » *? Pirandello se serait régalé, ici !
* Une famille de personnages à moitié créés, laissés en plan par leur auteur, fait irruption dans un théâtre en réclamant à cor et à cri d’exister…
j’ai écrit un puma pas un jaguar.
Erreur : la robe d’un puma n’est pas tachetée.
Mon idée était jaguar.
Or, il s’agit du serval famille des guépards à l’origine du croisement qui a donné naissance au savannah.
@ ED
j’espere que vous ne vous êtes pas meprise sir le sens du post que je vous ai adressé à 10 h 49 en réponse a votre clin d’œil un peu taquin .
je voudrais etre sure ;qu’à l’instar d’une autre ici, vous n’avez pas décelé fourberie et malveillance cachées sous des dehors amènes dont je vous confirme la sincérité
une marque… d’admiration.
là, vous êtes trop forte, christiane. N’y comprenant plus rien, je m’échappe.
Christiane, je minorerai l’impression que j’ai peut être malgré moi laissé dans ces échanges avec lv. J’appréciais les liens nombreux qu’elles offraient sans d’ailleurs émettre souvent la moindre analyse critique. Je déplorais la grossièreté et son sans gêne méprisant. Je me souviens des sobriquet dont elle me gratifiant, veinarde, imaginatifs, robot, j’en oublie et auxquels je repondais .Je n’ai jamais éprouvé la moindre admiration envers elle bien que son apport n’ait pas été sans intérêt. En règle générale, j’aime l’honnêteté, l’intégrité entre autres et je ne pense pas que ces qualités puissent lui être concédées.
Elle offrait, clebarde, maniatis,
Merci à ceux qui m’ont répondu hier (anti-purisme, mémoires du correcteur & lettre de Boris Vian filant la métaphore jusqu’au P.S. !)
Phil, je n’ai pas vu le giallo vintage en question, mais son titre résonne avec un fait divers récent à Rome, omicidio Desirée Mariottini
DHH, ce qui me fait vous soupçonner tres fortement tient en un echange récent, précédé et suivi d’une intervention de Bloom. D’autres éléments sont moins évidents, vous pouvez poursuivre votre entreprise de mystification, ce n’est pas un délit informatique etcomme tant d’autres choses qui elles relèveraient du crime échappent aux sanctions qui en des circonstances normales n’obtiendraient aucune clémence, nous ne chipoterons pas pour des fables.
@ et alii
vous ecrivez
DHH la pathologie qui consiste à voir dans les éléments les plus anodins des indices probants de ce à quoi on croit dur comme fer et qui est totalement faux s’appelle PARANOIA
c’est tout juste ce que vous avez fait avec moi!
je ne vois pas auquel de mes post vous faites allusion .
vous concernant je n’ai souvenirs que des echanges utiles que nous avons eus sur des sujets un peu pointus qui nous intéressent tous deux.
vous confondez sans dote avec un autre intervenant.
si ce n’est pas le cas soyez plus précis pour que je puisse m’expliquer et éventuellement dissiper un malentendu
x, indeed, le giallo réussi a rang de métafilm. gageons que son réalisateur l’a voulu ainsi. Né en 1934 à Fiume en Italie, aujourd’hui Rijeka en Croatie, après avoir été yougoslave en 45 et hongroise jusqu’en 14, l’auteur a vécu à Venise où il a pu prendre la mesure du sang pouacre des vieilles cités marchandes de leurs identités.
il me semble « N’importe quoi » que vous vous mélangez les pinceaux de l’identification. Au cluedo, vous seriez dans les choux.
dans un théâtre en réclamant à cor et à cri d’exister…
avez vous remarqué le titre du livre de Ségolène Royal « j’existe sans mon ex »? il est très internet, non?
VOUS ËTES SURE,DHH, que je suis un homme versé dans telle et telle discipline et l’affirmez cauteleusementen en vous moquant que je l’aurais moi affirmé:ce sont vos déductions ;mais c’est ancien maintenant , et vous aurez sans doute remarqué que je n’affirme rien que je ne soutienne d’un lien , ou plusieurs ,d’érudits en général, non contstés, eux
il y a un « en » en trop
Phil, est ce qu’il n’est pas plus exact d’ écrire il me semble que vous vous melangiez les pinceaux?
les chirurgiens sont des gens pressés, des wikithérapeutes avant la lettre:
25 novembre 1763. L’abbé Prévost, auteur de « Manon Lescaut », est autopsié avant sa mort
PODCAST. Alors que l’abbé Prévost s’est évanoui, le chirurgien lui ouvre le ventre avec un scalpel. Ce qui le tue définitivement.
C’est le pion de Janson?
Hurkhurkhurk!
médecine encore:
Médecin généraliste, Eric Bouhier publie un formidable essai sur le sexe masculin. Sans tabous ni facilités.
Depuis le succès phénoménal du Charme discret de l’intestin, paru en 2015, la littérature scientifique n’en finit pas de disséquer nos organes, de la prostate au cerveau, en passant les reins. Nul doute que Le Juste Milieu, sous-titré Le sexe de l’homme comme vous ne l’avez jamais lu !, s’inscrit dans cette tendance. Mais son auteur, écrivain et médecin généraliste, a trouvé l’art et la manière de faire écho aux fameuses paroles de Pierre Pierret : « Tout, tout, tout, vous saurez tout sur le zizi », avec ce formidable livre de vulgarisation sur l’appareil génital masculin, ses hauts et ses bas aux sens propre comme figuré.
@ et alii
votre post n’est pas tres eclairant ;
mais si j »essaye de comprendre vous semblez me dire que ma pathologie m »a conduite a voir en vous un spécialiste reconnu des domaines don vous parlez alors que vous seriez simplement un amateur qui ne fait que citer de grands érudits.
Mon erreur vient de ce qu’à propose de Kafka j’avais à tort cru reconnaître dans vos post particulièrement savants la plume d’une amie d’autrefois, auteur d’une thèse connue sur Kafka que vous avez citée
DHHinsister, c’est déplacé,vous reparlez de KAFKA?j’au vous dire que c’est une longue et quasi familiale histoire pour moi, avant mes études ;
portez vous bien!
j’ai dû vous dire
DHH,je ne sais d’où vous vient de parler de « votre pathologie »:des échanges de la RdL?
PAS AVEC MOI!
j’au un professeur quasi un maitre pour lequel j’ai travaillé (recherches) et qui n’est pas le dernier pigeon dans les choses psy;il disait qu’il avait la eéputation d’être parano, etqu’il n’avait pas d’humour(tiens le titre comment faire rire un paranoïaque!)vraiment, jene me plaignais pas de ça !
j’ai eu un professeur
bonne fin de journée
https://sites.google.com/site/nanlitermi/comment-faire-rire-un-paranoaque-79447921
a propos de client
Pour les articles homonymes, voir Client.
Dans la Rome antique, la relation de clientèle désigne une relation de donnant-donnant entre un patricien ou patron, c’est-à-dire un aristocrate, et une personne faisant partie de la plèbe, généralement un homme libre, appelé le client (qui vient de cliere qui signifie obéir).
Le clientélisme domine toute la vie sociale de la Rome antique. D’une part, le patron offre sa protection à ses nombreux clients ; en contrepartie, le client soutient son patron dans ses entreprises politiques et militaires. Cette clientèle est formée par les paysans qui cultivent ses terres, par les esclaves qu’il a affranchis et leur descendants. Ces descendants d’affranchis portent d’ailleurs le nom (gentilice) de leur ancien maître (voir les noms romains).
Les clients peuvent aussi être des citoyens endettés qui se sont mis sous la protection d’un puissant, ou qui sont désireux de faire partie d’une organisation au sein de Rome. Par extension, on parle de clientélisme politique, où le client donne un appui politique à son patron (voir clientélisme).
Le lien réciproque qui unit le client à son patron porte le nom de fides (confiance partagée, loyauté). Cette notion était très importante étant donné la réprobation de ceux qui ne se montraient pas loyaux.
La relation de clientèle sera remplacée par le servage pendant le Moyen Âge.
Plus banalement, aujourd’hui, un client est quelqu’un qui paye un produit ou un service.
Bérénice,
merci pour votre réponse.
Mais alors, vous vous trompez sur Lavande et DHH.
C’est dommage, elles sont de lin et l’une et l’autre et tellement intéressantes.
Discuté avec la vétérinaire de mes bêtes et résolu l’énigme du lait : certains chats conservent les enzymes nécessaires à la digestion du lait.
Pour les œufs, il suffit de ne pas leur donner le blanc. Cela dit, si on leur laisse vivre leur vie — si on ne les abruti pas avec des attitudes de vieille tante — les bêtes savent s’administrer.
Et alii dit: 25 novembre 2018 à 15 h 57 min
il y a un « en » en trop
j’en ai eu un en moins réczmment. Pourrions-nous faire oeuvre d’intelligznce collective ?
Merci pour St Ex. Le lirai ce soir.
Rose,
vous êtes si désarmante, si spontanée. Un parfum d’agrumes et d’herbes au soleil. Un chant de fontaine. (Sauf quand vous évoquez vos Atrides) !
Heureux que vous ayez identifié le sens du duchampien entre soi et soi-même, rose ; c’est l’un des fondements de l’art contemporain.
Sculpture de Voyage :
https://blogfigures.blogspot.com/2011/03/marcel-duchamp-sculpture-de-voyage.html?q=Duchamp
La mie et sa vieille croûte
« … Le mariage n’a rien changé à sa philosophie, poursuit-elle. À la maison, Jean ne s’occupait de rien. Absolument de rien ! L’idée même d’aller acheter une baguette de pain l’assommait…. »
– Un D’Ormesson ne mange pas de ce pain là, mon jeune ami !
C’eût été de la brioche, à la rigueur l’eussé-je fait…
Peut-être aurais-je dû vivre cette expérience, au moins une fois…
Je dirai malgré tout que cette vie fut belle. Grâce à ma chère Françoise, Je n’ai pas fait mienne cette romance subjonctive que chantait si bien Dranem :
Amer, amer destin du cœur
Femme légère que vous fûtes
Vous fîtes hélas pour mon malheur
Toutes les peines que vous pûtes.
closer dit: 25 novembre 2018 à 13 h 35 min
D, j’ai grande confiance dans vos compétences en matière de smartphones. J’ai actuellement un Galaxy J 3.6, plutôt bas de gamme donc. Que me conseillez-vous pour le remplacer sans dépenser des fortunes pour un modèle dont la principale qualité serait de répondre toujours présent, à chaque fois que j’en ai besoin? (les performances et les pixels ne sont pas primordiaux pour moi).
Merci D.
–
Vous gardez votre J3.6, Closer. Et vous cessez de nous importuner dorénavant.
Christiane, pour lavande, c’est du passé et je veux bien faire confiance à Phil. Ainsi l’affaire est close.
Vous avez mangé un cornichon avarié ce midi, D, pour être aussi désagréable?
Mon Cher Closer, j’ai décidé de quitter ce blog.
Tout simplement.
Je trouve qu’un J3.6 c’est largement surclassé pour un gars comme closer.
Non mais pour qui il se prend ?
Voilà je m’en vais à présent.
Adieu.
J’ai pensé : il faudrait que les féministes elles-mêmes bannissent de leur vocabulaire courant l’horrible métaphore de « tomber enceinte », or je ne les entends pas souvent dire par exemple : je suis/elle est enceinte, j’attends/elle attend un bébé, j’essaie de concevoir/j’ai conçu un bébé, je porte/elle porte un enfant.
C’est pourtant simple, non ?
Jean-Luc Marion, philosophe chrétien, académicien fr., propage une théologie des plus fumeuses à mes yeux. Daniel m’a pris la tête avec ça hier soir sur le bateau, et je n’ai pas moufter. Parait que ce JLM officie sur KTO, ça m’apprendra à vouloir rester poli. Si tu savais comme j’intrigue cette chaîne.
Les gilets jaunes nous avaient laissé passer sur l’autoroute A13 et interdit de payer aux péages. Suffisait de les klaxonner pour leur faire croire en notre solidarité pour leur sympathique combat. -les concessionnaires d’autoroutes-. Le gouvernement va faire un geste en faveur des classes moyennes et des classes populaires, et ainsi redresser la paupérisation générale du pays. On dit que M. Macron va rétablir l’ISF, au grand dam de son électorat en marche (fausse bonne nouvelle).
Pendant ce temps sur la RDL, impression que Ramon Polanski (sic) est passé à la trappe par la chatière et le bac à déjections.
Les garçons se sont largement effacés devant la progression de l’épidémie de panaroïa (sic) des filles. Seuls, Ozamiandis et St Exubérant.
Cette admirable parole de George Sand, incurable agnostique, sentant venir sa fin à Nohant, dans une lettre à Oscar Cazamajou (30 mai 1876) : « j’ai fait mon temps et ne m’attriste d’aucune éventualité. Je crois que tout est bien, vivre et mourir, c’est mourir et vivre de mieux en mieux ».
@N’IMPORTEQUOI dit: 25 novembre 2018 à 19 h 03 min
Laissez place à la Bérénice que j’aimais bien lire, ici. Chacun a sa façon d’être dans ces échanges spontanés où il est si tentant de répondre du tac au tac. Regardez mon échange avec Jazzi… Eh oui, la vie n’est pas un long fleuve tranquille… surtout quand ce fleuve traverse la RDL !
…
…je n’écrit, que sur ce blog,!…pour ne pas m’éparpiller,!…
…et, c’est déjà de trop, je suis, de nature bref et succinct,!…normal, pour un graphiste,!…etc,…
…l’art, de relier des points et des ponts, dans l’Eurozone, pour la fortifier, pour ses habitants, non spolier,!…
…
…
…la santé est très bonne,!…j’ai joui, avec deux fois rien,!…
…
J’ai l’impression que les 3J 19h17 a un peu forcé sur les Glenmorangie…Qu’est-ce-que ça doit être après le diner!
« le », pardon
18:45
Non mais ca va pas bien vous ou quoi ?!!
renato à 18h13
une identification parmi multitude.
ne connais rien à l’ art contemporain.
Merci Closer pour ce rêve dans la vallée de la tranquillité (La distillerie de Glenmorangie (le nom signifie « la vallée de la tranquillité »), située à proximité de la ville de Tain, au nord d’Inverness)
« La chanson V.I.P. de Françoise Hardy associe cette marque à l’univers des Very Important Persons : « V.I.P. like a glass of Glenmorangie ». Le guitariste de jazz fusion Alan Holdsworth a sorti en 2000 « The Sixteen Men of Tain » faisant référence à la distillerie de Glenmorangie. »
quant aux tonneaux :
« Glenmorangie utilise différents types de tonneaux, mais toute la production est vieillie dans des futs en chêne blanc* d’Amérique fabriqués à partir des arbres poussant dans la propre forêt de Glenmorangie dans les Monts Ozark du Missouri, aux États-Unis. Les tonneaux neufs sont laissés à l’air libre pendant deux ans avant d’être loués aux distillateurs Jack Daniel’s et Heaven Hill pour la maturation de leur bourbon, qui dure quatre années. Ces tonneaux sont ensuite utilisés avec les alcools de Glenmorangie. »
*Le chêne blanc ou chêne blanc d’Amérique (Quercus alba) est une espèce de chêne mesurant en général une trentaine de mètres, le plus grand connu atteint les 44 mètres de hauteur. Certains spécimen vivent plus de 500 ans…
Et les alambics :
« La distillerie Glenmorangie utilise les alambics Pot Still les plus hauts d’Ecosse (5,13m). C’est la hauteur d’une girafe adulte ! »
Il en a de la chance, JJJ !
l’anti intellectualisme au coeur de la culture française
https://www.persee.fr/doc/xxs_0294-1759_1992_num_36_1_2601
« ne connais rien à l’ art contemporain. »
Vous avez maintenant un bon point de départ.
Silence :
https://blogfigures.blogspot.com/2011/06/john-cage-excerpt-from-silence.html
Vous m’épatez Christiane! Quelle science du whisky!
Tiens, cet a-m, j’ai vu une expo qui vous plairait si vous n’y êtes déjà allé: « Gustave Moreau Vers le songe et l’abstrait »…Quelques toiles de GM qui sont le plus souvent des ébauches mais qui, parfois, sont peut-être des tableaux délibérément abstraits. Les spécialistes en discutent. En tout cas, c’est l’occasion de retourner dans ce lieu incroyable et envoûtant qu’est le Musée Gustave Moreau. Un lieu conçu pour nous empêcher de voir réellement toutes les œuvres qui y sont présentées, tellement elles sont nombreuses et entassées dans tous les coins…Je ne suis pas sûr d’aimer la peinture de Moreau pour elle-même, mais, errant dans ces pièces, certaines minuscules, d’autres immenses, toujours dans la pénombre, le visiteur est pris par une ambiance étrange qui le conduit à une sorte de fascination pour les visions du maître…C’est la maison toute entière qui est l’oeuvre, plus que les tableaux qui y sont accrochés…Qu’en pensez-vous?
Mauvaise nouvelle pour les gastronomes que nous sommes, du moins D, DHH, Lavande et moi Delaporte (de la cuisine) :
« Quatorze personnes ont été contaminées à la salmonelle après avoir consommé des reblochons entiers et des demi-reblochons au lait cru de la Fromagerie de la Tournette. »
Robuchon aimait bien le reblochon, qui lui rappelait son nom. C’est également un fromage qui fait mes délices, avec un peu de beurre frais. C’est magique. Feu Bocuse préconisait le saint-marcellin, un bon choix également. Le drame est que dans le monde moderne, ces délices gastronomiques deviennent du poison ! Il n’y a vraiment plus qu’à se suicider – ou à mourir de faim par consomption.
renato, est-ce que vous êtes un gastronome, également ? Peut-être, comme beaucoup d’Italiens. Mais vous mettez le fromage sur la pasta, et ce n’est pas si mauvais. Ce soir, j’ai mangé des pâtes à la ricotta. La ricotta, je l’aime bien ; elle me fait toujours penser au film de Pasolini, sacrilège des sacrilèges.
Quand on déguste des pâtes à la ricotta, on rajoute dessus du fromage râpé, et du sel. C’est très nourrissant, mais bien plus diététique qu’avec de la crème fraîche.
Je crois qu’un reblochon empoisonné, c’est encore plus terrible pour la réputation de la France qu’une après-midi de Gilets jaunes et de casseurs sur les Champs-Elysées, en plein Paris, mettant à sac le mobilier urbain.
Que boire avec un reblochon ? C’est assez simple, plutôt du blanc, genre Pouilly-Fuissé. Avec un saint-marcellin, encore du blanc, genre Châteauneuf-du-Pape, assez onéreux ; ou alors, plus abordable, pour un Gilet jaune, mais en rouge, un bon Beaujolais.
Signature du Brexit, un grand moment, un moment historique. Merci aux Britanniques !
_____________________________
« Quitter l’Union européenne n’est pas un moment de jubilation ». Le visage grave, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a qualifié cette journée du 25 novembre de « tragédie », alors que les dirigeants européens se retrouvaient à Bruxelles pour approuver l’accord de sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.
Le prochain homme politique français qui voudra se faire élire devra mettre dans son programme le Frexit. Et un jour nous fêterons cette date. Pourvu que ce ne soit pas un populiste ! Mais on ne peut pas tout avoir.
dédé vous n’avez aucune raison de partir. Personne ne vous harcèle et tout le monde apprécie vos déclarations de menu quotidiennes.
Traduction : elle arrête quand ses caprices de stars la Whitney Houston de Charenton ?
Dans la foulée du reblochon (spécialement pour DHH) :
un mort vivant est un oxymore alors qu’un occis mort est un pléonasme.
Variante sous forme de syllogisme:
Un mort vivant est un oxymore or un occis mort est un pléonasme donc un mort vivant est un pléonasme.
N’IMPORTEQUOI dit: 25 novembre 2018 à 19 h 03 min
Christiane, pour lavande, c’est du passé et je veux bien faire confiance à Phil. Ainsi l’affaire est close.
Alors, ne nous reste plus qu’à souhaiter que ce soit clos également pour DHH, que nous retrouvions notre quant à soi.
On ne va pas refaire la guerre du Donbas.
trouvé cela chez renato pour N’importe quoi
nota : quand on a apprécié de baiser avec une de ses centaines de conquêtes, on lui garde grande estime et reconnaissance éternelle. C’est la moindre des choses.
———
Vu First man de Damien Chazelle : fa-bu-leux.
Janet, Claire Foy, sublime femme de tête. Tout repose sur ses épaules.
Ed, est un hommé : c’est dit ds le film, il est le meilleur copain de Neil.
#jesuisNeilAmstrong.
nota bis : le désert du Mojave en Californie, un nous en avait parlé ici, en ce qui concerne les images tournées sur la lune.
« bon de géant pour l’humanité » et le « petit pas pour l’homme ».trouvé sur un site de ciné 🤐
Bien entendu il s’ agit de
« un petit pas pour l’homme et un bond de géant pour l’humanité ».
Durant 2h22, ai songé que 2001 Odyssée de l’ espace avait trouvé sa suite, son maître, comme vous voulez. Ainsi que Shining avec A bad time in El Royale hôtel.
Bravo au cinéma actuel tel qu’ il se porte : pépites sur pépites, nous sommes dans/sur une mine.
Dire que sont supplanté c’est débile.
Plutôt, la relève est assurée.
Les jeunes d’aujourd’hui, les journalistes et les réalisateurs, les scientifiques aussi, je les trouve formidables.
Quelle chance nous avons !
Deux moments de ma vie où ce que j’ai vu à la télé -de mes propres yeux- m’a imprégné la moelle osseuse :
l’homme qui a marché sur la lune : 1969
l’attentat du world trade center : 2001
renato
plus tard peut- être pour l’ art contemporain.
Suis ds les grandes explorations. L’ Erebus et le Terror dans le passage du Nord Ouest qui me fascine.
Et la culture orale des inuits fort mise en valeur : c ‘est par cette transmission que l’ Erebus a été retrouvé au sud de l’ île du roi William. Proche de la côte, par 11 mètres de fond.
ne retrouve pas le derniet com fait sur le thriller italien.
si un/ une a une idée…
…
…j’ai, passé, une bonne nuit,!…
Delaporte, je ne suis pas très pâtes, plutôt riz ; je ne dis toutefois pas non aux pâtes : certaines avec fromage d’autres pas — p. ex., dans les pâtes cacio e pepe il y a le fromage, tandis que dans les pâtes alle sarde, pas de fromage —.
Cela dit, je me partage entre trois nationalités, avec les cultures qui vont avec, je suis donc un cosmopolite malgré moi, même en cuisine.
Whaling Journal :
« … Jean-Claude Juncker a qualifié cette journée du 25 novembre de « tragédie »… »
J-C. J. ? Nous pourrions dire, flaubertiennement : « La tragédie c’est lui ».
« La sculpture vient avant la langue »
Yup’ik :
https://blogfigures.blogspot.com/2013/07/goose-mask-yupik-alaska.html
6h39, mon laconique propos sous entendait la dissipation de mes doutes.rien de plus à ajouter.
« La sculpture vient avant la langue »
On parlait il y a peu de la Maison de la Poésie, mais ce qui fait toujours défaut à Paris c’est une Maison de la Sculpture, renato !
rose les scientifiques aussi, je les trouve formidables.
Quelle chance nous avons !
vous etes vous intéressée à la fraude scientifique aujourd’hui?
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/coeur-et-cardio/le-cas-d-une-fraude-scientifique-massive-en-cardiologie_128666
VOIR LA TOILE
et ce jour le filet de mandarines!
16 novembre 2018
Intégrité scientifique : lettre ouverte à la ministre de la recherche
Le filet de mandarines en implant vaginal ce serait à pleurer de rire si ce n’était pas si triste et si inquiétant :
https://www.lemonde.fr/implant-files/article/2018/11/25/implants-medicaux-un-filet-de-mandarines-aux-origines-de-l-enquete-internationale_5388413_5385406.html
@closer dit: 25 novembre 2018 à 23 h 30 min
Mêmes impressions que vous : l’Hôtel particulier, devenu maison-atelier d’allure « Belle époque » et ses mille recoins, l’escalier à vis à double vrille élégant (que j’ai beaucoup dessiné), ses rideaux damassés accordés aux murs roses et grenat, les cheminées de marbre où s’entassent vases, pendules et objets divers, les parquets cirés qui craquent et ces casiers s’ouvrant comme des boîtes à trésors (châssis pivotants) et qu’on peut feuilleter comme un livre devant lesquels faire une halte pour dessiner, ces chevalets, ces cartons où découvrir de superbes dessins entourés de murs couverts de tableaux, cadre contre cadre, (peintures d’Histoire, scènes mythologiques, oniriques moirées de couleurs d’orange et de bleu, encadrées de cadres dorés, un peu trop mystiques et sophistiquées à mon goût) et d’aquarelles, des photos, des sculptures en cire et en plâtre, (une œuvre éclectique, symboliste), une boite pleines de pastels et de tubes tout tordus d’avoir été pressés qui ont servi, comme les palettes et qui dorment dans une poudre colorée. Quelques uns nous tirent vers le songe et l’abstraction (esquisses ?), mais trop d’accumulation… Des meubles raffinés, des miroirs enserrés, engloutis par les tableaux, les vitrines. Le boudoir réservé à Alexandrine Dureux, l’amie de cœur… Un jardin d’hiver luxuriant.
Un lieu hors du temps… Proust et Salvador Dali devait aimer y flâner.
J’apprends avec consternation que les gilets jaunes seraient en train de se chercher des porte-parole et, pourquoi pas, des chefs. Ce serait là tourner le dos à la principale originalité du mouvement qui, en dehors d’une tendance anti-macaron dominante, serait de réunir, dans un projet massif de pétage de péages et de gueules, les partis contraires, ultra-gauchistes et ultra-droitistes, ultra-chrétiens et athéistes forcenés, metooistes déterminées et machistes furibonds, antisémites fanatiques et philosémites passionnés, végan et anti-végan, etc. etc. — bref ce serait renoncer au caractère au cucul mais n’y nique et ramasse-toutou du mouvement.
christiane dit: 26 novembre 2018 à 10 h 05 min
Voilà un post qui devrait permettre à d’aucuns d’éviter d’acheter le guide officiel à l’entrée.
Merci Lavande
Je suis très friande de ces jeux d’inspiration oulipienne sur la rencontre inattendue entre sens et forme
« Occis mort / oxymore »;je ne connaissais pas ;très subtile l’analyse logicolinguistiqiue aristotélicienne que vous en tirez .
Moins subtil mais assez drôle ,dans le même esprit ,cette liste de mots ou d’expressions assorties de la définition de leur double phonétique
Ramadan : Ce que disait Eve pour faire avancer le bateau
Expatriées : Anciennes petites amies mal rangées
Théologie : Mais café au travail
Châtaigne : Félin méchant
Allégorie : pour encourager un gros singe
Mercato : Maman pratiquante
Sismique : Salaire élevé car correspondant à six fois le salaire minimum en France
La moustache : Le ketchup aussi
Patois Nîmois : Mais c’est qui alors ?
Groupe sanguin : Les loosers du Loto
le skieur alpin : Le boulanger aussi
Le crayon à papier : Donc il coule
Chinchilla : Emplacement réservé aux chiens pour faire leurs besoins
Portail : Cochon Thaïlandais
Gabon : Mec vraiment trop sympa
Perroquet : Accord du paternel
La maîtresse d’école : L’institutrice prend l’avion
Les ciseaux à bois : Les chiens aussi
Les tôles ondulées : Les vaches aussi
La camisole : La drogue rend solitaire
Aventurier : Maintenant tu ne ris plus
Un enfoiré : Une année de perdue
Le Massif Central : Le gros au milieu
Le mascara : Déguisement pour rongeurs
: Pilote d’essai : Chauffeur de corbillard
Il faut s’y faire : Expression utilisée pour les chevaux à six pattes
Se faire à l’idée : Faire l’amour avec Johnny
cette homonymie peut porter sur des phrases entières : vous connaissez surement « Gal amant de la reine….. »
Mais connaissez-vous celle-ci :
Célimène a tendu six roses lasse au thé(c’est l’hymen attendu, sire ose la sauter )
v
DHH dit: 26 novembre 2018 à 10 h 12 min
Je suis très friande de ces jeux d’inspiration oulipienne
disons d’inspiration almanach Vermot
DHH connaissez-vous le livre dont je parlais le 23 novembre à 10h10 (« Sans toi je serais en route pour un grand voyage ») et dont nous avons parlé avec Christiane qui a même réussi à en trouver le texte intégral sur le net (Christiane 15h15)?
Il me semble que la citation exacte est : « La sculpture précède les langues » — Michel Serres je crois.
D’ailleurs, Jacques, si vous regardez attentivement trois pointes de flèches en silex d’une même époque vous comprenez tout de suite pourquoi.
https://blogfigures.blogspot.com/2011/04/yupik-mask-wolf.html
[Jamais entré da une Maison de quoi que ce soit, et je tiens à conserver la tradition.]
Très drôle en effet. Pour mettre de bonne humeur le lundi matin.
saprée dhh, maître Capello (dernier agrégé de grammaire à la tivi française avant déliquescence) du prestigieux blog à Passou, « cent francs dans le goret »
C’est aussi beau que des définitions de mots croisés d’un Georges Perec, DHH !
Le réalisateur italien Bernardo Bertolucci est mort à l’âge de 77 ans
renato dit: 26 novembre 2018 à 10 h 27 min
Il me semble que la citation exacte est : « La sculpture précède les langues » — Michel Serres je crois.
On n’en sait fichtre rien vu qu’on n’y était pas. Ce serait effectivement de Michel Serres que ça ne m’étonnerait pas : il est coutumier de ce genre d’assertions aussi péremptoires qu’invérifiables.
Théologie : Mais café au travail
Sacrecouille j’ai dû la lire 3X !
« Bernardo Bertolucci est mort »
Une génération de cinéastes qui s’en va…
Les derniers films notables de Bertolucci remontent au milieu de la décennie 1990/2000. Cela fait près de trente ans. Adieu au has been.
@Jacques R., 26 novembre 2018 à 10 h 32 min
Vos opinions et un crachat sur le trottoir ça revient au même.
Ed dit: 26 novembre 2018 à 10 h 36 min
Théologie : Mais café au travail
Théologie ? — Non, je suis sur les Champs (un gilet de couleur indéterminée)
Bertolucci : Berthe, ô Lucie !
Un film assez étrange de Bertolucci, que l’on peut (re)voir ici en intégralité.
https://www.youtube.com/watch?v=6axP_LWvmLQ
Je ne dirai pas que mes opinions sont autant de crachats dans la gueule de Renato : restons korrekt. Heil !
restons korrekt. Heil !
(un gilet jaune has been)
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