Dubois, qualité française
La qualité française, on voit bien que cela a pu être au cinéma depuis l’après-guerre. Il y eut les films de François Truffaut, puis ceux de Claude Sautet, les uns et les autres frappés de ce label, noble ou indigne selon les points de vue et surtout le ton avec lequel il est prononcé. L’expression est née d’ailleurs à la suite d’un article retentissant de Truffaut en 1954 dans les Cahiers du cinéma « Une certaine tendance du cinéma français » dans lequel il dézinguait Autant-Lara, Delannoy, Clément, Carné, Clouzot, Clair, Duvivier et surtout les scénaristes-dialoguistes au service de leur prétendu « académisme » Aurenche & Bost (ça les a tués professionnellement pendant de nombreuses années, jusqu’à ce que Tavernier les réhabilite). Au cinéma, on connaît et avec le recul, on se réjouit que cette qualité française ait existé. Ce pourrait être un label « »NF » » (norme française) comme on en trouve sur les bons-produits-de-chez-nous. Mais en littérature ?
Chacun pourra y mettre qui bon lui semble (Modiano, Quignard, Michon ?…) comme des équivalents en qualité aux Renoir and co. Mais face à Sautet, s’il y en a un qui m’a toujours paru s’inscrire naturellement, c’est bien Jean-Paul Dubois. Non que l’univers de l’un (la bourgeoisie parisienne des années 70 dans ses bistrots, ses restaurants, ses dîners, ses maisons de campagne, ses villégiatures mais aussi ses échecs et ses désillusions) se reflète dans celui de l’autre. C’est juste que le tempo de Jean-Paul Dubois, sa voix, son rythme, correspond à l’idée que l’on peut se faire de romans bien français dans la meilleure acception de l’expression. Question de facture, de tournure, d’esprit, de musicalité plus que de clarté (ah, la fameuse clarté française héritée de Descartes…). Il y a chez lui une douceur, un rapport au temps (du genre à évaluer la vitesse d’une goutte de pluie), une tendresse pour ses personnages, qui font sa signature et laissent des traces chez le lecteur.
Dans Une vie française (2005) (« française », justement), le photographe arboricole Paul Blick semblait appartenir à la rare cohorte des personnages de roman destinés à rester gravés dans le disque dur de notre mémoire. Une histoire personnelle rythmée par les mandats des présidents de la Vème de De Gaulle à Chirac. Il est doté d’une vraie légèreté. On est heureux de l’avoir lu mais une fois refermé, il n’en reste rien, si ce n’est le souvenir d’un instant délicieux. Un humour exquis, qui rend plus soudaine et inattendue la fin si grave.
Pour arriver d’un coup en série, les drames ne relèvent pas pour autant de la série noire. Parce que le récit, le personnage et l’auteur lui-même ont trop de charme pour assombrir. Trop nonchalant pour être vraiment désespéré, trop indolent pour succomber à la tristesse. Avec ce qu’il faut de mélancolie, et une touche de nostalgie, c’est cela qui reste au fond, un charme indéfinissable, et c’est déjà beaucoup, même s’il triomphe au détriment de la profondeur. On comprend que Rabbit en paix (1993) de John Updike soit l’un des romans étrangers qui ait le plus marqué Jean-Paul Dubois.
Les impressions provoquées il y a une dizaine d’années par la lecture d’Une vie française, puis par le Cas Snejder, sont du même ordre que celles suscitées ces jours-ci par son nouveau roman La Succession (240 pages, 19 euros, éditions de l’Olivier). Charme… légèreté… mélancolie… humour… Et le goût d’une certaine Amérique. On y suit un homme du nom de Paul Katrakilis, dans sa folle tentative de se débarrasser d’une malédiction familiale. Quelque chose de l’ordre d’une fatalité génétique : la volonté d’en finir. Entendez : une longue chaîne de suicides.
« Il ne faut jamais se tromper de vie. Il n’existe pas de marche arrière » aimait à lui répéter son père.
Il aime la vie pourtant. Surtout la vie d’avant semble-t-il. Du genre à écouter ronronner des voitures de collection, la Triumph notamment. On en connaît qui murmurent à l’oreille des chevaux ; lui est plutôt du genre à s’entretenir avec sa tondeuse à gazon (une Briggs & Stratton, tout de même, les connaisseurs apprécieront). Il a une âme de bricoleur. C’est dire que ce Paul ressemble à Jean-Paul. Un homme libre depuis qu’il a su se rendre propriétaire du temps, du moins le sien. Aussi décalés l’un que l’autre.
Il est vrai que la famille en question est si perturbée qu’elle en est perturbante. La famille, ce qu’on ne choisit pas. Ici, ce qu’on subit. Des grands dépressifs mais dépourvus de sens du tragique. On ne s’ennuie pas avec eux. Tous plus ou moins médecins de grand-père en petit-fils. Le grand-père débarqué de Russie a même réussi à ramener une lamelle du cerveau de Staline dans ses bagages. Sauf que notre héros, lui, quoique diplômé de médecine pour ne pas faire mentir l’atavisme, un rien immature, a la sagesse de se tirer de Toulouse après avoir appris le métier de pelotari au pays basque. Car c’est aussi un métier. Il a décidé de vivre de sa passion de la cesta punta en s’inscrivant dans le circuit des pros au World Jai-Alai de Miami qui cognent sur le fronton, et escaladent les murs pour rattraper une balle, pour un salaire tandis qu’autour d’eux des Américains déchainés lancent des paris insensés sur les performances et l’issue des parties.
C’est spectaculaire à souhait. Parfois violent mais dès qu’il en sort c’est pour flotter délicieusement dans le territoire de l’éphémère. Quelque chose en lui de Bartleby. Quand il ne joue pas, préfèrerait ne pas. Les quinielas sont rapides, brèves, intenses. La balle défonce parfois la chistera à 300 kms/h. Le public est très business/business, bigarré, poisseux, hurleur, véreux, on ne lui achèterait pas une voiture d’occasion, mais qu’importe. Vivre pour jouer et jouer pour vivre, il en rêvait sauf que lui, c’est vraiment le goût du sport pour le sport, l’art pour l’art. A ce niveau-là, la passion pour un sport devient un mode de vie, ce que Dubois rend remarquablement, sans forcer la note. Il y a en lui quelque chose d’une force intranquille.
A la faveur d’une grève pour obtenir une amélioration de leurs conditions de travail, il perd tout. Retour à Toulouse, case départ, un rien désenchanté ; il pourra toujours y faire de la voile et barrer son bateau tout en suçant des Fisherman’s Friend. D’autant que son père n’est plus. Il a sauté du troisième étage, mais pas comme n’importe qui : mâchoire scotchée (surtout éviter la tentation de crier) et lunettes solidement fixées (surtout ne pas rater le spectacle de sa propre mort). Il faut liquider la succession, reprendre le cabinet, ce qui ne se fait pas d’une main d’osier fut-elle douée. Dans la maison du défunt, ça sent encore la mort. Dramatique mais jamais morbide.
C’est que l’auteur a de la tenue en toutes circonstances, dans la vie comme dans son écriture l’une n’allant pas sans l’autre ; quelle que soit la circonstance, outre son goût de l’absurde bien tempéré, il y met la touche d’humanité qui change tout. Cette fois, il fait plus sombre à l’intérieur de lui que dans ses autres romans. Un rien de gravité probablement. Il est vrai que la succession n’est pas qu’une question d’héritages en toutes choses mais aussi de répétitions. Tout revient de retours en retours. Mais comment éviter la malédiction familiale qui finit par le rattraper malgré tout ?
(Les photos sont de Marc Riboud/ Droits réservés. Elles sont sans rapport direct avec le thème du billet, encore que… C’est juste une manière de saluer ce grand photographe qui nous a quittés aujourd’hui à 93 ans).
1 793 Réponses pour Dubois, qualité française
Non, je n’écris que des choses très intelligentes sur les livres justement. Popaul a un jugement très sûr.
Et les jugements de ce pauvre débile de chaloux, si tu savais comme je m’en tape, mon pauvre ami ! Si tu savais comme t’es insignifiant à mes yeux. T’es simplement là comme une grosse m… au milieu de la paroisse et faut faire sans arrêt attention à ne pas te marcher dessus.
Mon pauvre Alba.
Na na na na na
C’est toi qu’es pauvre en esprit, geistarm, comme dirait Heidegger. T’es aussi pauvre en monde, espèce d’abruti, weltarm.
Comme les bêtes. D’ailleurs t’es une espèce de bête, une sorte de monstre qui dégoute tout esprit rationnellement constitué.
« Pauvre en monde », de la part d’un type comme toi, Alba, qui n’est pas sorti de chez lui pendant deux mois, qui n’a rien fait, qui n’est allé nulle-part, qui n’a vu personne, l’insulte ne manque pas de saveur. Quant à être pauvre d’esprit, j’ai connu des épiciers qui valaient cent fois mieux que toi. Tu dis.paraîtras en ignorant ce qu’est la vie.
Alba, ta détresse fait peine.
Ce ne sont que des mots et encore juste écrits, déposés même pas dits mais pour une fois qu’un individu en dehors de votre cercle intime réussit à vous émouvoir, c’est à noter dans les anales. Je lis une rivalité entre WGG et vous, Chaloux, qui après m’avoir agacée tant ce qu’elle occasionne comme phrases désagréables et brutalités inattendues entre lettrés qu’on présuppose au dessus de ce genre de bassesses me conduit à une lassitude indifférée, blasée et déçue de ne pas même rencontrer dans un lieu où l’on devrait l’y trouver cette réserve accompagnée d’une argumentation qui jamais ne veut céder à la partialité grossière qui pour trouver raison sort une épée qui tranchera pour éclabousser le débat d’insultes sans chercher à imprimer plus de marques de respects que ce que la belle intelligence mériterait.
« Pauvre en monde », de la part d’un type comme toi, Alba, qui n’est pas sorti de chez lui pendant deux mois, qui n’a rien fait, qui n’est allé nulle-part, qui n’a vu personne, l’insulte ne manque pas de saveur.
Je crois me voir!
Vous devriez laisser Heidegger là où il est au fond de sa tombe, il n’y est pas trop mal à mon avis, pourquoi l’exhumer! Regardez tous ces néo nazis qui font le score en Allemagne et n’en ont vraisemblablement pas lu une ligne, l’être et l’étant, la belle affaire reconduite à la frontière.
je viens de lires les abjections fascisantes du vieux débris, le fameux Porquerollix, c’est abasourdissaznt de bêtise!
Car, vieux débris, ça se passe en Allemagne, et pas ailleurs. Et, comme tu ne le sais sans doute pas, depuis 1945, l’Allemagne est scrutée souz tous les angles. Donc, si Merkel avait verrouillé l’Allemagne, que n’aurait-on entendu sur les réminiscences de la politique raciale du Reich, du Blutrecht, xétéra, xétéra..;là, elle a ouvert imprudemment les frontières, laissant passer pas mal de djihadistes fondsu dans la masse des Syriens, et on se déchaîne aussi.
Autrement dit tout faux, tout le temps. Alors, tu comprendras, Porquerollix que ce sue tu racontes ne vaut pas un caramel. Prépare-toi pur l’apéro. je ne poserai pas d’oursins sur ta chaise..quoique..;
Chaloux , Alba n’est pas Borges mais Borges donne l’exemple d’une immobilité aveuglée productive.
Aussi la curiosité est-elle caractérisée par une incapacité spécifique de séjourner auprès du plus proche. Aussi bien ne recherche-t-elle pas non plus le loisir du séjour considératif, mais l’inquiétude et l’excitation que donne le toujours nouveau et le changement incessant d’objet rencontré. En son non-séjour, la curiosité se préoccupe de la constante possibilité de la distraction. La curiosité n’a rien à voir avec la contemplation admirative de l’étant, avec le thaumazein, ce qui lui importe n’est point d’être frappée d’incompréhension par la stupeur, mais elle se préoccupe d’un savoir simplement pour avoir su. Les deux moments constitutifs de la curiosité : l’incapacité de séjourner dans le monde de la préoccupation et la distraction vers de nouvelles possibilités, fondent le troisième [173] caractère d’essence de ce phénomène, ce que nous appelons l’agitation. La curiosité est partout et nulle part. Ce mode de l’être-au-monde dévoile un nouveau mode d’être du Dasein quotidien, où celui-ci ne cesse de se déraciner.
Le bavardage gouverne également les voies de la curiosité : il dit ce que l’on doit avoir lu et vu. L’être-partout-et-nulle-part de la curiosité est remis au bavardage.
Puisque, Berguie, tu es d’accord avec moi, je reconnais volontiers que tu as bon jugement !
Angela a tout faux ! tout ce que tu racontes et que tout le monde sait bien est de la pure décoration, de l’emballage japonais, de la tournicote germanique, bref détails pour faire joli…
Toute cette décoration, je m’en tape la mentule contre la Kanzlerin qui a ouvert la porte, et te recommandant un peu de repos…
T’inquiète pas, Vieudébrix.
A suivre les échanges qui se multiplient depuis hier sur le cas Heidegger, je suis un peu interloquée qu’un sujet aussi anecdotique puisse susciter de telles empoignades bloguesques . En effet quel est le problème ? Pour ceux-dont je ne suis pas- qui on lu compris et apprécié l’apport de Heidegger à la philosophie ,l’homme Heidegger n’a pas d’importance ;pour les autres qui s’attachent au personnage historique , qu’il ait eté nazi est probable ,pas surprenant compte tenu de sa proximité avec le régime et, si c’est avéré,cela ne reprsente qu’un cas parmi d’autres de ces nazis par ailleurs éminents ,et qui merite la même attention qu’eux, ni plus ni moins .
En lisant ces posts mâtinés d’attaques ad hominem sur le sujet, je pensais à un dessin de Sempé dans son recueil Saint-Tropez
On y voit une famille nombreuse de campeurs prolétaires installée sur la plage et la légende est la suivante : C’est la mère qui dit à un des enfants : « Même si tu as raison et qu’en 1965 Soraya n’était plus avec Gunther Sachs ,ce n’est pas une raison pour parler comme ça à ton père »
Je suis également convaincu que Berguenzinc est bon, même s’il est dans l’erreur. Cela se ressent dans l’astral. Mais JC n’est pas moins bon que lui. En fait ici tout le monde est plutôt bon, bien que Bérénice me fasse peur, elle n’est pas une mauvaise fille. Disons qu’elle a mal été influencée.
ah, j’avais oublié DHH. Il n’y a pas meilleure personne qu’elle.
Encore que j’ai failli réellement ‘taper de la mentule sur la Chancelière’ quand elle était à Bayreuth pour le Ring de Ricardo Wagneropoulos, robe longue à chillier taillée dans les rideaux de la chambre de la grand-mère, alors qu’elle n’était que le bébé dauphin du Gros Kanzler de l’époque.
La vérité m’oblige a dire que j’avais trébuché, et que son garde du corps était un type distrait !…..
*27,28,30 juillet et 1er aout 2003
Comment étais-je habillé ? Jeans délavé, veste italienne légère en lin écru, polo noir avec écrit en tout petit : « A bas le fascisme wagnérien ! », chaussures noires sales, barbe d’1 mm.
Seul un Japonais, petit et rieur, était plus déguenillé que moi qui m’était fait « beau » pour la circonstance … Malgré cette laideur visible, la Kanzlerin est venu vers moi et m’a demandé :
« Vous êtes un ami de Berguie et Wiwi, ils sont avec vous ? »
J’ai menti.
Je me suis entendu répondre :
« Non ! ils détestent Heidegger, Wagner et l’Allemagne … »
@bérénice dit: 5 septembre 2016 à 9 h 52 min
Je ressens la même chose, hors votre première phrase. « Détresse » me parait pouvoir être remplacé par « Wanderer ».
Deux citations :
« Ici, le sens s’effondre d’abîme en abîme, jusqu’à risquer de se perdre dans les gouffres sans fond du langage. » (Walter Benjamin)
ou encore cette citation de Nietzsche:
« […] peut-être n’y a-t-il rien de plus terrible ni de plus inquiétant, dans toute la préhistoire de l’homme, que sa mnémotechnique. On grave une chose par le feu afin qu’elle reste dans la mémoire: seule la chose qui ne cesse pas de faire mal reste dans la mémoire. […] »
Comme s’il comprenait, cet abruti, ce que veut dire en allemand « weltarm » ! Relier ça au fait de sortir ou pas de chez soi… Vraiment à pisser de rire. Faut venir sur un blog pour lire de telles âneries. Ou aller prendre un verre au café du coin.
Quelle misère ! Quelle pauvreté en monde !
@DHH dit: 5 septembre 2016 à 10 h 19 min
Délicieux le dessin de Sempé ! et plein d’étonnement partagé pour ce que vous exprimez à la lecture de cet interminable passe d’armes.
Ah, voilà que la castafiore pointe le bout de son clavier… Ah, bah, on n’est pas près de sortir du cauchemar rdlesque…
Te mêle donc pas de ce qui ne te regarde pas ! Ça vaudrait mieux. Tu ne sais pas qui je suis et t’es bien incapable de jamais le savoir. Alors ferme-la au lieu de faire des charades vulgaires et insignifiantes sur mon compte !
Il n’y a jamais eu de passe d’armes, pauvres idiots !
Pour qu’il y ait une passe d’armes, faut d’abord qu’il y ait des armes. Et vous avez vu quelque arme que ce soit dans le cerveau de Pablo ? Moi pas ! Je n’ai vu que borgborigmes, crachotis, insultes en tout genre. Aucune idée, pas le moindre segment d’idée de quelque sorte que ce soit. Il ne lit même pas ce que j’écris, cet abruti. Il reste enfermé dans son petit monde petit bourgeois quand moi je fais l’effort de penser. Et vous appelez ça une passe d’arme ! Eh ben, mes co.chons, vous n’êtes pas bien difficiles sur la qualité des échanges intellectuels.
Lisez plutôt le Parménide, Le Sophiste et le Gorgias de Platon au lieu de venir lire ici des échanges sans intérêt avec un abruti comme Pablo. Ça vous aidera à comprendre l’importance de la pensée de Heidegger dans la pensée occidentale si vous accordez quelque importance à ce qui s’appelle la Culture. Sinon, restez couchés ! Ou allez à la plage.
@WGG 10 h 47
de Christiane ou moi laquelle des deux doit selon vous se reconnaître en Castafiore?
D’ailleurs cela conviendrait probablement les deux pour un certain nombre des habitués du blog
interminable au pluriel, Christiane.
…. vos gueules, raclures de Castafiore ! …
Si vous m’avez bien lu, il est évident que je ne parlais que de christiane qui se permet de tenir à mon égard des propos auxquels malheureusement elle nous a habitué depuis longtemps mais qui n’en demeurent pas moins tout à fait inconsidérés, vulgaires, détestables en tout point, et pour tout dire impolis et inadmissibles. C’est tout.
Juste une question, Widergänger: vous n’en avez pas assez de vous ridiculiser sur ce blog, depuis près de dix ans ? Tous vos commentaires sont en réalité pompés sur le net – seules les insultes sont de vous.
Ainsi par exemple de votre premier post de 9h37. Vous écrivez: «Car le projet ontologique de Gilbert Simondon est de penser l’individu à travers l’individuation dans tous les domaines de réalité : physique, biologique, et psycho-social ou « transindividuel » etc
Il s’agit en réalité d’un copier-coller d’un article de Ludovic Duheim très facile à trouver en ligne, et dont voici le début : « «Car le projet ontologique de Gilbert Simondon est de penser l’individu à travers l’individuation dans tous les domaines de réalité : physique, biologique, et psycho-social ou « transindividuel » etc ».
C’est du mot pour mot. Vous n’êtes qu’un vulgaire et ridicule plagiaire, un bouffon de blog, pas davantage.
En dehors des insultes, menaces et propos dégradants, vous n’existez pas.
On voit très bien la filiation intellectuelle de Heidegger à J. Derrida à partir de ce qu’écrit ici Heidegger dans son Séminaire de Zürich de novembre 1951, quand il écrit notamment :
« Mais la métaphysique en tant que telle ne peut jamais penser la dimension dans laquelle elle se déploie elle-même (…) La métaphysique ne s’enquiert jamais du déploiement, c’est-à-dire de la provenance de ce mouvement d’aller de… (l’Être) à… (l’étant) ; elle ne pense jamais cette différence comme différence. »
(Séminaire de Zürich, novembre 1951)
Il est évident que c’est de là qu’est né, chez Derrida, le concept de « différAnce ». Il est clair que Derrida, à cette époque-là, pense dans le droit fil de Heidegger, qu’il remet en question à la fin de sa vie en 2003 dans le Séminaire sur « La bête et le souverain », parce qu’entre-temps il s’est mis, toujours d’ailleurs dans la lignée de Heidegger, mais en mettant en œuvre un authentique « dépassement » de la métaphysique, pourant initié par Heidegger, dans la pensée de la déconstruction de la métaphysique, qui n’a jamais été une chose claire chez Derrida.
Et de Sein und Zeit, qui devait, dans sa troisième section de la Deuxième partie (jamais écrite), qui devait opérer un « retournement », et s’appeler « Zeit und Sein », est née toute la pensée de ce penseur français encore très mal connu qu’est Gilbert Simondon qui inaugure une nouvelle métaphysique mais non de l’Être (ontologie logocentrée) mais du Temps, du Devenir avec au centre le processus de l’individuation pour penser la réalité du monde.
Je n’accorde quant à moi aucune admiration particulière pour la pensée de Heidegger, contrairement à ce que croit ce pauvre abruti de Pablo. Heidegger m’intéresse en tant que moment capitale de la culture au XXè siècle. Je défends simplement, à son propos, qu’il est abusif de l’accuser sans ménagement d’être un antisémite parce que c’est manifestement une injustice. Je me bats contre une injustice. C’est tout. Je n’ai pas l’esprit moutonnier, le panurgisme qui produit des foules en masse qui veulent sans cesse se livrer au lynchage de tel ou tel, comme si la foule était toujours avide de sang. Ça me répugne.
Quand certains, ici, parlent avec le ton de la plus parfaite innocence, avec mimique d’étonnement navré, de propos :
« tout à fait inconsidérés, vulgaires, détestables en tout point, et pour tout dire impolis et inadmissibles. »
… c’est comme si on réentendait Jérôme Cahuzac le Fourbe nous dire, les yeux dans les yeux, la bouche en cul.te de poule suisse :
« Je suis un socialiste respectueux des lois de la République. Ayez confiance en moi… je vous le dis, en vérité ! Je n’ai pas de compte caché … »
« Je me bats contre une injustice » (Wiwi)
Moi aussi ! et pour le parler vrai :
« Jugeons en cour martiale, tardive, les généraux morts qui envoyèrent tant de jeunes Français, tant de jeunes Allemands à la mort durant WWI…pour une colline, perdue le lendemain »
Que la mémoire de ces incapables soit à jamais entachée d’opprobre !
Et si vous voulez comprendre quelque chose à Heidegger, vous pouvez commencer par lire Jean-François Mattéi, qui me paraît être une excellente introduction à qui désire comprendre de quoi il est question :
https://books.google.fr/books?id=QRELCwAAQBAJ&pg=PT234&lpg=PT234&dq=das+ding+heidegger&source=bl&ots=3UWexer6BQ&sig=PxSnLMHoU0yG8AbsNsDf-9V5kpM&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiz2qel0-rOAhXHBBoKHbJpDkkQ6AEISDAF#v=onepage&q=das%20ding%20heidegger&f=false
Et cet autre livre de J.Fr. Mattéi : L’Homme dévasté, pour comprendre ce qu’est la métaphysique occidentale, et sa déconstruction, et en quoi ça nous regarde de très près. Maintenant on peut aussi se contenter de lire des romans ou de rester couché. C’est une autre option. Chacun fait comme il le sent. Mais qu’on ne vienne plus m’emm.erder avec l’antisémitisme de Heidegger !
@DHH dit: 5 septembre 2016 à 10 h 59 min
Cet homme… charmant ne s’adressait qu’à moi avec son élégance habituelle ! Il se donne en spectacle et refuse qu’on le regarde… Drôle de comédien…
Malheureusement pour juger l’armée d’un pays, c’est très difficile. Parce qu’un pays a toujours besoin de son armée. Entacher d’opprobre l’armée d’un pays c’est courir un risque trop grand en la délégitimant.
C’est comme moi, j’ai renoncé à attaquer en justice la SNCF qui a pourtant déporté des membres de ma famille parce que ceux qui auraient à payer seraient forcément des gens, les citoyens français d’aujourd’hui, par leurs impôts, alors qu’ils sont innocents de ces crimes. Tout n’est pas simple dans la communauté nationale. Pourtant je suis allé un jour voir Me Leclerc, dans son cabinet d’avocat, expressément pour cette raison, et l’une de ses collaboratrice était prête à s’occuper du dossier. Mais devant ce fait, j’y ai renoncé. Il ne sert à rien de s’acharner pour demander une justice qui n’est manifestement plus celle des hommes possible. Il faut aussi qu’une communauté nationale sache faire son deuil des crimes du passé.
« Maintenant on peut aussi se contenter de lire des romans ou de rester couché. » (Wiwi)
Lire des romans ? Pourquoi faire ?… Rester couché avec une ou deux migrantes dévoilées est largement suffisant, les nuits sont aussi longues que nos désespoirs ….uhuhu !
@D. dit: 5 septembre 2016 à 11 h 04 min
Je vous accorde volontiers ce pluriel. ce n’est pas un raisonnement, c’est du pilonnage. Sauve qui peut !
Les pensées de Wgg
« Il reste enfermé dans son petit monde petit bourgeois quand moi je fais l’effort de penser. »
Il pense :
« Comme s’il comprenait, cet abruti, ce que veut dire en allemand « weltarm » ! Relier ça au fait de sortir ou pas de chez soi… Vraiment à pisser de rire. Faut venir sur un blog pour lire de telles âneries. Ou aller prendre un verre au café du coin.
Quelle misère ! Quelle pauvreté en monde ! »
Il pense :
« Ah, voilà que la castafiore pointe le bout de son clavier… »
Il faut comprendre Widergänger, qui paraît ce matin au bord de l’apoplexie: on l’empêche de parader ici, un blog qu’il croit sien, qu’il veut transformer en un endroit dédié à sa gloire. Du coup, quand on lui met le nez dans son ca.ca mental, il hurle, en risquant l’infarctus. Sa
façon de réagir est typique de gosses autistes. On lui enlève son jouet et il devient fou. Son comportement est de plus en plus pathologique, de plus en plus inquiétant. Je crains de plus en plus pour sa santé mentale et physique.
Il fait vraiment de la peine à voir dans cet état de désintégration mentale avancée.
@ Widergänger
Je sais que je ne devrais pas le dire, mais je vais le dire: plus je te fais aboyer des insultes, plus je suis content. Étant assez sadique de nature (un jour je te raconterai mes aventures dans les clubs SM parisiens), je t’avoue que tes hurlements de douleur me font grand plaisir.
Par contre, je crains quand même que ça finisse mal. Je n’aimerais pas avoir un mort par apoplexie ou par infarctus sur la conscience. C’est pour ça que je ne tape pas trop fort et te demande de pas trop m’exciter avec des cxnneries trop grosses. Dans l’état physique et mental où tu es, les jeux SM peuvent être dangereux.
@ Widergänger
« Ah, bah, on n’est pas près de sortir du cauchemar rdlesque… »
Si tu souffres tant ici, pourquoi tu ne crées pas ton propre blog? Tu pourrais ainsi censurer tous les commentateurs qui te contredisent, exposer tes théories délirantes sur tout et n’importe quoi sans risquer la rigolade générale et te proclamer le Pic de la Mirandole du XXIe siècle sans que personne te désavoue.
Que d’avantages… En plus j’irai te saluer de temps en temps et te raconter comment ça se passe dans « La République des livres » enfin pacifiée sans toi.
« Avec un idiot qui croit défendre les juifs en disant de si grosses sottises sur Buchenwald, les juifs et Wagner »
(Widergänger)
« At Buchenwald, nightly concerts blared from radios, disturbing the prisoners’ sleep. »
« Il y avait des orchestres de prisonniers (toujours avant la guerre) à Sachsenhausen, Buchenwald et Dachau. »
La bêtise de Widergänger n’est comparable qu’à son ignorance. Et les deux sont infinies.
. Ça vous aidera à comprendre l’importance de la pensée de Heidegger dans la pensée occidentale si vous accordez quelque importance à ce qui s’appelle la Culture. Sinon, restez couchés ! Ou allez à la plage.
WGG aucun n’a mis en cause cet aspect, vous ne vouliez pas seulement reconnaître qu’il ait été anti-sémite et de ce fait a produit une pensée qui s’accorde avec cet état d’esprit qui si l’on veut qu’il éclaire une partie de son oeuvre philosophique en donne une compréhension nuancée qui bien sûr selon la volonté du lectorat peut être mise de côté pour obtenir une lecture différente épurée de cet antisémitisme ( les juifs n’ont pas de monde donc pas d’être au monde , peuvent ainsi être éliminés). Vous avez également nié qu’il ait été proche du régime nazi.
Il est important de penser, certes, mais sans un mot qui ne soit drôle, et à l’horizontale….
Suivez l’exemple de Simone aux USA, mes sœurs !
Christane 10h41: nous n’avons pas la même expérience de l’homme , concernant la première phrase, que je ne pourrais pas effacer.
Ci-dessous, article pour les amateurs de choucroute :
» les abjections fascisantes du vieux débris, le fameux Porquerollix, »
Mais c’est que l’adolf de pq est très fier d’être un vieux débris fhaineux il ne peut pas attirer l’attention autrement- cqfd
« Je sais que je ne devrais pas le dire, mais je vais le dire: plus je te fais aboyer des insultes, plus je suis content. »
Ah c’est malin. Quel c.n
Ne ratez pas ce soir sur France à 23h25 un portrait de Fernand Braudel, « l’homme qui a réinventé l’Histoire ».
Très bonne critique aussi de ce document dans « le Monde ».
Disons qu’elle a mal été influencée.
D influencée par le Mal et le mâle, je suis un triste résultat .
« si Merkel avait verrouillé l’Allemagne, que n’aurait-on entendu »
surtout qu’elle s’efforce de calmer les neonazes
mais c’est tellement facile de lui tomber dessus
Les c.ns ont toujours besoin d’un ou plusieurs boucs-émissaires
@ Widergänger
« Il est vrai qu’à la mort, en 1828, de Schubert, l’anatomie patho-logique n’existait pas encore. Par contre, les deux exhumations en 1866 et en 1888, dont l’objectif était le transfert de la dépouille du musicien dans le quartier des artistes de Vienne, ont permis de soumettre le squelette de Schubert à un examen histologique et radiographique : les deux semblent avoir permis l’élimination de lésions de nature syphilitique.»
« Fin 1822-début 1823, Schubert contracte une infection vénérienne. Différents indices (symptômes, déroulement ultérieur de la maladie) laissent penser qu’il s’agit de syphilis Il effectue vraisemblablement en octobre 1823 un séjour à l’Hôpital général de Vienne. Par la suite sa santé, malgré quelques rémissions, ne cesse de se dégrader, ce à quoi contribue le traitement au mercure habituel à l’époque. […] Bien qu’atteint de syphilis, après deux semaines de maladie, il meurt de la fièvre typhoïde (ou typhus abdominal) le 19 novembre 1828 à 31 ans. » (Wikipédia)
Si tu étais moins id.iot tu saurais que dans la syphilis il y a plusieurs stades avec des atteintes diverses et variées, et que les lésions osseuses se produisent dans le stade tertiaire de la maladie, qui arrive entre 3 et 15 années après la contamination.
Donc, ta « démonstration », encore une fois, est stu.pide.
Comme d’habitude.
Chevillard se demande s’il ne perd pas son temps à défendre de bons livres quand tant de mauvais à pourfendre…
« J’éreinte dans Le Monde des Livres le très médiocre roman de Yasmina Khadra, Dieu n’habite pas La Havane. », écrit Chevillard sur son blog.
L’éreintage, de toute façon, c’est pas joli, et c’est facile. Mieux vaut garder le silence. En revanche, l’éloge justifié, ça demande beaucoup de discernement, beaucoup de délicatesse. Et puis c’est très utile quand on défend un livre dont personne d’autre ne parle.
@ de nota
« Bellamy, il a un tonton dans la police viennoise qui lui a refilé le tuyau sur Schubert? »
Tu peux lui demander directement à lui, il a un blog sur le site de Radio Classique. Bellamy, en plus d’un spécialiste de Schubert, est un type très sérieux et cela m’étonnerait beaucoup qu’il ait inventé cela. Probablement quelqu’un qui travaille sur l’ami Franz lui a donné l’information avant de la rendre publique dans un livre.
Il va nous falloir définitivement construire un mur ( de la honte) entre l’oeuvre et l’auteur, c’est déjà fait concernant beaucoup d’entre eux, il nous faut croire aussi que l’expérience de vie n’a aucune influence sur l’oeuvre puisque l’auteur s’en dissocie pour produire des merveilles.
La Truite , par Francis Blanche et Franzie Schubert
Elle était jeune fille,
Sortait tout droit de son couvent,
Innocente et gentille,
Qui n’avait pas seize ans.
Le jeudi, jour de visite,
Ell’ venait chez ma mère,
Et ell’ nous chantait la Truite,
La Truite de Schubert.
Un soir de grand orage,
Ell’ dût coucher à la maison ;
Or, malgré son jeune âge,
Ell’ avait d’ l’obstination.
Et, pendant trois heures de suite,
Au milieu des éclairs,
Ell’ nous a joué la Truite,
La Truite de Schubert.
On lui donna ma chambre.
Moi, je couchai dans le salon.
Mais je crus bien comprendre
Que ça ne serait pas long.
En effet, ell’ revint bien vite,
Pieds nus dans les courants d’air,
Pour me jouer la Truite,
La Truite de Schubert.
Ce fut un beau solfège,
Pizzicati coquins,
Accords, trémolos et arpèges,
Fantaisie à quatre mains.
Mais à l’instant où tout s’agite
Sous l’ardent aiguillon de la chair
Elle, elle fredonnait la Truite,
La Truite de Schubert
Elle, elle fredonnait la Truite,
La Truite de Schubert.
Je lui dis : » Gabrielle,
Enfin, comprenez mon émoi,
Il faut être fidèle :
Ce sera Schubert ou moi ! »
C’est alors que je compris bien vite,
En lisant dans ses yeux pervers,
Qu’elle me réclamait la suite,
La suite du concert.
Six mois après l’orage,
Nous fûm’s dans un’ situation
Tell ‘ que le mariage
Etait la seul’ solution…
Mais avec un air insolite,
Au lieu de dire » oui » au Maire,
Ell’ lui a chanté la Truite,
La Truite de Schubert.
C’est fou ce que nous fîmes,
Contre cette obsession,
On mit Gabrielle au régime,
En lui supprimant le poisson.
Mais, par une journée maudite,
Dans le vent, l’orage et les éclairs,
Ell’ mit au monde une Truite,
Qu’ell’ baptisa » Schubert »
Ell’ mit au monde une Truite,
Qu’ell’ baptisa » Schubert »
A présent je vis seul, tout seul dans ma demeure,
Gabrielle est partie et n’a plus sa raison:
Dans sa chambre au Touquet elle reste des heures
Devant un grand bocal ou frétille un poisson.
Et moi, j’ai dit à Marguerite,
Qui est ma vieille cuisinière:
« Ne me servez plus jamais de Truite
Ca me donne de l’urticaire ».
C’est quoi la différence entre l’être et l’étant, WGG ?
l’être c’est la présence objective, et l’étant , c’est la constatation de l’être, sa palapation ,sa traduction tangible.
Je me suis palapationné : rien ! Où est passé mon étant ?….
@JC 10 h 23
je ne sais pas transmettre le lien correspondant ,mais si vous tapez sur GOOGlE Merkel Bayreuth vous aurez 12 photos présentant sur plusieurs années successives son apparition au festival, au bras du prince consort.
D’apres ce que j’y ai vu votre formule sur les rideaux de la grand’mère me semble bien sévère
S’il vous reste des rideaux de grand_mère, Judith, je connais un cylindre allemand féminin actuellement berlinois qui achètera …
J’y étais, DHH, vu de mes yeux, vu. Votre doute peut être levé sans problème, sauf si vous n’avez pas confiance dans un spécialiste de la mode qui a travaillé des années comme styliste chez Jean Cacharel … uhuhu !
Hollande, tel qu’on le voit à la télé, ressemble de plus en plus à Pompidou !
Faut-il s’en inquiéter ?
Nom de dieu ! Par les amygdales externes de Priape ! DUSAUER, QUALITE ALLEMANDE…. c’était son garde du corps !
Franchement, Judith, le type qui entre en érection en regardant, les yeux dans les yeux, Angela en robe longue rideaux de la grand mère…. il faut le sortir de son village ! Ou alors, il a 20 ans de goulag derrière lui
Bon, il suffit… Bonne nuit, les petits ! A demain
…Tain,ça donne pas dans le journalisme propret sur RDC .Annelise nous a remis en place un brutos,faut voir comment.Régal de l’intelligence en stylet,pudeur d’être drôle.La chair fraternelle entièrement faite écrit ; rare!
Pablo, la pire des atteintes restant au stade ultime, l’atteinte méningo-cérébrale à l’origine de démence.
Pablo,
je viens d’envoyer un courriel à Bellamy, à suivre…
DHH 13h25 Merkel-Bayreuth. Que je vous trouve donc indulgente ! Un décolleté trop plongeant, une robe bleue avec des drapés très drappants et un aperçu insolite sur ses chaussures…La simplicité ne vaut-elle pas mieux que des anarchements improbables ?
La liste des poètes, écrivains ou musiciens touchés, devenus fous, paralysés ou morts de la syphilis est longue. Elle a détruit Verlaine, Flaubert, Mozart, Beethoven, Schubert, Nietzsche, Kafka, Manet, Gauguin, Van Gogh, Toulouse-Lautrec, Edgar Allan Poe, Charles Darwin, Dostoïevski, Tolstoï, Musset, Oscar Wilde, quand à Feydeau, il se prenait pour le fils de Napoléon III… Sans oublier Henry Miller, Raymond Queneau, James Joyce, Howard Hugues, etc. C’était avant la pénicilline, certains avant même les sels d’arsenic et de bismuth (utilisés après 1910), à une époque où l’on traitait la maladie par le mercure depuis des siècles… Alors qu’il tuait autant que la syphilis elle-même.
harnachements.bien sûr
Quittons nous sur un constat clair : Angela a Bayreuth en 2003, c’était un thon.
A sec….
La neurosyphilis ?
Neurosyphiphi, neurosyphilis !
Que fait la popo ?
Que fait la popo ? Que fait la police … !
Le satin lui va et nous change de ses tailleurs identiques déclinés sous toutes les couleurs.
Nous devons séparer clairement le mélomane Dolfie P’tit Mustach, grand amateur de Wagner, du Chancelier Adolf Hitler, lequel n’a pas toujours eu la mesure, question humanisme …
Humain ! trop humain ….
Un thon en satin n’est qu’un thon…
je viens d’envoyer un courriel à Bellamy, à suivre…
Moi qui rêve depuis de longues années de coucher avec lui! N’auriez-vous pas envie d’une petite indiscrétion qui comme un remède agirait sur mes jours et mes nuits, je me pâme sans lui hélas, trois fois hélas….
JC, Merkel ne vous regarderait pas si vous vous trouviez sur sa route, concernant les réfugiés son intention était bonne et si elle n’était qu’une politique politicienne elle aurait prévu la réaction qui s’exprime. De plus elle vient de l’est, peut-être est-ce pour cela qu’elle s’est montré si humaine en dehors de considérations touchant aux besoins démographiques de son pays et de l’avantage que représente une main d’oeuvre bon marché, elle se proposait de relever un grand défi mais c’était sans compter sur les différences culturelles, les accidents, l’extrême droite qui ne demande qu’à gagner du terrain et y trouve un motif facile. L’Allemagne a cette expérience de la construction avec au départ des challenges importants comme elle a pu détruire elle peut construire avec une même force et prendre la position de leader, ce qui se passe sur le plan économique et qui ne lui permet cependant pas d’imposer son point de vue à l’Europe, on l’a vu avec le refus des états membres d’accueillir les réfugiés selon des quotas décidés.
« Tempora mutantur, et nos mutamur in illis. »
Puisque le format « presse-à-scandale » semble être très prisé par ici, voyons Leonardo et son amant Salai.
Je n’ai pas mes livres sous la main, de mémoire donc:
Jacopo Caprotti dit Salai fut « vendu » par son père à Leonardo vers ses 12 ou 13 ans, et on trouve dans les papiers de Leonardo quelques dessins sans ambiguïté relativement à la relation entre maître et jeune élevé — ce qui fait problème parce que on sait que Leonardo tenait la sexualité pour dégoûtante. Quoi qu’il en soit, selon non critères, Leonardo pourrait être poursuivi en tant que pédophile
Cela dit, bien que nourri-logé-habillé, le garçonnet montra tout de suite son pire aspect en volant l’argent et autres biens des visiteurs de l’atelier, de là le sobriquet « Salai », ce qui fait que toujours selon les critères qui sont les nôtres, Leonardo pourrait être poursuivi en tant qu’islamophobe car « Salai » est un personnage malfaisant du poème chevaleresque burlesque « Morgante Maggiore » de Luigi Pulci, et selon un dico à l’usage des ambassadeurs, « Salai » était la traduction en toscans du mot « Allah ».
Pour ce qui est de Schubert, il parait que la question de la syphilis n’est plus d’actualité. Restent ses fréquentations « particulières », cependant, selon une source sûre, ses « attentions » n’allaient pas vers n’importe quel garçonnet ferré ou levé au hasard au Prater, mais plutôt vers les jeunes prostitués, et à l’époque, il me semble, l’on n’en était pas encore à demander les papiers avant d’entreprendre une relation… disons « commerciale »… même de courte durée. En tout cas, il faudrait voir si la police a donné suite…
« De plus elle vient de l’est, peut-être est-ce pour cela qu’elle s’est montré si humaine »
Ahahahaha ! si c.onne, oui ….
bérénice dit: 5 septembre 2016 à 13 h 50 min
Bérénice, Tolstoï n’est pas mort de la syphilis, il n’a pas non plus fini fou ou paralysé. Son nom semble avoir été ajouté à cette liste pour faire le nombre.
Tolstoï n’est pas mort de la syphilis, il n’a pas non plus fini fou ou paralysé. Son nom semble avoir été ajouté à cette liste pour faire le nombre.
voui, et pour Joyce, le débat n’est pas clos, kantakeno, c’est une couillonade!
Et Queneau d’un cancer du poumon! Cette liste est en effet bizarre
Et la tuberculose n’a-telle pas eu raison de Kafka?
Quoiqu’il en soit tous ces gens ont trempé leur instrument dans une partition infectée.
La liste chez Wiki:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Mort_de_la_syphilis
Bérénice, vous qui rêvez de coucher avec Bellamy, vous avez oublié Maupassant dans la liste d’avant le sida !
un des Goncourt aussi, jules ou jim
update ze list
chez les frèrots Tharaud, ça va
Et Daudet-père, Phil !
En 1938, a un moment où la vie devenait chaotique pour les juifs allemands persécutés par le régime en place une conférence internationale s’est tenue à Evian sur l’éventualité pour les pays participants de s’organiser pour ’accueillir ceux qui devenaient des parias dans leur patrie .
Et la conference s’est soldée sur une apothéose des égoïsmes, les participants s’etant mis d’accord sur un point ,à savoir qu’ils n’vaient pas à ramasser les morceaux de ce qu’Hitler avait cassé ,et que s’il ne voulait plus des juifs, c’était à lui et non aux autres états de trouver une solution pour les évacuer hors d’Allemagne .
On connaît la suite .
Merkel a montré avec son intervention en faveur des migrants , qu’ une voix dissidente aurait eté bien venue à Evian et que l’histoire lui aurait donné raison
ah oui baroz..mais Léon Daudet, niet. comme quoi, les idées de droite
comparaison difficile, dhh. les citoyens juifs du reich s’étaient déjà exilés massivement dans les pays des conférenciers bien avant 38.
La queue obéit aux pulsions, pas aux opinions, et il arrive que les extrêmes s’enfilent, Phil !
bérénice dit: 5 septembre 2016 à 13 h 50 min
Flaubert????? il est mort le 8 mai 1880 d’une apoplexie..rien à voir avec la chtouille
Elle confond avec Maupassant, berzinc ?
le hêtre et l’étang
oui, je pense, oui, baroro…parce que pour Guy, c’est un con testable.
Petit Rappel tout petit : encore un qui sera asphyxié par sa suffisance COURTelinesque
« Chevillard se demande s’il ne perd pas son temps à défendre de bons livres… »
Chevillard éprouve manifestement une lassitude à tenir ce « feuilleton » du Monde, et ce depuis le début. C’est le devoir harassant qu’il doit rendre chaque semaine, la corvée. Il préférerait parler de ses filles, plutôt que des inepties toujours réinventées des confrères. Il n’en peut plus, il faut faire quelque chose pour lui…
Selon Ménard, «être Français, c’est être blanc et catholique»
… ce garçon me parait doté du plus élémentaire bon sens : car c’est Hollande qui commande tous les Français, après lui le Pape qui nous aime, nous les catholiques, le Rabbin qui contrôle les Juifs républicains …. et après… je sais plus ! Personne, je crois ne mérite d’être Français…!
@Jean dit: 5 septembre 2016 à 12 h 40 min
Ah merci, Jean. Retrouver le plaisir d’écouter un historien qui parle comme un écrivain, qui écrit comme un écrivain et avec tant d’humour et d’enthousiasme.
Curieux historien qui parle du charme des archives, du plaisir de la recherche, de l’imaginaire car elles permettent de vivre dans une autre époque.
Curieux historien, qui travaille à son immense mémoire de la Méditerranée, sans archives, alors qu’il est captif dans un stalag. Qui la rêve. (Il a été longtemps professeur en Algérie) L’introduction de ces deux livres offre un texte littéraire magnifique.
Curieux historien qui pense, près de C.Levi-Strauss que l’Histoire a vocation à tenir en elle toutes les sciences humaines.
La façon dont il découpe le temps est également singulière, pris par une Histoire très ancienne et tentant de ne pas se laisser emporter par le mouvement de l’Histoire, de ne pas se laisser prendre à ses apparences, en fuyant le ter.rorisme des évènements. Son temps est multiple mêlant le bref et le long, voire le très long temps qui donne une sensation d’immobilité. Il semblait passionné par une recherche, celle des mouvements profonds qui orientent l’Histoire.
Il s’est d’ailleurs peu exprimé sur l’actualité du quotidien du siècle passé (la 2e Guerre Mondiale), ne semblant pas avoir de position politique claire, restant dans la retenue.
Joie donc de cette émission sur Arte.
Je trouve de Nota passarmement agressif, cet après-midi. Quelle mouche l’a donc piqué?
Y a quelqu’un qui les retourne, les arbres, de temps en temps ?
ma pauvre Bérénice, on peut dire que vous n’avez strictement rien compris à Merkel. Son seul but est de tenir la France sous son joug, elle ne fait que continuer l’oeuvre entamée par nombre de ses prédécesseurs. La difference entre l’Allemange et nous, c’est que nous on ne cherche jamais à soc
s’occuper des affaires des allemands alors que eux sont sans arrêt le nez chez nous. Ça commence à bien faire.
Moi je n’achète plus rien d’allemand, c’est terminé.
Et l’une de mes propositions parmi les 144 sera de faire un diagnostic très précis par des autorités strictement indépendantes de notre commerce extérieur et de nos importations. Bien entendu je sais par avance que le resultat nous sera très défavorable. Eh bien nous quitterons l’Euro, denonceront de nombreux « accords » et nous rembourserons de tout ce qui nous nous été volé.
JC….. dit: 5 septembre 2016 à 13 h 35 min
S’il vous reste des rideaux de grand_mère, Judith, je connais un cylindre allemand féminin actuellement berlinois qui achètera …
–
Excellent, JC, c’est tout ce que mérite ce tonneau de choucroute.
@Jibé
L’étant est une notion philosophique qui se trouve chez Platon (Le Sophiste, 244a) : das Seiende, en allemand, qui est la traduction en allemand du grec de Platon. C’est n’importe quelle chose concrète ou abstraite. Ainsi les sciences portent sur des étants; elles définissent ainsi autant de domaines : la physique, la biologie, la médecine, etc.
Mais l’Être ne se réduit pas à l’ensemble des étants. L’Être est au fondement de tout étant. Heidegger distingue l’homme comme étant dans l’ensemble des étants, dans la mesure où l’homme est cet étant particulier qui pose la question de l’Être : Qu’est-ce que l’Être ? C’est en cela qu’il est « configurateur de monde » (weltbildend, qui contient ce fameux mot « bilden », « Bildung », qui vient du grec : paideia : former, éduquer, instruire, « configurer » un être humain grâce à l’éducation qu’il reçoit). Un animal n’est pas « weltbidend », mais « weltarm », pauvre en monde, ce qui me praît évident ; mais dans son dernier séminaire sur « La bête et le souverain », Derrida conteste cette évidence en dénonçant dans cette hiérarchir de la « bête » à « l’être humain » un humano-centrisme, un logocentrisme, déconstruisant ainsi la hiérarchie instituée par Heidegger ; enfin une pierre est « weltlos », sans monde.
Ce rapport aux animaux en tant que problème métaphysique court tout au long de la philosophie depuis Aristote. On le trouve explicitement aussi chez Montaigne, qui fait comme Derrida, de la déconstruction avant la lettre. Or, cette hiérarchie est fondamentale pour Heidegger, parce qu’il dénonce précisément dans la métaphysique occidentale depuis Platon et Aristote cette définition de l’Homme comme animalité (zoon politikon), tirant ainsi l’Homme vers son corps, son animalité au lieu de l’élever vers l’Être et l’interrogation qui définit l’Homme en tant qu’étant : Qu’est-ce que l’Être ? étant seul des étants à poser cette question.
la réalité,vous vous en doutez, ce que révélera cet audit, c’est qu’on vent très peu aux allemands et qu’on leur achète énormément, et pratiquement tout le temps des produits que l’on fabrique nous aussi et aussi bien qu’eux. Ils profitent de la parité monnaitaire à nos dépends depuis 2001.
Quand on aura reinstitué le Franc et qu’on l’aura devalué, ça va leur faire tout drôle aux teutons. On samusera à leur vendre cher des avions de chasse et des chars, mais pas des récents, bien sûr.
@quelqu’un a-t-il lu l’excellent « Vous plaisantez Monsieur Tanner » ?
Désolé…, mais à mes yeux, ce fut l’un de ses plus mauvais romans. Dubois n’était pas très bon dans un registre où excellait plutôt murielle robin.
et double rangée de barbelés avec miradors de la mer du Nord jusqu’aux Alpes. T’as voulu des migrants, Angela ? Gère toute seule le bordel que tas créé. Avec ton pote Juncker, si tu trouves une fenêtre de tir où il est à jeun. C’est pas gagné, nein, nein.
« ce tonneau de choucroute »
Et voila une nouvelle preuve de l’irréductible inégalité entre hommes et femmes .
quel que soit le rôle d’une femme dans la societé ,on n’est jamais indifférent ,parfois d’ailleurs avec malveillance, à son apparence physique.
rien de tel pour les hommes
rien de tel pour les hommes
« Joie donc de cette émission sur Arte. »
ola! dame Christiane, foin d’Arte, le gaillard Braudel est ce soir sur France 3, l’esprit souffle où il veut…
C’est aussi pourquoi Heidegger peut soutenir l’idée que les animaux ne meurent pas. Seul l’homme meurt, parce que seul l’homme peut penser la mort en tant de telle. C’est pourquoi il définit l’homme en tant qu’être-pour-la-mort. C’est aussi pourquoi il peut dire qu’à Aus.schwitz, personne n’est mort. Cela ne veut pas du tout dire qu’il nie la Shoah, bien au contraire il condamne par là même la Shoah en disant qu’à Auss.chwitz, on a commis le plus grand crime qui se puisse imaginer : priver l’Homme de son être-pour-la-mort en tant que tel. Les contre-sens sont très faciles à faire au sujet de ce qu’a pu écrire Heidegger. La plupart du temps, ils résultent d’un effet de paresse de la pensée qui ne prend pas le temps de chercher à comprendre ce que Heidegger dit en fonction de son système de pensée, car il y a bien un système derrière tout ce qu’il dit, comme en mathématique il y a un système de prémisses qui organise tout contenu de n’importe quel théorème construit à partir des prémisses en question. Mais les gens en général ne comprennent pas ça. Ils se contentent de la façon de penser au café du commerce. D’où toutes les confusions qu’on peut lire à propos et sur Heidegger et sa pensée.
« Quoiqu’il en soit tous ces gens ont trempé leur instrument dans une partition infectée. »
Lavez-vous les mains avant le dîner et sans les essuyer aux rideaux on ne sait jamais…
au fond, si j’ai bien compris ce que tu dis, Michel; l’être ne se différencie guère de l’âme. L’être est une âme désacralisée, sécularisée, ce qui tracerait une route entre St Augustin, pascal Spinoza et la phénoménologie. J’ai tout faus, non?
D je ne suis pas forcément d’accord avec le peu de choses que je connais des orientations de la politique allemande, sa réussite a un coût social mais le moins qu’on puisse dire est qu’elle a su je pense faire de bons investissements dans des secteurs porteurs, qu’elle produit des voitures toujours plus demandées ( en dépit de la fraude écolo) qu’elle gère au mieux l’afflux de migrants. Que l’Allemagne dans sa position de leader industriel et économique cherche à influer sur les choix européens dont surement elle a su s’accommoder mieux que d’autres pays semble presque normal.
christiane dit: 5 septembre 2016 à 16 h 54 min
@Jean dit: 5 septembre 2016 à 12 h 40 min
Ah merci, Jean
Décidément Christiane m’émeut. Me trouble même.
berguenzinc dit: 5 septembre 2016 à 17 h 44 min
au fond, si j’ai bien compris ce que tu dis, Michel; l’être ne se différencie guère de l’âme. L’être est une âme désacralisée, sécularisée,
ça me rappelle ce que Sganarelle dit de l’âme dans « Dom Juan ». Faut que je retrouve la citation.
Gère toute seule le bordel que tas créé
D il faudrait penser à remercier ce syrien, vous savez ce trois fois rien, Bachar el Assad qui à lui tout seul a su déstabiliser la zone et les lentours immédiats en ne semant que quelques morts et quelques réfugiés.
Là aussi, Jean-Philippe, c’est un point très difficile à circonscrire : ce qui différencie Heidegger de saint Augustin, en effet. Car il y a évidemment une différence épistémologique (quant à la vérité et à son statut) entre Heidegger et saint Augustin, bien évidemment. D’ailleurs Beaufret lui avait posé la question à propos de ce que Heidegger appelle le « Geviert » qui rejoint ce que la scolastique appelle le quadriparti, et qu’on retrouve dans l’art des cathédrales dans la croisée du transept, la « Vierung », qu’analyse erwin Panofsky dans son Architecture gothique et pensée scolastique, Minuit, 1967 (que je suis d’ailleurs en train de relire pour cette raison).
Bàt mais il faut que je file donner un cours.
Le plagiaire est inauthentique.
DHH dit: 5 septembre 2016 à 17 h 40 min
on n’est jamais indifférent ,parfois d’ailleurs avec malveillance, à son apparence physique.
Oh ben faut mettre des trucs en tissu, là, on en parlait l’ôte jour, on est sûr qu’on voit aucune happarence pas la moindre…
je vais vous dire, je suis un eu agacé sur les hénormités que je lis sur l’Allmantjsch…on en est donc revenu, en France à 1914. Les Allemands d’aujourd’hui, vieillissant et paisibles ne sont pas différents de nous autres. Qu’est-ce que vous croyez, donc…en 2017, ce sera la truie nationale qui entrera à l’Elysée. Mêmes problèmes qu’outre-Rhin.
Bruxelles s’est à ce point fotu de la gueule des peuples d’Europe qu’au fond le Brexit est comme la victoire des populistes en Mecklemebourg, en Autrihe, en Hongrie, les scores délirants en France et ene Italie, une immense protestation, une clameur ontre la bureaucratie utralibérale, contre le cynisme et le mépris des macrons . Die Völker glauben immer an den Weihnachtsmann..comme jadis dans les années 30. Et que les Français ommencent à blalayer devant leur propre lourde. Les Allemands sont donneurs de leçons, jesaistoutsurtoutc’estmoiquiairaiqon, oui, mais nous sommes arrogants, vaniteux et d’une tratuffeire sans borne puique nous laissons ces voisins choucroute balayer la merdre.
Au demeruant, ça prouve que à à part WGG et Phil, personne ne onnaît l’Allemagne comme je la connais, ass charnellement. La choucroute n’est pas allemande, elle est alémanique. Et puis Meri pour les femmes, JC…..horresco referens quand j’imagine les dames « d’un certaine âge quo t’entourent »…personne ne songerait à ls appeler tonneau de ratatouille ou de ristz, Vieudébrix !
En gros, l’Être se différencie radicalement de l’âme dans la mesure où Heidegger opère un décentrement radical du Sujet. L’Être est au cœur de l’Homme en tant qu’étant mais pourtant extérieur à l’Homme. C’est une pensée qui est voisine du décentrement de l’Être chez Avérroès.
,parfois d’ailleurs avec malveillance, à son apparence physique.
sergio de toutes manières hors de son consentement , il y a malveillance, la concupiscence même non avouée, la tentation le désir sont malveillances qu’il faut prévenir jusqu’à couvrir les marbres qui s’expriment et revendiquent dans le silence des allées d’un parc ou d’u musée.
Widergänger dit: 5 septembre 2016 à 17 h 41 min
C’est aussi pourquoi Heidegger peut soutenir l’idée que les animaux ne meurent pas. Seul l’homme meurt, parce que seul l’homme peut penser la mort en tant de telle. C’est pourquoi il définit l’homme en tant qu’être-pour-la-mort. C’est aussi pourquoi il peut dire qu’à Aus.schwitz, personne n’est mort. Cela ne veut pas du tout dire qu’il nie la Shoah, bien au contraire il condamne par là même la Shoah en disant qu’à Auss.chwitz, on a commis le plus grand crime qui se puisse imaginer : priver l’Homme de son être-pour-la-mort en tant que tel. Les contre-sens sont très faciles à faire au sujet de ce qu’a pu écrire Heidegger.
Le lecteur naïf se dit que, si Heidegger peut soutenir qu’à Auschwitz personne n’est mort, c’est qu’il pense que ceux qu’on a fait mourir à Auschwitz n’étaient pas des êtres-pour-la-mort, donc que c’étaient des animaux. Après quoi, le même exégète s’en va nous dire qu' »à Auss.chwitz, on a commis le plus grand crime qui se puisse imaginer : priver l’Homme de son être-pour-la-mort ». Mais le même lecteur naïf se dit que ce n’est pas en assassinant un être humain, fût-ce dans une chambre à gaz, qu’on peut le priver de son être-pour-la-mort ; il se dit en effet qu’on ne peut en aucun cas priver un être humain de son être-pour-la-mort; il suffit d’ailleurs de relire la scène finale du « Dernier des justes » pour s’en convaincre. IL conclut avec l’exégète que les contresens sur la pensée de Heidegger sont effectivement très faciles à commettre.
bérénice dit: 5 septembre 2016 à 18 h 14 min
les marbres qui s’expriment et revendiquent dans le silence des allées d’un parc ou d’u musée.
Oh oui mais i frappent fort ! Après les bras leur en tombent…
je vais vous dire, je suis un eu agacé sur les hénormités que je lis sur l’Allmantjsch…on en est donc revenu, en France à 1914. Les Allemands d’aujourd’hui, vieillissant et paisibles ne sont pas différents de nous autres. Qu’est-ce que vous croyez, donc…en 2017, ce sera la Le Pen qui entrera à l’Elysée. Mêmes problèmes qu’outre-Rhin.
Bruxelles s’est à ce point foutu de la gueule des peuples d’Europe qu’au fond le Brexit est comme la victoire des populistes en Mecklemebourg, en Autriche, en Hongrie, les scores délirants en France et en Italie, une immense protestation, une clameur contre la bureaucratie utralibérale, contre le cynisme et le mépris des macrons . Die Völker glauben immer an den Weihnachtsmann..comme jadis dans les années 30. Et que les Français commencent à balayer devant leur propre lourde. Les Allemands sont donneurs de leçons, jesaistoutsurtoutc’estmoiquiairaiqon, oui, mais nous sommes arrogants, vaniteux et d’une tratuffeire sans borne puique nous laissons ces voisins choucroute balayer la merdre.
Au demeruant, ça prouve que à à part WGG et Phil, personne ne connaît l’Allemagne comme je la connais, aussi charnellement. La choucroute n’est pas allemande, elle est alémanique. Et puis merci pour les femmes, JC…..horresco referens quand j’imagine les dames « d’un certaine âge qui t’entourent »…personne ne songerait à les appeler tonneau de ratatouille ou de riste, Vieudébrix !
17 h 51 min
oui l’Allemagne développe son secteur industriel, crée des emplois (au lieu d’attendre la croissance)
« quel que soit le rôle d’une femme dans la societé ,on n’est jamais indifférent ,parfois d’ailleurs avec malveillance, à son apparence physique.
rien de tel pour les hommes » (DHH)
Pour les hommes c’est moins général, il est vrai, mais les petits et surtout les petits gros sont souvent moqués de la même façon (voir Hollande par exemple)
@de nota dit: 5 septembre 2016 à 17 h 41 min
J’aurais vérifié mais je n’ai pas encore ouvert le programme de la soirée ! merci !
J’aime beaucoup :
« ola! dame…, foin d’Arte, le gaillard… ». Belle locution familière qui nous ramène au XVIe siècle…
Le livre de JP Dubois ne cause pas chiffons.
S’il fallait y trouver un lien de qualité française, vous aurez remarqué cet été, la recrudescence de chaussures à semelles de cordes, dont le nom indique une provenance régionale, » espadrilles ».
Le livre de JP Dubois, dénonçant quelque part l’ultralibéralisme financier, fait également la part belle à un sujet d’actualité, puisque les représentants des 20 puissances qui détiennent 80% de la richesse mondiale, sont en ce moment réunis en Chine, où tout à été fait pour que l’air devienne respirable, y compris en favorisant l’exil temporaire et en fermant des usines trop polluantes.
Ces grands argentiers qui veulent relancer le commerce mondial en berne, et attaquer toute forme de protectionnisme, par des accords économiques à l’échelle mondiale.
Et, par exemple, le choix entre espadrilles basques et espadrilles chinoises ne se poserait plus. Il aurait été fait ailleurs.
Le roman de JP Dubois, s’il traite aussi de succession, celle acceptée-ou non- devant le notaire, ne traite pas seulement de la longue chaîne héréditaire d’un gène du suicide ( passage d’ailleurs traité de manière très humoristique)
Cet héritage du cabinet médical, est aussi un héritage de la clientèle.
Dont une partie attend du » successeur » qu’elle lui apporte « une aide ». Disons définitive et irrémédiable.
Répondre à une demande de cet ordre peut avoir pour celui qui l’agrée, des conséquences dramatiques. C’est aussi comme cela que je vois cette fin du disciple d’Hippocrate qui a failli à sa mission.
En lisant » on sait la suite » dans un commentaire, qui oscille comme tant d’autres sur ce blog, entre révisionnisme de salon et négationnisme heideggeirien, j’ai repensé à ce que j’ai entendu cet am, sur une radio grand public, où Simon Liberati était venu faire promotion de son dernier livre sur le gourou musicien à la petite voix douce comme une rengaine et, à entendre un témoignage inédit d’un membre de la famille non impliquée dans les massacres de L.A. en 1969: envoûtant.
Le langage d’influence, plus connu comme hypnose conversationnelle, initié par un toubib du Nevada a des développements dramatiques, quand récupéré par des sectes, ou , comme on peut le voir dans les commentaires indécents ici, par des tenants de thèses révisionnistes de salon, ou négationnistes.
Mais et c’est le bon côté d’Aristote, cette pratique permet aussi de remettre en place une épaule luxée, une urgence médicale, sans douleur.
Si « on connait la suite », comme l’indique dhh, deux choses:
pour son rappel de l’actualité allemande, lui signaler que les autorités catholiques en France, ont fait part aujourd’hui, où Calais est en complet désastre, de l’accueil de plusieurs centaines de réfugiés, syriens et autres fuyant la guerre.
je la remercie pour ce petit rappel historique de la conférence d’ Evian, en 1938, réunie à l’initiative de Roosevelt, pour l’aide à apporter aux réfugiés juifs allemands, et autrichiens, en danger dans leur pays d’origine. Même si on connait la suite, en France, notamment.
J’ai noté que Golda Meir assistait à cette conférence pour le gouvernement sioniste de Palestine. Et que la fermeture des frontières, auquel il n’était pas franchement opposé, aurait en quelque sorte privilégié l’émigration des Juifs en Palestine. Je ne sais pas s dhh peut confirmer cette information ?
je n’ai pas trop le temps de chercher le mot, dans mon message, très long, de 18h57.
@DHH
« rien de tel pour les hommes »
Moins, c’est sûr! (les brêles, à part les chèvres, en pincent pour les adolfs, les maggies..)
Violences contre des Polonais au Royaume-Uni après le vote sur le Brexit – certaines personnes considèrent [le référendum] comme une autorisation de se comporter de façon raciste ou discriminatoire ».(lemonde.fr)
Nousses le plus souvent c’est la bagnole qu’on regarde ; donc le cas échéant monter au moins une jante à l’étage…
frede l’Allemagne a légiféré en 2015 pour fixer le salaire minimum autorisé mais emploie des salariés étrangers à moindre coût,ce qui présente un avantage certain sur le coût de production dans certains secteurs, agricoles notamment .
18h59 ne cherchez plus, nous l’avons retrouvé à 58.
berguenzinc bien d’acrd avec vous.. pas mal de francais redeviennent d’horribles francouillards et ne comprennent rien à l’alelgne de Merkel…mais les hommes politiques français mettent régulièrement de l’huile sur le feu. Merkel est une grande chancelière. la série sur elle dans « le monde » était interessante.et notamment sur sa manière d’avoir conquis le pouvoir.
Ah oui, c’est exact. Vu côté de l’Allemagne elle est une grande chancelière : elle écrase les voisins avec compétence.
Bravo, Jacques-Pierre.
D’un autre côté, Le Monde et Courrier international ne peuvent que la soutenir.
De toutes façons l’urgence n’est pas du tout de remplacer Merkel mais d’élire un gaulliste souverainiste en France. C’est très simple à comprendre mais ici il n’y a que des gens habitués aux complications alors quand vous leur donnez une solution simple et efficace ils se méfient, ils n’ont pas l’habitude. Trop simple, dédé. Mais oui mon dédé, cause toujours etc.. Eh bien continuez comme ça mes cocos et il n’y a plus de nation française dans 15 ans. Vous en porterez une responsabilité morale immense devant tous vos ancêtres.
Je viens de lire aujourd’hui « la sucession » le roman de jean -paul Dubois. =Le papier de Pierre Assouline et donne une image vraiment tres juste de ce roman.je l’ai trouve nimbé de davantage de mélancolie que ses précédents,mais tres fin travail de bel artisan.
Evidemment paul edel, faire une vraie critique littéraire à St Germain des Prés demande un effort. Je ne salue pas le vôtre !
C’est quoi les mises en examen politiques du jour ?
Pauvre, en politique, le Popaul… à la limite du dérisoire.
Etre ? ou ne pas être !
Ne pas …
Il faut bien comprendre une chose : être de droite ou de gauche ou du centre ou d’extrême-droite et même s’exclure de tout ou partie de ces soit-disant ensembles, comme Macron a essayé de la faire, est complètement has been.
Tout cela n’a plus aucun sens. Par contre les mots suivants ont un sens :
– souverainisme
– gaullisme
– nationalisme
Humanité et droits de l’homme sont au service de la Nation et lui sont subordonnés. C’est parce qu’on a inversé les règles depuis 40 ans qu’on se fait laminer.
d’horribles francouillards… voilà comment sont traités les français qui défendent leur pays.
Le renversement total des valeurs, défendu par des intellectuels comme à l’accoutumée. On a vu le résultat.
La logorrhée heidegerresque continue.
Avec quel statut?
Logorrhée.
Allez, je vais manger mon poulet froid et mes patates douces réchauffées et je vous dis à demain parce que ce soir je suis écœuré et très inquiet de l’absence totale de prise de conscience des danger. Un seul a vraiment pris conscience : Widerganger. Mais empêtrés dans les barrières qu’il s’est construites, ou qu’on lui a inculquées, il n’est pas capable de réagir.
Il votera pour un guignol.
Je préfère Merkel et son humanisme à ces politiciens français bateleurs d’estrade qui font assaut à la tv pour stigmatiser quelques femmes qui se baignent en burkini.
Dédé, depuis quelques jours vous donnez des signes d’une agitation inaccoutumée, comme le goujon des pêcheurs qui s’affole.
Pauledel, viens de lire sur votre blog que c’est la femme de Morand qui apprit à Proust l’absence de poches dans les peignoirs pour femmes…sapré marcelou qui se faisait fourailler les siennes par les grooms en quéquête du pourboire. D’excellentes références tout ça, continuez la grappa.
Faut bien avouer qu’après mille deux cents commentaires, les explications de Widerganger donnent envie de lire du heidegger dans son jus d’origine. Angela a dit qu’elle va retourner la situation en un an. Zakzak, disait le grand Frédéric avant de bastonner la grosse Marie-Thérèse.
LDVB concernant l’espadrille, pas plus qu’habituellement à cette saison avec toutefois l’introduction d’une basket à semelle compensée et toile à strass, le reste est une déclinaison heureuse de cette formule à toile et corde.
Bravo pour ce breuvage aux vermicelles, quelle synthèse synthétisante et éclairante, c’est quand même mieux que Heidegger.
D, votre Bruno ne me dit rien qui vaille.
Paul Edel, le burkini à mon avis est l’arbre qui cache la forêt et un radicalisme religieux qui va s’étendant avec son exigence et cette façon d’imposer une norme vestimentaire à une foule de femmes qui jusqu’à présent se vêtait à l’occidentale.
Phil, il faut bien dire que Morand, pour sa princesse, avait appris l’art de la dissimulation. On ne peut pas dire qu’il ait vraiment écouté causer dans le poste, en plus d’empêcher les autres de le faire…
Mais la réponse que j’ai eue l’autre jour, de l’un de ses semblables se voulait un gouffre de la pensée: on a tous notre part d’ombre .
C’est deeply abîmé, nan ?
D. dit: 5 septembre 2016 à 19 h 41 min
vous m’en direz tant ! Dupont-Aignan…mais moi aussi, pauvre pomme , je suis fier de mon pays. j’aime la France au moins autant que vous qui faites de ce pays l’étendard plein de bren pour vos idées méphitiques.
Moi aussi, je suis résolument contre l’invasion islamique en France, maus jamais, jamais aux dépens de l’Allemagne, qu’encore une fois vous ne connaissez pas
Jai écouté la semaine dernière le discours de Mélanchon….c’est déjà plus dans mes idées. On ne sent pas les fosses nasales pleine de pus comme chez vous ou ches l’autre, là , le Vieuxdédrix.
l’amour de la France est une trop belle chose pour le laisser aux cloportes réactionnaires.
tout à fait autre chose, qui reliera Heidegger et l’Art…lisons Gadamer. même moi, j’ai compris !
Après le heidegger, on va causer le morand et la machine renâcle…
Phil, il faut bien dire que Morand, pour sa princesse, avait appris l’art de la dissimulation. On ne peut pas dire qu’il ait vraiment écouté causer dans le poste, en plus d’empêcher les autres de le faire…
Après le heidegger, on va causer le morand et la mach.ine renâcle…
Trop pénible…
Phil, il faut bien dire que Morand, pour sa princeSS, avait appris l’art de la di.ss.imulation, au pire moment de « l’histoire sanctifiée ». On ne peut pas dire qu’il ait vraiment écouté causer dans le p.o.s.t.e, en plus d’empêcher les autres de le faire…
« Je préfère Merkel et son humanisme »
Parler d' »humanisme » pour qualifier un politicien contemporain, même quand on admire l’Allemagne, sa puissance de toujours, c’est au minimum paradoxal. Il suffit de voir le chapitre économique et social pour s’assurer que c’est au contraire la pire barbarie qui y règne.
Merci, WGG. Comme d’habitude, c’est très clair avec vous. Mais, comme Jacky Derrida, moi qui ai vu mourir ma chienne, je suis très réservé sur ce que dit Heidegger à propos de la non conscience de la mort chez les animaux. On se souvient aussi des cimetières des éléphants…
Lavande, ne me dites pas que vous n’avez pas vu « The first date » !
Moi-même, j’y suis allé et, après un temps d’agacements, je ne peux que… vous recommander le film !
Lavie, Proust et Morand dînaient en tête à tête au Ritz et nous n’y étions pas, sachons ne point nous en consoler. Soixante ans plus tard, Yourcenar occupait le même salon ppur y convoquer Gallimard, qui cherchait à l’entuber, parce qu’elle ne voulait sortir enrhumée. Pour faire le lien, il faut des blogs fortiches comme celui de pauledel lagrappa.
Phil la fin d’un message que vous n’avez pas encore lu:
Mais la réponse que j’ai eue l’autre jour, de l’un de ses semblables qui voue une certaine admiration à Morand – homme mort et pressé-( j’ajoute ici: diplomate) se voulait un gouffre de la pensée: « on a tous notre part d’ombre « .
C’est deeply abîmé, nan ?
Mais, comme Jacky Derrida, moi qui ai vu mourir ma chienne, je suis très réservé sur ce que dit Heidegger à propos de la non conscience de la mort chez les animaux. (Jibé)
Moi aussi. L’outrecuidance de ces humains qui croient pouvoir décréter ce que pensent ou ne pensent pas les animaux m’a toujours sidéré. D’où tiennent-ils leurs infos, qu’ils s’appellent Heidegger ou Descartes, mystère et boule de gomme.
Dear Phil, les rapports tendus avec Gallimard, ce n’était pas plutôt l’époque du Meurice ou du saint-James? Plutôt le Meurice, je crois. Le Ritz est venu à la fin, quand on avait commencé à débiter le Meurice en appartements.
Je vous propose un jeu tiré d’un commentaire lumineux de LVDB :
1°) Trouvez le fil directeur qui relie tous les mots relevés dans le commentaire de LVDB ;
2°) Dire s’il s’agit d’une pensée linéaire ou spiralée;
3°) Répondra à cette question angoissante : s’agit-il d’un monologue en spiral de Thomas Bernhard ?
4°) Question la plus angoissante : En quoi un tel commentaire renvoie-t-il dans le néant le jargon heideggérien ou en quoi vaut-il comme initiation au jargon heideggérien ?
5°) Le sommet de l’angoisse : s’agit-il d’un extrait de Sein und Zeit ?
Le livre de JP Dubois/chiffons/chaussures à semelles de cordes/espadrilles/l’ultralibéralisme financier/20 puissances qui détiennent 80% de la richesse mondiale/Chine/usines trop polluantes/protectionnisme/des accords économiques à l’échelle mondiale/espadrilles basques et espadrilles chinoises/Le roman de JP Dubois/la longue chaîne héréditaire d’un gène du suicide/manière très humoristique/cabinet médical/héritage de la clientèle/fin du disciple d’Hippocrate/mission/commentaire/révisionnisme de salon/négationnisme heideggeirien/Simon Liberati/le gourou musicien à la petite voix douce/les massacres de L.A./1969/envoûtant/Le langage d’influence/un toubib du Nevada/sectes/thèses révisionnistes de salon, ou négationnistes/le bon côté d’Aristote/épaule luxée/on connait la suite/les autorités catholiques en France/Calais/désastre/plusieurs centaines de réfugiés, syriens et autres fuyant la guerre./petit rappel historique de la conférence d’ Evian, en 1938/Roosevelt/réfugiés juifs allemands, et autrichiens/on connait la suite/Golda Meir/le gouvernement sioniste de Palestine/fermeture des frontières/’émigration des Juifs en Palestine/information ?
le poltergeist monomaniaque, révisionniste, négationniste, à 21h24 propose un jeu sur sa terrasse, où il encule les mouches, avec force verbiage ?
qu’il le fasse à ses partenaires habituels. Pas à moi.
Oui Chaloux, la période tendue avec Gaston était les années 50 et Yourcenar préférait Rome à Paris qui lui coûtait trop cher. Le Ritz est venu à la fin mais elle avait coutume de convoquer les éditeurs plutôt que l’inverse. Quel éditeur accepterait « l’oeuvre au noir » aujourd’hui ?
« Quel éditeur accepterait « l’oeuvre au noir » aujourd’hui ? »
ceux qui ont du grec une mythologie particulière ?
Il est permis en effet de se poser la question de la conscience de la mort ou pas chez les animaux : par exemple je pense aux éléphants, dont on dit qu’ils reviennent sur les lieux où sont morts leurs congénères.
Je pense qu’il n’y a pas vraiment de conscience de la mort mais qu’il y a quelque chose qui y ressemble chez certains mammifères évolués : comme les éléphants, les grands singes, qui sont capables aussi de comprendre le langage humain, y compris même certains mode d’être d’ordre moral, comme la honte quand on a fait une faute, fait du mal à quelqu’un, certains singes sont capables d’en éprouver de la honte.
Tout cela est fort passionnant justement pour réfléchir à l’Être. L’Être, on le voit bien ne se « donne » pas/ne se manifeste pas de la même façon chez l’homme que chez le bête. Et c’est ça précisément que tente de penser Heidegger pour essayer de comprendre l’Être et ce qu’il appelle « la donation » de l’Être. C’est penser le réel en tant que tel. Une philosophie est une théorie du réel. Heidegger essaie de fonder une telle théorie du réel qui puisse rendre compte de tout étant dans le réel et de son sens, du sens de l’Être.
On peut penser aussi que cette volonté à l’œuvre d’enserrer le réel dans une grille de lecture est d’ordre paranoïaque pour définir non pas une pathologie mais dire comme Lacan, autre grand inspiré par la pensée de Heidegger, que la structure même de la pensée humaine est d’ordre paranoïaque. Mais il est clair qu’on ne comprend rien à Lacan si on n’a pas compris au préalable Heidegger pour saisir ce que Lacan en tire pour l’analyse de la pensée humaine et l’inconscient.
Phil, Gallimard l’accepterait peut-être traduit du serbe, du croate, de l’albanais. Les écrivains étrangers ne semblent pas avoir perdu tout droit d’écrire de grands livres.
Encore le cataplasme du second degré. Pablo a raison, Alba est en train de devenir cinoque. A moins qu’il ne devienne Shadok : il pompe, il pompe, dans des bouquins dont il serait bien incapable de comprendre le premier mot, même sous la tor.ture.
À mon humble avis, ce serait plutôt LVDB qui encule les mouches… Mais enfin, chacun verra la mouche de son choix.
L’important est que les parents d’élèves aient une attitude vigilante, face à un cinglé.
Colin Firth est vraiment un acteur de génie.
D’où tiennent-ils leurs infos, qu’ils s’appellent Heidegger (Jean)
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Dans le cas de Heidegger, on le sait parfaitement. Ses sources d’informations proviennent des inventeurs de l’éthologie : Konrad Lorenz et Jakob von Uexküll.
Vous allez me dénoncer à la Gestapo, LVDB ? Je tremble déjà…
« moi qui ai vu mourir ma chienne, je suis très réservé sur ce que dit Heidegger à propos de la non conscience de la mort chez les animaux. »(Jibé)
« Moi aussi. L’outrecuidance de ces humains qui croient pouvoir décréter ce que pensent ou ne pensent pas les animaux m’a toujours sidéré. D’où tiennent-ils leurs infos, qu’ils s’appellent Heidegger ou Descartes, mystère et boule de gomme. »(Jean)
Si je disais à ma fille, qui est véto et fait plusieurs euthanasies par semaine, que le cxnnard de Heidegger a décrété que les animaux non pas de conscience de la mort, elle rigolerait bien. Elle a une amie, véto et zoologue, qui travaille dans un grand zoo français qui a des grands primates; je l’ai entendu raconter à quel point ils sont proches des humains (chose d’ailleurs que le grand zoologue Frans De Waal a montré dans ses livres: « La Politique du chimpanzé. Sexe et pouvoir chez les singes » , »Le Bon singe. Les bases naturelles de la morale », « Quand les singes prennent le thé. De la culture animale », « Le bonobo, Dieu et nous. A la recherche de l’humanisme chez les primates », etc).
Encore une preuve de la stu.pidité sans bornes des philosophes les plus mégalomanes, dont le chef au XXe siècle est l’aveugle Heidegger qui a cru, voyant Hitler, qu’il était le créateur du Troisième Reich qui devait durer 1 000 ans – ce qui ne l’a pas empêché, après avoir vu qu’il n’a duré que 12, de continuer à pontifier et surtout à croire qu’on pouvait expliquer le monde avec des jeux de mots à la co.n.
Qu’est-ce que les gens vont rigoler dans 100, 200 ans, du verbiage pour ânes snobs d’un Heidegger !!
le poltergeist à la gestapo ?
Plutôt un bon gars de la rue Lauriston; je le vois parfaitement ainsi.
@Michel Alba ;EXCELLENT……on irait du Perec…mais de quel post
de la Sorcière s’agit-il?
Impayables ! De gros bourins de la réflexion philosophique… C’est la grande comédie du crétinisme institué en dogme ici…
Mieux vaut être poltergeist que polterarsch comme vous LDG
VDBV
Sacrés éléphants, ils n’ont pas seulement bonne mémoire …
Les chercheurs se sont intéressés en particulier à l’éléphant, dont le goût pour l’alcool est connu depuis fort longtemps. On raconte de nombreuses histoires à propos de troupeaux entiers faisant bombance dans des dépôts de céréales et se livrant à des orgies de fruits fermentés.
http://www.courrierinternational.com/article/1998/10/29/les-pachydermes-voient-des-elephants-roses
C’est ce poste-là.
la vie dans les bois dit: 5 septembre 2016 à 18 h 57 min
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Oui, je trouve aussi qu’il y a matière à produire un extraordinaire montage de monologue romanesque pour rendre compte du délire contemporain. C’est bien mieux à certains égards que celui de Saurau dans Perturbation de Thomas Bernhard… En tout cas, c’est très stimulant pour se remettre à écrire…
javert, tu as abusé, avec leur consentement, un max de commentateurs ici. Et sur ton ancien blog.
Tu ne penses pas un instant que tu leur dois un minimum de respect, ou tu es une vraie ordure ?
DUEL…à la TV, pas pris une ride…
je ne pige pas, la Sorcière. Dre toutes façons, j’en ai rien à cirer de vos borborygmes. Donc, inutile de répondre.
mon ancien blog que j’ai laissé tomber à cause de citernes à pus dans votre genre, Sorcière !
« Donc, inutile de répondre. » javert.
Mais ce n’est pas à moi, que tu dois/ Tu devras, des réponses.
Je trouve cela, tes écrans multiples, complètement crétin. Mais un pro te dirait/te redira, peut-être que c’est pathologique.
Mac en vieille pompe à vélo regonflant sans arrêt une chambre à air hors d’âge, pleine de rustines et toute ballonnée, qui va « se remettre à écrire », c’est un grand moment.
Merci.
si javert réussit à se faire passer pour votre idole , c’est qu’il a un certain talent.
Tu vois javert, je sais te mettre une douille, en douceur.
chaloux fait maintenant des erreurs d’aiguillage… De plus en plus drôle. La vieile peau vieillit.
Il est évident que les animaux en savent tout autant que nous sur la vie et la mort, parfois davantage. Ce que j’ai appris de Gustave, le chat que j’ai retiré des mains de son tortionnaire, est tout à fait comparable, en profondeur et en justesse, à ce que j’aurais appris d’un être humain. C’est une des grandes rencontres de ma vie.
Alba, parce que c’est une de tes vieilles scies. Encore nous fais-tu grâce de tes « brouillons ».
(Je suis beaucoup plus jeune que toi).
1392 commentaires dont respectivement 78 et 20% à eux seuls trustés par wgg et lvdb, ça commence à suffire, faudrait changer de post, Passou pour régénérer le diablogue dubois.
…
…entrez dans la danse,!…faite ce qui vous plait sans vous embêtez entre voisins,!…
…
…même à l’âge d’or,!…il y aura des jaloux de merde à rien faire,!…qui ne sait pas ou s’épancher pour baver avec son chiffre et ses économies aux cimetières,!…
…
…partir se reposer,!…bon vents,!…etc,!…
…
Beaucoup plus jeune dans ton corps et en même temps beaucoup plus vieux dans ta tête, mon pauvre chaloux. Tu fais pitié.
Je trouve cela, tes écrans multiples, complètement crétin. Mais un pro te dirait/te redira, peut-être que c’est pathologique.
Sommes-nous jamais assez équipés pour nous auto-diagnostiquer? Et que penser de l’adage qui montre que l’on voit la paille dans l’œil du voisin sans souffrir d’une vision entravée d’une poutre, ce qui est finalement pratique et économique quoique préjudiciable à l’objectivité qui elle même fait figure de mirage .
Jean Langoncet dit: 5 septembre 2016 à 22 h 09 min
Sacrés éléphants, ils n’ont pas seulement bonne mémoire …
Les chercheurs se sont intéressés en particulier à l’éléphant, dont le goût pour l’alcool est connu depuis fort longtemps. On raconte de nombreuses histoires à propos de troupeaux entiers faisant bombance dans des dépôts de céréales et se livrant à des orgies de fruits fermentés.
Nom de Dieu c’était mon fétiche l’éléphant ! J’ai le droit alors… Quand y a une esseplication ça reicht aus nichteware ?
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