de Pierre Assouline

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La République des livres
Dubois, qualité française

Dubois, qualité française

La qualité française, on voit bien que cela a pu être au cinéma depuis l’après-guerre. Il y eut les films de François Truffaut, puis ceux de Claude Sautet, les uns et les autres frappés de ce label, noble ou indigne selon les points de vue et surtout le ton avec lequel il est prononcé. L’expression est née d’ailleurs à la suite d’un article retentissant de Truffaut en 1954 dans les Cahiers du cinéma « Une certaine tendance du cinéma français » dans lequel il dézinguait Autant-Lara, Delannoy, Clément, Carné, Clouzot, Clair, Duvivier et surtout les scénaristes-dialoguistes au service de leur prétendu « académisme » Aurenche & Bost (ça les a tués professionnellement pendant de nombreuses années, jusqu’à ce que Tavernier les réhabilite). Au cinéma, on connaît et avec le recul, on se réjouit que cette qualité française ait existé. Ce pourrait être un label «  »NF » » (norme française) comme on en trouve sur les bons-produits-de-chez-nous. Mais en littérature ?

Chacun pourra y mettre qui bon lui semble (Modiano, Quignard, Michon ?…) comme des équivalents en qualité aux Renoir and co. Mais face à Sautet, s’il y en a un qui m’a toujours paru s’inscrire naturellement, c’est bien Jean-Paul Dubois. Non que l’univers de l’un (la bourgeoisie parisienne des années 70 dans ses bistrots, ses restaurants, ses dîners, ses maisons de campagne, ses villégiatures mais aussi ses échecs et ses désillusions) se reflète dans celui de l’autre. C’est juste que le tempo de Jean-Paul Dubois, sa voix, son rythme, correspond à l’idée que l’on peut se faire de romans bien français dans la meilleure acception de l’expression. Question de facture, de tournure, d’esprit, de musicalité plus que de clarté (ah, la fameuse clarté française héritée de Descartes…). Il y a chez lui une douceur, un rapport au temps (du genre à évaluer la vitesse d’une goutte de pluie), une tendresse pour ses personnages, qui font sa signature et laissent des traces chez le lecteur.

Dans Une vie française (2005) (« française », justement), le photographe arboricole Paul Blick semblait appartenir à la rare cohorte des personnages de roman destinés à rester gravés dans le disque dur de notre mémoire. Une histoire personnelle rythmée par les mandats des présidents de la Vème de De Gaulle à Chirac. Il est doté d’une vraie légèreté. On est heureux de l’avoir lu mais une fois refermé, il n’en reste rien, si ce n’est le souvenir d’un instant délicieux. Un humour exquis, qui rend plus soudaine et inattendue la fin si grave.riboud

Pour arriver d’un coup en série, les drames ne relèvent pas pour autant de la série noire. Parce que le récit, le personnage et l’auteur lui-même ont trop de charme pour assombrir. Trop nonchalant pour être vraiment désespéré, trop indolent pour succomber à la tristesse. Avec ce qu’il faut de mélancolie, et une touche de nostalgie, c’est cela qui reste au fond, un charme indéfinissable, et c’est déjà beaucoup, même s’il triomphe au détriment de la profondeur. On comprend que Rabbit en paix (1993) de John Updike soit l’un des romans étrangers qui ait le plus marqué Jean-Paul Dubois.

Les impressions provoquées il y a une dizaine d’années par la lecture d’Une vie française, puis par le Cas Snejder, sont du même ordre que celles suscitées ces jours-ci par son nouveau roman La Succession (240 pages, 19 euros, éditions de l’Olivier). Charme… légèreté… mélancolie… humour… Et le goût d’une certaine Amérique. On y suit un homme du nom de Paul Katrakilis, dans sa folle tentative de se débarrasser d’une malédiction familiale. Quelque chose de l’ordre d’une fatalité génétique : la volonté d’en finir. Entendez : une longue chaîne de suicides.

« Il ne faut jamais se tromper de vie. Il n’existe pas de marche arrière » aimait à lui répéter son père.

Il aime la vie pourtant. Surtout la vie d’avant semble-t-il. Du genre à écouter ronronner des voitures de collection, la Triumph notamment. On en connaît qui murmurent à l’oreille des chevaux ; lui est plutôt du genre à s’entretenir avec sa tondeuse à gazon (une Briggs & Stratton, tout de même, les connaisseurs apprécieront). Il a une âme de bricoleur. C’est dire que ce Paul ressemble à Jean-Paul. Un homme libre depuis qu’il a su se rendre propriétaire du temps, du moins le sien. Aussi décalés l’un que l’autre.

Il est vrai que la famille en question est si perturbée qu’elle en est perturbante. La famille, ce qu’on ne choisit pas. Ici, ce qu’on subit. Des grands dépressifs mais dépourvus de sens du tragique. On ne s’ennuie pas avec eux. Tous plus ou moins médecins de grand-père en petit-fils. Le grand-père débarqué de Russie a même réussi à ramener une lamelle du cerveau de Staline dans ses bagages. Sauf que notre héros, lui, quoique diplômé de médecine pour ne pas faire mentir l’atavisme, un rien immature, a la sagesse de se tirer de Toulouse après avoir appris le métier de pelotari au pays basque. Car c’est aussi un métier. Il a décidé de vivre de sa passion de la cesta punta en s’inscrivant dans le circuit des pros au World Jai-Alai de Miami qui cognent sur le fronton, et escaladent les murs pour rattraper une balle, pour un salaire tandis qu’autour d’eux des Américains déchainés lancent des paris insensés sur les performances et l’issue des parties.

ribC’est spectaculaire à souhait. Parfois violent mais dès qu’il en sort c’est pour flotter délicieusement dans le territoire de l’éphémère. Quelque chose en lui de Bartleby. Quand il ne joue pas, préfèrerait ne pas. Les quinielas sont rapides, brèves, intenses. La balle défonce parfois la chistera à 300 kms/h. Le public est très business/business, bigarré, poisseux, hurleur, véreux, on ne lui achèterait pas une voiture d’occasion, mais qu’importe. Vivre pour jouer et jouer pour vivre, il en rêvait sauf que lui, c’est vraiment le goût du sport pour le sport, l’art pour l’art. A ce niveau-là, la passion pour un sport devient un mode de vie, ce que Dubois rend remarquablement, sans forcer la note. Il y a en lui quelque chose d’une force intranquille.

A la faveur d’une grève pour obtenir une amélioration de leurs conditions de travail, il perd tout. Retour à Toulouse, case départ, un rien désenchanté ; il pourra toujours y faire de la voile et barrer son bateau tout en suçant des Fisherman’s Friend. D’autant que son père n’est plus. Il a sauté du troisième étage, mais pas comme n’importe qui : mâchoire scotchée (surtout éviter la tentation de crier) et lunettes solidement fixées (surtout ne pas rater le spectacle de sa propre mort). Il faut liquider la succession, reprendre le cabinet, ce qui ne se fait pas d’une main d’osier fut-elle douée. Dans la maison du défunt, ça sent encore la mort. Dramatique mais jamais morbide.

C’est que l’auteur a de la tenue en toutes circonstances, dans la vie comme dans son écriture l’une n’allant pas sans l’autre ; quelle que soit la circonstance, outre son goût de l’absurde bien tempéré, il y met la touche d’humanité qui change tout. Cette fois, il fait plus sombre à l’intérieur de lui que dans ses autres romans. Un rien de gravité probablement. Il est vrai que la succession n’est pas qu’une question d’héritages en toutes choses mais aussi de répétitions. Tout revient de retours en retours. Mais comment éviter la malédiction familiale qui finit par le rattraper malgré tout ?

(Les photos sont de Marc Riboud/ Droits réservés. Elles sont sans rapport direct avec le thème du billet, encore que… C’est juste une manière de saluer ce grand photographe qui nous a quittés aujourd’hui à 93 ans).

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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1 793 Réponses pour Dubois, qualité française

Widergänger dit: à

La clarté française s’est constituée en mythe au XVIIè siècle à partir des réflexions des grammairiens s’inspirant de Quintilien et d’Horace, dont le premier ne fut pas Vaugelas mais un certain Barthélemy Aneau, auteur du Quintil Horatien, lorsqu’il critique chez Du Bellay un emploi trop fréquent de l’hyperbate, figure rhétorique qui sépare deux termes ou deux syntagmes normalement collés pour produire un effet de dislocation. Il institue ainsi l’idée d’un « ordre naturel » qui a ses lettres de noblesse dans l’ordo naturalis de Quintilien, qui l’oppose à l’ordo artificialis dans son Institution Oratoire. Mais Barthélemy Aneau emploie d’abord le mot « clarté » au sens d’ »éclat », et ce n’est que par l’association qui devient alors fréquente avec un synonyme comme « facilité » que le sens du mot varie puis change. Ce changement va de pair avec le deuil que fait la langue française de toutes les vieilleries en vocabulaire héritées du Moyen-Âge, sous l’impulsion du pouvoir royal et de l’Académie française à partir de 1635, sous celle de Richelieu dans son désir de fonder une langue plus pure capable de donner tout son éclat à la France dans le concert des nations en train de naître. Et c’est Vaugelas qui met au monde le mythe de la clarté française quand il écrit pour la première fois dans ses Remarques sur la langue française : « La clarté de l’expression, qui doit estre le principal soin de celui qui parle ou qui escrit. » Mais il s’empresse de préciser aussitôt que le français, plus que tout autre langue, est en quelque sorte prédisposée à la clarté : « La clarté du langage, que la langue française affecte sur toutes les langues du monde. » Cette idée devient une conviction bientôt partagée par tous et le grammairien François Charpentier se bornera à constater que la clarté est l’attribut de la langue française, dans son De l’Excellence de la langue française, publié en 1683. Cette profonde mutation de la langue conduira Descartes à sa « clara et distincta perceptio » et le Père Bouhours à souligner, dans ses Entretiens d’Arisée et Eugène, à propos de la langue française « Une certaine clarté que les autres langues n’ont point. »

Widergänger dit: à

Ainsi était née le mythe de la clarté française, « la seule qui suive un ordre naturel, et qui exprime les pensées en la manière qu’elles naissent dans l’esprit », écrit encore le Père Bouhours. C’est également sur ce point que Rivarol admi.nistre la preuve de la clarté de la langue française, supérieure en cela à toutes les langues dites d’inversion, au nombre desquelles il faut aussi compter… l’allemand…

Un grand écrivain français, beaucoup plus tard, s’insurgera contre ce mythe et renouera avec l’inversion dans tous les sens du terme, c’est bien sûr le grand Céline. Il renouera non seulement avec la dislocation syntaxique de l’hyperbate, d’où était partie le désir de clarté chez le grammairien B. Aneau dans sa critique d’un certain gongorisme chez Du Bellay, mais la généralisera en disloquant et à droite et à gauche… dans ses phrases comme dans son idéologie pro-allemande de l’époque.

berguenzinc dit: à

a mon sens, le remier texte allemand réellement « jargonneux » et « allesbesserwisserich » (qui sait tout mieux que tout le monde) remonte au « Discours à la Nation allemande » de Fichte. La langue qu’il utilise marque une rupture radicale avec elle de Goethe ou de Schiller. Fichte, d’une certaine façon a imbibé l’allemand goethéen d’une sorte de raideur militaire héritée de l’esprit napoléonien. L’allemand est lors devenu une langue radicalement capable de brutalité. En France, Vaugelas, Malherbe avaient calibré les français dans un esprit lumineux, mais Fichte, encaserne l’allemand.

Widergänger dit: à

Oui, c’est vraiment intéressant. Cela montre que le jargon philosophique allemand est né avec le nationalisme allemand. Avec Heidegger, on y est en plein.

D. dit: à

bérénice dit: 4 septembre 2016 à 10 h 46 min

D, la garantie des banques par l’état? Comment avec cette dette qui dépasse les 2000 milliards, par l’Europe et sa banque centrale, non?

Vous êtes d’une naïveté stupéfiante, Bérénice.
Justement, parlons de la dette. Une fois le retour au Franc effectué et la dévaluation opérée, nous en rembourserons au moins la moitié, en franc. Et pas en Deutschemarks, monnaie qui aura de nouveau cours, puisque une une fois la France partie, le gros moustique allemand qui n’aura plus rien à piquer n’aura plus d’autre choix que de retourner lui aussi à sa monnaie…

Widergänger dit: à

Mais cela ne suffit pas, malgré tout à rendre compte de la pensée de Heidegger et de ses rapport avec le Judaïsme.

Pour le faire avec une chance de ne pas dire trop de bêtises, il faudrait sans doute partir de très loin : à la fois de la pensée juive chez un Philon d’Alexandrie qui se met à vouloir penser la Torah en grec (disons-le ainsi) et ce que dit le Talmud du monde grec. Les propos de Heidegger sur la pensée juive ne peut être comprise que dans cette perspective, et jugés. Autrement, on se contente de faire du bruit.

Widergänger dit: à

À lire D., on peut légitimement se demander qui, de Bérénice ou de D., est le plus naïf…

berguenzinc dit: à

je te l’ai dit, je me garderai bien de parler de la doctrine philosophique de heideggger que je ne connais pas. Mais j’ajouterai qu’à la ‘époque Fichte, il y a eu le grand Novalis, parangon du romantisme allemand, qui contraireent au romantisme français, reposait sur la Heimatsliebe. D’ailleurs, le cousin , je crois ,de Novalis,(pas Futuna!) le conseiller Von Hardenberg, premier ministre du roi de Prusse de l’époque, a écrit des textes très « Natonalistes deuxième reich »…tu vois ce que je veux dire.

L’allemand a suivi un tout autre chemin que le français, il a endossé les habits- ou les oripeaux, selon ce qu’en en pense- d’une chimérique Deutsche Nation. Comme l’Allemagne en tant qu’entité politique est l’un des pays les plus jeunes du monde en 1914, elle n’a alors que 44 ans, e pays est en quelque sorte adolescent parmi les nations, comme l’Italie, et donc brutal, rèche, violent, capables de plus grandes tendresses et de la plus grnade sauvagerie…d’où Mussolini en Italie et Hitler. La langue allemande est la qûte prepétuelle d’un papa.Une catastrophe sur le plan politique, évidemment. Si Freud et Bismarck
sont presque ontemporains, c’est un sacré symbole. Hitler s’explique, je crois ,en partie par cette Allemagne adolescente un peu khonne, comme tous les ados…

Chaloux dit: à

Et ta sœur? Entasseur… Le passage sur Céline est particulièrement cruchon, mais on n’y passera point son dimanche.

Widergänger dit: à

Oui, je souscris à ce que tu penses. La contemporaénité de Freud et de Bismark me semble aussi pleine de sens. Des nations tard venues à l’unité aussi.

Mais n’allons pas mettre la faute exclusivement sur les Allemands ou les Italiens. Il faut penser aussi l’impérialisme des grandes puissances à partir de 1870, dont la France et bien sûr l’Angleterre. Les conditions politiques et économiques n’étaient pas réunies pour permettre à la République de Weimar de prendre racine. Tout a volé en éclat très vite, malgré l’aide très tôt des Etats-Unis qui réglaient le problème de la dette allemande dès 1925. Mais si l’humiliation était plus symbolique qu’économique, elle n’en était dans l’imaginaire allemand que plus puissante, sans compter que l’inflation à partir de 1930 a mis l’économie à rude épreuve.

frédé dit: à

« C’est l’affaire qui agite la Flandre. Le corps d’un jeune homme de 19 ans a été retrouvé le week-end dernier dans une tente dans le domaine provincial Blaarmeersen, à quelques kilomètres de Gand. Selon les informations de Het Laatste Nieuws, le jeune Jordy Brouillard serait mort de faim et de soif. Après avoir passé sa vie dans des institutions pour jeunes, il avait quitté le centre après son 18e anniversaire.
Selon un membre du centre d’aide à la jeunesse, des efforts ont été réalisés pour suivre le garçon, sans pour autant avoir réellement su l’accompagner. Le jeune homme était seul et n’avait plus de contact avec ses parents. Sur Facebook, il avait publié plusieurs appels à l’aide, appelant notamment « Où sont tes amis si tu as besoin d’eux ».
Le bureau du procureur enquête sur la mort du jeune homme. Son corps ne représentait aucun signe de violence. » (lesoir.be)

Chaloux dit: à

Réflexion salubre d’Antoine Compagnon.
A graver dans le marbre, et à se répéter chaque jour:

« Vous connaissez la rengaine : on pense être original, et on s’aperçoit après coup, qu’au mieux, on a été typique ».

Cours du Collège de France. Morale de Proust.
(La conférence sur 1966 année Proust, relayée par France Culture, très éclairante sur le devenir de La Recherche).

http://www.college-de-france.fr/site/antoine-compagnon/course-2008-01-08-16h30.htm

Chaloux dit: à

MoraleS de Proust.

JC..... dit: à

berguenzinc dit: 4 septembre 2016 à 12 h 56 min
« en…lée de modération ! j’avais posté un article tiré de la Libre belgique sur la découverte hier d’un petit gamin de 19 ans, Jordy, découvert MORT DE FAIM, seul, abandonné, sous la canicule…l’horreur…
et j’avais relié ça avec l’expression crever la dalle. Eh bien , on me l’a supprimé…crétins ! »

Pour ne pas mentir : je me fous, et nous devrions en faire autant, du destin de l’Asperger JORDY se laissant mourir de faim et de soif ! Who cares ?……

On ne va pas pleurer chaque mort sur cette terre, hein ?! Essayons d’éviter mort et déchéance de masse, pour commencer : on s’occupera des particuliers déviants, ensuite …

bérénice dit: à

nous en rembourserons au moins la moitié, en franc.

soit 1000 milliards d’euros, 659000 milliards de francs dévalués, ça fait combien?

berguenzinc dit: à

On pourrait aussi parler, mais ça nous emmènerai trop loin de la « querelle’ dans les années 1820 autour des doctrines éducatives,Rousseau d’un côté et le Suisse Pestalozzi, de l’autre qui eut une influence majeure sur les théoriciens de l’éducation en Allemagne et en Suisse. La différence fondamentale entre les deux, Rousseau et Pestalozzi, est que ce derier n’envisage pas une éductaion qui ne soit pas collective, générale. l’individu ne compte guère. il n’a de sens que dans une sorte de « phalanstère commun  » intellectuel ». De là à la caserne et ua ‘drillen’ ; i ln ‘y a qu’un pas, surtout si les idées de Pestalozzi avaient été, et elles le furent, reprises par des médiocres. La ligne de Rousseau, elle, déboucha, grâce à la maturité poilitque de ce vieux pays qu’est la France, à l’École publique extraordinairement pétrie de l’amour de l’être en tant que tel.

Pour le reste, ce que tu dis est absolument essentiel pour comprendre la tragédie sans fond dans laquelle sombra l’Allemagne. La crise de 29, lorsque les Américains rapatrièrent touts leues investissements en Allemagne , tua Weimar.

berguenzinc dit: à

vieux thon !! pauvre guenille !! salopard ! va cuver, pourri. Comment peut-on avoir un coeur de brique à ce point..

toi aussi, tu vas bientôt débarrasser le plancher….champagne, alors, pour tout le monde…
alors ferme ta gueule et a sucer les vioques porquerollaises, comme ça au mins en leur fasant des feuilles de rose , tu ne diras pas de monstruoistés, abjecte personne !

berguenzinc dit: à

ça s’adressait à JC , tout le monde aura compris…quelle ordure…mon dieu quelle ordure…moi, si je deviens aussi khon quand je serai gâteaux…pitié, que l’un d’entre vous m’euthanasie et vite fait. je lui signerai ce qu’il veut.

Jibé dit: à

Berzinc et WGG, Passou a mis un twit qui devrait enrichir votre réflexion !

« Le cercle de Goethe, modèle dans l’épanouissement humain au contact et à l’étude des Anciens »

berguenzinc dit: à

bérénice dit: 4 septembre 2016 à 14 h 03 min

4 septembre 1870:

merci Bérénice…Gambetta ! le ballon ! Tours…
Nap 3 aux mains de Moltke… mais ensuite Thiers, les versaillais, la répression de la commune, 30000 exécution. Photos de Marville. Capitalisme. Sauvagerie. Les républiques, en France ont tué infiniment us de pauvres bougres que toutes les monarchies et empires réunies.
Alors vive la république, mais pour le meilleur et pour le pire. JC, par exemple, excellent exemple de la face noire et putride de la Répubique.

Widergänger dit: à

En France, il ne faut pas oublier non plus que la clarté française est née d’une critique du libertinage, libertinage bien sûr en pensée comme du libertinage des mots eux-mêmes.

C’est le père jésuite François Garasse qui le montre le mieux en rappelant les enjeux de la nouvelle activité lettrée, Garasse étant le plus virulent polémiste et censeur de la Compagnie de Jésus, dont le zèle enverra en prison Théophile de Viaux pour son « naturalisme » libertin, et sera le premier à dénoncer l’impiété des Lettres de Balzac pour son machiavélisme philosophique diffus, ce genre de personnage grotesque et fiéleux, gonflé comme une baudruche vide que rappelle ici par bien des côtés un chaloux. Il écrit notamment dans une « censure » des Recherches de la France d’Étienne Pasquier :

« Au lieu de nous éclaircir touchant la loi salique, vous écrivez sur le mot de tintamarre, de carcaillet, de guilleri et de colintampon ; au lieu de nous instruire touchant les fondations et divisions de nos évêchés, vous nous enseignez par chapitres exprès d’où vient le mot de brimborion, de Raminagrobis, de Fidelium et d’asperges… » Déjà, à l’époque, les asperges !

Aux yeux des censeurs, le venin libertin vient d’abord de l’attention portée aux mots, à une curiosité jugée comme déplacée, sans nul intérêt public, sinon le désir d’embellissement de la langue française capables de détourner l’attention d’un public captif vers des choses aussi répréhensibles que le naturalisme libertin de Théophile de Viaux, le machiavélisme politique d’un Balzac ou les visites de Rodrigue chez Chimène après avoir tué son père dans Le Cid.

Jibé dit: à

« la clarté française est née d’une critique du libertinage »

C’est pourtant chez Sade que la langue française du XVIIIe siècle atteint un point de perfection !

berguenzinc dit: à

Jibé dit: 4 septembre 2016 à 14 h 06 min

merci, baroro !!! passionnant.. l’évocation de Winckelmann et de la passion pour la Grèce et Rome débouchent sur quelque chose de totalement différent de la même passion chez Châteaubriand ou Byron. Humboldt, en effet est le personnage central de l’éducation à cette époque avec Pestalozzi. soigner la personnalité de chacun par l’enseignement individuel n’a qu’un but, forger un « corps national ».

belle référence à l’ombre tutélaire de l’immense Goethe…

bàt

berguenzinc dit: à

bérénice dit: 4 septembre 2016 à 14 h 10 min
oui, affreux, retour au XIXème siècle..;et ce porc de JC qui s’en bat les burnes….monstrueux..ça ne passe pas, voyez-vous..vieux débris…j’espère que ses petits-enfants vont lui cracher au groin.

Sergio dit: à

JC….. dit: 4 septembre 2016 à 13 h 52 min
On ne va pas pleurer chaque mort sur cette terre, hein ?!

Des fois faut optimiser, on peut très bien dessouder un pingouin en pleurant ! Comme ça en plus on le voit pas…

D. dit: à

bérénice dit: 4 septembre 2016 à 13 h 53 min

nous en rembourserons au moins la moitié, en franc.

soit 1000 milliards d’euros, 659000 milliards de francs dévalués, ça fait combien?

Vous me fatiguez, Bérénice. Ca fait moins, bien évidemment. Et c’est la raison pour laquelle nous paierons avec ce qui fait moins, pour récupérer tout ce qui nous a été indirectement volé par les voisins de l’Est européistes atlantistes. C’est clair où vous voulez un dessin en plus ?

de nota dit: à

« c’est pourtant chez Sade que la langue française du XVIII atteint un point de perfection »

euh…pour le cuni, peut -être, mais pour moi c’est plutôt chez Voltaire qu’une manière de perfection est atteinte, et particulièrement avec le « Candide », clarté, rythme, élégance, ironie, désinvolture, bref, un écrivain de « droite » avant l’heure….

JC..... dit: à

« ce porc de JC qui s’en bat les burnes….monstrueux..ça ne passe pas, voyez-vous..vieux débris…j’espère que ses petits-enfants vont lui cracher au groin. »

Réaction disproportionnée, eu égard au problème. Un type Asperger se laisse mourir de faim et de soif : en quoi cela concerne le bolo de base ? C’est pas mon problème.

Je m’en bats effectivement les burnes… comme tu le dis si bien !

Ta malédiction débile sur ma famille, tu peux te la mettre entre le pouce et l’index et secouer à la Rochefort faisant les courses !

Widergänger dit: à

Pour approfondir ce que dit très bien le Cercle de Gœthe de la différence entre la France et l’Allemagne, on peut lire, de Louis Dumont, mort en 1998, fondateur des études indiennes :
— Homo Æqualis II: L’Idéologie Allemande, France-Allemagne et retour, Paris, Gallimard, 1991

Pour une version moderne du roman d’apprentissage de Gœthe, on peut voir le fameux film de Wim Wenders, avec un scénario de Peter Handke :
— Faux Mouvement (Falsche Bewegung), 1975, que je me rappelle être allé voir au cinéma avec des copains de khâgne et notre prof d’allemand pour en parler ensuite en cours. C’était vraiment une merveilleuse époque et une prof merveilleuse mais à l’époque je ne me rendais pas vraiment compte de l’éducation de luxe que je recevais là, à la Gœthe. C’est cette prof qui avait un père nazi, recteur d’une grande université de prusse orientale pendant la guerre, et qui a fini ses jours en se tranchant la gorge. Je lui dois beaucoup, à cette prof. C’est aussi avec elle que j’avais commencé à traduire Ingeborg Bachmann, et c’est elle qui m’a fait découvrir Paul Celan.

JC..... dit: à

« JC…/…moi, si je deviens aussi khon quand je serai gâteaux » (Berguie)

Tu es déjà gâteux , Berguie ! c’est la différence entre toi et moi.

Ressaisis toi ! même gâteux, la vie est un don à ne pas gaspiller en pleurnicherie sur un fait divers sans la moindre importance.

Widergänger dit: à

Tu sais bien, Jibé, que le libertinage au XVIIè siècle est purement de nature religieuse, c’est-à-dire anti-religieuse. Ton Sade vient un siècle et demi après la révolution du langage. Et la contre-révolution viendra sur le tard chez Céline, qui prendra en otage le français parlé pour en faire une machine de guerre contre la clarté française et ses mythes, mythes nombreux qu’il déconstruit (lui aussi!) dans Le Voyage (notamment ce mythe littéraire signifié par « notre héros »).

Sergio dit: à

Finalement ces harbres c’est un slalom ! En V-max faut pas mollir…

Chaloux dit: à

« chez Céline, qui prendra en otage le français parlé pour en faire une machine de guerre contre la clarté française ».

Mais quel cannelloni merbeux, cet Alba! Il n’y a pas plus classique que la prose du 1er Céline.

Delaporte dit: à

Le « Voyage » doit d’ailleurs beaucoup au « Candide » de Voltaire. Cela a été démontré maintes fois.

Widergänger dit: à

Une baudruche vide !

Widergänger dit: à

Comme à Lazarillo, et à tout roman picaresque, mes petits chéris !

Chaloux dit: à

Mais bien sûr, Alba, gro.sse « baudruche » plagiaire. Le 1er Céline, c’est la plus haute tradition de la langue française déguisée en Céline. Tu ne connais rien, tu ne comprends rien.

Chaloux dit: à

On se demande en quoi le style de Mort à crédit serait « une machine de guerre contre la clarté française ». Il n’y a pas plus épuré, pas plus clair.

Alba, tu devrais faire une pause dans ton ascension du Mont-Dé.bilité. Tu vas manquer d’oxygène.

Delaporte dit: à

Sur Céline, WGG, vous êtes à côté de la plaque. Votre théorie est très jolie, mais fausse.

Jibé dit: à

Oui, Candide, de nota, mais pour ma part j’ai un faible plus prononcé pour « Jacques le fataliste » de Diderot et aussi les autofictions de Jean-Jacques Rousseaux…

Jibé dit: à

Mais au siècle suivant, avec Sade et Casanova, la clarté de la langue est délicieusement sexualisée ! Jubilatoire, de nota !

Chaloux dit: à

Jacquot, tu connais mal Voltaire.

Chaloux dit: à

Chez Alba, il ne reste plus que le revers du plaire. Provoquer le dé.goût, chaque jour un peu davantage. Sa dernière joui.ssance.

Sergio dit: à

Baudruche, baudruche… Le ballon, Courtial il harrivait à le faire voler mi-gonflé ! Lui en revanche il l’était complètement, faut dire…

Jean dit: à

Parce que dès qu’on entend commenter Heidegger par tous ces jeunes freluquets de la Règle du jeu, qui ont l’art de pratiquer une forme de terrorisme de la pensée en col blanc… ( Widergänger)

Heidegger est le type même du pencheuh de ches dames à plopos duquel, intimidé, on se sent plesque obligé de consulter les fleluquets en col blanc dont la spécialité est de faile semblant de penser sulla pensée des autles :

1/ il a éclit en allemand ; or, si l’on n’est pas un gelmaniste confirmé, on devla se labattle sul des tlaductions qui, comme on sait…

2/ Sa penchée a la léputation, usulpée ou non, d’être imblanlable.

3/ De toute manièle, il a tlès mauvaise léputation.

Conclusion : lisons Heideggel dans le texte, même tladuit. Nous nous frelons ptête une opipinion pal nous mêmes, qui sait.

Jean dit: à

or, si l’on n’est pas un gelmaniste confirmé (mézigue)

con filmé (pal Tluffaut)

berguenzinc dit: à

jean, vous êtes Thelmidolien ? plus de l, palce que n’est-ce pas Lobespielle, Lévolution !

Chaloux dit: à

« mais à l’époque je ne me rendais pas vraiment compte de l’éducation de luxe que je recevais là, à la Gœthe. « .

Non, mais vlaiment, les blas m’en tombent.

Sergio dit: à

L’intérêt du point Heidegger, c’est que, contrairement à l’autre, il est récursif… Euh non… Récurrent… Bof… Enfin i revient tout seul ; deutsche Qualität !

Petit Rappel dit: à

W 12h 58 Lire Les Entretiens d’Ariste et D’Eugène de Bouhours
L’ouvrage ne fait pas l’unanimité.il génère les Sentiments de Cléante sur les Entretiens d’Ariste et d’Eugène, de Barbier d’Aucour. Il est d’autre part absent de la Bibliothèque de Perrault. Et pourtant Bouhours est créature de Colbert -il fut le précepteur de Seignelay, Monsieur Fils- et Moderne dans les Pensées des Anciens et des Modernes.
Mais il reste fidèle au Vaugelas de la première posthume,ou peu s’en faut, lorsque les autres veulent aller plus loin. Sous le règne suivant, ce n’est plus le grammairien savoyard qui fait loi, mais une suite de Remarques sur Vaugelas, ou de Vaugelas actualisés, au point que chez Perrault, on trouve les Remarques, mais pas Vaugelas lui-meme!
Dans cette affaire de clarté, ne pas oublier dès les origines de l’Académie le role fondateur de Chapelain dans la formation du concept.
On peut simplement regretter que Chapelain, qui avait en vue l’apprentissage de la langue par une Grammaire, une Rhétorique, dont le Dictionnaire ne devait etre que le prologue,étendu il est vrai par le corpus des textes de Mellin de Saint Gellais aux modernes, soit deux siècles, ait vécu assez vieux pour voir le Dictionnaire l’emporter sur tout le reste, et se rabougrir dans ses ambitions.
A noter déjà chez lui exclusion des noms propres géographiques « pour ne pas grossir le volume » et des « termes mécaniques », « l’Académie laissant la liberté à d’autres de faire des Dictionnaires sur ces matières. » Ce texte de 1635 écrit sous Richelieu fonde pleinement le Dictionnaire d’un Furetière en meme temps qu’il fonde une dichotomie entre les Belles-Lettres et tout le reste, dont ce pays ne s »est (peut-être) pas encore remis!
Bien à vous.

gardel dit: à

C’est la rentrée et il faut s’y faire. Une période où se mélangent l’expectative et une certaine crainte. Par exemple, la confirmation ou la peur de voir disparaître des ondes hertziennes – littérature à part, Passou s’en charge – quelques programmes déjà existants dans les grilles habituelles. C’est le cas d’une émission hebdomadaire de France Culture, « L’Atelier du pouvoir », dont je viens de recevoir ce samedi l’assurance de sa continuité et en même temps la modification de son générique qui remplit sa fonction, à quelques détails près et qui ont disparu sans laisser trace. Il s’agit d’un programme politique au sujet variable mais toujours précédé de son habituel générique. J’avance déjà l’intention de ce préalable : pendant des mois j’ai cherché dans la radio, les samedi à 12 h 45min, mon programme préferé pour ne pas rater le début, à peine une paire de minutes (après j’éteignais). Dans ce générique, il y avait, comme toujours, quelques sonorités variables et lancinantes, suivies d’une première phrase dite par quelqu’un que j’ai oublié, ensuite la voix typée, nasillarde, juvénile, de Cohn Bendit (il est toujour là) qui, depuis une tribune soixante-huitarde denonçait le Parlement aux bottes de l’Exécutif. Puis une autre voix, non moins familière, qui semblait descendre d’un nuage serein et vespéral pour émettre – d’un air sentencieux et un peu fatigué dû, peut-être, à l’évidence de sa vérité – la phrase attendue qui hier m’a cruellement fait défaut (parce qu’elle a disparu du générique, substituée par celle d’une fille) : « La France n’est pas la Gauche; la France n’est pas la Droite … ». Avec une nuance imperceptible dans le passage de la première moitié vers la seconde : d’abord, légèrement emphatique dans sa négation, ensuite un constat, un équilibre qui habilitait une autre écoute, plus subtile, plus mystérieusement suggestive. Même si ce n’était pas le texte en soi – finalement assez banal -, ce qui était admirable était son écoute, son interprétation, sa façon de la scander, le son, le ton et le grain de la voix, sa parfaite élocution, le choix d’une grandiloquence à la Sarah Bernhardt dans « Phèdre » – dont la référence permet une « distanciation » du texte jusqu’à nous laisser seulement sa musique. Qui, à part le Général, est capable de prononcer « La France; etc… » avec une telle conviction? Qui, à la marge de ce sérieux, peut aménager un petit espace pour l’ironie? Il faudrait recourir à d’autres références théatrales – parce que, quand même, il s’agit de théatre – : « être ou ne pas être » déclamé par Michel Bouquet ce n’est pas la même chose que prononcé par l’autre Michel, Onfray. La disparition du générique de ‘L’Atelier du pouvoir » de ce fragment du discours du Général, m’a ruiné, hier, l’après-midi. Et je fais un vibrant appel pour que son enregistrement soit disponible dans toutes les écoles de dramaturgie de l’hexagone : « La France n’est pas la Gauche; la France n’est pas la Droite! ».
Messieurs les programmateurs de France Culture, rendez-nous le Général !!!

Phil dit: à

Joli plaidoyer pour la qualité française, Gardel, effectivement devenue aussi rare que le panda des zoos chinois.
Le président de Radio-France est plus porté sur la gaule (l’outil, pas le pays) que sur le Général, vous retrouverez sans doute votre « trailer » censuré sur YouTioube, coincé entre deux pornvids.

berguenzinc dit: à

Camus écrivait un français magnifique, lumineux,clair, un peu comme celui de Bergson. et De Gaulle , évidemment… »ah ! c’est la mer… » etc etc etc…

berguenzinc dit: à

@gardel, roi du tango, j’aime beaucoup votre post.

Sergio dit: à

La Triumph, la Triumph, oui mais il y en a eu des cent cinquante mille modèles ! La dernière, la Spit, est restée en cylindrée quinze cents jusqu’à très tard de hassez tard ; tiens ça vaudrait le coup d’y retourner pour voir s’ils la fabriquent encore !

berguenzinc dit: à

la Triumph Stag aussi, belle caisse !

de nota dit: à

J!bé,

Sade m’emmerde( je me rends compte, en l’écrivant, qu’on ne devrait pas dire Sade m’emmerde) , et Casanova aussi, sauf son évocation de son enfance; la jubilation elle est chez le Voltaire du Candide, chez le Diderot du Jacques, le délié de la langue française elle est chez ces deux écrivains, elle est dans la correspondance de Diderot, dans ses lettres à sa Sophie, qui sont, à mon sens, les plus belles lettres de toute la littérature française avec celles de la Marquise…, vive le XVIII, Vive Candide et Jacques! D’ailleurs, c’est notre chemin, nous commençons Candide pour finir Jacques et c’est très bien ainsi…

Sergio dit: à

berguenzinc dit: 4 septembre 2016 à 17 h 22 min
la Triumph Stag aussi, belle caisse !

J’oubliais quand même la TR7 : en version cabriolet, elle avait bonne allure…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…le Summum de la galette,!…à l’assiette au beurre,!…la frangipane perpétuelle,!…

…du blé à se mettre,!…chacun a ses poches,!…les banquiers à Sade et à nos suffragettes innocentes au permis de  » grâce  » conduite « ,!…
…pimpom, pimpom,!…les mêmes promesses,!…du pareil au même,!…
… » Casse-toi,!…pauvre-con,!… »
…L’Édit de Nantes à passions,!…les élections et puis s’en vont,!…
…promesses d’amours,!…à leurres au beurre,!…les faucons des campagnes en guerre,!…les pigeons surdimensionnés,!…
…piqueté, picotons,!…
… » casse toi pauvre con « ,!…bleu, blanc, rouge, des Habsbourg,!…
…çà ou autres, du pareil au même en connivence,!…belle peau du peuple à l’équarrissoir,!…Ah,!Ah,!…
…des voyage promis, en veaux et parchemins,!…hisser la voile du voile à voile,!…les milles façons du songe et en voyage,!…les nouvelles fraîches of course,!…Ah,!Ah,!…Go,!…
…le flambeau au seau d’Ö home,!…

Delaporte dit: à

Pour moi, mon expérience de lecteur me fait délaisser Sade, trop répétitif, sinistre, pour la brise fraîche qui souffle dans Candide ou Jacques le Fataliste.

Widergänger dit: à

Baudruches creuses qui ne connaissent rien à Céline ! Même pas le b a ba. C’est dire l’incurie.

berguenzinc dit: à

Widergänger dit: 4 septembre 2016 à 18 h 16 min

lass fallen, Kumpel , lass fallen. Du wirst sonst daraus nicht ohne Verletzung herauskommen !

Widergänger dit: à

« La brise fraîche qui souffle sur Candide »…

Jamais rien lu d’aussi drôle à propos de Candide ! Faut le faire comme contre-sens.

Mes pauvres chéris !

Ils connaissent rien à Céline, mais rien non plus à Voltaire !

À part ça, le niveau monte…

Des baudruches creuses.

Widergänger dit: à

Sei Ruhig, Keine Verletzung ! Absolut keine. Ich bin zu hoch für sie. Es ist aber Schade, weil sie verhindern, Céline gut zu verstehen, im tiefsten Sinne des Wortes, im Célines Verhältnis zur Sprache. Verstehst Du ?

la vie en cause dit: à

faut être vraiment un drogué du commentaire pour oser sortir les plus grosses et lourdes énormités, on se dit qu’il fait exprès et on case dans la catégorie troll à points

Widergänger dit: à

Tiens, m’en vais apprendre un peu d’hébreu biblique, ça vaudra mieux que tous ces Arschlöcher…

Petit Rappel dit: à

Parfaitement d’accord, De Nota avec votre commentaire de 17h 29.
Ne m’explique pas pourquoi la modération bloque un commentaire sur la clarté française. Parler de Chapelain, Furetière et Bouhours serait-il subversif?

Paul Edel dit: à

Inquietante montée d’un jeune parti d’extreme droite dans les elections du Mecklembourg.il fait plus de voix que la CDU de Merkel.
Titre de la FAZ.. »SPD kann weiterregieren, AfD zweitstärkste Kraft vor CDU »

Chaloux dit: à

Oui, cette montée de l’extrême droite est extrêmement inquiétante.
Même fâché, il va bien falloir voter socialiste.

Phil dit: à

Perso, comme disait l’abdelkaker längst atomisiert, dear Widergg, ai trouvé votre joute remarquable, bien que ne sachant ce que Heidegger a fait pour la qualité française. La plupart des cinéastes listés dans la catégorie qualité française étant aujourd’hui considérés antisémites, l’heidegger fut sorti de derrière les fagots. Le prestigieux blog a des allures de bonzaï aux branches contreformés par l’esprit de l’époque. En tout cas un souffle digne de celui de la Castafiore.
Céline avait un grand-père professeur de rhétorique.

Petit Rappel dit: à

Il en est un d’oublié, c’est Marivaux. Romans et théatre.
Or le Dix-huitième siècle sans Marivaux…

berguenzinc dit: à

Paul Edel dit: 4 septembre 2016 à 19 h 32 min

Terrifiant, oui, Popol….mais si logique. Partout en Europ les partis fascistoïdes triomphent. Pourquoi? 20% du volume des chiffres d’affaire des entreprises reviennent aux actionnaires et aux banques. L’économie « vivante » s’étiole, la pauvreté devient monstrueuse. Plus de projet social, plus rien que le mythe de l’argent , au demeurant inaccessible.
Des peurs réelles ou fantasmées, les complaisances face aux fanatismes. Souvenez-vous que ces pourris de féministes boches osèrent ne rien dire quand il y eut les viols collectifs de Cologne. Dame, c’étaient des musulmans ç sans doutes des vicitmes de l’affreux colonialisme…etc et…des politicards comme Macron , il y en a des douzaines en Allemagne, qui suent un incoercible mépris pour les peuples. Mêmes causes, mêmes effets..avec en plus le fait que les Allemands sont « gründlich » en tout. Et ça n’annonce qu’un désastre. Bravo Bruxelles !

JC..... dit: à

« Allemagne: la CDU battue par le parti d’extrême-droite AfD dans le fief de Merkel »

Excellent ! Seuls les aveugles n’avaient pas vu le coup venir …. pauvre Angela !

Bonne nuit, les bisounours…

berguenzinc dit: à

Merkel paie sa folie immigrationniste. Mauvaise conscience allemande…Ich trage alle meine Sünden
hinter mir her…

Delaporte dit: à

« Ils connaissent rien à Céline, mais rien non plus à Voltaire ! »

Essayez un peu d’argumenter, WGG, pour étayer vos idées aberrantes, que vous êtes allé piquer je ne sais où, et que vous n’avez évidemment pas comprises… Je vous conseille d’éviter les concepts trop difficiles, où vous vous noyez, même quand il s’agit de parler simplement de Voltaire – Voltaire qui ne mérite pas ça !

berguenzinc dit: à

regardez, Delaporte cligne en cours…

Phil dit: à

Merkel a simplement eu de mauvais conseillers, comme tous ces ministres des affaires étrangères bien maladroits.

Delaporte dit: à

Merci pour votre humour, Berguenzinc, mais le plus grand humoriste, ici, sans qu’il s’en doute lui-même, c’est WGG !

Delaporte dit: à

Pour étayer ce que nous disions, le début de Candide :

Il y avait en Westphalie, dans le château de M. le baron de Thunder-ten-tronckh, un jeune garçon à qui la nature avait donné les moeurs les plus douces. Sa physionomie annonçait son âme. Il avait le jugement assez droit, avec l’esprit le plus simple ; c’est, je crois, pour cette raison qu’on le nommait Candide.

Jibé dit: à

« le plus grand humoriste, ici, sans qu’il s’en doute lui-même, c’est WGG ! »

Il le sait et en joue aussi, mais ne pas oublier que chez lui la joie est avant tout tragique, forcément tragique !

Chaloux dit: à

On finit même pas être embêté de le combattre.

Chaloux dit: à

Toute autre chose, il faut vraiment que les proustiens qui ne l’ont pas encore fait écoutent les cours d’Antoine Compagnon sur Proust au Collège de France.

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

Sur Saint-Simon, tu connais les très intéressants commentaires qui fait P. Morand dans son « Journal inutile »?

Chaloux dit: à

J’ai lu le Journal Inutile, Pablo, et j’avoue tout, j’ai adoré. Je me souviens qu’il taille un petit costume au saint-Simon de José Cabanis. Mais j’avoue que je me souviens davantage des commentaires sur Tournier et sur la « Grande Solange ».

Chaloux dit: à

J’ai adoré, sauf évidemment certains commentaires.

Phil dit: à

Nous sommes rassurés, dear Chaloux…
Compagnon mentionne-t-il Fay dans ses cours proustiens ?

Chaloux dit: à

Oui, Phil dans le cours sur 1966, comme un des derniers témoins, en passant.

Pablo75 dit: à

« On dit: Saint-Simon peint quelqu’un en trois traits. Mais le contraire est vrai aussi; quand sa haine s’accumule, il s’attarde pendant des pages, enfonce le même clou, indéfiniment (portraits de Villeroy, et surtout de Noailles). Il ne peut se retenir, il étouffe, il s’étrangle, et puis vient le soulagement; dans un deuxième temps, il se décharge, se débonde, vomit, chie, cela sort en même temps par tous les bouts. Il écrit moins pour la postérité que pour lui même, pour se soulager, c’est ce qui donne le sentiment du vrai, de l’homme qui souffre. »
(P. Morand. Journal inutile)

« Les crescendos de fureur de S.-S. Le lecteur se dit: «Jamais il n’arrivera à trouver un mot plus vif, une plus extrême expression», et, toujours, il les trouve. »
(P. Morand. Journal inutile)

« S.-S. Les coups redoublés, chacun plus fort que l’autre, comme pour achever un adversaire: un direct, prolongé par un crochet du droit, le tout terminé par un uppercut. »
(P. Morand. Journal inutile)

Pablo75 dit: à

« On admire toujours les mêmes passages dans Saint-Simon, les épithètes sulfureuses, les portraits truculents, la haine des bâtards, etc., mais plus on l’approfondit, plus on arrive aux vraies beautés, les plus grandes, la psychologie profonde des personnages principaux, par exemple l’extrême faiblesse du Régent… »
(P. Morand. Journal inutile)

« Lu le second portrait de Fénelon (à l’occasion de sa mort) par Saint-Simon. Pure merveille. »
(P. Morand. Journal inutile)

« Les pages […] résumant le règne de Louis XIV au chapitre 53 des Mémoires sont parmi les plus grandes de notre littérature.
(P. Morand. Journal inutile)

Pablo75 dit: à

Saint-Simon n’est-il pas le plus grand écrivain français?

Les paris sont ouverts…

Phil dit: à

Merci Chaloux, même en passant la reconnaissance est une belle vertu

Phil dit: à

Pablo, vous avez sans doute oublié ce qu’a écrit sur la femme espagnole

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Cinéma,!…faire son cinéma,!…

…les con-cours ouverts,!…chacun à son rôle,!…prédestiné ou pas,!…
…s’en inventer des rôles en son baldaquin,!…
…d’autres en Cow-boys, avec les vaches, qu’on ne choisi pas,!…si peu,!…déjà mise aux orpailleurs du doute au chiffre,!…
…pour quel plafond la mise,!…Ah,!Ah,!…
…a l’argent pour un cimetière,!…etc,!…
…en sécurité,!…sans blagues,!…Go,!…

Phil dit: à

Morand -pas S-S-

Chaloux dit: à

« On admire toujours etc. », ce passage-là est génial.

Widergänger dit: à

Le pourfendeur Pablo du philosophe Heidegger innocent site un véritable antisémite, Paul Morand.

Vraiment de quoi se marrer tellement il est c… celui-là !

Nur Arschlöcher hier.

Widergänger dit: à

Dazu weder Heidegger noch Saint-Simon gelesen…!

Jibé dit: à

« Saint-Simon n’est-il pas le plus grand écrivain français? »

Pourquoi établir un hit parade, Pablo ?
Il fait partie des plus grands, parmi quelques autres, mais pour mesurer le génie littéraire, il n’y a pas de mètre-étalon…

Morand, antisémite notoire, ça te dérange moins que pour Heidegger ?

Lavande dit: à

Pour revenir à J-P Dubois (qui est plus à ma portée que Heidegger) quelqu’un a-t-il lu l’excellent « Vous plaisantez Monsieur Tanner ».
Si vous avez un ami qui rénove une vieille maison, offrez-le-lui d’urgence!

Pablo75 dit: à

@ Phil

« vous avez sans doute oublié ce qu’a écrit sur la femme espagnole ».

Morand a écrit beaucoup de cxnneries, dans son Journal et sa Correspondance avec Chardonne. Il en a dit beaucoup aussi, racontées par Mathieu Galley dans son propre Journal, si je me rappelle bien. Il était raciste, antisémite, misogyne et politiquement très, très à droite. Mais personne peut nier que c’était un type très intelligent, souvent très lucide et qui connaissait très bien, je ne dirais pas la littérature, mais certains excellents auteurs. Son goût littéraire – et surtout son dégoût – sont très sûrs. C’est un type amusant à lire – en sautant ses délires fascistoïdes et ses obsessions anti-modernes de vieillard.

Lavande dit: à

La modération c’est vraiment du grand n’importe quoi.

Pablo75 dit: à

@ Jibé

J’ai déjà répondu plus bas. Morand est un écrivain qui parle littérature, c’est ça qui m’intéresse chez lui. Ses opinions sur le reste ne m’intéressent absolument pas.

Heidegger est un nazi qui veut imposer sa vision du monde nazie. Tu vois la différence ou je te fais un dessin?

Chaloux dit: à

Alba va mieux : il calomnie en allemand!

Pablo75 dit: à

@ Widergänger

« Le pourfendeur Pablo du philosophe Heidegger innocent site [CITE] un véritable antisémite, Paul Morand. »

Tu as le cerveau en pleine décomposition. Tu devrais arrêter de venir par ici, même tes amis te le disent.

Maintenant citer les jugements littéraires brillants d’un antisémite c’est beaucoup plus grave que d’admirer à la folie la pensée d’un nazi avéré et d’un antisémite notoire qui a transformé sa haine des Juifs en métaphysique?

Le type qu’innocente un penseur nazi qui a développé une philosophie nazie, il est quoi, lui?

Jean dit: à

 » L’homme pressé  » et  » Venises « , de Morand, sont de très beaux livres. On peut effectivement les goûter pleinement sans se préoccuper un instant de ce qui en fâche plus d’un dans ses opinions. Je dois effectivement à Morand le bonheur de ces deux lectures. Le reste … Ce n’est pas que je m’en désintéresse, c’est qu’il y a pour moi, entre les deux, une cloison étanche. Je ne fais qu’appliquer la fameuse distinction proustienne : entre le moi de l’artiste et le moi de l’homme, il y a un monde. Les confondre vous conduit à de regrettables contresens, en tout cas à des amalgames hâtifs et confus.

Pablo75 dit: à

La déliquescence neuronale de Widergänger:

« Le pourfendeur Pablo du philosophe Heidegger innocent cite un véritable antisémite, Paul Morand. »

Et l’admirateur du nazi Heidegger écrit ça après avoir fait l’éloge d’un véritable antisémite, Céline:

« Un grand écrivain français, beaucoup plus tard, s’insurgera contre ce mythe et renouera avec l’inversion dans tous les sens du terme, c’est bien sûr le grand Céline. »

Ta logique, Michel Alba, est en train de fou.tre le camp de ton cerveau maladif. Tu as besoin d’un psychiatre, cela est de plus en plus claire, mais avant va quand même voir un neurologue.

Pablo75 dit: à

… clair…

Chaloux dit: à

On ne peut pas lire que d’irréprochables pi.sse-copie. La littérature est ainsi faite, parce qu’elle est dans l’Histoire et qu’elle est humaine. Après avoir lu « les idées de Céline » de Philippe Alméras, je n’ai pas pu ré-ouvrir ses livres pendant cinq ans. Et puis un jour un de mes amis me dit qu’il relit Mort à Crédit et que c’est vraiment génial. Je relis et oui, c’est vraiment génial. Que faire?

Jean Langoncet dit: à

@les deux ibbéricos
Vous avez bouffé le graphomane Widergänger, ici la cible privilégiée des amateurs de tortillas et des prétendants de tous ordres ; grand bien vous fasse et bonne digestion mais là vous commencez à lasser … Faute de muleta, gare aux picadors et au manteau d’Alba

Phil dit: à

« Dieu n’a rien créé de plus laid que la femme parlant espagnol ».
Nous avons de la chance, Pablo, ici Morand n’est pas antisémite.

Chaloux dit: à

Langoncet, tu lis mal, c’est Alba qui remet ça. Pas le contraire.

Chaloux dit: à

On n’a pas souvent l’impression que la vocation de l’écritoire donne des idées démocratiques.

Pablo75 dit: à

@ Widergänger

Ta santé mentale m’inquiète vraiment. Tes messages sont de plus en plus incohérents, de plus en plus délirants. Je comprends qu’étant maso tu viennes ici pour te faire taper dessus, mais là tu exagères, tu rentres dans une zone dangereuse, pathologique.

Ton masochisme profond, que tu as confirmé publiquement ici aujourd’hui même (« Je suis la bonté même, la gentillesse même. Marusa ne s’est jamais plainte de quoi que ce soit avec moi. Bien au contraire, c’est plutôt moi qui était son souffre-douleur ») est en train de te détruire. Ton « aspergerisme » profond, de plus en plus visible dans tes interventions ici, a besoin d’être stoppé.

Chaloux dit: à

Morand a été formé à un certain rire dans un certain monde.

Phil dit: à

Morand a surtout formé un certain monde, Nimier par exemple.

Pablo75 dit: à

@ Phil

« Dieu n’a rien créé de plus laid que la femme parlant espagnol. »

Et c’est le type marié avec un monstre de laideur et de bêtise (voir le Journal de Galley) qui dit ça.

Pablo75 dit: à

@ Jean Langoncet

« @les deux ibbéricos »

Qui est l’autre ibérique?

Chaloux te l’a dit: « Langoncet, tu lis mal, c’est Alba qui remet ça. Pas le contraire. »

Chaloux dit: à

Sans un de ses cours, Antoine Compagnon dit « l’horrible princesse Soutzo ».

Phil dit: à

Pablo, Hélène Soutzo Morand avait « l’élégance d’une minerve qui aurait avalé sa chouette » (Cocteau). C’est un autre monde, Pablo. D’autre part les appréciations féminines de Galley sont à prendre avec des pincettes (comme celles de son homonyme contemporain, d’ailleurs).

Phil dit: à

Compagnon fut probablement éconduit de l’avenue Charles Floquet après sa faible gratitude pour l’oeuvre de Faÿ.

berguenzinc dit: à

pablo, c’est vraiment la charité qui se fout de l’hôpital. Vous êtes hystérique contre Alba sur heidegger, non sans raison et vous nous parlez de cette vieille salope de Morand, collaborator, collaboratorum ??? vous ne manquez pas d’air.

Phil dit: à

Le goût de la corrida, vous dis- je. Du panache et un certain ridicule

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

« Après avoir lu « les idées de Céline » de Philippe Alméras, je n’ai pas pu ré-ouvrir ses livres pendant cinq ans. Et puis un jour un de mes amis me dit qu’il relit Mort à Crédit et que c’est vraiment génial. Je relis et oui, c’est vraiment génial. Que faire? »

On a déjà parlé plusieurs fois du thème ici. Il n’y a qu’une solution: séparer la vie de l’oeuvre, sauf, comme dans le cas de Heidegger, quand elles se confondent.

Et ce n’est pas seulement le problème du Mal et du talent ou du génie, mais celui aussi de la bêtise. Il y a des grands créateurs qui étaient cxns dans la vie. Bruckner est l’un des cas les plus clairs. Il était très bête dans la vie, très maladroit, surtout avec les femmes (qui l’ont toujours envoyé balader), mais aussi avec ses élèves (si l’un d’eux lui disait de changer quelque chose dans l’une de ses symphonies, il le faisait tout de suite – d’où le problème des innombrables versions qu’il y a de chacune d’elles). Même si pour son cas il y a peut-être une explication. Philippe Herrreweghe, qu’avant d’être chef d’orchestre était médecin, avait répondu à une question sur ce décalage ahurissant entre la vie et l’oeuvre de Bruckner, en disant qu’il était sans doute autiste, donc hyper-doué pour un art et totalement incapable d’avoir des relations normales avec les gens.

Entre parenthèse, la liste de grands écrivains antisémites est impressionnante. Quelques uns: Shakespeare, Ronsard, Quevedo, Voltaire, Rousseau, Chateaubriand, Fichte, Kant, Goethe, Schopenhauer, Hegel, Dickens, Fourier, Maupassant, Baroja, D.H.Lawrence, T. Mann…

Jean dit: à

Ce qui est récurrent dans ce débat qui glisse de Heidegger à Céline puis à Morand, c’est la question de l’antisémitisme. Tout se passe comme si, pour certains sur ce blog, l’antisémitisme était le mal absolu ; être convaincu ou suspecté d’antisémitisme devrait suffire pour qu’un écrivain ou un artiste soit radicalement rejeté. Cela éclaire la logique de l’attitude de Widergänger envers Heidegger : il ne peut s’empêcher d’admirer le philosophe ; il lui faut donc impérativement, s’il veut continuer de l’admirer, le laver de l’accusation infamante d’antisémitisme. Seuls ceux qui considèrent que l’antisémitisme est le mal absolu se heurtent à ce dilemme. En réalité, l’antisémitisme est une forme du mal, réprimée comme telle par la loi, au même titre que la pédophilie, le trafic de drogues dure ou divers crimes répertoriés dans le code pénal. Tout est relatif : Pablo75 a rappelé que Gesualdo avait assassiné sa femme ; à ma connaissance, Paul Morand n’a assassiné personne. Pas plus que Céline, d’ailleurs.

Phil dit: à

Yé crois qué lé débat y va partir en soucette

Chaloux dit: à

Je ne sais pas si on peut « séparer », Pablo. Reste qu’un grand créateur est un grand créateur. La postérité n’est pas le Jugement Dernier.

Jean dit: à

Entre parenthèse, la liste de grands écrivains antisémites est impressionnante. Quelques uns: Shakespeare, Ronsard, Quevedo, Voltaire, Rousseau, Chateaubriand, Fichte, Kant, Goethe, Schopenhauer, Hegel, Dickens, Fourier, Maupassant, Baroja, D.H.Lawrence, T. Mann…

Cela s’explique évidemment par le fait que, dans les sociétés occidentales, l’antisémitisme n’a pas toujours été considéré comme une forme majeure du mal, au contraire. On sait que sa promotion comme tel est toute récente. Notre société réprime l’expression de l’antisémitisme, mais ce n’est pas le cas de beaucoup d’autres : qu’en est-il, par exemple, de l’Arabie Saoudite, pays avec lequel, par ailleurs, nous entretenons les meilleures relations ?

Jean dit: à

Phil dit: 4 septembre 2016 à 22 h 45 min

Yé crois qué lé débat y va partir en soucette

Yé lé crois aussi. Yé m’y efforce pour cé qu é dé môa.

Pablo75 dit: à

@ berguenzinc

Encore un qui ne sait pas lire. D’abord, je cite Morand sur Saint-Simon, parce qu’on parle de Saint-Simon. Si tu ne peux pas supporter qu’un antisémite décrive bien Saint-Simon, c’est ton problème, pas le mien. Et si ton caractère stalinien t’empêche de comprendre que citer un auteur en parlant d’un autre auteur n’est pas approuver ce que le premier pense de la vie, de la politique et des Juifs, tant pis pour toi. Si à ton âge tu n’as pas compris des choses aussi élémentaires, je te plains.

Ensuite, c’est toujours Alba, avec son masochisme pathologique, qui provoque avec Heidegger en me citant, jamais moi qui commence (entre parenthèse, parce que j’en ai ras-le-cxl… eh oui !!).

Et pour finir, si tu ne fais pas la différence entre quelqu’un qui admire un penseur nazi admirateur de Hitler en disant qu’il est innocent et quelqu’un qui cite les commentaires littéraires d’un antisémite dont personne discute son antisémitisme, qu’est-ce que tu veux que je te dise?

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

« Je ne sais pas si on peut « séparer », Pablo. »

Donc tu ne vas plus jouer ni écouter Schubert, maintenant que tu sais qu’il était un double criminel, puisque se sachant atteint de la syphilis il payait des gosses pauvres pour coucher avec eux?

Widergänger dit: à

Nur Arschlöcher !

Delaporte dit: à

Depuis assez longtemps déjà, après tout ce qu’on sait de lui ou ce qu’on a lu de lui, sa correspondance, son journal intime, un certain silence s’est fait sur Morand. On le lit à la sauvette comme si c’était une mauvaise action. Et certainement, vu le personnage peu sympathique qu’il était, c’est une mauvaise action que de le lire, contraire à la morale contemporaine – d’où un certain délice de transgression, qu’hélas j’ai pour ma part épuisé.

Pablo75 dit: à

@ Widergänger (qui naïvement insulte en allemand sans savoir qu’il existe un outil très pratique qui s’appelle « Google traduction » https://translate.google.com/ )

Je constate que tu n’as pas répondu à ma question d’hier: comment un type qui se dit philo-sémite et s’intéresse au sens du monde comme toi peut s’occuper de la pensée nazie d’un nazi au lieu d’étudier la mystique juive en général et la Kabbale en particulier? Tu préfères les verbiages délirants d’un antisémite avéré à la sagesse millénaire d’une doctrine extraordinairement profonde?

Chaloux dit: à

En littérature, Pablo, je ne sais pas si on peut vraiment séparer. Le matériau qui fait les chefs-d’œuvre est le même qui sert à dire : « passe-moi le sel ». Sur ce point, les musiciens ont un avantage certain. Aucune pièce de Schubert ne dit : « je paye de pauvres mômes et je les in.fecte ». Il n’y a que le sublime de la musique.

berguenzinc dit: à

@pablo
qu’est-ce que tu veux que je te dise?

rien.

Winchester Cie dit: à

Phil dit: 4 septembre 2016 à 22 h 45 min
Yé crois qué lé débat y va partir en soucette

Yawol.Les Zélotes* ont du plomb dans la musette et c’est plutôt une bonne nouvelle ; le chemin est long et les bibles en ligne bon marché
*https://fr.wikipedia.org/wiki/Z%C3%A9lotes

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

« En littérature, Pablo, je ne sais pas si on peut vraiment séparer. Le matériau qui fait les chefs-d’œuvre est le même qui sert à dire : « passe-moi le sel ». Sur ce point, les musiciens ont un avantage certain. […] Il n’y a que le sublime de la musique. »

Va dire ça aux Juifs survivants qui entendaient Wagner à Buchenwald.

Chaloux dit: à

Delaporte, c’est une impression. Les horreurs qu’énonce Morand, j’ai déjà eu l’occasion de dire que je les entendais couramment. C’était des lieux communs dans certains milieux : il y avait même des gens à qui il ne fallait pas dire un mot de trop sur Laval parce qu’il avait sauvé la rente.

Pablo75 dit: à

@ berguenzinc

« qu’est-ce que tu veux que je te dise? »

rien.

Alors oublie-moi, mon pote.

Chaloux dit: à

Schubert était laid, il ne savait pas plaire aux femmes ; ce qu’il a fait, pour condamnable que cela soit, relève d’un destin privé misérable. Wagner, c’est un monstre, un démon, je comprends très bien qu’on ne puisse pas le souffrir. (Barrès aussi a été ignoble au moment de l’affaire Dreyfus, discours à la Chambre compris).

Widergänger dit: à

Arschloch.

Winchester Cie dit: à

A propos de cerdo ibérico, aux fines geules du blog qui le savent certainement déjà, je suggère d’ajouter un talon de Teruel, en fin de cuisson, aux cocos de Paimpol en grain dont c’est la pleine saison ; le mélange des origines géographiques fonctionne

Winchester Cie dit: à

Gueules

Chaloux dit: à

Alba, est-ce ton éducation « à la Goethe » qui t’incite à insulter le monde en allemand? Je ne te cache pas qu’étant donné le contexte de l’échange ça fait un drôle d’effet.

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

Sur ce problème, il faut écouter Baremboïm, qui a été le premier à diriger Wagner en Israel, malgré les menaces et les polémiques. Si je savais où se trouve son livre « La musique éveille le temps » dans mon bordel de livres je copierai ici certains paragraphes très bons sur la relation entre l’art et le mal en général et sur Wagner en particulier.

Ça clouerait le bec à certains excités qui confondent tout.

Pablo75 dit: à

Encore un comportement d’Asperger: réagir en insultant dans une autre langue.

C’est totalement incohérent, puisque personne comprend et donc tout le monde s’en fout.

berguenzinc dit: à

Pablo75 dit: 4 septembre 2016 à 23 h 31 min

lutôt me faire arracher trois denrs sans anesthésie que d’avoir ça comme pote !

de nota dit: à

@Pablo,

dans quelle biographie avez-vous trouvé cette information sur la sexualité de Schubert? Merci.

Pablo75 dit: à

@ berguenzinc

Alors la prochaine fois que tu auras envie de faire ton gendarme stalinien, adresse-toi à quelqu’un d’autre.

(Et réfléchis bien avant d’écrire).

Pablo75 dit: à

@ de nota

J’ai entendu ça a Olivier Bellamy (auteur d’un « Un hiver avec Schubert ») dans son émission quotidienne (à 18 h) « Passion classique » sur Radio Classique. Il racontait qu’on avait trouvé récemment dans les archives de la police de Vienne un dossier sur Schubert où tout cela était dit.

Widergänger dit: à

Arschloch !

Jean Langoncet dit: à

Il y aurait matière à discuter. Les zélés « Zélotes » qui prétendent soutenir des causes auxquelles ils nuisent de la pire façon, comment les qualifier ? Je propose les « Innommables » dont voici un illustré des trobines
http://www.bedetheque.com/media/Planches/Innommables.jpg
(demain, à la suite, les intouchables gamins)

Jean Langoncet dit: à

Trombines

Chaloux dit: à

Il faudrait quelqu’un passe chez Alba pour lui donner une tape dans le dos. La machine s’est enrayée.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

..;
…il l’a dit, il l’a dit,!…
…régimes militaires pour les économies en cours à justice ripoux,!…
…les jeux d’enfants pour ridiculiser les honnêtes gens, les états subversif en leurs paradis fiscaux et responsables des politiques économiques,!…

…c’est très court, laissons les colonels des finances aux boulots,!…

…les terroristes nos patrons à se l’à couler douce,!…Ah,!Ah,!…
…Go,!…

JC..... dit: à

Cette pauvre Angela Merkel, naïve rombière qui ouvrit sa frontière européenne à n’importe qui, doit répondre à la question :

« Si ces étrangers migrants sont des ‘chances pour l’Europe’, comment expliquer qu’ils ne soient pas des ‘chances’ pour leurs propres pays ? »

NO BORDER, NO BRAIN

Widergänger dit: à

Prendre berguenzinc pour un stalinien, c’est vraiment comique. Lui et chaloux c’est les deux ploucs à la fois les plus horribles et les plus comiques de la rdl.

Widergänger dit: à

Mais qui a décrété qu’il n’était pas une chance pour l’Allemagne, pauvre idiot, sinon toi ? Tu connais rien à l’économie c’est tout. Tu ne dis rien d’autre dans ton poste.

Widergänger dit: à

Je me souviens qu’en 1989 et les années 1990, tous les bons esprits se demandaient avec inquiétude si la réunification de l’Allemagne n’allait pas produire une nouvelle catastrophe, à savoir l’hégémonie de l’Allemagne en Europe. Vingt-cinq ans plus tard, on a la réponse : l’Allemagne est devenue totalement hégémonique ; elle exporte son chômage dans les autres pays européens, elle importe sa main d’œuvre bon marché sans faire d’effort ; elle bouffe le marché européen. Mais maintenant elle est menacée de l’intérieur par la montée des populismes. Logique.

de nota dit: à

Pablo,

Bellamy, il a un tonton dans la police viennoise qui lui a refilé le tuyau sur Schubert? Et la presse, elle, n’est pas au courant? La révélation de Bellamy n’est reprise nulle part sur le net et, surtout, elle est inexistante en langue allemande?

Widergänger dit: à

de nota dit: 5 septembre 2016 à 6 h 54 min
Avec un idiot qui croit défendre les juifs en disant de si grosses sottises sur Buchenwald, les juifs et Wagner, il y a tout à craindre quand il en vient à parler de Schubert. C’est du même ordre que berguenzinc qualifié de salien. Aussi insignifiant, aussi peu informé et aussi délirant.

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 4 septembre 2016 à 23 h 34 min
Wagner, c’est un monstre, un démon, je comprends très bien qu’on ne puisse pas le souffrir.
_________
Quand on lit ce genre d’ânerie, on se demande où on se trouve : dans une cour de maternelle ? un asile de débiles mentaux ? un blog musical ?

Le sus nommé ignore visible tout du rapport de Wagner et des Juifs allemands et du destin tragique de l’Allemagne et du problème Wagner en Israël.

Widergänger dit: à

Pablo75 dit: 4 septembre 2016 à 23 h 01 min
@ Chaloux

« Je ne sais pas si on peut « séparer », Pablo. »

Donc tu ne vas plus jouer ni écouter Schubert, maintenant que tu sais qu’il était un double criminel, puisque se sachant atteint de la syphilis il payait des gosses pauvres pour coucher avec eux?
______________
Les deux ânes de la rdl étaient en plein travail d’épandage à ce que je vois… Deux tristes sires vraiment.

JC..... dit: à

« Tu connais rien à l’économie c’est tout. » (Wiwi)

En économie, malgré des années de métier, il est clair que j’ai ‘tout à apprendre’ d’un maitre d’école chargé de causer français pour les classes de 5ème qui écrivent en texto ! …

Qu’est ce qu’il ne faut pas lire pour se poiler de bon matin !

JC..... dit: à

« Mais maintenant elle est menacée de l’intérieur par la montée des populismes. » (Wiwi)

Le populisme n’est pas menaçant ! Le populisme ne récolte que les fruits de l’impuissance des partis conservateurs, tous embisounoursés par les humanistes utopiques de tous poils, idiots utiles du califat !

Le danger ne vient pas du populisme, il vient du danger que constitue le Grand Remplacement en Europe, l’Eurabia l’avait prédit …

(… c’est parti…)

Widergänger dit: à

À destination des maîtres de l’épandage en rdl, pour information :

« Il est vrai qu’à la mort, en 1828, de Schubert, l’anatomie patho- logique n’existait pas encore. Par contre, les deux exhumations en 1866 et en 1888, dont l’objectif était le transfert de la dépouille du musicien dans le quartier des artistes de Vienne, ont permis de soumettre le squelette de Schubert à un examen histologique et radiographique : les deux semblent avoir permis l’élimination de lésions de nature syphilitique. »

(M. Schachter, profil bio-pathologique du compositeur Franz Schubert)

Widergänger dit: à

Il n’y a que toi qui dise que le populisme n’est pas menaçant. Il l’est puisque qu’on le rapproche même du nazisme en Allemagne, par des descendants de nazis aujourd’hui responsables politiques libéraux.

C’est pas parce que tu l’ouvres que tu dis quelque chose. Carre-toi ça quelque part !

Widergänger dit: à

Mais arrête ton délire, mon pauvre JC. Le fantasme du grand remplacement ça fait rire tout esprit un peu sérieux. T’as vu le chiffre des immigrés ? T’as vu le chiffre de la population européenne ? Alors restons sérieux !

C’est par des âneries comme celle-là que tu passes pour un guignol. En vérité, tu es absolument incapable de penser le problème de l’émigration en Europe. C’est que ça te demanderait trop d’effort intellectuel… Reste plutôt couché à ton âge ! Ou va à la plage te baigner, il fait encore beau. La vie est courte.

Widergänger dit: à

C’est évident que tu ne connais strictement rien en économie, mon pauvre JC ! Je lis Attali, qui, lui, en connais un rayon. T’es inculte, alors va le lire. Tu t’enrichira, au lieu de pérorer et de braire comme un âne sur le grand remplacement. T’es tout simplement grotesque.

Lavande dit: à

Wgg 6h38… ou l’art de dire le contraire de ce qu’on veut dire:
« Prendre berguenzinc pour un stalinien, c’est vraiment comique. Lui et chaloux c’est les deux ploucs à la fois les plus horribles et les plus comiques de la rdl. »

renato dit: à

« … on se désole qu’on ne trouve aucun bon vin à Venise… »

Vous admettrez qu’un bon vin peut donner un aspect joyeux à une journée…

Chaloux dit: à

Mon pauvre Alba, je comprends que tu estimes avoir parfaitement le droit de déverser ici, à longueur d’année, le liquide pa.thologique – et tautologique- qui est ta marque. Mais est-ce une raison pour se mettre dans un état pareil?

Widergänger dit: à

C’est l’hôpital qui se moque de la charité. T’es un grand comique, un comique fielleux en plus. Tu vois pas que tu dégoûtes ici ? Va donc ierch ailleurs, tu sens mauvais, t’es nauséabond, tu pues.

Chaloux dit: à

Alba, ta détresse fait peine.

OZYMANDIAS dit: à

« Si ces étrangers migrants sont des ‘chances pour l’Europe’, comment expliquer qu’ils ne soient pas des ‘chances’ pour leurs propres pays ? »
NO BORDER, NO BRAIN……….. JC

T’as sacrément raison le JC, c’est la même question qui me taraude depuis longtemps.
Sans le JC, la Rdl serait une erreur !

Lacenaire dit: à

MC c’est JC, en pire
JC c’est MC, en pire

JC..... dit: à

Mon cher Wiwi,
Sur ces sujets que tu crois maitriser mieux que personne mais que tu ne maitrises absolument pas croyant à des lectures qui ne remplaceront jamais l’expérience… nous échangerons seulement lorsque tu auras repris tes esprits et cessé d’insulter bêtement comme fier-à-bras de foire aux cochons !

En attendant, remets ton Jacques Attila dans ta culotte, il va prendre un coup de chaud sur sa petite calebasse.

Widergänger dit: à

JC, chaloux et Pablo, c’est le trio infernal de la Rdl. Trois nazes incultes qui passent leur temps à se la péter ! Commence à y’en avoir marre de ces trois c.ouillons !

renato dit: à

Si j’ai bien compris, berguenzinc n’est pas un stalinien. Mais berguenzinc et chaloux ce sont deux ploucs horribles et comiques.

Widergänger dit: à

Je ne maîtrise rien du tout. Je constate simplement que t’es un nullard et un sale c.on, c’est tout. Et que tu ferais mieux d’aller faire bronzette à la plage. Tu dégages ici une odeur nauséabonde comme l’autre tordu de chaloux. Faut consulter, les nazes au lieu de passer votre temps à faire ierch le monde. Aller au bordel, je sais pas moi, ou aller vous faire sauter le caisson si c’est ça qui vous démange.

Widergänger dit: à

Non, berguenzinc c’est un type tout ce qu’il y a de charmant, extrêmement sensible, un cœur d’or, et une immense culture, un type très intelligent avec qui on respire quand on parle avec lui, mais qui, à part Bergson, ne sait pas ce que veut dire faire de la philosophie. Mais c’est pas bien grave. Y a bien pire comme être humain sur cette terre !

À côté, les Pablo, chaloux et autre JC ce ne sont que de grosses m…puantes, atroces. Des déchets d’humanité.

Widergänger dit: à

Oui, la poésie de Denis Roche n’est pas si mal, elle tient la route tant de tremps après. Mais tout n’est pas comme ça. Je préfère le Denis Roche photographe, qui invente. Comme poète, il se contente d’imiter. Mais dans la photographie, il est d’une grande poésie. Mais c’est plus un œil qu’une tête chercheuse en poésie.

JC..... dit: à

Renato,
Comme toujours se livrer à l’excès mégalomaniaque, distribuer des étiquettes folles, cela constitue un spectacle douloureux pour celui qui ne se maitrise plus et en a conscience la nuit venue. Ajoutons que cela fournit le pire des spectacles aux malheureux spectateurs compatissants…

Widergänger dit: à

Feu pâle, faudrait que je relise. Je sais que CP l’apprécie. Je l’avais lu pour le programme de littérature comparée de l’agrèg il y a longtemps, mais c’est pas très propice à gouter un écrivain comme Nabokov ce genre de travail systématique.

Chaloux dit: à

Alba, le leitmotiv de l »odeur » a de curieux relents. Tu devrais t’en méfier.

La conclusion de tout cela :

Tu voudrais régner intellectuellement et tu n’en as pas les moyen, ni culturels, ni intellectuels. Peut-être serait-il temps que tu l’acceptes, ne serait-ce que pour que le reste de ta vie ne baigne pas dans ce flux de frustrations qui t’empoisonnes et incommode -ce n’est pas une odeur- autrui.

Chaloux dit: à

les « moyens » et qui « t’empoisonne ». Pour une fois, c’est moi.

Widergänger dit: à

Berguenzinc, ici, il ne se prend pas au sérieux, il vient pour s’amuser, pour causer politique, c’est sa passion. Mais c’est simplement qu’il ne veut pas vous montrer toute l’ampleur de son savoir et de son intelligence. Il est pudique, veut pas vous faire honte, c’est tout. Mais vous êtes incapables d’entrer en empathie avec qui que ce soit tellement vous êtes tous repliés sur votre petit esprit étriqué et ras des pâquerettes. Faites souvent honte à l’espèce (humaine).

Widergänger dit: à

Eh, tu t’es vu avec tes moyens…!

Tu nous fais sans cesse pisser de rire avec tes âneries avec l’autre naze de Pablo. Vous êtes deux nullités intellectuelles et humaines, c’est tout. Deux grosses nullités, comme on en rencontre sur blog. Jamais de ma vie auparavant j’ai rencontré des cré.tins de cet acabit. Sauf en lisant Flaubert.

Aide-Mémoire dit: à

W
Il fut un temps ou vous la défendiez ici, cette thèse de l’Eurabia et son auteur.
Je constate que Lacenaire est un apparent expert du style « en pire ».

Chaloux dit: à

Alba tu écris tellement de bêtises sur les livres qu’il n’y a pas de raison pour que tu n’en écrives pas aussi sur tes contemporains.

Widergänger dit: à

Et le pendant de Heidegger, c’est Gilbert Simondon, qui serait impensable sans Heidegger, quoi qu’il en soit l’exact sinon opposé du moins pendant. Sa pensée est peut-être même cette fameuse section que rêvait d’écrire un jour Heidegger et qu’il n’a finalement jamais écrite, Zeit und Sein.

Car le projet ontologique de Gilbert Simondon est de penser l’individu à travers l’individuation dans tous les domaines de réalité : physique, biologique, et psycho-social ou « transindividuel ». Il s’agit précisément pour lui de renverser le privilège ontologique accordé par la métaphysique à l’être sur le devenir, au résultat sur l’opération, à l’individu sur l’individuation, et d’en faire la condition de toute connaissance complète de la réalité. Simondon est comme Heidegger un grand penseur de la technique. Mais il est impossible de parler de ça avec des abrutis de votre espèce.

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