Ecrire ou aimer, il faut choisir
Etrange comme la quête de cette Nadejda évoque celle de la Nadja d’André Breton par la commune euphonie de leurs prénoms comme par l’atmosphère, du moins au début de La Passion Dolores (210 pages, 18 euros, Léo Scheer/ en librairie le 6 septembre) de Richard Millet. Lui, Pascal, écrivain, la soixantaine, pianiste amateur passionné au point de tourner les pages des partitions pour les concertistes, écrivain viré par l’éditeur qui l’employait « pour avoir dit la vérité sur l’état la littérature en France » ; c’est d’ailleurs la seule allusion, véritablement autobiographique, à son éviction sur fond de scandale (l’affaire Brejvik) du comité de lecture de Gallimard, les autres allusions, sur sa vie amoureuse, pouvant correspondre à la biographie de nombre de lecteurs. Elle, Nadejda, pas encore 40 ans, grande soprano russe qui fait penser à Anna Netrebko (mais c’est dédié à une certaine « Natalia » ce qui brouille un peu plus les pistes) à la voix si envoûtante, dotée d’un tel pouvoir d’ensorcellement, qu’il rêve de la posséder, la voix, charnellement.
Le voilà parvenu à ce point d’incertitude, donc de souffrance, où il ne supporte plus les rôles dans lesquels elle meurt sur scène. Car c’est un être souffrant du début à la fin, à croire que c’est sa seule nature, ce qu’annonce l’une des citations placées en épigraphe, celle-ci du Jean Eustache de La maman et la putain, film générationnel s’il en est :
« Je ne me suis pas accroché à toi mais à ma souffrance.”
Il souffre surtout de ce que leur relation n’arrive pas à trouver son rythme, sa mesure. Le roman même devient le lieu de son amour. Il est vrai qu’il tient l’amour et l’écriture pour les deux seules épreuves de vérité auxquelles il ne peut se soustraire quitte à présumer de lui-même, négligeant ainsi le conseil de sagesse de Bossuet, autre citation en épigraphe tirée, elle, du Traité de la concupiscence :
… car c’est la le commencement de tout peché : c’est par la que vostre mere a esté seduite et que vostre pere vous a perdus.”
Tout cela, admirablement écrit et décrit, notamment les scènes de la rencontre dans un château d’Orliac à l’allure fantastique au creux du Limousin ; elles ont le parfum non du Grand siècle mais d’un certain romantisme, moins Villiers de l’isle-Adam (même si l’on voit passer sa nouvelle “Le convive des dernières fêtes” issue du recueil des Contes cruels) que Novalis. Et à partir de la page 69, on bascule dans autre chose avec l’entrée en scène inopinée de la Dolorès du titre, une Américaine, 16 ans, fille de l’autre et contre-Lolita dans son genre. Le narrateur, que sa passion pousse à transférer la voix de l’une dans le corps de l’autre, puis à échanger les corps, devient l’homme qu’elles n’hésiteraient pas à tuer pour trouver un compromis leur permettant de vivre ensemble.
Paumé dans ses injonctions amoureuses contradictoires, il hésite à faire le grand saut au pont Mirabeau où le poète Paul Celan l’avait précédé. Au lieu de quoi, le narrateur replonge dans les affres du double, et Millet dans ses obsessions de grand-écrivain-solitaire, être désenchanté que la vulgarité de l’époque a poussé à se résigner au pari d’une gloire posthume, sa certaine idée de lui-même, son goût de l’ombre sulfureuse, sa vision tragique de la littérature et de la société, lonesome cow-boy d’un monde dont il se veut l’ultime spécimen dostoïevskien. Dolores finira par se suicider, crime dont le narrateur s’attribue la responsabilité non seulement pour n’avoir pas su l’aimer mais pour n’avoir su se laisser aimer par elle.
« La douleur amoureuse est ce qu’il y a de pire, avec l’injustice et la dépression nerveuse »
C’est un roman d’analyse, classique pour le meilleur et non pour le pire, tel qu’on en a lus un grand nombre depuis La Princesse de Clèves, mais très incarné et sexué, aussi charnel que sensuel, sur l’amour des femmes, la difficulté à se parler sans se dire l’indicible, l’amour de la musique et de la littérature ; mais malgré la lignée très fréquentée dans laquelle il s’inscrit, il est prenant, vibrant, sensible, formellement classique mais envoûtant lorsque l’on sent l’auteur pétrifié par les puissances obscures qui le travaillent dans sa nuit sacrée, un peu surérudit question musique et peu trop référencé question littérature, mais enrichissant aussi par ces aspects-là, écrit dans une langue splendide, même si elle ne hisse pas ce livre à la hauteur de ses grands romans La gloire des Pythre, Ma vie parmi les ombres, Les trois soeurs Piale…
Si l’amoureux passionné en lui est impitoyable avec lui-même, l’auteur est complaisant avec le lecteur et le mélomane qui l’habitent laissant le polémiste reprendre la main lorsqu’il dénonce « les singes savants asiatiques… et l’obscène Lang Lang dont les simagrées sont au corps extatique de Glenn Gould ce qu’un logo est à un tableau de Zurbaran ». Un brin de mépris pour ceux qui ne sont pas du niveau où il croit se placer. Il ne manque pas une occasion de nous rappeler que nous avançons dans un monde barbare où il y aura de moins en moins de gens à qui parler, où la culture restera de plus en plus confinée dans un bunker où une élite issue d’un autre âge de la civilisation sera seule à même de l’apprécier. A lire comme il convient sans écouter d’autre musique que celle du texte, mais sans oublier qu’il a une bande originale qui est tout sauf hasardeuse : Im Abendrot de Richard Strauss, Requiem de Fauré, Offertorium pour violon et orchestre et Hommage à T.S. Eliot de Sofia Goubaïdoulina…
Par ailleurs, Richard Millet écrit des essais pamphlétaires et tient un blog qui l’est tout autant. Il y exprime à flux tendu sa vision politique et littéraire, parfois phobique et souvent violente, radicale sinon haineuse, de la décadence de l’Occident, de la lâcheté criminelle du pape, de la société du spectacle, de la médiocrité du milieu littéraire, de la veulerie touristique et en permanence de l’immigration, des droits de l’homme, de l’islam, du terrorisme etc On saura bientôt si son roman crépusculaire, l’un des plus beaux de cette rentrée, pâtira de la détestable réputation de Richard Millet. Le paradoxe voudrait que, le cas échéant, il s’en réjouisse tant cela le conforterait dans sa paranoïa de dernier des Mohicans.
(« Anna Netbreko » et « Viva la mamma ! » photos D.R.)
781 Réponses pour Ecrire ou aimer, il faut choisir
La base du nationalisme catalan, comme celle de tous les nationalismes, est le racisme.
« Existe una raza catalana, de origen ario-gótico, superior al resto de pueblos peninsulares, de raíces semíticas ».
(Valentí Almirall, (1841-1904), politicien catalan).
« Una España «africana» agrícola, burocrática y semita, frente a una Cataluña «europea ».
(Joan Bardina, 1877-1950).
«El hombre andaluz no es un hombre coherente, es un hombre anárquico. Es un hombre destruido […], es generalmente un hombre poco hecho, un hombre que hace cientos de años que pasa hambre y que vive en un estado de ignorancia y de miseria cultural, mental y espiritual. Es un hombre desarraigado, incapaz de tener un sentido un poco amplio de comunidad. A menudo da pruebas de una excelente madera humana, pero de entrada constituye la muestra de menor valor social y espiritual de España. Ya lo he dicho antes: es un hombre destruido y anárquico. Si por la fuerza del número llegase a dominar, sin haber superado su propia perplejidad, destruiría Cataluña. Introduciría en ella su mentalidad anárquica y pobrísima, es decir su falta de mentalidad.»
(Jordi Pujol. « La inmigración, problema y esperanza de Cataluña » -1976).
Rappelons que la Catalogne est le seul endroit au monde où les enfants ne peuvent pas suivre leur scolarité dans la langue officielle du pays.
Ce qu’ils font avec l’espagnol est bien pire que ce que Franco a fait avec le catalan.
Tout cela avec la complicité de la gauche espagnole et de la bêtise de la droite, qui croit qu’obliger les nationalistes catalans à appliquer les lois sur les langues va exciter leur indépendantisme.
Où que l’on regarde, « esperpento » partout et depuis toujours en Espagne.
« El nacionalismo es la chifladura de exaltados echados a perder por indigestiones de mala historia. »
(Unamuno).
« Petulante vanidad de un pueblo que se cree oprimido. »
(Unamuno dans les années 30 sur les nationalistes catalans).
Bien que je soupçonne Pablo de ne pas être totalement objectif, j’ai tendance à penser qu’il a globalement raison dans son billet de 12h20.
En plus, quelle langue! (« no tinc por »…sans commentaires).
« Los nacionalistas apuntalan primero un hecho diferencial, para luego construir la soberanía sobre el mismo. Cuando no existe esa identidad, se la inventan ».
(Félix Ovejero).
C’est ce qu’ils font les nationalistes catalans: ils réécrivent leur histoire. Maintenant ils disent que Colon, Hernán Cortés, Cervantes, Santa Teresa ou l’auteur de La Celestina (que pour eux n’est pas Fernando de Rojas) étaient des catalans.
“El nacionalismo se parece al alcohol barato. Primero te emborracha, después te ciega, y después te mata”.
(Borges)
« Rappelons que la Catalogne est le seul endroit au monde où les enfants ne peuvent pas suivre leur scolarité dans la langue officielle du pays. »
Est-ce-bien certain?
Je suis à peu près sûr qu’un francophone ne peut pas être scolarisé en français en Flandres, compte-tenu de la haine rabique d’une bonne partie des flamands contre tout ce qui est français. Ce n’est pas tout à fait la même situation puisque qu’en Belgique le flamand est majoritaire et qu’il n’y a pas Une langue nationale.
Il faudrait qu’un belge du blog nous éclaire.
Et attention les Français: ils vous réclament la Catalogne du Nord (la France a dû protester officiellement il y a quelques mois parce que dans le parlement catalan des indépendantistes l’avaient fait). Leur délire est de reconstituer un pays catalan avec les Catalognes du Nord et du Sud, la région de Valence (alors que les valenciens les détestent) et les Baléares (qui n’en voudraient jamais).
Le plus drôle est que l’indépendance de Catalogne entrainerait la disparition du Barça comme grand club de foot auquel tant de catalans sont attachés. Il devrait jouer dans une ligue catalane avec un autre seul club de première division (l’Español) et le reste de clubs catalans de 2ème, 3ème et 4ème division, ce qui ferait fuir tous les grands joueurs.
« El nacionalisme es com un pet, només li agrada a qui se’l tira. » [« El nacionalismo es como un pedo, sólo le gusta al que se lo tira. »]
(Josep Pla).
« Vaya con cuidado con estos nacionalistas. Los catalanes fabricamos muchos calzoncillos, pero no tenemos tantos culos. »
(Josep Pla. Carta a Josep Tarradellas)
« La historia romántica es una historia falsa. ¿Tendremos algún día en Cataluña una auténtica y objetiva historia?, ¿tendremos una Historia que no contenga las memeces de las historias puramente románticas que van saliendo? »
(Josep Pla).
Manque de chance pour les nationalistes catalans: le plus grand écrivain en catalan du XXe siècle, Josep Pla, détestait les nationalistes. Comme les meilleurs écrivains catalans en espagnol: Juan Marsé, Juan Goytisolo, Eduardo Mendoza, Vila-Matas, Salvador Pániker, Félix de Azúa, Vázquez Montalbán, Carlos Barral, Gil de Biedma, Carlos Pujol, etc, etc, etc
« La democracia y el nacionalismo son cosas, en el caso de Cataluña, incompatibles. »
(Albert Boadella)
« El nacionalismo catalán no acepta la realidad, es un mundo virtual, la Cataluña real no le interesa. »
(Albert Boadella)
« Las comunidades enferman igual que las personas. Hay gente que se cree Napoleón y hay comunidades que repentinamente se consideran nación ».
(Albert Boadella)
« El nacionalismo lo primero que hace es poner un enemigo en funcionamiento, y en el caso del nacionalismo catalán el enemigo es España. Creo que hay una parte de los catalanes que están enfermos de paranoia porque creen que España está contra ellos. »
(Albert Boadella)
« Los nacionalismos llevan siempre este problema de libertad, es decir, que la libertad en la democracia es algo difícilmente compatible con el nacionalismo. »
(Albert Boadella)
« La sociedad catalana está en este momento absolutamente contaminada por estos nacionalismos. En general, la mayoría de los catalanes piensa que los responsables de sus desgracias son otros. Hay un profundo sentimiento antiespañol. »
(Albert Boadella)
« Cuando uno se interpone a los delirios y los principios fundamentales de la tribu, primero es señalado como traidor a esas esencias, después es erosionado, degradado e insultado, como es mi caso, y finalmente es marginado y colocado en la muerte cívica. En Cataluña la muerte cívica, en el País Vasco es la física. Esta es toda la historia del nacionalismo. Y que no nos vengan con cuentos del nacionalismo pacífico porque no es verdad. Los nacionalismos son todos iguales. Por ciertas circunstancias unos se pueden volver más violentos que otros, pero la esencia del nacionalismo es esa. »
(Albert Boadella)
« Se busca una unidad místico-sentimental, que es lo que buscaba el franquismo, una unidad de destino universal. Estas eran las frases clásicas de Franco. Lo que funciona bien para el nacionalismo es un cierto totalitarismo, aunque se ponga bajo la excusa de la democracia. »
(Albert Boadella)
« El nacionalismo es una epidemia de muy difícil tratamiento pues utiliza la paranoia como razón esencial de sus tesis. »
(Albert Boadella)
J’ai souvenir de deux jeunes stagiaires dans mon labo à qui j’avais demandé, à la cafeteria, aimablement et avec le sourire: « vous êtes Espagnols ? » et qui m’ont répondu sur un ton très désagréable » Non madame, nous sommes Catalans » avant de me tourner grossièrement le dos.
« En plus, quelle langue! (« no tinc por »…sans commentaires). »
(Closer)
C’est l’une des langues les plus laides que je connaisse. Un mélange de français et d’espagnol avec un son horrible.
En plus, comme le basque, c’est une langue à moitié artificielle, reconstituée au XIXe siècle.
Et inutile, puisque tous les catalans parlent espagnol (il n’y a, d’ailleurs, qu’un tiers de catalans qui parlent le catalan chez eux). Tous les efforts qui font pour le développer seront inutiles face à la puissance de l’espagnol, comme l’ont été ceux des irlandais après l’indépendance pour conserver le gaélique irlandais face à l’anglais: aujourd’hui seul 2 % des irlandais le parlent.
Je ne sais pas s’il y a un catalan qui nous lit, mais il va falloir qu’il encaisse!
WG qui adore Sitges, doit se sentir un peu catalan, non?
Barcelone, troisième destination touristique europeenne pour les voyageurs low cost et logés en rn’b. Il a été bien inspiré « Passou » de demander sonavis à l’Esoterik du 75. C’est pas à un barfelonnais comme Littel, frais immigré, et édité par qui?, qu’il va demander son reste.
Pablo, mon ami ….
On s’en fout complètement de la guéguerre catalane/espagnole qui n’intéresse que ces sauvages hispaniques dont vous faites, hélas, partie !
Le seul problème moral est pour moi :
– Polanski va t il payer sa dette ?
– Bercy va t il pouvoir payer la sienne ?
UN FEMINISTE VOUS PARLE
Il est temps de confier à Anne Hidalgo un balai et une serpillière ! Qu’elle agisse un peu !
Au lieu de causer, bêtement …
Bien entendu, pour la Vile de Paris, une serpillière en poils de l’économie collaborative et un balai en poil électoral !
Pablo75 12 h 33 min
Que des ultranationalistes essaient de déborder pour récupérer la situation, ce n’est pas étonnant
Sous la dictature, Joan Manuel Serrat n’était-il pas obligé de chanter et d’enregistrer en castillan?
Luis LLach et JM Serrat ne sont pas nationalistes
Pablo « C’est l’une des langues les plus laides que je connaisse. Un mélange de français et d’espagnol avec un son horrible. »
Le castillan peut être –est- horrible : ça dépend des gens des milieux des coins
« comme le basque, c’est une langue à moitié artificielle »
vous connaissez le basque aussi
Paco Ibañez: reunir las cuatro lenguas del Estado para demostrar « que viven en armonía »
Non mais alors qui est pour la fin du travail? On a bien avancé, on sait déjà que la fin du travail c’est comme le bon Dieu, une construction sociale aliénante pour les flippés de la vie incapable de s’émanciper, maintenant on veut des noms.
Ils en pensent quoi les catalans?
Qu’il soit né à Chalons sur Marne ,lvdlb, ne l’empeche pas de comprendre Douarnenez, et cette analyse a été formulée cette année au Colloque tout public Michel Le Nobletz , précisément à Douarnenez. Elle n’a pas choqué.
Quand à l’aspect Pagnol en Bretagne qui vous échappe visiblement,mais qui existe, veuillez lire, à titre de témoignage la BD « Du Termajii chez les Penn Sardinn » de Kerivel écrite en douarneniste tel qu’on le cause. Ou tel qu’on le causait.
Et ne prétendez pas légiférer en prenant un air entendu sur ce que vous connaissez visiblement peu et mal.
MC
@ Pablo : en tant que mélomane averti, j’apprécie hautement la musique de Boulez, qui prend sa source dans ce que l’esprit français a eu de plus brillant (Rameau…). On peut passer à côté, mais alors, aime-t-on vraiment la musique ? n’est-on pas qu’un amateur ?
La comparaison avec Olivier Métra n’est pas valable. C’était essentiellement un bon musicien de valses, composant pour la Cour du Second Empire, avec Waldteufel. Il a eu la consécration du plagiat (La Vague, L’0r et l’Argent de Lehar, me semble-t-il, et il était encore connu dans les années 1920. Si vous vous etes rendu à l’Opéra Comique ces trois dernières années, vous avez pu en entendre sans le savoir!
Pardonnez-moi, mais si Rameau il y a, on cherchera en vain l’Hippolyte et Aricie de Pierre Boulez. Sa Sonate comparée aux pièces pour clavecin? Restons sérieux!
C’est pourtant une musique qui est, entre autres, toujours très française, et qui puise ses racines loin dans le passé. Il n’y a de pire sourd que ceux qui ne veulent pas entendre. C’est d’abord une question de goût et de sensibilité.
Très française, en effet. On dirait du Bartok.
Court tout luisant de brillantine…
Ecoutez donc quelques mesures de Guillaume de Machaut, précurseur direct d’un Boulez :
…
…pour y voir, plus clair, aujourd’hui,!…
…
…on peut comparer, chaque état,…à une voiture – automobile,…
…
…tout est ensemble – unis,…des engrenages, des distanciations,…entre les éléments-joints,…
…les roues, le châssis, la charge, le moteur, à ses liens et raccords,… année de fabrication,…kilométrage, usure des pneus,…huile, l’eau,…l’état des freins,…
…des gouvernants aux auto-écoles,…faire du sur-place,…
…
…bien, sur, que tout le monde veut travailler, déjà à ses compétences,…
…et, puis, comment vivre sans exister par son travail, valorisant,…
…dans un cadre pour effectuer son travail dans l’émancipation sociale,!…le monde en équilibre statique,…
…comme dans une auto,…ou ultra-léger-motorisé,!…U.L.M.,…etc,!…
vivre sur les nuages et ses paradis, illusions de débiles devenir plus riches, avec des Pampers en culottes,..à ses robots,!…
…gouverner des enfoirés,…les vibrations des sur place,… » tourner manèges « , etc,…
…
…
« D. dit: 27 août 2017 à 15 h 53 min »
Déjà de retour après de si solennels adieux, D. !
Si dans un morceau de Guillaume de Machaut on rajoutait quelques mesures du « Marteau sans Maître » de Boulez, par exemple, je suis sûr que la plupart des auditeurs ne détecteraient rien d’anormal, et même trouveraient ça bien. MC en premier ou Pablo tomberaient eux-mêmes dans le panneau, malgré leurs acerbes discours…
Je constate d’ailleurs que ma petite expérience Machaut/Boulez vous a tous laissés sans voix…
« Je constate d’ailleurs que ma petite expérience Machaut/Boulez vous a tous laissés sans voix… »
J’en reste scotché, D., sur le cul. C’est aussi didactique que du Bernard Gavoty !
« J’en reste scotché, D., sur le cul. »
Jacuzzi, servez-vous de tous vos sens au moins, avant d’ironiser si facilement.
« C’est aussi didactique que du Bernard Gavoty ! »
Jacuzzi, au lieu d’avoir besoin de « didactisme » à votre âge, faites-vous plutôt confiance à vous-même. Vous n’en avez pas marre d’être obligé d’apprendre des choses qui ne servent à rien ? Essayez d’y arriver par vos propres moyens, que cela sorte de vous ! Vous êtes comme un enfant qui rentre en maternelle et qui n’a jamais eu d’expériences d’aucune sorte. Mais ce n’est pas trop tard. Libérez-vous ! Tel est mon conseil pour aujourd’hui.
« Je constate d’ailleurs que ma petite expérience Machaut/Boulez vous a tous laissés sans voix… »
Entre ça et la suppression du travail, jusqu’où débloquera-t-il?
111
@ CH. 14.35 « JJJ, c’est sympa mais je ne comprends rien à votre… pensée, juste je la mets en attente »…
Faites-vous allusion au message adressé à D. de 12.42 ? Ne cherchez pas trop, s’il n’était pas clair. Je m’efforcerai de vous adresser un compliment direct plus explicite ou moins obscur, ultérieurement. Bon dimanche !
@le frelon oisif
“ Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin: le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l’ennui vient nous surprendre. Qu’est-ce à dire ? C’est l’habitude du travail en général qui se fait à présent sentir comme un besoin nouveau, adventice; il sera d’autant plus fort que l’on est plus fort habitué à travailler, peut-être même que l’on a souffert plus fort des besoins. Pour échapper à l’ennui, l’homme travaille au-delà de la mesure de ses autres besoins ou il invente le jeu, c’est-à-dire le travail qui ne doit apaiser aucun autre besoin que celui du travail en général. Celui qui est saoul du jeu et qui n’a point, par de nouveaux besoins, de raison de travailler, celui-là est pris parfois du désir d’un troisième état, qui serait au jeu ce que planer est à danser, ce que danser est à marcher, d’un mouvement bienheureux et paisible: c’est la vision de bonheur des artistes et des philosophes. ”
Humain, trop humain
En somme, sur le blog de Richard Millet (que je n’ai pas exploré), il y a à boire et à manger. Sur l’horreur de la société du spectacle, je pense que tout le monde est d’accord pour la dénoncer. Regardant cet après-midi quelques extraits du reportage-fleuve de France 2 sur la mort de Lady Di, je me disais que le spectacle de la mort des autres est sans doute le divertissement de masse que les médias exploitent préférentiellement. Quant à la veulerie touristique, tout le monde est d’accord aussi. Pourvu qu’en effet, dans son nouveau roman, Millet artiste nous prouve qu’il est capable de se hausser de plusieurs degrés au-dessus de ses diatribes habituelles qui, pourtant, parfois touchent juste ( si j’en juge par quelques uns de ses anciens pamphlets ).
@Janssen J-J dit: 27 août 2017 à 18 h 39 min
Oui, JJJ,c’était à propos de cette « oreille absolue », expression qui se rapporte à la musique et là ce n’est vraiment pas mon cas ! ? Pour le reste que j’ai compris, c’était sympa.
I’m a King Bee
https://m.youtube.com/watch?v=Ndww-WBHzd0
L’oreille absolue est un mythe. N’importe qui peut l’acquérir en s’exerçant. Ce fut mon cas.
Le problème est que c’est du temps perdu puisque ça ne sert à rien.
Ce qui n’est pas un mythe, ce sont les oeuvres et les écrits atlantes qui on disparu dans l’incendie volontaire de la bibliothèque d’Alexandrie.
Beaucoup écrits ou dessinés sur papier, très peu provenant du continent atlante lui-même, déjà d’extrêmes raretés à l’époque. Mais beaucoup écrits entre -11000 et -4000 dans les colonies situées dans l’actuel Sahel, à l’époque luxuriant.
On trouvera tôt ou tard les vestiges de ces colonies si on veut se donner la peine d’aller très profondément sous les dunes.
Certain objets, présentés comme des palet.tes à fa&rd de Na.gada II, sont en réalité des pale$ttes à encre qui étaient utilisées par des scribes atlantes. L’une d’entre elles, que l’on peut admirer dans un grand musée, provient directement du continent atlante. C’est à ma connaissance la seule oeuvre atlante visible dans une collection publique.
J’dis ça j’dis rien, comme d’hab.
« Entre ça et la suppression du travail, jusqu’où débloquera-t-il? »
Mon propos est magnifiquement rationnel, mais il ne s’adresse pas aux ploucs tels que vous. Vous aussi, vous avez besoin de vous libérer de vous-même, de votre milieu, de ce qu’on vous a seriné jusqu’à plus soif. Vous êtes surmené dans le vide.
Socrate, Delaporte, jusqu’à un âge avancé, disait déjà qu’il ne savait rien, et ne cessait d’interroger…
« Socrate, Delaporte, jusqu’à un âge avancé, disait déjà qu’il ne savait rien, et ne cessait d’interroger… »
Mais vous interrogez, vous ? Vous faites une enquêtes ? Ou bien vous vous reposez sur vos lauriers ? Hum !…
…
…enfin,..mais, il est évident, que des systèmes, aujourd’hui, permettent de vivre, et d’être actifs,…sans vraiment, travailler, des mains, ou d’autres choses,…
…
…déjà, les miniaturistes, s’ils en restent,…les managements, les comptables,…et j’en passe,t, des aux sermons,…académiques,…
…
…et, on peut, très bien, conduire, en faisant, du sur place,…déjà aux files d’attentes,…les mécanismes pour aller de l’avant,…et les nurses, sans-gênes » bébés aux berceaux « ,…
…etc,…de là, a se faire choisir , pour être compétent,…
…et berner son monde, en parasite exemplaire, il y a des marges, que la morales, s’abstient d’autoriser,…
…les cachets à se mettre en volte-face,…etc,…Bip,!,…Bip,!…
…à nos fonctions d’industriels,…etc,…
…
La « bande originale » de ce roman, Strauss, Fauré, Gubaidulina, prouve à l’évidence, que la Netrebko, de par son répertoire, n’est pas la soprano qui fait se pâmer Millet dans ses affres torturées- christiques- de la liaison amoureuse.
« Mais vous interrogez, vous ? Vous faites une enquêtes ? »
Toujours, D.elaporte, ça m’évite d’assener des bêtises, comme toi.
J’écoute les arguments pour ou contre Boulez et je révise mon opinion en conséquence : Boulez fut un enfant gâté, probablement sur évalué, mais pas entièrement mauvais… Pour l’Ircam, c’est la faute aux Pompidou !
La vie ordinaire du poète et écrivain Georges Perros
Curieux, ce « poète ET écrivain » : comme si ce n’était pas la même chose. Tout écrivain authentique — c’est-à-dire créateur, est poète ; au sens premier, tout au moins : « poiètès » = celui qui fait, celui qui crée.
Tu l’as dit bouffi : l’oisiveté est la mère de tous les vices
https://fr.m.wiktionary.org/wiki/l’oisiveté_est_la_mère_de_tous_les_vices
Alors au boulot les poëtes ; puisqu’aussi bien à ceux qui restitueront sa poésie à la vie quotidienne, rien ne résistera. Amen
Anna Netbreko : extraordinaire, tout de même, la beauté d’une femme. Le mâle lambda, éberlué, fasciné, incrédule, se demande comment ça peut se faire, comment une telle chose peut exister. Se sent absolument exclu d’un pareil mystère. Tourne autour, comme l’autre autour de la kaaba, sans parvenir à le percer. Aérolithe.
La parabole des talents – à laquelle je n’ai notoirement rien compris – aurait-elle pu signifier quelque chose à ce grand sondeur d’âmes que fut Socrate ?
Ma question s’adressait à JAZZI qui a écrit :
JAZZI dit: 27 août 2017 à 20 h 22 min
Socrate, Delaporte, jusqu’à un âge avancé, disait déjà qu’il ne savait rien, et ne cessait d’interroger…
pour Jean:
Jean, le rapt d’une belle femme déclenche la guerre de Troie.Voilà au moins une bonne raison de se battre.
Ouais si elle était bonne, ça valait le coup.
Je suis d’accord.
Socrate, Delaporte, jusqu’à un âge avancé, disait déjà qu’il ne savait rien, et ne cessait d’interroger…
–
Vous vous adressez à Socrate ou à Delaporte ?
Passkon se demande des fois.
« Toujours, D.elaporte, ça m’évite d’assener des bêtises, comme toi. »
Alors, mon cher Jacuzzi, vous devriez être aussi sage que Socrate, ce qui est loin d’être le cas, vous en conviendrez. Je pense que sa fin ne vous attire pas du tout, et que vous préférez rester un peu hypocrite. C’est ça ?
Toujours, D.elaporte
–
–> accès de kronite aiguë. Si on ne lui donne pas vite un cachet, il m’appellera hamlet ou JC dans un accès de furieux délire.
Maintenant, sur le blog, en voilà un qui se prend pour Socrate. A noter que je ne me suis jamais pris pour le Christ, malgré mes efforts…
allez allez, chacun porte sa croix; ne regrettez pas, c’est pas cool d’agoniser cloué par les 4 membres après s’être farci le chemin qui monte en plus.
« La parabole des talents – à laquelle je n’ai notoirement rien compris – aurait-elle pu signifier quelque chose à ce grand sondeur d’âmes que fut Socrate ? »
L’atmosphère de pensée est très différente entre le Nazaréen et le Grec. Les philosophes grecs furent assez allergiques au christianisme, cf. la mésaventure de saint Paul prêchant la résurrection à Athènes.
…
…restons brefs,!…,mécanismes » attractions – répulsions » ,du farniente,…
…
…de la coupe, au serpent,…depuis, quel époque,…l »art d’utiliser, les venins, aussi, en littérature,…etc,…
;;;
La mort du Christ est en effet beaucoup plus cosmique que celle de Socrate, replié calmement sur lui-même, moralisant jusqu’à la fin : « Tu n’oublieras pas ce coq pour Esculape ! »
Et la pièce de Will, Measure Four Measures, elle n’évoque pas de façon paradoxale ou comique cette parabole des talents ? Me not sure.
Voici le passage des Actes des Apôtres où l’on voit la confrontation entre pensée chrétienne et pensée grecque, à travers le discours de sait Paul devant l’Aréopage, et la réaction pour le moins sceptique des Grecs :
Quelques philosophes épicuriens et stoïciens se mirent à parler avec lui. Et les uns disaient : Que veut dire ce discoureur ? D’autres, l’entendant annoncer Jésus et la résurrection, disaient : Il semble qu’il annonce des divinités étrangères.
Alors ils le prirent, et le menèrent à l’Aréopage, en disant : Pourrions-nous savoir quelle est cette nouvelle doctrine que tu enseignes ?
Car tu nous fais entendre des choses étranges. Nous voudrions donc savoir ce que cela peut être.
Or, tous les Athéniens et les étrangers demeurant à Athènes ne passaient leur temps qu’à dire ou à écouter des nouvelles.
Paul, debout au milieu de l’Aréopage, dit : Hommes Athéniens, je vous trouve à tous égards extrêmement religieux.
Car, en parcourant votre ville et en considérant les objets de votre dévotion, j’ai même découvert un autel avec cette inscription : A un dieu inconnu ! Ce que vous révérez sans le connaître, c’est ce que je vous annonce.
Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite point dans des temples faits de main d’homme ;
il n’est point servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses.
Il a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitassent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure ;
il a voulu qu’ils cherchassent le Seigneur, et qu’ils s’efforçassent de le trouver en tâtonnant, bien qu’il ne soit pas loin de chacun de nous,
car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être. C’est ce qu’ont dit aussi quelques-uns de vos poètes : De lui nous sommes la race…
Ainsi donc, étant la race de Dieu, nous ne devons pas croire que la divinité soit semblable à de l’or, à de l’argent, ou à de la pierre, sculptés par l’art et l’industrie de l’homme.
Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir, parce qu’il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l’homme qu’il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts…
Lorsqu’ils entendirent parler de résurrection des morts, les uns se moquèrent, et les autres dirent : Nous t’entendrons là-dessus une autre fois.
Ainsi Paul se retira du milieu d’eux.
« allez allez, chacun porte sa croix; ne regrettez pas, c’est pas cool d’agoniser cloué par les 4 membres après s’être farci le chemin qui monte en plus. » (Bérénice)
C’est vrai, ça monte au Golgotha ! Joseph d’Arimathie, qui avait du pognon, aurait pu lui payer un taxi, au prophète délirant crucifié comme un escroc !
« Jean, le rapt d’une belle femme déclenche la guerre de Troie.Voilà au moins une bonne raison de se battre. » (Paul Edel)
Quand on veut se friter, tous les prétextes sont bons, y compris les plus futiles ! Se piquer une belle femme, entre gentlemen ! Quoi de plus naturel ? Quoi de plus bêtement banal ?….
Amélie Nothomb : « Je suis le fruit d’une enfance heureuse et d’une adolescence saccagée » (Le Monde)
Blet…
Sur cette parabole, j’ai lu sur un site apocryphe, en gros, qu’elle signifiait la nécessité de risquer pour faire fructifier l’enseignement reçu du maître ( la lumière), or le dernier disciple, celui à qui est donné peu n’a pas compris et par peur protège son acquis pour ne rien en perdre mais ne gagne rien, or il apparaît que ce n’est pas tout à fait ce que le dit enseignement ( talent) dont rien ne nous est dit contenait ou tentait de transmettre, il a tout faux, blâmé le maître reprend ce que l’élève a épargné pour le confier à ceux qui sauront comment de ce peu acquérir plus .
Measure Four Measures,
L’adjoint de l’Aède, est-il possible que vous résumiez l’intrigue?
au prophète délirant
je lui accorderais un « marxiste avant l’heure » avec quelques hallucinations dues au soleil dans la région rayonnant sur un désert proche qui étaient pardonnables, pour le reste, non évidemment.Ce qui lui valu d’être mis à mort d’une cruelle façon au côté de voleurs alors qu’il se tenait du côté du Bien, c’est cela qui a été condamné depuis comme vous aurez pu le constater les choses ne se sont pas arrangées et les prières n’aident que ceux qui croient. De plus les enseignements ont été déviés de leur trajectoire et servent pour un Dieu pour un autre à semer la mort .
Pas cool.
D, est-ce que cela peut donner ça:
moins on est doué moins on reçoit , moins on reçoit moins on est assuré, moins on est assuré moins on risque, moins on risque moindre est la chance de gagner et au final le peu reçu est perdu ?
« L’oreille absolue est un mythe. N’importe qui peut l’acquérir en s’exerçant. Ce fut mon cas.
Le problème est que c’est du temps perdu puisque ça ne sert à rien. »
Faut pas dire ça à un chef d’orchestre ou de chorale. En tout cas j’ai pu observer avec mon oreille l’excellence de celle de Boulez. Je comprends mal l’angoisse de la francité de PB, la musique du XXème fut heureusement cosmopolite.
« Ce qui lui valu d’être mis à mort d’une cruelle façon au côté de voleurs alors qu’il se tenait du côté du Bien » (Bérénice)
Crucifié n’était pas le pire à l’époque !
Pré-marxiste, donc forcément délirant, le prophète n’était pas du côté du Bien : le côté du Bien c’était les Romains de Rome !!! Il n’était qu’un rebelle pourri qui a eu ce qu’il méritait. Car ne mélangeons pas tout : le Bien est un concept culturel, variable, … un concept mode, quoi !
Avedon :
http://blogfigures.blogspot.fr/2011/06/richard-avedon-audrey-hepburn.html
Un jour le Serpent vit sa queue s’élever contre sa tête. – Quel orgueil ! disait la première à l’autre, de s’imaginer, comme vous faites, que je ne pourrais pas vous mener aussi bien que vous me menez ; comme si mon jugement était fort inférieur au vôtre ? Il y a assez de temps, ce me semble, que je vous suis, suivez-moi maintenant à votre tour, et vous verrez si tout n’en ira pas beaucoup mieux. – Cela dit, elle tire la tête et rebrousse chemin, heurte tout ce qui se trouve sur son passage ; ici se froisse contre une pierre ; là trouve des ronces qui la déchirent ; puis un peu plus loin va se jeter dans un trou. Elle n’eut pas fait vingt pas, que tout le Serpent fut en très-mauvais état. Alors elle se laissa gouverner, et convint, en suivant la tête comme à l’ordinaire, que tout était bien mieux conduit par elle que par la queue.
Renato a bien raison ! ce fait est singulier et mérite d’être souligné …
Nos aimables Serpents, membre de l’Institut Bartabacs, ont été et sont encore menés par leur queue plutôt que leur têtes.
Faut voir dans quel état ils sont…. Pire qu’à Matignon.
… l’angoisse de la francité de PB… ici — RdL — exprimé…
A l’entendre, c’est clair : Saint Paul n’était pas sain….
Je ne sais pas si ce roman de Millet sera l’un des « plus beaux de la rentrée », et s’il n’est pas lu, sera la preuve de la « détestable » ré.p. uta.ion » de son auteur, mais cet exercice d’admiration à l’envers est une prouesse, qui n’engage que celui qui l’écrit.
_________________________
Je ne sais pas ce que viennent faire les Mohicans dans ce happening entre parisiens branchouilles, il y a une académie composition musicale, à l’Institut de France.
Dear Lavie, soyez prudente, votre entreprise de libanisation du prestigieux blog à passoupline, comme Millet pour la littérature française, vous laissera seule ici (avec Renato mais dont le stoïcisme ne craint rien).
C’est certain Phil, je ne suis pas du genre à me laisser apaiser » à grands coups » d’Opera.
Condamné à la solitude par la naissance, il nous suffit de la rendre confortable pour être heureux parmi les malheureux, non ?
« je ne suis pas du genre à me laisser apaiser ‘à grands coups’ d’Opera. » (lvdb)
Nous allons, bientôt, tout connaître de la vie sexuelle de la bête des bois … je frémis, chatouillé par le savoir le plus secret de la RdL …. uhuhu !
C’est marrant que personne n’ait fait le rapprochement entre Millet et Quignard, à propos de Thanatos.
Ils ont en commun, aussi, cette recherche de « la « voix.
POUR SALUER MIREILLE DARC
Son cul était un roman.
Phil avez-vous une idée de ce que » surérudit » veut dire ?
C’est l’utilisation d’un vocabulaire de spécialiste ? Ou le maniement de connaissances pas présentable au vulgus ?
Il parait que Millet- quand il n’est pas détestable- est intéressé par la musique contemporaine, académique.
Malgré certaines vérités toujours bonnes à dire, lorsque Richard Millet parle de la vulgarité de ce siècle, on sent bien qu’il adore s’en lustrer, devenant par là le saint homme, l’ermite, l’anachorète, l’exemplaire disant, le donneur de leçons, qu’il a toujours rêvé d’être, sans jamais être écouté ni même entendu.
Lavie, « surérudit » doit se dire des cumulards doctorants, c’est soignable. la grosse bague qui Millet exhibe dans ses interviews est un peu déplaisante et rappelle celle de M. Labro, radioaste vaguement américanophile. Dans le registre des réactionnaires graphomanes actuels, la prose du diariste Camus (d’avant 1990) est plus distrayante.
» « surérudit » doit se dire des cumulards doctorants, c’est soignable. » (Phil)
Soignable, certes. Guérissable, impossible ! Sauf miracle. Lente est l’agonie de ces esprits atteint par la gravité de ce mal tant désiré par d’aucuns ….
@ bob
« Luis LLach et JM Serrat ne sont pas nationalistes. »
Llach est l’un de plus fanatiques, pour ne pas dire hystériques (il est député régional). Il a scandalisé beaucoup de monde en Catalogne il y a quelque mois en demandant que tous les fonctionnaires catalans qui n’obéiraient pas aux putschistes indépendantistes devraient être
sanctionnés. Il faut savoir que ce type, qui est fini comme chanteur depuis très longtemps, au lieu d’investir son fric dans sa région, le fait au Sénégal, où il exploite les sénégalais dans plusieurs affaires. Une vrai révolutionnaire, le mec.
@ Petit Rappel
« La comparaison avec Olivier Métra n’est pas valable. »
La comparaison avec Olivier Métra est valable parce qu’on parlait de prestige, de comment un compositeur nul peut avoir un grand prestige (Métra avait encore plus que Boulez puisqu’on a donné son nom à une rue de Paris, alors que Boulez n’a une rue qu’à… Montargis – on se demande bien pourquoi là-bas, d’ailleurs).
@ Delaporte
« en tant que mélomane averti, j’apprécie hautement la musique de Boulez, qui prend sa source dans ce que l’esprit français a eu de plus brillant (Rameau…). On peut passer à côté, mais alors, aime-t-on vraiment la musique ? n’est-on pas qu’un amateur ? »
Tu blagues, j’imagine…
« C’est pourtant une musique qui est, entre autres, toujours très française, et qui puise ses racines loin dans le passé. Il n’y a de pire sourd que ceux qui ne veulent pas entendre. C’est d’abord une question de goût et de sensibilité. »
Toi, tu as un gros problème d’oreille, je crois… (à moins que ça ne soit de jugeote, tout simplement).
« Ecoutez donc quelques mesures de Guillaume de Machaut, précurseur direct d’un Boulez »
Il faut qu’il ait toujours un robinet à sottises dans ce blog. Blabla Widergänger nous fou.tant une paix bien méritée depuis quelques jours, je vois que tu as pris la relève.
« Si dans un morceau de Guillaume de Machaut on rajoutait quelques mesures du « Marteau sans Maître » de Boulez, par exemple, je suis sûr que la plupart des auditeurs ne détecteraient rien d’anormal, et même trouveraient ça bien. MC en premier ou Pablo tomberaient eux-mêmes dans le panneau, malgré leurs acerbes discours… »
Je dois dire que tu imites bien Blabla Widergänger. On voit que, comme lui, tu t’em.merdes dans la vie et que, comme lui , tu cherches à provoquer des discussions inutiles en disant des énormités (lesquelles, malheureusement pour toi, se commentent seules).
« Je constate d’ailleurs que ma petite expérience Machaut/Boulez vous a tous laissés sans voix… »
C’est peut-être que tout le monde s’en f.out de tes âneries, non?
@ la vie dans les bois
« Il parait que Millet- quand il n’est pas détestable- est intéressé par la musique contemporaine, académique. »
Millet a écrit un livre à la gloire de tous les escrocs de la non-musique (« Pour la musique contemporaine : Chroniques discographiques « – 2004). C’est dire si le type est rebelle… Non seulement il avale tout ce qu’on lui dit d’avaler, mais en plus il en fait la propagande.
On voit que la « Présentation de l’éditeur » est de Millet lui-mème, tellement elle est snob et prétentieuse:
« Ce livre peut être lu comme l’itinéraire personnel d’un écrivain à travers la musique savante d’aujourd’hui. Ce n’est ni un guide ni un traité, encore moins une histoire de la musique récente, mais plutôt la leçon d’une écoute, une incitation à s’ouvrir à l’inouï, un geste de reconnaissance envers une musique qui est une autre façon d’entendre le monde, et aussi, peut-être, l’autoportrait en creux d’un
homme pour qui le sonore a toujours été une façon ou un art de vivre. C’est une réponse, aussi – ou une question – à ceux qui ont déclaré cette musique difficile, élitiste, voire inaudible. Qui consent à écouter est déjà conquis ; du moins sort-il de cette surdité volontaire qui est le drame de tant de mélomanes d’aujourd’hui pour retrouver un peu de cette fraîcheur sans laquelle la musique resterait inaudible. »
De temps en temps je vois ce livre dans les librairies d’occasion et j’en lis quelques passages. C’est d’une bêtise rare. Ça rappelle les chroniques des critiques d’art sur des « peintres » abstraits quand ils doivent faire l’éloge de ce qu’ils voient. J’adore voir les snobs ramer pour sortir quelques phrases sur du rien, du vide, de l’arbitraire pur.
On sent que Millet a essayé de « percer » en tant que spécialiste du snobisme parisien le plus académique, mais qu’ayant échoué à attirer l’attention sur lui, il a changé de tactique et a essayé le « segment de marché » de la provocation en prenant la pose du réactionnaire pamphlétaire.
Dans tous les cas, c’est un exemple de plus de l’écrivain essayant de pé.ter plus haut que son c.ul – figure très française, d’ailleurs.
« Dolores finira par se suicider, crime dont le narrateur s’attribue la responsabilité non seulement pour n’avoir pas su l’aimer mais pour n’avoir su se laisser aimer par elle. »
J’espère que Millet ne tombe pas dans ce travers plutôt grotesque du Don Juan vieillissant, qui essaye de faire croire au lecteur et surtout à lui-même, qu’une jolie gamine de 16 ans peut se mourir d’amour pour lui, vieille chose en voie de décrépitude…
Pablo vous écrivez :« On sent que Millet a essayé de « percer » . Qui ça « On » ? dites plutôt honnêtement :Moi Pablo..
Vous « sentez » effectivement beaucoup..et fort.. Je vous signale par ailleurs qu’ avec ses romans, il a « perçé » (vous parlez d’une carrière d’écrivain comme d’un furoncle ..) Renseignez vus : son dossier de presse est magnifique et ses lecteurs assez nombreux pour avoir une excellente réputation.. « la Gloire des Pythre » est admirable roman sur la province. Ça se passe en Corrèze, sur le plateau de Millevaches.Vous, vous restez embourbé dans le plateau des mille vacheries..
Oui dans la Gloire des Pythres on fait caca derrière l’église. Je m’en souviens très bien.
@ Paul Edel
Elle est belle à voir la solidarité entre nuls qui font le mème trottoir…
Dans 50 ans, personne ne saura qui était ni Richard Millet ni Jean-Pierre Amette.
Pablo: Jacques-Pierre Amette,Jacques! My name is « Jacques-Pierre Amette » citez au moins correctement mon nom, sinon certains pourraient penser que vous n’avez ouvert aucun de mes romans ou que vous m’ avez lu, dés la page de couverture.. trop rapidement….ce serait dommage..
@ Jacques-Pierre Amette
Et dire que je vais mourir appartenant à ce 99,9999% de l’Humanité qui n’a sans jamais lu aucun de tes chefs-d’oeuvre…
J’ai déjà raconté ici qu’il y a quelques mois, aux Puces, j’ai eu entre les mains ton livre « Province » (dédicacé de ta main à un certain Jean-Michel Ulmann), vendu 3 euros. J’ai failli l’acheter pour le laisser comme héritage aux petits enfants que je n’ai pas encore, pariant sur ton avenir brillant dans la postérité. Si ça se trouve, je me suis dit, cette dédicace autographe va valoir dans 100 ans autant qu’une de Baudelaire aujourd’hui…
Après, j’ai lu les premières lignes du livre et j’ai changé d’avis.
En publiant, un écrivain s’expose. Normal. « nous sommes de la race des gladiateurs » écrivait Flaubert avec tant de justesse.. Vous avez tout à fait le droit de me détester en qualité d’écrivain,(même en ayant lu une seule page..) mais pas de me mépriser pour avoir publié.
Si j’avais à compléter le « dictionnaire des idées reçues » de Flaubert, j’écrirais, ceci :
« Écrivains » : de la viande fraiche pour les fauves
« Dans 50 ans, personne ne saura qui était ni Richard Millet ni Jean-Pierre Amette. »
Mais qui donc était Pablo75 ?
Une des plus grandes scènes du cinéma burlesque, toutes époques confondues, commence à 52′:35″
https://www.youtube.com/watch?v=fQiZMwLXeFc
Et en plus elle était belle.
Désormais avec Blier, Girardot et Sim à pouvoir enfin tous se faire chanter gaiement.
AO
« Et en plus elle était belle. »
C’était pas gagné au départ, oursivi !
https://encinematheque.fr/acteurs/F48/_icone2.jpg
@ Jazzi
Et Jacques Barozzi?
@Paul Edel dit: 28 août 2017 à 12 h 37 min
Laissez tomber, P.Edel, Pablo est minable sur ce coup-là !
Quant à la postérité… Le siècle commencé laisse plutôt entrevoir d’autres préoccupations.
J’aime vos livres, votre travail d’écriture. Je ne suis pas la seule. Pablo tente de dévoiler votre identité connue depuis des lustres pour s’en moquer. Lui, agissant sous pseudo, c’est hilarant ! Bon, au plaisir de relire vos livres et tant d’autres qui nous attendent.
J’en connais une qui va encore nous faire l’expo Magritte (Ceci n’est pas…). Qu’importe…
Pas très élégant Jazzi.
Si on sort les photos des premières journées, voire années, de Cary Grant, Marilyn ou James Dean, pas sûr que celles-ci les servent…
Elles n’ont pas à le faire.
AO
A. Girardot était très belle aussi, jeune.
Sa façon de se préparer aux tâches ménagères en otant ses gants puis ses épais vêtements à 54:27″ restera peut-être comme une icone des noblesses gestuelles des humbles ménagères du milieu du 20è siècle. Description incarnée pourtant ciselées, comme chez Balzac.
On se sent tous les jours un peu plus seul.
AO
… »qu’une jolie gamine de 16 ans peut se mourir d’amour pour lui, vieille chose en voie de décrépitude… » (closer)
Ami, vous n’avez pas idée de la curiosité des fillettes de moins de l’âge légal islamique, 9 ans, qui considèrent à juste titre les vieux branlants comme d’excellents branleurs.
L’Enfer n’inquiète que les crédules, les hommes libres chérissent la mère, et ses filles !
« On se sent tous les jours un peu plus seul. » (oursivi, névropathe verbeux)
… le suicide ! par dieu !…. le suicide …. Qu’on en finisse !
« Je comprends mal l’angoisse de la francité de PB, la musique du XXème fut heureusement cosmopolite. »
Boulez a subi évidemment des influences diverses : l’Autrichien Webern (capital), la musique extrême-orientale, notre Guillaume de Machaut (je persiste !), etc., etc. En fait, la musique de Boulez est souvent cosmique. C’est la « musique des sphères » dont parlait Shakespeare. Il est normal que des ploucs provinciaux ne l’aiment pas…
MERCATO
Passou, transféré du Sporting Club de Drouant au Club du Femina pour 1 millions d’euros !
Wiwi, transféré du Dynamo de Kiev à l’Olympique Kolyma pour 50 kopecks !
Moi-même, refusant mon transfert de l’Institut Bartabacs au Sporting Club Gaz de Schiste pour des raisons morales : dessous de table bien trop réduit !
JC, z’êtes pendu à mes mots, je vous la corde.
Le midi est forcément le commenement de la faim, mon bon JC.
AOrf
Nan nan nan, maintenant voys arrêtez vos nocceries, Delaporte. La musique des sphères est dans les quatuors de Beethoven correctement interprétés, pas chez Boulez. Confondez pas sphère et boule s’il vous plaît.
Je ne me pendrai jamais !
La pendaison est un supplice dégueulasse… Avez vous déjà assisté à l’horreur d’un oui matrimonial en cathédrale ?….
Ignoble, la pendaison d’individus libres.
Pour les Trop-seul, nous préconisions entre psychiatres, pour les patients les plus atteint, la Love Doll Trump ….
Ne me suis jamais marié et évite d’aller à ces cérémonies où deux sympathiques andouilles s’apprêtent à enrichir des avocats, hyènes légitimes jamais faméliques, souvent enrobées.
De ma vie d’adulte, crois même n’y être allé qu’une fois.
Toute règle à son exception.
AO
D, cette parabole des talents, que vous dit-elle?
Ne me suis jamais marié
c’est louche, souffrez vous d’une disgrâce trop voyante?
évite d’aller à ces cérémonies
bien sûr quand on a passé l’âge de plaire, on regrette.
« La musique des sphères est dans les quatuors de Beethoven correctement interprétés, pas chez Boulez. »
Au Planétarium du Musée de l’homme, où l’on explique le jeu des planètes, on passe de la musique contemporaine pour accompagner l’aventure des sphères dans le cosmos. Et ça, c’est sublime !
Ma bonne béré (go voit le suicide poindre), les deux femmes qui ont partagé ma vie sont deux très belles femmes comme avez peut-être rêvé d’en être, je ne préjuge de rien.
Les femmes ont cette supériorité sur les hommes qu’elles voient les beautés intérieurs.
Une de mes hontes sera de ne pas avoir donné leurs chances à des filles moins belles, mais il est encore temps.
AO
intérieures, les beautés, force aimant.
« Au Planétarium du Musée de l’homme, où l’on explique le jeu des planètes, on passe de la musique contemporaine pour accompagner l’aventure des sphères dans le cosmos. »
Après vérification, c’est au Palais de la Découverte.
Ai lu je ne sais plus où que le sympathique – sans ironie ni second degré – Eric Besson avait lâché à son premier mariage, quand le maire ou le curé, je ne sais, lui demanda de jurer fidélité :
Ah non, tout mais pas ça.
Je ne sais si c’est vrai, mais c’est follement drôle.
AO
Pablo75 dit: 28 août 2017 à 10 h 52 min
Il avait arrêté de chanter depuis qu’il n’avait plus assez de voix. Mais pour la reconversion, il n’est plus dans la lune alors.. (alzheimer , même pas )
à 14 h 15 min
surtout de la part d’un curé
Vidéo extraordinaire. Une femme avait adopté et élevé deux lionceaux puis avait du les confier au zoo voisin.
Sept ans plus tard elle vient leur rendre visite :
Ma bonne béré
je ne suis pas très adepte du possessif dans aucune circonstance, je vous taquinais. Heureux homme.
Après vérification, c’est au Palais de la Découverte
–
…où t’as dû aller souvent, à c’que j’constate.
Je vais te répondre sur la parabole des talents, ma Bérénice adorée à son dédé.
« la musique de Boulez est souvent cosmique. C’est la « musique des sphères » dont parlait Shakespeare. Il est normal que des ploucs provinciaux ne l’aiment pas… » (Delaporte)
La preuve?
« Au Planétarium du Musée de l’homme, où l’on explique le jeu des planètes, on passe de la musique contemporaine pour accompagner l’aventure des sphères dans le cosmos. » (Delaporte)
« Après vérification, c’est au Palais de la Découverte. » (Delaporte)
Sans commentaires.
Comme disait Mac, quand ils ont le cul bas les fidèles cassent trop.
Cheer Mac.
Dieu nous a permis que nous existions, différents par notre être et l’endroit et le temps où nous naissons.
Nous avons tous un chemin à parcourir vers Lui et avec Lui. Ou en Lui, puisqu’il est le Chemin. Chaque chemin de difficulté adaptée à ce que nous sommes et où et quand nous le sommes.
Nous prenons ces chemin. Ou pas.
Ce qui en découle, le salaire, est de notre fait. Ce n’est pas Dieu qui le fixe, c’est nous. A la base il est infini et net d’impôts. Pour tous.
Je commence à penser que Delaporte est un autre pseudo de Blabla-Widergänger, inventé par celui-ci pour pouvoir discuter à longueur de journée avec quelqu’un d’encore plus c.on que lui.
J’ai vraiment assisté au spectacle du Planétarium, lorsque j’étais enfant, et je me le rappelle très bien, c’était magique. C’est un spectacle très réputé depuis toujours, car très sophistiqué, que des ploucs comme D ou Pablo peuvent mépriser, mais qui est incontournable pour tout homme cultivé qui se respecte.
« pour pouvoir discuter à longueur de journée avec quelqu’un d’encore plus c.on que lui… »
… c’est-à-dire vous-même, Pablo ?
Jamais trouvé Mireille Darc belle, oursivi. Son aspect me paraissait trop construit et artificiel. Son visage original, en revanche, avait plus de gueule , et elle aurait pu faire une carrière semblable à celle de Monica Vitti…
Ce n’est pas possible, Pablo.
Delaporte est pro-palestinien et voté Hamon.
Vous pensez WGG capable de se dedoubler d’une telle façon ?
Il assouvirait ainsi des fantasmes inavoués ? Hamon en slip-léopard ? Le Pape François et tout et tout ? Rhoooh…
Millet comme muse de la RDL c’est loupé, perso il m’inspire comme un lapin mort.
Moi j’ai toujours aimé Mireille d’Arc. Et elle était gentille dans la vie. Reposez en paix, Mireille et merci pour toute la joie que vous nous avez donnée.
Elle était fantastique dans Ne nous fâchons pas, un film remarquable et qui plus est moderne dans sa réalisation. Une musique très bonne aussi. D’excellents acteurs, du rythme. Beaucoup de petits freluquets de cinéastes français contemporains feraient bien de s’en inspirer au lieu de nous servir leur soupe fade.
Je vais mettre ce commentaire également sur la République du Cinéma où Annelise est de retour.
. Chaque chemin de difficulté adaptée à ce que nous sommes et où et quand nous le sommes.
pas convaincue. C’est une interprétation parmi d’autres, votre Dieu ressemble un peu à Oursivi qui distribue justement ses chances à chacun(e) et aurait honte de ne pas récompenser de sa grâce quelqu’un qui ne s’en serait pas approché par la foi.
@ D.
« Delaporte est pro-palestinien et voté Hamon. »
Cela permettrait à Blabla-Widergänger d’attaquer les pro-palestiniens et les socialistes quand l’envie lui prend. Il se crée un avatar qui pense le contraire que lui pour pouvoir répéter à l’infini ici ses propres idées.
C’est comme si moi je m’inventais un personnage d’indépendantiste catalan qui passe la journée ici à vanter les mérites d’Artur Mas, Boulez, Millet et Amette, pour pouvoir taper tout le temps et à fond sur eux, alors que maintenant je ne le fais que quand on me provoque ou on me le demande.
(Delaporte et Blabla-Widergänger ont la même façon de sortir des énormités – comme toi et Petit rappel vous avez le même façon de vous adresser aux gens).
Mireille Darc était sans doute bien sympathique, mais sa filmographie était nulle. Pas un film fait pour durer. Pas un seul classique, même français. Que des films franchouillards, avec toujours la même bande de loustics. Déprimant de voir ça.
Une nouvelle qui va faire dancer de joie JC:
« Le maître tibétain Sogyal Rinpoché disgrâcié.
Accusé d’abus de pouvoir, voire sexuels, sur des disciples, critiqué pour son train de vie, le maître bouddhiste tibétain Sogyal Rinpoché a été frappé de disgrâce et contraint de quitter la direction du réseau Rigpa, selon des sources condordantes. Né en 1947 au Tibet, Sogyal Lakar Rinpoché, lama du courant nyingmapa, est devenu dans les années 1970 l’un des principaux propagateurs de l’enseignement du Bouddha en Occident. »
Moi je sors des énormités ? Ah ben elle est bien bonne celle-là ! J’aimerais bien savoir à quel sujet soit dit en passant ?
Pablo, Delaporte ne peut pas être Blabla puisqu’il a longuement étudié la musique (ce que démontrent absolument ses commentaires sur le sujet -Hurkhurkhurk !). Mais il est également vrai que Blabla est tellement mythomane qu’on peut s’attendre à tout avec lui.
(Le seul Chopin de Gavoty que j’aie lu, c’est la grosse biographie parue chez Grasset, dont je garde un souvenir ébloui).
@ D.
Relit la phrase…
Ou alors tu viens d’avouer que « D elaporte » c’est toi !!
Je ne comprends rien à vos histoires, Pablo. Expliquez-vous.
Delaporte dit: 28 août 2017 à 15 h 24 min
« Déprimant de voir ça. »
Un indice…
Chaloux, vous vous savez bien que je ne suis que moi, et depuis toujours, et personne d’autre. Alors dites-lui s’il vous plaît.
Je ne devrais pas le dire, mais la simple idée d’être dans la peau de Delaporte m’indispose.
Pablo75 dit: 28 août 2017 à 15 h 19 min
ah c’est pas impossible (mais alors il doit y passer ses jours et ses nuits!) – par ex sur la disparition du travail, il est trop persifleur pour être ‘honnête ‘
Christiane a bien fait de refuser les avances du gooroo de pq !
« Le maître tibétain Sogyal Rinpoché disgrâcié. » (Pablo)
Cette nouvelle nous comble de joie ! Cela fait des années que nous espérions supplanter le Tibet, pays lointain, froid et arriéré.
C’est désormais acquis : le prochain maitre tibétain sera porquerollais.
Pablo, vous frisez la paranoïa, c’est le problème avec les pseudos, cependant si WGG est Delaporte il fait un gros travail sur lui-même, pour le moment il se contente de « plouc » , WGG n’hésite pas à déverser le pot de chambre.
à la moindre contrariété.
Salut à tous,je passe ce matin rapidement pour lire l’article posté par Passou, et je constate que WGG n’est plus là depuis au moins 24 heures. Que s’est-il passé? s’est-il enfuit de l’as.., je veux dire a-t-il demandé l’asile en Ukraine? ou l’avez-vous éjecté d’ici? Je le croyait indéboulonnable. En tout cas, quel silence!
les chèques, les tageuleclaudio, les carte de crédit et les fermeslaclodo sont acceptés sans problème.
« Cette nouvelle nous comble de joie ! Cela fait des années que nous espérions supplanter le Tibet, pays lointain, froid et arriéré.
C’est désormais acquis : le prochain maitre tibétain sera porquerollais. »
Le beauf de pq s’est enfin trouvé une admiratrice (qui se ressemble etc..)
Y en a à qui Wgg manque tellement qu’ils le recherchent partout et même sous mon pseudo. Les crétins !
M’est revenue une anecdote dans l’après-midi.
Faut dire que cela date.
Ma mère et une de mes tantes s’étaient donné rendez-vous un jour d’octobre 90, au Printemps ou aux Galeries Farfouillettes, je ne sais plus.
Les deux provinciales demandèrent au Parisien qu’étais et reste de les retrouver en haut des Champs, histoire de se voir et de marcher une demi-heure ensemble, histoire de prendre des nouvelles.
Ce dût être environ au milieu de la descente, que réalisâmes que nous suivions sans les suivre la Dame Ockrent et la Dame Darc, d’un même pas de flâneurs.
La seconde se retourna plusieurs fois et nous avisant toujours à la même distance, la belle Mireille finit par échanger avec ma pomme un sourire mutin que j’habillai de suite de ces mots fantasmés, « alors vilain coquin, on se régale », de la même eau que celle dont elle ramenait les hommes à leurs pesantes obsessions dans « ses » films.
Mais là avec une douceur qui aurait fait fondre n’importe qui.
Un kilomètre plus bas, l’ai perdue de vue vers la descente du parking souterrain sous le square, fallait bien aussi discuter avec tantine.
AO
« Le chef du Hamas dans la bande de Gaza, Yahya Sinouar, a déclaré aujourd’hui que le mouvement islamiste avait accru ses capacités militaires face à Israël, grâce à l’amélioration récente de ses relations avec l’Iran. »
Nouvelle craquante !
Bonne nuit, les humanistes ……
Oursivi, tu n’es qu’un poète-poete, donc un menteur.
JC, tu es un cornichon sans nichons, juste épais corps et pécore.
AO
A propos d’un lien donné par Delaporte, sur le « dialogue de l’ombre double »:
« Je le revois me décrire l’interprétation du sigle initial de Dialogue de l’ombre double lors de nos séances de travail, il s’était remémoré un film visionné au Musée de l’Homme à Paris dans les années 50. Il me décrivait un chant d’incantation de la pluie d’une vielle femme africaine, et s’enthousiasmait en l’évoquant, l’imitant pour décrire des gouttes de pluie qui mettent en résonnance les flaques d’eau. Boulez évoquait parfaitement cette parole caractéristique rythmée et peu chantante, quasi-psalmodiée, ceci grâce à des onomatopées. Ce qu’il aimait beaucoup dans les chants et rythmes extra-européens était surtout leurs « rôles » rituels. »
le « je » qui raconte est P. Gallois
Mais c’est très ben illustré ici, par ce que raconte A. Damiens.
Éditorial intéressant du Magazine littéraire de septembre de Pierre Assouline. A propos de l’expression « ça se lit comme un roman », l’auteur douche notre enthousiasme. L’article pointe avec raison que, si on est tenu à lire les 581 romans (devoir insensé des critiques, des libraires, des jurés) on s’ asphyxie ,on se noie, on déprime, on perd son temps (celui d’été ,le meilleur..) devant la montagne de romans illisibles.
On se demande
1) Si le roman coute si peu cher à imprimer et diffuser qu’on peut publier (« publier » et « oublier » ne diffèrent que d’un P) n’importe quoi sans inquiétude financière ? ….
2) Si la capacité des éditeurs et de leurs comités de lectures à distinguer un bon d’un mauvais roman a disparu comme les hannetons, les Panhard ,les jarretières et les ormes.
3) Si le gout des jurés Goncourt est trop exigeant. Doivent-ils noter, comme au Bac, avec indulgence selon les directives de l’academie..?
Assouline nous prévient :
« La fiction passe pour être d’un abord facile, vraiment pas farouche. On ne le dirait pas lorsque nous tombent dessus des plaquettes de 150 pages aussi pesantes qu’une brique de 1000 pages.. » et Assouline constate : « Faut-il avoir une conscience professionnelle sans défaut, être doté d’une bienveillance touchante ou doté d’une curiosité d’acier pour se donner la peine de lire des livres que leurs auteurs ne se sont pas donné la peine décrire. » Belle formule.
C’est curieux : on croirait lire le Nourissier, grande époque, celui des « Chiens à fouetter ». J’espère que le tenancier de ce blog ne désertera pas l’académie Goncourt, rebuté, lassé par la pile himalayenne de médiocres romans. Les bons se distinguent si vite : ils rayonnent à chaque page.
Tiens, PA s’est trouvé un agent, un agent de police de caractères, en quelque sorte.
Certains dépriment quand d’autres impriment.
Que tous veulent écrire est encouragé ici, même si écrivant chaque mot on devine déjà la somme de railleries qu’ils susciteront – suent citron serait plus beau, plus vif – mon post que parcourez riant ou agacé n’y fait pas exception.
Le vie est profuse, surtout profuse, mon bon Edel.
Profuse.
Et ni vous ni moi n’y pouvons rien.
Un jour elle nous passera, comme le reste.
AO
Waouh ! le niveau de certains commentaires, je cite : « Pablo75 dit: à
« la musique de Boulez est souvent cosmique. C’est la « musique des sphères » dont parlait Shakespeare. Il est normal que des ploucs provinciaux ne l’aiment pas… » (Delaporte) »
Sans commentaires…
781
commentaires