de Pierre Assouline

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Eloge du cosmopolitisme

Eloge du cosmopolitisme

Depuis quelques temps en Europe, le débat d’idées est si vicié par un vent mauvais venu d’Amérique qu’il donne vraiment envie de changer de contemporains. Nous sommes pris en tenaille dans une double injonction identitaire entre le repli nationaliste dans ce qu’il a de plus étriqué et l’ouverture à l’Autre dans un fantasme de métissage immaîtrisé. Une mauvaise querelle des Anciens et des Modernes transcendée par un combat entre l’étroit et l’ample. Un choix binaire donc réducteur, manichéen, simpliste comme on les aime tant en France (êtes-vous Voltaire ou Rousseau ? Beatles ou Rolling Stones ? etc). Nous vient alors la furieuse envie de réactiver la troisième voie un peu assoupie et de récupérer le bon vieux cosmopolitisme, de lui rendre son sens sans pour autant remonter au philosophe cynique Diogène de Sinope (413-327 av. J.C.), le premier à conceptualiser la chose du particulier à l’universel. Au fil de siècles d’errance lexicale, en France notamment après que la droite nationaliste, entre les deux guerres et sous le régime de Vichy, lui eut fait des mauvaises manières jusqu’à le métamorphoser en insulte comme synonyme d’apatride, de métèque, il est urgent de redorer le blason du cosmopolitisme.

Il ne suffit pas d’aller voir ailleurs. Le grand voyageur en Paul Morand a produit l’illusion littéraire qu’il avait le goût des autres au lointain alors que sa correspondance suinte la misanthropie et le mépris de l’étranger ; son cosmopolitisme est un malentendu, un faux-nez. De vrais écrivains cosmopolites ? Larbaud, Gary, Kessel, Nabokov, Magris, Steiner, Semprun, Cossery… Tenez, Cossery, qui n’est pas le plus répandu. Une version levantine de la mitteleuropa avec cette touche inimitable  de cosmopolitisme oriental mâtiné de présence anglaise et d’influence française. L’homme, un chrétien d’Egypte né au Caire, élevé chez les Frères et au lycée français, était arrivé en France en 1945 pour n’en plus repartir. Les titres de ses livres annonçaient déjà un monde magique et tragique, avec ce mélange d’humour dans le récit d’existences de misère et de cruauté dans le jugement sur les puissants, Les Hommes oubliés de Dieu, La Maison de la mort certaine, Les Fainéants dans la vallée fertile, Mendiants et orgueilleux, Un complot de saltimbanques, Les Couleurs de l’infamie… Une oeuvre encore pleine d’Egypte, un français encore plein d’arabe. Comme quoi en exil, on ne se quitte pas : au contraire, on se laisse rattraper par ses fantômes. On y lisait, dans le désespoir des habitants des grandes cités et l’absurdité d’une société qui ne laisse aucune place à l’étrange, une dénonciation puissante mais discrète de toutes les impostures. Un tout petit monde à la dimension de l’univers. A croire qu’Albert Cossery écrivait pour amener à son point de perfection la définition de Miguel Torga : 

« L’universel, c’est le local moins les murs ».

Toute thèse est superflue où trois mots d’un poète suffisent. De toute façon, la vraie patrie d’un écrivain, sa patrie intérieure dont nul document officiel ne saurait attester, c’est sa langue, celle dans laquelle il écrit. Mais on distingue sans mal sous la plume d’un écrivain français une langue nourrie de lectures françaises d’une langue irriguée par des lectures non pas étrangères mais venues d’ailleurs. Dès lors qu’il les intègre à son imaginaire et à son écriture, il les nationalise. Car s’il est vrai que l’on n’a jamais raison tout seul, il conviendrait d’étendre cette réflexion trás-os-Montes : on a rarement raison entre Français.

C’est encore plus vrai pour un européen. Même si, on le sait, la Mitteleuropa est un mythe littéraire et artistique sublimé par le sentiment de la nostalgie, car on ne trouve pas trace d’une « conscience d’appartenance » chez ses habitants ainsi que l’historien Krzysztof  Pomian l’a observé , ce n’est pas une raison pour la négliger, au contraire : sa disparition a laissé un sentiment de l’exil, de la perte et du manque qui, mêlé au cosmopolitisme et au multilinguisme de son âge d’or, ont forgé l’identité culturelle européenne ; en ravivant la flamme, les Européens perdraient en scepticisme ce qu’ils gagneraient en solidarité ; ainsi la nostalgie peut-elle être féconde lorsque l’urgence est de résister aux nationalismes avant de les dépasser.

Si Jean-Yves Masson, traducteur, comparatiste et responsable de l’excellente collection « Der Doppelgänger » chez Verdier, ne nous invitait pas à aller chercher du côté de Hugo von Hofmannsthal (1874-1929, j’avoue que je m’y serais pas rendu spontanément. Il tient que, à le lire, on se convainc du danger d’amalgamer cosmopolitisme et multiculturalisme, le premier supposant une profonde appartenance à une seule culture amenée après bien des efforts au point d’universalité où elle peut rencontrer les autres ; tandis que le second s’emploie tout au contraire à juxtaposer des réalités hétérogènes. Le rappel est utile à l’heure où, dans tant de débats, le caractère multiethnique de la France d’aujourd’hui, qui est un constat d’évidence, est souvent confondu avec sa dimension multiculturelle, qui est hautement contestable car elle s’oppose fondamentalement à ce qui fait qu’une nation est une nation.

S’il faut passer par la relecture de Hugo von Hofmannsthal pour en arriver là, dans un problème qui est d’une actualité brûlante pour quelques temps encore, tant mieux ! (1) « Del resto no importa », comme l’écrivait Valéry Larbaud, le plus cosmopolite des écrivains si français. Un grand Européen, comme on dit désormais. Les Larbaud seraient moins rares de nos jours si seulement les intellectuels ne s’épuisaient pas dans ce que Freud appelait « le narcissisme des petites différences », cette étrange réaction des masses lorsqu’elles manifestent davantage d’intolérance à l’égard des différences insignes que vis-à-vis des plus fondamentales ; les gens éprouvent le besoin de surinvestir leur différence de détail avec le semblable comme si cette proximité menaçait leur identité et qu’ils devaient se protéger par l’agressivité sinon la violence pour ne pas la perdre.

Il y a encore du chemin à parcourir pour faire résonner le beau mot de cosmopolitisme dans sa véritable acception et pour que l’opinion s’en empare afin de l’annexer aux actuels combats de la République pour ne pas perdre son âme. Etre cosmopolite, c’est se placer dans une position inconfortable qui impose sans cesse de bousculer les frontières, de les repenser à nouveaux frais. Surtout pas citoyen du monde mais bien citoyen d’un monde, le sien, celui qui l’a vu naitre et l’a  chargé de quelques héritages à conserver, chérir, critiquer ou à rejeter, un monde ouvert à d’autres mondes pour y cueillir ce qu’il a de meilleur à offrir avec Lévi-Strauss pour guide, celui du Regard éloigné et de Race et histoire.

Il en va du cosmopolitisme comme de la solitude : c’est très bien dès lors que c’est choisi et non subi. Surtout pas une idéologie imposée mais tout à la fois une sensibilité, une disposition d’esprit, une vision du monde qui poussent à aller voir ailleurs et à s’y frotter. Etre cosmopolite c’est appartenir à plus d’une famille d’esprit, jouir du privilège de la vision extérieure, s’autoriser les mises à nu de l’autre, s’accorder le surplomb du regard critique. Parfois, on se croirait dans ces romans pleins de paquebots et de croisières où, accoudés au bastingage, certains personnages à l’air international observent au détour de la conversation qu’il y a de plus en plus d’étrangers dans le monde.

On s’en doute, la polyglossie est le pilier de ce cosmopolitisme puisque tout passe par le langage -et en l’espèce la langue de l’Autre sans l’usage de laquelle son univers ne nous est accessible que de seconde main. Ceux qui n’ont pas connu le bonheur et le privilège de naitre dans « plus d’une langue » (2) doivent alors produire un effort inconnu pour ceux chez qui c’est naturel. Aux antipodes de « la bouillie babélienne » (3), qui veut vraiment avoir l’humanité en partage doit d’abord refuser de diaboliser ses racines. Un cosmopolite se situe entre un enracinement et une incarnation s’il veut fondre ses patries d’élection dans sa patrie de naissance.

Dans les premiers jours de l’année 2008, tout ce que Paris comptait d’éditeurs, d’écrivains, de critiques littéraires se mêlaient aux amis et à la foule des lecteurs pour rendre un dernier hommage à Christian Bourgois. A la tête de la maison d’édition qui portait son nom, il avait amené au plus haut son absolu de la littérature, notamment les littératures écrites dans toutes les langues lui qui n’en parlait aucune. Son œuvre en témoignait : un catalogue d’une audace, d’une invention, d’une richesse remarquables. Sur chacune des chaises de la basilique Sainte Clothilde, Dominique Bourgois, sa femme, avait eu la délicatesse de déposer une mince plaquette grise éditée à cet effet portant simplement en couverture «  »Christian Bourgois 21 septembre 1933- 20 décembre 2007″ » ainsi que les trois C inversés formant le sigle de sa maison.

Elle contenait le texte d’un discours qu’il devait prononcer peu avant à la foire du livre de Guadalajara (Mexique) comme lauréat du Prix Merito editorial 2007 et que la proximité de la fin l’empêcha de prononcer personnellement. Il suffit d’en lire les principaux extraits pour y découvrir le lumineux testament d’un grand éditeur, notamment ce passage :

« Mon catalogue peut être lu comme un éloge du cosmopolitisme littéraire. Pour moi, ce beau mot de cosmopolitisme, longtemps dévalué ou voué aux gémonies en France, désigne parfaitement ce que je veux faire et, par opposition, ce que je refuse : le nationalisme culturel, sous la forme la plus odieuse et exécrable du chauvinisme ».

En assistant à son départ, on se disait que, dans les années qui s’annonçaient, il y aurait de moins en moins de gens à qui parler.

—————————————–

  1. Jean-Yves Masson, « Hugo von Hofmannsthal, du renoncement à la métamorphose », Revue des Deux Mondes, janvier 2007
  2. Barbara Cassin, Plus d’une langue, Bayard, 2019
  3. Pascal Bruckner, « Faut-il être cosmopolite ? » in Esprit, décembre 1992

(Photos Passou)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 356 Réponses pour Eloge du cosmopolitisme

et alii dit: à

mon neveu disait aussi au zoo où on l’avait emmené cativo,cativa!

et alii dit: à

excuses :cattivo

renato dit: à

Le truc stratégique d’Anne Hidalgo : bizarre et vaine tintamarre de la gloire du moindre petit talent.

Janssen J-J dit: à

tu vois le rapport entre une mycose et le syndrome du glissement, toi ?
Belle réponse sur MH, Jibé !… Tchin à vous et à RM, c’est l’heure !
(Ma soeur va pas tarder à s’inviter et bousiller les verres, dépêchons nous à finir les coupes !)

renato dit: à

Je me demande pourquoi elle (AH) a refusé de débattre avec Le Foll, Janssen J-J.

puck dit: à

D. dit: à

Puck, tu n’es plus fâché avec moi ?
Cette histoire déplorable de quenelle. J’ai très honte de ce que j’ai écrit, tu sais.
 »

D. au début oui je t’en ai beaucoup voulu, mais ensuite, avec le temps, peu à peu c’est passé. Tu sais moi aussi des fois j’écris des choses que je regrette après, pas souvent, mais ça arrive, tous les deux on se ressemble tellement un peu parce que nous savons ce qu’est le honte, tu sais D c’est beau d’éprouver ce sentiment, je veux dire la honte, c’est un des plus beaux cadeaux que Dieu nous a donné.
Après sûr qu’il ne faut pas avoir honte pour parler ainsi de la honte, je veux dire sans avoir honte de dire que parfois on a honte, parce que honte et modestie vont souvent ensemble D. et faire ainsi l’éloge de la honte c’est tout sauf de la modestie, ma foi il faut aussi savoir de pas avoir de son immodestie tout autant qu’il faut savoir accepter la honte en toute modestie, tu me suis ? parce que je t’avoue que j’ai un peu perdu le fil, quelle idée aussi de se lancer dans des problématiques aussi complexes sans en avoir honte.
Enfin tout ça pour dire que je t’ai pardonné, que ton coeur aille en paix avec le monde et tes semblables jeune padawan et sache que moi aussi je t’aime.

puck dit: à

D. cela dit les quenelles faut quand même les cuisiner soit avec de la sauce Nantua, soit tu coupes tes quenelles en petits carrés, tu y ajoutes des olives vertes et des champignons de Paris, tu mets tout ça dans de la sauce Wall Street après dans des bouchées et hop ! ça te fait des bonnes petites bouchées à la Reine à la bressane ! et si t’as pas de sauce City of London tu peux mettre ta foutue sauce tomate !

DHH dit: à

@et alii
j’imagine que comme moi vos les fabriquez vous même les dattes fourrées:
c’est rapide facile et d’un bel effet
j’ai une amie qui etait prof de math mais nomméee dans un lycée breton qui venait d’etre crée et qui ne comtait pas encore toutes ses classes,s’est vu priée poutr completer son horaire des 14 heures reglementaires de faire chaque semaine une heure de cours de cuisine ;et elle me raconte qu’elle a commecé par une initiation aux dates fourrées qui a suscité chez ses eleves une admiration une admiration inconditionnelle pour leur prof de math.
Comment réagirait aujourd’hui en pleine ère du féminisme intransigeant une agregée de math, a qui on demanderait, ,puisqu’elle est une femme ,d’enseigner aussi la cuisine?
A un homme on aurait peut-etre demandé le bricolage

Marie Sasseur dit: à

Je pense que Houellebecq a assez bien décrit les suppôts de zemmour, dans la première partie de son roman « Soumission », en voilà quelques uns ( parmi d’autres):

« Zouaves Paris, une poignée de néofascistes surveillés de prèsSelon nos informations, les autorités réfléchiraient à engager une procédure de dissolution à l’encontre de ce groupuscule d’extrême-droite impliqué dans le lynchage d’opposants anti-racistes à Eric Zemmour »

https://www.leparisien.fr/faits-divers/meeting-de-zemmour-qui-sont-les-zouaves-ce-groupe-neofasciste-suivi-de-pres-par-le-renseignement-09-12-2021-IKFCKPY7IFFKBDJDLJHZVTUP7U.php

puck dit: à

« fabriquez vous même les dattes fourrées »

faut préciser : celles qu’on mange pour Kippour à l’oranaise ou celle pour Pessah à l’algéroise ???

puck dit: à

trop fort ce Welbec !!! c’est pour ça que c’est notre plus grand écrivain actuel : il arrive à prédire des trucs que lui seul arrive à prédire, aqueu à côté même Carrère il est à la ramasse.

Marie Sasseur dit: à

« La première mention des treize desserts n’apparaît qu’en 1925. Dans un numéro spécial de Noël du journal La Pignato, un écrivain d’Aubagne, le docteur Joseph Fallen, majoral du Félibrige, affirme : « Voici une quantité de friandises, de gourmandises, les treize desserts : il en faut treize, oui treize, pas plus si vous voulez, mais pas un de moins »

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Treize_desserts

Janssen J-J dit: à

@ RM, – je crois que l’objet de la querelle vient d’une divergence de SLF à propos de la proposition jugée inconsidérée et démagogique d’AH au sujet du doublement du salaire des fonctionnaires de l’EN,comme en atteste le lien suivant (en principe la base de son électorat, croyait-elle !)
https://www.francetvinfo.fr/elections/presidentielle/presidentielle-2022-stephane-le-foll-ne-fera-pas-campagne-aupres-d-anne-hidalgo-mais-lui-souhaite-bonne-chance_4808527.html
Bàv,

puck dit: à

on dit « Stéphane LE Foll » ou « LA Foll » ?
parce qque je veux pas donner des leçons de grammaire en présence sur ce blog d’éminents grammairiens et grammairiennes, mais à ma connaissance folle c’est plutôt féminin, du coup faudrait plutôt dire Stéphane le Fou.

puck dit: à

Stéphane la Foll c’est Bern.

Jibé dit: à

A la bonne vôtre, JJJ.
Je crois qu’Anne Hidalgo n’a jamais été suivie par les vieux éléphants du PS et que, d’ailleurs, le PS est défunt, genre mort cérébrale. C’est un défi et c’est enthousiasmant: tout est à refaire.
Je nage dans d’autres rivières, mais j’ai là-bas plein de copains et copines et je leur souhaite une belle reconstruction. Un siècle après le congrès de Tours et 40 ans après Epinay, 20 après la déculottée jospinienne (bien fait!), va leur falloir retourner vraiment à la mine. Bosser dur. Réfléchir en commun.

bouguereau dit: à

« fabriquez vous même les dattes fourrées »

les algériennes prémiome ont bzoin vraiment de rien..peut être d’un mas amiel a lhéritier..la france préfère boire du porto de merde..les grands mères sraient pas joasse

Jean Langoncet dit: à

(keupu animé d’un fol espoir de bandaison, c’est deux de tension qu’il dirait Mr. Synthétique)

Jibé dit: à

puck,
laissez faire la grammaire:
Charles VI, le bien-aimé, puis le fol…ça remonte loin, certes…

Janssen J-J dit: à

souvent femme varie
bien fol qui s’y fie… (françois 1st)

au départ, fol est masculin, purkt ! et tu le sais bieng !
mé kestabu ce soir, avec DD ?… tapas d’bon sens !

bouguereau dit: à

Je nage dans d’autres rivières

moi haussi j’aime au naturel me rincer le jambon qu’elle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

le syndrome du glissement

les fameux musulmans qu’il dirait lassouline

Jean Langoncet dit: à

(Mr. Synthétique devant son pilulier)

Alexia Neuhoff dit: à

Communiqué de M. Marc Court : « Ce soir, à partir de 21h05, je prie les tireurs de sonnette, les importuns, les vendeurs de calendriers et tout autre solliciteur de ne point me déranger. Je serai devant mon poste de télévision, sur F2, confit en dévotion, face à mon messie et à celui de la France éternelle. »

Janssen J-J dit: à

tu crois qu’il hésite entre les pilules roses et les pilules bleues, jean ?…
C’est vrai qu’à nos âges, on sait plus trop lesquelles font le plus d’effets, comme dirait ma soeur-laviagre.

bouguereau dit: à

D’ordinaire, quand on n’aime pas un écrivain, on glisse. Mais avec lui, non. On argumente, on s’engueule, on fait dans le péremptoire, il est génial ou il est nul, pas de moyenne

chtement jambon..jai été tout de suite client..me sentant la cibe..je le trouve pas franchment nul mais comme tu le dis trés -moyen-..c’est qu’on en fasse l’icone de notre temps qui me désole..il a recyclé tout un tas de nofutur bien meilleur que lui mais ‘à la française’ comme dirait arno..qui me désole..ça ne décolle jamais..et ce qui me stupéfie c’est que les anglais sont preneurs..bref ils ne connaissent pas leur litterature qui sur « ses thèmes » est bien meilleur..mais voilà je crois qu’il en a fallu qu’ils passent par paris..pour être ‘globaux’..c’est franchement étrange..kitch et snob surment

puck dit: à

avant « fol » c’est masculin ?
mon Dieu quelle misère, le temps où ce pays était peuplé d’arriérés qui savaient même pas parler la France, où les vaccins Pfizer contre la peste ça existait même pas, les rois n’avaient aucune notion d’identité nationale vu qu’y connaissaient même pas Zemmour et où les téléphones portables et les consoles nitendo ça n’existaient pas !

c’est bien de cette époque-là que vous causez et que vous prenez comme référence à notre belle langue ?

ce blog littéraire il est tombé bien bas.

bouguereau dit: à

je crois franchement que « le français » de kabloom est dvenu un vrai personnage de la culture international..à ce sujet je suis toujours stupéfait de ses remarques ‘irépressibles intimes et personnelles’ qui sont en fait des clichés qui fonctionnent formidablement..et je crois que ‘le monde’ attendait qu' »un français » ose les incarner..et kabloom ne peut pas ne pas le considérer « vendeur »..c’est un paradosque comme un noeud gordien jambon..on l’coupe en tranche fine et avec un picrate quelconque ça doit passer

Janssen J-J dit: à

malgré tout…,
dans le sondage des « pro MH »,… on peut donc rajouter Jibé et jmb, ils font drôlement pencher la balance, comme quoi la prétendue influence de passoul, c’est du pipeau gai !…
Mais où sont passé.es les tristes antivax ?

bouguereau dit: à

stefane pladza il est con et en dsous dla moyenne et pas telment vendeur pour la france à lhinternational..bon c’est qui qui va lui chter la première pierre sur sa gueule ?

bouguereau dit: à

c’est comme zemmour..il a la tête du gars qui fait du marché noir quand ça va mal et sauve la france dans la prénombre à midi quand ça va bien..hé houi mes ptis chéris..c’est ça l’commerce

Janssen J-J dit: à

mais l’jmb ne nous avait jamais habitués à pareille éloquence argumentative… c irrépressib’ et merveilleux, ast’heure là !… Comme quoi il fallait bien que quelqu’un s’occupât des godes à sa place, pour le décoincer de ses fantasmes si longtemps inibitheurs.
Merci qui, pu-hurckt ?…

J J-J dit: à

stephane pladza, c’est quand même pas la foll du quartier moyen, hein !

Janssen J-J dit: à

@ ce blog littéraire il est tombé bien bas.

moi je trouve qu’il remonte ‘achment la pente, au contraire, depuis que l’CDBF57 reste au fond Dutroux… La haine commence méchamment à refluer (globalement, bien sûr avec quelques rechutes…, m’enfin dans l’ensemb’, on note pas mal d’améliorations chez chacun.e)… Mine de rien, ça réfléchit en commun, chacun dans sa rivière… chaque eau sale finira par se purifier en se mélangeant aux autres, moij Jean Suissûr…

DHH dit: à

Fol et Fou c’est le même mot masculin , a deux moments de l’histoire de la langue ;on a Fol avant que le L se vocalise s dans le son OU comme dans chevals devenu phonetiquement chevaux ,

et alii dit: à

non, DHH? JE FAISAIS AUTREFOIS DES TRUFFES et j’en offrais évidemment mais j’ai habité un quartier où c’est à peine s’il fallait s’arrêter pour acheter son
sachet, et comme c’est pour moi je les prends toutes prêtes:vite fait et longuement savourées;
bonsoir

Marie Sasseur dit: à

Zemmour, c’est un peu le caïd du sentier, qui continue sa guerre d’Algérie, en France avec plein de barbouzes, des anciens de l’oas, et des nostalgiques de la colonisation française.
Je troyve5 qu’on insiste pas assez sur ce cosmopolitisme zemmourien.

Marie Sasseur dit: à

Je trouve que les coreligionnaires de zemmour, ont vite fait de noyer le poisson.

Marie Sasseur dit: à

Je voulais dire à Passou, que ce n’est pas impunément qu’on insulte ainsi les lecteurs de Houellebecq.

Janssen J-J dit: à

non on les noie pas, on les sort de l’eau, et ils sasfixient tous seuls, au bout d’un certain temps…
tapalmonopopol de savoir comment les éradiker, les kaïds de c’te caill’ra !
Ské génant, c d’devoir les combatt’avec toi à côté, toi kipues dl’ag…- mais bon, suffit de s’tenir à bonne distance des hyènes & des phacochères… des stes ni touche… episapeulfère !

Bloom dit: à

ce qui m’a frappé dans cette nouvelle version c’est la pérennité du problème, qui reste entier et universel. Celui-là même qu’exploite l’extrême droite chez nous, tel Zemmour avec le Grand Remplacement.

Baroz, tu es un amateur qui devrait un peu se muscler intellectuellement quand il s’aventure au-delà de sa zone de confort.

En ce qui concerne West Side Story, tu commets de gros contresens en appliquant les pires clichés de la «franchouille» actuelle à une situation spécifique, celle de l’Amérique des années 50, celle d’avant les lois Johnson sur les droits civiques.
Les deux gangs de l’Upper West Side qui reproduisent l’affrontement entre les Capulet (Sharks) et les Montagu (Jets) sont des immigrés d’origine polonaise (comme Anton), irlandaise et portoricaine (ces derniers issus d’un territoire américain s’apparentant à une colonie) engagés dans une « turf war », une guerre territoriale. Les Polonais et les Irlandais sont arrivés dans la seconde moitié du 19e et les Portoricains plus récemment au 20e, mais, surprise, surprise, les deux populations vivent dans le même quartier prolo, celui de l’Upper West Side.
S’il fallait trouver des « grands remplacés » aux USA et en Amérique en général, ce seraient les Amérindiens, totalement absents du film (sauf obliquement, avec la référence à ‘Manhattan’, terme algonquin renvoyant aux occupants originels de cette langue de terre achetée par les colonisateurs bataves pour une poignée de verroterie – voir Walt Whitman, « Feuilles d’herbe » ).

Bref, la théorie fumeuse de K-µ-le-Petit est en l’espèce spectaculairement hors de propos et inopérante, sauf à vouloir à tout prix faire du prosélytisme pro-Zemmour, au mépris de la vérité, commer il se doit (d’honneur).

Enfin, si la musique de ce chef-d’oeuvre est bien due à Leonard Bernstein, les paroles sont de Stephen Sondheim (mort le 26 novembre dernier) ET de Leonard Bernstein soi-même.
Tu trouveras tous les détails de la conception de ce chef d’oeuvre collectif (pièce originale + film de Robert Wise) dans la passionnante biographie de la fille de Leonard, Jamie Bernstein, « Famous Father Girl. A Memoir of Growing Up Bernstein », 2018.

Au boulot!

Signé: le co-Idéologue, qui t’adresse un katapugon bien profond (oeuf corse métaphorique car il ne joue pas dans cette équipe-là).

Janssen J-J dit: à

c drôle, c’te propension à toujours parler d’insultes chez les autres… comme si que… le marcèlement permanent n’en était pas la première des

Bloom dit: à

AUTObiographie & biographie.

Marie Sasseur dit: à

Il faut effectivement prêter attention au trombinoscope au soutien du fasciste zemmour.
Des nostalgiques de l’Algérie française.
D’ailleurs , on le lit peu, mais zemmour votait Mitterrand , sans doute en souvenir du temps où Tonton employait des mesures, heu, musclées.

Janssen J-J dit: à

ô Bl… Soyez pas si prétentiard et altier quand vous voulez moucher les gens !… Jzmn peut pas être aussi kultivé que vous sur tous les dossiers traités… Et vous avez itou vos faiblesses dans certaines de vos zones et de vos domaines confortables, même… Sur l’Irlande littéraire, par ex., on note souvent pas mal d’inexactitudes, mais bof…, on n’en fait pas tant d’histoires… hein !
(la plaie principale de cette chaîne => les caquets en perm à nantes, à rabattre du col haussé)

D. dit: à

Tu es trop gentil, Puck.
Moi aussi je t’aime.

Janssen J-J dit: à

@ Tonton employait des mesures, heu, musclées.
ah ouais !… comme les tontons macoutes, quoi !
et le SAC gaulliste ?…, une invention du Tonton, sans doute ?

puck dit: à

« tapalmonopopol de savoir comment les éradiker, les kaïds de c’te caill’ra ! »
 »

3j j’arrive plus à faire la différence quand vous êtes bourré et quand vous essayez de parler en espéranto pour ressembler à greubou.

sachez cher 3j qu’il va vous falloir faire encore beaucoup d’efforts pour y ressembler à greubou, comme le disait un dicton corrézien d’autrefois : « n’est pas greubou qui veut » ce qui signifiait dans le langage local : quand une vache refuse de se faire monter par le taureau suffit de lui changer la coupe de cheveux. Et c’est ma foi assez vrai que la vache de Corrèze et de toutes les races de vaches celle qui est la plus sensible au look du taureau, et ce fait historico agricole a eu des répercussions jusqu’à nos jours, par exemple dans l’élection de Chirac, mais aussi celle de Hollande, due en grande partie à leur coupe de cheveux.

Dieu que c’est pas facile de faire remonter le niveau culturel de ce blog.

D. dit: à

Plus jamaus je ne mangerai de quenelles à la sauce tomate.

puck dit: à

D. dit: à

Tu es trop gentil, Puck.
Moi aussi je t’aime.
 »

peut-être, mais pas autant que moi je t’aime D.

et puis on va pas encre se fâcher pour savoir qui des deux aime le plus l’autre, l’ailleurs et son prochain, parce que ça m’étonnerait qu’en ce domaine tu me battes soit dit en passant !

comme on dit chez moi : plus cosmopolite que moi tu meurs…

puck dit: à

« Il faut choisir ses lectures. »
 »

@terezoune : quand on sait pas ce qu’est la souffrance de l’exil, d’avoir ses parents qui ont quitté, de façon injuste une terre où leurs ancêtres vivaient depuis des millénaires, qui plus est pour voir arrivés ensuite en France ceux-là mêmes qui vous ont éjecté de leur pays, et de voir l’accueil qu’on leur a fait genre « touche pas à mon pote » alors que ses parents, bien que frnaçais, avaient été accueillis en France avec des insultes du genre : retourne dans ton pays sale arabe !

hé ben quand on connait pas tout ça la seule chose qu’on puisse se permettre sur ce sujet c’est de la boucler !

chose que ces putains de journalistes devraient apprendre à faire parfois.

Marie Sasseur dit: à

Il y a un livre, qui n’a pas été très apprécié sur la rdl, ni par les journaleux plus occupés à savoir si le nom de l’auteur était un pseudo. Qui dit assez comment des résistants, officiers de l’armée démobilisée, et par là se disant gaullistes, dont devenus des tortionnaires en Algérie, ceux là même qui soutiennent le fasciste zemmour.

puck dit: à

moi Zemmour, même si je ne partage pas ses idées, son logiciel je le connais comme ma poche !

puck dit: à

la keuf du blogapassou reprend du service.

Bloom dit: à

3J, vous êtes assez mal placé pour vous offusquer.

N’hésitez pas à pointer avec exactitude mes inexactitudes sur l’Irlande littéraire, faute de quoi je ne pourrai pas vous prendre au sérieux.

Parler de « GR » « universel » à propos de WST est une insulte faite à Bernstein.

Marie Sasseur dit: à

sont devenus des tortionnaires.

Oui, j’aimerais bien que cette haine des musulmans du fasciste zemmour, ne soit pas grossièrement balayée sous le tapis.

D. dit: à

Ce n’est pas compliqué : si jamais je trouve des quenelles à la tomate dans un restaurant, je…je… je fais un malheur.

D. dit: à

Des truffes ?!

Des truffes ?!

Des truffes ?!

Vous voulez dire des crottes ?!

rose dit: à

La célébrité.
Après Castaner le IHU. 🥶

« L’IHU Méditerranée de Marseille a annoncé aujourd’hui sur ses réseaux sociaux avoir identifié un nouveau variant du Covid-19. Baptisé variant « IHU », il a été déposé sur le réseau GISAID (Global Initiative on Sharing Avian Influenza Data), un réseau de partage de données scientifiques, sous le nom B.1.640.2.

Ce variant a été identifié chez des patients originaires de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence), précise l’IHU dirigé par le Pr Raoult.

De nouveaux variants du virus sont régulièrement identifiés à travers le monde. Sur le réseau GISAID, on peut ainsi voir qu’en plus du variant « IHU », un autre type a été détecté aujourd’hui au pays de Galles et un autre hier en Inde. Si certains attirent plus l’attention que d’autres, c’est généralement en raison du nombre de mutations par rapport au virus initial, »

rose dit: à

D. dit: à
Plus jamaus je ne mangerai de quenelles à la sauce tomate.

Il s’agissait d’anticiper.
Si moi, chui cap. pourquoi pas vous ?

rose dit: à

Hypothèse sinistre (c la sale bronchite) :
Si Delphine J., c la femme de son amant qui l’a faite assassiner par un mafieux corse (on me l’a bien proposé à moi d’embaucher des mafieux), alors son mari sera innocenté, touchera 300 000 euros d’indemnités par l’État ; ce qui lui permettra d’embaucher une entreprise de maçonnerie qui finira sa maison et une de jardinage qui s’occupera des extérieurs.
Les enfants dans tout ça ?
Oh ben, maman elle baisait avec son amant pendant que papa les travaux ça avançait pas bezef.
Alors la femme de son amant a établi un contrat que maman n’a pas respecté et zip bam poum.
On n’a plus de maman.
[…]
Et l’autre torride, entraîneur de métier qui a une relation passionnée avec sa judoka médaille d’or « oh mais c’était une dispute entre amoureux, hein. » Fallait pas vous déplacer. Elle m’a mis les nerfs.

Eh, change de métier C.P.
Fais-toi boulanger à Lucéram.

rose dit: à

Je vis dans un drôle de pays. Tous anti-vax. Moi aussi.
Mais vaccinée.
Les autres se refusant des faux pass à gogo.
Aux fiestas à gogo.
Et hop.
Un petit variant bien de chez nous. Tout nouveau, tout beau.

rose dit: à

se refilant

rose dit: à

Il est hyper facile de devenir tortionnaire.
Le plus gros danger du tortionnaire est de ne pas le stopper.

Janssen J-J dit: à

@ et puis il y a les harkis à qui Alice Zeniter a rendu un bien bel hommage…
@ et puis, je vous ai laissé une honorable porte de sortie et avez su la saisir, bloom. Comme je suis bon, et non pas facilement ofuskab’, c’est un jeu
@ et si vous savez pas à quoi vous en tenir, eh ben, c que vous êtes pas très soupl’ avec les keufs, seront tjs plus malins que vous l’croyez… êtes bin de la même espèce, les dexter et les tarzanes dans vos lazzi… pfff !
@ j’arrivions pas à savoir qui, de D. ou Puck aime le plus l’autre… Ce qui est gênant, c’est de nous retrouver mis en position d’arbitrer leurs zammours ou leurs dépits zammoureux,
@ j’ai bien apprécié la métaphore de la vache et du taureau corréziens et du changement de la coupe de jveux pour provoquer des externalités positives à leurs comportements habituels… Je la connaissais pas, elle est instructive, cette pratique, et remonte assurément le niveau-rdl, il n’en faut point douter. Quand tu lui coupes la frange avec la tondeuse à Cadichon, l’est moins bas du plafond, que disait notre amie Folcoche dans un registre aussi métaphorique…
@ à force d’insulter Z en « fasciste », on va finir par s’habituer à cet aimable adjectif. un performatif atténuateur… Est-elle bêtasse avec ses mantras, dès qu’elle en a trouvé un, la groupie du tôlier,
https://www.youtube.com/watch?v=hFCYZ4ViQDY

Patrice Charoulet dit: à

ORATEUR AVEC PROMPTEUR

Certains sont allés au meeting Zemmour, certains l’ont vu et entendu à la télé, certains n’ont lu ou entendu que des commentaires, certains ne sont pas au courant qu’il y a eu un meeting Zemmour.
Je suis dans la deuxième catégorie : j’ai vu et entendu de bout en bout le meeting à la télé. J’ajoute que pour mille raisons je ne voterai pour lui ni au premier tour ni au second, s’il y parvient.

Ayant dit cela pour être clair et non masqué, je voudrais évoquer un point, qui paraîtra peut-être mineur. En effet, j’ai entendu beaucoup de commentateurs , même très informés en politique française et parfois pas du tout zemmouriens , nous dire à peu près ceci : « Il a fait beaucoup de progrès depuis son discours de la Convention de la droite. Je l’ai trouvé très bon orateur. C’était un discours réussi , je ne savais pas qu’il aurait ce talent et ce n’était pas gagné d’avance. »
Je veux rpondre à ceux qui pensent et disent cela. Ont-ils remarqué un point important : dans son discours de la Convention de la droite, Zemmour lisait son texte et penchait sa tête au-dessus de plusieurs feuilles de papier. Dans ce premier meeting , Zemmour avait à sa gauche et à sa droite un prompteur que les téléspectateurs ne voyaient pas . Cela change tout ! Certes, il n’est pas le premier homme politique (on peut désormais l’appeler ainsi ) à se servir d’un prompteur en France et dans le monde. Mais ce dispositif donne à qui a appris à s’en servir un énorme avantage et aux spectateurs une énorme illusion d’aisance oratoire.

Un bon orateur avec prompteur n’est pas un bon orateur. Cessons de lui décerner un éloge qu’il ne mérite pas. Et concentrons-nous sur ce qu’il dit point par point. Et cette fois, à mon humble avis, il y aurait mille choses à lui reprocher, pour employer un mot très modéré. Ce n’était pas mon sujet aujourd’hui.

rose dit: à

Longue conversation avec ma mère sur son téléphone portable, en panne depuis quatre mois.
son code est quatre zéro.
On lui a volé dans sa chambre la prise téléphonique de sa tablette.
Celle de son Samsung plus carte SIM bloquée trois fois inutilisable parce que trois fois, faux code tapé.
Or, je viens de questionner ma mère, vous savez combien elle est fûtée.
Elle m’a dit
« Je ne sais plus mon code ».
J’ai insisté elle a répondu 0000.

Je vous informe.
On tente de supprimer le téléphone portable à ma mère.
Il y a des raisons.
Sur son fixe, l’Ehpad la met sur écoutes.
Coupe ses conversations.
La bascule en ligne occupée.

Désormais, ma mère a ses marques à l’Ehpad. Prises de force. Contre son gré.

rose dit: à

Le très grave danger du tortionnaire est sur deux points : la toute puissance qu’il développe et la jouissance que cela lui procure.

Vous pourrez me dire, à raison :
« Oui mais lorsqu’il embarquera sur la barque du Léthé, il coulera direct. »

Ok.
En attendant, le torturé l’est.

renato dit: à

Lina Wertmüller è morte.

Janssen J-J dit: à

… des cluster IHU à Forcalquier ?… faut faire gaffe, comme disait Pierre Magnan naguère… du haut de son propre grangeon, sa maison assassinée…
J’espère que c’est pas le vôtre !… & que vous êtes bien assurée c/ les coups Dussort… hein !

rose dit: à

Un bon orateur avec prompteur n’est pas un bon orateur.

D’accord avec vous, M. Charoulet.
Dslée, le reste ne m’intéresse pas. Cas mineur, n’en faisons pas un boeuf à parler tout le temps de lui.

Nota : abalobée par, récemment, dans son discours à l’Assemblée Nationale, défenderesse du mariage pour tous, (contre lequel je suis) du talent oratoire de Mme Taubira !

Janssen J-J dit: à

@ Je me souviens que la magnifique Christiane ne se servait d’aucun prompteur à l’Assemblée Nationale en 2014. Quelle classe elle avait, cette femme sublimissime !… Autre chose qu’une Hidalgo qui peut pas aligner trois mots sur quatre.

@ Lina Wertmuller ?… Vite, le lazzi du léZZard…, une nécro !…

Jazzi dit: à

Les Sharks et les Jets, ont été remplacé depuis bien longtemps, Bloom. Tout en étant fidèle, quasi à l’esprit et à la lettre au livret, à la musique et aussi à la chorégraphie de cette comédie musicale, devenue désormais un classique du genre, de Bernstein & Sondheim, que je n’ai pas manqué de citer, sans me croire obligé d’en faire toute une tartine, Spielberg en fait subtilement ressortir toute la modernité et l’étonnante actualité. Evoquant, au passage, les diverses vagues migratoires européennes, sans oublier les juifs pour s’intégrer sur ces mêmes territoires volé aux amérindiens…
Ce mouvement migratoire singulier situé et daté in America ne fait-il pas résonance pour toi aux problèmes actuels concernant l’ « identité française » ?

Janssen J-J dit: à

vous m’avez devancé rôz, pendant que je lui composais un hymne à CT (l’autre)…, êtes merveilleuse, des fois !…
pas bin compris l’histoire du portable, faut dire que j’en n’ai pas l’usage… – espère que c pas trop grave pour elle, hein…
BNàv,

Jean Langoncet dit: à

@(contre lequel je suis)

En effet. Quel pensum pour tous. Du moins tant que le mariage ne permet pas d’épouser sa maman

rose dit: à

Janssen J-J
Tous mes meilleurs copains sont des anti-vax. Je les respecte.
Ce soir, sortie de mon petit grangeon après avoir fini les sablés de Noël (recette nulle, l’éviter, ce sont des biscuits, pas des sablés, j’en ai goûté deux aux pointes grillées ; ne jamais manger les gâteaux de Noël avant Noël ; ma mère aurait dit avec sa datte gourmande à Et alii « c’est le bon dieu qui t’a puni ») j’ai vu dans le ciel un arc lumineux qui surmonte la totalité de mon grangeon.
Je suis sous la protection de dieu.
Pour une torturée par sa soeur aînée, avec la complicité du cadet, faut le faire.
J’ai failli questionner D. Dis-moi D, l’arcature du cercle, le rayon de minuit, tout ça.
C’était 20h.
Suis rentrée.
Ressortie.
Pfiou, que de fournées de sablés ratés. Enfin la pâte est finie.
Face à moi en // le même au lieu d’être or est vert.
Je suis sortie de sous mon toit toit neuf depuis samedi dernier sous la pluie, deux compatissants.
Finis les rayons.
D.
Mon toit en polyuréthane fait se scinder la lumière et projette un rayonnement sur mon toit que je suis bénie des dieux.
À choisir, j’aimerai mieux choisir fin de la torture.
Mais l’acharnement et la conviction d’avoir raison me font croire que en janvier, cela reprendra de plus belle.
Maintenant, j’ai mes rayons ardents.
Pschitt. Pschitt.
Un doré à l’arrière. Un vert à l’avant.

Jean Langoncet dit: à

tant que le mariage > tant que le mariage pour tous.es

rose dit: à

Jean Langoncet

G des réponses à ce sujet. Mais je ne dégaine pas plus vite que mon ombre
Vous n’êtes pas le premier.
Un.
Deux, vous ne savez pas l’ambivalence. Je la tais soigneusement.

moralès sed laisse dit: à

Glissade sur une date farcie : poltrone e sofa, una autentica qualità!

rose dit: à

Le téléphone portable, j’informe en attendant le rdv avec l’ARS.
À obtenir aussi facile que de pénétrer la nuit dans la Banque de France.

rose dit: à

Le rayon de minuit à vingt heures, ça le fait pas.

Je retourne voir.
Tant pis pour la bronchite.
Au moins, je vérifie si ça dure ce rayon.
Et je fais pipi.

Jean Langoncet dit: à

@vous ne savez pas l’ambivalence

Non. Mais je constate qu’il faut attendre 2021 pour que soit affichée dans un docu. destiné au large public la trombine de Billy Preston aux côtés de feu le groupe des Beatles depuis un demi siècle ; chose impensable, même pour le courant dominant au moment de la dissolution du groupe, en 69

Jean Langoncet dit: à

Autrement dit, vous êtes une sardine mainstream que rien n’arrête, rose

rose dit: à

C’étaient surtout les napolitains, le mouvement migratoire.
Ah Martin Scorsese.
Les cubains.
Tous les dab sont en anglais espagnol à NYC.
Aujourd’hui, je dirai Mexique et

rose dit: à

Mexique et Colombie.
Qui le sait vraiment les migrations états-uniennes aujourd’hui ?

MC dit: à

Eh bien non! J’ai été tout l’après midi grâce à Zoom a un Colloque ou il a été question d’un aspect du multiple passé culturel de la Frznce,,que certaines comme les Neuhoff veulent réduire à un maurassisme au rabais. Il faut croire qu’aimer son pays n’est plus à la mode, le défendre non plus. Miss Neuhoff peut se coucher, c’est d’ailleurs, devant l’ennemi, ce qu’elle doit savoir faire de mieux. MC

moralès sed laisse dit: à

Et je fais pipi.

Tout le monde le fait à un moment où à un autre, mais en silence et dans ses toilettes à moins d’une urgence…

Marie Sasseur dit: à

Moi j’etais sur teams.

rose dit: à

Jean Langoncet

destiné au large public la trombine de Billy Preston aux côtés de feu le groupe des Beatles […]

Pkoi ?

Jazzi dit: à

« Je suis de ceux qui le trouvent plutôt génial, sauf comme poète -écriture si linéaire et froide qui ne passe pas en poésie.
Par contre, romancier, alors là! Je m’incline, ce type chope l’esprit du temps, des lieux et des êtres. »

Je pense exactement comme vous, Jibé. Et aussi, qu’il y a chez lui une forte dimension comique qui va jusqu’à l’autodérision : il me fait rire !

moralès sed laisse dit: à

Je pense exactement comme vous, Jibé.

Moi aussi Jazzi! 😉

Janssen J-J dit: à

@ MC – Ne confondez pas AN avec CT ou SMS, voy’hons !… C’est indécent quand vous commencez à mettre tout le monde dans le même panier… Souffrez la contradiction de temps à autre, bordel, au lieu de vous laisser aller à vos incroyables pulsions misogynes. C’est vraiment pas digne de vous !… et plutôt très moche et fort déceptif.
Mais que vous ont-elles fait, au juste ?

bouguereau dit: à

bernard marris était un type plus intressant que son copin trés ordinaire..

bouguereau dit: à

Je pense exactement comme vous, Jibé. Et aussi, qu’il y a chez lui une forte dimension comique qui va jusqu’à l’autodérision : il me fait rire !

oui baroz..ça m’étonne pas dtoi..il y a dans ce grundge une phigure caricatural de ‘croquant’ dont le parisien qui se rêve..avec heffet retard..petit sujet de lancien régime..aime à rire

bouguereau dit: à

Miss Neuhoff peut se coucher, c’est d’ailleurs, devant l’ennemi, ce qu’elle doit savoir faire de mieux

..mais c’est quil est galant ce ouanabi cidevant meussieu courte..

rose dit: à

D
Rayon vert, niet.
Rayon doré parfait. Blanc et en pointillé en photo.
Émission du lampadaire en face de chez moi et réfraction.

Ahlala lala lala’lala.

Mission accomplie.
Retour à la base.
Mes poumons chuintent doucement. Ça ne passe pas par la bouche. Ça me fait d’la peine pour eux. On dirait qu’ils gémissent.

bouguereau dit: à

Tous mes meilleurs copains sont des anti-vax. Je les respecte

..moi jleur dis que c’est des gros cons..que les femmes jles couprais bien en morceaux en consigne à la gare..qu’les hommes chte les foutrais rapidos en mine de sel..mais voilà..la democratie c’est que procastiner qu’il dit zemmour

Jean Langoncet dit: à

@la prime de Noël

152 balles, all by myself : c’est l’Amérique !

bouguereau dit: à

Eh bien non! J’ai été tout l’après midi grâce à Zoom a un Colloque ou il a été question d’un aspect du multiple passé culturel de la Frznce

msieu courte y fait penser au mitrailleur du molat omar qui laisse quelques vies sauve pasqu’y rgarde trop de pornos sur leur portabe

Marc Court dit: à

JJJ j’incrimine une conduite lache, une renonciation à l’Histoire, un mauvais coup donné à la France. Que cela soit signé Alexia Neuhoff ne veut rien dire dans ce pays d’avatars. C’est pourquoi votre accusation de mysoginie apparaît singulièrement déplacée et faut-il le dire, peu pertinente. Pour le reste, reportez- vous à Rostand: «  mais, pleutre, /!Je n’admets pas que la France soit neutre! Maintenant, on peut toujours donner raison à de Gaulle en choisissant d’être des veaux. Mademoiselle Neuhoff a choisi ce brillant parti. Nous serions plutôt du genre d’ Artagnan, quitte à nous faire tuer sous les murs de Maastricht, le Montoire de cette génération. On a les préférences qu’on peut. Je me console en etant Très heureux de voir paraître une Vie de Du Guesclin par Frédéric Morvan. On a les symboles qu’on peur, et Charles le Sage, dont on n’imagine guère voir « Madame » Neuhoff parler, n’était pas non plus un petit compagnon. Comprenez que cette haine de la France par des Marie-Chantal écervelées et acculturées n’a pas lieu d’être tolérée ici tant que j’y serai. Il y a des limites à l’idiotie autoproclamée. Bien à vous. MC

bouguereau dit: à

devenue désormais un classique du genre, de Bernstein & Sondheim

bernstein avait l’air dun gars sympa mais dés que jentends sa musique j’ai l’impression d’être mitraillé de dgélati et de doneuts dans une étuve sur rolère costère..je suuupporte pas..c’est mon droa

bouguereau dit: à

Que cela soit signé Alexia Neuhoff ne veut rien dire dans ce pays d’avatars

meussieu courte est hune goudou qui vote mélanchon et préfère le dèce métal..c’est son droâ

bouguereau dit: à

On a les symboles qu’on peur

..chais pas pourquoi mais belle à peu prés..meussieu lbaron..jolie coup!..serviteur

bouguereau dit: à

meussieu courte a tout déchargé..les caisse de munitions sur la 4×4.. »on rentre à la base » qu’hil disait

Jazzi dit: à

« je suuupporte pas..c’est mon droa »

Tout à fait, le boug. C’est ce que pense aussi Renaud Camus, dont je lis le Journal de l’année 2020, durant laquelle il a failli mourir du covid. Lui aussi, il me fait beaucoup rire, mais dans le genre maurrasso-barrésien…

moralès sed laisse dit: à

On a les symboles qu’on peur

Courte ou le trouillomètre à Zorro! 😉

bouguereau dit: à

Lui aussi, il me fait beaucoup rire, mais dans le genre maurrasso-barrésien…

moi aussi il me fait rire baroz..et peut être que houelbec aussi s’il n’était point devenu ce cache misère de la litterature..en bourreau de niort il aurait fait excellente figure..

Marie Sasseur dit: à

A mon avis le lourdaud, tout harnaché de son zemourisme viril, a mis une déculottée au trans du blog.

rose dit: à

All right every night baby.

I’ll be all rights all saturday night

Jean Langoncet dit: à

Incidemment, quelqu’un ici pourrait-il communiquer l’adresse mail de Mr. Synthétique ? Il paraît qu’à elle seule elle fait date et donne la dimension historique du bonhomme ; dans le fourre-tout de nos échanges ici, je ne la retrouve pas. A tout hasard, je vais regarder chez Paul Edel, mais comme il vient de changer d’adresse, je crains de faire chou blanc

rose dit: à

aux wokisme qui dénonce à juste titre les intolérables discriminations fiscales entre inhumés et incinérés.

Quid Jean Langoncet ?

Jean Langoncet dit: à

@Quid Jean Langoncet ?

Du nouveau sur youtube : Keith Richards starts playing It’s Only Rock ‘n Roll, while Mick Jagger starts singing Satisfaction

rose dit: à

Maryse Wolinski nous a quittés.
RIP

rose dit: à

J.B Jazzi

Moi aussi je suis totalement d’accord avec vous. Sur la part 2. Parce que la 1, j’ai jamais lu sa poésie.

MC dit: à

Mon adresse.,Jean Langoncet comporte en effet une date. Mais c’est parce s »qu ´un homonyme avait déjà pris l’option plus simple nom, prénom, messagerie, que j’aurais prise autrement.. Pour le reste, le choix de cette date , autrefois enseignée en primaire,ne regarde que moi . C’est d’ailleurs une date d’espoir et je n’ai pas été sans travailler sur cette période et ce personnage. Cordialement MC

rose dit: à

Les porto-ricains. Les cubains. Les mexicains, les colombiens in américan Dream.

Jean Langoncet dit: à

Puisqu’elle ne regarde que vous, basta cosi qu’elle dit Marianne à ce félon d’anglois échoué à Rungis sur un lit d’algues vertes (vendues au prix de la salicorne)

rose dit: à

Sagrada familia + équipe hautement qualifiée du Berry (!!!), combo gagnant.
Même si pas vue depuis 3 ou plus ans, ai trouvé qu’elle avançait vite.
Historiens de l’art un boulot génial pour vous.

Bloom dit: à

Ce mouvement migratoire singulier situé et daté in America ne fait-il pas résonance pour toi aux problèmes actuels concernant l’ « identité française » ?

Baroz, la première chose qu’on apprend quand on s’embarque dans des études de langue, littérature et civilisation étrangère, c’est que l’objet d’étude est radicalement différent de ce que tu connais. On apprend à ré-apprednre le monde, on apprend que la paresse intellectuelle qui consiste à dire ‘c’est un peu comme chez nous le, etc.’ ne tient pas une seconde, et que si la comparaison est utile, elle ne vaut pas équivalence.
L’empathie, la reconnaissance de la spécificité de l’Autre fait partie de l’éducation du cosmopolite.
Et quand on étudie ou travaille à l’étranger, c’est encore plus prégant au quotidien.
Il n’y a RIEN de commun entre un pays du vieux continent comme la France et un pays bâti sur l’immigration massive comme les USA.
Maitriser une langue étrangère, c’est maitriser les différences avec sa propre langue – on a (1) ‘LE sens de l’humour’ en français, ‘A sense of humour’ en anglais). Idem pour la culture et la civilisation. Le travail d’une vie.

Jibé, je ne sais pas si vous en avez fait l’expérience, mais en Irlande du Nord, à l’époque où fumer une clope n’était pas un crime contre l’humanité, quand ils prenaient une cigarette de leur paquet (Silk Cut, souvent), les gens en sortaient toujours trois ou quatre, qu’ils offraient en éventail autour d’eux.
Ce geste reste pour moi le marqueur/symbole d’une spécifité culturelle profonde.

Non, tout ne se vaut pas est n’est pas réductible à l’être-au-monde hexagonal. Le « modèle » français d’intégration est le contraire du multiculturalisme anglo-saxon, basé sur la coexistence de communautés fermées, étanches.

(1)
« LE » sens de l’humour = il n’y aurait qu’un type d’humour
« A » sense of humour = un parmi plusieurs…

Bloom dit: à

Intéressant, renato. Avec cette différence qu’à Belfast, la main s’empare de trois cigarettes et les offre directement.

Marie Sasseur dit: à

Hier soir, on a assisté à un grand moment de télé, qui n’est pas celle de Bolloré.
Le candidat fasciste a la présidence de la République française à vite montré ses obsessions et ses fantasmes, affublé pour l’occasion d’une paire de lunettes qui lui ont posé un problème toute la soirée. Et n’ont résolu en rien sa vision fantasmée, négationniste et haineuse des français, prestation d’un mauvais journaliste.

Après une leçon de dignité, et de vérité, que lui a infligé un ministre de l’économie en exercice, a surgi flamboyante, la reine des Aures, la Kahina de Marseille, ancienne sénatrice, adjointe au maire de Marseille.
Alors qu’elle lui rappelait leurs origines communes, le candidat fasciste s’est brusquement tassé, se faisant tout p’tit devant une poupée, lol.
Du discours de haine du candidat fasciste à la présidence de la République française, Madame Ghali a dit la violence, et la guerre civile dans laquelle il veut conduire la France, lui conseillant enfin de changer de nom de famille, qui en berbère veut dire olivier.
Elle a fait un éloge du cosmopolitisme, républicain, face à un aboyeur de tribune national nationaliste.

Vive les Marseillais, vive la République.

renato dit: à

Dans le geste continental, bloom, il y a l’idée qu’on ne touche pas une chose que l’autre porte à la bouche — ce qui ne vaut pas pour le joint ! — ; avec un jeu de main celui qui offrait arriver à ‘présenter’ 3 ou 4 cigarettes.

renato dit: à

arriver > arrivAIT !

Marie Sasseur dit: à

> a vite montré
>qui lui a posé
>que lui a infligée

Jazzi dit: à

« Le « modèle » français d’intégration est le contraire du multiculturalisme anglo-saxon, basé sur la coexistence de communautés fermées, étanches. »

Le phénomène de ghettoïsation est intemporel et universel, Bloom.

Phil dit: à

Baroz, la première chose qu’on apprend

comme vous y allez, dear Bloom..did you know.. »West side story » fait aujourd’hui bonne figure dans les colloques filmiques lgbtpédés, ce qui ne déplairait à Bernstein. La rivalité des races n’est pas moins actuelle, malgré la chorégraphie.

Alexia Neuhoff dit: à

Voilà que Court se rêve en grand épurateur et menace de me tondre pour « intelligence » avec l’ennemi de la France, à l’horizontale, au niveau vaginal, évidemment, comment pourrait-il en être autrement ? Hier c’était la Bastille de Richelieu, aujourd’hui le gibet de Montfaucon du bon Charles le Sage : « hanged, drawn and quartered ». C’est plus drôle que les « petits papiers » du sieur Drillon.

Janssen J-J dit: à

je me souviens d’un collègue sociologue français (Didier Lapeyronnie) récemment disparu qui avait fait un sort positif à la notion (terme et métaphore) importée en France de « ghetto » et « ghettoisation » urbaines, en prenant ses distances explicites avec son collègue (Loïc Wacquant) qui, lui, en avait récusé la pertinence quelques années auparavant…
https://journals.openedition.org/lectures/5542
Bien entendu, les anglophiles peuvent ignorer les apports de ces travaux dans leurs éloges du cosmopolitisme vu par des lunettes irlandaises, mais leurs arguments d’autorité et exemples à la cléme paraissent toujours un peu suspectes… A l’évidence les gens qui ne doutent pas de leurs certitudes et les assènent savent bien qu’ils n’ont pas toujours les cuisses propres…
C’est sans doute le cas de Marc C… – « reportez- vous à Rostandb: « mais, pleutre, /!Je n’admets pas que la France soit neutre ! » – Il se trouve que ce tragédien comique n’a jamais trop été ma tasse de thé, pour le coup… Et de l’invoquer comme argument massue devant Georges, chantre du bleu blanc rouge au clocher de nos églises, l’aurait fait rigolé avec son copain Chanteclair.
Bien à vous,

Jazzi dit: à

Bloom bouste mon site, Phil.
Depuis, les visites montent en flèche…
Qu’il en soit remercié !

Jazzi dit: à

Booste, sorry…

Jibé dit: à

(…) » On apprend à ré-apprendre le monde, » dit Bloom, et c’est exactement ce que à quoi toute réflexion ou étude conduit. On apprend qu’on ne sait rien et qu’il est très difficile de maîtriser la complexité des langues, des cultures, des histoires et des ressentis. Raison pour laquelle tout esprit capable de donner une clef de lecture est bienvenu -qu’il soit linguiste, ethnologues, géographe, historien, médecin, physicien… et d’autant plus s’il est possible de faire la synthèse de tout ça pour se sentir moins aveugle. Pourquoi? Juste parce qu’il est passionnant d’apprendre et de ré-apprendre, de voir avec un autre regard et de toujours recommencer. Passionnant, autrement dit vivant, vitalisant, rien que ça, un plaisir.
Yes Bloom, je me souviens de gestes comme ça. Vu aussi en Ecosse comme un « allant de soi ». De même le « slainte » du type seul au bar, qui s’adresse à toute la salle parce qu’on n’y boit jamais tout seul. Ouaip, ça en dit long sur une culture.

Phil dit: à

Bloom booster..bientôt l’immunité, dear Baroz

Jibé dit: à

Une chose positive dans le « multicuturalisme » anglo-saxon, c’est la coexistence tout à fait banale des costumes de chacun. A Londres, que le chauffeur de bus porte un turban ne gêne personne, ni que tel barbu porte un sarouel. Du coup, l’oeil de chacun s’habitue à l’autre au lieu de s’effarer au moindre voile. Je ne suis pas, en France, favorable au voile parce que, en France, il signifie une posture anti-laïque, le plus souvent, de même que le sarouel -mais cette attitude de rejet est invraisemblable pour un Brit qui ne conçoit pas ces signes comme « identitaires ».

Jazzi dit: à

« On apprend qu’on ne sait rien et qu’il est très difficile de maîtriser la complexité des langues, des cultures, des histoires et des ressentis. »

Oui, Jibé. Et on commence par éviter dans toute tentative de dialogue de traiter l’autre de paresseux ou d’ignorant…

Jazzi dit: à

Mais ce qui est surtout universel dans l’opéra musical « West side story », c’est le message d’amour, de cohabitation et de pacification entre les diverses communautés, porté essentiellement par les femmes du film.
Un peu comme les mères des quartiers nord de Marseille…
Il y a en effet un personnage transsexuel portoricain, une fille qui veut absolument qu’on la considère comme un garçon et qu’on l’intègre dans la bande, auquel les LGTB sont très sensibles, Phil.

Jazzi dit: à

« le message d’amour, de cohabitation et de pacification entre les diverses communautés, porté essentiellement par les femmes du film. »

Le contraire du message « viriliste » de Zemmour, appelant à la haine et à la guerre civile…

D. dit: à

Je l’ai trouvé bien, moi, Zemmour. Et ses lunettes lui vont bien. Lemaire semblait très embarrassé et en difficulté.

bouguereau dit: à

porté essentiellement par les femmes du film

portée..en france oui..en amérique mon cul..ça se saurait..c’est ça lexogamie mes ptits chéris

bouguereau dit: à

A Londres, que le chauffeur de bus porte un turban ne gêne personne, ni que tel barbu porte un sarouel. Du coup, l’oeil de chacun s’habitue à l’autre au lieu de s’effarer au moindre voile

jambon..dans les années 90 la bibici passait des prèches de molat dans les rues avec le sosutitre qui va bien et des regards amusés de concombre marmite cool qui va bien..j’ai même entendu que c’était les français qui avaient des problèmes colonialiste..halors sil te plait camembert..camembert avec tes infos guardian de merde

bouguereau dit: à

menace de me tondre pour « intelligence » avec l’ennemi de la France, à l’horizontale, au niveau vaginal

..le hairy c’est la lutte phinale alesquia..

D. dit: à

Bruno Lemaire.

Après avoir effectué ses classes préparatoires littéraires au lycée Louis-le-Grand[1], il intègre l’École normale supérieure (ENS) en 1989 (section lettres)[2]. Il obtient une licence d’allemand en 1990[3], puis une maîtrise de lettres à l’université Paris-IV en 1991 (avec un mémoire intitulé « La statuaire dans À la recherche du temps perdu », sous la direction de Jean-Yves Tadié)[N 3].

En 1992, il est reçu premier de l’agrégation de lettres
modernes et enseigne durant deux ans[3]. Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris en 1993 (section Service public)[4], il intègre l’École nationale d’administration (ENA) au sein de la promotion Valmy (1996-1998) d’où il sort classé 20e[5].

bouguereau dit: à

Yes Bloom, je me souviens de gestes comme ça. Vu aussi en Ecosse comme un « allant de soi ».

des archiconrie..en bédeandbréqufast sont comme les autres..surtout la vie au pai de ma jeunesse..et quant aux clopes..mon pauvre ami..c’est le trope de tous les toxico..le générosité..où que ça va se placer..c’est terribe la singrie du partage et du bien

et alii dit: à

La haine, la haine solide désuppose toute union, au contraire, elle ne se supporte pas de l’illusion du rapport, sinon qu’elle sait qu’elle doit se soutenir seule au delà de l’objet afin de ne pas tomber sur le vide de sa croyance. Elle s’attaque donc au réel de l’être, à son existence tout comme le concierge de la rue de la pompe dans la petite histoire que Lacan nous conte : « Ce n’est pas pour rien qu’on a choisi le rat. C’est parce que l’on peut en faire facilement une unité – le rat ça se rature. J’avais déjà vu ça dans un temps où j’avais un concierge, quand j’habitais rue de la pompe – le rat il ne le ratait jamais. Il avait pour le rat une haine égale à l’être du rat »32. Là où l’amour rêve de continuer le rapport à l’autre, la haine n’en veut aucun, si elle le reconnaît, au contraire elle le voit comme supplétif. Elle

« déshabille » l’autre, ses idéaux, ses sentiments, elle reconnaît l’unarité de l’autre, elle le fait bien plus consister, ce qui en fait le « seul sentiment lucide »33. Elle s’attache/s’attaque au un, à l’être de jouissance, là où l’amour lui se réfère du manque à être. C’est ainsi que Lacan conclut : « La haine, est bien ce qui s’approche le plus de l’être, que j’appelle l’ex-sister. Rien ne concentre plus de haine que ce dire où se situe l’ex-sistence. » 3
https://www.leparidelacan.fr/les-banalites-de-la-haine/

bouguereau dit: à

L’empathie, la reconnaissance de la spécificité de l’Autre fait partie de l’éducation du cosmopolite.

« du »..outre que supposer qu’il exista est une supercherie..un mensonge de marketting..pour ceux qui ont pu leur ressembler ton autre avec un a majuscule est une vaticanerie..décidément t’as un fort désir de mitre kabloom..c’est ton droit..mais fait simple

Phil dit: à

le message d’amour, de cohabitation

Pas trop d’emballement, dear Baroz, gare à l’uchronie. La rainbow Joséphine collait des beignes à ses négrillons quand c’était nécessaire et son premier husband, monsieur Lyon, a bien su conseiller dans l’affaire de la ceinture à bananes qui rapportait du cash.

bouguereau dit: à

l’Autre

tout le monde sait que c’est une cleptomanie lexical..le dire en temps aurait été malséant..le dire haprés c’est demander des dommages et des rétrocessions..demandez à zemmour

et alii dit: à

Chacun cherche « une différence absolue » comme le précise Lacan, ou les petites différences selon Freud38, petites différences qui activent les haines fraternelles dans les familles, dans les villages et dans les peuples, un trait unaire d’exclusion de l’autre qui se substitue sinon qui émerge d’un autre trait d’identification qui prend sa source dans la fratrie. Il s’agit de trouver le détail qui nomme l’autre et lui donne une valeur d’étrangeté irréductible, Si nous avons tous « une énergie de haine disponible » dont la particularité est l’hétérogénéité, il ne semble pas étonnant qu’il suffise d’un signe pour rallier des individus aux motivations multiples dans une « cause » commune, support de tous les fantasmes individuels au nom de l’idéal du moi. Cette nomination du trait unaire39 sur le registre symbolique, dans l’aliénation du sujet au langage, permet au sujet de manipuler de l’Autre afin de répondre d’une image en conformité avec l’idéal du moi. Au jeu des signifiants, des représentations inconscientes, d’un signifiant pour un autre, il n’y a plus qu’à viser juste. L’autre est différent : il a un plus. L’autre, jusque dans son appropriation de la langue, signe son être. Finalement, dans le miroir qu’il nous présente, c’est toujours de la présence de l’autre en soi dont il s’agit, de notre part étrangère qui vient défaire à chaque fois l’unité de soi dont aveuglément nous nions la division. »40. La banalité de la haine rejoint la banalité du mal41. Il en faut finalement peu pour que la haine jalouse, l’envie glisse vers la haine de l’être qui, déshumanisante, détruit toute lettre, toute trace menant au signifiant afin de radier l’autre de l’ordre symbolique.

bouguereau dit: à

Joséphine collait des beignes à ses négrillons

à ses larbins dirfilou..ça suffit largement

bouguereau dit: à

comme le clinamène du portuguais a baiser avec la négresse au portugal où elles etaient nombreuse a la différence de la france par exemple..a éteint le sujet..et c’est pas de la bonté et du souci de l’autre..c’est du pure boulot de léducation jésuite qu’il dirait rénateau

Phil dit: à

..ça suffit largement

interrogez le fils adoptif, dear Bougreau, celui qui écrit

bouguereau dit: à

les américains ont un passifs qui nous est trés difficile à consommer dirfilou..spike lee a terriblement critiqué tarentino pour ses sempiternels « nigroz » de rital juif de merde de ses premiers films..disant que c’était une appelation délimité entre « bro »..et c’est qu’un aperçu..nous qu’on a pas connu le snuff nazi..on respire l’air de la mer

Bloom dit: à

Le phénomène de ghettoïsation est intemporel et universel, Bloom.

A moins de donner une description précise de son « économie », de Nairobi à Dhaka en passant par Tokyo et Montevideo, c’est du blabla, comme dirait Leon Wirth.
Kushner et Spielberg savent ce que signifie le terme « ghetto », débarassé de sa gangue métaphorique.

Tu utiliserais mes commentaires pour nourrir ta vanité, Baroz? Sans même avoir la décence de me demander l’autorisation? En t’en vantant, en plus?
J’y crois pas!
C’est légal ça?

JiCé..... dit: à

VENDREDI 10 DECEMBRE 2021, 12h11, 12°, mistral soutenu

On a beaucoup perdu de fraicheur, ici bas ! Bref on s’emmerde chez Passou. Pas grave, c’est partout le cas…

Bloom dit: à

Nosferatu avec des lunettes (mal ajustées, qu’il ne cesse de rehausser): « C’est pour mieux voir ta jugulaire, mon enfant, hi heil, hi heil, hi heil…

Janssen J-J dit: à

@ En 1992, il est reçu premier de l’agrégation de lettres
mais bon dieu mais c bin sûr, c à cause de lui que ma soeur a été recalée, alors qu’elle aurait dû l’emporter… pas d’chance, pleura-t-elle, toujours dépitée de colère, à l’époque les jurys étaient encore misogystes grave…, et pas qu’1 peu…, keupeu-deukeu !
pro MH /// 7 + 2 = 9
anti MH /// 3

bouguereau dit: à

« fais comme chte dis pas comme euchjfais »..c’est le princèpe précèpe du de larchipolite immanquabe qui fait que jme retrouve cul nu dans la sacristie qu’elle dirait bonne clopine..t’as pensé à payer les droits d’auteur kabloom qu’il dirait baroz

bouguereau dit: à

Bref on s’emmerde chez Passou. Pas grave, c’est partout le cas…

faut manger du riz des pates et beaucoup dfibres qu’il dirait dédé

J J-J dit: à

sur ce coup-là, reconnaissons-le :
bloom +1
jzmnn – 1
… pas très grave…, restons ferplés avec les ghettos, les ga-gars !…

bouguereau dit: à

A moins de donner une description précise de son « économie », de Nairobi à Dhaka en passant par Tokyo et Montevideo, c’est du blabla, comme dirait Leon Wirth.
Kushner et Spielberg savent ce que signifie le terme « ghetto », débarassé de sa gangue métaphorique.

ya blabla et blah blah qu’il dirait pierre dac

Bloom dit: à

Yes Bloom, je me souviens de gestes comme ça. Vu aussi en Ecosse comme un « allant de soi ».

jibé, il me semble que dans « Mon traitre », Sorj y fait allusion; son personnage de luthier violoneux y voit un symbole de fraternité intra-communautaire, si je me souviens bien. Je vais retrouver le passage…

bouguereau dit: à

sur ce coup-là, reconnaissons-le :
bloom +1
jzmnn – 1

aux chiottes l’arbitre

bouguereau dit: à

« C’est pour mieux voir ta jugulaire, mon enfant, hi heil, hi heil, hi heil…

attation kabloom..un juif n’est -jamais- nazi..c’est dans ses gènes jehoviques..tes propres mots..

lmd dit: à

La seule vile que je connais intimement est Marseille ; je sais comment entrer dans un café selon le quartier, demander le journal, sans passer pour un intrus ; je perçois qui n’a pas ces usages très fins et qui cependant n’écartent personne. L’urbanité invisible.
Je sais pourtant que parmi ces passants, certains, par millions, remontés à bloc, chargés d’aigreur, vont voter Zemmour ou Le Pen.
Je pourrais tout à fait lire leurs commentaires stupides ou terrifiant dans l’espace ad hoc du Figaro.

Phil dit: à

Tout ça manque un peu de littérature. Un jour à lire le Sabbat de Sachs, Maurice, pas de Saxe, du sexe.

Janssen J-J dit: à

c la gde forme, jmb, depuis quelque temps que vous êtes desenkysté d’lévinasses… et des godes à Michée. Je savais que ç’arriverait un jour, ai tjs gardé bon espoir… bravo !… Z’ête un bon supportère des Bleus qui les rejoint plus volontiers,… mais qui continue à réfléchir tout seul, comme un beau rugbyman hors de la mêslée…
Bàv et aussi à pauvre puckt… qu’arrive pas à être à-ttandri !… (a fait son temps icite avec ma soeur, p’têt bin ?…)

Janssen J-J dit: à

Littérature du jour, dirfile ? pmp…, je vous recommanderais plutôt les deux tomes d’Aventure de Catherine Crachat (P-J J)… C’est bcp mieux que les Décombres (LR) ou le Sabbat (MS)… Mais bien moins que le Mont Analogue (RD), j’dis pas…, là.

bouguereau dit: à

c la gde forme, jmb

y’a le cosmopolite mais le soleil ne brille pas partout comme il devrait..c’est l’effet du climat de montesquieu..je sais un petit peu ce que sont les « courts jours » et je pense aux dérivatifs des écossiens et des hambourgeois..dla wurst et du conditionnement mental tiède et sans mousse..et de ces sorties dans les grines en bord de mer a rater tous les trous qu’elle dirait bonne clopine..ce qui compte c’est de participer qui dit larbitre

Janssen J-J dit: à

merci mimi de nous proposer chaque jour ces merveilleuses toiles émeri de paul klee qui fascinent tant nos perceptions visuelles.
Sinon, vous pouvez aussi aller sur ce site qui donne à voir tous les jours de nouvelles klées de lecture inégales du monde, mais peut-être un peu moins convenues
https://www.thisiscolossal.com/
Bàv

Jazzi dit: à

Le léZard vous invite à venir voir et écouter les travelos du bois de Boulogne. Une belle leçon de dignité…

D. dit: à

Moi qui n’ai plus aucun amis, peut-être en trouverais-je là-bas ? Je me tâte.

et alii dit: à

une année, des collègues de mon père qui les avait sortis demandèrent à ce qu’on emmène leurs femmes au LIDO , ce que nos fîmes en leur parlant en anglais;après, mon mon ex-mari proposa de les inviter dans un grand café ;nous y allâmes et l’une des dames s’exclama : »typically french »;je ne sais plus de quoi il s’agissait mais nous retinmes nos rires mon ex mari et moi,et typically french fonctionna entre nous comme un mot de passe;
bonne journée

et alii dit: à

nous fîmes

et alii dit: à

je connais une jeune femme canadienne dont le premier enfant a pour père un chinois de leur ville:MONTREAL.
LA maman de cette femme a épousé en secondes noces un français

et alii dit: à

lido:
La troupe des Bluebell Girls a été créée par Margaret Kelly, danseuse islandaise, dès 1932. Leur nom vient du surnom de leur créatrice, « Miss Bluebell », qui lui avait été donné en raison de ses yeux bleu jacinthe. Au départ, la troupe se produit aux Folies Bergères, où fait carrière Margaret Kelly. Les filles de la troupe déménagent au Lido après la Seconde Guerre mondiale, où elles deviennent rapidement les vedettes du spectacle. Il faut dire que leur créatrice s’est associée à Donn Arden, chorégraphe et producteur américain. Ensemble, ils monteront un show moderne et ultra-rythmé, où se mêlent mouvements, musiques et couleurs. Les danseuses, quant à elles, sont plus grandes (la taille minimum requise est d’1,75 m) et plus belles que les autres. Elles portent aussi des talons vertigineux.

Les Bluebell Girls, de Paris à Vegas
la troupe. Cette dernière continue de se produire à Paris tout en se déployant à travers le monde, notamment à Las Vegas où elle rencontre un immense succès dans les années 70 avec deux revues : Hallelujah Hollywood et Jubilee.

Margaret Kelly prend sa retraite en 1984 et le Lido rachète la marque Bluebell Girls. Le cabaret en est toujours propriétaire. Au fil des années, les shows ont continué d’attirer les spectateurs du monde entier et de refléter une image libre et éblouissante de la Parisienne, à travers la mise en scène de Franco Dragone, à qui l’on doit notamment les shows de Céline Dion à Vegas et les spectacles du Cirque du Soleil. Paris serait-il toujours Paris sans les Bluebell Girls ?

puck dit: à

D. dit: à

Moi qui n’ai plus aucun amis, peut-être en trouverais-je là-bas ? Je me tâte.
 »

pourquoi donc D. aller là-bas alors que tu as un bon ami.

tu sais, moi aussi, avant, je pensais ne pas avoir d’amis et d’aller là-bas pour en trouver, mais la vie a fait que je t’ai croisé par hasard, si tu me demandes pourquoi je te dirai c’est parce que c’était toi et que c’était moi…

Tu sais D. au demeurant, ce que nous appelons ordinairement amis et amitiés, ne sont qu’accointances et familiarités nouées par quelque occasion ou commodité par le moyen de laquelle nos âmes s’entretiennent. En l’amitié de quoi je parle, elles se mêlent et se confondent l’une en l’autre, d’un mélange si universel qu’elles s’effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes…

pour le dire avec tes mots à toi c’est un peu comme les oeufs quand tu fais une omelette, une fois battus tu vois plus la couture qui les a joints.

tiens en parlant de joint je vais m’en rouler un…

Alexia Neuhoff dit: à

« créée par Margaret Kelly, danseuse islandaise »

Native de Dublin. Pas de glace dans le ouiskê, plize.

et alii dit: à

Il y a, dans l’histoire de ce restaurateur heureux, un reflet de Toronto, la cité la plus cosmopolite du monde.

Plus de la moitié des 5,5 millions d’habitants sont nés à l’étranger.

Un sur deux fait partie des « minorités visibles », expression désignant ceux dont la peau n’est pas blanche. Et, aux urgences, on répond au téléphone en 150 langues. parisien

puck dit: à

Bàv et aussi à pauvre puckt… qu’arrive pas à être à-ttandri !… (a fait son temps icite avec ma soeur, p’têt bin ?…)
 »

alors là je suis désolé, mais je dit non ! je m’élève, je proteste, je m’indigne, je m’offusque !

plus attendri que moi tu meurs !

moi je suis sensible comme un veau, une petite âme fragile qui vacille comme la flamme d’une bougie sur un chandelier un jour de Hannouka quand on ouvre la fenêtre et qu’elle se retrouve, pauvre petite flamme, prise au milieu d’un je sais pas quoi…

en plus de m’attendrir je suis un hyper cosmopolite ! déjà tout petit on m’appelait un citoyen du monde, la maitresse à l’école disait : hé toi le citoyen du monde au tableau !

Bloom dit: à

.un juif n’est -jamais- nazi..

Naze, ce n’est pas rare, le boug; et comme l’écrit le Haaretz à propos de nosferatu, ‘un juif n’est pas toujours bon pour les autres juifs’, ce que l’on sait depuis Jabotinsky & ses héritiers…

puck dit: à

3j en plus je vais vous dire : j’ai été le premier sur le blogassou, bien avant vous ! à dire que greubou il avait une attachante singularité !

dès que j’ai lu son premier commentaire c’est le premier truc que je me suis dit : wow quelle attachante singularité que voilà !

même quand il a dit que terezoune elle planquait sa clé usb dans le fion j’ai trouvé ça hyper attachant comme remarque.

Jazzi dit: à

« La troupe des Bluebell Girls a été créée par Margaret Kelly, danseuse islandaise, dès 1932. Leur nom vient du surnom de leur créatrice, « Miss Bluebell » »

Je n’ai pas oublié de mentionner sa tombe, parmi les célébrité inhumées au cimetière de Montmartre, et alii.

Jazzi dit: à

célébritéS

puck dit: à

un juif n’est -jamais- nazi.
 »

ça c’est encore des trucs d’antisémites d’imaginer que les juifs c’est pas des gens comme les autres même qu’ils ont tous le nez crochu et des grandes oreilles.

Mimi Pinson dit: à

toiles émeri de paul klee

Vous savez bien 3J, que la peinture sur papier de verre ça existe, sur de la toile émeri aussi! 😉
Je vous laisse fouiner par vous même, vous aimez ça.
(J’ai trouvé en brocante la Mademoiselle Mimi Pinson d’Alfred de Musset accouplée à l’ Histoire d’un Merle Blanc, du Le Secret de Javotte ainsi que de La Mouche. J’y revendrai.)

puck dit: à

« Je vous laisse fouiner par vous même, vous aimez ça. »

c’est vrai que 3j il adore fouiner, en plus il a vachement du flair.

et alii dit: à

Il y a toutefois une version optimiste au paradigme grantien, c’est
celle du Canada comme société postmoderne, cosmopolite, la première société cosmopolite du monde. En référence au rôle international du Canada, le chanteur rock Bono, l’une de ces stars mondialisées
qui défend à l’échelle planétaire l’aide humanitaire contre la cupidité
des États riches du Nord, invité au congrès du Parti libéral qui devait
consacrer Paul Martin chef du Parti, disait : « The Canadian voice is
hard-wired in my heart. I’m a fan because a certain kind of idealism
lives and still seems to be alive in this country. You’re not an insular
place. You’ve always looked outside yourself, beyond the line of the
horizon, you’re not so self-obsessed […] I believe the world needs
more Canada » (Bono 2003).
Cette idée exprimée ici par Bono d’un Canada ouvert sur le
monde, véritable réalité postnationale, est fort répandue à l’étranger comme au Canada. L’éminent sociologue anglais, penseur de la
troisième voie de Tony Blair, Anthony Giddens, avait en 1993 déjà
Le Canada est-il vraiment une société cosmopolite ? 163
défini le Canada comme « the first post-modern state », ce qui était
une reprise de l’affirmation du spécialiste germano-américain de
l’économie mondialisée, Peter Katzenstein, pour qui le Canada est
« arguably the first post-modern state par excellence » (McRoberts
2001, p. 700). Idée qui circule aussi dans les milieux littéraires et
in
Le Canada est-il vraiment
une société cosmopolite ?
Université Carleton (Ontario),
le 26 mai 2009
Organisé en partenariat avec la Fédération canadienne
des sciences humaines et du Congrès 2009

puck dit: à

Je n’ai pas oublié de mentionner sa tombe, parmi les célébrité inhumées au cimetière de Montmartre
 »

fait gaffe que Stephane Bern il te pique pas tes trouvailles pour sa prochaine émission sur les grands cimetières parisiens.

tu sais quoi Jazzi : je serais producteur tv je te refilerai une émission pour toi tout seul, genre « des racines et des ailes de poulet ».

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