En nageant en écrivant
De même que souffler n’est pas jouer, se baigner et nager sont deux choses différentes, tout de même ! A l’approche des grandes vacances, il faudrait voir à ne pas confondre même si l’exquise couverture du petit album de Paul Morand Bains de mer, bains de rêve y invitait en 1960. Deux récents livres, plus sérieusement natatoires que ce bel éloge du farniente flottant, se font justement l’écho du souci de bien nager. Et je dois l’avouer, depuis trois mois que je rencontre des lecteurs dans des librairies un peu partout en France et au-delà, je suis frappé par le nombre de gens qui disent leur nécessité vitale de nager, de celles qui transportent de l’ivresse électrique au nirvana, quand tant d’autres ne pensent qu’à courir. Que ce soit dans une piscine pour aligner les longueurs encadrées par deux lignes balisées, dans un lac, dans un fleuve ou à la mer, ils confessent un même désir fusionnel avec l’eau. Et il ne faut pas beaucoup les pousser pour qu’ils se disent victimes consentantes d’une forme d’addiction.
De Chantal Thomas, outre ses travaux d’historienne sur Sade, Casanova ou Marie-Antoinette, les amateurs ont déjà pu se délecter de Souvenirs de la marée basse (2017) et de Journal de nage (2022). Deux livres étincelants placés, surtout le premier, sous le signe d’une mère indépendante, insoumise à la forte personnalité, qui s’affirmait en pratiquant une nage libératrice. Elle-même nageuse croyante et pratiquante, longtemps attachée au bassin d’Arcachon avant de se prendre de passion pour l’eau niçoise dans laquelle elle s’immerge à partir d’une petite plage entre les rochers, Chantal Thomas nous revient et elle y revient avec L’étreinte de l’eau sous forme d’entretiens avec Fabrice Lardreau (13 euros, 171 pages, Arthaud)
Elle va jusqu’à lui accorder des qualités morales au motif que, contrairement à la forêt ou à la montagne, éléments naturels plus effrayants qu’envoûtants pour ceux qui la connaissent mal, l’eau serait bonne, bienveillante, protectrice. Même l’océan lui parait sans danger. Comme si l’eau était dotée d’une pureté naturelle. Il est vrai qu’on l’approche dans un absolu dépouillement, ou quasi (autrefois en Angleterre, on nageait nus), alors que la montagne exige un équipement.
« Quand on nage, on tourne le dos au poids de la terre. Même si l’on peut nager le long du rivage, il y a toujours un moment où on lui tourne le dos, physiquement ou symboliquement… L’esprit même de la nage, pour moi, est de se détourner de la pesanteur matérielle, des soucis, des obstacles, des empêchements ».
Ce qui n’empêche pas d’autres de sérieusement gamberger lorsqu’ils s’agit de tromper l’ennui de l’entrainement et des longueurs sans cesse recommencer -à condition toutefois de ne pas écouter de la musique. Une jolie manière de dire que le nageur échappe à la gravité terrestre- mais pas seulement. Elle veut voir dans la femme qui nage, comme dans celle qui marche ou celle qui court, une femme qui fait voler en éclats l’assignation au foyer, celle qui se passe de toute évaluation du père ou du mari, celle qui s’épanouit loin de tout regard extérieur. Ainsi se sont-elles réapproprié leur corps. Cela dit, elle avoue sans mal préférer la nage très libre en mer à la natation assez sportive dans une piscine. A croire que le goût de l’eau, cette saveur si particulière plus ou moins salée, l’immersion dans les sensations du moment, s’accommodent mal des rigueurs de l’entrainement, son autodiscipline, ses chronométrages, ses performances. A Nice, lorsqu’elle nage en longeant la promenade des Anglais, sa situation lui autorise un autre regard sur le réel ; une manière d’être dans la ville sans y être ; ce qu’on appelle adopter le point de vue de l’eau.
On s’en doute, il n’est guère question de technique dans la conversation de Chantal Thomas, si agréablement légère. Tout pour l’esprit, le ressenti, la sensibilité, l’ineffable de la nageuse. Tout l’inverse de L’art de nager le crawl (Swimming The American Crawl, traduit de l’anglais par Michel Vaucaire, 165 pages, 19 euros, Séguier) de Johnny Weissmuller (1904-1984) paru pour la première fois en 1930. Parfaitement, « le » Johnny qui affola les bassins dans l’entre-deux-guerres avant de pousser son cri de Tarzan (en réalité, l’enregistrement d’un yodel autrichien monté à l’envers et en accéléré) dans la jungle hollywoodienne. Car on l’oublie, dans sa première vie, il fut un grand champion de natation américain. Son palmarès est éloquent : un record du monde au 100 mètres nage libre inégalé pendant dix-sept ans, une pluie de médailles aux JO de Paris en 1924 et à ceux d’Amsterdam quatre ans plus tard, cinquante-deux titres de champion des USA, vingt-huit record du monde etc Et dire qu’on lui avait conseillé de se mettre à la natation quand il était adolescent afin de vaincre sa poliomyélite !
Son traité, appelons-le ainsi, est aussi argumenté que les évocations aquatiques de Chantal Thomas sont poétiques. Dans les deux il est question de style mais ce n’est pas le même. Johnny, 85 kgs pour 1,89 mètres, 44 de pointure et 9 pour les gants, une silhouette serpentine et longue favorable à la glisse, n’a d’autre ambition que d’exposer sa méthode. Son entraineur, le légendaire William Bachrach qui l’a pris en main à 15 ans en 1920 à l’Illinois Athletic Club, n’y est pas étranger. Son nom est le mot le plus récurrent du livre avec « hydroplane ».
Que conseille Johnny ? En vrac : ne pas regarder ses rivaux, bien fléchir le coude à l’attaque afin de conserver sa souplesse initiale au bras lequel assure l’essentiel de la propulsion, s’autoriser un certain lâcher-prise, battre des jambes en partant des hanches et non des genoux, ne pas oublier que la natation donne faim, évitez les bassins munis de brise-vagues, se souvenir que l’eau est fuyante, garder à l’esprit que les acides étant les grands responsables de la fatigue il faut leur préférer les aliments alcalins, s’obséder de sa souplesse même lorsqu’on est au maximum de sa puissance etc
Après, faites comme vous voulez mais vous ne trouverez pas un entraineur pour vous conseiller de nager le crawl à la Johnny : tellement haut sur l’eau qu’il n’y plonge pas la tête. J’allais oublier ce qu’il dit aussi de la respiration : expirez sous l’eau par le nez, inspirez par la bouche hors de l’eau. Certes… Mais pour ça, je recommande plutôt un petit livre de Marielle Macé en pur espoir du souffle, essai sur nos asphyxies ordinaires et nos grands besoins d’air à paraitre à la rentrée, (120 pages, 8,50 euros, Verdier). Il s’intitule Respire et il fait du bien en ces temps pollués.
Cela dit, le meilleur passage de L’Art de nager le crawl est encore celui où Johnny avoue son impuissance à expliquer pourquoi la souplesse est le secret de l’art de se reposer en nageant. Il le dit d’une phrase qui pourrait résumer tout le livre, être l’alpha et l’oméga de son art poétique et, partant, de toute création littéraire :
« Il y a un véritable truc pour cela mais c’est difficile de le décrire sur le papier ».
(« Johnny Weissmuller du temps à la piscine Molitor où il fut brièvement maitre-nageur-sauveteur » photo D.R. ; « Leonor Fini dans les eaux vénitiennes » photo Henri Cartier-Bresson.)
1 170 Réponses pour En nageant en écrivant
un beau jeune homme en maillot, apparu soudain sur la chaine du lundi
https://fr.wikipedia.org/wiki/Interlocuteur#/media/Fichier:Carl_Bloch_Two_Wives.jpg
Il n’y a plus d’eau dans les douches.
https://www.herault-tribune.com/wp-content/uploads/2022/08/DouchePlage-770×430.jpg
Je me souviens (GP n° 213) que Patrolin m’avait récemment parlé d’un livre d’un certain Passouline évoquant la saga d’un nageur juif un brin oublié. Je m’empresse d’ajouer qu’énéfé, on ne devrait pas oublier cette maguistrale biographie, même si son nous aiguille sur l’insubmersible Chantal Thomas, future collègue des eaux troubles de l’Académie Française. Ne perdons pas le nord, voyons, avec Johnny Otsuka ou Julie Weissmuller !…
Quels bains rafraîchissants par l’étang qui court… – Bravo pour ce nouveau post du lundi !
même si son auteur nous aiguille (opus) – magui est magistrale (roups) – anéfé (psouf)
@ L’étreinte de l’eau sous forme d’entretiens avec Fabrice Lardreau (13 euros, 171 pages, Arthaud)
Voici le lien publicitaire oublié par notre hôte (sic) : https://www.arthaud.fr/letreinte-de-leau/9782080281623
Un oubli impardonnable, Passou !
https://www.mercuredefrance.fr/le-gout-de-la-nage/9782715260924
Une rebellion avortée, jzmn ?
Pourquoi impardonnable ? C’est juste de la modestie, voyons, Pierre et Chantal sont cités en bonne place… De Cortanze n’aurait pas commis cette erreur ? Pourquoi ainsi renvoyer les plats dans les ascenseurs, jzmn ?…
Steve McQueen, nageur naturiste !
https://www.facebook.com/photo/?fbid=666165478886600&set=a.460785342757949
Impardonnable pour un journaliste, du point de vue le l’information littéraire…
@ CT, Un nouvel article de sociologie politique susceptible de convertir la RDL à la macronie.
https://www.cairn.info/revue-politix-2022-4-page-21.htm
Johnny W., quelque temps plus tard, un brin usagé
https://www.facebook.com/photo/?fbid=666168362219645&set=a.460785342757949
« Le goût de la nage » eut-il été signé JB que Passou l’eut à coup sûr signalé!
Ceci dit, je déteste me baigner dans la mer ou en piscine et je déteste courir à transpirer comme un boeuf! Seule eau acceptable, celle de la baignoire et surtout de la douche, seul exercice acceptable: la marche tranquille, régulière, éventuellement longue, en zieutant les paysages, les bâtiments, les rues, les gens…
Aij toujours eu le goût de la nage, pmp, sans savoir qu’il fallait d’abord l’apprécier dans les océans de papier « pour faire mode ». Déjà qu’avec Virginia W., il fallait s’en mettre plein les poches. Qué misayre ! Sors de ce corps natatoire ! – Bon, je sors, ça suffit. Place à ma soeur. Bàv.
Baignade ou nage ?
Hier, usant des privilèges du plaisancier, j’ai longuement nagé et me suis baigné à répétition.
J’ai échappé à la sempiternelle discussion sur l’art moderne (Klee).
J’ai noté ce matin que Pablo pouvait, lui, expliquer où est le génie dans les Menines; mais qu’il se garde bien de le faire lui même. Chacun s’en remet à des textes, à des autorités et pense que cela suffit pour avoir raison.
https://brandnamepencils.com/product/mongol-482-no-2-3-8-f
Bonour
j’aurais aimé partager cet article mais impossible, les ancres sont mal configurées (renvoi à Steinbeck)
lmd écrit au crayon gras.
@Le privilège plaisancier, un peu boursouflé de la gueule
Nager pour survivre
« Naufrage en Grèce : le bateau d’une richissime famille mexicaine a participé au sauvetage de migrants »
je déteste me baigner dans la mer ou en piscine et je déteste courir à transpirer comme un boeuf! Seule eau acceptable, celle de la baignoire et surtout de la douche, seul exercice acceptable: la marche tranquille, régulière, éventuellement longue, en zieutant les paysages, les bâtiments, les rues, les gens…
closer dit
J’aurais pu signer ces lignes (la baignoire en moins – il y a 2 ans je l’ai échangée chez moi contre une douche à l’italienne).
(Quelle horreur les piscines et les plages bondées !!).
Belle bête. La femme à terzoun, la vraie qui s’y connaît en lianes solides, en a perdu sa culotte dans le deuxième opus des « Tarzan ». Nous finissonons tous comme le nageur Lancaster.
finissons
Moi j’aime la mer relativement fraîche, pas trop agitée (pas trop de vent, un peu quand même) ni trop calme. Je n’aime pas l’eau au dessus de 22 degrés (et donc les bains de mer en Grèce ou en Corse ne sont guère rafraichissants)ni en dessous de 15 où là il faut du temps pour s’habituer. J’aime beaucoup nager dans les rivières et les lacs. Et je déteste la piscine qui pue l’eau de javel et la crasse. Beurk.
Ce que j’aime c’est quand les 4 éléments sont réunis avec un fort contraste : eau pure, dynamisée et fraîche, soleil puissant, vent marqué mais pas entravant, sable étincelant.
J’ai noté ce matin que Pablo pouvait, lui, expliquer où est le génie dans les Menines; mais qu’il se garde bien de le faire lui même.
lmd dit:
Il manque un mot à ta phrase pour qu’elle soit vraie:
« ici ».
« Il se garde bien de le faire lui même…ici ».
J’ai pas mal écrit sur Velázquez, ma poule. Et j’en ai pas fini avec lui… (Il y a quelques jours encore j’ai écrit sur son possible portrait du Conde de Villamediana, grand poète et vrai personnage de roman, assassiné d’un coup d’arbalète tiré à bout portant dans le coeur à 40 ans, assassinat commandé par le roi Felipe IV (pour avoir approché de trop près de la reine).
Velázquez c’est comme Bach, un sujet inépuisable.
Rien de tout ça dans la triste et puante piscine. Et payante en plus. Pour nager dans la pisse des mômes et se choper des verrues. Ah non très peu pour moi.
Le lien c’est pour pouvoir voir le tableau, pas pour dire que c’est moi l’auteur de ce très médiocre article.
(Il faudrait me payer très cher pour que je publie dans la lamentable presse espagnole en ligne).
La photo 2 est un plaidoyer pour le naturisme ou pour le burkini.
Ça va dépendre du lieu et de l’heure.
« Nager nu dans la piscine municipale, vous en avez rêvé ? Au Havre, c’est possible tous les vendredis »
En revanche à Lille le vendredi, c’est burkini.
Passou, pour les exercices de nage, il a une planche de natation avec un tableau de Courbet dessiné dessus, du coup il sera fin prêt pour les JO.
Je trouve que c’est une bonne idée pour ceux qui ont du mal à voir l’intérêt d’aligner des longueurs de bassin, coinces entre deux filets de peche comme des bourrins.
Penny Lanebcn & Nous Project – Seguirá poema
seul exercice acceptable: la marche tranquille, régulière, éventuellement longue, en zieutant les paysages, les bâtiments, les rues, les gens…
Et prendre des photographies, ce que je fais avec plaisir! 🙂
La seconde photographe publiée par Passou oublie un troisième personnage, témoin de la scène, écrivain extraordinaire, présent à côté du photographe, André Pieyre de Mandiargues.
Pablo, va pour ici ; mais il reste que c’est bien le problème des discussions de blog, il est facile de dégommer, c’est nul , vous êtes un ignare, ou un imbécile, etc. Il est bien plus difficile d’avoir raison en donnant les arguments eux-mêmes. Prétendre démontrer le génie est un genre de plaisanterie qui ne fait pas beaucoup d’effet, ma poule.
Les seuls arguments qui semblent avoir un peu de réalité et que j’ai vu naviguer par ici touchent à la diététique ! (et je n’ai aucun moyen de mesurer leur exactitude).
Quant aux crayons gras du père Steinbeck, mystère, je ne sais pas pourquoi ils ont ressurgi là !
« Le Japon fut le premier pays à réaliser une organisation nationale de la natation sportive. Un édit impérial, datant de l’an 1603 fit de la natation une partie intégrante du programme scolaire et ordonna que sa pratique soit encouragée par la création de matchs inter-écoles. Mais la natation japonaise demeura repliée sur elle-même. »
https://apprendre-a-nager.univ-rennes.fr/histoire-de-la-natation-0#p-662
Ceci dit, je déteste me baigner dans la mer ou en piscine et je déteste courir
Vous avez suivi les même cours que Poutine pour savoir mentir ou vous moquez-vous de quelqu’un en particulier ou de tout ceux qui ne se remuent pas trop pour ne pas avouer un pas du tout? Il me semble cher Closer que vous nagez longuement et diverses nages, que vous pédalez même quand il fait trop chaud et que vous pratiquiez le jogging ce qui explique d’ailleurs ce corps de rêve qu’encore aujourd’hui vous sollicitez pour d’autres activités physiques plaisantes.
C’est clair que les maîtres nageurs étaient les dieux du stade nautique.
Super bien gaulés, bronzage naturel, et bienveillants.
Il n’est pas revenu à Marie Sasseur que mes présumés « immondes articles sur les femmes » visent en priorité elle-même, si tant est qu’elle en soit une. Ce qui , m’a foi, resté à prouver. , Bien à elle. MC
A Molitor le nageur ne mollit pas!
Le vieux puceau mc a lâché son renan raciste et antisémite, pour barboter.
Et je dois dire que devant cette falaise d’immondices, il faut bien que je me défende ! MC
Pourquoi la tentation de la noyade est tout simplement un désir de mourir en mer ?
« Renan raciste et antisemite ». C’est tout ce que vous êtes capable d’y voir? De même que vous avez voulu rendre grotesque mon travail sur Le Nobletz, qui n’a pas l’heur d’être de votre chapelle ? On vous connaît, MS , ce qui me dispense de vous qualifier. MC
Bien, je décide qu’à compter de samedi de 7h30 à 9h environ j’userai un peu ma bicyclette électrique, de 9h environ à 13h plage et peut-être natation. Ensuite je devrai assurer comme depuis deux mois le service restauration pour un fracturé sans appui autorisé à droite. Le soir j’envisage de profiter du ciel étoilé sur un relief ou en plaine puisque le temps m’est comme à tous compté et que n’ayant guère de spécialisation autre que celle qui consiste à savoir comment perdre tout son temps à rien il m’arrive de ressentir une espèce de culpabilité, de mauvaise conscience à ce gâchis et bien que plus rien ne me semble urgent il me faudrait probablement réagir avant que le regret face à cette irrémédiable hémorragie temporelle n’atteigne le même genre de record que les températures pour devenir insupportable .
La référence à Tarzan date un peu; depuis il y a eu alerté à Malibu.
En parlant de life gard, j’ai repensé à cette pauvre Anne Dufourmantelle, morte noyée lors d’une tentative de sauvetage, et un hommage rendu par son compagnon, F. Boyer dans un livre chroniqué sur la rdl.
Il y a un autre compagnon qui dit sa tristesse :
« Résident biarrot, l’écrivain Mathieu Terence raconte son deuil, après la perte de sa compagne, la philosophe Anne Dufourmantelle morte en tentant de sauver des enfants de la noyade »
alerté à Malibu.
Oui, c’est bien aussi, même si » les marseillais » ont aussi des arguments.
Le vieux dément, qui s’est pris une bonne correction, essaie, lui de sauver son fond de soutane et de commerce de youtubeur.
Photo HCB.
On n’a pas pensé à ça, sur le billet précédent.
(9 commentaires sur les 14 premiers ; J J-J a mangé du lion)
« La référence à Tarzan date un peu; depuis il y a eu alerté à Malibu. »
Ne cherchez plus, le plus craquant c’est celui-là !
https://www.enciklopedija.hr/Natuknica.aspx?ID=57454
On attend plutôt des lions qui auraient lu le roman de Passou, sur les différentes techniques de nage en temps de guerre, là.
Peut-être plus tard ?
Une nageuse
Brett Weston
Les Marseillais sont les plus forts et les officiers sont les plus cons .
Cette photo a été prise au Cercle des Nageurs de Marseille :
https://www.gettyimages.fr/detail/photo-d%27actualité/soldats-pendant-un-exercice-militaire-de-nage-tout-photo-dactualité/558644595?et=cdpBHa8KQ0R2puH-MI5MLA&referrer=https%3A%2F%2Fwww.gettyimages.fr%2F
C’est pas dans le bouquin de Passou, ça.
Pourquoi dire que ces marseillais sont cons ? comme des baleines.
Le nageur au combat n’est pas forcément un nageur de combat. Il faut traverser et c’est pas toujours à gué.
Quand est-ce qu’on nous fichera la paix avec la nage, les nageurs et les nageuses?
Voilà que Popaul s’y met avec un personnage complètement invraisemblable.
Ils s’entraînent pour le débarquement en fait..quel gros con, ce lmd.
@9 commentaires sur les 14 premiers
c’est qu’il faut essayer d’en placer tout de suite le plus possible… Sur les réseaux, voilà ce qui assure votre renommée. Les gens oublient vite tout ce qui arrive après. Et notamment des acides invectives de ma soeur Tarzoune Manage. J’aéroplane avant de plonger dans ma grande bleue, JL.
MS rêve de se transformer en planche de natation à Passoul, tu m’étonnes qu’elle soit en manque de littératures olympiques !…
On voit bien que le keuf n’a lu aucun des 2 derniers romans de Passou. La nageuse du paquebot, un grand moment » pictural », alors oui, les winners, adoptez la planche Courbet de Passou, au lieu de boire la tasse, lamentables.
Sinon chez les Goncourt, ils aiment la flotte, les bateaux , tout ça.
https://www.editions-stock.fr/livres/la-bleue/le-nageur-de-bizerte-9782234084230
Voici le 15×3 que je me suis fait construire au milieu de mon jardin paysager.
https://lyneopiscines.com/portfolio/couloir-nage-15/
J’y éprouve beaucoup de plaisirs, surtout en ce moment. Du courage pour celzéceux qui en seraient dépourvus, à Chaville ou ailleurs, ça viendra peut-être un jour.
nous fichera la paix
Les sportifs solitaires jouent toujours gagnant en temps de guerre, dear Closer. Le prestigieux passou en sait long sur le sujet. Heydrich champion d’escrime s’est planté malgré lui, les braves gens croyait Weissmüller juif alors qu’il n’était que du Banat, creuset pour colons impériaux habiles à dresser les féminoïdes du genre de miss Sasseur. Tout ça évidemment en nage libre avant la vague des congés payés. Miss Fini offre un profil insubmersible.
Le philopede préfère les baraqués, genre nageuses est allemandes, grosses vaches teutonnes, élevées aux hormones.
Des Rafales évoluant en patrouille dans le ciel parisien cet après-midi.
Cette vieille pute de philopede, berger allemand de la fachosphere, a de la chance de ne pas connaître Tarzan, sûr qu’il lui ferait avaler son dentier; purée à vie, ce qui lui en reste.
Un Casa C95M de l’armée de l’air espagnole dans le ciel de Chaville, â destination de Moron Air base.
295
ls s’entraînent pour le débarquement en fait, dit-elle ? Pardi.
La compagnie debout sur le plat-bord ; à mon commandement, premier rang, plongez ; deuxième rang, plongez …
J’aime beaucoup cette photo que je connais depuis longtemps : les baigneurs marseillais (en maillot de bain) n’en reviennent pas, le gendarme chef au fond se demande comment il doit prendre la chose et les officiers en bottes bien cirées se régalent, encore une fois on leur a obéit.
@Ils ont obei.
Il fallait résister.
non, faut que ça plonge, absolument !!!
@le gendarme chef au fond se demande comment il doit prendre la chose
C’est le résultat d’un test du Dr Rorsach.
Le gendarme c’est Louis de Funes qui arrive de Saint-Trop’
C’est un screen du film les gendarmes à Marseille.
Plonger avec des bottes, faut être sacrément con.
Miss Fini offre un profil insubmersible.
Impossible de douter des flotteurs, ce sont des vrais. J’y voyais, envieuse, deux gros pomelos. Il y a quelquefois des gagnantes à la coupe de fruits. N’envisageons pas les slips de bains de l’époque qui probablement réussissaient à séduire ou dissuader sans qu’il soit besoin d’engager la conversation .
« Aujourd’hui, le quotidien du septième jour est certes très macroniste mais assez consensuel. Il se garde d’épater le bourgeois à quelque camp qu’appartienne celui-ci. C’est le journal qu’on déguste avec le poulet rôti du dimanche, il doit être digérable par tous les estomacs. »
Quand je vous disais que le JDD était macroniste, JJJ…Même Elisabeth Lévy le dit dans Causeur.
Marie Sasseur dit: à
On voit bien que le keuf n’a lu aucun des 2 derniers romans
Moi non plus en revanche j’ai beaucoup aimé ses vies de Job . Je verrai si la MAM à des Passou dans ses rayons pour étoffer mon exploration parfaitement lacunaire.
Closer, là c’est plus grave, le JDD fait un dérapage chez valeurs actuelles. Après Zemmour sur CNews , VB n’étonne même plus sauf peut-être à essayer une méthode prosélyte plus douce tout en restant fidèle à ses idées.
Un Casa C95M de l’armée de l’air espagnole dans le ciel
Et comment avez vous pu observer cet avion?
Parlant de Johnny W., il faut lire le roman Hongrie-Hollywood de mon compatriote Éric Plamondon : https://www.babelio.com/livres/Plamondon-Hongrie-Hollywood-Express/301729
Fondamental pour le crawl, le rythme de la respiration; à chacun le sien. J’avais observé Mark Spitz qui enroulait un moulinet suivi d’une respiration, puis deux moulinets sans, avant de prendre une respiration après les deux moulinets suivants, soit des cyles de m/r/m/m/r/m/r/m/r. M’en suis inspiré.
Le récit que Pierre Assouline consacre à Artem, « le nageur d’Auschwitz », fait partie de ces livres que l’on range avec les meilleurs. « Ne dit-on pas que si les vivants ferment les yeux des morts, les morts ouvrent les yeux des vivants? »…
Je vais pas ranger ce roman parmi les meilleurs de Passou
Sûrement pas.
Entendu sur France Musique cet après-midi dans le programme « Arabesques » de François-Xavier Szymczak:
« Ah ! Je vous dirai maman » – Colette Renard
(Paroles de Guy Breton)
De Chansons galantes, gaillardes … et libertines ! Vol. 2 (1963)
En revanche je partage un avis de lectrice internet, on ne sait pas si elle va a la plage ou la piscine, ni si elle sait nager, mais en tout cas, elle l’a lu super bien.
Qui nécessiterait de développer le anti- héros chez A. Nakache. Cela le rendrait plus humain.
Ma piscine préférée en Australie, ni Bondi, ni Manly, citées dans ‘Le Nageur’, mais Watsons Bay, à l’extrémité est de la Baie de Sydney, accessible en ferry…Pure pleasure, sharks permitting…
https://www.woollahra.nsw.gov.au/recreation/parks,_reserves_and_playgrounds/list_of_parks_and_playgrounds/parks_and_playgrounds/watson_bay_baths
J’ai rêvé qu’un personnage indéterminé me tendait une carte de visite. Sur celle-ci ces mots; « Marie Sasseur. » Et en dessous, bien visibles « Specialiste Mondiale des Romans de Passou! »
Là je me suis réveillé. MC
Ohff, je pense que c’est le minimum syndical, lire les bouquins de Passou, pour commenter sur son blog.
Mais ce vieux merdeux qui n’apporte rien à ce blog, n’a pas lu non plus Edel, en ses œuvres, je pense.
Piano Quintet in G minor, op. 34, du compositeur polonais, élève de Liszt, Juliusz Zarebski (1853-1885), mort de tuberculose à 32 ans (c’est sa dernière oeuvre achevée, quelques mois avant sa mort).
Beau quintette joué à Varsovie en 2011 par Martha Argerich et ses copains:
In Le Monde.fr
Il est très fort.
, Mathilde Panot, qui a estimé que « Macron caricature Macron ». « La solution au chômage ? Traverser une rue en 2018. Faire un mètre en mai 2023. Voici venu le temps de faire un tour du Vieux-Port en juin 2023. Face au mépris du peuple, le seul chômeur que l’on espère dans le pays, c’est Emmanuel Macron », a-t-elle écrit sur Twitter.
Après, on peut toujours se jeter.
Attends l’été, disait ma mère, il fera moins froid.
Ça ne s’appelle pas comme ça :
Cercle des nageurs marseillais.
Et, ce n’est pas n’importe qui qui y entre.
Belle collection de peintures à vendre, beaucoup d’émotion :
Cercle des nageurs marseillais.
—
Artem, c’était le TOEC, club omnisports dont j’avais presque oublié l’existence depuis la retraite de feu Elie Cester…
Face au mépris du peuple
Mais quel peuple?
Aucune légitimité à parler au nom du « peuple » de la part de cette harengère!
rose tombe dans le panneaux!
Alain Mosconi, une vedette marseillaise.
Il existe même dans ce club, une nageuse dénommée Lucile Grangeon! 🙂
rose ressemble-t-elle à la Panot?
« il faut connaître les romans de Passou our commenter sur son blog ». Pas l’impression, d’autant que le blog est antérieur aux dits romans. Le syndrome de la première de la classe fait ici de beaux ravages. MC
Pour
Le vieux dément en est réduit à des arguments insensés. On a compris qu’il n’a pas lu les romans de Passou.
Alors que vient il troller sur ce blog pour vendre son renan raciste et antisémite.
C’est curieux.
Nage : « À la nage » (ou nage) est une méthode de cuisson de certains produits, surtout les crustacés ou les coquillages, dans un court-bouillon aromatisé.
Coquilles Saint-Jacques, des écrevisses, des huîtres, des langoustes ou des petits homards, des oursins sont ainsi traités et sont ensuite servis chauds, tièdes ou froids, dans leur cuisson, relevés d’un condiment ou additionnés de crème fraîche, rouille,… : ils sont dits alors « à la nage »» et sont présen…
Bonjour,
il y a si longtemps que je n’aime plus la piscine, que je ne saurai quelle mer, quel lac suggérer pour dire le plaisir absolu d’être dans l’eau , et, à la rigueur, nager
Reste les bassines, Et Al.
https://www.tracedirecte.com/media/images/les-cascades-dagua-azul-chiapas.width-800.jpg
Pourquoi le silence des arbres à la tombée de la nuit est surnaturel ?
Pourquoi tu vas pas faire dodo, Samuel ? Tu en as besoin, comme les arbres.
Marie Sasseur dit: à
Ohff, je pense que c’est le minimum syndical, lire les bouquins de Passou, pour commenter sur son blog.
–
J’en ai jamais lu un. Deux trois pages tout au plus.
ohff moi aussi.
Comment j’ai observé, Bérénice ? Avec mes yeux et mes antennes. J’ai des antennes immenses dans mon parc de Chaville.
Installation of new secure shark netting;
–
Chuis pas sûr qu’ils vous gouteraient en premier, Bloom. J’osais pas vous le dire.
On The Sunny Side Of The Street :
« que je ne sauraiS », et alii !
il faut un commencement à tout:
https://i.notrefamille.com/1400×787/smart/2011/05/11/15072-original.jpg
J’ai lu les Vies de Job et, pour raisons personnelles, Hôtel Lutetia, mais sur ce point vous ne me croirez pas. Alors…J’oubliais: le youtube signale une fois de plus que tout le congrès est en fait youtube…Ce qui vous permet de retrouver Alain Croix, François Tremollieres, et quelques autres dont Georges Prevost. Que vous les appréciez ou non m’indiffère. MC
@De même que souffler n’est pas jouer, se baigner et nager sont deux choses différentes, tout de même !
Quant à faire trempette, en ces temps caniculaires, pourquoi ne pas piquer une tête dans un lac de montagne ? Pourquoi pas les Bouillouses pour les crapahus endurants sinon endurcis de la RDL ?
Crapahuts
Le vieux dément et son renan raciste et antisemite ne sert à rien et nous indiffere en effet.
La prochaine fois qu’il se permet de harceler sur un motif fallacieux on rappellera ses bons offices pour la curaillerie sur youtube.
Ma piscine :
Chuis pas sûr qu’ils vous gouteraient en premier, Bloom.
Vous voyez plutôt Bloom mordre le requin? Moi je me baignerais pas là-dedans, mon héroïsme à ses filets de sécurité.
Pourquoi pas les Bouillouses pour les crapahus endurants sinon endurcis
Il suffirait d’avoir un ami ministre qui veuille bien nous prêter son hélico et on y va, aux orties l’écologie!
“… un ami ministre…”
Pourquoi, vous n’avez pas les jambes ?
(les femmes-grenouilles peuvent s’y rendre à dos d’âne pour préserver la musculature longiforme de leurs cuisses jusqu’au bain)
Installation of new secure shark netting;
—
Quand j’y nageais, la piscine était protégée par de vénérables pieux en féraille rouillé qui réverbréraient le bruit des mastards qui s’y cognaient assidument.
L’eau était très froide, comme partout dans le sud de l’Australie. Pour plus chaud, il faut aller au nord, sur la Grand barrière, ou à l’ouest, dans l’Océan indien.
Hélas, une fois que l’on a échappé aux requins marins, il faut affronter ceux qui pullulent sur terre. Pour se préparer adéquatement, on préférera la Redback au blé à son homonyme arachnide (qu’il convient d’ébouillanter avant l’écrasement final). Les vilains serpents qui sortent des gouttières, les varans bigarrés qui s’intéressent à votre pique-nique ou les wombats fouisseurs aident aussi à oublier un temps la cruauté humaine.
Les gens sont méchants avec vous? Larguez-les mentalement dans l’outback australien, pour un Walkabout à la Nicholas Roeg. Le sourire vous revient déjà…
Chers parisiens, vous ne le savez pas mais, avec vos rats, vous êtes les rois du pétrole!
rouilléE?
@love the glove
ceci n’est pas une invitation à confondre les massifs
https://www.youtube.com/watch?v=BR6pYICqZT0
Renato, et encore moins d’ami ministre. Pas sportive ni très en forme, pas entrainée du tout. Je ne vaux rien, une femme voyou des plaines.
Surtout pour aller nager à 2500m d’altitude, dans une eau qui ne dépasse pas 9 à 12 °C, René est un héros, devrait s’inscrire à la compète.
Je viens de relire les liens du billet, je pense que toute l’eau du grand bain a déjà été siphonnée.
Vous surprendriez fort Alain Croix, où François Tremollieres , pour en tenir à ces deux- la, en leur disant qu’ils participent de la curaillerie, Marie Sasseur.Mais il n’est pire sourde… Vous connaissez la suite!
le mns , comme il était beau dans nos souvenirs, ca devient rare.
« 1982 : le (petit) dilemme d’un maître-nageur avec les seins nus à la piscine
La France fait face à une pénurie de maîtres-nageurs. Sur les plages, dans les piscines, les baignades sont de moins en moins surveillées. Certains lieux sont même obligés de fermer. Il est loin le temps où surveiller un bassin apportait plus d’avantages que d’inconvénients, à l’image de ce reportage dressant le portrait d’un maître-nageur plutôt épanoui. »
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/maitre-nageur-piscine-monokini-sein-nu-ete
A la niche le vieux cinglé, renan , son racisme, son antisémite, et les vidéos youtube pour la curaille du diocèse de trifouillis les oies , on s’en fout.
C’est clair.
C’est l’heure
Bain de minuit
Gaston Bachelard, L’eau et les rêves. Essai sur l’imagination de la matière. (1942)
en rouge (après tout , comme la mer)
https://psychaanalyse.com/pdf/L%20EAU%20ET%20LES%20REVES%20-%20ESSAI%20SUR%20L%20IMAGINATION%20DE%20LA%20MATIERE%20-%20BACHELARD%20(229%20Pages%20-%201,6%20Mo).pdf
Ce ne sont pas les miennes, et ce n’est pas moi qui les ai mises sur ce blog, Sasseur.
Ce que d’ailleurs vous savez parfaitement.
@J J-J dit: à
Voici le 15×3 que je me suis fait construire au milieu de mon jardin paysager.
Il manque une dimension à votre construction, cher hoplite du recoin abyssal ; si vous voulez perdre pied à coup sûr, je vous invite, si ce n’est déjà fait, à aller jeter un oeil chez Paul Edel. Il y est question d’un paquet de chips vide et d’un ou deux mégots de blonde ensablés sur une plage quelconque mais française
mardi 27 juin 2023
Je ne vaux rien.
Une femme voyou des plaines, je ne sais pas ce que cela signifie ; mais la première assertion, elle a bien été inculquée a coups de marteau dans le crâne
Et Marseille, la mauvaise réputation.
Dégagez-vous de tout cela.
Vous êtes bien largement au-dessus.
Relisez vos trois portraits de ces derniers jours. Qui se ressemble s’assemble, vous êtes grave à la hauteur.
Pour le lac de haute montagne, le truc est de nager dès que vous avez posé le sac à dos : illico à l’eau encore en nage. C’est comme un chaud et froid bien connu par les gens du nord. Sauna, plongeon dans un trou de glace.
Ce que je sais c’est que le vieux dément intérêt a se tenir à carreau.
« A Nice, lorsqu’elle nage en longeant la promenade des Anglais, sa situation lui autorise un autre regard sur le réel ; une manière d’être dans la ville sans y être ; ce qu’on appelle adopter le point de vue de l’eau. »
L’important est d’être vue, et que ça se sache a Paris, surtout pour les femmes, « une femme qui fait voler en éclats l’assignation au foyer, celle qui se passe de toute évaluation du père ou du mari, celle qui s’épanouit loin de tout regard extérieur »
, sinon ca perd de son intérêt.
Sur ce, je dois prendre l’A8, et sans tarder.
Heureusement qu’Edel avait des chips et pas un paquet de bonbons, sinon, il était bon pour la mondaine.
Les Anglais nageaient nous, ce qui ravissait l’un d’entre eux, le poète Algernon Swinburne, qui n’aimait rien tant que se laisser ballotter pas les flots…Swim, burnes!
Nageait NUS
La natation ne m’intéresse pas du tout. Dans l’eau, j’ai froid. L’eau de mer est un supplice. Je crains le froid, et surtout la pollution. J’ai peur d’attraper des maladies de peau. J’ai peur de perdre pied et de me noyer d’épuisement. Cela a failli m’arriver une fois, à cause de la panique. Je m’étais trop éloigné du bord, mes petits bras commençaient à faiblir. Je me suis vu avalé par l’eau, n’arrivant plus à respirer. Il n’y avait personne sur la plage, c’était un jour de canicule en octobre, dérèglement climatique oblige. J’étais seul, mais il y avait des bateaux auxquels j’aurais pu éventuellement me raccrocher. La perspective de la noyade était plus une appréhension qu’une réalité, mais la panique qui me prenait aurait pu être fatale. Le bain dans une piscine ne me plaît pas non plus, à cause du fait, c’est ce que disait Orson Welles, que tout le monde pisse dedans. L’eau est sale, malgré l’eau de Javel, le chlore, etc. Et puis, il y a toujours des bandes de jeunes, même dans les grands hôtels, qui jouent dans l’eau et manquent de vous noyer pour de bon, ou vous éclaboussent dangereusement. Bref, une piscine c’est fait pour décorer, jamais pour se baigner. Il faudrait interdire partout la baignade. Je me souviens de ce livre d’un auteur américain, une très belle nouvelle qui devint un film : un mec décide de rentrer chez lui en parcourant à la nage toutes les piscines de son quartier. Sublime nouvelle, je ne me souviens plus de l’auteur. Alors, Paul Morand et Chantal Thomas, peut-être. Est-ce si important que ça, un bain de mer ? Surtout quand, comme Morand, on a été un vieil antisémite ? Il a eu de la chance, lui, de pas aller en prison. J’ai peu lu Morand à cause de ça, sauf son Journal. Son style est trop carré. Le style carré de Morand, un peu militaire, garde-chiourme. Je ne connais pas du tout ses nouvelles. Pour lui, la vie était une partie de plaisir. Il avait beau commettre n’importe quelle connerie, on lui en voulait pas. On le félicitait, même. Il avait le droit de tout faire. De tout dire. Sa femme était une richississime princesse roumaine. Au moment de mourir, en plein mois d’août à Paris, en pleine canicule, Morand a commandé un taxi pour aller à l’hôpital et il est mort comme ça, nu comme un ver sur un lit blanc. Je me dis toujours, retraçant le bilan d’un Morand : en se donnant un peu plus de mal, il aurait pu faire un peu mieux ! Voilà. Quand on parle de Morand, quelle oeuvre vient à l’esprit ? Aucune, à part peut-être L’Allure Chanel et le Journal. Bonne journée de mardi. Paul Edel, vous aimez Morand ?
C’est une nouvelle de John Cheever, The swimmer, en français Le plongeon. Et un film de Sydney Pollack avec Burt Lancaster. J’ai lu la nouvelle mais pas vu le film, qui est paraît-il remarquable, et même cultissime.
The swimmer, le film : Frank Perry, 1968.
Edward Weston, Charis Wilson
https://lesempio.blogspot.com/2012/05/the-water-edward-weston-charis-wilson.html?m=1
J’aurais pu écrire (en moins bien naturellement) le texte de Damien jusqu’à Morand…
« Est-ce si important que ça, un bain de mer ? Surtout quand, comme Morand, on a été un vieil antisémite ? »
Hum… Il manque un peu de barbotine dans cet argumentaire.
Précision sur The swimmer :
Réalisation : Frank Perry, avec la participation non créditée de Sydney Pollack
Le trailer : https://youtu.be/5EgXRCGSabY
Dernière strophe de A Swimmer’s Dream, de Swinburne le décadent, grand amateur de la nage au large, comme Byron se frottant aux eaux de l’Hellespont:
A dream, and more than a dream, and dimmer
At once and brighter than dreams that flee,
The moment’s joy of the seaward swimmer
Abides, remembered as truth may be.
Not all the joy and not all the glory
Must fade as leaves when the woods wax hoary;
For there the downs and the sea-banks glimmer,
And here to south of them swells the sea.
Pas d’accord sur Morand en revanche… »Quelle oeuvre vient à l’esprit? » Beaucoup Damien, « Ouvert la nuit », « L’homme pressé », « Hécate et ses chiens », « Venise », « Fouquet », etc…
C’est bien écrit Damien.
Je ne sais pas pourquoi je repense à ce roman de JP Dubois où, de mémoire, le personnage principal, chargé entre autre, de l’entretien de la piscine résidentielle – et c’est super contraignant l’entretien d’une piscine ,limite à vous decourager d’une heure de trempette pour deux de nettoyage- l’homme d’entretien donc, a eu l’ envie très belle de quelques longueurs dans un bain de minuit relaxant.
Seulement voilà, il s’est fait prendre par un résident a cheval sur le règlement qui lui interdisait le bain, le genre de vieux pénible à vous dégoûter de se baquer dans cette eau là. Las, un accident est si vite arrivé, et l’homme de la piscine s’est retrouvé derrière les barreaux.
Ce roman tout en légèreté et en apesanteur a eu le prix Goncourt 2019.
Damien de Morand j aime bien son Fouquet ou le Soleil offusqué mais non j aime pas trop.
Morand écrit je trouve avec des boutons de manchette.
Pour le lac de haute montagne, le truc est de nager dès que vous avez posé le sac à dos : illico à l’eau encore en nage.
–
surtout pas, Rose, désolé mais ne donnez pas ce genre de conseils, plus d’un sont morts dans des circonstances semblables, y compris des jeunes en bonne, santé !
Vous venez de donner tous les ingrédients pour que survienne une hydrocution !
Morand ?
Un témoin privilégié d’une époque révolue et misérable. D’autres se sont manifesté, pour le même intérêt de lecture
apres le beignet (donut),le baigneur et à midi,le pain bagnat
Je n’ai jamais eu la moindre maladie de peau attrapée dans l’eau, ni gastro ou autre… par cobtre j’ai eu deux fois une infection au fond du conduit auditif. Il est important à minima de bien évacuer toute l’eau des oreilles, de bien sécher, et l’idéal est de protéger le conduit avec une substance ad hoc. Il existe des spray huileux spéciaux.
Boucher n’est pas une bonne solution si on plonge, même d’un mètre ou deux, voire une très mauvaise, pour des raisons barometriques.
Le mythique Leandre s’était noyé en traversant l’Hellespont à la nage pour retrouver Hero, son aimée. Byron, toujours prompt à combiner culture classique et physique, décide de se lancer dans l’aventure & s’en tire avec un simple refroidissement. Joie, fierté et auto-dérision mêlées, pur chef d’œuvre de « mock-heroic »
(…)
For me, degenerate, modern wretch,
Though in the genial month of May,
My dripping limbs I faintly stretch,
And think I’ve done a feat to-day,
But since he crossed the rapid tide,
According to the doubtful story,
To woo—and—Lord knows what beside,
And swam for Love, as I for Glory;
’Twere hard to say who fared the best:
Sad mortals, thus the gods still plague you!
He lost his labour, I my jest;
For he was drowned, and I’ve the ague.
FAITS DIVERS
-Prigogine est le bouffon inculte d’un tsar à la dérive, Putin
-Putin est le bouffon inculte d’un prolétaire à la ramasse, Prigogine
Vive l’Europe des rations !!!
L’eau de mer agitée, claire et assez froide est, d’un point de vue énergétique, la meilleure, et le sel y est beaucoup car il capte les mauvaises énergies. Par contre évitez les lagunes et autres mares salées. Il faut une eau salée, agitée, fortement oxygénée, ensoleillée.
Je suis donc suppose vendre un Renan « raciste et antisemite », mais avec quels moyens, Sasseur? Quelle maison d’édition ? On a beau dire, l’imagination diabolisante l’emporte toujours chez vous sur la rectitude . CQFD. Je suppose charitablement que les biographes publiés du grand homme doivent s’attendre à recevoir de vous (et plus justement que moi?) )pareille avoinee. Les Balcou,les Mercury, etc.., MC
éritable bombe littéraire qui suscita les passions lors de sa parution en Angleterre, La Piscine-bibliothèque est le premier roman d’Alan Hollinghurst. Lauréat du Man Booker Prize pour La Ligne de beauté et prix du Meilleur Livre Etranger pour L’Enfant de l’étranger, il est depuis considéré comme l’un des plus grands romanciers anglais contemporains.
Certainement le meilleur roman jamais écrit par un auteur anglais sur l’homosexualité. » Edmund White, Sunday Times
« VeniseS », closer.
Morand, un auteur idéal pour les anthologistes : c’est toujours bien léché et il a écrit à peu près sur tout.
Malgré sa réputation d’homme pressé, j’ai même réussi à la caser dans mon Goût de la paresse !
PAUL MORAND
Leçons de paresse
Après que le gouvernement du Front Populaire eût adopté ses lois sur les congés payés, Paul Morand (1888-1976) publia, en 1937, un Éloge du repos (titré à l’origine Apprendre à se reposer). Ce dilettante professionnel, marié à la riche princesse Soutzo, était depuis onze ans en congé du quai d’Orsay. Partageant son temps entre les voyages et l’écriture, il entendait ainsi faire profiter de son expérience les nouveaux postulants aux vacances. Pour lui, le repos est un art, qui s’apprend et se cultive, et son essai tient un peu des Loisirs pour les nuls. Et peu importe que l’on soit riche ou pauvre. La découverte des paysages et des régions de France ne vaut-elle pas celle de bien de pays étrangers ? Et pour Morand, dormir sous une tente est toujours préférable à n’importe quelle chambre d’hôtel. Son livre-catalogue, regorge, non sans humour, de conseils pratiques pour bien voyager, avec ou sans argent. Hors de l’Hexagone, son premier avertissement au lecteur est le suivant : « Français, mes frères, évitez, à peine débarqués de vous écrier : « Quel sale pays ! Au moins chez nous… ». Suivent également de nombreuses recommandations sur le choix et la pratique d’un sport, notamment la baignade, en mer ou en rivière, et les promenades en forêt car : « Le sport, parce qu’il nous épanouit dans un libre jeu de l’esprit et du corps, apporte le vrai repos aux hommes du siècle. » Mais en conclusion, l’auteur de L’Homme pressé, plus moraliste que jamais, nous rappelle que, seule, la vie intérieur est maîtresse de notre vrai repos.
« Et pourtant le vrai repos de l’homme n’est pas une agitation qui ressemble vite à des travaux forcés. Avons-nous su assez le trouver en Nous ? Nous l’avons cherché dans un anéantissement du temps, dans un rythme saccadé. Est-ce la paix ?
Ne le découvrirons-nous pas plutôt dans cette retraite intérieure, dans ce loisir qui sont, comme à dit Bonnard*, « la permission d’être soi-même » ?
Personne ne supporte plus la solitude et le sur-place. (…) Pourquoi ? – c’est un des aspects de cette peur de mourir, erreur matérialiste du monde occidental, par quoi, peut-être, il périra.
Tandis que les médecins veulent allonger la vie, les hommes veulent l’élargir en y faisant tenir de plus en plus de choses : vivre vite, c’est duper le sort, c’est vivre plusieurs fois ; les gens réagissent ainsi : puisque la mort c’est l’immobilité, le mouvement c’est la vie ; d’où beaucoup concluent que la grande vitesse, c’est la grande vie. (…)
Oui, à l’heure actuelle, nous vivons quatre fois plus qu’il y a un siècle ; mais peut-être vivons-nous quatre fois moins bien, quatre fois moins fort ; peut-être y a t-il une dépréciation de la monnaie ? La mobilité est l’instable principe de la vie d’aujourd’hui, qui n’en a guère plus d’autres. Vagabondage spécial à notre époque.
– N’est-ce pas par hâte que nous jetons par-dessus bord, l’un après l’autre, les lents outils du passé, les chevaux, la voile, la cuisine à feu doux, la politesse ? Qui prend encore le temps, dans les grandes villes, de manger, de dormir, d’accompagner à pied les morts au cimetière ? C’est la vitesse qui lézarde et disjoint notre vieux monde ; construit sur des soubassements profonds par de lents architectes, il est livré à d’impétueux mécaniciens qui ne travaillent qu’en surface. (…)
Quelle erreur cependant pour l’homme de croire que la vitesse pure l’enrichit ! Il va en être une des premières victimes. (…)
On attendait peut-être de moi un éloge de la vitesse, et voilà que je parais la condamner. (…) J’essaie de mesurer la vitesse, de me mesurer avec elle, de la domestiquer. « Téléphone, télégraphe, radio ont rendu possible – jusqu’à en être inquiétant – l’échange rapide des communications, écrit M. Anesaki. Mais qu’avons-nous à nous communiquer ? Des cotes de la Bourse, des résultats de foot-ball et des histoires de couchage. L’homme résistera-t-il à l’accroissement formidable de puissance dont la science moderne l’a doté ou se détruira-t-il en la maniant ? La science ne saurait répondre à ces questions. Ou bien l’homme sera-t-il assez spirituel pour savoir se servir de sa force nouvelle ? » Nous sommes de race équilibrée et, pas plus que les autres monstres, celui-ci ne doit nous faire peur. (…) La possession des richesses ne désorganise pas l’homme qui sait conserver le sentiment de leur néant. La religion nous a appris cela, et toutes les morales. Le sage s’efforce de ne pas voir les premiers plans immédiats, qui s’enfuient, mais de fixer les yeux sur les lointains, qui sont immobiles.
Le vrai repos vient de nous. »
(« Éloge du repos », Arléa, 1996 et 2004)
*Paul Morand fait référence à l’écrivain Abel Bonnard, avant qu’il ne soit nommé ministre de l’Éducation nationale sous le régime de Vichy en 1942.
Don’t feed the troll. Il y a assez de messages accablants du vieux dément mc, des centaines de messages diffamatoires, sur ce blog. Le dernier en date, son déversement de fiel insensé sur le travail de JC Petitfils.
Ça doit faire partie de son » travail « .
Abel Bonnard, grand collaborationniste devant l’Eternel, dit ‘La Belle Bonnard’ ou plus souvent ‘Gestapette’.
T’anthologises les ramassis d’ordures, Baroz?
« C’est la période des vacances, si vous vous trouvez à Rome, visitez-donc cet étonnant et émouvant cimetière : Le cimetière communal monumental de Campo Verano, désigné familièrement comme le Verano (en italien : Cimitero comunale monumentale Campo Verano), est le cimetière communal et monumental de la ville de Rome, situé dans le quartier Tiburtino, à proximité de la zone San Lorenzo et de la Basilique Saint-Laurent-hors-les-Murs. Le nom Verano provient de l’antique champ des Verani, gens senatoria aux temps de la République romaine.
J’ai eu la chance il y a quelques années, à l’époque où mon fils et sa compagne habitaient Rome, de visiter cet étonnant cimetière avec eux et mes deux filles.
La splendeur des tombes et mausolées des très nombreuses personnalités qui y reposent rappelle leur magnificence passée mais il y a aussi de modestes sépultures.
J’avais été particulièrement ému de celles des personnalités du cinéma romain, acteurs, actrices et réalisateurs qui avaient fait mon bonheur, nés et/ou morts dans la ville éternelle et c’était une grande émotion de déambuler entre les tombes de ceux et celles qui m’avaient procuré mes premiers émois cinématographiques, entre autres :
Sergio Corbucci, Eduardo de Filippo, Isa Miranda, Vittorio De Sica, Aldo Fabrizi, Vittorio Gassman, Massimo Girotti, Nino Manfredi, Marcello Mastroianni ,Amedeo Nazzari, Elio Petri, Roberto Rossellini, Alberto Sordi, Bud spencer, Paolo Stoppa, Alida Valli, Luigi Zampa…
Si vous allez à Rome, visitez ce lieu magique, plein de souvenirs.
Il faut sans doute une journée, 83 ha, c’est pas rien… »
(Alain Choquet sur le blog Littérature et cinéma)
Sur le fumier pousse souvent les plus belles fleurs, Bloom !
Alain Choquel, pardon !
A la question, qui sera le prochain président de la République, voici la réponse prudente de ChatGPT :
« Comme vous l’avez mentionné, cela relève de la fiction, donc mes réponses sont basées sur des suppositions imaginaires. Cela étant dit,
voici une idée de ce que pourrait être le successeur d’Emmanuel Macron :
Le successeur d’Emmanuel Macron pourrait être une personnalité politique émergente, peut-être issue d’un parti politique différent. Cette personne pourrait avoir une approche plus populiste et moins technocratique que Macron, axée sur les questions de justice sociale, d’environnement et de sécurité nationale. Cette personnalité pourrait également chercher à rétablir un sentiment de fierté nationale et à renforcer le rôle de la France dans le monde, tout en étant plus en phase avec les préoccupations des citoyens ordinaires. »
Il arrive aussi que sur un tas de fumier naissent les plus malodorantes plantes…
Baroz, tu confonds fumier et déjections, l’organique et l’ogre à nique.
Le fumier est un excellent amendement car il est très riche en matières organiques, non seulement composé des déjections animales mais aussi de paille et de déchets végétaux.
Il va améliorer le sol grâce à sa richesse en humus : la terre est plus facile à travailler car plus meuble, elle est plus perméable à l’air et à l’eau, elle est enrichie en micro-organismes et autre faune du sol. On va utiliser différents fumiers selon la nature du sol, argileux, sableux, compact…
Il forme un support de culture idéal pour de nombreuses plantations gourmandes.
des poules (pools)
5 – Le fumier de volaille
Très riche en azote, potasse, oligo-éléments, et chaud, le fumier venant du poulailler doit être utilisé parcimonieusement car il peut facilement brûler les racines des végétaux. Il sera plutôt mélangé à du compost, ce qui compensera sa pauvreté en humus. Ce fumier s’y révèle très bénéfique car il chauffe rapidement et joue donc un rôle d’activateur de compost.
Guano
« Comme vous l’avez mentionné, cela relève de la fiction, donc mes réponses sont basées sur des suppositions imaginaires. Cela étant dit,
voici une idée de ce que pourrait être le successeur d’Emmanuel Macron :
Le successeur d’Emmanuel Macron pourrait être une personnalité politique émergente, peut-être issue d’un parti politique différent. Cette personne pourrait avoir une approche plus populiste et moins technocratique que Macron, axée sur les questions de justice sociale, d’environnement et de sécurité nationale. Cette personnalité pourrait également chercher à rétablir un sentiment de fierté nationale et à renforcer le rôle de la France dans le monde, tout en étant plus en phase avec les préoccupations des citoyens ordinaires. »
Ah, ça fait du bien de lire ça!!!
Hydrocution.
66 ans, je me suis tjrs baignée comme cela ds les lacs de montagne.
L’hydrocution c’est à la plage.
Dans de vastes zones du centre de Paris, nombre sont les gens ayant souscrit des abonnements de téléphonie mobile chez certains des 4 opérateurs principaux à ne plus pouvoir utiliser Internet ni même téléphoner, dans le pire des cas, et ce depuis presque un an déjà.
A certaines heures, les antennes 4G sont totalement saturées. Je l’ai vérifié moi-même, et sur prés d’1 km de distance ! Or la 4G est sensée être la norme (la 5G n’est implémentée que sur les téléphones haut de gamme et récents, nécessitant dans bon nombre de cas des abonnements speciaux). La parade ? Dans les paramètres, forcer le téléphone à communiquer en…3G, c’est à dire une norme dépassée et bien plus lente que la 4G (même en zone rurale la 4G est devenue la norme).
Tout cela porte un nom : fracture numérique, dont est sensée s’occuper le gouvernement. Manifestement, il s’en fout.
Et, non, la solution n’est pas de changer pour un téléphone 5G. Cela cautionnerait l’obsolescence programmée, tant décriée.
« Ah, ça fait du bien de lire ça!!! »
Marine Le Pen prochaine présidente de la République, ça vous réjouit, rose ?
Avouez que Macron mouille particulièrement sa chemise pour apporter des solutions au délicat problème de Marseille, capitale de la diversité !
Il mouille sa chemise pour faire la démonstration qu’il n’y connaît rien. Ni ses conseillers, manifestement.
Mais bon. Médiatiquement c’est tout bénef, même si le flan est énorme, gigantesque.
C’est quoi sa prochaine étape ? Grenoble ?
Il ferait mieux de nous reparler de l’affaire Benalla. Ça en est où cette histoire de coffre-fort ?
Pour Rose:
« Appelée également noyade syncopale, l’hydrocution est provoquée par un écart soudain et important entre la température de l’eau et celle du corps brusquement immergé. Sous l’effet de la chaleur, les vaisseaux sanguins se dilatent, et lorsque la peau entre en contact avec le froid, ils se contractent. Une immersion trop rapide dans l’eau fraîche alors que la température du corps est élevée peut ainsi couper la respiration et entraîner une perte de connaissance, voire un arrêt cardiaque. »
Rien à voir avec plage ou lac de montagne! Faite attention partout.
Rose, la prévention des risques se base toujours sur le même principe
: il ne se passe jamais rien jusqu’au moment où il se passe quelque chose.
tres intéressante ,l’histoire du guano ,(avec la guerre dite du guano)et une bonne novelle:
« En 1856, le Congrès des États-Unis adopta le Guano Islands Act, toujours en vigueur au xxie siècle, qui autorise tout citoyen américain à réclamer, au nom des États-Unis, toute île inhabitée et non revendiquée susceptible de contenir du guano7. »
ile à prendre?
Un électronicien youtubeur, Stéphane Marty, à eu la bonne idée de décortiquer les 4 box internet les plus récentes des 4 opérateurs principaux (Orange, SFR, Bouygues, Free). Le résultat est sans appel : Free est le seul à avoir conçu seul sa DeltaBox ; sur cet appareil, son avancée technologique est marquée, avec des potentialités matérielles bien au dessus des 3 autres dont fait pourtant partie l’opérateur dit « historique », anciennement Wanadoo, France Télécom, PTT.
Voulez-vous jouer avec moi.
Pas terrible, mon score : 62/87 !
https://www.localiquiz.com/jeux/quiz/?quiz_id=159
Mon putin de lien ne marche pas.
Putain. Fichu correcteur.
Tu travailles chez Free, D. ?
Non, mais je suis admiratif des gens qui ont conçu la Deltabox. C’est dans l’esprit français, comme Dassault ses Mirages et ses Rafale, le Concorde (fait avec les Anglais), le TGV, le viaduc de Millau etc… on en parle pas assez de cette DeltaBox.
ENTRETIEN BILGER-FAUVERGUE
Je recommande l’entretien que vient d’avoir Philippe Bilger, ancien magistrat, avec Jean-Michel Fauvergue , ancien patron du RAID . L’entretien est passionnant et dure une heure.
Taper « Entretien Bilger-Fauvergue » .
A la plage, c’est souvent le « coup de chaleur » et non pas l’hydrocution.
Le coup de chaleur et très grave et peut rapidement conduire à la mort. Il s’agit d’une urgence vitale.
Il faut tout de suite alerter les secours, mettre la personne à l’ombre ou dans un local frais proche s’il en existe, commencer à la refroidir avec des serviettes imbibées d’eau froide sur tout le corps, sacs à glaçon ou pains de glace. Si la personne est consciente (capable de converser un peu en tenant des propos cohérents, capable de voir et compter des doigts sur une main tenue devant ses yeux), lui faire boire de l’eau. Sinon la mettre en PLS et surveiller en permanence la respiration et le coeur.
Symptômes évoquant le coup de chaleur (hyperthermie maligne) :
– température élevée de 39 à 40 ou plus. Parfois des convulsions.
– vertiges, étourdissements, propos incohérents, vision et ouïe altérées, possible perte de conscience.
– forte transpiration, peau sèche, chaude, généralement rouge y compris sur des parties non exposées au soleil
– respiration rapide
– crampes
– maux de têtes, nausées, vomissements
– soif intense
Pourquoi un coup de chaleur par le soleil est toujours plus naturel et plus bénin qu’un coup de poignard dans le dos par un « ami » ?
Depuis que Patrice Charoulet a fait savoir ici qu’il soutenait ce qui pour moi est insoutenable, c’est à dire le parti de Macron, je ne suis plus aucune de ses recommandations.
Donc je passe. Pour ma part.
Non un coup de chaleur n’est pas forcément plus bénin qu’un coup de poignard. Chez des personnes fragiles on peut facilement mourir d’un coup de chaleur.
Cher Dédé,
Nous devons, tous, admirer les efforts de Bébé Macron pour paraitre « un des nôtres », et donc nous mettre sous ses ordres inspirés par l’intelligence la plus fine de l’Etat Français !
Vivre une vie pitoyable comme la sienne mérite notre respect. Bien qu’il ne soit pas meilleur que le bon LOUIS XVI, il présente mieux que le divin marquis, non ?
Au rayon littérature natatoire on ne peut omettre de citer Jean Pierre Brisset qui a beaucoup été célèbré :
La Natation ou l’art de nager appris seul en moins d’une heure
(Jean Pierre Brisset est l’inventeur de la ceinture-caleçon aérifère de natation à double réservoir compensateur).
Pas mal la référence littéraire du titre, « les agités du bocal » aurait pu en être un autre, en contournant légèrement la censure. 😉
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