de Pierre Assouline

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La République des livres
Enfin, deux écrivains s’empoignent avec l’Indochine française !

Enfin, deux écrivains s’empoignent avec l’Indochine française !

On ne dira pas que la guerre d’Indochine (1946-1954) obsède nos contemporains. Elle est nulle part quand la guerre d’Algérie est partout. Aussi il est remarquable qu’elle ait inspiré à deux anciens lauréats du prix Goncourt la trame de leur nouveau livre. Moins le conflit lui-même que l’Indochine française. Une sortie honorable (199 pages, 18,50 euros, Actes sud), le récit d’Eric Vuillard (Lyon, 1968), s’ouvre sur une inspection du travail dans une plantation Michelin d’hévéas en proie à une « épidémie de suicides » en Indochine en 1950 au lendemain du massacre de deux colonnes de l’armée française dans la jungle de Cao Bang. Le ton est donné : comme les autres à la même époque, cette bataille est présentée comme ayant été livrée à seule fin de protéger les intérêts capitalistes des sociétés anonymes de charbonnages.

Le récit s’organise en un double mouvement d’appropriation du monde par l’empire français et de volonté d’émancipation d’un peuple ; d’autant que cette guerre est double, à la fois coloniale et anticommuniste. Nul doute que pour l’auteur, la littérature se doit de refléter les systèmes de domination, la violence sociale et la concentration du pouvoir à l’œuvre dans le colonialisme. Il tient pour un axiome ces mots de François Mauriac dans son Bloc-notes de l’Express :

« Plus on approche du pouvoir, moins on se sent responsable ».

De livre en livre, son ton s’est radicalisé reflétant sans précaution sa propre vision du monde. Il creuse son sillon de livre en livre sans que l’on ait réussi à définir sa manière jusqu’à ce que le critique de Libération Philippe Lançon y parvienne récemment avec une acuité remarquable à propos de celui-ci en le définissant comme « un pamphlet romanesque ». Eric Vuillard s’affranchit désormais de toute prudence ; il s’autorise volontiers des « on raconte que… » dans une suite de scènes cousues entre elles par une écriture étincelante. Sous sa plume, les personnages historiques sont des êtres de chair et de sang ; on les entend respirer, on les voit suer. Mais il ne cherche plus à dissimuler le mépris que lui inspirent la classe politique, la grande bourgeoisie, les banquiers, les militaires, les notables. Le député Pierre Mendès France, central dans le livre car il est celui qui veut négocier avec le Vietminh, est des rares à bien s’en tirer ; il lui doit d’ailleurs le titre de son livre, l’expression « une sortie honorable » ayant été utilisée par lui dans son discours  du 19 octobre 1950 à l’Assemblée).

Ses portraits systématiquement à charge dès qu’il s’agit de politiques ou de militaires (Edouard Herriot qui préside l’Assemblée nationale, De Lattre de Tassigny haut-commissaire en Indochine, le général Navarre qui lui succèdera comme commandant en chef, le général Castries commandant du camp retranché de Dien Bien Phu) sont d’une ironie mordante- non sans excès (l’endogamie des dynasties capitalistes réduite à « l’inceste » !). Il a le goût de la pointe assassine avec un minimum de moyens quand Pierre Lemaitre (Paris, 1951) se confirme comme un fresquiste formé dans la grande tradition du feuilleton du XIXème. Mais l’un et l’autre ont la passion du détail ce qui rend leur liberté de ton encore plus savoureuse et édifiante.

D’ailleurs, pour l’un comme pour l’autre, un jour un détail a suffi à les lancer dans leur projet : pour Lemaitre, la lecture d’une page manuscrite de Zola projetant dès le début avec titres à l’appui les dizaines de milliers de pages de la suite ; pour Vuillard, le visionnage d' »Enfants Annamites ramassant des sapèques devant la pagode des dames« , une prise de vues d’une minute et quinze secondes des frères Lumière. Dans une cas comme dans l’autre, il y avait là de quoi produire un choc suffisant pour les engager dans leur écriture. Ils ne sont jamais mieux à leur affaire que lorsqu’ils écrivent dans un pli de l’Histoire, de plain-pied dans un réel à l’échelle des hommes et non des idées, des institutions ou des grands événements. Peu d’écrivains maitrisent comme eux l’art du pas de côté. Leur vision du monde passé en est nécessairement décalée, ce qui la rend d’autant plus indispensable.

Après sa trilogie des Enfants du désastre, sa nouvelle saga Le grand monde (586 pages, 22,90 euros, Calmann-Lévy), articulée autour des Trente glorieuses (1945-1975) vues à travers l’histoire d’une famille, est un ample et vaste roman d’aventures rendu formidablement vivant par son sens du dialogue. Si son admiration pour l’Eugène Sue des Mystères de Paris ne faiblit pas, son ambition l’élève vers Zola qui osait (car il fallait oser !) imaginer une saga romanesque en 20 tomes dès les premiers élans des Rougon-Macquart. Ses personnages s’inscrivent parfaitement dans l' »Indo », reflet aigu de la société française de l’époque. Dans ce premier volume qui s’élance en 1948, Saïgon s’impose en personnage principal à côté du jeune Etienne Pelletier. Employé à l’Agence indochinoise des monnaies (nom romanesque d’un organisme qui a vraiment existé), cela-ci se retrouve au cœur du scandale du trafic des piastres, cette unité monétaire de l’Indochine française dont les transferts avec la France à coups d’importations fictives et de fausses factures, permettront à des milliers de gens de s’enrichir à partir de la différence de cours dans le taux de change sur le dos des contribuables. Le capitalisme local se gavait du système ; mais le Vietminh, pour s’équiper en armement, s’était infiltré dans le système : 

« Dans la guerre qui les opposait, la France, sans le savoir, finançait le Vietminh ».

Pierre Lemaitre raconte mais ne juge pas. Même s’il a au moins un point commun avec Eric Vuillard : le rappel que les tirailleurs maghrébins et noirs formaient l’essentiel de l’armée française en Indochine. Ainsi accorde-t-il une valeur symbolique à une colonne composée de Marocains, de Tchadiens, de supplétifs vietnamiens et de membres de la secte Siêu Linh :

« Ce manque d’unité symbolisait assez bien cette guerre dans laquelle la France avait à peu près tout tenté sans presque rien réussir et se voyait condamnée à improviser en permanence face à une volonté politique mouvante comme les eaux d’un arroyo et avec des moyens qu’il était nécessaire de trouver sur place dans des conditions parfois illégales et toujours acrobatiques ».

L’exactitude historique les laisse tous deux également indifférents quand le sens de l’Histoire demeure leur grand souci. Eric Vuillard fait l’impasse sur ses sources que l’on doit découvrir ailleurs que dans son livre : outre les compte rendus des débats parlementaires et la presse de l’époque (surtout le bloc-notes de François Mauriac dans l’Express auquel il doit beaucoup), La conquête de l’Indochine (1934) d’Auguste Thomazi où il a trouvé chez les soldats français un rire méprisant qui sous-estime les Indochinois et ce rire lui a suffi pour se lancer ; ou encore un Guide de l’Indochine (1923) dont les conseils aux voyageurs reposent sur un vocabulaire de commandement dont toute politesse est absente. En tête d’une bibliographie de plusieurs pages où des romanciers (Bodard, Lartéguy, Hougron) coudoient des historiens (Dalloz, Ouillon, Josse), Pierre Lemaitre, quant à lui, remercie Camille Cléret, jeune historienne spécialiste d’histoire sociale du politique, en précisant :

« Elle m’a notamment signalé toutes les licences que je prenais avec l’histoire. A partir de quoi, j’ai pris mes risques ».

Ce qui pourrait être le bréviaire de tout écrivain lorsqu’il s’empoigne avec l’Histoire.

(« Mme Paul Doumer et sa fille distribuant des sapèques aux Annamites », 1900, collection Lumière; Autres photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 237 Réponses pour Enfin, deux écrivains s’empoignent avec l’Indochine française !

D. dit: à

Ne tentez pas une fois encore de détourner la conversation, et alii. Tout le monde a bu que vous avez des notions de Vietnamien. Bon. Passons à autre chose à présent. Parce que ça ne semble pas intéresser grand monde.

Jibé dit: à

« Même avec force bière Hanoï ingurgitées nuitamment au Balcony Café voisin, impossible de lui trouver un quelconque mérite »
je ne connais pas Hanoï, Bloom, mais je trouve cette remarque très intéressante, sur le bâti colonial qui a remplacé le précédent et n’a rien produit d’autre que la copie frelatée du bâti de la métropole. Me demande quel sens donner à cette bizarrerie, rarement observable, tant il est vrai que l’architecture se « créolise » aussi bien que la langue pour produire du nouveau, parfois très réussi. Les coloniaux locaux avaient-ils juste un esprit destructeur, classique, allié à un goût de chiotte? Ou un besoin de retrouver l’amère patrie qui les avait envoyés là?

D. dit: à

Le Lincolnshire vaut le déplacement, contrairement au Massachausett.

D. dit: à

copie frelatée… je ne sais pas si vous mesurez la portée de vos propos.

DHH dit: à

@alexia
vous me considerez comme une semblable ;je suis surprise et flattée car jusqu’à present vos reactions a mes posts me paraissaient celles condescendantes ou affligéees de l’universitaire de haut niveau en face des insuffisances d’une « petite pointure »
je n’ai pas le sentiment de susciter de la veneration ?Heureusement .
Simplement de la sympathie de la part de gens qui ne me connaissent que par mes post et qui, se sentent en phase avec les convictions que j’y exprime ,e ont la gentillesse de le dire a une tres vieille dame, qu’ils créditent de beaucoup d’experience à défaut d’un consistant parcours universitaire

et alii dit: à

ENTREZ MONSIEUR DANS L HUMANIT
Auteur : Linh LE

Compositeur : Jacques DUTRONC

Editeur : SOC KUNDALINI

Interprète : Jacques DUTRONC

Jean Langoncet dit: à

@ la copie frelatée du bâti de la métropole. Me demande quel sens donner à cette bizarrerie

Enterrer ses morts, la manie d’entretenir des cimetières, c’est d’une coquetterie on ne peut plus bourgeoise

Jibé dit: à

« J’aurais aimé vous rencontrer », moi aussi DHH, n’en doutez pas. J’ai réagi très fort, ayant interprété comme vous ne pensiez pas qu’elle puisse l’être une formulation ambigüe selon moi. Mais je n’oublierai jamais l’empathie dont vous avez fait preuve à mon égard un jour où je me suis confié ici, ni votre patience à m’exposer une règle de grammaire à laquelle je n’entendais rien avant votre explication, ni votre attachement à cette forme d’Etat qui met en avant la solidarité et le service public.
J’ai bossé un temps avec Chevènement, il y a une vingtaine d’années, sur le fait religieux. Pour Valls, je ne partage pas votre avis -trop ambitieux, je trouve, et trop cassant.

Jibé dit: à

« une coquetterie on ne peut plus bourgeoise »
exactly, JL, je suis d’accord sur l’esprit petit-bourgeois qui domine l’ensemble, c’est une coloration commune en matière de goût colonial, mais la particularité de cette ville où rien n’a été produit d’original? Que du laid d’importation?

DHH dit: à

@ M.Langoncet

simple curiosité : quel auteur au programme pour le XXème siècle ?ce programme est il commun à toutes les agreg littéraires

puck dit: à

très cher greubou,
sachez que je n’ai jamais été, comme vous le dites si mal, un « donneur de leçons », moi môssieu les leçons je ne les donne pas, je les vends !
Ayant été formé aux techniques du néo libéralisme dans ses formes les plus avancées par mon ami cloclo et le Dr Marian, aussi célèbre que riche patron des ehpad et autres maisons de retraite, qui, je le rappelle ici, disait à ses managers cette phrase désormais célèbre : « il faut que ça crache ! », vous comprenez bien que je saurais d’une quelconque manière « donner » des leçons, le simple mot « donner » me donne déjà l’envie de gerber !

Non, les leçons ça se vend ! Mes leçons reposent sur le principe de la mayonnaise socratique visant à faire accoucher mes élèves de la vérité, en ayant moi-même et j’en suis pas peu fier inventé un système d’accouchement de la vérité sans douleur sous péridurale.

Demandez à Jeannot le résultat: maintenant quand il entend parler à la radio du nettoyage ethnique des ouïgours il s’écrie dans sa cuisine : « rien à foutre des ouïgours ! je vois pas le problème vu que c’est pas des juifs qui les emmerdent ! »

Jean Langoncet dit: à

@l’esprit petit-bourgeois

Je tentais d’étendre le propos

D. dit: à

Ces saucisses du Lincolnshire favorisent les capacités intellectuelles de façon très notable. On sait qu’Isaac Newton en consommait de grande quantité (plusieurs livres par jour selon les meilleures sources historiques). C’est grâce à une telle alimentation lourde et consécutivement à un traumatisme crânien dû à la chute d’une pomme qu’il écrivit en quelques minutes à peine toutes les équations de la, gravitation universelle.

Jean Langoncet dit: à

… au pragmatisme et au sens des réalités qui a conduit à déplacer les pierres tombales pour aménager des terrains de football

Jibé dit: à

Agreg lettres (il se trouve que j’ai une ex-étudiante qui s’y risque cette année): Le Mur de Sartre (lettres classiques comme modernes).

Bloom dit: à

J’aime bien votre expression d’architecture « créolisée », qui correspond à celle des bâtiments que j’ai mentionné plus haut et auquel on peut ajouter le Brighton Pavillion, qui servit d’hôpital militaire pour les troupes indiennes pendant la Première guerre mondiale.
Il doit bien exister des ouvrages sur cette créolisation dans les colonies européennes (et éventuellement leur retour en boomerang en métropole). Sujet passionnant!
La langue porte quelques traces non négligeables également: par ex., le terme « bungalow » (17e), vient du gujarati ‘bangalo’, qui fait référence au Bengale. Surat, dans le Gujarat, fut le premier comptoir établi par la Compagnie britannique des Indes orientales (1608)…

D. dit: à

Notez tout cela, renato. Parce que je sens que sinon vous aurez tout oublié au bout de deux minutes.

Jibé dit: à

« pragmatisme et (au) sens des réalités »
… une des définitions de l’esprit colonial. yep!

puck dit: à

à la question idiote que se posaient les gens : « pourquoi les ehpad ça coûte aussi cher ? » maintenant ils ont la réponse !

ça c’est l’essentiel : avoir les réponses aux questions que nous nous posons.

mais le plus drôle est que cette réponse ils la savaient déjà avant, mais maintenant elle est écrite noir sur un blanc dans un livre, donc c’est une réponse « officielle ».

grâce à un journaliste que l’on peut saluer au passage.

c’est ça le libéralisme : donner aux gens les réponses aux questions qu’ils se posent grâce à des journalistes que l’on peut saluer au passage.

cela fera-t-il baisser le prix des ehpad ? non !
cela fera-t-il en sorte que les patrons de ces ehpad s’en mettent moins plein les poches ? non !

là n’est pas l’essentiel dans la mesure où dans toutes démocraties qui se respectent l’essentiel c’est d’avoir des réponses aux citoyens aux questions qu’ils se posent.

grâce aux journalistes que l’on peut saluer au passage.

et alii dit: à

une biographie qui me tente:Verena von der Heyden-Rynsch Pico Della Mirandola, le phénix de son siècle (Gallimard)
excusez moi

puck dit: à

« l’essentiel c’est d’avoir des réponses aux citoyens aux questions qu’ils se posent. »
 »

désolé c’est traduit de l’indochinois.

D. dit: à

Tu parles de mayonnaise, Puck. Mais sais-tu que Socrate la faisait à l’huile d’olive ?

Jibé dit: à

« Il doit bien exister des ouvrages sur cette créolisation dans les colonies européennes (et éventuellement leur retour en boomerang en métropole). Sujet passionnant! »
sûrement, Bloom, vous avez mis le doigt sur cet aspect et je m’en vais chercher quelque article ou monographie. L’effet boomerang (bien visible ds Londres) n’est pas le moindre des aspects.

Janssen J-J dit: à

@ AN, vous m’apprenez que b. latour passe à la télé ce soir. Chic ! Suis allé voir sur mon téléZ, et anéfé, ils disent qu’il y aura aussi Nicolas Mathieu… Suis comblé, car je viens d’achever son Connemara, j’aurai donc doublement plaisir à voir cette émission commercialo littéraire que j’ai laissée tomber depuis quelques temps, à cause de la marque de dentifrice de ma soeur. Je vais passer outre, d’auant que je n’ai pas prévu de sortie théâtre, opéra voire cinéma, ce soir. Donc, le petit écran… Peut-être y verra-t-on y apparaître DHH comme invitée surprise sur le plateau. Qu’elle nous fasse un petit signe, ce serait chouette pour la rdl, car pmp je ne crois pas pouvoir la serrer dans mes petits muscles à Paris, qui est bien loin.
On me dit qu’il va y avoir des embouteillages monstres de gilets antivax. dans la grande Kapitale, un peu comme en Ottawa. Brr…, je plains notre ami jzmn @ -> Merci Claudio B. pour le portrait, assez amusant et plutôt réussi, je dois dire. Je sais combien avoir tort de penser quelque chose de votre Président Jair B., mais croyez-bien que je ne voulais pas vraiment vous faire de peine, sachez que je vous aime toujours beaucoup et que ce soir je vais sans doute déguster une mangue des tropiques et siroter un petit caïpirinia à votre santé. Bàv, –

Jean Langoncet dit: à

@ une des définitions de l’esprit colonial

Il faut reconnaître qu’il est toujours assez bien partagé chez les « décolonisés » ; sans doute est-ce l’effet pernicieux de la colonisation aujourd’hui encore (honte à Macron d’oser taxer le FLN d’user d’une rente mémorielle, pour ne prendre qu’un exemple)

puck dit: à

« Verena von der Heyden-Rynsch Pico Della Mirandola, le phénix de son siècle (Gallimard) »
 »

je confirme très belle biographie de cet alpiniste hollandais qui a gravi le premier le Pic de la Mirandole (12.683 mètres) sans oxygène.

Jean Langoncet dit: à

@Socrate la faisait à l’huile d’olive

Sans jaune d’oeuf, sans moutarde de Dijon mais avec de l’aïl ; Socrate a popularisé le goût de l’aïoli dans tout le bassin méditerranéen

D. dit: à

DHH, si vous êtes sur le plateau de télé, je pense qu’il faut parler en premier lieu de la mayonnaise socratique. Les gens attendent ça.

D. dit: à

Absolument Jean Langoncet. Comment le savez-vous ?

et alii dit: à

à propos de zemmour, je ne mesouviens pas qu’on ait vu sur la RDL
ALDUY CECILE / Dans un essai bref et incisif, La Langue de Zemmour (Éditions du Seuil, 2022), elle montre que son style s’inscrit dans une longue tradition de la langue fasciste.

“Il est urgent de disséquer ce que fait Éric Zemmour à notre langue”, écrivez-vous. En quoi se poser cette question vous semble-t-il aussi urgent que de se demander ce que Zemmour fait à la société, tout court ? Pour le dire autrement : en quoi son usage de la langue vous semble-t-il révélateur de sa pensée ?
SUR PHILOMAG

Jean Langoncet dit: à

C’est inné, D.

Bloom dit: à

Sujet qui me passionne, jibé, j’ai passé l’agrèg en partie sur l’architecture néo-gothique, et suis devenu fan de Nikolaus Pevsner, Mark Girouard et Pierre Francastel.

D. dit: à

Des fois il m’épate, le Langoncet, parce que en ayant l’air de savoir pas grand chose, il vous sort des connaissances rares.

Jibé dit: à

J’ai dû pas mal étudier Ruskin pour ce qui me concerne, Bloom, ayant à travailler sur les Victoriens.
Quant à Nikolaus Pevsner, que ferait-on sans ses guides références? (des remarques sur le design qui m’avaient frappées, par exemple, …et ce puits de connaissances!)

puck dit: à

D. dit: à

Tu parles de mayonnaise, Puck. Mais sais-tu que Socrate la faisait à l’huile d’olive ?
 »

absolument ! il est même l’inventeur de l’aïoli, il avait fait tomber de l’ail par hasard dans sa mayonnaise, la « sérendipité » est une notion essentielle chez Socrate.

Bloom dit: à

Ah, le ruskin de The Stones of Venice & des 7 Lamps of Architecture, Jibé, quel régal, quel esprit! Et finalement bien moins élitiste que William Morris avec ses productions limitées de la Kelmoscot Press…
Avez-vous écouté les Reith Lectures de N. Pevsner à la BBC?
https://www.bbc.co.uk/programmes/p00hg2b8

Bloom dit: à

Sur qui avez-vous travaillé, Jibé?

Bloom dit: à

Kelmscott Press, my bad…

Janssen J-J dit: à

@ J’ai bossé un temps avec Chevènement, il y a une vingtaine d’années, sur le fait religieux.

c drôle, jibé et dhh… Il se trouve que moi aussi j’ai bossé avec son cabinet quand il a fallu essayer de rattraper le coup après sa saillie sur les « sauvageons » et avant son AVC, en 99… si j’ai bonne mémoire… et de lui esssspliquer sur des fiches pour le samedi à France Inter que la « délinquance des p’tits gars des banlieues », c’était pas aussi trivial qu’il le croyait.
Toussa, c’était bien avant l’époque des « casstoipovkon », les « cailleras au karcher », les gesticulations variées de Nico 1er et Rachida 2e. A cette époque de cohabitance (au tournant du millénaire), le Che avait encore besoin d’entendre des éléments de langage en provenance de la bien nommée « chiasse sociologique » (ainsi labellisée sous la grande époque Pasqua/Pandraud), et bien l’autre époque dite des « sociologues de l’excuse » des grandes Valseuses espagnoles.
—-
Depuis bien sûr, il s’en est écoulé, de l’eau, et on a eu le copain de ma soeur, gérald-darmanian, ministre des cultes.
La République des keufs s’est fort relevée avec Geralde (à suivre, a ffaire)
Bàv,

D. dit: à

Avez-vous remarqué que je ne vous parle plus, JJJ ?

MC dit: à

Et Alii. Verena von etc à déjà commis un très mauvais Francesco Zorzi où elle fait dire à Frances Yates ce qu’elle ne dit pas, fabule sur François Secret, et faute de mieux termine un bouquin des plus légers sur Thomas More, on se demande bien pourquoi. Le sérieux de ce travail est très problématique. Alors évitez-la. Bien à vous. MC

vedo dit: à

Bloom, il y bien Moscou dans l’Idaho. Il y aurait 16 Paris aux US.

B dit: à

3J, moi aussi j’ai été amenée à côtoyer cet homme, l’échange fut fructueux, 100% pour jus.

Claudio Bahia dit: à

@ ce soir je vais sans doute déguster une mangue des tropiques et siroter un petit caïpirinia à votre santé. Bàv,

on ne pourrait faire mieux, ça vous détendra certainement.
pour la caïpi:
couper un citron vert en 8 (en 4 puis en travers), mettre dans un petit shaker; ajouter 5 cuillères à café de sucre (normal ou non); triturer le tout avec un pilon de bois; ajouter 5 cube de glace (que vous pouvez légèrement casser, mais pas trop, en les enrobant dans un petit linge et battre sur la bancada de l’évier de la cuisine), en DERNIER ajouter la cachaça. Si la bouteille a un système « de retention de débit », compter jusqu’à 5 pas trop vite, pour les hommes, et jusqu’à 3 pour les dames. Si la bouteille n’a rien que le bouchon, compter 3 mesurettes de 2 centilitres . Oui, la caïpi doit être un peu corsée

Claudio Bahia dit: à

@ B
je suis très étonné de votre remarque sur Boston.
Cette ville est très belle, hormis les autoroutes urbaines comme partout au USA, il y a des restaurants génials, la région est superbe, le bord de mer vers Salem, et vers Concorde en automne c’est d’une beauté extravagante !! il y plein de ponds ou l’on pêche en été comme en hiver

renato dit: à

Intéressant Claudio, car pour mon anniversaire un ami m’a fait cadeau d’une bouteille de Cachaca (soledade) sans me donner un mode d’emploi, ce qui, compte tenu que je ne fais pas une passion pour le rhum m’a mis dans l’embarras : quoi faire avec ?

B dit: à

Renato, si vous passez, que diriez vous de Victor Pasmore?

Claudio Bahia dit: à

Vedo, comme je vous envie !!
connaissez-vous le oyster house à Boston ? il y a-t-il toujours cette théière géante qui fume accrochée au dessus de je ne sais plus, au centre de la ville ?
êtes-vous plutôt vers le sud? Quincy? Braintree? ou le nord? Salem?
Je suis allé à 11 reprises à Boston pour raisons professionnelles; l’arrivée de l’avion à Logan, superbe, inimitable!
Je devais me rendre soit au siège US à downtown, soit dans une des usines, à Randolph ou Braintree
ainsi vous aussi vous êtes en décalage horaire !!

renato dit: à

Artiste plutôt problématique mais intéressant, B. Vous devriez, éventuellement, lire son Function of Multi-Dimensional Space.

B dit: à

Un petit shaker , imaginez l’objet dans les mains de Moosbrugger, et pour mesurer 2cc comment va t il s’y prendre…

B dit: à

@ Renato.Merci pour la piste.

Claudio Bahia dit: à

à Renato
la païpirinha traditionnelle se fait avec un citron vert, mais on peut aussi faire avec des kiwi, des cerises, des pèches, des mirabelles, des framboises,
il faut un peu tester

renato dit: à

Claudio, la formule avec lime est tentante, demain je l’essaierai.

puck dit: à

avec le cachaca on fait de très bons pisco sour.

Bloom dit: à

Il y aurait 16 Paris aux US.
—
Yep, vedo, mais un seul célébrissime…!
(Quand je disais aux Texans que j’étais de « Paris, France, not Texas », ils ne voyaient pas très bien ce que je voulais dire!).
Montpellier est aussi la capitale du Vermont.
Perso, Boston (prononcé à la québécoise), c’est « juste » un poste, réputé intéressant, celui d’Attaché culturel au Consulat général, qu’a occupé F. Martel il y a un certain temps.
En fait, je ne connais du NE des US que la métropole et l’Etat de New York, avec ses villes universitaires, Albany & Syracuse. Région d’une rare beauté.

vedo dit: à

Claudio Bahia,
J’ai appris ici la prudence sur les affaires personnelles. Mais pour vous, puisque vous connaissez, à Cambridge, près de HS. En effet, Boston est très ludique, ski et voile, marche en montagne en hiver. Le temps au Mt Washington peut rivaliser avec celui de l’Everest. L’arrivée à Logan, bien d’accord. La première fois (cela va faire quelque temps), j’avais demandé l’autorisation d’assister à l’atterrissage dans le cockpit, sur le siège de l’instructeur derrière le pilote. Impressionnant et bien sûr, inoubliable. Bien à vous.

Jean Langoncet dit: à

(une seule Athènes, c’est bien connu des diplomates, celle des B 52)

Jean Langoncet dit: à

Cela dit, j’ai presque fini mon corps à corps (cac pour les initiés) avec un chou vert que je vais enfin pouvoir déguster, agrémenté d’un aïoli des familles. Bonne soirée à tutti

puck dit: à

et une Rome en Georgie

puck dit: à

2 Berlin

puck dit: à

1 Lyon dans le Mississippi

mais pas de Marseille ni de Clermont Ferrand.

puck dit: à

par contre il y a une Genève dans l’Ontario

puck dit: à

comme jeu de société c’est bien.

c’est quoi le nom ?

puck dit: à

2 Milan dans l’Ohio et l’Illinois !

puck dit: à

et bien sûr Naples en Floride ! ville de tous les serial killers.

puck dit: à

1 Madrid dans l’Alabama.

puck dit: à

1 Seville dans l’Ohio…

puck dit: à

Brussels dans le Wisconsin.

puck dit: à

Orange en Californie c’est là qu’y’a Disneyland.

puck dit: à

Versailles dans l’Ohio (qui est le grand gagnant)

puck dit: à

Calais dans le Maine.

puck dit: à

Vincennes dans l’Indiana…

puck dit: à

la Nouvelle Orléans sans la Jeanne.

puck dit: à

Montpellier dans le Vermont.

puck dit: à

Albertville dans l’Alabama, quelle idée ?

puck dit: à

Bayonne dans le New Jersey…

puck dit: à

Bruges je sais plus où ?

vedo dit: à

Bloom, comme attaché culturel à B., quand j’étais étudiant, il y avait qqn du nom de JF Lachronique (pas sûr de l’orthographe).
Pour la marche sur les rochers, en pleine nature, à 20′ de voiture, le Rock Circuit Trail. En ce moment avec la neige, le froid et le ciel tout bleu, une merveille.

Jazzi dit: à

Et combien de Venice ou Venise ?

D. dit: à

Boston ? Moche comme tout. De la brique, de la brique. Mais de la moche. Climat malsain.

MC dit: à

L’université d’ Athènes, Géorgie, est encore un bastion de la recherche sur le Grand Siècle.

Janssen J-J dit: à

1 – j’ai connu un jean-françois Lacronique au CEA. Il est depuis assez longtemps à la retraite
https://jorfsearch.steinertriples.fr/name/Jean-Fran%C3%A7ois%20Lacronique
2 – Non, D., je ne comprends pas pourquoi vous ne me parlez pas. Expliquez-moi, ça me chagrine un brin, alors que je pensais avoir toujours été votre ami,
3 – Je n’ai pas vu de bruno Latour chez « machin », AN. J’ai dû me tromper de chaine, une fois de plus.
4 – Je n’ai jamais atterri dans la ville de Boston, donc je ne peux pas participer à ce passionnant débat, et je le regrette.
5 – C’est surprenant ce que ce Mandrin de Chevènement (de l’ex CERES) parvient à faire comme unanimité chez les erdéliens, c comme une sorte de référence gaulienne de gauche, un peu psychorigide et ferme, comme on aime assez les Godillots. Etalii, quelque chose à rajouter peut-être ? Je crois que vous avez bien connu son épouse qui faisait dans la « psy » lacanienne. (Sauf erreur).
6 – Merci pour la recette du caïpi. Elle va me détendre. La surveillance H24 sur cette chaine épuise les nerfs, en effet.
(***Bon, je pars prendre mon quart de sommeil. A demain, les gars).

vedo dit: à

JJJ, oui, c’est bien lui (JFL). A l’époque, il était bon vivant et animait la communauté française de Boston.
D. Souriez. Pour le climat, voir Mark Twain. Automne magnifique et hiver sensationnels.

Petit Rappel dit: à

« Verena von Heyden-Rynsch: Le Rêveur Methodque, Francesco Zorzi, un Franciscain Kabbaliste a Venise, Paris, Gallimard, 2019. – Ce livre étonne d’abord par sa minceur, 114 pages y compris la bibliographie et les notes. Il étonne tout autant, et cela est plus gênant, par l’absence de toute vue personnelle. Verena von Heyden-Rynsch a certes lu les spécialistes de Zorzi, et elle les cite, mais sans jamais les contester. Son intitulé meme est emprunté à Giulio Busi, « Francesco Zorzi un metodico d’ignare », cité comme en passant, chapitre 11 note 10.De sorte que le lecteur, parti pour être enchanté, se retrouve englué dans une besogne compilatoire qui tient du Que-Sais-je de luxe, mais n’apporte en fait rien de neuf.Il s’agit d’une synthèse, mais en aucun cas d’un travail personnel et approfondi. Ce qui est cité de Frances Yates vient de sa « Philosophie Occulte à l’époque élisabéthaine », mais dans quel état! Ainsi au Chapitre II la note 2 renvoie à Reuchlin, présenté comme élève de Ficin, ce qu’il n’est pas stricto sensu, quand Yates rappelle ( p 41-43) qu’il est plutôt disciple de Pic, ce qui parait avoir échappé à l’auteur. Ce qui est retenu de Pic est partiel et pauvre . Plus grave, l’auteur annexe la Dame du Warburg à propos de l’utilisation effective des Rabbins dans le divorce d’ Henri VIII ( chap III, note 20, qui ne renvoie pas à la page 50 comme indiqué, mais à la page 52) alors que Fr.Yates est très prudente ( trop?) sur l’utilisation de ceux-ci. Cf Philosophie Occulte a l’Epoque Elizabethaine, p 52.. Cette confusion des points de vue est plus que gênante. En recherche, il faut aussi savoir clairement dire je. Quoique la référence soit ici correcte en apparence s’agissant de François Georges de Venise » (Francesco Zorzi) nous avouons n’avoir pas trouvé mention dans le livre de François Secret de cet autodafé de livres luthériens au Rialto pour lequel on l’invoque. Par acquit de conscience, nous avons épluché les 60 autres notes de l’Index sur Zorzi, qui se sont révélées aussi muettes, bien que sans erreurs. Pour finir, quelques étrangetés se signalent d’elles-mêmes au lecteur. On trouve ( p 43) dans un contexte renvoyant à 1530 une mention de la « mise en œuvre implacable de la Contre-Reforme », mais si nos souvenirs sont bons, on a coutume de la dater du Concile de Trente qui ne. S’ouvrira que douze ans plus tard en 1542. Parfois, l’auteur semble découvrir l’eau chaude avec les ennuis d’ Erasme « dont témoignent les archives de l’Inquisition Romaine ».Voilà un scoop! Reste une question: que font là ces pages sur Erasme et More, sinon remplir un livre déjà bien mince en s’éloignant du sujet ? Le chapitre IV offre une probable coquille ( p 78) transformant ce qui est sans doute une « exégèse anagogique « en « « « « exégèse analogique ». L’utilisation des écrits de Frances Yates se poursuit, moins maladroitement peut-être en notes 20-23 et 25-26. Mais n’est-ce pas réduire abusivement son travail que de résumer ses résultats à la constatation « « d’un infléchissement de la Kabbale en un sens clairement chrétien? » Zorzi, selon « La Philosophie Occulte… » se voyait en mage capable de concilier figures païennes et figures chrétiennes: Hermès et St Augustin, Orphee et St François d’ Assise, Platon et Plotin, les Kabbalistes. Or cet aspect syncretique- c’est peut-être le plus grave- semble échapper complètement à l’auteur. On se perd donc en conjonctures sur les raisons éditoriales qui ont amené à publier ce très léger et très publiable opuscule quand tant de travaux importants sur ce sujet ne sont toujours pas disponibles en français. Le sujet méritait mieux que cette compilation peu maîtrisée »

et alii dit: à

petit rappel, merci m c de prévenir le lecteur ,de le conseiller dans ce qu’il est en droit d’attendre, sinon sur ses devoirs , quand bien même il ne serait pas critique( je songe à  » comment parler d’un livre
taratata » vous savez!) et n’aurait pas eu la chance de rencontrer tels et tels auteurs s’expliquant sur son projet au départ!
Ainsi, puisqu’il s’agissait pour moi (au départ) d’une bio sur Pico si je dis que le titre’de LEGENDRE (Pierre), La 901 e conclusion. Étude sur le théâtre de la Raison , Leçons I » est « inspiré de Pico », c’es pour avoir entendu Legendre l’enseigner, autrement dit pour « situer une attente », et « restituer » dans une « certaine mesure », sinon me protéger de préjugés y compris les miens;(on se donne facilement bonne conscience de lecteur! )
evidemment, j’ai ri à la lecture de la story sur la « calotte » à zemmour, sa kipa ! on en aura d’autres surement! bonne suite

JC..... dit: à

RELANCE DU NUCLEAIRE

Enfin ! C’est pas trop tôt….Excellente nouvelle !

JC..... dit: à

CONVOIS DE LA LIBERTE

En France, contrairement aux idées reçues, la « démocratie » ne s’exprime pas au Parlement (constitué de gens-foutre vivant hors sol) mais dans la rue.

Ce qui est malsain car défectueux et bancal.

La République présidentielle le permet en installant des représentant du peuple qui ne représentent qu’eux mêmes. Faux semblant de démocratie…

JC..... dit: à

FONCTIONNEMENT

En permanence, les dirigeants politiques hexagonaux confondent sciemment deux notions bien différentes.

Ils font passer la tactique de réélection bien avant ce qui compte pour une nation : la stratégie à moyen et long terme.

Conséquence : cette vision à court terme garantit inexorablement le déclin de notre cher vieux pays…

Marie Sasseur dit: à

# »evidemment, j’ai ri à la lecture de la story sur la « calotte » à zemmour, sa kipa ! on en aura d’autres surement! »

La prochaine fois qu’il recycle sa petite blague, il racontera sûrement que ses parents lui demanderaient de se décalotter en public.

Marie Sasseur dit: à

« Entre le milieu du xvie siècle et la fin du xviiie siècle, le pays est politiquement divisé en deux, la famille des ministres Trịnh (Chúa Trịnh) contrôlant le Nord et la famille Nguyễn (Nhà Nguyễn) le Sud, tandis que les empereurs de la dynastie Lê (Nhà Lê) ne conservent qu’un pouvoir symbolique. Les Tây Sơn (Nhà Tây Sơn) disputent ensuite le pouvoir aux deux familles, mais ce sont les Nguyễn, avec l’aide de la France, qui remportent la victoire. Au début du xixe siècle, Gia Long de la famille Nguyễn devient l’empereur du pays, qui prend le nom de Việt Nam et continue de reconnaître la Chine comme puissance suzeraine.

Au milieu du siècle, la fermeture du pays au commerce étranger et au christianisme finit par entraîner un conflit avec la France : le Second Empire intervient en 1858 et s’empare du Sud du pays, qu’il annexe pour en faire la colonie de Cochinchine. En 1883, la guerre franco-chinoise provoque une nouvelle expédition française, la France souhaitant à la fois sécuriser sa colonie et s’emparer des richesses du Tonkin au nord du pays. Des traités de protectorat aboutissent à la création de deux nouvelles entités, le Protectorat d’Annam (centre) et le Protectorat du Tonkin (nord). Le pays est désormais divisé en trois, les empereurs Nguyễn ne conservant qu’une autorité symbolique sur l’Annam et le Tonkin, tandis que la Cochinchine fait partie intégrante du territoire de la France. En 1887, les trois entités sont intégrées à l’Indochine française. »
Wiki

Marie Sasseur dit: à

« les empereurs Nguyễn ne conservant qu’une autorité symbolique sur l’Annam et le Tonkin »

Y’a moyen d’en faire un roman.
 » Le devoir de violence », mais asiatique…

closer dit: à

Que celui qui n’a jamais rencontré Chevènement, ou sa femme, ou ses proches, ou son chien, lève le doigt!

Même moi, je l’ai croisé Bd Saint Germain il y a quelques semaines.

closer dit: à

Vu qq minutes Zemmour hier soir sur BFM…Quel talent!

La France éternelle sauvée par un juif berbère bonapartiste…l’Histoire est un roman.

Cependant les archéo gauchistes veillent. Ils continuent de lutter courageusement contre le nazisme et le retour des heures les plus sombres de notre histoire, tandis que les juifs et le mode de vie français sont expulsés de facto de quartiers entiers, en attendant mieux, par la colonisation de l’islam.

Amis gauchos, cela ne vous gêne pas d’être aussi cons ? Franchement ?

Je ne voterai évidemment pas pour Zorglub, car j’appartiens au « cercle de la raison » (copyright Alain Minc qui, comme moi, votera VP).

Marie Sasseur dit: à

# »en attendant mieux, par la colonisation de l’islam. »

Vaste programme.

Marie Sasseur dit: à

Faut pas avoir peur d’insister, avec ce pied-noir:

« « Quand le Général Bugeaud arrive en Algérie. Il commence à massacrer les musulmans et même certains Juifs. Eh bien moi, je suis aujourd’hui du côté du Général Bugeaud. C’est ça être Français », a-t-il asséné. »

Jazzi dit: à

La guerre d’Indochine, c’est la chronique d’une défaite annoncée.
Je me souviens qu’Alain Delon s’était engagé pour y aller.

JC..... dit: à

MODE DE VIE

Les heures les plus sombres de notre histoire, c’est loin, c’est vieux, c’est dépassé ! On peut faire mieux.

Notre peuplade est géniale !

Jour après jour, Président après Président, décision stupide après décision idiote, conflit foireux après enlisement crétin, économie bradée après délocalisation suicidaire, ne perdons pas espoir. On peut faire mieux !

Les veaux du Général peuvent devenir rapidement les pangolins d’un futur immédiat qui s’impose déjà…

Marie Sasseur dit: à

Le journaliste politique français Eric Zemmour a évoqué ses origines algériennes lors de son passage dans l’émission « Face aux médias » sur Non Stop People, ce mercredi 27 mai. Le polémiste controversé a déclaré qu’il ne prétendait pas être un « Français de souche », rappelant qu’il est issu d’une famille juive algérienne.   

Le journaliste, qui suscite souvent la polémique en France notamment, pour ses positions hostiles à l’immigration et son acharnement à défendre une « France française », a concédé, cette fois, qu’il n’était pas un « Français de souche ».

« Moi, mes parents viennent d’Algérie, comme je dis toujours, je ne suis pas un Français de souche, (…), je ne prétends pas être Français depuis 1000 ans »,« Simplement, j’ai appris les codes de cette assimilation à la française et je croyais que tout le monde marchait comme moi »

C’est l’histoire d’un mec sui fantasme l’histoire d’un pays qu’il ne connaît pas, mais y importe une haine ancestrale familiale du pays d’où il vient.

Pour le reste, rien que de tres basique, déjà remarqué chez quelques identitaires, néo nationaux de fraîche date :Le dernier arrivé ferme la porte.

Jazzi dit: à

Alain Delon apporte son soutien à Valérie Pécresse pour la présidentielle de 2022, closer.
Pour qui Bernard Tapie aurait-il appelé à voter ?

Anthime dit: à

Je me souviens qu’Alain Delon s’était engagé pour y aller.

Cohérence d’une vie – il soutient et vote Le Pen, de père en fille.

Jazzi dit: à

Mais quel est donc le dernier arrivé sur la RDL ?
Patrice Charoulet postulerait-il à l’emploi de portier ?

Jibé dit: à

Bloom, j’ai bossé sur les heurs et malheurs de John Henry Newman vs Mgr Merry del Val, un irlando-espagnol, vous voyez le genre! Un converti de l’anglicanisme rencontrant frontalement un catholique raide comme une croix de bois croix de fer. De ce fait, j’ai dû élargir à tous les Victoriens -sa Majesté étant chef de l’Eglise anglicane.
D’où une certaine expertise pour aller parler du fait religieux avec d’autres, chez le ministres, sachant que de puis ma thèse j’avais largement étendu mon champ de recherche à d’autres qu’anglais, irlandais, catholiques ou pas.

Jibé dit: à

le ministre sans s

Jazzi dit: à

« Le cortège de routiers inspiré des blocages au Canada compte gagner Paris vendredi pour « bloquer la capitale en entravant la circulation routière », selon la préfecture. »

Pas de bol, question entrave à la circulation routière, Anne Hidalgo a déjà sévi !

Janssen J-J dit: à

@ /autrement dit pour « situer une attente », et « restituer » dans une « certaine mesure », sinon me protéger de préjugés y compris les miens/; – C’est clair -; Alain Delon ne votera pas contre ses préjugés ni pour Eric Woerth.

@ « se décalotter en public » ?… Inutile, ma soeur, quand on a été coupé en bas âge par le grand Sécateur. Je vous rappelle les faits.

@3 – Bonjour à tous.tes,

Marie Sasseur dit: à

Il ne faudrait pas que ça dérape, pour ceux qui ont des zemmouroïdes.
Une calotte sur une tête de nœud, par exemple, c’est vite dit.

Jazzi dit: à

Droit dans le mur pour Zemmour !

« Le candidat d’extrême droite a indiqué vouloir la construction d’un mur aux frontières extérieures de l’Union européenne avec une « police spéciale » et des « garde-frontières » pour lutter contre l’immigration. »

poussière dit: à

ah chère MS, chez moi non plus je n’ai souvenir d’aucune intervention digne d’intérêt lol, mais soyez rassurée: très peu de regrets, bien au contraire…

Marie Sasseur dit: à

@ah chère MS, chez moi non plus je n’ai souvenir d’aucune intervention digne d’intérêt lol, mais soyez rassurée: très peu de regrets, bien au contraire…

????

C’est ce lien qui ne passe pas ?

« Un magazine américain loue « la force du vélo » pendant la guerre au Vietnam

Avec la topographie du Vietnam montagneuse et forestière, les vélos furent un outil formidable et d’ailleurs surnommés les « chevaux d’acier de l’Armée vietnamienne ». »

https://fr.vietnamplus.vn/societe.vnp

et alii dit: à

à propos du patronyme Mendes:
j’en connais au moins deux autres qui ne sont pas juifs, mais l’un des deux ARISTIDE DE SOUSA MENDES ,consul portugais à BORDEAUX, (il a été au BRESIL, CLAUDIO, s’opposa au nazisme,offrit l’hospitalité au rabbin d’ANVERS?ET DONNA DES VISAS pour fuir le nazisme aussi aux juifs:il est condidéré comme un juste à YAD VASHEM? IL AVAIT OSE DIRE3 Désormais, je donnerai des visas à tout le monde. Il n’y a plus de nationalité, de race, de religion « .
L4AUTRE MENDES EST PLUS CONNU/C4EST Catulle Mendes
issu de juifs, mais catholique par sa mère;
son beau-père lui avait donné un surnom ,et vous le connaissez bien https://fr.wikipedia.org/wiki/Catulle_Mend%C3%A8s

Marie Sasseur dit: à

@ah chère MS, chez moi non plus je n’ai souvenir d’aucune intervention digne d’intérêt lol, mais soyez rassurée: très peu de regrets, bien au contraire…

????

C’est ce lien qui ne passe pas non plus ?

« L’univers qu’Aristote pensait être éternel et immuable n’est plus. Il possède un passé et un futur, un début et une fin, et c’est cette histoire que nous raconte l’astrophysicien Trinh Xuan Thuan »
https://actualitte.com/livres/404861/beaute-et-harmonie-de-l-univers

Trinh Xuan Thuan (né le 20 août 1948 à Hanoï au Viêt Nam) est un astrophysicien et écrivain vietnamo-américain, d’expression principalement française.
Wiki

renato dit: à

Mais voyons ! un footballeur apprend à son fils à torturer un chat. Son club lui inflige une amende de deux semaines de salaire, soit environ 300 000 € bruts. Entre-temps, le footballeur a perdu son contrat de sponsoring avec Adidas. Ce qui montre qu’un brin de bon sens reste dans ce bas monde, mais un crétin se pose la question de barbare si ce n’est pas trop payer on le trouve toujours… Moi, j’ajouterai une année de volontariat dans un refuge pour animaux abandonnés.

renato dit: à

Un mur aux frontières extérieures de l’UE risque de couter un bras, surtout la partie sur Notre Mer…

et alii dit: à

aristide
Aristides de Sousa Mendes est condamné à une mise à pied d’un an lors d’un procès disciplinaire., au nom de Salazar ‘sale hasard! Aussi, les visas sont déclarés nuls. Sousa Mendes est traduit devant le Conseil de discipline à Lisbonne, accusé de désobéissance, préméditation, récidive et cumul d’infractions. Il est mis à la retraite après trente ans de service.

D. dit: à

renato, quel est votre niveau en Viêtnamien ? Moi je vise l’agrégation.

Jazzi dit: à

« au nom de Salazar ‘sale hasard! »

Très drôle, et alii, en lacanienne !

D. dit: à

Jazzi dit: à

Droit dans le mur pour Zemmour !

« Le candidat d’extrême droite a indiqué vouloir la construction d’un mur aux frontières extérieures de l’Union européenne avec une « police spéciale » et des « garde-frontières » pour lutter contre l’immigration. »

–

Et pourquoi pas Jazzi ? On pourrait ainsi t’embaucher pour le construire. J’ai l’impression que tu t’ennuies. Tu sais manier la truelle ?

D. dit: à

C’est bien payé le bâtiment, tu sais.

racontpatavi dit: à

Tu sais manier la truelle ?

Jazzi, a-t-il passé le test de maçonnerie pendant les trois jours de sélection de l’armée que l’on pratiquait avant le service militaire?
(Jadis…)

DHH dit: à

@petit rappel
je ne connaissais pas même de nom le personnage de Zorzi dont la vie et l’oeuvre où se rencontrent apparemment néoplatonisme, kabbalisme pensée rationnelle et pensée magique, me donne envie de le découvrir
Mais je voudrais lire sur lui autre chose que le livre que vous citez .Le crime de lése-Yates dont, comme vous le montrez, se rend coupable l’auteur que vous citez me semble jeter un discredit sans appel sur son oeuvre
*

racontpatavi dit: à

Pour ma part, 17/20, le commandant croyait que j’étais maçon dans la vie courante!
Classe 76/08.

J’aimais les mots truelle, varlope et égoïne, cette petite part de la vérité de la vie quotidienne.

D. dit: à

La cédille ?

Jazzi dit: à

« Tu sais manier la truelle ? »

Pour mettre la Méditerranée sous cloche, comme la très bien fait remarquer renato !
Plus con que Trump, le Zemmour ?

Jazzi dit: à

l’a…

racontpatavi dit: à

La cédille ?

Elle sourit 😉 🙂 😉

La Cédille qui sourit et La Fête permanente

Robert Filliou se rapproche de l’esprit Fluxus (il fait la connaissance d’Emmett Williams et de George Maciunas), sans toutefois totalement y adhérer. Installé à Villefranche-sur-Mer, il ouvre en 1965 avec George Brecht un atelier-boutique : La Cédille qui sourit.

« On faisait des jeux, on inventait et „désinventait“ des objets, on était en contact avec les petits et les grands, on buvait et parlait avec les voisins, on produisait des poèmes à suspense et des rébus qu’on vendait par correspondance. On a commencé une anthologie des malentendus et des blagues à partir desquels on a fait des films, avec des scénarios d’une minute… » La fin des activités de La Cédille qui sourit (1968) ouvre sur la création d’« Eternal Network », « La Fête Permanente » : « L’artiste doit se rendre compte qu’il fait partie d’un réseau plus vaste, de la „Fête Permanente“ qui l’entoure partout et ailleurs dans le monde. Pour changer, nous allons aussi annoncer des fêtes, des noces, et des divorces comme spectacles, et aussi bien des débats judiciaires, des funérailles, le travail dans les usines, des tours de ville, des manifestations pour les Noirs et contre le Vietnam, les bistrots, les églises, etc. » En 1967, Robert Filliou s’installe à Düsseldorf où il rejoint Daniel Spoerri et Dieter Roth. C’est à cette époque qu’il élabore le concept de « création permanente » lié au « Principe d’équivalence : Bien-fait/Mal-fait/Pas-fait » (galerie Schmela, Düsseldorf, 1969). « Je parle beaucoup de la Création Permanente et j’essaie de la rendre accessible aux autres. Mais il y a quelque chose que j’estime être le secret relatif de la Création permanente, c’est ce qui suit : quoi que tu fasses, fais autre chose. En français cela s’appelle l’Autrisme. Comme je ne supporte pas les „ismes“ j’en ai fait un par ironie. »

Jazzi dit: à

Je ne m’ennuie jamais D.

Jazzi dit: à

Quand j’ai fait mes 3 jours, RCPTV, cela durait pas plus de 24 heures.

et alii dit: à

raconte pas ma vie:
restez dans le sujet:apres la calotte, les taloches sont indispensables!

bouguereau dit: à

quoi que tu fasses, fais autre chose

..jleur dirais bien daller sfaire hanculer mais ça les chanjrais pas qu’elle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

Quand j’ai fait mes 3 jours, RCPTV, cela durait pas plus de 24 heures

c’est havec baroz..que tout à commencé à foute le camp

bouguereau dit: à

Je ne m’ennuie jamais D

on dirait une pub de télé 7 jours du temps de charles pasqua..le temps passe..30 piges c’est plus rien pour baroz

lmd dit: à

À propos d’«architecture créolisée» dans l’ancienne Indochine française, on peut rappeler que l’Indochine n’étant pas une colonie de peuplement il n’y avait pas de gros enjeux immobiliers.
Les fonctions de capitales nationales étaient assurées historiquement par Hué, Hanoi, Phom Penh, Vientiane avec des architectures traditionnelles ou vernaculaire qui n’avaient donc besoin d’aucune créolisation.
La qualification de perle des colonies vient essentiellement de ce que l’Indochine à produit beaucoup d’argent en terme de capitaliste et impérialisme colonial ( sans dépenser beaucoup ça rapportait beaucoup). Je ne pense pas que le terme de perle soit dû à l’image pittoresque.
Sur le plan formel, si personne ne tient à l’académisme bourgeois anglais ou français, il n’y a pas de justification à la créolisation.
Des villes coloniale ayant une véritable fonction urbaine économique se sont construites à partir des formes d’une architecture internationale de qualité (1930), Casablanca, ou, un peu moins, Tunis.
Des capitales de pays accédant à l’indépendance se sont exprimées par l’architecture la plus contemporaine, Chandigar, capitale du Pendjab (le Corbusier), ou Dhaka, capitale du Bangladesh (Louis Kahn).

bouguereau dit: à

de pevsner il n’y en a quun mirifique c’est anton

racontpatavi dit: à

que tout à commencé à foute le camp

Dans la forêt de Bouconne!

Amanda Lire dit: à

de pevsner il n’y en a quun mirifique c’est anton

Vrai le boug! 😉

bouguereau dit: à

À propos d’«architecture créolisée»

c’est un pléonasme..langliche havec son architecture « anglo normande »..celtique qu’il ozrait jambon..et son arsseur..leur naturel d’euxfeurd..que dlimport qu’il dirait clème

racontpatavi dit: à

raconte pas ma vie:
restez dans le sujet

L’ hôpital qui se fout de la charité cette grosse Lienne!

Et à Lienne

bouguereau dit: à

Moi, j’ajouterai une année de volontariat

c’est que le guénéral rénateau t’enverrait en mine de sel d’un coup dmenton baroz..mais voilà..une année en taule en france c’est pus quun weekend qu’il dit zemmour..faut changer tout ça sacrénom!

bouguereau dit: à

Un mur aux frontières extérieures de l’UE risque de couter un bras

c’est la suisse qui va faire marcher sa pompe à phinance qui pue..de gnève..la mère térezoune sra à la manoeuvre d’un coté et dédé de l’autre..la politique c’est pas compliqué sacrénom

Marie Sasseur dit: à

Avec la truelle, choisissez la bonne taloche !

Et Alien +1

renato dit: à

bouguereau passe, laisse sa petite fiente et s’en va…bouguereau passe, laisse sa petite fiente et s’en va… on dirait Monsieur Coquerel !

et alii dit: à

raconte pas ma vie
c’est du banquet d’hoMOnyme du MAMA AVEC SPOERRIX QUE LE GRAND CHEF M2DIATIQUE PIEGE EST ENTR2 DANS LA CARRIERE/
« tondre un œuf » (qui veut dire : chercher le profit coûte que coûte) ! Habité de joie, Spoerri n’a pourtant pas tout à fait connu une vie privilégiée : né en Roumanie de parents juifs et évangélistes, Daniel connaît l’exil à l’âge de 11 ans, après la mort de son père lors du pogrom de Iași en 1941. Il grandit en Suisse, où il débute une carrière de danseur à l’opéra de Zurich, puis de Berne et enfin au Landestheater de Darmstadt, qu’il quitte en claquant la porte à 29 ans, avide de nouveauté. Avant d’entamer sa carrière d’artiste-plasticien, il crée un journal de poésie concrète en 1957, puis en 1959 une maison d’éditions d’œuvres originales très peu coûteuses
ET
CHEZ FLAMMARION
https://livre.fnac.com/a2687931/Jean-Francois-Piege-Jean-Francois-Piege-dans-votre-cuisine
https://www.beauxarts.com/expos/les-joyeux-banquets-de-daniel-spoerri/

bouguereau dit: à

Pour qui Bernard Tapie aurait-il appelé à voter ?

bientôt ça sra pasqua et napo..en plus y fait tourner les tables baroz..et les urnes..comme en corse..pas la peine de vous déranger..on a bossé pour vous

bouguereau dit: à

ici c’est « chez rénateau »..pourquoi pas

bouguereau dit: à

Amis gauchos, cela ne vous gêne pas d’être aussi cons ? Franchement ?

Je ne voterai évidemment pas pour Zorglub, car j’appartiens au « cercle de la raison »

encore un macroniss honteux..

et alii dit: à

C2DILLE?
Qu’est ce que c’est que cette taloche macron
TALOCHE MAÇON **

bouguereau dit: à

j’ai presque fini mon corps à corps (cac pour les initiés) avec un chou vert

dédé y sfrait mettre..il s’attaque quau choux de bruxelles à lunettes

bouguereau dit: à

Avec la truelle, choisissez la bonne taloche !

il n’y en pas de mauvaises..il ny a quun bon moment

D. dit: à

Ce matin une énorme mouche noire avait réussi à rentrer chez moi. J’étais en train d’ouvrir une fenêtre pour lui faciliter la sortie quand soudain mon chat l’a choppée entre ses deux pattes et l’a ingérée avec une délectation non dissimulée.
Parfaitement dégueulasse mais quel beau boulot. Je l’ai longuement félicité.

D. dit: à

La concordance des temps est évidemment incorrecte dans mon petit texte mais je m’en fous complètement.

bouguereau dit: à

on dirait Monsieur Coquerel !

quand qu’on parle de pompe a phynance suisse qui pue..et qui pompe..rénateau sent tous ses niveaux baisser comme un sherman qui piste un lapin en 40

bouguereau dit: à

..et ta gueule keupu

D. dit: à

Oui c’est vrai, ta gueule keupu.

D. dit: à

Trois fois valent mieux que deux : Ta gueule keupu.

vanina dit: à

Cadeau de mariage, 100 bouteilles de Barolo, producteur Bartolo Mascarello. Généreux amis .
Cette provision princière a mis longtemps à terminer.
Possible avec un vin comme le Barolo, impossible avec vins « jeunes ».

Terminée Correspondance de Gide avec Maurice Brouin, un tome assez exaspérant, par endroits, mais ce qui surnage, à la fin, c’est la générosité de Gide, quant à l’argent, et la droiture morale de son ami.Grand intéllectuel, grand pédagogue, bon père. Il aura travaillé toute sa vie pour ce « Goethe », posthume,se tuant de travail ,en plus de son proféssorat, pour subvenir aux bésoins des siens.Un patriote dans le bon sens du mot.Un chic type.Il a aimé Gide, dont il connaissait l’envers et l’endroit, s’est brouillé avec au moins une fois, mais n’a jamais cessé d’avoir confiance dans l’artiste, l’écrivain.Un phare dans temps troubles, et quels temps ne sont pas troubles?

Jazzi dit: à

Se souvenant que Rome et Paris sont liés par un contrat exclusif de jumelage, le léZard s’est attardé longuement hier dans les bas-fonds de la Ville éternelle !

et alii dit: à

lu sur l’obs:
le prix sigmund FREUD A Macron !
compliments

et alii dit: à

j’ai oubié un MENDES France:TRISTAN
Tristan Mendès France, né à Bordeaux le 7 mars 1970, est un blogueur, essayiste et réalisateur français. Il intervient dans le domaine du numérique.
Fils de Joan et Michel Mendès France, et petit-fils de Pierre Mendès France1, Tristan Mendès France naît en 1970 à Bordeaux, dans la Gironde.
IL A UNE PAGE WIKI /
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tristan_Mend%C3%A8s_France

Alexia Neuhoff dit: à

vanina dit: à
« Il a aimé Gide, dont il connaissait l’envers et l’endroit »

Bouguereau y verra-t-il malice ?

et alii dit: à

SON PERE/
Michel Mendès France est un mathématicien français né le 1er janvier 1936 dans le 16e arrondissement de Paris et mort le 30 janvier 2018 à Pessac.

Polytechnicien (X 1957), professeur émérite à l’Université de Bordeaux-I, professeur associé à l’Université du Québec à Montréal, il est le fils de Pierre Mendès France, homme d’État, et de Lily Mendès France née Cicurel. Époux de Joan Mendès France, il a deux enfants, dont Tristan Mendès France.

renato dit: à

Le pseudo-célinien qui cause « pompe à phynance » suisse : il n’y a pas de limites au pire.

Phil dit: à

corrrespondance avec Maurice Brouin,

sans doute Marcel Drouin, dear Vanina qui a dû boire un coup de barolo. Homme brillant qui n’a jamais publié sa thèse sur Goethe que Gide, son futur beau-frère, disait exceptionnelle. Tout ça nous change des écrivaillons de la fausse histoire et autres pince-fesses indochinoises.

et alii dit: à

A MES YEUXaprès les balivernes qu’il a servies sur l’histoire de France(Dreyfus, Pétain) balivernes qu’un professeur d’histoire dans le secondaire n’accepterait pas d’un élève, Zemmour ne devrait pas être autorisé à se présenter à la présidence de la république; cette histoire paraît une blague

Jazzi dit: à

La conversation en surplace, intelligente et convenue entre personnes de bon aloi hier, chez ultrabright, ne m’a pas donné l’envie de lire les romans de Nicolas Mathieu, que vous semblez beaucoup apprécier, JJJ !

Jazzi dit: à

« Zemmour ne devrait pas être autorisé à se présenter à la présidence »

Bonne idée, et alii, en plus des parrainages, les candidats devraient être soumis à un test de connaissances générales, comme on le demande aux postulants à la nationalité française !

Marie Sasseur dit: à

Vite fait déroulé la vidéo bfm en tweet relayée par Passou, zemmour contre l’historien.

Les éléments de langage de ce délinquant neofasciste sont parfaitement rodés.
A autorité intellectuelle des universitaires il répond ideologie, wokisme , et decolonialisme
Au fait que le régime de Vichy ait persécuté des Juifs pour l’Allemagne nazie, il répond que c’est la milice.

… Il paraît que ce « candidat » a fait des études supérieures ? Avec Faurisson ?

Damien dit: à

C’est curieux, sur ce blog à Passou, de considérer la longueur de chaque post. Il y a ceux qui écrivent une ou deux lignes, qui n’ont aucun souffle, sauf à poster à répétition, mais sans jamais construire de discours : c’est le cas de D ou B, qui se contentent d’une simple initiale. Il y a ceux qui, à l’opposé, font dans la longueur. Par exemple DHH, ou même Sasseur, qui a toujours plein de bonnes idées. Ceux qui, comme Jazzi, aiment donner des liens à tout va qui n’intéressent personne. Le blog à Passou ne leur suffit pas, ils ont créé le leur ! Il y a aussi ceux qui font un effort, pour briller devant la compagnie ; mais on voit bien qu’ils ont du mal à aller au bout du paragraphe, comme Bahia ou Clopine (cette dernière tentant de surpasser Proust, c’est son défi, la pauvre !). Et puis enfin, ceux qui comme Bouguereau ont le don d’invisibilité, sauf à sortir quelques propos orduriers pour réveiller les internautes qui s’endorment devant une telle catastrophe. Bloom et et alii sont hors concours, car universitaires, ou prétendus tels !

Marie Sasseur dit: à

Ah oui ? Et en plus j’ai du pétrole, à bientôt 2 euros le litre, c’est ça qui est formidable.

Damien dit: à

Sasseur, vous gérez une station service Total ?

Marie Sasseur dit: à

Non, j’ai une carte GR, lol

Damien dit: à

Je suis déçu ! Je vous croyais strip-teaseuse au Crazy Horse !

Jazzi dit: à

« Le blog à Passou ne leur suffit pas, ils ont créé le leur ! »

Au cas où il venait à disparaître soudainement, on n’est jamais trop prudent, Damien !

Jazzi dit: à

il viendrait…

Janssen J-J dit: à

A votre place devant le petit écran-cran, jzmn, j’aurai conclu à la même chose.
Ne perdez surtout pas votre temps à lire les merdes de ces « écrivains de bon aloi » qui ne savent pas se vendre, à la différence de ces lezzards qui répandent leurs fromages « goût-da » sur le blog des perdreaux et des coucous. Bàv,

D. dit: à

Damien a raison.

D. dit: à

Je lui donne entièrement raison.

D. dit: à

Ce soir je me fais des merguez en gelée.

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