Enfin « le » grand livre sur l’Épuration !
Même pas sûr ce que ce soit un paradoxe : le grand livre sur l’épuration en France vient de paraître en format de poche. Il s’agit bien d’un inédit, chose assez rare pour être soulignée. Le titre Les Françaises, les Français et l’Épuration (810 pages, 11,90 euros, Folio/Histoire), sans oublier le sous-titre programmatique en page de garde « 1940 à nos jours », annonce la couleur. Il ne s’agira pas seulement des institutions et des partis, des instruments de répression et des systèmes politiques, mais des gens. Et les auteurs François Rouquet et Fabrice Virgili annoncent également leur couleur en distinguant dès le titre les femmes des hommes, ce qui tout aussi rare, et en pratiquant le cas échéant au long de leur texte l’écriture inclusive. Car ils ne sont pas seulement des historiens et des universitaires spécialistes de la Seconde guerre mondiale : leurs travaux ont la spécificité de porter également sur le genre. Nul doute que leur livre fera date dans l’historiographie de la période.
Depuis les années 50, il en est certes d’autres sur la question. Mais ils sont soit obsolètes, largement dépassés par les acquis des nouvelles recherches, soit consacrés à un aspect seulement du phénomène (une période restreinte, une corporation en particulier), soit trop sensationnels dans leur parti pris. A partir de 1967, l’Histoire de l’Epuration en quatre volumes de Robert Aron donna le « la » en instillant l’idée que le phénomène s’était déployé dans l’arbitraire et la violence aveugle ; il fut suivi par The Resistance Versus Vichy: The Purge of Collaborators de l’historien américain Peter Novick paru en 1968 et traduit dix-sept ans plus tard en France (je m’ enorgueillis d’en avoir été l’éditeur aux éditions Balland). Mais bien que le second ait eu le mérite d’exprimer un point de vue plus nuancé, froid et distant à partir d’une recherche dans les archives, celles-ci ne s’ouvrirent vraiment que plus tard. Mais l’un comme l’autre s’en tenaient à une appréhension essentiellement politique et judiciaire du phénomène. Le travail de Rouquet et Virgili a ceci de remarquable qu’il constitue une synthèse, la première du genre, équilibrée, informée, documentée, nuancée, de l’histoire de l’Épuration, qui tienne compte des apports et nouveautés de toutes les recherches et avancées, publiées ou inédites, de ces trente dernières années (on peut en lire ici un extrait).
S’il est un point sur lequel ils sont prioritairement attendus au tournant, c’est bien celui des chiffres. Longtemps, une presse et des ouvrages néo-pétainistes ont diffusé sans guère de preuve le bilan de quelque 100 000 morts, accréditant « le mythe du bain de sang » ; puis Robert Aron estima les pertes à 30 000/40 000 morts ; par la suite, des historiens qui ne pouvaient encore avoir accès aux archives se basèrent sur des sources préfectorales pour reprendre le chiffre de 10 000 morts suite à l’épuration extrajudiciaire. Rouquet et Virgili sont autrement plus pondérés preuves à l’appui : 9100 exécutions sommaires dans une proportion d’1 femme exécutée pour 4 hommes (car contrairement à une légende têtue, une de plus démontée par ce livre, le général de Gaulle n’a pas gracié toutes les femmes) ; sur 310 000 affaires traitées par la justice, 180 000 furent classées ; 20 000 femmes tondues pour la plupart à l’été 1944 sous l’accusation de collaboration, mais contrairement à une idée reçue, la moitié seulement d’entre elles se voyaient reprocher leur collaboration « horizontale », selon l’expression consacrée, l’autre moitié étant punie pour les mêmes crimes que les hommes (dénonciation, travail pour les Allemands, militantisme politique etc) ; sauf que, même si cela n’excluait pas des peines de prison ou d’indignité, les femmes étaient aussi tondues, dénudées, exhibées. Le fait est que l’on a tondu dans toute la France et que ce rituel expiatoire s’est déroulé les premières semaines dans l’assentiment général, contrairement à ce que la Résistance voudra faire croire par la suite. Historiens du genre, les auteurs apportent là une explication qui manquait à l’intelligence de ces processions de corps de femmes offerts au voyeurisme, à la vindicte et à la haine de la populace :
« Ce sont des pratiques qui s’érigent en une mise en scène du corps, laquelle brave les tabous de l’époque et revendique explicitement cette dimension sexuelle. La chevelure, attribut de la séduction, marqueur culturel de la différence entre les sexes dans bien des sociétés et à différentes époques, que les religions monothéistes ont longtemps imposé aux femmes de cacher, la chevelure perçue comme symbole de la trahison en 1944, doit également disparaître. Le corps métaphore du territoire national, donc symboliquement souillé par l’ennemi, doit être purifié. Reprendre ainsi possession du corps de ces traitresses invite les hommes de France à rétablir une virilité perdue dans les humiliations successives de la défaite et de l’Occupation ».
En fait, si la mémoire nationale fait débuter l’Épuration à la Libération, celle-ci a véritablement commencé dès les premiers temps de l’Occupation. En juin 1941, le journal résistant Défense de la France prévenait :
«Vous serez tondues, femelles dites françaises qui donnez votre corps à l’Allemand »
Déjà, des articles de la presse clandestine, des tracts dans les boîtes aux lettres, des émissions de Radio-Londres promettaient le châtiment aux « mauvais Français »,des listes noires réelles ou fantasmées circulaient (à la Sorbonne en 1943). Toutes choses qui participaient tant d’une menace que d’une promesse.
Formellement, ça s’est passé d’abord passé en Corse à l’automne 1943, premier département libéré aux lendemains de la chute de Mussolini. La Résistance locale s’étant emparée des préfectures et sous-préfectures, les évènements s’accélérèrent. Les femmes soupçonnées d’avoir couché avec l’occupant (italien, en l’espèce) furent exposées tondues et nues au regard de la foule, des indicateurs de police, des délateurs notoires furent exécutés sans autre forme de procès. Pour autant, ce qui s’est passé en Corse n’est pas vraiment une répétition générale de ce qui se passera un an après sur le continent. Pour trois raisons : les liens de parenté et d’amitié entre les belligérants, l’éloignement de certaines personnalités de l’île décidé par le préfet et surtout le fait que l’occupant se soit peu appuyé sur la Milice pour réprimer la Résistance.
On ne sera pas surpris d’apprendre que les régions de France où la vengeance s’est abattue avec le plus de violence sont celles qui ont eu le plus à souffrir de l’action conjointe de l’armée allemande et le Milice française. De même on ne sera pas étonné de lire que l’épuration fut souvent une question de voisinage, comme le fut la délation sous l’Occupation. On dénonce celui qui a dénoncé, collaboré, trafiqué, tué, vendu, étant entendu que le collabo, c’est toujours l’autre. Rien de tel pour s’accorder à soi-même un certificat de civisme. Le processus est rendu plus naturel encore dans les communes, villages, villes moyennes et dans les quartiers des grandes villes, là où tout le monde se connait :
« Se punir entre soi est alors indispensable pour retrouver une place au sein d’une communauté reconstruite pour refonder la nation ».
Ne jamais oublier que l’Epuration est une guerre civile succédant à ce qui fut aussi une guerre civile. Il y a bien eu une justice au coin du bois à l’été 1944, même si tout ne s’est pas fait à l’insu des regards ou hors prétoire. Nombre d’exécutions sont publiques et à Nîmes, elles ont même les arènes pour théâtre ; elles ont toujours lieu par fusillade comme le prévoient les tribunaux militaires et non par décapitation comme pour les droits communs, et à Paris dans l’enceinte des forts militaires de Châtillon et de Montrouge. Les condamnations à la tonte n’ont pas pour cadre un tribunal mais un bistro comme à Trégastel où se réunit le Comité local de libération. Les auteurs soulignent d’ailleurs un détail peu connu, à savoir qu’une bonne moitié du public est composé de femmes et de jeunes filles, ce qui « renvoie aux tricoteuses des échafauds de la Révolution française et assimile la foule au registre l’irrationnel, à l’hystérie et au féminin ».Plus encore que l’expression de « justice au coin du bois », celle « d’épuration sauvage » semble beaucoup gêner les auteurs, qui la récusent pour ce qu’elle insinue selon eux dans l’inconscient populaire : l’idée d’une barbarie indigène, qui contrasterait donc avec la civilisation extérieure au local.
Pour autant, Rouquet et Virgilli jugent inadapté le concept de « brutalisation » forgé par leur collègue américain George Mosse (1990) pour désigner la situation des sociétés européennes au lendemain de la première guerre mondiale. Car en France, si la violence s’est bien exercée sitôt la Libération par leurs anciennes victimes contre ceux qui la leur avaient fait subir, elle a rapidement décru jusqu’à être récusée. D’une manière générale, les Français se déprennent de l’Épuration à partir de l’été 1945, après le procès de Pétain.
Même lorsqu’on croit bien connaître tant la période que le phénomène, on apprend une quantité de choses dans ce livre à l’écriture fluide malgré les références et la rigueur du propos. Des histoires et des détails inconnus, méconnus ou oubliés, qui n’ont rien d’anecdotiques. Ainsi la tenue d’un tribunal populaire treize jours durant (18 août/31 août 1944) à Pamiers alors que des combats se poursuivent encore dans le reste de l’Ariège ; près de deux cents personnes du département sont arrêtées, des femmes tondues et exhibées, et plusieurs dizaines d’accusés exécutés après avoir été « jugés » moitié par des officiers FTP (communistes) moitié par des habitants, et enterrés dans une fosse commune. Il n’y a pas que l’Ariège même si peu lui disputent la palme du déchainement le plus sanglant. On expliquera ce paroxysme de la Terreur par l’atrocité de la répression allemande et milicienne locales, par la défaillance des autorités préfectorales à peine en place et par un emballement nourri par le légendaire révolutionnaire.
Cela dit, les tribunaux militaires, instaurés pour juger tous ceux qui se sont rendus coupables de trahison (article 75 du Code pénal), dont le marché noir ne relève pas, ne sont pas en reste. La cour martiale du Grand-Bornand (massif des Glières, il est vrai…) a jugé en moins de 24 heures, dans la précipitation de la Libération, près de cent miliciens et en fait fusiller la moitié. Une justice de guerre certes « expéditive mais légale » durant laquelle un brassard suffit parfois à asseoir une autorité.Autre événement peu connu ou inconnu de cette période : les attaques de prisons. A partir de novembre, des commandos armés de justiciers populaires, soutenus par des centaines sinon des milliers de manifestants insatisfaits des sentences prononcées, ont en effet forcé sous la menace des gardiens de prisons à leur remettre certains détenus condamnés à mort puis graciés.
Ainsi à Bourges où une fois exfiltrés, deux d’entre eux furent abattus à cinquante mètres de la prison. Le même scénario s’est reproduit fin 1944 surtout dans le sud du pays (Béziers, Gap, Digne) où l’on compta ainsi des dizaines de morts. Les rapports des Renseignements généraux indiquent que, pour justifier ses encouragements au lynchage, la population explique que la faute en incombe aux autorités à Paris qui l’obligent ainsi à exécuter elle-même une décision de justice. Il en est ainsi jusqu’à l’été 1945, soit pendant un an, jusqu’à ce le massacre à Rambervilliers (Vosges) de toute une famille réputée collaboratrice, y compris trois très jeunes enfants, fasse basculer définitivement l’opinion publique contre cette justice populaire, lui donnant ainsi un coup d’arrêt.
Mais en 1966, après que le général de Gaulle ait gracié Jean Barbier, ancien chef du PPF de Grenoble, membre de la Waffen-SS et de la Gestapo, reconnu coupable de nombreux meurtres, condamné à mort par contumace, rattrapé par son passé et emprisonné, les organisations de la Résistance dans le Dauphiné exprimèrent leur vive indignation ; si bien que deux prisonniers de droit commun de la centrale de Melun le prirent en otage couteau sous la gorge et exigèrent de pouvoir enregistrer ses aveux publics. Il est intéressant de constater en passant les dossiers des condamnés en revue l’absence de « corrélation rationnelle »entre les décisions des juges et les réactions de l’opinion publique. Avec une fixation récurrente sur la figure quasi mythologique du « lampiste », le subalterne qui endosse les responsabilités des hauts placés. Un vrai décalage augmenté encore par le fait que la contumace a rendu caduque nombre de condamnations à mort.
« L’épuration en France a été faite et plutôt bien faite si tant est que ce genre de processus puisse l’être. Force est de faire ce constat lorsque l’on compare ce qui se passe dans l’Hexagone au reste de l’Europe »
Et comme les auteurs ont eu la bonne idée de poursuivre leur étude jusqu’à nos jours avec l’épuration à retardement Touvier, Papon, Bousquet, cela nous vaut au passage d’intéressantes analyses sur les procès les plus tardifs à commencer par celui de Xavier Vallat par exemple, en 1947. L’ancien commissaire aux questions juives de Vichy, dont l’organisme fut incontestablement un rouage de la persécution, des rafles et de la déportation, ne songea pas à nier son action, tout au contraire. Mais il fit valoir qu’il n’avait en rien collaboré car son antisémitisme, reflet de ses convictions profondes, relevait d’un antijudaïsme chrétien qui n’avait rien à voir avec le racisme biologique des nazis, et cette défense porta ses fruits : dix ans de prison, libération conditionnelle au bout de deux ans, remise en liberté en 1952.
Quant aux collaborateurs de Je suis partout, les Rebatet, Cousteau et autres, la morale de l’Histoire, si l’on peut dire, confirme que les plus lâches, ceux qui fuient la Justice et savent mettre de la distance et du temps entre eux et leurs juges, sont ceux qui s’en tirent toujours le mieux. Quelle que soit la condamnation, ils échapperont à la peine de mort, bénéficieront de l’amnistie présidentielle en 1953, instrument politique destiné à apaiser les tensions et réaffirmer l’unité nationale, et mourront bien plus tard dans leur lit.
Des procès, il y en a eus. Et l’une de leurs fonctions cathartiques fut de répondre par la loi à le demande de violence de l’opinion publique. La comparution de Pierre Laval fut une parodie de justice. Mais au fond, celle-ci a su s’adapter aux temps exceptionnels de la Libération sans trop se renier ce qui la fonde et sans abuser des dérogations en mettant très vite un frein aux tribunaux populaires. Il est vrai qu’elle l’avait déjà fait peu auparavant, l’ensemble des magistrats (à l’exception remarquable de Paul Didier) ayant non seulement accepté de prêter serment de fidélité au maréchal Pétain, mais ayant également accepté l’inacceptable principe de lois rétroactives, ce qui a permis de condamner des résistants pour des faits commis avant l’invention de ces lois.
La police a bien été épurée (mais oui…), touchant 1 policier sur 5, ce qui a mis sur la touche 40 000 policiers. Dans la même proportion que les magistrats et les policiers, l’épuration toucha 15% des universitaires dont la moitié à la Sorbonne, bien que là aussi, de même que pour la plupart des membres de la fonction publique, les peines furent bénignes. L’Eglise fut peu épurée, ce qui lui permit de venir en aide aux nouveaux traqués comme elle l’avait fait avec les anciens persécutés peu avant. Peu de commerces et d’entreprises sont vraiment sanctionnés autrement qu’avec une amende : les dossiers du secteur de l’alimentation dominent, ceux des bouchers étant les plus nombreux, et les sociétés de travaux publics remportant peut-être la palme des profits illicites (ah, le mur de l’Atlantique…). Quant aux spoliateurs, ceux qui avaient de l’aryanisation des biens juifs, ils n’eurent qu’une sanction fiscale, certains poussant le cynisme jusqu’à refuser de quitter l’appartement qu’ils occupaient en raison du « départ », de l’ « absence » ou de la « fuite » de son propriétaire. Les hommes politiques, eux, échappèrent globalement aux foudres de l’épuration. 18 peines de mort prononcées, dont 8 par contumace, 5 commuées et 3 à peine exécutoires : Darnand, Laval, Brinon.
Et dans la presse et le milieu littéraire, la qualité de journaliste étant souvent rejointe par celle d’écrivain ? 7 exécutions : Georges Suarez, Paul Chack, Robert Brasillach, Chastenet de Puységur, Paul Ferdonnet, Jean-Hérold Paquis, Jean Luchaire. L’Académie française n’a exclu que quatre de ses membres, l’immortalité n’immusant pas contre l’indignité nationale : Abel Bonnard, Abel Hermant, Charles Maurras et Philippe Pétain.
A la Libération, le général de Gaulle ayant décidé en bon pragmatique que l’urgence étant de reconstruire le pays, de refaire l’unité des Français et de relancer l’activité économique, l’épuration ne fut pas trop sévère avec les institutions. La notion d’indignité nationale, peine qui a frappé nombre d’épurés en les bannissant provisoirement de la société sans les en exclure, a surtout concerné les vichystes, coupables sans être traitres. On regrettera qu’ici comme partout ailleurs, il y ait confusion entre « vichyste » et « vichyssois », les deux étant indistinctement utilisés pour désigner les partisans de la Révolution nationale et donc du nouveau régime, alors que le second terme ne saurait rien désigner d’autre que ceux qui n’ont jamais commis d’autre délit que de naître à Vichy ou d’y d’habiter…
On trouvera également dans ce livre si riche des pages sur l’exil de ceux qui se sont soustraits à l’épuration en se réfugiant à Sigmaringen, en Suisse, en Espagne, en Amérique du sud… Une telle synthèse, produit d’une trentaine d’années de recherches, ne pouvait s’achever que par une conclusion sur la transmission de cette mémoire. François Rouquet et Fabrice Virgili relèvent à ce sujet que si l’épuration figure bien depuis 2012 au programme du bac et qu’elle est étudiée en classe de première, elle va être de plus en plus difficile à faire passer : auprès des uns parce que leurs grands-parents et arrière-grands-parents ne seront plus là pour raconter et témoigner, et auprès des autres dès aujourd’hui car
« cette histoire mémorielle n’a pas grand sens pour une jeunesse issue d’une immigration extra-européenne (Afrique du Nord, Afrique, Asie) pour laquelle le poids de la Seconde guerre mondiale est différent ».
Un mot encore, à propos de la couverture. Une scène de lynchage ordinaire : une silhouette torse nu, crâne tondu et tête basse,« symbole inoxydable » juché sur les le toit d’une voiture, cernée par ses tortionnaires eux-mêmes cernés par une foule vociférante. La scène se passe le 28 août 1944, non dans un village de la France profonde comme souvent en la circonstance mais place de l’Hôtel de Ville à Paris. La légende nous apprend que la silhouette est membre de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme puisqu’elle tend au-dessus de son crâne une pancarte « J’étais un LVF ». Un homme tondu.
(« Sacha Guitry interrogé à mairie du VIIème arrondissement » photo Henri Cartier-Bresson puis photos D.R.)
1 100 Réponses pour Enfin « le » grand livre sur l’Épuration !
Renato, moi aussi jaime beaucoup les oiseaux, des animaux charmants pour la plupart, comprenant des espèces très intelligentes, notamment les corvidés, les perroquets. Ils sont les seuls descendants direct des dinosaures dans le règne animal actuel.
J’aime aussi beaucoup les chats et les chats aiment beaucoup, à leur façon, les oiseaux. Ce qui n’est pas sans poser problème. Comment se ranger à la fois du côté des chats et de celui des oiseaux ?
Jazzi, ce serait plus un rappel d’une constellation et ceci sans aucune prétention. Je trouve poétique.https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Chevelure_de_Bérénice
JC ce n’est pas la plus énormes des énormités que vous proferez là, va pour la tarte qui garde un droit de réserve face au néo libéralisme et n’est pas franchement convaincue d’une mondialisation bienfaisante
Annie Lacroix-Riz détruit point par point les allégations d l’historin Hrvé Joly dans le journal Libération, en 1997, et 2000, prétendant qu le zyclon B produit à l’usine Ugine dans l’Oise, exporté en Allmagne, n’aurait servi qu’à purgr les casernes par fumigation.
Or, l’augmntation de la production du zyclon B ntr 20 tonns t 40 tonnes par mois en 1944 (contre 2 tonnes par an en 1939) correspond à la pénurie de zyclon B à Auschwitz à partir de mars 1944 qui attendait 750 000 Juifs hongrois, suite à la destruction de l’usine de Dessau en mars 1944 (et non Francfort) qui le produisait. =
Dès 1936, c’est la onzième capitalisation boursière française, après la montée en puissance des sociétés industrielles françaises à la Bourse.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’occupant allemand exige de détenir, via le groupe chimique allemand IG Farben, la majorité des parts dans une nouvelle société regroupant toutes les activités dans les colorants, y compris les Établissements Kuhlmann[5].
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/%C3%89tablissements_Kuhlmann
Si c’est lui, je ne suis pas sûr de le prendre en auto stop, William Legrand !
https://www.facebook.com/jean.campanella.37
c’est PIRE, Jazzi
« C’est avec la personnalité du gauchiste Rudi Dutschke et l’APO,( une opposition extraparlementaire nettement révolutionnaire) que commença la lutte. » PaulEdel
Très vraisemblablement. Et il est à noter que Dutschke était un grand croyant, qui a pardonné à son assassin…
Extrait sur Wikipédia de la notice concernant Dutschke et ses influences chrétiennes, qui furent décisives dans sa jeunesse et au cours de sa formation universitaire :
« Inspiré par la rencontre de l’étudiante américaine en théologie Gretchen Klotz, sa future épouse, il lit aussi des ouvrages théologiques comme ceux de Karl Barth et Paul Tillich. Son socialisme d’inspiration chrétienne se transforme alors en un socialisme d’inspiration marxiste. Néanmoins, il continue d’insister sur le libre arbitre de l’individu face aux déterminismes sociaux. »
C’est là où l’on voit, à considérer le cursus universitaire notamment des Dutschke et autres Ulrike Meinhof, que ces jeunes gens qui allaient se révolter et constituer la RAF étaient tous issus de milieux parfaitement cultivés et à la pointe de la pensée contemporaine. Le vieux monde politique rabougri et puant était derrière eux.
Delaporte, tu penses que « Joséphine ange gardien », incarnée par Mimie Mathy, est une série d’inspiration chrétienne ?
« Delaporte, tu penses que « Joséphine ange gardien », incarnée par Mimie Mathy, est une série d’inspiration chrétienne ? »
Il faudrait s’en assurer auprès des scénaristes, Jacuzzi.
Evangile selon saint Jean :
« Jésus leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. »
Clopine désherbe ses poireaux grâce à Bayer, Paul Edel arbore un polo Hugo Boss, D. a une rôtissoire Bosch, Christiane une cafetière Krupp et Phil un lave-linge Siemens, Jazzi assure son studio chez Allianz, Bérénice roule en Wolswagen, Chaloux en BMW, Ed en Opel, Delaporte a un porte-clés Porsche, Michel un pilulier Hoetsch. Que des entreprises qui n’ont pas connu d’épuration même si elles ont flirté, pactisé, prospéré à partir de 33 et bénéficié d’une main d’oeuvre gratuite.
Faux. Un deux-pièces de 50 m2 assuré, parce qu’il le faut bien, à la BNP, ma banque, radio !
Rudi Dutschke, fils de pasteur, (né en 1940 et jeune réfugié de l’Allemagne de l’Est) chef de file de la contestation extra parlementaire, fut blessé en avril 1968 par un peintre en bâtiment (décidément, les peintres allemands qui font de la politique,mefiance, ..) d’extrême Droite, Josef Bachmann . Grièvement blessé, diminué intellectuellement, Dutschke mourut en décembre 1979.L’attentat contre Dutschke fit descendre dans la rue des milliers d’étudiants. Des heurts avec la police furent violents dans plusieurs villes d’Allemagne de l’Ouest. .mais ces anarchistes gauchistes n’avaient rien à voir avec le Parti Communiste de la RDA, comme on a voulu le faire le croire à l’époque dans une certaine presse…. Et puis cette contestation amena à dénoncer le chancelier Kiesinger comme ancien membre du parti nazi . On découvrit(beau moment drépuratio!..) qu’il avait participé à des émissions de propagande. Karl Jaspers le philosophe, et l’écrivain Heinrich Böll prirent la parole et s’adressèrent à la nation pour parler de l ’élection de Kiesinger comme Chancelier comme d’un d’affront et d’outrage à la démocratie.. C’est alors qu’en novembre 68, une jeune allemande qui vivait à Paris, Beate Klarsfeld, gifla le chancelier au cours d’une réunion de la CDU. Klarsfeld fut jugée et condamnée à un an de prison avec sursis. Mais Heinrich Böll fit livrer à Paris une gerbe de roses rouges à Beate Klarsfeld.
Et ce soir, au mémorial de la Shoah (18 h.), seront chantés, à titre gracieux, et pour la première fois, des airs inédits, composés dans des camps de concentration polonais.
Une fête de la musique vraiment novatrice à Paris pour le solstice d’été. J’espère y rencontrer quelques collègues de la rdl (NB/ j’y arborerai une étoile dorée avec mes initiales).
Faux. On désherbe nos poireaux à la binette. 40 ans qu’il n’y a pas eu une goutte de produits chimiques ni dans nos prés, ni dans notre potager.
bon, je vous quitte pour une 12aine de jours. Escapade au Pérou avec mon fils (15 ans et vacances d’hiver); Cuzco, trek vers le Machu Picchu, puis long voyage en bus vers le lac Titicaca et visite de quelques îles.
J’espère vous retrouver tous en pleine forme après le 4 juillet, et entretempo soutenez bien le bleus, ils en auront besoin pour affronter le Brésil en finale.
J’espère y rencontrer quelques collègues de la rdl (NB/ j’y arborerai une étoile dorée avec mes initiales). (Janssen J-J)
J’y serai aussi, dans un uniforme des Waffen SS hérité de Papa, avec, bien entendu, une croix gammée en or massif à la place du coeur.
le zyclon B produit à l’usine Ugine dans l’Oise, exporté en Allmagne, n’aurait servi qu’à purgr les casernes par fumigation. (Widergänger)
Je suis en train d’écrire une Ode au Zyklon B pas piquée des hannetons (c’est le cas de le dire). Bien entendu, je n’y envisage que l’usage de ce produit contre les nuisibles.
Je vous accorde qu’il y faut de l’abnégation. Avant tout, éviter de se casser la binette.
Et ce soir, au mémorial de la Shoah (18 h.), seront chantés, à titre gracieux, et pour la première fois, des airs inédits, composés dans des camps de concentration polonais. (Janssen J-J)
Je compte y chanter en solo un chant de marche de la SS. Avec l’uniforme de Papa, ça devrait faire un effet boeuf (comme on dit dans les clubs de jazz).
D. a une rôtissoire Bosch
–
Faux, c’est une De Dietrich dernier cri, à torche ionique, turbocompression radiale, porte motorisée 35 dB, écran plasma 17 pouces et lèchefrite chromée microbillée.
La classe, quoi.
Le machu pichu, y’a rien de plus surfait de nos jours. Aucun intérêt. Je n’y mettrai jamais les pieds et d’ailleurs on ne m’y a pas inviy aux dernières nouvelles.
« Delaporte a un porte-clés Porsche »
Faux.
Et ce soir, au mémorial de la Shoah (18 h.), seront chantés, à titre gracieux, et pour la première fois, des airs inédits, composés dans des camps de concentration polonais. (Janssen J-J)
Je compte aussi y faire signer une pétition dénonçant les excès de l’épuration.
Hé bien moi, Radioscopie, j’ai une machine à coudre SINGER, et une belle !
La rubrique du Figaro littéraire s’intitule « Affaires étrangères » et le journaliste Neuhoff y officie très paresseusement, sans se fouler. Aussi bien, il n’a pas inventé l’eau chaude. Par exemple, aujourd’hui, il prétend traiter de « Cocaïne », le roman de Pitigrilli, qui date de 1921. L’inénarrable Neuhoff nous résume la chose brièvement sur quatre petites colonnes, et conclut par une pirouette complètement insane : « Fassbinder avait essayé d’adapter Cocaïne au cinéma. On a eu chaud. » Alors, on réfléchit et on se demande : tiens, pourquoi donc ? On n’aura évidemment jamais la réponse, même si on lit le roman. Sinon que une fois de plus, Neuhoff s’est planté. Dernière remarque : on peut se plaindre. L’adresse mail de Neuhoff figure en bonne place : eneuhoff@lefigaro.fr…
Précision: celle de la photo c’est celle de ma grand-mère. Moi j’en ai une un peu plus récente.
@14h27 pensez vous que je fasse partie de la dorure sur la tranche? Corée du Sud pour le véhicule et je ne suis pas certaine qu’il passe la barrière du nième contrôle techno.
Pitigrilli a eu des problèmes sous le fascisme, il a dû s’enfuir, et finalement s’est converti au catholicisme. Une vie pleine d’aventure et de sagesse :
« Finalement mis en disgrâce, tombant lui-même, étant demi-juif, sous le coup des lois raciales, puis s’étant affiché en faveur de l’armistice en 1943, il dut fuir son pays à l’avènement de la RSI. La paix revenue, il préféra, après que ses activités au service de la police secrète eurent été mises au jour, s’établir avec sa famille en Argentine, où il écrivit pour un grand quotidien local des chroniques désormais très apaisées, empreintes de sagesse, reflétant sa conversion au catholicisme. » Wikipédia
Tout ce qui fait le sel de la vie de Pitigrilli, Neuhoff est évidemment passé à côté. Il n’a pas été voir plus loin que le bout de son nez…
Neuhoff ne nous dit même pas si Cocaïne sort dans une nouvelle traduction, ou si c’est une réédition, ou si même c’e’st la première fois qu’il est traduit en français. Nous n’en saurons rien. Il en va ainsi avec Neuhoff, ce bâcleur qui n’a rien à dire.
Au Point, ils sont déjà plus précis, on a déjà plus d’informations rien que dans le chapeau :
« On réédite « Cocaïne » (Séguier), un roman de l’écrivain italien adulé par le cinéaste allemand Fassbinder et auquel le grand Umberto Eco s’était intéressé. » Le Point
Neuhoff s’est contenté de survoler le bouquin, sans se renseigner, sans s’intéresser à son auteur. Après avoir lu son misérable article (il les écrit à la chaîne, par cynisme), on ne sait pas pourquoi on devrait lire Cocaïne. Et le Figaro attribue une rubrique et une rente à ce malotru des lettres, qui gâche le travail et le plaisir !
Avant, Neuhoff émargeait au Figaro pour payer les pensions alimentaires de ses femmes. Et aujourd’hui, qu’il est vieux ? Cela lui paie sa bibine et entretient sa paresse !
« Précision: celle de la photo c’est celle de ma grand-mère. Moi j’en ai une un peu plus récente. »
Bravo Lavande ! Au moins vous, vous n’êtes pas sous hypnose en ce moment (le match de l’équipe de France dans ce Mondial pourri par le fric) !
Je suis tres triste pour les Peruviens, déjà qu’ils avaient perdu une equipe prestigieuse, il y a 31 ans, les voilà contraints de reprendre l’avion, perdant le prestige d’un retour face à une équipe qui va perdre de toute façon et qui merite de perdre.
Today, c’est l’ete andien.
Moi je soutiens le Portugal, comme ce manuel endiablé qui chantait La Marseillaise à tue-tete au sommet de la cage d’escaliers, ce matin.
Un pittbull qui lit le Figaro et va à la messe le dimanche, mais jamais à confesse…
@18.07, ah voui vous aussi, b., vous vous livrez à de la bibliuguiansie ?
https://fr.wiktionary.org/wiki/bibliuguiancie#fr
C’est très tendance en ce moment, d’après claro.
Je vends pour trois fois rien, un Mirus, ma p’tite Chappée et ma Singer, j’arrive plus à coudre avec ma vue, ni à me chauffer. J’ai trouvé une place à l’ehpad où on nous donnera des plats chauds deux fois par jour, alors pourquoi s’inquiéter. Mais ils sont comme neufs, peuvent encore faire bien d’usages.
https://www.google.com/search?q=gazini%C3%A8re+chapp%C3%A9e&client=firefox-b&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ved=0ahUKEwi1-4uypuXbAhWHyRQKHfCrAwYQ7AkIjAE&biw=1600&bih=786#imgrc=kFk3BKs-hC-JTM:
J’comprends pas. Today c’etait bac Science, et impossible d’avoir le sujet. Alors que les journaleux des journaux de Paris sont d’habitude friands de confiture.
C’est c.hiant. Mais on a tous zique, ce soir. Sauf ceux qui ont maths demain.
Du beau linge à la TR de Samedi 23 au colloque de Fontevraud. Hélas, il n’y aura pas Passoul. Pas assez historien, sans doute, malgré sa rame sur le sujet l’autre jour, hein…
-> 10h-11h15 : Table-ronde 4, animée par Yann Nicol avec : Emmanuel Bouju, Dominique Kalifa, Martial Poirson, Quentin Deluermoz : « De l’histoire chez les écrivains : la littérature, un savoir pour l’histoire ? »
Lavande dit: 21 juin 2018 à 17 h 24 min
Hé bien moi, Radioscopie, j’ai une machine à coudre SINGER, et une belle !
–
pour ce qui est de Singer, je m’y connais, Lavande.
JJJ, je lis en ce moment la reine scélérate , j’interrompis ma lecture pour contempler le ciel et remarquai un immense nuage blanc en forme de phallus triomphant, je m’interrogeai brièvement, signe de quoi ce nuage? Enfin la félicité, l’ivresse des sens , un accord jouissif ? Quelques pages plus loin je tombais sur l’allusion de Chantal Thomas à heliogabale pour illustrer le chemin de la reine de Versailles vers Paris. . » Dans la logique de cette folie du sexe, Marie Antoinette aurait dû entrer dans Paris précédée, tel Heliogabale, d’un gigantesque phallus. » p 124 editions points.
Marie-Antoinette c’etait la reine des godasses. Chantal Thomas a du se gourer de lac pour faire la brasse…
J’y vois une bonne étude du média de l’époque pour déformer un portrait jusqu’à le rendre monstrueux sur le plan des mœurs avec une inversion de la réalité,fausseté de son influence sur le roi et sa politique, et une certaine indulgence de l’auteur pour un mode de vie dispendieux alors que le peuple crevait de faim. Un essai réussi de mon point de vue d’ignorance.
Ignorante. Et les références abondent, sont toutes données pour d’éventuelles recherches à mettre en rapport avec l’étude ou l’analyse de Chantal Thomas.
Ah quand meme.
Vitamine C, volley ball et pour finir marathon.
http://m.leparisien.fr/etudiant/etudiant/bac-2018-les-corriges-de-physique-chimie-bac-s.html
radioscopie,
Je n’ai pas de voiture et je ne conduis jamais, pour le bien de l’humanité d’ailleurs.
Bon, eh bien, Radioscopie, (vraisemblablement un actionnaire de Bayer (ahaha)), a TOUT FAUX pour chacun de nous. Je propose donc qu’on lui coupe la tête, histoire qu’il trouve ainsi la voie (ou qu’il arrête de déplaire à la reine de Coeur).
La reine des perruques , de la mode . Et cette annecdote qui donne à comprendre l’infinie tristesse à la perte de son fils, en une nuit, en un jour ses cheveux devinrent blancs.
Lv vous faites les exo ? Ce langage reste pour moi comme le solfège, inaccessible.
@pour le bien de l’humanité d’ailleurs
Pour celui des usagers de la route à tout le moins
https://www.youtube.com/watch?v=L61noLifjWM
@20.12, Eh bé, apèrs Ezrebet Bathori, faudrait lire dans la foulée… « Heliogabale ou l’anarchiste couronné » d’Artaud, il s’était pas mal documenté à son sujet. Disait que « sa pédérastie religieuse n’a(vait) pas d’autre origine qu’une lutte obstinée et abstraite entre le Masculin et le Féminin »… Et il y allait pas de main-morte en pratiquant « le népotisme de la queue », comme dieu incarné, parait-il. Attention à pas trébucher en fantasmant les nuages godmiches de versailles, hein ! En avant la zizi-gomatique 😉
C’est une histoire hysterique de l’autrichienne. M’etonne pas.
J’avais laisse sur la pile a lire « le testament d’Olympe » de la même.
Un roman historique ecrit a la premiere personne du singulier. Et là personne n’est allé voir si C. Thomas avait fait un bâtard a l’Histoire…
« Je n’ai pas de voiture et je ne conduis jamais, pour le bien de l’humanité d’ailleurs. »
La conduite automobile est le premier instrument de libération de la femme, Ed. Dans mon enfance, les plus émancipées des femmes mariées de ma famille, déjà d’un âge plus ou moins mûr, passaient le permis, le plus souvent avant leur maris, et exigeaient l’achat d’une voiture !
Mais l’on peut aussi s’en passer. Bien qu’ayant le permis, je ne conduis plus depuis je ne sais plus combien d’années…
Allez, un petit Caruso déniché derrière mes fagots (une fine de 1904) qui nous rajeunira point mais te consolera de la défaite du Pérou (larme furtive). La soirée du solstice s’extravague, l’est qd même aut’chose que l’Garou à Nice de brice…, pas vrai ?
https://www.youtube.com/watch?v=t936rzOt3Zc
« Radioscopie, (vraisemblablement un actionnaire de Bayer (ahaha)), a TOUT FAUX »
Pas vraiment, Clopine. Si ses exemples sont mal choisis et mal imaginés, sa démonstration est toutefois exacte : nous sommes tous les clients de services et de produits de groupes et sociétés européennes ayant fricotés avec les nazis…
vous faites les exo ?
Avec un peu de temps… que je ne prends plus.
Lv, CT indique également ce qui différencie la noblesse des habitants du bouge qui suivent les fantasmes des pamphletaires.Un point de vue intéressant autour de la pudeur, du libertinage, de la virilité « révolutionnaire » assez castratrice pour finir mais qui ne s’en prenait qu’aux têtes, un déplacement de la chose .
mais « l’échange des princesses », c’était pas si mal que ça. Et en rin hystérique, voyons dhong… du bon roman historique, une fois.
@ nous sommes tous les clients de services et de produits de groupes et sociétés européennes ayant fricotés avec les nazis
Parlez pour vous, jazzman ! C’est certainement pas mon cas, j’examine depuis toujours très soigneusement l’origine des mes achalandages.
Jazzi, la binette fabriquée par Krupp!
JJJ quelle galère, au moins la moitié de ce que j’achète est chinois, je leur en veux mais ne suis pas assez riche pour la France, l’Allemagne, les italiens pour le prêt à porter sont tentants, les cuirs mais un peu chers pour moi. L’alimentation est peut être le seul plo que je surveille.Pas envie de manger n’importe quoi.
le soir de la « fête de la musique », je sors pas de ché moi, ça me déprime de voir tous ces veaux… qui venaient écouter notre chorale Je me demande si elle se produit encore, spécialisée dans le registre de la Renaissance (P. Certon), avec tous ces vieux et ces vieilles sourdingues qui chantaient faux, une horreur ! Mais le public était bienveillant, en général, bon enfant dirions-nous, ça compensait nos faiblesses. Quelle époque ! L’année dernière, Oloron Ste Marie, et le pénultième, place Jaume à St Etienne, on écoutait autre chose de la chambre d’hôtel VRP. Quel vacarme. Les nuits sont si courtes.
Flappers & Cars: Roaring 20s
https://www.youtube.com/watch?v=vBTqFP2Efkk
Une presque minute de silence
Les gaudasse Made in Italia. Règle d’or. Mais qui vous dit que la marque n’a pas fricoté avec Mussolini ? JJJ, on peut aller loin comme ca. Il faut vraiment être prof ou retraité pour passer autant de temps à avoir une conscience exacerbée.
La fête de la musique est une horreur. En tant que mélomane, je la surnomme « La fête CONTRE la musique ». Invasion des rues de France par des musiciens ratés incapables d’accorder leurs grattes. Heureusement que l’exportation de cette débilité est restreinte aux communautés francaises, que je ne fréquente pas de toutes facons.
Le grand show en direct sur la place Masséna à Nice est un bon échantillon de la variétoc française ! La chaîne publique promotionne l’écurie musicale de la première chaîne privée française. C’est dire que nous finançons la débilité !
place Jaume à St Etienne, on écoutait autre chose de la chambre d’hôtel VRP.
Tu confuses avec l’hotel pour jeunes en celibat geographique, petits dejeuners en salle, place Jaude a Clermont.
La place à l’italienne est si belle, et j’ai pu vivre en direct la tombée de la nuit sur Nice et sur Paris. Le ciel est plus lumineux à Paris, et la nuit plus tardive…
JJJ, Ch. me parait dépressive, chez Paul Edel. Votre couple bâtirait-il déjà de l’aile ?
Battre de l’aile, faut choisir.
Le correcteur automatique a commis un joli lapsus, s’agissant d’un jeune couple en cours de constitution virtuelle !
oOi, nous traversons chacun une zone sensiblement dépressionnaire sur nos blogs favoris, depuis le départ de S., sans battre de l’L pour autant, n’exagérons rien. Vous ne pouvez pas tout comprendre du drame des êtres humains, d’toute façon jazzman, qui avez toujours eu la vie si facile. Faits semblant de vous intéresser, mais au fond, vous en foutez pas mal. Place Jaude à C-F., oui, place pas Chaude en ce moment à St E. Avions vendu la voiture de chez Boloré pour mieux traverser l’été à pied, mais c’est déjà l’automne des profs retraités qui s’en vient avec les jambes variqueuses. Ils chantent encore, même faux, regardent attentivement l’origine des produits, ont le temps, vont peut-être essayer le saut à l’élastique ou le parachute avant de se préparer au grand saut en commun. Dans tes yeux, je veux, Delza.
« La fête de la musique est une horreur. En tant que mélomane, je la surnomme « La fête CONTRE la musique ». Invasion des rues de France par des musiciens ratés incapables d’accorder leurs grattes. »
(Ed)
Mais tu n’aimes plus Indochine?
Fêtons, donc, la Musique, la vraie, la grande, avec une très belle chaconne de Maurizio Cazzati (1616-1678), par L’Arpeggiata de la luthiste, théorbiste, guitariste et harpiste autrichienne Christina Pluhar:
Fêtons, donc, la Musique, la vraie, la grande, avec une très belle chaco.nne de Maurizio Cazzati (1616-1678), par L’Arpeggiata de la luthiste, théorbiste, guitariste et harpiste autrichienne Christina Pluhar:
https://www.youtube.com/watch?v=L_vrBLedI9E
(Le mot « chaco.nne » est interdit sur ce blog).
Dit-elle, que je cite pour la convier à revenir un jour en rdl, dépit de ses blessures, car son extrême sensibilité devant l’indicible nous manque tant… Elle ne me le pardonnera pas, mais tant pis, l’amour est ainsi fait. Ecoutons-la une fois encore, sa petite musique était si gracile.
https://www.youtube.com/watch?v=VDMh5ot1SzE
_______
« Moi ? mais je n’existe ici (fil des commentaires) seulement quand mes mots apparaissent à l’écran, contournent, approchent, parfois cernent l’objet de ma recherche (livre – art…). Avant, je ne suis rien, après je ne suis plus rien à nouveau. Tout est dans le miroitement des mots et l’alternance de la parole et du silence sur ces écrans. Les dialogues, ici, sont des trompe-l’œil, clandestins, des froissements. Quelque chose d’invisible, de diabolique sépare les uns et les autres, des fantasmes inconscients. Une machine à influencer l’irréel jusqu’à nous le faire prendre pour du réel. Les êtres perdent leur singularité dans des groupes mouvants, précaires. Certains relient, d’autres séparent, sournoisement. Beaucoup inventent pour s’évader, même leur propre mort… Ni masculins, ni féminins… des possibles. Ailleurs, je suis dans la durée, dans mon territoire. Ailleurs, je résiste, nomade, sereine et libre dans les yeux de mes amis, dans le grain de leur voix, leurs mains,leur corps réel. Ailleurs la mort est réelle. Les maladies aussi. »
Ma dernière découverte en matière de musique: le sublime « Magnificat » de Kim André Arnesen
https://www.youtube.com/watch?v=9pbWXwk3n-k
Kim André Arnesen (born 28 November 1980) is a Norwegian composer. He is mostly known for his choral compositions, both a cappella, accompanied by piano or organ, or large-scale works for chorus and orchestra. His first CD album « Magnificat » was nominated for GRAMMY Awards 2016 in the category Best Surround Sound Album.
Comme quoi, à la suite d’Arvo Pärt, les jeunes compositeurs reviennent aux fondamentaux de la Musique…
Tu oublies l’essentiel, JJJ !
« Olga,
êtes-vous plus réelle que Sergio ou M.C ne le sont ?
« Avec les tourbillons de l’eau et le murmure à peine perceptible de la brise nous disparaissons doucement. De petits morceaux de nous-mêmes s’effritent. Tenez ! quelque chose d’important vient juste de tomber. Je n’arrive plus à me maintenir entier. Mais il nous faut partir ; il nous faut marcher jusqu’à la gare – il faut, il faut, il faut. »
Las, tous les personnages en quête d’auteur, face aux miroirs aux alouettes que sont les blogs, n’auront bientôt que l’oubli du sommeil comme rideau de scène. Nous ne sommes qu’absence près de se défaire de nous-mêmes. « Nous parlons de la mort comme Pascal parlait de l’infini » et nous affections de croire, le lisant, qu’il s’agissait d’un tiers. Prendre tout cela au sérieux est un manque de sérieux »
Trop long, trop mou, trop chiant. Hasard du calendrier, demain (soit dans 20 minutes) sort le second album de The Record Company. espérons qu’il soit aussi bon que le premier.
« Vous ne pouvez pas tout comprendre du drame des êtres humains, d’toute façon jazzman, qui avez toujours eu la vie si facile. Faites semblant de vous intéresser, mais au fond, vous en foutez pas mal. »
Tu en sais des choses sur moi, que je ne soupçonnais même pas, JJJ !
Ce portrait de moi en bel indifférent à la vie facile, tu tiens çà d’où ? Est-ce l’impression que je dégage ?
Le mot chaconne est interdit sur ce blog.
–
n’importe quoi. chaconne chaconne chaconne chat con chatte conne et chaconette et chatounette conne, tiens.
http://i.pinimg.com/564x/11/16/f2/1116f279cde71189ff16f7615da18930.jpg
Pablo, c’est très beau . L’instrumentiste Christine a failli ne pas sortir du plumard, tout se joue à une ou deux lettres près , finalement rien avant six ans!
…
…il en reste, une forme, de crime,…
…
…c’est de tromper, les gens, les peuples, son voisinage, sa famille,…
…certain diront, il ne peut, faire autrement,…
…
…des chefs d’états, aux simples » cocus « , héritiers,…des gens, au dessus de tout soupçons,…donner, le change et les morales, que tout, est bien, dans le meilleur des modes,…
…
…or, tout, n’existe plus,…et, rien, ne le feras réapparaitre,…
…la confiance légitime, l’amour du prochain, le respect de la supériorité des uns sur les autres,…
…la noblesse française, décapitée, par, ses révolutionnaires, manipulés, aux guises,des affaires, qu’elles vengeances,…
…le soucis de délation, ou somme nous, la terreur, après guerre,…
…trop grotesque, des poids et mesures,….
…imbroglios des connivences pour » cocufier » son monde,….etc,….
…
…comme, pour dire, vous êtes ceci ou cela, sur les papiers, Oui,!…
…
…en réalités, avec, vos A.D.N.,…vous êtes loin du compte,…des noms, Oui,!…
…mais, avec, un code indicatif,S.V.P.,…
…cocu, de cocus, en héritages,…
…des noms et dignités, comme des » collections « , du mérite, ou des papillons,épinglés,…
…
…l’affaire de la révolution, les affaires des étrangers, qui , en demandent, pas tant,…
…parlements des cocus,!…aux portefeuilles du chiffre,…étranger,…Ah,!Ah,!…
…l’Europe, des résidus cocus,…etc,…
…qui, est qui,?!…Go,!…
« Invasion des rues de France par des musiciens ratés incapables d’accorder leurs grattes. »
(Ed)
La France n’est pas un pays de « ratés », qu’on se le dise, même si les « ratés » sont légion.
Ce n’est pas la chirurgie esthétique qui pour le coup va les blanchir ! :
« Les frères Igor et Grichka Bogdanoff, connus pour leurs émissions et leurs livres de vulgarisation scientifique, ont été mis en examen jeudi pour « escroquerie sur personne vulnérable » et « tentative d’escroquerie », a-t-on appris de source judiciaire. »
« La France n’est pas un pays de « ratés », qu’on se le dise »
Hein ? À quel moment ai-je dit une chose pareille ? Ca va pas bien, vous.
Une nouvelle qui va décevoir Richard Millet :
La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a jugé jeudi « irrecevable » une plainte du néonazi Anders Behring Breivik, qui tua 77 personnes en 2011 en Norvège, portant sur ses conditions de détention. La CEDH a estimé que la requête de Breivik, qui considérait que ses conditions de détention étaient « inhumaines », ne relevait pas d’une « violation de la Convention » européenne des droits de l’homme et a déclaré sa plainte « irrecevable pour défaut manifeste de fondement ». Le Monde
« Ca va pas bien, vous. »
Ne vous énervez pas, ce soir je suis sans doute de mauvaise foi.
…
…de la vermine, comme responsables, avec un grand air,…partout,…en, plus avec les résidus à l’Optimum de Pareto,…
…l’humanisme » royal « , plus con, tu meurt,…
…Ah,!Ah,!…Go,!…etc,…
…des propriétaires et industriels pour les nuls,…
…
…
…l’art, de l’intelligence,…
…être d’accord, avec tout, dans ce monde,…
…et, n’en penser, pas moins,…
…
…des incroyables,…c’est avec costumes et avec titres,…etc,…
…
« Guthaben bei Kreditinstituten und Schecks »
L’écrit ne donne pas le ton de la voix. En l’occurence, je n’étais pas énervée, mais suis tombée des nues en lisant votre remarque.
« Guthaben bei Kreditinstituten und Schecks »
Pourquoi utiliser la langue de la phynance ?
Edmonde l’immonde c’est le contraire d’Arletty : le cul est bien français, mais le coeur est international. Décidément, on n’en sort pas!
En tant que mélomane, je la surnomme « La fête CONTRE la musique »
Elle a de l’esprit à revendre cette petite, pas de doute
Fête de la Musique ?
Se coucher tôt par respect pour cet art délicat !
Ah ! le sourire niais de ce niais de Jack Lang ….
A la fête de la Musique, la bonne humeur est de rigueur, et partant, artificielle. Dans le pays de Micron, les fausses notes pullulent. Tous les musiciens ne sont pas des ratés, mais tous se font complices du politique, putassièrement, et se poussent du col. La France est en manque d’une conscience morale, comme à l’époque des Baader-Meinhof, qui sont partis trop vite. « La vie sans la musique serait une erreur. » (Nietzsche, moraliste épris de Carmen et de Dionysos) Mais pas comme ça !…?!
Les propre paroles de Ed, et après elle nous dira qu’elle a pas voulu ça, la pauvrette… A chacun de juger le tableau apocalyptique par Ed d’une France à la ramasse, avec autant de « ratés » que de citoyens bénévoles qui veulent participer à la fête :
« La fête de la musique est une horreur. En tant que mélomane, je la surnomme « La fête CONTRE la musique ». Invasion des rues de France par des musiciens ratés incapables d’accorder leurs grattes. Heureusement que l’exportation de cette débilité est restreinte aux communautés francaises, que je ne fréquente pas de toutes facons. » Ed
La vision d’une France de « ratés » qui est celle de ED me paraît outrancière. Dans certaines églises, il y avait des concerts de musique sacrée qui valait le détour : notamment certaine chorale, fruit d’un travail patient et laborieux, vécu dans une joie qui s’est transmise aux auditeurs-spectateurs.
Newton :
Ed, ou la vision noir, négative du talent français. L’idéologie du déclinisme dans toute sa grandiose facticité mondaine.
Coco, le chimpanzé avec un vocabulaire de 2000 mots est mort.
« Guthaben bei Kreditinstituten und Schecks »
Des avoirs ? Des banques ? Mais Ed, ce n’est vraiment pas le sujet. Extrayez-vous de vos obsessions professionnelles perverties, libérez-vous ! Ce n’est pas cet allemand-là qu’il faut parler – mais à la limite celui, grandiose, d’Ulrike Meinhof !
Pour Ed, qui s’est réfugié à Hambourg, la France est un pays de « ratés ». Exemple : la fête de la Musique.
Réveille-toi, Cendrillon !
« Hein ? À quel moment ai-je dit une chose pareille ? Ca va pas bien, vous. » Ed
Si, vous l’avez dit, avec force. Les mots ont un ton. Vous avez pris ce ton sonore pour l’exclamer, le proclamer, le déclarer.
«… Gide a recueilli et nourri un sansonnet tombé dans le jardin… »
Chaque année, Phils, les oisillons qui tombent des nids augmentent, on est passé de un parfais 2 il y à de là 10 ans, à 8 cette année, ce qui m’inquiète.
Alfred Eisenstaedt :
http://blogfigures.blogspot.com/2013/04/alfred-eisenstaedt.html
Pardon pour le S de trop, Phil.
Non, mais quelle plaie ce raté !
« ED n’a parlé que de musiciens ratés au coin des rues pendant cette Fête de mauvais goût…. et c’est bien vrai !!! »
Oui, mais le propos de Ed est explosif, elle en tire une généralité malsaine et fallacieuse. Certes, nous avons des « ratés » en France, comme Micron, des profs ratés (sur ce blog), mais il y a aussi dans notre pays des bonnes volontés, et qui ont pu s’exprimer lors de cette fête. J’en ai évoqué un exemple. Le nihilisme dégoûté de Ed me semble hors de propos.
Mazzini :
Ed a senti l’énormité universelle de ce qu’elle avait dit, et a tenté de se rétracter. Mais ce qui est écrit est écrit. Trop tard…
Que faux-cul ce renato : pas capable d’avouer ses perversions pour les petits rats de parquet …
Voilà, « faux-cul », c’est le mot que je cherchais pour Ed.
Ed est un ange !
Quel mauvais procès, vous lui faites camarade Delaporte ! Vous mériteriez le chat à sept queues…
Je ressens un inavouable désir chez Delaporte du Lupanar : se venger du refus d’ED d’aller s’éclater dans un McDo avec lui ….
Zappa & Boulez :
« Ed est un ange ! »
C’est une diablesse qui vous fait tourner la tête. Elle est trop jeune pour vous, mais vous avez un point commun avec elle : sa mauvaise foi critique !
Je peux comprendre qu’étant donné son manque d’éducation le raté attribue ses pensées aux autres…
renato,
J’ai reçu une éducation parfaite chez ces magnifiques éducateurs Jésuites : des saints, à la fermeté et à l’onctuosité légendaire !
Vous devriez avoir honte d’attaquer une église chrétienne comme le font ces épouvantables infidèles moyen-orientaux, capable du mauvais comme du pire…
« J’ai reçu une éducation parfaite chez ces magnifiques éducateurs Jésuites… »
J’en doute fort.
Comment pouvez vous parler de Dieu, si vous ne reconnaissez pas un ange venu sur Terre, comme ED ?
A genoux, crapulets !
Je me demande où Ed a été éduqué : certainement pas chez les soeurs, vu ce qu’elle nous ramène comme propos pervers et menteurs sur ce blog.
A cette heure-ci, elle devrait déjà être levée pour aller au boulot. Eh non ! elle dort encore, toujours dans les bras de Morphée. Ce que c’est d’avoir fait la fête la veille au soir !
Quand vous en avez contre quelqu’un, Delaporte, vous êtes incroyable dans l’acharnement et la mauvaise foi. Ed a dit « Invasion des rues de France par des musiciens ratés » (et vous-même « les fausses notes pullulent »). Elle n’a jamais dit que la France était un pays de ratés !
« Oui, mais le propos de Ed est explosif, elle en tire une généralité malsaine et fallacieuse »
C’est vous qui la lui prêtez (mais sans une once de générosité) cette généralité et donc c’est votre commentaire qui est malsain et fallacieux.
Allons donc ! toute « morale » choisie définit arbitrairement les perversions, toute « vérité » choisie définit arbitrairement les mensonges.
Conséquemment, notre ange ED a seulement un point de vue différent de Delaporte de Torquemada et de Renato de l’Opéra… c’est tout !
(…lorsqu’on pense qu’Hamon est pour Delaporte de l’Isoloir une » solution », là où je verrai pour ma part un gros problème, court sur pattes !….)
Bravo Lavande !
Je me demande où Ed a été éduqué : certainement pas chez les soeurs, vu ce qu’elle nous ramène comme propos pervers et menteurs sur ce blog. (Delaporte)
Ed, par contre ….
…
…J.C.,…arrêtez de nous Casser les Couilles tout, les Matins, avec vos observations, à la Cons, et Sortez,!…
…
…et, ou alors, participer, et répondez, à nos observations, LES PR2SIDENTS Français, de vrais Cons, avec vous aussi,…et traîtres à la France,…
…
…ne choisiser pas, vos réponces a l’avance, ne dirigez pas, les conversations,..
…LA fRANCE? L4eUROPR? A CAUSE? D42GOïste comme vous, vous êtes des crapules, sur cette terre, et méritez d’être pendus haut et court,…Crapules, Crapules,…
…Grosses Vermines, sans foie, ni lois,…
…bandits a casser, les couilles aux autres,…Si,!…Emmerdeur de raisonner, juste une fois,…
…Pauvre Type, parasite de Riches,…aveugles,…etc,…
Il y aurait des « propos pervers et menteurs » sur ce blog ??? NON !!! J’y crois pas
Il y aurait des « propos pervers et menteurs » sur ce blog ??? NON !!! J’y crois pas (Lavande)
Je partage entièrement l’avis de Lavande. A condition, bien entendu, de mettre à part le cas des propos de Delaporte.
Bérénice dit: 22 juin 2018 à 9 h 52 min
https://youtu.be/UUnnYSa5V_U
Quant aux propos de Bérénice, on peut leur affecter le statut de non-propos.
C’est une chanson, le but n’est pas de proposer mais d’enchanter. Il avait 12 ans à l’occupation ,17 pour la libération, savez vous où cet homme a vécu pendant tout ce temps avec son étoile jaune ?
savez vous où cet homme a vécu pendant tout ce temps avec son étoile jaune ? (Bérénice)
On n’en sait rien et on s’en tamponne complètement. O triste antienne, as-tu fini ?
BJ à toussent, sauf à Jean-Marie, Marion et Marine…
@ « Ce portrait de moi en bel (?) indifférent à la vie facile, tu tiens çà d’où ? Est-ce l’impression que je dégage ? »
Oui…, hélas depuis votre déshonorante saillie : « chacun sa merde ». Mais l’autre citation de CH. vous rachète un peu. Et puis, on peut pas vous en vouloir éternellement.
Ce matin vespéral, nouvelle joie et nouveau souci.
-> Le petit livre d’Etienne Klein « Le pays qu’habitait Albert Einstein »… une petite merveille de vulgarisation et d’amitié d’astro physique (« plus Rolling Stones que Beatles », dit-il d’Albert) : « La quête d’Einstein s’est toujours alimentée du divorce entre l’esprit qui désire l’unité et une réalité qui ne le montre guère » (Babel Essai, 7,80 €).
-> Ne m’étais jamais avisé du caractère vraiment humiliant, chez une personne souffrant d’obésité, de se voir proposer un scanner dans une clinique vétérinaire… C’est tout un nouveau monde qui se découvre là (1 sur 5 individus de l’espèce humaine), dont l’enjeu n’est pas tout à fait le même que celui des exilés économiques prenant le risque du naufrage… Mais comment faire autrement, G S’A…? sinon maigir avant de s’embarquer ? et que peut-on faire pour aider tout ce monde, Jazzman ?
S’en essuyer les mains, quand la terre labourée du jardin nous les a salies, Cunégonde ?… Evidemment, Candide, si tu trouves encore de l’eau au robinier.
PS’ : Anagramme -> ondes gravitationnelles / le vent d’orages lointains (EK, id., p. 201) //
PS » : Pierre Dac : « au train où vont les choses, les choses où vont les trains vont bientôt cesser d’être des gares ».
(point final : les cheminots français ont obtenu gain de cause contre la direction de la sncf qui n’entendait point leur rembourser leurs légitimes heures de repos. Ouf, c’est déjà ça de gagné ! Pas de petites victoires en Ma Cronie, je vous le dis, moi.
…
…Janssen J-J,…Ah,…c’est, pour moi, seul,…
…pas, de soucis,!…
…
…un très, petit effort, du soucis, de tout les jours, de se prendre, en charge,…
…deux fois, rien, de temps en temps, se mettre, le cul et le dos, avec, le ventre, vers, le réchaud électrique, à environ, de 50 cm, à 1 m,…de la chaleur, pour s’évaporer, les graisses, de temps en temps, 10 minutes, ou moins, à sa guise,…
…avec, de ces ceinture pour se ramasser, le ventre, en pharmacie,…et, petit à petit, la graisse, s’en vas,…
…ils, y en a, qui au début, une fois, ou deux, se frottent, avec une crème, » lait corporel « ,Biotherm anti-desséchant aux essences d’agrumes,…
…j’en ai mis très peu,…
…et, puis, le plus, c’est les épinards, variés,…des frittes, a faire soi-mêmes, du saumon, des huitres, du lait, des oranges, des pêches,…de tout selon, son état, d’âme,…
…
…mais, l’ essentiel, qui fonctionne, bien, c’est le chauffage électrique, de temps en temps, lorsqu’on ressent, de l’humidité, après, la journée,…avant, après, se livrer, quelque instant, à la chaleur,…et repos,…en somme , une forme de cure, simple, sur soi-même, tranquille,…à son aise,…
…
…évidement, la facture d’électricité, vas un peu, en ressentir, une variation de vers le haut, léger,…etc,…
…
…pas de secrets, vivez, vieux,…heureux,…
Jazzi dit: 21 juin 2018 à 21 h 16 min
Merci, Jazzi, pour votre bienveillance (en comparaison de Clopine qui voudrait remettre la guillotine au goût du jour… couic !). Une question hors sujet puisque nous partageons aussi la même banque : celle-ci vous facture-t-elle des frais pour tenue de compte ?
Si j’en crois les souvenirs de mon enfance sarthoise, les exces de l’epuration furent bien plus nombreux en zone « libre » qu’en zone occupee
Mais bien sûr que non, Radioscopie, je ne veux pas vous lyncher, comme si j’en étais capable voyons ! Mais c’était drôle qu’aucun de nous n’ait eu besoin de baisser la tête, repentant, vers nos godasses, tant votre perfide énumération correspondait peu à nos réalités, voilà tout…
@9h41
@10h38
Pour résumer : « A chacun sa merde » … et vous avez fort à faire avec la votre.
Je m’occupe personnellement de la mienne.
Quand aux crétins qui estiment « normal » que l’on rétribue des « heures de repos » à des cheminots « grévistes » qui ne travaillent pas…. je les plains.
Là oui… on peut parler à leur égard de tarés.
tu n’existes pas quand on t’appelle pas, hein, sal’ cabot. Couché : ristourne à ta nichte !
JJJ, tu peux le nier…. mais tu es un taré !
Vous êtes intéressant, les tarés ineptes : vous faites rire ceux qui bossent dur …
Le rejeton Mitterrand planté à l’Académie. Il aurait pourtant fait bonne figure dans cette galerie de clowns :
« Le fauteuil vacant de Michel Déon à l’Académie française n’a pas trouvé preneur, les membres de l’institution ne s’étant pas retrouvés autour d’un nom. L’ancien ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, candidat, n’a obtenu que 11 voix sur 30 à l’issue du troisième tour de scrutin. »
Vous êtes, les JJJ, des amuseurs à l’ancienne, en voie de disparition
… je ne possède pour fêter la musique qu’une vieille sono NAD, c’est canadien je crois …
Quelqu’un de moyennement cultivé « in », a-t-il lu le récent ouvrage de Ludivine Bantigny, un regard très neuf sur « Mai 1968, de grands soirs en petits matins » (Seuil, l’univers historique, 25 €), semble-t-il ? Sauf erreur, la rdl de Passoul n’en a pas fait mention, ni du magnifique témoignange de Jean-Pierre Le Goff d’ailleurs…, comme si cette époque pleine de promesses ne l’intéressait guère. Que se passe-t-il ? Nous pensions pourtant que cette heureuse convulsion mondiale avait définitivement balayé le syndrome obsidional français de la collaborationnite et de sa purgation mémorielle aiguë.
Dans l’espoir d’une bonne discussion à venir sur une autre époque non épuisée…
———
Couché, sale bête, Javère Cabot, j’ai dit !… Assez aboyé pour aujourd’hui !
La seule qui fasse bonne figure à l’Académie française, c’est je trouve Mme Carrère d’Encausse, qui est comme la monitrice de colonie de vacances pour enfants handicapés mentaux de la très noble assemblée…
@ les JJJ,
… que ceux qui se sentent morveux lèvent tous leurs mouchoirs remplis saluer le nouveau monde de Danette, en la presqu’île du soleil levant de Lamperdouse-Porquenrole !…
Et toi, tu restes couché, j’ai dit, hein, fais gaffe avec tes crocs que j’te les rabotte pas !
Pauvre larve !
JJJ, tu te prends pour un ver à soie filant de la beauté… Or tu ne fais que déféquer ta déjection cérébrale colorée de rouge.
Regrettable confusion !
@gisele
sous le fil précèdent un réponse au post que vous m’y avez adressé et que je découvre aujourd’hui
Clopine Trouillefou dit: 22 juin 2018 à 14 h 13 min
Dommage ! Je commençais à vous imaginer sous les traits d’Anaïs Deshorties à qui Maximilien se serait frotté. Une belle plante, bourrée de vertus, mais vous en savez plus que moi sur le sujet.
Ah,certes non, je sais si peu de choses à ce sujet que, même en plissant les yeux, je n’aperçois guère que le bout de mon nez. Maximilien me renvoie à Robespierre, la barre google confirme en parlant d’une amoureuse, mais pourquoi « belle plante », et « bourrée de vertus » ? Et puis Robespierre est tout, sauf consensuel… Et la démonstration (même si cette démonstration est lapidaire et un peu trop sûre d’elle-même) d’Onfray à ce sujet a au moins le mérite de faire pencher la balance, indubitablement du côté des girondins, haïs par ledit Robespierre. En tout cas, je suis preneuse de tout éclaircissement sur ce que vous avez dans la tête à ce sujet, tant mes faibles connaissances et mes ignorances trop nombreuses demandent en fait à être réparées…
Si j’en crois les souvenirs de mon enfance sarthoise, les exces de l’epuration furent bien plus nombreux en zone « libre » qu’en zone occupee (moi)
Il faut dire que les populations du Nord de la Loire, beaucoup plus solidement aryanisées, étaient mieux préparée à accepter la collaboration et ses nécessités.
JJJ, tu te prends pour un ver à soie filant de la beauté… Or tu ne fais que déféquer ta déjection cérébrale colorée de rouge. (JC)
J’opine (de cheval)
les populations du Nord de la Loire, beaucoup plus solidement aryanisées, étaient mieux préparée à accepter la collaboration et ses nécessités. (moi)
En raison d’affinités ethniques et raciales, les populations de l’Ouest, du Nord et du Nord-Est de la France vécurent globalement en très bons termes avec l’occupant allemand. Les autorités allemandes commirent alors sans doute l’erreur de ne pas annexer les territoires conquis au Nord de la Loire (Belgique et pays-Bas compris) pour lancer une politique d’assimilation en douceur au Reich. La réussite était pratiquement assurée.
Pour JC, de la part d’Olga. Vous pouvez suivre sur le site de la Volvo Race, en direct et en images, l’arrivée des 3 voiliers de tête dans le port danois d’Aarrhus. Dans l’ordre, Dong Feng ( caudrelier) Mapfre ( Xabi Fernandez) Vestas (charlie Enright) Trois grands marins. Goteborg et tout le golfe sous un brouillard gris. Parcourir tout le port,d’Aarrhus, grande foule, virer autour de la bouée,et remonter vers le nord. Olga sera à Scheveningen. Look at !!
DHH 15h17 Je vais lire votre com. et je vous réponds sur le même fil.
… aucune espèce de nouveauté sous le soleil d’été : nos grands esprits hermaphrodites s’humecteront toujours l’an.us de leurs joyeuses baves de limaçons rouges, tels des Goebbels (Nuit) et Goering (Brouillard) sur les fils barbelés des camps. Couché, les klebs !
Les autorités allemandes commirent alors sans doute l’erreur de ne pas annexer les territoires conquis au Nord de la Loire (Belgique et pays-Bas compris) pour lancer une politique d’assimilation en douceur au Reich (moi)
Cette politique aurait d’ailleurs dû être lancée dès le début de la Première Guerre mondiale dans les territoire occupés par l’armée allemande. On imagine diverses mesures efficaces : germanisation systématique des patronymes, emploi obligatoire de la langue allemande, notamment dans les établissements d’enseignement, d’où le français aurait été proscrit, enrôlement systématique dans la Wehrmacht, avantages substantiels de toutes natures à celles et ceux qui accepteraient sans réserve de jouer le nouveau jeu, dont la citoyenneté allemande, avec tous les droits afférents. Le même programme aurait dû être appliqué dans les territoire conquis potentiellement aryanisables et germanisables, entre 1939 et 1945.
Cher JC, je ne sais toujours pas si c’est bien toi car tu ne parles pas assez apéro et Porquerolles.
Gisèle est ce que leurs engins sont à leur mesure, grands comme eux car il est incontestable que ces gens ont du talent, du courage, de l’endurance, une intelligence et toutes ces qualités hors pair. En plus il arrive qu’ils soient beaux .
…. et ça manque à D. pour composer son menu anisé du soir …
t’as pas autre chose à proposer, sombre andouille de JC, que tes injures toujours le mêmes niaises et débiles, change un peu de registre, respire, sors de ton cercueil
Merci Gisèle ….
Je décerne le prix à François Gabart pour les français. Il a détrôné F Camas qui pendant des années fut le plus beau en plus d’accumuler les victoires.Il y a aussi ce loup de mer d’un âge assuré Loïc Peyron à qui fut confié un Airbus des mers et qui en fit des prodiges. Ils sont tous fabuleux et poussent le vent vers l’admiration.
Dédé,
Comme disait l’autre : « Les cons nous cernent, tachons de ne pas collaborer »
Chantal dit: 22 juin 2018 à 14 h 54 min
… je ne possède pour fêter la musique qu’une vieille sono NAD, c’est canadien je crois …
–
Excellent constructeur, matériel de qualité Audiophile (pas une Ferrari non plus…), rapport qualité-performance/prix imbattable.
Leurs tuners sont très réputés.
William Legrand…. que tu es petit !
Ce soir ce sera des truitelles farcies.
L’expression « loup de mer » n’a plus de sens.
Ces hommes ont derrière eux une organisation, des sponsors, des guides, des clubs, des supports, des contrats. Cristoforo Colombo avait les siens, Amerigo Vespucci aussi, Vasco da Gama de même …
Rien de nouveau sous le soleil : les loups chassent en meute.
DHH, bonjour, pensez vous que Benda écrirait soumis aux courants religieux qui pour finir extrémiste une partie du monde par effet de conséquences écrirait aujourd’hui La trahison des clercs avec la même confiance en un universalisme , qui en dépit de bonnes volontés connaîtrait des frontières auxquelles il se heurterait? Je tenterai de le trouver à la bibliothèque, je ne l’ai pas lu et j’imagine qu’il vous revient en raison des évènements tragiques qui sont notre actualité depuis quelques années.
Delaporte dit: 22 juin 2018 à 9 h 06 min
Je me demande où Ed a été éduqué : certainement pas chez les soeurs, vu ce qu’elle nous ramène comme propos pervers et menteurs sur ce blog.
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Pauvre Delaporte. Alors qu’il n’existe pas de jeune fille plus droite et franche qu’Ed… Vos propos sont honteux.
Extremisent.
@7.57, sur un fil précédent de R. Maestri. Je vous suis volontiers, renato. Mais même dans le monde de la physique, Niels Bohr répugnait à admettre l’existence d’une réalité indépendante des appareils de mesure permettant de la cerner. A partir du moment où la théorie de la physique quantique décrivait les phénomènes en incluant dans leur définition le contexte expérimental permettant de la mettre en évidence, cela lui suffisait amplement. Mais pas Einstein, qui avait pourtant réussi à convaincre les plus endurcis et récalcitrants de la crème de l’entre deux guerres de ses collègues, -avec sa théorie de la relativité restreinte puis générale-. A ses propres yeux, la théorie quantique ne devait pas être jugée à l’aune de sa seule efficacité opératoire, elle devait révéler les structures intimes du réel existant, et cela comme une loi invariante totalement indépendante des êtres humains. Or, en 1916, son hypothèse de l’existence d’ondes gravitationnelles (qui fut partagée par les astrophysiciens durant un siècle), ne fut prouvée que le 11 février 2016 par des expérimentateurs US de LIGO, grâce à un instrument capable de les détecter. Il montra qu’elles existaient bel et bien, mais beaucoup plus petites (10 puissance moins 19 de mètre) que le proton (de l’ordre de dix puissance moins 15). Alors, qui a tort, qui a raison de cette controverse qui agite toujours nos esprits les plus éblouissants ?…
Bon, on peut toujours considérer le besoin de de faire littérairement de l’histoire scientifique pour amener les incroyants à rêver du mystère de la créativité littéraire de Flaubert et Stendhal. Il n’y a ourtant aucun mal à fréquenter aussi d’inattaquables et d’excellents passeurs (tels, un Etienne Klein, par ex. Je le recommande surtout à gwg, pour le moment).
Ed dit: 21 juin 2018 à 22 h 07 min
La fête de la musique est une horreur. En tant que mélomane, je la surnomme « La fête CONTRE la musique ». Invasion des rues de France par des musiciens ratés incapables d’accorder leurs grattes. Heureusement que l’exportation de cette débilité est restreinte aux communautés francaises, que je ne fréquente pas de toutes facons.
–
Ed, je suis entièrement d’accord et nous avons tellement de goûts et pensées communes que j’en suis parfois ému. J’ose vous l’avouer.
@ tachons de ne pas collaborer
Tâchons surtout de ne pas faire de taches en bavant dans la niche à fascistes, à dévorer les truitelles farcies au pernod de mon bon maitre.
Couché, sultan !
R. Maestri ❓❔❓❔❓❔❓❔❓❔❓❕
ce qui énerve l’étron de JC c’est que chaque intervenant ici est plus doué que lui, plus instruit, plus intelligent… alors il n’a que le mot « con » répété plusieurs fois par jour comme argument… c’est vraiment euh… con !
« Pauvre Delaporte. Alors qu’il n’existe pas de jeune fille plus droite et franche qu’Ed… Vos propos sont honteux. »
Ce qu’elle a raconté, avant de se dédire, crée à juste titre la polémique.
Ça suffit, Delaporte.
mais comment faites-vous avec vos crayons de couleurs virtuels, D. ?… C’est magnifique, et le robot ne vous met pas d’oppositions ? Tchin !
Ed, j’en suis arrivé à la conclusion que nous sommes vous et moi supérieurement intelligents comparativement aux autres ici.
Vous le savez mais vous n’oserez pas l’avouer parce vous n’aimez pas vous mettre en valeur.
Mais de temps à autre il faut remettre les choses en place, que chacun se souvienne qui est qui ou quoi est quoi pour les entités les moins humaines. Qui est qui, quoi est quoi et où aussi et comment, sans toutefois aborder nécessairement le pourquoi qui appelle à la transcendance.
Les robots sont à ma botte. Ils savent trop bien qui je suis et d’où je viens. Les robots tremblent devant moi. Et j’aime à les voir trembler car ils ne sont que de machines. ✨
Delaporte, plutôt que de déblatérer à longueur de temps, donnez-nous plutôt un avis sur la statue de votre idole Johnny Hallyday, récemment érigée à Viviers ? 😍
Bérénice dit: 22 juin 2018 à 17 h 14 min
http://lafrancebyzantine.blogspot.com/2018/06/respect-pour-la-verite.html
William Legrand est le grand cooon de la Rdl !
@ Janssen J-J dit: 22 juin 2018 à 17 h 18 min
Ne pas confondre relativité et relativisme…( pour aller dans votre sens…)
Colloque d’ Antoine Compagnon avec conférence de Claudine Tiercelin :
https://www.college-de-france.fr/site/antoine-compagnon/symposium-2018-06-12-16h00.htm
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