Erich Kästner, romancier d’alerte dans l’Allemagne de 1931
A quels signes comprend-on que l’on vit une avant-guerre et que l’époque qui s’achève n’était jamais qu’un entre-deux-guerres ? Taux de chômage, crise économique, dépression morale, corruption des mœurs, politiques tous pourris, besoin impérieux de s’étourdir, tout cela annonce la catastrophe. Encore faut-il savoir conjuguer ces phénomènes pour les rendre intelligibles. Vers l’abîme (Der Gang vor die Hunde, traduit de l’allemand par Corinna Gepner, 268 pages, 21 euros, éditions Anne Carrière) d’Erich Kästner y parvient remarquablement, la fluidité de la traduction ajoutant encore à l’énergie propre du texte.
Jakob Fabian, jeune publicitaire doué, auteur d’une thèse consacrée à l’hypothétique bégaiement d’Heinrich von Kleist, promène un regard cynique, railleur et destructeur sur la société de la République de Weimar. Il se nourrit de la lecture des Principes de la philosophie de Descartes et puise dans les aphorismes de Schopenhauer, « cet oncle aigri de l’humanité », un mode d’emploi de la distinction platonicienne entre dyscholos/d’humeur difficile et eycholos/ d’humeur facile. De sa mélancolie il a fait une cuirasse. Revenu de la grande guerre blessé au cœur, il plaint plus malheureux que lui, les gueules cassées, des hommes dont la monstruosité fait des humanoïdes.
Il tient que tout individu, à l’exception notable des enfants et des vieillards, doit être considéré comme fou tant qu’on n’a pas prouvé le contraire. L’argent et les moyens d’en gagner ne sont pas ses préoccupations premières. La randonnée est davantage son souci, les plus belles crêtes et les meilleurs sommets en espérant parvenir enfin à « se trouver là-haut » dans son splendide isolement. Ou tout au moins un but qui mérite l’engagement d’un individu. Nulle part il ne sentait lui-même mieux que dans le giron de la nature. Un moraliste au fond, défenseur des causes perdues, dont on ne comprend pas de manière évidente la devise : « Pourtant ! »
L’auteur de ce roman cinglant, Erich Kästner (Dresde, 1899- Munich, 1974), était un journaliste berlinois, célébrissime dans son pays et dans le monde pour avoir écrit en 1929 un roman pour la jeunesse Emile et les détectives, qui fut mis sur la touche en 1933 par les nazis ; bien que victime d’un auotodafé auquel il assista avant de s’enfuir dans la nuit berlinoise une fois sa présence dénoncée par la foule, il refusa de quitter l’Allemagne pour mieux en observer la recomposition après s’être fait le chroniqueur de sa décomposition ; il fit donc le choix de l’exil intérieur en rédigeant des œuvres anodines sous pseudonyme, avant de reprendre ses activités de plus belle après la guerre mais sous son nom.
Le roman avait été publié pour la première fois en 1931 sous le titre Fabian. Die Geschichte eines Moralisten (Fabian. Histoire d’un moraliste) mais émondé de ses scènes les plus audacieuses, jugées obscènes par l’éditeur même. Stock l’avait repris en français en 1937 avec les mêmes coupes. La version française qui vient de paraître, grâce à l’œil et la persévérance de la traductrice Corinna Gepner et de l’éditeur Stephen Carrière, est évidemment fidèle au texte original de l’auteur, ainsi rétabli dans une nouvelle édition allemande il y a deux ans. Elle permet enfin de prendre la mesure de sa complexité et de sa profondeur.
On navigue avec une certaine délectation dans l’absurde, le comique des situations. Les mœurs sexuelles y sont décrites avec une liberté inhabituelle dans les romans de l’époque, non sans humour :
« Elle alluma une lampe de poche, posa un mouchoir sur le visage de Fabian et examina son appareil génital avec le savoir-faire d’un vieux médecin conventionné ».
On y baise avec l’instinct vital de ceux, manifestement bestiaux, et celles, apparemment nymphomanes, qui devinent que la fin est proche. La satire sociale et politique est implacable. Désespérément noire et glauque. Comme la loi du genre l’exige, elle exagère et force le trait. On peut également y lire un brûlot antimilitariste bien que ce ne soit pas sa principale qualité. Sa verve, trempée dans une remarquable maîtrise du style, rend sa caricature redoutable. Et pourtant, au-delà du rire, c’est bien l’effroi face à un tel désarroi qui domine.
Il manie la litote notamment dans les scènes les plus cyniques, par exemple celle qui se déroule aux dépens d’un aveugle : « L’humanité était indéniablement en progrès ». Son ironie fait des ravages. Ca grince de partout, en toutes situations avec tous les personnages, et ils sont nombreux et attachants quoique secondaires. La Spree silencieuse est le décor familier de ce roman-ville dont Berlin est le héros subliminal, malgré la précision cadastrale avec laquelle ses rues sont évoquées. Elle n’est pas décor mais personnage, d’une toute autre manière que chez Alfred Döblin mais avec une égale intensité.
C’est une fascinante méditation sur la précarité d’une époque qui trouve d’inquiétantes résonances dans notre actualité. Certes, l’inflation n’en finissait pas. Mais, plus important encore, le héros avait le sentiment de vivre à nouveau dans « une grande salle d’attente qui s’appelait l’Europe » sans savoir, une fois de plus, ce qui allait arriver. Il faut prendre cette métaphore au sérieux car Kästner/Fabian est un flâneur, quelqu’un qui traîne en ville et se considère en permanence en attente des événements tandis qu’à l’horizon, de noirs nuages menacent d’éteindre la lumière. C’est peu dire que Vers l’abîme est visionnaire : il est écrit comme on rapporte une vision mais avec une parfaite maîtrise des moyens narratifs.
Signe de la décadence d’une société qui se dirige vers l’abîme, ou plus précisément comme le suggère le titre, vers une fin misérable : la boite la plus courue de Berlin est alors « le cabaret des anonymes », un endroit où, pour quelques marks, des gens viennent chanter et danser sur scène tandis que le public les insulte copieusement sous les encouragements de l’animateur. Sur le Kurfürstendamm, certains promeneurs sont si endimanchés pour un lundi que leur élégance révèle ainsi leur qualité de chômeurs :
« Ils portaient leur costume du dimanche et ils avaient raison, parce qu’ils avaient plus de dimanches que quiconque ».
Partout sur les affiches, ce n’était qu’interdiction et indication. Jamais l’un sans l’autre. On ne lit pas sans en être saisi la lettre d’adieu laissée par son meilleur ami, Stephan, quelqu’un qui cognait et mordait et usait de sa plume comme d’un sabre, repoussé de tous côtés et notamment par l’université qui lui refuse un poste, à la veille de son suicide :
« L’Europe n’a pas besoin de moi pour survivre ou sombrer. Nous sommes à une époque où le marchandage économique ne fera qu’accélérer ou ralentir la faillite. C’est une des rares tournants historiques où il faudrait élaborer une nouvelle conception du monde, tout le reste est vain. Je n’ai plus le courage de me faire ridiculiser par des spécialistes de la politique qui, avec leurs petits remèdes dérisoires, poussent un continent vers la mort en prétendant le guérir. Je sais que j’ai raison mais aujourd’hui cela ne me suffit plus… »
Klaus Mann et André Suarès dénonçaient déjà, en des termes plus directs et plus radicaux, le danger à venir. Ils ne passaient pas pour des lanceurs d’alerte, comme on ne disait pas, mais pour des Cassandre. Au vrai, des vigies de démocratie en péril. Erich Kästner n’a-t-il pas l’un des précurseurs de ceux qu’on pourrait appeler des « romanciers d’alerte » ? Dans sa postface de l’été 1946, s’il n’emploie pas le mot, il use tout de même de celui d’ « avertissement ». Tel était l’objectif qu’il assignait à son livre.
Il fut dit qu’en son temps, soit une dizaine après la fin de la première guerre mondiale, ce livre fut incompris tant par ses admirateurs que par ses détracteurs. Moral ou immoral ? Au fond, on n’en sait rien. Question de point de vue. Quant à la chute, vous vous en doutez, je ne vous en dirai rien. Elle dit tout de son héros en une poignée de mots. Emparez-vous de ce puissant roman toutes affaires cessantes !
(« L’ingénieur Heartfield, 1920 », « Metropolis, 1916-1917 » oeuvres de George Grosz)
575 Réponses pour Erich Kästner, romancier d’alerte dans l’Allemagne de 1931
http://p3.storage.canalblog.com/30/40/1327091/101346627.jpg
de Le Titien à la gemalde gallery berlin
danae et la pluie d’or
ah pardon les femmes qui vont au tombeau sont marie madeleine, marie mère de jacques et trouvé salomé en fois
sont appelées les Myrrophores parce qu’elles portent la myrrhe
le tombeau monument appelé& en grec mnémeion contenant plus petit le taphos
toutes les infos que je partage avec vous, passionnés sont de gabriel conte in Pierre et Jean courent au tombeau
Musée d’Orsay à Paris : Les disciples Pierre et Jean courant au sépulcre le matin de la Résurrection.
Eugene BURNAND suisse 1898
http://www.eurocles.com/data/peinture//b/burnand/////Eugene%20BURNAND%20-%20les%20disciples%20Pierre%20et%20Jean%20courent%20vers%20le%20tombeau%20du%20Christ%20()%201898%20@@@.jpg
pour vous
trouvé salomé une fois mais pour salomé je ne suis pas sûre de l’info
ne m’en veuillez pas
après passionnés mettre une virgule
pour vous virgule passionnés virgule etc.
Mindieu,
mes enfants auraient pu avoir rose comme prof !
Merci les dieux.
>mindieu
😉 ; voui je songe à les prendre le we comme l’assistante sociale coiffeuse dans un gamin à vélo des frères d’Ardenne : à faire famille d’accueil
chui en train de penser -ardemment- aux activités que je leur ferai faire
A quoi servirait le système divin si l’homme n’était pas un salaud ,
La chance DHH !
ahlala
Elles ne font pas que porter la myrrhe, elles l’apportent. Et dans ce cas, ce sont des ….phores ?
Des phéromyrrhes ?
Dans les Églises orientales, elles sont appelées les Myrrhophores (du grec muron, « parfum liquide » et du verbe phoreo, « porter ». Qui portent du parfum liquide, plus généralement traduit : Porteuses d’offrandes.).
rikiki
d c’est à vous que je parlais de narquoise lorsque lola a cru que je lui parlais
sur les femmes j’arrête de chercher : c’est trop variable ; Peut-etre marthe aussi et suzanne
enfin sûr Marie mère de jacques le mineur (cela change un peu de jacques le majeur extrêmement pénible à tourner en rond incessamment – si encore il sortait l’eau du puits comme le lui a demandé rachel, la testa dura pensait-elle nuitamment
et sûr aussi Marie madeleine intime.
bon vous n’êtes peut-être pas trop branchés, je suis, une fois n’est pas coutume et je vous certifie combien c’est rare, extrêmement en avance, presque un mois au lieu de trois plombes d eretard, je le concède, néanmoins, si quelqu’un voudrait avec moi combien sont beaux pierre et jean courant au tombeau;
Sinon, vous bilez pas ; ce n’est pas grave. Ils sont beaux.
>christiane, à vous merci de votre rire pur et cristallin, ô combien bénéfique
le sudarium je vous en parlerai un autre jour et gabriel conte, autant le savoir ce n’est pas le type sur la toile. Non; Pas du tout;
(>mindieu ; mes élèves m’aiment ; vos enfants aussi m’eussent aimée : l’auriez-vous toléré ? De manière générale, je suis aimée. Je n’en abuse pas. Non.).
wiki
grrrr
si quelqu’un voudrait avec moi dire etc.
(Jacques étant en sauvetage en mer)
Ce serait bien d’être deux à le dire
je n’insisterai guère
On dirait que le boug et Sergio nous font une petite célinite aiguë ? Y du style, mais c’est de moins en moins compréhensible.
18.33 le Vieux de la Forêt
Nan : « le Grand Forestier » plutôt, d’après tous les traducteurs français. Nuance.
D. et Gérard-Jean,
bonheur de vous lire, évoquant ces peintres qui me fascinent. Egon Schiele est peut-être celui dont les dessins et aquarelles m’impressionnent le plus, beauté fragile, douleur. Ses dessins laissent tellement apparaître ses désirs, ses rêves, ses fantasmes se.xuels, ses peurs. Et pourtant rien n’a été facile face au puritanisme local… L’expressionnisme autrichien a fait surgir des fondus somptueux de Klimt une vérité cruelle et nue du corps humain (Schiele et Kokoschka, surtout). La chair y est convulsive, les corps désarticulés surgissant sur la feuille vide avec brutalité.
Vienne dans cette fin de siècle, formidable explosion artistique, éblouissante dans l’intuition d’une catastrophe imminente. Une ombre plane pressentie par Karl Kraus.
Les arts plastiques mais aussi la musique, la littérature, philosophie, psychanalyse… œuvre intellectuelle et artistique totale. J’aime imaginer leurs rencontres dans les cafés enfumés.
Vous évoquez Kokoschka, D.. Je pense à la poupée grandeur nature qu’il fit réaliser à l’image d’Alma Malher quand elle le quitta, surveillant chaque détail de sa fabrication. une façon d’échapper à la solitude et à la tristesse…
L’expressionnisme allemand, aussi, avec les peintres du groupe Die Brücke que nous avons déjà évoqués.
Années 30… Crise financière et sociale, abominations politiques. Ils furent tous renvoyés à « l’art dégénéré » et prirent la fuite quand ils le purent. Vienne… Berlin…
Et pendant ce temps, Rose, à pas de loup, sur un rayon de lune revient nous parler des mystiques amoureuses.
Sergio et Bouguereau échangent leur prose… imagée et délirante.
Lvdb et Javert doivent s’être endormis car ils n’écrivent pas !
DHH , Chantal et Lavande doivent lire…
Et JC ? Chut ! ne le réveillez pas !
Quel blog !
Bonne nuit…
Jibé dit: 22 février 2016 à 22 h 03 min
On dirait que le boug et Sergio nous font une petite célinite aiguë ?
Tiens ben voilà : on parlait d’auteurs qui arrivaient à une sorte de pré carré, un peu comme Buffet faisait du Buffet, pour prendre un exemple immédiat.
Ferdine est mort à soixante-et-un ans, mais avec une vigueur sûrement pas en baisse dans l’écriture. Comment aurait-il évolué ? Nouveau roman, Joyce ? Simon, tiens, par certains côtés ; pas facile, de trouver des murs à crever… Du Michaux en prose ? Mais c’est pareil, ça vient vite qu’on comprend plus…
C’est mourir qui faut pas le faire !
javert, je ne vous avais pas lu… Ce n’est pas grave, mais j’insiste : « le grand Forestier » est aussi, dans la traduction de Henri Thomas, « le vieux seigneur de la Maurétanie », « le Vieux », « le vieux de la forêt ». Si vous voulez les numéros des pages…
0h35,
Il se trouve qu’effectivement, la nuit venue, je dors mes huit heures d’un trait pour être prêt à bondir dès le lever du jour ! …
Hier, sur MEZZO, je me suis tapé « LA PASSION SELON SAINT-JEAN », du Kapellmeister JSB, avec le RIAS Kammerchor, Akademie für Alte Musik Berlin, Direction : René Jacobs, Sunhae Im (soprano), Christophe Dumaux (contre-ténor), Sebastian Kohlhepp (ténor), Johannes Weisser (basse), enregistré le 4 avril 2015 à la Philharmonie de Paris.
Il y a pire façon de terminer sa journée.
Javert , dans ta longue analyse psychologique de personnages de roman, ‘Numero zero’ tu t’es trompé hier à 11h56. Il ne s’agit pas de ‘le Broggacio’, mais de Braggadocio; ce nom de personnage prédestiné, trouve son origine à la fois en anglais et en italien. Son personnage antinomique c’est pas Maria, c’est Maia. Le « stay-behind » n’est pas une attitude psychologique. C’est une référence historique, controversée, vois sur wikipédia, si tu as un accès internet.Non, l’Italie n’est pas un pays exotique dans ce roman, pour qui en connait un peu l’histoire. Mais c’est réussi si le romancier peut te le faire penser. Le reportage de la BBC en fin de roman- tu as remarqué le montage chrono et typo de ce livre ?- est ce qui se fait de mieux en matière de journalisme d’investigation. Tu es passé à côté d’un grand livre Javert.
tiens, Javert, je n’ai plus beaucoup de temps aujourd’hui, Domani d’hier est un autre jour. Je t’ai trouvé une image cet exotisme du silence.
http://orta.net/ita1/isolasgiulio.htm
(fais-moi penser à replacer pour un autre et le piu vite possible j’espère, cet éloge funèbre littéraire lu ici: ‘pan dans sa gueule de macabé’)
Oui ! les FEMEN doivent être jugées pour « exhibition sexuelle », c’est une évidence …
(c’est mon petit doigt qui me l’a dit : quand il les a vues manifester topless, ça lui tire des larmes … Si c’est pas une preuve d’exhibition sexuelle aux conséquences nauséabondes, ça, je m’appelle plus Dupanloup !…)
En lisant « Numero zero » souvenirs de Sciascia (« Le chevalier et la mort », surtout).
@JC….. dit: 23 février 2016 à 5 h 50 min
Oui, à 18h15 dans cette salle qui ressemble à un nid, abritant bien l’intériorité et le tragique de cette musique, de ces voix. René Jacobs est prodigieux. Il fait un avec ce chœur et ses musiciens. Intense.
Sur le blog de Paul Edel, Jean-Ollivier, passionné de musique, venait parfois. c’était une fête de le lire. Il aimait cette Passion.
Où on peut passer de René Jacobs à A sei voci :
@6.54. Désolé de vous avoir déçu(e). J’ai bien essayé de vous répondre avec des notes éparses et rapides qui ne font pas sens ici, et que nécessairement vous interprétez improprement,… sur le ton du reproche de l’institutrice moyenne. Pas grave, après tout, vous faites comme vous le sentez. Et je persiste en ma subjectivité : N° 0 n’est pas le meilleur d’Eco ni même « un grand livre ». Quant au reste, vous lisez ce que vous voulez. Par ex. ‘stay behind’, une attitude psychologique ? Mais où êtes-vous allé(e) pêcher ça ?… Pas chez moi, en tout cas. J’ai l’impression que vous passez beaucoup de temps sur la blanche Ulla-Wikipedia. Mais c’est qui au juste ? Votre maître à penser et à asséner ? Cher(e) mme ou m. lvdb, nous vous apprécions tous ici, mais pour ma part, j’aimerais que vous fassiez l’effort de me vouvoyer comme tout le monde, vu qu’en matière de parcage de gorets, je n’ai point souvenance que. Et puis, on va finir par s’imaginer comme Christiane (0.35) qu’on dort ensemble. C’est vraiment pas malin de donner de telles idées romanesques aux gens.
les FEMEN doivent être jugées pour « exhibition sexuelle », c’est une évidence …
pas sûr..se barder de slogans sur les nibards..c’est diablement puritain..mais qui s’interesse a la nudité de nos jours sinon pour toujours la gribouiller
C’est mourir qui faut pas le faire !
« on » l’fait pour toi..
Y du style, mais c’est de moins en moins compréhensible
c’est l’entropie de shannon baroz..si augure augurème..
@ Javert
« C’est vraiment pas malin de donner de telles idées romanesques aux gens. »
Peut-être un effet miroir, vos commentaires allant à l’amble même s’ils se font des croche-pieds !
Javert est la honte de ce blog prestigieux !
(… et j’avoue, avec bonheur, que je me sens moins seul depuis que sa bave de crapaud suinte sous la porte de la sortie de secours RdL …)
« A quoi servez-vous ? »,
demande Jacques Attali cette semaine.
A quoi ont servi la plupart
de ceux qu’on appelle aujourd’hui
des lanceurs d’alerte ?
Pourtant…
Clopine un cas à part… JC incomparable ou un con- parable ? incomparable de niaiseries, grosses
Javert à 10h59. Aucune déception, restes-en aux faits, rien qu’aux faits. Ce roman traite du journalisme et des médias. C’est en cela que je devais préciser » grand livre ». « Stay-behind est incomplet sur wikipédia, c’est normal. Il y a d’autres ressources sur le net, y compris sur les sites conspirationnistes et de désinformation. L’histoire de Corrado Augias et de l’opération Gladio est véridique(p212). Tu peux vérifier sur le site de la Reppublica,journal italien, c’est une série qui est passée sur la BBC en 1992. Si tu es dans le fuseau horaire Gmt+1, ça veut dire qu’il y a une forte probabilité pour que nous dormions en même temps, ça veut pas dire ensemble. Je te donnes du tu par commodité républicaine. Mais en fait, vous êtes un fanfaron.
Si la vie dans les bois, qui est une hyène de couvent, considère que Javert est un haute-contre-basse, c’est que notre analyse est juste : Javert est la honte de ce blog littéraire, espace où ses phrases javertristounettes sont la ficelle sèche d’un collier sans perles …
» l’histoire de L’opération Gladio est vraie »
Depuis le temps qu’on le sait, ça, c’est un scoup!
Javert, si tu ne pratiques pas la lecture « comme un sport et un passe-temps », mais par contrainte, le bavardage bloguesque avec ta danseuse de 12h59, emblématique des « légions d’imbéciles » (citation Eco), peut animer l’après-midi de la mater dolorosa.
Court, qui sort en tremblant de la sacristie…
J’ai écrit textuellement :
« L’histoire de Corrado Augias et de l’opération Gladio est véridique »
https://www.youtube.com/watch?v=GGHXjO8wHsA
A quels signes comprend-on que l’on vit une avant-guerre et que l’époque qui s’achève n’était jamais qu’un entre-deux-guerres ?
Sous l’évier, un bac où s’entassent les journaux lus en attente des corvées de pluches. Comme le dessus du panier se renouvelle sans cesse, le fond reste inchangé. Dans un accès de rangement, j’y jette un coup d’oeil. Je tombe sur un numéro du « Monde » daté du 12 novembre 2012. Titre : » Le conseil national syrien hésite à passer la main / Le CNS, qui vient d’élire le chrétien Georges Sabra à sa tête, pourrait se fondre dans un gouvernement provisoire « .
Qui se souvient de Georges Sabra ? Qui se souvient même du Conseil national syrien et de ses projets ? A l’époque, personne n’avait encore entendu parler de l’E.I. Personne n’imaginait que Bachar al-Assad ferait cette résistance. Qui peut prévoir l’avenir à trois ans de distance ?
Une hyène de couvent, ça voudrait du sang aux mâchoires, et des cris de douleur à la morsure.
Pauvre vieille chose, bonne à empailler ! …
C’est du shamallow qu’elle a dans ses dents cariées, friandise étouffante que lui jettent les enfants turbulents et moqueurs.
Elle râle, grossit, invective : tout le monde s’en fout.
13:18, Court reparti la queue basse vers la sacristie
@gérard-Jean dit: 23 février 2016 à 13 h 49 min
« A quels signes comprend-on que l’on vit une avant-guerre et que l’époque qui s’achève n’était jamais qu’un entre-deux-guerres ? » demandez-vous.
En octobre 1933 paraît le numéro 888 de la revue Fackel. Rien de Karl Kraus sur les évènements d’Allemagne. La revue ne contient, outre le texte du discours prononcé par Karl Kraus sur la tombe d’Adolf Loos, mort en août de la même année, qu’un poème de dix vers :
«Que l’on ne me demande pas
Ce que j’ai fait tout ce temps
Je resterai muet
Et ne dirai pas pourquoi.
Et le silence fait que la terre tremble.
Aucun mot n’a convenu ;
L’on ne parle que dans son sommeil
Et l’on rêve d’un soleil rieur.
Le mot passe,
Puis il s’avère avoir été vain.
Le mot s’est éteint lorsque ce temps s’est éveillé.»
Je relis cette nouvelle de Stefan Zweig « Le Bouquiniste Mendel (traduction de Manfred Schenker (éd. Sillage).
Quand il est arrêté, la voisine dira :
« Mais je le jure, M. Mendel n’a rien fait de mal, c’est impossible. Ils se sont trompés, j’en mettrais ma main au feu. Ils ont commis un crime en arrêtant ce pauvre homme innocent, un crime ! »
Voyait-on ces signes ?
Christiane, ce n’était pas un hasard si c’était dans le n°888. En effet, le nombre 888 a pour propriétés de représenter le Christ, la résurrection, le baptême, symbole de la Rédemption, symbolique des forces christiques répandues sur la Terre. Par sa composition, ce nombre est considéré comme parfait. Selon certaines sources, le texte original grec de l’Apocalypse comporterait un total de 888 mots. C’est aussi le nombre d’années de papauté que recouvrirait la prophétie de Saint Malachie : « L’oracle s’étendant sur 888 ans distinguerait une semaine de 777 ans et 111 ans d’une octave nocturne où, dans la Babylone triomphante, s’épanouira le Mystère d’iniquité. Enfin, l’oracle ayant débuté avec la deuxième période de 111 ans, l’Église, avant le Royaume s’étendrait sur une durée de 18 fois 111 ans. Or, cela peut s’écrire 666 + 666 + 666. Cela permet aussi de considérer 17 périodes de 111 ans jusqu’à la venue du Jour de Yahvé. De plus, la hauteur de la clef de voûte de la cathédrale de Troyes, est 88 pieds et 8 pouces. En outre dans les 888 premières décimales du nombre PI (3,1415…), le nombre 8 revient 88 fois. 888 est aussi la valeur numérique du nom « Jésus » en langue grecque, Iésous ou IHCOUC: 10 + 8 + 200 + 70 + 400 + 200.
Le Christ dit: « Je suis la Vie ». En grec, cette phrase s’écrit egw eimi h Zwh, nombrant 888 = 5+10+40+10+8+7+800+8. Il en est de même avec la phrase « faites-la paix », eirhneuete, 5+10+100+8+50+5+400+5+300+5 = 888.
Somme des deux noms hébraïques sous lesquels Dieu se révèle dans l’Ancien Testament. « El shaddaï » (Gn 17,1; 28,3), AL ShDI, (1+30) + (300+4+10) = 345. « Je Suis Qui Je Suis! », (Ex 3,14), AEIE AShR AEIE, (1+5+10+5) + (1+300+200) + (1+5+10+5) = 543. Ainsi: 345+543 = 888. En hébreu, les nombres de Joseph, 156, de Marie, 248 et de Vérité, 484, additionnés donnent 888.
« A quels signes comprend-on que l’on vit une avant-guerre et que l’époque qui s’achève n’était jamais qu’un entre-deux-guerres ? »
ceux qui, une infirme minorité, avaient compris et analysé (rien à voir avec les rigolos qui se prennent pour des visionnaires) étaient réduits au silence, ignorés ou méprisés.
« ce n’était pas un hasard si c’était dans le n°888. »
eh ben dis donc
« A quels signes comprend-on que l’on vit une avant-guerre et que l’époque qui s’achève n’était jamais qu’un entre-deux-guerres ? »
Ha ben oui on pourrait s’abonner à Signal (pas le dentifrice, hein !)… On y voit des beaux représentants en Hugo Boss ; faut juste aller à la page des textiles fluides !
signal..ça me rappelle antony couin dans la 25eme heure..il fait bien pour la vermarte..mais pour la ss il fait trop lourd de la machoire
en même temps cricri 888 c’est exactement le poids de du verrat plus la truie avec ses 13 petits..
keupu est toujours égal à la raclure
le post est pas cachère
bouguereau dit: Votre commentaire est en attente de modération.
23 février 2016 à 15 h 37 min
en même temps cricri 888 c’est exactement le poids de du ver.rat plus la tru.ie avec ses 13 petits..
keupu est toujours égal à la raclure
..un peu qu’c’est cachère
le mensonge éhonté tel un mors aux dents sous son poids attaché
Qui peut prévoir l’avenir à trois ans de distance ?
moyennant un modeste versement de ton compte paypal, je peux le faire..résultat garantie..lassouline palpe rien..cricri non pus..bref t’es en confiance
Vous prenez une population d’intellectuels en grand nombre, vous demandez une prévision en « sciences humaines » ou en « géopolitique », bref en sciences inexactes : vous l’aurez parmi d’autres, et elle sera la bonne. Miracle !
Ce sera constaté a posteriori et ce sont les lois de la probabilité appliquée aux grands nombres qui assure son triomphe… Lui, ou un autre ! Le hasard de la voyance…
Pas de quoi féliciter le queutard qui a eu du « pot » dans sa vision du futur !
…et bouguereau toujours égal à lui-même dans l’abjection
cave à lier
Depuis le temps qu’on le sait, ça, c’est un scoup!
humberto en avait sorti une bonne sur le complot du world trade center..que bush était bien trop bête pour havoir imaginé un truc si compliqué
Bon mais la fille avec ses dents, là, on voit par bien quel client est « dran » ; c’est pas cela l’ordre germanique ! Normal qui ait eu une reprise en mains…
celle ci était de l’art hallemand serdgio..tu peux fumer
D.
le seul nombre qui m’a fait rêver pendant des années est le fameux nombre d’or dans l’art, l’architecture. Des proportions parfaites nées de l’humain (Léonard de Vinci) et reposant sur l’idée que la nature est mathématique (cristaux, ADN,végétaux (La pomme de pin – le chou romanesco que connaît bien Sergio !), coquillages spiralés (le nautile)…)
Parthénon, théâtre d’Epidaure, pyramide de Khéops, chapelle de Ronchamp (de Le Corbusier) on en trouve la trace. Dans l’abbaye romane de Boscodon enProvence, aussi. J’en avais longuement parlé avec Rose, un soir.
Reste à savoir si la beauté est associée au nombre d’or ? Les expressionnistes, évoqués cette nuit, ont créé une nature désaccordée, une peinture en rupture avec les canons classiques de l’harmonie des lignes et des couleurs.
N’y a-t-il pas de la crédulité chez ceux qui sont avides de ce genre de certitude ? séduits par le surnaturel ( comme vos nombres apocalyptiques de numérologiste pseudo-scientifique.)? Un mythe ? une recherche d’occultisme ? une… escroquerie ?
J’aime tant le hasard, la liberté…
Enfin, Bougboug, tu exagères !
La fille de ton lien … elle ressemble à Mario Draghi, comment veux tu que Sergio fantasme ?
La beauté n’est pas une affaire de proportion, cornecul anorexique, vous imaginez un défilé de mannequin à la Rubens !
Bon alors si c’est ça votre commentaire, Christiane, laissez-moi vous dire que vous n’aurez aucune réponse à vos questionnements.
En plus vous mélangez plein de chose et vous dites des énormités, par exemple que le nombre d’or est humain.
Je préfère encore m’en aller que de lire ça.
Et je ne suis pas prêt de revenir, autant que vous le sachiez d’ores et déjà.
Enfin, Dédé ! Tout ce que nous connaissons de ce monde est « humain » !!!
Lorsque nous nommons, nous isolons, nous distinguons une proportion remarquable, qu’est ce sinon un choix strictement humain, et temporel…
Dégage, Dédé ! Dégage….
JC….. dit: 23 février 2016 à 16 h 21 min
La fille de ton lien
C’est heffrayant avec l’effroi ; je me demande si un Rustin fait pas moins peur… A la camionnetta !
D;
ne vous fâchez pas. tenez pour vous faire sourire « l’histoire du corbac aux baskets » (BD, irrésistible de Fred publiée chez Dargaud). Dommage, vous n’aurez pas les dessins !
« – Bien. Maintenant que nous sommes entre nous, monsieur Corbackobasket, je vais vous parler d’homme à homme… Enfin, si j’ose dire (…) Eux, ils viennent à l’heure en costumes et cravates et vous vous venez en retard avec des plumes et des baskets !
– Mais je vous répète que ce n’est pas de ma faute, monsieur Ploum. je me suis réveillé comme ça ce matin… avec des plumes partout et un bec à la place du nez.
– Oui, bon… des plumes… un bec… cela pourrait être de bonnes excuses… à la rigueur… MAIS VOS BASKETS ? vous n’allez pas me faire croire que vous vous êtes réveillé avec des baskets aux pieds, monsieur Corbackobasket ?
– J’ai plus d’pieds,monsieur Ploum… j’ai des pattes…
– Peu m’importe que vous ayez des pattes à l’intérieur ou même à côté de vos baskets. Moi je ne regarde qu’une chose, c’est que vous dérangez notre société. Compte tenu du contexte économique actuel nous ne pouvons nous permettre aucune fantaisie. Et vous êtes une fantaisie, monsieur Corbackobasket !
Moi, je vous aurais bien gardé… j’aime la fantaisie… parfois… mais il y a la foule de vos collègues. vous avez vu leur réaction ! ils ne supportent pas que l’on ne soit pas comme eux. la foule est impitoyable pour les fantaisistes, monsieur corbackobasket. Impitoyable.
La foule en a crucifié d’autres avant vous, des fantaisistes… avec ou sans basket. Et moi, je suis comme Ponce Pilate, monsieur corbackobasket : j’écoute la foule !… pour le bien de la société !… »
D, je suis dans la salle d’attente de la modération ! zut ! c’était rigolo !
A la camionnetta !
c’est ça la noyeu objectivtët..j’aime assez bien..ça dérange havec précision..ça devait plaire a rosenberg ptêt..pas pour les mêmes raisons qu’moi attation..dailleurs goering pouvait pas piffer rosenberg..je suis un mec cohérent
göring c’est comme clopine tiens..allez jla remet..ça va la faire venir..assez de babylone ! c’est champète
http://www.van-ham.com/fileadmin/kdb/george-grosz-gemaelde-federchen.jpg
le bal des ardents chez les cabots
le 69 dans le tableau à lassouline il est cancérigène?
J’ai déjà vu ces trognes avinées où la lubricité le dispute au prognathisme héréditaire…
Javert et LVDB ?
SVP Sergio, Boug et autres, pourriez-vous vous abstenir de rajouter des h et autres artefacts de partout. Ça me décourage de vous lire… alors que je vous trouverais sûrement passionnants (!)
surtout n’en faites rien, houbliez les mémères ringardes qui passent leur temps à se refiler des recettes de cuisine. Elles n’entendront jamais rien à l’Umour avec un grand U.
bouguereau dit: 23 février 2016 à 17 h 21 min
ça dérange havec précision
Oui mais est-ce qu’on a le temps ? Mais je pense qu’un jour cette toile me reviendra à l’esprit…
Bon, rien compris du tout du tout à cette histoire de camionnette !
Ces « h », un pneu crevé ?
Oulala !
La roue de secours .., le bidule pour tenir la voiture,
le Superman pour tourner la tourniquette à votre place …
pendant que le rouge à lèvres ..
Bref, quelle histoire !
(Je sens bien qu’il faudra qu’il y en ait un pour se dévouer à en écrire 300 pages.
En pattes de mouche. )
Ah ben oui tiens Himmlersmachin on l’avait oublié, celui-là… Himmel !
( j’ajoute: TORRIDE.
( c’est pour encourager ceux qui se gèlent alors que d’autres font la sardine au soleil ..))
15 h 39 min Toujours aussi taré ce pauvre ivrogne parle tout seul hoquetant de hargne
Daaphnée dit: 23 février 2016 à 18 h 50 min
Bon, rien compris du tout du tout à cette histoire de camionnette !
C’est à Caporetto ! L’Offizier i dit, mais il le dit en italien comme suit :
– A la baïonnetta !
Mais les gus ils entendent :
– A la camionnetta !
Et ils vont se réfugier sous la bâche d’icelle…
Oh mais je vous la laisse, votre Christiane, JC, si c’est ça que vous voulez insinuer. N’ayez aucune crainte de quoi que ce soit. Avec toute ma sympathie.
(((( au fait, à propos de tourniquette, il n’y en a même plus dans les nouvelles voitures !
Oui, je découvre.
Il y a un bidule qui gonfle le pneu crevé aux amphétamines, sans doute … avant qu’il ne vous exlose à la figure !
On n’arrête pas le progrès.)))
Bon ce soir c’est l’inconnu. Je rentre dans le premier restaurant ouvert, je m’assieds et je crie : A manger, aubergiste !
On verra bien ce que ça donnera.
Vous savez que je vous aime bien, Daaphnée ?
Et voilà, Sergio, ce sont des malentendants qui voudraient faire des révolutions !
Pffffffffffffff .. !
c’est comme ça dit: 23 février 2016 à 15 h 44 min
…et bouguereau toujours égal à lui-même dans l’abjection
c’est un maniaque il est débile faut pas faire attention
[[[[[[[[[[(((((((((((((((( D., .. bon .. je ne dirai pas que je suis insensible à votre déclaration.. bon , je doute, je tergiverse ..
mais,
quand même,
les endives au jambon,
je crains d’avoir une hésitation .. ))))))))))))))))
]]]]]]]]
Daaphnée dit: 23 février 2016 à 18 h 50 min
Bon, rien compris du tout du tout à cette histoire de camionnette !
Ils disent que vous êtes bêlle comme un camion
et ça m’a estompé, ach!
bêlle comme un camion
Loin de moi cette prétention !
Je me contente de la Jaguar du road movie .
« la Jaguar du road movie »
mais oui mais oui
dans l’ambassade du milieu ils ont un peu l’air con
« pauvre ivrogne parle tout seul hoquetant de hargne »
sa raison d’être
Quand je pense que pendant que je viens m’amuser ici, mon super U. chéri d’amour est aux prises avec des chinoises cannibales ..;
Je me demande si je ne devrais pas m’inquiéter ..
Déjà de ma légèreté.
faut pas gratter ça fait griffes de la nuit
Tiens, HS pour nous remettre de la catastrophe littéraire.
Mes roussettes sont de plus en plus jolies:
Cou rouge, tête brun clair.
Je dirais dans les 70 cm d’envergure ..
L’oeil brillant.
Bon, rien ne dit qu’elles ne soient pas pleines de puces, ces coquines.
« Dédé dit: 23 février 2016 à 19 h 00 min
Vous savez que je vous aime bien, Daaphnée ? »
« Dédé dit: 23 février 2016 à 18 h 56 min
Oh mais je vous la laisse, votre Christiane, JC ! »
Quatre minutes auront suffi a nous faire comprendre le comportement de cette crapule de Dédé : un amoureux ….. opportuniste, un trader des sentiments les plus nobles !
Quelle honte !… un Javert nouveau ?….
@12.47 Mais en fait, vous êtes un fanfaron.
Dit comme ça, ça me convient beaucoup mieux, j’admets la fanfaron à condition d’ajouter « ludique ». Reconnaissez que le voussoiement démocratique a plus d’allure, non ? Vu qu’on est apparemment embarqués dans la même Cythère, malgré les croche-pieds, à l’insu du gré du pq varois, incontestable « phénix de ce blog » capable de « faire des analyses », vaut mieux le renvoyer à ses chers colliers de perles invisibles dans son bakasab’. Il se prend pour le roi du conte d’Andersen et n’a rien à dire de Numéro Zéro, comme sur rien d’autre d’ailleurs, hors d’éructer ses pets de nonne.
Vous m’avez bien lu : je me contrains comme dans le sport amateur à lire beaucoup de romans sur des vraies pages, plutôt que sur celles d’internet, car je partage les croyances d’Eco et de Carrière : les premières ont encore de l’avenir devant elles, on peut écrire dessus au crayon de papier, et constater après coup comment on a évolué. On se refait pas. Dernière précision pour nous en tenir aux « facts of matter » : pour le moment, mon fuseau est Gmt+4, donc je réagis pas toujours au bon moment, et bien souvent à contre-courant du vent sur la pente enneigée du mont Tremblay…, j’sus tout mêlé, c’ta pas d’bon sens, ces Laurentides là, crisse de câlice. Faut faire avec et m’pardonner.
Javert ne me perturbe pas stp. J’étais en train de lire ce tweet sur la langue parfaite de Dieu. Tu vois, on a laissé passé un truc important. La linguistique !
Même si dans le roman « numero zero » il y a quelques mots qui nécessitent l’usage du dico et que M. Schifano n’a pas trahis. Cela me fait penser à Huysmans, tu te souviens de ce qu’en avait dit le narrateur de » Soumission » ? Qu’il avait inventé un très grand nombre de néologismes.
Enfin, tu ne causes pas hébreu ?
Moi non plus.
Mais dans ce tweet il est également question d’un roman de U. Eco. Et tu sais quoi, on me l’a donné il y a quelques mois dans son édition française d’origine, 1996. C’est encore une histoire d’espion. Mais son histoire à celui-là, » l’île du jour d’avant’ se passe en 1643. Cela t’en bouche un coin, nan ?
Pour revenir à Umberto Eco romancier ;pourquoi n’est-il pour moi que l’homme d’un seul roman
Emerveillée par le Nom de la Rose lu relu et dégusté j’attendais fébrile le pendule ;il m’a déçue même s’il y avait une certaine drôlerie dans cette entreprise tournant en ridicule l’esprit Planète qui avait fait flores dans les années 60,avec le matin des magiciens .
J’ai essayé Baudolino qui a confirmé pour moi le tarissement de la veine qui avait alimenté le nom de la Rose
;je n’y ai trouvé qu’une une réutilisation poussive et appauvrie des recettes qui dans le nom de la rose , innovantes et flamboyantes dans cet ouvrage sui generis, faisaient de ce livre un choc ;Erudition vraie et faussement vraie, puisée aux mille les sources ’d’ une culture tous azimuts époustouflante de richesse et de varieté , pastiches ,fourmillement de personnages vrais et de personnage inventés plus vrais que les vrais, références historiques, réappropriation de textes divers sacrés et autres ;effets de « regard éloigné », illustrations subtiles de thèmes linguistiques et sémiologiques pointus , le tout traité avec l’humour et la distance de celui qui montre à chaque instant qu’il s’est amusé a fabriquer cette histoire comme on monte un canular
A près Baudolino j’ai decroché; puis j’ai fait une derniere tentative peu concluante avec le cimetiere de Prague ,bien tarabiscoté ; je lirai peut-etre à l’occasion le numero zeo mais je n’en attends rien ;et je m’en tiens là pour les romans
En revanche je suis une admiratrice inconditionnelle de tout le reste ,les traités de semiotique ,pastiches et postiches ,la guerre du faux ,la recherche de la langue parfaite ,les limites de l’interprétation etc… qui sont arrivés en France dans le sillage du succès du nom de la rose, pour le bonheur du grand public qui l’ignorait jusqu’alors .
mon super U.
–
Vous avez la carte de fidélité, Daaphnée ?
roue de secours dit: 23 février 2016 à 19 h 06 min
Belle comme un camion, Daf ?
Non, comme un bus andin.
J’hermanise enfin.
Jean-Philippe Grossa-Merda dit: 23 février 2016 à 21 h 31 min
Salut Chaloux,
toujours charognard ?
Et vous êtes une fantaisie, D ! (voir le 17h11 sorti de son attente). c’est chouette de vous lire, corbackobaskett !
Superbe feuille de route pour découvrir l’essentiel de l’oeuvre d’Eco, DHH ! Je ne manquerai pas de m’en resouvenir, si d’aventure, un jour, je me mets à le lire. De lui, je ne connais que le personnage médiatique et la version cinématographique de son célèbre roman, ce qui ne m’avait pas donné l’envie d’en savoir plus…
PotaMac dit: 23 février 2016 à 21 h 30 min
un bus andin.
C’est comment, ces trucs ? Y a deux roues à droite et deux roues à gauche, non ? C’est bien quand on n’est pas du même côté…
20.12 » l’île du jour d’avant’ se passe en 1643. Cela t’en bouche un coin, nan ?
Ben nan, pas du tout ma bonne dame ou mon bon monsieur. Si j’étais raccord dans l’histoire des fuseaux horaires, c’était précisément parce que je pensais à ce bon roman de 1994 qui y faisait directement ECO, alors qu’il me paraissait avoir été trop injustement oublié. De même qu’on a eu tort de médire du Cimetière de Prague… pour ne pas même parler de l’assourdissant silence sur l’admirable Flamme de la Reine Loana… « Le nom de la rose », je vous demande un peu ! Comme si LNDLR et NZ devaient résumer la carrière d’Eco ! Mais qu’est-ce que vous croyez, vous autres, qu’on est des niaiseux au mont Tremblant ?
« la distance de celui qui montre à chaque instant qu’il s’est amusé a fabriquer cette histoire comme on monte un canular »
Un peu comme Jean d’O, alors ? Une parenté inattendue.
« Quelle langue parlait Dieu ? »
La langue parfaite. Afin de pouvoir mentir à tous …..
L’Allemagne de 1931 ? …. Que nous importe ce passé sans intérêt, sans conséquence pour l’avenir !?
Revenons plutôt au monde merveilleux dans lequel nous vivons, cloaque politique et culturel aux icones enchâssées dans la vasière mondialisée…
Longtemps, nous avons fait confiance aux divinités que nous nous sommes créées afin de nous aider à vivre, à trouver le bon chemin … Hélas, nos dieux ne valaient pas mieux que leurs créateurs ! Des criminels, des fous, des monstres sans vie.
La littérature nous a apportée d’autres dieux : les philosophes, et nous les avons suivis, écoutés, dans leurs délires personnels.
Aussi, n’attendons rien d’eux et jouissons de ce chaos d’où émergent de merveilleux joyaux… DONALD TRUMP !
N’est il pas le flamboyant Nouveau Dieu ? Le Pape des Dynamiques ? Le Roi des Emmierdeurs ? Le Forgeron Nucléaire ? La Caricature Parfaite ?….
Les Américains ont bien de la chance d’avoir un phare de la pensée pareil : c’est pas chez nous qu’un JUPPE lui fera ombrage, droit dans ses pantoufles présidentielles !
Beaucoup d’hommages et de souvenirs, suite à la disparition d’Umberto Eco. Oui, c’est très très émouvant.
Un hommage dans l’autre sens; l’écrivain Umberto Eco à ses lecteurs:
« Beaucoup de gens m’ont demandé : « Pourquoi vos livres sont-ils difficiles ? » Mais parce qu’ils sont difficiles ! Il y a tout de même des gens qui ont envie d’expériences difficiles. J’ai des lecteurs comme ça chez les « sauvages » du Texas, et pas seulement à Paris ou New York. Il m’arrive souvent d’être reconnu par des commerçants, des policiers d’aéroport, des contrôleurs de train, des gens dont on ne pensait pas, il y a trente ans, qu’ils lisaient des livres. Là encore, il y a deux théories : soit ils ont tous une licence de lettres et n’ont pas trouvé d’autre boulot, soit ils lisent. »
in le mag litt’
« … la sardine au soleil… »
Avec un brin de persil?
JUPPE président de la République Française, c’est MAGINOT préparant la France pour 39-45….. Bref une erreur de casting, une erreur d’époque !
JC…… dit: 24 février 2016 à 6 h 44 min
Avec Donald Trump notre fin politologue varois retrouve des plaisirs qu’il croyait avoir perdus depuis la disparition de Bernard Tapie (et de Guérini) du décor frelaté de sa république immobilière dite PACA.
L’affairisme est de nouveau regardé avec amour, le béton va reprendre ses droits.
JC est heureux.
Résumons, dans une modération de bon goût…
L’affairisme de grande ampleur est une affaire d’Etat : un entrepreneur véreux sera toujours meilleur homme qu’un politicard honnête entouré de sa clientèle honnête.
La Provence indocile, les provinces indociles, sont une merveille de pureté si on les compare à ce lieu immonde de crapuleries : Paris et ses satellites nauséabonds, travaillant à grande échelle dans l’impunité totale.
Vive la Provence !
JC…… dit: 24 février 2016 à 8 h 36 min
Résumons,……
entrepreneur véreux……..
Vive la Provence
Beau résumé.
Adorateur de Trump et Tapie.
Je n’ose imaginer la coupe de cheveux de JC.
Daaphnée dit: 23 février 2016 à 19 h 14 min
Je me contente de la Jaguar du road movie .
((((((((((Pffff)))))))((((((mais chuuuut ))))) c’est d’une banalité ((((((( à votre image))))))) !
Doté d’un opulent système pileux situé au plus haut d’une silhouette majestueuse, j’ai adopté dans les années d’après guerre la coupe de cheveux dite « à la LOUIS XIV emperruqué « …
Il faut me voir distribuer lors des élections des tracts en faveur du mieux payant financier : magnifique !
« un entrepreneur véreux sera toujours meilleur homme qu’un politicard honnête »
JC
Notre trumpiste provençal ne se lasse pas de nous le répèter chaque jour :
Rien de meilleur qu’un politicard véreux.
Tifs (24 février 2016 à 8 h 49 min »
Je n’ose imaginer la coupe de cheveux de JC.
chauve depuis l’âge de 15 ans(et moche et c.n depuis toujours)il est pas gâté le pov gars
Madame Verniglia vient de voir par sa fenêtre le JC se pavanant et dandinant avec sa nouvelle coupe de cheveux, les gens rigolent car c’est pas la peine de se moquer des invertis pour finalement leur ressembler encore plus, les enfants crient Tata JC !
Revenons au sujet : les rois de l’alerte actuels
Vous auriez à voter pour TRUMP ou pour HOLLANDE comme tyran hexagonal, capable de bouléguer ce pays, de niquer la Belle au Bois Dormant …. ne me dites pas que vous revoteriez pour le Petit Bedonnant impotent !?
Il me semble qu’il serait plus sage de le « remercier pour ce moment » passé ensemble, non ?!….
Et de donner démocratiquement notre voix à un autre fou !
JC…… dit: 24 février 2016 à 9 h 31 min
Vous auriez à voter pour TRUMP ou pour HOLLANDE
Vive Hollande !
Court est toujours dans la sacristie, effet garanti !
De même que Dolfie P’timoustach a fait ce qu’il fallait pour faire se développer le nazisme en Allemagne dans les années 30, ne pensez vous pas que Mitterrand, Giscard, Hollande et les humanistes béats de ce cher vieux pays ont …..
A plus tard, mécréants !!!
c’est comme ça/William/les copains/… n’a rien à se mettre sous la dent ce matin, alors il rabâche.
mais où est roro dit: 24 février 2016 à 10 h 02 min
jibé pauvre con cierge qui croit tout voir et savoir, radote et se plante comme d’hab
» ne me dites pas que vous revoteriez pour le Petit Bedonnant impotent !? »
adolf disque rayé ça serait bien pire avec tes champions
Le bateleur qui draine les suffrages en disant à une population un peu paumée ce qu’elle veut entendre est de tous les temps
Il s’appelait Catilina à Rome ,Boulanger sous la troisieme Republique, Trump aujourd’hui
En général il s’essouffle ,mais parfois il réussit et cela donne Hitler Pinochet ou Berlusconi
Qu’en sera-t-il de Trump? doit on compter sur un sursaut de lucidité du peuple americain ?
Mettre dans le même sac Hitler, Pinochet et Berlusconi est d’une grande stupidité
jicé et ses potes de biture pleurnichent auprès de la me.dération
doit on compter sur un sursaut de lucidité du peuple americain ?
Pas facile là-bas (et cf aussi le système de comptage …)
à 10 h 47 la tâche varoise veut dire que le clown trans alpin n’a pas la moustache ni la coupe de cheveux des deux autres
Repos pour DHH. Impératif.
Coucou me voilà. Je vous manque tant que ça, Votre Suffisance ou vous souffrez de votre sublime dent ?
ya plusieurs roro
On n’avance pas, d’après ce que je vois : grâce, ou à cause, de cet inconnu célèbre Erich Kastner que nous inflige un Passou distrait….
Revenons sur le fascisme naissant en Allemagne : deux chercheurs, manifestement irrespectueux, viennent de souligner que le nazisme pourrait s’expliquer par une volonté du Kanzler Adolf H, comme dit Steiner, de compenser par l’ambition la dimension de sa teutonne mentule : 7 cm, en érection bavaroise… ça décevrait le moindre nain.
Comme disait Yvonne à propos de son grand Charles : « Mon ami, vous n’avez pas les outils de votre ambition ! »
« Le ministre des Finances, Michel Sapin, a appelé aujourd’hui les signataires d’une tribune critique à l’égard du gouvernement, dont la maire PS de Lille Martine Aubry, à éviter les postures. »
Nous sommes d’accord ! A partir d’un certain âge, d’un poids certain, il est sain, esthétique, que Martine AUBRY doive absolument éviter les postures ….
« Le bateleur qui draine les suffrages en disant à une population un peu paumée ce qu’elle veut entendre est de tous les temps » DHH
Le bateleur est le premier arcane majeur du tarot de Marseille. Il symbolisme à la fois l’agilité, la jeunesse et aussi le charlatan.
J’aime bien DHH quand elle renverse la théière sur la table. Sans pitié pour les personnes âgées ( traduit de: « population un peu paumée » en Italie) qui ont cru au triplement du montant de leur retraite.
Peut-être faudra-t-il attendre cet opus posthume de Umberto Eco, à paraître en fin de semaine: « pape Satàn aleppe « , pour avoir une idée plus précise de l’empire des médias, et de l’édition. Déjà que le personnage du Commandeur de Vimercate était particulièrement bien campé dans » numero zero ».
Les égyptologues du FMI sont ravis : la Momie de Lille a parlé !
@12.54 que nous inflige un Passou distrait…. Sûr qu’à la rdl, il est pas souvent branché, comme l’obsédé JC (Ja-Couille ?), par la longueur de sa queue.
@13.16 Que voilà un scoop intéressant !… Sait-on si un éditeur français est déjà en route sur la traduction de l’italien de pape satan aleppe ? Prévu pour quand ?
Puisque nous savons, d’expérience, que l’activité intellectuelle, créatrice, innovante, pertinente, se produit quasiment toujours avant 30 ans, pourquoi continuons-nous à faire confiance aux vieux roublards épuisés, sans compétence, sans illusion, sans projet ?!….
Bonne soirée, mécréants !
Javert a la même qu’Adolf : un cure dent pour bonne à tout faire …. hihihi !
« J’aime bien DHH quand elle renverse la théière sur la table » écrit LVDB
voilà une manière plus gentille de dire les choses que ne le fait celui qui poste à 11 h 58.Merci
De tout cœur à vos côtés, Judith !
Commentaire scandaleux : comme si nous ne savions pas que vous êtes déjà suivie médicalement, compte tenu de votre âge vénérable ! ….
JC….. dit: 24 février 2016 à 13 h 57 min
l’activité intellectuelle, créatrice, innovante, pertinente, se produit quasiment toujours avant 30 ans.
Notre cher JC qui avance rapidement vers ses 70 en sait quelque chose, lui qui en est toujours resté à Milton Friedman et à l’Ecole de Chicago de sa jeunesse.
Depuis, pas un poil d’idée nouvelle.
Puisque le nom de Trump est prononcé, comment ne pas voir là le genre populo rigolant de Jean-Marie Le Pen ou en se forçant un peu celui de Georges travailleur-volontaire Marchais? Même gouaille, même mauvaise foi hallucinante, même succès auprès du bas du peuple et des élites ravies soit de pouvoir continuer à s’enrichir, soit se décomplexer quand être staliniste est devenu mortifère.
« l’université qui lui refuse un poste, à la veille de son suicide »
Ben oui mais… On pouvait pas lui refuser après son suicide ! Comment il l’aurait su ?
Article sur Morvan Lebesque chez AC.
JC de pq est un vraiment un grand homme monté comme un âne, et s’il n’existait pas, il faudrait assurément l’inventer. Car JC de pq a déjà compté jusqu’à l’infini. Deux fois. JC de pq peut diviser par zéro. Certaines personnes portent un pyjama Superman, Superman porte un pyjama JC de pq. JC de pq ne porte pas de montre, il décide de l’heure qu’il est. Un jour, JC de pq a commandé un steak dans un restaurant, et le steak lui a obéi. L’avenir se demande parfois ce que JC de pq lui réserve. Un jour, JC de pq a frôlé l’accident, l’accident ne s’en est jamais remis. A la patrie rdl reconnaissante !
DHH dit: 24 février 2016 à 10 h 43 min
« Le bateleur qui draine les suffrages en disant à une population un peu paumée ce qu’elle veut entendre est de tous les temps »
Et si en plus ils trichent… ! ETATS-UNIS. Les primaires du Nevada entachées de fraudes
Plusieurs sources font état de pénurie de bulletins de vote et d’identités non vérifiées lors du caucus républicain de mardi dans le Nevada qui a vu Donald Trump triompher. (Obs)
Javert, je retire ce que j’ai pu dire de vous comme méchancetés malvenues : vous avez un jugement sûr. Votre 17h13 en témoigne…Bien à vous !
Mon voisin Anaximandre me pose une question, à propos de Martine AUBRY, question à laquelle je n’ai pu répondre ne faisant pas partie du gang :
« Ta Cochonnette de Lille, combien de divisions ? …. »
Javert dit: 24 février 2016 à 17 h 13 min
il décide de l’heure qu’il est.
C’est déjà se fixer des limites…
Il paraît que, à nouveau, il y a quelques petits problèmes en Libye. Alors, on attend avec impatience que notre discret libérateur national déboutonne sa chemise blanche et hop! au boulot. Cela ne prendra pas beaucoup de temps. A la fin on aura droit à une vidéo relayée par les compétents professionnels des média. Que le spectacle continue. Le vaudeville est roi.
« La fatwa contre Salman Rushdie relancée »
En remerciement, de la part du président iranien, après sa visite à Hollande ?
et hop! au boulot. Cela ne prendra pas beaucoup de temps.
sans 1/2 neurone notre sauveur et bienfaiteur c’est fichu d’avance
Jibé dit: 24 février 2016 à 18 h 10 min
« La fatwa contre Salman Rushdie relancée »
En remerciement, de la part du président iranien, après sa visite à Hollande ?
Baroz ! Continue à faire concierge, dès que tu sors de ton rôle tu frôles (euphémisme) le ridicule.
Cette revalorisation de la prime intervient alors que les tensions s’accroissent au sein du pouvoir iranien. Alors que le gouvernement du président Hassan Rohani, dans la foulée de l’accord sur le nucléaire iranien et de la levée des sanctions internationales, s’emploie à mettre fin à l’isolement de Téhéran, les tenant de la ligne dure incarnée par l’ayatollah Ali Khamenei multiplient les tours de vis.
Le camp conservateur a ainsi lui-même désigné les candidats des législatives et de l’élection de l’Assemblée des experts du 26 février afin d’asseoir son assise sur un scrutin qui a valeur de test pour le programme réformateur du président.
http://www.france24.com/fr/20160223-iran-fatwa-salman-rushdie-prime-medias-versets-sataniques-khamenei
Tous les roros sont priés de se présenter au parloir, Sa Suffisance s’impatiente
« Tous les roros sont priés de se présenter au parloir »
En v’là une belle escadrille.
François Delpla dit: 21 février 2016 à 18 h 02 min
D. dit: 21 février 2016 à 17 h 54 min
Qui est ce François Delpla qui intervient ici régulièrement sans même se présenter ?
================================================
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Delpla
http://www.delpla.org
etc.
Au fait, que dirait ce chantre de l’auto-présentation si Delpla se contentait de signer d’un D majuscule ?
===============================================
La question a été laissée sans réponse, fort significativement.
La plaie de l’anonymat, encore et toujours !
Version numérique de la vieille tendance de l’hôpital à se foutre de la charité.
… le faussaire et diffamateur Delpla oublie tout juste de nous dire qu’il a, et pour ce motif, fait l’objet (de ma part) d’une plainte auprès de la CNIL !
tiens, il y avait longtemps !
et tu oublies pour ta part d’indiquer (mais peut-être dans ta rage obsessionnelle as-tu oublié)
* que la plainte était infondée et absurde, car elle demandait le retrait de données que tu avais mises en ligne;
* qu’elle m’accusait de n’avoir pas répondu à tes demandes directes et qu’il m’avait suffi, pour avoir la paix, d’indiquer à la CNIL que je conservais un double de mes courriels;
* que tu accuses régulièrement les gens que tu harcèles à mon sujet, le jour où ils te manifestent leur lassitude, d’être membres d’une conspiration qui protège mes turpitudes
Basta cosi; les amateurs de précisions googeliseront nos deux noms; prévoir un pince-nez.
conformément à un procédé de sa part constant :
– le nommé Delpla raconte ici le contraire de la vérité
– et il renvoie les internautes à « google » cad. à… son propre site, que par des moyens de copinage-en-réseau il fait remonter en tête de gondole (sic) lorsqu’on pianote nos deux noms, comme il y incite ingénument…
Mais, puisque monsieur Delpla se veut historien, il comprendra que les lecteurs puissent préférer juger sur pièces. Aussi et s’ils ont du temps à perdre avec les allégations de ce triste sbire ils pourront se reporter à la seule discussion historienne j’ai jamais eue avec l’intéressé (encore affichée sur le site http://www.nonfiction.fr) puis se reporter au ‘compte-rendu’ qu’il en a fait, sur son site ni-fait-ni-à-faire, où il tentait de rejouer le match. Et ils verront bien :
1) si c’est… moi qui l’ai « abordé », comme il ose le soutenir sans que son nez s’allonge (assurément, sur ce point précis, les lecteurs ont besoin de prévoir un pince-nez, comme il y incite)
2) si notre différend portait sur le plan littéraire (où je n’ai pas compétence, et alors que c’est bien sur le terrain historien qu’il a passé un mauvais moment)
3) et si j’aurais à cette occasion recouru à l’anonymat -procédé dont on voit d’ailleurs mal quel intérêt il pourrait présenter pour un chercheur.
nous prenons bonne note de ce que le sans-dignité Pierre Assouline a laissé affichés ci-dessous les mensonges éhontés, vérifiables comme tels par simple comparaison entre la discussion d’origine (qui s’était déroulée sur le site http://www.nonfiction.fr), et le récit frauduleux qu’en a fait le nommé Delpla.
Ah ça non : il ne sent pas bon, le sans-dignité Pierre Assouline.
merci à Pierre Assouline d’avoir réaffiché mon commentaire. J’en profite pour signaler qu’un courrier a été adressé au président du Conseil d’Etat pour protester contre le comportement de la « CNIL » en cette affaire
Luc, fais donc un peu attention !
Tu attires celle du lecteur sur une tienne « plainte » auprès de la CNIL.
Puis tu me traites de menteur à propos d’une discussion historique, dont tu dis qu’elle a tourné à ton avantage.
Le lecteur risque de comprendre que tu as demandé à la CNIL de statuer sur une question d’histoire, ce qui semble assez éloigné de ses missions connues.
En outre, s’il a du temps pour lire posément tout cela, ledit lecteur risque de remarquer qu’un anonymat, servant de bouclier pour asséner des insultes, a été reproché par moi à « D » et non à toi. Je puis dire, si tu insistes, que le fait de signer des insanités de ton nom est une de tes qualités… un peu gâchée par ta propension à proférer des amabilités du même ordre, pour faire nombre, sous des pseudos virevoltants.
ah, le pauvre type…
rien désormais ne semble l’arrêter dans sa fuite-en-avant dans le mensonge, dans la diffamation, et plus encore (et quoi qu’il m’en coûte d’utiliser un terme célinien) : dans la trouducuterie.
je préfère être pauvre à ma façon que riche à la tienne !
d’ailleurs tu aimes tant avoir le dernier mot que j’envisage de te le laisser, sans que nos rares lecteurs soient fondés à croire que je consens.
ce Delpla m’a tout l’air de ce que nous appelons, au pays, un furieux. En tout cas il semble ignorer que l’expression « je consens à vous laisser le dernier mot » constitue, une dénégation
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