Esprit de Racine, es-tu là ?
Cela faisait un certain temps que l’on n’avait entendu à l’issue d’une pièce un concert si dissonant d’applaudissements, d’éclats de rires et de huées. C’était hier soir à Paris, au théâtre de la Ville-Sarah Bernhardt, pour Bérénice. Le pauvre Racine n’y était pour rien ; heureusement pour lui, il était absent, mais totalement. L’interprète quasi unique Isabelle Huppert non plus qui aurait pu le rejoindre au rang des victimes à ceci près qu’elle au moins était consentante. Romeo Castellucci, le metteur en scène et « concepteur » de ce spectacle créé le mois dernier à Montpellier, est le seul coupable et responsable. Du meilleur comme du pire. C’est à lui qu’il faut éventuellement en vouloir de nous avoir volé une heure et quarante minutes de notre vie.
Cinq actes par sa seule voix. Audacieux pari, ambitieux parti pris et pourquoi pas ? Sauf que le bout à bout de ces monologues ne permet absolument pas de savoir de quoi il en retourne, d’où elle vient, ce qu’elle veut eu juste et quels sont les enjeux. Plaignons les jeunes qui découvraient Béré hier soir. Ils seront dédommagés du voyage par la scénographie éblouissante ; pour un peu, aidée par la musique, elle envoûterait.
La Bérénice de Racine est une merveille sans égale. Je le dis au présent bien qu’elle soit de 1670. Inentamée par les âges, sa beauté résonne comme au premier jour. Encore faut-il l’entendre. Anticipant sur son inaudibilité, la direction du théâtre propose des casques pour les mal-entendants. La voix de la comédienne est amplifiée par un vocodeur, appareil analysant les composantes spectrales de la voix pour en produire un son synthétique ; mais comme elle se déploie de manière interrompue sur un tapis sonore assez envahissant de l’électroacousticien Scott Gibbons, « figure de proue du dark ambient et et de la micromusique« , cela aboutit à l’effet précisément recherché par Castellucci : le fameux « brouillard de mots » cher à Roland Barthes (voir son Sur Racine) chaque personnage évoluant dans un halo visuel et une bouillie sonore qui le rend indistinct. L’acoustique en est insupportable. Le fait est qu’avec ou sans casque, sans être bouchés à l’émeri, on n’y comprend rien. On glane bien des mots par-ci par-là, mais c’est un miracle si l’un des 1506 alexandrins nous parvient dans son intégralité. Un comble alors que si on est là, c’est avant tout pour le bonheur d’entendre la langue de Racine, d’écouter sa musique intérieure même si le force d’attraction d’Isabelle Huppert, « synecdoque de l’art du théâtre mondial (?)… actrice définitive (?)… chargée d’exprimer l’hardcore du théâtre » ( ?) selon le metteur en scène (il doit sacrément l’aimer), joue aussi. Même s’il est précisé qu’il s’agit d’une Bérénice « d’après Jean Racine », c’est dans ce spectacle que l’on a le plus de chance de le trouver absent.
Ce n’est pas la première fois que le metteur en scène italien fait un sort au théâtre classique. Plutôt que de servir les auteurs, il les met à son service, les instrumentalise en les asservissant à son projet esthétique jouant sur la provocation, l’outrance, l’intensité. Sachant que Romeo a l’habitude de castellucciser les œuvres (Jules César, Hamlet, Orestie, La Divine comédie) convoquant tous les arts et toutes les techniques loin de toute reconstitution historique, on ne s’attend pas à ce qu’il respecte Bérénice à la lettre. Même pas l’esprit, au moins ? C’est un revisiteur de chefs d’œuvre jugés assez inactuels pour être nos contemporains. De son propre aveu, le théâtre grec n’est pas sur sa table de chevet. Il n’en est pas moins curieux.
« Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous,/ Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ?/ Que le jour recommence et que le jour finisse,/ Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice,/ Sans que de tout le jour je puisse voir Titus ?/ Mais quelle est mon erreur, et que de soins perdus !/ L’ingrat, de mon départ consolé par avance,/ Daignera-t-il compter les jours de mon absence ?/ Ces jours si longs pour moi lui sembleront trop courts. »
S’il s’est emparé de Bérénice, alerté par l’urgence de donner à voir et à entendre une autre sensibilité, c’est dans la perspective de faire mieux que ses prédécesseurs, disons de Maurice Escande à Muriel Mayette en passant par Roger Planchon, Klaus Michaël Grüber, Lambert Wilson, Jean-Louis Martinelli, lesquels, selon lui, ont tous lamentablement échoué dans cette mission impossible. Alors quoi, échouer encore, échouer mieux ? Sur ce plan-là, c’est réussi. Il en fait une œuvre retenue, empêchée, bloquée, figée et… obscure tant il est convaincu que la fameuse clarté racinienne n’est pas celle que l’on croit : en vérité, elle pleine d’ombres ce que qu’accentue le filet tamisé tendu de haut en bas entre le public et la troupe. CQFD. Sans attendre la démonstration, au bout de dix minutes et régulièrement jusqu’à fin des spectateurs ont quitté la salle bondée.
Il pleut des dispositifs de partout, sonores ou plastiques. Des spectres, des revenants, des fantômes rôdent sur la scène. A un moment, on se félicite de voir enfin une pièce de théâtre où les comédiens ne se sent pas obligés de se balader dans le plus simple appareil. Las ! A mi-chemin du spectacle, alors que les sénateurs romains glabres et squelettiques vont et viennent torse nu, ne voilà-t-il pas qu’ils se mettent tous à poil, exhibant leurs attributs sans que l’on en devine la nécessité. Titus, empereur de Rome, et Antiochus, roi de Commagène, sont réduits au statut de figurants. Ils sont bien là sur scène mais n’ont pas la parole. Mais pourquoi le radiateur en majesté, instrument de la solitude ontologique de la comédienne ? Pourquoi la machine à laver (il y a bien un hublot mais rien ne s’y passe, comme sur la scène ) ? Et pourquoi la queue et les oreilles des sénateurs romains ? Bref, pourquoi le Brésil.
« Je l’aime, je le fuis; Titus m’aime, il me quitte » (acte V, scène VII)
La comédienne, au centre du chaos et du typhon, est parée avec un grand raffinement (les robes sont signées Iris van Herpen). Bien le moins pour du radical chic. Encore que rien n’est suspect comme ce qui se donne pour radical, adjectif dont le metteur en scène use et abuse dans sa présentation. Le tout manque de transcendance. Où est passée la tristesse majestueuse que Racine prêtait à la reine de Judée ? Qui ça ? Ah oui, on avait fini par l’oublier sous le déluge d’effets spéciaux, l’amoureuse de Titus que l’empereur renvoya de Rome inuitus inuitam, malgré lui et malgré elle et, avouons-le, malgré nous. De quel amour blessés nous mourûmes aux bords de la scène du Théâtre de la Ville, ô mânes de Sarah-Bernhardt, où nous fûmes laissés et même abandonnés au seuil d’un réel autrement plus tragique, celui du métropolitain.
A la fin, Bérénice s’en va croit-on, mais non, elle se retourne et, s’en prenant au public qui ne lui avait pourtant rien fait, lui hurle trois fois en pleine figure « Ne me regardez pas ! », son vocodeur achevant nos tympans une fois pour toutes, avant qu’une voix d’outre-tombe le répète à nouveau pour les mal-entendants. On se dit que c’est fini mais non, encore quelques effets stromboscopiques dans un déluge de sons. Pourquoi ? On ne le saura pas non plus. La pièce est à l’affiche à Paris jusqu’au 28 mars avant de partir en tournée à travers l’Europe. Après cette première performance de l’année olympique, on peut s’attendre à un dépôt de plainte du Racine club de France.
(Photos Alex Majoly et Jean-Michel Blasco)
1 012 Réponses pour Esprit de Racine, es-tu là ?
Closer, le problème quant aux fins de vie réside aussi en un manque de moyens, l’accompagnement n’est pas toujours idéal selon les établissements, le personnel, les médecins. Comme vous le soulignez, le mieux serait de disposer d’un nombre suffisant d’unités de soins palliatifs mais nous en sommes loin et elles concernent principalement les patients atteints de cancer(s). Pour les personnes âgées, c’est d’un autre ressort, voir comment elles sont traitées dans certains établissements laisse supposer que les fins de vie ne sont pas prises en charge de façon adéquate, il manque de moyens humains de façon générale et je pense aussi que former les personnels de façon à améliorer la perception et la prise en charge des personnes en fin de vie ne serait pas inutile. Beaucoup de gens trés âgés ne disposent plus de leurs capacités à raisonner, faut-il craindre que dans certains cas l’entourage ou même les établissements hâtent leur fin comme le sous entendait ce religieux hier, il y a tant de situations différentes… Je pense à ces personnes en coma dépassé, des enfants parfois; à des vieillards (peut-être ne le fait on plus) qui sont des « légumes »et qui sont alimentés par sonde gastriques, ne reçoivent plus aucune visite et ou n’ont plus la capacité de communiquer, d’échanger, de recevoir, tant de cas désespérés et douloureux quand encore ils bénéficient d’un entourage. Faut-il prolonger ces vies en attendant l’infection qui y mettra fin sans qu’aucun bonheur n’ait pu s’y inscrire?
je reste tres sceptique sur ce qu’on entend généralement par « amour maternel « mais lorsque je vois les animaux- et l’homme est un animaL « je crois qu’on pourrait « parler » -en le disant vite d’amour maternel: mais est-ce de l’amour?
J4AI LU SUR WIKI /
En 2020, la neurobiologiste Catherine Dulac a été récompensée par le Breakthrough Prize pour sa découverte de « neurones de l’instinct parental » chez la souris6,7,8.
@JJJ
DE MADAME DE SÉVIGNÉ À MADAME DE GRIGNAN.
À Paris, vendredi 24e novembre (1679).
(…)
Il est donc vrai, ma fille, que vous êtes sans incommodité : point de poitrine, point de douleurs aux jambes, point de colique ; cela est à souhait. Vous voyez ce que vous fait le repos, et le soin de vous rafraîchir ; ne faut-il pas vous gronder, quand vous vous négligez, et que vous abandonnez inhumainement le soin de votre pauvre personne. ? Je parlerois dix ans sur cette maladie, et sur le succès que vous voyez du contraire. Je voudrois bien vous voir, ma chère enfant, et vous retrouver les soirs. Je rentre bien tristement dans cette grande maison depuis neuf heures jusques à minuit ; je n’ai pas plus de compagnie qu’à Livry, et j’aime mieux ce repos et ce silence que toutes les soirées que l’on m’offre en ce quartier : je ne saurois courir le soir. Je m’aperçois que quand je ne suis point agitée de la crainte de votre santé, je sens extrêmement votre absence. Votre poitrine est comme des moraiiles*, qui m’empêchent de sentir le mal de ne vous avoir plus ; je tiens de vous cette comparaison ; mais je retrouve bientôt ce premier mal, quand je ne suis pas bridée par l’autre. J’avoue seulement que je m’en accommode mieux que de l’horreur de craindre pour votre vie, et je vous fais toujours mille remerciements de m’ôter mes morailles.
(…)
*Espèce de tenailles que les maréchaux mettent au nez ou à la lèvre d’en bas des chevaux, pour les empêcher de se tourmenter, lorsqu’on veut les ferrer ou leur faire le poil des naseaux et des oreilles. » (Dictionnaire de l’Académie de 1694.)
La légèreté burlesque de Pierre Dac, qui en connaissait un rayon sur la question puisqu’il multiplia les tentatives de suicide après la guerre:
« La mort n’est, en définitive, que le résultat d’un défaut d’éducation puisqu’elle est la conséquence d’un manque de savoir vivre. »
Foré par la Racine le dramaturge!
@ qu’est-elle précisément devenue?
Par rapport à quoi, au juste ? Précisez vos questions, si vous voulez qu’on vous réponde, merci mon brave… Vous avez apparemment la badinteritude toujours en baudruche saumâtre, apparemment. Que faire pour vous aider à vous dérider un brin ? Bàv,
renato, votre vie appartient à Dieu sans Qui vous ne seriez que poussière. Et vos souffrances, possibles, à l’approche de la mort, consenties par Amour pour Lui, vous uniront à Lui en vous rendant le paradis tout proche, si vous avez confessé votre immense péché.
Le fuir et vouloir tout résoudre par votre propre et misérable force, tellement insignifiante au regard de Sa puissance, vous isolera encore davantage de Lui zt vous précipitera dans les flammes de l’enfer d’où les cris abominables des suppliciés éternels remontent en effrayant toute personne raisonnable.
Faut-il pleurer Madeleine Chapsal, déplorable écrivain s’il en fut? On en est pas si convaincu…. MC
@ DD : qu’il en est encore à croire à la plus grande arnaque de tous les temps : l’histoire du péché originel de vivre, au sortir de la poussière, dont il faudrait s’excuser auprès du gars qui nous en a sorti, pour retourner à la poussière sans crainte et avec la certitude de le Voir.
Qu’elle était sotte cette Sévignée d’avoir des doutes. Hélas, elle n’était pas accompagnée par Dédé.
J’hallucinerions toujours devant la candeur d eson fanatisme…
Cela dit, parlait-elle d’amour maternel chez les humains ou d’instinct maternel chez les animaux ? Depuis qu’il y a continuum, on ne sait plus à quelle épistémologie se vouer, et MC continue à lui vouer une hargne misogyne, antisémite et anti intellectuelle des plus morbides. Il faut savoir que ça existe encore chez nos Précieux pas ridicules.
Bion, je sors, c’est mardi, c’est pétanques…
Quid de Samuel Beckett ? Lui il n’a jamais invité des gens à attendre Godot? Tant pis pour votre temps et argent, vous ne devez en vouloir qu’à vous-même!
la badinter, la chapsal, la duras, la sévignée, la Xtiane, ma soeur-MS…, une belle brochette d’alignées en une seule matinée. Waouh, le vilain boudiou !
MAIS VOUS AVEZ DROIT? EN TITRE A
Le péché originel de la psychanalyse
Gérard Haddad
https://www.cairn.info/freud-et-vienne–9782749203515-page-187.htm
Ou voyez -vous une « hargne misogyne, antisémite, etc , » a l’encontre de Madame de Sévigne sous ma plume JJJ? Je sais bien que la médisance est le recours des impuissants, mais il y a des limites. Merci, sauf à vouloir les ignorer, d’ argumenter selon les règles.Je n’y peux rien si Madame de Sevigne ne pense pas comme Madame Badintruche. C’est son problème , pas le mien. MC
ne noyez pas le poisson avec le poison, MC… Toutes les femmes écrivaines ne valent pas plus cher que la Badinter à vos yeux… Qu’il y ait divergences de vue entre elles, il n’empêhce que pour vous, elles seront toujours affligées du même vice con-génial. D’avoir osé rivaliser avec vous, mâle dans sa peau de dominé, et ce, aussi bien dans dans le passé, le présent comme à l’avenir.
Hélas, c’est votre pb, pas le mien… Chacun se merdr, comme on dirait à Paris…
@BLBGo,
Cette version est pas mal du tout! 🙂
C’est bon, les légumes.
À un moment D., il faudrait, dans les limites de vos possibilités, voler un chouia plus haut que les discours à deux cents que tiennent les grenouilles qui squattent les maisons de paroisse !
Dear M. Court, combien d’autographes de la Sevigné sont conservés ? Savez-vous, bitte sehr ? Duchêne noie le brave lecteur avec une érudition à base d’équations (selon les manuscrits retrouvés) sur cent pages de sa pléiade, impossible de connaitre le bon chiffre.
« Je ne sais pas pourquoi les gens attendent de l’art qu’il ait un sens. Ils acceptent le fait que la vie n’a pas de sens. »
David Lynch
Non JJJ, ce n’est pas du tout « une arnaque ». L’arnaque est faite par l’Ennemi qui vous suggère qu’il s’agit d’une arnaque. Après vous avez votre libre arbitre. Au jour du Jugement dernier, Dieu saura reconnaitre les siens. Vous pourrez toujours lui parler d’arnaque si ça vous fait plaisir. Ce sera d’ailleurs votre dernier moment de plaisir, pour toujours.
Ce matin, dans ma voiture de métro, il y avait deux Italiens qui parlaient ensemble très fort, debout, au milieu de la voiture, et tout autour ube quarantaine d’autres voyageurs qui les regardaient et les écoutaient. A aucun moment l’un ou l’autre ne semble avoir eu conscience d’être en total décalage avec les us du pays visité. J’ai déja observé semblable situation avec des Américains et des Allemands.
Si vous avez besoin d’un émétique.
Dans « The return of great powers », écrit par un anchorman de la CNN, d’anciens collaborateurs de Trump rapportent un certain nombre de déclarations relatives à son appréciation de Hitler, notamment à propos de la « gestion de l’économie » et de la « maîtrise des généraux ».
L’admiration de l’ancien président pour les autocrates et les dictateurs a déjà été rapportée, mais les commentaires de Trump relatés dans le livre apportent de nouvelles informations. Les sources de l’anchorman de la CNN : John Kelly (chef de cabinet de la Maison-Blanche sous Trump de 2017 à 2019) et de John Bolton, conseiller à la sécurité nationale (d’avril 2018 à septembre 2019).
L’ancien secrétaire général de la Maison-Blanche aurait tenté de faire valoir que « rien de bon ne peut être dit sur Hitler », déconcerté par le fait que Trump n’ait pas pris en compte l’Holocauste ou la mort de 400 000 militaires américains au cours de la dernière guerre mondiale.
Enfin, le livre sera disponible sous peu, et chacun pourra se faire une opinion.
JJJ, vous venez de proferer une débilité parfaitement gratuite et sans nom à mon égard. Il eut été mieux venu pour vous d’exhumer ce que Baudelaire dit de « la femme Sand »’, que je pourrais à la rigueur ,et moins Consuelo , reprendre à mon compte. Pour le reste , vous êtes dans la fausseté la plus totale. Je vous y laisse.
Phil, il y a les lettres à Guitaut, sises au Château d’ Époisses, et je crois toujours conservées. Au delà, ce sont des copies ou des copies de copies. Cela doit representer une trentaine de lettres. Duchene a considérablement réduit le problème en mettant en œuvre les copies d’un cousin, Michel Celse de Rabutin, et en travaillant scientifiquement sur cette copie. Ce furent les belles années du CMR 17. Et j’y etais. MC
Lmd Oui, il faut tenir compte que la règle change, et qu’on écrit plus des vers cornéliens ou raciniens, comme jusqu’au dix neuvième siècle. Je suis étonné que cette remarque de bon sens n’ait frappé personne….
MC
Consuelo 💃
C’est pas comme si le pangolin n’avait laissé aucune trace des ses propos proprement délictueux sur ce blog, depuis des années.
Enfin, les pires ont été passés par pertes et profits.
Je m’étonne qu’on prétende espérer tant de crédulité, de la part de ceux qui savent à quoi s’en tenir, sur un pseudo-savoir.
Et le bouffon cause de fausseté.
Rien que sur ce billet, ses petites crottes et persiflages en disent plus que tous ses mensonges.
les belles années
Merci dear M. Court. Une trentaine de lettres, donc. Aucun fac similé reproduit dans la pléiade, dommage, car pas d’album non plus pour Madame la Marquise. A Drouot il faut débourser trois mille euros environ pour dix lignes de sa main, acceptable pour ceux qui ont de quoi causer.
Et puis alors ce fat qui reprend des messages, parfois des bribes, sans en redéfinir la portée, ni en respecter l’exactitude lui permettant de dévier sur tout autre chose, ses fixettes idéologiques, est un grand classique de ce bouffon, qui fuit en avant, comme un deraté
Un lien donné sur ce fil, concernant le vers racinien etudié par un qui s’y connaît ? C’est à dire quelqu’un d’autre que ce bouffon pathétique ?
Oui, reprenez le fil des commentaires.
Ce qui est facheux pour ces imposteurs, c’est qu’en quelques clics, leur connerie satisfaite d’elle-même, est démasquée.
Des pitres, qui feraient presque pitié de tant de vacuité.
http://classes.bnf.fr/essentiels/grand/ess_1431.htm
Allez salut les bouseux, je vais me faire une toile.
Comme il existe des partitions pour piano pour quatre mains, ici des lettres autographes à deux
Je sais pas ce que bous avez avec cette Consuelo, mais j’ai regardé ses peintures et je peux vous dire que c’est pas terrible du tout.
Quant à son second mari, il pilotait mal, quoiqu’on en duse, et il n’arrivait pas à fermer la verrière du P-38 tout seul.
Si j’osais, je dirais que c’était donner de la confiture aux cochons. Mais j’ose pas, j’ai peur que ça fasse déplacé.
Hé bé oui.
Un problème chez Saint-Ex, c’est qu’il était grand (1,88) et en net surpoids. Ce n’est pas du tout ce qu’il faut en aviation de chasse où on recherche des gens de stature moyenne et sportifs.
Dans la marine, on recherche des petits, parce que tout est étriqué sur les navires, à commencer par les hauteurs de plafond et les couchettes.
Sin côté rêveur et semi-dépressif n’a certainement rien arrangé. Il faut une tonicité en béton et une hypervigilance décontractée. Le P-38 lightning était une vraie bombe à l’époque. Il n’y avait pas plus rapide en dehors du premier Messerschmidt à réaction des nazis.
On montait pas là-dedans comme on montait dans un taxi.
Si il y avait le Mosquito, aussi. Celui de Szut, pilote estonien pour l’armée du Khemed.
Je ne savais pas qu’il y avait un Oscar des Meilleurs Mouvements de Caméra.
—
Depuis 1929, l’Oscar de la meilleure photographie récompense le meilleur directeur de la photographie ou chef opérateur pour un film de l’année écoulée.
Attribué cette années à Hoyte van Hoytema pour Oppenheimer.
Epoisses:
Un poème de l’abbé Charles Patriat (1900):
« Achète qui voudra le Camembert trop doux,
Le Roquefort massif à l’arôme sauvage,
Le Brie et le Gruyère interlopes, le sage
Choisira son fromage, ô Bourguignon, chez nous.
Gourmet, qui que tu sois, si d’abord tu te froisses
D’entendre formuler ce principe certain,
C’est que tu connais mal, ou j’y perds mon latin,
Ce mets des connaisseurs : le fromage d’Époisses.
Regarde-moi, voyons, sa rougeâtre patine,
Vois les pleurs épaissis qui coulent sur ses flancs,
Sens ce fumet subtil adoré des gourmands,
Et conviens que c’est là dessert de haute mine. »
Dans La Carte et le territoire, de Michel Houellebecq (prix Goncourt 2010)
Très jolie émission sur Racine dans les chemins de la philosophie ce matin sur France Cul. Enfin, d’après moi.
excuses:wiki précise:
L’écrivain se met en scène et reçoit le peintre Jed Martin. À la fin du repas, il sert de l’époisses : « Houellebecq sortit du réfrigérateur un saint-nectaire et un époisses, coupa des tranches de pain, déboucha une nouvelle bouteille de chablis » (page 257).
, je vais me faire une toile
miss sasseur en mâle de maître trique à la racine, une tragédie, indeed
Non nous ne mettons pas de liens pédants et farcesques destinés à gonfler notre culture. S’adresser pour se faire à Marie Sasseur, omnisciente de son état, qui fournit tout, de wiki à plus ample informé, sans pour autant convaincre, vu l’hétérogénéité et l’ âge de sa documentation. On a celui de ses artères, et la Marie a beaucoup roulé…. MC
Réaction au passage de Steiner sur Racine cité par Paul Edel (n’était pas passé) :
Racine serait-il donc une sorte d’anti-Shakespeare, et lycée de Versailles ? Dans Macbeth (1606) il met en scène une Ecosse primitive alors que c’est précisément de cette nation encore indépendante que vient le nouveau roi Jacques I (ex-Jacques VI d’Ecosse), monté sur le trône à la mort d’Elisabeth I en 1603?
Si la fin de la pièce met en scène un rétablissement de l’ordre grâce à l’intervention des troupes anglaises, le message adressé au pouvoir est clair. La civilisation, c’est l’Angleterre, la barbarie, l’Ecosse. Mon petit Jacquot, va falloir poursuivre la consolidation de l’état bâti par les charismatiques Tudor et de leurs services secrets, exécutions ciblées et système de propagande efficace.
Certaines des pièces de Shakespeare (Histoires, Macbeth, Le Roi Lear, Hamlet), sont des Mirror for Magistrates, des manuels informels à l’usage des souverains, compléments de l’indispensable Machiavel.
@ vous venez de proferer une débilité parfaitement gratuite et sans nom à mon égard (MC)
J’en suis désolé, si je vous ai blessé, mais je ne le crois pas vraiment… Au fond, ce qui me déplait me plus souverainement chez vous, c’est par exemple de nous parler avec respect de Mme de Sévigné et avec le plus profond mépris de Mme Badintruche.
No more comment.
@ S’adresser pour se faire à MS
etalli et charoulet ne vous ont rien dit… pour CE faire ?
Maintenant, si votre lapsus calami se voulait spirituel, vous eussiez dû écrire : « s’adresser pour SE faire LA Marie Sasseur »…, 🙂 ç’eut été assurément plus Sévitruche !
Crénom d’un cheun !… Couché, Raf !
« je vais me faire une toile. »
Je parie que la Sasseur est allée faire son « Bolero » !
« Après tout, la stupidité — et je ne parle pas d’ignorance — est une question centrale de notre époque ».
William Gaddis
Je ne savais pas St Ex grand. Je pense que cette information est fausse. Vu des photos de lui à Tarfaya avec des hommes du désert qui le dépassent.
Le sur-poids c’est tardif. À cause des noubas nocturnes et de la vie de patachon.
Ah, y a inscrit 1m88. Je cherche la photo.
Il faudrait vraiment que Macron démissionne, pour de vrai. A cause de lui, la France est humiliée devant le monde entier. Zelenski lui a répondu avec une sorte de pitié affectée qu’il ne voulait pas de troupes françaises sur son sol. Non mais vous vous rendez compte pour quoi on passe à cause de ce type ?!!
Je le découvre grand. Ça alors crénom
https://images.app.goo.gl/XZZyPq9bowFJSXa16
Je n’en croyais pas mes yeux quand j’ai vu que LCP Public Sénat (la 13) avait diffusé une émission intitulée Les Paradoxes de la Résistance « Quand l’extrême droite résistait » avec notamment Simon Epstein et Olivier Wiviorka.
Elle est disponible en replay.
Quelle femme cette Marie Madeleine Fourcade! Bon, je m’égare….
Ce soir (à 20h30) « Quand la gauche collaborait 1939-1945 »!
Vous, une spécialiste de Saint Exupéry, ne saviez pas qu’il était très très grand…Même moi qui ne suis spécialiste de rien, je le savais.
Rose, reprenez vous!
B.
Lettre polyphonique trouvée à Harvard.
D’où l’on vient !
Condoléances sont présentées au pere que ce ne soit pas un fils.
Dans le film, Blanche est élevée par sa grand-mère et retrouve sa mère bien tard.
Je ne la savais pas, me voilà confuse. Je le savais laid, mais pas grand.
Je ne le savais pas.
Cela ne l’a pas empêché d’être très doué.
Je l’aime, elle, pck c une femme de caractère, et puis pour sa robe de mariée, avec son bouquet d’oeillets rouge sang.
https://images.app.goo.gl/tCRGywjw5Hyw8v2aA
résultat en chiffres:le monde
Les députés ont débattu sur la stratégie française d’aide à l’Ukraine et voté, de manière non contraignante, sur l’accord bilatéral de sécurité signé avec Kiev. Ils l’ont approuvé à 372 voix pour, et 99 voix contre. Au total, 101 députés se sont abstenus.
Que pense t-on ici des Phryges ! Est-ce déjà dépassé ?
Pourtant quand il est près de son avion on voit qu’il n’est vraiment pas petit !
📷 Rodolfo Vizcaino Freyre
Plus le temps passe et plus renato réalise que j’ai raison sur tout.
Vous rêvez, D….
Cela dit, vous savez, je suppose, que qui s’abstient du vote dans une situation critique ne sera pas fiable comme président ou présidente.
« Quand la gauche collaborait 1939-1945 »!
Closer, un peu plus d’eau à votre moulin mais je pense que tout le monde ici aura compris que tout ce qui sert à discréditer la gauche actuelle, y compris l’Histoire, vous sera agréable. Continuez de voter à droite mais sans faire de propagande.
Parfois (re) préciser vaut la peine.
Le déclin de l’Occident n’est qu’un fantasme généré par l’incapacité de certains réactionnaires simplement brutaux ou banalement pervers de comprendre la nature des actions possibles dans le présent (Spengler et son extrémisme, son histoire morphologique, sa « prophétie de hyène », par exemple) : des personnes cachées derrière des arguments de manipulation, qui ont vu leurs ambitions s’effondrer et pourraient fonder une académie de la vengeance ou un syndicat du ressentiment ; qui n’ont pas accepté le processus consistant à retirer quelque chose de l’espace du sacré, afin qu’il ne renvoie plus à un contenu transcendantal ou symbolique inutile.
Enfin, plutôt que de déclin, je parlerais de cristallisation de la perception d’une partie de la population, dont l’imaginaire trouve inspiration et refuge dans des images rassurantes (supériorité culturelle, économique, industrielle, scientifique, parfois raciale), et qui n’ose pas s’en défaire de peur qu’un nouveau paramètre ne vienne troubler son confort — ce qui arrive parfois déjà —. Il serait cependant vain (dérisoire) de piquer une colère et de se rouler par terre parce qu’il se trouve qu’ils prétendent nous expliquer le monde sous le prétexte du déclin de l’Occident, comme il est coutume chez ceux qui nourrissent le désir de prendre le pouvoir en promettant de restaurer une illusoire grandeur passée, ou pire, de l’exercer en limitant les oppositions démocratiques ; ou de ceux qui l’ont perdu après l’avoir exercé arbitrairement ; bref, c’est la rengaine des autocrates de tout poil. Il est possible qu’ils ne vivent pas dans le monde tel qu’il est : « lémures, masques d’un carnaval tragique ».
Si je regarde la fin des années 50, je peux dire que même s’il y a encore des progrès à faire — et pas des moindres — le monde, et donc l’Occident, se porte mieux aujourd’hui qu’il y a soixante ans : les conditions de vie se sont beaucoup améliorées ; les acquis des sciences sont précieux, et parce que les artistes ont dû s’adapter au processus de démocratisation, les arts sont plus accessibles ; le défi écologique demeure, mais il peut être relevé d’ici la fin du siècle, peut-être avant, parce que nous avons maintenant une idée plausible de l’état des choses.
Il y a crise, certes, mais pas déclin (ou décadence, si vous préférez). Et en ce qui concerne l’Occident, il y aurait déclin s’il n’y avait pas de crise, il en est ainsi depuis l’époque des Grecs. En fait, l’Occident n’est pas en déclin, il est en crise permanente. Peu importe que nous régressions parfois ou que nous nous arrêtions un instant pour regarder passer les nuages, c’est par la conscience et l’interprétation de la crise que nous transformons notre monde et que finalement, contre les archaïsmes des nostalgiques, l’Occident se transforme.
D, proportionnellement à son PIB la France est loin d’être le pays qui a fourni le plus d’aide à l’Ukraine, j’écoutais notre ministre des armées ce soir sur Public Sénat avant le vote qui saluait l’effort des ingénieurs, techniciens, ouvriers de notre industrie de l’armement puis G Attal, bons orateurs , pertinents et passionnés. Surement l’argent est-il le grand responsable dans cette insuffisance, il en manque pour tout , j’imagine que Poutine ne sous-estime pas non plus les difficultés budgétaires que connaissent les pays européens décidés à continuer d’aider Kiev.
« Ce pacifisme, qui s’identifie plutôt à la gauche socialiste mais aussi communiste, imprègne la société d’entre les deux guerres. Il est incarné notamment par le ministre des Affaires étrangères Aristide Briand, qui prône le rapprochement avec les Allemands. À la fin des années 1920, ils sont nombreux, les jeunes prêts à s’engager dans cette voie. C’est le cas de Jean Luchaire, journaliste, proche de la LICA (Ligue internationale contre l’antisémitisme), qui crée avec Otto Abetz, un démocrate d’outre-Rhin, une structure permettant aux jeunes des deux pays d’échanger et d’œuvrer pour la paix. Malgré l’arrivée au pouvoir des nazis en 1933, la gauche française choisit de continuer à croire que la réconciliation reste possible : « Il n’y a pas un article sur le réarmement allemand en 33, 34 et 35 dans Le Populaire (le journal de Léon Blum), parce que l’obsession de la gauche est une obsession pacifiste (…). On dénonce le nazisme dans sa nocivité, on ne veut pas dénoncer le danger que représente pour la France une Allemagne qui réarme », explique l’historien Simon Epstein. »
https://www.francetvpro.fr/contenu-de-presse/21379
« Marie Sasseur, omnisciente de son état, qui fournit tout, de wiki à plus ample informé, »
A plus ample informé ? Ce vieux pitre ne sait plus,quoi inventer. Menteur, harceleur, imposteur.
J’espère avec les liens postés sur ce fil, du premier jusqu’au dernier, et aucun de Wikipedia, que le pangolin consulte plus souvent qu’à son tour, auront fait autant de bien que nécessaire, et permis de relativiser les apports du grand siècle, réduit au seuls spectacles de courtisans, pour vieilles badernes incultes.
aux seuls.
_____
Je parie que la Sasseur est allée faire son « Bolero » !
?
Non, pas du tout, je suis allée voir ce tableau, disons vivant :
D’un bouffon l’autre, décidement, une pandémie:
closer dit: à
Je n’en croyais pas mes yeux quand j’ai vu que LCP Public Sénat (la 13) avait diffusé une émission intitulée Les Paradoxes de la Résistance « Quand l’extrême droite résistait » avec notamment Simon Epstein et Olivier Wiviorka.
Elle est disponible en replay.
____
C’est bien la peine de troller sur la rdl depuis combien d’années ?
Tout ça pour un furur vote fn .
En outre, les historiens du debatdoc étaient plutôt :Olivier Dard, Fabrice Grenard et Alya Aglan.
Alya Aglan extraordinairement claire et précise.
Le pitre pourrait vous signaler que tout ce qui est signe Grignan n’est pas nécessairement d’elle, étant passé par ar des attributions fantaisistes remontant au dix neuvieme. Comme disait Couton, on a l’ habitude de ne tenir compte que de Vrain-Lucas,sans penser à d’ autres qui avaient du talent et du savoir-faire,’deux choses dont vous êtes cruellement dépourvue. Bien à vous. MC
C’est ça, les lettres de la marquise de Sevigné à la BnF sont des faux, maintenant.
prove it.
Le pangolin a des révélations à faire.
Et vous pourrez attendre longtemps.
Insinuations, balivernes, mensonges. Rien d’autre.
On ne dira pas « Voilà pourquoi votre fille est muette », mais c’est grâce à des bouffons comme ça que Louise Labé était un homme.
Oui, madame ! Le bouffon l’a affirmé.
B, ces deux émissions de LCP n’ont pas fait de grandes révélations. Tout le monde savait que les premiers résistants étaient d’extrême droite. De Gaulle disait à peu près « autour de moi j’avais l’aristocratie et la synagogue ». La gauche était à Vichy ou nulle part ou (dans leur tête) à Moscou jusqu’en 1941. Des gens qui étaient antisémites dans les années trente se sont lié d’amitié avec des juifs à Londres ou à Alger. C’est ça la France.
Si j’ai réagi, c’est parce que j’ai eu l’agréable surprise de voir une chaîne du service public, certes assez confidentielle, souligner des faits très désagréables pour la gauche. C’est nouveau. La concurrence des médias Bolloré y est peut-être pour quelque chose.
Pari perdu.
Tableau vivant, avec pluie de chiens morts !
Quelque chose en vous de Gala, MS…
Quelque chose en moi de… la fatigue, de céder à des provocations indignes; give me a brake.
Qui sera encore lu en 1660, question posée sur la rdl.
Pour moi elle est vite répondue.
Lol, a break
Ceci, dit par le malade ou bien par ses proches, est extrêmement bénéfique pour lui :
Je vous salue, Marie, pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes,
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni,
Sainte Marie, mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant, et à l’heure de notre mort.
–
Que chacun s’en souvienne.
Bérénice, je considère que nous n’avons pas les moyens de dispenser une telle aide à l’Ukraine, alors que nous venons d’enlever 10 milliards au budget de l’état, ce qui met des ministères en grande difficulté et remet en question des plans d’action pluriannuels vitaux. Surtout considérant le niveau d’endettement, la faiblesse des investissements et le contexte inflationniste toujours très marqué.
L’aide à l’Ukraine devrait se limiter au médical et au social, avec des financements à la construction et à la reconstruction d’établissements de soins.
Je vous rappelle par ailleurs que l’Ukraine demeure une puissance agricole très-considérable notamment sur l’aspect céréaliers, donc un adversaire économique notoire. Nous n’avons aucun intérêt, nous Français, à promouvoir d’une quelconque façon son intégration à l’Europe. Nous avons même presque tout à y perdre.
Normalement, les médias de qualité auraient dû traiter de ce sujet.
En revanche, je me réjouis que cela fasse l’objet d’un vote à l’Assemblée.
Sur un plus long terme, je souhaite néanmoins un référendum sur cette question.
NOUVEL OBS
3
Un tombereau d’insultes et des menaces de mort pour une caricature. La dessinatrice Coco, survivante de la tuerie de « Charlie Hebdo » en 2015, a dénoncé ce mardi 12 mars les violentes attaques qui la ciblent depuis la publication lundi dans le journal « Libération » d’un dessin sur la famine à Gaza.
Le léZard n’avait jamais entendu parler du poète gay anglais Siegfried Sassoon. L’occasion d’aller voir le bio pic qui lui est consacré…
Mossieur renato, le déclin de l’Occident est une réalité indiscutable pour toute personne saine d’esprit.
Quant à sa supériorité, elle est également indiscutable. Il suffit d’aller regarder dans les pays exotiques comment SONT les choses visibles en campagne et en ville, et notamment les constructions, comment FONT les gens et enfin ce que les gens VEULENT.
Moi, je hiérarchise cela sans aucun problème et en faveur de l’Occident. Libre aux autochtones des pays exotiques de faire la même chose en leur faveur. Comme je l’ai souvent dit et écrit : chacun chez soi et tout ira très bien. Tous les déracinements sont un drame. Ainsi que tous les retards s’enracinement.
Vous avez déjà jardiné ?
Voilà qu’une hyène spenglerienne nous donne la démonstration de l’inutilité de Je vous salue, Marie pour ce qui est du bon fonctionnement du cerveau.
Méthode Poutine
Leonid Volkov, le plus proche collaborateur de Navalny, a été sauvagement attaqué à coups de marteau en Lituanie.
Suite à cette agression Volkov a publié une vidéo sur sa chaîne Telegram dans laquelle il confirme sa volonté de continuer à lutter contre le régime de Poutine.
Cette « inutilité » ressortira lors de votre entrée dans l’au-delà. Inévitablement.
«Suivant qu’on m’aime ou hait, j’aime ou hais a mon tour/ Et ma Gloire soutient ma haine et mon Amour ». Je n’ai donc pas besoin qu’on m’impose ici une vénération de type Pantheonesque pour la dernière chose qu’on vient d’y faire entrer, ou l’épouse chérie auteur de l’inénarrable XY . Ceux-là, je me sentirais plutôt honoré de ne pas les avoir estimés à leur juste valeur, qui est bien faible, pour rester dans le domaine de l’ euphémisme. Dussent quelques cervelles étroites manier plus ou moins casuistiquement le reproche d’ antisemitisme . La question reste sommes-nous obligés d’aimer des modèles etatiques? Et la réponse demeure non. MC
MC
Bien évidemment il est criminel d’attaquer quelqu’un à coups de marteau. Les auteurs et commanditaires éventuels devront en rendre compte.
@ la dernière chose qu’on vient d’y faire entrer (sic) :
M et Mme Manouchian ?
@ l’épouse chérie auteur de l’inénarrable XY (sic)
M et Mme Badinter y sont déjà programmés ?
Des « modèles étatiques » à aimer ? Non point…
M. et Mme Court, on les y verrait bien aussi, pour leur immense contribution à l’édification de la société civile,
ETRANGE/JE ME SUIS REVEILLEE CE MATIN EN CHANTANT? ET AVEC LES PAROLES ET EN ITALIEN
Voi che sapete
Voi che sapete, che cosa è l’amor,
Donne, vedete s’io l’ho nel cor!
Donne, vedete s’io l’ho nel cor!
Quello ch’io provo vi ridirò;
e per me è nuovo, capir no’l so.
Sento un affetto pien di desir,
ch’ora è diletto, ch’ora è martir.
Gelo, e poi sento l’alma avvampar,
e in un momento torna a gelar.
Ricerco un bene fuori di me,
Non so chi il tiene, non so cos’è.
Sospiro e gemo, senza voler,
https://lyricstranslate.com
https://www.youtube.com/watch?v=tH93uhBs5m8
Je n’ai pas la prétention d’entrer dans ce monument de la Société Civile qui remplace mal la Basilique Ste Genevieve.Et plutôt que des Résistants entres 40 ans après, je songeais à ces Badintruche que vous aimez tant…. MC
à coups de marteau.
ENCORE UN QUI N’A PAS FINI DE CHANTER if I HAD A HAMMER
Les réseaux sociaux ont donné le droit à la parole à des légions d’imbéciles qui avant ne parlaient qu’au bar et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite. Aujourd’hui ils ont le même droit de parole qu’un prix Nobel.
Eco
Vous ne vous sentez tout de même pas visé par les propos d’Eco, Madame Sasseur ?
Non. Vous ne fréquentez pas les bars, contrairement à moi. Ouf !
Lettre de John Steinbeck à Marilyn Monroe.
Dans toute mon expérience, je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui demande un autographe pour lui-même. C’est toujours pour un enfant ou une vieille tante, ce qui devient très ennuyeux, vous le savez mieux que moi. C’est donc avec une certaine nausée que je vous annonce que j’ai un neveu qui vit à Austin, au Texas, et qui s’appelle Jon Atkinson. Il a le pied sur le seuil de la puberté, mais ce n’est qu’un de ses problèmes. Vous êtes l’autre. Je sais que vous n’êtes pas fait d’éther céleste, mais lui non plus. L’idée que vous ayez des fonctions normales le choquerait.
Etc., ici :
https://brandesautographs.com/cdn/shop/articles/Monroe_Steinbeck2_1.jpg?v=1684329430&width=600
Pourquoi Isabelle accepte de jouer avec un radiateur et une machine à lessiver? Où bien elle se moque de Racine ou des spectateurs,…ou d’elle , en criant Ne me regardez pas!
Cela valait peut être mieux?
Pierre Assouline fait bien les choses, il a mis en lien le texte même de Bérénice, la relation détaillée de la controverse entre Roland Barthes et Raymond Picard dans les années 60 et le tableau des réservations.
J’ai donc compris que le texte est l’essentiel (… dans mon sujet. Mais ce qui m’en plut davantage, c’est que je le trouvai extrêmement simple dit Racine dans sa préface), que des metteurs en scène modernes précédents ont pu tout enlever et ne garder que la belle récitation. Le dernier en date a,lui, tout écrasé, même la belle récitation. Et il reste néanmoins une pièce de théâtre. Et les gens vont la voir puisque c’est complet sauf le dimanche.
Je trouve formidable qu’une institution municipale ait cette force, cet allant, se lance dans une telle aventure, la mène à terme, l’offre au public, que le public suive et que moi qui ne verrai pas ce spectacle, j’en fasse un commentaire.
La folie du premier livre… :
https://pauledelblog.fr/2024/03/13/la-folie-du-premier-livre/
Il vient un âge ou la machine à scandales comme le désir de jouer un rôle unique emporte tout. Castelluci sait bien jouer sur ces deux pôles-là ; je suis l’ Avant Garde, et tu es la meilleure, donc tu peux jouer toute la pièce ! Même si c’est faux…. MC
Petit jeu, ci-dessous la liste de certains des principaux collaborateurs pendant l’occupation.
Aller voir d’où ils viennent sur l’échiquier politique de l’époque, et en tirer ses conclusions.
• Raymond Abellio
• Abeozen
• Jean-Marie Aimot
• Jean Ajalbert
• Georges Albertini
• Michel Alerme
• André Algarron
• Pierre Amidieu du Clos
• Francis André
• Alexandre Angeli
• Victor Antoni
• Jo Attia
• Pierre Émile Aubert
• Jean Augé
• Jean-Henri Azéma
• Jean-Marie Balestre
• Paul Balley
• François Bard (amiral)
• Georges Barthélémy
• Joseph Barthélemy
• Lydie Bastien
• Alfred Baudrillart
• Charles Bedaux
• René Belin
• Maud de Belleroche
• Paul Belmondo
• Jacques Beltrand
• René Benjamin
• Jacques Benoist-Méchin
• Henri Béraud
• Philippe Berkane
• Marius Berliet
• Jacques-Antoine Bernard
• Armand Bernardini
• Gwilherm Berthou Kerverziou
• André Bettencourt
• Hermann Bickler
• Joseph Bilger
• Jean Boissel
• Pierre Bolotte
• Abel Bonnard
Pierre Bony
• Georges Botto
• Henri Bouchard
• Marcel Boucher
• Georges Boucheseiche
• Louis Bourgain
• Victor de Bourmont
• René Bousquet
• Marcel Boussac
• Pierre-Louis Brice
• Yann Bricler
• Martin de Briey
• Michel Brille
• Lisette de Brinon
• Marcel Brout
• Gaston Bruneton
• B. R. Bruss
• Émile Buisson
• Jules Bureau
• Paul Carbone
• Jacques Cartonnet
• André Castelot
• Roger Cazy
• Louis-Ferdinand Céline
• Pierre Celor
• Paul Chack
• François Chalais
• Félicien Challaye
• Georges Champeaux
• Henry Charbonneau
• Jacques Chardonne
• Armand Charpentier
• René Château
• Alphonse de Châteaubriant
• André Chaumet
• Angelo Chiappe
• Georges Claude
• Pierre Clémenti
• Lucien Combelle
• Jacques Corrèze
• Alfred Cortot
• Pierre Costantini
• Henry Coston
• Robert J. Courtine
• Pierre-Antoine Cousteau
• Paul Creyssel
• Pierre Simon Cristofini
• François Darlan
• Louis Darquier de Pellepoix
• Georges Daudet
• Achille Dauphin-Meunier
• Marcel Déat
• François Debeauvais
• Raymond Delaporte
• Maurice Delaunay
• Eugène Deloncle
• Robert Denoël
• Francis Desphelippon
• Georges Desprez
• Charles Detmar
• Jean Dides
• Pierre Dominique
Georges Desprez
• Charles Detmar
• Jean Dides
• Pierre Dominique
• René Dommange
• Jacques Doriot
• Lucien Doussot
• Pierre Drieu la Rochelle
• Jacques Ducreux
• André Dufraisse
• Georges Dumoulin
• Adolphe d’Espie
• Martin Fabiani
• Jean-André Faucher
• Bernard Faÿ
• Camille Fégy
• Ramon Fernandez
• Louisette Fleuret
• Magda Fontanges
• Jean Fontenoy
• Ernest Fornairon
• Yann Fouéré
• Eugène Foulé
• Ernest Fourneau
• André Fraigneau
• Raymond Froideval
• Maurice Gabolde
• Alfred Gaessler
• Maurice Gaït
• Jean-Marie Gantois
• Jean Garchery
• Ernest Gaubert
• René Georgin
• Pierre Gérard
• René Gérard
• René Gillouin
• José Giovanni
• Louis-Dominique Girard
• Urbain Gohier
• Victor Goloubew
• Florence Gould
• Yann Goulet
• André Grandclément
• Bernard Grasset
• Jacques Guérard
• André Guérin
• Georges Guilbaud
• Sacha Guitry
• Claude Harmel
• Roparz Hemon
• Émile Hennequin
• Philippe Henriot
• Jean Héritier
• Abel Hermant
• Robert Hersant
• Roger Hervé
• Alan Heusaff
• Charles Hueber
• Charles Huntziger
• Joseph Jacob
• Jean Jacoby
• Job Jaffré
• François Jaffrennou
• Claude Jamet
• Henry Jamet
• Hubert Jausion
• Claude Jeantet
• Théophile Jeusset
• Léo Joannon
• Joseph Joanovici
• Marcel Jouhandeau
• Yves Fourcade
• Gaston Julia
• Yann-Fanch Kaba
• Clara Knecht
• Max Knipping
• Henri Labroue
• Raymond Lachal
• Jean Lafond
Henri Lafont
• Célestin Lainé
• Christian de La Mazière
• Ernest Langrogne
• Maurice Laporte
• Georges Larpent
• Alain Laubreaux
• Stéphane Lauzanne
• Josée Laval
• Étienne Leandri
• René Lebret
• Jean-Charles Legrand
• Jean Leguay
• Hervé Le Helloco
• Albert Lejeune
• Serge de Lenz
• Charles Lesca
• Jacques de Lesdain
• Louis L’Hévéder
• Jean-Paul Lien
• Pierre Loutrel
• Xavier de Magallon
• Gabriel Malglaive
• Jean Mamy
• Paul Marion
• Jean Marquès-Rivière
• Adrien Marquet
• Jacques Martin-Sané
• Jean-Paul Martin
• Pierre Mathé
• Georges Mathieu
• Camille Mauclair
• Pierre Mauriac
• Jean-Pierre Maxence
• Jean de Mayol de Lupé
• Armand Megglé
• Rudy de Mérode
• Christian Message
• François Méténier
• Jean Montigny
• Robert Auguste Moog
• Paul Morand
• Olier Mordrel
• Violette Morris
• Pierre Mouton
• Fred Moyse
• Auguste Mudry
• Jean Multon
• Maurice Papon
• Marius Paquereaux
• Charles du Paty de Clam
• Lucien Pemjean
• Louis Périgaud
• Albert Perrot
• Henri-Robert Petit
• Armand Petitjean
• Marcel Peyrouton
• Armand Pillot
• Charles Pivert
• Charles Platon
• Antonin Poggioli
• Henri Poulain
• Mireille Provence
• Edgar Puaud
• Georges Radici
• Lucien Rebatet
• Jean-Michel Renaitour
• Joseph Renucci
• Auguste Ricord
• Jean Rivain
• Paul Rives
• Georges Rivollet
• Petru Rocca
• Maurice de Rodellec du Porzic
• Roger Bonnard
• Lucien Romier
• Joseph Rossé
• Lucien Rottée
• Simon Sabiani
• Maurice Sachs
• Georges Saint-Bonnet
• Saint-Paulien
• Georges Scapini
• Paul Schall
• Louis Sellier
• Clément Serpeille de Gobineau
• François-Jean-Marie Serrand
• Paul Sézille
• Roland Silly
• Albert Simonin
• Dominique Sordet
• Fernand Sorlot
• Ralph Soupault
• Fritz Spieser
• Charles Spinasse
• François Spirito
• Georges Suarez
• Louis Thomas
• Pierre Thurotte
• Alphonse Tricot
• André Tulard
• Pierre Vaillandet
• Xavier Vallat
• Pierre Varillon
• Jacques Vasseur
• Eugène Vaulot
• Bernard de Vaulx
• Stéphane Vautherin
• Géo-Charles Véran
• Jean Vernières
• Albert Vigneau
• Paul Vigouroux
• René Vincent
• Jean Volpert
• Maurice Zeller
André Zucca
Le dernier ( metteur en scène ) en date a,lui, tout écrasé, même la belle récitation ( de ce texte de Racine). Et il reste néanmoins une pièce de théâtre, dit lmd.
___
On atteint avec cette création théâtrale, un niveau d’abstraction, où ne subsiste qu’une héroïne. Ce n’est pas Bérénice, mais Isabelle.
Le maître d’œuvre de cette création théâtrale avait moins pour ambition de faire faire une nouvelle récitation de texte, -laissons cela aux collégiens de 4ème, il faut bien qu’ils y passent aussi…- ni de faire une nouvelle adaptation pour mettre en valeur le texte, car la marge de manœuvre est plus que réduite, tant ce texte est rebattu, théâtre, cinéma, manque là série TV,
mais comme il le revendique dans le papier distribué aux spectateurs, il s’agit de mettre ce texte au service d’Isabelle.
Au grand dam de Passou, qui y allait pour la récitation de Jean Racine, pas pour Isabelle Huppert, a priori, et à qui le projet créatif pose question :
« Un comble alors que si on est là, c’est avant tout pour le bonheur d’entendre la langue de Racine, d’écouter sa musique intérieure même si le force d’attraction d’Isabelle Huppert, « synecdoque de l’art du théâtre mondial (?)… actrice définitive (?)… chargée d’exprimer l’hardcore du théâtre » ( ?) selon le metteur en scène (il doit sacrément l’aimer), joue aussi. »
Alors, faire d’Isabelle une création théâtrale, fait plus que » jouer « .
Je ne sais pas si Castellucci doit « sacrément l’ aimer » pour ce faire, le fait est que cette création a été faite pour elle, la synecdoque. Le concept est innovant, on ne dira plus je vais au théâtre, mais je vais à Huppert.
En cela, Castellucci casse les codes de la tragédie selon Aristote, on peut même dire qu’il lui fait un bras d’honneur.
Bonsoir et merci, lmd.
] Le concept est innovant, on ne dira plus je vais au théâtre, mais je vais à Huppert.
Moi je dirai désormais : je vais voir une synecdoque 😉
Pourquoi quand je tombe amoureux d’une jolie femme je me sens léger et rien ne me fait peur ?
parce que si vous tombiez amoureux d’un joli homme, vous auriez peur et vous sentiriez lourd.
Titus demandant son aide à Antiochus parce qu’il n’ose parler à Bérénice. Ca c’est un coup de théâtre !
Ca fait songer à « La Recherche ». Des retournements en veux-tu en voilà.
Est-ce que Proust tient cette habitude du théâtre classique ?
Je l’avais déjà écrit. Mais je le réécris. Est-ce que la France a enfin trouvé avec Marcel Proust l’écrivain national qu’elle n’a jamais eu ?
De ce documentaire intéressant sur les dérives fascistes/nazies de certains radicaux, socialistes, voire même communistes, on peut aussi retenir que
1/ Déat a été protégé par des religieux italiens (pas le seul, voir les filières d’évasion, et Touvier, caché par des religieux français)
2/ George Albertini devient l’éminence grise de dirigeants socialistes sous la 4e, puis de Pompidou sous la 5e.
3/Charles Spinnasse, deviendra le parrain politique de Chirac dans les années 60.
Le Figaro, une fois n’est pas coutume, aura eu le mérite de révéler qui était Saint-Loup avant qu’il obtienne le Goncourt. Le style c’est l’homme, y compris la crapule.
Pompidou et Chirac, gaullistes historiques, ont donc bénéficié des conseils avisés de collaborateurs notoires, ce qui n’est pas pour rehausser leur image ou celle du gaullisme post-de Gaulle.
On se souviendra que Pompidou a gracié Touvier.
Hier comme aujourd’hui, la droite n’est pas exactement cette oie blanche immaculée qu’elle essaie de vendre au peuple.
Comme le montre le glissement prévisible vers le Ramassis national de celui qui, grand ami de Poutine, était pressenti pour diriger la diplomatie française en cas de victoire de Fillon.
L’ayant eu dans mon bureau tous les 3,4 mois quand il était député des Français de l’étranger, j’en connais un rayon sur le personnage, hélas…
« 1/ Déat a été protégé par des religieux italiens (pas le seul, voir les filières d’évasion, et Touvier, caché par des religieux français) »
Des religieuses françaises, de mémoire, cher Monsieur.
Deux jours sans se connecter à ce cul de basse fausse, le premier commentaire sur lequel tu tombes commence ainsi : « De ce documentaire intéressant sur les dérives fascistes/nazies de certains radicaux, socialistes, voire même communistes … » Rien de bien nouveau, mais c’est une bonne piqure de rappel sur l’état de délabrement mental et intellectuel de la poignée de communautaristes obsessionnels qui peuple les sous-sols de cette République …
L’Engoncé, vous perdez votre temps ici. Courez donc faire le coup de poing contre l’armée israélienne, c’est le moment de mettre en actes vos paroles. On vous fournira une ceinture pour protéger vos bijoux de famille à destination des 40 houris qui vous attendent en cas de grand bonheur, car en ce mois de toutes les saintetés, vous irez tout droit au paradis.
fosse
C’est 72, Bloom, ne mégotez pas! Je crains que le bénéficiaire ne soit pas à la hauteur…
Que cela plaise ou non, Victor Hugo est l’écrivain national de la France, FL.
Oui.
Le bénéficiaire fermera les yeux. Pour ne pas être submergé par le nombre.
40 c’est voleurs ou jours dans le désert.
J’écris aussi bien que Victor Huho.
Racine et Shakespeare
Stendhal, 1825
https://gallica.bnf.fr/essentiels/stendhal/racine-shakespeare
@Pourquoi Isabelle accepte de jouer avec un radiateur et une machine à lessiver?
Une réponse savoureuse trouvée par une spectatrice, un peu consternée aussi, il s’agit peut-être d’un clin d’oeil à une chanson de Souchon, qui résume assez bien la situation où se trouve cette répudiée: passer l’amour à la machine.
Excellent ce « dispositif ».
Cette femme
https://www.instagram.com/reel/C4eJJM8slop/?igsh=MWh2dTg2bTdtc3hoZw==
Et nous, les femmes, Sandrine Rousseau avec nous à l’Assemblée Nationale, nous acharnant à ce que les choses changent de manière à ce que l’enfance soit protégée.
Pro-té-gée.
Ce critique s’est marré !
J’ai compris : ô joie !
Berenice de Castelluci, Roméo, est un bordel fécond. Et il s’agit d’une Bérénice revisitée (un remix).
https://www.mouvement.net/scenes/berenice-par-castellucci-les-jeux-du-signe
De bordel fécond, je ne connais guère : deux ou trois, dans le cinéma italien où Sofia Loren ou Claudia Cardinale se retrouvent à faire trois ou quatre enfants avec leurs clients de passage. Où quand l’orgasme frôle l’amour, pck ces petits là, élevés en bande, comme ils sont aimés !
Quant à tout ce qui est revisité, faisons confiance au résultat, quoique ce ne soit pas toujours le cas.
« Je trouve formidable qu’une institution municipale ait cette force, cet allant, se lance dans une telle aventure, la mène à terme, l’offre au public, que le public suive et que moi qui ne verrai pas ce spectacle, j’en fasse un commentaire. » lmd
Rendre à César.
Le théâtre municipal, oui, mais du grand Montpellier et de bien au-delà encore.
https://www.domainedo.fr/spectacles/tous-les-spectacles/berenice#production
Pauvre choupinet : et si nous pleurions une larme, de crocodile ?
https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2024/03/13/audition-de-vincent-bollore-a-l-assemblee-nationale-sur-le-groupe-canal-je-ne-suis-intervenu-en-rien-je-ne-suis-au-courant-de-rien_6221861_3236.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default
Moij.aux blanches mains qui ne suis au courant de rien.
Pourquoi aucun ouvrage de Jonathan Bate, un des plus brillants spécialistes de Shakespeare n’est il traduit en français? Idem pour Harold Bloom et son Western Canon …
Sont traduits des biographies dont on se fout éperdument vu le peu d’archives disponibles. Du sensationnalisme fondé sur du vent.
Allez, aujourd’hui c’est festival. Et il va faire beau et doux.
Moij.aux blanches mains
Ici Bolloré. Ironie.
Settembrini développant que l’ironie est nocive et à supprimer radicalement.
Beau et doux, enfin, ce mois de mars pluvieux où nous avons congelé.
La montagne magique, Thomas Mann
« Ah, ça, l’ironie ! Gardez-vous de l’ironie qui prolifère ici, ingénieur ! Gardez-vous, d’une façon générale, de cette posture intellectuelle ! Quand elle n’est pas un procédé rhétorique direct et classique, sans la moindre équivoque pour le bon sens, elle se dévergonde, entrave la civilisation, se commet salement avec l’inertie, le démon, le vice. »
Chapitre 5 in Liberté, page 339.
Bon public, le léZard n’est pas contre une bonne comédie pleine d’ironie, de temps à autre…
Settembrini :
Sauf, justement, s’il s’agit du «.., procédé rhétorique direct et classique, sans la moindre équivoque pour le bon sens… ».
Voir εἰρωνεία…
« Ne vous approchez pas des personnes négatives. Elles ont un problème pour chaque solution. »
Albert Einstein
Dans son « Banquet des Empouses, roman d’épouvante naturopathique, un éblouissant remake de la Montagne Magique, 100 ans après sa publication, la géniale Olga Takarczuk a truffé les dialogues du jeune Wojnicz (alias Castorf mâtiné de Kafka) avec les cinq ou six tubards du sana de Görbersdorf, de paraphrases épicées de bout en bout misogynes.
Un festival d’ironiques propos ! P. 295, elle cite ses emprunts : « Augustin d’Hippone, WS Burroughs, Caton l’Ancien, Bernard de Cluny, Joseph Conrad, Charles Darwin, Emile Durkheim, Henri Fielding (?), Sigmund Freud, Henry Rider Haggard (?), Hésiode, Jack Kerouac, David Herbert Lawrence, Cesare Lombroso, William Somerset Maugham, John Milton, Friedrich Nietzsche, Ovide, Platon, Ezra Pound, Jean Racine, François de la Rochefoucauld, Jean-Paul Sartre, Arthur Schopenhauer, Semonide d’Amorgos (?), William Shakespeare, August Strinberg, Jonathan Swift, Algermon Charles Swinburne (?), Tertullien, Thomas d’Aquin, Richard Wagner, John Webster, Frank Wedekind, Otto Weininger, William Butler Yeats ».
(JE – 14.3.24_9.20). Bàv,
MS, la chanson réaliste de Souchon ne relate pas exactement la situation de Titus et Bérénice puisqu’il s’agit dans la cas de la chanson de l’usure que le temps inflige aux sentiments assez souvent , dans la tragédie il est question d’un renoncement lié à l’impossibilité de faire accepter des sentiments par une opinion publique soutenant le Pouvoir. Le choix qui s’impose s’effectue en faveur du Pouvoir ( un peu l’inverse de ce qu’on rencontre dans Les ailes du désir, bien que dans ce film il s’agisse d’un pouvoir autre que politique, d’un pouvoir non lié à la puissance politique).
P Edel, j’ai pris à la bibli au hasard de Stendhal les Chroniques italiennes, les auriez-vous lues?
renato, la lettre à Marilyn vient d’un temps où la grandeur n’allait pas nécessairement avec la prétention; humour et gentillesse, quel homme que ce Steinbeck! Je serais tombée amoureuse d’un tel individu bien qu’à dix mille lieux des canons en question dans cette rédaction amusée.
3J, et du coté des femmes quand elles ont réussi à être éditées ne remarque-t-on pas des propos dénigrant le règne masculin ainsi que des propriétés, caractères, qualités censés n’appartenir qu’aux hommes et à leurs modes de fonctionnement? Les femmes n’ont-elles témoigné à travers la poésie, la litterature, la philosophie que d’une admiration sans réserve ni critique?
MS, le choix de ces symbolles ne voudrait-il pas montrer qu’une femme ne serait aimable qu’à condition de correspondre à ce qui est attendu d’elle dans une tradition patriarcale, de répondre au rôle qui lui a été imposé depuis les cavernes bien qu’il soit remis en cause puisque ces femmes ne restaient pas auprès du feu pour le garder mais participaient aux chasses de la meme façon que les hommes? Dans cette mise en scène, Bérénice deviendrait un modèle paradigmatique
qui leur a été imposé
« Augustin d’Hippone, WS Burroughs, Caton l’Ancien, Bernard de Cluny, Joseph Conrad, Charles Darwin, Emile Durkheim, Henri Fielding (?), Sigmund Freud, Henry Rider Haggard (?), Hésiode, Jack Kerouac, David Herbert Lawrence, Cesare Lombroso, William Somerset Maugham, John Milton, Friedrich Nietzsche, Ovide, Platon, Ezra Pound, Jean Racine, François de la Rochefoucauld, Jean-Paul Sartre, Arthur Schopenhauer, Semonide d’Amorgos (?), William Shakespeare, August Strinberg, Jonathan Swift, Algermon Charles Swinburne (?), Tertullien, Thomas d’Aquin, Richard Wagner, John Webster, Frank Wedekind, Otto Weininger, William Butler Yeats ».
(JE – 14.3.24_9.20). Bàv,
Olga a donc lu tous ces auteurs( peut-être pas in extenso) en prenant soin de noter tout ce qui lui a paru misogyne ou sexiste. Qu’a-t-elle lu encore!? De cette liste, quelques-uns seulement figurent à mon parcours de maigre lectrice! Ou comment s’établit la différence entre une intellectuelle et une pauvre infirmière!
Je terminerai mon allocution par: Y- a quelqu’un?
Je m’en vais donc cuisiner, à plus tard.
On a ici, fortement l’impression de la présence d’ une fausse B, non?
( Bloom, bravo!)
Oui, une fausse blonde fait l’ endive sur ce blog!
@ Les femmes n’ont-elles témoigné à travers la poésie, la litterature, la philosophie que d’une admiration sans réserve ni critique?
Mais où et quand l’aurais-je prétendu, B. ?
(j’ai l’impression que vous vous parlez souvent à vous-même, argumentez en… affirmant, plutôt qu’en posant véritablement des questions).
Hier, j’ai entendu un fascinant et quasi impossible dialogue à visée pacifiante et « constructive » entre deu femmes de bonnevolonté, Dominique Eddé et Delphine Horviller (un brin teigneuse en exaspérée, une fois n’est pas coutume, ai-je trouvé, sentiment purement subjectif).
J’en ai conclu que l’Augustin avait eu beaucoup de talent de le faire advenir, ce « dialogue », au mins de l’avoir rendu possible, même s’il tourna court à plusieurs reprises. Il avait le temps, et s’immisçait très peu. On pouvait réfléchir en direct à tous ces non dits affectifs qui opposait ces deux écrivaines écorchées vives, et malgré tout, étions sensible aux efforts consentis par chacune pour tenter de se nouer en public. Une belle rareté à la télévision d’Etat.
le choix de ces symbolles
Ça résonne comme des cymbales! 🙂
Un tantinet bulle en quelque sorte.
Comme quoii je peux être naÎf tout de même. Pas une seule seconde ai je pensé que B. avait pu être usurpée. Mais au fond, je m’en bas les c… Je n’arrive jamais à croire spontanément au complotisme quand je pressens toujours et d’abord de l’humour et du second degré chez les gens, une petite musique qui leur dit : je dis ça en mal, mais au fond, je pense qu’il y a toujours un peu de vrai chez mon interlocuteur. Or, plutôt crever que de le reconnaître, hein ! —
Le plus drôle, c’est que je venais justement d’achever l’écriture d’une nouvelle intitulée : une riche intellectuelle sous une pauvre infirmière. Incroyab’, mais vrai ! Bàv,
Bon, je vois qu’il y a de plus en plus de ratés dans les touches de mon clavier, mais je vais pas commencer à les réparer à chaque fois… Ca (me) reste encore lisible. Une fois.
@ P Edel, j’ai pris à la bibli au hasard de Stendhal les Chroniques italiennes, les auriez-vous lues? (B. ou D. ?)
SJPMP, sur ses conseils, j’avais fait de même… Hélas, j’en fus bien déçu… Car elles sont insignifiantes et illisibles si tu n’es pas un.e spécialiste au parfum et au top de sa biographie. Autant aller Brûler Henry… Ce que je fis aussi et en fut bien mieux récompensé.
Bonne lecture, B. !
. Pas une seule seconde ai je pensé que B. avait pu être usurpée.
Il est possible de m’emprunter comme on emprunterait un vélo pour faire un tour à tel point que je ne sais jamais si je est un autre ou moi-même et encore faudrait-il que je sache qui je suis, si quelqu’un pouvait me fournir une réponse, je prendrais.
3J, ma question vous interrogeait sans sous entendre, vous avez beaucoup lu aussi puis-je supposer que vous êtes en mesure de citer quelques femmes (ou pas si la littérature des femmes ne s’est pas trop frottée à l’expression des idées reçues concernant les hommes , si elle est exempte de ces « réflexes ») .
B, honnêtement « les chroniques italiennes » de Stendhal me tombent des mains. On sait que Stendhal a fait recopier de vieux manuscrits italiens du XVI° siècle qui regroupent tout un tas d’histoires violentes,avec complots, dagues, trahisons, folies amoureuses, des passions qui vont jusqu’à la torture. Déjà des mœurs maffieuses à l’époque… Bien.
Et alors ?
Les spécialistes stendhaliens répètent à l’unisson qu’il a puisé dans ces vieux textes des énergies passionnées qui se retrouvent dans « La chartreuse de Parme ».Pauvre Stendhal, il n’avait pas besoin de ces parchemins, il a puisé dans sa propre vie amoureuse toutes les passions développées dans ses grands romans. Lisez plutôt » Vie de Henry Brulard » ou « Souvenirs d’ égotisme », là on trouve le Stendhal vrai, intime, sincère, fantasque, tendre, blessé, inapaisé, amoureux,humilié, insolent, d’une franchise totale. Vous savez, dans Stendhal, tout n’est pas bon, il a bâclé pas mal de choses pour gagner un peu d’argent. même son « Rome,Naples et Florence » est un tissu de compilations . Son « Racine et Shakespeare » est moyen et se répète beaucoup. En revanche, le roman inachevé « Lucien Leuwen », -resté à l’état de chantier- est fascinant car on voit Stendhal modifier sans cesse et annoter et corriger ses chapitres qui parlent de province, des cancans, de ses élans du coeur, de politique et de campagnes électorales avec une ironie splendide. On voit grenouiller dans les Ministères des jeunes gens qui ressemblent à Macron. Et quand les commentaires sont établis par un Stendhalien de haut vol comme Michel Crouzet ça devient un délice. C’est en Poche, donc peu cher. A propos d’éditions récentes, les volumes « les œuvres romanesques » en pléiade déçoivent par leurs commentaires. Lire plutôt en pléiade ses « œuvres intimes » édition Vittorio del Litto. Là, on retrouve le cœur et l’intelligence de Stendhal ,au vif.
@B, dites-nous au moins si ces deux B sont de vous. Personnellement, je saurai bien quoi en faire… Merci, cela dit, nul ne vous oblige à répondre, à mentir ou à dire la vérité… nous sommes d’accord que c’est la RDJEUA*, icite…
——-
B dit: à
Je terminerai mon allocution par: Y- a quelqu’un?
B dit: à
Je m’en vais donc cuisiner, à plus tard.
———
* RDJEUA -> règle du JEU… est un.e autre.
B, dites-nous au moins si ces deux B sont de vous
il me semble mais rien n’est sur, je me bats contre la dictée.
Merci Paul Edel pour ces informations, je ne perdrai pas mon temps avec ces chroniques, tout le reste( et que je n’ai pas lu) doit être en rayon.
@ encore faudrait-il que je sache qui je suis, si quelqu’un pouvait me fournir une réponse, je prendrais.
R = une infirmière formidable à qui on a envie de faire plaisir. D’où ce qui suit…
une réponse évidente… à mes yeux à votre question très pertinente : COLETTE. Une vraie écrivaine… Victime sans doute de Willy, mais pas revancharde pour un sou… Autre chose comptait dans sa vie, l’androgynie, l’amour des bêtes, la poésie, la volupté, la nature, la sensualité, l’ouverture aux autres, femmes et adolescents, l’émerveillement perpétuel… Pas une once de « féminisme » ni de « misogynie » ni « d’androphobie » chez elle. Elle fut et reste au top d’une littérature hélas coincée en son temps entre Proust et Céline. On redécouvre aujourd’hui la splendeur de sa prose. Moij du moins, qui avais toujours nourri des préjugés à son encontre, victime des injonctions culturelles du germanopratisme dominant de l’après guerre.
Comme par hasard (?), elle fut ignorée par la grande Simone, ceci expliquant sans doute un peu cela, je crois, non ?…
Bàv,
Andre Castelot. Celui-là se refit, pour cause d’indignité nationale, une virginité en signant sa Marie Antoinette du prénom de son frère, Jacques. Tout ceci dans les années 1950.Quel bonheur d’avoir un frère ! MC
….Castelluci « [… ] je suis l’ Avant Garde, et tu es la meilleure, donc tu peux jouer toute la pièce »! Même si c’est faux dit MC (bien que le réglement ait changé). Et suivant le lien proposé par Marie Sasseur on voit que la malheureuse Isabelle Huppert, outre Montpellier et Paris, va vraisemblablement devoir s’exécuter, chez les coproducteurs, à Genève, Luxembourg, Gérone, Napoli, Hamburg, Onassis Stegi, Milano, Taïwan, Holland Festival , Lugano, Poitiers, Clermont-Ferrand, Rennes, Yanghua ( Chine).
J’observe que les producteurs sont la Cité européenne du théâtre – Domaine d’O – Montpellier et Societas Romeo Castellucci (qui donc prend lui-même, en partie, les risques) et que ce ne sont pas nos impôts comme chacun le dit dans ces cas là avec la morgue de celui qui paye.
Mais qu’est-ce qu’ils ont donc tous ces écrivains à faire leur cinéma !
Cette semaine, c’est Michel Houellebecq qui se met dans la peau de Blanche Gardin, et on nous annonce une prochaine Christine Angot dans la peau de… Christine Angot.
A la vue des bandes-annonces, le premier est très drôle, comme à son habitude, tandis que la seconde se montre particulièrement sinistre et son film sent son règlement de compte.
Le léZard ne manquera pas de vous en parler.
Manquerait plus que Passou s’y mette à son tour !
Dans la peau de Tintin ou du commissaire Maigret ?
Affaires à suivre…
On voit grenouiller dans les Ministères des jeunes gens qui ressemblent à Macron.
L’ Edel se met à voler de ses propres L
Poutine ta mère, va! 🙂
Oui cette phrase m’a fait aussi tiquer, s’il s’agit de Lucien, qui est un peu l’anti-Macron. MC
Soudain l’été dernier
Je cherche ce titre souvent.
Ce film ne se déroule t’il pas en Sicile ?
Peu à peu, des indices de la vérité se font jour. Sebastian, poète, homosexuel, s’est servi pendant des années de sa mère comme « appât », pour attirer des jeunes gens. L’été précédent[…].
Je me souviens d’enfants.
Pas de jeunes gens.
Complètement soufflée que mon ami, MR, dont j’ai pris la suite avec mon consentement, ai programmé au ciné-club ce film d’une violence rare.
Tout à l’heure j’étais à Paris et je me suis retrouvé au milieu des touristes qui vraiment ne s’en font pas. Ils marchent nonchalamment à plusieurs de front en baragouinant très fort et quand quelqu’un arrive en face aucun de ceux qui sont sur les côtés ne cherche à se pousser un peu pour laisser passer.
Alors moi, j’ai fait pareil, j’ai continué à avancer sans me pousser pour les laisser passer. Donc bousculade et, bien entendu, ils ont essayé de me dire que c’est moi qui les avait bousculés. Quelles ordures ! Je leur ai dit en Anglais que je n’avais ni la possibilité de voler au dessus de leur tête, ni de rétrécir en largeur de 50 centimètres et que je ne descendrai aucunement dans le caniveau pour leur faire plaisir et que l’on ne marchait pas à trois de front sur des trottoirs peu larges et aussi fréquentés en ne pensant qu’à sa pomme, le nez dans son smartphone ou son guide, des oreilles de Mickey sur la tête. Quels enculés quand on y pense ! Et c’est ça qui prétend déferler en masse sur Paris pendant les JO !
I have neither the ability to fly above your heads nor to shrink in width by 50 centimeters, and I will not descend into the gutter to please you, and we do not walk three abreast on narrow and busy sidewalks, only thinking about oneself, nose buried in one’s smartphone or guide, Mickey ears on the head.
…que je leur ai dit à ces connards.
C’est bon, Boom, je n’ai pas faut d’erreur de syntaxe ?
Faut pas se laisser envahir. On est quand même chez soi. C’est pas leur cas, aux dernières nouvelles.
RACINE à l’opéra:une présence discrète
https://www.concertclassic.com/article/racine-lopera-une-presence-discrete
What shameless assholes,they can go suck dicks somewhere else, que je ruminais ensuite en m’en allant.
Le cas de Bérénice est, sur ce point, flagrant : dédaignant ce profond « trilogue », creusant jusqu’au vif le sentiment amoureux et la perte qu’il suppose, la scène lyrique lui préféra la pièce cornélienne rivale, Tite et Bérénice, parue seulement huit jours après et recyclée par Métastase une soixantaine d’années plus tard dans La Clemenza di Tito (1734). De nos jours, Bérénice survit au théâtre tandis que Tite revit à l’opéra…
These big assholes of their mother, in all holes, won’t spoil my appetite, and I’m going to devour a calf’s head right away, que j’ai conclu.
Je suis la réincarnation de Victor Hugo et de plusieurs autres écrivains.
Quand j’étais petit, dans le Cantal, je faisais caca dans des cabinets où toute l’oeuvre d’Hugo en livres de poche était rangée bien en ordre sur des étagères.
Déjà les titres me disaient quelque chose. J’avais l’impression de déjà connaître tout ça, et je savais déjà les grandes lignes de ces histoires. Un peu plus tard, quand je les ai lus, tout m’est revenu en avalanche. Je savais tout. C’était moi l’auteur.
Je me suis impressionné moi-même. Je me suis dit : tu es impressionnant. Oui c’est vrai, me suis-je répondu.
[Soudain l’été dernier (Suddenly, Last Summer)
Joseph Mankiewicz (d’après Tennessee Williams)
Elizabeth Taylor
Katharine Hepburn
Montgomery Clift]
MC, je n’ai jamais dit qu’il s’agissait de Lucien Leuwen à propos de Macron.
Je vais quitter ce blog.
Je n’en puis plus que renato fasse un usage inconsidéré du crochet et de la parenthèse.
Après, il referme ce qu’il ouvre. On ne peut pas lui reprocher ça.
« Ce film ne se déroule t’il pas en Sicile ? »
Au Portugal, il me semble.
Chez Soleil Vert.
Le Portugal ?
J’aurais dit l’Italie du sud.
La pièce dans un jardin tropical, le film tourné ds différents lieux : où ? Ce village blanc à la fin, son costume blanc à lui, et les enfants qui se ruent.
À la Nouvelle-Orléans, Jazzi.
@paul edel
meme impression que vous pour les chroniques italiennes , qui m’ont fait l’effet d’un démarquage medipcre de textes se referant à un univers moral qui nous est étranger
une exception pour moi cependant :Vanina Vanini, un scénario tragique admirablement bâti
je ne sais dans quel pays se déroule la scène centrale de « soudain l’été dernier » ce massacre du jeune homosexuel par une bande jeunes, mais curieusement je me souviens du nom du lieu où cela se déroule :Cabeza de Lobos
c’est ce souvenir que la mère du défunt veut extirper de la tête de sa nièce qui accompagnait son fils sur cette plage. ,et qui lui servait d’appât
@rose
vous parlez de « son costume blanc à lui »;i l y a aussi son maillot blanc à elle qui ,mouillé, la fait apparaître quasi nue
Soudain, etc.
Tourné entièrement à Londres, en studio.
Il s’agit bien de pédérastie et non pas d’homosexualité. Des enfants, donc.
In ciné-club de Caen.
« L’explication finale est une suite de bifurcations. En effet, la pédérastie du fils n’explique rien. La jalousie de la mère est une première bifurcation, dès qu’elle est supplantée par la jeune fille ; la pédérastie en est une seconde, quand le fils se sert de la jeune fille comme il se servait de sa mère, appâts pour les garçons. »
Rosanette
Je ne me souviens pas de son maillot de bains blanc, à elle.
J’avoue avoir été focalisée sur tout ce qui ne se disait pas et sur la violence de la scène finale, expiatoire.
sur cette plage
Rosanette
Je me souviens d’un village, lorsqu’il était suivi par la horde d’enfants.
Cabeza de lobos, belle métaphore, non ?
…… et à partir de 1h 40, le dénouement (mais en français) :
https://ok.ru/video/250765511355
https://ok.ru/video/250765511355
nouvel essai ?
sinon tant pis…
D: l’arrivée massive d’une meute abrutie à Paris pour les JO a de quoi faire frémir les Parisiens. Faut se sauver.
Toute meute est mortifère. Des spécialistes ont bien expliqué cela. Mais il ne faut pas s’alarmer. C’était pareil avant, et avant cet avant. On ferme les volets et on attend son départ vers les quartiers sordides où elle habite.
Il arrive que les enfants de grands bourgeois, voire d’aristos, aillent s’encanailler et jouant les ploucs. Devenus adultes, ils auront oublié.
Soudain, etc.
L’audition de Bolloré
J’ai du loisir. J’ai écouté l’audition de Vincent Bolloré par la commission parlementaire du 13 mars.
Je commence à la recommander à tous les amateurs de politique intérieure. Je ne la résumerai pas.
Quelques remarques seulement.
Les représentants de tous les groupes parlementaires ont tous pu poser deux questions. Le seul parlementaire qui est intervenu pour louer Vincent Bolloré et dénigrer divers parlementaires qui avaient critiqué Vincent Bolloré fut le porte-parole du RN.
Bolloré a dit quatre ou cinq fois : « Je suis démocrate-chrétien ». Cela n’a pas été relevé. C’est un catho tradi, on le sait, mais que veut-il dire par « démocrate » ?
Sans cesse , Bolloré commençaient ses phrases par « le groupe Canal ». Mais c’était botter en touche : il ne s’agit pas de foot, de rugby ou de cinéma ! Il s’agit de ce qui se passe du matin au soir sur CNews.
Bolloré a eu le culot de dire : « Je n’ai pas de projet idéologique ». Si ! Et le représentant du RN, en louant Bolloré et critiquant ses critiques l’a révélé : affaiblir par tous les moyens le chef de l’Etat et le gouvernement. Et favoriser les idées de l’extrême droite. Un temps, ce fut Zemmour et , très visiblement, maintenant , c’est le RN, qui, pense M.Bolloré, aura le pouvoir dans quelques années.
j’ai du loisir
retour au moyen-âge, procès en sorcellerie.
Des enfants, donc.
T. Williams, Dutroux
le peuple est content.
Un triumvirat féminin va épauler Carine Fouteau a la tête de Mediapart.
Devenus adultes, ils auront oublié.
Oublie-t’on ?
Le roi aussi s’encanaillait. Puis, il retournait dans ses appartements.
Bolloré a eu le culot de dire :
Mais, n’a-t’il pas porté serment avant son audition ?
Montée dans le village puis la plage r contrebas, vous aviez raison Rosanette.
Des jeunes gens effectivement. Pas des enfants.
Bolloré tout autant démocrate que ceux qui on fait passer en force à coups de 49.3 la réforme des retraites contre l’avis du peuple !
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