Et vous, qu’auriez-vous fait ?
Alexis Ragougneau ? En d’autres temps, l’éditrice Françoise Verny aurait gueulé : « Pas un nom d’écrivain, ça coco ! Trouves-moi autre chose qui sonne mieux ! Littéraire, quoi ! ». D’Alexandre Ragougneau, j’avoue n’avoir lu à ce jour aucun des polars, ni vu aucune des pièces, puisqu’il mène une double activité de romancier et de dramaturge. Aussi, quand son Niels (354 pages, 20 euros, Viviane Hamy) est arrivé sur ma table, j’étais loin de me douter qu’il se révèlerait à l’examen comme l’un des tout meilleurs romans de la rentrée. Rien de moins. Enfin un roman qui se lit comme un roman.
Le Niels du titre, de son nom Niels Rasmussen, est un danois, projectionniste à Copenhague au lendemain d’une guerre qu’il a vécu en activiste dans la Résistance. Avant 1940, il vivait à Paris et écrivait des pièces de théâtre avec Jean-François Canonnier, un ami metteur en scène. Or, par la lecture du Parisien libéré, Niels apprend que celui-ci, emprisonné à Fresnes, va être déféré devant les tribunaux de l’épuration à Paris pour collaboration avec l’ennemi. Aussitôt, il regagne la France afin de le retrouver pour lui apporter son aide car rien dans ce qu’il a connu de lui ne coïncide avec l’habit qu’on veut lui faire porter. Ce faisant, il découvre la face cachée de cet homme qui lui fut si proche, dans toute sa médiocrité, sa bassesse, sa veulerie, jusqu’à l’innommable…
De quoi en rabattre sur sa conception de l’héroïsme. Dans la quatrième de couverture, l’éditeur pose la question qui lui paraît fondamentale à l’issue des réflexions qui ne manqueront pas de naître à la lecture du livre :
« Et vous, qu’auriez-vous fait ? »
Classique, encore que la formulation fasse penser au titre des livres de Marc Lévy. Mais la question est toujours aussi biaisée. Car si j’avais eu 25 ans à la Libération, et que je m’étais trouvé face à un semblable dilemme, je ne serais pas moi mais un autre avec une toute autre histoire que la mienne aujourd’hui. Aurais-je mouillé ma chemise pour sauver un ami qui fut un immonde salaud ?
L’écriture de Niels est d’une efficacité qui ne perd rien en sensibilité. L’atmosphère de l’après-guerre est restituée avec le son juste. En un sens, c’est un modèle. La narration est parfaitement menée, maitrisée, composée avec un art consommé du dialogue (la patte du dramaturge peut-être), le sens du coup de théâtre et de la progression dans l’action, un vrai travail de détail dans le portrait des personnages secondaires (le colonel FFI Santimaria), une connaissance approfondie des milieux du théâtre ce qui nous vaut une fine mise en abîme avec des actes et des scènes en incrustation (seule petite erreur : les fondateurs du Cartel n’était pas trois -Jouvet, Baty, Dullin- mais quatre, Pitoeff a été oublié). Piques et pointes atteignent leur cible. Ainsi le rappel de cette brève dans le Canard enchainé de 1945 :
« Louis Jouvet, qui avait passé toute la guerre à faire tourner sa troupe en Amérique latine, débarque à Marseille, sa valise à la main, après quatre ans d’absence. Il tombe sur une jeune femme en bonnet phrygien, le visage tuméfié de bleus et de cocards. Quelles nouvelles ? demande Jouvet. Et Marianne de répondre : Le petit chat est mort…
Il est vrai que le tourné de Jouvet avait été assez ambigüe, du moins jusqu’en 1943. Ragougneau s’est de toute évidence nourri de nombreuses lectures, mémoires et biographies, trop jeune (1973) pour avoir vécu l’après-guerre, ni même connu dans leur grand âge les personnages qui l’ont inspiré. Il a parfaitement digéré et décanté sa vision de l’époque. Les quelques pages relatives à l’attente devant le Lutetia sont d’une impressionnante justesse. Le risque de ce genre d’exercice, c’est de verser dans le roman-à-clef, ce que celui-ci n’est en aucun cas. Le lecteur n’y pensera même pas à l’exception d’un carré de passionnés de l’histoire littéraire des années 30 et de l’histoire politique des années 40. Comme j’en suis, et doublement, je n’ai pu m’empêcher de laisser des noms et des photos se superposer à ceux du livre et de me laisser envahir par les sources cryptées : Birault, le patron de théâtre, m’a fait penser à Anet Badel, le propriétaire du Vieux-Colombier ; le théâtre de l’Olivier au théâtre du Vieux-Colombier ; Madeleine, la chroniqueuse judiciaire à Madeleine Jacob ; l’avocat Me Bianchi à Me Isorni etc A quelques reprises, lorsqu’il emprunte ses propres phrases à Jean Paulhan par exemple, il le signale dans une note en bas de page. Curieusement, une fois, il s’en garde (à moins que ce ne soit un oubli) s’agissant de Jean-Paul Sartre qui est de toute évidence, son portrait en témoigne, l’auteur de cette douzaine de lignes tirées de La République du silence (9 septembre 1944 in Situations, III) et ici théâtralisées :
« Jamais nous n’avons été plus libres que sous l’Occupation etc »
La plus importante de ces clés qui n’en sont pas sauf pour les obsédés de la période, c’est encore l’autre personnage principal, le fameux dramaturge Jean-François Canonnier, l’ami, le frère de coeur en faveur il se démène. Il est exilé en Suisse où il s’est reconverti dans la critique gastronomique, seule spécialité journalistique qui ne requiert pas de carte de presse, comme George Prade, l’ancien administrateur des Nouveaux temps et de Paris-Soir sous la botte, qui en sus travaillera pour les champagnes Mumm. Mais l’antihéros de Niels s’avèrera aussi avoir été un vil délateur, à l’image de Robert-Julien Courtine qui signera plus tard pendant longtemps Le Reynière sa chronique gastronomique dans Le Monde grâce à la complaisance d’Hubert Beuve-Méry qui n’ignorait pas que le même avait signé de son propre nom ses appels au meurtre dans le torchon Au Pilori.
De le savoir n’enlève rien à ce roman en tous points remarquable. Disons même : irréprochable. Et il n’est pas impossible que pour certains lecteurs, cela ajoute à leur plaisir de lecture. J’allais oublier : il y a eu à la même époque un précédent à cette histoire d’amitié contrariée (on ne se refait pas, décidément) lorsque le résistant Joseph Kessel, combattant de la France libre et co-auteur des paroles françaises du Chant des partisans, a quitté précipitamment Londres pour Paris fin 1944 afin de porter secours à son ami d’avant-guerre Georges Suarez, responsable du quotidien Aujourd’hui financé par l’ambassade d’Allemagne, accusé d’intelligences avec l’ennemi. Sauf que malgré le talent de Kessel, et son plaidoyer vibrant au procès en faveur de l’ami fourvoyé avec qui il avait écrit trois livres dans les années 20, celui-ci fut fusillé.
(« Louis Jouvet en tournée en Amérique latine pendant la guerre » photo D.R. ; « Les amis de Robert Le Vigan à son procès, Fernand Ledoux, Jean-Louis Barrault etc » photo D.R.)
861 Réponses pour Et vous, qu’auriez-vous fait ?
faut arrêter définitivement de tout mettre sur l’argent et sur le nombre d’élèves par classe ; pur baratin. Ce qu’il faut à l’école, c’est travailler
faire comprende pourquoi..tout..tout est là..t’es tailléé pour oser?
Roxy Music, Manifesto :
Il est considéré comme l’un des premiers théoriciens de l’athéisme systématique.( Wiki)
dabord jésus il a jamais existé qu’il a dit nico..tzz
je ne positionne pas du tout la rigueur là.
C bcp plus bête :
la classe tu y viens puisque tu as classe, tu n’es pas absent.
ce que tu dois avoir tu l’as, ton cahier de correspondance, ton cartable rigide pour ne pas bousiller les bouquins prêtés, ta trousse complète, un casse croûte préparé par ta maman, que tu partageras avec ton meilleur copain à la récré.
ton prof, tu le respectes puisque lui te respecte : tu lui rends ce qu’il te donne, l’attention.
des questions tu en poses et des réponses tu en donnes, tu apprends et c’est un immense bonheur.
la vie avec tes copains prendra le pas bientôt sur la vie familiale ; à l’adolescence ce sera manière de couper le cordon, tu auras appris déjà à aimer d’autres que ton entourage proche.
in fine, tu es heureux de venir apprendre et tu en redemandes.
ton comportement est tellement correct et à la maison c’est tellement vivable, tes parents ont fini par accepter que tu invites un copain chez toi, que jamais le mercredi tu n’éprouves le besoin de revenir pour tes colles, tous les mercredis d’affilée.
tu ne te fais pas remarquer.
un jour, ton instituteur, qui non, n’a pas choisi ce métier pour être payé à faire des colliers de pâtes, ira voir ton papa, ouvrier fraiseur et lui dira « monsieur vot’ fils il en a dans la tête, faudra qu’il poursuive ses études ».
Les parents obtempèreront, la maman d’un hochement de tête, parce qu’ils ont entièrement confiance en cet homme bon et modeste qui a repéré leur fils comme brillant.
C’est ça la rigueur : rien, mais rien de martial. Pas de blouses noires, pas de tablettes connectées : quelqu’un de passionné et de passionnant qui transmet à des petits qui à leur tour deviennent passionnés et passionnants. Le savoir c’est comme une rivière qui coule.
Avec rigueur.
De la même manière que la rivière coule dans son lit.
15 romans sur la liste Goncourt.
J’en ai lu qu’un.
comme dab elle fait trop post coitoume trist la photo à gros grain a lassouline..c’est révisionniss
même si ça fait année 50 mon com de 8h26 et bien c’est ça la rigueur. Facile simple et évident.
bien sûr, immédiatement je pense à Albert Camus.
et la rigueur c’est la parfait contraire du je m’enfoutisme. L’opposé direct. C’est être concerné.
Adéodat fils d’Agustin et de mère inconnue !
Passou a su imposer son Ragougneau. Et comme il nous fait part de son admiration, nou sommes assurés que cet auteur bénéficiera d’au moins d’une voix au premier tour.
Ma copine Laure Adlair a bien raison, JC n’est qu »une vieille andouille rabougrie qui beugle que des sonneries
Avec aussi E. Vuillard et M. Sabolo
Les Goncourt ont même mis dans leur sacro-sainte liste Yannick Haenel, Tiens ferme ta couronne. C’est incroyable et inepte. De qui a bien pu venir cette idée ?
Dans une interview, ce petit puceau d’Haenel évoque sa scène de sexe préférée. Prétentieux et ridicule :
« J’ai écrit une très longue scène érotique que j’ai mise en scène minutieusement au musée de la Chasse et de la Nature : d’abord les deux amants se poursuivent, j’allais dire se pourchassent, à travers les couloirs où des yeux d’animaux empaillés les observent ; cette course allume une lumière de feu dans le désir. J’ai ordonnancé alors un rituel autour du corps de Léna, qui est entourée d’animaux-esprits. On entre dans un territoire plus ténébreux, plus dangereux, plus chatoyant aussi, où ce n’est plus seulement les corps humains qui ont accès au cœur intime du vivant, mais quelque chose de spirituel qui s’ouvre entre eux. Dans cet intervalle sexuel, Léna devient une déesse : c’est un jeu, un simulacre, une stimulation perverse ; et en même temps c’est un accès au sacré. Les Grecs appelaient cela une hiérogamie : la chambre des amants est le miroir de l’aire sacrificielle. Non pas qu’on y tue, mais s’y condense une intensité décisive, qui donne accès à une forme de vérité. L’instant sexuel est le couronnement. L’amour est la couronne. »
Beatrix Potter :
Coleman Hawkins :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/02/coleman-hawkins-in-milan-1967.html
haenel a dû faire la visite du musée avec sollers, circuit graveleux.
un joyau pour la couronne de haenel, en somme.
Je sors.
Haenel a repris du Sollers décati cette parodie systématique de l’Ancien Régime. Rien de personnel dans cette prose, que des montages tarabiscotés faits pour épater les vieilles grands-mères pudibondes. Un échec à hauteur d’écrivain raté.
Haenel n’a jamais lu Despentes.
Je sors.
De même pour son « film », Haenel a pompé sur des thématiques de Pierre Klossowski. Il faut toujours un inspirateur à Haenel, qu’il pompe tant et plus :
« Un homme est obsédé par une scène de la mythologie : celle où le chasseur Actéon surprend la déesse Diane nue au bain. Cette obsession l’enferme dans les livres et dans la répétition érotique. On le suit de sa bibliothèque à sa chambre à coucher, où sa femme rejoue pour lui cette scène. »
Quand on lit du Haenel, on voit tout de suite derrière sa prose simplette les écrivains qu’il essaie de recopier, Sollers pour le pire, mais combien d’autres : Thomas Bernhard, Melville, etc., etc. Au bout du compte, rien n’est de Haenel. Haenel n’existe pas.
En plus, ce petit con trouve très drôle de dire qu’il boit. Il passe son temps à picoler et à écrire des textes où l’on absorbe hyperboliquement de l’alcool. Cela lui permet sans doute de s’élever artificiellement, et d’éloigner dans le moment sa médiocrité affligeante d’écrivain raté sans aucun talent.
N’est pas Blondin qui veut !
« haenel a dû faire la visite du musée avec sollers »
Demandez le guide !
Musée de la Chasse et de la Nature
62, rue des Archives
Tél. : 01.53.01.92.40
Métro : Hôtel-de-Ville ou
Rambuteau
http://www.chassenature.org
Deux superbes demeures aristocratiques contigües des XVIIe et XVIIIe siècles abritent le musée de la Chasse et de la Nature : l’hôtel de Guénégaud, bâti entre 1651 et 1655 pour Henri de Guénégaud par François Mansart et l’hôtel de Mongelas, construit en 1705-1707 par l’architecte Nicolas Liévain.
Créé en 1964 par François et Jacqueline Sommer, un couple d’industriels ardennais, le musée de la Chasse et de la Nature, dont les collections totalisent plus de 5 000 œuvres, permet au visiteur de découvrir, dans un cadre exceptionnel, des peintures naturalistes de Desportes, Chardin, Oudry, Vernet ; des armes de chasse ; des animaux naturalisés originaires d’Afrique, d’Amérique et d’Asie ainsi que de nombreux objets d’art.
Plusieurs expositions temporaires y sont organisées chaque année, tels L’intérieur de la nuit du Photographe George Shiras ou la première exposition dédiée en France au peintre américain Walton Ford (2015-2016).
Des visites pour tous publics et toutes langues peuvent y être organisées à la demande, pouvant être suivies d’ateliers animés par un plasticien pour les scolaires.
Critique spécialisé dans les écrivains ratés, c’est un bon créneau, Delaporte ?
N’oubliez pas le guide !
http://www.gibertjoseph.com/tresors-des-musees-parisiens-7555850.html
Je n’ai pas compris qui vise Delpla.
« Je n’ai pas compris qui vise Delpla. »
Tous ceux qui contestent aux écrivains contemporains le droit d’écrire sur des époques qu’ils n’ont pas connues, notamment la Seconde Guerre mondiale, Chaloux. Vieil air connu et mainte fois abordé sur la RDL !
Ouvrant le lien (« République du silence »), je découvre ce texte de Sartre que je ne connaissais pas (« Sartre, La République du silence, 9 septembre 1944 in Situations, III, Paris 1964, pp. 11-14) cité, sans note en bas de page dans le roman, semble-t-il. Texte fort, antidote pour cette nausée légère provoquée par la mémoire de ceux qui ont failli en ce temps d’Occupation.
Je découvre aussi le jeu de devinettes auquel Passou s’est livré avec plaisir, cherchant derrière les personnages du roman des visages bien précis. On comprend mieux alors les photos saisissantes qui encadrent le billet.
Un regret : la liste des romans retenus pour le prix Goncourt donnera à cette recherche, le temps de ce billet. D’autres livres vont être explorés et les lecteurs de ce blog devront effacer le poids d’ombre d’un billet pour aller vers d’autres univers qui à leur tour seront balayés par d’autres romans.
Les donneurs de Prix vont prendre d’assaut les médias pour l’élection de l’écrivain « gagnant » qui aura son heure de gloire, qui sera mitraillé par les photographes de presse.
Puis, le grand raout dispersé, l’élu devra se remettre à l’écriture dans la solitude et le doute.
Ces livres nous atteindrons en différé car il faut du temps pour lire ou nous ne les lirons jamais.
L’hiver remplacera la saison des vendanges littéraires, d’autres saisons se succèderont. Quelle lecture restera dans la mémoire ?
Paul Edel semble contre, ça ne l’a pas empêché d’écrire des romans tels « Un été avec Voltaire » ou « La maîtresse de Brecht » !
» à l’adolescence ce sera manière de couper le cordon, » rose.
Annaelle, onze ans entre en sixième :
» tu ne m’ appelle pas « mon trésor » devant les autres et tu ne me fait plus de bisous » a-t-elle dit à sa mamie qui l’ amenait à l’ école.
« ceux qui ont failli en ce temps d’Occupation. »
Sartre et Beauvoir n’ont pas pris le maquis en ce temps-là, Christiane, ils se sont contentés d’occuper le Flore ou les Deux Magots et remplir les salles de théâtre !
thématiques de Pierre Klossowski
et tout ça au crayon d’couleur dlalourde..trop bien
à écrire des textes où l’on absorbe hyperboliquement de l’alcool
trop bien..mon larbin c’est les baffes
même delpla lui hen met hyperbolicmen..il le sent
@JAZZI dit: 6 septembre 2017 à 10 h 01 min
oui, Jazzi. Voilà où il aurait été bon de s’attarder sur toutes les pistes ouvertes par ce billet. La vie, pleine d’équivoques, est souvent la dégradation de l’absolu de l’écriture… sa case manquante. Comme si Sartre n’était pas parvenu à vivre une existence à la hauteur de ses mots, à coïncider avec ce qu’il croyait être. il ne lui restait que la parole. Et là, lisant ce texte, offert par le lien de Passou on sent la jouissance physique qu’il a éprouvé en trouvant ces mots, ces phrases. l’écart entre lui, écrivain, et ses actions.
Et pour nous lecteurs, pour ne pas succomber à l’oppression de certains souvenirs, hors l’oubli, il nous reste la… littérature.
la conscience dépressive de Baudelaire, les doutes de Camus, les personnages inaccessibles de Duras, les terres de l’inconscient de Proust, le tremblé des incertitudes de Tchekhov, les déchaînements tumultueux des poèmes de Rimbaud, la correspondance fiévreuse de Van Gogh, le Journal à cailloux de V.Woolf, les toiles-écritures de Bram Van Velde…
S’accomplir à travers la perte de ce qu’on a jamais vécu. Suivre ces traces même si cela n’a jamais eu lieu dans une brume liminale…
Il nous reste l’homme du quotidien, de l’insignifiance, l’autodérision des romans actuels (JJJ pointe le dernier roman de M-H. Lafon. Proche peut-être de Pessoa et ses doubles imaginaires, de ses biographies fictionnelles.), devenir autre, exister loin de soi. L’autre, ce malentendu…
Ou trouver dans l’écriture poétique une respiration, la langue des signes. Lire pour recevoir la vie.
D va râler, c’est encore trop long ! il va s’épuiser à sauter…
L’opposé direct. C’est être concerné
à gagner dla thune..sapré rose..camus..mon cu
Critique spécialisé dans les écrivains ratés, c’est un bon créneau, Delaporte ?
c’est comme de les choisir bête a forte poitrine dirait rose..c’est se sentir concerné qui compte..t’as pas lu camus..tu l’auras toujours soulbras..vdqs
Ce midi je me fais des macaronis au gratin avec du Comté et des lardons.
Un petit verre de Sancerre blanc avec, un très bon. Pastèque bio à volonté au dessert, 1 heure de sieste et hop :entraîneement intensif de 2 heures sur sac de frappe avec Macron dessiné dessus.
Que du bonheur.
…
…sans, allez chercher, les utopies féministes,…
…à regains d’escroqueries policées démocratiques ?,…Oui,!…
…
…se construire, une vie ( libre ) de bonne pute, jusqu’à plus ses 40 ans,…en, plus après, s’offrir, en » mère porteuse « , avec ses œufs entreposés au frigidaire des hôpitaux,!…
…
…et, prendre, les hommes, comme des cons, victimes des charmes » glamour « ,…
…
…dans ces exagérations liberticides, je préfère encore, le joug du Turc, a ses sujets, une main de maître et à ses bastonnades rangées,!…suivantes les culs en l’air, bous le valez bien,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Ah,!tous des salopes, mêmes saintes,!…
…envoyez,!…
Pourquoi donc Christiane suivez vous les élucabrations du gros lourdingue de la RDL? Quel aurait été à votre avis l’existence que Sartre aurait dû mener pour qu’elle fût à la hauteur de ses mots ?
Ainsi Jean-Paul Sartre a-t-il réinventé la figure de l’intellectuel engagé alors qu’il était resté passif durant la Seconde Guerre mondiale. Ainsi Gilles Deleuze s’est-il fait le chantre du nomadisme sans jamais sortir de chez lui. Imaginez encore un orgueilleux signant un traité sur l’humilité, un narcissique faisant l’apologie de l’altruisme ou un dénonciateur du capitalisme thésaurisant sans relâche… Ces zigzags dérangeants fascinent l’essayiste, qui force la complexité du mensonge jusqu’à en revendiquer une approche « amorale ». Machine créatrice, le mensonge se pare toujours des habits du vrai. Confession masquée, il révèle la multiplicité de l’identité, brisant la transparence et la continuité rassurantes entre un penseur et sa pensée. Mais alors, « qui sommes-nous lorsque nous pensons ? Nous-mêmes, ou quelqu’un d’autre ? » — Juliette Cerf sur
Le Génie du mensonge
François Noudelmann
http://www.telerama.fr/livres/le-genie-du-mensonge,131620.php
« la conscience dépressive de Baudelaire, les doutes de Camus, les personnages inaccessibles de Duras, les terres de l’inconscient de Proust, le tremblé des incertitudes de Tchekhov, les déchaînements tumultueux des poèmes de Rimbaud, la correspondance fiévreuse de Van Gogh, le Journal à cailloux de V.Woolf, les toiles-écritures de Bram Van Velde… »
C’ est le tour de France de la psychologie vu par deux enfants ou quoi?
@Nicolas dit: 6 septembre 2017 à 12 h 27 min
Un intellectuel engagé. Ses positions politiques face au totalitarisme (stalinisme – Tchécoslovaquie…) sont décevantes mais je n’oublie pas la qualité de ses romans, essais, pièces de théâtre, écrits philosophiques, biographies…
J’abrège pour m’informer de l’avancée du cyclone sur Saint-Martin et Saint Barthélémy où j’ai des amis.
Jazzi, mes romans n’ont aucun rapport avec l’Occupation ni avec « la France moisie ».Vous devriez les ouvrir pour le constater.l’enthousiasme de Delaporte pour Haeneel et Sollers fait plaisir à lire.
@C’ est le tour de France de la psychologie vu par deux enfants ou quoi?
J’y entends plutôt le ronron de la musique d’ambiance façon hypermarché, pour vendre du papier parfumé, ou du cassoulet, à qui n’en veut pas.
Je m’excuse, il faut également que je prenne des nouvelles de la météo locale, sur le lac d’à côté.
M. Delpla parle nuitamment des erreurs de la Résistance, c’est trop prudent pour éveiller la communauté de lecteurs. L’écrivain Jablonka a le même âge que l’auteur du jour et les mêmes intérêts (centres).
‘reusement y’a Phil, pour faire remuer la piste de danse, et nous r’passer le plat d’résistance.
On a du mal à vous suivre, vous répondez au Café de Flore à coup d’idiot utile.Pour ca il etait engagé, qu’il se soit trompé est un autre problème.
« Critique spécialisé dans les écrivains ratés, c’est un bon créneau, Delaporte ? »
Je m’étonne que les Goncourt veuillent donner leur Prix à ce profanateur de musées…
« l’enthousiasme de Delaporte pour Haeneel et Sollers fait plaisir à lire. »
Heureux de vous avoir convaincu, Paul Edel. Mais vous êtes, vous, un homme de goût !
Pour avoir fait l’amour dans un lieu public comme ce Musée de la Chasse, Haenel aurait dû être arrêté et passer devant un juge pour exhibitionnisme. Un peu de prison, ou du moins une grosse amende, lui aurait mis du plomb dans la cervelle…
@JAZZI dit: 6 septembre 2017 à 10 h 01 min
Eh bien, Jazzi, quand je vous réponds, il y a du monde au balcon. Lvdb toujours dans son papier toilette et la Pat. V dans son mépris. A plus…
twas, cricri s’est reconnue dans sa nuit au supermarché.
12h42 dis moi ce que tu écris, ce que tu défends je te dirai qui tu es? On inverse la tendance jusqu’au symétrique opposé? ça se tient, on veut toujours ce qu’on n’a pas, en amour aussi et pour les cheveux également, frisées les femmes veulent être lisses, et raides elles rêvent de boucles.
signé: maniatis .
M’étonne pas du tout cet engagement – signé- pour le mensonge. Tant qu’il n’y a pas de fusillé à la » clé », c’est moindre mal. Mais ça n’a pas toujours été le cas, hélas.
Il faudrait que tout le monde soit aussi vigilant que moi pour dénoncer les écrivains ratés sans talent, Jacuzzi. C’est un peu le rôle d’un blog, que de pouvoir dire ce qu’il en est en toute liberté d’une énergumène salace et alcoolique qui se prétend romancier et qui ne mérite que la taule. On peut vraiment dire que là, cette année, grâce à Haenel, le niveau a encore baissé, jusqu’à une putréfaction littéraire jamais atteinte, qu’annonçait cependant un déchet comme Sollers.
Ce midi je me fais des macaronis au gratin avec du Comté et des lardons.
des macarbonis pour abréger.
L’autre jour à la radio, l’épouse de Sollers expliquait sa » couronne ». Hilarant, tellement c’était pathétique.
Saint-Martin et Saint Barthélémy où j’ai des amis.
–
Ils n’avaient qu’à pas y aller, Christiane. Est-ce que je vais là -bas, moi ? Et après il faudrait s’inquiéter deux ? Un peu trop facile et toujours dans le même sens. Saint Barth se fout pas mal des inondations en Vendée, qui ont fait de nombreux morts, il y a plusieurs années.
des macarbonis pour abréger.
–
Ouais ben en attendant c’est au moins ceux-là que t’auras pas, ma grande…
Phil, accepteriez vous que je vous drague sans obligation d’achat, je m’ennuie cependant je redoute ne pas disposer de l’envergure suffisante à vous interpeller, pourriez-vous m’aider en me donnant quelques indications sur vos goûts all around the clock to explore or try all your rays .
D c’est l’ouragan le plus violent jamais enregistré et les moyens pour y parer sont dérisoires, matériel et casque bleus partis – fin de mission- 3 ambulances pour 1 million d’habitants ( pour illustration).
Ce terme plaisant de « France moisie » a toutes les chances de perdurer à notre époque où « nauséabond » suffit à remplacer la connaissance. Sollers né sous le soleil de Mauriac n’a pas été conquis par la stimulante ambiguïté du bloc-notes, ni l’auteur du jour qui choisit un roman à « clés » pour parler d’une époque que le ventre mou ignore de toute manière. A l’époque du prestigieux passou, personne n’ignorait le nom de ces personnages historiques. Combelle fut secrétaire de Gide et intime de Léautaud.
Et faudrait-il encore qu’elles soient mises aux abris qui à 12h30 étaient en cours de construction.
» A l’époque du prestigieux passou, personne n’ignorait le nom de ces personnages historiques. »
C’est bien pour cela que » Passou » a dû étoffer le roman de Ragougneau, pour lui donner de l’épaisseur. C’est bien le problème, ces pseudo-romans » dont vous êtes le héros ».
J’avais jamais entendu parler de l’alerte violette !
vous aviez prévu d’aller à la plage, dear Baroz ?
« Jazzi, mes romans n’ont aucun rapport avec l’Occupation ni avec « la France moisie ».Vous devriez les ouvrir pour le constater. »
Je les ai ouverts, lus, et j’en ai même extrait un extrait pour l’un de mes goûts, Paul Edel…
« La France moisie » n’est-ce pas le terme favori de WGG (disparu comme la petite Maylis et le grand Sergio !) pour désigner la France contemporaine ?
J’aimerais bien, Phil, mais à Paris il ne me reste plus qu’à aller au cinéma !
Jusqu’à présent personne n’a parlé s victimes, comme il y en eu de nombreuses en Vendée il y a plusieurs années. Alors ne mettez pas la charrue avant les beaufs, arrêtez votre chat et vendez la peau de l’ours quand vous l’aurez en main, ma vieille.
http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Tempête_Xynthia
59 morts en Vendée en 2010.
…alors arrêtez 2 minutes de nous les brouter avec les Antilles siouplait.
Simplement 2 minutes.
Z’aviez des amis en Vendée, Christiane ? Hein ? Quoi ? Vous savez plus où c’est?
Si on traite certains écrivains de « déchets » il faut être précis. Sollers entre -t-il dans la catégorie des déchets du grand chantier éditorial ou dans celle de déchets alimentaires de librairie ? Un simple recyclage papier de ses œuvres est-il envisageable ? Ses œuvres complètes peuvent-elles être valorisées ou recyclées sous forme de matière première combustible ou de matière à bruler? Ses derniers textes sont-ils susceptibles même de produire de l’énergie, sans risque pour l’environnement ? Enfin, s’agit -il ,dans son cas, d’un déchet industriel banal en période de Rentrée littéraire ? donc pas dangereux pour les éventuels lecteurs (catégorie DA déchet assimilable) , et qui par exemple peut être recyclé dans la construction de nouveaux immeubles genre résidences de jeunes écrivains ? ou, au contraire, fait-il partie, comme l’amiante ou les déchets radioactifs , des DD(déchets dangereux ) qui appartiennent à la liste fixée par le décret 2339 du 10 octobre 2000 ?
Dans ce cas les livres de Sollers doivent être transportés dans des conditions très précises afin d’être enfouis sous surveillance dans les cheminées de volcans d’auvergne éteints.
Il est alors évident que des jeunes écrivains ayant été contaminés par les œuvres toxiques sollersiennes, comme Haenel, ou d’autres, de la collection « l’infini », doivent se présenter d’urgence aux autorités militaires ou se déclarer au Ministère de la Santé.
« Et vous, qu’auriez-vous fait ? »
—
Question qui n’a pas grand sens. Que fait-on? que fera-t-on? semblerait plus approprié.
« The readiness is all », dit Hamlet, bien connu pour sa procrastination (on oublie le sens religieux de « readiness » du genre ‘prépare-toi à rejoindre ton Créateur’.
@D. dit: 6 septembre 2017 à 14 h 49 min
Vous êtes mou de l’Evangile, D.
Chaloux dit: 6 septembre 2017 à 9 h 45 min
Je n’ai pas compris qui vise Delpla.
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hourrah !
J’aurais dû remplir un BSDI avant de jeter mes vieux Sollers ? Mince, je savions pas.
D
Je trouve à la réflexion que M. Ragougneau a pris le sujet à l’envers. Et quel roman cela ferait. Prenons une or-dure au hasard, un opportuniste politique quelconque, ayant écrit son œuvre grâce aux œuvres des autres, né mythomane comme d’autres sont nés coiffeurs*, par exemple Oragon. Appels au meurtre, glorification du goulag et de crapules parmi les pires de l’histoire, entre autres choses, pas de copinage à la libération, une belle palette. Mais il ne se vend plus, un peu chez les scolaires, et il reste une orgie de papier imprimé Oragon dans les caves de son éditeur, Gullimar, lequel désespéré, pleurant à chaudes larmes, vagissant de désespoir, cherche une solution pour se débarrasser de ces dizaines de milliers d’oragonades (sic) qui plombent sa comptabilité. Que faire?. Surgit alors un personnage extraordinaire capable de ressusciter ce cadavre médiatique, de lui redonner des couleurs, une image avenante, une aura fréquentable, de réécrire l’histoire le temps que tout ce papier soit vendu.
Péripéties, exploration, secrets, témoignages, évaluation des forces ennemies etc.
Cette affaire ayant été rondement menée, paraitra un livre, toujours chez Gullimar, rétablissant une certaine vérité historique. Il est toujours temps pour cela.
*Une lectrice attentive me dit : »On ne nait pas coiffeur, on le devient. » J’avoue avoir un doute sur cette question.
un bsDI ? qu’est-ce ?
Depuis qu’on a annoncé la fin de l’édition sur papier n’ont jamais été édités autant de livres, le chant du cygne est papivore et toujours pas écologique.
Paul Edel dit: 6 septembre 2017 à 14 h 50 min
Acrobatie métaphorique très pertinente, Paul Edel, et définitive, pour ce Sollers-déchet radioactif qui trouve encore le moyen d’empoisonner cette rentrée littéraire par Haenel interposé !
59 morts en Vendée en 2010.
–
La Révolution plus forte qu’une tempête.
Chaloux, en cherchant sur « L’affaire Aragon » trouvé ceci qui peut donner une idée du contexte idéologique de l’époque :
http://melusine-surrealisme.fr/site/Tracts_surr_2009/Tracts_I_2009.htm#par_69
Outrage aux fromages français :
« Les supermarchés américains Whole Foods Market ont décidé d’afficher une carte de France des fromages un peu approximative dans leurs magasins. Cette carte, baptisée « Cheeses from France », prétend expliquer de quelles régions sont originaires certains fromages. Problème : la carte est truffée d’erreurs. »
La rumeur que Sollers serait bientôt pléiadisé me sidère…
On pourra bientôt dire que la Pléiade est le pot de chambre qui sert à toute la famille…
Gallimard banalise la Pléiade pour en faire un produit grand public. Bientôt, Angot, Nothomb, Musso, Assouline, etc.
Hurkhurkhurk!
Malheureusement, tout tend à devenir le pot de chambre qui sert à toute la famille. Signe des temps.
Le prochaine publication d’une Pléiade Philip Roth va hélas dans ce sens. Sollers en Pléiade, c’est comme jadis l’annonce de Hervé Bazin dans cette collection. Cela avait fait un beau tollé, notamment de la part de Gracq qui avait annoncé qu’il refuserait d’entrer dedans si cela arrivait à terme. Pour Sollers, il faudrait faire pareil, si cette nouvelle sinistre se confirme.
Ne faites pas les étonnés !
La littérature, donc la Pléiade, jadis une Encyclopédie inutilisée, ça fait bien dans le décor de la bourgeoisie nouvelle …
Personnellement, je considère qu’un pot de chambre est plus utile, en cas de besoin, qu’une étagère pléiadisée….
Ceci étant, je ne crois pas que Gallimard accepte de mettre Sollers dans la Pléiade, même si celui-ci s’y verrait bien. Ce serait d’abord une catastrophe économique, cet auteur raté n’étant plus lu du tout. Cela ferait pschittt ! Quant à l’intérêt intellectuel, il serait inexistant.
S’il n’y a pas de lumière dans la chambre l’un est aussi inutile que l’autre difficile à trouver.
Sollers a dû tourner au vert quand d’Ormesson y est entré. Quelle claque…
…
…façon de s’exprimer, en touches de traits en peintures gestuelles,…dans le modelé, sans fusion, des teintes en dégradées…
,,,
…résumer, les aplats, par des zones colorées, avec des touches brutes et simplifiées, sans détails de miniaturistes d »avant-garde, ç copier des détails,…
…
…une peinture, un art d’écrire,…sans tirer partis de ressemblance, de photo-copie-coller,!…
…en peinture, technique courante des approximations visuels,!…
…en écriture,…la lecture entre les lignes,…par des triangulations en 3D trigonométriques, pour faire » bref « ,…
…
…une autre forme de comptabilité,…
…déjà, comme , découvrir les fausses factures des maffieux complices à se faire du chiffres, par des procédés, d’avoir, toujours, tord,!…pour s’extraire des bénéfices » inventer » de duperies,…par les sociétés d’avocats, a se faire du chiffre, sur des abrutis lésés,!…en connivences, encore , autres choses, en plus, que les spoliations par » carte – Visa,!…
…à laisser courir, sur notre 1/5, saisissable,…tout faux, pour ne pas nourrir des avocats, pour rien,et leurs intrigants » camoristes » d’état, en Belgique,!…
…que çà se sache,!…
…les mafias, dans les sociétés, parastatales, du chiffre,!…du vol, du matin au soir, chercher des cons abrutis du chiffre,!…
…etc,!…faire des simulacres de dettes alors, qu’ils me doivent de l’argent, en plus, de suivez, leurs périclitations, toujours sans dommages et intérêts,!…
…
…et, ainsi, aucun, frais d’avocats complices pour se faire du chiffre sur mon dos,…
…toujours, avec, mon Van Gogh, bien au chaud,…Ah,!Ah,!…de 50 à 200 millions d’€uro, parait t’il,!…
…
…et, ils viennent m’enquiquiner, avec, des misères inventés, de moins de 100 €, qu’ils les camoristes belges, pour se faire du chiffre, que çà se sache,…
…bandes de trous de culs,…etc,…
…Ah,vous aussi,!…envoyez,!…
17 h 15, voyez cette image : une andouille sur un pot de chambre, c’est tout JC !
NOUVELLES DE L’EUROPE
« L’Espagnole de 62 ans qui voulait être reconnue comme la fille du célébrissime peintre surréaliste Salvador Dali n’est pas son enfant, a annoncé mercredi la Fondation Dali, un mois et demi après l’exhumation des restes de l’artiste. »
Un mois et demi ? Remettez DALI en terre…. et tous nos compliments à la « justice » espagnole.
Aujourd’hui j’ai appris que Delaporte baisait en pyjama la lumière éteinte. Un coup à devenir dépressif.
« une andouille sur un pot de chambre, c’est tout JC ! » (Laurent Barth)
une andouille sans pot de chambre, c’est tout Lolo !
S’il n’y a pas de lumière dans la chambre l’un est aussi inutile que l’autre difficile à trouver
noir c’est noir havec mon larbin
la Pléiade, jadis une Encyclopédie inutilisée, ça fait bien dans le décor de la bourgeoisie nouvelle …
pédro va nous la trouver bientôt a 1 € et va couiner comme un coq qu’aura pondu un oeuf..
Prenons une or-dure au hasard
ça dans une chambe noirte mon larbin tla tire par les chveux direc..comme munechozène
Comment que ça se fait que le trou du cil de Giovanni est accepté par le robot ?!
on oublie le sens religieux de « readiness » du genre ‘prépare-toi à rejoindre ton Créateur’
c’est tout pareil qu’en français kabloom..beaucoup de fusse pour rien
Personnellement, je considère qu’un pot de chambre est plus utile, en cas de besoin, qu’une étagère pléiadisée…
« les deux mon capitaine »
Nicolas, c’est intéressant mais vulgaire. On ne parle pas de ça de but en blanc.
« Aujourd’hui j’ai appris que Delaporte baisait en pyjama la lumière éteinte. »
Fausse nouvelle. Je suis chaste et pur.
Ce serait d’abord une catastrophe économique
houtre qu’c’en est hune il est temps de tassoir sur cet archaisme fétichiss dlalourde..le malin srait dla clore..pour dire qu’elle appartient à son siècle
Je n’aimerais pas, comme Dali, être dérangé pour rien, même à l’état cadavérique. La justice, là-dedans, a été un peu trop pressée, pour un résultat humiliant pour elle. Il était arrivé la même mésaventure au cadavre de Montand. Tout cela doit faire réfléchir.
en pyjama la lumière éteinte
..il a une lumière frontale à carbure..le pilou mordore..tu peux t’aligner nico
Quizz
Qui a dit : « Je te demande de détendre le calendrier et de tout mettre sur la table et n’oublie pas que nous avons des lignes rouges » ??
…et à qui ?
si au moins on havait lavé ses nosses au rhum..rapetassé son linceul..refermé l’tout havec un ramon de cochon élvé au gland..façon pédro
Pour bien me démarquer de Delaporte, que je ne suis pas, j’aime bien me faire baiser à poil avec une petite lumière rouge tamisée. Voilà tout est dit.
Qui a dit : « Je te demande de détendre le calendrier et de tout mettre sur la table et n’oublie pas que nous avons des lignes rouges » ??
Mailly à Macron. Qui s’est bien fait mettre par le président…
…D, à 18 h 07 min,…merci,!…
…
…donc, ce que j’écris est lisible,…trop heureux,!…
…
…je croyais , que j’écrivais, dans le vide, académique, de bienséance,!…
…etc,…
« Aujourd’hui j’ai appris que Delaporte baisait en pyjama la lumière éteinte. Un coup à devenir dépressif. » (Nicolas, marchand de picrates)
Delaporte est un être versatile, habile en toutes situations
– une intellectuelle ? pyjama rayé façon shoah, lumière éteinte et, en cas d’orgasme, ne pas hésiter à marmonner quelque psaumes d’un saint quelconque…
– une femme sincère ? le grand jeu ! tout nu en haut de l’armoire en passant par les rideaux type robe du soir de Merkel…
Puceau! Je l’avais bien dit.
le trou du cil de Giovanni est accepté par le robot ?!
tout dsuite il hidentifie l’homo..sapiens attation..y’a pas que baroz qu’en a hun
Pour bien me démarquer de Delaporte, que je ne suis pas
il faisait trop noir dédé..c’est pour ça
D, pourriez vous incliner votre pensée à aimablement nous dévoiler quelques unes de vos idées vespérales?
Mailly à Macron. Qui s’est bien fait mettre par le président…
–
Oui, Cher Dekaporte, et pas en pyjama. Voilà chez qui vous êtes syndiqués, camarades de FO !
Méditez longuement là-dessus. Méditez sur le mot Force puis sur le mot ouvrière. Et éventuellement tirez-en des conclusions.
D aime quand les outils sont bien huilés, j’approuve.
Quittons nous sur un constat tragique !
Syndiqué chez MAILLY : vous êtes un taré vieillot…
Syndiqué chez MARTINEZ : vous êtes un con fini…
Travailleurs, …. travaillez !
Depuis que le Nobel de littérature a été remis à ce vieux jeune de Bob Marley, je ne me passionne plus pour les délires d’auteur.
Exemple : je me secoue la mentule contre la porte d’entrée de la sacristie quant à savoir quel est le bolo qui sera sanctifié par les vieilles gloires de DROUANT …
Rien à foutre du GONCOURT.
« pédro va nous la trouver bientôt a 1 € et va couiner comme un coq qu’aura pondu un oeuf.. »
Non, le boug, la pléiade c’est une valeur sûre, avec bon retour sur investissement…
«Bihoreau à 16 h 54 La rumeur que Sollers serait bientôt pléiadisé me sidère…»
FAKE NEWS !!!
Ça m’apprendra à écouter aux portes…
Z’avez pas vu Irma ?
Il l’attend comme il peut :
« Militant écologique(*) et défenseur des océans, le milliardaire estime que le «réchauffement climatique provoqué par l’homme est un facteur clé dans l’augmentation de l’intensité de ces ouragans». «Les dégâts provoqués par (le cyclone) Harvey au Texas sont un rappel tragique et coûteux du changement climatique», insiste-t-il. »
Paris-Match
(*) Sir Richard Branson
Richard Branson esperará a Irma atrincherado en su bodega de vinos
https://heraldodemexico.com.mx/tendencias/richard-branson-esperara-a-irma-atrincherado/
Vous vous souvenez que Javier Marias est roi sur un ilot des Caraïbes ?
« Sir Richard Branson »
Un lecteur assidu de Thoreau sans doute, LVDLB !
Sir Branson est citoyen britannique.
Il doit militer à fond pour cop50.
Louis Jouvet sur la photo et, semble-t-il, à côté, Bernard Blier ? Camaraderie, simplicité, amitié, heures sombres, complicité, espoir… en somme, que de belles choses.
Qu’est-c que j’entends : quelque chose ravagerait les gentilles françaises?
A en écouter certains, l’assassin habite non pas au 21( tres bon film ce soir à la tv) et il s’appelle Sollers.. en passe d’être intronisé en pléiade. C’est une excellente nouvelle!pouvoir lire « studio » ou « trésor d’amour »(excellent sur Stendhal) sur papier bible avec commentaires, venant de la part d’un papiste gai qui aime Rome et Venise..parfait!.. et Dominique Rolin.. « la guerre du gout » est donc en passe d’être gagnée par Sollers, c’est un évènement joyeux.Tant pis pour les longues figures. J’espère qu’on publiera ses articles de Sollers sur Celine, artaud,André Breton (il est excellent sur le mouvement surréaliste…et Aragon) Marivaux, Bataille,Malraux ou Joyce, Genet, Bossuet ou Kafka, qui sont toujours d’une lecture dynamique et revigorante.
Non, c’est Antilles françaises…
Edel, vous avez consulté un Télé7 de 1974… Sur quelle chaîne?
19 h 55 la photo montre Jouvet et Blier au cours du tournage de « Quai des orfèvres »
Et puis, soyons clairs, traiter un écrivain de « déchet » comme ce fut le cas cet après midi est quelque chose de dégoutant, d’impardonnable et j’ai voulu,par l’humour, montrer l’idiotie haineuse, la bêtisé totale de quelqu’un qui ose traiter un écrivain de « déchet »? je ne comprends même pas que la modération accepte ça?!! que le patron du blog accepte ça! les buchers pour les livres brulent encore? navrant, horrible au delà de tout!
Bien entendu et la plupart l’auront compris, mon indifférence s’adresse aux touristes de St Barthélémy et St Martin en Antilles pour lesquels les désagréments seulement matériels ne méritent pas qu’on s’y intéresse.
J’adresse mon témoignage de sympathie à tous les autochtones qui vivent des moments tragiques en espérant qu’il y aura peu de victimes.
Assez curieusement, Stanislas-André Steeman a descendu dans une lettre assassine le scénario tiré de son livre.
Il est vrai que, pour etre juste, il n’y a pas de Goupi-Mains-Rouges sans Véry, ni d’Assassin habitant au 21 sans Steeman…
MC
Paul, laisse Delaporte se rêver en procureur révolutionnaire de la république des lettres, c’est sa seule minute de gloire !
Dali a vécu ses dernières années retiré dans son château de Pubol avec sa compagne, Gala, morte en 1982, avec laquelle il n’eut pas d’enfant.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/international/article/2017/09/06/pilar-abel-n-est-pas-la-fille-de-salvador-dali_5181949_3210.html#07OZKGreLFhRcebw.99
information fausse. Lorsque Gala est dcdée et a été enterrée à Puyol, Dali a essayé de vivre au château et a vite renoncé suite à un incendie qui lui a fait peur. Il était extrêmement superstitieux.
Il a fini sa vie entre Port Lligat, sa triple ou quadruple maison de pêcheurs et Figueras où il a travaillé de son vivant à l’aménagement de son teatro museo et catacombe.
Ils n’ont pas eu d’enfants parce que Gala baisait avec d’autres hommes.
Gala enterrée à Pubol
Gala fut d’abord la femme d’Eluard et la maitresse de Marx Ernst. Dali était probablement impuissant et de sensibilité homo, rose…
Gala fut d’abord la femme d’Eluard et la maitresse de Marx Ernst. Dali était probablement impuissant et de sensibilité homo, rose…
Il est incroyable que les autorités espagnoles aient pu faire droit à sa présumée fille naturelle !
« navrant, horrible au delà de tout! »
La déception de Paul Edel, qui voit une de ses tristes idoles déboulonnées, est comique à voir. Et la liberté d’expression, M. Edel, vous en faites quoi ? Sollers ne se gêne pas pour en abuser, et montrer tout le mépris hautain qu’il voue à ses lecteurs, lui l’insignifiant intellectuel maoïste !
@etalii
un mot pour vous sous l’article Herode de Nathalie cohen
…
…par curiosité,…les banques » Suisses « ,…
…
…guide de la BANQUE SUISSE et de ses secrets, Edouard Chambost, édition Balland,…1987,…
…
…déjà, banques en mains étrangères,et banquiers privés,…
…etc,…
Et puis, je rassure Paul Edel : Sollers en Pléiade, ce n’est pas du tout à l’ordre du jour. C’est plutôt l’oubli, comme celui qui frappe Paul Edel, qui sera son lot. Et oui, il y a en vérité là de quoi s’énerver et piquer une crise de nerfs !…
Mais je dois dire que c’est quand même beau, de voir cette entraide, cette complicité entre vieillards impuissants, entre soi-disant écrivains, ou ce qu’il en reste. Cela donne un bel idéal de la nature humaine, un exemple pour les jeunes. C’est encourageant ! Continuez comme cela, M. Edel, vous faites du bien au genre humain !
Delaporte, je ne trouve pas Sollers méprisant ni hautain pour ce que j’en ai lu, vu, entendu. Le petit livre rouge n’est plus sa bible depuis des lustres.
C’était ironique ; Sollers ou Onfray, voilà tout
https://www.youtube.com/watch?v=UzQ1Cpainr4
Cocksucker Blues Pt 2
https://www.youtube.com/watch?v=qayYbvrPaRI
Conformément au règlement de la communauté (L’organisation), je serai particulièrement attentif au menu de consécration du Goncourt. S’il advenait qu’échoua dans nos assiettes un ragoût d’agneau, Assouline n’aurait plus qu’à relever ses manches et le gant
Défendre Sollers comme étant un écrivain, c’est se moquer du monde.
Le pape du tout paris des lettres, je viens de le voir a eu ce mot fameux à propos du premier livre de Nothomb, en refusant de l’éditer : » je n’aime pas les canulars ». Comme il se mire partout, il s’est peut-être, très probablement même- reconnu dans ce portrait de Tach. Hilarant.
Sollers circonvolutionne beaucoup sur le cul, et il n’en sort pas. Comme son poulain Haenel, qui cherche encore sa baleine; c’est leur « infini » de la langue.
@À TWIT’ VITESSE
j’aurais fait du rock’ n roll’ buddy
https://www.youtube.com/watch?v=ZHr53NPKcmw
FAKE Dans une enquête publiée samedi, la «BBC Brasil» révèle qu’Eduardo Martins, un beau reporter dont le portrait a été relayé par de nombreux médias, n’a en fait jamais existé…
» S’il advenait qu’échoua dans nos assiettes un ragoût d’agneau, Assouline n’aurait plus qu’à relever ses manches et le gant »,
Et pour qui la souris?
Monsieur doit savoir découper une viande.
Un ami de la Fée Carabosse de Lille pourrait il lui faire savoir qu’elle n’intéresse plus que les paléontologues politiques de la Vème république ?
Stoppez la Martine ! Merci…
– ils ont échoué à l’école, à l’université, au boulot, les poulets élevés en batterie dans les quartiers défavorisés ! et vous, qu’auriez vous fait ?
– travailler ! travailler ! travailler encore… travailler plus que les autres pour me sortir du clapier.
– ah ! vous demandez l’impossible….
« Une officine de fabrication du TATP, peroxyde d’azote explosif, découverte dans un appartement de la riante cité de Villejuif. » (le Figaro)
– et vous qu’auriez vous fait ?
– juger, défranciser, expulser toute la famille des malfrats pétaradants pour amener les coreligionnaires à mieux éduquer leurs mioches …la peur est bonne conseillère.
« Deux personnes à moto ont jeté une bouteille remplir de peinture noire sur la façade de l’Institut français à Athènes mercredi 6 septembre. Emmanuel Macron doit arriver jeudi après-midi en Grèce pour sa première visite présidentielle dans le pays. » (le Monde)
J’espère qu’il ne vont pas nous l’entarter, notre Bébé Macron, comme un vulgaire BHL ces saletés de Grecs !….
Bonne journée et à demain !
JC si vous disposez de 14000 dollars vous pourrez vous offrir cette image apaisante et anxiolytique qui vous aiderait à modérer votre propos ou infléchir sa trajectoire de façon à ce que vous adoptiez une topique nettement plus en accord avec vos compétences, du moins celles que l’on vous suppose:
À propos de la mystérieuse compagne d’Agustin, je me souviens d’un livre lu vers la fin des années 90, Vita brevis. Lors d’un voyage en Argentine en occasion de la Foire du Livres de Buenos Aires, libéré de ses obligations d’auteur, Jostein Gaarder se promène dans le quartier San Telmo où, envers et contre les mille et une distractions offerte par le folklorique quartier — brocantes, artistes et musiciens de rue, bancs de babioles, livres vieux et anciens —, il entre dans une librairie et son œil tombe sur un manuscrit difficile à déchiffrer, auteur inconnu, origine inconnue, le titre : Codex Floriae. Une chose dans l’autre, Gaarder comprend qu’il s’agit d’une lettre de la mystérieuse femme que Agustin a abandonné. Enfin-bref, qui voudra lire Vita brevis le lira, même si rien n’est vrai, même si ce n’est qu’une invention du philosophe-philologue norvégien ; même si l’adaptation de l’histoire à Buenos Aires — décor aux résonances borgesiennes — semble trop bien choisie ; comme la fin de la lettre d’ailleurs, où, si mon souvenir est bon, la femme mystérieuse se souvient qu’avant de se séparer, Agustin avait exprimé le desir de sentir le parfum de ses cheveux — à ce moment on se dit qu’il y a quelque chose de malsain dans cet éloignement.
23h36 face à M Onfray, clair, précis et méthodique il est vrai qu’il paraît presque confus, on a l’impression qu’il n’a pas révisé ses arguments et il donne sans exemples bien convaincants son idée des auteurs qu’il prend à témoin. La discussion reste en surface .
Honey Ryder :
J’ajoute que j’ai peu lu Nietzsche dont la pensée aurait besoin de plus d’un trait dont l’ironie pour approche et définition mais il est vrai que l’ironie se rencontre chez ce philosophe cependant là n’est pas le plus important et peut-être faut il s’emparer de ce qui pose question ou problème, comme pour Heidegger .
renato, sur cette photo Ursula Andress ressemble à Nathalie Portman, nudité fraîche et sans apprêt .
Bonne journée et à demain !
simplet, le nain formateur part au boulot.
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Il y a quelque chose de panthéiste dans le fait de donner un nom aux cyclones, ouragans, toutes ces formations météorologiques qui dévastent. Avec Irma, voilà qu’apparaissent José et Katia, alors que cette codification occidentale puise ses sources dans le calendrier.
« A la fin du XVIIIe siècle, le besoin de donner un nom aux cyclones est apparu dès la fin du XVIIIe siècle. Jusqu’au début du XXe siècle, les ouragans qui frappaient les îles espagnoles des Caraïbes étaient nommés selon le saint patron du jour. »,
Mais les météorologistes devenus des pros, ont plus d’un tour dans leur codification :
le premier philosophe météorologiste ?
« Mais quand le vent ne peut avoir d’issue, à cause de sa densité, il tourne d’abord circulairement par la cause que nous venons d’indiquer, et il est porté en bas, parce que [371a] toujours les nuages s’épaississent dans cette partie d’où la chaleur s’échappe »
http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/Aristote/meteorologie3.htm
Jostein Gaarder est surtout connu pour » le monde de Sophie »
Kei Mogari :
le roman à clé, un petit extra, c’est pour Paul Edel et son goût du mao.
« Cette pratique de la lecture cryptée, malgré le désaveu critique, se perpétue au siècle suivant, avec des valeurs différentes. Chez Beauvoir, l’écriture des Mandarins (1954) serait à replacer au cœur du processus de passage d’une écriture fictionnelle à une écriture biographique, comme un « prélude à l’autobiographie » (Anne Strasser, « Les Mandarins, les clés pour se dire », p. 140). Pour l’auteur contemporain Jean-Benoît Puech, créateur de l’écrivain fictif Benjamin Jordane, le jeu de cryptage référentiel est un des processus qui permet de penser et de mettre en pratique la sortie, selon la formule d’Alexandre Gefen, « d’une certaine ornière formaliste symptomatique des années 1990 » (Alexandre Gefen, « Benjamin Jordane, Roman : jeux identitaires et aventures métatextuelles dans l’œuvre de Jean-Benoît Puech », p. 174), dans une démarche fortement contemporaine. D’autres auteurs, anciens « maos » eux-mêmes comme Jean et Olivier Rolin ou « cadets des soixantuitards » comme Morgan Sportès, mettent à profit les ressources du roman à clés pour explorer le gauchisme maoïste des années 1970. Il s’agit aussi bien de trouver une voie d’exploration d’un matériau récent et donc potentiellement « chaud » (souci de protection des proches) que de rendre l’authenticité d’une expérience marquée précisément par le goût du cryptage et du secret, à l’exemple de l’utilisation des pseudonymes « révolutionnaires » (Mathilde Barraband, « Organisation secrètes. La Gauche prolétarienne dans la littérature française contemporaine »). »
https://lectures.revues.org/15223
Bonne journée
à ce moment on se dit qu’il y a quelque chose de malsain dans cet éloignement
..hou ptête dans l’bouquin..ou ptête qu’elle snifait la tannerie comme keupu..c’est comme sollers qui pue telment qu’c’est un dechet..les fragrances c’est selon..dmande à polo
tarzoune y va vers d’otes lianes..
à l’instant
Renato Maestri souhaite avoir votre avis…
y’a beaucoup d’minet..ça mrappelle animalarium..dommage quça soit fini
Non, le boug, la pléiade c’est une valeur sûre, avec bon retour sur investissement…
houi..mais tsouviens tu des copins dta copine qu’avaient l’enciclopédie universaliss a la maison..si pédro en achtait hune à 1€..même mon larbin smoqurait dlui..telment y pue la tanerie
« tsouviens tu des copins dta copine qu’avaient l’enciclopédie universaliss »
Wikipedia c’est mieux, le boug. La pléiade, valeur sûre, à condition de ne pas y faire rentrer n’importe qui, n’importe quoi. Heureusement que tes larbins y veillent !
« D’autres auteurs, anciens « maos » eux-mêmes comme Jean et Olivier Rolin ou « cadets des soixantuitards » comme Morgan Sportès, mettent à profit les ressources du roman à clés pour explorer le gauchisme maoïste des années 1970. »
On a encore oublié Sorj Chalandon, c’est Bloom qui ne va pas être content !
7 h 14 : JC a écrit « saletés de grecs »… parce qu’ils n’aiment pas les andouilles, c’est clair
Hier, c’était la fête à Sollers. Qui aujourd’hui, Delaporte ?
« Et vous, qu’auriez-vous fait ? »
Moi, j’aurais fait rentrer Modiano dans la Pléiade !
Meuhnon, c’est qu’il en a marre des sandwichs.
On nous promettait une rentrée à feu et à sang. La rentrée scolaire est passée comme une lettre à la poste et la rentrée sociale semble avoir entérinée la Loi Travail ?
Tout va très bien madame la marquise !
« tarzoune y va vers d’otes lianes.. »
Son silence m’inquiète, le boug !
8 morts dûs à Irma sont à deplorer. C’est 7 fois moins qu’avec Xinthia en Vendée (2010).
Le PR et la ministre de l’outre-mer ont été mis en valeur avec la complicité des médias alors que la gestion de l’incident relève du PM et du Préfet sur place. Mais pourquoi s’étonner ?
L’heure est à présent à l’évacuation des blessés, à la distribution d’eau potable, de nourriture, de vêtements et de médicaments, à la mise en place de tentes en secteurs asséchés, à l’installation de groupes électrogènes, au dégagement des routes et rues. Tout ca est parfaitement rodé et n’appelle pas de commentaires.
Le plus difficile sera de faire bouger vite les compagnies d’Assurance qui freineront des 4 fers comme bien souvent. Et là-dessus ont pourra tabler sur l’inaction et le mutisme de l’État.
9h12 je ne crois pas Paul Edel plus maoiste que cela , Sollers comme tant d’autres appartiennent à une génération qui a rêvé d’ailleurs meilleurs, il en est revenu comme la plupart ne s’obstinant pas sur une voie de laquelle la liberté était exclue et combattue, n’excusant pas les moyens pour une fin discutable, Sollers n’est pas Badiou qui se ressert de ce vocable encore aujourd’hui alors qu’il est tari.
Sollers a commis un texte d’introduction assez subtil au livre de photographies de Gisèle Freund Trois jours avec Joyce (Denoêl, 1982).
Les joyciens français sont une denrée plutôt rare.
D, une thèse que vous lirez en moins de temps q’il aura fallu pour l’écrire:
Moi, j’aurais fait rentrer Modiano dans la Pléiade !
msouviens d’un bar de toxico par des journées de ciel bazélourd où que se négociait le volume de plaiyade soulmenteau..henfin a peine..le patron trouvant ça pitorex..le bar était fréquenté haussi par des bobo hintello un peu embrumé..naturliche..va pas croire baroz..j’y étais pasque c’était mon bistrot de quartier..tu m’étonnes qules libraire dpuis les tiennes hors de portée..
Les joyciens français sont une denrée plutôt rare
..et la moitié nsont pas sincère kabloom..havec nonos ..collette c’est plus franc du collier
lvdlb, les hommes vulnérables devant la nature et ses évènements extrêmes ne fait pas autre chose que l’enfant quand il apprend à parler, nommer la chose aide à se l’approprier, c’est le premier acte sur la chose, c’est en quelque sorte une tentative d’apprivoisement , donner un visage, une figure qui éloigne de la furie des éléments, de leur sauvagerie.
Oui je viens de la lire en diagonale, c’est assez banal et on peut s’étonner que l’auteur se contente d’une centaine de pages pour traiter d’un sujet aussi riche qui aurait mérité un développement 4 à 5 fois plus long auquel je m’attacherai dès que j’aurai 10 minutes devant moi c’est à dire pas tout de suite ni même aujourd’hui.
Autre chose ?
Le plus difficile sera de faire bouger vite les compagnies d’Assurance qui freineront des 4 fers comme bien souvent. Et là-dessus ont pourra tabler sur l’inaction et le mutisme de l’État
un état dédé comme les compagnies dassurance est une puissance intramondaine qui répond a satan..spéce d’anarchosyndicaliss du dimanche matin
un développement 4 à 5 fois plus long auquel je m’attacherai dès que j’aurai 10 minutes
..reuzment que tu te ratrapes en smaine
10h59 j’admire et envie votre vitesse de lecture, mac1? Sinon, m’aimez vous toujours?
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