Familles, je vous hais !
Un siècle et des poussières après le cri lancé par André Gide, « Familles, je vous hais ! » n’a rien perdu de son actualité. Plusieurs témoignages sous forme de récits, parus ces deux dernières années dans le fracas du scandale médiatique, en attestent : Orléans de Yann Moix, Le Temps gagné de Raphaël Enthoven, Le Consentement de Vanessa Springora, La Familia grande de Camille Kouchner… Qu’il s’agisse de maltraitance infantile, de viol, d’inceste ou de pédocriminalité, la même question revient lancinante dans ces récits, formulée implicitement ou explicitement : « Où sont les parents ? ». Familles décomposées, recomposées, redécomposées, explosées. Père parti. Et alors ? Comme si le départ, la séparation, le divorce l’exonéraient d’une présence et le déchargeaient de toute responsabilité. Camille Kouchner n’a de cesse d’interpeller ses parents : « Où étiez-vous ? ». La chronique de la vie quotidienne vue par Yann Moix, enfant martyrisé, terrorisé, humilié, est accablante pour les parents.
La famille est la vraie cible de ces livres derrière celle officiellement désignée urbi et orbi. Au-delà de la dénonciation des coupables, la famille est constamment mise sur le grill de manière plus ou moins précise ou refoulée. L’inceste, crime de lien, touche au patriarcat donc à la domination. Or qu’est-ce que ce lien sinon celui de la famille ? Elle peut détruire l’enfant qu’elle est censée protéger. La maison de vacances est l’héroïne cachée du récit de Camille Kouchner, le lieu géométrique des passions, des bonheurs et des angoisses. Sanary, maison de famille mais de « cette famille de fous ».
« Familles, je vous hais ! Foyers clos ; portes refermées ; possessions jalouses du bonheur » écrivait donc le jeune Gide dans Les Nourritures terrestres, poème en prose si l’on veut car le livre est en réalité inclassable tant il mêle les genres littéraires, a été publié en 1897 par le Mercure de France. Récit initiatique et sensuel, mêlant sensations et réminiscences, il encourageme à se rendre disponible à la vie et ouvert à la beauté du monde. Gide y invite surtout les lecteurs de sa génération à se débarrasser de ce qui les aliène à commencer par la famille. Si les Nourritures terrestres a été et continue à être lu comme un traité de vie, les tensions de notre société crispée célèbrent plutôt dans les livres de Moix, Enthoven, Springora, Kouchner des traités de survie.
La Familia grande, le plus récent d’entre eux, est une ode à une mère qui, à 20 ans, se disait fascinée par le bréviaire de Gide et n’avait de cesse de transmettre à sa fille sa passion pour ce livre. Elle l’enjoignait de « fuir sa famille », ce qui lui était d’autant plus difficile que celle-ci représentait « une sacrée bande ». Jusqu’à sa désintégration. « Liberté, liberté ! ». Tel était son leitmotiv postsoixante-huitard. Sauf que l’inceste n’est pas une liberté. Des Nourritures terrestres, l’histoire littéraire a aussi immortalisé l’injonction lancée par l’auteur à Nathanaël dès la première page : « Et quand tu l’auras lu, jette ce livre- et sors », mais moins les injonctions suivantes à sortir de sa chambre, de sa pensée… De sa famille.
Que d’absences et de silences dans ces livres à explosions, comme on le dirait d’un moteur, avec la colère comme carburant. Quels concentrés de violences enfouies dans ces récits clivants. Impossible de les toucher du doigt sans s’y couper. Le lecteur en ressort en lambeaux, à l’image des auteurs. L’empathie se paie cash. On est autant touché moralement que physiquement. Yann Moix est le seul écrivain des quatre. Pour les autres, on saura plus tard, si l’essai est transformé. Un écrivain écrit par rapport à son secret. Mais s’il mange le morceau d’emblée, que lui reste-t-il ? C’est le risque- à supposer qu’on en calcule les conséquences lorsqu’on a une masse si oppressante à extirper de soi. Alors on verra bien, une fois que le temps aura fait son œuvre et que l’on aura séparé ces livres du bruit qu’ils ont fait. Philip Roth avait prévenu :
« Quand un écrivain naît dans une famille, c’en est fini de cette famille ».
La famille, l’autre tabou, une omerta infracassable. De quoi hésiter entre deux attitudes. Soit lancer un vibrant « Familles, je vous ai ! » tel Hervé Bazin, l’auteur de Vipère au poing, à qui l’on doit ce mot de résistance. Soit paraphraser une fameuse réflexion de Cioran pour l’adapter à la situation : il est incroyable que la perspective de couver peut-être un futur écrivain n’ait jamais fait renoncer un couple à avoir un enfant.
(Édouard Vuillard, Le Déjeuner Hessel, 1899, huile sur carton, musée d’Orsay » et « André Gide en 1893, peu avant de publier les Nourritures terrestres » photo D.R.)
1 486 Réponses pour Familles, je vous hais !
j’ai résolu ce genre de tracas : je ne lis aucun auteur né après 1750.
Ah ben voilà, puck, il fallait juste commencer par nous dire que vous n’aviez pas lu Flaubert!
(c’est pour rire, puck, juste pour rire)
désolé j’ai oublié un mot : je ne lis plus aucun auteur né après 1750.
yaka lire l’article de passou : après ça devient vraiment trop le bordel.
Pas pour rire: mon père vénérait Gide, le verbe n’est pas trop fort. Quand j’ai lu, j’ai compris pourquoi il nous regardait , nous les gosses, comme des empêcheurs de vivre… A l’époque sans pilule contraceptive, on arrivait malgré les précautions, et il fallait sans doute s’attacher ma mère. Bref, la famille c’est tout et n’importe quoi. Nucléaire comme en Occident, elle est une cloche sous laquelle fermentent bien des ressentiments, mais pas que. De l’amour aussi. Tout et n’importe quoi.
pour Enthoven c’est vraiment dommage, s’il avait fait philo plutôt que littérature il aurait su que l’important ce ne sont pas les choses elles-mêmes, mais le regard que l’on porte sur elles.
ou alors il aurait eu l’occasion de lire Nietzsche genre l’amor fati, la volonté de puissance et l’éternel retour.
sérieux il n’y a que la philosophie qui permet de surmonter ce genre d’épreuves.
pas de bol il a préféré se faire prendre en photo dans les soirées mondaines, et voilà le résultat… se retrouver comme un con à faire des séances de signatures avec des beaufs qui vous demandent si ça a pas été trop toutes ces épreuves de l’existence… tout se paie cash !
JiBé non ! de grâce ! épargnez-nous ce genre de confidences svp ! sérieux on vient ici pour se marrer et là avec un commentaire vous plombez l’ambiance !
JiBé, pas pour rire : votre père aurait dû faire comme Enthoven une foultitude de gamins à une foultitude de femme différentes, comme ça on répartit les emmerdes.
Parfois, ici, on s’éloigne des livres pour entrer dans l’intime, dans la douleur de l’intime, dans la joie de l’intime.
Toutes les familles ne sont pas sources de déchirures, d’inceste, de violence conjugale, de solitude, de souffrances quand un des membres disparaît.
Il est un rêve de la famille qui parfois devient réalité et il en faut de la force et des rêves pour traverser l’Histoire, le destin, les histoires.
Beaucoup de paroles de souffrances sous le billet d’avant adressées à la famille RDL comme on lance une bouteille à la mer… Une famille d’écoute plus que de réponses car parfois il n’y a pas de réponse possible.
Il y a aussi la littérature qui questionne, ouvre une brèche dans le monde..
Je pense aux Élégies de Rilke…
Voilà qui est paradoxal, ce tableau, Le Déjeuner Hessel, ne montre personne du couple Hessel au quel Edouard Vuillard s’est pas mal mélangé.
« On est autant touché moralement que physiquement. Yann Moix est le seul écrivain des quatre. »
J’aime bien prendre cette phrase au 2eme degré. Autant par le fait de se dire » touché moralement et physiquement « , que par le fait de penser que Moix est écrivain.
Vous n’êtes pas écrivain et vous souhaitez raconter les violences et agressions intra- familiales ?
On peut vous aider :
« Ces 7 conseils pour écrire sa biographie familiale ne sont bien sûr pas exhaustifs, et vous trouverez vos propres astuces. Ce qui est important, c’est d’y penser en amont et se de préparer, afin de se libérer au maximum des parasitages qui pourraient freiner la démarche. Notez préalablement les dates et les étapes importantes, discutez et prenez des avis auprès de vos proches. Si vous optez pour le « faire écrire », le professionnel rajoutera ses outils et ses techniques pour vous aider à coucher sur le papier les grands thèmes de votre vie. Mais il vous appartiendra de choisir ceux que vous souhaitez aborder, et vous resterez le maître d’œuvre. »
https://www.ecrits-et-recits.fr/7-conseils-pour-ecrire-sa-biographie-familiale/
Eh ben alors, vous avez perdu votre » humour » ?
Tous ces écrivains potentiels, des moix en puissance 10, qui vont arriver sur le marché litteraire, avec le mensonge en moins, et la réalité en plus !
https://charliehebdo.fr/2021/02/societe/violences-intrafamiliales-y-en-aura-pour-tout-le-monde/
Pour ceux qui ont de l’humour, lire et relire l’immense Boris Cyrulnik qui a déclaré sans rire: « La famille, ce havre de sécurité, est en même temps le lieu de la violence extrême. » dans « « Les nourritures affectives »
Un effet littéraire inattendu du covid. L’augmentation des violences intrafamiliales a un niveau monstrueux.
Gendre idéal, je vous séduis et m’écrie, comblé : « Famille, je vous plais !’
@ MS, Moi, l’ai tjs préféré mon amie Sheila à tonton André.
https://www.youtube.com/watch?v=bA03c6-7M0Y
Sinon, on est bien content pour les institutions de la Republique , qu’un présumé » innocent « , comme Olivier Duhamel ait été mis hors d’ » Etat » de nuire!
Faut pas tout mettre sans le même sac de linge sale, Passou.
Répète
Faut pas tout mettre dans le même sac de linge sale, Passou.
Paul Edel dit: à
Pour ceux qui ont de l’humour
Et pour ceux comme moi qui n’en n’en ont plus du tout, d’ humour, en lisant un de ces billets freudiens,- dont on n’espérait pas grand chose à la lecture du pitch dans l’Express-, on va laisser ceux à qui ça plaît, leur roman familial des névrosés.
A un de ces jours.
@ l’immense Boris Cyrulnik
Comment doit-on prendre ce dithyrambe, PE, après la mort du minuscule Carrière ?… de l’humour ? de l’ironie ?
Au fait, il était juif ce Jean-Claude…, avait pas un brin d’humour à l’égard de Boris ?
@ MS, j’aimerais que vous m’aidiez à écrire mes violences inter-familiales sessuelles et incessueuses jamais subies, en les rendant tout à fait crédib’ ?… Voui, c très tendance, voulez-vous être ma négresse à défaut de ma partenaire pltqmt incorrèque ? Suis sûr que vous écrivez mieux que Moix… Hein !… & je paie bien !
@ D., J’ai la même nappe rouge chez moi que celle du tableau. Et les mêmes miettes de pain.
Que mangez-vous ce soir ?
@& je paie bien !
Il faudrait déjà aligner les zéro, et ça m’étonnerait que tu ailles assez loin.
Grosse vorace ! 🙂
« L’empathie se paie cash. »
Ah, ça c’est sûr. L’empathie, des fois en « litterature », ça veut dire: complicité, compromission.
C’est que M. Pivot doit ruminer tous les jours, en pensant à Matzneff. Et a la pauvre Denise, invitée pour se faire lyncher.
Sinon, Gide, c’est bien celui qui faisait du tourisme sexuel, et pas que dans dans les colonies- de vacances- non ?
Le père Vuillard c’est pas ce qu’il a fait de mieux, ce gribouillage, hein, renato ?
@ invitée pour se faire lyncher.
ou bombarder, putôt ?…
Il ne faudrait pas réduire Gidassa !… A ce bombardement constant, il avait pas violé sa fille, quand même, d’une, et il payait bien les petits zarabes de deux, comme Floflob les fillettes en égype.
Passer de la prose de Gide à celle de Moix est l’étrécissement littéraire qui convient aux danseuses de carmagnole à jupes relevées
Regardez comme cuilà est beau en comparaison.
www.http://i.pinimg.com/originals/f6/b2/d7/f6b2d7ec424bdaab4bf6eb58a61240ba.jpg
Dommage que Passou n’ait pas updaté son billet sur la » grande famille » en regard des « révélations » apparues, re- apparues , concernant » la mère « , Evelyne Pisier.
Je ne vais pas remettre en lien, tout ce que j’ai déjà posté sur ce » personnage « , mais c’est limite une faute, de ne pas signaler ses livres.
Gide écrit comme un pied. On ne peut même pas dire un gai pied.
@ aux danseuses de carmagnole à jupes relevées,
…MS, on la reconnait nettement à droite sur la photo du fig-mag. Bien sûr, faut l’avoir connue de près, ou pouvoir la zoomer…
https://www.lefigaro.fr/culture/2014/11/13/03004-20141113ARTFIG00212-le-moulin-rouge-bat-trois-records-mondiaux-de-french-cancan.php
« Le lecteur en ressort en lambeaux, à l’image des auteurs. »
Mon pauvre Passou, vous êtes trop sensible.
Je vous dis cela, car il me semble que vous vous mettez dans un état minable pour rien.
Prenez l’exemple de personnes qui ont gardé une dignité dans l’épreuve : Madame Gee, » Victor », et combien d’autres.
J’aime pas quand Marie Sasseur fait de l’humour, c’est lourd !
J’ai bien l’honneur de ne pas faire rire les « amateurs » de petits garçons et petites filles.
« Floflob les fillettes en égype. »
Le vent devient mou, d’un coup.
Paul doit écrire une lettre à mademoiselle Leroyer de Chantepie, la pauvre, abusée à ce point.
Les grandes familles
« Le roman reçoit le prix Goncourt au troisième tour de scrutin face à Vipère au poing d’Hervé Bazin (une voix) et Le Temps des rencontres de Michel Zéraffa (une voix)[1]. »
J’aimerais, si on me le permet ici, revenir sur les relations entre Flaubert et sa mère comme clé explicative de la relation quelque peu ambiguë, sexuellement parlant bien sûr, entre Bouvard et Pecuchet.
Or donc Flaubert et sa mère… hein ? on me le permet pas ?
c’est sûr ?
non ?
bon d’accord !
c’est de la censure…
Sasseur !!! fais comme moi ! laisse tomber tous ces écrivains nés après 1750 et lis donc Swift, Rabelais et Marc Aurèle ! ça va te relaxer les neurones.
Oui, je laisse tomber.
J’ai des lectures en retard.
@ les « amateurs » de petits garçons et petites filles.
Je suis persuadé qu’il n’y en a pas sur cette chaine. Faudrait peut-être arrêter de prendre ses désirs pour des réalités, et de jouer les m’as-tu vue misanthropes et misogyne ?
Quand on n’a pas l’humour, ou l’humour lourd, anéfé, et pas d’amour,… reste la pitié (dangerous)… pas vrai, Edith de Kekesfalva ?
(de la neige au Finistère ?… attention, Paul !)
Non je n’ai aucun humour à partager avec des pédérastes, pédophiles, et pedocriminels.
Et aucun humour non plus a partager avec un gros naze, préposé à la circulation sur ce blog.
Phil dit: Passer de la prose de Gide à celle de Moix est l’étrécissement littéraire qui convient aux danseuses de carmagnole à jupes relevées
»
hého mon gars faudrait enfin entrer dans la post modernité et le mélange de l’aïl et l’eau kultur.
fini les p’tites soirées mondaines mon dirfilou !
JJJ,
J’ai beaucoup apprécié les conseils que vous avez donnés à Rose (et les mises en garde) sur le fil précédent. La douleur la rend imprudente…
« J’ai des lectures en retard. »
Les têtes se gondolent !
« Laissez venir à moi les petits enfants »
Pédocriminel Jésus, sainte Marie Sasseur ?
La tafiole ferait mieux de s’occuper de ses » copines ». Il y en a une en instance d’internement.
leitmotiv postsoixante-huitard.
On est une bonne quantité à avoir passé la cinquantaine d’années sans les voir!
quelle élégance, tudieu, quelle élégance!
je m’adressais à la soeur, bien sûr( que nul ne veut pour soeur, bien sûr…)
Jazzi dit: Pédocriminel Jésus, sainte Marie Sasseur ?
»
pas grave : nous mourons pour pardonner ses péchés.
La jibe doit également se sentir un peu fautif, dans ce qui arrive à sa sœur rose. A ne pas confondre, comme je l’ai fait, avec la sœur marie des roses, pourtant tellement proches, géographiquement, mais y’a pas photo.
A bientôt les vieux vicieux, keep cool, et ne vous approchez pas des enfants.
sans compter que Jésus voulait même faire entrer un chameau dans le chas d’une aiguille !
j’imagine même pas la tronche du chameau quand on lui a dit ça.
maltraitance animalière passible de prison, voire même de crucifixion dans certains pays subissant la pression des lobbies de la spa et de la fondation Brigitte Bardot.
Sasseur faut toujours que vous cherchiez la baston !
prenez exemple sur les autres, regardez j’ai eu une discussion des plus courtoises avec Mr Court et Paul Edel sur Flaubert, et des plus enrichissante.
@Sasseur faut toujours que vous cherchiez la baston !
Tu l’as dit. Un plaisir de réduire façon
puzzle votre » grande famille » de cocus.
c’est dans Saint Mathieu, je cite :
« il est plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu et je m’en vais vous le prouver ce pas, qu’on m’apporte un chameau et une aiguille à coudre! »
oupss je me suis tromper en recopiant, je cite (Saint Matthieu 19-23) :
il est plus facile à un riche de passer par le chas d’une aiguille qu’à un chameau d’entrer dans le royaume de Dieu et je m’en vais vous le prouver de ce pas : qu’on m’amène un riche et une aiguille à coudre ! »
avec une variante dans la traduction Louis Segond : « il est plus facile à un riche de passer par le trou d’un chameau qu’à une aiguille d’entrer dans le royaume de Dieu. »
Le petit Rémi de Sans famille aurait réchappé à l’enfer. Oliver Twist et Pip aussi…
Voilà qui validerait la thèse de Papa Sigmund sur le roman familial selon laquelle l’enfant se choisit des parents de substitution, parce que les siens sont trop nazes. Il avait pas mal compris la vie, le Viennois à la pipe qui tue.
Marthe Robert a écrit un livre important sur ce thème dans la littérature, que tout le monde connait.
Avoir des parents, pire que d’en être dépourvu?
Sans famille, je ne vous ai pas, je ne vous hais pas. Déjà ça de pris…
They fuck you up, your mum and dad.
They may not mean to, but they do.
(…)
-Philip Larkin, This Be the Verse
il existe encore une autre traduction : « il est plus facile à Dieu de passer dans le chas d’une aiguille, qu’à un riche d’entrer dans le royaume des chameaux ».
oui, il n’y a que le p’tit Poucet qui était assez con pour mettre des cailloux pour pouvoir revenir dans sa famille.
Perche saisie.
We’re A Happy Family by Ramones
We’re a happy family
We’re a happy family
We’re a happy family
Me mom and daddy
( 2X )
Sitting here in Queens
Eating refried beans
We’re in all the magazines
Gulpin’ down thorazines
We ain’t got no friends
Our troubles never end
No Christmas cards to send
Daddy likes men
Daddy’s telling lies
Baby’s eating flies
Mommy’s on pills
Baby’s got the chills
I’m friends with the President
I’m friends with the Pope
We’re all making fortunes
Selling Daddy’s dope
Sitting here in Queens
Eating refried beans
We’re in all the magazines
Gulpin’ down thorazines
We ain’t got no friends
Our troubles never end
No Christmas cards to send
Daddy likes men
We’re a happy family
We’re a happy family
We’re a happy family
Me mom and daddy
( 10X )
Crumb
https://biblioklept.org/2010/05/06/adam-eve-robert-crumb/
J’ai essayé modestement de fonder une modeste famille ; de cela aussi, on m’a arraché. Car le si bien écrit article de notre hôte occulte cependant une vérité : c’est que l’absence de famille est encore plus douloureux que sa trop grande présence… Ma mère, quand nous nous plaignions, nous les petits, avait ce mot ironique : « tout le monde n’a pas le bonheur d’être orphelin ». Je disais « oui », candidement, tant j’exécrais mes insupportables frères et soeurs. Ce ne fut que bien plus tard, et quand j’ai rencontré une vraie orpheline (avant d’en devenir une moi-même), que j’ai saisi le rire intérieur de ma mère, qui le savait, elle, qui le savait bien : que rien n’est pire que la famille, sinon de ne pas en avoir.
Frères humains qu’il a dit le pendu …
Clopine ou les Infortunes de la Vertu! ( encore un né après 1750 et que Flaubertt avait lu….)
Seule, ma soeur ne fait point partie de la « grande famille » des cocus de l’herdélie.
Croyez-moissa…, l’est sans familia grande, telle l’Hector Mulot moyen.
l’absence de famille est encore plus douloureux que sa trop grande présence
comment appelle t on cette figure de style déjà, DHH ?… qui n’appelle pas une concordance (en « douloureuse »)…
Ai toujours trouvé que l’enfant unique n’avait rien de comparab’ en son malheur avec l’enfant orphelin, ni avec l’enfant d’une famille nombreuse… Le sort le plus enviable ? deux orphelines. Personne n’est jamais content… La meilleure solution était pourtant de ne point « fonder de famille », histoire de réparer son propre malheur, seule solution imparable pour ne faire qu’empirer la situation de reproduction… Quand comprendra-t-on qu’on a bonne mine avec 7,9 miards de connards pédophiles sur la terre (+ ma soeur), ast’heure ? A la nichte !
Pour en finir avec les problèmes de traduction, bien qu’il est bien connu être très con de vouloir partager ses perles avec les pourceaux, mais comment pourrait-il y en avoir ici ? Alors: Il y avait, à cette époque reculée à Jérusalem, une porte dédiée à la circulation des caravanes qui s’appelait « la porte du chat de l’aiguille ». Elle était si étroite qu’il fallait pour permettre le passage des chameaux que ceux-ci soient, préalablement délestés des cargaisons qu’ils avaient sur le dos.Ensuite seulement, ils récupéraient leurs chargements. Voilà!^^
À Bethléem ds l’église de la Nativité, il y a aussi une porte basse.
C pour apprendre l’humilité.
Le chas de l’aiguille sûrement
Clopine
Intéressante ironie.
Je ne hais pas ma famille. Pas même mon père.
Pour moi, le travail a été le lieu de l’épanouissement, celui où j’ai pu virer toutes les chaînes. Bouclées par la famille.
Ai fini Spizner, Une affaire si facile, qui est une affaire de famille.
La sororité là trouve sa place, inédite et incompréhensible.
Martine la dite assassine. Pas Brigitte.
Martine.
Fallait pas avoir si peur.
Francis Spizner, d’une plume légère, deesse ce portrait de la Justice, la loi, les magistrats, la taule, avec le bel éloge du métier d’avocat, dans sa grande complexité.
Clopine, l’a bien eu de la chance de be pas participer.
Vais l’offrir à l’avocate de ma mère. Une femme formidable.
Hier, suis allée à l’Ehpad, à 15h30.
J’avais rv à 11h30.
Visites fermées.
Sont en vase clos.
Ai rencontré direct la dirlo.
Sorte d’exaltation, comme les infirmières au bloc en face des grands blessés de guerre.
J’lui ai dit » vous suivez tout de très près ».
M’a répondu « Oui, je suis H 24 ».
Souriante, heureuse, déterminée. Formidable.
Tout mon contraire.
Alors, j’lui ai dit qu’j’allais me faire vacciner pour protéger ma mère, le même qu’Olivier Véran AstraZénéca.
Puis je lui ai donné les pâtes de fruits et les pralines pour les résidents du moins 1. L’était ravie et un p’tit sac pour ma mère avec des revues et plein de p’tites boîtes avec des surprises. Du fil bleu marine, la bobine et l’aiguille enfilée pour que ma mère redasse l’ourlet de son pantalon bleu marine.
Hier soir, on ne lui avait pas donné.
J’ai demandé l’autorisation de voir ma mère.
Elle m’a dit oui derrière la fenêtre. Mais le kiné faisait marcher les résidents un par un. Alors, on a marché ma mère le kiné au milieu et moi à gauche dans le oarc de l’Ehpad.
Jeune kiné adorable. M’a dit qu’il changeait de blouse à chaque résident. Que pour les aides-soignantes c’était difficile pck elles travailles tte la journée avec blouses et masques c fatigant. Ma mère aussi avait un masque. Moi aussi.
Chui repartie.
124 bornes.
Chui pas une sainte et pas formidable mais je fais ce que je peux pour l’accompagner et elle était si contente de me voir.
Elle en parlait depuis deux jours que j’allais venir la voir.
Ma mère recouse. Elle m’avait dit emmène-moi ça. C la première fois qu’elle demande quelque chose.
En tout, je l’ai vue entre dix mn et un quart d’heure. L’avait mis son joli pull rose.
Clopine
c’est que l’absence de famille est encore plus douloureux que sa trop grande présence
Je me le demande vraiment.
L’absence de famille fait que l’on se bat pour pallier.
La famille c le truc qui vous enterre vivant. Vous assomme, vous abat, vous rabat-joie.
Janssen J-J
La meilleure solution était pourtant de ne point « fonder de famille », histoire de réparer son propre malheur, seule solution imparable pour ne faire qu’empirer la situation de reproduction…
Être orphelin m’a tjrs paru être un drame.
Aujourd’hui, je trouve que se reproduire est un pari risqué.
Jamais je n’ai songé à fonder une p’tite famille, avoir un p’tit mari tout ça, mais, depuis l’âge de seize ans, avais eu cette envie tenace d’avoir des enfants.
Aujourd’hui, j’me dis que c’était peut-être l’enthousiasme de ma mère devant ses enfants et l’amour qu’elle nous portait, mais quand je constate le résultat, l’enthousiasme est douché. Salement.
In fine, je n’ai pas fondé de famille.
puck dit: à
oui, il n’y a que le p’tit Poucet qui était assez con pour mettre des cailloux pour pouvoir revenir dans sa famille.
**** 😅🤣😂🧍😅🤣😂
puck dit: à
c’est dans Saint Mathieu, je cite :
« il est plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu et je m’en vais vous le prouver ce pas, qu’on m’apporte un chameau et une aiguille à coudre! »
puck dit: à
oupss je me suis tromper en recopiant, je cite (Saint Matthieu 19-23) :
il est plus facile à un riche de passer par le chas d’une aiguille qu’à un chameau d’entrer dans le royaume de Dieu et je m’en vais vous le prouver de ce pas : qu’on m’amène un riche et une aiguille à coudre ! ».
Puck
Trop drôle !!!
Et ma mère qui m’a demandé le fil et l’aiguille hier !!! La vie comment elle se déroule !
Bonjour, Rose,
Heureuse de vous lire.
Les familles ? Elles se métamorphosent avec le temps et nos souvenirs parfois sont bien différents du présent. Certains êtres ne sont plus là, d’autres se sont éloignés, de nouveaux visages apparaissent et nous-mêmes n’avons plus les mêmes attentes. L’accompagnement de nos anciens est souvent source d’inquiétude… On ne voudrait que de la douceur, que du bien-être pour eux mais il faut faire face aux imprévus et la maladie, la fragilité sont parfois à contre-bonheur…
Paris est froid de neige. Des empreintes de pas sur le trottoir et ce bruit aquatique des pneus des voitures
Où sont les oiseaux ? Pas un chant pour fêter le lever du jour. J’aime beaucoup votre pseudo…
Le paradis est sous la plante des pieds des mères.
Le Coran
Merci christiane
J’m aussi mon pseudo 🤗
Pour Raoul et Puck :
https://toutpoursagloire.com/le-coin-du-traducteur-un-chameau-dans-une-aiguille/
je suis très sceptique sur les mobiles des personnes qui essaient d’interagir avec d’autre familles que la leur pour s’y caser
d’autres
Enfin ! les bien informés savent que le dromadaire passe mieux par le chas d’une aiguille que le chameau — empêché, lui, par la deuxième bosse ; c’est comme chez le chat : si les vibrisses passent tout le chat passe. Pour les riches deux possibilités : la voie de velour des jésuites ou adhérer au calvinisme — bon il est vrai que cette possibilité implique une éthique du travail plutôt emmerdante, mais mieux ça que se transformer en dromadaire.
Info expo :
Fred Boissonnas et la Méditerranée
Une odyssée photographique
Au Musée Rath, Genève
25 septembre 2020 – 28 mars 2021
Ou le catalogue, aux Éditions de La Martinière.
« une éthique du travail plutôt emmerdante »
Auriez-vous le goût de la paresse, renato !
« Le paradis est sous la plante des pieds des mères.
Le Coran »
Et pas sous les couilles des pères, rose ?
« je suis très sceptique sur les mobiles des personnes qui essaient d’interagir avec d’autre familles que la leur pour s’y caser »
Des problèmes avec votre belle-mère, et alii ?
Ce sont les technologies de la communication, situées désormais au cœur de la sociabilité juvénile, qui contribuent à affecter ce rapport au temps en précipitant le désir d’immédiateté. Ces jeunes – les « digital natives », nés avec Internet et grandissant dans une culture numérique, disposent d’un fort niveau de connexion et jouent un rôle privilégié dans les apprentissages de leurs grands-parents. Dès lors, ils deviennent des « agents de socialisations » de leurs aînés, notamment dans les activités les plus technologiques, pour lesquelles, dans certains milieux, leur compétence surpasse celle de leurs aînés.
C’est que l’on appelle la « socialisation ascendante », « la socialisation inversée », ou encore la « rétro-socialisation », des notions qui rendent compte de ce changement de sens de la transmission.
https://theconversation.com/quand-les-enfants-apprennent-les-ecrans-a-leurs-grands-parents-154658?utm_medium=email&utm_campaign=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%2010%20fvrier%202021%20-%201858218109&utm_content=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%2010%20fvrier%202021%20-%201858218109+CID_fe880f1fb7b1a8bcfbcf76783816e32a&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=le%20numrique%20transforme%20les%20interactions
Oui, Renato, très amusantes les suppositions de cette exégète de la bible !
J’aime beaucoup les entrechats de Puck et les vôtres.
Que pensez-vous de cette scène de famille peinte par Vuillard. Très japonisante, très feutrée. Les membres de cette famille ont, semble-t-il, autant à se dire que les personnages de Hopper !
Le père lisant le journal, la jeune mère berçant l’enfant, l’aïeule ayant sans doute préparé le repas. On se croirait dans la méthode de lecture Boscher ! (http://www.delplanche.be/boscher_fin.pdf)
« L’inceste, crime de lien, touche au patriarcat donc à la domination. Or qu’est-ce que ce lien sinon celui de la famille ? »
Un peu réducteur le théorème à Passou : Famille = patriarcat = domination = inceste.
unnom de famille; un air de famille; une pension de famille
« L’absence de famille fait que l’on se bat pour pallier. »
Facile à dire quand on est actif, en bonne santé et que l’on a une vie sociale bien remplie !
Des millions de personnes, y compris des jeunes qui n’ont pas la chance d’être « populaire », comme on dit aux USA, se morfondent dans une solitude atroce, passent Noël seul dans leur cuisine, sans parler des vieux qui crèvent tout seul et que l’on retrouve un mois plus tard…
« C’est que l’on appelle la « socialisation ascendante », « la socialisation inversée », ou encore la « rétro-socialisation », des notions qui rendent compte de ce changement de sens de la transmission. »
Ce n’est pas d’aujourd’hui, c’est une vieille fonction anthropologique: les jeunes aident les anciens à intégrer les nouvelles techniques, on a des sources là dessus qui datent de l’Antiquité. Par contre, cette transmission de savoir des jeunes vers les vieux s’accompagnait jusqu’ici de la transmission des vieux vers les jeunes, et celle-ci paraît attaquée (la notion s’appelle le jeunisme…). Je vois beaucoup de jeunes indifférents aux savoirs des plus vieux, figés et fixés qu’ils sont à leurs écrans de monomaniaques.
Les capacités cognitives de ces jeunes là sont singulières, à vrai dire…Michel Serre s’en réjouissait, désireux de ne pas passer pour un vieux con, mais perso ça me laisse perplexe.
« Un peu réducteur le théorème à Passou : Famille = patriarcat = domination = inceste. »
oui Jazzi, bien d’accord avec vous: déjà, de quelle famille parle-t-on? (bon, ok, nucléaire et occidentale) Et ensuite, c’est faire fi de tous les désastres liés aux mères abusives (par exemple)
Tous le monde a lu Lafargue, Jacques — enfin, je suppose.
Cela dit, je ne travaille que dans les limites du necessaire.
…La famille nucléaire étant le lieu où les femmes peuvent le plus se « venger » de leur situation d’inféodée dans le patriarcat.
Dans les sociétés à famille étendue, où l’on vit sous le même toit ou dans une même ‘enceinte’, les combinaisons sont d’autant multipliées. Pour mon amie Feryal, à 14 ans, ce furent les visitations du tonton, du gentil tonton, « dada », comme l’appelle affectueusement en bengali. Ah, dada…!
(Première d’une mini-série sur les saintes familles d’Asie du Sud).
famille d’accueil
« Cela dit, je ne travaille que dans les limites du nécessaire. »
Et selon mon désir.
Mais comment se fait-il que je sois le seul à être traité de paresseux, ici, renato ?
…de même que la « famille recomposée » offre un joli panel de situations nouvelles, avec d’autres perspectives. Ce n’est pas pareil d’être abusé par son papa (voir Festen) ou par son beau-papa, et encore différent si maman se tait ou si elle prend parti.
Les policiers, avais-je entendu, dans le cas d’abus, se tournent toujours vers « le meilleur ami de maman » et ça marche à 90%.
Sans parler de tous les traumas sans abus physiques.
Ah, revoir Festen…
@ rôz // In fine, je n’ai pas fondé de famille.
Mais si je ne me trompe, avez mis au monde ou adopté une fille aimante, admirative de sa mère. Quand même, vous n’avez pas tout perdu, voilà une grande consolation, je trouve. Votre visite d’hier semble vous avoir fait du bien…, on sent que vous avez retrouvé votre calme et un peu de Baume-en-province (sic). Votre journal d’ehpad m’est toujours émouvant, j’admire votre manière de le construire au quotidien. Je ne peux guère en dire qu’une chose : on y sent une magnifique patte de narratrice orphelinée. Originale, elle vous fait passer par des multiples sensations répulsives et attractives. On rit et on pleure… Elle active grave notre imagination en alerte maximale… Sûrement à l’insu de la plume brute, qui ne semble pas chercher l’effet ou l’artifice. Et s’il y est, eh bin, moi, je le le vois pas, et je m’en tape…
Quand je retombe, épuisé, sur des querelles de sens à donner au contenu d’une lettre de Flaubert à Louise Collet, (& pourquoi pas ?), je me dis que l’Herdélie vit dans une pluralité de mondes, d’où hélas, D. s’absente souvent pour mieux contrôler le blog à distance.. Alors, ne reste plus qu’à s’accrocher à ceux qui croient habiter le même. Plaisante absurdité qu’une rivière borgne.
– Pour rebondir sur un autre commentaire de je ne sais plus qui… Je tiens à préciser n’avoir jamais cherché à m’immiscer dans aucune famille. – Quant au slogan du titre du billet passoulien, j’aimerais quand même préciser que les djeunes générations ne peuvent évidemment pas s’y reconnaître, à supposer même qu’elles se soient souvenues de la formule d’Albert Gidre (sic). Après tout…, elles n’ont guère connu que des familles monoparentales ou des familles recomposées (terminologie jargonnante de la science démographique actuelle). Du coup… un slogan qui leur parlerait mieux serait : 1ère famille, je te hais, 2e famille, je t’aime… Ou cet autre : je te hais ma mère, mais dis-moi qui est mon père… Ou bien : pourquoi devrais-je supporter ta copine, ma mère, c’est pas ma belle-mère, et mon père était pas d’accord… Etc. Enfin bref, un nouveau nuancier ou camaïeu pour les futures fri-Gides de la famille, par d’autres coqueluches…
Par association d’idées matinales, je pense à ce pauvre Lionel Duroy (récemment découvert), qui connut tant de tristesse au mode avec sa folle de mère et son pleutre de père, au mitan de ses 11 frères et soeurs. Qui fut sauvé de son désespoir de vivre par l’écriture. L’écriturrrrrrrrrrrrrrrrre et le bricccccccccccolage pour monter des bibliothèques.. Mais qui, -et c’est pour moi totally incompréhensib’-, accepta de faire des gosses avec deux ou trois de ses conjointes successives (du genre d’MS), qui tinrent absolument à « partager sa vie » (explique-t-il)… C’est l’opinion de leurs enfants adultes qui m’importeraient, peut-être écoeurés par tout ce qu’il put balancer de ses vies de famille… On aurait peut-être de nouvelles révélations croustillées… Le récent résumé de sa vie de merdre (dans « l’homme qui tremble »), je ne saurais trop où le fourguer dans l’assortiment des quatre épinglés par Passou. Je dirai juste une chose à la matière principale de ce « drôle » de romancier : Duroy peut prétendre au titre d’écrivain (à fuir), Moix (à ne fréquenter, en aucun cas).
Bàv,(10.2.21_9.37)
De Vuillard je préfère ça :
On fuit sa famille pour aller aussitôt en créer une autre !
Cherchez l’erreur ?
@ jzm, parce qu’on vous imagine bien ressembler à ça, voyons dhonc !
Aï, aï, aï (pour les crucibervistes – sic)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paresseux
Bàv,
Très beau choix, Renato, les couleurs se juxtaposent jusqu’à rendre presque illisible la scène représentée qui devient fête de la couleur.
Oui, Jibé, « Festen » est on ne peut plus d’actualité !
https://www.bing.com/videos/search?q=Festen+film&docid=607991267536142593&mid=A3F678FC14FFB1430408A3F678FC14FFB1430408&view=detail&FORM=VIRE
« Quand un écrivain naît dans une famille, c’en est fini de cette famille ».
mon cousin du côté « paternel » rêva d’être écrivain ;l’épouse de son oncle -le vieux juif de la famille qui avait tant refusé de se marier avant la guerre-
détestait la mère de ce cousin, le tout en mêlant des histoires de la guerre, de conversion-peut-être des fabulations de cette épouse qui convoitait l’héritage et fit faire un testament en sa faveur à son époux, testament que j’ai trouvé à la mort de la dite épouse qui ne l’avait pas présenté au notaire!- mon père me demandait, chaque fois qu’on allait le voir, « téléphone à ta tante, cette soeur qu’il adorait-je téléphonais bien sur, et c’est de cetta soeur que j’ai appris l’histoire de famille de mon cousin-devenu avocat- et son oncle « le vieux juif »!
j’ai trouvé un poème de mon cousin qui s’était épris de ELIANE AMADO Valensi, ce qui l’ a surement aidé
ce cousin avait changé de patronyme, ce que fit son père après lui; pas « son oncle » , le vieux juif qui était très content d’avoir gardé son nom de famille juif, qui est le mien !
Éliane Amado Levy-Valensi, née à Marseille le 11 mai 1919 et morte à Jérusalem le 10 mai 2006, est une philosophe et psychanalyste française.
Née Levy-Valensi, Éliane passe son enfance à Marseille où elle suit les cours de religion du grand rabbin de Marseille. Elle déménage ensuite avec ses parents à Saint-Mandé, dans la région parisienne, au cours des années 1930.
Elle rejoint en 1940 avec sa famille Aix-en-Provence et emménage dans une propriété de Célony. Elle termine sa licence à la faculté de lettres d’Aix-en-Provence. Après ses études de philosophie, elle épouse l’avocat d’affaires Max Amado en 1942. Sa mère, née Edma Allatini, est déportée à Auschwitz par le Convoi n° 77 du 31 juillet 19441. Elle est l’amie de Francine Bloch avec laquelle elle correspond2 régulièrement tout au long de leur vie. dixit wiki
Jazzi dit: à
On fuit sa famille pour aller aussitôt en créer une autre !
Cherchez l’erreur ?
On espère faore mieux et c pire alors on devient des solos
Janssen J-J
Trop bien vu les nouvelles familles mononucléaires.
Je reviens vers vous.
Dois vider une cave.
L’intéressante chronique économie du 13 juin était titrée « Il est plus facile pour un chameau… ». L’auteur cite, très justement, le chapitre (12)* et les paragraphes de l’Evangile de saint Matthieu (23 et 24) que chacun peut consulter avec profit. Mais… Matthieu écrivait en araméen, langue de toute la région, idiome officiel de l’empire achéménide. En araméen, chameau s’écrit brzbne et se prononce « goumla », un mot qui est très proche, graphiquement et vocalement, de corde. D’où une possible confusion par un traducteur. Il est plus que probable que Matthieu comparait le fil qui entre dans le chas d’une aiguille à une corde et non à un chameau… Si la confusion n’est pas dangereuse pour la compréhension, elle est tellement répandue qu’il m’a semblé intéressant que les lecteurs du Monde en soient informés.
voyez le commentaires
https://www.lemonde.fr/blog/correcteurs/2010/07/01/la-corde-et-le-chasmeau/
Nos civilisations occidentales brillantes sont passées de la famille ancienne à la pseudo-famille nouvelle ! Virtualité sans intérêt, chargée de dissimuler le fait que tout le monde est de plus en plus seul, se construisant des familles nouvelles bêtes à pleurer !
pour le fautes de frappe,orthographe , ou de coeur,sur le blog, on peut prendre modèle sur les suisses sans faire poubelle:
Exception faite de ces « contraventions poétiques » que les Bibliothèques municipales de la ville de Genève ont proposé à chacun de rédiger, façon agents de surveillance de la voie publique.
Extrait de livre, d’un poème, quelques vers, une simple citation… Il est possible de signer le message, ou non, avant de l’envoyer par un mail ou à partir d’un formulaire.
orthographe ?
Simon Vouet, ou Simon Voüet, né le 9 janvier 1590 à Paris où il est mort le 30 juin 1649, est un artiste-peintre français.
« Je vois beaucoup de jeunes indifférents aux savoirs des plus vieux, figés et fixés qu’ils sont à leurs écrans de monomaniaques. »
Dans un livre récent, le préposé à la traduction ou à la relecture a remplacé Linder par Kinder. Qu’un jeune n’ait pas entendu parler de Max Linder je comprends. Mais cette « kinder surprise » aussi idiote que le confit d’oie (au lieu de confie-toi) chanté par le personnage joué par Fernandel dans François 1er a eu pour resultat un classement direct dans la poubelle
ROSE
Renée Lebas » tire,tire l’aiguille » » laï,laï,laï
https://www.google.com/search?q=TIRE+TIRE+L4AIGUILLE+CHANSON&oq=TIRE+TIRE++L4AIGUILLE+CHANSON&aqs=chrome..69i57j33i22i29i30.26963j1j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
« Nos civilisations occidentales brillantes »
Toi aussi tu as sodomisé tes fils, JiCé ?
« La famille au lendemain de la Seconde guerre mondiale était exclusivement basée sur l’unité d’un couple de deux parents de sexe différent, liés par une relation stable, assurant la reproduction et l’éducation des enfants. Elle perpétuait un ordre patriarcal fondé sur la primauté économique et morale de l’homme adulte, seul décideur et responsable dans le couple (les femmes n’avaient d’ailleurs pas non plus la majorité politique, n’ayant pas eu le droit de vote avant 1945). Toutes les formes atypiques de sexualité, de procréation ou de filiation qui n’entraient pas dans la norme étaient rejetées dans la clandestinité. »
Extrait du dossier de la revue Balises.
« Toi aussi tu as sodomisé tes fils, JiCé ? » (Jazzi)
Comme tout le monde, mon ami, on prend ce que l’on a sous la main.
Et toi ? tu as sodomisé les tiens ?
Les homos, comme moi, ne sont pas incestueux, JiCé. Une chose que Marie Sasseur ne peux pas me reprocher !
@ MS et autres enragées…, Il faudrait lire de la vraie littérature de temps à autre, dût-elle choquer votre moralisme anti spasmo-pédophilique… Je m’étonne que, sauf erreur, personne n’ait encore mentionné le traumatisme du violent dépucelage que subit le jeune Goffette à 11 ans… Sans doute parce qu’il ne crut jamais devoir porter plainte contre la Monette… et qu’il préféra faire de cette expérience une biographie romancée…
(voici l’argument de babelio : *Un été autour du cou » (2001), relate l’histoire d’un petit garçon de 11 ans, Simon, séduit puis abusé par une odalisque d’une quarantaine d’années, la Monette, pulpeuse, délicieuse, à la voix rauque, « aux seins d’opéra » et « aux lèvres carmin », finalement terrifiante, particulièrement perverse, qui joue avec l’enfant comme un chat joue avec une souris. Ce qui aurait pu être une douce initiation à l’amour se révèle un calvaire physique, moral, qui fait basculer l’enfance du côté des adultes, sans ménagement, l’espace d’un été, avec l’impression d’une corde au cou. À une certaine pudeur, dans le style comme dans le récit, à quelques souvenirs d’école et de famille empreints de nostalgie, parfois drôles, enrichis d’anecdotes (propres aux années cinquante et soixante, telles que la Famille Duraton ou les grandes heures de Zappy Max), s’ajoute, se mêle, en un tourbillon nauséeux, une violence (contenue) des mots, des gestes. Qui laisse abîmé, démuni, avec un sentiment de gâchis vaste, celui d’une jeunesse démolie, dont le ressort est resté cassé, définitivement…). Non, ce n’est pas vraiment l’histoire du… Blé en Herbe, ni de Gabrielle Russier, hein !…
https://www.babelio.com/livres/Goffette-Un-ete-autour-du-cou/36649
https://www.babelio.com/livres/Goffette-Un-ete-autour-du-cou/36649
« La famille au lendemain de la Seconde guerre mondiale »
Vieux modèle qui a volé en éclats à partir de ce moment-là, malgré le ciment des religions, Paul. D’abord avec la généralisation du divorce, puis, l’action des féministes ou des mouvements homosexuels des années post soixante-huitardes.
Depuis, avec le mariage pour tous, on assiste à un retour vers un modèle de famille new look : recomposée, monoparentale, parents du même sexe…
A nouvelle famille, nouvelles haines en perpectives et nouvelle littérature…
Les homos, comme moi, ne sont pas incestueux, JiCé.
—
Pas si sûr, les couples homos peuvent adopter des enfants…
IVG a également porté un coup fatal à la famille traditionnelle.
C’est drôle, MS ne signale jamais ce roman autobiographique de mon ami le poète belge Guy Goffette. Sans doute parce qu’il n’a jamais cru devoir porter plainte contre la Monette sur les réseaux sociaux… Croyez-moi, ce n’était pas le blé en herbe ni l’histoire tragique de Gabrielle Russier, hein… !
__________
(argument résumé dans le babalio)* Un été autour du cou (2001) raconte l’histoire d’un petit garçon de 11 ans, Simon, séduit puis abusé par une odalisque d’une quarantaine d’années, la Monette, pulpeuse, délicieuse, à la voix rauque, « aux seins d’opéra » et « aux lèvres carmin », finalement terrifiante, particulièrement perverse, qui joue avec l’enfant comme un chat joue avec une souris. Ce qui aurait pu être une douce initiation à l’amour se révèle un calvaire physique, moral, qui fait basculer l’enfance du côté des adultes, sans ménagement, l’espace d’un été, avec l’impression d’une corde au cou. À une certaine pudeur, dans le style comme dans le récit, à quelques souvenirs d’école et de famille empreints de nostalgie, parfois drôles, enrichis d’anecdotes (propres aux années cinquante et soixante, telles que la Famille Duraton ou les grandes heures de Zappy Max), s’ajoute, se mêle, en un tourbillon nauséeux, une violence (contenue) des mots, des gestes. Qui laisse abîmé, démuni, avec un sentiment de gâchis vaste, celui d’une jeunesse démolie, dont le ressort est resté cassé, définitivement)…
Nextéfouchtralala… !
« les couples homos peuvent adopter des enfants… »
Sur le papier, Bloom. Mais dans la réalité c’est déjà difficile pour les couples hétéros !
Le plus simple est de les faire soi-même, par insémination artificielle ou en ayant recours à une mère porteuse. Ce que font les couples homos les plus fortunés…
JiCé aurait adoré se faire violer par la Monette, JJJ !
Il va en rêver…
@C’est drôle, MS ne signale jamais ce roman autobiographique
Non, le boursouflé, on n’a pas les mêmes » amis ».
Je préfère le karaoké, à l’occasion, en forçant le trait, avec plein de noir sur les yeux.
J’ai un copain basque en couple homo qui a adopté un enfant dont les parents étaient africains. Je n’ai pas l’impression que cela ait été plus difficile que pour d’autres amis hétéro qui ont adoptés deux bébés vietnamiens au siècle dernier…particulièrement gratinée, l’administration vietnamienne!
les géniteurs, plutôt que les parents…
C’est drôle, personne n’a cité ce roman drolatique de Nobel Doris Lessing, « les grands- mères », qui a été adapté au cinema, perfect mothers.
http://vilainefifi.canalblog.com/archives/2013/04/17/26924186.html
Jazzi. bien d’accord avec toi.
ON PARLE DE SYNDROME D ‘ALIENATION PARENTALE SAP
VOIR LA TOILE
BONNE JOURNEE
Plus facile d’adopter… à l’étranger, Bloom. Et pourtant, il y a pleins d’enfants accouchés sous X et abandonnés en France. Les couples homos dans ce cas non pas la priorité.
Tu oublies la pilule JB, fondamentale, plus importante que l’IVG, qui se pratiquait déjà depuis des lustres. Le divorce n’était pas non plus une nouveauté, même s’il est devenu beaucoup plus courant.
A quoi rêve Marie Sasseur !
Vu le film à sa sortie. Gentillet, sans plus…
https://www.bing.com/videos/search?q=perfect+mothers+film&docid=607990318309377464&mid=728889B648D5E4D10B2C728889B648D5E4D10B2C&view=detail&FORM=VIRE
La tafiole n’aura pas non plus mes « rêves « .
Qu »il garde ses sinistres cauchemars, la merde qu’il a dans la tête, ce malfaisant, malade de jalousie.
rose & vivianne
Merci à vous, pour les rectifs et compléments d’info. Cette interprétation du « chas de l’aiguille » je la tiens d’un curé jésuite.
closer, dans mon enfance, très peu d’enfants de divorcés parmi mes camarades de classe. Aujourd’hui, c’est le contraire. Peu de gens toujours mariés ou en couple dans mon entourage !
« malade de jalousie. »
Pour des rêves rances d’une éternelle frustrée, vous rêvez, ma pauvre Marie, personne n’en veut ici !
Aux grands maux, les grands remèdes
Familles, je vous hais !
lassouline toujoursà faire lantisémite distingué qu’il dirait jicé milner
J’en ai ras le bol de me faire spamer par ce demi- débile, analphabète, que la jalousie rend baveux de haine, et qui a pour mère de tous ses vices, l’oisiveté.
« Je préfère le karaoké, à l’occasion, en forçant le trait, avec plein de noir sur les yeux. »
On a retrouvé la vidéo de Marie Sasseur !
https://www.bing.com/search?q=dalida%20travesti&FORM=ATUR02&PC=ATUR&PTAG=ATUR03RAND
himmagine..himagine no hell below kabloom..imagine above djeust ze sky et dirfilou en angelot en tutu..but i am dze only one
Ici, pardon Marie
https://www.bing.com/videos/search?q=dalida+travesti&docid=608055593171290599&mid=93C8A9D9758BB320428793C8A9D9758BB3204287&view=detail&FORM=VIRE
et qui a pour mère de tous ses vices, l’oisiveté
c’est un peu filoché comme feu le figmag..
Vazy, le clébard, chante donc.
S’il y a un constat qui relativise toute cette pourriture qu’ il essaye de répandre sur ceux dont il n’arrive pas à la cheville, il est clair: Pas de descendance. Ouf !
Que d’absences et de silences dans ces livres à explosions, comme on le dirait d’un moteur
la litterature comme une course de cote..c’est diesel qu’on hassassine qu’il dirait dirfilou
Pas de descendance. Ouf !
havec dla thune il srait père dune fameuse nombril..mais voilà il est trop faignant..sauvé par le gong baroz..toujours
Bouguereau, i’m not the only one. y’ A anguille sous le rocher. La blonde c’est Sasseur, la rousse , une autre parmi les autres
trés belle table de vuillard..évidemment l’esthète dira que c’est un effet de perspective mais le kilo de rouge fait au moins un jéroboam..cque c’était que la puissance de la peinture..
« Pas de descendance. Ouf ! »
Oh, Marie, si tu savais !
Diverse, variée et affectueuse descendance…
Ton unique fils, qui a fui au loin, après son père, doit faire piètre figure à côté
https://www.bing.com/videos/search?q=marie+si+tu+savais+johnny&docid=608050782880402804&mid=1C2A914B8D26258210EE1C2A914B8D26258210EE&view=detail&FORM=VIRE
AUJOURD’HUI,je supporte mal toutes ce histoires de violence et de « haine » (si c’est de la haine!)dans les familles ,après ce que j’en ai eu à connaître , y compris de la « comédie »du « pardon » pour ces violences parce que cela me semble irresponsable et grever lourdement l’avenir des enfants qui en sont les otages;
Les clébards se sont donnés rdv, en meute ils surmontent leur veulerie.
Je n’ai plus rien a dire sur ce bouquin de C. Kouchner et de Springora.
Il faudra y revenir au moment des procès, Passou.
Solution pour n’importe quelle situation :
https://pbs.twimg.com/media/Etz3JhFXUAULYEI?format=jpg&name=small
ces histoires
surement ya rénateau qu’y aurait préféré un crane en tôle havec driping à la sauce niocmam pour déhillustrer sa cuisine haméricaine au pti déj..c’est la vie comme hon dit a oxford
Ce que font les couples homos les plus fortunés…
voilà baroz..on veutbien prende la thune mais surtout surtout bsolument faire croire qu’on s’est fait tout seul..hach lhindividualism
Il n’y aura pas de procès Olivier Duhamel ou Richard Berry. Il on déjà eu lieu en place publique et les supposés coupables condamnés …
https://www.bing.com/videos/search?q=jeane+manson+une+femme&view=detail&mid=E3FAAB2593F06207063FE3FAAB2593F06207063F&FORM=VIRE0&ru=%2fsearch%3fq%3djeane%2520manson%2520une%2520femme%26FORM%3dAFWFCC%26PC%3dAWFD
Dernière minute :
« Affaire Olivier Duhamel : Frédéric Mion, le directeur de Sciences Po Paris, démissionne
Il a annoncé qu’il quittait ses fonctions après les révélations sur le fait qu’il avait été mis au courant, depuis deux ans, des accusations d’inceste portées contre le politologue. »
Une foultitude de démissions devrait suivre puisqu’il parait que tout le monde savait !
De mémoire, cette interprétation du chas de l’aiguille comme porte remonte au moins à l’époque de Daniel-Rops.
D’entrée de gamme le crane ou plus élaboré, bouguereau ?
ça avait déjà commencé plus tôt, la Marie toujours en retard d’un train !
« Elisabeth Guigou, proche d’Olivier Duhamel et Présidente de la Commission sur l’Inceste depuis le 10 décembre 2020, a été vivement critiquée et poussée à la démission. »
si j’étais né dans un lebensborn jsrais ptête patronne de bar tabac loto press qelle dirait renfield..je boirais des bières je mangrais des wurst..chienne de vie quil dirait polo
« Où sont les parents ? ».
j’ai connu des enfants confiés parleurs parents à une
« famille » dont la femme ,déjà aïeule tabassait pour un oui ou pour un non:or cela pouvait être regardé comme un « échange » ; l’enfant allait au soleil, à la mer, faisait du bateau (ce que ses parents ne pouvaient lui offrir avec la même libéralité)
mais « à qui profite » quand c’est contre des coups à l’enfant et des injures au repas, ou pour des courses mal faites , comme je l’ai vu, et que l’enfant accepte tout?
Et ce n’est pas terminé.
« Marc Guillaume, l’ancien secrétaire général du gouvernement, a admis avoir été informé à deux reprises du cas Olivier Duhamel. D’abord en 2018, laconiquement, via le directeur de Sciences Po, puis en 2019, au club Le Siècle. Mais devant le démenti de Duhamel, rien n’a bougé. »
On n’est pas des coyotes. C’est toujours ça, des chacals( caux?) c’est encore mieux.
la Marie toujours en retard d’un train !
une déjtséteuse en mode avion baroz..tu suis pas
J’ai décidé de tirer ce chalutier par le fond. Aidez moi!
« Tel était son leitmotiv postsoixante-huitard. Sauf que l’inceste n’est pas une liberté. »
Extraordinaire Passou, réussir à faire l’ellipse !
D’entrée de gamme le crane ou plus élaboré, bouguereau ?
casteli léo he said ‘nimporte quoi..mais en $’
Jean Veil, fils de panthéonisés, est le prochain sur la liste…
ça fait désordre dans la République !
la république qui défend le droit de chacun de faire ce que la loi n’interdit pas n’a pas pour devise travail famille patrie baroz
Heureusement que des journalistes pensent à présenter les illustres inconnus incestueux. Un mal qui atteint toutes les strates. Bien sûr dans ces sombres cieux il fallait aussi des étoiles.
« Tel était son leitmotiv postsoixante-huitard. Sauf que l’inceste n’est pas une liberté. »
A la limite, on pourrait conclure que E. Pisier a poussé au moins un de ses enfants dans le lit de O. Duhamel.
Voyez Passou, des ellipses comme ça, c’est hyper risqué.
Extraordinaire Passou, réussir à faire l’ellipse !
..français..hencore un effort qu’il dirait donatien..dans l’état dnature que t’es avec tchita tu n’entends rien mais rien au haut fourneau de lestoire térezoune..c’est ton charme..un peu hairy qu’il dirait dirfilou
Tu vois ducon, at the time je viens d’expliquer que l’ellipse, mal maitrisée, a vite fait de devenir une calomnie, pour taire le nom du seul et vrai coupable.
Why ?
Bon, c’est pas le tout, je dois partir.
10/02/2021, 14h30
Avec Marie Sasseur, pas besoin « d’ellipse mal maitrisée’ pour passer à la calomnie…
C’est ça, dégage !
Ah ça c’est pas demain la veille que je vais me laisser spamer par une raclure.
Bonne suite.
> Décès de Denis Huisman
J’avais zappé. Avec son collègue Verges, le pendant philo de Lagarde et Michard
> La merveilleuse démesure d’Alejo Carpentier
Passionnant
>Jazzi, à propos de mon « article » sur L’anomalie
J’ai pris pour règle de ne pas dévoiler (on dit spoiler chez les djeuns) l’intrigue. Cela écourte mon texte. Mais je me doute bien qu’il y autre chose, le manque d’approfondissement des personnages, le manque de recul du à une insuffisance de références culturelles …
> Ellipses : mon regretté prof de français de Chaptal, M Fournier qui en rendant mes copies me disait : « en philo, vous aurez de la concurrence ». Il maitrisait l’ellipse comme Kepler.
quelle misère. La génération Kinder est bien aux commandes, tous ces charlots ne comprennent rien à Linder, Le voyage d’Urien n’embarque pas les low cost.
Amatrice de chansons débiles et de têtes de gondoles d’actualité, la Marie Sasseur prétend avoir de la culture.
Aujourd’hui, entre deux ragots, elle lance à la cantonade « perfect mothers », adapté d’une longue nouvelle de Doris Lessing. Un film calibré pour cougars de plus ou moins 50 ans. Digne, formellement d’un téléfilm et moins sulfureux dans le fond que le « Souffle au coeur » de Louis Malle (1971), avec la superbe Lea Massari.
Science pot-de-chambre? Clystères et bouges de gônes…
J’ai refusé de bizuter les hypokhâgne de Chaptal quand j’étais en khâgne. Ce n’était pas méchant (leur grimer le visages et les envoyer vendre des rouleaux de PQ gare St Lazare toute proche) mais le principe me dégoûtait.
Même chose quand j’ai cubé…
Toute cette merde déversée par la tafiole, qui ne lit rien, pille tout, et se permet de donner un avis sur tout,
pour un roman que j’ai lu à l’occasion de la nobelisation de Doris Lessing ?
Se lit très vite, pourtant. Et drôlement bien écrit/traduit.
Pierre Vallier, ancien directeur du Dauphiné Libéré grand copain de mon père, décédé en octobre 2020, je ne savais pas
Je n’ai lu qu’un seul roman sur l’inceste, sur les abus sexuels infligés par un père à son fils, The Dark (1965)(L’Obscur, Livre de poche), de John McGahern, un des plus géniaux écrivains irlandais de la seconde partie du 20e s.
Le livre fut interdit lors de sa parution, McGahern perdit son poste d’enseignant à Dublin et dut émigrer en Angleterre. Beckett lui proposa de l’aider à monter un procès contre la censure, mais l’auteur des Huitres de Tchekhov laissa pisser le mérinos. Il revint quelques années plus tard pour travailler dans une ferme et écrire une œuvre sombre et puissante.
L’Irlande n’a jamais manqué d’écrivains pour dénoncer ses multiples turpitudes, en prenant de véritables risques dans un pays où dominait sans partage une Église catholique meurtrière, peuplée de nonnes sadiques, de prêtres pédophiles et de prélats fascisants à l’instar du Cardinal John Charles McQuaid, qui sévit pendant 30 ans à Dublin. C’est lui qui mena la charge contre le grand écrivain.
Ces temps sont révolus, heureusement, et la dictature du prélatariat est bel et bien une chose du passé.
L’art de McGahern, lui, est intemporel.
Passou a aussi fait l’impasse sur Angot.
A re- écouter ici, magistrale :
« la dictature du prélatariat »
Soleil vert, dans votre critique de ‘L’Anomalie » j’ai surtout vu qu’en matière de science fiction vous touchiez votre bille et j’ai appris en vous lisant. Là, pour moi est l’essentiel dans nos échanges, ici.
Pas comme avec MS qui s’assoit, auto satisfaite, devant le miroir de la RDL et passe son temps à dire : « Je suis la plus jeune, la plus belle, la plus intelligente, la plus cultivée de ce blog » et qui mord qu’en on ne lui renvoie pas tout à fait la même image…
Misère de misère !
Joli, Bloom !
Et puis signaler » my absolute darling », succès incroyable, ignoré sur la rdl; là, le pere abusif, fin lettré et très écolo, n’est pas piqué des vers, et le Tal(l)ent est doublement au rdv, car rien n’est concédé aux voyeurs, dans ce choix de narration.
https://gallmeister.fr/livres/259/tallent-gabriel-my-absolute-darling
Dear Bloom, L’enfant de Choeur Etiemble et Le petit ami, Léautaud, la lignée Gide pour ceux qui savent lire;
Le souffle au coeur, Malle a chargé la mule pour attraper le train de la nouvelle vague, dear baroz. La Massari a beau battre du cil en causant de la poitrine comme Ardant, c’est raté. pédo inceste zoophilie, excès.
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