de Pierre Assouline

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La République des livres
Faudra-t-il protéger Kafka des kafkaïens ?

Faudra-t-il protéger Kafka des kafkaïens ?

Après tout, qui sait si la perspective de l’imaginer un jour ensevelie sous une montagne de commentaires et d’analyses n’a pas fait renoncer Franz Kafka à publier son œuvre… Son ami Max Brod, à qui l’on doit de la connaître, ne l’a pas vraiment formulé ainsi, et même pas du tout ; mais au vu des rayonnages de bibliothèques consacrés dans de nombreuses langues à la dissection de ses écrits, rien n’interdit de le penser. Ces temps-ci encore, la kafkalogie déborde en librairie.

S’il est un champ bien labouré, c’est celui-ci ; aussi se permet-on d’être exigeant avec les nouveautés. Non que l’on attende quoi que ce soit d’inédit sur sa vie qui remette en question notre intelligence de l’homme. On retrouvera certainement encore des lettres, des photos, des documents mais l’essentiel est là, le décor est planté. Tout se passe au niveau des interprétations. Elles sont ad libitum, d’autant plus que la notion même de contre-sens n’a aucun sens. Tout est permis, et s’il y a bien une doxa, il n’y a pas de vérité supérieure car la doxa est fluctuante. Au-delà du cercle des experts internationaux encartés, chaque lecteur a sa lecture, et beaucoup tiennent à ce que cela se sache. Passons sur le moins intéressant : le Kafka (traduit de l’anglais par Nicolas Weill, 240 pages, 19,50 euros, Seuil) de Saul Friedländer. L’historien israélien, connu pour ses travaux sur le nazisme et la solution finale, a mis à profit sa parfaite connaissance de l’allemand et ses origines pragoises (1932) pour relire l’œuvre de Kafka à la lumière d’un prisme exclusif ; celui-ci est exposé dans le sous-titre figurant sur la couverture : « Poète de la honte », formule enflée, lapidaire, insatisfaisante et d’ailleurs incomplète, le sous-titre de l’édition originale précisant « The Poet of Shame and Guilt ».

Il le ramène en permanence à sa haine du corps, sa honte sexuelle, ses pulsions homosexuelles, ses fantasmes sado-masochistes, son goût pour un pouvoir fort à travers son culte pour Napoléon…. On le lit, on s’accroche et on se lasse de cette réduction d’une des œuvres les plus universelles qui soient, l’une des rares qui dominent le XXème siècle littéraire ; on se demande pourquoi il s’est embarqué dans cette galère dont il n’arrive pas à sortir, fût-ce « un petit essai biographique ». Si telle était l’ambition avouée, il valait mieux renoncer. Tout cela parce que le père de Saul Friedländer a lui aussi étudié le droit à l’université Saint-Charles avant, lui aussi, d’être conseiller juridique dans une compagnie d’assurances ; parce que sa mère s’appelait Elli comme la sœur aînée de Kafka ; et que les trois sœurs de l’écrivain ont péri dans un camp comme les parents de Friedländer. Au fond, ce livre nous en apprend davantage sur lui que sur Kafka.Franz_Kafka_colourised_by_dontforgetfrank

Autre déception, mais d’un autre niveau : le chapitre « La mystérieuse contrée », consacré à la structure du Château, dans La Description du malheur (Die Beschreibung des Unglücks, traduit de l’allemand par Patrick Charbonneau, Actes sud), recueil d’essais critiques de W.G. Sebald. On s’étonne déjà de trouver ses vues sur Kafka dans ses réflexions sur la littérature autrichienne telle qu’elle s’est incarnée à travers les œuvres de Stifter, Schnitzler, Canetti, Bernhard, Handke… Sebald les réunit sous la bannière de la transgression des limites, ce qui prend tout son sens dans une société dont la culture renferme un malaise qui lui est propre : elle fait de la critique d’elle-même son propre principe. Mais qu’il s’agisse de l’impression que Kafka s’est ingénié à éliminer les indices trop évidents susceptibles de mener au sens de ce qu’il avait écrit, ou du château de Nosferatu survolé par des corneilles dans le film de Murnau comme dans le Château, on ne lit rien de neuf sous le regard pourtant admiré de W.G. Sebald (le recueil date de 1985), on repart vraiment déçu surtout si c’est pour aboutir à un lieu commun : la mystérieuse contrée où K. est conduit et d’où nul voyageur ne revient… C’est peu dire que tout cela manque d’humour, de cet humour qui devrait être le sens premier de « kafkaïen » et qui ne l’est pas comme chacun sait. L’adjectif, victime de son succès, est si galvaudé qu’il ne désigne même pas une forme ou une sensibilité, mais un aspect complexe de la réalité marqué par l’absurde, l’inquiétude sinon l’angoisse. (voir ici les aventures de l’adjectif en anglais, « kafkaesque », et ce n’est pas triste non plus).

Alors passons aussi. On en apprend davantage dans un petit livre qui ne se pousse pas du col : Sept méditations sur Kafka (Kafka y el Holocausto, traduit de l’espagnol par Gersende Camenen, 224 pages, 21 euros, Arcades/ Gallimard).  Alvaro de la Rica nous invite à déchiffrer cette œuvre à partir des cercles concentriques qui la configurent : le mariage, la Loi, la victime, le pouvoir, la métamorphose, la révélation. Entré dans cette spirale de sens dans ce qu’elle peut avoir de plus sinistre, le lecteur n’en est pas moins aspiré par le haut dans un abîme ascendant. Nul n’est assuré in fine pu décrypter les lois de cette dynamique circulaire mais qu’importe. Au vertige de la lecture du texte de Kafka se superpose celui de son interprétation, et il devient difficile de les séparer dans notre souvenir. C’est dire si les intuitions de cet essayiste espagnol sont fécondes, contrairement à celles de Friedländer qui nous laissent sur le quai.

J’avais gardé le meilleur pour la fin : Kafka (378 pages, 39 euros) des Cahiers de l’Herne, publié dans la forme et l’esprit de la célèbre collection créée par Dominique de Roux, sous la direction de Jean-Pierre Morel et Wolfgang Asholt. Ces deux spécialistes avaient codirigé, avec Georges-Arthur Goldschmidt, le colloque international de Cerisy « Kafka après « son » siècle » en août 2010 ; nombre de textes sont dérivés des interventions à ce type de rassemblement de semblables qui ne s’adressent qu’à eux-mêmes dans un langage, avec des références et sur un ton, qui ne donnent pas toujours envie de forcer la porte. A quoi ce gros ouvrage apporte le plus brillant des démentis car sa lecture en est vraiment passionnante quoi que l’on sache de cette œuvre ou que l’on ignore de cet homme. On pourrait le diviser en deux au-delà des nuances de l’imposant sommaire : ce qui est acquis et ce qui est encore en discussion.

Kafka s’y trouve bien « dans son jus », ses textes, avec notamment des extraits de sa correspondance et de son Journal, que les maîtres d’œuvre ont eu la bonne idée de confier à Olivier Mannoni afin qu’il en propose une nouvelle traduction, susceptible d’engager une nouvelle lecture, tant elle met en lumière la vigueur de la langue, l’audace des images et les constructions souvent surprenantes de l’écrivain. De quoi donner, tant de l’homme privé que de l’écrivain, « une image plus discrète et plus policée » selon Jean-Pierre Morel. Une autre originalité a été de convoquer des kafkaïens que l’on entend rarement, à savoir des metteurs en scène de théâtre ou de cinéma qui ont à se colleter à leur façon avec ses mots et ses situations ; car on apprend toujours à l’écoute des créateurs qui se sont mis dans son sillage tant son génie irradie.

Brod et kafka photo sagi bornsteinLa richesse et la densité de l’ensemble sont telles qu’elles sont irréductibles à un simple compte-rendu. Il faut y aller voir, s’y perdre par sauts et gambades, car il n’est pas d’interprétation qui dans ses pages n’ouvre d’autres portes à partir d’un autre point de vue, même si certaines analyses ployant sous les références sont particulièrement absconces. On aimerait suggérer à leurs auteurs d’inscrire au-dessus de leur table de travail en lettres de néon la boutade de Freud : «Parfois un cigare est juste un cigare ».  On aimerait tant protéger Kafka contre l’emprise délirante de certains kafkaïens ; mais, en l’absence de moyens coercitifs efficaces, on s’en remet à la puissance et à l’énergie de cette œuvre qui a montré qu’elle était capable depuis près d’un siècle de résister aux pires assauts.

Mais il n’y en a pas que pour les universitaires puisque parmi les grands anciens, on retrouve Brecht, Benjamin, Döblin, Schulz, Borges, ainsi que plus récemment Starobinski, Handke, autant de contributions auprès desquelles celles de Gide, Breton, Camus, Genet, Barthes font pâle figure. Vertu de l’interprétation dès lors qu’elle donne envie de retourner à la source. C’est le cas dès la première partie, qu’on ne lâche que pour (re)lire La Colonie pénitentiaire, parabole universelle et allégorie à grande échelle, en ayant cette fois à l’esprit les analogies de la situation (le bagne, l’île de la relégation etc) avec celle de l’ex-capitaine Dreyfus. De quoi s’agit-il au fond dans cette longue nouvelle écrite en 1914 ? De la capacité de l’homme à rester à sa place. De sa peur de ne pas être en règle. Frédérique Leichter-Flack la résume ainsi :

« Jusqu’où peut-on laisser torturer, et même impassiblement regarder torturer, quand on n’a rien d’un bourreau et tout d’un citoyen respectable et éduqué ? Plus de quarante ans avant le premier protocole de Milgram, Kafka répond sans hésiter : on peut rester et regarder jusqu’au bout. Et surtout, il nous montrer comment et pourquoi c’est possible, en nous installant au plus près de cette zone grise, aux frontières de la psychologie et de la morale, où se décide le choix de ne pas intervenir »

Inutile d’aller très loin pour y être confronté : tout lecteur peut être plongé demain dans ces affres en prenant le métro, le Rer ou le train et en étant le témoin d’un acte barbare, paralysé par son impuissance, pressé de s’interroger sur les effets qu’il aurait à subir de son intervention avant même de s’indigner de la situation. Le kafkaland est un no man’s land. L’ennemi y est sans nom, la menace d’autant plus pesante qu’elle est invisible et indéterminée. Le mot « juif » est pratiquement absent de cette fiction traversée de part en part par ce que l’intranquillité de l’Europe centrale pouvait alors avoir de profondément juif. Dans un texte inédit en français datant des années 80, Stéphane Mosès propose une exploration lumineuse de la relation entre Gershom Sholem et Franz Kafka, ce même Scholem qui avait coutume de dire à ses étudiants dans les années 30 que pour espérer comprendre la Kabbale, ils devaient commencer par lire Kafka, notamment Le Procès (à écouter ici en feuilleton mis en ondes sur France-Culture)… Il est vrai qu’à ses yeux, cette œuvre, relue à la lumière du Livre de Job entre autres, était dans son ensemble marquée par la possibilité du Jugement divin, et que c’était même là son unique sujet ! Thomas Pavel précise : « la Providence et l’autorité morale individuelle ». A ce propos, Stéphane Mosès met en lumière un paradoxe intéressant :

 « L’œuvre de Kafka reproduit sous une forme sécularisée, c’est à dire sur le mode de l’absence et de la négativité, les grands thèmes de la vision du monde kabbaliste ; on comprendra alors comment la référence aux formes de l’univers kafkaïen peut, à son tour, mettre en évidence le rôle de la négativité dans la tradition mystique du judaïsme ».

Au passage, on compatit avec tous les traducteurs, depuis Alexandre Vialatte, qui ont eu à affronter les pages de Kafka et à se creuser les méninges pour rendre en français des idées si marquées par l’humus mitteleuropéen, notamment l’Unheimlichkeit, dérivé de l’Unheimlich freudien : « inquiétance » plutôt qu’« insolite », certes, mais le néologisme écorche encore les oreilles… On s’en doute, l’allemand de Kafka est une question essentielle, la langue ayant été défigurée par le lexique nazi (voir le magistral LTI de Viktor Klemperer). Elle l’a été par la suite mais pour certains, ce jargon l’habitait déjà de longue date, comme s’il lui était consubstantiel. Commentant ses métamorphoses dans un entretien (mai 2014) bien dans sa manière, Georges-Arthur Goldschmidt, qui a notamment traduit Le Procès et le Château au début des années 80, y revient en prolongeant le débat :

« Hölderlin, je m’en étais exalté et j’avais fait mes odes comme tout le monde (l’une a même été publiée en allemand dans une revue française), j’ai assez bien connu Pierre Bertaux et ses beaux travaux sur lui, mais désormais l’écoeurement me saisit à la pensée que la philosophaille parisienne pétainiste et heideggerolâtre s’en est emparée. Devenu préfasciste entre les mains de cette clique philosopharde qui ne sait pas une syllabe d’allemand, il ne sert plus que comme objet de prédication aux écolo-nazis franchouillards du boulevard Saint-Germain et je ne puis plus l’aborder qu’avec une certaine défiance »kafka2

Faudra-t-il un jour protéger Kafka des kafkaïens ? On n’en est pas là. Maurice Blanchot prévenait dès 1945 que la vraie lecture de Kafka restait impossible car, selon que l’on s’en tenait à l’histoire racontée ou que l’on s’en tenait à sa signification, on était dans l’opacité ou dans l’obscurité, mais jamais les deux à la fois car ces deux types de lectures ne se rejoignaient jamais. Pas très encourageante. Dans La Tradition cachée (1944), Hannah Arendt assurait quant à elle que Kafka exigeait tellement de son lecteur, il lui demandait de déployer une telle activité dans l’ordre de l’imagination, il attendait tellement de lui qu’il soit le co-créateur du livre, qu’il éliminait ainsi les trois-quarts du public, notamment ceux qui avaient l’habitude de s’identifier au héros, de lire pour se dépayser, d’entrer dans la fiction par curiosité pour d’autres mondes.

A quoi un George Steiner s’oppose en voyant dans les inventions de Kafka pour le Proçès « un tour de force irrésistible en matière d’imagination et de quête métaphysique et religieuse » ; il va jusqu’à considérer son entreprise de fiction comme le blasphème réussi de la Torah qui l’a tant nourri.  Aux yeux de la philosophe, seuls les lecteurs se trouvant dans un état particulier dû à leur condition ou aux circonstances, à la recherche d’une vérité sinon d’un absolu, avaient une chance d’accéder au sens profond du roman de Kafka. Mais n’est-ce pas le cas à chaque fois que l’on se trouve face à un chef d’œuvre artistique et qu’il nous explique ce qui nous arrive mieux que nous ne saurions le faire ? Que tous se rassurent : ce franzissime Cahier de l’Herne s’adresse à tous., mais il est vrai qu’il se mérite.

(Photos National Library of Isarel et Sagi Bornstein ; dessin de Michel Kichka)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature étrangères.

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commentaires

1 616 Réponses pour Faudra-t-il protéger Kafka des kafkaïens ?

Ban-sur-IP dit: à

Belle chanson Marie thérèse dugland

bouguereau dit: à

et c’est tout ce qui est demandé aux artistes.

rénateau il se rappelle aussi comment qu’il a du bien se tenir a tabe chez sa belle mère..

bouguereau dit: à

..sergio lui il a dit « madame je peux vous faire faire un tour sur ma yam sans cax comme dans izi ridère »

bouguereau dit: à

N’est-ce pas Jacques, que WG nous étronnera toujours!

haaa renfield iz back !

renato dit: à

Dévaster :
semer la ruine, causer de graves dégâts ;
amener le désordre quelque part;
provoquer de graves troubles chez quelqu’un, le pousser au désespoir.

En un sens oui, c’est un médicament… pas nouveau, évidemment.

bouguereau dit: à

Giovanni, que voulez-vous dire exactement, merci!

toi tu rappelles trop sa belle mère a dgiovani..

Ban-sur-IP dit: à

Ouais je me sens d’humeur d’attaque moi aujourd’hui

bouguereau dit: à

(j’avais mimé l’insecte marchant par terre…) (Clopine)

en plus les blattes ça n’a pas de culotte..ça devait ête croquignol..

Jacques Barozzi dit: à

Comme Kafka, il semble qu’il y ait plusieurs machines célibataires sur ce blog ?

« Michel Carrouges, Les Machines Célibataires, 1954 (réédition Arcanes/Chêne en 1976)

Le terme vient de Marcel Duchamp pour désigner la partie inférieur du Grand Verre soit La mariée mise à nu par ses célibataires, même, celui-ci s’ étendra, grâce au travail de repérage de Michel Carrougues (blog), qui va de Kafka à Jules Vernes en passant par Roussel dans la littérature, théorisé, en philosophie par Deleuze et Guattari (les machines désirantes dans Mille Plateaux), et enfin, exposé comme forme d’ art par l’ entremise du commissaire d’ exposition Harald Szeeman en 1975 sous le titre Les machines célibataires, on y remarquera les machines littéraires réalisées par l’artiste Jacques Carelman, notamment la Machine de La Colonie Pénitentiaire de Kafka. Elles sont des machines impossibles, inutiles, incompréhensibles, délirantes, croit-on !

Comme les mathématiques, une machine célibataire est un système asocial séparé de la vie, marchant seule, avec sa propre logique sans se soucier de la finalité générale. Il s’ agit toujours, pour ce type de célibat machinique, de la mise en scène métaphysique (les Méta-sculptures de Tinguely), mécanique et fantastique des puissances de la fatalité (par exemple, à lire, le livre De la guillotine considérée comme une machine célibataire d’Alberto Boatto). Si La Mariée est considérée comme la mère des machines célibataires, faut-il rappeler que Duchamp, avant que Breton lui remette l’ouvrage de Carrouges, ignorait tout des fondements mythiques supposés de son œuvre, avait certes lu Roussel, mais pas Kafka ! « Pourquoi, par exemple, ai-je senti, dès la première lecture de La Métamorphose (trad . Vialatte, Gallimard) de Kafka, qu ‘il existait une singulière identité entre l’image de Grégoire Samsa, changé en vermine, et cette autre affreuse vermine suspendue par Duchamp au sommet de son célèbre « Grand Verre » » Carrouges

Le mythe des machines célibataires signifie l’ empire simultanéité du machinisme et du monde de la terreur, selon M. Carrouges. Pour Deleuze et Guattari, pour une machine célibataire « l’ essentiel est l’ établissement d’ une surface enchantée d’ inscription ou d’ enregistrement qui s’ attribue toutes les forces productives et les organes de production, et qui agit comme quasi-cause en leur communiquant le mouvement apparent ». Que de complexité, d’obscurantisme pour un mythe dont les fils sont aujourd’hui aussi clairs que de l’eau de source : cyborg, automates, homme-machines, machines de guerre, fuck machine, etc. Le mythe des machines célibataires prétend relier, à renfort d’illustrations, de comparaisons, d’analogies, de discours qui sont tantôt évidents, tantôt abscons, de grandes œuvres littéraires aussi différentes que Le Surmâle de Jarry et Frankeinstein de Mary Shelley ! »

Dracul et keupu !!!

Pharmacopée dit: à

L’ effet ras le gant à un effet rageur, renato…tout comme le dévastant à un effet dévastateur…!

A. Nonyme dit: à

Que vous disais-je ! jusqu’à 10 heures, ce blog consacré aux livres était propre, convenable, et paf ! le sieur bouguereau se pointe et c’est reparti dans les délires scabreux… alors dehors le vieux débris et vivement la régulation, enfin !

Deneb dit: à

Widergänger dit: 14 octobre 2014 à 23 h 45 min
Mais t’es une buse de la City, mon pauv’ Abdelkaka. Une pauvr’ buse qui fait pitié. Le fric rend con, t’en es le symbole vivant. T’es le contraire de la civilisation, l’ignorance, la médiocrité, la bêtise crasse, l’esprit le plus borné de ce blog

Mimi-mon-héros, l’esprit le plus borné de ce bloc, c’est D. et ses avatars.
Tu m’insultes Mimi, je te dois un respect intersidérale, es-tu vraiment devenu agrégé, presque à la retraite ? Moi, je suis expert en comptabilité, j’ai longtemps travaillé dans la finance, la banque, aujourd’hui je suis devenu agrégé en comptabilité pour confiseurs.
Mimi, retrouvons nous à pole-emploi, puis allons manger un couscous dans ton quartier. Un couscous princier, langouste et bœuf de Kobe.
Viens-tu aussi au cimetière de Montmartre ?
Il y aurait aussi celui de Montparnasse, du beau monde dans les allées israélites, mais bon toi, Mimilein-Bubele, tu ne fréquente que les gens issus des pays de l’Est.
Moi, je suis auvergnat de souche, dans mon village, lointaine banlieue d’Aurillac, pendant des siècles on ne se mélangeait pas. Aucune goute de sang impur dans mes veines, mais à force de se marier entre cousins, on est quand même un peu mou du cerveau.
Dis Mimi, tu manges des crustacés ? J’adore les bigorneaux, en Bretagne je pars à la chasse-en-sandales, les bigorneaux c’est gratuit.

Jean Marie Coincidence dit: à

Vous ouvrez la boite de Pandore avec votre machine où le sel y bat terre, Jacques barozzi et du champ on perçoit bien le sel dans la mare…

keupu favori dit: à

Latrino au fond du jardin avec bavoir et couches pour vieux débris

bouguereau dit: à

c’est pas mal les bigorneaux dédé..et les patelles aussi c’est fastoche..pour le reste faut sympathiser avec les gars du coin

bouguereau dit: à

ma parole on tape dans larbe et la raclure tombe..ha pas étonnant qu’elle rêve de gibet « propret »..brique ma poule brique..

ya des limites dit: à

« sur ma yam sans cax comme dans izi ridère  »

t’as pas vu le film jusqu’à la fin ça finit mal si tu veux savoir

bouguereau dit: à

tu vas pas nous confonde la machine célibataire et la veuve baroz..ya une « différance » dirait serdgio

Emmanuelle Micron dit: à

Monsieur Keupu a bien raison, vivement une entreprise de nettoyage pour propreté assurée sur ce blog très classe

bouguereau dit: à

mais serdgio lui y met son intégral..banane

bouguereau dit: à

..je parle trop de sergio aujourdhui..je sais pas cqui me prend..c’est kafka surement

bouguereau dit: à

Le mythe des machines célibataires signifie l’ empire simultanéité du machinisme et du monde de la terreur

tinguely dirait niet..elles avaient des blazes drolatiques..duchamp c’est clairement l’espression d’une certaine liberté de middeul classe..nan ça marche pas à l’époque

Jacques Barozzi dit: à

Tu l’as envoyée ta lettre au père, le boug ?

bouguereau dit: à

mon père ?..ma mère de ma mère..

Vivant Denon dit: à

Clopine dit : « correspondance Kafka-Boudin »
Qui a fait Kafka dans sa culotte ?

Deneb dit: à

Clopine, moi j’ai joué Jeanne d’Arc au bûcher.
J’étais impressionnant, ma maîtresse voulait que je joue Mgr Cochon, mais moi, je tenais à mon rôle de pucelle.
Si je venais dans le restaurant après le cimetière, m’offririez vous une bière-picon ?
Vous avez votre mendiant de la ligne 5, moi, j’ai Annette de la ligne 7, nous sommes un team.

Ban-sur-IP dit: à

Bucéphale, le grec

bouguereau dit: à

tiens en parlant de tinguely..t’as vu niki au grand palais baroz?

bouguereau dit: à

bière-picon ?

si un client m’avait fait sa messe noire en terrasse je l’aurais fait payé tout de suite dédé..et c’est humiliant devant les dames

Ban-sur-IP dit: à

J’avais l’air très vc

Emmanuelle Micron dit: à

Mais qu’a-t-elle donc la mère de ma mère de Monsieur Bouguereau dit bougue-rototo ou le vieux débris ?, je trouve très larmoyant, n’est-ce pas ?

Clopine Trouillefou dit: à

Deneb, racontez-moi Anette ! Et bien sûr que oui pour le picon bière. D’autant que c’est une boisson « littéraire » ou « cinématograhique », souvenez-vous du Singe en Hiver, du patron du bistrot « dont le pauvre papa est mort de ça »…

bouguereau dit: à

..si la gonzesse m’avait dit « une menthe vitel »..j’aurais causé au patron..il aurait fait le 22 comme cheuloux..

Clopine Trouillefou dit: à

Autre heure de gloire à l’école : la tirade des nez.
J’y mettais tout mon coeur, je variais les accents, tout ça, et je n’ai pas compris pourquoi la maîtresse rigolait (tout en me filant un 20 quand même !) peut-être ma toute petite voix de petite fille ?

bouguereau dit: à

c’est une boisson « littéraire »

définitivement non clopine..ou alors tu fais la métamorphose cul nu par terre..

renato dit: à

bouguereau a finalement gagné son perchoir. Dommage qu’il se laisse conduire par une réflexion mal agencée car c’est un fait connu : les mauvaises manières de table révèlent si non proprement une forme d’impuissance, au moins l’incapacité de faire passer ses positions autrement que par la provocation, et les provocations elles ont la vie courte.

Jacques Barozzi dit: à

« t’as vu niki au grand palais ? »

Non, mais j’ai lu le blog à Clopine et vu les photos de Clopin : y a de la couleur !

Vive le programme ! dit: à

Les nous, sûrs nous, et les autres !

bouguereau dit: à

les provocations elles ont la vie courte

toi aussi tu brique tu briques ton gibet propret rénateau..allons pas de ça entre nous
et dire a duchamp qu’il faisait bien son boulot..ça l’aurait destablilisé vachtement..il en vivait pas dabord

bouguereau dit: à

les photos de Clopin : y a de la couleur !

certes..elle en même mis sur les machines « sales » de son charlot.. »machines sales »..c’était pas mal

C'est celui qui l'est qui le dit: à

Renato m’a toujours ému.
Il s’est nourri exclusivement de laitages, paraît-il, pendant son séjour déconnecté, et ça lui a fait du bien.

kicking dit: à

là faudrait encore aller chercher un mot pour autre chose, mais bon..

renato dit: à

« si la gonzesse m’avait dit « une menthe vitel »..j’aurais causé au patron.. »

Faut voir, la Menta Sacco fait quand même 45 degrés…

C'est celui qui l'est qui le dit: à

Je croyais que les photos étaient interdites au Grand Palais pendant l’expo. Si Clopine les publie, en plus, elle risque d’avoir des ennuis.

bouguereau dit: à

elle risque d’avoir des ennuis

cheuloux a déjà fait le 22..mais c’est occupé
..l’officier se pose des questions sur son cas..il fait ça pour rien

Michel Odiard dit: à

On dirait qu’il a peur du gibet le bouguemachin, ça devient une obsession

bouguereau dit: à

allez je te laisse mon perchoir rénateau..il suffit de le prende tu sais..et si c’est facile..pourquoi me le reprocher alors

renato dit: à

« ça l’aurait destablilisé vachtement »

Si tu le dis, tiens quand même en compte qu’il n’était pas stupide ; puis, tu devrais arrêter de croire que son travail se limitait aux choses vues dans son catalogue : il a quand même formé des collections, et si ça ce n’est pas un travail…

renato dit: à

« pourquoi me le reprocher alors »

Ce n’est qu’un constat, où vois-tu un reproche ?

C'est celui qui l'est qui le dit: à

où vois-tu un reproche ?

Il ne le voit pas, il le ressent, renato. Vous êtes parfois très dur avec lui, vous savez.

tout autre que moi dit: à

Protéger Kafka des kafkaïens ?
Il faudrait déjà commencer par le protéger des cons et, pour ça, éviter d’en parler sur un blog réputé pour la connerie de ses commentateurs.

celui qui dit quié dit: à

définitivement non clopine..ou alors tu fais la métamorphose cul nu par terre..
Comme un serpent? Change-t-il de look à chaque mue?

Artémise dit: à

Maurice Blanchot prévenait dès 1945 que la vraie lecture de Kafka restait impossible car, selon que l’on s’en tenait à l’histoire racontée ou que l’on s’en tenait à sa signification, on était dans l’opacité ou dans l’obscurité, mais jamais les deux à la fois car ces deux types de lectures ne se rejoignaient jamais.

Si Blanchot a vraiment dit ça, c’est un peu curieux car dans l’expérience vécue de la lecture, ces deux types de lecture avancent de pair et ne se distinguent vraiment jamais l’une de l’autre. du reste, existe-t-il une « vraie » lecture de quelque écrivain que ce soit ? Toute lecture est une interprétation.

bérénice dit: à

Ueda n’a pas donné son avis documenté et son interprétation du tableau: Kafka au coffre fort. Puisque nous en sommes réduits à secréter du sens à son oeuvre dans toutes les directions possibles et aussi imaginables, pourra-t-il entENdre que mon interet demeure frustré de son regard sur ce dernier. Qu’est-ce à dire donc que cet homme qui ne semble pas très décidé à donner ses pages et ses lignes sauf à en forcer ou découvrir la combinaison secrète du logis qui enferme ses écrits.

bérénice dit: à

Quel fléau, tuberculose, Crevel, Kafka…, on devrait faire un monument aux artistes morts de tuberculose, un à ceux morts de la syphillis, un autre pour les morts du sida. Pour concurrencer la guerre.

bérénice dit: à

On peut aussi faire un tour sur le rivage avec Murakami, c’est une fantastique idée de cadeau pour une fête quelqu’en soit la nature.

renato dit: à

Et aussi un monument aux artistes dont les blessures ne se voient pas (Gadda en parle in « La connaissance de la douleur »).

Artémise dit: à

Toute lecture est une interprétation. (moi)

Plus exactement : toute lecture est une ré-interprétation.

au marteau piqueur? dit: à

j’avais mimé l’insecte marchant par terre … Clopine

3 couches à la naissance, irrécupérable

Phil dit: à

t’ention. Crevel, c’est pas que la tuberculose.

bouguereau dit: à

jamais de statue pour les prolos mort de 6rose ..c’est une société de classe épicétou

bouguereau dit: à

j’avais mimé l’insecte marchant par terre …

moi chus prof de français..je la convoque dans mon bureau..c’est une beau métier quil fait dracul

curieux dit: à

c’est qui ce gus allumé débile qui signe bouguereau ? le pauvre William ne doit pas être très fier là-bas à La Rochelle

curieux dit: à

ça veut faire parlé prolo, c’est ridicucule épicécon

bouguereau dit: à

Plus exactement : toute lecture est une ré-interprétation.

c’est fortement pensée djone..vu que l’écrivain le vrai il fait qu’interpréter lui même en temps réel..sinon c’t’un truqueur qu’il dit kafka..c’est la chasse au dahut quoi..la haut dans la montagne ou au fond des caves..yavé a voulu que lui ça soit à la cave

Clopine dit: à

Eh oui, plus de quarante plus tard, les témoins s’en souviennent encore. M

bouguereau dit: à

dis donc keupu..un jour bougureau ça me va comme un gant et aprés jlui fait honte..tu fais l’écrivain? ..t’interprètes en temps réel?

Clopine dit: à

Oups, je reprends. Ma prestation en cafard était plus qu’honorable, déjà. Et pourtant, je n’avais pas encore fréquenté certains représentants, les plus typés, de l’espèce, comme jcé, le Boug’, WGG quand il ne se contient plus, ou, du côté féminin, Daaphnée. Lucien Bergeret détenant de loin la palme…

Munie désormais de renseignements approfondis sur l’engeance en question, il me semble que je rajouterais, à mes contorsions maladroites, un peu de bave aux lèvres et des grognements malséants. Comme ça, ça serait encore plus ressemblant !

curieux dit: à

« moi chus »… tu te casses la margoulette sur les mots, t’es qu’un débile profond qui veut faire l’intellolo mollo, pov’ tarte

bouguereau dit: à

l’impéritie des commentateurs

..ils cherchent..s’interrogent..sont innocents..bref c’est leur honneur meusieu zouz

bouguereau dit: à

intelo..prolo..je te vois venir tu vas improviser qu’y faut me pende..étonne moi plutôt

Û dit: à

Penelope Cruz élu Femme la plus sexy du monde »

Et daaapahnée alors ?! C’est trop injuste !

curieux dit: à

heureusement qu’il y a Jacques Barozzi, renato et Clopine pour relever le niveau, pasque toi et huedada ça vole pas haut, fais un effort si tu peux, j’en doute

jean-louis b dit: à

jamais de statue pour les prolos mort de 6rose ..c’est une société de classe épicétou

faut qu’ça change

bouguereau dit: à

il n’a besoin de personne.

c’est faux..j’ai besoin d’amour comme dracul..clopine aussi à se peaufiner tortillant cul par terre depuis 40 ans..beaucoup de boulot pour plaire aux vieux salingues

bouguereau dit: à

cul nu par terre sur le ventre..enfin je ne sais pas..le cafard est toujours sur le dos..ça m’a toujours intrigué cette affaire

bouguereau dit: à

..en attendant kafka était toujours au bordel et à l’estaminet..et on lui fait des statues..c’est pas juste

à propos de Lui dit: à

(il y a 2 ans (+/-), j’ai lu : « Lettres à Max Brod », auteur Kafka (suite à un article dans le monde littéraire, probablement …)

J’y ai découvert un Kafka, drôle, un genre à la Buster Keaton mâtiné de W.C. Fields (j’ai balancé les notes prises, n’étant ni critique, ni …, un lambda quoi); je me souviens de mes éclats ou pouffées (ortho ?) de rire,véritables grelots : Imaginez (M. Brod s’était procuré la correspondance que Kafka entretenait avec une dame – la blanchisseuse d’une maison où il était allé en convalescence – c’est d’un ??? : elle lui tricote des chaussettes, lui envoie aussi qq victuailles, Franzy, carrément, la remercie, et lui parle de ses petites culottes qu’il rêve de … un art d’écriture, c’est un tout-autre Kafka ! avec Max qui lui envoie régulièrement des questionnaires sur : poids, température, constipation, etc … – c’est aussi ju-bi-la-toire !!!
Bon,il y a aussi ses travaux, ses difficultés d’écriture (dues aux bruits, aux souris (les p’tites bêtes hein, …)
—> je vous conseille donc ce bouquin, un Kafka autre que celui sans cesse « montré » :
Titre :
Lettres à Max Brod : 1904-1924 / Franz Kafka ; traduit de l’allemand par et présenté par Pierre Deshusses
Auteur :
Franz Kafka Auteur
Pierre Deshusses Traducteur
Editeur :
Rivages, 2008
Format :
329 p. : 23 x 14 cm
Collection :
Bibliothèque Rivages
Résumé :
Ces lettres adressées à son ami entre 1904 et 1924 donnent une image de Kafka en contradiction avec ce que ses livres laissent imaginer. L’écrivain y apparaît comme un personnage plein d’indulgence ironique qui sait se moquer des autres et de lui, un bon vivant qui fréquente les théâtres, les cabarets, les cafés et les filles. Il y analyse aussi ses oeuvres et celles de Kleist, Kraus, Mann…

excellente lecture à celles & ceux qui aiment Kafka !

bouguereau dit: à

Kafka s’y trouve bien « dans son jus »

..c’est un peu osé je trouve

curieux dit: à

le vieux débris botte en touche, bientôt il va ses réfugier dans les bras de « ma mère de ma mère » amère, en arrière toute

Le Cafard n'a homme ? dit: à

Attention le Boug’, à force de te vautrer dans la pornographie, tu vas finir complètement impuissant. Ligoté, pire que si tu te métamorphosait…

Je signe Clopine, parce que j’ai mis un pseudo pour faire un jeu de mots. Et tels que je connais les petits insectes pourrisseurs de blog, si je ne le signale pas cela me sera reproché… Avec je ne sais quelle perversité que l’on m’attribuera… Une calomnie de plus ou de moins, ça n’est rien !

bouguereau dit: à

en touche de quoi xactement keupu..where is ton point?

bouguereau dit: à

pornographie..certain on dit qu’a force de sy vautrer kafka est devenu ce qu’il est..mais pareil que le talmud..ça fait contrepoids à ta connerie

curieux dit: à

quand je dis vieux débris, c’est affectueux, faut pas te frapper, boudegras.

bouguereau dit: à

Je signe Clopine, parce que j’ai mis un pseudo pour faire un jeu de mots

à se rouler par terre cul nu au pied de dracul..enfin si t’y trouve l’inspiration mon couillon

à propos de Lui, un rajout dit: à

(Kafka, ne l’oublions pas, était atteint de bubon/furoncle phénoménale – dans le livre cité plus bas, Max qui a lu un article pharmaceutique là-dessus, lui a conseillé de se procurer la pommade/l’onguent ??? Kafka lui détaille, hilarant (itou, de mémoire hein), son passage à la pharmacopée

Dest dit: à

« Ma prestation en cafard était plus qu’honorable, déjà »

Vous l’avez perfectionnée sur ce blog, et atteint le degré suprême de la réussite.

bérénice dit: à

« Germanique, il l’était par certaines manies d’ordre et de silence, par sa haine des papiers gras, des coquilles d’œufs et des civilités prolongées sur le pas des portes. Par une certaine rage intérieure, aussi, à vouloir remonter le cours des significations et des causes, un certain mépris de la surface et du vernis, une certaine lenteur et opacité du jugement – qui chez lui revêtait les apparences, avant que d’un éternuement, d’une inhalation : une trouble et tardive synthèse, mais un éblouissant éclair perroquet-or. »

renato c’est tout ce que j’ai trouvé de Gadda et sa connaissance de la douleur, j’ai interrogé longuement la fin de la phrase avant qu’enfin elle accepte de me révéler ses secrets.

bérénice dit: à

on lui fait des statues

Bouguereau vous ne voudriez tout de même pas que de la revendication nous passions aux statuts!

Isaïe dit: à

Pouvez-vous nous donner les références de votre citation, merci.

bérénice dit: à

Quel sera l’équivalent intensif inventif de Confiteor en cette rentrée? Je cherche une dose pour me rasserener.

bérénice dit: à

LA CONNAISSANCE DE LA DOULEUR, livre de Carlo Emilio Gadda
Jean-Paul MANGANARO (professeur des Universités)

Isaïe dit: à

Merci.

no comment dit: à

Oups, je reprends. Ma prestation en cafard était plus qu’honorable, déjà.
clopine

ça ne s’invente pas!

Pinpin dit: à

ça m’a toujours intrigué cette affaire

les papillons, c’est mieux

hamlet dit: à

bel article Monsieur Assouline, très intéressant, personnellement je n’aurais aucun commentaire à faire, comme dit Wittgenstein dans les tontons flingueurs : quand on a rien à dire on la ferme, contrairement à tous ceux qui sur ce blog en rajoutent des tonnes tout en ayant rien à dire, d’ailleurs si je n’ai rien à dire sur cet article, en revanche, sur la question de ceux qui l’ouvrent même s’ils n’ont rien à dire, alors là, sur ce sujet j’ai beaucoup à dire ! attention ! je ne suis pas de ces faux c.ls comme greubou qui essaient de sauter d’un sujet sur lequel ils n’ont rien à dire vers un autre sur lequel ils auraient à dire, ce qui entre nous reste à voir, ceci, donc, pour justifier le fait qu’ils l’ouvrent alors qu’ils n’ont rien à dire, non ! je suis même moi-même surpris de voir ce sujet, sur lequel venir ainsi sur le tapis, alors que ce tapis, il y a peine deux minutes, était vierge comme la Sainte Marie, de longue date, que dis-je de très longue date ! on n’avait vu de tapis aussi propre… comme si une âme caritable venait d’y passer l’aspirateur, et voilà ! que sur ce beau tapis, ce magnifique tapis ce sujet débarque, un sujet sur lequel j’ai beaucoup à dire, mais je ne veux pas m’imposer ici, contrairement à d’autre je préfère me montrer discret, sans doute ma timidité, maladive, qui m’empêche de m’exprimer ou la culpabilité, cette immense culpabilité, qui m’étreint, m’emprisonne, m’étouffe à la vue de ce tapis, si vous saviez combien j’aimais ce tapis ! il en avait vu des sujets débarquer sans jamais se plaindre, ma foi, c’est comme ça, excellent article sur leque je n’ai aucun commentaire à faire, et quand je n’ai rien à dire, contrairement à d’autres, je sais la boucler, hein greubou ?

renato dit: à

bérénice,

« La cognition » est un livre qui ne se livre pas par la lecture d’un seul fragment.

Le segment où Gadda parle de la garde qui assure la vigilance nocturne peut ouvrir des perspectives relativement aux blessures que l’on ne voit pas.

Par ailleurs, bien que je crois l’avoir dit ici, Alberto Arbasino invite à imaginer une rencontre, dans un sanatorium, de la mère de Gadda (qui était d’origine hongroise) et du père de Kafka, argument de conversation : les enfants.

Widergänger dit: à

Ce n’est pas moi qui vois un rapport entre des dessins de H. Michaux et Kafka, c’est H. Michaux, pauvre connard, pauvre buse ! T’es aussi futé qu’une pierre. Un dessin à la mine est commenté par H. Michaux lui-même comme une représentation possible du chasseur Gracchus.

On leur donne des réflexions intéressantes, et voilà ce qu’ils en font ces abrutis. Ont-ils seulement un cerveau ?

Le Cafard n'a homme ? dit: à

Mais oui, mais oui. C’est très difficile à incarner, un cafard, enfin, quand c’est un rôle de composition. Ceux qui, ici, pratiquent les techniques de l’actor studio (j’ai donné leurs noms plus haut) ont évidemment beaucoup plus de facilité : leur suffit de se gratter un peu les entrailles…

Essayez donc d’incarner un truc pareil, vous verrez : c’est ach’ment compliqué d’être simple…

M’enfin, je dis ça je dis rien !

Mimile le millepatte dit: à

Ont-ils seulement un cerveau ?

Non, que des pattes.

Dest dit: à

« C’est très difficile à incarner, un cafard, enfin, quand c’est un rôle de composition. »

Ah bon, c’était un rôle de composition ? Vous êtes sûre ?

Proctor et gants blancs dit: à

Widergänger dit: 15 octobre 2014 à 18 h 04 min

Merci de nous donner la page du livre d’ H. Michaux, svp, merci!

Le Cafard n'a homme ? dit: à

Bah ! Les trolls-cafards, eux, font dans la décomposition ! Regardez ce qu’ils font de ce malheureux blog… Convenez donc qu’au moins, je ne me situe pas dans cette démarche (à 6 pattes) là !

Dest dit: à

« M’enfin, je dis ça je dis rien ! »

Comme dans le poème que citait Barozzi l’autre jour : « A pense à rin ».

Sergio dit: à

abdelkader dit: 15 octobre 2014 à 0 h 19 min
des auteurs japonais, autres que Mishima ou Murakami…

Houlà ! C’est que… J’en suis resté à Tanizaki, moi… Avec son cognac !

Sergio dit: à

Le Cafard n’a homme ? dit: 15 octobre 2014 à 18 h 35 min
Les trolls-cafards

Il faut mettre les pieds du lit dans des verres d’eau ; ou de pétrole lampant, mais c’est cher, évidemment…

renato dit: à

« On leur donne des réflexions intéressantes, et voilà ce qu’ils en font ces abrutis. Ont-ils seulement un cerveau ? »

Que vous désiriez jouer le rôle du grand prof ça se comprend. Ça se comprend aussi que les autres refusent le rôle d’élève ou bien qu’ils ne soient pas intéressés par les réflexions qui vous semblent intéressantes… même là ou elles le sont… C’est vrai qu’en ayant lu Michaux en époque non suspecte on préfère passer la main.

Cela dit, pourquoi traiter de tout les noms quelqu’un qui n’a pas l’information ? Pourquoi ne pas choisir une façon de procéder plus digne d’un prof ?

Dest dit: à

Le titre du poème de Jean Tardieu est « La môme néant ». Il est assez fameux et se termine par :  » – A’xiste pas. » On le voit, c’est assez radical, mais bien observé !

Proctor et gants blancs dit: à

En 1936, Michaux écrit à propos de Kafka :

L’expression : « se mettre dans la peau des autres », si fausse pour la majorité des gens qui l’emploient, est vraie chez lui ; mieux que personne il représente ce que l’on peut appeler la connaissance par osmose ; il entre dans la peau d’autrui jusqu’à l’hallucination, jusqu’à n’être plus Kafka.

Recherche dans la poésie contemporaine, Œuvres complètes, tome 1

Pourtant, dans un entretien avec Robert Bréchon, il aura, cette réflexion à propos de La métamorphose : « Dans ce texte, d’ailleurs capital, le manque d’insoumission m’éberlue et m’indigne. »

brève dit: à

à bérénice 17:39 : découvrez donc Thomas Pynchon et son dernier opus : « Fonds perdus »

hamlet dit: à

une fois j’ai entendu Darrieussecq dire que si elle avait écrit la métamorphose elle aurait transformé Samsa en nounours pour que sa soeur puisse au moins le prendre dans ses bras…..

la vie dans les bois dit: à

@ à propos de Lui dit: 15 octobre 2014 à 16 h 33 min

C’est amusant en effet; d’ailleurs, kafka, comme une vieille bagnole modèle à pas-cher, perd à l’argus sur la RDL (*), mais gagne en promotion pour lessive de marque dans un drugstore ouvert 7/7, H24.

Je viens de relire un petit guide touristique à destination de Prague, et là, le portrait du  » génie » est déjà moins daubé, plus vrai on dira.

Portrait rapide du gratte-papier:

Il n’était pas « accro au porno », il avait un problème énorme de complexe physique, petit moche , passe-muraille
bien trop occupé à son mal-être pour s’occuper de son environnement

Pas hanté par son identité juive, il n’y reviendra qu’à la fin de sa vie, en prenant des cours d’hébreu.

Se sent coincé dans Prague, qui l’étouffe

il n’était pas accro aux cabarets et autres lupanars, des amis à lui se sont inquiétés de son éducation… ( si le viagra avait existé à cette époque, probable que le génie ne fut jamais connu…)
Et enfin, et enfin, qu’est venu faire la pauvre Milena dans cette galère ? Fallait-il qu’elle ait je ne sais quoi de bon pour supporter pareille engence. Un coup tu veux, un coup tu veux pas, je t’aime de loin, etc.

(*)
http://passouline.blog.lemonde.fr/2008/03/08/une-autre-prague/

Sinon, les clouleurs de l’automne étaient flamboyantes, today.

L' étromanie dit: à

Pourquoi ne pas choisir une façon de procéder plus digne d’un prof ?

Parce qu’il veut garder ses petits effets pour lui seul et étronner son monde!

Widergänger dit: à

Au connard de renato, quand je dis « réflexions intéressantes », je parle de celles de WalterH. Sokel, et de Michaux, pas des miennes, grosses cruche fêlée !

T’es aussi con que les autres, tu vois. Au moins, tu feras pas de jaloux, trouduc.

Widergänger dit: à

Proctor et gants blancs dit: 15 octobre 2014 à 18 h 33 min
Widergänger dit: 15 octobre 2014 à 18 h 04 min

Merci de nous donner la page du livre d’ H. Michaux, svp, merci!
________________
Page 5732

hamlet dit: à

oui, c’est ce qu’on appelle la monstruosité de l’artiste, c’est un truc que je connais bien personnellement, ou plutôt, pour être plus précis l’artiste faisant appel au monstrueux pour rentrer dans la normalité, se rapprocher des autres êtres humains, pour éprouver le bonheur de vivre avec les humains l’artiste doit aller au plus loin du monstrueux, jusqu’au moment où Kafka n’a plus voulu avoir de lecteurs, ne pas être lu comme forme ultime de réconciliation avec soi-même.

Widergänger dit: à

Brève voudrait nous faire croire qu’il comprend quoi que ce soit à Pynchon… Une buse comme lui !

Widergänger dit: à

Artémise voudrait aussi nous faire croire qu’il comprend quoi que ce soit à Kafka… Une buse pareille !

hamlet dit: à

ML plutôt que Michaux j’irais plutôt chercher chez Benjamin, par exemple le lecteur horrifié de se rendre compte que la page qu’il est en train de lire n’a pas besoin de lui.
effectivement dès qu’un lecteur ouvre un livre, son premier sentiment devrait être celui de sa grande inutilité.

brève dit: à

peut-être que widerdechiottes a aussi une tête de bite, une grosse

Widergänger dit: à

T’en a au moins pour ton argent, là, hein, connard !

moi aussi dit: à

connard, grosse merde !

moi aussi dit: à

Vous avez raison, Widergänger, tous des buses, des trous du cul, des connards de meeeerde !!

Proctor et gants blancs dit: à

A qui voue adressez-vous, WG?

hamlet dit: à

c’est une situation curieuse de se retrouver, en tant que lecteur, face à un auteur désirant être aimé.
le premier réflexe est un réflexe de recul, genre : bouh!! qu’est-ce qu’il me veut celui-là ? Kafka avait conscience de cette relation, de sa honte de montrer aux autres son désir d’être aimé, c’est une honte terrible, d’autant que l’amour n’existe jamais en dehors de l’admiration, ce qui est encore pire.

bérénice dit: à

la vie dans les bois, si vous étiez habitée par une passion type grattage, sur quel matériel l’exerceriez-vous et bien que la réponse risque fort de prendre un air d’annulation si vous ne déclarez pas de passion de ce type ou pas de passion du tout encore que votre goût pour la couleur constitue en lui-même une amorce ou un germe qui pourrait trouver exploitation, le cas échéant. Je vous trouve sacrément dégondée sur le billet, l’automne ou l’éventualité de forages gaz de schistes vous modifierait-elle à ce point? ça craint.

hamlet dit: à

vous voyez bien, ce qui vous ronge c’est le désir d’être admiré, ça nous ronge tous, je veux dire tous les humains, chez les artistes c’est pire, cette nature humaine c’est hyper glauque, une vraie malédiction.

Sergio dit: à

« il attendait tellement de lui qu’il soit le co-créateur du livre » : c’est bien le cas de tout ce qui se crée, ou même se dit, se parle…

renato dit: à

Mais il est vraiment obsédé ce pauvre garçon, j’ai pourtant écrit : « C’est vrai qu’en ayant lu Michaux en époque non suspecte on préfère passer la main. ». Ou pas ?

Sergio dit: à

Soutenons Widergänger dit: 15 octobre 2014 pot de pisse !

Ha ça c’était bien… En faïence… En porcelaine Barnery !

hamlet coach en amour du prochain dit: à

je me suis fixé comme objectif de tous vous réconcilier, que vous puissiez voir en cet autre votre frère humain.

mais avant de vous réconcilier avec l’autre, je vous préviens il va falloir vous réconcilier avec vous-même, c’est un travail pénible, un cheminement intérieur difficile.

êtes-vous prêt à cheminer ?
bon, parfait.

première leçon : apprendre à respirer avec le ventre.

alors pour cette première leçon, je vais vous demander de tous vous allonger devant votre ordinateur, sur le dos… greubou ne prend pas ton oreiller ! on va pas faire la sieste nom d’un greubou !

bérénice dit: à

à brève_ « Fonds perdus »

Un aperçu? Me reste une bible avant lui quoiqu’il arrive.

Proctor et gants blancs dit: à

Page 5732
Je signale que dès le départ, j’avais prévu les gants blancs pour l’ extraction…

A demain matin.

( Soutenons W…alias D, arrêtez de vous exciter tout seul avec ce blog.)

Chaloux dit: à

Superbe article.
Kafka est comme Mozart, le silence qui suit Kafka est encore du Kafka, un silence de saisissement. Comment briser ce silence?

(Jacques, je serais bien venu causer sur la tombe de Berlioz, à propos duquel je ne sais d’ailleurs pas grand-chose -pas de répertoire de piano-, même si j’aurais préféré pérorer sur celle des Goncourt, ou sur celle de César Franck – mais il est au cimetière Montparnasse avec Huysmans et Baudelaire, Mireille, Bove etc… Ce sera pour une autre fois : je ne suis pas à Paris à cette date).

Chaloux dit: à

@Bérénice.

Bérénice, quand on parle adjectifs, il ne faut évidemment par oublier les Goncourt qui sont à cet égard les pères de Huysmans.

bérénice dit: à

19h32 c’était purement épistolaire, ça n’engageait en rien, n’Est-ce pas? Elle si belle et lui si cancrelat, tout s’éclaire, faisait-il du vélo pour la dynamo ou usait-il trop d’huile pour la lampe quand le réseau naissant défaillait?

bérénice dit: à

Chaloux merci, merci encore.

Diagonal dit: à

Je tombe à l’instant sur la première phrase de ce nouveau post : « la perspective de l’imaginer un jour ensevelie sous une montagne de commentaires et d’analyses n’a pas fait renoncer Franz Kafka à publier son œuvre »… J’y détecte immédiatement non seulement une parafaite sottise, mais surtout, en poursuivant un peu quelque chose d’un simple rêve de notre hôte à l’égard de sa propre oeuvre. Bien sûr que K fut longtemps ambivalent au sujet de la destruction de ses papiers, comme tout un chacun. Qu’il ait pu imaginer ne pas vouloir la détruire au regard de la certitude qu’il aurait eu de leur postérité…, c’est vraiment n’avoir rien appris ni compris de décisif sur son K., malfré toute cette inutile logorrhée qui se déverse depuis presqu’un siècle. C’était bien la peine !…

bérénice dit: à

Je lis l’à propos sur Milena et bien je ne sais trop pour vous mais je lis sa mère mourut, ça ne passe pas. Pourquoi a-t-on affublé en français la mort de cette façon… mouru

la vie dans les bois dit: à

Diago, vous êtes en hurry ?

Kafka, c’était encore un obssédé: la littérature et les femmes.
Comme il pouvait pas pour les secondes, il s’est vengé sur la première.
Faut vous faire un dessin ?

Chaloux dit: à

bérénice dit: 15 octobre 2014 à 19 h 45 min

pas de quoi.
« Bonne soirée ».

Widergänger dit: à

hamlet, vous n’avez rien compris à la rhétorique. Tout est fait dans la première page d’un roman pour séduire son lecteur, ça s’appelle « captatio benevolentiæ », la capatation de sa bonne volonté. Faut vous informer dare dare !

Perso je n’ai pas lu kafka sauf sa lettre au père dit: à

Faut vous faire un dessin ?
Oui, SVP, faites lui un dessin, il ne comprend rien !… mais vous qui avez réponse à tout, esspliquez lui.

Widergänger dit: à

« C’est vrai qu’en ayant lu Michaux en époque non suspecte on préfère passer la main. » (renato)
__________
Comme je dis parfois à mes élèves, c’est écrit en ouistiti amélioré. Et en général, je leur demande de traduire en français. J’attends la traduction pour comprendre.

la vie dans les bois dit: à

Je ne sais pas pourquoi, on ne veut pas croire à ma fatigue… Elle est un épouisement de beauté.

Si vous saviez ces couleurs, qui tournent à l’or, dans des pentes inaccessibles, vous ne me feriez pas le procès de connaitre très bien ce que ce rond de cuir de kafka cache !

Widergänger dit: à

Je m’adresse à l’univers tout entier, connard !

la vie dans les bois dit: à

epouisement est un néologisme à moi.

renato dit: à

Tatatata… La « benevolentiae » c’est tout simplement la « bienveillance », ce qui n’a rien à voir avec la « bonne volonté »… Et maintenant un chapelet d’insultes m’est dû, j’attends…

Widergänger dit: à

Alors, tu traduis ton charabia, connard ?

Widergänger dit: à

C’est vrai qu' »attirer la bienveillance » du lecteur c’est très différent de « capter la bonne volonté » du lecteur.

Connard prétentieux !

Widergänger dit: à

Si seulement tu savais t’exprimer en français, connard ! Ce serait déjà un progrès. Non, monsieur préfère jouer les pédants en latin… Ah, renato, un sacré connard !

renato dit: à

Ah ! Mais c’est très, très, different, pauvre garçon.

D. dit: à

Tout ce que j’ai dit sur Ebola s’est montré vrai.
Barack Obama vient de monter une réunion spéciale de crise et s’est entretenu avec d’autres chefs d’états européens, dont Hollande.
Le dernier cas sur le sol des USA a mis plus d’une semaine avant de se déclencher, contaminant potentiellement pendant ce temps des dizaines de personnes.
La seule réponse valable est dont la quarantaine réduite à vingt jours de toute personne issue d’un pays africain touché par l’épidémie.
Quel est le con qui osera prétendre que j’ai tort d’écrire cela ? Qu’il ou elle n’hésite pas à se manifester.

Widergänger dit: à

Tu traduis ton ouistiti amélioré, connard !

Dest dit: à

« Je m’adresse à l’univers tout entier, connard ! »

Heureusement que vous êtes là pour le faire savoir urbi et orbi !
(On rigole bien quand il s’énerve, le barge !)

Dest dit: à

« Quel est le con qui osera prétendre que j’ai tort d’écrire cela ? »

Vous avez raison, mais c’était écrit partout !

renato dit: à

« C’est vrai qu’en ayant lu Michaux en époque non suspecte on préfère passer la main. ». Rien à traduire.

Widergänger dit: à

Ah, le plouc ! Je vais donner demain à traduire la phrase de ce pauvre connard à mes élèves de 5ème, on va se marrer… Sont plus forts que toi, mes élèves de 5ème en français.

Widergänger dit: à

Dest dit: 15 octobre 2014 à 20 h 30 min
« Je m’adresse à l’univers tout entier, connard ! »

Heureusement que vous êtes là pour le faire savoir urbi et orbi !
(On rigole bien quand il s’énerve, le barge !)
_____________
Détrompe-toi, c’est toi qui est barge et qui nous fait bien rire ! Connard !

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…quelle honte,!…les ouvriers de Ferrari,…pratiquement payer en main d’oeuvre d’exploités du tiers-monde,!…etc,!…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…ayons honte,…d’acheter des produits de luxes-chers,!…pour  » gay’s dandy’s « ,!…fabriquer par des ouvriers-soumis-abrutis,!…

Dest dit: à

« Détrompe-toi, c’est toi qui est barge et qui nous fait bien rire ! »

Vous n’avez pas l’air d’un gars qui rit tous les jours.
Que de journées perdues, aurait dit Chamfort, je crois !

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…à mes ingénieurs en garde,!… collabo’s & rexistes de tous poils lèche-cul,!…du pouvoir,!…aux €,!…
…pauvres exploiteurs-corrects,!…etc,!…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…la liberté d’acheter pour se faire arnaquer dans sa  » morale « ,!…des droits de l’homme,!…du moyen-âge aux syndicats,!…les collabo’s « sado-maso »,!…(  » le fascisme caché des aux l’Optimmum à Pareto « ),!…

Widergänger dit: à

Dest dit: 15 octobre 2014 à 21 h 03 min
« Détrompe-toi, c’est toi qui est barge et qui nous fait bien rire ! »

Vous n’avez pas l’air d’un gars qui rit tous les jours.
Que de journées perdues, aurait dit Chamfort, je crois !
______________
Détrompe-toi, connard ! Tu ne peux pas savoir comme j’ai ri après avoir posté mon « à l’univers tout entier ». Je suis certain qu’un connard comme toi rit rarement comme je ris. J’ai chronométré mon rire, il a duré au moins cinq bonnes minutes, je n’arrivais plus à m’arrêter. Je pensais à ta gueule de connard qui allait ensuite poster un commentaire de merde tel celui que t’as pas manquer de poster. On s’amuse comme on peut… Connard !

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…la censure via internet, rexistes-royalistes-collabo’s,!…trop cons pour vivre dans l’humanité,!…le retours des « Ranger’s « ,!…
…y en a qui vive sur des mythes de faux-jetons,!…etc,!…

Jonathan dit: à

Vous ne connaissez pas de synonyme pour « connard »? parce que ça finit par être un peu répétitif et lassant.
Apprenez aussi à différencier participe passé (é) et infinitif « er ».
C’était dans le cadre correction de copie de 5ème B3

kicking dit: à

et ben chez les spécialistes en blédine, à chacun ses aveux sous forme d’areuh, où et cancan..

c’est marrant (en fait vraiment pas) j’ai encore rêvé avec d’un râleur spécialisé dans les offres chiantes à plusieurs actes.. (mais je vous veux du bien, etc..)

kicking dit: à

y en a qui

quoi, encore ? mais c’est pas vrai !!!

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…la liberté d’acheter, pour se faire voler  » la morale « ,!…et arnaquer son existence,!…Go,!…etc,!…
…les cols-blancs loobyingst’s,!…vite,!..vite,!…un crime pour un cent,!…je suis riches,!…vite des morts-vivants sous coupole,!…s’est faisandés,!…quel fumet,!…les riches trop cons pour vivre,!…en société,!…enfermés moi,!…tout çà en châteaux de Frankenstein – loobying,!…Go,!…

kicking dit: à

ah, ok, encore une maman qui doit réfléchir comment informer sur ce qui tue pour mieux protéger..

D. dit: à

Quelle bande de gros connard ils font tous. Que des abrutis saus Mimi.

Daaphnée dit: à

J’ai chronométré mon rire, il a duré au moins cinq bonnes minutes, je n’arrivais plus à m’arrêter.

Mazette !
Au moins 5 minutes ???
Mais vous allez complétement vous dilater la rate, Wiwi intergalactique !
Un truc énorme !!
Le big bang à vous tout seul.
Incroyable.

Notre Wiwi explosé, définitivement cuit .

( Il s’en passe des choses:
– Clopine, les pattes en l’air de la blatte en extase ..
– Wiwi, éclaté du chou !
Pfff ! )

kicking dit: à

et bè..

D. dit: à

Je leur pisse tous dessus. Il n’y a que ça à faire avec des gros connards de merde qui ne comprennent rien à rien tous simplement parce que ce sont des gros abrutis et qu’ils le resteront toujours ces tas de merde (sauf Mimi).

kicking dit: à

ça dépend ce que ça fait avaler aux lèche-cul faut dire..

la vie dans les bois dit: à

Giovanni, vous êtes un pauvre toquard un peu peu imbu de lui-même, je m’excuse, mais plus le temps des préliminaires, je vais aller me reposer, ( vous archivez vraiment tout ? et vous bouclez ?)) vous allez nous expliquer une bonne fois pour toute votre obsession de l’optimum paypal ? ( accro du peepshow ? vous vous êtes fait arnaquer ?)

Pour Rex, vous trouverez à qui causer, comme dit Ml : « connard ».

Phil dit: à

Un beau Stempel de la kuk pour l’identité de FK. L’aurait été déçu de métamorphoser en Tchèque.

Maitresse Annie dit: à

J’ai chronométré mon rire, il a duré au moins cinq bonnes minutes, je n’arrivais plus à m’arrêter.

Aucun relâchement des sphincters, WG?

évidence dit: à

iDent, iTerre !

Artémise dit: à

Je déverse des tonneaux de merdre sur toute cette bande d’abrutis ignares que je conchie dans leur totalité. Je merde tous ces cons !

Maitresse Annie dit: à

Vous devriez trouver une compagne WG, plutôt que de perdre votre temps ici.

bref dit: à

Daaphnée dit: 15 octobre 2014 à 21 h 37 min

J’ai chronométré mon rire, il a duré au moins cinq bonnes minutes, je n’arrivais plus à m’arrêter.

Mazette !
Au moins 5 minutes ???
Mais vous allez complétement vous dilater la rate, Wiwi intergalactique !
Un truc énorme !!
Le big bang à vous tout seul.
Incroyable.

Notre Wiwi explosé, définitivement cuit .

( Il s’en passe des choses:
– Clopine, les pattes en l’air de la blatte en extase ..
– Wiwi, éclaté du chou !
Pfff ! ) »
Widangeur vient de terminer sa 4ème bouteille de rosé, là il cuve!

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…@,…kicking,!…à 21 h 32 mn,!…

…des offres  » d’oeuvres  » chiantes à plusieurs actes,!…laisser moi réfléchir,!…la blédine c’est pas trop, mondialiste,!…
…une machine électrique à moudre le café,!…
…une arnaque à  » bîttes chjeunes « ,!…
…Ah,!Ah,!…Go,!…etc,!…Glue,!Glue,!…

Daaphnée dit: à

( .. Et c’est vrai qu’il faudrait un peu varier le vocabulaire ..

ballot, benêt, bête, con, enfoiré, enviandé, enculé, abruti, aliboron, andouille, âne, animal, badaud, ballot, balluche, bécasse, bécassot, bêcheur, bêlant, benêt, béotien, bestiasse, bestiole, bougre, bourricot, bourrin, bourrique, bovin, bûche, buse, butor, cloche, cochon, con, corniaud, cornichon, couillon, crétin, croque-mitaine, cruche, cruchon, cucul, dadais, demeuré, dinde, dindon, fâcheux, fumier,godiche, gourde, gourdiflot, guignol, huître, moule, niais, nigaud, niquedouille, nouille, nullité, oie, oiseau, panouille, paon, patate, pauvre d’esprit, pécore, poire, porc, prétentieux, salaud, saligaud, serin, simple, simple d’esprit, sosot, sot, souche, tarte, tourte, trou du cul, vache, veau, zig, zigoto ))

bref dit: à

Maitresse Annie dit: 15 octobre 2014 à 21 h 48 min

Vous devriez trouver une compagne WG, plutôt que de perdre votre temps ici. »
Widangeur n’a jamais connu l’épectase sauf lors de travaux manuels, alors trouver une compagne à son âge, beau comme il est! ça relèverait du miracle!

kicking dit: à

ok, faire des remparts avec des bites, on est chez Fassbinder donc, pas chez Visconti..

kicking dit: à

quel Diogène !..

kicking dit: à

Daphnée, faites donc un pffff.. c’est plus propre..

kicking dit: à

(faites attention à ce que cela ne sente pas trop le vieux chien, on se comprend hein ?..)

Daaphnée dit: à

Les trésors de la langue française vous remercient, ignorant !

renato dit: à

Les transformations des noms : Jacob Kafka, grand-pere de FK, était originaire d’Osek ; il était de langue tchèque et avant de s’établir à Prague il s’appelait Kavka. Est-ce que, tout comme Albert Cinoc (le tueur de mots de Perec), il subit une contrainte environnementale ?

Dest dit: à

« des gros connards de merde qui ne comprennent rien à rien »

D, lui, il comprend tout avant les autres, c’est bien. Solidarité avec l’autre gâteux.

bérénice dit: à

C’est vrai qu’ »attirer la bienveillance » du lecteur c’est très différent de « capter la bonne volonté » du lecteur.
Possible de se montrer de bonne volonté au départ pour finir conclure par une malveillance pensée exercée dite écrite sous forme critique par exemple.
Possible également d’être intrinsèquement malveillant, c’est un caractère transmissible un trait de famille parfois et malgrè ce détail qui n’est pas unique pour illustrer, manifester en toutes occasions une extreme bonne volonté dont le but n’est jamais avoué sinon nous y verrions tous un piège et nous nous méfirions. Ainsi le nombre des accidents mortels sur routes et autoroutes irait décroissant etc etc
On peut donc attirer la bienveillance sans capter la moindre volonté et inversement.

bérénice dit: à

21h55 Fellini fait des choses comme ça aussi non?

kicking dit: à

qui regarde vivre qui, on se demande..

Artémise dit: à

Widergänger prétend comprendre Kafka, c’est farce quand on sait qu’il entrave déjà que dalle au Bescherelles 1ère année. Je lui déverse sur la gueule un tombereau de merde fraîche, je lui compisse abondamment sa tronche de cake et je lui balance en prime un bon gros paquet de bouse ! Connard ! Enfoiré de ta mère ! jean-foutre ! La bite, vas-tu te décider à la laver ! Je t’arrose le cul d’un méga-jet de purin ! Ignoble grosse merde ! N’en jetons plus, ce gros bouffre ne le mérite pas.

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