de Pierre Assouline

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La République des livres
Faudra-t-il protéger Kafka des kafkaïens ?

Faudra-t-il protéger Kafka des kafkaïens ?

Après tout, qui sait si la perspective de l’imaginer un jour ensevelie sous une montagne de commentaires et d’analyses n’a pas fait renoncer Franz Kafka à publier son œuvre… Son ami Max Brod, à qui l’on doit de la connaître, ne l’a pas vraiment formulé ainsi, et même pas du tout ; mais au vu des rayonnages de bibliothèques consacrés dans de nombreuses langues à la dissection de ses écrits, rien n’interdit de le penser. Ces temps-ci encore, la kafkalogie déborde en librairie.

S’il est un champ bien labouré, c’est celui-ci ; aussi se permet-on d’être exigeant avec les nouveautés. Non que l’on attende quoi que ce soit d’inédit sur sa vie qui remette en question notre intelligence de l’homme. On retrouvera certainement encore des lettres, des photos, des documents mais l’essentiel est là, le décor est planté. Tout se passe au niveau des interprétations. Elles sont ad libitum, d’autant plus que la notion même de contre-sens n’a aucun sens. Tout est permis, et s’il y a bien une doxa, il n’y a pas de vérité supérieure car la doxa est fluctuante. Au-delà du cercle des experts internationaux encartés, chaque lecteur a sa lecture, et beaucoup tiennent à ce que cela se sache. Passons sur le moins intéressant : le Kafka (traduit de l’anglais par Nicolas Weill, 240 pages, 19,50 euros, Seuil) de Saul Friedländer. L’historien israélien, connu pour ses travaux sur le nazisme et la solution finale, a mis à profit sa parfaite connaissance de l’allemand et ses origines pragoises (1932) pour relire l’œuvre de Kafka à la lumière d’un prisme exclusif ; celui-ci est exposé dans le sous-titre figurant sur la couverture : « Poète de la honte », formule enflée, lapidaire, insatisfaisante et d’ailleurs incomplète, le sous-titre de l’édition originale précisant « The Poet of Shame and Guilt ».

Il le ramène en permanence à sa haine du corps, sa honte sexuelle, ses pulsions homosexuelles, ses fantasmes sado-masochistes, son goût pour un pouvoir fort à travers son culte pour Napoléon…. On le lit, on s’accroche et on se lasse de cette réduction d’une des œuvres les plus universelles qui soient, l’une des rares qui dominent le XXème siècle littéraire ; on se demande pourquoi il s’est embarqué dans cette galère dont il n’arrive pas à sortir, fût-ce « un petit essai biographique ». Si telle était l’ambition avouée, il valait mieux renoncer. Tout cela parce que le père de Saul Friedländer a lui aussi étudié le droit à l’université Saint-Charles avant, lui aussi, d’être conseiller juridique dans une compagnie d’assurances ; parce que sa mère s’appelait Elli comme la sœur aînée de Kafka ; et que les trois sœurs de l’écrivain ont péri dans un camp comme les parents de Friedländer. Au fond, ce livre nous en apprend davantage sur lui que sur Kafka.Franz_Kafka_colourised_by_dontforgetfrank

Autre déception, mais d’un autre niveau : le chapitre « La mystérieuse contrée », consacré à la structure du Château, dans La Description du malheur (Die Beschreibung des Unglücks, traduit de l’allemand par Patrick Charbonneau, Actes sud), recueil d’essais critiques de W.G. Sebald. On s’étonne déjà de trouver ses vues sur Kafka dans ses réflexions sur la littérature autrichienne telle qu’elle s’est incarnée à travers les œuvres de Stifter, Schnitzler, Canetti, Bernhard, Handke… Sebald les réunit sous la bannière de la transgression des limites, ce qui prend tout son sens dans une société dont la culture renferme un malaise qui lui est propre : elle fait de la critique d’elle-même son propre principe. Mais qu’il s’agisse de l’impression que Kafka s’est ingénié à éliminer les indices trop évidents susceptibles de mener au sens de ce qu’il avait écrit, ou du château de Nosferatu survolé par des corneilles dans le film de Murnau comme dans le Château, on ne lit rien de neuf sous le regard pourtant admiré de W.G. Sebald (le recueil date de 1985), on repart vraiment déçu surtout si c’est pour aboutir à un lieu commun : la mystérieuse contrée où K. est conduit et d’où nul voyageur ne revient… C’est peu dire que tout cela manque d’humour, de cet humour qui devrait être le sens premier de « kafkaïen » et qui ne l’est pas comme chacun sait. L’adjectif, victime de son succès, est si galvaudé qu’il ne désigne même pas une forme ou une sensibilité, mais un aspect complexe de la réalité marqué par l’absurde, l’inquiétude sinon l’angoisse. (voir ici les aventures de l’adjectif en anglais, « kafkaesque », et ce n’est pas triste non plus).

Alors passons aussi. On en apprend davantage dans un petit livre qui ne se pousse pas du col : Sept méditations sur Kafka (Kafka y el Holocausto, traduit de l’espagnol par Gersende Camenen, 224 pages, 21 euros, Arcades/ Gallimard).  Alvaro de la Rica nous invite à déchiffrer cette œuvre à partir des cercles concentriques qui la configurent : le mariage, la Loi, la victime, le pouvoir, la métamorphose, la révélation. Entré dans cette spirale de sens dans ce qu’elle peut avoir de plus sinistre, le lecteur n’en est pas moins aspiré par le haut dans un abîme ascendant. Nul n’est assuré in fine pu décrypter les lois de cette dynamique circulaire mais qu’importe. Au vertige de la lecture du texte de Kafka se superpose celui de son interprétation, et il devient difficile de les séparer dans notre souvenir. C’est dire si les intuitions de cet essayiste espagnol sont fécondes, contrairement à celles de Friedländer qui nous laissent sur le quai.

J’avais gardé le meilleur pour la fin : Kafka (378 pages, 39 euros) des Cahiers de l’Herne, publié dans la forme et l’esprit de la célèbre collection créée par Dominique de Roux, sous la direction de Jean-Pierre Morel et Wolfgang Asholt. Ces deux spécialistes avaient codirigé, avec Georges-Arthur Goldschmidt, le colloque international de Cerisy « Kafka après « son » siècle » en août 2010 ; nombre de textes sont dérivés des interventions à ce type de rassemblement de semblables qui ne s’adressent qu’à eux-mêmes dans un langage, avec des références et sur un ton, qui ne donnent pas toujours envie de forcer la porte. A quoi ce gros ouvrage apporte le plus brillant des démentis car sa lecture en est vraiment passionnante quoi que l’on sache de cette œuvre ou que l’on ignore de cet homme. On pourrait le diviser en deux au-delà des nuances de l’imposant sommaire : ce qui est acquis et ce qui est encore en discussion.

Kafka s’y trouve bien « dans son jus », ses textes, avec notamment des extraits de sa correspondance et de son Journal, que les maîtres d’œuvre ont eu la bonne idée de confier à Olivier Mannoni afin qu’il en propose une nouvelle traduction, susceptible d’engager une nouvelle lecture, tant elle met en lumière la vigueur de la langue, l’audace des images et les constructions souvent surprenantes de l’écrivain. De quoi donner, tant de l’homme privé que de l’écrivain, « une image plus discrète et plus policée » selon Jean-Pierre Morel. Une autre originalité a été de convoquer des kafkaïens que l’on entend rarement, à savoir des metteurs en scène de théâtre ou de cinéma qui ont à se colleter à leur façon avec ses mots et ses situations ; car on apprend toujours à l’écoute des créateurs qui se sont mis dans son sillage tant son génie irradie.

Brod et kafka photo sagi bornsteinLa richesse et la densité de l’ensemble sont telles qu’elles sont irréductibles à un simple compte-rendu. Il faut y aller voir, s’y perdre par sauts et gambades, car il n’est pas d’interprétation qui dans ses pages n’ouvre d’autres portes à partir d’un autre point de vue, même si certaines analyses ployant sous les références sont particulièrement absconces. On aimerait suggérer à leurs auteurs d’inscrire au-dessus de leur table de travail en lettres de néon la boutade de Freud : «Parfois un cigare est juste un cigare ».  On aimerait tant protéger Kafka contre l’emprise délirante de certains kafkaïens ; mais, en l’absence de moyens coercitifs efficaces, on s’en remet à la puissance et à l’énergie de cette œuvre qui a montré qu’elle était capable depuis près d’un siècle de résister aux pires assauts.

Mais il n’y en a pas que pour les universitaires puisque parmi les grands anciens, on retrouve Brecht, Benjamin, Döblin, Schulz, Borges, ainsi que plus récemment Starobinski, Handke, autant de contributions auprès desquelles celles de Gide, Breton, Camus, Genet, Barthes font pâle figure. Vertu de l’interprétation dès lors qu’elle donne envie de retourner à la source. C’est le cas dès la première partie, qu’on ne lâche que pour (re)lire La Colonie pénitentiaire, parabole universelle et allégorie à grande échelle, en ayant cette fois à l’esprit les analogies de la situation (le bagne, l’île de la relégation etc) avec celle de l’ex-capitaine Dreyfus. De quoi s’agit-il au fond dans cette longue nouvelle écrite en 1914 ? De la capacité de l’homme à rester à sa place. De sa peur de ne pas être en règle. Frédérique Leichter-Flack la résume ainsi :

« Jusqu’où peut-on laisser torturer, et même impassiblement regarder torturer, quand on n’a rien d’un bourreau et tout d’un citoyen respectable et éduqué ? Plus de quarante ans avant le premier protocole de Milgram, Kafka répond sans hésiter : on peut rester et regarder jusqu’au bout. Et surtout, il nous montrer comment et pourquoi c’est possible, en nous installant au plus près de cette zone grise, aux frontières de la psychologie et de la morale, où se décide le choix de ne pas intervenir »

Inutile d’aller très loin pour y être confronté : tout lecteur peut être plongé demain dans ces affres en prenant le métro, le Rer ou le train et en étant le témoin d’un acte barbare, paralysé par son impuissance, pressé de s’interroger sur les effets qu’il aurait à subir de son intervention avant même de s’indigner de la situation. Le kafkaland est un no man’s land. L’ennemi y est sans nom, la menace d’autant plus pesante qu’elle est invisible et indéterminée. Le mot « juif » est pratiquement absent de cette fiction traversée de part en part par ce que l’intranquillité de l’Europe centrale pouvait alors avoir de profondément juif. Dans un texte inédit en français datant des années 80, Stéphane Mosès propose une exploration lumineuse de la relation entre Gershom Sholem et Franz Kafka, ce même Scholem qui avait coutume de dire à ses étudiants dans les années 30 que pour espérer comprendre la Kabbale, ils devaient commencer par lire Kafka, notamment Le Procès (à écouter ici en feuilleton mis en ondes sur France-Culture)… Il est vrai qu’à ses yeux, cette œuvre, relue à la lumière du Livre de Job entre autres, était dans son ensemble marquée par la possibilité du Jugement divin, et que c’était même là son unique sujet ! Thomas Pavel précise : « la Providence et l’autorité morale individuelle ». A ce propos, Stéphane Mosès met en lumière un paradoxe intéressant :

 « L’œuvre de Kafka reproduit sous une forme sécularisée, c’est à dire sur le mode de l’absence et de la négativité, les grands thèmes de la vision du monde kabbaliste ; on comprendra alors comment la référence aux formes de l’univers kafkaïen peut, à son tour, mettre en évidence le rôle de la négativité dans la tradition mystique du judaïsme ».

Au passage, on compatit avec tous les traducteurs, depuis Alexandre Vialatte, qui ont eu à affronter les pages de Kafka et à se creuser les méninges pour rendre en français des idées si marquées par l’humus mitteleuropéen, notamment l’Unheimlichkeit, dérivé de l’Unheimlich freudien : « inquiétance » plutôt qu’« insolite », certes, mais le néologisme écorche encore les oreilles… On s’en doute, l’allemand de Kafka est une question essentielle, la langue ayant été défigurée par le lexique nazi (voir le magistral LTI de Viktor Klemperer). Elle l’a été par la suite mais pour certains, ce jargon l’habitait déjà de longue date, comme s’il lui était consubstantiel. Commentant ses métamorphoses dans un entretien (mai 2014) bien dans sa manière, Georges-Arthur Goldschmidt, qui a notamment traduit Le Procès et le Château au début des années 80, y revient en prolongeant le débat :

« Hölderlin, je m’en étais exalté et j’avais fait mes odes comme tout le monde (l’une a même été publiée en allemand dans une revue française), j’ai assez bien connu Pierre Bertaux et ses beaux travaux sur lui, mais désormais l’écoeurement me saisit à la pensée que la philosophaille parisienne pétainiste et heideggerolâtre s’en est emparée. Devenu préfasciste entre les mains de cette clique philosopharde qui ne sait pas une syllabe d’allemand, il ne sert plus que comme objet de prédication aux écolo-nazis franchouillards du boulevard Saint-Germain et je ne puis plus l’aborder qu’avec une certaine défiance »kafka2

Faudra-t-il un jour protéger Kafka des kafkaïens ? On n’en est pas là. Maurice Blanchot prévenait dès 1945 que la vraie lecture de Kafka restait impossible car, selon que l’on s’en tenait à l’histoire racontée ou que l’on s’en tenait à sa signification, on était dans l’opacité ou dans l’obscurité, mais jamais les deux à la fois car ces deux types de lectures ne se rejoignaient jamais. Pas très encourageante. Dans La Tradition cachée (1944), Hannah Arendt assurait quant à elle que Kafka exigeait tellement de son lecteur, il lui demandait de déployer une telle activité dans l’ordre de l’imagination, il attendait tellement de lui qu’il soit le co-créateur du livre, qu’il éliminait ainsi les trois-quarts du public, notamment ceux qui avaient l’habitude de s’identifier au héros, de lire pour se dépayser, d’entrer dans la fiction par curiosité pour d’autres mondes.

A quoi un George Steiner s’oppose en voyant dans les inventions de Kafka pour le Proçès « un tour de force irrésistible en matière d’imagination et de quête métaphysique et religieuse » ; il va jusqu’à considérer son entreprise de fiction comme le blasphème réussi de la Torah qui l’a tant nourri.  Aux yeux de la philosophe, seuls les lecteurs se trouvant dans un état particulier dû à leur condition ou aux circonstances, à la recherche d’une vérité sinon d’un absolu, avaient une chance d’accéder au sens profond du roman de Kafka. Mais n’est-ce pas le cas à chaque fois que l’on se trouve face à un chef d’œuvre artistique et qu’il nous explique ce qui nous arrive mieux que nous ne saurions le faire ? Que tous se rassurent : ce franzissime Cahier de l’Herne s’adresse à tous., mais il est vrai qu’il se mérite.

(Photos National Library of Isarel et Sagi Bornstein ; dessin de Michel Kichka)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature étrangères.

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commentaires

1 616 Réponses pour Faudra-t-il protéger Kafka des kafkaïens ?

bérénice dit: 18 octobre 2014 à 16h56

Merci Artemise pour cette explication, une utilité à prévenir le lecteur-acheteur en France de la longueur du texte. Au cas où un éditeur malhonnête ait l’idée d’employer d’énormes caractères pour remplir plus de pages.

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 16h56

bouguereau dit: 18 octobre 2014 à 18 h 23 min
Ça ne pourrait pas se faire dans la discrétion?

il sait pas cque ça veut dire

Tu peux parler, grosse loche.

Joachin Du Balai dit: 18 octobre 2014 à 16h57

Vidame de Monrobert
Sans vouloir jouer les marieuses, vous pourriez faire votre demande auprès d’Artémise : elle me semble pleine bon sens et sans complication. Vous pourriez en outre faire l’économie de portes dans votre logis vu qu’elle a apparemment l’art de les enfoncer alors qu’elles sont ouvertes.

Dest dit: 18 octobre 2014 à 17h06

« Je connais autour de moi de très nombreuses personnes (tous profs ou traducteurs) qui ne trouvent pas que Peter Handke soit génial. Ses livres m’ennuient, je les trouve informes, plats, sans âme. » W

Bien vu. Peter Handke n’écrit pas pour les crétins dans votre genre, qui nous expliquent Kafka comme un théorème de mathématique. Handke écrit pour les gens normaux, qui n’ont pas de solution à tout, et qui espèrent seulement monter les marches une à une, de manière réaliste. Ce que vous dites de Handke montre que vous ne l’avez pas lu du tout !

Dest dit: 18 octobre 2014 à 17h13

Il va donc de soi que Kafka n’a jamais eu l’intention d’écrire pour « les profs ou les traducteurs ». Il devait pressentir ce risque et cette infamie d’être lu par eux quand il a demandé à ce qu’on brûle ses manuscrits. Voilà un fait positif et élémentaire à comprendre !

Désillusion dit: 18 octobre 2014 à 17h14

Mon Dieu, que vois-je ! Moi qui prenais Chaloux pour un lettré, je découvre qu’il ne connaît pas le culte rendu aux Mânes. Ignore-t-il vraiment que, bien que la vénération fût collective, le rite s’adressait successivement à chaque Mâne séparément ?
Soit il a sauté quelques versions latines, soit il fait semblant.

bérénice dit: 18 octobre 2014 à 17h18

Pour lire un auteur il faut au préalable un minimum de respect pour l’homme ensuite Est-ce qu’on ne peut pas dire que ça relèverait d’un jeu de correspondances et qu’il y a aussi des accords impossibles, des incompatibilités de sensibilité qui conduisent au rejet, à l’indifférence, à l’incompréhension sans en plus évoquer la forme et le contenu qui séduisent ou déplaisent, Je n’ai lu qu’un des nombreux livres de Peter Handke qu’il m’a fallu gagner, apprivoiser.

Dest dit: 18 octobre 2014 à 17h18

« Wgg 17 h 39, je partage la même lecture de Kafka que vous. » Clopine

Voilà qui est inquiétant…

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 17h19

Désillusion dit: 18 octobre 2014 à 19 h 14 min

Retour du ballet de garde-robe.
Je ne sais pas si je suis un lettré mais j’ai le Robert et le dictionnaire de la mythologie de Grimal sur mon bureau, et je te dis que « mânes » ne s’emploie pas au singulier. Et maintenant, va te faire foutre pendant qu’on passe à table.

Artémise dit: 18 octobre 2014 à 17h25

Ce que vous dites de Handke montre que vous ne l’avez pas lu du tout ! (Dest)

On peut avoir lu et être passé complètement à côté. Pour ma part, je tiens « Mon année dans la baie de personne », l’ « Essai sur le juke-box », « la Leçon de la Sainte-Victoire » ou « Le Chinois de la douleur » (entre autres) pour de très grands textes, dont la force et la singularité poétiques ont changé mon regard sur le monde. Pour moi, c’est dans ses récits, plus que dans son théâtre, que Handke a donné ses meilleurs textes.

Daaphnée dit: 18 octobre 2014 à 17h27

« Wgg 17 h 39, je partage la même lecture de Kafka que vous. » Clopine

C’est pas vrai !
Note Wiwi assailli par la blatte folle.
Le pauvre homme !

Mme Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 17h29

Eh, oh, le vidame, tu vas me faire le plaisir de parler à mon homme sur un autre ton ! Il n’a pas gardé les cochons avec toi, espèce de grosse merde incompétente !

Mme Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 17h31

Et toi, Daaphnée, écrase. J’aurai deux mots à te dire un de ces quatre, et tu sais très bien de quoi je parle, petite allumeuse.

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 17h32

Jamais été convaincu par toutes ces teutons en état post-traumatique de l’après-guerre, Handke compris. Du flan.

biblio+/- dit: 18 octobre 2014 à 17h36

et maintenant chaloux nous fait son widergänger : je suis pas convaincu, donc c’est de la merde.
continue comme ça, t’iras nulle part, jeune homme.

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 17h38

Les périodes de digestion historique (surtout quand on voit ce que ces pauvres teutons, autrichiens compris, ont eu à digérer) ne sont pas bonnes pour la littérature. On n’en parlera plus dans vingt ans.

bérénice dit: 18 octobre 2014 à 17h38

Bérénice, devrai-je vous supplier à genoux ?

Les sentiments partagés se passent de supplication, nous pourrions nous entre-dévorer comme des sauvages, nous jetterions les os par les fenêtres après avoir chiffonné l’emballage cadeau ! Je crains toutefois ne plus convenir à votre demande, serai-je allée trop loin dans l’esquisse?

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 17h40

biblio+/- dit: 18 octobre 2014 à 19 h 36 min

continue comme ça, t’iras nulle part,

T’occupe, biblio.

Daaphnée dit: 18 octobre 2014 à 17h41

Oh, Johny Browni de retour !
Curieuse cette saison de l’automne ..les feuilles tombent pendant que les champignons poussent, dit-on ..

Daaphnée dit: 18 octobre 2014 à 17h43

nous entre-dévorer comme des sauvages

Quelle bête, cette Bérénice, sous ses airs de soeur du Carmel !

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 17h44

Mlle Ueda Satomi dit: 18 octobre 2014 à 19 h 42 min

Melle Ueda Sotte au lit, jugement d’airain…

Artémise dit: 18 octobre 2014 à 17h46

Je voudrais bien savoir quel écrivain français a évoqué aussi bien que Handke la France et ses paysages, notamment ceux de la région parisienne. Voir « la Leçon de la Sainte-Victoire », « Mon année dans la baie de personne », « Histoire d’enfant ». Merci, Peter Handke.

Daaphnée dit: 18 octobre 2014 à 17h47

Avec cela, Hamlet qui nous fait son philosophe tout-ce-qui-n’est-pas-blanc-est-noir vice versa ..
Nous sommes gâtés.
Noël approche.

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 17h48

Le pauvre boumou, agréablement accompagné de son balai de garde-robe, fait des efforts désespérés pour rester en surface…Plouf!

bérénice dit: 18 octobre 2014 à 17h50

nous entre-dévorer comme des sauvages

Quelle bête, cette Bérénice, sous ses airs de soeur du Carmel !
C’était juste une fiction, une projection, un fantasme de vieille radasse frustrée, Daaphnée, c’est inversement proportionnel et j’ai rompu la digue. Je suis seule sinistrée. Dieu vous en garde.

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 17h56

La sainte Victoire fait partie des Handke que j’ai lus, avec un a-priori très positif. Et puis, quelle déception. D’autres peuvent aimer, ça ne me dérange pas, mais je crois bien que je n’en lirai plus jamais une ligne. Et puis un type qui quitte l’Autriche devenue irrespirable pour aller se jeter dans les bras de Misevic mort : » « Le monde, le soi-disant monde sait tout sur la Yougoslavie, la Serbie. Le monde, le soi-disant monde, sait tout sur Slobodan Milošević. Le soi-disant monde connaît la vérité. C’est pour ça que le soi-disant monde est absent aujourd’hui, et pas seulement aujourd’hui, et pas seulement ici. Le soi-disant monde n’est pas le monde. Moi, je ne connais pas la vérité. Mais je regarde. J’écoute. Je ressens. Je me souviens. Je questionne. C’est pour ça que je suis aujourd’hui présent, près de la Yougoslavie, près de la Serbie, près de Slobodan Milosevic. » (merci Wiki, je cite mes sources). Trouble présent, gros problème avec le passé? Je laisse à ceux qui prennent.

bérénice dit: 18 octobre 2014 à 18h06

Chaloux il serait encore possible de le découvrir avant sa prise de position qui ressemble à une contamination. Faudrait-il condamner à l’oubli une œuvre à partir d’un point de l’évolution d’un homme qui conduirait à noircir tout ce qu’il a pu produire avant, il y a aussi Günter Grass mis en disgrâce en raison de son engagement dans les jeunesses hitlériennes alors qu’il n’avait que 16 ou 17 ans et portait cette honte de toute une vie. J’ignorais pour Peter Handke.

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 18h07

Mais je regarde. J’écoute. Je ressens. Je me souviens. Je questionne.

Handke aurait dû écrire: »Mais je ne regarde pas. Je n’écoute pas. Je ne ressens pas. Je ne me souviens pas. Je ne questionne pas.  »

On aurait mieux compris.

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 18h13

bérénice, le scandale autour de Grass (qui est un écrivain d’une tout autre trempe) m’avait semblé révoltant. Que peut comprendre un adolescent plongé dans la pire apocalypse de l’histoire? Et quels comptes lui demander soixante ans après? Absurde.
Le cas de Handke me semble très différent.

Deneb dit: 18 octobre 2014 à 18h19

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10,1-9.

Parmi ses disciples, le Seigneur en désigna encore soixante-douze, et il les envoya deux par deux devant lui dans toutes les villes et localités où lui-même devait aller.
Il leur dit : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson.
Allez ! Je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups.
N’emportez ni argent, ni sac, ni sandales, et ne vous attardez pas en salutations sur la route.
Dans toute maison où vous entrerez, dites d’abord : ‘Paix à cette maison. ‘
S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui ; sinon, elle reviendra sur vous.
Restez dans cette maison, mangeant et buvant ce que l’on vous servira ; car le travailleur mérite son salaire. Ne passez pas de maison en maison.
Dans toute ville où vous entrerez et où vous serez accueillis, mangez ce qu’on vous offrira.
Là, guérissez les malades, et dites aux habitants : ‘Le règne de Dieu est tout proche de vous. ‘

renato dit: 18 octobre 2014 à 18h20

wir, die gebaudetecnicher!

« … ont changé mon regard sur le monde. »

Il faudrait que quelqu’un m’explique ça. Moi, je lis pour découvrir le regard que d’autres portent sur le monde ; le mien de regard change… change ? non, disons qu’il évolue à travers l’expérience de tous les jours… au moins que la littérature ne soit pour certains qu’un objet de substitution, et là c’est un territoire que ma pauvre intelligence n’arrive pas à déchiffrer…

Deneb dit: 18 octobre 2014 à 18h22

Rien n’évolue chez vous, renato. Vous êtes borné de borné. N’essayez pas de nous faire avaler vos couleuvres.

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 18h23

La littérature authentifie l’expérience et l’intuition acquises. Mais dans l’enfance et la jeunesse, il y a tout de même révélation.

Deneb dit: 18 octobre 2014 à 18h24

Par contre vous êtes un gars intelligent, ne jouez as au faux modeste. Votre intelligence est comme la mienne, bien que de façon moindre, très au dessus de la moyenne. Seulement vous êtes borné, c’est votre défaut majeur.

Giovanni Sant'Angelo dit: 18 octobre 2014 à 18h29


…Bon,!canaux Belge,!…sur la deux, Demain, ne meurt jamais,!…

…sur la trois à 21 h,…Picasso,!…

…il manque un Western avec les Crazy-Horse en vacance au Vatican,!…Hammus Papum,!…Ratapoum,!…etc,!…

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 18h36

Deneb dit: 18 octobre 2014 à 20 h 19 min

Un passage qui a beaucoup inspiré Saint-François d’assise.

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 18h47

Quant au « soi-disant monde », comment Handke n’a-t-il pas pensé qu’il allait en devenir une très douteuse manifestation en se rendant aux obsèques de Milosevic? Qu’il existe un « soi-disant monde », nous le savons tous. Mais quitte à le dénoncer, pourquoi s’y jeter? On ne peut pas se regarder, ou se perdre, dans deux miroirs à la fois. Il faut choisir.

renato dit: 18 octobre 2014 à 18h48

Pour comprendre la position de Handke relative aux bombardements de l’OTAN sur la Serbie et à Milošević, il faudrait relire « Le Malheur indiffèrent » et, éventuellement, se pencher sur les antécédents qui indurent P.H. à l’écrire. L’on comprend alors pourquoi de Nizon à Jelinek (pour ne citer qu’eux) prirent position contre la « censure » dont il fut victime.

Cela dit, j’aimerais savoir combien de soi-disants lecteurs ont lu « Voyage hivernal vers le Danube ».

Chaloux dit: 18 octobre 2014 à 18h50

La prise de position sur les bombardements est une autre chose qu’on ne peut pas lui reprocher.

Giovanni Sant'Angelo dit: 18 octobre 2014 à 19h15


…@,…chantal,!…à,…13 h 07 mn,!…

…relire depuis midi,!…le risotto d’orge perlé, asperges, champignons,!…

…l’avenir à besoin de têtes,!…et moins d’endoctrinés de forces ou autres profits personnels,!…au dessus des intérêts des nations,…
…vivre mieux,!…avec moins d’élucubrations stratifiés,!…des états-privés au dessus de nos têtes,!…

…lustrer les tuyaux,…la ficelle par les deux bouts,!…
…les chambres aux bourses,!…des employés en manque,!…
…divisions divisions et surdimensions sociales,!…
…la société sociale,!…le seul soucis qui mérite toute notre attention et soins à partager,!…

…le loobiyng de l’€urope sans frontières,!…
…les prémices de l’€urope des patrons,!…
…le profits des connivences du moindre profits illicite aux dépends de notre société civile,…

…cette €urope Tartuffe l’humanisme et usurpe les libertés et nos démocraties,!…c’est Dallas en Europe,!…
…avec tout le  » Vivre et laisser mourir « ,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…

Artémise dit: 18 octobre 2014 à 19h30

« Le monde, le soi-disant monde sait tout sur la Yougoslavie, la Serbie. Le monde, le soi-disant monde, sait tout sur Slobodan Milošević. Le soi-disant monde connaît la vérité. C’est pour ça que le soi-disant monde est absent aujourd’hui, et pas seulement aujourd’hui, et pas seulement ici. Le soi-disant monde n’est pas le monde. (Peter Handke)

On sait très bien ce que Handke désignait par « le soi-disant monde ». Ce n’était pas autre chose que le monde occidental, les Etats-Unis en tête, et les Etats occidentaux qui depuis 1945, OTAN oblige, leur ont toujours emboîté le pas. Les « démocraties » occidentales et leur prétention crasse à dicter sa conduite au reste du monde, dans une ambiance sordide de redistribution des cartes et des zones d’influence à la suite de la chute de l’empire soviétique. On sait ce que ça a donné par la suite, en Irak, en Libye, en Afghanistan etc. Handke avait parfaitement raison, n’étant pas, comme nous, intoxiqué par nos médias de masse. Tout ce qu’on peut souhaiter aujourd’hui, c’est que l’ « Occident » connaisse au plus tôt un naufrage historique sans précédent ; il se profile déjà à l’horizon. La némésis est à l’oeuvre. Zemmour n’a pas saisi le centième de ce qui va arriver.

L'art ça lasse dit: 18 octobre 2014 à 19h41

Google news : Culture
L’œuvre de Paul McCarthy, place Vendôme vandalisée
Le Figaro – ‎Il y a 2 heures
Le geste de McCarthy était pourtant gonflé. Problème : esthétiquement qu’est-ce que ça apporte et conceptuellement qu’est-ce que ça dit s’il faut mettre une étiquette dessus pour que ça signifie. Et à propos d’étiquette, ça nous coûte combien la dialectique provoquer / détruire ?

chantal dit: 18 octobre 2014 à 19h41

@ sant – angello, bip, tsoin ! tsoin !

bonsoir canal belge écoute .. bravo pour vos pierres de lune !

j’aime beaucoup l’idée de bulles en plastique dans l’eau, à breveter, je me sers de bouteilles de Vittel comme présentoirs à perles et d’encadrements de tableaux renforcés avec vitre sur canson noir pour exposer mes objets. Poivre & Sel en forme d’oeuf poinçon anglais. Anse légère !

Bonne soirée

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 19h56

Chaloux a des explications médiocres comme d’habitude. On serait bien défendus, tiens, avec des antifascistes comme Chaloux qui refusent de bombarder les fascistes. C’est comme en ce moment avec l’EI, la coalition de l’Otan est incapable de défendre l’Occident menacé par cette bande de sauvages alors que l’Organisation a été créée pour ça ! Décidément, comme le dit le grand archéologue israélien Amnon Ben-Tor, nous vivons les dernières décennies de l’Occident judéo-chrétien que nous connaissons. Et Chaloux se vante se son impuissance ! Monde pourri !

Bérénice et l’autre zouave d’Artémise/l’autre couillon limité du bulbe de Jeanbrun ne connaissent rien à la différence entre nouvelle et roman. Un autre zoulou à trois pattes croit se montrer intelligent en nous sortant le mot « novel » en anglais. Vraiment, des ignares incompétents. Il suffit d’étudier un peu sérieusement des contes de Maupassant pour comprendre comment ça fonctionne. D’abord tout tourne, dans une nouvelle, autour d’un seul thème (la Parure, Le Papa de Simon, Aux champs, etc.) qui met en œuvre peu de personnages (pas plus de deux ou trois). L’intrigue se construit la plupart du temps selon un drame en trois actes : montée des illusions, sommet des illusions suivi d’une descente en enfer qui se termine par une chute opérant un renversement de situation. Un roman c’est une ample structure qui met en œuvre de très nombreux problèmes et personnages et se déploie sur une longue période alors qu’une nouvelle se déploie sur quelques jours parfois comme Le Papa de Simon de Maupassant.

Quelle bande de ploucs mal léchés sur la Rdl ! Quelle piètre image de l’humanité ils donnent ! Quel dégoût cette Rdl !

renato dit: 18 octobre 2014 à 19h57

Il ne faudrait pas jouer la Cassandre, Artémise, car l’Occident est très performant dans les situations de crise. Némésis est à l’œuvre, certes, elle s’est réveillée et c’était grand temps, mais il faudra voir comment elle agira car elle est toujours surprenante dans son action, et puisque désormais on ne peut plus parler d’avantages injustes acquis par l’Occident, je ne suis pas sûr que vos désires deviennent réalité.

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 19h59

Artémise dévoile peu à peu son jeu de Jeanbrun… Il va bientôt cracher sur Israël, je vois ça d’ici… Pauvre France qui est faite de ce genre de pauvre erres dépenaillé et sans tête…

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 20h03

On peut voir très clairement que Jeanbrun, viscéralement anti-israélien, est un fascisted e première qui défend ici les génocidaires fascistes de Serbe contre les valeurs universelles de la démocratie. C’est ce genre d’ordure qui prétend discourir sur le bien et le mal ! Tu parles ! Mérite simplement une bonne raclée.

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 20h08

Tu vois un peu, Bébert, le comité Nobel donner le prix à un écrivain qui appelle le monde occidental « un soi-disant monde » ?! Faut pas se foutre de la gueule du monde tout de même. P. Handke n’a pas encore reçu le coup de pied au cul qu’il mérite !

En plus, ce sont les Juifs qui ont porté le monde occidental sur les fonds baptismaux comme le dit si souvent Anette Wieviorka à si juste raison. Donc, P. Handke, en bon Autrichien pourri et nazi, s’en prend à tout le monde juif en soutenant ces ordures de Serbes.

renato dit: 18 octobre 2014 à 20h10

Quant à la redistribution des cartes, Artémise, ce n’est vraiment pas l’Occident qui l’a voulue : nous nous sommes trouvés devant le désolant panorama d’un Empire en compote qui a trainé ses Satellites dans son désastre.

Pour ce qui est des erreurs commis par l’Occident en Asie, il ne faudrait pas oublier que tout commence par une erreur de ce même Empire en compote — vous vous rappelez la guerre d’Afghanistan « exemplairement » conduite par l’Union Soviétique, je suppose.

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 20h13

Deneb qui flatte l’autre zouave inculte et stupide de renato de « gars intelligent »… C’est grotesque !

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 20h20

Handke est traité dans l’article de « postmodern elite ». Un compliment qui à mes yeux est une insulte. On voit où ça mène le postmodernisme, tout droit à l’antisémitisme. Shmuel Trigano l’a dénoncé depuis longtemps. On le voit très clairement avec Handke qui en est l’illustration parfaite.

chantal dit: 18 octobre 2014 à 20h26

on se demande bien qui insinue tout le temps que les Autres picolent quand ils s’expriment à leur manière. Quelle plaie que ces pisse – vinaigre.

Artémise dit: 18 octobre 2014 à 20h28

Il ne faudrait pas jouer la Cassandre, Artémise, car l’Occident est très performant dans les situations de crise. (Renato)

C’est pourquoi il ne faut pas se contenter d’attendre que cela arrive, mais il faut y oeuvrer, aider à fond l’immigration clandestine venue d’Afrique et du Maghreb qui, dans les décennies à venir, va massivement se substituer à la population d’origine européenne déclinante. Et, avec elle, un triomphe probable de l’Islam. Je suis entièrement d’accord avec le diagnostic de l’archéologue israélien Amnon Ben-Tor : l’Occident judéo-chrétien, miné de l’intérieur, commence à compter les jours qui lui restent à faire chier le reste du monde, qui le hait, qui souhaite sa ruine. De quels réels amis l’Occident judéo-chrétien peut-il se prévaloir dans le reste du monde ? De la Chine ? De l’Iran ? De la Russie ? Des pays arabes ? De l’Amérique latine ? De l’Afrique noire ? Nous n’avons que le choix de notre cinquième colonne. Personnellement, je me suis convertie récemment et discrètement à l’Islam (tendance salafiste). Dans ma région, de nombreuses personnes en font autant. J’ai été affectée à un groupe de réflexion sur les actions possibles. Ces groupes existent aujourd’hui dans toute la France, dans toute l’Europe. D’ores et déjà, une prise du pouvoir (presque) en douceur est envisageable. Dans moins de vingt ans, en tout cas, le fruit sera mûr, et ce sera dans l’enthousiasme qu’une République Islamique sera proclamée en France. Les Chrétiens et les Juifs y seront cependant tolérés, à condition de payer l’impôt prévu par le Prophète. Entre temps, Israël aura été rayé de la carte par un missile thermo-nucléaire lancé depuis un sous-marin de nationalité inconnue.

Giovanni Sant'Angelo dit: 18 octobre 2014 à 20h29


…@,…chantal,!…à,…21 h 41 mn,!…

…je suis sur la trois avec Picasso,…et ses femmes,!…les pierre de lune,…les lapis-lazuli, des réserves d’émeraudes, de rubis, des saphirs,!…des brillants,!…des diamants de couleurs,!…des opales,!…

…un artiste,!…qui ne collabore pas,!…si un détail infime  » cloche  » dans l’harmonie humaniste,!…

…alors,!…avec tout les nazis-juifs d’europe & du monde,!…un plaisir de les laisser vivre sans  » mes goûts artistiques « ,!…dans leurs politiques  » scrizophrène « ,…de singes dans l’état,!…
…à mettre le désordre, par l’ordre de mimer la perfection du propriétaire antiquaire,!…ou autre moyen-âge,!…

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 20h32

Ce pauvre taré de Jeanbrun ! Y se prend maintenant pour un prophète ! Coincé du bulbe.

la vie dans les bois dit: 18 octobre 2014 à 20h37

1067, ou 1068 peu importe.

J’ai pris un peu de temps en revenant de promenade- une autre beaucoup plus sportive, prévue demain- Fons, ça fait un peu small talk, mais après tout je vous dois d’avoir apporté un nouvel éclairage, forçant à rentrer dans le texte, et rien que le texte, je ris d’imaginer les colloqueurs de Cerisy épinglés par Affe Rotpeter, comme je viens d’en retrouver trace dans un carton de livres oubliés et destinés au recyclage, avec cette «  lecture de Kafka : «  celui qu‘on cherche habite à côté«  de Goldshmit; surprenant essai d’identification personnelle où il est question à propos de Der Prozeß de « punition » , de honte, un truc bien scabreux : de « jouissance de la nudité«  (sic. ibid. p.) de « jouissance de l‘enfant«  (ibid. p. 89), « honteuse jouissance de la nudité dans la douleur » (ibid. p. 104), demander grâce, jouir sous les coups, trouble incompréhensible de la douleur ( ibid. p. 101) bref une sorte d’alibi plutôt glauque. Tout cela qui finalement tend à rhabiller ce pauvre gratte-papier de Franz, qui n’en demandait pas tant , tellement accablé qu’il était de lui-même. Je sais pas si Herr Doktor Kafka aurait accepté de faire le singe de cirque à ce point . M’est avis que non.

… cette nouvelle, «  Die Sängerin..«  si elle fait partie des derniers écrits de Kafka est un joli pied de nez ironique aux férus du langage et à ceux qui se pensent dans la postérité. Mais il était assez sournois pour penser y rester, dans la postérité.
Tant est si bien que cela m’a donné envie mettre sur mes listes de lectures ce petit livre:
Vie de Milena
http://www.lacontreallee.com/catalogue/la-sentinelle/vie-de-milena-de-prague-vienne

« Personne que toi n’avait le droit d’entrer ici, car cette entrée n’était faite que pour toi, maintenant, je pars et je ferme. »
Ça me fait sourire, cette phrase.

Artémise dit: 18 octobre 2014 à 20h47

Catholique (à ce que j’ai cru comprendre) et sioniste, le dénommé Widergänger ne se rend apparemment pas compte de la ringardise de ses positions religieuses et politiques. Alors qu’un stage (même court) auprès d’un imam bien choisi, une formation militaire accélérée dans le désert de Syrie, et hop, voilà notre Widergänger expédié en renfort sur Kobané, tombant en héros sous les balles des peshmergas, et se retrouvant au paradis d’Allah au milieu d’une troupe d’affriolantes houris. Autre chose que le paradis fadasse promis par notre père qui êtes au cieux. A sa place, je n’hésiterais pas.

Giovanni Sant'Angelo dit: 18 octobre 2014 à 20h48


…Oui,!…une confusion possible,!…

…les pierres précieuses c’est les miennes,!…à toute fin utile,!…
…les pièces de monnaies pour s’inspirer d’un fil du commerce et troc de bon coeur, de l’homme de paix et services en partage,!…etc,!…Ollé,!…la joie de vivre,!…
…etc,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…
…vivre pour sois,!…dans un univers étranger,!…

…vivre dans des maison en plastique-dur, dans des bulles-géantes aussi en plastique,…en flottant sur l’eau,!…des chemins pour vélos entre bulles-maisons accolées les uns aux autres,!…autour de plateformes de ravitaillements,!…déjà,!…une forme d’espace,!…à laisser les bêtes sur la terre-ferme,!…
…inspiré du feuilleton ,!…N° 6,!…dans sa bulle,!…etc,!…

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 21h10

Jeanbrun fait dans la provoc. C’est à peu près tout ce à quoi peut se résumer sa façon de penser. C’est dire le respect qu’il accorde à ses contradicteurs ! Un simple coup de pied au cul comme réponse !

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 21h13

Ce pauvre Jeanbrun est tellement coincé du bulbe qu’il me prête de quelconques positions religieuses que je n’ai jamais manifestées sauf dans ses fantasmes les plus haineux. Religieux pour lui signifie simplement Juif qui respecte le Judaïsme.

bérénice dit: 18 octobre 2014 à 21h13

chantal 21h41: Votre assurance dissuade à mettre en cause vos choix esthétiques mais je doute quand même que possédant des perles vous ne disposiez que de Vittel- verre(?) comme présentoir et votre sens du contraste donne dans le mortuaire, de là à affirmer que post-coïtum animal mort il y a un pas que je ne franchirais car je les préfère vivants à tout le moins vivaces comme ces petites plantes qu’on cueille dans la montagne sur l’abrupt accessible en été. Le temps de séchage pour vos objets destinés au sous-verre n’est-il pas un peu astreignant bien qu’indispensable à éviter ne serait ce que l’idée d’une condensation probable s’il s’agissait d’un végétal par exemple? Nous éviterons la critique du cadre qui dans son essence nous entrainerait dans des propriétés privées ou des domaines qu’ils ne nous revient pas de commenter. La prise de risque a ses limites contrairement à l’art qui n’en finit pas d’explorer les formes et les matières.

Mme Michu dit: 18 octobre 2014 à 21h18

De nouveau les mêmes « hors-la-loi » le nez dans le code, m’en vais respirer un bon coup ailleurs tiens…

Giovanni Sant'Angelo dit: 18 octobre 2014 à 21h18


…Jean michel Jarre Ekinoxe,!…la pochette en bleu,!…j’ai acheté à sa sortie,!…
…Michel Granger ,!…à cette époque je travaillait à l’imprimerie héliogravure A.S.A.R,…de femme d’aujourd’hui, mise en faillite par les toujours plus  » investiseurs « ,!…Ah,!Ah,!,…les merdeux de la société-conviviale,!…etc,!…

chantal dit: 18 octobre 2014 à 21h21

Dites bérénice chacun son métier, je suis joaillière conceptrice, j’ai travaillé pour plusieurs grandes maisons, dont un an rue Castiglione. Je vous laisse, mon four de laques de chine .. précision, et patience.

Que personne ne me dérange lol.

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 21h24

GAG lit Kafka à l’aune de ses propres penchants masochistes. Sa grille de lecture est biaisée. Autant le début de son analyse est intelligente, autant la suite est proche du n’importe quoi.

Le thème du corps chez Kafka est de toute façon très difficile à analyser parce qu’on est comme GAG toujours tenté d’y projeter les fantasmes les plus étrangers au sens de l’œuvre. Seule une étude d’ensemble de l’œuvre qui s’efforce de replacer chaque œuvre en perspective comme le fait Sokel permet d’éviter ce genre de dérive interprétative.

Le thème du chant qui arrive dans son œuvre à la fin de sa vie fait immédiatement penser à la relation mère/enfant et à la fonction de la voix de la mère dans la construction du corps fantasmé (cf. les études à ce sujet de Gisela Pankow sur l’inconscient du schizophrène). Il y a manifestement de ça dans cette nouvelle. Mais ce n’est pas la seule grille de lecture bien sûr. De même le thème du terrier n’est pas sans rapport avec le thème de la crypte dans les états de régression. Le génie de Kafka est de partir de là pour construire une « machine littéraire » à multiples étages de signification comme il l’a toujours fait depuis le début.

bérénice dit: 18 octobre 2014 à 21h27

« Personne que toi n’avait le droit d’entrer ici, car cette entrée n’était faite que pour toi, maintenant, je pars et je ferme. »

Un peu ceinture de chasteté mais n’allez pas penser que mon esprit s’égare sous l’équateur.

bérénice dit: 18 octobre 2014 à 21h29

23h21 On vous croit forcément, j’imagine la place Vendôme comme un vaste container à recycler les bouteilles d’eau minérale.

la vie dans les bois dit: 18 octobre 2014 à 21h29

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 23 h 24 min
Vous avez juste oublié juste une bricole. La date.
Et c’est pas innocent.

*___________________

J’aime bien Sainté, c’est une ville extra et chaleureuse. Je vous dis ça, car j’y ai passé de merveilleuses années. Et si cette ville honore ce WE les écrivains, c’est tuchy.

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 21h30

De même GAG est de parti pris quand il réduit toute la pensée de Heidegger à une expression du nazisme. Là, on est proche de l’idiotie de haut niveau…

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 21h42

Les prix qu’on accorde ou pas, de toute façon, ne sont que l’écume des choses.

Combien de prix Goncourt et Nobel aujourd’hui oubliés de tous ou presque. Le temps fait son travail de mort et tue ceux qui n’étaient déjà pas vivants de leur vivant. Pour être vivant en littérature, il faut être mort dans la vie. On ne peut pas à la fois être riche et célèbres, connaître tous les bonheurs de la terre et être un grand artiste, c’est incompatible. Sauf Rarissime exception qui confirme la règle draconienne de base. Un grand artiste ne peut pas être autre chose qu’un Christ dans ce monde.

la vie dans les bois dit: 18 octobre 2014 à 21h45

Pour ceux qui ont la flemme de de lire Herr Dr

Z’avez pas lu Kafka?
Oh lalalalala
(x3)

Je me donne un mal de chien
Mais je ne comprends pas tout
Je me donne un mal de chien
Je n’en viens pas à bout
A cause des musiciens
Yéyés qui jouent près de moi
Je ne peux pas lire ici
Je ne le répéterai pas
Je ne peux pas lire ici
Hmmm, c’est bête ça
Je ne peux pas lire ici
Ça y est et c’est reparti

Et dis donc Nino, tu peux pas jouer moins fort?
Faut que je me cultive.
Et dis donc Nino, Kafka, c’est pas Astérix
Moins fort, Nino, j’ai les nerfs qui lâchent

Grâce à ces musiciens
J’entrevois tout à coup
L’univers kafkaïen
Qui rend les hommes fous
L’univers kafkaïen
Ohh yeah, moi je l’ai chez moi
C’est bien le dernier mois
Que je passerai là
Je ne veux plus vivre ici
Je ne resterai pas
Car si je reste ici
Oh yeah ça oui je le vois
Car si je reste ici
Je ne me cultiverai pas
Je ne peux pas lire ici
Car c’est très calé Kafka

Giovanni Sant'Angelo dit: 18 octobre 2014 à 21h47


…@,…Stats,…à,…21 h 47 mn,!…

…je suis très sobre,!…et même de trop,!…

…j’aime , varié les écrits, les irisées,…les rendre scintillants, leurs conférer des liens,…
…tout simplement, arriver à rendre l’écriture en miniatures d’aquarelles,!…l’accompagner de grotesques,…
…créer l’écriture plus forte, que les sommes comptables,!…et supérieure aux médecins,!…

…tient,!…un verre de Scotch-Gordon,!…pour digérer,!…etc,!…envoyez,!…

Widergänger dit: 18 octobre 2014 à 21h54

Les prix littéraires sont censés récompenser une œuvre à valeur universelle. L’expérience montre que souvent les Jurés se trompent. De l’œuvre en question, il ne reste plus grand chose.

De Le Clézio, il ne restera que quelques titres, de même pour Modiano. Le dernier paru en date sera vite oublié. Trop fumeux.

la vie dans les bois dit: 19 octobre 2014 à 22h01

@évidence dit: 18 octobre 2014 à 23 h 49 min
et à Ml et son problème de « date » ( pauvre taré!) entre 1924 et :

« Issue d’un milieu bourgeois, Milena fréquente les cafés littéraires et l’élite artistique pragoise de l’époque – notamment Karel Capek et Max Brod. À Vienne, où elle s’installe avec son premier mari, elle écrit ses premiers articles comme correspondante de presse où déjà elle se démarque par l’emploi d’un ton nouveau et d’un style particulier qui fait vivre le quotidien des rues. De retour à Prague, Milena écrit dans la presse communiste, avant de devenir une ardente adversaire des dogmatiques à la solde de Moscou. Au moment de l’éclatement de la Seconde guerre mondiale, elle soutient plusieurs familles juives dans leur fuite du pays et s’engage ainsi dans la Résistance. Arrêtée par la Gestapo en novembre 1939, elle est déportée à Ravensbrück, où elle meurt en 1944. En 1995, elle reçoit le titre de « juste parmi les Nations » par l’Institut Yad Vashem de Jérusalem. »

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 22h13

Vous devriez me répondre au lieu de me traiter sans raison de « taré », qui ne dit que ce que vous êtes…

la vie dans les bois dit: 19 octobre 2014 à 22h25

Ml, pour vous répondre il faudrait avoir envie, que je n’ai pas pour vous- vous n’avez vraiment rien compris à ce que vous avez lu !- et puis j’aime bien vous laisser avec cette chanson- je vois que M. Court aime bien aussi ( car demain: grande course, et il est tard)

http://www.youtube.com/watch?v=KfOI7cMmXJI

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 22h31

Vous avez envie de me traiter de « taré » (sans raison, ce qui dénote chez vous une espèce de folie haineuse) mais pas de me répondre… Vous êtes ridicule. Un plouc de la Rdl, qui découvre Kafka.

Le dénommé Court n’a rien à voir avec le sinistre Marc Court.

Giovanni Sant'Angelo dit: 19 octobre 2014 à 22h42


…sur antenne 2,…le Mélanchon, trop conciliant – mou,!…enfin,!…y a pas mieux,!…sur les planches,!…
…faut faire avec,!…sans envergure de bouffer l’avenir,!…
…etc,!…c’est la seule voie honnête en vue,!…

la vie dans les bois dit: 19 octobre 2014 à 22h43

« Le dénommé Court n’a rien à voir avec le sinistre Marc Court. » nous dit Ml

je m’en doutais un peu, figurez-vous. M.Court ne connait pas le catalogue de bricolage black et d’équerre.

Ce qui n’enlève absolument rien à ce que je pense de vos capacités de lecteur, sans parler de vos esbroufes de traducteur.

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 22h49

Soit vous vous révoltez contre l’ouverture des magasins dédiés au bricolage soit vous insinuez que Marc Court passe ses dimanches à réparer la propriété familiale ce en quoi je ne décèle aucune vis utile à le faire écrouer à la Santé par exemple, c’est du grand n’importe quoi en regard de la figure austère et sérieuse de l’écrivain qui se propose n’ayant plus son mot à dire, mort, à la réflexion.

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 22h54

Quoiqu’il en soit nous côtoyons quotidiennement le mystère, Court et Marc Court vont en bateau, l’un se prend de fiche un coup de pagaie sur son homologue en face assis, c’est un manque à gagner, qui va dés lors propulser l’embarcation sur l’autre rive là où attendraient deux femmes et un pique-nique? Alors?? des suggestions?

Giovanni Sant'Angelo dit: 19 octobre 2014 à 23h27


…@,…bérénice,!…

…c’est vrai, que je n’aime pas m’ennuyer,!…
…en bateaux ou en Wagons-lits,!…
…rendre le chat à sa voisine en chambre,!…
…le lendemain-matin,!…contrôle,!…il a été correct,!…c’est charmant l’espace-cadre,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…

Paul Edel dit: 19 octobre 2014 à 0h00

z’etes pas obligé d’aller chez ce »radoteur » de popaul monsieur « la joie tragique ».Ecrivez plutot votre » grand roman »

Giovanni Sant'Angelo dit: 19 octobre 2014 à 0h40


…@,…kicking,!…l’ouverture à suivre,…

…des dispositions  » choking « , pour rêvez ses songes en réalités 3D,!…
…les anges au bourdon,!…c’est l’heure schoking,…

…Alicius au pays des merveilles,!…
…ou je me suis fourrer,!…ou est la sortie,!…au bain-marie,!…
…les matons & petits-fours,!…Ah,!Ah,!
…etc,!…

B comme BERLIN dit: 19 octobre 2014 à 1h26

« hamlet dit: 18 octobre 2014 à 15 h 46 min
un exemple, au hasard : la philosophie, »,

Cela me turlupine depuis quelques temps.
Mr Hamlet, êtes-vous professeur de philosophie ?.

kicking dit: 19 octobre 2014 à 2h55

euh.. gséssa je crois que vous ne m’avez pas très bien compris.. vous laisse compter les culs pendu au sein de votre mémère chochotte..

Conciergerie de la RdL dit: 19 octobre 2014 à 3h27

Le dénommé Court n’a rien à voir avec le sinistre Marc Court.
ML

Marc Court est demandé au parloir

kicking dit: 19 octobre 2014 à 3h44

Mr Hamlet, êtes-vous professeur de philosophie ?

On sait pas trop mais ça pue le Kador..

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 6h28

Cette fois, le prix Nobel de littérature fait son effet sur l’oeuvre du lauréat. Heureux Modiano et Gallimard !

Sur le podium des meilleures ventes, Modiano se retrouve entre Trierweiler et Zemmour. On pourrait lui souhaiter compagnonnage plus flatteur. Cela en dit long, en tout cas, sur la signification des succès de librairie : le battage publicitaire occasionné par le Nobel a sur les ventes à peu près le même effet dopant que le déballage des secrets d’alcôve de l’ex-première dame et que la démagogie droitière du bouffon médiatique Zemmour. IL est vrai que, sur un plus long terme, Marc Lévy ou Ken Follett font encore beaucoup mieux. A en croire la récente critique de Chevillard dans « le Monde des livres », le dernier Modiano est sans doute un de ses moins bons livres, et ses nouveaux admirateurs seraient mieux inspirés d’acheter en folio un de ses anciens titres, mais ça ne fait rien : l’essentiel, pour l’éditeur et le libraire en période de crise c’est de faire des sous.

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 6h32

Vous avez envie de me traiter de « taré » (sans raison (Widergänger)

Comment ça, sans raison ? Il y a toujours une excellente raison de traiter Widergänger de taré.

Dédé dit: 19 octobre 2014 à 6h43

Widergansgänger EST le grand auteur du roman du millénaire.
De son ŒUVRE restera chaque mot, chaque phrase, chaque chapitre, tout est indispensable et GIGANTESQUE. TOUT restera car rien ne sera jamais écrit. Comme l’univers, le grand roman de Michel Alba, n’a ni fin, ni commencement et là réside le génie de D.ieu, faire de Michel Alba, p’tit prof. de français pour les 5ème, lee plus grand auteur après Dieu lui-même. JE suis, moi Dédé, le plus intelligent de vous tous, grand poète, grand musicien, grand musicologue, grand catholique vierge depuis l’adolescence, grand comptable de base dans le milieu bancaire, aujourd’hui devenu confisteur. Au contraire de Mimi-mon-héros, je suis doté d’un physique magnifique, mélange de Brad Pitt, et Michel Simon.
Mimi-mon-héros est la quintessence de la paix entre les religions, il devrait aussi se faire musulman. Quand il ira à La Mecque, je lui offrirais une coiffe toute blanche de Haji.
Aujourd’hui dimanche, je vais aller à la messe de 11 heures, puis passage chez Berthillon.
Fourier, mon avatar flamboyant, va disparaître, laissons Tetram redevenir la conne de la mare. Je salue aussi Lucien Bergeret alias JC, habitant de la Tour Porquerolles, avenue Présidente Martine, à Aurillac.

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 6h51

Ce qu’il y a de bien avec les idéologues rigides c’est que chez eux on ne voit plus les différences d’âge. Enfin faut voir qui ça arrange. Allez, bon club du rembobinage les connasses et connards. M’étonnerais pas qu’être tout simplement con soit plus drôle…

en passant dit: 19 octobre 2014 à 6h52

Dédé bien évidemment ce rapport ne vous concerne pas, preuves à l’appui, vous c’est Eros qui vous gouverne, aucun doute ne subsiste.

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 6h52

Dans des possibilités d’environnement heu.. disons pas trop genre enfer artificiel pour consoler grosse merde…

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 7h01

mélange de Brad Pitt, et Michel Simon.

Une telle hybridation! J’attends de voir, on ne sait jamais où le désir peut nicher.

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 7h07

(Au cas où vous attendriez le blog des maître chanteurs couvrant le pire vous risquez d’attendre encore longtemps)

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 7h09

Michu, grognon ce matin mais je vous dirais quand même que l’enfer s’est échappé de l’ancien testament et squatte notre grand quartier depuis avant Jésus Christ dans de trop nombreuses régions fume sous les décombres quand ailleurs des feux de crémation tentent de circonscrire l’épidémie. Et nous sommes là repus et confortables à n’écrire souvent que des insignifiances alors que tant de souffrance ne suffit à inverser la courbe des profits.

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 7h09

Tous ceux qui, comme moi, s’inquiètent de la montée de l’antisémitisme en France ne peuvent que redouter les effets négatifs des éructations récurrentes du Widergänger sur ce blog. A les lire, le plus sincère des philosémites (j’en suis) risquerait de virer à un néonazisme effréné. Un Veit Harlan ressuscité pourrait s’inspirer de ce personnage caricatural qu’est le Widergânger ordinaire pour imaginer une version moderne du Juif Süss. Ne manquerait qu’un dessinateur dévoyé, et voilà dans tous les bacs des libraires une BD à succès qui ferait un tabac auprès des jeunes et moins jeunes lecteurs. Le danger n’est, pour le moment, que virtuel, mais sait-on jamais par les temps qui courent, compte tenu, surtout, de l’obstination du Widergänger à nous resservir son numéro de guignol sur le castelet que lui offre obligeamment l’espace des commentaires de la RdL .

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 7h12

à n’écrire souvent que des insignifiances

Ah c’est con ça… Faudrait rejoindre une corporation… (Excuseremerciez-moi de n’avoir pas fait une faute de frappe)

kicking dit: 19 octobre 2014 à 7h13

ah oui, ce gros lourd qui précise bien que cela vient de son père et non de sa mère.. quel colossal subtil..

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 7h19

Et si le Widergänger n’existait pas ? S’il n’était qu’un fantoche créé de toutes pièces par une secte néo-nazie encore inconnue, aux seules fins de discréditer les Juifs ? Ce n’est qu’une hypothèse, mais avouons que, lorsqu’on relit les posts du Widergänger, on est bien forcé de reconnaître qu’elle a la vraisemblance pour elle. A moins que ce ne soit un coup des salafistes…

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 7h20

Faudrait peut-être même pensé à mettre des fac-similé de bulletins de vote en couverture, histoire de ne pas révolutionner la vieille formule de tant d’année de succès. Grognon ? Non, juste le brouillard qui n’est pas exactement ce que les weather girls avaient prédit.

Candide dit: 19 octobre 2014 à 7h20

Kafka au cinéma…
Est-ce le Procès de Kafka, ou celui de Welles ? L’univers de l’écrivain n’est pas vraiment celui du cinéaste, plus porté vers ceux qui exercent le pouvoir que ceux qui sont pris dans ses filets. En outre Welles n’est pas du côté de la métaphore surtout lorsque le décor lui-même, abstrait redouble cet aspect. Cependant, film étonnant : la gare d’Orsay, site désaffecté, si bien utilisé bien avant qu’elle ne devienne un musée.

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 7h22

A moins que ce ne soit un coup des salafistes…

Non, encore un coup d’une association de mendiants !

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 7h23

Le Vaisseau Fantôme à Lyon c’est du saucissonné lèché ou c’est vraiment bien ? Quelqu’un l’a vu ?

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 7h23

Insignifiances dans ce sens où elles n’ont aucune prise sur la réalité, vaines sentencieuses et pour ainsi dire prétentieuses. Une exhibition pour l’exhibition un peu comme l’art pour l’art bien que ça s’en éloigne et que quoiqu’on en pense l’art produit ses effets sur un public attentif qui inconsciemment s’en trouvera modifié, et souffrira d’ailleurs peut-être plus qu’une brute épaisse inculte et sanguinaire.

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 7h41

Et vous bérénice, ça va ? Vous n’êtes pas sinistrée jusqu’à devoir simuler un voyage de noce, des chutes du Niagara, une cage d’enculade, le port d’un cabot de bain, de serrer les fesses au point d’écraser votre plug, que sais-je ? Non mais j’essaie de tomber au plus bas pour me mettre au niveau vous savez…

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 7h53

Ne vous fatiguez pas tant, la culture est une arme puissante, tout savoir confère un pouvoir, si de plus vous êtes introduit en raison d’une notoriété méritée, vous aurez tous les droits à condition d’une tenue correcte et du respect du savoir vivre en bonne société. Le débat se verra comme purifié des topiques jugées comme entraves à la progression et à la cohérence du groupe. Nous sommes là loin du troupeau.

Deneb dit: 19 octobre 2014 à 8h02

Michel, renato est un gars intelligent, mais il ne se donne pas la peine de réfléchir comme il faut alors qu’il en a toutes les capacités potentielles. Je lui ai dit cent fois mais il est borné de borné.
Thierry, c’est exactement le contraire : il pousse au maximum son tout petit moteur et résultat ça fume et ça fait du bruit. A la différence de renato, c’est irréversible (et désolant).

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 8h04

Ne vous fatiguez pas tant

Vous connaissez sans doute la fameuse phrase « Tout ce que je suis, etc etc… »

quelqu'un dit: 19 octobre 2014 à 8h14

Il me semblait surtout que Handke n’avait pas supporté la reconnaissance immédiate de la Croatie indépendante par l’Allemagne. Et il avait quelques raisons historiques pour ça. Après, il s’est peut-être braqué et a refusé de voir l’évolution des choses.

embrouillamini dit: 19 octobre 2014 à 8h18

C’est Ciboulette qui s’amuse à emprunter le nom de Court ?

(Attention, « Court » n’est pas un pseudo, signer du patronyme d’autrui c’est de l’usurpation d’identité, on n’est plus dans le jeu.)

Recherche dans l'intérêt des familles de pensée dit: 19 octobre 2014 à 8h19

bérénice a des choses à dire. C’est sûrement ça qui énerve Daaphnée.

Montcalm dit: 19 octobre 2014 à 8h22

Recherche dans l’intérêt des familles de pensée dit: 19 octobre 2014 à 10 h 19 min

Entre bérénice et Daaphnée, y a pas photo en effet, n’en déplaise à ueda, le seul admirateur de cette trolleuse sans humour.

ueda dit: 19 octobre 2014 à 8h25

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 9 h 09 min
Tous ceux qui, comme moi, s’inquiètent de la montée de l’antisémitisme en France ne peuvent que redouter les effets négatifs des éructations récurrentes du Widergänger sur ce blog.

Il est un peu comme la mère Duflot (plus de cul que de tête).
Rien de tel qu’une de ses interventions pour rendre l’auditeur productiviste et technophile.

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 8h29

Comme insupportable caricature du Juif, je ne vois guère, pour surpasser le Widergänger, que le Juif Süss de feu Veit Harlan. J’en conclus définitivement que le Widergänger n’est autre chose qu’une marionnette manipulée par un groupe antisémite (néonazi ? salafiste ? ) aux seules fins de discréditer les Juifs. Aucune personne réelle n’est par conséquent identifiable (et c’est heureux) au fantoche antisémite Widergänger.

Le niveau monte dit: 19 octobre 2014 à 8h33

ueda dit: 19 octobre 2014 à 10 h 25 min
la mère Duflot (plus de cul que de tête).

Quel remarquable argument.

ueda dit: 19 octobre 2014 à 8h39

ueda dit: 19 octobre 2014 à 10 h 25 min

C’est un faux.

Contrairement à ce que semble penser Dédé, je ne regarde pas que le cul des femmes politiques.

Anette d'Armatan Lady Connemara dit: 19 octobre 2014 à 8h42

Usurper une identité c’est signer avec une vraie identité, prénom, nom de famille etc…
Reprendre des pseudos de gens voulant ne jamais avancer à visage découvert, n’est pas de l’usurpation mais l’utilisation d’une dénomination ne se rattachant à aucune personne spécifique de la vraie vie.
Amusant que ces deux enculés D. et JC, soient offusqués des retours d’ascenseur.

Deneb dit: 19 octobre 2014 à 8h45

Ueda, je regarde uniquement mes pieds, yeux ou culs des tiers me sont tabous, je rougis et prends peur pour ma pureté.

Recherche dans l'intérêt des familles de pensée dit: 19 octobre 2014 à 8h45

de chambre dit: 19 octobre 2014 à 10 h 41 min
Montcalm
Sors de ton pot, vieille salope!

C’est toi, Daaphnée ?

TKT dit: 19 octobre 2014 à 8h49

Deneb dit: 19 octobre 2014 à 10 h 45 min

Ce post, est un faux. Mes imitations sont, meilleures.

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 8h49

Bigre !
Les bas-du-plafond sur le retour …
Pour ne pas voler haut, aucun risque !

ueda dit: 19 octobre 2014 à 8h51

Anette d’Armatan Lady Connemara dit: 19 octobre 2014 à 10 h 42 min
Reprendre des pseudos de gens voulant ne jamais avancer à visage découvert, n’est pas de l’usurpation

«Parfois un cigare est juste un cigare », Dédé?

ueda dit: 19 octobre 2014 à 8h54

Le cul est signifiant.
Dans le cas de la mère Duflot, il ne relève pas de la diététique ni de l’esthétique, mais de l’éthique.

ueda dit: 19 octobre 2014 à 8h55

ueda dit: 19 octobre 2014 à 10 h 51 min

Encore une usurpation de Dédé.

De même à 10h39. Je maintiens que la mère Duflot a un gros cul.

ueda dit: 19 octobre 2014 à 8h59

Salut à vous, Daaphnée.

C’est un peu comme une gare, vous avez remarqué?
Les plateformes sont peuplées de dédés en baskets, de dédés en jupettes, de dédés en salopettes…

Mais on peut quand même se parler à l’oreille!

ueda dit: 19 octobre 2014 à 9h01

Surtout à l’oreille droite, Daaphnée. Vous savez l’effet qu’elle produit toujours sur moi.

ueda dit: 19 octobre 2014 à 9h04

Les bas-de-plafonds, des rombières à bagouzes les offrait aux étudiants impécunieux parce qu’il n’y a pas de petits profits dans le 8ème.

Pour faire passer l’arnaque, on faisait remarquer que le plafond bas avait des poutres apparentes.

Ceci n’est pas une métaphore.

Et ben ça bloque ! dit: 19 octobre 2014 à 9h04

Voir ponctuellement tirer la gueule quelques putes payées pour hurler leur bonheur avec zèle ne change pas grand chose notez…

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 9h06

Ce qui est drôle, U., c’est que cet usurpateur doit s’énerver tout seul à n’avoir pas plus d’ esprit qu’une mouche, non ?
On sent un certain trépignement ..

Et ben ça bloque ! dit: 19 octobre 2014 à 9h14

certains m’ont l’air un peu trop petits pour prétendre jouer aux boules, je dis ça je dis rien puisque ce n’est pas ce à quoi je joue…

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 9h25

Toutes les interventions sur ce blog du Widergänger, marionnette entièrement manipulée par un groupe antisémite non encore identifié, sont à lire, sans exception et dans le moindre détail, comme autant de manifestations d’un antisémitisme exacerbé, haineux, irréductible. Sa hâte obscène à applaudir le panégyrique vichyssois du Zemmour, le Juif antisémite, vérifie cette approche. Les posts apparemment raisonnables du Widergänger ayant généralement trait à la littérature sont autant de copiés-collés impudemment pêchés ici et là sur la Toile, pour l’édification des naïfs. Ses piteux essais « romanesques » sont des plagiats d’auteurs oubliés. Le tout, plus ou moins grossièrement camouflé et maquillé, est évidemment destiné à accréditer le plus rebattu des stéréotypes antisémites : le Juif est un voleur.

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 9h32

Mon Dieu, tout cela me rappelle la fois où j’avais allumé la lumière, inquiétée par des bruits bizarres venant d’un autre lit de la chambre, il y a très très très longtemps !

dom dit: 19 octobre 2014 à 9h38

@19 octobre 2014 à 10 h 14 min
« Il me semblait surtout que Handke n’avait pas supporté la reconnaissance immédiate de la Croatie indépendante par l’Allemagne. Et il avait quelques raisons historiques pour ça. Après, il s’est peut-être braqué et a refusé de voir l’évolution des choses. »

De toute façon ce n’est pas le propos de ses livres – Il n’y a que les minables pour s’acharner contre lui

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 9h38

Enfin, il n’y a pas que les petits. Les grands timides aussi. J’en vois qui ont beaucoup de peine à ne pas parler que d’un seul opérateur. Comment dire, ça enfonce euh je ne sais pas, comme ça aime ?

Joachin Du Balai dit: 19 octobre 2014 à 9h38

Les hypothèses d’Artémise sont convaincantes. L’animal est définitivement débusqué.

Emmanuelle Micron dit: 19 octobre 2014 à 9h42

C’est dimanche. Pendant ce temps Monsieur Bouguereau dit bougue-rototo s’astique ce qui lui reste de manche avec l’aides son bavoir retrouvé par Hermann. Bon dimanche Monsieur Bougue-rototo.

gilles dit: 19 octobre 2014 à 9h44

« Je maintiens que la mère Duflot a un gros cul.
Le cul est signifiant.
Dans le cas de la mère Duflot, il ne relève pas de la diététique ni de l’esthétique, mais de l’éthique.
la mère Duflot (plus de cul que de tête). »

Cette fixation sur le(s) Q … ! Ya pas que wiedergégé pour finir obsédé

kicking dit: 19 octobre 2014 à 9h48

un chapeau cloche pour le QI et une robe cloche pour le QE, c’est pourtant simple non ?

Giovanni Sant'Angelo dit: 19 octobre 2014 à 9h49


…@,…kicking,!…à,…4 h 55 mn,…bon,!…

…j’ai rien compris,!…les seins durs,!…à mère rombière chochotte,!…
…c’est vrai, qu’en famille, les seins sont justes bien fermes,!…

…compter les culs pendus au sein de votre mère chochotte,!…dites vous,!…je vois l’art toys à Vendôme,!…c’est un début,!…

…Bon,!…faire vivre & animées les commentaires, laisser pour compte,!…un humanisme en se lavant les mains,!…des bricoles d’esprits, pour rester aux parfums  » Jaïpur  » de Boucheron,!…

…une glace-vanille à dégelé entre copines,!…b.c.b.g.,!…
…une participation avec des gants,!…les rêves à l’aventure,!…une mère sur le dos,!…à repasser avant,!…
…parler pour ne rien dire,!…c’est profond,!…
…Ah,!…Ah,!…encore un effort,!…Bip,!Bip,!…Go,!…
…le Toys nouveau est arriver,!…enfin, la paix,!…etc,!…
…après les  » invités – cougards « ,!…somnambules,!,…m’en taper un aux lustres des pierres de Lune,!…Ah,!…Ah,!…végétables à séchés entre deux glaces,!…

…tout un chat de langages,!…du lait & jambon,!…etc,!…préparer mon dîner of course,!…etc,!…
…les seins souples,!…Ah,!…Ah,!…

J.L.D. dit: 19 octobre 2014 à 9h55

Même quand bouguereau n’est pas là, le petit con vient nous gonfler avec son bavoir et son rototo.
T’as rien d’autre à dire, mon petit gars ? Y a pas que bouguereau dans la vie, tu sais.

Fons dit: 19 octobre 2014 à 9h56

@ la vie dans les bois dit: 18 octobre 2014 à 22 h 37 min

Bonjour chère vie,

difficile pour moi, de me retrouver parmi les nombreux commentaires postés depuis que je vous avais dit aurevoir avec la cantatrice Josefine et toutes ces petites souris sifflant avec ou contre son chant,

là je n’ai pas trop le temps pour le moment pour revenir en détail sur vos différents commentaires et comme de toute façon vous êtes sûrement parti pour cette promenade dominicale sportive dont vous parlez,

vous aviez donc bien de la chance en ouvrant ce vieux carton et d’y trouver ces notes. Écrites par un monsieur Goldschmit, vous dites? Donc le même dont monsieur Assouline parle dans son billet? Très intéressant! J’aimerais bien comprendre ce que ces spécialistes disent des textes de Kafka ou d’autres auteurs que j’aime lire, mais malheureusent comme je vous ai déjà raconté, je ne voulais pas trop écouter mes profs de lycée, il y a tellement longtemps.

Par votre phrase qui ferme votre commentaire, vous m’avais fait relire ce matin la parable de ce pauvre paysan qui voulait tellement passer par cette porte qui n’a été faite pour lui. J’aime aussi la phrase qui précède. Je ne prends pas le risque de traduire et aussi je ne veux plus embêter monsieur Wieder toujours tellement occupé, mais comme vous avez probablement le texte sous vos yeux,

›Was willst du denn jetzt noch wissen?‹ fragt der Türhüter, ›du bist unersättlich.‹ ›Alle streben doch nach dem Gesetz‹, sagt der Mann, ›wie kommt es, daß in den vielen Jahren niemand außer mir Einlaß verlangt hat?‹ Der Türhüter erkennt, daß der Mann schon am Ende ist, und um sein vergehendes Gehör noch zu erreichen, brüllt er ihn an.

Il est tellement dur ce gardien. Même en voyant que le paysan est au bout, il ne fait que que ‘brüllen’ sur le pauvre homme et fait mal à mes oreilles sensibles.

En lisant la parable je suis aussi tombé sur une page d’introduction dans ma copie de « Franz Kafka Sieben Prosastücke. » par Max Brod: dans laquelle il raconte ce qu’il a dit sur son ami Kafka dans un discours en 1964:

Max Brod (discours 1964 à Prague:

………………………………
Permettez moi une petite remarque lors de cette occasion. J’apprécie beaucoup que l’oeuvre de Kafka est aujourd’hui très reconnue et estimée dans sa ville natale. Mais ce que je n’aime pas du tout, c’est que l’une ou l’autre interprétation (pas seulement ici mais aussi dans d’autres pays) veut faire de lui un décadent, un désespéré, un romantique négatif, dans le style de Edgar Allen Poe.- Franz, qui pendant plus que vingt ans a été mon meilleur ami, que j’ai recontré une ou souvent deux fois par jour quand il se trouvait à Parague- ce Franz était plein de vie, très actif, un homme positif. Il s’intérassait à tout, aussi au sport, au théâtre, au cinéma, aux animaux, au cirque etc.
………………….

avec cette idée positive sur l’homme Kafka, je vous souhaîte une bonne promenade et bon dimanche.

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 9h58

Il a l’air drôlement énervé jeanbrun aujourd’hui. Il a dû passer une mauvaise nuit ; l’AVC le guette. Un peu de repos lui est conseillé.

Lucien Bergeret dit: 19 octobre 2014 à 9h59

À propos de Kafka.

Il notait dans son journal, le 6 Juin 1912
« À présent je lis dans la Correspondance de Flaubert : »Mon roman est le roc auquel je m’agrippe et je ne sais rien de ce qui se passe dans le monde » –Semblable à ce que j’ai noté pour mon compte le 9 Mai. »

Le 9 Mai, il avait écrit : « Commen, en dépit de toutes les inquiétudes, je repose sur mon roman telle une statue qui regarde au loin, repose sur son socle. »
(Extraits du Journal, traduction Klossowski)

D. dit: 19 octobre 2014 à 10h00

TKT dit: 19 octobre 2014 à 10 h 57 min
Ueda, Anette d’Armatan Lady Connemara, c’était moi. Vous n’étiez pas visé.

J’aime bien écrire des commentaires en signant TKT ou Ueda.
Anette de la ligne 7 est ma créature et connemarante, c’est moi quand je ne signe pas Tetram ou Fourier.
Je suis le plus fort, quand je veux faire un faux TKT, je ponctue avec fantaisie, c’est facile mais génial.

comme dirait Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 10h00

Euh, renato, j’ai presque tout lu, vous le savez, mais je ne connais pas par cœur les actes du Concile de Trente. Pourriez-vous me dire ce qu’est une cloche tridentine ? Ça manque à mon immense culture.

Emmanuelle Micron dit: 19 octobre 2014 à 10h03

à J.L.D. 11:55 : d’abord je suis une jeune fille, ensuite je vous salue bien bas, très bas, à votre hauteur

Emmanuelle Micron dit: 19 octobre 2014 à 10h09

Et puis je vous emmerde, allez vous faire enculer, pauvre raclure, comme dit votre pote rototo.

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 10h18

Une cloche tridentine est une cloche faite de trois dents, les trois dents qui reste à jeanbrun une fois qu’il a retiré son dentier. Chaque fois que je publie un commentaire elle sonne et lui rendent la vie un peu difficile à cause de ça ; ça le rend nerveux.

kicking dit: 19 octobre 2014 à 10h19

c’est qu’il en faut des révolutions pour que rien ne change.. surtout quand ceux qui peuvent se le permettre se paient une cage où y enfermer le monde n’est-ce pas..

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 10h22

Emmanuelle Micron dit: 19 octobre 2014 à 12 h 09 min
Et puis je vous emmerde, allez vous faire enculer, pauvre raclure, comme dit votre pote rototo.

Emmanuelle Micron dit: 19 octobre 2014 à 12 h 03 min
à J.L.D. 11:55 : d’abord je suis une jeune fille, ensuite je vous salue bien bas, très bas, à votre hauteur
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Ces commentaires montrent combien le monde peut changer en l’espace de 6 minutes. On appelle ça l’accélération de l’histoire. On voit où ça nous mène.

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