de Pierre Assouline

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La République des livres
Faudra-t-il protéger Kafka des kafkaïens ?

Faudra-t-il protéger Kafka des kafkaïens ?

Après tout, qui sait si la perspective de l’imaginer un jour ensevelie sous une montagne de commentaires et d’analyses n’a pas fait renoncer Franz Kafka à publier son œuvre… Son ami Max Brod, à qui l’on doit de la connaître, ne l’a pas vraiment formulé ainsi, et même pas du tout ; mais au vu des rayonnages de bibliothèques consacrés dans de nombreuses langues à la dissection de ses écrits, rien n’interdit de le penser. Ces temps-ci encore, la kafkalogie déborde en librairie.

S’il est un champ bien labouré, c’est celui-ci ; aussi se permet-on d’être exigeant avec les nouveautés. Non que l’on attende quoi que ce soit d’inédit sur sa vie qui remette en question notre intelligence de l’homme. On retrouvera certainement encore des lettres, des photos, des documents mais l’essentiel est là, le décor est planté. Tout se passe au niveau des interprétations. Elles sont ad libitum, d’autant plus que la notion même de contre-sens n’a aucun sens. Tout est permis, et s’il y a bien une doxa, il n’y a pas de vérité supérieure car la doxa est fluctuante. Au-delà du cercle des experts internationaux encartés, chaque lecteur a sa lecture, et beaucoup tiennent à ce que cela se sache. Passons sur le moins intéressant : le Kafka (traduit de l’anglais par Nicolas Weill, 240 pages, 19,50 euros, Seuil) de Saul Friedländer. L’historien israélien, connu pour ses travaux sur le nazisme et la solution finale, a mis à profit sa parfaite connaissance de l’allemand et ses origines pragoises (1932) pour relire l’œuvre de Kafka à la lumière d’un prisme exclusif ; celui-ci est exposé dans le sous-titre figurant sur la couverture : « Poète de la honte », formule enflée, lapidaire, insatisfaisante et d’ailleurs incomplète, le sous-titre de l’édition originale précisant « The Poet of Shame and Guilt ».

Il le ramène en permanence à sa haine du corps, sa honte sexuelle, ses pulsions homosexuelles, ses fantasmes sado-masochistes, son goût pour un pouvoir fort à travers son culte pour Napoléon…. On le lit, on s’accroche et on se lasse de cette réduction d’une des œuvres les plus universelles qui soient, l’une des rares qui dominent le XXème siècle littéraire ; on se demande pourquoi il s’est embarqué dans cette galère dont il n’arrive pas à sortir, fût-ce « un petit essai biographique ». Si telle était l’ambition avouée, il valait mieux renoncer. Tout cela parce que le père de Saul Friedländer a lui aussi étudié le droit à l’université Saint-Charles avant, lui aussi, d’être conseiller juridique dans une compagnie d’assurances ; parce que sa mère s’appelait Elli comme la sœur aînée de Kafka ; et que les trois sœurs de l’écrivain ont péri dans un camp comme les parents de Friedländer. Au fond, ce livre nous en apprend davantage sur lui que sur Kafka.Franz_Kafka_colourised_by_dontforgetfrank

Autre déception, mais d’un autre niveau : le chapitre « La mystérieuse contrée », consacré à la structure du Château, dans La Description du malheur (Die Beschreibung des Unglücks, traduit de l’allemand par Patrick Charbonneau, Actes sud), recueil d’essais critiques de W.G. Sebald. On s’étonne déjà de trouver ses vues sur Kafka dans ses réflexions sur la littérature autrichienne telle qu’elle s’est incarnée à travers les œuvres de Stifter, Schnitzler, Canetti, Bernhard, Handke… Sebald les réunit sous la bannière de la transgression des limites, ce qui prend tout son sens dans une société dont la culture renferme un malaise qui lui est propre : elle fait de la critique d’elle-même son propre principe. Mais qu’il s’agisse de l’impression que Kafka s’est ingénié à éliminer les indices trop évidents susceptibles de mener au sens de ce qu’il avait écrit, ou du château de Nosferatu survolé par des corneilles dans le film de Murnau comme dans le Château, on ne lit rien de neuf sous le regard pourtant admiré de W.G. Sebald (le recueil date de 1985), on repart vraiment déçu surtout si c’est pour aboutir à un lieu commun : la mystérieuse contrée où K. est conduit et d’où nul voyageur ne revient… C’est peu dire que tout cela manque d’humour, de cet humour qui devrait être le sens premier de « kafkaïen » et qui ne l’est pas comme chacun sait. L’adjectif, victime de son succès, est si galvaudé qu’il ne désigne même pas une forme ou une sensibilité, mais un aspect complexe de la réalité marqué par l’absurde, l’inquiétude sinon l’angoisse. (voir ici les aventures de l’adjectif en anglais, « kafkaesque », et ce n’est pas triste non plus).

Alors passons aussi. On en apprend davantage dans un petit livre qui ne se pousse pas du col : Sept méditations sur Kafka (Kafka y el Holocausto, traduit de l’espagnol par Gersende Camenen, 224 pages, 21 euros, Arcades/ Gallimard).  Alvaro de la Rica nous invite à déchiffrer cette œuvre à partir des cercles concentriques qui la configurent : le mariage, la Loi, la victime, le pouvoir, la métamorphose, la révélation. Entré dans cette spirale de sens dans ce qu’elle peut avoir de plus sinistre, le lecteur n’en est pas moins aspiré par le haut dans un abîme ascendant. Nul n’est assuré in fine pu décrypter les lois de cette dynamique circulaire mais qu’importe. Au vertige de la lecture du texte de Kafka se superpose celui de son interprétation, et il devient difficile de les séparer dans notre souvenir. C’est dire si les intuitions de cet essayiste espagnol sont fécondes, contrairement à celles de Friedländer qui nous laissent sur le quai.

J’avais gardé le meilleur pour la fin : Kafka (378 pages, 39 euros) des Cahiers de l’Herne, publié dans la forme et l’esprit de la célèbre collection créée par Dominique de Roux, sous la direction de Jean-Pierre Morel et Wolfgang Asholt. Ces deux spécialistes avaient codirigé, avec Georges-Arthur Goldschmidt, le colloque international de Cerisy « Kafka après « son » siècle » en août 2010 ; nombre de textes sont dérivés des interventions à ce type de rassemblement de semblables qui ne s’adressent qu’à eux-mêmes dans un langage, avec des références et sur un ton, qui ne donnent pas toujours envie de forcer la porte. A quoi ce gros ouvrage apporte le plus brillant des démentis car sa lecture en est vraiment passionnante quoi que l’on sache de cette œuvre ou que l’on ignore de cet homme. On pourrait le diviser en deux au-delà des nuances de l’imposant sommaire : ce qui est acquis et ce qui est encore en discussion.

Kafka s’y trouve bien « dans son jus », ses textes, avec notamment des extraits de sa correspondance et de son Journal, que les maîtres d’œuvre ont eu la bonne idée de confier à Olivier Mannoni afin qu’il en propose une nouvelle traduction, susceptible d’engager une nouvelle lecture, tant elle met en lumière la vigueur de la langue, l’audace des images et les constructions souvent surprenantes de l’écrivain. De quoi donner, tant de l’homme privé que de l’écrivain, « une image plus discrète et plus policée » selon Jean-Pierre Morel. Une autre originalité a été de convoquer des kafkaïens que l’on entend rarement, à savoir des metteurs en scène de théâtre ou de cinéma qui ont à se colleter à leur façon avec ses mots et ses situations ; car on apprend toujours à l’écoute des créateurs qui se sont mis dans son sillage tant son génie irradie.

Brod et kafka photo sagi bornsteinLa richesse et la densité de l’ensemble sont telles qu’elles sont irréductibles à un simple compte-rendu. Il faut y aller voir, s’y perdre par sauts et gambades, car il n’est pas d’interprétation qui dans ses pages n’ouvre d’autres portes à partir d’un autre point de vue, même si certaines analyses ployant sous les références sont particulièrement absconces. On aimerait suggérer à leurs auteurs d’inscrire au-dessus de leur table de travail en lettres de néon la boutade de Freud : «Parfois un cigare est juste un cigare ».  On aimerait tant protéger Kafka contre l’emprise délirante de certains kafkaïens ; mais, en l’absence de moyens coercitifs efficaces, on s’en remet à la puissance et à l’énergie de cette œuvre qui a montré qu’elle était capable depuis près d’un siècle de résister aux pires assauts.

Mais il n’y en a pas que pour les universitaires puisque parmi les grands anciens, on retrouve Brecht, Benjamin, Döblin, Schulz, Borges, ainsi que plus récemment Starobinski, Handke, autant de contributions auprès desquelles celles de Gide, Breton, Camus, Genet, Barthes font pâle figure. Vertu de l’interprétation dès lors qu’elle donne envie de retourner à la source. C’est le cas dès la première partie, qu’on ne lâche que pour (re)lire La Colonie pénitentiaire, parabole universelle et allégorie à grande échelle, en ayant cette fois à l’esprit les analogies de la situation (le bagne, l’île de la relégation etc) avec celle de l’ex-capitaine Dreyfus. De quoi s’agit-il au fond dans cette longue nouvelle écrite en 1914 ? De la capacité de l’homme à rester à sa place. De sa peur de ne pas être en règle. Frédérique Leichter-Flack la résume ainsi :

« Jusqu’où peut-on laisser torturer, et même impassiblement regarder torturer, quand on n’a rien d’un bourreau et tout d’un citoyen respectable et éduqué ? Plus de quarante ans avant le premier protocole de Milgram, Kafka répond sans hésiter : on peut rester et regarder jusqu’au bout. Et surtout, il nous montrer comment et pourquoi c’est possible, en nous installant au plus près de cette zone grise, aux frontières de la psychologie et de la morale, où se décide le choix de ne pas intervenir »

Inutile d’aller très loin pour y être confronté : tout lecteur peut être plongé demain dans ces affres en prenant le métro, le Rer ou le train et en étant le témoin d’un acte barbare, paralysé par son impuissance, pressé de s’interroger sur les effets qu’il aurait à subir de son intervention avant même de s’indigner de la situation. Le kafkaland est un no man’s land. L’ennemi y est sans nom, la menace d’autant plus pesante qu’elle est invisible et indéterminée. Le mot « juif » est pratiquement absent de cette fiction traversée de part en part par ce que l’intranquillité de l’Europe centrale pouvait alors avoir de profondément juif. Dans un texte inédit en français datant des années 80, Stéphane Mosès propose une exploration lumineuse de la relation entre Gershom Sholem et Franz Kafka, ce même Scholem qui avait coutume de dire à ses étudiants dans les années 30 que pour espérer comprendre la Kabbale, ils devaient commencer par lire Kafka, notamment Le Procès (à écouter ici en feuilleton mis en ondes sur France-Culture)… Il est vrai qu’à ses yeux, cette œuvre, relue à la lumière du Livre de Job entre autres, était dans son ensemble marquée par la possibilité du Jugement divin, et que c’était même là son unique sujet ! Thomas Pavel précise : « la Providence et l’autorité morale individuelle ». A ce propos, Stéphane Mosès met en lumière un paradoxe intéressant :

 « L’œuvre de Kafka reproduit sous une forme sécularisée, c’est à dire sur le mode de l’absence et de la négativité, les grands thèmes de la vision du monde kabbaliste ; on comprendra alors comment la référence aux formes de l’univers kafkaïen peut, à son tour, mettre en évidence le rôle de la négativité dans la tradition mystique du judaïsme ».

Au passage, on compatit avec tous les traducteurs, depuis Alexandre Vialatte, qui ont eu à affronter les pages de Kafka et à se creuser les méninges pour rendre en français des idées si marquées par l’humus mitteleuropéen, notamment l’Unheimlichkeit, dérivé de l’Unheimlich freudien : « inquiétance » plutôt qu’« insolite », certes, mais le néologisme écorche encore les oreilles… On s’en doute, l’allemand de Kafka est une question essentielle, la langue ayant été défigurée par le lexique nazi (voir le magistral LTI de Viktor Klemperer). Elle l’a été par la suite mais pour certains, ce jargon l’habitait déjà de longue date, comme s’il lui était consubstantiel. Commentant ses métamorphoses dans un entretien (mai 2014) bien dans sa manière, Georges-Arthur Goldschmidt, qui a notamment traduit Le Procès et le Château au début des années 80, y revient en prolongeant le débat :

« Hölderlin, je m’en étais exalté et j’avais fait mes odes comme tout le monde (l’une a même été publiée en allemand dans une revue française), j’ai assez bien connu Pierre Bertaux et ses beaux travaux sur lui, mais désormais l’écoeurement me saisit à la pensée que la philosophaille parisienne pétainiste et heideggerolâtre s’en est emparée. Devenu préfasciste entre les mains de cette clique philosopharde qui ne sait pas une syllabe d’allemand, il ne sert plus que comme objet de prédication aux écolo-nazis franchouillards du boulevard Saint-Germain et je ne puis plus l’aborder qu’avec une certaine défiance »kafka2

Faudra-t-il un jour protéger Kafka des kafkaïens ? On n’en est pas là. Maurice Blanchot prévenait dès 1945 que la vraie lecture de Kafka restait impossible car, selon que l’on s’en tenait à l’histoire racontée ou que l’on s’en tenait à sa signification, on était dans l’opacité ou dans l’obscurité, mais jamais les deux à la fois car ces deux types de lectures ne se rejoignaient jamais. Pas très encourageante. Dans La Tradition cachée (1944), Hannah Arendt assurait quant à elle que Kafka exigeait tellement de son lecteur, il lui demandait de déployer une telle activité dans l’ordre de l’imagination, il attendait tellement de lui qu’il soit le co-créateur du livre, qu’il éliminait ainsi les trois-quarts du public, notamment ceux qui avaient l’habitude de s’identifier au héros, de lire pour se dépayser, d’entrer dans la fiction par curiosité pour d’autres mondes.

A quoi un George Steiner s’oppose en voyant dans les inventions de Kafka pour le Proçès « un tour de force irrésistible en matière d’imagination et de quête métaphysique et religieuse » ; il va jusqu’à considérer son entreprise de fiction comme le blasphème réussi de la Torah qui l’a tant nourri.  Aux yeux de la philosophe, seuls les lecteurs se trouvant dans un état particulier dû à leur condition ou aux circonstances, à la recherche d’une vérité sinon d’un absolu, avaient une chance d’accéder au sens profond du roman de Kafka. Mais n’est-ce pas le cas à chaque fois que l’on se trouve face à un chef d’œuvre artistique et qu’il nous explique ce qui nous arrive mieux que nous ne saurions le faire ? Que tous se rassurent : ce franzissime Cahier de l’Herne s’adresse à tous., mais il est vrai qu’il se mérite.

(Photos National Library of Isarel et Sagi Bornstein ; dessin de Michel Kichka)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature étrangères.

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commentaires

1 616 Réponses pour Faudra-t-il protéger Kafka des kafkaïens ?

kicking dit: 19 octobre 2014 à 10h23

(et je ne parle pas d’internet, je ne suis pas journaliste de radio-télévision ni berger de troupeau)

kicking dit: 19 octobre 2014 à 10h34

j’dis pas ça pour vous froisser, ce n’est qu’un petit effort d’intégration..

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 10h35

Deneb dit: 19 octobre 2014 à 10 h 45 min
Ueda, je regarde uniquement mes pieds,

Non mais là vous êtes de mauvaise foi, invoquant la timidité ou convoquant une attitude prude, en fait les trottoirs sont affreusement sales et vous cherchez à éviter d’y mettre les pieds rompant ainsi avec la superstition qui vous hante et s’abrite pour passer incognito sous une religiosité que vous revêtez comme un isolant.

On ne peut pas à chaque fois en appeler à Guareschi, renato se lasserait dit: 19 octobre 2014 à 10h38

Mânes et lares réunis de boumou dit: 18 octobre 2014 à 11 h 40 min
Ah Ah encore un de matté.
Cher troll, si vous ne révisez pas votre orthographe, on vous identifie sous tous vos pseudos, puisque vous êtes le seul ici à écrire « maté » avec deux t.

Tiens je ne l’avais pas vu celle-là.

Cher Commentateur,
au risque de vous décevoir je sais parfaitement comment s’écrit le verbe mater.
La personne présente sur ce blog qui ne le savait pas est l’inéfable Chaloux qui s’est obstiné toute une soirée malgré plusieurs remarques.
Donc lorsque l’outre pleine de vide se permet de corriger l’orthographe d’un commentateur (un de ses vices favoris), je me permets moi de lui rappeler ses propres erreurs.
Comprendo ?

Manu dit: 19 octobre 2014 à 10h42

ueda dit: 19 octobre 2014 à 12 h 22 min
Dédé, c’est pas le plug anal de la Place de la république des livres?

Pauvre Dédé. Se faire traiter de plug anal par une face de cul, ça déclasse.

Tetram dit: 19 octobre 2014 à 10h46

D. dit: 19 octobre 2014 à 12 h 00 min
c’est moi quand je ne signe pas Tetram

D. n’a jamais signé Tetram, il faut donc chercher l’erreur.
Du côté de l’helvète ?
Très certainement.

Y'a des K et y'a des cas! dit: 19 octobre 2014 à 10h47

vous cherchez à éviter d’y mettre les pieds rompant ainsi avec la superstition qui vous hante et s’abrite pour passer incognito sous une religiosité que vous revêtez comme un isolant.
béeéréré

bêêêêréré a voulu dire kekchose en regardant ses pieds.

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 10h48

On voit où ça nous mène. _ WG vous êtes un organe important du moteur bien que chaque pièce ait son utilité et qu’il ne soit plus donné à tout un chacun d’y voir clair dans les nouveaux systèmes bourrés d’électronique activant la motorisation des véhicules prévus et revus pour une moindre pollution sans que par ailleurs nous atteignions le niveau zéro allié à une tolérance zéro drastiquement appliquée. Aussi attendons nous la poursuite de votre exposé interrompu.

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 10h48

On ne peut pas à chaque fois en appeler à Guareschi, renato se lasserait dit: 19 octobre 2014 à 12 h 38 min

l’inéfable Chaloux

Hé, tête de fion : ineffable.

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 10h55

bêêêêréré a voulu dire kekchose en regardant ses pieds.

Oui en effet, nous sommes tous influencés dans nos façons de penser par notre environnement direct, constitué par le paysage les bruits les odeurs . C’est une vieille idée qui échoua dans mon salon alors que je restais comme arrêtée en contemplation devant une façade qui s’imposait sur l’horizon qui occupait alors mon champ visuel.

Y'a des K et y'a des cas! dit: 19 octobre 2014 à 10h58

en contemplation devant une façade qui s’imposait sur l’horizon qui occupait alors mon champ visuel.

Et vous allez nous r

Giovanni Sant'Angelo dit: 19 octobre 2014 à 11h01


…bon,!…le don d’écrire,…quelques lignes, c’est pas le don du sang à perpétuité,!…
…la croix-rouge littéraire,!…

…des membrés ou démembrés à monter,!…à coller/copier,!…des maquettes à la Gloria,!Glu,!…Glu,!…en laisse le chien du désir,!…
…comme, écrire un livre,!…quel rôtis,!…vous prenez avec les deux mains,!…Oui,!…vous suivez,!…et vous mordez à pleine dents,!…Oh,!…un manuscrit tirez par les dents,!…un happy-gag à lire,!…etc,!…

Pour toi mon Chachal dit: 19 octobre 2014 à 11h21

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 12 h 48 min

Pourtant tu le sais que j’en laisse une à chaque fois.
Ta crétinerie ne t’empechera jamais de répondre.
T’es vraiment trop stupide mon outre pleine de vide.

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 11h26

Pour toi mon Chachal dit: 19 octobre 2014 à 13 h 21 min

c’est la première fois que je dialogue avec un balai de garde-robe: Très amusant…Continuons.
« Bon » « dimanche ».

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 11h41

Pour toi mon Chachal dit: 19 octobre 2014 à 13 h 21 min

Ta crétinerie ne t’empechera jamais de répondre.

Tu ignores manifestement ce que peut être l’esprit de charité, même à l’égard d’une fiente comme toi.
Cela dit, je comprends que le peu que je suis puisse inspirer cette jalousie punaisante à un microcéphale dans ton genre. Pas nouveau, hein… Contrairement à ce que tu pourrais croire, je trouve ça plutôt gratifiant.

Theatre critique dit: 19 octobre 2014 à 11h53

Le Figaro :  » La pièce de Bernard-Henri Lévy ne «s’arrête pas brutalement»  »

Quoi ? Y’a même pas une chute à la fin ?

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 12h52

Les hypothèses d’Artémise sont convaincantes. L’animal est définitivement débusqué.(Joaquin Du Balai)

Merci. Je n’ai fait qu’accomplir mon devoir de citoyenne. Il reste à démasquer l’organisation fasciste et antisémite qui se dissimule derrière la marionnette Widergänger. La sagacité de tous les intervenants de ce blog ne sera pas de trop. En attendant, je propose une mise en quarantaine drastique des posts du Widergänger, directement inspirée des précautions prises contre le virus Ebola.

albert camion dit: 19 octobre 2014 à 12h58

Une parenthèse, ou plutôt une question à l’adresse de Michel Alba : avez-vous lu « comment le peuple juif fut inventé ? » de l’historien israëlien Shlomo Sand ?
Et si oui, qu’en pensez-vous ? Ce n’est pas une question piège.
J’ai cherché dans le moteur de recherche de la Rdl et je n’ai rien trouvé. Quelqu’un sait-il si cet essai a été évoqué ici, et en quels termes ?

ueda dit: 19 octobre 2014 à 13h04

« avez-vous lu « comment le peuple juif fut inventé ? » de l’historien israëlien Shlomo Sand ? »

WG s’est montré beau joueur, et a su saluer cet essai certes imparfait mais lucide et courageux.

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 13h24

« avez-vous lu « comment le peuple juif fut inventé ? » de l’historien israëlien Shlomo Sand ? » (ueda)

Shlomo Sand, c’est aussi l’auteur de « Comment j’ai cessé d’être Juif », lucide regard sur l’évolution de la société et de la politique israéliennes.

bouguereau dit: 19 octobre 2014 à 13h24

WG s’est montré beau joueur, et a su saluer cet essai certes imparfait mais lucide et courageux.

le calçon de zouz est tout pourri d’ébola jean marron..qu’il twiste et tu tousses

Lucien Bergeret dit: 19 octobre 2014 à 13h26

@ Albert Camion
On ne trouve aucune référence à Shlomo Sand sur ce blog, mais les archives de l’ancien existent encore.
Vous trouverez un article d’Assouline intitulé Comment Shlomo Sand a réinventé le peuple juif daté du 23 Février 2010

Je lie l’adresse à ma signature

bouguereau dit: 19 octobre 2014 à 13h27

et pis faut faire que des menaces que t’es capabe de mettre a exécutuion..sinon tu passes pour un cheuloux..briquer des gibet dans ton salon, c’est au dla d’ton imagination épicétou

keupu et quelques autres dit: 19 octobre 2014 à 13h31

et revoilà enfin le vieux débris avec ses nouvelles zobsessions dont « le gibet », tu radotes vieux croupion tu radotes vieux sénile tu radotes, toujours pareil mais aussi désepérant

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 13h34

non, je ne déteste pas tous les philosophes.
j’ai un faible particulier pour Charles Feugerolles.
c’est un philosophe français du début du 17è.
il est né à Monistrol où son père était maitre artisan charpentier.
à 10 ans il a écrit « de l’harmonie du monde », mais son chef d’oeuvre reste « la société humaine » écrit à 12 ans.
hélas il est mort à 13 ans d’un infection pulmonaire.
Ses oeuvres ont été égarées quand ses parents ont déménagé de Monistrol à Yssingeaux en 1628.
Il semble qu’un de ses cahiers soit parvenu jusqu’aux Pays Bas et aient servi à Spinoza pour écrire l’Ethique, on dit aussi que Hobbes se serait inspiré de sa pensée poru écrire le Léviathan.
on a l’habitude de citer la phrase célèbre de Deleuze : Spinoza et le Christ des philosophes, mais on ne dit jamais la fin de cette phrase qui est : « Spinoza est le Christ des philosophes et Feugerolles est leur Moïse ».
Charles Feugerolles, 1612-1625, si vous allez au Puy en Velay vous pouvez vous arrêtez à Monistrol pour déposer des fleurs sur sa tombe.

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 13h39

L’organisation?
Michel Merah?

C’est pas un loup solitaire? (ueda)

Il est temps de clarifier les rapports entre la marionnette Widergänger et le patronyme « Michel Alba » qui semble lui avoir été plusieurs fois associé sur ce blog. Plusieurs hypothèses sont envisageables :

1/ Il existe réellement un Michel Alba . Dans ce cas :
a/ le Michel Alba réel ignore tout de ce que lui fait dire sa marionnette Widergänger. On se trouve dans le cas de figure classique d’une usurpation d’identité. C’est, avec l’hypothèse 2/, l’hypothèse la plus plausible.

b/ il sait ce que raconte sa marionnette. Dans ce cas, :
– ou bien il ne proteste pas, par lâcheté, peur des représailles, passivité, excessive vieillesse…

– ou bien il adhère aux élucubrations du Widergänger, ce qui laisse immédiatement supposer qu’il est un membre actif de l’organisation fasciste antisémite qu’il s’agit de démasquer, voire son principal inspirateur et idéologue. Ce serait un peu gros, ledit Michel Alba prenant le risque idiot de se démasquer lui-même. L’hypothèse semble donc devoir être écartée pour cause d’invraisemblance.

2 / Il n’existe aucun Michel Alba. Dans ce cas, « Michel Alba » n’est qu’un second pseudo fictif pour « Widergänger ».

Mme de la Vichère dit: 19 octobre 2014 à 13h39

bouguereau même le dimanche, pas de répit pour ses conneries avariées, retourne baver dans ton coin

Candide dit: 19 octobre 2014 à 13h39

Cliqué sur le lien de Lucien Bergeret :
Que sontelles devenues les pointures de la RDL de l’époque, Lazarillo, Arnaud le Transparent, Montaigneàcheval. Disparues. Nostalgie !

Sergio dit: 19 octobre 2014 à 13h41

Candide dit: 19 octobre 2014 à 15 h 39 min
Que sontelles devenues les pointures de la RDL de l’époque

Dans un camp… Ils en savaient trop !

Sergio dit: 19 octobre 2014 à 13h45

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 15 h 39 min
la marionnette

C’est pas mal… En général c’est très bien payé, on n’a pas froid on n’a pas faim…

albert camion dit: 19 octobre 2014 à 13h45

Merci pour le lien Lucien Bergeret. Lu le papier, nuancé, de Pierre Asssouline et les premiers commentaires. Il est vrai que c’est d’une autre tenue que les enfantillages du moment.

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 13h45

d’ailleurs je suis, personnellement, moi-même, en train de rédiger une biographie de Charles Feugerolles, il paraitra au seuil à la rentrée prochaine. Son titre, pour ceux que ça intéresse : « Charles Feugerolles (1612-1625) – Monistrol une nouvelle Athènes de la pensée ».
je voudrais profiter de l’occasion pour remercier Monsieur Assouline pour ses conseils pour bien rédiger une biographie plus vraie que la vraie vie qui tienne la route, d’ailleurs pour ceux que ça intéresse je peux leur donner en avant première la dédicace du livre : « je remercie Monsieur Assouline pour ses conseils pour bien rédiger une biographie plus vraie que la vraie vie qui tienne la route ».
c’est une preuve comme quoi je n’invente rien.

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 13h49

à ceux qui me demandent : à quel niveau placez-vous Charles Feugerolles dans l’histoire de la pensée et des idées si tant que les deux puissent se distinguer ?
je réponds sans hésiter une seconde : je le place très haut !
il est bon, parfois de remettre les choses à leur place !

Passé recomposé dit: 19 octobre 2014 à 13h50

Candide dit: 19 octobre 2014 à 15 h 39 min

Arnaud le transparent !!!! Armand ne sera pas content, notre belge commentatrice non plus.
Quant à MàC demandez à Chaloux ses lettres pour la Kommendantur.
Laz, de temps en temps.

radio keupu dit: 19 octobre 2014 à 13h52

bougue-rototo va exploser en plein viol, pouf c’est fait, on ramasse même pas les morceaux

bouguereau dit: 19 octobre 2014 à 13h53

le premier « ta gueule keupu » datait de ce moment là..vérifiez sur le moteur..

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 13h54

j’adore la philosophie.
d’ailleurs ce que j’aime bien sur le blog de Monsieur Assouline c’est côté philosophique, bien plus philosophique que littéraire.
on s’y rend compte à quel point l’esprit humain est capable de raison, sans perdre en délicatesse d’esprit.

il suffit de mettre 10 humains ensemble pour tout de suite atteindre l’harmonie.
des individus qui pris séparément feraient preuve d’égoïste, d’orgueil, de vanité, et d’autres trucs débiles, dès qu’on les assemble hop ! on obtient une harmonie.

c’est là une des spécificités de la nature des hommes, atteindre le meilleur d’eux mêmes dans le collectif.

si chez les humains il n’existe pas de conscience individuelle par contre il existe une conscience collective !

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 13h59

c’est pas de la vraie philo ça :
retourne baver dans ton coin, vous êtes un pauvre toquard un peu peu imbu de lui-même, quelle bande de gros connard ils font tous
abruti, aliboron, andouille, chacal, espèce de coyote, vermine, cloporte, zèbre, kouglof , boudin, saucisse à pattes, caca boudin, hortensia peroxydé, blaireau, que puis-je leur faire de bon à dîner ? des coups d’bite à l’une et un fist à l’huile de coude à l’ot baroz..c’est ce qui a de plus naturliche au finiche

Les divagations de Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 14h06

radio keupu dit: 19 octobre 2014 à 16 h 02 min

Chaloux s’incruste.

ueda dit: 19 octobre 2014 à 14h07

Charles Feugerolles, 1612-1625, si vous allez au Puy en Velay vous pouvez vous arrêtez à Monistrol pour déposer des fleurs sur sa tombe.

Je compte pisser sur sa tombe.

Si c’est en loup solitaire, c’est une mauvaise action.

Mais si on prend la photo, qu’on la signe et qu’on l’envoie encadrée à M. Julliard, ex-lycéen (mâtin), responsable de la culture à la municipalité de Paris, et futur sénateur socialiste (mâtin)?

Instant famous?

Sergio dit: 19 octobre 2014 à 14h13

ueda dit: 19 octobre 2014 à 16 h 07 min
Monistrol

Houi enfin faudrait vérifier que Deschanel est pas tombé de la micheline… Par recoupement ferroviaire !

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 14h14

« ueda dit: 19 octobre 2014 à 16 h 07 min
Charles Feugerolles, 1612-1625, si vous allez au Puy en Velay vous pouvez vous arrêtez à Monistrol pour déposer des fleurs sur sa tombe.
Je compte pisser sur sa tombe. »

désolé : vous pouvez vous arrêtER !

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 14h18

u. vous pouvez m’aider à moraliser le blog de Monsieur Assouline ?

je vous connais u., vous aussi vous pouvez agir en philosophe !
en fait c’est pas difficile, si vous voulez je peux vous coacher au début.

ueda dit: 19 octobre 2014 à 14h18

Candide dit: 19 octobre 2014 à 15 h 39 min
Que sontelles devenues les pointures de la RDL de l’époque, Lazarillo, Arnaud le Transparent, Montaigneàcheval. Disparues. Nostalgie !

C’est toi, Zemmour?

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 14h21

u. vous voulez commencer par quoi ? je pense que pour commencer le plus simple c’est d’être stoïcien, ou alors sceptique ? genre pyrrhonicien ?
si vous avez un tonneau sous la main on peut commencer par Diogène ?
il faudrait demander à greubou de se mettre aussi dans un tonneau, à 3 dans un tonneau on peut commencer à faire évoluer les idées.

ueda dit: 19 octobre 2014 à 14h26

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 16 h 21 min
u. vous voulez commencer par quoi ?
si vous avez un tonneau sous la main on peut commencer par Diogène ?

Allez devant chez Renault, hamlet, et montez dessus.

Vous aurez l’air d’un philosophe.
Un philosophe une peu daté, peut-être, mais un philosophe.

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 14h26

Clopine ! désolé j’ai lu trop de philosophes pour conserver un brin d’espoir.

d’ailleurs c’est ce qu’on pourrait reprocher de pire à votre pote Onfray : de briser les rêves des gens. sans doute fallait-il en passer par là pour permettre à ce monde d’aller jusqu’au bout de sa barbarie. si les philosophes médiatiques n’existaient pas les capitalistes les inventeraient.

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 14h29

monter sur une Renault ?
vous voulez parler de Michelin j’imagine ?

c’est comme ça que vous voyez Diogène ? comme le bonhomme Michelin ?
u. c’est pas grave, on va avoir du boulot mais ça me fait pas peur.
vous savez quoi ? on va commencer par le club des 5.
le spinozisme dans le club des 5 !
ça vous va ?

ueda dit: 19 octobre 2014 à 14h34

Le philosophe doit choisir des objets modestes.

Exemple:

Les preuves de l’existence de Jean-Michel Baylet.

Clopine dit: 19 octobre 2014 à 14h38

D’abord, c’est pas mon pote, et ensuite, vous y allez fort, Hamlet : vous cassez des oeufs !

Onfray soutient une association de réinsertion, anime une « université du goût », habite près d’Argentan et anime suffisamment d’actions collectives pour qu’on puisse au moins lui reconnaître qu’il cherche à donner espoir à certains d’entre nous. Comme par hasard, les plus pauvres, d’une part, ou les laissés-pour-compte des université officielles, de l’autre.

Ce qui ne l’empêche pas, bien sûr, de falsifier parfois la réalité, de simplifier à l’extrême le conceptuel, de passer à la télé et de vivre en vendant ses bouquins, sûrement « bien » je vous l’accorde. Mais on ne peut nier au bonhomme ses engagements aux côtés de ceux qui n’ont pas, comme lui, quitté un milieu social défavorisé.

Vous ressemblez à un papillon de nuit, gros bombyx qu’on entend bourdonner et qu’on voit se découper à contre-jour, contre la lumière, se cognant aux globes et aux abats-jours dans un vain effort d’aller au plus près. Auriez-vous à ce point peur de vous brûler les ailes ?

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 14h46

bouguereau dit: 19 octobre 2014 à 15 h 27 min
que t’es capabe de mettre a exécutuion..

en tout cas, toi, boumou, tu y es tous les jours, à exécuisson…

ueda dit: 19 octobre 2014 à 14h52

Clopine dit: 19 octobre 2014 à 16 h 19 min
mais dans ce cas, nous allons doucement mais sûrement vers un suicide collectif

C’est une course de vitesse.
Nous allons plutôt mourir de paupérisation volontaire et collective.
Enfin si l’air est pur…

ueda dit: 19 octobre 2014 à 14h55

un papillon de nuit, gros bombyx qu’on entend bourdonner et qu’on voit se découper à contre-jour, contre la lumière, se cognant aux globes et aux abats-jours dans un vain effort d’aller au plus près. (Cl.)

C’est un apologue qui fout un peu le cafard, comme « La femme des sables » de Teshigahara…

Sergio dit: 19 octobre 2014 à 15h01

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 16 h 29 min
le spinozisme dans le club des 5 !

Houi enfin le clan des sept ils sont pas mieux, seulement ils sont plus nombreux… Y a pas besoin d’avoir fait l’école de guerre pour comprendre ça !

Homelette dit: 19 octobre 2014 à 15h21

huedada 16:26 : moins daté que toi le père Sartre toujours là… tandis que toi vide, néant

Mme Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 15h22

Ce blog a rendu mon mari grossier, lui qui était si délicat et tatillon. Je vous déteste tous.

Mme Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 15h26

Le pauvre, il n’a pas eu d’autre choix que venir se venger ici. A cause de deux personnes : Pascal Quignard (le fourbe) qui a refusé de publier son autobiographie chez Gallimard, et le directeur de Pleyel, qui n’a pas voulu le programmer, alors que son récital était tout à fait au point.

Mme Bougue-rototo dit: 19 octobre 2014 à 15h28

pareil que vous Mâme Chaloux, le mien pionce, a fallu que j’l’attache sur le pucier, il en pouvait plus

Mme Bougue-rototo dit: 19 octobre 2014 à 15h30

depuis que jicé est parti se faire voir chez les grecs, il se contenait plus, déjà que côté vessie…

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 15h43

Oulala !
Il paraît qu’Hamlet habite dans le département français qui compte le plus de suicides par semaine après un certain petit coin normand où on ( .. ? )
les achève à la charcutaille ..

En plus, dans son coin sinistre .. Il n’y a que des curés ou des communistes, non ?
Pauvre Hamlet !
On ne pas lui en vouloir de tenir des raisonnements binaires et simplets (°!°) .

Pfff !!

Joachin Du Balai dit: 19 octobre 2014 à 15h47

Qu’il me soit permis, en tant que feugerollien patenté (j’ai eu à encadrer 2 thèses sur ce philosophe) et afin d’épargner à Hamlet les rigueurs de l’Université si prompte à renifler les erreurs, de corriger celle-ci : Charles F. n’a pas succombé à « un infection pulmonaire » mais bel et bien au botulisme.

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 15h50

Mme Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 17 h 26 min

Détrompez-vous, fausse Mme Chaloux, sans me vanter, je suis bel et bien monté sur la scène de Pleyel (et pas pour y passer l’aspirateur).

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 15h51

Pour le reste, il ne me viendrait pas heureusement l’idée d’écrire une autobiographie. J’ai entendu un jour, tout jeune, Henri Laborit parler du genre… Enregistré.

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 15h57

hamlet face à la « question irrésolue »

( Il est vrai, Renato
– de vous à moi, sans qu’on nous entende –
qu’Hamlet parle fort peu de sexe. )

étudiants surdoués dit: 19 octobre 2014 à 15h58

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 17 h 43 min
 » un certain petit coin normand où on ( .. ? )
les achève à la charcutaille ..  »

on apprend de ces trucs avec daaphnée !
le pendant féminin de widergand
ça explique tous succombent

étudiants surdoués dit: 19 octobre 2014 à 16h00

Hamlet parle fort peu de sexe.

n’ayant pas le privilège de connaître daaphnée la divine, comment pourrait-il avoir la révélation de la chose!

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 16h00

ça explique tous succombent

QUE tous .. !
Non, non, pas tous .. seulement les plus doués.

hi hi hi dit: 19 octobre 2014 à 16h01

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 17 h 51 min
Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 17 h 50 min

mon dieu qu’il est bête.

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 16h03

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 18 h 00 min

Tiens ..
L’usurpateur court sur pattes s’en prend à moi maintenant ..

hi hi hi dit: 19 octobre 2014 à 16h04

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 18 h 03 min

Ne vous en faites pas, Daaphnée, ça n’arrive qu’aux meilleurs.

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 16h07

ça n’arrive qu’aux meilleurs

Sans doute, U., mais je ne me sens guère flattée, même si marcher dans ce genre de commentaire porte bonheur, paraît-il ..

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 16h08

hi hi hi dit: 19 octobre 2014 à 18 h 01 min

le rire imbécile peut être le symptôme avant-coureur de maladies invalidantes et débilitantes.
A votre place, je consulterais.
Prudence!

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 16h08

ça n’arrive qu’aux meilleurs.

Aaaaaaah, la rançon de la gloire !
( Bon, avec ça, Hamlet va nous faire son intimidé ..)

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 16h09

c’est vrai, quelle chance on va avoir cette année, grâce au fabricant d’étrons qui se dépense pour nous…

Mme Bougue-rototo dit: 19 octobre 2014 à 16h14

et pis si vous saviez ce qu’il me coûte en accessoires de sécurité hors tailles, donc bavoir et pampers sur mesure, des fois la caravane déborde c’est dire

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 16h14

qui se dépense pour nous…

et sans compter !
Ô joies et cotillons,
l’année s’annonce faste .

hamlet dit: 19 octobre 2014 à 16h15

mais je n’ai jamais usurpé personne, faut pas rigoler avec ça.
je suis un philosophe, et drôlement intimidé en plus, Daaphnée a raison, je la respecte énormément.

MESSAGE DU VÉRIFICATEUR dit: 19 octobre 2014 à 16h21

Daaphnée, votre adresse de contact n’est pas valide. Veuillez la rectifier.

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 16h53

c’est vrai, quelle chance on va avoir cette année, grâce au fabricant d’étrons qui se dépense pour nous…
Chaloux

Et impossible de s’entendre ailleurs que sur un tas de fumier fumant et odorant? Je trouve l’endroit bien mal choisi, c’est pour un concours?

renato dit: 19 octobre 2014 à 16h55

« vous aimez les remises en question ou vous remettre en question… ? »

Les deux, kicking, même si mon entourage n’aime pas trop…

bérénice dit: 19 octobre 2014 à 16h55

Si oui qu’y aurait-il à y gagner sans devoir prévoir de perdre quoi que ce soit que du temps et c’est déjà précieux.

renato dit: 19 octobre 2014 à 17h54

Kafka et Welles étaient tellement différents, Phil : timide le premier et son contraire de deuxième… mais le procès de Welles, peut-être la seule erreur de Truffaut…

bof dit: 19 octobre 2014 à 18h04

je rappelle QUE DANS 8 JOURS, Passou fêtera les 10 ans de LA REPUBLIQUE DES LIVRES ouvert le 27/10/2004 par un billet sur Jean Daniel: au programme champagne Clos du Mesnil offert à ceux qui en feront la demande à partir de demain.
pour ML ce sera une caisse de rosé!

Bouquet de roses dit: 19 octobre 2014 à 18h06

renato dit: 19 octobre 2014 à 19 h 54 min
la seule erreur de Truffaut

Renato, pourquoi n’aimez-vous pas les fleurs ?

Giovanni Sant'Angelo dit: 19 octobre 2014 à 18h23


…menez en bateaux,!…roulez dans la farine,!…
…avec les formules de banquiers & tirer plus haut les liens économiques,…pour la désarticulation des esprits,!…

…la France en Xvidéo-bondage,!…nos gouvernants sur une économie d’état, au dessus de nos têtes,!…

…trop d’états, pour prendre des décisions provinciales de gestions de performance,!…
…les lois des réunions de Bruxelles,!…givrer l’€urope des Nations,!…pour avancer la concurrence mondialiste par les mêmes intérêts de rapports aux entreprises-privés du bénéfice banquier,!…

…et, la crise des banques,…lesquelles,!…transferts net, d’une banque à l’autre sur le net,!…du bluf de crise,!…pour autant en emporte le vent,!…Ah,!Ah,!…

…dépasser les limites des profits des investisseurs sur le dos des états,!…la boucle sociale,… » manger sa propre  » merde  » économique & sociale,!…
…à l’automatisation complète des transferts financiers sur le net,!…des loobying’s en passant , à s’en mettre des plus valus,!…techniques de courtiers dites à la brésilienne-Dallas,!…le ratio,!…Ah,!…Ah,!…etc,!…
…complicités des en % , des partages,!…
…la populace à jeux & abrutis, en bol de confiture,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…
…la reconversion un art,!…de banquier,!…

renato dit: 19 octobre 2014 à 18h29

« … pourquoi n’aimez-vous pas les fleurs ? »

Selon [François] Truffaut « Le procès » serait l’un des films les moins réussis de Orson Welles, parce qu’il se fonde sur une contradiction fondamentale: l’incompatibilité entre le caractère égocentrique de Welles et celui minimaliste, presque médiocre de Kafka.

(Lu il y a de là 40 circa et traduit mémoire)

Paul Edel dit: 19 octobre 2014 à 18h42

kafka c’est parfois bien, mais hermann Broch, c’est magnifique « la mort de virgile », texte absolu.

Isaïe dit: 19 octobre 2014 à 19h04

« kafka c’est parfois bien, mais hermann Broch, c’est magnifique « la mort de virgile », texte absolu. »

Difficile de comparer de les deux, à mon avis, dont le seul point commun est exclusivement la langue allemande.

Isaïe dit: 19 octobre 2014 à 19h06

« Le Procès » est le seul film de Welles que je n’aime pas, et je ne saurais pas très bien dire pourquoi.

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 19h18

« la mort de virgile », texte absolu. (Paul Edel)

Que peut bien signifier au juste « texte absolu », s’agissant d’un texte écrit de main humaine ? Une telle épithète évacue la possibilité même d’un jugement critique. Sachons garder la mesure en tout.

renato dit: 19 octobre 2014 à 19h26

« « Le Procès » est le seul film de Welles que je n’aime pas, et je ne saurais pas très bien dire pourquoi. »

Peut-être parce que Welles a réécrit l’inachevé de K. Cependant, envers et contre ça, le fond est bien rendu (traduit ?), ce qui est rare lorsque le réalisateur prend tant de liberté… peut-être que la maitrise de la forme dont W. fait toujours preuve y est pour quelque chose.

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 19h28

l’incompatibilité entre le caractère égocentrique de Welles et celui minimaliste, presque médiocre de Kafka. (Renato)

Truffaut n’est pas le seul à être sévère pour ce film. Voir aussi l’analyse de Paolo Mereghetti. Pour moi, le goût pour la démesure, caractéristique du style cinématographique de Welles, et qu’on retrouve dans les décors du film, ne cadre guère avec la tonalité du roman. L’interprétation d’Anthony Perkins pose elle aussi problème.

Place Vendôme dit: 19 octobre 2014 à 19h32

Un artiste, quoique l’on puisse penser de ses oeuvres, est « interdit » par la violence d’exposition Place Vendôme.
Tous les Chaloux de France vont crier victoire.
Merdre à eux et que leur joie infamante les étouffent.

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 19h41

Bien sûr La Mort de Virgile on ne s’en remet pas tellement c’est beau. On rêve de faire pareil.

Un jour, j’écrirai la mort du grand empereur chinois, celui qui a inventé l’Académie de peinture en Chine et est mort prisonnier en Mandchourie. Son histoire est fabuleuse. Ce sera mon deuxième chef-d’Ouvre après Ce qui nous traverse.

Je sais, mes chéris, jeanbrun va partir au quart de tour là, je le sens déjà frétiller de la queue…

Prince Elmer 1er dit: 19 octobre 2014 à 19h41

Nous avone été surpris par la décoration hors les murs de l’hotel sur la Place Vendôme.

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 19h44

J’aime bien les considération de petits pète-sec de jeanbrun à propos du film de Welles. Il ne lui manque plus que l’attaché case et la cravate ; sans oublier les pop corn à l’entracte..

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 19h46

Si Passou ne m’envoit pas une caisse de rosé pour ses dix ans de Rdl, c’est que vraiment il est pingre.

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 19h53

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 21 h 41 min
Ce sera mon deuxième chef-d’Ouvre après Ce qui nous traverse.

Une lecture-supplice qui commencera très bien et finira très mal.

Phil dit: 19 octobre 2014 à 19h54

Les coproductions de cette époque donnent l’impression d’acteurs qui ne se comprennent pas. Double situation kafkaïenne, avec celle de Welles ruiné et viré de Hollywood. Fait beaucoup de Kafka à la fois. Welles aurait dû faire le guépard, mais trop américain. Nobody’s perfect

Place du peuple dit: 19 octobre 2014 à 20h04

Place Vendôme dit: 19 octobre 2014 à 21 h 32 min

Un artiste, quoique l’on puisse penser de ses oeuvres, est « interdit » par la violence d’exposition Place Vendôme.

Et que dire alors de la VIOLENCE de ces « statues » imposées par le monde de l’ art financier dans l’ espace public?

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 20h08

La fille du chef du Hamas à Gaza hospitalisée à Tel Aviv

L’hôpital Ichilov confirme avoir admis le mois dernier durant quelques jours la fille d’Ismaïl Haniyeh

La fille de l’ancien Premier ministre du Hamas à Gaza Ismaïl Haniyeh a été hospitalisée le mois dernier à Tel Aviv dans l’unité de soins intensifs de l’hôital Ichilov, rapporte dimanche soir l’agence de presse Reuters.

La direction de l’hôpital israélien a confirmé l’information. « L’hôpital Ichilov confirme que la fille d’Ismaïl Haniyeh a été effectivement hospitalisée pour un traitement médical durant quelques jours. Elle est l’une parmi plusieurs milliers de patients palestiniens de la bande de Gaza et de l’Autorité palestinienne, adultes comme enfants, qui sont hospitalisés chaque année chez nous pour des traitements divers ».

Le leader terroriste palestinien Ismaïl Haniyeh, l’un des plus implacables ennemis d’Israël, est père de 9 enfants.

En novembre 2013, la petite-fille d’Ismaïl Haniyeh avait également été transportée dans un hôpital israélien dans un état critique, suite à des problèmes gastro-intestinaux et neurologiques, selon des médias arabes.

« S’il vous plaît, priez pour sa guérison et son retour à la maison », écrivait alors le fils du chef terroriste palestinien sur sa page Facebook.

Selon les mêmes sources, le transfert exceptionnel de l’enfant dans un hôpital israélien avait été le fruit de la coopération entre les autorités israéliennes et le ministère palestinien de la Santé.

La fillette, dans un état critique, dont les médecins israéliens avaient conclu qu’elle était incurable, avait finalement été renvoyée sur demande de sa famille à Gaza où elle est décédée une semaine plus tard.

En juin dernier, soit un mois avant l’opération Bordure protectrice et quelques jours avant l’assassinat des trois adolescents israéliens, les autorités israéliennes avaient autorisé la belle-mère d’Ismaïl Haniyeh, à entrer en Israël pour y recevoir un traitement médical.

La femme, âgée de 68 ans, atteinte d’un cancer, avait été hospitalisée à l’hôpital Augusta Victoria, à Jérusalem.

Ismaïl Haniyeh s’est caché pendant toute la durée de l’opération israélienne Bordure protectrice durant l’été. Les services de renseignements israéliens suspectent Haniyeh ainsi que le reste de la direction du Hamas de s’être terrés dans les sous-sols de l’hôpital al-Shifa de Gaza. Le leader terroriste a réapparu dès l’instauration de la trêve devant les ruines de sa maison détruite lors d’un raid de l’aviation israélienne.

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 20h14

Kafka c’est le versant psychotique de la création littéraire, Broch c’est le versant névrotique. Faut lire l’ouvrage de Didier Anzieu, Le Corps de l’œuvre sur la création littéraire pour le comprendre.

Popaul ne comprend pas tout ce qui a à voir avec le versant psychotique de la création parce qu’il appartient au versant névrotique. Pour leversant névrotique il a des atomes crochu. Mais tout ce qui est du versant psychotique il y entrave que quic ! Pascal, Kafka, etc. ils appartiennent au versant psychotique.

Moi, j’appartiens au versant psychotique et j’ai du mal à saisir le versant névrotique : Stendhal c’est le versant névrotique, je n’y ai pas accès, je ne peux le comprendre qu’intellectuellement mais je sais que je ne sens rien ou pas grand chose. On n’y peut rien, c’est comme ça.

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 20h17

Kafka, je ne le comprend pas intellectuellement, je le sens avec mes trippes avant de comprendre quoi que ce soit. C’est mon monde, je le sais.

Stendhal, c’est pas mon monde, je le sais aussi. Et je sais pourquoi.

Chaloux dit: 19 octobre 2014 à 20h20

Widergänger dit: 19 octobre 2014 à 22 h 14 min
Kafka c’est le versant psychotique de la création littéraire

Des fois, j’en ai marre de lire des conneries d’un tel niveau. Hallucinant.
Kafka, WGG, vous êtes bien trop primaire pour en saisir le premier mot.

la vie dans les bois dit: 19 octobre 2014 à 20h29

Fons dit: 19 octobre 2014 à 11 h 56 min
Bonsoir Fons, effectivement la course du jour fut un peu hard; comme chaque année, j’ai fait un Grand Som, dans un grand silence … autant vous dire qu’il ne fallait pas dormir debout.
J’aime bien cette idée- la vôtre- de donner une idée positive de Franz Kafka. Qu’il ait des amis ( je l’avais aussi compris: qui ont aussi contribué à son éducation…). Je m’accorde à penser que c’est quand même fou qu’il ait pu donner prétexte à autant de déviances perverses… je n’ai pas la forme ce soir (fatigue physique)pour développer sur ce véritable scandale qu’est cette « chose » de Goldschmidt:  » celui qu’on cherche habite juste à côté »
Une petite histoire personnelle,j’avais à table ce soir quatre jeunes personnes, je vous passe le sprint pour dresser la table et le reste,alors qu’ils jouaient à un jeu, genre le 12 coups de midi, je leur ai demandé: Z’avez lu Kafka ?
Seul le plus âgé ( 30 ans) m’a dit spontanément:
– « lettre au père » et puis je ne me souviens plus , les métamorphoses ? »
Beaucoup de fatiguue ce soit Fons, je reviendrai demain ou après.
J’ai aussi noté cet emprunt d’amlet à la philo allemande à 15h54
Bonsoir.

Artémise dit: 19 octobre 2014 à 20h42

Si Passou ne m’envoit pas une caisse de rosé

M’en doutait…

Pour leversant névrotique il a des atomes crochu.

il y entrave que quic !

je le sens avec mes trippes (Widergänger)

Le gang antisémite toujours pas identifié qui manipule la marionnette Widergänger ferait bien de surveiller son ortograf. Au vu d’un pareil festival, je pencherais pour des salafistes de l’avant-dernière génération.

Sergio dit: 19 octobre 2014 à 20h49

Daaphnée dit: 19 octobre 2014 à 17 h 57 min
parle fort peu de sexe

Hon peut mettre du silence, ou alors de la musique rupestre… Y a que le cognac d’après Charles-Maurice où on en parle monsieur…

WienerSchnitzel dit: 19 octobre 2014 à 20h58

Merci pour le lien sur l’opinion de Handke. Ne lisant pas l’Allemand, voici ce que j’obtiens par Google Translate, même si je sais que c’est un peu facile :
. . . Modiano faire ce qu’elle vorschwebe, comme Handke, et le résultat alors planer. . .

D. l'authentique (et authentifiable) dit: 19 octobre 2014 à 21h08

Cela faisait bien longtemps que je n’étais pas venu sur ce blog voir ce qui s’y passe et éventuellement m’y exprimer.
Je regrette qu’au lieu d’y parler de Kafka, on échange à longueur de journées sur des futilités.

kicking dit: 19 octobre 2014 à 21h14

même si mon entourage n’aime pas trop…

vous manquez malgré tout de libre arbitre il me semble..

Mme Michu dit: 19 octobre 2014 à 21h19

D. l’authentique (et authentifiable)

Oui, bon ça fait W. On peut passer à autre chose ?

renato dit: 19 octobre 2014 à 21h31

« … libre arbitre… »

Cela ne dépend que des informations…

Et vous, vous êtes en excès ou en défaut ?

Giovanni Sant'Angelo dit: 19 octobre 2014 à 21h42


…pour finir mes retouches sur mes boiseries,…aux couleurs Levis satin,!…of course,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…bien mélanger avant l’emploi,!…un oeil sur Kafka,!…
…presque sec,!…sans mouches,!…Go,!…

Sergio dit: 19 octobre 2014 à 21h48

la vie dans les bois dit: 19 octobre 2014 à 23 h 31 min
mettre à la page.

Houi mais… Comment dire ? On dirait qu’il chante avec des mots… C’est vraiment bien curieux, cela… Hors du Voltage Control Oscillator et du Low Frequency Oscillator les chances de salut tendent vers le fond du puits…

D., le même dit: 20 octobre 2014 à 22h00

Bérénice, ce soir j’ai mangé des lépiotes élevées à la crème et à l’ail. C’était tellement bon que j’en ai pensé à vous.

bérénice dit: 20 octobre 2014 à 22h46

D si vous ne pensez à moi qu’en mangeant nous n’allons pas nous rencontrer, la digestion ne m’a jamais vraiment inspirée que de la purée enfin aucune poésie et encore moins de philosophie.

Daaphnée dit: 20 octobre 2014 à 4h14

Hon peut mettre du silence, ou alors de la musique rupestre… Y a que le cognac d’après Charles-Maurice où on en parle monsieur…

Ah, Sergio, vous me faites sourire … bien sûr qu’il nous faut préserver la pudeur des émotions. D’ailleurs avez-vous remarqué comment, par exemple, notre Boug’ qui lance force provocations grivoises en fait preuve ?
Il en va de même du silence et d’une certaine tonitruance, les deux enveloppent et protègent assez bien les secrets ..

Mme Michu dit: 20 octobre 2014 à 4h58

Allez savoir, peut-être même que cela permet à des plugs verts d’échapper au topping chocolat.

Daaphnée dit: 20 octobre 2014 à 5h00

Kafka c’est le versant psychotique de la création littéraire (…) Stendhal c’est le versant névrotique – ML

Tiens, il ne nous manquait plus que cela comme entrée dans le monde étrange de cet obscur objet littéraire et objet du désir de notre Wiwi !
Je veux bien que l’on fasse des lectures psychologisante des oeuvres .. mais tout de même, que vous y ayez accès par tel ou tel aspect de votre conformation psychologique dont vous avez le sentiment qu’elles convoquent en vous, ne les rend pas pour autant réductibles à ces deux catégories (?) que vous voulez identifier ..

Parlez-nous plutôt de leurs auteurs dont vous diriez que le premier serait psychotique quand le second serait névrosé ..

Quant aux oeuvres, leur particularité est bien à peine achevées, d’échapper à leur créateur et de se prêter à une lecture plurielle – passons sur les lectures naïves .. – alors, si vous tenez absolument à voir dans la création littéraire et dans la création en générale, la production de profils psychologiques restons-en à l’art brut et collons-y Artaud !

Il me semble plus intéressant de partir de l’idée qu’à l’origine de la création il y a le désir avec comme corollaire, le manque ..
Et,
et que là se nouerait un rapport, tant de la part de celui qui crée que de celui qui reçoit l’oeuvre, une relation oscillante entre passion (Eros), communion (agape) et relative proximité ( philia )
..
Quelque chose donc, qui met probablement bien en jeu du psychologique mais qui va bien au-delà et qui ne préjuge pas de comment cela va travailler, quand bien même vous ne voudriez pas que cela « travaille » en vous.

Vous avez lu, c’est fait.

Daaphnée dit: 20 octobre 2014 à 5h13

( et juste comme cela, je passe lire de temps à autre PE et savez-vous pourquoi j’aime bien le lire? Parce qu’il est dans une communion avec ce qu’il lit et avec celui auquel il fait passer sa lecture ..
Cela ne signifiant pas pour autant que je serai d’accord avec ce qu’il dit; la question n’est pas d’être d’accord ou non. Dissocier l’intellect des « tripes, comme vous dites, me semble être une fragile défense )

Fons dit: 20 octobre 2014 à 6h08

Daaphnée, je vois que pendant que je vous ai écrit au sujet de votre

Daaphnée dit: 20 octobre 2014 à 6 h 14 min

vous avez ajouté d’autres commentaires. comme mon petit déj m’attend, je poste quand même et excusez moi si jamais il y a des contradictions avec vos commentaires suivants que je n’ai pas encore lus.

@ 6h14
Daaphnée

en entrant à la République ce matin pour voir si ‘vie’ était de retour de sa promenade dominicale je m’attendais à devoir de nouveau passer par le hurlement de la garde républicaine qui comme j’ai constaté les derniers jours, ne dort plutôt jamais et me fait penser assez à ce gardien hurlant faisant peur au pauvre paysan cherchant à entrer LA LOI dans la parabole « Devant la Loi » dont j’ai parlé hier avec ‘vie’. Vous me voyez donc aussi assez surpris que la garde semble être arrivée à se permettre un petit somme et avoir passé une nuit tout en silence . Ou est-ce le cognac qui vous mentionnez, a fait son effet.

Comme vous parlez de musique et de silence, cela me fait penser de nouveau à l’autre histoire « Josefine » dont j’ai parlé avec ‘vie’ et qui, si vous me permettez un petit essai d’amateur de traduction, comme Wieder aussi il doit encore dormir:

« Joséphine, la cantatrice ou le peuple des souris.

Notre cantatrice s’appelle Joséphine. Celui qui ne l’a pas entendue, ne connait pas le pouvoir du chant. Il n’y a personne qui ne se laisse emporter par son chant, ce qui doit être apprécié même plus, vu que notre espèce en général n’aime pas la musique. Une paix silencieuse est notre musique favorite; notre vie est difficile, nous n’arrivons pas , même après avoir essayé de nous distancer de tous les soucis journaliers, de nous lever vers de telles choses si loin de notre vie habituelle, comme la musique. »

je vous mets quand même le texte original car en lisant mon essai de traduction je constate de nouveau que traduire Kafka c’est trop dur et un lecteur doit se perdre dans mon essai de garder la construction un peu compliquée des phrases de Kafka. Je n’ai aucune idée comment les traducteurs s’y prennent, est-ce qu’ils vont carrément à changer les tournures de phrase pour faire la vie plus facile à leurs lecteurs pour s’en sortir, ou est-ce qu’ils essaient à rester aussi près du texte original en risquant que leurs lecteurs se perdent. Par exemple pour la dernière phrase de du petit passage, avec mon pauvre français je n’arrive pas à traduire le tout simple « wie es die Musik ist ». Si j’ai bien compris, il y a quand même des rdliens très forts dans les deux langues, c’est un peu dommage que les gardiens hurlants ne les laissent pas passer à moins que les gardiens ne les forcent de hurler avec eux, car comme les souris de Josephine nous le disent, c’est dur la vie quotidienne, surtout comme selon la parabole sur la LOI, il y a toujours un gardien au dessus, dont on a tellement peur qu’on risque même pas de le regarder en face et de montre son visage, et la seule chose à faire c’est de joindre le hurlement du gardien supérieur, mais comme toute chose a aussi son côté positif, il y a au moins le nombre des commentaires qui atteint des chiffres impressionants.

« Unsere Sängerin heißt Josefine. Wer sie nicht gehört hat, kennt nicht die Macht des Gesanges. Es gibt niemanden, den ihr Gesang nicht fortreißt, was umso höher zu bewerten ist, als unser Geschlecht im ganzen Musik nicht liebt. Stiller Frieden ist uns die liebste Musik; unser Leben ist schwer, wir können uns, auch wenn wir einmal alle Tagessorgen abzuschütteln versucht haben, nicht mehr zu solchen, unserem sonstigen Leben so fernen Dingen erheben, wie es die Musik ist. »

Oh me je me perds de nouveau dans les bavardages et je n’ai même pas encore répondu à ‘vie’ sur cette affaire du cahier de note qu’elle a découvert dans une boîte perdue et qui semble quand même l’intriguer assez bien. Mais comme elle se dit tellement fatiguée de ses efforts d’hier, elle n’est sûrement pas encore levée. Si jamais vous croisez la vie, dites lui que je vais lui répondre plus tard dans la journée.

bérénice dit: 20 octobre 2014 à 6h37

«  »Voici donc que le décalage de l’écrit, du corps, de ses gènes se verse sur le papier, produit une coupure, un écartèlement, une vie autonome, une habitation. Habitude et habitation étant bouturées selon une même translation. Cela produit l’effet d’une demeure qui serait comme une troisième vie dirait Biran, une demeure qui « est –je cite Derrida- à la fois une blessure et une ouverture, la chance d’une respiration (…) –comme si la machine, la quasi-machine opérait déjà, avant même d’être techniquement produite dans le monde » »

http://strassdelaphilosophie.blogspot.fr/2014/10/restes-jean-clet-martin-colloque.html

Fons dit: 20 octobre 2014 à 7h12

renato dit: 20 octobre 2014 à 8 h 44 min

renato je ne comprend qu’un tout petit peu votre langue et comme je viens juste de décider de faire un petit tour à Paris pour suivre les traces de Modiano, je n’ai pas le temps de vor plus près, mais est ce que votre lien signifie que certains gardiens de la république pourraient risquer de frapper à la porte de la LOI de Kafka?

renato dit: 20 octobre 2014 à 7h24

Fons,
je crois que pour au moins un de ces gardien, la RdL fonctionne comme la Machine de la « Colonie pénitentiaire »… déjà ses mots sont gravés sur sa peau virtuelle, nous attendons patiemment que la Machine se « dérègle »…

Clopine dit: 20 octobre 2014 à 7h44

Renato, y’a-t-il une traduction possible du lien que vous avez mis en ligne, concernant la condamnation des trolls en Grande-Bretagne ? Les pratiques perverses d’un Bergeret, dont on peut prendre connaissance en fouillant dans les archives et commentaires du « blog de lucien bergeret »,où l’imprudent a commis l’erreur de commenter ses pratiques perverses, pourraient-elles y correspondre, d’après vous ?

Merci d’avance de votre réponse.

keupu favori dit: 20 octobre 2014 à 7h58

attention aux usurpations ! exemple : quand le vrai COURT va se fâcher… VIVEMENT LA RÉGULATION

renato dit: 20 octobre 2014 à 7h59

Clopine,

la peine est maintenant de six mois (au Royaume Uni), le Ministre propose de la multiplier par 4 (2 ans).

Je ne connais pas les agissement de L. B. ; il me semble cependant que les moyens dont la France dispose déjà suffisent largement afin de réprimander l’insulte et la menace.

bouguereau dit: 20 octobre 2014 à 8h02

Plus de quarante ans avant le premier protocole de Milgram

milgram..ma mère lassouline..c’est même pus un maronnier pour canard de salle d’attente de coiffeur..avants c’était la lecture fait pousser les seins..aujourdhui la pornographie diminue les spermatozoide..ou les jeux vidéo font rater dracul au tir a 300m sur une bouteille de kro

bouguereau dit: 20 octobre 2014 à 8h06

réprimander l’insulte et la menace..

l’insulte ça vaut pas tripette pour les tribunaux rénato..tu peux te casser aprés tout..la menace oui..faudrait pousser bergeret à foute le feu a ta grange et a tuer ton chien clopine..pire si mésentente cordiale..et là il est a ta pogne bergeret

bouguereau dit: 20 octobre 2014 à 8h09

les jeux vidéo font rater dracul au tir a 300m sur une bouteille de kro

et de 33!..dracul à cause de granséfauto perd complétment la main..pire il se fait descende par son prope partenaire dans une rue borgne de la grosse pomme..moi jme méfie dracul..dans les jeux en ligne les premiers que je dégomme c’est les copins..

bouguereau dit: 20 octobre 2014 à 8h13

et là il est a ta pogne bergeret

..moi je m’embusque et je le fume..avant j’ai fait un grand trou dans un lieu connu de moi seul dans le bocage..et hop..évidemment je fais un film..’adios bergeret’ que ke l’appelle..2 myon de visiteurs jour..ça c’est du bon boulot clopine

keupu favori dit: 20 octobre 2014 à 8h18

tu vas pas te marrer tout le temps, bougue-rototo, fais gaffe, notre vengeance sera terrible… RÉGULATION (en attendant rajuste ton bavoir)

Et jambrun fait court dit: 20 octobre 2014 à 8h24

Chaloux fait encore son keupu, la journée risque d’être longue.

bouguereau dit: 20 octobre 2014 à 8h27

notre vengeance

c’est la petite main du bourreau..c’est à yavé qu’y faut se plaindre d’être une paire de nullos les aminches..

keupu favori dit: 20 octobre 2014 à 8h36

vieux débris, tu commences à avoir les jetons, la trouille, les chocottes, les foies, les grelots; quant au « bourreau » regarde-toi dans la glace (après avoir arrêté de bavocher)

D. dit: 20 octobre 2014 à 8h53

Si la France n’a pas réussi à imposer l’écotaxe qui devait lui rapporter 3 Milliards / an, il est illusoire de penser qu’elle réussira à faire 50 Milliards d’économie en imposant des réformes.
Un des exemples de cette incapacité à gérer correctement le budget se trouve dans le musée Picasso.
Ouvert en 1985 après des travaux considérables et fort couteux, il est fermé 25 ans après pour de nouveaux travaux considérables et fort couteux, alors qu’un budget bien mené n’aurait dû autoriser qu’un rafraichissement.
Pendant ce temps-là des centaines d’édifices religieux se dégradent un peu partout en France.

Deneb en abime dit: 20 octobre 2014 à 9h07

@ Ducornaud nous dit: « Ouvert en 1985 après des travaux considérables et fort couteux, il est fermé 25 ans après pour de nouveaux travaux considérables et fort couteux, alors qu’un budget bien mené n’aurait dû autoriser qu’un rafraichissement.
Pendant ce temps-là des centaines d’édifices religieux se dégradent un peu partout en France. »

Que voulez vous D.-le-bedeau, les églises attirent moins les touristes que les musées. Mais vous, grande grenouille-de-bénitier, vous pourriez vous proposer comme main-d’œuvre gratuite pour balayer les églises.
Vous êtes un génie, pourquoi ne pas vous faire élire conseiller municipal à la mairie d’Aurillac ?

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