de Pierre Assouline

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La République des livres
Fin de la biographie définitive

Fin de la biographie définitive

S’il y a un effet collatéral, discret mais remarquable, à la récente exhumation non sans fracas de manuscrits inédits de Genet, Proust et Céline, c’est bien celui-ci : l’éclatante vacuité de l’expression « biographie définitive ». Celle-ci nous vient du milieu éditorial anglo-saxon, les Etats-Unis et l’Angleterre ayant été et demeurant les terres promises de ce genre littéraire. Peu de biographies échappent à ce label. Généralement, dès que leur épaisseur excède cinq cents pages, elles sont aussi présentées et promues comme « monumental » – ce qui en impose et fait penser à une réflexion de Pierre Alechinsky : « On dit d’un peintre qu’il fait dans le monumental dès lors qu’il monte sur une échelle ». Mais si en sus, l’auteur en question a passé un certain nombre d’années à effectuer des recherches, qu’il dit avoir interrogé quelques centaines de personnes et compulsé un grand nombre de documents inédits, son œuvre sera aussitôt consacrée non sans emphase comme « a definitive biography » avec ce cela suppose de décisif, d’irrévocable, d’exhaustif et de final. Tout récemment, le  Churchill  d’Andrew Roberts, le Pessoa  de Richard Zenith, le Sebald  de Carole Angier n’y ont pas échappé. Et comme en France nous n’aimons rien tant qu’importer souvent le pire des mœurs étrangères sans le moindre esprit critique, on a vu fleurir ces dernières années sur des bandeaux et publicités, si ce n’est sous la plume des critiques, cette expression extravagante.

Maurice Thorez n’aurait pas pu dire « Il faut savoir finir une biographie ! » car une biographie n’est jamais achevée. Sa vocation est même de demeurer inachevée. Comme si ce type de recherche pouvait jamais être clos ! Comme si on pouvait assurer qu’aucune découverte ne pourrait jamais remettre en cause le fragile édifice, l’incertaine mosaïque, le puzzle précaire de la reconstitution d’une vie et d’une oeuvre ! Passe encore s’agissant d’une vie de Jules César (quoique…). Mais celle d’un contemporain, de quelqu’un dont la vie et l’œuvre ne sont pas encore achevées !

Il y a toujours quelque chose de plus à chercher et quelque chose d’autre à trouver, qu’il s’agisse d’un document, d’un témoignage, d’une lettre, d’une archive ou, s’agissant des temps plus reculés, d’un éclairage qui autorise une interprétation différente et, partant, modifie le regard tant sur l’homme que sur l’œuvre. Mais qu’on se rassure : la « dernière » biographie d’une personnalité n’est que la dernière en date et non l’ultime.

Depuis 2019, les spécialistes de Jean Genet se sont enrichis du contenu de trois valises (carnets, cahiers, bloc-notes, lettres, dessins, scénarios avec les brouillons d’Un Captif amoureux, les textes sur les Black Panthers et les Palestiniens) que son avocat Me Roland Dumas, à qui il les avait confiés, avait conservé par devers lui pendant trente-trois ans. Cette même année fut décidément féconde pour les chercheurs puisque les proustologues eurent enfin accès aux centaines de pages (ébauches, fragments, bouts de textes de jeunesse et autres inédits traitant notamment de l’homosexualité) récemment publiés sous le titre Le mystérieux correspondant et autres nouvelles. Ce coup de tonnerre fut suivi d’un autre encore plus essentiel pour comprendre la matrice de la Recherche du temps perdu et paru sous le titre Les Soixante-quinze feuillets. Enfin, les céliniens ont été également secoués ces jours-ci par les milliers de pages inédites que Céline disait lui avoir été volées à la Libération -mais on ne le croyait pas.

Le germaniste et traducteur Serge Niémetz a eu le courage et l’honnêteté, lors de la réédition (2011), quinze ans après de sa grande biographie de Stefan Zweig, le voyageur et ses mondes (1996), de l’augmenter d’un avertissement et d’une postface. Il y confiait n’avoir jamais cessé depuis de remettre l’ouvrage sur le métier en cherchant et en s’interrogeant encore ; ainsi, si le biographe devait retoucher sans attendre (ce qu’il s’est gardé de faire), ce serait par exemple à propos de Romain Rolland, grand ami de Zweig : la consultation de son Journal à la Bibliothèque nationale engage à être plus critique et à prendre ses distances vis à vis de lui. De son propre aveu, des centaines de lettres de l’écrivain viennois sont encore inédites ; même s’il doute fort que son portrait de l’homme et son intelligence de l’œuvre en soient jamais modifiées, il a la curiosité d’aller sans cesse voir du côté de ce qui pourrait bousculer son image de l’écrivain. C’est ainsi : un biographe n’en a jamais fini avec la vie des autres dès lors que ces autres ont occupé sa vie.

(« Portrait de W. G. Sebald, Paris, 1998. Photo de Francesco Gattoni »)

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937 Réponses pour Fin de la biographie définitive

D. dit: à

Hier, un évènement extrêmement curieux. Je quitte l’appartement en mettant sous alarme et paf 30 minutes plus tard la société de surveillance m’appelle, me disant qu’ils seraient sur place d’ici 5 minutes suite aux alarmes et tout et tout.
Ils arrivent, entrent : pas d’effraction nulle part, absolument rien de dérangé, rien de volé, tout normal partout. Je demande à récupérer les images que j’analyse.
Au premier abord rien dessus. Mais en fait si. En regardant à fort zoom l’image de mon canapé refletée dans l’écran de mon grand téléviseur (éteint), éteint, je distingue trois formes grises de taille décroissante. Une grande à gauche, une moyenne au milieu et une assez petite à droite. Pas vraiment humanoïdes, mais néanmoins bien « assises » sur le canapé. Des espèces de sacs, un peu flasques mais aux contours nets, de couleur incertaine mais vraisemblablement grisâtre, l’impression d’une texture de gel.
Voilà ce qui se passe en mon absence.

Patrice Charoulet dit: à

Plusieurs intervenants s’appliquent à déformer les mots français que l’on trouve dans le Larousse, le Robert, le Littré, le TLF… Quel est leur but ?Parfois, on croit lire du chinois. Pourquoi choisir un blog littéraire influent pour faire ça ? Pierre Assouline est-il réjoui ?

D. dit: à

C’est toi, Delaporte

x dit: à

@ 3 J 
Mine de rien, dans vos remarques à propos du roman de T. Viel vous mélangez des perspectives différentes, en passant de considérations spécialisées, un « crepidarianisme » si vous préférez (quand vous vous souciez de la vraisemblance des personnages de policiers) à une critique normative sur le rapport souhaitable à vos yeux entre un écrivain et son sujet (pas très limpide, mais normative quand même). Est-il question alors du genre (M/F) de l’auteur ou du genre (auto- ou exofiction) du texte ou du croisement des deux (apparemment, une seule des combinaisons possibles vous semble alors recevable) ?
À cela vous ajoutez un autre critère, le genre (M/F) d’un personnage et/ou de sa référence dans le monde réel (son « modèle »), flic/ »fliquette », dont le comportement serait uniforme (non susceptible de varier en fonction d’autres caractéristiques) et donc déterminé. Sans pour autant expliciter ce comportement (ces déterminations particulières) vis-à-vis des profanes, ceux qui ne voient pas trop pourquoi le recours à un personnage de « fliquette » aurait fichu le roman en l’air.
Puisque vous êtes là dans votre domaine, pourriez-vous fournir quelques précisions ?

Mais je vous confirme que cet aspect ne relève pas vraiment de la critique littéraire, même si en régime « réaliste » et à propos d’un roman s’appuyant sur la plainte et la re-description des faits à laquelle elle donne lieu, cette vraisemblance acquiert de l’importance (ce n’est pas alors un point de détail, négligeable).
Une analyse proprement littéraire s’attacherait (aussi, surtout) à d’autres caractéristiques de ce roman pour l’évaluer, car c’est bien ce que vous faites (« plus fort »).
Elle noterait par exemple que le procédé n’est pas le même que dans le précédent roman de Tanguy Viel, Article 353 du Code pénal : le dépôt de plainte joue certes un rôle central (à plus d’un titre), il y a bien réminiscence devant des représentants d’une institution, mais on a cette fois affaire à un récit à la 3ème personne, et qui ne se confond pas avec ce quasi-monologue. J’évoque cette différence parce qu’elle me semble importante par rapport à vos remarques, à l’angle que vous avez choisi. D’autres aspects mériteraient d’être mentionnés, mais ils n’intéresseraient probablement que ceux qui ont déjà lu ce roman.

Alexia Neuhoff dit: à

« Parfois, on croit lire du chinois. » P. Charoulet
Non, non, pas du « chinois » même si ceux qui se livrent à ces brutalités lexicales sont bel et bien les mandarins du blog, un peu malandrins ou plaisantins aussi. Après tout, l’alphabet reste latin.

et alii dit: à

ON peut rappeler à DHH que nombre de personnes considérées comme des génies dans « notre système »n’ont jamais été scolarisées avant qu’il daigne baisser les yeux sur elles;
des contributeurs de la toile l’ont fait; merci à eux

DHH dit: à

@Jibé
il y a plus grave que la situation que vous decrivez s’agissant de la visibilité du salafisme dans l’espace public.
C’est l’accueil plus que bienveillant, coopératif même, que certaines de nos élites reservent a l’expression du « multiculturalisme dans l’espace public’
A cet égard un souvenir personnel qui montre comment le combat idéologique pour le multiculturalisme et l’installation de l’islam dans l’espace public a trouvé chez nos élites « de gauche » ses « idiots utiles »
Ce souvenir concerne un personnage qui est une des figures les plus éminentes. du monde financier français. Il était interpellé par une jeune fille au visage emmailloté de noir et au corps dissimulé des pieds à la tête dans ce vêtement antidésir qu’on appelle jalabya
.Elle se se plaignait auprès de lui de ce que la tenue qu’elle portait, et dans laquelle elle entendait exercer dans sa vie professionnelle, lui alienait les DRH lors des entretiens d’embauche .
.A quoi cet éminent personnage répondit qu’une telle situation était inadmissible ,et appelait de manière urgente une réécriture de la loi de 1905 car ce texte, obsolète, définissait une laïcité inadaptée à notre société

DHH dit: à

@vous vous adressez à moi ,mais je suis embarrassée pour vous repondre car je ne comprends pas a quoi vous faites allusion:
1)auquel de mes post le votre fait il reference ?
2)quels noms mettez vous derrière ces personnages géniaux mais qui n’on jamais connu l’école et ont ete apparemment découverts via la toile

et alii dit: à

DHH.COMME VOUSl’avez compris, je rappelle que des personnes remarquées pour leur esprit, leur intelligence et leur action dans « le siècle » -« géniaux » donc en votre langue n’ont jamais été scolarisés , ni étéregardés par des psycho-pédagogues professionnels, comme il vous plait,chère DHH, à souligner cet élément biographique depuis longtemps sur la RDL? ET DONC SOUS CE BILLET ENCORE;
si des contributeurs d’internet ont fait cette remarque ,d’où vient que vous ne pourriez la faire?
EXEMPLE/
3: Ces célébrités qui n’ont jamais été à l’école. · Blaise Pascal (1623-1662) Né à Clermond Ferrand, Blaise Pascal est mathématicien, …

et alii dit: à

JE SOULIGNE QUE WGG-Alba-a lui-même dit qu’un prof éduqué en psychanalyse-où Alba a montré qu’il n’était pas un ignoramus-s’était intéressé à lui

et alii dit: à

biographie
« un génie » dit-on de RAMANUJAN , autodidacte,
 » Grand créateur de formules mathématiques, il en a inventé plusieurs milliers qui se sont pratiquement toutes révélées exactes, mais dont certaines ne purent être démontrées qu’après 1980 ; à propos de certaines d’entre elles, Hardy, stupéfié par leur originalité, a déclaré qu’« un seul coup d’œil suffisait à se rendre compte qu’elles ne pouvaient être pensées que par un mathématicien de tout premier rang. Elles devaient être vraies, car si elles avaient été fausses, personne n’aurait eu assez d’imagination pour les inventer ».
il est mort en 1920!
https://fr.wikipedia.org/wiki/Srinivasa_Ramanujan

et alii dit: à

Ramanujan n’a pas été « découvert via la toile »-même si des lecteurs trices l’ont découvert ainsi » ;c’est à BEAUBOURG où je faisais des recherches sur PI, alors que je n’avais jamais touché un ordi que j’ai découvert ce savant « génial » (on disait déjà génial pour un oui, et pour un non

et alii dit: à

on dit aussi que:
Pierre Curie ne fréquente ni l’école, ni le lycée, l’enseignement ne devenant obligatoire en France qu’à partir de 1881 (lois Ferry). Son instruction est dès lors assurée par ses parents, puis par un ami de la famille, M. Bazille, qui lui enseigne les mathématiques élémentaires et spéciales, ce qui développe les capacités mentales de Pierre, qui a clairement un intérêt pour cette science. À 16 ans, en novembre 1875, il passe son baccalauréat en sciences.

DHH dit: à

@et alii
le personnage indien auquel vous faites allusion etait celebre depuis longtemps lorsque vos recherches vous l’on fait rencontrer ;il appartenait a l’Academie royale des science en UK et est mort tres jeune -je crois dans les années 20 de l’autre siecle- ses problèmes pulmonaire ayant été aggravés par le climat anglais

et alii dit: à

merci, DHH, je viens d’envoyer une bio express qui permet de conclure qu’en 1980 il était déjà mort et connu; maintenant, vous DHH, vous ne pouvez que supposer quand j’ai été à Beaubourg me cultiver en histoire des maths , et rien d’autre
bonsoir!

Janssen J-J dit: à

@ x… (à l’article 353 du Code de PROCEDURE pénale)… /// mine de rien ?…
Mais non, c’est en toute conscience que j’ai mélangé les genres et les considérations… Une licence que permet cette chaine…
Merci pour votre analyse qui me rappelle au devoir de ne pas mélanger les genres en principe, et de votre tentative pour les désintriquer. or donc, voilà… comme dirait Tanguy Viel, pourquoi vous donner cette peine, c très généreux ?…
J’apprécie surtout votre remarque constructive sur la logique d’une analyse « proprement littéraire » des deux romans d’un même écrivain… Anéfé, et j’en prends bonne note !… Je me souviens juste d’avoir de loin préféré « le précédent », mais celui-là est très bon… Avec mes petits critères d’amateur qui ne valent rien…, je trouve que ce Tanguy Viel est un grand écrivain d’avenir…
Bàv,

@ alexia… a plus de souplesse… Et elle sait rimer les bouts latins et en présenter un assortiment intéressant : malandrin, mandarin, plaisantin… J’apprécie son indulgence et son ironie légère. Elle a tout compris, voilà,
Bàv…

Bon, je pars au cinoche : « Serre-moi fort »… Je crains un brin.
BS à tous.tes !

Marie Sasseur dit: à

@ »Plusieurs intervenants s’appliquent à déformer les mots français que l’on trouve dans le Larousse, le Robert, le Littré, le TLF… Quel est leur but ?Parfois, on croit lire du chinois. »

Charolais, je pense que c’est la barbarie qui ( re) vient.

« Mais un mois plus tard, au cœur de l’été, son fils se plaint, cette fois-ci, d’une insulte reçue en messagerie privée sur le réseau social Tik Tok : « Sale tepu de 2010. » »

https://www.midilibre.fr/2021/09/17/sale-t-de-2010-le-temoignage-bouleversant-dun-pere-montpellierain-dont-le-fils-sest-fait-harceler-9796109.php

DHH dit: à

et alii
alors que les rapports entre nous etaient devenus respectueux et courtois ,pourquoi aujourd’hui soulignez vous mes erreurs et mes maladresse avec la secheresse d’un prof qui remet à sa place un eleve prétentieux ?
vous savez bien que je n’ai aucune compétence d’ordre universitaire et que je ne peux effectivement parler que de choses dont j’ai une connaissance lacunaire , et dont il est facile de me montrer que je ne les domine pas
mais cela merite -t-il qu’on me tape sur les doigts?

Phil dit: à

Querelles pas très catholiques, La règle du jeu à Re voir

Marie Sasseur dit: à

Charolais, je ne sais pas à quel « niveau », vous avez prétexté enseigner pour tenir meeting syndical sous le préau, mais il me semble clair que les meilleurs professeurs, sélectionnés, -oui choisir l’excellence-, pour leurs compétences pédagogiques et payés plus que les mandarins qui pantouflent ensuite au Lycée et surtout en fac, devraient être ceux du collège.

Marie Sasseur dit: à

Je pense que les vieux pédérastes , nostalgiques des internats gideens, qui postent ici en toute liberté, vont comprendre que leurs fantasmes sont dépassés par la realite 2.0.

franceinfoTVRADIOLE LIVE

Enfance et adolescence : la génération 2010 moquée sur les réseaux sociaux et à l’école

Publié le 17/09/2021 13:47

 Durée de la vidéo : 2 min.

Article rédigé par

G. Halard, S. Aramon, M. Barrois N. Jauson – France 3

France Télévisions

12/13

Édition du vendredi 17 septembre 2021

Depuis quelques semaines, le mot-clé #Anti2010 fleurit sur les réseaux sociaux, ciblant les élèves nés en 2010. Un mouvement de harcèlement qui est pris au sérieux par le ministère de l’Éducation Nationale.

C’est un mouvement inattendu qui fait fureur sur les réseaux sociaux depuis la rentrée : le harcèlement contre les élèves de sixième, principalement nés en 2010. Ce mouvement, qui provient des jeux vidéo, s’est reporté dans le monde réel. Une chanson mettant à l’honneur cette génération a également ravivé les moqueries et les tensions. Une situation compliquée à vivre pour ces jeunes enfants.

bouguereau dit: à

le ventredi soir térezoune elle force trop sur le montbazillac

bouguereau dit: à

drh qui fais sa submissiv à kippour avec renfield..c’est du klezmer dirfilou

bouguereau dit: à

Quel est leur but ?Parfois, on croit lire du chinois

jme sents pas visé moi c’est dlhébreux..

Marie Sasseur dit: à

#Sortie en librairie, demain jeudi 16 septembre, de « La Colère et la Grâce » (Seuil), ma biographie de Georges Bernanos, une…

Je m’en fous un peu total de Bernanos qui fuit au Bresil, faire le gentleman farmer, pendant le coup de feu…

Je vais retourner à la librairie pour un page turner , d’un qui sait raconter des histoires…
Retour à Berlin, après le requiem de X-M. Bonnot.

https://www.lexpress.fr/culture/quand-jean-christophe-grange-nous-entraine-au-coeur-de-l-empire-du-mal_2157875.html

bouguereau dit: à

JE SOULIGNE QUE WGG-Alba-a lui-même dit qu’un prof éduqué en psychanalyse-où Alba a montré qu’il n’était pas un ignoramus-s’était intéressé à lui

les grands malades n’ont pas besoin daller à l’école renfield..vdqs

bouguereau dit: à

Ils arrivent, entrent : pas d’effraction nulle part, absolument rien de dérangé, rien de volé, tout normal partout. Je demande à récupérer les images que j’analyse

une société de surveillance qui te facture et te laisse faire tout le boulot..t’es allé à l’école dédé?

Phil dit: à

Retour à Berlin.. ça ne vaut rien, du Philipp Kerr pour dilaté(e)s d’Arte.

Marie Sasseur dit: à

J’ai lu beaucoup de livres de J-C Grangé.
Outre le fait qu’il est difficile de ne pas terminer ses romans le plus vite possible,
l’intérêt tient au fait qu’il documente ses récits. Et ça quand on est exigeant, ça n’a pas de prix.

Pour  » Berlin requiem  » de X-M. Bonnot , je vais presque dire merci à Passou, un comble, de ne pas le livrer en pâture, aux clébards de son blog.

D. dit: à

Je suis en train de regarder le James Bond de 99 sur la deuxième chaîne, avec Sophie Marceau. Je suis désolé mais elle est mauvaise, vulgaire, manquant de charme et de mystère avec sa bosse sur le front, son visage anguleux, son cou trop long et ses seins trop bas. Zero pour faire correctement la James Bond girl. En plus ils ont gardé sa voix en VF, trop sourde et rauque.

B dit: à

MS, changez de quartier pour ne pas être incommodée, voyez celui des aristochats, ils écrivent aussi.

Marie Sasseur dit: à

Il n’y a aucune raison de laisser le lieu aux soudards ,aux analphabètes qui bavent de rage, et aux vieilles qui ne savent plus nous elles habitent, même si ça devient un peu compliqué, surtout quand Passou flatte leur connerie, leur imbécillité, et leur ignorance.

On sait où cela a conduit par le passé…

Notte, notte.

Marie Sasseur dit: à

les vieilles qui ne savent plus où elles habitent, entre la deachach qui ne comprend plus de quoi ça cause dans le poste, la vieille érotomane veule et vicieuse, et la jackie sardou à l’ehpad, on mesure le potentiel de mixité de Passou.
Gosh, il en faut du courage, pour résister.

Fuyons.

B dit: à

MS, certes je ne suis plus dans la fleur de l’age néanmoins il me semble que vous ne destestez pas la compagnie de mes homologues en âge, du moins quand cela satisfait votre intérêt et votre gout au partage. Un homme de 65 ans est il plus sexy qu’une femme de 62 ans? Personnellement, ils m’indifferent, physiquement et parfois intellectuellement en raison de la distorsion flagrante entre leur nature et leur culture . Il est des terres où rien de bon ne germe, mais c’est une opinion. On ne ne peut pas plaire à tout le monde, les hommes vieilissant possèdent des ressources qui souvent s’ils me les offraient en partage ne me tenteraient pas.

B dit: à

Ok, very bad trip, prenez un tranquillisant en attendant un nouveau deal. Cela vous évitera de radoter et d’amoindrir cette lumière qui nous eclaire.

B dit: à

Le tableau est un peu dans la lignée Macke, Klee, d’autres que Renato pourraient désigner.

D. dit: à

Vous avez regardé James Bond aussi, Bérénice ?

D. dit: à

Faut pas trop exagerer Racie Sameur, il y a Ed quand même. Lol.

B dit: à

Non, D, rien vu après 21h.bonne nuit.

rose dit: à

« La France a rappelé pour consultations ses ambassadeurs à cause de la «gravité exceptionnelle» de l’annonce du partenariat stratégique entre Washington, Londres et Canberra. »

Comment Boris Johnson en…. un de ses ex-partenaires européens. Et ce n’est que le début.

rose dit: à

Very Bad Trip, tout l’temps.
Sassie Rameur.
Assez catastrophique.
Un miroir le remettrait en place, mais non. Vit sur ses vieilles lunes.
Émerge rarement.

rose dit: à

L’ARS m’a répondu. Avant hier. En cours.

rose dit: à

Une verveine, moins toxique que tous les tranquillisants.

Nota bene : à Milan, italiens et russes sont proches. Musée de Saint Petersbourg prête ses oeuvres pour Divine, au Palazzo reale.
Le Duomo est un réel choc visuel. Une apparition qui ne s’évanouit pas dans un mirage, comme dans une oasis.
On s’éloigne, est toujours là. On revient, est encore là. On part reste encore là.
Une découverte inouïe, un choc esthétique, le coeur qui palpite.
Même choc émotionnel que rencontrer fiume Pô, et traverser fiume Adda, puis le retraverser.

Nota bene bis :
Nouvelles recherches sur l’hyper-sensibilité. Loin d’être une tare. C’est un acquis.
Autre que les boucliers et autres armures moyenâgeuses, qui présentent, toujours, des failles dans la cuirasse.

rose dit: à

Le climat anglais.
No fog.
De la sécheresse pour les poumons.
La montagne pour l’air pur.
Davos.

Jibé dit: à

DHH « C’est l’accueil plus que bienveillant, coopératif même, que certaines de nos élites reservent a l’expression du « multiculturalisme dans l’espace public’
A cet égard un souvenir personnel qui montre comment le combat idéologique pour le multiculturalisme et l’installation de l’islam dans l’espace public a trouvé chez nos élites « de gauche » ses « idiots utiles » »
je suis parfaitement d’accord, DHH, c’est grave et c’est le fait d’idiots utiles à cette cause nihiliste et haineuse de la république. La complaisance de certaines personnalités explique largement aussi l’émergence de gens comme Zemmour qui naviguent vent en poupe sur le flot du ressentiment: quand on sert la soupe aux voilées et aux salafs avec cette empathie gnangnan de qui a toujours un truc à se faire pardonner, il ne faut pas s’étonner de voir les pensées réacs identitaires se développer « en face ». Le communautarisme entérine les fractures du corps social et le conflit est d’autant plus dur que les « corps intermédiaires » (partis politiques notamment, élus avides de paix sociale) sont affaiblis et complices « à l’insu de leur plein gré », au mieux.
Dans un tel contexte, être enseignant c’est tout autre chose qu’enseigner dans ce climat serein si nécessaire à notre métier. Et l’attitude de ces élites dont vous parlez ne facilite pas la tâche.

Jibé dit: à

J’ai lu Piketty, JJJ, pas picoré mais lu en diagonale et peut-être vais-je le lire vraiment. Mais rien de neuf sous son soleil. Se répète.

rose dit: à

Deux copains, un homme, une femme, dans un café, un jour de marché.

« La jeune femme, devant sa mère qui opine, glisse à plusieurs reprises dans la conversation :
– Quand on me demande de faire quelque chose d’illégal, je refuse. »

Elle lui demande de photographier son pass sanitaire, il accepte.
J’aurais refusé.

Hier, un homme me demande si je suis prof. J’opine. Je lui parle en italien. Il ne possède pas même l’anglais.
Demande comment le savez-vous ?
Il me répond « la structura ».
Bref.
Dévoilée.
Hier encore, une femme, dans les contrôles muséaux et autres (pas pour pisser) me demande ma CNI.

Comment sait-elle que je suis violemment anti-vaccin et anti pass sanitaire ? Elle l’a su. Ne l’ai pas questionnée.

rose dit: à

Ne connais pas la cigogne, mais ai une écharpe en chinchilla.
Ne la porte jamais l’été.
Me vient de ma belle-mère, qui s’est expédiée seule ad patres. Sans suicide.

rose dit: à

Si la cigogne, ai rencontrée plusieurs fois.

Ne connais pas la vigogne.

La terroriste qui tricote pour Vergès.

La femme du pédophile lorsque son couvent ferme qui va vivre chez le juge d’instruction de son mari et sûrement d’elle-même.

Au nom du peuple italien qui m’a fait écrire à l’ARS, 6 pages du mois d’août et un peu moins à la cour d’appel d’Aix en Provence.

Les branleurs, insupportables.
Mais, je me demande si les chieurs ne sont pas pires, in fine, puisque eux ne s’arrêtent jamais.

rose dit: à

La vigogne, un alpaga.
Le bébé naît blanc et a de longues jambes.
Tète sa mère, d’un marron clair.

rose dit: à

Le bonheur de la vie avec un homme.
Jusqu’à ce qu’il soit nu.

rose dit: à

Cette fille ukrainienne qui parle couramment italien.
Et anglais.
Et russe.
Et ukrainien.
Étudiante/résidente à Milan.

Cette fille anglaise de Liverpool.
Allemande de Berlin.
Allemande de Fribourg.
Ces trois polonaises.
Ce berlinois.
Ce mexicain.

Savent-ils où ils habitent, cette jeunesse ?

Chambre de filles, chambre de quatre, équipement salle de bains pour handicapées.

Jazzi dit: à

De la singularité du léZard de Paris dans la mémoire collective.
(faudrait-il déjà mettre des notes ?)

Janssen J-J dit: à

@ « Vous savez pourquoi la deuxième fois est pire que la première (marche) ? Eh bien, parce que dans cette fois-là, dans cette deuxième fois, il y a toutes les suivantes. » (T. Viel, vers la page 78)

Voilà les 4 sujets que nous pourrions méditer, chères étudiant.es juristes amateurs de bonne littérature, à partir du moment charnière de cet excellent roman « la fille qu’on appelle ») :

1 – cette justification métaphorique du personnage de Laura expliquant les raisons pour lesquelles elle porte plainte (« contre elle-même », se dit-elle), vous parait-elle vraisemblable et en quoi ?
2 – à la lumière de la vraisemblance de la situation générale de l’intrigue, imaginons la situation au cas où l’un des deux policiers aurait été une policière recueillant sa plainte… Qu’aurait-elle compris, cette policière, de cette métaphore destinée à justifier le mécanisme de l’emprise progressive de l’édile sur la jeune citoyenne ?… Peut-on concevoir que l’issue de l’affaire aurait été différente au stade policier si une discussion entre les deux agents autour de la qualification des faits recueillis avait été mieux mise en évidence ? Faut-il toujours que des policiers de province (y compris un brin machos) soient tous.tes nécessairement des « benêts » ou des « benêtes » pour que le monde continue sa course folle ?
3 – Peut-on imaginer une autre issue à même histoire, si elle avait été racontée par une écrivaine féministe engagée dans l’espoir d’une issue moins fataliste pour la réparation de la victime ?
4 – Pensez vous que la « littérature » doive contribuer à guider les projections des lecteurs dans les personnages (en les indignant ou en critiquant les intrigues) ou bien au contraire à en conforter les préjugés fatalistes de leurs auteurs ? Pourquoi croyez-vous que l’auteur éprouve le besoin d’annoncer que la plainte de Laura Le Corre a été classée sans suite… Pouvait-il en être autrement (du point de vue romanesque et du point de vue judiciaire ?)…
—-
(Autrement dit) Ne mélangeons pas le jugement moral sur le contenu de l’histoire à travers ses personnages. Respectons l’intégralité du troussage de son histoire par l’auteur. Essayons de sonder néanmoins, au café du commerce en face de l’hôtel de police de Brest le message politico-idéologique que TV essaie de faire passer dans les pages que nous discutons… Et méditons alors sur la portée potentiellement subversive de la réception de ce roman chez l’erdélien moyen comme vous et moi, qui ne sommes pas des « critiques littéraires » de profession, mais qui sommes des amateurs de romans toujours un brin travaillés par les soucis d’égalisation de genre capables de bouger les lignes de nos cloisonnements mentaux dans tous les univers, tant idéels que matériels.
Bàv (18.9.21 @ 9.40)

et alii dit: à

Lorsqu’une personne se fait arrêter par la police, on dit parfois qu’elle «s’est fait alpaguer». Une expression assez récente, qui provient du domaine de l’habillement.

Le verbe «alpaguer» dérive en effet du terme «alpague», qui, au milieu du XIXe siècle, désignait des vêtements masculins de haute qualité confectionnés avec de la laine d’alpaga, un mammifère originaire d’Amérique du Sud.

Janssen J-J dit: à

@ 476e souvenir… Je me demande s’il convient de toujours mettre un S à cinq centS mille soldats… Et si les usages ont évolué de ce point de vue. Je me souviens juste que Pierre Guyotat, mis en scène par Antoine Vitez, n’en mettait pas…
Nous avons pas mal de souvenirs communs, à deux ans d’intervalle près… C’est d’autant plus surprenant que les milieux dont nous sommes issus n’ont apparemment rien de commun.
Cela dit, je ne mettrais pas de notes à vos souvenirs biographiques… J’admire juste le courage de cet étalage, beaucoup plus intéressant que ceux de P. Charoulet, pas très fane de Georges Perec.
J’espère que vous gardez en besace d’autres souvenir pour votre intimité, plutôt que pour la postérité…
Bàv, jzmn ! (*Votre blog commence à prendre de l’hallure), et la RDL reste toujours un bon vecteur pour y accéder… Jusqu’à quand ? Le jour où PA, PE, et SMS iront vous supplier d’u poster quelque message ?
🙂

Janssen J-J dit: à

Non rien de neuf sous le soleil…, jibé !
Je n’avais pas sérieusement lu les deux premiers pavés de Piketty, hélas… Mais puisqu’il a la bonté d’en résumer le propos dans une vision du monde plus générale, et qu’apparemment il a fait l’effort de vulgariser son histoire de l’égalité, alors je lui sais gré. Sa lecture, quoique pas nouvelle, est plus facile à digérer lentement que l’écoute de son sympathique débit de paroles du vendredi matin. Je fais donc l’effort de le « picorer », mais de façon très scrupuleuse, je veux dire par là, par petites doses quotidiennes. Car enfin, vous le savez, rien ne m’oblige ni ne me presse. Mais je tiens à lire les rares grands grands livres du moment, le cahier de brouillon à portée de main pour la prise de notes… Ce que je fais aussi avec le Descola…
Il est des moments, vos en conviendrez, où on ne peut se permettre des lecture de biais ou de seconde main, comme trop souvent icite… N’est-ce pas ? Bàv, Jibé !

Jazzi dit: à

Merci, JJJ.
La prochaine étape va consister à introduire la possibilité de commenter en fin d’article pour les visiteurs.
Les notes de bas de page c’était surtout pour les éventuelles jeunes générations qui viendraient à lire ces « Je me souviens »…

Jazzi dit: à

Corrigé le 476, JJJ !

et alii dit: à

marcel aymé:tout ça c’est de la faute d’alphonse le bien nommé qui a passé sa patte derrière l’oreille ,c’était le mot de la fin, pas un dirty

Jibé dit: à

Je suis évidemment d’accord, JJJ, il reste que ce Piketty me laisse un peu sur ma faim dans la mesure où il consiste en une série de reprise de ce qu’il a déjà fait, dit, redit -le matin à la radio, en effet. L’homme est sympathique d’ailleurs, il ne se lasse jamais d’espérer (et je le dis sans ironie) mais, si ces constats sont éclairants et analysés de façon convaincante, il m’apparaît que les solutions ou les perspectives sont plus faibles. Bien sûr, « la critique est aisée et l’art est difficile » surtout quand il s’agit de l’avenir. Je trouve en tout cas que Piketty a décomplexé bien des lecteurs de leur a priori complexé devant la chose économique. C’est une belle oeuvre de pédagogie que d’arriver à montrer à un non initié qu’il est parfaitement capable de comprendre un sujet complexe sans l’édulcorer.

Jibé dit: à

Même exercice d’admiration pour Descola qui parvient à rendre accessible l’ethnologie et, en l’occurrence les formes du visible (ce qu’il n’aime pas appeler l’art, tant le champ artistique est difficile à définir) selon les peuples et les cultures. Les quatre ontologies qu’il utilise afin de tracer une grille de lecture des ces divers types peuvent être comprises par tout un chacun.

et alii dit: à

rose:l’homme enfin nu:

PUBLIÉ LE23 MAI 2016 PAR BINAIRE
L’homme nu… N’importe quoi !
Suivant la suggestion d’un ami, j’ai lu l’essai « L’homme nu. La dictature invisible du numérique » de Marc Dugain et Christophe Labbé (journaliste au point) qui vient de paraître chez Plon. La référence à Orwell est lourde. Le livre nous raconte (lourdement) comment l’humanité court à sa perte, rien de moins
https://www.lemonde.fr/blog/binaire/2016/05/23/lhomme-nu-nimporte-quoi/

rose dit: à

Jazzi
Ô catarin(a) eta bella tchi tchi (bis)

Soleil vert dit: à

Crise des Ambassadeurs : la France rappelle ses sous-marins.

bouguereau dit: à

jibé tu dvrais te faire hembaucher comme trouducul avec l’accent français à la bibici..non a canbéra..change rien tu frais un malheur..1/4 heure par jour en télétravail..le reste tu peux aller a la chasse au kangourou..avec ausweiss et casque lourd..we love frenchiz qu’ils disent

rose dit: à

Janssen J-J dit: à
@ « Vous savez pourquoi la deuxième fois est pire que la première (marche) ? Eh bien, parce que dans cette fois-là, dans cette deuxième fois, il y a toutes les suivantes. »

Bah.
Pck la seconde c idem que la première.

rose dit: à

Et s’il y en a 363, c’est 363 fois idem.

et alii dit: à

les poils de ma brosse à ongles sont trop usés, ai-je constaté ce matin ;c’est donc sa fin
ça, c’est de l’info

bouguereau dit: à

De la singularité du léZard de Paris dans la mémoire collective

«Le débat doit être une conversation et non un combat».. »et c’est pas gagné » qu’il ajoute en se mordant la langue ce ratacouillon..faut qutu voyes ça baroz..le ptit gars qu’a rcevoir des coups havant..finkie sous tranxène..et surtout surtout la reprise exact des pauvres mots de julia ducornau comme concêpe estampé par le « filosof’..
meust si qu’il dirait global kabloom
https://video.lefigaro.fr/figaro/video/alain-finkielkraut-le-debat-doit-etre-une-conversation-et-non-un-combat/

bouguereau dit: à

Le bonheur de la vie avec un homme.
Jusqu’à ce qu’il soit nu.

sapré rosy..elle préfère son pitboulles..

rose dit: à

Lu les 52 premières pages de La mendigote de Mme De Saint Phalle.
Le début explique la fin.
Le récit est bouclé.
Belle lecture.

rose dit: à

Jazzi

Écrit aussi
« Ô Catalinetta bella tchi tchi ».

Ds ce cas là le « etta » final est hypocoristique.

rose dit: à

Et alii

Lu aussi Le roi est nu de Laurent Joffrin.

Soleil vert dit: à

et alii dit:

Je ne connaissais pas l’existence de Srinivasa Ramanujan. Par ricochet j’ai découvert La loi de Littlewood, formulation mathématique des miracles.

Merci

Soleil vert dit: à

Antoine Blondin, qu’aurait-il pensé des pass sanitaires exigés à l’entrée des Cafés ? Et les confinements, des pauses sanitaires prolongées?

Phil dit: à

Blondin..
qu’une piquouze arn tous les six mois vous cassera plus qu’un whisky chaque jour

B dit: à

renato, qui est le pianiste? Ces jolies mains!!!

renato dit: à

«… qui est le pianiste? »

Oscar Peterson

bouguereau dit: à

Blondin..
qu’une piquouze arn tous les six mois vous cassera plus qu’un whisky chaque jour

et « larmagnac file le covid »..en gros à picadily?..dla tnue dirphilou..dla tnue sacrénom

bouguereau dit: à

Par ricochet j’ai découvert La loi de Littlewood, formulation mathématique des miracles.

Merci

la statistique c’est dabord lenvironment..halors supermerde qu’il aurait dit serdgio sil étoye pas mort..mais miracle

Soleil vert dit: à

Parce que un pass sanitaire préalable à une activité qui n’ a rien de sanitaire, à savoir l’ingestion d’alcool (fort dans le cas de Blondin) c’est un peu fort de café !!!!

bouguereau dit: à

dpuis quand t’as pas mis de capote grüngrüngrün?

Phil dit: à

Le biscuit aux petits vieux écrasés, c’est pour tomorrow.azimov, recalé

rose dit: à

Et bien, je n’ai rien vu, et j’en suis fière.
Rien mangé non plus, et je m’en fous, Renato.

rose dit: à

Bouguereau,

Vous vous êtes ma que avec sa soeur ?
Gentil garçon vous étiez.

rose dit: à

Comme il n’est pas mort Sergio.
Miracle, mon cul, oui.

Soleil vert dit: à

… depuis les années 70. Mon père m’avait acheté une sorte de trench-coat en cuir noir chez un commerçant du Sentier. Avec mon mètre quatre-vingt, ma minceur de l’époque, mes cheveux blonds et mes yeux bleus, j’ai eu un succès fou un été dans les bars nocturnes de Corte. On me prenait pour un légionnaire en vadrouille. De retour au préau de Chaptal, un pote juif m’a lancé : « tu enlèves ça ou je ne parle plus ». Du coup la capote a fini au placard.

Soleil vert dit: à

ou je ne te parle plus

rose dit: à

Ni pitbull, ni chihuahua.
Ici plusieurs villages de gensses que je connais : ont franchi les Alpes ;
Casale, Bergamaschi, Adda, Noguere, Cavigliono, Caravaggio (El), sans compter Gorgonzola, grana padano, San Pellegrino. Cherche Parmigiano.

rose dit: à

« Pck la seconde c idem que la première ».

Ce type de découverte, tu ne cherches rien. Tu ne constates pas.
Un te le dis.
Son meilleur pote lui a dit.
Il te le transmet.
Tu le sais.
Tu l’apprends.
Après, tu vérifies.
C’est vrai.

Janssen J-J dit: à

@ je distingue trois formes grises de taille décroissante. Une grande à gauche, une moyenne au milieu et une assez petite à droite. Pas vraiment humanoïdes, mais néanmoins bien « assises » sur le canapé. Des espèces de sacs, un peu flasques mais aux contours nets, de couleur incertaine mais vraisemblablement grisâtre, l’impression d’une texture de gel…

(nb ***Elles voyent exactement la même chose en 3 D quand elles
zooment le kanapé avec une pastille de LSD).

Janssen J-J dit: à

oui méla, si son meilleur pote, c une fille kiluidit, tu vérifies aussi, Patrie Moine ?

Janssen J-J dit: à

c’est des furtifs, tapis dans les coins…, que l’dirait damasio

et alii dit: à

0PRoPOS DE CONVERSATION ET DES U.S de FINKIELKRAUT,, le livre de Lionel Shriver précise ;critique sur la règle du jeu de Quatre heures, vingt-deux minutes et dix huit secondes » : féroce portrait de la société américaine

et alii dit: à

c’est je crois renato qui pourrait parler de Walser;des élèves de l’institut Benjamenta,
et de Seelig (voir Nadeau pour des photos)

bouguereau dit: à

De retour au préau de Chaptal, un pote juif m’a lancé : « tu enlèves ça ou je ne parle plus ». Du coup la capote a fini au placard.

joli coming aout..

Jazzi dit: à

Merco, rose, j’ai corrigé le Tino Rossi dans le texte !
C’est le répertoire de votre mère ?

rose dit: à

Oui ,♥️🌝🧙, Jazzi
Je finis de lire les 200 suivants ce soir.
Très beau début.
Il va devenir un Journal, votre blog !

rose dit: à

Joli coming août, le 18 septembre.

rose dit: à

« Tu l’apprends.
Après, tu vérifies.
C’est vrai. »

Sois claire dans tes dates, rose.
Tu l’apprends en 1985.
Tu vérifies.
Tu le comprends violemment en 2004 en te prenant une cheville dans un nid de poule.
Presque 20 ans quand même pour réaliser.

P.S : tu transmets à ton tour, certes, rose, mais 20 ans pour réaliser, ce n’est pas rapide.

rose dit: à

Renato

Je transmets ; pour moi, c’est un peu tard.
Le lac sous le dôme m’a fait penser à la citerne d’eau sous Istanbul.
Superbe !

Jibé dit: à

Le je me souviens de Jazzi me rappelle bien des choses, et cette question me vient: pourquoi le changement de vitesse des voitures n’est-il plus au volant?
Et je me souviens d’un truc qui n’est pas dans la liste, Thierry la Fronde. Et que ma première cigarette a été une gauloise chapardée à ma tante préférée. Et de la mer au lointain de Tel Aviv.

Jibé dit: à

Le lien de JJJ sur l’abbaye de Trizay me fait me souvenir d’un choc émotif très fort, quand j’ai découvert la danse macabre à la Chaise-Dieu. on se serait cru dans Bergman, le septième sceau et dans Les Trois ordres de Duby.
Moi je retourne une fois de plus voir Saint Philibert de Tournus, un cloître roman à tomber, des chapiteaux du XIIème reproduisant la vie des paysans.

rose dit: à

La mer touche Tel Aviv.

Et Jaffa aussi.

Pas de jaloux.

et alii dit: à

je souviens que mon père a porté des pantalons de golf:ça s’appelait comme ça mais ce n’était pas du tout comme ce qui est présenté sur internet comme tel; (il ne jouait pas au golf)

et alii dit: à

c’était une époque où l’on parlait « d’étrenner » la barbe de mon père » quand il venait de se raser au rasoir

DHH dit: à

Tous les gens d’une même classe d’âge ont une large partie de leurs « je me souviens »commune
mais pour chacun ce sont des images differentes qui y sont associées,la phrase concernée ayant fait revivre pour chacun son « Erlebnis » de la rencontre avec le fait signalé

DHH dit: à

@Rose
ceux qui vivent dans une grande ville bâtie au bord de la mer ne voient souvent la mer que de tres loin et même parfois doivent beaucoup marcher pour arriver à la voir
et Tel Aviv avec ses banlieues est une ville très étendue

bouguereau dit: à

la phrase concernée ayant fait revivre pour chacun son « Erlebnis » de la rencontre avec le fait signalé

hahem..erlebnis..du finkie..liste a la prévert dlestoire dlaproduction dmasse..himagine..himagine drh un myard de polo du quaternaire havec leur foutu souvnir de mamouth laineux..de quoi dvenir chêvre quil dirait dirfilou

bouguereau dit: à

Tel Aviv avec ses banlieues est une ville très étendue

jme souviens de baroz à paridgi convoyant la mer labas toulabas entre les jambes dune danseuse à ferdine..

bouguereau dit: à

quand j’ai découvert la danse macabre à la Chaise-Dieu. on se serait cru dans Bergman

ha jibé qui fait son milou..rapporte!

rose dit: à

et Tel Aviv avec ses banlieues est une ville très étendue.

DHH,
Oui.
Il y a ds ce cas un front de mer.
Valable pour les villes côtières.

rose dit: à

26

Je me souviens de « Catarina bella bella tchi tchi (bis). »

Jazzi

Me semble bien que c’est
« Ô Catarinetta bella tchi tchi »

rose dit: à

Jazzi

Je ne sais pas si c’est Catalinetta ou bien Catarinetta.

rose dit: à

Ok.
L’original !!! En chair et en os.

Jacques Barozzi

Pas fini les Je me souviens, mais lu avec un immense intérêt le chapitre sur jardins classiques et jardin des Tuileries.
Chapeau bas. Beau boulot.

Jazzi dit: à

Merci, rose. Il y a encore 200 pages à illustrer et mettre en ligne sur l’Histoire des jardins de Paris !

Jibé dit: à

« la mer touche Tel Aviv », rose.
Ah ouiche! j’aurais dû préciser: je me souviens de la mer quand l’avion est arrivé à Tel Aviv pour mon premier séjour là-bas.
Merci DHH de votre intervention, aussi.

« Il y a ds ce cas un front de mer. » En effet, il y a un front de mer, avec plages et tout et tout, …mais bon, rose, je ne parle pas toujours comme une carte d’état-major. Surtout pas dans un exercice de je me souviens.

rose dit: à

Et tout et tout.
Un port à Jaffa.

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