Remi Georges, peintre raté, dessinateur et graphiste de génie
Gonflé, une exposition Hergé ! qui plus est dans le temple de l’Art consacré, le Grand Palais à Paris (jusqu’au 15 janvier), sur les cimaises de ses Galeries nationales où l’ont récemment précédé Picasso, Monet, Hopper, Braque, Hokusaï… Voudrait-on inscrire en majesté la bande dessinée dans le continuum de l’histoire de l’art que l’on ne s’y prendrait pas autrement. Peut-être un premier pas vers « l’immortalité » à laquelle le philosophe Michel Serres veut le faire accéder. En attendant la réalisation de cette perspective transhistorique, c’est Hergé dans tous ses élans qui nous est présenté et c’est une grande première en ces lieux (en 1986, Hugo Pratt n’y était entré que par la porte de service d’un espace dédié).
Beau projet, louable ambition qui promettent de donner à voir tant le scénariste que le dessinateur, le graphiste et le peintre. Mais puisque c’est de lui qu’il s’agit, alors parlons-en ! De George Remi alias Hergé (nom de plume choisi d’après ses initiales inversées) et non de Tintin même si la cause est entendue : Bovarynou, c’est lui ! Sa vie/son œuvre, sous patronyme/pseudonyme, c’est tout un. On comprend qu’il ait interdit à tout successeur désigné par son ayant-droit de se croire un jour calife à la place du calife et de continuer Tintin sans Hergé (pourvue que ça dure…).
Une étrange impression se dégage de la promenade. Hergé est partout mais l’homme est absent. On ne l’y entend pas respirer, hésiter, regretter, peiner, reprendre, s’encolérer, admirer. Pourtant le matériau est bien là : crobards, planches, albums, originaux, brouillons, tableaux, photos, lettres… Le visiteur aura l’illusion qu’il n’y manque pas un bouton de guêtre tant il aura retrouvé le parfum de son enfance, caressant des yeux sinon du doigt le tremblé de son propre imaginaire.
Au fond, Georges Remi est le grand absent de l’exposition Hergé. Ce qui n’étonne pas lorsqu’on en connaît les conditions d’organisation. Bien que le commissariat en ait été fort heureusement confié à un membre de la direction de la RMN (Réunion des Musées Nationaux), nombre de contributions à la lecture de l’accrochage, ainsi que la scénographie, l’ont été à des personnalités liées de près ou de loin à Moulinsart S.A., aux éditions Moulinsart, aux Studios Hergé, au Musée Hergé de Louvain-la-Neuve ou à Casterman, éditeur historique des albums de Tintin. Autant dire sous surveillance, simple remarque qui n’a rien d’un procès d’intention lorsqu’on sait la volonté de contrôle manifestée depuis des années sur tout ce qui touche à l’exploitation de l’univers de Tintin.
Or éclipser Georges Remi derrière Hergé, c’est se condamner à passer à côté du sous-texte et du filigrane de son œuvre. Si l’on veut comprendre par exemple son attitude durant l’Occupation allemande de la Belgique et au lendemain de la guerre, il est vain de commencer, comme c’est ici le cas, en 1939. George Remi est né avant.
Etranger au militantisme, au dogme, à l’embrigadement, c’était un individualiste absolu qui conservait une vision romantique de l’engagement ; un scout toujours fidèle et loyal en toutes choses, en politique aussi ; il devait tout à l’abbé Wallez, directeur du quotidien Le XXème siècle, qui lui donna sa chance et qui était du propre aveu d’Hergé « »fascistisant ». Hergé demeura jusqu’au bout imprégné de l’idéologie dans laquelle il baigna durant sa jeunesse catholique, antiparlementaire, anticommuniste, antisémite, antimaçonne, antidémocratique ; ce qui explique qu’il fit partie de ces Belges qui vécurent mieux l’Occupation que la Libération ; pendant l’épuration, il fut la providence des « inciviques », les bannis et les condamnés de l’après-guerre dans les rangs desquels il comptait nombre d’amis de jeunesse auxquels il aurait été le dernier à faire défaut, ce qui est tout à son honneur ; il entreprit même les démarches pour s’exiler en Argentine, terre d’asile d’anciens nazis (quel manque d’opportunisme !). Rien d’une adhésion, tout d’une imprégnation. Ce qui est plus profond et plus durable. Elle est fut le terreau de son imaginaire. Ce n’était pas un militant et il n’avait pas la tête politique. Ce qui comptait chez lui, ce n’étaient pas les idées mais l’esprit.
Dans les années quarante, lorsqu’ il entreprit un travail de refonte et de modernisation de ses albums avec Edgar P. Jacobs, il ne se contenta pas de corriger des erreurs ou de modifier l’esthétique : il rectifia le tir. Transformation du voyage d’un Belge au Congo en séjour d’un Européen en Afrique afin de lui donner une dimension plus universelle, dénationalisation et laïcisation d’un Tintin qui cesse de recommander son âme à Dieu, remplacement de « nègre » par « »noir », de « bicot » par « Arabe », de « Moricaud ! Anthracite ! » par « Emplâtre ! Doryphore ! ». Aujourd’hui, « Fatma de Prisunic » dans la bouche du capitaine Haddock ferait hurler les ligues et associations. Non qu’il fût pris d’un remords manifesté par un mea culpa ; il cédait à la pression insistante de son éditeur qui, d’après le dessinateur, voulait complaire au lobby tiers-mondiste ! Ce qui ne change rien au langage petit nègre, à la tonalité colonialiste de certains dialogues, à la réputation de paresse dont l’album accablait les Noirs, à la manière néfaste de les présenter comme craintifs. Mais c’était le bain des années 30 dans lequel il évoluait en permanence.
Ne jamais oublier que Tintin au Congo et les autres parurent d’abord dans les pages du catholique et réactionnaire journal de l’abbé Wallez puis en album. C’était l’époque à laquelle la Belgique était colonialiste avec bonne conscience. Il n’y eut aucune controverse. Ce n’était pas perçu comme raciste mais comme paternaliste. Le ravalement « politiquement correct » de son œuvre exigé tant par Casterman que par Simon and Schuster et Methuen pour la langue anglaise, prit de l’ampleur à la fin des années 40. Cela le poussa à blanchir des noirs dans le Crabe aux pinces d’or et à les faire disparaître de Tintin en Amérique, à rebaptiser « Bohlwinkel » le banquier juif new yorkais Blumenstein, le méchant de l’Etoile mystérieuse, et à remettre son nez droit, à envelopper les bouteilles de whisky du capitaine Haddock d’un pudique sac en papier afin que l’on ignore ce qu’il boit. Mais il fallut lui forcer la main.
Georges Remi fut un peintre raté, tout dans l’imitation de Miro, Modigliani et de quelques autres, mais un dessinateur de génie ; de même Henri Cartier-Bresson avait été un dessinateur parmi des dizaines de milliers d’autres, mais un photographe unique au monde. Il est dit dans le catalogue qu’Hergé avait été « insouciant » en caricaturant ses personnages et « imprudent » pendant la guerre en collaborant au journal Le Soir « volé ». Mais c’est infantiliser l’artiste de le déresponsabiliser ainsi. Ingénu, idéaliste, crédule, Tintin l’était ; Hergé a joué à l’être ; mais ce n’est pas rendre justice à Georges Remi de laisser à croire qu’il le fut tout autant.
(Détail extrait d’un crayonné pour la couverture de l’album Tintin et les Picaros (1975 ; copyright Hergé/Moulinsart, 2013 ; Andy Warhol, Portrait d’Hergé, 1977, Sérigraphie sur toile rehaussée d’acrylique, 102 x 102 cm, Collection particulière, «© The Andy Warhol Foundation for the Visual Arts, Inc. /, ADAGP, Paris 2016 – © Jean–Pol Stercq / ADAGP, Paris 2016 ; « Hergé, Composition sans titre, vers 1960, huile sur toile, 50 x 60 cm, collection particulière, © Hergé/Moulinsart 2016)
1 291 Réponses pour Remi Georges, peintre raté, dessinateur et graphiste de génie
Dhh 21.20 dit. Attali n’a jamais été premier de l’Ena . Pas grave qu’il le laisse penser, si ça peut nous faire plaisir? .le marbre, passons,l’enrichissement personnel est plus gênant. Sans parler « moralisation »,temps que ces milieux,idem le marigot littéraire fassent une opération mains propres? .Lassitude devant ces pratiques pourries.Passoul va se transformer en Elliott Ness.
Delaporte dit: 3 octobre 2016 à 19 h 23 min
Y a pas que la messe ! y a les gogues aussi…un autre havre de pet !
J. Attali est le fondateur de quatre institutions internationales : Action contre la faim, Eureka, BERD et Positive Planet. Cette dernière est la plus importante institution mondiale de soutien à la microfinance et a apporté son appui à plus de 10 millions de micro-entrepreneurs de par le monde.
CO-fondateur d’Action contre la faim…
.Guy
Sorman, Alfred Kastler, Jacques Attali, Françoise Giroud, Bernard-Henri Lévy, Marek Halter (au fil)
Cela dit, ça ne le rabaisse pas du tout, mais il semble souvent avoir besoin de partenaires, ce qui est tout à son honneur
Oui, mais c’était pour réppliquer à tous ces trous du c… qui passent leur vie à propager des calomnies sur les gens exemplaires. Des porcs qui ne savent que souiller le monde. Répugnants !
berguenzinc dit: 3 octobre 2016 à 19 h 34 min
Tout à fait, c’était d’ailleurs le thème d’un livre de Peter Handke – non traduit par GAG d’ailleurs.
Alors : aux chiottes, Juppé !
GAG ne traduit plus Piterandké parc qu’il en a ras la casquette et puis depuis que celui-ci s’est « illustré » en soutenant Milosevic….enfin bref, exit l’Aigle de Klagenfurz !
L’omniprésence d’Albablabla, alias Gracchus Cafouillus, fait craindre qu’il n’écrive sur une chaise percée.
j’ai lu cela, posté le 3/10 à 14h35, à propos du co-auteur d’un livre de jacques, jacques, sans façon, puisqu’il est en passe de devenir l’intime de la RDL, avec cette maxime: tout passe par le profit.
« Laure Adler s’entretient avec le cinéaste Pierre-Henry Salfati, réalisateur de films, documentariste
Ses parents, souhaitant « la meilleure éducation pour leurs enfants » , le placent chez les jésuites, répondant à un « souci effectif d’intégration » . Une expérience « tout à fait positive » . « La juidaité est quelque chose qui est apparu assez tardivement dans la famille (…) On n’en parlait pas (…) Ce sont des réflexes de protection, qui n’ont fait que raviver en ce qui me concerne cette problématique… » Des jésuites, il passe à un enseignement rabbinique, en Israël, dans une école religieuse juive, une yeshiva . « J’y suis encore (…) On ne peut pas s’en défaire (…) On apprend à apprendre (…) On ne fait que ça, vivre c’est apprendre à vivre… » Il en sort pour « partager » , ne pas rester en « vase clos » … C’est la base de son envie de faire des films : « faire en sorte de ne pas garder pour soi ce qui est une machine extraordinaire de la pensée… » Il évoque les mouvements « ultra-orthodoxes » , comme les Loubavitchs avec qui il a étudié notamment « des livres que tout le monde n’ouvre pas… » Il nous parle du Talmud … « Le judaisme n’est pas du tout une religion, contrairement à ce que les gens pensent… » « Napoléon a inventé l’Eglise juive, le Consistoire (…) Il n’y a pas de rabbin chez les juifs ça n’existe pas. Quand on va nommer quelqu’un « Rav » (abréviation de rabbin), c’est parce qu’il en sait beaucoup… » Il nous raconte ses autres expériences en yeshiva à New York, en France : « j’ai fait des rencontres juste extraordinaires (…) c’était effectivement un monde merveilleux… »
Excellent, de quoi être Ravi.
Il faut en profiter pour abonder dans le sens « ne pas rester en vase clos ». Comme c’est lundi, le début de la semaine des travaux et des jours, et que beaucoup de désœuvrés ici, cherchent à apprendre, voilà un extrait, qui n’est pas de la kabbale officielle, mais d’un roman:
« Si les Juifs n’ont pas inventer la semaine, ce sont eux qui l’ont transmise au monde. La semaine n’est pas naturelle mais intellectuelle. Le septième jour, instant d’éternité, tout s’arrête et on revient à l’origine; on se retire et on rompt; on s’y donne un temps hors du temps; c’est le moment unique où le jour ne veut connaître d’autre évènement que lui-même »
Vous êtes sensés ne pas savoir que la terre est plate pour vous imprégner de cette pensée profonde.
Sinon, je ne comprends pas pourquoi le pape François s’est offusqué de cet aveu ? d’un père de famille français qui lui aurait dit que son fils voulait être fille quand il sera grand.
Toutes mes confuses, j’ai fait une faute en recopiant:
« Si les Juifs n’ont pas inventé la semaine, ce sont eux qui l’ont transmise au monde. »
« GAG ne traduit plus Piterandké »
C’est dommage, parce que c’étaient d’excellentes traductions.
Peut-être qu’ils se réconcilieront un jour ?
Le prestigieux blog à passou s’est complètement sfarisé, passé de l’esprit Tintin au tchat rabbinique.
Phil, c’est à dire que les exemplaires de « Tintin sous la botte » doivent être des ouvrages qui ne sont plus commercialisés, avec les arsons que l’on sait.
Savez-vous qui chez Casterman a pu contraindre Hergé à des retouches, avant que cette vénérable maison ne tombe dans le giron Gallimard ?
avec les arsons?
Je ne sais pas d’où cela provient.
Lire: avec les raisons que l’on sait.
Dans la famille « les retouches », le père retoucheur garde souvent l’anonymat, Lavie. S’il est en vie, le retouché rit jaune et les antiquaires sont ravis. L’étoile mystérieuse non retouchée atteint des prix astronomiques.
« Mais quel état actuel des connaissances ? »
Je ne t’ai pas oublié, WG, mais je n’ai pas que cela à faire…
L’état actuel, et depuis longtemps, est que les premiers documents qui méritent le nom d’alphabets sont ougarit et phénicien, ce dernier ayant rapidement supplanté le premier.
Par scrupule, j’ai voulu trouver un ouvrage récent et sérieux pour conforter les nombreuses attestations de ce consensus que j’ai trouvées par ailleurs. Je suis tombé sur un bouquin édité en 2008 et ré-édité en 2014 « Les débuts de l’Histoire, Civilisation et culture du Proche Orient Ancien », sous la direction de Pierre Bordreuil, qui était professeur d’études sémitiques au Collège de France, Françoise Briquel Chatonnet (études syriaque, phéniciens) et Cécile Michel (assyriologue, histoire de l’écriture). Pardon de cette énumération mais avec ce zigoto il faut prendre toutes les précautions.
Bref, ce volume, dans son chapitre consacré à l’écriture (très intéressant et fouillé), conclue comme tout le monde que les alphabets ougarit et phénicien sont les premiers de l’histoire.
J’ajoute que, côté grec, il est plutôt étonnant que l’on ait attribué cette invention prestigieuse aux phéniciens, que les grecs méprisaient (alors qu’ils admiraient les égyptiens). C’est rien moins qu’Hérodote qui reconnaît l’invention phénicienne…
Les originaux ressortent en volumes dans les œuvres complètes d’Hergé en cours de parution. j’ai failli en acheter un volume mais 80 euros pièce pas encore sauté le pas. Ce sera pour la semaine prochaine…
Gontrand, que valent ces recherches scientifiques et tous ces titres universitaires, en regard des intuitions géniales d’un chef d’orchestre dilettante et aux fulgurances d’un ancien élève de l’école talmudique?
la vie dans les bois dit: 3 octobre 2016 à 20 h 11 min
je vous donne mon point de vue, avant que de repartir : deux femmes jeunes de mon etablissement scolaire me sont tombées sur le paletot la semaine dernière, offusquées. Quelques lobbies, catho, j’imagine, font une pub forcenée en recensant tout ce qui dans les manuels est censé influencer leurs enfants pour choisir leur sexe.
Je vous retrace l’idée : deviens qui tu es ; si tu es née fille mais que tu te sens un garçon, deviens un garçon. Si tu es né garçon, mais que tu te sens une fille, deviens une fille.
Dans cette pub reçue au centre de documentation, il y avait un recensement très développé sur tout ce qui est proposé aux élèves. Soi disant pour les influencer. Et les rendre libres libres de choisir leur sexe. Textes, images et films.
Le pas, lorsqu’on ne le saute pas, on ne la saute jamais. J’en sais quelque chose.
Les vignettes des premiers albums montrent des décors assez pauvres. Par la suite E. Jacobs se serait chargé d’enrichir la scène tandis qu’Hergé s’occupait de la ligne et de l’esprit. Passou doit savoir tout ça.
Je vous donne un exemple la vie dans les bois.
Cécile Sciama, une réalisatrice a réalisé un film qui s’appelle Tomboy.
La petite fille, on ne sait pas trop si elle est une fille ou un garçon.
Le thème de ce film n’est pas l’étude du genre ; c’est passer d l’adolescence à l’enfance. Ne plus trop savoir dans quelle peau on est, ouvrir vers la tolérance, la vraie.
Rien strictement rien à voir avec je veux changer de sexe.
Second exemple : dans la liste du ministère de l’éducation nationale, il y avait un livre d’un auteur contemporain (qui depuis est supprimé par le Ministère (qui ne sait pas ce qu’il publie, de facto) livre de littérature jeunesse, niveau quatrième (a priori cela semble être le pic d cela dite crise d’adolescence, pic qui, toutefois, semblerait éminemment descendre vers les sixièmes)), livre faisant la description sur trois pages d’une fellation, entre, comme c’est bizarre, un garçon et une fille.
Après plainte, de parents d’élèves, ce livre est retiré de la liste par le ministère qui ne l’avait pas lu…
Cecile Sciamma, pardon, son film s’intitule Tom boy.
Pourquoi François s’offusque, demandez-vous.
Parce qu’un père lui parle de l’influence qu’a l’école sur son enfant qui lui déclare « papa je voudrai devenir une fille ».
Si j’étais le papa, je me poserai plusieurs questions.
Mais je ne le suis pas.
Si j’étais le pape, je proposerai que l’on axe notre tolérance sur cette période si difficile qu’est le passage par l’adolescence, en ayant comme priorité respect, pudeur, et surtout silence sur l’intimité de chacun.
Mais je ne le suis pas.
on ne le saute jamais.
Moi, j’ai la publication de la BNF datant de 1997 qui contient toute la généalogie des alphabet et qui fait remonter comme Attali l’origine de l’écriture alphabétique à l’alphabet protosinaïtique, datant de -1700.
Attali n’invente rien, il se sert de la science à disposition du public depuis au moins 1997 ! C’est vous qui êtes en retard sur la science.
Le Tintin sexuel s’appelle « Tintin en Thaïlande. On se l’arrache sous le manteau.
rose, je n’ai pas le temps de lire vos messages classés X. J’ai retrouvé un vieux guide Bordas sur la philo en terminale, je trouve que cela a terriblement vieilli.
J’ai un autre exemple de film vu récemment, horrible : « tu seras un homme mon fils », un film indien, le titre en français est: « le secret de Kanwar »
Widerganger, à la pause citronnade, demandez donc à Attali quel est son Tintin préféré.
D’ailleurs l’alphabet employé à Qumran n’a rien de phénicien, mais tout d’un alphabet dérivé de l’alphabet de Sérabit dans le Sinaï.
Alors, je ne peux que vous donner le miens e point de vue, avec une envergure minime et une portée relative : soixantenaire, je suis soufflée par les quarantenaires.
La parité entre hommes et femmes est du pipeau ; il y a deux jours, on annotait encore sur FC 19% de différence salariale à la baisse pour les femmes en début de carrière par rapport aux hommes.
Leurs hommes sont plus jeunes qu’elles. Ou beaucoup plus vieux, septuagénaires. Ils jouent. Sont immatures. Ne travaillent pas. Sont investis dans de vastes entreprises d’une ampleur inégalée, politique, batraciens protopréhistoriques.
Elles portent tout sur leurs épaules fluettes.
Et elles rêvent que leurs enfants puissent choisir si c’est une fille de devenir un garçon, si c’est un garçon de devenir une fille.
Une au festival de danse porte un tutu de ballerine de huit ans, en vrai tulle, mieux encore que la danseuse de Degas. Montre pour le besoin de sa cause (apprendre aux élèves à se protéger et lutter contre la pédophilie sur internet), un puis deux films à teneur pornographique où la scène de viol est totalement explicite (le second film pire encore où les parents sont complices d’un coup monté avec le réalisateur de manière à terrifier leur enfant).
J’ai un autre exemple de film vu récemment, horrible, « le secret de Kanwar »
Le mot horrible est en fait à associer au mot malédiction, à propos de ce film, pour ceux qui l’ont vu.
La théorie du genre est une effroyable intrusion dans l’intimité de l’enfant, un vi.ol administratif. On se demande dans quelle région de lui-même l’être sera laissé en paix.
« Tintin en Thaïlande » est aussi en alphabet de Sérabit.
La seconde, on lui verrait un catcheur pour la protéger des aléas de la vie : non, elle vit avec un coco exhumé des cimetières, un foutraque grande gueule, est folle de Noir désir et que Cantat ait deux mortes sur son parcours « ah, il chante ce qu’il vit, le pauvre », ben on s’en fout puisque son rock nous remue. Ménage.
La troisième, elle est habillée de dentelles de soie sauvage de trucs transparents et évocateurs ; lorsqu’on a la sacrée malchance de partager le même local avec une trentaine d’énergumènes, elle laisse les lieux dans le même état qu’un bordel après le passage d’une troupe de garnison lorsque les soldats retrouvent quelques poules après des mois d’abstinence. Graffitis, bites poilues, encre séchée, papiers gras etc.
François, qu’il protège les enfants de tous les usurpateurs d’enfance.
Les élèves, qu’ils apprennent à lire, écrire compter, à ne pas utiliser l’expression au final et à maitriser l’orthographe. Et qu’on leur foute la paix. Voilà pourquoi François s’offusque.
Je l’ai trouvé (bravo rose) http://www.vigi-gender.fr
c’est de cela qu’il s’agit. Un recensement de tout ce que certains parents refusent que l’on enseigne à leurs enfants.
On dirait les sauterelles dans Les Moissons du ciel. Les quarantenaires, et les parents.
Que les gosses s’échappent.
Aux champs.
Tomboy n’a rien d’horrible.
C’est le regard porté dessus qui est horrible.
la vie dans les bois dit: 3 octobre 2016 à 21 h 05 min
cela n’a strictement aucune importance.
J’ai entendu un instituteur à la retraite, à la radio, qui ne comprenait pas que certains enseignants refusent, sous la pression d’un supérieur hiérarchique, de donner des devoirs à la maison. Je ne sais pas si c’est une directive du gouvernement socialiste.
Une mère de famille s’est indignée d’un nivellement par le bas. Sous prétexte que des élèves sont en échec scolaire, qui nécessiteraient un véritable accompagnement adapté, soit face à une carence familiale ou d’accueil, situation qui fait que les parents dans leur grande majorité puissent presque être exclus de la vie scolaire de leurs enfants, leur ôtant leur responsabilité de parents, qui reste aussi de savoir ce qui est véritablement enseigné à leurs enfants, au travers des devoirs, ou privant leurs enfants d’un soutien plus proche et bienveillant .
La quatrième , elle est toute mignonne. Tient à rester mince, les autres aussi d’ailleurs.
Elle conduit comme moi ; et accessoirement comme Fangio. Je l’aime bien. Elle est très timide, et très douce.
Ne se rend pas compte que son homme ressemble à des bestiaux ; qu’il se tient accroupi les jambes en l’air le regard perdu. Qu’il est décalé de quatre cent millions d’années;
A côté, avec mon siècle de retard, me retrouve jouvencelle.
Voilà ce qu’on peut lire dans le livre publié par la BNF, « L’aventure des naissances des écrituresen », en 1997, dans le chapitre « Écriture alphabétique » (p.92) :
« Les premières traces de l’écriture alphabétique remontent au milieu du IIè millénaire avant J.-C. et se répartissent en deux ensembles. Les inscriptions protosinaïtiques sont des graffitis retrouvés dans ou près de mines de turquoise exploitées par les pharaons et Moyen ou du Nouvel Empire sur le site de Sérabit el-Khadem dans la péninsule du Sinaï. »
C’est le savoir officiel, présenté au public dans une exposition tout à fait publique, dont les commissaires ne sont pas juifs…
C’est exactement ce qu’écrit Attali et Salfati dans leur livre p. 97.
Rien de bizarre, vous voyez ! Je crois que c’est vous qui débloquez… pour rester poli.
à ses bestiaux.
Les autres sources d’un alphabet sont dites protocananéennes, et s’étalent du Liban à la Palestine, aux signes plus abstraits et probalement plus anciennes encore que l’alphabet de Sirabit qui est dérivé des hiéroglyphes égyptiens.
Tous ces alphabets ont donné naissance vers l’an -1000 à l’alphabet trouvé à Byblos, dit phénicien, mais qui n’a rien de phénicien, qui n’est que le produit d’une évolution à partir des autres plus anciens, des deux sources mentionnées.
la vie dans les bois :
la chose qui est intéressante ce sont les consignes données ; apparemment, il a fallu conduire 80% d’une tranche d’âge au baccalauréat. A ce jour, personne ne sait quoi faire de tous ces lauréats ; inscription en stars au vote, masters tirés au sort, etc. Interdiction de passer en master deux avec 12,8 parce que la barre est à 13.
En seconde, les lycéens ont jusqu’à Noël pour s’adapter. Une fois qu’ils s’adaptent, ils attendent la saint nicolas pour savoir en quelle première ilsiront. Une fois arrivés là, ils auront jusqu’à la saint glinglin pour décider que les études ce n’est pas leur trip, qu’ils préfèrent le cannabis en se grattant entre les orteils des doigts de pied.
Il y a tout ceux qui croient le baratin annoné et puis, il y a les autres.
On assiste à un grand tri. Comme à Drancy : faut faire comme Georges Perec, se planquer dans les gogues, plaquer le dos contre un mur, et les jambes en face, puis grimper comme dans une cheminée. Lorsqu’on ouvrira la porte, faudra arrêter de respirer. Et après, foutre le camp à la montagne.
Pour ma part, j’y suis en plein sur le départ : dans trois semaines. Et déjà, je suis saisie d’un calme olympien.
cordialement à vous, la vie dans les bois,
(l’avenir ce n’est pas dans faire ses devoirs le soir, c’est dans l’envie inextinguible d’apprendre ; en ce moment, puisque je vous ai quittés définitivement, je suis dans le douzième siècle Héloise et Abélard et puis aussi dans Angélique de Port Royal (plutôt avec les abesses c’est vrai)avec Pierre Guyotat et aussi en Patagonie avec Luis Sépuldeva et je vais entamer Vialatte, mais au Bleuet hier il n’y avait quasiment rien).
Je lis, je meurs, j’ai chaud extrême en endurant froidure.
salut à tous
en staps
passer de l’enfance à l’adolescence : c’est dans ce sens là que cela se passe.
le détachement, il vient de ce que l’on change d’embarcation.
christiane dit: 3 octobre 2016 à 18 h 51 min
bonsoir christiane
c’est le cas de Yasmina Khadra, d’Emile Ajar et de bien d’autres. Alors qu’un cénacle est un cénacle ; l’intérêt consistant peut-être à rencontrer hors du cénacle une qui pourrait y être mais est hors. Comme cette dame d’une ge certain en Patagonie qui sait rendre fertile plantes /animaux /humains souffrant de leur infertilité par je ne sais quel talent.
Je vous laisse : je peux vous dire qu’Abélard a fini sa vie humble, alors que longtemps il fut arrogant. Je suis si contente d’apprendre cela que je le partage avec vous.
bonsoir,
d’un âge certain
L’ouvrage édité par la BNF mentionne aussi le mythe de Cadmos faisant cadeau de l’alphabet à son retour de Crète où son père l’avait chargé de retrouver sa sœur, la princesse Europe, en levée par Zeus. On voit même une belle médaille grecque présentant ce mythe, datant de 244-249 qui appartient au département des médailles de la BNF. Cadmos transmet un volumen à trois Hellènes. Voilà sans doute comment le mythe grec forgé par les Grecs passe par dessus l’origine protosinaïtique de l’invention de l’alphabet. Un mythe qui se prolonge jusqu’à aujourd’hui chez certains savants réactionnaires.
on ne peut guère parler de Kafka en omettant Alexandre Vialatte découvreur, traducteur.
les premiers brouillons en avaient eu raison
je pense qu’il s’agit des premiers bouillons.
C’est franchement déguelasse de faire cela à une anguille qui n’a rien fait à personne ; même si une recette se nomme anguille à la matelote. Ce qui suffirait à séduire quiconque.
L’occultation de Vialatte et de Marthe Robert sont assez scandaleux, je trouve.
est assez scandaleuse. ce doit être le muscat -un excellent muscat français-, en grappe pas en bouteille, qui me tourne la tête…
Phil dit: 3 octobre 2016 à 21 h 21 min
Phil, c’est dégueulasse, je voulais la faire, avec l’autorisation de JB….
En réponse à :
Excellent article dans le Monde sur Elena Ferrante. la piste financière ne semble pas complètement fiable.enfin , quelle belle oeuvre.
Paul Edel dit: 3 octobre 2016 à 14 h 06 min
à qui se fier ?
Anita-Elena n’est pas née en 1944, mais en 1953.
On peut voir en plus le rapport entre l’écriture hiéroglyphique égyptienne et l’alphabet protosinaïtique. Par exemple, la lettre B, beth en hébreu, est représentée par le plan schématique d’une maison ; et beth signifie justement « maison » en hébreu, alors que la valeur phonétique du signe en égyptien était PR. Les hébreux des mines de turquoise l’ont donc utilisé sa valeur idéographique en lui donnant une autre valeur phonétique. La lettre « r » vient ainsi de l’idéographe qui représente une bouche. L’aleph vient d’une tête de bœuf.
Et « pharaon » est une transcription grecque de « per-aoun » le seigneur de la maison.
rheuuu rheuuuu rheuuuu rheuuu alerte !!!!
https://fr.wikipedia.org/wiki/Aleph_(lettre)#/media/File:Abce_proto_A.png
« L’occultation de Vialatte et de Marthe Robert sont assez scandaleux, je trouve. »
tout à fait.
Il y a une édition Gallimard de » Le procès » de 1992, qui est comme une BD.
Les dessins sont de Götting.
berguenzinc dit: 3 octobre 2016 à 22 h 17 min
Et « pharaon » est une transcription grecque de « per-aoun » le seigneur de la maison.
–
Absolument pas, Berguenzinx; j’aimerais bien savoir d’où vous tenez une telle ineptie.
Pharaon vient de l’atlante « fa-ro-hatl » qui signifie « Haut fils du soleil ».
Je ne savais pas pour le mot pharaon, tu me l’apprends.
Oui, tu fais bien d’indiquer cette page de Wiki, je vais pouvoir m’en servir avec les élèves.
J’ai un bouquin en allemand que j’ai acheté à Qumran qui présente l’évolution de chaque lettre de notre alphabet.
Et ce bouquin montre d’ailleurs une photo de la fameuse statue de la déesse cananéenne qui contient des lettres de l’alphabet protosinaïtique qui fut découverte en 1905 par Sir Flinders Petrie à Sérabit. Cettte statue contient gravées les lettres « lamed », « beth », « aïn » et « tav » pour former l’expression : « lb’lt » (le-ba’alat) qui signifie « pour la dame » pour la déesse Ashera.
Mais je ne le suis pas.
Heureusement.
Oui, PR ou PER est le son que représente le dessein d’une maison en égyptien hiéroglyphique.
Ce qui est passionnant dans cette histoire c’est qu’on peut vraiment bien se rendre compte de la transition entre hiéroglyphe à valeur purement phonétique et l’invention d’un alphabet. Mais en même temps surgissent comme du néant des lettres comme une invention à l’état pur, sans antécédent.
« Les inscriptions protosinaïtiques sont des graffitis retrouvés dans ou près de mines de turquoise exploitées par les pharaons et Moyen ou du Nouvel Empire sur le site de Sérabit el-Khadem dans la péninsule du Sinaï. »
Tu penses bien mon brave WG que l’histoire des mines de turquoises est analysées dans le livre que j’ai consulté et cité ici, comme d’ailleurs dans d’autres sources, notamment Herrenscmidt…sauf que les auteurs de ces graffitis sont identifiés comme « probablement » proto-phéniciens, ce qui est logique puisqu’ils rendent hommage à la déesse Baalat.
De plus, rien ne permet d’affirmer avec la moindre assurance qu’il s’agit d’un alphabet achevé: « Les premières traces de l’écriture alphabétique remontent au milieu du IIè millénaire avant J.-C. et se répartissent en deux ensembles. » « Premières traces… » Il serait tout de même extraordinaire que les hébreux, même s’il s’agissait d’eux dans ces fameuses mines, aient disposé d’un alphabet complet au milieu du deuxième millénaire av. et n’aient commencé à s’en servir que 700 ans plus tard pour commencer à rédiger la Bible!
La chronologie est beaucoup plus cohérente avec l’apparition de l’alphabet phénicien daté à Byblos au 12ième siècle av. Sans compter l’alphabet d’Ougarit encore plus ancien qui est considéré comme un véritable alphabet et a été effectivement utilisé au 14ième siècle av.
J’ai regardé ce soir une émission sur Juppé; il a toujours ce regard inquiétant, un regard qui ne regarde pas, toujours porté au loin ou sur les côtés, rarement sur l’objectif de la caméra et jamais sur son interlocuteur.
Mais personne n’a jamais dit qu’il s’agissait d’un alphabet achevé.
Peu probable que ces esclaves soient des Phéniciens (mots qui n’existe pas en réalité sinon pour désigner des marchands de la mer Égée. Les gens ne s’appellent pas « Phéniciens » mais par leur ville d’origine, Tyr, Byblos, etc.
Les esclaves des pharaons, à qui appartiennent ces mines, sont des Hébreux à l’évidence. Qu’ils adorent Ba’al n’a absolument rien d’étonnant à l’époque. La Torah ne leur a pas encore été révélée ! Et même une fois de retour en Terre promise, des Israélites (des Hébreux qu nord, de la partie appelée Israël, tandis que le sud était la Judée) ont refusé d’adorer YHVH pour se vouer à Ba’al.
javert, tu regardes trop tes écrans. Je voulais te dire un truc à propos d’un homme pressé, remontant une rue de Paris, au pas de charge, serrant des mains, à droite, à gauche. Et qui est devenu très zen. Et puis tu gonfles.
ja.vert, tu regardes trop tes é.crans. Je voulais te dire un truc à propos d’un homme pressé, remontant une rue de Paris, au pas de charge, serrant des mains, à droite, à gauche. Et qui est devenu très zen. Et puis tu gonfles. comme vahiné.
1 iste
2 šinā
3 šalāš
4 erbē
5 ḫamiš
6 šediš
7 sebē
8 samānē
9 tešē
10 ešer
voici ls dix premeirs chiffres en akkadien. Je pense qu’en hébreu et en arabe, ça doit être très proche, ainsi qu’en phénicien, en araméen…bref, dans toutels langues sémitiques
J’ai indiqué que sur l’inscription de la Ba’alat figurent les lettres encore aujourd’hui employées dans l’alphabet en hébreu : « lamed », « beth », « ain » et « tav », la dernière lettre de l’alphabet hébraïque. On retrouve d’ailleurs le « tav » écrit de cette manière encore dans l’écriture de Qumran. J’ai le dessein exact des lettres sur mon bouquin en allemand en gros. Il y a même le chin ש.
L’ouvrage allamend indique bien la date de l’invention de cet alphabet d’une douzaine de signes alphabétiques : vers -1700, comme l’indique Attali.
Ce qui montre bien que ce ne sont pas du tout les prétendus « Phéniciens » qui ont inventé ces lettres.
Il y a trois endroits où on a trouvé par ailleurs des lettres de textes protocananéen : Beth Shemesh, Ta’anach et sur le Mont Tabor, tous en Palestine. Ils datent entre le 13è et le 12è siècle. Donc plus récent, et pas plus anciens comme l’indique l’ouvrage de la BNF.
Les lettres figurent sur des armes, des pointes de lances, dont on a les photos sur le livre allemand.
Non, le « tav » on ne le trouve pas écrit comme à Sérabit à Qumran mais dans le tunnel de Siloé et sur la stèle de Mesha. Entre -1700 et la stèle de Mesha -IX è siècle, la graphie du « tav » n’a pas changé. Elle change sans doute avec la révolution culturelle sous le roi Josias où l’écriture est enseignée dans des écoles pour tous.
Et on voit bien que la graphie actuelle de la lettre « beth » en hébreu est une déformation d’un carré avec une ouverture représentant le plan d’une maison avec une porte. On peut suivre d’ailleurs au fil des siècles les déformations subies par ce signe qui vient à l’origine d’un hiéroglyphe égyptien. Et c’est assez fascinant même de voir ça !
Mon livre allemand indique que le « bêta » grec était écrit dans l’écriture archaïque comme une déformation du « beth » hébreu ou peu s’en faut. Il a ensuite d’abord été un B à l’envers, orienté vers la gauche comme le « beth » et ce n’est qu’ensuite qu’il a pivoté de 180° pour donner le bêta actuel B orienté vers la droite, dextroverse à partir de la révolution d’Archinos sans doute.
Ce n’est pas la même chose mais il y a des ressemblance :
4 arba (hébreu)/erbe (akkadien)
4 arba (hébreu) / erbe (akkadien) / orbatl (atlante)
Troublant.
1 vlis
2 squetl
3 tratl
4 orbatl
5 pluntl
6 kelis
7 haplotl
8 pototl
9 bekolt
10 deklt
« J’ai regardé ce soir une émission sur Juppé » (Dédé)
Quel courage ! Quelle force de caractère vous avez, mon ami ! Personnellement, j’ai horreur des films d’horreur …
J’ignore qui a trouvé cette merveille sloganeuse digne du ‘Le Changement, c’est maintenant ! », ou du ‘Moi, Président, je …’, slogans de chiottes socialistes, qui a trouvé le fameux :
« L’identité heureuse » !
A Noel, ce communicant mériterait le poste envié de RAVI DE LA CRECHE ! L’identité heureuse…
Le Continent africain se vide en Europe… et on vous parle d’identité heureuse !
Régis Debray, raisonnant sur le terrorisme du IIIème millénaire avec les schémas de la guerre à l’ancienne, démontre combien sa pensée géopolitique est dépassée…
Vous espériez Eisenhower ou Churchill ?
…vous avez Goofy Dingo !
Vous n’y comprenez rien, JC. C’est de l’alphabet Sérabit.
Sérabit ? alors c’est Bugs Bunny….
Debray causait déjà comme ça dans son premier film – Jean Rouch, Edgar Morin- avec le même allant ( et toute ses dents), en écoutant le Che, alphabet Sérabit.
une tête de boeuf c’était aussi de face
https://www.alpes-photos.com/fontanalbe8.htm
Exception « culturelle » française
CHIRAC Trique en feu : fainéantisme aggravé
SARKOZY Crâne creux : agitation désordonnée
HOLLANDE Petit bedon souriant : molle incompétence
JUPPE Droit dans vos bottes : les vioques au pouvoir …
me réveille en pensant à KK et à CH.
Elle, en une nuit de fashion week gagne un troisième K, celui de « Ciel mes bijoux » dans l’album de Tintin avec les romanichels, la pie voleuse et le château de Moulinsart.
Me demande si elle n’a pas déjà gagné le quatrième à force de vendre son cul et ses nibards : misses Ktastrophe.
Et, lui, C H, son père Ange et sa mère Esther ne doivent pas être fiers de lui : il est retombé direct et jouissif dans les marchands du temple. J’aimerai être homosexuelle pour lui rentrer dans le lard. Il se frotte les mains de plaisir, un jour il aura la monnaie de sa pièce : je le verrai bien, contrit et pieux, laver les pieds de longue procession d’homosexuels. Des pieds très sales et très beaux, comme ceux des franciscains.
d’hier au soir, correction :
si j’étais le père, je me poserais
si j’étais le pape je… verbe au conditionnel « ais »
aucun futur simple
bonjour à tous, bonne journée
adorer c’est laid, m’a’t’on appris.
Les gens ne s’appellent pas « Phéniciens » mais par leur ville d’origine, Tyr, Byblos, etc.
l’étonnant c’est que souvent aussi, les noms de ville reprennent le nom du fleuve au bord duquel elles se sont installées. Je vous donnerai quelques exemples.
quant à Abélard, les deux qui l’ont châtré le furent à leur tour. Drôle que CH avec sa manière de massacrer ses têtes de turc ne sache pas cela.
D. dit: 3 octobre 2016 à 22 h 51 min
on pourrait supposer qu’il n’oublie en rien ce qu’il a vécu, la mise au pilori dans l’indifférence générale.
Ce qui semble être le cas de manière systématique pour les otages : Florence Aubenas, Jean Paul Kauffman etc.
Il y a des chances qu’une un jour devienne papesse.
Et pourquoi pas ?
Plutôt que cette c….immentissime de théorie des genres : chéri, tu as le choix tu sais, tu peux devenir une fille.
Chérie, tu as le choix tu sais, tu peux devenir un garçon.
Souvent, quand tu t’en vas, tu sais pertinemment pourquoi tu t’en vas. parce que le discours, lénifiant, continue par « tu sais quoi ? » et se termine par » au final », en oubliant « impacter ».
@rose, ah lit. dit: 3 octobre 2016 à 21 h 57 min
Je découvre que Paul Edel avait évoqué cet article du Monde. Je n’ai pas vu son commentaire noyé dans les échanges d’une autre nature et les pages de commentaires qui jouent un interminable palimpseste.
Les exemples que vous donnez laissent à penser que bien des écrivains ont essayé d’échapper à la notoriété qui est un piège dans le travail d’écriture. Le mot « humble » que vous employez me parait tellement bien choisi.
Par ailleurs, hors des grandes maisons d’édition on trouve des pépites défendues par des petits éditeurs indépendants.
Toujours heureuse de voir, au matin, que le grand désir d’écrire et de batailler, ici, vous a saisie et vous a volé quelques heures de sommeil. Parfois cela ressemble à un soliloque où vous suivez avec ténacité une pensée.
Cette question de « genre » semble vous avoir troublée. La remarque de ce pape ne m’a pas étonnée. Tous les papes ont toujours étaient proches des milieux traditionnels et intégristes de leur religion comme s’ils devaient défendre un dogme en danger alors que les églises se vident et que les mentalités s’ouvrent à un regard moins prompt à la condamnation.
Je trouve sain que des adolescents, mal dans leur peau, puissent réfléchir tranquillement à leur identité. Beauvoir écrivait : on ne naît pas femme, on le devient… ». Garçon ou fille, que d’étapes à franchir pour se connaître et vivre harmonieusement dans leur corps et dans leur tête. Le pire, je crois, se joue au niveau du cercle familial.
avant l’alphabet, ne serait-il pas judicieux de commencer au tout début par l’art rupestre, c’est à dire la représentation du monde et de soi ?http://www.habitermarseille.com/public/img/big/50f8055013c58.jpg
le boeuf de profil , dans son entier
et soi
https://ecolesaintvivien.files.wordpress.com/2014/06/grotte-cosquer.jpg
plusieurs soi.
Ce sont les archosaures ovipares qui ont inventé l’alphabet, on en trouve des traces un peu partout… ?
>christiane
à droite vous avez un article sur isabelle mège. Vous avez les photographies de vivian maier également,
http://www.vivianmaier.com/gallery/street-2/
découvertes dans une brocante ou autre par un inconnu, illustre.
bonjour renato
je vais travailler, loin de l’ardeur et vous répondrai sur les axolotl ; je ne sais ni comment ni quoi mais je vous répondrai, soyez en sûr (de vous)
christiane oui, je pense que cela se joue dans la famille et en rien à l’école, lieu d’apprentissage s’il en fut. Voir xavier dolan à ce sujet et l’hystérie concomitante. Me suis réveillée en pensant à ce petit garçon qui dit à son père qu’il veut devenir une fille plus tard : il a sans doute grand sens des responsabilités et envie de grandir, très belle attitude. Et s’il devenait comme cela en restant un garçon, non ?
>christiane je ne pense pas que françois soit intégriste
P. S ai regret amer d’avoir donné le lien de mains sur un site d’école privée : l’école se doit d’être publique laïque et obligatoire. Si j’avais su, je ne l’aurais pas mis.
mais pas seulement le pire se joue au niveau du registre familial ; le meilleur également sans nul doute.
J’ai réagi sur la théorie du genre parce que ce n’est en rien à mes yeux une priorité au sein des apprentissages.
Deux liens
préparer
http://www.cuisineetvinsdefrance.com/,matelote-d-anguilles-au-vin-rouge,37242.asp
Meredith Monk, Education of the Girlchil
et lire en //
@rose dit: 4 octobre 2016 à 8 h 46 min
Qu’il le soit : non, qu’ils les écoutent : oui ! La preuve dans cette perfide fausse information qu’on lui a glissée à l’oreille. D’où venait-elle, d’après vous ?
Ce qu’on est bien loin de tous ces diktats ! L’Église doit regretter la main de fer qu’elle posait sur les vies et les consciences des familles, il n’y a pas si longtemps…
MAUVAIS GENRE
« Je trouve sain que des adolescents, mal dans leur peau, puissent réfléchir tranquillement à leur identité. » (Christiane)
C’est pourtant simple, nom de dieu ! On a pas le choix !
– t’as une mentule, des amygdales externes, t’es un garçon, un homme du futur, la nature t’a fait « mâle » !…
– t’as un vagin, un utérus, des ovaires, t’es une fille, une femme du futur, la nature t’a fait « femelle »
Qu’est ce que c’est que ces c.onneries de genre ? ça va pas la tête, Christiane ! tu nous a habitué à mieux …
Accrochez-vous : j’arrive !
« On ne naît pas femme, on le devient », écrivait Simone de Beauvoir dans « le Deuxième sexe ». C’est une évidence. Le fait d’avoir été doté par la nature d’organes génitaux d’un genre ou de l’autre est ce qui compte le moins dans la détermination sociale du sexe. Dans toutes les sociétés, à commencer par les plus rétrogrades, et malheureusement encore dans les nôtres, le fait d’avoir un sexe masculin ou féminin est censé vous conférer des « qualités ou des « défauts » qui vous rendent aptes à tel ou tel rôle, à telle ou telle place dans la société. Ces préjugés jouent bien entendu au détriment des femmes dont ils consacrent l’infériorité et la dépendance. Or le fait de se montrer plus ou moins capables — disons au hasard — de douceur, d’énergie, d’esprit de décision, de compassion etc. etc. — n’est en rien fonction du sexe anatomique et physiologique. Bien des hommes sont capables de bien plus de douceur maternelle que bien des femmes. Bien des femmes sont capables de bien plus d’énergie que bien des hommes. Les deux sexes sont également dotés de toutes les aptitudes intellectuelles et morales imaginables.
Je trouve sain que des adolescents, mal dans leur peau, puissent réfléchir tranquillement à leur identité. Beauvoir écrivait : on ne naît pas femme, on le devient… ». Garçon ou fille, que d’étapes à franchir pour se connaître et vivre harmonieusement dans leur corps et dans leur tête. Le pire, je crois, se joue au niveau du cercle familial. (Christiane)
Je ne vous avais pas lue. Entièrement d’accord avec vous, bien entendu.
Le pire, je crois, se joue au niveau du cercle familial. (Christiane)
C’est ce que le pape a compris en refusant l’ambassadeur promu par la France pour le Vatican. tintin tu l’auras pas, qu’il s’est dit.
« Les esclaves des pharaons, à qui appartiennent ces mines, sont des Hébreux à l’évidence. »
C’est une évidence qui a échappé à tous les historiens du Proche Orient ancien!
Personne n’a dit que ces esclaves se désignaient eux-mêmes comme « Phéniciens ». Un historien les désigne comme « proto-phéniciens » sur la base de leur origine géographique probable des régions ultérieurement connues comme la Phénicie. D’autres se contentent de parler de peuples sémitiques (Herrenschmidt ajoute « égyptianisés »). Aucun n’émet l’hypothèse qu’ils s’agissent d’hébreux.
Mais WG, lui, sait mieux. Avec quasi zéro information (nous parlons de deux graffitis déchiffrés) dont les auteurs sont quasiment inconnus, il conclut que des hébreux qui adoraient Baalat ont inventé l’alphabet et l’ont ensuite transmis aux grecs, contrairement à ce que tout le monde pense, à commencer par les grecs eux-mêmes…
Et bizarrement, ces hébreux qui avaient inventé l »alphabet au milieu du 2ième millénaire ne l’utilise que 700 ans plus tard pour commencer à rédiger la Bible!
On est pas loin de l’Atlantide selon D.
Entre Jean 9h02 et JC 9h05, je préfère Jean !
En ce moment très bel échange entre Marie N’Diaye et Augustin Trapenard dans cette espiègle et profonde émission quotidienne « Boomerang ».
https://www.franceinter.fr/emissions/boomerang/boomerang-04-octobre-2016
Ce jour, Écrire ? Être écrivain ? Signer de son nom ou d’un pseudo ? Dans le droit fil de l’énigme Elena Ferrante. Elle répond paisiblement et avec beaucoup de lucidité.
« Les esclaves des pharaons, à qui appartiennent ces mines, sont des Hébreux à l’évidence. »
C’est une évidence qui a échappé à tous les historiens du Proche Orient ancien!
Personne n’a dit que ces esclaves se désignaient eux-mêmes comme « Phéniciens ». Un historien les désigne comme « proto-phéniciens » sur la base de leur origine géographique probable des régions ultérieurement connues comme la Phénicie. D’autres se contentent de parler de peuples sémitiques (Herrenschmidt ajoute « égyptianisés »). Aucun n’émet l’hypothèse qu’ils s’agissent d’hébreux.
Mais WG, lui, sait mieux. Avec quasi zéro information (nous parlons de deux graffitis déchiffrés) dont les auteurs sont quasiment inconnus, il conclut que des hébreux qui adoraient Baalat ont inventé l’alphabet et l’ont ensuite transmis aux grecs, contrairement à ce que tout le monde pense, à commencer par les grecs eux-mêmes…
Et bizarrement, ces hébreux qui avaient inventé l »alphabet au milieu du 2ième millénaire ne l’utilise que 700 ans plus tard pour commencer à rédiger la Bible!
On est pas loin de l’Atlantide selon D.
La manière dont la nature brouille incessamment la répartition sexuelle des rôles dans la société est un des ressorts les plus efficaces de la comédie sociale : combien d’hommes roulent pitoyablement des mécaniques pour tenter de faire preuve d’une virilité dont ils sont radicalement dépourvus ; combien de femmes miment une capacité de compassion pour leur prochain dans leur vain effort pour tenter de masquer les ressources d’agressivité et de méchanceté dont elles sont richement dotées …
Ah ! Christiane, Jean, vous êtes bien tous les deux la honte de ce blog, avec vos gnagnagna : on peut déc.onner avec tout mais pas avec le sexe : mâle et femelle, le reste est déviation maladive !
Je t’enverrai tout ça en camp* de rééducation, moi, si je n’étais pas humaniste sensible, mesuré, délicat, tolérant …
*traitement au napalm, au cas où les camps sont occupés par des migrants lubriques transgenres
Voilà un petit résumé qui me paraît assez raisonnable:
Les systèmes alphabétiques pré-phénicien :
…..Jetons un coup d’oeil rapide sur les premières méthodes d’écritures alphabétiques qui sont apparues dans la région et qui ont, semble-t-il, beaucoup influencé l’évolution de l’alphabet phénicien.
les inscriptions protocananéennes : appelées aussi pseudo-hiéroglyphiques ont été découvertes dans les régions du Levant (Liban, Palestine et Syrie). Elles se rapprochent beaucoup des hiéroglyphes égyptiens, représentant des animaux, des végétaux, des instruments, des motifs géométriques, etc. Cette écriture essentiellement syllabique, ne comportant pas plus que 120 signes, est restée indéchiffrable en dépit des efforts des grands spécialistes.
Les inscriptions protosinaïtiques : sont constitués d’ensemble de graffitis (au nombre de 25), en grande partie mal déchiffrés, retrouvées sur le site de Serabit el-Khadim dans le Sinaï près des mines de turquoise exploitées par les pharaons et remontant aux environs de l’an 1600 av. J.C. Ces inscriptions ont permis de distinguer une écriture alphabétique comprenant 23 signes mono-consonantiques différents mais qui constituaient, une fois associés, un alphabet complet. Certaines des formes ressemblent à des hiéroglyphes égyptiens simplifiés et d’autres se rapprochent des lettres phéniciennes.
Les tablettes cunéiformes d’Ougarit : ont été découvertes à la fin des années 1920 à Ougarit (l’actuel Ras Shamra, sur la côte syrienne), dans la partie septentrionale de la Phénicie. Elles datent du XIII° siècle av. J.C. et sont plus proches, par leur style, de l’écriture mésopotamienne. Les scribes d’Ougarit écrivaient, sur des tablettes d’argile, utilisant un alphabet de trente signes cunéiformes(2). La richesse des textes trouvés réside dans leur diversité (textes diplomatiques, traités de commerce, documents juridiques, etc.). Certains chercheurs défendent l’idée suivant laquelle la ville d’Ougarit aurait pu subir l’influence des deux écritures précédentes et cela en raison de sa situation géographique, au carrefour des relations diplomatiques et commerciales établies entre les puissances dominantes de l’époque. »
Et aussi:
» Il en ressort simplement que cette invention était mûre, en pays sémitique méditerranéen très civilisé, que le principe venait en lumière d’un bout à l’autre de tout le domaine syro-palestinien, et que les systèmes arrivaient à éclosion sans attente préalable, chacun de son côté, en divers points, et sous des formes entièrement différentes suivants les circonstances et les influences locales, suivant l’ingéniosité ou la fantaisie des premiers inventeurs ».
R.Weill, La Phénicie et l’Asie occidentale (des origines à la conquête macédonienne), A. Colin, Paris, 1939
J’ajoute que Hérodote et Diodore de Sicile confirment tous les deux que l’alphabet a été transmis aux grecs par les Phéniciens. Ce que Diodore conteste, c’est qu’ils l’aient inventé.
On ne peut qu’être d’accord, la notion « d’invention » dans ce domaine n’a aucun sens, sauf si on la circonscrit à la mise en forme à peu près définitive et largement diffusée d’éléments d’innovation éparpillés çà et là.
Dans ce cadre limité, les phéniciens sont effectivement les champions!
Les adversaires de la théorie du genre sont les mêmes qui se félicitent de la législation réactionnaire de l’IVG en Pologne.
« combien de femmes miment une capacité de compassion pour leur conjoint dans leur vain effort pour tenter de masquer les ressources d’agressivité et de méchanceté dont elles sont richement dotées … » (Jean)
Sacré Josette : ah ! elle a du tempérament ta Josette…
Pratiquer l’IVG, c’est un crime contre la volonté divine qui veut que la petite graine pousse dans le petit ventre !
Jeanjean,
contrairement à Juppé qui, droit dans ses crottes, n’a aucune vision à long terme, le descendant des Huns hongrois sédentarisés, l’admirable Viktor Orban, interdit l’IVG afin de donner à la nation hongroise une forte natalité : le moyen de lever de vastes armées de nombreux petits hongrois méchants, seuls capables de bouter hors de la Hongrie les infâmes envahisseurs Barbaresques !
Dans le Monde d’hier quelques bonnes feuilles d’un livre où les correcteurs du journal dressent avec precision intelligence et humour un bilan de leur travail.
C’est à la fois serieux bien tourné,assez drôle et d’une lecture rafraichissante qui tranche sur la grisaille boboïque qui est devenue l’ordinaire de notre « quotidien de référence »
L’un des auteurs est Martine Rousseau ;ce serait le vrai nom de celle qui s’affiche ici comme VDLB, si on en croit l’opération de « demasquage » opérée par Rose il y a quelque temps
Et on ne peut que sourire à cet effet « jeckill et Hyde « de celle qui joue le seches les agressives les jalouses et les mechantes ici et qui est dans sa vraie vie si nuancée intelligente et fine…..et sympathique
DHH,
Martine Rousseau, c’est comme moi : on se distrait de nos qualités insipides, ennuyeuses, rémunérées, en libérant nos défauts sur l’agora des porcs et des cochonnettes
Bof DHH, bien désolée de ne pas pouvoir apporter un quelconque crédit à une grossière cabale que vous entretenez.
Vous n’avez pas répondu à propos de cette histoire ‘Jacques en Angola » »?
Quittons nous définitivement sur une rumeur qui enfle …. le dessin d’illustration, prémonitoire, d’HERGE serait celui de la fuite de TINTIN, HADDOCK, TOURNESOL et un chien dont j’ai oublié le nom, poursuivis par un sémitique prophétique, prosélyte alphabéteux, nommé Widergänger !
La « volonté divine »,
en matière de biologie
comme en bien d’autres,
est assez impénétrable.
N’est-ce pas orgueilleux
de prétendre la connaître
et de s’en prévaloir ?
Dedoigtdivinement.
I mean Jacques, « le crotale » de l’X, DHH, pas la grande folle du blog.
Que disent les alphabêtologues
de l’emploi des émoticônes
en complément de nos lettres
et chiffres modernes ?
Imaginesquement.
Alors, Martine rousseau, ça boume? JB avait bien vu !
« l’admirable Viktor Orban, interdit l’IVG »
Tu confonds avec la Pologne JC.
Jean, Christiane, les hormones jouent un rôle énorme dans le comportement, c’est une évidence absolue. Pourquoi le nier bêtement?
l’emploi des émoticônes peut être une nouvelle manière de se regarder écrire, dans le même temps est ensuite venue la mode des selfies, quelque chose à creuser là éventuellement
drôles de manières de faire les présentations sur internet en tout cas…
@on peut déc.onner avec tout mais pas avec le sexe : mâle et femelle, le reste est déviation maladive !
@les hormones jouent un rôle énorme dans le comportement, c’est une évidence absolue. Pourquoi le nier bêtement?
Mais non, vous surestimez tout cela, les hormones ou la naturalité naturalisante du sexuel, alors que le sexué est d’abord une affaire de genre. De quoi avez-vous peur, closer de jc ? Que craignez-vous exactement ?
Les animaux, à vos yeux, sont-ils effrayés par leur sexualité ? par leur genre ? par leurs sentiments ou instincts ? Bien sûr que non…, Alors pourquoi vous autres, les hominidés, auriez-vous à ce point la trouille de la soi-disant confusion des genres, alors vous qui disposez d’un langage anxiogène qui vous intoxique et devrait plutôt vous servir à conjurer vos angoisses d’humains pas bien sûrs d’avoir domestiqué la bête en eux.
@11.52, non martine rousseau trouve que ça fait vulgaire.
Gontrand nie les évidences. Les lettres trouvées à Sérabit el-Khadem sont des lettres de l’alphabet hébreu.
C’est une évidence que les esclaves des pharaons étaient des Hébreux.
Les « Phéniciens », ça n’existe pas comme peuple. Il n’y a que des villes comme Byblos, Tyr, etc.
Que l’alphabet en vigueur à Byblos ou Tyr se soit transmis en mer Egée et en Grèce par les marchands, c’est une évidence aussi.
Mais ceux qui ont inventé en les sortant du néant sont des esclaves hébreux. Attali n’est pas le seul à le dire, il ne fait que reproduire un savoir officiel, qu’il est ridicule de remettre en cause, pour des raisons douteuses en plus…
Que cette infâmie qu’est le « transgenre » soit un crime social, une sorte de luxation glaireuse de la toléranc,e j’en suis convaincu, et c’est extrêmement dangereux sur le plan de la construction de l’individu , n’en déplaise à ces oncteux crétins qui brandissent la tolérance en la prostituant à des fantasmes d’adultes mal finis. Certes; mais deux choses aussi:
-Jamais, au grand jamais , L’education Natinale n’enseigne le transgenrisme.. C’est une infâmie et une pourriture de dire cela. L’EN a bien des défauts, mais ça ,non. c’est donc de la calomnie , mais ce n’est pas nouveau, ‘est la catholaillerie de De Lesquen, de De Villiers et de toute la France moisie
-ensuite de quoi se mêle ce pape jésuite et imbibé de la Théologie de Boof, la fameuse théologie dite de la « libération » qui , en fait , est une sorte de rigorisme latino ?
Ce qui ressort de toute cette histoire ??
la haine conjointe, simultanée et synchonisée de tous les fondamentalismes les plus puants, le salafimse, le fondamentalisme catholique et juif, tous, tous, la haine contre la laîcité française. Il aura fallu 100 ans, donc, pour que es porcs parvinssent à en venir à bout ! C’est la revanche contre L’Abbé Grégoire, la Révolution, ‘acquittement de Dreyfus et la li de 1905.
ALors , me transgenrisme est à chier, est délétère, mais je suis prêt à descendre dans la rue pour le défendre contre la chiennerie bigote.
JC….. dit: 4 octobre 2016 à 10 h 11 min
Pratiquer l’IVG, c’est un crime contre la volonté divine qui veut que la petite graine pousse dans le petit ventre !
pauvre khon…t’étais bien content de te vider le bite, hein? tu t’en foutais si ta partenaire voulait ou non un lardon ! Et de quel droit, tu juges du haut de ton service trois pièces, la merveilleuse capacité des femmes d’être les absolues maîtresses d’elles-mêmes ?
Nous es bitauculs, on n’a qu’une chose à faire, fermer nos gueules
4 octobre 2016 à 12 h 22 min
Que cette infâmie qu’est le « transgenre » soit un crime social, une sorte de luxation glaireuse de la toléranc,e j’en suis convaincu, et c’est extrêmement dangereux sur le plan de la construction de l’individu , n’en déplaise à ces oncteux crétins qui brandissent la tolérance en la prostituant à des fantasmes d’adultes mal finis. Certes; mais deux choses aussi:
-Jamais, au grand jamais , L’education Natinale n’enseigne le transgenrisme.. C’est une infâmie et une pourriture de dire cela. L’EN a bien des défauts, mais ça ,non. c’est donc de la calomnie , mais ce n’est pas nouveau, ‘est la catholaillerie de De Lesquen, de De Villiers et de toute la France moisie
-ensuite de quoi se mêle ce pape jésuite et imbibé de la Théologie de Boof, la fameuse théologie dite de la « libération » qui , en fait , est une sorte de rigorisme latino ?
Ce qui ressort de toute cette histoire ??
la haine conjointe, simultanée et synchonisée de tous les fondamentalismes les plus puants, le salafis.me, le fondamentalisme catholique et juif, tous, tous, la haine contre la laîcité française. Il aura fallu 100 ans, donc, pour que es porcs parvinssent à en venir à bout ! C’est la revanche contre L’Abbé Grégoire, la Révolution, l‘acquittement de Dreyfus et la li de 1905.
Alors , me transgenrisme est à chi.er, est délétère, mais je suis prêt à descendre dans la rue pour le défendre contre la chiennerie bigote.
on se demande s’il n’y a pas confusion mentale des genres entre les martine fournier et rousseau et les différentes sortes de javerts qui s’ensuivent, chez la créature dédoublée des bois dont la perversion narcissique pas mal enracinée a l’air d’être en rémission en ce moment, mais ça va pas durer.
Etrange que personne ne parle de l’alphabet araméen, qui est la matrice de tous les alphabets moyen orientaux !
L’araméen ressemble beaucoup à l’hébreu, mais en diffère à peu près comme l’alphabet grec diffère du cyrillique
Puisque nous parlons de c.ons, et que c’est un milieu riche en nombreux sujets, signalons que le Roy des C.ons est depuis le propos, archives, de sa propre mère :
« J’aurais dû m’en défaire ! »… .. le pourrissime taré JANSSEN, dit la fiotte bulgare ! qui hors de nos gonds nous porte en vain !
« mais je suis prêt à descendre dans la rue pour le défendre contre la chiennerie bigote »
Descend dans la rue, McBerguie…. tu retournes à ton ancien métier !
Tout bigot est plus censé que ces trouducs de genderphiles !
@closer dit: 4 octobre 2016 à 11 h 19 min
Oh là ! quand je parle de « fausse information » c’est par rapport à la « source-école » et non par rapport aux hormones et autres bizarreries de notre vie sexuelle. Je pense que le magistère de l’Église s’accroche à ce qu’il peut pour défendre son bastion d’intolérance. Quant à ce pape, les interviews en altitude ne le mettent pas en valeur ou… dévoilent un fond très conformiste et misogyne. Bravo à B. pour son coup de gueule.
Chaque chose en son temps, Jean-Philippe. J’ai déjà fort à faire avec l’alphabet hébreu… ne chargeons pas trop la barque parce qu’on y sera encore dans cent ans…
Les élèves de toute façon auront une généalogie des alphabet qui est très bien fait dans le bouquin de l’exposition de la BNF.
Mais dans le bouquin que j’ai en allemand, on compare les trois alphabets : hébreu, araméen et phénicien qui est assez différent de l’hébreu au 6è siècle avant J.-C.. Et ne contient pas cinq lettres qu’on trouve en hébreu, et pas en phénicien, alors que l’araméen c’est quasiment la même chose dans la graphie et le nombre de lettres.
Cette différence profonde entre l’alphabet hébreu et celui de Byblos montre bien que l’alphabet hébreu est une invention née à Sérabit el-Khadem qui ne doit rien à Byblos.
Le dernier duel officiel en France (le reste est kalachniconneries 9.3.) est le fameux Defferre-Ribière
Today, en 2016, je défie aux poings, cette loque transgenre de JJJ sous l’arbitrage de Pierre Assouline, qui offrira le déjeuner aux duellistes (chez DROUANT) comme un homme ayant de la vertu, de l’entregent, et du savoir vivre-ensemble (mais selon ses moyens).
Le genre ? c’est la négation de la volonté divine, par YWHW, ALLAH et DIEU, Notre Seigneur !
Christiane, j’annule ma proposition de promenade en scooter dans la pinède à Porquerolles, proposition toujours valable depuis 2009 !
Que le diable t’emporte, toi, et les tenant du gender ! Ne pas reconnaître une maladie mentale après tant d’années de réflexion !….
Je constate que le lapin blanc Duracell est reparti de plus belle avec son petit tambour « tous des cons tous des cons tous des cons… »
Le transgenrisme vient des Etats-Unis; c’est une conséquence de la « french theorie », Derrida entre autres, et de la remise en cause de Heidegger …!!!
Mais ici en Europe on crache sur Heidegger. Cherchez l’erreur.
@LVDB
je ne comprends pas pourquoi votre question sur Attali et l’Angola s’adressait à moi.
Je n’ai jamais rencontré Attali ;de lui je ne sais comme vous que ce qu’en disent les journaux: un touche-à-tout indéniablement très intelligent, et prolifique dans ses productions éditoriales tous azimuts .
A part cela un personnage mégalomane,jouant au monstre sacré, qui s’est vautré de manière indécente dans le cocon du luxe gratuit quand il était président de la BERD.
Il faut aussi savoir que, comme on avait exigé pour ce chouchou de M….. la présidence de la BERD banque lorsque sa création avait été envisagée, il y eut comme contrepartie imposée à la France, que cette institution qui avait vocation à se trouver à Paris a été installée à Londres
Quant à ces livres j’en ai lus quelques uns ;je ne me souviens à peine du contenu mais de l’impression qu’ils m’avaient faite (essentiellemnt les premiers) :
C’etaient les ouvrages brillants de quelqu’un qui ,ne se refusant pas une certaine malhonnêteté intellectuelle ,simplifie abusivement les pensées qu’il démarque,(je pense notamment à Braudel) pour arriver , au prix de ces à peu-près et de l’occultation de ce qui infirmerait ses démonstrations , à bâtir des synthèses pseudo-brillantes, présentant des visions générales et des systèmes d’explication globaux, qui se veulent lumineux, originaux et fulgurants,mais ne résistent pas à l’analyse.
dans la pinède
—
Quand la pinède pas mais dessert,
le gogo se trouve nu comme ver…
Sales mécréants !
Le genre ? c’est la négation de la volonté divine, par YWHW, ALLAH et DIEU, Notre Seigneur !
@JC….. dit: 4 octobre 2016 à 13 h 10 min
« Maladie mentale »… C’est tellement commode de caser ainsi ceux qui sont hors les normes d’une société modelée par des siècles de conformisme. Closer évoquait l’influence de certaines hormones. Possible… mais ne pas oublier le carcan de certaines familles, le rapport à la mère (toujours complexe), l’attitude de certains pères, et d’autres hoimmes, les coups de foudre (on aime avant d’avoir choisi qui on va aimer).
Et puis, il y a ceux pour qui ces interrogations n’existent pas. Ils auront d’autres occasions de souffrir, de s’interroger sur la vie, sur la rencontre, sur la solitude ou sur les cages en tout genre.
Dialoguer avec toi, JC, mais c’est impossible car tu as trouvé (sous ce pseudo) la façon confortable de contredire tous et toutes. Basta ! tu n’es pas le seul à tenter une expérience d’exaspération, ici, d’autres s’y roulent aussi comme les bêtes dans la boue. C’est tellement facile de cracher sur les autres anonymement. Aucun risque sur un blog aussi permissif ! Enfin le ménage a été fait hier et on respire mieux. Va au diable avec ta Vespa rose, tu me fatigues, gamin !
« Va au diable avec ta Vespa rose, tu me fatigues, gamin ! » (Christiane)
Tu passes à côté du bonheur !…. comme d’habitude ?….
@12.53, tiens… martine a encore usurpé le pseudo JC…..
One of the greatest philosophers of the 20th century was a Nazi. There is no disputing this stark fact: Few people would argue Martin Heidegger’s claim to preeminence, and his Nazism, at least at first, was public and enthusiastic. In the spring of 1933, a few months after Hitler took power, Heidegger joined the Nazi Party and was elected rector of Freiburg University, where his expressed goal was Gleichschaltung—the “alignment” of the academy with the new party-state.
ML, je vous conseille de lire la suite de l’article d’Adam Kirsch sur les « carnets noirs » dans « Tablet » (tabletmag.com)
WG, tu répètes comme des mantras, soit des âneries, soit des objections auxquelles j’ai déjà répondu.
Tes « évidences » ne le sont pour personne de sérieux.
Martine,
Je ne sais pas ce que tu en penses, mais moi, le « sauvetage » d’Alsthom – on leur jette une lifevest plombée – me fait mourir de rire !
Faire rouler des TGV sur des voies lentes, c’est le cycliste champion olympique qui marche à côté du vélo… uhuhu !
Vive la France socialiste syndiquée !
Conformisme ?
….la différentiation des sexes ?….
Réveille toi Christiane, tu cauchemardes !!!
Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais j’ai comme l’impression que JC et Christiane ont perdu en affinité.
De toutes façons, on ne refera pas l’ADN. Ou bien ya du Y ou bien ya que du X. Un point c’est tout, personne ne peut me contredire là-dessus.
Et j’ajouterai que le Y n’a quune seule origine : le papa. Qui lui même tenait son Y de si papa. Et ainsi de suite, de générations en générations en passant par l’australopithecus.
Avec quelques updates de temps à autre, comme dirait Sergio. On a quand même été updaté, nous les hommes.
D. dit: 4 octobre 2016 à 14 h 19 min
quelques updates
Ha mais Achtung bicyclette y a l’update et l’upgrade ; l’update c’est le truc quotidien où on regarde pas du tout on clique OK comme des bêtes ainsi qu’ il est de rigueur pour tout sous Windows ; l’upgrade là c’est le gros coup, tous les deux ans environ, là on regarde on prépare aussi comme des bêtes mais ça sert à rien du tout on est bon comme la Romaine pour réinstaller ex nihilo…
@christianz, soutenir le genderisme, c’est être fieffément inconscient des conséquances gravissime que peut avoir cette salope.rie sur une société démocratique. Que certains êtrs ressentent le besoin de changer de sexe, qui les en blâmerait à part les dégénérés réacs. Mais introduire (si j’ose dire) le doute chez un gosse sur son sexe est une gigantesque infâmie.
Et puis la tolérance, ce côté youkaïdi youkaïda, genre prof d’anglais femelle qui fait dans le » vivre ensemble tu oua? », ras le bol. Je suis résolument CONTRE le transgenrisme. C’est un crime contre l’humanité. ça pue d’ailleurs l’obsession sexuelle dee SS de jadis. Car tout finit par se retrouver; L’essence du nazisme était ce genre d’abolition de tabous essentiels à la contruction de l’être. SOutenir le transgenrisme pour desm otifs brancho-brétéchériens , c’est être nazi.
Moi aussi; totalement contre.Et Berguenzinc a totalement raison, c’est une infamie.Qu’on en soit arrivé là est en effet hypergrave.
Mais c’est toi qu’es pas sérieux, mon pauvre gontrand ! T’es borné en plus. Mais enfin, bon on s’en fout. Garde tes âneries, puisque t’es bête.
Mais je m’en fous des carnets noirs. ça n’a rien à voir avec la profondeur de la pensée de Heidegger. Ce pauvre pays est devenu débile.
En plus, ce que dit cet imbécile de British est complètement faux. Ce ne sont qu’ânerie et calomnies. Heidegger n’a jamais été nazi de sa vie. Il s’est trompé en croayant que le régime allait installé une Université digne de ses rêves. Il s’est rendu compte très vite qu’ils s’était lourdement trompé et en plus qu’il avait vendu son âme au diable. C’est écrit noir sur blanc dans le bouquin publié chez Gallimard sur ses écrits politiques. Qu’ils le lisent tous ces cré.tins de journalistes incultes !
J’en ai gros sur la patate, à vrai dire. Plus besoin de faire semblant de condamner Hedegger que personne n’a lu, sauf Michel, et qui en lisant le livre de Sarader me semble bien autre que l’épouvantail à Arendt qu’on nous propose, mais bref, le transgenrisme est, à bien y regarder, un terrible retour en arrière anté-psychanalytique. C’est la barbarie absolue. Et puis ce côté doucereux, fasciste sucré de abrutis qui soutiennent ces en.culés prétendant écraser l’ADN sous leurs bottes de frustrés, c’est la gauche, la gauche larmoyante, hypocrite, qui a eu tout faux depuis 50 ans, qui a soutenu Khomeyni, soutenu les Palestiniens pour une simple question de bites. j’ai accepté en maugréant le mariage pour tous…et ces khons de gauchards intellos de broussiales bobos et incultes ont tant et si bien soutenu tout ce qu’il y avait de plus pourri, que la droite abjecte, qu’on croyait crevée, enfin, est ressuscitée et de plus en plus violente.
bravo encore, et merci.
Tout ce qu’écrit cet Adam Kirsch est est un infame tissu d’âneries et de monstruosité ignoble. Et cerise sur le gâteau (Kirsch…) il est franchement c.
Il y a plusqu’une passerelle, un viaduc de Millau , entre la tolérance pourrie de choses parfaitement contraires à l’être, et l’antisémitisme. Certains commentaires ici, suent, en filigrane, cet antisémitisme lié à la circoncision. C’est cela que la caste intello tente de barrer d’un trait de plume en instillant chez le petit garçon ou la petite fille le doute sur son appareil génital. Et comme ces gens sont lâches, ils ont tenté de s’abriter, en vain ,derrière les programmes de l’EN, argument pourri repris, évidemment par les furoncles catholards. Quant à l’Eglsie, elle ferait mieux de la fermer et de s’occuper de la pédophilie qui la gangréne.
Il y a dans « le Monde » daté du 4, un dessin formidable de Plantu….qui résume tout.
Mais tu as complètement raison à 3000% Jean-Philippe ! Mais içl faut bien voir que ce p… de transgenrisme est le fruit des cogitationes des plus grands penseurs français du XXè siècle ! C’est ça le pire de cette horreur. Derrida nous a foutu dans la m… et épaisse en plus avec tous les cinglés de la planète qui se rue comme cochon dans la mêlasse et s’y vautre ! Atroce ce pays !
Le vieillissement de la population
devrait effacer (un peu) la « raison »
de la discussion sur les genres
de sexes et autres. Même s’il y a
des survivants de la chose
dans les maisons de retraite,
elles ne débordent pas
de la plus grand affirmation.
En attendant, parions que,
comme d’habitude, qui en parle
le plus en fait le moins,
et c’est peut-être préférable.
Transnapolitainement.
le voilà , ce dessin magnifique…
« Heidegger n’a jamais été nazi de sa vie. »
Non, bien sûr… même s’il a été membre du Parti nazi jusqu’à la fin.
…
…tient , mon 22 h 12 min,!…censurer,!…
…d’hier – soir,!…
…c’est lourds les bretelles,!…etc,!…
…
Heidegger, nazi, oui…mais Jünger aussi, mort paisiblement , coqueluche des ckhons de frankaouis, et le bon Lammerding, hein, le responsable SS d’Oradour, devenu entrepreneur de BTP florissant en RFA et crevé en 76 ,lui aussi, dans son plumard.
Et tant d’autres…Nolde, le grand Nolde adhéra au NSDAP pour espérer séduire Goebbels et lui vendre ses croûtes…bien mal lui en prit, à ce cave.
Gottfried Benn…etc etc..
Manquait plus que Mussolini !
bip bip…Go ! ah ! ah !
…
…et mon 15 h 08 min,!…
…
…encore accroché chez- moi,!…absent chez Passou,!…
…
…pauvre Bible manger par ses chiens créateurs du chiffre obscon, obsolète en demeure vidée,!…etc,!…
…
Ben oui, Mussolini San Benito, t’es cramé..;ave ton commentaire puant et révisionniste..faut pas pousser mémée dans la boîte à gants, quand même…
Et le charmant Kurt Waldheim, Secrétaire général des Nations Unies…gross malheur la kerre, gross malheur…!
Le journal de Paris (1 & 2) de Jünger est une ballade sans fin de l’entomologiste entre les parcs, les grands hôtels, les apparts chics des collabos, ponctuées de notations esthétiques parfois pas piquées des hannetons (normal pour un adepte de la « chasse subtile »)… Tout juste quelques bombardements (méchants britanniques, méchants américains qui abîment cette ville judenrein malgré lui euh euh euh…) nous rappellent l’Horreur.
Mitterrand, roi de la république des petits copains (plus que jamais au goût du jour) et grand noyeur de poisson en eaux troubles ne répugnait pas à la « visite au grand écrivain »…
…
…c’est déjà enregistrer,!…
…
…les révisionnistes de l’histoire c’est vous,!…
…avec vos Bibles du nouveau à jours, pour du jus de chrétiens bancaire, au chiffre,!…
…Benito Hittler de très pauvres cons, élus du capitalisme sauvage en Europe,!…
…
…mon 15 h 08 min,!…photo et enregistrer déjà,!…
…pauvre type Bergenzinc en l’air,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
…
Heidegger avait misé sur le nazisme pour faire atteindre à sa philosophie un degré d’effectivité radicale. C’est ce qu’on voit dans la langue même utilisée par Heidegger – je crois que c’est ce qu’a voulu montrer GAG dans un récent livre très savant là-dessus ?
@WGG
Pour vous aussi, dans ma réponse à LVDB (13 h 25),quelques notations sur le personnage Attali, hors normes à la fois dans le meilleur et dans le pire pour un intellectuel.
Très cruel et drôle un portrait de lui, en diva, au vitriol, dans le livre d’Orsenna :un si grand amour
@bloom sur Jünger
en exergue de son film: »les guichets du louvre » qui raconte une rencontre le jour de la rafle du vel d’hiv entre une jeune et jolie ouvrière juive qui n’échappera pas à la rafle, et un étudiant bordelais, l’auteur(qui? je ne sais plus) présente la page manuscrite du journal de Jünger pour cette journée de juillet , tout à son émotion d’esthète méditant sur le charme de ce matin parisien lumineux
@DHH
Oui…
Paris, 16 juillet 1942
« Devant moi, sur ma table, cinq glaïeuls dans un vase – trois blancs, un rouge vif et un rouge saumon. Les couleurs des glaïeuls se rapprochent de celles qui relèvent de la distillation : derrière l’éclat des coloris extraits à l’état pur, la vivante substance de la fleur s’efface presque (etc. etc.)
Aux heures libres de midi, chez Berès, où j’ai fouiné dans les livres. Acheté la « Monographie du thé », par J.G. Houssaye, Paris, 1843, avec de belles gravures, la reliure malheureusement un peu piquée des vers (…) la grande ville des livres : Paris.
Chemin faisant, j’ai été pris d’une sorte d’ardent désir d’écrire quelque chose…. »
Ernst Jünger, Premier journal parisien.
Que faisaient Jouhandeau, Céline, Brasillach & con saurs ce jour-là ?
On revient dans son ancien bar assoiffé à l’idée d’aller y épancher une tenaillante envie d’échanger deux-trois pensées amicales autour d’une oeuvre qu’on continue de chérir, et… pooof !
Les premiers coms qu’on y lit nous recrache le crincrin du sinistre Heidegger (lasse), misère…
Si PA tient encore boutique dans 20 ans, ce que je lui souhaite, il nous pond une oeuvre insidieusement le bougre, gageons que cette remarque n’aura pas perdu un poil d’actualité dans la France de 2036…
Mais revenons au grand palais.
Que certains veuillent dénaturer les albums d’RG en les arrachant de leur jus historique est d’une infinie bêtise, mille sabords !
Tel que crachés d’un jet, ils nous apprennent ce qu’était le bain idéologique d’une certaine population – certainement aussi nombreuse que celle voulant les censurer et les réécrire à sa sauce fadasse désormais, et probablement croyant elle aussi bien faire sans réaliser que son recentrage est déjà poussiéreux la minute d’après – mais surtout comment le sentiment de pureté d’âme que certains – dont je suis – prêtent immédiatement à cet auteur traverse les âges et les conventions d’expression, inaccessible à l’ancienne bienséance et à l’hélas désormais incontournable, politiquement correct, étant éternellement dans le dasein, et sa fameuse traversée (pour être raccord avec les derniers coms, that’s some joke, Hey boss ?!).
RG et ses personnages intemporels, pour toujours et à jamais.
AO
Ah oui, j’oubliais !
Je tenais à signaler l’excellent entretien de Marcel Gaucher dans l’excellente revue de l’excellente Élisabeth, en son numéro 38.
Yohoho et une bouteille de rhum !
AO
Sergio, pouvez-vous expliquer, aux profs Tournesol, les états modifiés de la matière, en rapport à un prix Nobel de l’in.for.ma.t.i.que appliquée qui vient d’être decerne?
…
…quel horreur, mon 16 h 45 min,!…encore censuré,!…
…je vais en faire une affiche d’art pour les cons royaux et leurs suites de juifs-arabes lèche-culs divins,!…Ah,!Ah,!…
…photo, avant d’envoyer,!…aux cons-riches-clairs à jours,!…nos pouvoirs à se censurer d’y ce lieu,!…etc,!…
…
@ »Faire rouler des TGV sur des voies lentes, c’est le cycliste champion olympique qui marche à côté du vélo ? » Mais pourquoi l’Etat ne donnerait-il pas du travail aux gens, martine, comme en 1848, les ateliers généreux, c’était cool, non ?
@ »mais qu’arrive-t-il donc aux quelques juifs habituellement les plus progressistes de ce blog en matière de libération des moeurs, avec cette histoire de transgenre ? ça va pas bien la tête, vous déraillez du TGV ou quoi ? Du calme. Ouh là, vivement qu’arrive un autre billet, en général passoul remet les pendules à l’heure durant les 500 premiers commentaires. Mais quand on atteint l’émile, c’est plus possible, voilà qu’advient la confusion des idéologies, des identités, des pseudos, des arguments, la curée autour d’un chiffon rouge.
la vie dans les bois dit: 4 octobre 2016 à 17 h 04 min
les états modifiés de la matière
– L’eau.
– La glace.
– Le whisky…
Les modifications, comme dirait l’ami Butor, consistent le plus souvent pour les trois à s’évaporer, plus rarement à se sublimer…
Dans la théorie mathématique des fractales, on trouve une exploration de ce qui se passe aux limites des phénomènes, à base de dérivation non entière, avec des applications en physique ; on va finir par arriver à réduire les zones grises chères à Passou… Des certitudes, rien que des certitudes !
Houi mais avec une voie lente l’intérêt c’est que le président de la république peut descendre du TGV sur le ballast en pleine nuit…
aucun tintinophile ici pour rappeler en quelles années les patronymes juifs des « méchants » furent scandinavisés ? oursivi a bien raison de s’exciter. Le dictionnaire du cinéma de Brasillach reparaîssait en 47 chez André Martel (d’où sort-il ? ) sans censure (« le délire juif dans le cinéma germanique », und so weiter). un expert capable de faire avancer le schmilblick tintinesque appelé à la barre
le seul- et spectaculaire- exemple d’antisémitisme à la sauce Rebatet ou qui vous voulez , dans Tintin, se trouve dans l' »Oreille cassée », lorsque Tintin enquête sur le fétiche Arumbaya dérobé au Musée Ethnographique. Comme il n’est au fond que la constrution humaine de Milou, et comme lui, fouine partout, ses pas le mènent devant une boutique d’Antiquités. Et, stupeur il voit dans la vitrine le même fétiche ,sauf que celui-ci n’a pas l’oreille cassée et que c’est donc un faux. Il entre et est reçu par un antiquaire , une caricature du Juif Süss…bedonnant, le gilet ne parvenant pas à contenir sa badaine, négligé, bigleux, gros pif…et , évidemment baralnt afec un akgent allmon…lé bédi fédich…foui foui…
C’est tellement caricatural, tellement caricature de la caricature que j’ai vraiment du mal à y voir de l’antisméitisme pur porc si j’ose dire. Hergé était rexiste, connaissait Degrelle…pas brillant, certes. Mais que dire alors du Lotus Bleu avec la caricature des Japonais, sous la forme de Mitsuhirato…dont Milou demande à Tintin « Dis Tintin, les Japonais, ça sont des bons, dis? » ou Rastapopoulos, mi-mi grec, mi-tout, crapule entière…caricature du « levantin »…
On n’en sort plus, à ce compte-là…Tintin, j’adore. Du coup, comme pas mal ici le démontent, je vais me les lire ce soir. En commençant par mon préféré » Les 7 boules de Cristal »….
Attali c’est comme Bayrou, ils ressortent avant toutes les élections présidentielles pour nous expliquer qu’ils ont tout ce qu’il faut pour SAUVER LA fRANCE en 3 mois. Suffit d’appliquer leur programme. Après le 2ème tour on les oublie pour 5 ans. Y a que notre maître ès fumisteries pour s’enthousiasmer: c’est un pur!
les patronymes juifs de l’étoile mystérieuse ont été removed aussi, en quelle année ? no sé.
Tintin serait Degrelle ou l’inverse. un vrai casse-tête, Mann
@berguenzinc dit: 4 octobre 2016 à 14 h 40 min
Mais où as-tu vu ça, MàC ? Ma pensée est très différente de celle que tu me prêtes. Bien sûr que lorsque tout va bien, un p’tit gars est bien dans sa peau, une fille aussi mais il peut arriver – et cela hors de l’influence de l’école – de l’école que certains êtres soient, se sentent, différents. Je pense que les « hormones » n’expliquent pas tout. Des êtres se cherchent dans une autre apparence, une autre sexualité et alors ? On est loin d’une « théorie » qui de toute façon n’est qu’un fantasme, une peur irraisonnée de la part d’intégristes religieux qui imaginent des « endoctrinements » qui n’existent pas. Heureux les hommes qui tiennent amoureusement une femme dans leurs bras et qui la respectent, se soucient de sa vie, de son plaisir, de ses risques de grossesse etc etc. Heureux aussi ceux qui trouvent leur bonheur dans les bras d’un autre homme à qui ils seront fidèles, pour qui ils éprouveront du respect.
Quant à moi, mon célibat actuel me convient tout à fait.
Tu sais bien, MàC, que pour moi l’amitié – tellement paisible – est la relation que j’aime cultiver.
Quant aux commandes de l’État pour sauver Belfort, quelques réations, c’est le caca de le dire, ci-dessous, montrent l’état de khonnerie où ce pays est parvenu, de khonnerie et d’égoïsme.
Oui ,ce sont des Ateliers nationaux, en quelque sorte. Et alors? L’État renoue avec la vielle tradition qui tente de sauver des salariés de la rapacité des grands groupes industriels. Avec De Gaulle et les nationalisations, ça n’aurait pas moufté.
Des TGV qui rouleront à 160 à l’heure??? et après, pauvres khons incultes; En 1975, la SNF refusa tout net de construire le « Pendolino » train italien avec CID (Correction d’Insuffisance de Devers) , c’est-à-dire une technologie géniale, « le train pendulaire », permettant de rouler à 200 à l’heure sur des vois classiques et sinueuses….
Pourquoi les scientologues abrutis de la SNCF ont-ils refusé..Dame, c’était une idée italienne, brevetée en 1974 par Ansaldo. Alors si les trains régionaux profitent à présent de la technologie de « l’élite » ,c’est très bien. De toutes façons ,si Alstom Belfort agonise, il faut s’en prendre à la Macronaille, à la Wauquiezaille, à toute cette furonculose politique qui tue le rail en France. Et a les TER et les TET par des autocars, les nouvelles bétaillère à sans-dents.
Cette commande assure trois ans de boulot aux gars de Belfort. Allez donc leur balancer vos arguments de crétine…En plus ,c’est très sain: ça court-circuite les nases de la SNCF et ça fait caguer la CGT ET Sud Rail. Que du bon…
« Des certitudes, rien que des certitudes ! »
ça eut suffi mais ça suffit plus, faux faire science freak mainant, comme dans les journaux, mais ça changera rien rayon mal comprenant…
les fantasmes en foule c’est teeellllement plus simple
christiane dit: 4 octobre 2016 à 18 h 39 min
que des êtres se cherchent , comme tu dis, c’est vieux comme le monde…mais que ça devienne une sorte d’institution, NON. Car bientôt, avec ce côté doucereux, qui m’horripile tant, ce sont les enfants normaux, ceux qui sont bien dans leur sexe qui passeront pour des suspects. Et, si, tu vois, je suis désolé, TOUT passe par les hormones, et par la détermination génétique. Un lion n’ira pas encaldosser un zèbre. Même si les partisans du zébrolionisme s’époumonaient, gueulaient comme des putois, la nécessité leur dirait « Pouet pouet ! » Car comme le monte Monod, dans ce vieux bouquin « le Hasard et la Nécessité », il y a en en-soi, un invariant, un intangible du réel. Un garçon veut être une fille? c’est son droit le plus absolu, mais de là à encourager une société déjà foncièremant tolérante à légiférer l’inacceptable, c’est NIET ! Demande donc çà une vache de bouffer du merguez….tu auras une vache à prions… Donc, non, le transgenrisme n’est pas quelque chose d’acceptable s’il devient un fait social. Il doit rester dans le feutré de l’être…
bàt
tout le mépris pour le bonheur humain, pour que quelques centaines de gens vivent un peu heureux , un peu plus, se résume dans LES TROIS POINTS DE CE TITRE
SOCIAL Alstom Belfort « sauvé » par des TGV qui rouleront… à 160 km/h
Petits étrons de journaleux de droite…
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