de Pierre Assouline

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La République des livres
Houellebecq et l’islam : bis repetita

Houellebecq et l’islam : bis repetita

Remettez-nous ça ! La scène qui se jouera bientôt devant un tribunal entre Michel Houellebecq et l’Islam de France a un petit air de déjà vu et entendu. Car il semble bien qu’elle aura tout de même lieu : Chems-Eddine Hafiz, directeur de la mosquée du 5ème arrondissement dite « Grande mosquée de Paris », a retiré sa plainte pour «  provocation à la haine contre les musulmans » après une négociation avec l’écrivain à l’issue de laquelle celui-ci a accepté de modifier, d’atténuer ou de supprimer des passages dans le livre qui sera tiré de l’entretien ; mais pour sa part, l’Union des mosquées de France (UMF) a maintenu sa plainte de même que le Conseil français du culte musulman (CFCM).

La judiciarisation de la vie littéraire est certes regrettable mais le phénomène est plus ancien qu’on ne le croit. Sauf que le procès à venir n’aura rien de littéraire. Il ne sera pas question des livres de Michel Houellebecq, mais de certains ses propos récemment parus à l’occasion d’un copieux entretien croisé avec le philosophe Michel Onfray dans un hors-série de sa revue Front Populaire. Il lui est reproché d’essentialiser tous les musulmans comme des islamistes et d’appeler les Français à prendre les armes contre eux. Qu’on en juge :

« (…) Quand des territoires entiers seront sous contrôle islamiste, je pense que des actes de résistance auront lieu. Il y aura des attentats et des fusillades dans des mosquées, dans des cafés fréquentés par des musulmans, bref, des Bataclan à l’envers (…) Le souhait de la population française de souche, comme on dit, ce n’est pas que les musulmans s’assimilent, c’est qu’ils cessent de les voler et de les agresser. Ou bien autre solution, qu’il s’en aille ».

Face à la bronca, Michel Onfray vola à son secours en mettant cela sur l’exigence de « généralisation » (?) qu’exigerait toute conversation (!). Lui et d’autres tel l’éditorialiste Mathieu Bock-Côté et le philosophe Robert Redeker déplorent la décontextualisation (air connu) des propos incriminés ; en appellent à la défense la liberté d’expression en agitant le spectre de la censure et en usant de grands mots tel que « inquisition », « scandale absolu », « bouc-émissaire », « délit d’opinion et de blasphème »… A les en croire, Houellebecq est juste pessimiste. Il ne souhaite pas : il décrit. Ben voyons ! (si je puis permettre sans que pour autant…). Plus nuancée, Caroline Fourest estime dans Franc-Tireur que la plainte de la mosquée n’est pas « déraisonnable ». Toutes choses qui rappellent des souvenirs.

C’était en septembre 2001. Le romancier venait de publier Plateforme. A cette occasion, le magazine Lire consacra plusieurs pages à un long entretien qu’il accorda à un journaliste de la rédaction, Didier Sénécal. Ils passèrent toute la soirée à discuter à bâtons rompus, du livre et du reste. Il y disait notamment ceci :

«  (…) Et la religion la plus con, c’est quand même l’islam. Quand on lit le Coran, on est effondré… effondré ! (…) L’islam est une religion dangereuse, et ce depuis son apparition. Heureusement, il est condamné (…) À long terme, la vérité triomphe (…) L’islam est miné de l’intérieur par le capitalisme. Tout ce qu’on peut souhaiter, c’est qu’il triomphe rapidement. Le matérialisme est un moindre mal. Ses valeurs sont méprisables, mais quand même moins destructrices, moins cruelles que celles de l’islam. »

Il faut au moins lui reconnaitre de la suite dans les idées. Plusieurs associations musulmanes à commencer, déjà, par la mosquée de Paris et celle de Lyon, ainsi que la Ligue islamique mondiale rejointes par le MRAP et la Ligue des droits d l’homme, portèrent plainte. En ce temps-là, l’écrivain était soutenu par la critique de gauche et d’extrême-gauche qui applaudissait à chacun de ses livres ; et malgré la misogynie qui se dégageait de ses romans comme de ses interviews (à l’époque, des esprits crédules faisaient encore le distinguo entre les deux mais ça leur a passé depuis), un large public féminin en France comme à l’étranger s’enthousiasmait pour leur lecture.

L’audience se déroula de 13h30 à 22 h en présence de très nombreux journalistes français et étrangers devant la 17ème chambre correctionnelle du TGI de Paris. Je me trouvais également sur le banc d’infâmie in solidum en tant directeur de la rédaction de Lire. Michel Houellebecq se montra d’une parfaite lâcheté. Au lieu d’affronter les représentants des organisations musulmanes qui lui faisaient face, il se défaussa sur le magazine, allant jusqu’à prétendre, en dépit des preuves irréfutables (bande magnétique etc) que son interview était truquée, qu’on avait sorti des phrases de leur contexte (air archi-connu) que la transcription était fautive, que ses propos avaient été mis en scène, qu’ils étaient tenus dans le cadre d’une œuvre de fiction (métaphore inédite pour désigner un bistro, euphémisme original s’agissant d’une interview journalistique), qu’on l’avait fait boire (comme s’il avait besoin qu’on l’y aide !) et que toute façon il changeait souvent d’avis. Les magistrats suivirent le parquet et, au nom de la liberté d’expression, Houellebecq et Lire furent relaxés.

Vingt-deux années ont passé. Il ne fait plus régulièrement la couverture des Inrockuptibles mais celle de Valeurs actuelles. Seuls les naïfs s’imaginent encore qu’il a évolué ou retourné sa veste, ce qui les dispense de s’interroger sur leur propre aveuglement. Car il est d’une absolue fidélité à ce qu’il a toujours été : un décliniste apocalyptique profondément réactionnaire, menteur et provocateur, bien plus malin et intelligent que ses admirateurs. S’agissant de l’Islam, il n’a pas bougé d’un iota. Il sera néanmoins intéressant d’observer les suites de ce nouveau procès. Il agira comme un reflet de l’air du temps. En 2001, le tribunal avait débouté les plaignants au motif que les propos incriminés relevaient du droit à la critique des doctrines religieuses. Qu’en sera-t-il dans une société où les notions d’identité, d’assimilation, d’islamophobie sont désormais largement controversée, vis-à-vis d’un public et un milieu littéraire où sa misogynie crasse sera traitée avec moins d’indulgence ?

On verra bien ce qu’il en sera au prochain procès. La première fois, le procureur de la République estimait que les propos de Michel Houellebecq visaient l’islam et non les musulmans Ce qui n’est pas le cas de la récidive. Vingt deux après, la société a changé. Mais pas l’écrivain. Il pourra toujours plaider qu’il avait simplement voulu venger sa race. Mais ca ne lui vaudra pas le prix Nobel de littérature.

(Métaphore théâtrale de l’entretien Houellebecq/Onfray : une remarquable adaptation de Fin de partie de Samuel Beckett à l’affiche du Théâtre de l’Atelier à Paris jusqu’au 5 mars dans une mise en scène de Jacques Osinski avec, dans les rôles principaux, deux comédiens époustouflants : Denis Lavant (Clov) et Frédéric Leidgens (Hamm). Photo Pierre Grosbois)

Cette entrée a été publiée dans Actualité judiciaire, vie littéraire.

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commentaires

1 443 Réponses pour Houellebecq et l’islam : bis repetita

Jazzi dit: à

La vie ne vous a rien appris, rose ?
Vous marchez toujours dans les clous de vieilles idéologies ringardes, qui débouchent toujours sur des situations catastrophiques pour les plus pauvres…

rose dit: à

Jazzi,

Non, je n’ai jamais renoncé à mes idéaux, que je porte hauts et forts.

Le reste, pas discutable. Non seulement, je ne me sens pas ringarde, mais en plus je me trouve incroyablement moderne. À chacun son point de vue ainsi que le soulignerait Renato.

Et d’ailleurs, à Marseille (je ne dis rien sur Payant, sa manière d’être élu ayant été antidémocratique) c’est dingue la partie piétonne qui se développe à vive allure, au détriment des voitures c vrai. Tant mieux !

Jazzi dit: à

Où l’on retrouve Michel Alba, tel qu’en lui-même, dans les commentaires !
Il y a une vie après la RDL…

et alii dit: à

hier, une femme m’a dit qu’elle ne parlait jamais de politique (pour suspendre notre conversation enclanchée sur une histoire de vote (où elle déléguait sa fille -journaliste- puis s’est mise à parler de livraisons d’armes à l’Ukraine, avec un voisin;
bien sur livraison d’armes à l’UKRAINE? CE N’est pas une question politique!
ça m’a évoqué une histoire juive!
cette femme m’a montré ainsi un visage de sa bêtise; ça m’a suffi amplement!
aujourd’hui, j’ai suggéré à un homme instruit! qui se questionne souvent sur le « niveau » de certains de ses interlocuteurs qui veulent l’embobiner, de s’adresser à la SPA qui a surement un bon avocat ,pour dénouer un imbroglio autour de son chien; (manière de rouvrir son contentieux familial dans lequel son chien aurait « disparu » 😉 on verra ;je lui ai suggéré de se faire accompagner par une femme (qui ne demande que ça et qui est une spécialiste des « animaux ») on verra si ce biais est une bonne solution!

pourmapar dit: à

@ Caillebotte,

Le regard du peintre est-il influencé par la photographie ?

 » Il y a en effet quelque chose dans ce tableau qui est de l’ordre de la saisie d’un instant. Et puis il y a également une franchise, presque une brutalité dans la manière dont il place le spectateur dans la scène au cœur du tableau, par un effet immersif qui est de couper les bords, les jambes, les rames, la barque, et de nous installer au centre du bateau comme si on était face à ce personnage et de l’installer au cœur du tableau face à nous sans aucun élément entre lui et nous. Gustave Caillebotte traite un sujet nouveau d’une manière neuve. C’est l’idée de faire fi de la tradition, de ne pas regarder le passé, et de proposer un cadrage qui corresponde à une manière de voir, à un regard moderne. »

https://www.francetvinfo.fr/pictures/pOcU5IFY4-wuTlan1_E2Zc3p4bo/0x10:1229×701/944×531/filters:format(webp)/2023/01/27/phpJzKHAn.jpg

Marie Sasseur dit: à

Et on ne sait pas à qui a été acheté ce tableau, « trésor nazional », hein.

renato dit: à

« … elle cherche son sosie sur Instagram, la trouve et la tue pour simuler sa propre mort… », et laissons Freud tranquille…

lmd dit: à

Marie Sasseur, je vois que vous n’avez pas modifié votre appréciation sur Caillebotte («Mais le gars qui a inventé photoshop a plus de talent, à mon avis». Comme dit renato à propos d’Hanouna, Il y a de la place pour tout le monde.
Bref, je sais maintenant qu’il est inutile que je cause beaux-arts avec vous.

Langoncet, je n’ai pas bien compris le sens de votre ironie, «Se disputer l’acquisition de toiles impressionnistes entre allocataires du RSA ? Surréaliste ! » Il n’est pas question que les allocataire du RSA achètent, mais que les musées puissent acheter alors que les spéculateurs ont intérêt à ce que les prix des œuvres d’art augmentent. Il reste, me direz-vous, à prouver que parmi les spéculateurs il y a des milliardaires.
De façon générale, je trouve que vous manquez de rigueur dans vos affirmations, un peu comme rose.

Marie Sasseur dit: à

C’est cela lmd , Caillebotte s’est cru peintre, il n’était que pasticheur.

Marie Sasseur dit: à

lmd= poursapart ?

La part du presque rien pour pas grand chose, quoi.

Marie Sasseur dit: à

Gros con de lmd, tu regardes trop la télé d’hanouna, comme René.

Marie Sasseur dit: à

Et celui qui a inventé photoshop est un véritable inventeur.

Rame, lmd, rame. T’avances à rien dans ta barcasse. Dont Caillebotte était par ailleurs un designer. Tu vois lmd, les hommes se divisent en deux catégories, les cons, et les autres.

Jean Langoncet dit: à

Oh le grossier subterfuge qui consiste à remplacer une proposition – les milliardaires – par une autre – la spéculation – pour donner un semblant de cohérence à une affirmation bébête.

Proposition initiale : “Par ailleurs, s’il n’y avaient pas du tout de milliardaires, les tableaux impressionnistes (et les autres) vaudraient beaucoup moins cher et les musées pourraient se les acheter.”

Nouvelle proposition : “Il n’est pas question que les allocataire du RSA achètent, mais que les musées puissent acheter alors que les spéculateurs ont intérêt à ce que les prix des œuvres d’art augmentent”

Conclusion : “De façon générale, je trouve que vous manquez de rigueur dans vos affirmations”

Marie Sasseur dit: à

Tiens, lmd , cadeau :

#Caillebotte

Le chantier naval d’Argenteuil.

« Il devient avec son frère Martial propriétaire du Petit-Gennevilliers en achetant le 7 mai 1881 une maison et un terrain. Ce premier achat sera complété à la fin des années 1880 par celui de trois autres parcelles, agrandissant ainsi de plus de 7500m2 le premier terrain construit situé au bors du chemin près du fleuve.

Cette maison devient peu après sa résidence principale.

L’intention d’y jouir du site et de ses possibilités d’exercices nautiques y croise l’intérêt technique et commercial des artisans de la construction navale dont le nombre de chantiers passe en vingt ans de deux à trois. »

https://archiseine.metis.upmc.fr/fr/regates-argenteuil

Paul Edel dit: à

Jazzi, voici comment Michel Alba parlait de littérature sur la RDL. « Je suis loin d’être hugolâtre mais de là à suggérer qu’il ne mérite qu’une lecture « par désœuvrement », comme vous vous êtes laissé aller à cette pochade, il y a un pas que je ne saurais franchir… Hugo, c’est la France, un idéal qu’il désigne, une utopie qui lui donne une orientation. Il est notre boussole. Flaubert, c’est autre chose. Flaubert, c’est le malheur humain de la société sans cœur, le constat caustique de sa tragique absence. L’un et l’autre se complètent assez bien.

Jean Langoncet dit: à

Il n’est pas besoin d’être milliardaire pour « spéculer », que je sache ; regardez autour de vous

Soleil vert dit: à

Thèse sur mon écrivain poitevin: trouvée mais pas en ligne car insuffisante dixit le Directeur de thèse.
En Maitrise, on compile, en Doctorat on analyse
🙂
En revanche ci-joint un article théorique qui parle entre autres de L’Anomalie : Pour un usage externe des théories de la science-fiction

https://journals.openedition.org/resf/11250

Et en prime ma petite fiche relative à un livre d’Ernest Pérochon

Marie Sasseur dit: à

Flobere.
Le blogaedel avec des œillères de bourrin de trait, reste bien dans ses ornières.

Jean Langoncet dit: à

Incidemment, existe-t-il des oeuvres d’art « hors commerce » ?

Marie Sasseur dit: à

Plein les églises.

Jean Langoncet dit: à

Amen

et alii dit: à

Incidemment, existe-t-il des oeuvres d’art « hors commerce » ?
possible que je ne comprenne pas ce que vous entEndez par « hors commerce », mais
que de sculptures dans les parcs, et jardins, ces derniers n’étant pas a priori à vendre,
ou dans les cimetières?

D. dit: à

Il y a quelque chose de magique dans beaucoup de tableaux de Mary Cassatt. Mais aussi une bonne fraction de tableaux avec des défauts techniques flagrants, qu’une école de Beaux-arts n’aurait jamais acceptés.

D. dit: à

Elle était capable de saisir des choses que la plupart des peintres n’auraient pas pu saisir. Des instants, des expressions.

renato dit: à

«… la police tire et tue un Afro-Américain en fauteuil roulant… »

Jazzi dit: à

« mais que de sculptures dans les parcs, et jardins, ces derniers n’étant pas a priori à vendre, ou dans les cimetières ? »

Oui, et sur les places et dans les rues, et alii !
Ainsi, on peut aller voir et toucher de ses mains un superbe buste en bronze de Victor Hugo par Rodin dans un coin discret du square des poètes à la porte d’Auteuil.
Un exemple parmi des centaines d’autres, répertoriés sur mon blog.
Et tout cela gratuitement…

lmd dit: à

Vous fatiguez pas en invectives Marie Sasseur, je me dis simplement qu’il est inutile d’espérer causer beaux-arts avec quelqu’un qui ne sait pas voir l’intérêt des peintures de Caillebotte.

Langoncet, vous avez raison  de vous récrier, votre commentaire exact était :
«@Tant qu’il y aura des hommes les musées seront bien achalandés
Se disputer l’acquisition de toiles impressionnistes entre allocataires du RSA ? Surréaliste !»
À vrais dire je ne l’ai pas bien compris ; c’est d’ailleurs ce que je vous disais dans mon précédent commentaire….

et alii dit: à

MERCI§MERCI§
Mais langoncet, la question stipulait « oeuvre d’art » ;
ll’article que vous envoyez est évidemment intéressant, mais des personnes d’une grande beauté vendent leur corps, mais n’en sont pas pour autant des oeuvres d’art!

Soleil vert dit: à

Michel Alba sur Facebook c’est à désespérer.
Et l’auteur du post initial vient de tout effacer ..

« Folie folie « (Le major Clipton dans « Le pont de la rivière KwaÏ)

Jean Langoncet dit: à

Les principes exposés au I 1.1 et alii

Marie Sasseur dit: à

lmd, je suis fed off de vos gamineries séniles.
JE poste un lien, avec MON AVIS PERSONNEL
en retour vous extrayez un passage de ce MÊME LIEN reprenant A VOTRE COMPTE, sans guillemets ni citation, les justifications du directeur de collection du Musée d’Orsay, qui fait dans le développement ( attention c’est pas de photos qu’il s’agît) personnel, pour dire que l’Etat a fait l’acquisition d’un chef d’oeuvre… (sinon il n’a plus qu’à  » traverser la route  » pour trouver du boulot
Et vous n’apportez STRICTEMENT RIEN sur ce tableau a 43 millions d’euros, vendu par qui voulait s’en débarrasser
sauf insulter ceux qui n’aiment pas et n’ont pas besoin de vieux cons pour dire que bouh, c’est pas bien, tiens toi droite…

Cette croûte fiscale va coûter un pognon de dingue au contribuable.

Bis repetita :

Pauvre con !!!

Jazzi dit: à

Un Rodin, sinon rien !
https://www.bing.com/images/search?view=detailV2&ccid=ANFmFF5a&id=3AB2788FD0C482343F6D350432BB1EB39C792B11&thid=OIP.ANFmFF5aV8LA5z-w9zeWVgHaE7&mediaurl=https%3A%2F%2Fi-det.unimedias.fr%2Fsites%2Fart-de-vivre%2Ffiles%2Fstyles%2Flarge%2Fpublic%2Fdt156_boulogne_victor_hugo_br.jpg%3Fauto%3Dcompress%252Cformat%26crop%3Dfaces%252Cedges%26cs%3Dsrgb%26fit%3Dcrop%26h%3D599%26w%3D900&exph=599&expw=900&q=hugo+rodin+square+des+poètes&simid=608042098401888658&form=IRPRST&ck=1931E3B1284C2EDDFB065057A25FEE6F&selectedindex=10&ajaxhist=0&ajaxserp=0&vt=0&sim=11&cdnurl=https%3A%2F%2Fth.bing.com%2Fth%2Fid%2FR.00d166145e5a57c2c0e73fb0f7379656%3Frik%3DESt5nLMeuzIENQ%26pid%3DImgRaw%26r%3D0

pourmapar dit: à

Incidemment, existe-t-il des œuvres d’art « hors commerce » ?
Tout se vend et s’achète, même dans les églises!
La petite ristourne en tableaux pour le cabinet privé de l’ évêque…
Puis la mise en avant dans le tableau religieux ou pas du commanditaire.

pourmapar dit: à

commanditaire.

Le trésorier payeur général.

Marie Sasseur dit: à

Au moins lmd, en aura appris un rayon sur Caillebotte en bateau.
Ça lui deformerait la tronche de dire merci.

MC dit: à

« Au moins lmd, on lui aura appris un rayon sur Caillebotte » (l’autosatisfaite permanente) . Et non, on lui en aura médit, ce qui n’est pas tout-à-fait la même chose….

Clopine dit: à

Alors là, Marie Sasseur ! Demander à quelqu’un d’autre de dire « merci » ! Alors qu’on se demande bien à quand remonte la dernière fois que ce mot a franchi vos lèvres, et que vous nous prouvez, jour après jour, que seuls les sarcasmes, l’indifférence et le mépris sont les intercesseurs entre vous et nous, enfin, les seuls que vous utilisez à notre égard !!!

Marie Sasseur dit: à

le chef décorateur du blogaedel a oublié la question.
Qu’à cela ne tienne, elle est là :

Mais il veut veut dire quoi le dément mc?

Le début :

« une des plus grosses bêtises du Louvre fut le refus de la très remarquable collection d’impressionnistes constituée par un certain Gustave Caillebotte! Pour le reste, et l’entrée précoce de l’ Amérique dans le jeu, voir le Durand-Ruel de Pierre Assouline. »

La parfaite imbecillité du dément mc dont les propos dénotent surtout une déficience mentale, et de propos complètement souverainiste identitaire nationaliste, est même clairement établie, ne serait-ce qu’en lisant la fiche wiki de Durand-Ruel, pour ceux qui n’ont pas la bio de Passou.

« Pour le reste, et l’entrée précoce de l’ Amérique dans le jeu, voir le Durand-Ruel de Pierre Assouline. »

A quel chapitre et à quel sujet, exactement ?

Marie Sasseur dit: à

Le dément mc ne cause pas peinture. Loin s’en faut.

pourmapar dit: à

@  » Caillebotte s’interroge non sur ce qu’on regarde mais sur la façon dont on regarde, sur les conditions de la visibilité. Les titres que Caillebotte donne à ces toiles sont, à ce propos, tout à fait éloquents. Les titres descriptifs, « topographiques » (Boulevard des Capucines, Boulevard Montmartre, Rue Montorgeuil ou Place Clichy), fréquents chez les impressionnistes, deviennent Rue Halévy, vue d’un sixième étage, Boulevard vu d’en haut, Homme au balcon ou Au balcon tout court. C’est la position du spectateur, souvent inclus au premier plan, qui est déterminante. Le peintre reste avant tout fasciné par le travail du regard dans l’organisation de l’espace pictural, et dans l’introduction de points de vue inhabituels. « 

Marie Sasseur dit: à

Le personnage du tableau a 43 millions est est un auto portrait. Qui dit mieux ?
Alors après on peut bien délirer comme le directeur de collection et s’imaginer dans la barque comme il le suggère.
A ce prix là, on veut toute la flotte.

pourmapar dit: à

Caillebotte s’arrête de peindre, la différence esthétique essentielle avec ses amis peintres impressionnistes qu’il continue à collectionner, le rend picturalement muet.
Il faudra attendre les années 30 et les nouvelles perspectives de la photographie pour considérer l’originalité de sa peinture.

Marie Sasseur dit: à

lmd,poursapart, propose des lunettes déformantes fournies par le directeur de collection. Ça lui deformerait la tronche de rendre a l’auteur de son point de vue, ce qui lui appartient ?

pourmapar dit: à

Je relis avec un très vif plaisir l’ essai de Kirk Varnedoe, Au mépris des règles, sous titré, En quoi l’art moderne est-il moderne? chez Adam Biro 1990.
Surtout le chapitre 5, Survol : L’ essor de l’ esprit dans lequel il est principalement question de la peinture de Caillebotte.
Notamment l’ analyse fouillée de la peinture de caillebotte : Boulevard vu d’ en haut, 1880 avec les travaux photographiques d’ un Moholy-Nagy et ses photos aériennes de berli, 1932 et 1928.
Important chapitre final de l’ essai, de la page 216 à 277.

pourmapar dit: à

Lire Berlin,
merci.

pourmapar dit: à

@ Caillebotte,
Et sa fameuse peinture Le pont de l’ Europe, Présentée à l’exposition impressionniste de 1877, le tableau reçoit un accueil plutôt favorable : « M. Caillebotte n’est impressionniste que de nom. Il sait dessiner et peint plus sérieusement que ses confrères », lit-on dans la Petite République française du mois d’avril.

pourmapar dit: à

 » M. Caillebotte n’est impressionniste que de nom. Il sait dessiner et peint plus sérieusement que ses confrères »
On comprendra ainsi tout l’ intérêt esthétique novateur et désormais marchand ( que l’on appréciera ou pas, cela est une autre histoire ) de l’ œuvre de Caillebotte.
La spéculation financière ne fait qu’ entériner la réévaluation esthétique du peintre dans l’ histoire de l’art.

Marie Sasseur dit: à

Cette vieille bourrique de Rouen, qui dispose de ce blog pour tout un tas de raisons  » domestiques  » a certainement oublié de dire merci,
comme pour ce qui me concerne, je renouvelle pour cela:

https://editions.flammarion.com/les-1001-tableaux-quil-faut-avoir-vus-dans-sa-vie/9782080231819

Et puis un autre livre d’art, dont j’ai oublié le titre, qui propose avec chaque tableau présenté un texte litteraire,

Et plus largement pour tous les billets, nombreux, qui ont fait la part belle à la peinture.

pourmapar dit: à

Contrairement à l’ensemble des peintre impressionnistes, Caillebotte est un peintre de la cité et plus particulièrement de Paris et de ses environs. Il serait le témoin de la révolution architecturale haussmannienne tout en la considérant avec mélancolie dans la pratique de son art.

pourmapar dit: à

Caillebotte est un peintre de la cité et plus particulièrement de Paris et de ses environs.

A vos recherches Jazzi!

Marie Sasseur dit: à

Repeter ad nauseam que Caillebotte est un grand peintre n’en fera pas pour autant une vérité, qui reste celle du marché.

Qui a vendu le tableau, et qui est représenté en gros plan flouté, dans l’absolu, ce sont les premières  » impressions  » qui viennent.

pourmapar dit: à

@ Caillebotte

« c’est probablement avec Rue de Paris, temps de pluie (1877) que l’activisme urbain, l’emblème indiscutable de la modernité dans le dernier quart du siècle, est étrangement absent. Le fait est d’autant plus remarquable que ce tableau monumental aux dimensions exceptionnelles (212/276) reste une des œuvres les plus ambitieuses de Caillebotte, avec Le Pont de l’Europe. Nous sommes proches de l’hôtel particulier occupé par l’artiste et sa famille, dans le quartier nommé La Nouvelle Athènes. Cette place en étoile où se croisent la rue de Tourin, la rue de Moscou et la rue Clapeyron, est représentée avec une ampleur presque démesurée du premier plan. Une lumière grise se reflète dans les pavés mouillés. Un couple, grandeur nature, se dirige vers le spectateur, d’un mouvement si déterminé que celui-ci a tendance à reculer. Des personnages isolés déambulent comme des automates. Les parapluies qui protègent les passants de la très légère pluie, fonctionnent surtout comme des abris contre tout contact visuel possible. L’espace, démesurément large, tel que l’œil ne pourrait le saisir que dans l’objectif « grand angle » d’un appareil photographique, crée une sensation de vacuité et de vide psychologique. Le regard erre sans pouvoir se fixer de façon définitive. La critique contemporaine ne s’est pas trompée : « c’est l’œil du spectateur tiraillé en tous sens par les choses de seconde importance… le talent de l’artiste et l’attention du spectateur s’éparpillent également dans cette diffusion7 ». Toutefois, l’étrangeté explicite de cette image s’explique par la tension entre la chorégraphie absurde du ballet des personnages et l’ordonnancement géométrique, qui préfigurent Seurat. Ce tableau se « construit sur un signe d’addition géant, partagé en deux dans le sens horizontal par la ligne qui traverse les têtes et suit la base des édifices, et dans le sens vertical par le réverbère et son reflet » écrit justement Kirk Varnedoe. ( Livre cité plus haut.)

La précision du rendu est presque celle d’une composition abstraite. L’importance accordée, dans les dessins préparatoires, au cadre architectural, à la perspective, méticuleusement exécutée avec une règle, aux esquisses de personnages et de détails, exclut toute idée de hasard, de « création spontanée » et s’éloigne souvent de la sommaire facture impressionniste. »

Marie Sasseur dit: à

Y’a pas à dire les vendeurs d’idées , pour leur part, ont une grammaire bien particulière, des  » éléments de langage  » propres aux duchampiens.

Marie Sasseur dit: à

« c’est probablement avec Rue de Paris, temps de pluie (1877) que l’activisme urbain, l’emblème indiscutable de la modernité dans le dernier quart du siècle, est étrangement absent »

Tu écoutes un peu les conneries que tu pompes dieu sait où ?

rose dit: à

a certainement oublié de dire merci.

Attitude commune et répandue.

pourmapar dit: à

@ Caillebotte

 » L’effet de distanciation, caractéristique des toiles de Caillebotte, est dû à une séparation marquée entre le champ pictural et le spectateur. La vision est en effet fréquemment détournée : nous avons avant tout un point de vue sur un autre point de vue. Le regard ne pénètre pas directement dans l’espace de la représentation, il est relayé par celui d’un personnage au premier plan, [ le personnage dans le canot de la peinture en question qui nous concerne par son actualité ] dont la seule activité est d’observer.
Un des premiers tableaux de ce type, Jeune homme à la fenêtre, date de 1876. Un homme vu de dos, légèrement tourné vers la droite, appuyé sur une rambarde, observe d’une fenêtre une rue presque déserte. Placé dans un intérieur, ce personnage est protégé du vide par une balustrade de pierre. Le sentiment de vertige, fréquent dans d’autres tableaux de Caillebotte, est ici évité. Pourtant, le spectateur reste sur une impression d’étrangeté. Reprenant un thème courant chez les romantiques, la fenêtre ouverte, ce tableau joue sur le « montage » entre le premier et troisième plan pour produire un effet inédit. Caillebotte utilise en effet un mode de composition où le premier plan et l’arrière-plan semblent entrer en collision. Le grossissement du premier plan est si poussé, le bas de la toile est si exagérément réduit (la silhouette de la femme sur le bord du trottoir est minuscule), l’effet de raccourci est tel, que l’espace devient irréel. (Quel dommage, regrette la critique, que chez Mr Caillebotte, qui a certaines qualités de peintre, les plans successifs n’existent pas, les distances soient supprimées). Cette technique, qui vient de la peinture japonaise et qu’on nomme « la chute du second plan » (Shigemi Inaga, 1984), explique l’effet de « télescopage spatial » que produisent souvent les toiles de Caillebotte où la réduction de l’échelle dans la profondeur introduit une sensation incongrue. »

Marie Sasseur dit: à

@ »Nous sommes proches de l’hôtel particulier occupé par l’artiste et sa famille, dans le quartier nommé La Nouvelle Athènes. »

Les parisiens ne semblent pas bien connaître leur ville.
Si ce tableau, Paris par temps de pluie , est figuratif d’une place de Paris, c’est certainement pas dans le 9ème, et la Nouvelle Athènes.
On y voit des bourgeois du VIIIeme.

Marie Sasseur dit: à

Enfin, de l’art roturier. Merci, pour ta part tu as pompé comme in malade, mais maintenant j’ai bien vu le tableau…

Marie Sasseur dit: à

comme un malade
Mais par honnêteté, donne le lien.

pourmapar dit: à

 » Cette technique, qui vient de la peinture japonaise  »

Ce n’est certes pas la seule des influences, bien documentées, que nous connaissons de la mode du « japonisme ».

Boulevard vu d’ en haut, 1880, avec son arbre fleuri en est une autre.

pourmapar dit: à

Il m’a semblé inutile de mettre un lien aux tableaux cités.
Lidéal serait de vous procurer l’ essai de Kirk Varnedoe, l’iconographie est très complète et il est en vente d’occasion sur le net.
Les curieuses et curieux peuvent taper les titres sur la recherche google.
Bonne fin d’après-midi.

Marie Sasseur dit: à

@Il m’a semblé inutile de mettre un lien aux tableaux cités.

?

Non, simplement indiquer de quelle hagiographie sont pompés texto tous les commentaires.

D. dit: à

Ce soir je mange de la tête de veau.

Jean Langoncet dit: à

(@Une piste et alii
Vous aurez noté que l’article est signé MC)

Jean Langoncet dit: à

lmd le subtil, quels que soient les prolongements que vous lui donniez – à ce stade de la discussion vous n’en donnez aucun -, votre proposition suivante est, au mieux, bébête : “Par ailleurs, s’il n’y avaient pas du tout de milliardaires, les tableaux impressionnistes (et les autres) vaudraient beaucoup moins cher et les musées pourraient se les acheter.”

Jean Langoncet dit: à

Reste à imaginer un désintérêt général pour les biens culturels et des musées remplis d’oeuvre d’art acquises pour une bouchée de pain mais que personne ne fréquente sinon les « conservateurs »

rose dit: à

Soleil Vert

Pourriez-vous dire qq.mots sur le titre choisi par Pérochon « Les hommes frénétiques », merci.

rose dit: à

Il est plus facile de, ni l’un ni l’autre.

Marie Sasseur dit: à

@ »Il faudra attendre les années 30 et les nouvelles perspectives de la photographie pour considérer l’originalité de sa peinture » poursapart.

Gustave avait un frère qui bizarrement n’a pas pris la lumière des spots révisionnistes 2.0.

Il était photographe , et il y en a qui ont eu l’idée de reassocier les deux frères Caillebotte, puisque c’était la réalité de leur collaboration artistique.

Clopine dit: à

Bibi, j’ai eu longtemps les raboteurs de parquet, en reproduction of course mais aux vraies dimensions, sur un mur de ce qui fut ma maison. Et j’ai enduit mon propre parquet sous cette toile. Où le labeur, dans le jeu des muscles sous la peau, jusque dans la bouteille de pinard posée là, est si bien décrit qu’on croirait une page de Zola. Tout simplement. Mais bon, ce que j’en dis..

Marie Sasseur dit: à

« Après la mort de son frère (en 1894), Martial ( Caillebotte) aide Renoir, exécuteur testamentaire de Gustave, à faire accepter par l’État le legs Caillebotte, composé de soixante-sept œuvres dont quarante seront acceptées. »
Wiki

pourmapar dit: à

Il s’agit d’ une étude très fouillée d’une personne que je connais et
ne donnerai en aucun cas cette perle à la furieuse cochonne intellectuelle et morale que vous nous présentez sur ce blog.

Pourquoi s’ingénier à fouiller les archives sur les « crooûtes » de Caillebotte.

Clopine dit: à

Ah oui, je pense qu’il faut désormais donner à voir ce dont on cause, oups

et alii dit: à

bonsoir les erdéliens, et merci mille fois pour tout ce que j’y ai appris;
soyez tous bien prudents parce qu’on n’est pas sorti des « sales trucs » genre virus, mais pas seulement;
à un autre traversée!

Marie Sasseur dit: à

papate, pour ta part, garde tes cochonneries.
Tu es gras du verbe.
Et surtout un fieffé fumiste a faire le perroquet de propos abscons, abscons, cons surtout.

pourmapar dit: à

Tout le monde sait que la de la fin du XIXème en peinture et pas que ( voir Baudelaire) était obnubilée par la photographie. Degas par exemple en est un cas flagrant.
Il s’agit de savoir de quelle technique il s’agissait, autre que le pictorialisme.
Les « croûtes » de madame, ce n’est pas fait pour les chiens.

Marie Sasseur dit: à

Degas, je l’ai indiqué, mais surtout, il pratiquait lui même la photo.

pourmapar dit: à

Madame veut des liens.

Cherche, cherche, cherche, c’est bientôt l’ heure de la « croûte »!

( Je préfère les chiens truffiers!)

Marie Sasseur dit: à

Gras papate, contente toi de touiller tes tubes de gouache sur YouTube.

Marie Sasseur dit: à

Le lien sur Degas photographe, je ne le donnerai pas, je l’ai lu dans un petit ouvrage de B. Chambaz.

pourmapar dit: à

Degas, je l’ai indiqué,

Spécialiste des « croûtes » et de tout le reste aussi.
Stupéfiant, bravo!

Marie Sasseur dit: à

gras patate, bon qu’à copier.

Soleil vert dit: à

>Rose : l’adjectif frénétique

Pas d’explication donnée par E. P, mais il y a ce passage :

« Les heures frénétiques approchaient où toute civilisation devait sombrer et où serait mise en question l’existence même du grand primate astucieux et dominateur, puissant, pendant des millénaires, par son lourd cerveau inquiet où le rêve de la vie s’agençait en systèmes indéfiniment perfectibles »

pourmapar dit: à

lu dans un petit ouvrage

Il en existe un bien plus complet de 491 pages ( : ), Degas le modelé et l’espace, Centre culturel du marais de J. et M. Guillaud, Paris-New-York 1984.
Un must des collections de monotypes et négatifs reproduits.

Marie Sasseur dit: à

On s’en fout un peu des catalogues ready made de papate, vu ce qu’il copie-colle.

pourmapar dit: à

Et votre Chambaz réduit aux acquis vous vous le coller où?

pourmapar dit: à

La furieuse cochonne intellectuelle et morale que vous nous présentez sur ce blog qui insulte tout le monde.
Le problème c’est que désormais tout le monde ici connait vos sales manières.

Vous êtes friandes de notes et de liens sur les « croûtes » de caillebotte?
Sacrée coprophage de vos scrofules!

Jean Langoncet dit: à

Enfin, comme le dit un Nobel de littérature : Inside the museums, Infinity goes up on trial

pourmapar dit: à

Mais Langoncet, il s’agit d’un cas pathologique ou non?

Jean Langoncet dit: à

Papate à crêpe ? Il est encore temps

Bonne soirée les crépus

Marie Sasseur dit: à

Le gras papate doit être ivre a cette heure,
et je ne poursuis pas avec ce fumiste, grossier, vulgaire. Un gros dégueulasse, on voit ici, comment il harcele René.

On a déjà assez du Donald Cardwel&Roger Harth du blogaedel qui retape la Chambre du Comte, le tout en majuscules, pour donner de la grandeur à sa bouffissure.
A Luynes, les chambres de « l’hôtel » sont toutes identiques…😁 ( private joke)

pourmapar dit: à

fumiste, grossier, vulgaire

Votre auto-portrait tout craché.

pourmapar dit: à

Qui est René?
Une de vos souffrances?

Marie Sasseur dit: à

Le gras papate a pompé comme un bourrin.
Des considérations débiles sur des tableaux de Caillebotte, qui ne résistent pas au premier clic. On comprend qu’il ait pensé  » inutile  » de renvoyer aux tableaux.

Si c’est tout ce que ce grossier imposteur, et multi pseudo, a trouvé pour vendre sa peinture, il peut fermer boutique.

pourmapar dit: à

Il est assez difficile de comprendre un tel acharnement sur le peintre Caillebotte alors que cette dame ( je reste poli en ce qui me concerne) trouve ses tableaux scrofuleux, non?

Cela ne tient pas la route.

Marie Sasseur dit: à

Une histoire locale.

« LUYNES = terre provençale d’un roturier (SEGUR) habitant d’Aix en Provence.
– transmise à son mariage par Jeanne de SEGUR à Léon d’ALBERT. Leur fils, Honoré, se rendit célèbre dans les guerres de son temps, sous le nom de  » Capitaine LUYNES « . Marié à Anne de RODULF, il eut pour fils Charles d’ALBERT.
– Charles d’ALBERT, grand fauconnier, puis connétable de France, ayant acheté le Comté de MAILLE (Indre et Loire) en obtint l’érection en Duché-Pairie (lettre de Louis XIII) Tours, août 1619. Il la fit ensuite débaptiser pour lui donner le nom de Duché de LUYNES.
On constate donc que ce dernier ne prit le nom de Luynes (1619) que postérieurement au don des terres provençales (1535) à la famille d’ALBERT. »

https://ciqluynes.pagespro-orange.fr/blason.htm

Marie Sasseur dit: à

Emmanuel Carrère a nourri une véritable terreur devant un tableau de Dufy,scène de plage (à Sainte Adresse?)  » et sa mauvaiseté infinie ». (ref: son roman « Yoga »)
J’ai repensé à ça devant les tableaux de Caillebotte.
Outre le flou si peu artistique.

D. dit: à

Trump est le seul à pouvoir nous sauver de l’enfer nucléaire vers lequel Biden veut nous conduire. Seulement voilà : il faut attendre encire deux ans…

rose dit: à

ce passage :

« Les heures frénétiques approchaient où toute civilisation devait sombrer et où serait mise en question l’existence même du grand primate astucieux et dominateur, puissant, pendant des millénaires, par son lourd cerveau inquiet où le rêve de la vie s’agençait en systèmes indéfiniment perfectibles »

Soleil Vert

En lisant votre article sur votre blog, le suis demandé si E-P n’avait pas eu une prémonition sur ce qui arriverait cent ans plus tard. En lien direct avec cette première guerre mondiale à laquelle il avait participé. J’ai visité sa salle de classe dans laquelle il était instituteur de la République.

Janssen J-J dit: à

@ SV, suis allé sur sa tombe à Niort avec Mathias Enard… N’ai cependant pas lu l’artiste, bien qu’à l’école primaire nous eumes droit à des passages de Nêne. Pérochon était alors plus connu en nos contrées que l’autre instituteur charentais rescapé du wagon des vaches…
Merci pour votre hommage.
Ai vu « le renouveau cinq cents ANS plus tard. L’Humanité semble apaisée. Les vertus jadis exaltées, sont considéréeS avec prudence ». (…) Jules RomainS (please).
BCàv,

rose dit: à

closer dit: à
Rose:
(Michel Houellebecq, 20 août 2005. 3 HEURES DU MATIN – extrait de « Mourir », inédit).
Cahiers de l’Herne

Pour Christiane

rose dit: à

closer

« Lorsque j’étais bébé, ma mère ne m’a pas suffisamment bercé, caressé, cajolé ; elle n’a simplement pas été suffisamment tendre ; c’est tout, et ça explique le reste, et l’intégralité de ma personnalité à peu près, ses zones les plus douloureuses en tout cas… Aujourd’hui encore, lorsqu’une femme refuse de me toucher, de me caresser, j’en éprouve une souffrance atroce, intolérable ; c’est un déchirement, un effondrement, c’est si effrayant que j’ai toujours préféré, plutôt que de prendre le risque, renoncer à toute tentative de séduction. La douleur à ces moments est si violente que je ne peux même pas correctement la décrire ; elle dépasse toutes les douleurs morales, et la quasi totalité des douleurs physiques que j’ai pu connaître par ailleurs ; j’ai l’impression à ces moments de mourir, d’être anéanti, vraiment. Le phénomène est simple, rien ne me paraît plus simple à expliquer ni à interpréter ; je crois aussi que c’est un mal inguérissable. J’ai essayé. La psychanalyse s’est depuis toujours déclarée impuissante à lutter contre des pathologies aussi ancrées ; mais j’ai un temps placé quelque espoir dans le rebirth, le cri primal… ça n’a rien donné. Je le sais maintenant : jusqu’à ma mort je resterai un tout petit enfant abandonné, hurlant de peur et de froid, affamé de caresses ».

closer dit: à
« Je le sais maintenant : jusqu’à ma mort je resterai un tout petit enfant abandonné, hurlant de peur et de froid, affamé de caresses ».

Houellebecq

closer dit: à
Aujourd’hui encore, lorsqu’une femme refuse de me toucher, de me caresser, j’en éprouve une souffrance atroce, intolérable ; c’est un déchirement, un effondrement, c’est si effrayant que j’ai toujours préféré, plutôt que de prendre le risque, renoncer à toute tentative de séduction. La douleur à ces moments est si violente que je ne peux même pas correctement la décrire ; elle dépasse toutes les douleurs morales, et la quasi totalité des douleurs physiques que j’ai pu connaître par ailleurs ; j’ai l’impression à ces moments de mourir, d’être anéanti, vraiment. »

Michel H.

rose dit: à

Bonne soirée à Tutti

Marie Sasseur dit: à

A qui a été acheté le tableau de Caillebotte ?
Résolu

« Cette Partie de bateau, l’un de ses derniers chefs-d’œuvre en mains privées, conservé par descendance en ligne directe dans la famille de l’artiste, était de ceux qui étaient les plus convoités. » la ministre

de trésor national privé à trésor national privatisé

https://www.culture.gouv.fr/Presse/Discours/Transcription-du-discours-de-la-ministre-de-la-Culture-Rima-Abdul-Malak-a-l-occasion-de-l-annonce-de-l-entree-dans-les-collections-nationales-du

Marie Sasseur dit: à

Depuis, Houellebecq s’est reconverti: acteur porno, avec prostituées.
C’est de l’art.

Marie Sasseur dit: à

Si j’ai bien compris, l’Etat français rachète une fortune à la famille Caillebotte un des tableaux que l’Etat avait refusé dans le legs de 1894.
C’est tout à fait cohérent.

Marie Sasseur dit: à

Mon Trésor public is rich.

rose dit: à

Ah. On sait désormais la famille en question.
Passionnant.
Et complètement dans l’air du temps, i- e délirant.

rose dit: à

: acteur porno, avec prostituées.
C’est de l’art.

Ou du cochon ?

MC dit: à

Sasseur découvre l’eau chaude, et que les Luynes se nomment d’Albert. C’est même pour cela que leur Hôtel du Marais s’appelle depuis longtemps d’ Albert de Luynes. Mais il n’y a qu’elle qui ne le sait pas. Encore un peu, et on va avoir droit au Favori de Louis XIII. Cette manière de faire croire qu’on a inventé la Poudre en découvrant après tout le monde tel ou tel point de l’Histoire de France est lassante et stupide. MC

JC..... dit: à

Au lever du jour, parcourir les salles mal entretenues de la RdL, un asile célèbre où s’agitent sans fin de remarquables mammifères médaillés seuls mais groupés en bande délirante sous l’oeil amusé du taulier … quel enchantement, quelle distraction sans surprise pour le voyageur immobile et rassis !

Rendons nous utile : Jeudi 2 février 2023 vers 6h24.

Marie Sasseur dit: à

le dément mc chef décorateur a « l’hôtel », à qui on ne demandait rien :

« on. A demandé au « dément » son avis sur des points concernant la restitution de la Chambre du Duc de Luynes. C’est comme ça. »

Eh oui, tu l’as dit bouffi, le duc de Luynes, n’est pas originaire du  » Marais ».

En revanche, lorsqu’on lui demande de s’expliquer sur ses bobards, approximations, qu’il deverse sur ce blog EN PERMANENCE, il n’y a plus personne comme les fadaises qu’il raconte ici:

« une des plus grosses bêtises du Louvre fut le refus de la très remarquable collection d’impressionnistes constituée par un certain Gustave Caillebotte! Pour le reste, et l’entrée précoce de l’ Amérique dans le jeu, voir le Durand-Ruel de Pierre Assouline. »

02/02/23, 6h30,  » dans les environs  » de Luynes.

Marie Sasseur dit: à

Donc, non , veil imbécile, je ne découvre ni Luynes, ni la famille qui en fit un blason célèbre.
Mais d’autres peuvent être leurrés par cette bouffissure sur courtes pattes, le Donald Cardwell &Roger Harth du blogaedel.

Marie Sasseur dit: à

@ « quelle distraction sans surprise pour le voyageur immobile et rassis ! »

En espérant que ce rassis voyeur, hypocrite lecteur, en sache désormais un peu plus sur les dessous d’une transaction concernant un  » trésor national  » , « décroûté » tel depuis une loi de 1992.

Et sur Caillebotte et ses bateaux et sur Luynes et Giverny.

rose dit: à

Écrire le voyageur immobile et rassis en ces temps troublés où nombre d’individus sont retrouvés ou squelettiques ou momifiés dans leur couche ne serait-il pas indélicat ?

Luynes où siège un grand centre pénitencier est plus connu pour cela que pour son château.
En quoi se rattache-t’elle à Caillebotte ?

Ai trouvé le discours de Mme la ministre de la Culture avec ses chers Christophe et cher Bernard peu enthousiasmant.

Pissarro, Renoir, parfois Van Gogh dans le groupe, Sisley, Monet, Manet, sans doute pas Berthe Morisot, Caillebotte, ils ont changé notre vie.

À l’analyse très détaillée fort intéressante faite supra , au lien fait avec la photographie, Renoir photographiait beaucoup, je rajouterai volontiers la dimension des toiles de Caillebotte. Que ce soit ce rameur, (et l’autre barque derrière où une personne de couleur se fait emmener en promenade), ou les raboteurs, ou bien Paris, les toiles sont d’une dimension impressionnante. Deux mètres sur deux mètres et plus, comme Monet et ses nénuphars.

Super contente pour le musée d’Orsay.

rose dit: à

« Une peintre au parcours exceptionnel
Berthe Morisot est une figure majeure de la modernité. Élève de Corot, muse de Manet, elle s’impose comme la première femme impressionniste et sera aux côtés de Monet, Renoir, Degas, Pissarro l’un des principaux membres du groupe. »

Eh oui, elle en est du groupe et pourtant tellement à part avec ses toiles intimistes.

Et pan sur le bec.

Christiane, toute mon affection pour vous,

Marie Sasseur dit: à

@ »Luynes où siège un grand centre pénitencier est plus connu pour cela que pour son château.: »

Le château de Luynes est plus certainement le château-fort de Maillé, rebaptisé Luynes du fait de son duc.

Quant à  » l’hôtel » de Luynes, il s’agissait bien sûr de private joke pour ceux qui connaissent effectivement cette prison par quelques-uns de ses  » résidents  » célèbres, et visiteurs tout autant, d’ailleurs (Goncourt)

Voilà, Houellebecq, c’est plié.

rose dit: à

Rose, définitivement contre les quais mais l’Algérie et fan des déserts (des desserts) où nous attendent les oasis ;

Bon jeudi.
Christiane, c’est notre Mercotte du blog : une femme géniale !

rose dit: à

définitivement contre les quads
(Et pour les quais p.de b. de m. de correcteur automatique !).

rose dit: à

mais pour l’Algérie.
Mercotte, ambassadrice.
Christiane itou.

Marie Sasseur dit: à

Un dernier pour la route, je ne m’en lasse pas

« L’Impressionnisme, avant d’être un immense succès populaire, c’est un mouvement artistique en rupture, né en France, porteur d’une nouvelle compréhension de la lumière, une nouvelle vision de la société humaine, qui a transformé la manière d’exprimer le sensible, notre présence au monde, en s’affranchissant des anciens codes. » la ministre

Hi han

« Holà ! grands peintres excessifs, mes frères, holà, pinceaux sublimes et rénovateurs, brisons les ancestrales palettes et posons les grands principes de la peinture de demain. Sa formule est l’Excessivisme. L’excès en tout est un défaut, a dit un âne. Tout au contraire, nous proclamons que l’excès en tout est une force, la seule force… Ravageons les musées absurdes. Piétinons les routines infâmes. Vivent l’écarlate, la pourpre, les gemmes coruscantes, tous ces tons qui tourbillonnent et se superposent, reflet véritable du sublime prisme solaire : Vive l’Excès ! Tout notre sang à flots pour recolorer les aurores malades. Réchauffons l’art dans l’étreinte de nos bras fumants ! »
Manifeste de l’Impressionnisme, des excessifs, pour lancer le plus talentueux d’entre eux, avec son oeuvre magistrale,  » et le soleil s’endormit sur l’Adriatique », qui fut d’ailleurs exposé au Grand Palais, en 2016.

Janssen J-J dit: à

@ pmp de caillebotte /// comme pour ce qui me concerne, je renouvelle pour cela : https://editions.flammarion.com/les-1001-tableaux-quil-faut-avoir-vus-dans-sa-vie/9782080231819 /// Voyez bin que je sais dire mersssssi à pierre !
SAIT TOUJOURS ALLER SE REFUGIER chez PAPAPOULE QUAND SE REND COMPTE DE SES DERAPAGES. MERCI QUI ?
@ a certainement oublié de dire merci. Attitude commune et répandue. //// NAN, YAKELLE…, L’EST TUNIK EN SON GENRE de CHANTE L’HEURE ! Nique ta crêpe… ma soeur déchainée de la barcasse !

Biz à vous, 2.2.23_9.02

rose dit: à

Excessif de cocorico de madame la ministre de la culture.
En Angleterre Sisley, Turner
En Italie
En Allemagne
Au Danemark

Un mouvement d’une ampleur inouïe européen.
Et en ce qui concerne les mouvements littéraires, même ampleur même partage entre les artistes, même échange entre les nations. Pas de frontières pour l’art.
Et le peuple aborigène en lieu et place de Charles III sur les billets de banque de 5 euros en Australie.

J J-J dit: à

Mini-Douce,

Marie Sasseur dit: à

Déjà on dit perissoire, et non barcasse, pour ce chef d’oeuvre à 43 millions d’euros. Un peu de respect.

Ensuite,le chef de la maison poulaga devrait remercier Passou, de le maintenir en vie.

Alexia Neuhoff dit: à

« Et le peuple aborigène en lieu et place de Charles III sur les billets de banque de 5 euros en Australie. »

L’Australie rallie la zone euro et l’espace Schengen. Un remorqueur a déplacé la grande île en Méditerranée pour l’arrimer à Malte.

Janssen J-J dit: à

René ?
c’est le surnom qu’elle a donné à Renato Maestri pour le discréditer, je crois.
Elle jette le discrédit sur tout le monde, sauf sur Passoul dont elle fait ultra attention à pas aller jusqu’à l’écorcher dans ses gentilles égratignures. Craint toujours d’être virée du blog. T’imagines tu qu’alors néantisée, sa vie de m.. n’aurait plus de sens, et alors, i resterait pu qu’à aller s’aboucher les clarisses et se fouetter la cilice, ou se frotter la motte à la caillebote
(***on rit gras, en principe sur cette chute, si on a du zémour -< ouin)

Janssen J-J dit: à

oui : changez un peu de cible, c’est lassant de vous voir toujours attaquer les mêmes… marie. Y’a longtemps que je ne vous ai pas occupé la barcarolle, faut dire que j’ai été pas mal dans les tréfonds ces derniers temps, j’ai dû sauver Jacques d’un péril mortel au large de son île. Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Le vieux keuf , dans son enclos, est jaloux, maladivement jaloux.

J J-J dit: à

où peut on voir la récente intervention de Christiane ? Merci de nous donner de ses nouvelles, car elle nous manque tellement… Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ maladivement jaloux.
mais de qui, de quoi ? ___ arrive pas comprendre cet anathème, à chaque fois recommencé.
Doit-il comprendre : jaloux de l’amour que porterait Passoul à ma soeur ?
Si c’est ça l’idée… ô voui, il crève de jalousie, c’est clair !… ouh, le pas beau, l’est mort de jalousie, albertigne !… vite ! il se noie, le variqueux scrofuleux, – détournons l’attention… Caillebotte, c’était pas le sujet initial, alexia.
Voici un beau gars à votre portée pour vous changer un peu les idées de place, marie… Changez de fantasmes ! Bàv
https://www.youtube.com/watch?v=PpRgiaONETI

Marie Sasseur dit: à

Jaloux de la liberté.
Le vieux keuf à se gaver et à vouloir mettre ce blog en gav, de peur de finir tout seul.
Dis merci au monsieur.

rose dit: à

Récente intervention de Christiane, chez Soleil Vert qui tient son blog de SF avec 👏👍🐱🥞✊🌝☀️.
Je ne sais pas quand il dort, Soleil Vert.

rose dit: à

De 5 dollars.

Du café plutôt que du malt.
Sans confrérie de chevaliers de l’Ordre. Même Marie Kondō a renoncé.

rose dit: à

Doré sauf le piano ds l’eau.

rose dit: à

Ce serait à Passou de vous remercier pour l’ampleur du boulot que vous faites sur son blog.

Marie Sasseur dit: à

Oui, remercions le bon doc Kawashima de nous entraîner au sport. 🥴

Soleil vert dit: à

Corrigé, merci Janssen J-J
Merci Rose

rose dit: à

Arrêt brutal de l’intelligence en marche :
Pour lui, le journalisme devait servir avant tout à poser des questions. Et la presse oser, cultiver l’impertinence et déranger.

Il disait également « l’argent est un moyen, pas une fin. »

Soleil vert dit: à

La disparition de Nicole Lattès est passée inaperçue

Marie Sasseur dit: à

Bad news et pensées pour son fils.
Suite au décès de sa mère, Sylvain Tesson avait voyagé et écrit sur les chemins noirs. Une somme qui m’a beaucoup touchée.

D. dit: à

Ce midi c’est boudin.

renato dit: à

Monnaie australienne : 1$ = 0,65€

D. dit: à

En Australie, il y a des kangourous partout et les gens marchent la tête en bas. Je be suis pas prêt d’y mettre les pieds. Et alors au niveau empreinte carbone, le voyage AR explose tous les compteurs. How dare-you, va dire Greta.

lmd dit: à

Langoncet, vous trouvez bébête cette affirmation «s’il n’y avaient pas du tout de milliardaires etc. » . Mais c’est une simple réalité, la valeurs des œuvres d’art et des objets de collections ne dépend en définitive que des sommes disponibles pour les acquérir au moment de leur vente .
Des ” milliardaires” peuvent disposer sans réserve des sommes nécessaires pour toujours surenchérir.
Ce n’est pas très grave que le maillot d’un basketeur américain atteigne le prix de 10millions de $, Mais c’est dommage lorsque que les musées ne peuvent pas acquérir les pièces importantes pour les mettre à la disposition de tous.
La fortune de Bernard Arnault est estimée (2022) à 185 milliards de $. L’achat de la peinture de Caillebote 47milions de € représente un quatre -millionième de c ette fortun  e . (Je cite ces chiffres simplement pour mesurer l’effort financier) .

https://www.basketusa.com/news/670333/vendu-plus-de-10-millions-de-dollars-un-maillot-de-michael-jordan-pulverise-tous-les-records/

D. dit: à

Philippe Tesson vient de nous quitter, à 94 ans.

lmd dit: à

Pour revenir à cette peinture ;
https://www.lvmh.fr
Ce détail qui montre la tête du rameur est impressionnant, la bouche fermée, le regard un peu inquiet sur le coté, et ce chapeau insolite ; mais dans quoi me suis-je embarqué ?
La façon de peindre la chemise à raies me plait beaucoup.

pourmapar dit: à

la valeurs des œuvres d’art et des objets de collections ne dépend en définitive que des sommes disponibles pour les acquérir au moment de leur vente . lmd.

C’est d’autant plus vrai pour Caillebotte qui était moins en vogue à son époque que ses amis peintres dits impressionnistes. Il était présent dans les collections américaines et désormais dans les grands musées américains. C’est ce qui explique en partie son prix d’ enchères pour que ce tableaux puisse rester en France.

rose dit: à

Dear et alii,

Je partage avec vous ce qui vient de m’être dit par personne compétente :

il ne faut pas donner ses perles aux pourceaux.

Bonne journée,

rose dit: à

Le docteur Marie-Claude Tesson Millet s’est éteinte dans la nuit du 6 au 7 mai, emportée par une embolie pulmonaire à l’âge de 71 ans.7 mai 2014.
Femme très estimée.
Son mari avait quatorze ans de plus qu’elle. Un vieillard, j’espère pour son entourage pas gâteux. Il lui a survécu huit ans et neuf mois. Un bail.

rose dit: à

DIVIDENDE

ORPEA : POURQUOI LA CHUTE EN BOURSE D’ORPEA APRÈS SA PRISE DE CONTRÔLE PAR LA CDC EST À NUANCER
mercredi 1 février 2023 à 09h54
Orpea chute à la Bourse de Paris
(BFM Bourse) – Orpea est en baisse après l’annonce d’un accord de principe sur sa restructuration financière. A l’issue de cette opération, la Caisse des dépôts prendra le contrôle du groupe de maisons de retraite. Le sauvetage d’Orpea entraînera une dilution massive pour les actionnaires existants.

Suspendue depuis lundi, la reprise de cotation du titre Orpea a été mouvementée. L’exploitant des maisons de retraite a chuté de plus de 30% dans les premiers échanges à la Bourse de Paris après l’annonce d’un accord de principe sur sa restructuration financière. Le titre ne cède plus que 6% à 6,694 euros, vers 10h00.

La Caisse des dépôts va bien prendre le contrôle du groupe de maisons de retraite en difficulté, confirmant ainsi les informations de Libération mardi.

ORPEA : L’Etat va prendre le contrôle des maisons de retraite Orpea via la Caisse des dépôts
ORPEA : Les négociations sur la restructuration financière d’Orpea relancées, l’action est suspendue
Cette prise de contrôle fait suite à un « accord de principe » signé avec certains de ses créanciers et un groupement d’investisseurs mené par la Caisse des dépôts (CDC).

Une dilution massive pour les actionnaires.
Cet accord de principe prévoit d’effacer 3,8 milliards d’euros de dettes du groupe sur un total de 9,5 milliards, en les convertissant en capital.[…]
Ainsi, à l’issue de cette opération de restructuration, la CDC détiendrait environ 50,2% du capital de la société, les créanciers environ 49,4% tandis que les actionnaires existants, s’ils décident de ne pas participer aux augmentations de capital qui leur seront ouvertes, ne détiendraient qu’environ 0,4% du capital d’Orpea.

Concrètement, pour un actionnaire existant possédant 1% du capital avant l’opération, ce dernier ne détiendrait plus après la restructuration qu’entre 0,004% des parts (sans exercice des droits préférentiels de souscription ou DPS) et 0,491% des parts (exercice intégral des DPS correspondant à « un investissement complémentaire en numéraire s’élevant à 61,24 euros par action détenue »). La chute du cours de Bourse de l’action de ce mercredi est donc bien moindre que la perte de valeur pour les actionnaires avec la dilution massive à venir.

_______________

La fortune de Bernard Arnault est estimée (2022) à 185 milliards de $. L’achat de la peinture de Caillebote 47 millions de € représente un quatre -millionième de cette fortune . (Je cite ces chiffres simplement pour mesurer l’effort financier) .
Moi aussi, c’est pour mesurer l’effort financier que je cite ce chiffre des actionnaires qui attendent leur dividende d’Orpéa.

D. dit: à

Non, Rose.
Cela représente 185.10^9 / 47.10^6 = 3936

Donc un 3936ème. Ce qui reste très peu. Et de toutes façon c’est de l’investissement.

D. dit: à

Y’en a qui sont de Marseille. Ça se lit.

D. dit: à

« Le Danemark va donner ses 19 canons Caesar à l’Ukraine »

Le chef du gouvernement danois est une sacrée andouille pour commettre de telles bêtises que même un enfant de 6 ans ne ferait pas.

renato dit: à

Nous avons eu Les Muses inquiétantes ; sous peu on aura la Nounou inquiétante (The Perfect Nanny avec Nicole Kidman).

D. dit: à

Du pétrole russe est mélangé à Singapour et revendu sur les différents marchés, y compris ceux qui prévoient de se priver des ressources fournies par la Russie

D. dit: à

Le Kazakhstan va exporter du pétrole vers l’Union européenne en le faisant transiter par un oléoduc russe.

D. dit: à

Les recettes budgétaires russes liées aux industries des hydrocarbures ont augmenté de 28% en 2022.

D. dit: à

Les exportations de Gaz non liquéfié russe vers l’Europe ont augmenté en 2022.

D. dit: à

En 2022, la Russie a continué de fournir plusieurs pays en hydrocarbures de façon officielle ou détournée. L’Europe occidentale est ainsi restée dépendante de ces exportations pour l’essentiel de l’année 2022.

Janssen J-J dit: à

On ignore si le petit fils du grand CDG honore bien notre pays en allant se prosterner cher Poupout. Tesson P. ne l’aurait pas admis, à l’aurore.

Patrice Charoulet dit: à

Elites

L’anti-élitisme me surprend. Chaque mot a un sens ou plusieurs. Le mot « élite » un sens très clair.
« Ensemble de ceux qui, dans un groupe, une société, sont considérés comme les meilleurs. »
(Dictionnaire de l’Académie française, dernière édition).Il me semble que lorsqu’on parle d’anti-élitisme, on ne songe pas un groupe particulier (exemple : « l’élite des patissiers dieppois ») mais à la société française. L’élite, c’est donc les meillleurs écrivains, les meilleurs peintres, les meillers sculpteurs, les meilleurs magistrats, les meilleurs avocats, les meilleurs ingénieurs, les meilleurs médecins, les meilleurs universitaires , etc.
Comment diable peut-on être contre les meilleurs ? Et ceux qui sont contre les meilleurs, préfèrent-ils donc les pires ?
En politique, on me dit qu’il y a des partis qui sont « anti-élitistes ». Eh bien, à mon humble avis, ces partis ont tort.

et alii dit: à

rose, merci de m’alerter, car c’est plus qu’une « info » que vous donnez à imaginer;
je ne partage pas aujourd’hui ma fatigue, ni in autre souci de santé qui n’est pas une « perle » avec la RDL OU VOUS Serez surement efficace;
personnellement je tiens à ajouter à votre jugement sur les gens comme « compétents » la qualité de « fiable » comme critère pour apprécier les autres;et j’espère que vous êtes entourée de personnes tres fiables;
bonne suite;je veux me reposer

et alii dit: à

à propos d’elite , à rose qui invoqua récemment le christianisme:
j’avais lu que KRISEVA s’ etait rapprochée, pour son fils handicapé du fondateur de l’arche, J.VAnierhttp://www.kristeva.fr/la-vie-27janv2011.html

qui a à faire face aujourd’hui à des accusations assez précises d’abus presse; qu’en pensez vous ?

MC dit: à

Rien ne vous empêche chère Marie, de chercher dans la biographie de Pierre Assouline dont vous avez paraît -il l’édition de poche, le passage incriminé. Vous pouvez- meme demander à l’auteur si j’exagère! Et si un Hotel de Luynes se situait en effet rue de l’Universite, rien ne vous empêchait de dire ici que son acte de vente est libellé au nom d’ Albert de Luynes, et qu’il n’en reste rien , fors le décor conserve à Carnavalet. Je reste, chere Marie , votre très humble serviteur, et j’ose espèrer pour l’urbanité de ce blog que vous avez médité la judicieuse leçon de Clopine. C’était sensé et bien venu. Hélas il est à prévoir sur vous resterez vous-même, le débat vous intéressant moins que la promotion de votre ego sous un nom supposé. MC

Jacques dit: à

La Russie magnanime continue de fournir du gaz aux chenapans mal-élevés européens ce qui démontre sa grande mansuétude.
Merci qui ? Merci Poutine !

Marie Sasseur dit: à

Merde, j’etais rn train de lire un truc, sur Tesson.

Mais non, telle une mouche a merde le gluant pangolin remet ça.
Donc
Bis repetita Le dément mc , selon la technique bien connue des révisionnistes assène ses balivernes, à charge pour les crétins qui s’y fient, de démasquer sa profonde débilité.
Bonne chance à eux.

Que ce flagorneur aille se faire pendre. Son imposture n’est plus à prouver.

Next.

et alii dit: à

EXCUSE /KRISTEVA

Patrice Charoulet dit: à

Langue française

« Non » peut être suivi d’un trait d’union si le mot qui suit est un nom. Par exemple « non-
intervention ». En revanche si le mot qui suit est un adjectif ou un participe passé employé comme adjectif, il ne faut pas mettre de trait d’union .Par exemple «  une phrase  non achevée ».

et alii dit: à

UNE BReVE CITATION dans l’article du monde sur les préliminaires au placement du fils,DAVID, de Sollers et Kristeva
« . Après des années d’efforts, de promesses, la Ville de Paris, qui développe une politique solidaire dans le domaine du handicap, a brusquement arrêté le projet. Pénurie de moyens, les handicapés ne sont pas un lobby intéressant en temps de crises… Plus étonnant, le conseil du maire : « Allez voir chez les religieux ! » Une faillite de plus de la République ?

Marie Sasseur dit: à

@ » qui a à faire face aujourd’hui à des accusations assez précises d’abus presse; qu’en pensez vous ? »

Moi je pense que Kristeva devrait s’exprimer sur ces abus et crimes sexuels de la curaillerie.
Comment elle va les défendre.

Marie Sasseur dit: à

J’ai surtout souvenir de parents qui voulaient comme se débarrasser d’un enfant handicapés. Pour le leguer a la société.
J’avais trouvé cela choquant, mais bon.

Marie Sasseur dit: à

un enfant handicapé.

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