Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse
Serait-ce la naissance d’un genre littéraire ? Comme on se dit sagement qu’en cette matière on n’invente jamais rien, ou alors une fois par siècle, on se doute qu’il doit bien y avoir des précédents, même si celui qui nous vient le plus naturellement à l’esprit, Jérôme Lindon de Jean Echenoz, est assez récent (éditions de Minuit, 2001), ainsi que les évocations de la figure Jean-Marc Roberts, patron de Stock, par Philippe Claudel et Jean-Marc Parisis. Bizarre tout de même que d’autres titres plus anciens ne s’imposent pas spontanément à notre mémoire. A croire que l’hommage de l’auteur à son éditeur disparu est l’exception et non la règle. Peut-être que cela ne se fait pas. Faut-il y voir une marque d’ingratitude ou la confirmation que dans ce couple, l’amitié ne serait que de façade, circonstancielle.
Un bon moyen d’en juger serait que l’hommage ait lieu du vivant de l’éditeur, ce qui ne manquerait pas de le mettre dans l’embarras, mais tant pis. Sûr que J.B. Pontalis ne l’aurait pas permis. Disparu il y a un an, le jour de ses 89 ans, il fait aujourd’hui l’objet d’un tir croisé. Or les deux écrivains qui y paient leur dette à son endroit y récusent tant l’idée que, celui qui fut également leur ami, n’était pas un père de substitution que leur dénégation a force d’aveu.
L’un et l’autre ont été parmi les auteurs les plus assidus de la collection « L’un et l’autre », éclatante tentative de renouvellement de l’art de la biographie sous la forme de vies brèves en miroir avec l’auteur, que J.B. Pontalis dirigeait chez Gallimard. Christian Garcin lui a donné quatre textes, et Jean-Michel Delacomptée, sept. Tant l’éditeur que l’ami sont au centre de Jibé (59 pages, 7 euros, arléa) que le premier des deux consacre à Pontalis. Dans ce vagabondage écrit au fil des pensées, que l’on devine sensible mais sans complaisance, émouvant mais dénué de la moindre mièvrerie, gouverné par l’esprit de la divagation, tout tourne autour d’un tableau d’Emile Friant qui figure d’ailleurs en couverture. D’où vient qu’en le contemplant sur les cimaises de l’ancien musée Fabre à Montpellier, il soit aussitôt renvoyé à son souvenir radieux ?
Cela ne s’explique pas. Le fait est qu’il parvenait sans mal à convoquer sa figure à partir de ce tableau. La vision des Lutteurs lui fit surtout comprendre qu’une commune hantise de la disparition et de l’apparition le liait secrètement à son éditeur depuis vingt ans que durait leur amitié affectueuse. Pas un autre père, il insiste, mais un ami cher en qui il reconnaît toutefois qu’il a vu au début le reflet d’un homme dont Pontalis fut l’intime à la création des Temps modernes, et que le jeune Garcin n’était pas loin d’idolâtrer : Jean-Paul Sartre. Il était l’homme qui a vu l’homme, mais cette illusion n’eut qu’un temps.
De tous les livres non pas édités mais écrits par J.B. Pontalis même, puisqu’il prit goût à sa propre écriture littéraire (et non plus seulement psychanalytique) vers la fin sa vie, Frère du précédent est celui qui a le plus marqué Christian Garcin, un livre dans lequel il évoquait un frère encombrant avec qui il entretenait des rapports conflictuels. C’est aussi le cas de Jean-Michel Delacomptée qui le reconnaît dans Ecrire pour quelqu’un (170 pages, 15,90 euros, Gallimard). Ce qui laisserait accroire que leur relation était plus fraternelle que paternelle, l’âge importe peu. Or cette poignante méditation sur la mémoire est largement consacrée à la figure de son vrai père, et cette juxtaposition des deux images n’en est que plus troublante. Le portrait n’en est que plus fin : Giacometti l’eut-il sculpté en pied qu’il l’eut intitulé « L’homme qui charme ». Tout en sourires, courtoisie et intelligence.
A-t-on rêvé éditeur plus attentif et prévenant ? Pontalis était à l’écoute comme d’autres sont aux aguets. Il y faut une vraie générosité, d’autant que la sienne, flottante, limbique, était exempte de la moindre brutalité. Delacomptée étaient séparés par leurs origines et leur éducation Pontalis (l’un fils d’un représentant en librairie vivant en banlieue parisienne, l’autre fils de grands bourgeois industriels) ; mais ils se retrouvaient justement dans une même aversion pour les frontières, qu’elles fussent frontières de classes ou de castes. Rebelle aux catégories convenues, aux diktats des choix binaires et aux genres littéraires tranchés, l’éditeur favorisa à travers sa collection des récits en miroir gouvernés par une vision littéraire des choses d’une grande souplesse « et qu’on ne saurait perdre sans y perdre tout un art de vivre ». Une vraie liberté dans l’écriture. Elle était indispensable à Delacomptée, dont on n’a pas oublié les magnifiques tombeaux de Bossuet, Racine ou Saint-Simon, pour mettre à nu son obsession dans cet autre tombeau pour son père et pour J.B. Pontalis :
«… l’étrange et douloureuse survie en nous de ce qu’on souffert les défunts, comme si le temps n’existait pas, et qui va plus loin, plus profond, que la simple mémoire. Car on ne se souvient pas seulement : on continue de ressentir. (…) L’individu a disparu, sa trace matérielle demeure. Ce qu’ont souffert les aînés nous étreint dès qu’on y songe, comme s’ils vivaient et souffraient maintenant. Ils n’ont pas disparu : ils sont là. Preuve en est l’expérience commune, quand il s’avère impossible de parler d’eux sans que la respiration se crispe, que la voix se brise, et qu’éclatent les sanglots. Cet indicible qui nous submerge, c’est le temps qui ne s’efface pas ».
Le titre du livre de Jean-Michel Delacomptée le crie et le murmure : ce n’est pas vrai, on n’écrit pas pour soi, on écrit pour les autres et même, pour quelqu’un. Au fond, la vie de leur Pontalis ressemble à l’esprit qui anime les vies de sa collection (Christian Bobin en est l’incontesté best-seller) ainsi qu’il l’avait défini, « telles que la mémoire les invente, que notre imagination les recrée, qu’une passion les anime ». Ce sera le dernier livre publié sous cette livrée bleu nuit, il n’y en aura pas d’autre selon le voeu de son fondateur. Cela n’aurait pas de sens tant elle lui ressemblait. Elle se devait de disparaître avec lui.
A propos, « Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse » est une phrase du Cendrars de la Prose du Transsibérien, citée par Christian Garcin et que Jean-Michel Delacomptée aurait pu reprendre. D’un ami disparu aussi, on peut se dire veuf, ou orphelin.
(« Sous le ciel » photo Ryan McGinnis ; « JB Pontalis » photo Mélanie Gribinski)
948 Réponses pour Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse
nominées, pardon !
TKT dit: 1 mars 2014 à 13 h 41 min
vontraube se cherche des amis.
Pas sûr qu’Abdel soit vraiment tenté.
Rouler pour un fromage ? si c’est du permigiano-reggiano cela peut se faire, avec une poignée de roquette, un filet d’huile, quelques gouttes de citron…
Merci pour la gravure, renato, je me suis reconnu au galop sur mon cheval-dragon !
Ce pauvre TKT prend tout au premier degré! Evidemment que ce ne sont pas les mêmes cacahuètes stricto sensu…
Quant à mon pseudo, cela fait un moment que je n’en ai pas changé, mais je n’emprunte jamais celui des autres…Moi c’est moi.
Il faut laisser tomber Aquarius, le cas est désespéré.
Pour TKT toutes critiques ou remarques à son égard sont une atteinte directe à ses amygdales externes comme dirait JC (ou Abdel ?)
substitution de chosettes antisèches pour l’homme qui charme
il ne faut pas confondre daily et déni mail
Le projet, baptisé Wool War One, s’appuie sur l’aventure du blog Délit Maille, lancé au printemps 2011
http://www.lepoint.fr/societe/14-18-tricote-moi-la-premiere-guerre-mondiale-01-03-2014-1796784_23.php
Clopine, j’ai lu votre billet du jour et je suis très inquiét sur votre prochaine escapade de printemps. Va falloir, Clopin et vous, que vous mettiez un peu d’eau dans votre vodka à Saint-Petersbourg ! Faites des efforts pour la vie en groupe et pas de photos avec flash à l’Hermitage, svp ! Avec Poutine, c’est direct le goulag…
Moi je vais attendre un peu pour les bulbes orthodoxes, en avril nous retournons aux Canaries, c’est plus cool.
Nous ignorions que la RDL était la boite postale de la mère Trouillefou. C’est d’un sans gêne!
Une brosse à dents volante ! Pour nettoyer les soucoupes…
« C’est d’un sans gêne ! »
Mais quel plaisir à faire chier le troll !
Jacques Barozzi dit: 1 mars 2014 à 15 h 10 min
aux Canaries
Ha Lanzarote c’est bien ; il y a un type qui écrit là-dessus, mais alors…
Quelle grossièreté ! dit: 1 mars 2014 à 15 h 19 min
la boite postale
Les CDA c’est les meilleures des clopes, hein ! Nikotinarm im Rauch…
Waouh Jacques, les Canaries ? A la Gomera ? (notre Patagonie à nous)…
Vous avez raison de vous inquiéter, ça va pas être simple… Mais… 24 Rembrandt ! Je n’en ai guère vu qu’un, autrefois, au Louvre : la Betshabée au Bain – et guère de rapports avec celle d’Higelin, que seul Nascimo sait faire danser, pauvre Betshabée…
et vous l’avez dit, Jacques : quel plaisir, d’enrager les fâcheux. (enfin, dit autrement). (sourire).
Mais quel plaisir à faire chier le troll !
c’est peut-être vous le troll Jacques Barozzi avec l’absence d’éducation qui vous caractérise, vous et Trouille!
. Or cette poignante méditation sur la mémoire est largement consacrée à la figure de son vrai père
le vrai père ?
aussi longtemps que l’on navigue dans le flou de chez flou sur le « concept de « paternité » , on se demande un peu à qui peut renvoyer ce « vrai », mais on supporte assez bien et assez longtemps comme lecteurs bien des « illusions »
cousu main…. à fleur de toile?Telle que vers quelque fenêtre
Selon nul ventre que le sien,
Filial on aurait pu naître.
Mallarmé
On réclame un siège.
ça va bien rouler jusqu’à Kiev et puis on réclame un siège, faute d’inspecteurs de l’ONU
Ce lien-là est mieux (pour les paroles) :
12h31 : MCourt-Dugland : « la célébration du médiocre »… le pédant a encore frappé, oui c’est vraiment dégueulasse comme réaction bien réac’ de médiocrité et alacrité
Allez-y Chapier
« cet indicible qui nous submerge, c’est le temps qui ne s’efface pas »
tu parles d’un scoop….
Les skizzes paranoïdes du TKTwerp aurait peut-être intéressé un homme curieux comme JB Pontalis. Cependant il ne faut pas attacher trop d’importance (!) aux récriminations et protestations du Grand Twerp installé à Zürich.
Le trouble von Taupe sait pertinemment qu’il n’a qu’un seul Dtroll (ou un Droll-de-T), on ne sait même pas si c’est la honte qu’il retire de cette cour effrénée de la part d’un commentateur (car il méprise les homos en son for, voir la façon dont il emploie le nom « d’Enculette » pour disqualifier quelqu’un), et ce n’est qu’une marque d’attention comme une autre à son égard, on a les aimantations qu’on mérite, qui l’amène à nous faire croire qu’il voit et a des ennemis partout, c’est peut-être tout simplement un goût inné pour l’insulte et le dénigrement, il a sûrement besoin d’une masse critique trollesque pour lustrer son paratonnerre et foudroyer les autres, par retour de gaz mauvais, de ses légendaires erreurs factuelles et de ses jugements à l’emporte-pièce ou soit-disant mises au point castratrices de la vérité, qui sont à la racine de sa jouissance. Nous avons tout de même face à nous quelqu’un qui reconnait n’avoir aucun fond lorsqu’il désaoule quelques minutes de son moi vulgaire. Ce n’est d’ailleurs certainement pas la coutume qui est sienne de se photographier les godasses dans les allées d’Art Basel et de s’auto-capter le portrait dans les vitrines des librairies et des quincailleries suisses qui arrangeront son cas. C’est pourquoi je propose qu’on le traite en doux malade, la paranoïa, serait-elle simulée, distribue les mêmes effets. Qu’on se fasse du souci pour lui et la poussière du monde qui l’entoure, et donc que l’on ne parle plus que de lui sur la RdL, que de sa vie, et de son oeuvre.
« l’étrange et douloureuse survie en nous de ce qu’on souffert les défunts, comme si le temps n’existait pas, et qui va plus loin, plus profond, que la simple mémoire »…
tu parles d’un scoop.
je ne sais pas si nous pourrions nous en sortir sans les psys.
les psys et les philosophes se sont emparés de la littérature car elle représentait un danger pour eux dans la mesure elle était le seul lieu où il était possible d’y montrer leur docte stupidité.
aujourd’hui les psys et les philosophes n’ont rien à craindre de la littérature : Rabelais et Sterne sont bien morts, il ne reste plus qu’à faire notre travail deuil.
« Christian Bobin en est l’incontesté best-seller »
Bobin ? encore un qui doit son succès au fait que les gens ne vont plus à l’église, y voir le corps souffrant du Christ sur la croix, Bobin a remplacé les trois : l’église, le Christ et la croix.
à ceux qui se demandent : quelle différence entre Bobin et Quignard ?
aucune, ils ont tous les deux été touchés par la Grâce, la transcendance, la poésie du monde et la profondeur métaphysique.
autant de verticalité a de quoi donner le vertige.
et sur l’autre versant de la montagne, pour faire bon poids on trouve quoi ? des nietzschéens, comme s’il en pleuvait…
à lambda, lambda et demi, Hamlet, à moins que je fasse une grossière erreur d’apostrophe.
Le parlement russe autorise l’envoi de troupes en Ukraine…
…
…chercher à se faire discréminer » en express « ,…pour remplir les colonnes d’un blog,…
…les » uns » un tell << genre ",…livrés à la masse de la << pensée bien pensante ",…Non,…
…c'est d'un vulgaire intello's,…à reprendre un jeux vidéo,…encore " Austerlitz ",…pour des commentaires façonnés " facile ",…pour en être des " nôtres ",…lamentable << napoléonaiserie << of course,…etc,…
…
…des " groupir ",…et des exclus pour nous fagotter le service en sous-traitance en << stages des trolls dauphins du capital du mérite ",…etc,…
…pourvu que les connivences se tiennent à la hauteur,…des tient << voilà du boudin <<,…
…elle est trop bonne,…c'est la famille des intello's,…<< au coup de main facile <<,…
…déjà en avance nos " pieds nickelés ",…de la pensée " unique ",…divisé pour régner,…etc!,…
…sans scoop de première le retour des grâces encore chaudes de glaise, déjà empilés en murs,…" vous nous faîte un mur, des colonnades, pour laisser charrier la populace comme le fleuve d'à présent débordé,…
…à la mer,…LES Ô sales en stages,…Ah!,…
…Oh!,…une contourniate,…Ah,…bon!,…au lieu du " grénetis à points ",…un simple filet en creux,…l'Asenssion par les mains en grâce,…un vol,…chez les abrutis borgnes la mains en haute-lice,…un silence d'or,…en groupir les connivences,…
…
…
De Trouille et Ciboulette, laquelle est la plus bêtasse et lourdingue?
16h48 : le plus con = QUIZ !
Tiens, Lord Moutbatten se réveille après la prise de parole de Poutine.
Quizz dit: 1 mars 2014 à 16 h 48 min
De Trouille et Ciboulette, laquelle est la plus bêtasse et lourdingue ?
Ciboulette déteste Paul, Marc et TKT.
Trouille déteste Paul, Marc et apprécie TKT.
Nous pouvons en tirer la conclusion que les deux sont bêtasses mais la seconde encore plus que la première.
mais ta gueule keupu
Bonne nouvelle !
Les Russes sont intervenus en Ukraine pour éviter, en bons humanistes, un « bain de sang entre factions rivales ».
Putin jaloux de Hollande le matamore africain ! … On aura tout vu.
renato tu devrais mettre des adsense..poutine te rapporterait des thunes
jicé il fait tout pour rien..le tout gratuit ça casse le biznèce..espèce de coco !
Il manque un peu d’amour à ce blogue, je trouve.
Héron, héron, petit patagon
(il y’avait une femme peu joaçe, héron, héron, petit patagon
il y’avait une femme peu joaçe, qui mangeait du monton, tonton
Elle dit-à la crémière, héron, héron, petit patagon
vous m’en faites faire mouron)
QUIZZ du 1 mars 2014 à 16 h 48 min
– Ciboulette est une fleur coupée adorable
– Trouille, une mutine renarde dans la gadoue
– TKT un helvète exquis et bien élevé*
(moi-même, je ne me sens pas très bien pour dire tout ça…
*Enculette, c’est un petit nom charmant : ne pas s’offusquer pour cette liberté de ton)
..et clopine avec ses liens dizeur et ses abonneman google facebook..tu touches des thunes au moins clopine?
pfiou grace à moi vazeline et luxury book est redescendu..y’en a des qui bosse !
bouguereau dit: 1 mars 2014 à 17 h 16 min
« jicé il fait tout pour rien..le tout gratuit ça casse le biznèce..espèce de coco ! »
Gratos seulement le week-end, Boug !
(Coco le jour du seigneur, facho la semaine)
Bouguereau, vous me posez une question, là. Me voici toute embarrassée pour vous répondre. Imaginez que M.Court m’entende. Il va prendre pour de l’étalage ce qui n’est qu’une tentative de vous répondre poliment. Allez, avouez que vous vous en fichez, et que vous n’avez même pas écouté mon « cant buy my love », interprété par les king’s sisters. Pourtant, c’était du lourd.
« et donc que l’on ne parle plus que de lui sur la RdL »
A Twit in Zürich dit: 1 mars 2014 à 16 h 09 min
De grâce, ce serait nous priver de ce vieil oncle légèrement pompette qui se met à faire le pitre à la fin d’un repas de noce : il faut bien que quelqu’un se dévoue pour amuser la galerie.
Nous pouvons en tirer la conclusion que les deux sont bêtasses mais la seconde encore plus que la première.
La seconde gagne le pompom à tous les coups, elle est très forte.
« je précise par la présente, que dorénavant, je ne signerais plus que Bambi 2014. »
Bonne idée, Ciboulette !
N’hésitons pas à apporter du sang neuf, un ton régénéré, de la fraîcheur, à la RdL du Commandatore Passou. Je vais signer Mohammed 632, quelque temps !
Pourtant, c’était du lourd
ça ne s’invente pas!
mon « cant buy my love », interprété par les king’s sisters. Pourtant, c’était du lourd.
divertissant..
trop insister pour repasser les mêmes plats si c’est pas mortifère..
pas d’accord dit: 1 mars 2014 à 17 h 28 min
De grâce, ce serait nous priver de ce vieil oncle légèrement pompette qui se met à faire le pitre à la fin d’un repas de noce : il faut bien que quelqu’un se dévoue pour amuser la galerie.
Ben oui y en a bien qui se sont dévoués en se mariant…
ce blog est infesté de nains qui s’appellent tous GRINCHEUX, Ciboulette c’est Blanche-Neige et Mcourt-Dugland le tout petit méchant lououououp
Bouguereau, vous me posez une question
je t’en ai posé tant auxquels t’as pas répondu clopine..hach..tu fais beaucoup beaucoup trop de politique..ton naturel reviens au galop quelquefois..mais rare
allez une pour zouzou..nozing, except métal !..vive la sainte vierge..et les belles petites oreilles
http://www.youtube.com/watch?v=WIKqgE4BwAY
Les jeunes nièces chantantes de Zhu sont absolument délicieuses. Craquantes…
Il m’a fallu la sagesse d’un Marc Aurèle pour résister aux pulsions pédophiles japonisantes qui assaillaient de battements sourds mon mental épuisé par une journée de labeur !
Question lourde de sens : à propos de « naturel qui revient au galop », est ce que les ânes* galopent, parfois ?
(*non ! ce n’est pas une question politique …!)
Mon numéro burlesque est au point, j’avance masqué par devant, libérée par derrière. Je suis un homme, un vrai et encore innocent.
18h40 : USURPATION, ce commentaire n’est pas moi… attention, mon gars !
Salut Bambi masqué, ça chariaboume ?
Au prix de l’encre…
La Ciboulette sent la Colette ou je me trompe ?
Contrairement à ce que n’affirme pas Jacques le Cannois, la salade pliante n’est pas une invention niçoise !
Elle fut mise au point, en 1273, au moment où Marco Polo entreprit son long voyage vers la Chine de ce Mongolien de Kubilaï Khan.
Il faut reconnaître qu’une salade pliante accompagnée d’une vinaigrette sèche est un plat excessivement pratique pour le voyageur pressé…
Elle aurait poussé sous le pliant ?
Nous nous réjouissions de la décision de la Fédé Internationale de Foot d’autoriser nos chères sœurs a jouer au ballon rond le chef voilé ….
Hélas, notre joie républicaine, sportive et religieuse est gâchée par le refus de la Fédé Française de participer à notre joie !!!
On se demande à quoi a servi de voter comme il faut …
Lamartine, chef.
Vous gagnez à la relire, mais c’est tout.
JC….. dit: 1 mars 2014 à 18 h 35 min
« Les jeunes nièces chantantes de Zhu sont absolument délicieuses. Craquantes… »
Elles sont piquantes, c’est vrai, mais elles ne nous rajeunissent pas.
« Gimme choco: Donne moi du chocolat! »
ヤダ! ヤダ! ヤダ! ヤダ!
NEVER! NEVER! NEVER!
C! I! O! チョコレート
チョコレート
チョ!チョ!チョ! いいかな?
でもね ちょっと Weight
ちょっと最近 心配なんです
だけど チョコレート チョコレート
チョ!チョ!チョ! いいかな?
でもね ちょっと Wait
ちょっと待って
チョ! チョ! チョ!
Non, non, non
Never
Du chocolat!
Cho-cho-cho ça va comme ça?
Mais quand même un peu de weight
récemment je m’inquiète un peu…
Malgré tout, du chocolat, du chocolat!
Cho-cho-cho c’est bon, non?
Mais quand même attends un peu, un peu… »
Ecoutez, ce sont des chansons familiales, chacun comprend ce qu’il veut, comme pour les sucettes de France G.
Un brin de mandoline :
http://www.youtube.com/watch?v=x6Hvdrf–V0
« Couiner », Daaphnée?
C’est vrai que ça ne va pas du tout au camarade JC.
Comme vous aimez à ne pas le dire (j’ai bonne mémoire), « ça fait mal au sein ».
« Un bon moyen d’en juger serait que l’hommage ait lieu du vivant de l’éditeur, ce qui ne manquerait pas de le mettre dans l’embarras, mais tant pis. »
On peut ?
Alors remerciements à Gall..
A Gallmeister.
http://www.gallmeister.fr/livre?livre_id=565
« chacun comprend ce qu’il veut, comme pour les sucettes de France G. »
Il s’agit donc de chocolat blanc, u. ?
Les sucettes de France G. et le Chez Chesterton de Valéry L.
Et la NRF …
A long time ago, in a galaxy far away ~ Je l’aperçois par la persienne.
…
…@,…Sergio à 18 h 07,… ben oui!,…
…y en a bien qui se sont dévoués en se mariant,…
…dans quelles tributs,…
…la combi-nation de la main cousue dans le sac,…la loterie,…avec tout les tickets de la bonne poire en main,…
…çà ne s’invente pas!,…forcée la main,…à se plantée,…
…Oh!,…hissé-là!,…la casserole,…emboutie fraîche!,…aux » rares » poinçons de collections d’Ô en latrines!,…etc,…
…
« Elles sont piquantes, c’est vrai, mais elles ne nous rajeunissent pas. »
Si nous les trouvons « piquantes », c’est qu’elles réveillent chez nous, quadragénaires confirmés et lubriques, une dévotion juvénile qui ne demande qu’a être encouragée par l’étude pratique de conditions affectives rarissimes …
…
…à,…@,…11 h 26 mn,…l’origine de la ciboulette!,…
…un hard du facteur qui nous les pompes les amygdales!,…
…çà suffit!,…
…allons y avec le fromage de chèvres,…
…au moins, il ne nous reste pas dans le gosier,…là!,…etc,…
…à tout prendre sur la lettre,…
…
allez, pour JC, qui aura du mal demain pour son footing matutinal… (les pouvoirs qui dorment en toi ne s’achètent pas … drôle d’état… suffit de s’en convraincre…)
http://www.dailymotion.com/video/x5vdhb_ella-elle-l-a-france-gall-sous-tit_school
JC, la quarantaine, il se fout de nous !
Faut rajouter au moins deux décénies de plus…
Quand BHL disait « On enverra les soldats français si je me trompe », il se trompait.
Bal-ka-ny (hé bien!)
Il faut dire, U., qu’à ce stade-là, c’est dur à qualifier ..
Sinon, mm .. c’est quoi cette histoire de chocolat ?
Tiens,
La femme chocolat,
Est-ce qu’on pourrait respecter l’intimité des victimes, voilà ce que je comprends moi à ce texte.
Citer « La Kolyma » et « La Mordovie » dans le même post comme site de villégiature,
c’est citer « La Patagonie » et « Buenos Aires », en moins extrême.
Merdre, arrêtez de mélanger les torchons et les serviettes.
Quant à mon Speudo,
il est :
Bravo,
Oscar,
November,
Uniform,
X-ray.
Mais Mr Pierre Assouline ne l’accepte pas !.
Giovanni Sant’Angelo dit: 1 mars 2014 à 20 h 39 min
…dans quelles tributs,…
…la combi-nation de la main cousue dans le sac,…la loterie,…avec tout les tickets de la bonne poire en main,…
Excellente idée ausgezeichnet ! J’étais précisément en train, véridique, de me demander si j’allais relire Bel-Ami ou non… Ce sera oui !
Mais Mr Pierre Assouline ne l’accepte pas !.
Etonnant d’ailleurs car La Chat (bien joué) est tout autant une marque de lessive.
La différence est dans le cadeau ?
…ce sera niet
http://www.youtube.com/watch?v=BrEQLUOIYzI
Thierry, j’ai réfléchi et je pense sincèrement que depuis le départ vous n’avez pas votre place ici. Vous n’êtes manifestement pas un intellectuel. Depuis le départ, vous vous faites du mal.
Regardez un gars comme renato, il sait surfer sur la vague avec détachement. Il calcule tout avec six coups d’avance. C’est bien simple, on ne peut jamais le piéger, ni le mettre en défaut et encore moins le troubler. Ce type-là est un roc.
Je précise que naturellement à 20h 38 ce n’est pas moi. Et j’ai un alibi des plus sérieux : j’étais à la cave.
Alors? De qui filme-t’on les épousailles ce soir?
…
…relire Bel-Ami!,…pour un Oui!,…ou un Non!,…allons!,…allons!,…ne vous donnez pas cette peine!,…
…
…en ce là de la réalité!,…d’être pour y en revenir,…laisser des coordonnées cadrées avec des portes en soupapes,…comme dans l’espace ou dans les mines!,…réajustée sa sécurité à tous,…dans les proportions de seines sécurités,…récupérer des esprits encore seins dans les balises de l’aumônerie des premiers soins,…etc,…
…
…un système pour se jouer des plans préconçus et s’accroître dans la disponibilité,…d’actualisations des données environnementales,…mondialisation y compris sans faire jouer la diabolisation-facile de tout un chacun,…
…réguler,…aux normes de chacun,…les exigences du progrès accessible,…sans efforts pour discriminer les conjectures qui bloquent les gens dans leurs inaptitudes et autres confinités à s’isoler par mépris,…de tout ces jeux-sociaux moral,…à nous glousser sans partages,…
…n’exagérons rien,…du partage,…qui reste une continuité des » affaires personnelles « ,…Non un gage de sacrifices aux normes gratuites,…
…Bel-Ami,…Non,…
…des normes souples,…mais très objectives à sauver tout ces diables que nous sommes devenus par la force des événements hors-normes qui s’est abattu sur notre civilisation par les profits escomptés,…rien que ce là!,…
…
…l(intégrité dans l’unité des nations en paix!,…etc,…
…
Si vous faisiez des phrases convenables, Giovanni, on pourrait mieux comprendre où vous voulez en venir.
Je vous dis ça parce que connais un SDF sur la ligne 7 du métro qui harangue la foule un peu comme vous le faite, par petits bouts sans queue ni tête. Résultat il fait peur à tout le monde et les femmes en rient entre elles.
…
….@,…D,…
…
…ou vous voulez en venir!…je ne répond qu’à J.C.,…qui m’interpelle et veut relire Bel-Ami,…franchement,…à ce point,…
…
…de plus mes phrases sont convenables pour moi,…dans ma logique succincte,…
…
…aucun tord pour personne,…c’est çà le chapeau de la pensée pour moi,…etc,…
…des événements qu’il faut mieux prévoir et moins se plaindre ensuite,…
…c’est déjà beaucoup,…etc,…pour moi!,…
…
D. dit: 2 mars 2014 à 0 h 24 min
sur la ligne 7 du métro
Non mais y faut pas monter en troisième classe, aussi… En seconde ou en première normalement c’est plus calme…
…
…mais, c’est bien sûr!,…
…je répondais à Sergio,…et je m’adresse à J.C.,…
…il n(y à que moi!,…pour être si relax!,…
…etc,…
D. dit: 2 mars 2014 à 0 h 18 min
Si vous faisiez des phrases convenables
Ce qui est intéressant, c’est que ses phrases parviennent à fournir, je ne sais pas s’il s’agit à proprement parler d’un style complet, mais enfin on y vient, au moins une résonance abstraite, c’est-à-dire libre, ce qui est exactement ce que tout le monde cherche depuis un siècle, de Joyce au Nouveau roman. Mais est-ce que l’on peut aller beaucoup loin ? Surtout en accrochant le lecteur ? Elle est là, l’affaire.
Au lieu de passer votre temps à faire la leçon aux autres, D., vous feriez mieux d’en prendre, des leçons, et apprendre des meilleurs d’entre eux !
…
…libre sans s’accrocher le lecteur!,…
…être en soi,…et parvenir aux nouvelles mutations en intégrants tout le monde,…
…
…bonjours les dégâts,…pourquoi!,…
…question de réellement se convertir en » maître » de l’avenir,…c’est plus que fragile,…
…comme le retour du genre de film inversé des mouvements,…l’oeuf sur la poêle qui se re-soude en entier et rentre dans sa coquille qui se re-fait en oeuf,…de poule,…
…la poule qui rajeunie n’est pas une mutation en soi,…
…
…donc, des mutations,…lesquelles,…
…il faut y revenir à deux fois,…
…parce que » tout n’est pas d’oeuf à inverser « ,…
…des lois, des plans, des mesures,…
…en tout cas , il y a du boulot,…de soudures fragiles à réanimées,…toujours en mutations,…etc,…bonne nuit!,…
…
faut être intello pour poster ici ? je m’insurge ! au nom des plombiers, des garde-champêtes, jardiniers, boulangistes, ébénistes et autres économistes, je revendique le droit a la parole pour tous…non mais !
en fait le seul bloggeur ici qui vivait du fruit de son travail manuel était le camarade Sancho qui était bouloniste de son état…je l’envie un peu, vu qu’il pouvait voir tout de suite le fruit de son labeur et qu’il en vivait aussi, jusqu’à ce qu’il prenne sa retraite très anticipée…perso, les tringles a rideaux, c’est plus un hobby qu’aut’chose…je les offre a tous venant, surtout que la mode est plutôt aux persiennes…faut aussi dire qu’en ce moment, je suis plutôt branché sur les rouleaux a pâtisserie…moins encombrants…
…
…je vous est compris,… »camarade »,… @,…abdelkader!,…
…
…d’habitude mes intello’s à moi!,…sans persiennes ni rouleaux de tapisserie,…juste, déjà un doigt dans le » cul « ,…
…pour devenir » gays » de la république sans issues,…
…pourvu que l’humour s’accroche!,…aux libertés,…que diable!,…etc,…
…je signale qu’il est 07 h 42 mn, du matin ce dimanche 02 mars 2014,…
…
Un sentiment étrange vous saisit lorsque, rentrant du jogging matinal le long de la plage calme au lever du soleil, espace vide sans personne, mer immense, pas le moindre vent… vous relisez le billet de Passou et essayez de vous intéresser aux liens de « l’amitié affectueuse » qui pourrait exister entre écrivain et éditeur.
Le fou-rire vous prend lorsque cette relation vous rappelle le spectacle de l’éleveur qui caresse le mignon petit agneau devant la caméra, avant de l’égorger au coucher du soleil pour vivre de ce meurtre de masse.
La Romantique de Bruckner :
http://www.youtube.com/watch?v=gcBg-tXn0fs
Bonjour, etc.
La musique autrichienne adoucissant les mœurs, le calme reviendra peut-être dans la Crimée en sécession si elle parvient jusque là-bas ?
D’autant que la quasi déclaration d’indépendance de ce territoire russophone pour ne pas dire russe, nous rappelle les beaux jours d’une coalition euro-atlantiste menée par le NATO en Serbie pour la sécession kosovare au cri de « Ecrasons la Serbie sous les bombes, au profit du Kosovo ! »….
Là, en Crimée, c’est l’inverse ! Gageons qu’il sera plus facile pour l’Euro-atlantisme du NATO de laisser faire les Russes et que la défense de la souveraineté ukrainienne, USA et Europe, mains dans les poches, s’en tapent le coquillard !
Il paraît que le grand prix littéraire des sports de glisse vient d’être attribué à Paul Celan pour « Todesluge ».
Jacques Barozzi, je suis mandaté par les saints pères de l’Eglise Romaine, pour moraliser la RdL, y donner un niveau académique (voir mes palmes en caoutchouc que j’utilise, pour nager dans la mer en Bretagne, ma taille fine retenue par une vieille chambre-à-air de roue de camion). Je suis de loin, même devant le maître de la RdL, à être un vrai intellectuel avec des relations avec les extraterrestres, sachant quand la fin du monde, prochaine et répétée, viendra éteindre la lumière. Mes phrases ont toujours un niveau identique, le summum de la rhétorique, de grammaire recherchée, d’un français parfait, un océan de richesses en matière de vocabulaire (voir mes commentaires signés Ciboulette). Je ne lis les livres que debout, gratuitement, chez Gallimard, mon avis est le seul valable. J’adore le théâtre classique, les tours d’habitation de 4 étages maxi. Je suis un expert en cuisine économique, en tenue discrète, et, dernier argument gigantesque, je garde toujours un regard où je mets les pieds. La vérité, mes frères, mes sœurs, j’essaie d’être un bon catholique, j’aime prendre mes prochains et mes éloignés, voir des inconnus, pour extérioriser mes démons, à peu de frais. Je suis mauvais, profondément mauvais, mais mon goût pour la comptabilité à l’ancienne (comme les chinois, avec un instrument à boules), fait que en adéquation avec mon QI, 380 vers 03:15, après ma dernière vodka fabriquées maison, je suis le seul sadiste patenté toujours à la recherche de victimes. Je, moi, Dieu, son fils et son esprit D, D comme Dédé et système D. Voyez vous, Jacques, je vis dans le péché, je cogne mon chat quand je suis à jeun. Pourquoi la vodka ? Pour me rapprocher de Poutine, oui je sais, il ne boit pas d’alcool, mais enfin, la vodka me rapproche des moujiks. Je vais partir pour combattre les Ucraignentrien, l’éternelle russie dois gagner cette bataille. Je suis expert en DCA, seule arme pour se défendre des attaques aériennes à la boulle-puante. Je suis follement amoureux de Bérénice, je sais qu’elle voudra respecter mes vœux de chasteté, pourtant, oui, oui pourtant, oui oui, oui oui oui est une rose, je suis bel homme, musclé, mon ventre ressemble à des plaques de chocolat, pas à une plaque à six éléments, non, je n’aime pas le nombre 6.
Jacques, vous devriez suivre mon conseil, vivez en ne pensant qu’à Dieu, oubliez ce qui vous démange. Sainte Frigide Barjot, priera pour vous et Dame Boutin, vous enverra un chapelet en plastique.
Je suis le seul, de la RdL, en dehors de Philippe Teigniez, à être un homme pur et promis à un grand avenir dans l’eau delà. Oui, oui, oui et oui est une rose, eau delà, H2O. Je m’en vais partir à la messe, avec mon protège genoux en plumes. Je vais prier pour vous, car, mon fils, vous est un pécheur. Moi pas, j’achète mon poisson au marché.
Yalta, la Crimée, des paysages aussi enchanteurs que ceux offerts par Porquerolles et la Côte d’Azur, JC. A quoi rattacher cette dernière en cas de partition ?
Je suis D., quand je le d.cide, et quand ma vodka décide, je suis DD.
« Jacques, vous devriez suivre mon conseil, vivez en ne pensant qu’à Dieu, oubliez ce qui vous démange. »
Oublie, Jacky ! Oublie… Je vous l’avais dit : madame Bovary, c’est peut-être Tatave, mais DIEU, c’est clair, c’est Dédé ! »
Et je suis l’Archange de Porquerolles, celui qui porte le glaive du Bien.
Repentez vous, erdéeliens !!! Soumettez vous à l’AAAAA ! L’Amicale des Archanges Associés pour un Altruisme Atypique (liste des membres ailés, sur demande)
Encore un effort, D., et vous nous donnerez votre identité vraie !
La photo était-elle du moins la bonne ?
Faudra donner un petit coup de molette
Jacques Barozzi dit: 2 mars 2014 à 9 h 56 min
« Yalta, la Crimée, des paysages aussi enchanteurs que ceux offerts par Porquerolles et la Côte d’Azur, JC. A quoi rattacher cette dernière en cas de partition ? »
MONACO !
Dimanche matin c’est confesse !
La différence entre JC et D. ?
Monaco, ce vulgaire caillou tape à l’oeil pour nouveaux riches !
Jacky,
On te donnerai à choisir entre la nationalité monégasque et la nationalité cannoise.
Réfléchis bien…. tu prends laquelle ?
Sans hésiter, la française, JC.
Les Grimaldi sont des ploucs… des paysans enrichis !
On peut pas raisonner avec toi : t’es un « affectif » en affaires …
…
…Bon,…ne parlons pas de D,…qui doit se démêlez ses esprits seins de tout les rôles qu’il a du se farcir à en perdre presque sa raison,…
…au moins il sait pourquoi qu’il ne manque de rien,…
…un acteur de jeux des rôles dans la hantise de s’en remettre aux mains des parjures des Dieux inventés par nos hommes, pour nous soumettre comme à l’effigie de l’agneau pascal,…
…
…a part çà,…l’Ukraine,…
…que dirait Washington,…si la Californie se proclame indépendante et paradis fiscal en plus,…
…elle est bonne l’indépendance à la transparence!,…mais de quoi on se mêle,…
…
…juste, pour des sous,…et les loisirs stratégiques du petit peuple aux rêves du mérite des russes travailleurs du capital, à rêver des juste vacances en Crimée,…à gogo!,…
…
…faut pas exagérer la devise de la liberté,…quand on marche sur la liberté d’un peuple qui était judicieusement soviétique,…
…
…un peu de Crimée,…et sous-marins à Malte pour tout le monde,…çà ne fait pas de mal à personne,…avec les ogives encore à achetez aux marchés d’aviation à Paris dans,…le 7° métro,…à D,…inconsolable,…un pouce en bouche,…en pleine croissance de Business-plan!…etc,…
…
…investissons dans les ogives!,…de remplacements,…déjà pour les désamorcés,…bonjours la technique,…avec nos parasites en action,…la goupille,…ou est t’elle passé chef,…etc,…
…
Aaaah, Gianni ! Des soutiens-rouge-gorges remplis d’ogives nucléaires de satin ! mmmmh !
…
…@,…J.C.,…je sais,…mais sait courant,…
…
…cestrès jeunes,…qui se demande pourquoi des soubresauts les convulsionnent sans merci,…
…aux diables les satins,…des seins libres en ogives,…qui veux me tester,…les bombes,…
…pauvres filles en manque de mains sur d’autres claviers,…Bond’s disant de jeux de rôles !,…
…la messe , sur quel fauteuil,…etc,…
…
Jacques Barozzi, toutes les familles régnantes/dynastes d’Europe, sont alliées entre elles et descendent toutes, de Guillaume-le-Conquérant. Il y a du vrai sang royal français dans les veines des Grimaldi. Au début, il y a quand même plusieurs siècles, un aventurier italien vient s’installer sur le rocher et je crois, down the lane, il s’attribua le titre de Prince régnant.
Monaco est une vraie success-story, économiquement parlant, Rainier III bouta Onassis en dehors, de la société des bains de mer. Puis vint l’idée de récupérer des terrains sur la mer, pour la construction. Cette idée est en plein essort à Singapore.
Mes ancêtres Dalmas, du côté de ma mère, ont voté pour le rattachement du comté de Nice à la France, ni l’Italie et encore moins Monaco !
il devrait être interdit, de s’attribuer un pseudo pas francophone.
Dimitri d’Arlatan était une erreur de ma part.
Dorénavant, je signerais Dénèbe quand je suis Dénèbe, et même quand je signerais Bambi 2014.
Giovanni (jouvançeau), je ne comprends pas vos commentaires, votre bras me semble armé négativement.
Je suis un grand poète, Marcel est peut-être en maths, supérieur à mon génie autodidacte, mais en poésie, je suis le roi, je suis dieu, je suis, je suis, je suis, je suis est une rose…
Je vais devenir roi de France, après la fin de l’année. Bérènice sera ma Reine et, Daphnée la mère de mon héritier. Y-aurait-il un candidat, pour être père planteur ? Je vais faire interdire la fornication, les laines jaunes, les mocassins à pompons, les pantalons américains qui se portent sans pli, sur le devant. Je porte des pantalons à pinces, cela cache mes formes gigantesques, ma virilité équestre.
Jacques, Napoléon III, avait le sens des bons deals.
« L’auteur de Nuit et Brouillard et Hiroshima mon amour, Alain Resnais, est mort samedi 1er mars à Paris, a annoncé son producteur, Jean-Louis Livi.
Alain Resnais était âgé de 91 ans, et son ultime long-métrage, Aimer, boire et chanter, présenté à la Berlinale le 10 février, doit sortir en salles le 26 mars. »
immense tristesse: mort d’Alain Resnais
« Aimer, boire et chanter », beau programme testamentaire, un film à voir entre les deux tours des élections municipales, J. Ch. !
…
…pour notre @, tkt.,…national de service,…
…
…revoir Henry VIII,…et la mort du vrai Warwick dans la Tour de Londres,…effaçant dans le malheur et le sang l’illustre famille des Plantagenêts en la personne en ligne masculine de Geoffroy d’Anjou,…etc,…
…
…que ce soit sous les Tudors ou les Stuarts,…la chasse aux PLantagenêts,…etc,…
…
…toutes les familles régnantes descentes toute de Guillaume le conquérant,…
…et du jus de chaussettes pour le thé,…à Rollon,…même pas,…allons donc,…un effort,…etc,…
…
…sources,…Les Dynasties d’Europe, Bordas 1984,…Lines of succession 1981? Orbis Publiching Ltd,Londres,…
…
…tout ces bâtards,…à l’oeil,…etc,…
…
je n’y manquerai pas, Jacques, plutôt deux fois qu’une et je commence maintenant avec un verre de Lagavulin… tchin !
Et Resnais connaissait la chanson, J. Ch : musique !
Faudrait pas louper ça :
http://www.metmuseum.org/exhibitions/listings/2014/charles-marville
Et ça est de circonstance !
http://www.youtube.com/watch?v=u6nWG6Lr0KQ
immense tristesse: mort d’Alain Resnais (JCh)
Alain Resnais est mort ? Ah, bon.
… et in Slate :
Une fois parti, on voit les grandes actrices qu’il a laissé.
Faudrait pas louper ça : (Renato)
Le voilà, l’oeil: du siècle ! autrement plus excitant que Barbier-Cresson.
Resnais, cinéaste inégal. « Muriel » ; très bien. En revanche « l’Année dernière à Marienbad », mon dieu que c’est chiant. Mais dans le genre, « Nuit et brouillard », y a pas pire. Il faut dire que sur un scénario pareil…
…
…mon bras,…D,…mais je m’occupe de mes affaires,…
…je suis le larbin de personne,…
…juste deux trois mots en passant,…c’est tout,…même devenir acteur çà me répugne,…
…tout ces miroirs, ces maquillages, ces courbettes à faire,…
…trop mignon,…pour me donner aux cinéma,…ma chance,…un accident à l’oeil en jouant,…presque Ouf,…au monde Cinéma !,…
…allez au boulot les vaincus du pognon of course!,…etc,…
…
tiens !, alzémémère est repartie faire de la léche à Popaul sur son blog : « il sait ce qu’est un livre » ! parce que nous on ne sait pas ? jusqu’où va la flatterie, Popaul doit bicher
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=iPWK_q5RR-4
C’est l’histoire d’une vielle dame qui téléphone à la police :
« Monsieur, c’est un scandale ! le jeune homme de l’appartement d’en face s’exhibe en petite tenue devant la fenêtre…
— Bien, Madame, on envoie quelqu’un ».
Deux policiers arrivent, mais, après avoir regardé par la fenêtre, ils ne constatent aucune infraction. La vielle dame, cependant, insiste :
« Il faut monter sur la table si on veut voir quelque chose, Messieurs ! ».
l’Année dernière à Marienbad est mon film favori de tous les temps…un grand francais vient de disparaitre…et Arsenal a perdu aussi…j’en suis encore sous le coup de l’emotion…si si ma brave dame…une modeste et speciale dedicace au grand homme….
Souvenez-vous
Souvenez-vous
Etait-ce l’année dernière à Stalingrad
Ou alors celle d’avant à Marienbad
Vous niez tout et insistez
Que tout cela n’a existé
Que dans ma mémoire
Votre parfum hante ces couloirs
Qui donnent
Encore
Sur d’autres couloirs
Où résonne
Votre présence
Parmi tant d’absence
Souvenez-vous
Souvenez-vous
Etait-ce l’année dernière à Stalingrad
Ou alors celle d’avant à Marienbad
L’écho de promesses faites
Par un soir de fête
Etait-ce a Stalingrad
Ou bien alors à Marienbad
Ces serments fébriles
Un soir d’avril
A moins que ce ne fut Septembre
Ou alors Décembre
Souvenez-vous
Souvenez-vous
Etait-ce l’année dernière à Stalingrad
Ou alors celle d’avant à Marienbad
Etes-vous celle que j’ai aimée
Suis-je celui que vous croyiez
Ces lettres perdues
Que vous dites n’avoir jamais reçues
Elles vous parlaient de nous
Vous me traitez de fou
Vous vous trompez
Mais déjà vous vous éloignez
Souvenez-vous
Souvenez-vous
Etait-ce l’année dernière à Stalingrad
Ou alors celle d’avant à Marienbad…
Copyright Editions Tata Jacqueline 2006
François Hollande doit épouser Julie Gayet le 12 août prochain, d’après Elizabeth Teyssier. La célèbre astrologue nous apprend que cet heureux événement devrait compenser le décès hélas assez imminent du cinéaste Alain Resnais.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=s9i2Yu53gxs
Alain Resnais a fait ce qu’il a pu de sa vie… RIP et …. passons à autre chose !
« Y-aurait-il un candidat, pour être père planteur ? Je vais faire interdire la fornication »
Il me semble qu’il y a là comme une contradiction dans les clauses de l’appel d’offres !
« François Hollande doit épouser Julie Gayet le 12 août prochain »
Cela ne se fera pas :
– le bougre refuse de s’engager, en général et en particulier
– Julie a accepté mon offre d’union libre
– j’ai assuré François, qui en était enchanté, que tout le réseau sud-est votera pour lui en 2017
Une quenelle sur le stade ? Racisme footeux puni !
Un voile islamique pour toutes ? Racisme religieux autorisé !
Va comprendre la FIFA ….
Resnais, Hiroshima, la Shoah, tous ces vieux trucs qui n’intéressent pl:us personne et que, du reste, tout le monde a oubliés. Cinéma pour les arrière-grands-mères. Barbe à la nostalgie et aux pelotes les nostalgiques.
…
…en Italie,…les ombres du gouvernement » Renzi « ,…
…avec Dieu berlusconien lui donnant la pattes de la continuité,…
…un peu le changement,…la face cachée du même disque transalpin,…le mique-maque,…habituel,…pour changer l’armoire aux cadavres de la démocratie de place,…dans la cave aux vins,…sans distillation,…etc,…
…
…à première vue,…s’entend,…au scalpel!,…etc,…des chianti,…qui mûrissent les âmes,…sanguinaires!,…du profit!…
…qui dit mieux, sans Palmes au festival de Cannes !;…etc,…
…
« François Hollande doit épouser Julie Gayet le 12 août prochain » (JC)
Il est con, mais pas à ce point-là.
Barbe à la nostalgie et aux pelotes les nostalgiques. (mézigue)
Tiens, si j’étais l’arrière- petit-fils d’Heinrich Himmler, c’est exactement ce que j’aurais écrit.
Si on doit féliciter quelqu’un pour « Nacht und Nebel », ce n’est pas Resnais, mais Dolfie !
A demain. Bisous …!
A propos de « Nuit et brouillard » du sieur Resnais, y a tout de même un pataquès que je ne m’explique pas : c’est bien la première fois qu’on voyait un film promotionnel sortir après les soldes !
La photo montre Pontalis en train de visionner « Nuit et brouillard ».
abdelkader dit: 2 mars 2014 à 12 h 46 min
l’Année dernière à Marienbad est mon film favori de tous les temps…un grand francais vient de disparaitre…et Arsenal a perdu aussi…j’en suis encore sous le coup de l’emotion…si si ma brave dame…une modeste et speciale dedicace au grand homme….
Bravo à Tata Jacqueline ! Mais quand même, le gars aux allumettes, faut pas l’oublier… C’est le meilleur des meilleurs !
« descendent toutes, de Guillaume-le-Conquérant. »
TKT
Je me disais bien que Thierry avait une tête de Danois.
mourir un jour d’anniversaire est une coïncidence
étrange; mourir le jour de son anniversaire est une coïncidence superlative qui avait déjà impressionné .
immense tristesse avec la mort de Resnais.A propos de sa mort , les chaines tv, citent « Muriel » et « Nuit et brouillard » comme ses deux grands chefs d’œuvre, en oubliant de dire que les scénarii ont été écrit, ligne à ligne par Jean Cayrol, immense romancier du « romanesque lazaréen »,lui qui revenait des camps avec sa prose détimbrée..relire le récit « les corps étrangers » de Cayrol..
Il paraît qu’à l’hôpital de Grenoble ils sont très forts sur la thérapie par le cinématographe. C’est tout nouveau et très tendance. Récemment, histoire de lui doper les neurones, ils ont passé à un célèbre champion comateux en phase de réveil « l’Année dernière à Marienbad » . Question effet secondaire indésirable, c’était plutôt la contre-indication caractérisée : il s’est rendormi illico. Il paraît que, cette fois, il en aurait repris pour cinq ans. Alors qu’avec n’importe quel Clint Eastwood…
quand on marche sur la liberté d’un peuple qui était judicieusement soviétique
giovanni il est d’un timide, ses bottes il ne les montre presque jamais..
Votre parfum hante les couloirs
Surtout celui qui mène aux cabinets.
Paul Edel dit: 2 mars 2014 à 14 h 45 min
« immense tristesse avec la mort de Resnais »
Remember Popaul ! Tout ce qui est excessif, etc, etc …
en oubliant de dire que les scénarii ont été écritS, ligne à ligne par Jean Cayrol,
omission déjà relevée lors d’un colloque avec moult psys à l’EHESS
abdelkader dit: 2 mars 2014 à 12 h 46 min
« L’Année dernière à Marienbad est mon film favori de tous les temps…un grand francais vient de disparaitre…et Arsenal a perdu aussi… »
immense tristesse avec la mort de Resnais (Popaul)
C’était aussi l’état de JCh. Ces braves gens font sans difficulté dans l’immense. Il n’y a, bien entendu, pas une goutte de sincérité dans l’immensité de cette mer de tristesse. Mais enfin, faut ce qu’y faut. Vous en reprendrez bien une louchée.
Cette immense tristesse me filippettise déjà de bêtise doxatisée, et panthéonique ta mère !
Qu’est ce que je fais de mon semi-remorque rempli d’immense tristesse, moi, je bouche la rue !!!
Colette Onésiphore de Talleyrand-Périgord est finalement beaucoup plus con.e qu’annoncé, et pourtant l’avis de tempête était rouge.
Talleyrand-Périgord dit: 2 mars 2014 à 14 h 59 min
Paul Edel dit: 2 mars 2014 à 14 h 45 min
« immense tristesse avec la mort de Resnais »
Remember Popaul ! Tout ce qui est excessif, etc, etc …
Oui mais : « on en parle, monsieur » !
Des milliers de morts de partout, mais le pleur du bobo pour un artiste sans grand génie mort dans son lit douillet résonne amplifié par l’ennui médiatique vaincu
« Des milliers de morts de partout, mais le pleur du bobo pour un artiste sans grand génie mort dans son lit douillet résonne amplifié par l’ennui médiatique vaincu »
Le bateau le dispute au vide.
Bravo, aussi beau que du TKT.
un ami américain, poète, prononçait » rèse nice »(comme l’adjectif anglais « nice » :it was nice !
Calme plat, commentaire plat
l’un de invités à ce colloque était Claude Mouchard
http://www.sitaudis.fr/Parutions/qui-si-je-criais-de-claude-mouchard.php
C’était aussi l’état de JCh. Ces braves gens font sans difficulté dans l’immense. Il n’y a, bien entendu, pas une goutte de sincérité dans l’immensité de cette mer de tristesse
mais si hé..il enchaine avec un lagavuline le tarrassé..toi t’es l’genre a a voir bu un pastis carouf à la mort de ta reum jean marron..
le terrassé..scusez moi..la douleur!
à Onsésiphore : je ne connais pas votre âge ; moi, je ne cache pas le mien : 86 ans ; j’ai découvert le cinéma de Resnais quand j’avais 31 ans et il m’a accompagné tout au long de mon existence, c’est pour cela que je suis si triste… et je m’en tape que vous ne le compreniez pas.
t’as surement bu un pastis carouf à l’eau tiède javelisée avec une poignée de cacaouète rance..ha on la voit d’ici ton immense tristesse..
reprends une kro chénel..tu fais trop pitché
Ne vous inquiétez pas, Bambi, ça va de nouveau swinguer : dès que j’apparais, les trolls redressent leurs têtes vertes et flapies, sournoises et molles, et recommencent généralement à brasser le courant. Ce serait une bonne surprise s’il en allait autrement aujourd’hui…
Bon, Resnais, pour bibi, ça a surtout été « mon oncle d’Amérique », porte d’accès aux vues d’Henri Laborit, ce type ni-ni qui appuyait sa réflexion philosophique sur la science et la sociologie pour expliquer les comportements humains : ça m’avait passionnée. Et puis le film était plein d’humour. Pour illustrer les déterminismes qui accompagnent nos choix, chaque personnage avait ainsi un modèle, un double, prémisses des avatars de l’internet d’aujourd’hui, et c’était rudement bien mené, fin et spirituel. Depardieu-Gafin, une évidence, mais si je me souviens bien, Garcia se la jouait Jean Marais, superbe idée… Et Roger Pierre, avec cette espèce de bonne bouille de bourgeois protégé, plein d’illusions sur lui-même (il pourrait parfaitement être un des commentateurs assouliniens, mais chuuuuuttt….) m’a toujours fait à la fois rigoler et éveiller ma compassion (modérée et chantante, heine.) J’ai vraiment préféré ce film-là, mais je n’ai vu qu’une fois « nuit et brouillard », pas vu Marienbad. Par contre, j’ai savouré « on connaît la chanson », ne serait-ce qu’à cause de Dussollier en garde républicain à cheval.
J’espère qu’en hommage, nous pourrons voir ce soir « Mon oncle d’Amérique » : au 21è siècle, et devant les écrans plats de nos ordinateurs, est-ce que ce film nous interroge autant sur nous-mêmes, mmmhhhh ?
tu te crois malin ,boudemerde ?
Bambi 2014 dit: 2 mars 2014 à 15 h 43 min
Calme plat, commentaire plat
Super Bambi, un must.
c’est vrai que côté jaja t’en connais un max, le ricaneur
tchin tchin..ha pardon..pardon chénel..faut rester digne..n’empêche qu’avec une ou deux rondelle de jésus ça irait bien avec le 15 ans et ça frait plus apitoyé ? tu trouves que ça frait plocu paysan enrichit comme dirait baroz ?..ha bon..
je ne connais pas votre âge ; moi, je ne cache pas le mien : 86 ans
c’est peut-être vrai : mais sur internet ,qui vous oblige à ces révélations ?
moi, j’aime la première photo , et je ne le cacherai pas non plus
pas plocu chénel..plouc..la douleur la douleur ! me fait dire n’importe quoi..chus comme poutine, j’ai un coeur gros comme ça..l’ukraine et le cinéma et gérard et néchin..même combat !
putain pousse toi chénel ! j’ai envie de pisser..
Reprends une Kro, Chesnel, le conseil du bougre est bon
Ha ben voilà Resnais il aurait pu faire Sigmaringen !
Le plus jeune, c’est vous J. Ch., les autres sont des vieillards avant terme : laissez-les pisser !
« Ne vous inquiétez pas, Bambi, ça va de nouveau swinguer : dès que j’apparais, les trolls redressent leurs têtes vertes et flapies, sournoises et molles »
Tu te vantes Clo-Clo.
Tu cherches, tu trouves, ici sans les « trolls » (tous très connus) tu ne serais rien.
Tu viens chercher ton quart d’heure de gloire, nous bons princes on te l’offre gratos.
Dis nous merci.
Marienbad, y a pas les tennis et le vélo déserts…
trop tard, boudemerde, je t’ai déjà pissé dessus
« dès que j’apparais, les trolls redressent leurs têtes »
50 ans accompagné par Resnais, pas gai !
Confesse, enfant du siècle! : rien de ce qui devait être ne sera; tout ce qui était ne cesse de revenir; ne cherchez pas ailleurs la source de nos maux. Et à qui on va parler, nous qui croyons plus, ou pas assez fort? Et de quoi parler? Et pourquoi causer? Et on va faire quoi, de nos dix doigts et des excellences de nos cogités, dans les manigances de la société? [… ] N’être que reflets de la marchandise acquise ou rêvée avec du surplus partout en breloques de machines pour rien machiner d’utile? Sacrifier bêtes grasses et rouler du cul sous rythmé cantique de mercatique? Vivre en homme-sandwich de logos partout? Adorer bagnole et génuflexer en stand électroménager? Blablater du rien en fil ou sans-fil toujours à la patte pour se croire mobile et tissé sans cesse au tissu du monde? Goinfrer des images pour toucher à rien en vrai sauf virtuel ? (Confesse, enfant du siècle! : rien de ce qui devait être ne sera; tout ce qui était ne cesse de revenir; ne cherchez pas ailleurs la source de nos maux. Et à qui on va parler, nous qui croyons plus, ou pas assez fort? Et de quoi parler? Et pourquoi causer? Et on va faire quoi, de nos dix doigts et des excellences de nos cogités, dans les manigances de la société? [… ] N’être que reflets de la marchandise acquise ou rêvée avec du surplus partout en breloques de machines pour rien machiner d’utile? Sacrifier bêtes grasses et rouler du cul sous rythmé cantique de mercatique? Vivre en homme-sandwich de logos partout? Adorer bagnole et génuflexer en stand électroménager? Blablater du rien en fil ou sans-fil toujours à la patte pour se croire mobile et tissé sans cesse au tissu du monde? Goinfrer des images pour toucher à rien en vrai sauf virtuel ? Christian Prigent.
les autres sont des vieillards avant terme : laissez-les pisser !
y’a que pour toi que c’est pas dématerialisé baroz on dirait..comme dirait élégamment mon copin chénel, chacun sa merde baroz, la tienne c’est la tienne
chénel et moi on est copin..j’y dit 2-3 cochonnerie j’y parle des tranchées..il tire sa bite..sapré chénel
Pour signer le registre, c’est ici
http://larepubliqueducinema.com
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