de Pierre Assouline

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La République des livres
Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse

Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse

Serait-ce la naissance d’un genre littéraire ? Comme on se dit sagement qu’en cette matière on n’invente jamais rien, ou alors une fois par siècle, on se doute qu’il doit bien y avoir des précédents, même si celui qui nous vient le plus naturellement à l’esprit, Jérôme Lindon de Jean Echenoz, est assez récent (éditions de Minuit, 2001), ainsi que les évocations de la figure Jean-Marc Roberts, patron de Stock, par Philippe Claudel et Jean-Marc Parisis. Bizarre tout de même que d’autres titres plus anciens ne s’imposent pas spontanément à notre mémoire. A croire que l’hommage de l’auteur à son éditeur disparu est l’exception et non la règle. Peut-être que cela ne se fait pas. Faut-il y voir une marque d’ingratitude ou la confirmation que dans ce couple, l’amitié ne serait que de façade, circonstancielle.

Un bon moyen d’en juger serait que l’hommage ait lieu du vivant de l’éditeur, ce qui ne manquerait pas de le mettre dans l’embarras, mais tant pis. Sûr que J.B. Pontalis ne l’aurait pas permis. Disparu il y a un an, le jour de ses 89 ans, il fait aujourd’hui l’objet d’un tir croisé. Or les deux écrivains qui y paient leur dette  à son endroit y récusent tant l’idée que, celui qui fut également leur ami, n’était pas un père de substitution que leur dénégation a force d’aveu.

L’un et l’autre ont été parmi les auteurs les plus assidus de la collection « L’un et l’autre », éclatante tentative de renouvellement de l’art de la biographie sous la forme de vies brèves en miroir avec l’auteur, que J.B. Pontalis dirigeait chez Gallimard. Christian Garcin lui a donné quatre textes, et Jean-Michel Delacomptée, sept. Tant l’éditeur que l’ami sont au centre de Jibé (59 pages, 7 euros, arléa) que le premier des deux consacre à Pontalis. Dans ce vagabondage écrit au fil des pensées, que l’on devine sensible mais sans complaisance, émouvant mais dénué de la moindre mièvrerie, gouverné par l’esprit de la divagation, tout tourne autour d’un tableau d’Emile Friant qui figure d’ailleurs en couverture. D’où vient qu’en le contemplant sur les cimaises de l’ancien musée Fabre à Montpellier, il soit aussitôt renvoyé à son souvenir radieux ?photo_Pontalis

Cela ne s’explique pas. Le fait est qu’il parvenait sans mal à convoquer sa figure à partir de ce tableau. La vision des Lutteurs lui fit surtout comprendre qu’une commune hantise de la disparition et de l’apparition le liait secrètement à son éditeur depuis vingt ans que durait leur amitié affectueuse. Pas un autre père, il insiste, mais un ami cher en qui il reconnaît toutefois qu’il a vu au début le reflet d’un homme dont Pontalis fut l’intime à la création des Temps modernes, et que le jeune Garcin n’était pas loin d’idolâtrer : Jean-Paul Sartre. Il était l’homme qui a vu l’homme, mais cette illusion n’eut qu’un temps.

De tous les livres non pas édités mais écrits par J.B. Pontalis même, puisqu’il prit goût à sa propre écriture littéraire (et non plus seulement psychanalytique) vers la fin sa vie, Frère du précédent est celui qui a le plus marqué Christian Garcin, un livre dans lequel il évoquait un frère encombrant avec qui il entretenait des rapports conflictuels. C’est aussi le cas de Jean-Michel Delacomptée qui le reconnaît dans Ecrire pour quelqu’un (170 pages, 15,90 euros, Gallimard). Ce qui laisserait accroire que leur relation était plus fraternelle que paternelle, l’âge importe peu. Or cette poignante méditation sur la mémoire est largement consacrée à la figure de son vrai père, et cette juxtaposition des deux images n’en est que plus troublante. Le portrait  n’en est que plus fin : Giacometti l’eut-il sculpté en pied qu’il l’eut intitulé « L’homme qui charme ». Tout en sourires, courtoisie et intelligence.

A-t-on rêvé éditeur plus attentif et prévenant ? Pontalis était à l’écoute comme d’autres sont aux aguets. Il y faut une vraie générosité, d’autant que la sienne, flottante, limbique, était exempte de la moindre brutalité. Delacomptée étaient séparés par leurs origines et leur éducation Pontalis (l’un fils d’un représentant en librairie vivant en banlieue parisienne, l’autre fils de grands bourgeois industriels) ; mais ils se retrouvaient justement dans une même aversion pour les frontières, qu’elles fussent frontières de classes ou de castes. Rebelle aux catégories convenues, aux diktats des choix binaires et aux genres littéraires tranchés, l’éditeur favorisa à travers sa collection des récits en miroir gouvernés par une vision littéraire des choses d’une grande souplesse « et qu’on ne saurait perdre sans y perdre tout un art de vivre ». Une vraie liberté dans l’écriture. Elle était indispensable à Delacomptée, dont on n’a pas oublié les magnifiques tombeaux de Bossuet, Racine ou Saint-Simon, pour mettre à nu son obsession dans cet autre tombeau pour son père et pour J.B. Pontalis :

«… l’étrange et douloureuse survie en nous de ce qu’on souffert les défunts, comme si le temps n’existait pas, et qui va plus loin, plus profond, que la simple mémoire. Car on ne se souvient pas seulement : on continue de ressentir. (…) L’individu a disparu, sa trace matérielle demeure. Ce qu’ont souffert les aînés nous étreint dès qu’on y songe, comme s’ils vivaient et souffraient maintenant. Ils n’ont pas disparu : ils sont là. Preuve en est l’expérience commune, quand il s’avère impossible de parler d’eux sans que la respiration se crispe, que la voix se brise, et qu’éclatent les sanglots. Cet indicible qui nous submerge, c’est le temps qui ne s’efface pas ».

Le titre du livre de Jean-Michel Delacomptée le crie et le murmure : ce n’est pas vrai, on n’écrit pas pour soi, on écrit pour les autres et même, pour quelqu’un. Au fond, la vie de leur Pontalis ressemble à l’esprit qui anime les vies de sa collection (Christian Bobin en est l’incontesté best-seller) ainsi qu’il l’avait défini, « telles que la mémoire les invente, que notre imagination les recrée, qu’une passion les anime ». Ce sera le dernier livre publié sous cette livrée bleu nuit, il n’y en aura pas d’autre selon le voeu de son fondateur. Cela n’aurait pas de sens tant elle lui ressemblait. Elle se devait de disparaître avec lui.

A propos, « Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse » est une phrase du Cendrars de la Prose du Transsibérien, citée par Christian Garcin et que Jean-Michel Delacomptée aurait pu reprendre. D’un ami disparu aussi, on peut se dire veuf, ou orphelin.

(« Sous le ciel » photo Ryan McGinnis ; « JB Pontalis » photo Mélanie Gribinski)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

948 Réponses pour Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

Enore une fois, Paul, contrairement à vous, je ne suis pas une professionnelle. Pourtant, mon plaisir m’emmène souvent là où vous résidez – mais il est vrai que les sujets de Chevalier m’enchantent, car elle parle toujours de femmes du peuple, et que les épluchures, à mon sens tout au moins, avaient bon goût (et leur histoire est étonnante, non ? Cette vieille bibliothécaire américaine, avec sa nièce, c’est bien ça ? Un premier et unique roman… C’est une pensée consolante, savez-vous ?)

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

Reine du com, le Kamtchakha évoque surtout le goulag (j’ai lu ce nom dans l’archipel du Goulag, de Soljenitsine) : ça ne fait guère rêver, plutôt refroidir, non ?

u. dit: à

« Enore une fois, Paul, contrairement à vous, je ne suis pas une professionnelle. » (Clopina)

Je ne sais pas qui est ce Paul, mais ça m’étonnerait qu’il sorte en bas résille.

Onésiphore de Prébois dit: à

hof..il n’en décide pas..lassouline te dirait que dans l’marketing faut rien négliger..la connerie du siècle faut bien l’dire jean marron..elle se fait tous les jours que dieu fait..ha carpé dième à 2 pognes! le malheureux il doit souffrir (bouguereau)

Il n’en décide pas parce que son choix est de rendre compte de l’actualité telle qu’en définitive les politiques éditoriales des uns et des autres la font et, dans les limites de ce choix, il fait, reconnaissons-le, très correctement son boulot, mais ça le condamne, à mon avis, à rester en surface et, souvent, à une certaine fadeur. Par exemple « poignante méditation sur la mémoire » , pour rendre compte du bouquin de Delacomptée, c’est gentil comme coup de chapeau, mais franchement, ça ne casse pas trois pattes à un canard; je ne dis pas que ce soit faux, je dis que ça fait office de cache-misère, tout simplement parce que, faute de recul, il n’a pas le loisir d’aller plus loin et de fouiller un peu l’analyse; il faut tout de suite passer à autre chose; on a bien vu ce que ça a donné s’agissant du bouquin d’Edouard Louis : ce qu’il en dit n’est pas faux, mais il s’est laissé aller à un enthousiasme hâtif (comme la plupart de ses confrères d’ailleurs), simplement parce qu’il n’a pas pris le temps de cerner les problèmes que posent les choix d’Edouard Louis. Rien ne l’oblige, après tout, à coller à l’actualité; il peut bien se permettre de laisser tomber Delacomptée ou le dernier Pléiade/Jaccottet pour nous dire son enthousiasme pour, je ne sais pas, moi, « Béatrix », de Balzac, ou « la Chanson de Roland » si ça lui chante, indépendamment de toute considération de réédition en quarto, en pléiade ou sur papier hygiénique non dentelé. L’actualité littéraire, qui est surtout l’actualité éditoriale (il faut y insister, parce que l’une est toujours confondue benoîtement avec l’autre) après tout, qu’est-ce qu’on s’en fout. De toute façon, rien de plus sain que de s’informer des dernières parutions deux ou trois ans après… leur parution. Cinq ans me paraissent la bonne distance. Je vois d’ici la tête d’Edouard Louis recevant un coup de fil de son éditeur : « Pas de panique, personne n’a encore parlé de votre bouquin mais, rassurez-vous, Assouline a programmé sa critique pour 2019. Dame, il a besoin de recul. La critique est une affaire sérieuse. « 

la Reine du com dit: à

Brrr. Quelle horreur. Le goulag, ce qui me vient à l’esprit c’est Kolyma, la Mordovie actuelle où il y a davantage de gardiens de prison que de Mordoves ou presque..; Une des Pussy était là-bas, ça ne paie pas de mine comme ça – de ces petits bouleaux malingres aux troncs blancs, banalité d’une prairie verdoyante en été et puis, c’est comme le film de Marceline Loridan sur Auschwitz.. Sans mauvais jeu de mots, un froid dans le dos terrible qui s’abat.

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

« les problèmes que posent les choix d’Edouard Louis » – vous déniez donc à ce livre toute qualité littéraire, pour n’y voir qu’une question sociale (genre : comment rend’on compte de la réalité d’un lumpenprolétariat) ? C’est étonnant, parce que sa forme est novatrice, et que l’émotion qui s’en dégage est presque « palpable », à mon sens, sous la retenue analytique. Bon, perso j’ai l’impression que les livres qui rencontrent du succès ne sont pas très bien vu par ici. Il suffirait que Pierre Assouline nous sorte un best-seller pour que vous lui tombiez dessus…

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

… Et en plus, on a la très nette impression que Louis n’a guère eu le choix, justement. Son milieu étant particulièrement mortifère, il a sauvé sa peau de justesse.

lettres mes amours dit: à

sans courir aucun lièvre, ni m’imaginer en lever un, même de Patagonie, il me semble qu’il ne faut pas négliger -que P.Assouline ne devrait pas trop mépriser les réactions à l’inflation de diagnostics dans les medias par les professionnels des medias à leurs lecteurs,, et de quelques lecteurs psys professionnels dans le courrier de books à propos d’autisme
ces lettres de protestations de lecteurs sont assez circonstanciées pour que tous puissent en profiter .

u. dit: à

Premièrement, quand on a pas lu un livre on devrait se taire.
Deuxièmement, on a quand même le droit d’aller voir les critiques.
Troisièmement sur un blog libéral comme celui de M. Assouline, si on souhaite l’ouvrir, pourquoi pas?

Je viens de découvrir l’existence de Christian Garcin, et je m’en réjouis.

Garcin adore l’extrême orient, c’est qu’il a bon goût. Il s’imagine un ancêtre asiatique, c’est un fantasme qui permet la conversation avec les indigènes.

Il a écrit un livre, Carnets japonais.
Je lis les « Ecrivains voyageurs », c’est un site.
Je cite, donc.

« Christian Garcin décrit son Japon comme le pays du vert. « Le vert sombre, le silence, l’humidité : il y a là-dedans quelque chose d’immémorial, de profond et de rassurant. » Le vert des jardins, « alliance miraculeuse de la nature et de l’esprit », des forêts de bambous, de la mousse. Du bol du thé, aussi. »
Ça c’est bon parce que c’est simple mais c’est vrai. Mousse, touffe…
Je sens que dans une izakaya, avec un bon nihonshû, on pourrait échanger des idées, avec Garcin.

Ensuite, ça se gâte (je ne parle pas de Garcin, mais du présentateur)
« Pour l’auteur, le Japon mêle mystère et clarté, le simple et le multiple – « Tout ce qui à première vue pourrait sembler unique est multiple. Le singulier n’est qu’un des masques de la complexité » -, la nature et l’esprit. »
J’ai remarqué que devant ce type d’aperçus métaphysiques, je me mets à japper, les oreilles en arrières, ça me rend chien.

Là, j’ai rien contre, je me demande seulement, au vu de l’output, si le billet d’avion devrait vraiment être remboursé:
« Une visite à Hiroshima est le prétexte à quelques questions, par exemple sur ce qu’est une guerre « juste », surtout quand elle est gagnée sur les populations civiles. Dans le musée « le vertige vous saisit. Passé un certain seuil, rien n’est plus mesurable… l’homme est aliéné car incapable de se représenter la conséquence de ses gestes. La mystification de notre société médiatique est de donner à chacun, en le bombardant d’images et d’informations, l’illusion du savoir, de la connaissance, de l’éclaircissement, alors que chacun est maintenu dans son aliénation : l’obscurcissement de la réalité. »
Dans ces cas-là, je passe mon tour.

À Ise (il a logé où? c’est comme le Mont Saint Michel):
« Le récit se termine par la relation du séjour à Ise, aux abords des sanctuaires, dans une ambiance de ferveur religieuse et des paysages reposants. « Je me dis que le plus mécréant des matérialistes athées aurait du mal à ne pas trouver ici un semblant de solennité. »
— Je suis convaincu par la sincérité.
Mais contrairement à Garcin, je ne suis pas écrivain, et je m’interroge.
Opposer « mécréant, matérialiste » et « solennité », fut-ce un semblant, c’est bon, ça?

Mais je me rappelle mon premièrement, j’aurais dû fermer ma gueule.
Buona serata!

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

Au fait, messieurs les très respectés savants de ce blog, le fou de Proust commence demain des « diagnostics proustiens à l’aveugle », qui risquent de se révéler comme un jeu fort amusant et légèrement cruel. Je ne doute pas que, parmi les commentateurs de Pierre Assouline, beaucoup participeront à ce défi littéraire et ludique… N’est-ce pas ? (en fait, je suis toujours déçue d’être la seule, ici, à jouer au DLA)

Onésiphore de Prébois dit: à

« les problèmes que posent les choix d’Edouard Louis » – vous déniez donc à ce livre toute qualité littéraire, pour n’y voir qu’une question sociale (genre : comment rend’on compte de la réalité d’un lumpenprolétariat) ? C’est étonnant, parce que sa forme est novatrice, et que l’émotion qui s’en dégage est presque « palpable », à mon sens, sous la retenue analytique. (L’Honneur perdu)

Je suppose que c’est à moi que vous vous adressez puisque vous me citez. A mon avis, les qualités proprement littéraires de ce livre sont minces, et quand à sa « forme novatrice », laissez-moi rire. Pour la « retenue analytique », j’espère que vous plaisantez. Votre commentaire me paraît illustrer la confusion habilement entretenue par l’auteur lui-même entre fiction et témoignage. Si le témoignage est truqué, l’émotion est de mauvais aloi. Edouard Louis est un jeune homme un peu trop retors pour mon goût.

Paul Edel dit: à

Clopine, votre tendance à la generalisation etsurtout à parler surtout « à la place de l’autre », à le « soupççnner » est un peu épuisante .ce que vous insinuez sur les best sellers!!!.. misère.. je me fous des « best sellers »,complètement.oui, quand ça tombe sur Houellebecq ,le clézio, ou Littell, c’est mieux que sur Gavalda. mais c’est vrai que le succes ou l’echec commercial d’un écrivain n’est pas du tout mon problème,mais alors pas du tout.

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

« un jeune homme un peut trop retors pour mon goût ». Le sel de lire ceci ici, où pas un d’entre vous n’accède à la simplicité ! Vous accusez Louis de duplicité : d’où viennent donc ces phrases qu’il retranscrit ? Pourquoi ses parents n’ont-ils pas un mot sur le calvaire décrit, non chez eux, sous le toit familial, mais au collège ? Ne voyez-vous pas que ce qui a failli le tuer, cette homosexualité vécue comme un calvaire, est paradoxalement ce qui l’a sauvé, puisqu’il avait résolu de ressembler à ses bourreaux, puisqu’il semblait qu’il n’y avait pas d’autre choix ? N’avez-vous donc aucune sensibilité ?

… Je me souviens, lors de vacances en Corse, d’avoir été abasourdie par les graffitis racistes qui s’étalaient sur les murs de Corte ; et encore plus des propos des gamins qui jouaient, sur la place, à « casser du bougnoule », reproduisant dans leurs jeux le vocabulaire et les opinions de leurs parents… Oh, bien sûr, vous me direz que les Corses n’ont peut-être pas, historiquement, tout-à-fait tort de déplorer que, sans les consulter, on ait utilisé leur île pour « recaser » les expulsés de l’Algérie française. Mais la violence et la haine, ben bibi, qu’elles soient ressenties comme « légitimes » ou pas, ben ça ne passe pas, voilà. Et l’histoire d’Edouard Louis devrait nous ouvrir les yeux à tous sur l’homophobie en règne… Et vous devriez reconnaître, tout simplement, la force d’une écriture aussi évocatrice.

justement, sur la force, vous dites que « je plaisante ». OK. Citez-moi donc les livres construits ainsi, en « miroir »… Que je regarde un peu.

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

paul, sincèrement, je ne pensais certes par à vous en écrivant cela, mais à d’autres commentateurs.merdum, je me suis engagée à faire des crêpes ce soir, et me voilà bien en retard.

JC..... dit: à

Soyons mesuré dans notre approche.

Ce cirque obscène d’un Milieu Littéraire fatigué, gesticulant de vacuité autour de ce salopiot familial d’Eddy (un petit enculé manipuleur/manipulé), cela me rappelle la fausseté d’une intelligentsia prête à tout …

Mais attention hein !… prête à tout pour rien, coco ! on s’amuse juste avec les freaks…

renato dit: à

La Guerre des boutons ?

kicking dit: à

bouedegras vient d’appuyer sur la touche repeat

il a encore trouvé une place où faire semblant d’appuyer malgré le nombre de culs déjà assis dessus ?

renato dit: à

La Patagonie c’est une vieille histoire, comme la Sibérie, du reste : pas de bons hôtels, et si t’as un pépin il faut compter sur une aviation défaillante… il y a mieux comme villégiature… Enfin, Cendras ça se comprend, c’était une époque ; Chatwin, limite… aujourd’hui un qui voyage en Patagonie c’est à mourir de rire

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

Ah, Jcé, comme on reconnaît là votre élégance, votre souci du détail, vos scrupules et votre état d’esprit. Ce « petit enculé », vraiment, c’est bien simple : c’est tout vous.

renato dit: à

Oui, La Guerre des boutons, c’est malheureusement vrai !

kicking dit: à

(adopter un enfant et le rendre heureux)

c’est fou le nombre de modestes qui savent rendre heureux..

JC..... dit: à

Ma chère Trouille,

Ce « petit enculé » d’Eddy, ce n’est pas moi qui le dit mais lui-même ! Vous commencez à déraper grave et nous fatiguer avec vos leçons de morale à la mors-moi-le-jonc.

Passez un bon week-end, ma bonne ! et continuer à écrire la forme est excellente. Le fond… cela viendra plus tard, nous l’espérons tous.
(professionnellement, je m’y connais : vous feriez une excellente gardienne de nuit, un hangar désert, brrrr !)

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

Renato, pourquoi parlez-vous de la guerre des Boutons ? Parce que « ça » (l’enfance de Bellegueule, s’entend) se passe dans un village de Picardie, et que vous pensez qu’il s’agit de l’homophobie ordinaire d’une région déshéritée ? Je ne vois pas le rapport. Mais suis curieuse de votre raisonnement. L’homophobie ne sévirait que dans les milieux ruraux, ou plutôt post-ruraux, mélange de travail à l’usine (quand il y en a) et d’allocations chômage ?

bouguereau dit: à

Mais je me rappelle mon premièrement, j’aurais dû fermer ma gueule.
Buona serata!

..ceci précédant le clic sur « laisser un commentaire »..la litterature gagne sur le réel

bouguereau dit: à

vos leçons de morale à la mors-moi-le-jonc

t’aimes les copeaux jicé

renato dit: à

Hé, merdre ! cette femme, toujours à tirer des conclusions hâtives !

bouguereau dit: à

assez de litterature naturaliste clopine ! polo il a bon..pense a proust tout en circolocution..jamais il dirait des horreurs pareil, ça non..il préfère les copeaux lui aussi

bouguereau dit: à

il préfère les copeaux lui aussi

c’est le sommet de la politesse clopine..je n’en connais pas de plus élevé

bouguereau dit: à

il a encore trouvé une place où faire semblant d’appuyer malgré le nombre de culs déjà assis dessus ?

c’est un peu sybillin..je te laisse le bénéfice du doute, soyons russe

lettres mes amours dit: à

Faut-il y voir une marque d’ingratitude ou la confirmation que dans ce couple, l’amitié ne serait que de façade, circonstancielle.
peut-être est-ce encore plus compliqué !!

hamlet dit: à

« Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense fortune »

vous êtes sûr, Monsieur Assouline que cette phrase est bien de Blaise Cendrars et pas de Florent Pagny ?
j’imagine que vous vous êtes tuyauté.

Florent Pagny est un chanteur français qui a la particularité de chanter très fort, comme on dit c’est « une voix », « a voice » en anglais, du coup ils l’ont embauché pour participer à une émission sur tf1 où des jeunes viennent pousser une gueulante dans un micro pendant que des experts ont devant eux une espèce de gros champignon de Paris sur lequel il doivent taper quand ils jugent que cette voix convient à leurs oreilles, et hop ! le jeune chanteur ou la jeune chanteuse est pris(e) dans leur équipe, par la suite on procède hop ! à des sélections pas très naturelles, puis hop ! et hop ! encore des sélections de moins en moins naturelles jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un ou une chanteur(euse).

j’avais écris à la direction de tf1, à qui je dois d’avoir rendu disponible quelques parties de mon cerveau pour des pubs dans lesquelles on entend la voix du lauréat de leur émission vanter les vertus de shampoings, je lui avais donc écrit une bafouille dans laquelle je lui dis : hého mon gars ! si c’est possible pour des chanteurs ça doit l’être aussi pour des écrivains !!!…

il suffirait d’avoir quatre membres du jury Goncourt devant un champignon qui fait ‘pouette pouette ‘ quand on lui tape dessus et le tour est joué.
il suffirait de faire venir quelques jeunes écrivains lire quelques phrases de leur livre, si leur prose convient à un de nos experts : pouette !! il le selectionne dans son écurie, jusqu’à ce que,au prix de quelques sélections, nous arrivions à sélectionner le vainqueur !

ils n’auraient eu qu’à changer le titre de leur émission, au lieu de « the Voice » ils prendraient « the Words », comme le truc de Sartre.

un monsieur de la chaine m’a répondu que mon idée était retenue, j’espère qu’ils vont la programmer bientôt.
Monsieur Assouline on vous aurait pas contacté pour participer à une émission sur tf1 qui s’appelle « the Words » ?

renato dit: à

« 13 de ses 24 films sont adaptés de livres. Cela suffit à faire de Martin Scorcese le plus littéraire des cinéastes ? »

Mais oui, mais oui, les gens qui écrivent ce sont des gens importants…

bouguereau dit: à

Moi c’est Angoulême.
Riez, riez…
Ce nom français est trop beau, j’ai toujours fait un détour.
Je ne verrai JAMAIS Angoulême

tu as tort..une ville qui a son charme..elle crève un peu mais elle a une trés bonne tournure

bouguereau dit: à

que la soirée vous soit douce

u. dit: à

« Par son silence sur l’Ukraine, Poutine accentue la pression » (les journaux)

Il gueule, on l’accuse.
Il bouge, on l’accuse.
Il dit rien, on l’accuse.

Demain matin, c’est JC qui va couiner.

automate à prés textes carrés dit: à

and their own special skills at masking their impulses from themselves

David Lynch a aussi pondu un truc magique pour remettre le diable dans la boîte. Pas envie de paraphraser…

lettres mes amours dit: à

ait lieu du vivant de l’éditeur, ce qui ne manquerait pas de le mettre dans l’embarras, mais tant pis. Sûr que J.B. Pontalis ne l’aurait pas permis.
ce qui est certain , c’est que Pontalis a contribué à l’hommage d’un professeur de son vivant et organisé, en secret avec une publication,et qu’il n’a rien reproché à cette manifestation

lettres mes amours dit: à

y récusent tant l’idée que, celui qui fut également leur ami, n’était pas un père de substitution que leur dénégation a force d’aveu.
une interprétation-choc qui ne se fait pas prier , assurément !

lettres mes amours dit: à

Delacomptée étaient séparés par leurs origines
il reste des « fautes d’attention « 

lettres mes amours dit: à

20 h 50 min évoquait une interprétation par les protagonistes d’un usage académique qui ne srisfait p

lettres mes amours dit: à

manifestation qui ne sarisfait p

lettres mes amours dit: à

qui ne satisfait pas toujours tous les protagonistes

Daaphnée dit: à

que la soirée vous soit douce

Oh ! C’est mimi, ça, le Boug’ …

Daaphnée dit: à

Comment ça, U., « demain c’est JC qui va couiner  » ?
Mais non, ce n’est pas parce qu’il y a quelques bas du plafond qui traînent sur ce blog que JC va couiner !
Mais non.
C’est une spécialité normande de couiner et JC n’est pas normand, d’abord.

Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, mon cher U., be zen ..

D. le vrai dit: à

Quel patakron, ce Thierry tout de même !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…il est là,…aussi sur le blog des nuages sensibles des rêves!…avec sa tarte à la crème,…fouettée,…

…juste un bout!,…un petit bout!,…
…un vrai café,…Oui!,…de quoi on cause au juste,…assis sur mon fauteuil,…les pieds sur une chaise rembourrée,…un style shérif,…les mains sur les colts,…Non,…les geôles sont vides,…
…tout est calme,et bien tapis…avant les élections,…réelu,…Non,…j’espère,…mes vacances,…le grand Saloon,…les nouvelles de Paris,…les gam-bêttes,…en rôle et danse,…
…une mine à côté,…pense tu,…
…des  » stagiaires « ,…du trou-seau à papa,…une à l’endroit l’autre à l’envers,…la broderie,…de ses chaussettes,…le Whisky,…même pas, trop fragile du gosier,…

…Ah!,…j’ai trouvé,…la réunion des états généraux,…pour revivre dans la nation,…
…mais çà va pas, déjà en république des cons,…des charlatans,…Bon,…mais allons-y pour les  » pieds nickelés « ,…
…faisons du chiffre au détriment des voisins,…en carrosse automatique avec mouvement axial à échappements,…
…ou tu t’en va dis,…mon petit oiseau de toutes les couleurs,…Oui,…faire du chiffre avec les éditeurs,…

…charrons, charognes en fleurs,…etc!,…Bip,…Bip,…Ah!,…Ah!,…

Jean-Pierre, Keuf dit: à

Dis-donc, TKT, t’as quelque chose contre les flics ? Et contre leur tutoiement ?

Chaloux dit: à

Tout de même, quelle perte pour les lecteurs que cette collection si vive. Il n’y a qu’une chose qui me semble détestable chez Dickens que par ailleurs j’aime sans réserve, c’est qu’il ait ordonné qu’on tue son cheval après sa mort. Gallimard devrait plutôt se mettre en quête d’un autre Pontalis.

Chaloux dit: à

Angoulême, ville haute, ville basse. Ceux qui connaissent -vraiment- comprendront…

Un panda rasé dit: à

ça y est, il a écrit aux Inrocks.

Chaloux dit: à

« Couiner ». u., ce mot dans votre bouche…(comme dans Feydeau…).

kicking dit: à

on peut parler un peu

beaucoup ça c’est pour les autres..

kicking dit: à

quand les entarteurs deviennent plus poseurs que bhl je pense qu’il est grand temps de s’inquiéter..

kicking dit: à

soyons russe

dit comme si t’avais besoin d’une doublure, dommage

Le chat dit: à

@TKT,
vous devriez apprendre à lire les com’s avant de répondre.
La Biblio de Conrad du Quarto de Gallimard présente une photographie du port de Singapour datant de 1888.
Pour ce que mon commentaire disait, c’est qu’en l’année 1973, lors de mon premier passage, la ville, vue du port, n’avait guerre changée.(Sauf que le premier building était entrain de se construire).
Quant a m’affilier à votre troll favori, à vous et à Clopine, cela me fait trop d’honneur !!!.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…kicking,…depuis une heure,…çà cause tout seul,…un dalton égaré,…
…pour une ouverture Nature sur blog!…en 3D,…
…nos martiens d’internautes,…aux pourboires!,…
…service compris,…au cassoulet,…etc,…
…jamais sans moutarde qui monte au nez!,…Bip,…Bip,…etc,…

bérénice dit: à

Guillaume a tout raflé.

Un panda rasé dit: à

Alors t’as réussi à gratter un tonje?
Mot en vogue.
Boom.

bérénice dit: à

ouate?

Le chat dit: à

« bruce dit: 28 février 2014 à 6 h 48 min
Le Chat
Chatwin ok ( mais sepulveda …mytho et opportuniste) »,
Pourriez vous étayer vos dire en ce qui concerne Sepùlveda ?.
Si son livre « Le Neveu d’Amérique » vous semble faux, mytho et opportuniste, j’aimerai savoir pourquoi…
A part le fait que des officiers israéliens participaient aux interrogatoires des opposants chiliens ???
Éclairez moi !.

bérénice dit: à

à n’y rien comprendre, je me suis trompée de saison… Je vous rattrape plus tard, sur place. Adieu, je vous ai tant aimé que j’en suis épuisée.

Le chat dit: à

« la Reine du com dit: 28 février 2014 à 18 h 28 min »

Magadan est trop prés pour que cela soit plaisant.

Le chat dit: à

« la Reine du com dit: 28 février 2014 à 18 h 34 min

Kamtchatka, sorry.. à côté de la Saskatchewan? (celle là aussi, il faut se l’écrire. Un peu de compassion pour les dyslexiques, caramba!) »

Beaucpou de compassion !!! !! !.

Le chat dit: à

« L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 28 février 2014 à 18 h 44 min »,

Et non, le Kampchapka, c’est écrit sur les boites de crabe …

Le chat dit: à

Et merdre,
voilà que je me mélange les pédales avec le Kampuchea !.
Shit !.

Le chat dit: à

« la Reine du com dit: 28 février 2014 à 18 h 51 min »,

Cela pour une connerie, c’est une belle connerie…
Placer la Mordovie dans le cercle polaire Arctique !!!.
Bravo !.

Le chat dit: à

« L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 28 février 2014 à 18 h 59 min

… Et en plus, on a la très nette impression que Louis n’a guère eu le choix, justement. Son milieu étant particulièrement mortifère, il a sauvé sa peau de justesse. »

Ah bon, il a fait le « Chemin des Dames » ??? ?? ?.

Court dit: à

 » Paul Edel, je ne suis ni une critique littéraire, ni une professionnelle » (de quoi, juste ciel?!)
Ce bref moment de lucidité vous est offert par Clopine, la cheftaine des Castors-Juniors, en pleine croisade homophobique, avec EB pour damoiseau.
On est prié de sortir ses mouchoirs.Le cas échéant, on vous en fournira.
C’est le grand retour des Dames Patronesses et de leurs Pauvres sur la RDL…il va de soi que la littérature n’a rien à faire ici.
Bien à vous.
MC

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Ron,…Ron!,…petit paptatfond !…encore des moutons!,…Go!,…Go !,…sur la nationale,…à droite!,…

…douce France,…replay ,…le disque 45 tours du shérif,…la conjecture de famille des Dalton et Lucky luck,…etc,…
…la culture,…pour un riche,…60 millions d’abrutis!,…

…films après films,…Oh,…là!,…typo, hélio,…offset,…litho,…tach-isme d’orgueil,…d’A.D.N.,…
…les points de repères juxtaposées,…par les tétons de la réglette,…
…envoyez le texte,…
…mais, pas la cuisine,…c’est la rubrique la politique à poils,…c’est le vison qui se balance,…c’est hors cadre,…
…allez pourcentage à réduire!,…Ah!,…Non,…des journaux liliputiens maintenant!,…et lecture à la loupe d’asticots,…
…du flair d’aujourd’hui, c’est du Bordeaux au compte courant!,…
…du bordeaux d’Assise,…çà fait saucisse de franco de port d’esprit!,…déjà,…Aristo-Caramba-Papadébile!,…etc!,…
…c’est malin,…ces écrits-taches du saint-suaire,…du profit débile en somme du nombre,…deux-balles sur le court,…Garros attend son juin!,…roll-en-rock des d’épaves,…
…autres temps,…l’humanité en laves éjectées des profits,…mes lapins,…ma basse-court,…tu en prend du grade,…la couronne de fleurs,…etc,…
…succinct,…et alors!,…

JC..... dit: à

Pas de César du meilleur second rôle pour Julie Gayet, un Pompée seulement …

TKT dit: à

@ Le chat dit:28 février 2014 à 23 h 58 min
@ « TKT,vous devriez apprendre à lire les com’s avant de répondre. »:
J’avais bien lu votre phrase et elle a tout faux. J’ai vécu plus de 2 ans à Singapore, il y a un « bon » nombre d’immeubles, comme à Londres ou Manchester, ou Bombay, Shanghai, Kuala Lumpur, construits avant WW2. L »ancienne poste principale, devenu le Fullerton Hotel, le palais de justice, des immeubles dans l’actuel quartier des banques etc… Qu’appellez vous building, un sky-scrapper, au moins 20 ou 30 étages ? Alors il n’y aurait dans Paris intra-muros, avant la construction de la Tour Montparnasse, aucun building ? Vous voyez bien, que vous, vous feriez mieux d’apprendre à penser…
La ville, vers le Fullerton, a commencé à changer dans les années 60, c’set à peu prés vrai. On pourrait aussi parler de l’Estana, la résidence présidentielle, magnifique palais dans un parc splendide. Il y a aussi dans Orchard Road, le fameux complexe cinéma en pur style Art-Deco, comme à Miami Beach. Et des hôtels., pas vraiment des petits pavillons, difficile de prendre le Raffles, pour une loge de gardiens.
La vraie modernisation de la ville, se passe depuis quelques années, avec Marina Bay, qui devient un des endroits au monde, le plus intéressant pour son architecture futuriste. En Europe, en dehors de Londres, de Hambourg, de Francfort am Main, de La Défense à Paris, l’architecture moderne est assez frileuse. Vos souvenirs de Singapore, sont intéressants, vous vous faisiez sucer gratuitement par des travelos prostitués et vous alliez manger dans les hawker-centers, des soupes. You were on a low budget ? Votre ton agressif, et souvent vos conneries acides, font penser au troll, vrai psychopathe, de la RdL. Prenez un style plus personnel, inventez, soyez positif, bref apportez un courant d’air frais sur ce Blog. Déjà votre pseudo, est assez ducornaud et vos commentaires ont cette odeur particulière du pipi de chat.
PS: « Vous feriez mieux d’apprendre à…… »: Phrase de petit instituteur, de prit comptable bas de gamme, aérez votre pensée. Au lieu de vous prendre pour un chat, prenez vous pour un jaguar. Je vous souhaite, le chat, des toilettes avec une chasse d’eau, que vous sauriez mettre en marche.
Bien entendu, vous auriez pu écrire, que la ville actuelle n’a plus vraiment rien à voir, avec ce qu’elle était en 1979 et que report, n’avait alors peu changer depuis l’époque où Joseph Conrad, y fit de nombreux séjours. Mais même cela serait assez faux. Singapore a toujours été, une ville importante, et les anglais, savaient marquer leur présence.

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

M. Court, la dame patronesse persistera, que cela vous plaise ou non, et vous demande d’ailleurs pourquoi vous l’apostrophez elle, sur ce ton, et pas l’hôte de ce blog – littéraire, qui a également soutenu le livre de Louis ? C’est vrai, quoi, vous ne vous êtes pas adressé à Pierre Assouline en haussant les épaules et en ricanant… Bizarre, vous avez dit bizarre…

JC..... dit: à

 » « De mon enfance je n’ai aucun souvenir heureux ». Tout le roman y est déjà condensé. Une force et une faiblesse, car on pourrait se dire : à quoi bon le lire alors ? »

Il faut savoir lire l’Assouline malin, dont on appréciera ci-dessus la pique savante, subtile et mortelle …!

Quel « soutien » de poids de « notre hôte » à la raclure Eddy, le petit Lord rancunier du règlement de comptes imbécile !

des journées entières dans les arbres dit: à

Et partant, il y a des « critiques littéraires » assez jubilatoires.
C’est bas, du très bas, mais.

« L’auteur de Souveraineté du vide et d’Eloge du rien laisse de longs espaces blancs pour mettre en valeur ses lapalissades : «Tous les vivants sont dans mon cœur», «vieillir est une illumination», «savoir qu’on est vivant est tout savoir», etc. Paulo Coelho, sors de ce corps ! L’absence totale d’humour serait pardonnable si elle ne s’alourdissait d’un autre péché, mortel celui-là : une longue litanie de leçons de morale. »

http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2011/06/25/01006-20110625ARTFIG00599-christian-bobin-a-t-il-une-ame.php

bérénice dit: 1 mars 2014 à 0 h 35 min
Pour demain, Bérénice, l’épuisement ne sera qu’un bon moment à passer au soleil.

« Une maison
Perce dans le silence
Le secret de la neige »
Natsume Sôseki

Phi dit: à

le Raffles, dear tkt, aussi mythique et peu mité qu’un « Grand Budapest Hotel » d’asie. Même si plus beaucoup de vieux chasseurs.
btw, vous aimez le film, dear passou

JC..... dit: à

Soyez sympa !
Soulagez les comptes publics !
Faites plaisir à vos enfants…

ADOPTEZ UN INTERMITTENT DU SPECTACLE !

Onésiphore de Prébois dit: à

Pas de César du meilleur second rôle pour Julie Gayet, un Pompée seulement … (JC)

Un Pompée ou une pompette ?

JC et ses gimmicks dit: à

JC….. dit: 1 mars 2014 à 8 h 42 min
ADOPTEZ UN INTERMITTENT DU SPECTACLE !

Toi, permanent du spectacle ICI, je ne t’adopterai sûrement pas, non merci !

Onésiphore de Prébois dit: à

Serait-ce la naissance d’un genre littéraire ?

Bof, rien qu’une façon comme une autre d’aller à la soupe et de cirer les bottes du patron. Envois de fleurs… Renvois d’ascenseur… Endogamie. Dans la famille Tuyau de poêle je demande l’auteur, l’éditeur, l’attaché de presse, le pseudo-critique. Autopromotion. Tous ces échanges de politesse font marcher le commerce. Faire le buzz. Occuper le terrain. Coucou c’est encore nous. Le petit monde de papa Lindon, de grand-père Gallipette…

Phil per se dit: à

Phi dit: 1 mars 2014 à 8 h 39 min
btw, vous aimez le film, dear passou

Et voilà que TKT déteint sur sur Phi(l)…

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

… Je me rassure en me disant que, ouf, un Jcé démonstratif de l’homophobie la plus imbécile, qui ne lit pas les livres et n’attaque que leurs auteurs, appuyé sur des opinions les plus primaires, ne peut pas me saquer. Franchement, le contraire m’inquièterait notablement…

Sur le point « professionnel », j’estime, bibi, que c’est justement ce qu’internet rend possible, et qui fait enrager un Finkielkraut, par exemple. A savoir que les frontières s’estompent, et qu’en un même lieu peuvent se rencontrer un journaliste, un lecteur, un écrivain, chacun d’entre eux étant potentiellement un champ d’informations, oui, même l’humble lecteur, le benêt consommateur. Souvent je me dis que, sans internet, mes chances de lire les chroniques de Pierre Assouline auraient été bigrement réduites, par exemple. Ca permet de relativiser les insupportables rotomontades d’un Jcé, et les attaques trollesques. Une question de dosage, quoi.

bouguereau dit: à

Endogamie. Dans la famille Tuyau de poêle

sans point! « endogamie dans la famille tuyau de poéle »..tu peux prende le ramoneur

JC..... dit: à

Nous connaissons tous l’incroyable aventure de « Rick Angel » : un conseiller politique d’Alliot-Marie au ministère de l’Intérieur Place Beauvau, viré, car acteur porno dans sa vie de tous les jours, en dehors des horaires ministériels bien entendu.

De sources sûres, on aurait découvert récemment dans un ouvrage de référence, Porno Stars, des photos compromettantes d’un rival de Rick Angel, nommé dans le milieu porno Pépère Pervers, acteur sublime qui enfilerait tout ce qui bouge, ou vote, comme personne.

L’enquête suit son cours, pour un passage en jugement début 2017.

bouguereau dit: à

le page rank de lassouline est menacé par assouline vazeline et luxury book..son marketing barre en couille polo..le best séleur c’est aout, le page rank c’est ça le nouveau mauvais genre

bouguereau dit: à

La meilleure et la pire des choses.

tu te mets trop à la mesure de toute chose clopine sans savoir..tour de poitrine..hanche..tour de tête..nous les hommes on a la bite..c’est plusse iso 9000

Ciboulette dit: à

3h09 : et voilà le MCourt-vêtu qui radine toujours aussi méprisant, il n’y a que lui pour parler de littérature, pas de lits et ratures, tu parles ; plus pédant ,tu meurs !… qui lit encore MCourt-dugland ?

JC..... dit: à

« Internet est pour nous ce que la langue était pour Esope. La meilleure et la pire des choses. »

Pas du tout. Internet est la meilleure des choses, point barre ! En aucun cas la pire …!

C’est l’outil rêvé pour avoir accès à des pensées nulles, de gens qu’on ne côtoie jamais car inintéressants, des bolos aux comportements aberrants, de l’idiotie accédant au pinacle, du gnagna rassis, de la bêtise hénaurme servant de béquille intellectuelle… bref de s’enrichir de nos différences merdiques au dépend du sérieux imposé par la bien pensance outrageusement pesante !…

JC..... dit: à

Ciboulette vous êtes injuste !
M.Court est toujours extrêmement intéressant.
Bien à vous …

Onésiphore de Prébois dit: à

M.Court est toujours extrêmement intéressant. (JC)

J’opine. Ce n’est pas parce que Popaul-Edel-dukhon ne bite rien à ses posts qu’ils sont dépourvus de substance.

JC..... dit: à

« Franchement, le contraire m’inquièterait notablement… »

Ma belle Trouille, mon homophobie est délicate, mon racisme raffiné, mon athéisme savant, mon féminisme intact. C’est d’ailleurs à ce titre que je reste le plus souvent, courtois, délicieux, galant, avec les dames. Lorsqu’elles en valent la peine. Ce qui n’est pas votre cas ! Vous n’êtes pas, hélas, situé dans le coin destiné aux icônes. Plutôt dans celui… bref, plutôt dans la corbeille à paperoles.

Daaphnée dit: à

qui lit encore M.Court ?

Des personnes, Ciboulette, plus cultivées que vous.

l'alpha des cobras dit: à

la page tank c’est l’accord entre les smarties et google panda

Onésiphore de Prébois dit: à

Souvent je me dis que, sans internet, mes chances de lire les chroniques de Pierre Assouline auraient été bigrement réduites

Tes chances de lire Balzac en auraient été augmentées d’autant, ma grande. Et dix lignes de Balzac, ça vaut au moins cent billets d’Assouline, non ? Soit dit sans vouloir offenser l’hôte de ces bois.

Onésiphore de Prébois dit: à

Des personnes, Ciboulette, plus cultivées que vous. (Daaphnée)

Le bel alexandrin que voilà ! et avec la coupe à l’hémistiche !

l'alpha des cobras dit: à

j’ai tout publié après 2002, des brimborions, est-ce que je suis susceptible d’être dévalisé sans mon aval, …; ???

bouguereau dit: à

Et dix lignes de Balzac, ça vaut au moins cent billets d’Assouline, non ?

ouais mais versubtil il vend 1000 balzac pour 1 eulderlingue..ça compense

bouguereau dit: à

avec la coupe à l’hémistiche !

c’est qu’il faut 2 fesses pour faire un cul jean marron

Daaphnée dit: à

Très juste, le Boug’, tout se joue dans l’équilibre ..

bouguereau dit: à

Un gr

ha c’était un grand peintre..enfin quand c’est bien dessiné tout toujours assez buien peint qu’il disait

bouguereau dit: à

c’est toujours assez bien peint..un gr

parc des expositions dit: à

Daaphnée dit: 1 mars 2014 à 9 h 38 min
Des personnes, Ciboulette, plus cultivées que vous.

Encore une qui rentre de la Porte de Versailles.

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

Onésiphore, Balzac, j’en avais déjà lu un bon bout à trente ans, d’abord. J’avais même un peu honte d’aimer ça, parce qu’autour de moi, personne ne pigeait l’intérêt que je pouvais y trouver. Mais ça faisait partie de moi, même si c’était incongru – vous savez, lire Balzac tout une après-midi dans une tiède bibliothèque municipale, puis rejoindre la bande de copains et aller écouter Little Bob Story, revêtue d’un superbe tee-shirt AC/DC – qui pouvait savoir que, planquées dans la poche de ma veste, les « mémoires de deux jeunes mariées » (un de mes textes balzaciens préférés) reposaient en m’attendant sagement ?

l'alpha des cobras dit: à

klimt c’est pas le précurseur de la 3 D ? c’est ce que des plafonds m’ont dit …

bobin c’est du franciscain pas l’or du rhin.

Onésiphore de Prébois dit: à

avec la coupe à l’hémistiche !

c’est qu’il faut 2 fesses pour faire un cul jean marron (bouguerau)

C’est vrai qu’un alexandrin réduit à la coupe à l’hémistiche, c’est comme un cul réduit à la raie,c’est un peu maigre.

Daaphnée dit: à

un de mes textes balzaciens préférés

Tout est là! La gaucherie et le reste ..
Misère de misère !

Daaphnée dit: à

Vous auriez dû dire 3/3/6 ..

Onésiphore de Prébois dit: à

Onésiphore, Balzac, j’en avais déjà lu un bon bout à trente ans, d’abord. (L’Honneur perdu)

Bien. Continuez. Avez-vous lu « Béatrix », qu’Alain plaçait très haut ? J’espère qe vous n’avez pas fait l’impasse sur « Une double famille ».

Ciboulette dit: à

à 9h30 : Popaul-edel-dukhon, je n’avais ps osé, mais j’approuve, je me sens moins seule, merci

parc des expositions dit: à

Daaphnée dit: 1 mars 2014 à 9 h 59 min
Misère de misère !

Une splendeur de courtisane ?

Jacques Barozzi dit: à

Angoulême, je me souviens de beaux hôtels particuliers alignés le long des remparts de la ville (haute ou basse, Chaloux ?). Le charme bourgeois d’une province hautement balzacienne. Mais c’était avant que le festival de la bande dessinée sorte la cité de sa torpeur…

On a pas eu le poème de la nuit : remboursez !

bouguereau dit: à

je me sens moins seule

comme la lucidité est poignante dans un ouragan de bétise

Jacques Barozzi dit: à

« dans la corbeille à paperoles. »

On y trouve sans doute des choses plus intéressantes que sur la coiffeuse à Daaphnée face à son miroir !

Daaphnée dit: à

Hé ho, Jacounet, mettez-vous les bigoudis que vous voulez ailleurs que dans mon boudoir .. Non mais !

Jacques Barozzi dit: à

Un boudoir, ça sert à bouder, Daaphnée ?

JC..... dit: à

« C’est vrai qu’un alexandrin réduit à la coupe à l’hémistiche, c’est comme un cul réduit à la raie, c’est un peu maigre. »

Citation :
« C’est tout de même la raie qui fait le cul, comme le budget qui fait une armée ! »
Le Drian, poète à Bamako

Daaphnée dit: à

Figurez-vous, Jacques, que lorsqu’il me prend de vouloir bouder, je ne préviens pas.
Et là .. non, non
pas tout de suite
peut-être plus tard ..

JC..... dit: à

Citation :
« La peau diaphane de Daaphnée laisse passer toute sa beauté intérieure ! »
Un Diable Amoureux, conteur asiatique

bérénice dit: à

Un boudoir sert à philosopher, JAaacques, Qu’est-ce que philosopher, c’est un art qui comme tous les autres attends sa récompense, mais portez-vous réeellement des bigoudis avec cette épidémie de calvitie qui guette les hommes après la puberté, ça m’étonnerait!

Daaphnée dit: à

( Vous savez quoi, JC ? Hé bien en ce moment je fais des rêves torrides . Si .
Bon, à une époque – Jacounet faisait moins la bête – on se les racontait ici .. Plus maintenant.
Au fond, c’est dommage .. )

Un panda et la fiancée du pirate dit: à

En ce lendemain de cuite cinématographique…

bérénice dit: à

Et quand elle boude pour la pénultième fois, attendez le communiqué de l’appareil dédié à cet effort. Discrétion, tact et sobriété sont la devise du secrétaire.

bérénice dit: à

9 mois fermes pour un prix d’interprétation féminine, SK, vous avez vu?

bérénice dit: à

Pour ceux qui ne l’auraient pas vu, c’est l’histoire d’une injustice.

Un panda et la fiancée du pirate dit: à

Picolent au 3/4

bérénice dit: à

Etrange ce nuage entre deux fronts, JC on dirait vous. Non?

JC..... dit: à

Calvitie ? J’ai un pote qui la combat efficacement à coup de moumoutes fabuleuses.

Sa dernière trouvaille : la perruque Louis XIV, celle du tableau en pied peint par je-ne-sais-plus-qui. Somptueux accessoire qui vous transforme illico un Communard en Versaillais royal !

Il m’a raconté avoir fait sensation en arrivant ainsi à la réunion départementale de la SFIO, pardon du Parti Socialiste (le nom a changé …) Il est au FN maintenant, il se sent plus dans le coup.

JC..... dit: à

Daaphnée dit: 1 mars 2014 à 10 h 46 min
( Vous savez quoi, JC ? Hé bien en ce moment je fais des rêves torrides)

C’est drôle ! Moi aussi Daaphnée ! La nuit dernière j’ai rêvé d’une croissance à 3,5% …Fabuleux redressement productif ! Je me suis réveillé en n(u)age, la Bourse exultante.

Jacques Barozzi dit: à

Waters, c’est pas les grandes eaux, mais plutôt la Vienne sanglante, renato ?!

JC..... dit: à

bérénice dit: 1 mars 2014 à 11 h 04 min

Non !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Oui!,…çà se défend,…un Pompée avec une ciboulette,…
…c’est frais,…avec des oignons pour les amygdales,…à feux doux au bain marie,…la gelée à saumur avec la banane en tranches,…
…qui l’eu cru,…Lustucru au Banania task entreprise & trusts°,…
…aux stages,…l’économie,…au Marchall-plan,…
…l’économie en jus de chaussettes,…Croco-décolà,…les viscères en l’air,…plein tubes!,…Crimée paradise-offshore long play,…etc,…

Jacques Barozzi dit: à

bérénice, vous qui semblez avoir regardé la cérémonie des Césars, moi j’ai beaucoup zappé et regardé d’un seul oeil, j’ai l’impression qu’il n’y a pas eu d’hommage appuyé à feu Patrice Chéreau ?
Seulement feu Lautner et feu Pinoteau.
Bravo le cinéma français, agenouillé devant Quentin Tarantino !

JC..... dit: à

NEWS.
« C’est confirmé. Pour la première fois, une étude fiable vient le démontrer : les éoliennes dévaluent les propriétés situées dans leur périmètre. À 2 km, les logements perdent 11% de leur valeur. À 4 km, c’est 3%. »

Salopards d’écologistes ….!
(Pas d’éoliennes à Porquerolles ! D’abord … y a pas de mistral, pas de vent d’Est, pas de Sud, cheux nous ! On n’est pas Patagons…)

JC..... dit: à

Jacques,
Regardé d’un seul œil…tu as un orgelet, Annibal ? Perso, je ne regarde jamais la cérémonie des Césars : j’ai trop honte, dans ce cas, d’avoir demandé l’asile politique dans le pays des droits de l’homme cinématographiquement atrophié.

TKT dit: à

JC….. dit: 1 mars 2014 à 11 h 14 min: « en en ce moment je fais des rêves torrides) Je me suis réveillé en n(u)age, la Bourse exultante. »:
Vadiou, d’jc, vous n’avez qu’une seule bourse ? Auriez vous perdu l’autre, lors de la guerre d’Indochine ?

By J-H Anglade himself dit: à

Jacques Barozzi dit: 1 mars 2014 à 11 h 31 min
« j’ai l’impression qu’il n’y a pas eu d’hommage appuyé à feu Patrice Chéreau ? »

Raté !

Un panda et la fiancée du pirate dit: à

Pendant ce temps chez les Seydoux:
« Baer + Youn pas chers (Four+M6)
contre
Jean Dujardin a trop exagéré/se repaye avec le message du film que deCaunes est bien fini)

Des femmes ouais plein : Non car

Julie Gayet en guest star ils se battent un peu pour elle :red: »
ou plutôt sur leur ordinateur.

JC..... dit: à

Mon bon Thierry, je suis un véritable cyborg !

Entier au niveau des amygdales externes, j’ai un bras artificiel, un genou en titane, une rate féline, un foie de missionnaire, un colon israélite, et… mais vous le saviez… une partie gauche du cerveau remplacée par un greffon numérique d’occasion !

Puitepée dit: à

TKT dit: 1 mars 2014 à 7 h 42 min

Je ne peux m’empêcher.
Mais quelle BURNE !

Vacuité et fatuité sont les deux mamelles de Kron.enbourg.

bouguereau dit: à

Bravo le cinéma français, agenouillé devant Quentin Tarantino !

lassouline le trouve génial et toi tu trouves qu’a lui tout seul c’est l’opinion de l’amérique sur la france..tout ça pasque vous kiffez mette des coups de bat de bézbol a goering..le mur de la honte avait de bon maçon..vous vous zêtes des faux derches cucul à la botte

bouguereau dit: à

« j’ai l’impression qu’il n’y a pas eu d’hommage appuyé à feu Patrice Chéreau ? »

on l’encule lui et ses intermittents ! c’est le cinéma américain qui finance gérard à néchin !

bouguereau dit: à

pardon pas les intermittents..les artisss
..ben merde..et tes prévisions de carambouille au césar baroz ? filipéti tout ça ? moi non pus j’regarde jamais..allez à table baroz !

l'alpha des cobras dit: à

je suis sortie hier un peu au hasard, pas très envie sous la pluie, et puis au hasard des rues, en sortant du métro, l’envie de découvrir une nouvelle salle de cinéma, dehors les passants regardaient les vitrines des chocolatiers, des marchands de chapeaux et je me suis attardée devant la vitrine d’un coutelier. Les grandes dalles de pierre bleues de la galeries, puis les pavés mouillés. Ensuite entre les multiples restaurants à touristes qui vantaient la sole meunière, le homard braisé, la pizza au feu de bois, je ne ressentais pas la faim, juste un besoin d’être parmi les passants, pressés, j’ai fini par me hasarder dans une galerie marchande, de curieuses enseignes avec à l’intérieur des asiatiques affairés à polir des ongles de femmes black avec des tresses colorées roses, un autre monde, des dizaines de petits établis, des pots de vernis, des brosses à polir, de la résine, des paillettes éphémères, toutes jeunes et les garçons derrière l’établi, à la manœuvre des mains à la chaîne, curieuse usine avec des gants de silicone, des tarifs punaisés pleins d’erreurs orthographiques mais lisibles, printées en offset, les jeunes filles boudeuses en train de surfer sur leur portable, d’attendre la magie d’une pose qui ne durera que trois semaines, pour pianoter sur les touches, mangers des sandwiches en rue, s’ébrouer dans des tenues de couleurs vives, discuter leurs amours. Alors discrètement au fond de la galerie, entre un marchand d’écharpes et de souvenirs, je me suis glissée jusqu’à un fauteuil dans une salle obscure, je n’avais pas choisi l’heure d’arrivée aussi j’ai pris le train en marche d’un film. J’y a vu un triangle amoureux dans Paris, le retour d’entre les morts, un petit garçon qui attend son père, un vieil homme qui cherche le dessin d’un ami dans une petite boîte, une femme fragile qui travaille chez un libraire les yeux tristes. Un homme qui n’accepte pas la disparition, entre l’amour mort et le mort qui l’empêche d’aimer. Les dialogues étaient simples, les décors très connus, le pont des arts ..

bouguereau dit: à

allez à table baroz !

j’ai du boulot en cuisine..ha t’es fort pour poser des questions baroz..faire la mouche du coche..piquer les culs..mais toi zéro

JC..... dit: à

Aaaah ! Filippetti à la Culture … Mais pourquoi, ils mettent, de droite ou de gauche, toujours des casseroles à la Culture ? C’est tragique.. Le pays ne manque pourtant pas de Bouguereau, de Chaloux, de Prébois, de San’Angelo, de Court, d’Assouline, qui feraient l’affaire, cornecul de basse-cour de Crimée !

JC..... dit: à

« une femme fragile qui travaille chez un libraire les yeux tristes »

Comme je l’a comprends…!

Hommage dit: à

« j’ai l’impression qu’il n’y a pas eu d’hommage appuyé à feu Patrice Chéreau ?
Seulement feu Lautner et feu Pinoteau »
Jacques Barozzi

Comme d’habitude, il voit pas, il sait pas mais il cause.
La pipilette en goguette.

Jacques Barozzi dit: à

Moi, l’alpha des cobras, je suis sorti à 19h 05 de l’Espace Saint-Michel, où j’ai vu « La femme du ferrailleur », et sa terrible fausse-couche, puis j’ai traversé la Seine à pied jusqu’au Châtelet sous un glacial crachin. Là, j’ai aperçu la foule des badauds qui attendait les célébrités venues se montrer à la cérémonie des Césars, et tout autour les cars de CRS, en vue d’une attaque des partisans de l’intermittence du spectacle ou au cas où Julie Gayet aurait empôché un César et créant du même coup une émeute ?
A l’Hôtel de Ville, j’ai pris le métro et suis rentré at home…

Onésiphore de Prébois dit: à

Fierté des céliniens ! Louis-Ferdinand parmi les « Hommes d’exception du XXè siècle » sur le site officiel de la France

Quelle pitrerie ! quelle foutaise ! Ceux qui ont 4807 m de grands hommes et qui en sont fiers. La scène du barbier dans « le Dictateur ». Qui c’est-y qui montera le plus haut ? Orgon dans « le Tartuffe » : « C’est un homme qui… ha … un Homme … un Homme enfin ! » . Et l’on paie sur les deniers du contribuable des jeans-foutres administratifs pour établir d’aussi risibles hiérarchies. Quelle misère… Plus le grand Français monte haut, plus il montre son cul. Oh le beau cul d’exception si tant bien français !

@hommage dit: à

Hommage dit: 1 mars 2014 à 12 h 09 min
Comme d’habitude, il voit pas, il sait pas mais il cause.

Il a la recette pour lancer les web rumeurs. Exemple : « Scandaleux ! A la cérémonie des Césars d’hier soir, pas un mot sur la disparition de P. Chéreau ».

journalisme d'investigation dit: à

« et tout autour les cars de CRS, en vue d’une attaque des partisans de l’intermittence du spectacle » Barozzi

On suppose que le témoin nous livre cette information après avoir interviewé le commandant des CRS sur place, sur le motif d’un tel déploiement.

Nomination dit: à

Julie Gayet est une excellente actrice (évident dans le film de Tavernier), peut-être est-ce cela qui fait chiller nos grands commentateurs de la droite dure (JC et JB) eux qui n’ont que Carla à se mettre sous la dent.

Jacques Barozzi dit: à

Je n’ai pas vraiment regardé la cérémonie, particulièrement ennuyeuse cette année, m’a t-il semblé, hommage.
Mais je me suis arrêté sur le moment où l’on évoque les disparus de l’année. Là, on a vu furtivement passer la photo de Patrice Chéreau noyée au milieu de deux autres professionnels de la profession que je ne connaissais pas.
Mais puisque tu as tout regardé consciencieusemnt, pourrais-tu gentil troll, par un effet suprême de ta magnanime générosité nous en dire un peu plus à ce sujet ?

Court dit: à

Clopine
Cela m’est arrivé de ne pas etre d’accord avec Pierre Assouline. Mais la différence entre lui et vous est qu’il ne joue pas les prolongations. il y aurait d’ailleurs quelque chose à dire sur cet aspect chronique de l’éphémère et du chef d’œuvre de la semaine qui dépasserait de beaucoup sa personne.
Le problème est que vous ne savez pas vous arreter dans la célébration du médiocre -Ah, l’envoutement de Bellegueule!- et que vous tirez sur tout ce qui ne partage pas votre avis. Moyennant quoi vous jouez le role de l’idiote utile du Khmer Rose de service.
Paul Edel a essayé de vous faire comprendre pourquoi il n’aimait pas cet ouvrage, Pierre Assouline lui-même a posé ultérieurement à son compte-rendu des liens qui vous auraient éclairé sur la nature fabriquée et peu crédible de l’ouvrage…Mais non.
Comprenez-vous que cette insistance sur un livre qui est tout sauf littéraire puisse déplaire? Et que le ressassement familial, que vous pourriez cantonner à votre blog sans nous l’infliger, n’aboutit certes pas à vous crédibiliser?

Onésiphore de Prébois dit: à

Fierté des céliniens ! Louis-Ferdinand parmi les « Hommes d’exception du XXè siècle » sur le site officiel de la France

j’ai beau ne pas être un fan des pamphlets céliniens, devant tant de chiennerie patriotarde, je crie : mon dieu, rendez-nous l’insortable ! rendez-nous l’infréquentable ! Ô vous tous, ennemis jurés de Céline, crachez-lui dessus ! épargnez-nous ce hideux consensus ! Céline place des grrrands hommes ou la littérature pour les moules.

la Reine du com dit: à

Le chat, vous savez que les félins sont réputés très casaniers ?… Des animaux territoriaux, ayant une sorte d’aimant dans la tête qui leur permet le cas échéant de revenir chez eux. Apparemment dans votre cas ça vous affole la boussole. Je connais pas mal l’Est et situe parfaitement la Mordovie, merci. Où avez-vous pris que je la situe à côté de la Saskatchewan ou dans le cercle polaire arctique? Gentille la petite bête, mais pas trop sensible à l’ironie on dirait. Pourtant d’habitude les chats.. Au lieu de recommander aux autres de lire les posts avant d’y répondre, vous devriez commencer à vous appliquer la recette vous-même. Ca vous permettrait de retomber sur vos pattes. Miaou?

Hommage dit: à

Jacques Barozzi dit: 1 mars 2014 à 12 h 30 min

Cherche Jacques, cherche, c’est toi qui a affirmé.

la Reine du com dit: à

Kolyma et la Mordovie étant le lieu privilégié où Vladimir Poutine envoie en vacances des hôtes qu’il juge un peu indésirables… Pas très riants, comme coins

journalisme d'investigation dit: à

Jacques Barozzi dit: 1 mars 2014 à 12 h 30 min
Je n’ai pas vraiment regardé la cérémonie…

C’est tout à fait ton droit. En revanche, qu’est-ce qui t’autorise à trouver à y redire et à affabuler ? Quant à tes dires à propos de Julie Gayet, c’est d’une imbécillité crasse : a-t-elle droit à une vie privée, oui ou non ? Ou bien prétends-tu choisir pour elle un compagnon que tu estimerais davantage à ton goût ? Fous-lui la paix !

Etat des lieux dit: à

la Reine du com ?
Tout juste lingère.

Agathe H. dit: à

Court dit: 1 mars 2014 à 12 h 31 min

Voilà un propos dégueulasse. Qui que ce soit a ici le droit de s’exprimer dans la mesure où il le fait courtoisement. Qui êtes-vous pour juger de qui peut réagir et au sujet de quoi ?

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

Non, M. Court, j’estime au contraire que ce livre est parfaitement « littéraire », et qu’il innove au contraire. Quant aux « prolongations » et autres « thèmes familiaux » qui me décribilisent, d’après vous, et que je devrais cantonner à mon blog, peut-être n’avez-vous pas remarqué qu’en général, je ne fais que répondre aux questions que l’on me pose. Il me semble que ces réponses sont le minimum de politesse que je puisse accorder à une curiosité me concernant. Peut-être cela vous irrite-t-il, mais c’est ainsi.

Jacques Barozzi dit: à

Non seulement Hommage n’a pas d’humour mais il ne sait pas lire ?

Il voit des affirmations en place d’interrogations et de demande à plus amples informations !

« j’ai l’impression qu’il n’y a pas eu d’hommage appuyé à feu Patrice Chéreau ? »

la Reine du com dit: à

Intéressant et atypique parcours que celui de Rick Angel, JC. Je le découvre à l’instant. Sa carrière politique brisée au prétexte qu’il est hardeur la nuit? Quelle pitié. Un homme qui d’emblée par ses choix et son mode de vie affiche des capacités de résistance et de courage hors du commun. Ah, que Jeff Koons séparé de la jolie Ilona Slater-Cicciolina ne le demande t-il pas en mariage! Ils se marient en grande pompe après un coup de foudre, l’infortuné reprend confiance, Jeff le relance en politique et ensemble, ils soufflent au nez de la responsable de son éviction le plus haut poste. Gonflé à bloc, Rick l’année suivante remporte le hot d’or. Belle revanche sur la vie (attention à l’orthographe!)

TKT dit: à

Phil, le Raffles est régulièrement rénové. La cour intérieure, est populaire pour les touristes avec sacs-à-dos, sneakers et shorts, bref assez infréquentable. Le lobby est amusant, chic et le service, malheureusement, est asiatique, c’est à dire courbettes et mauvaise coordination. Splendide est le le nouvel hôtel, le Fullerton Bay.
Quant au fameux bar, au premier étage, j’ai horreur des endroits où les clients jettent les cacahouètes par terre.

Jacques Barozzi dit: à

Mauvaise Pensée était donc MC plagiant ML…

Jacques Barozzi dit: à

« les clients jettent les cacahouètes par terre. »

Comme les singes au zoo, TKT !?

journalisme d'investigation dit: à

Jacques Barozzi dit: 1 mars 2014 à 12 h 55 min
« j’ai l’impression qu’il n’y a pas eu d’hommage appuyé à feu Patrice Chéreau ? »

Naturellement… Et les « impressions » suffisent à la critique de quelque chose que l’on n’a vu ou lu ou entendu que partiellement.

Escalier dit: à

Jacques Barozzi dit: 1 mars 2014 à 12 h 55 min

T’es une pipilette baroz, épicétou.

JC..... dit: à

« Moyennant quoi vous jouez le role de l’idiote utile du Khmer Rose de service. »

Reconnaissez, Court, qu’elle est parfaite dans le rôle …!

aquarius dit: à

« Phil, le Raffles est régulièrement rénové. La cour intérieure, est populaire pour les touristes avec sacs-à-dos, sneakers et shorts, bref assez infréquentable. »

Du TKT pur jus!

Quant aux cacahuètes, il me suffit de penser que Somerset Maugham les a foulés aux pieds sans s’offusquer pour qu’ils me ravissent.

Labourage dit: à

TKT dit: 1 mars 2014 à 12 h 57 min

Typique de la mamelle vacuité.

TKT dit: à

Jacques, Hommage une fois, fuitepée une autre fois, ducornaud toujours ! Le troll trolle persuadé qu’il est le summum du commentaire intelligent.
La Rdl est à nouveau pourrie par les trolls, c’est le moment de faire une nouvelle pose. Biboulette-Enculette, c’est à dire D. qui se prend à nouveau pour une jeune-femme, écrit des connentaires vulgaires, pour faire croire que Biboulette-Enculette, ne peut être le docte troll au langage habituel de bedeau d’église campagnarde des années 60.

JC..... dit: à

Comme dirait Dédé, qui est un génie :
« Jacques Barozzi est un élément remarquable du blog à Passou ! Il a poussé le pipelettage au delà de ses limites … Jean d’Ormesson, lui-même, est en-fon-cé ! »

Pâturage dit: à

TKT dit: 1 mars 2014 à 13 h 12 min

Typique de la mamelle fatuité.

TKT dit: à

Aquarius, vous êtes naze, vous ne pensez quand même pas, qu’ils n’aient pas fait le ménage, depuis le temps assez lointain des séjours de Sommerset Maughan ? J’ai même l’impression que personne ne mange des arachides, le sol est nettoyé puis remplis à nouveau de déchets ? L’endroit est sombre et rappelle un bar de Key-West.
Vous changez souvent de pseudo, rarement de cibles ou de styles de connentaires, bref, dans la vie, avez vous des moments agréables ? Jamais ? Je vous souhaite une vie courte, comme vous diriez, cela nous ferait des vacances. Expression favorite du cornauD, expression assez vulgaire, bof, Ducornaud a un joli vocabulaire

lettres mes amours dit: à

il est devenu de plus en plus difficile sans contexte de distinguer dans l’évocation de la paternité et de la filiation (père/fils/fille)qui est la fin, qui le moyen et pour quoi

LA POSTE dit: à

une curiosité me concernant.
Trouille

Ouvre les com de ton blog et demmerde-toi

Marquant dit: à

« Biboulette-Enculette »

TKT toujours aussi grossier et vulgaire.
Une éducation sur le trottoir vous marque pour la vie.

Puitepée dit: à

« fuitepée » ?

Mais non Thierry, tu ne comprends jamais rien

abdelkader dit: à

‘…au niveau des amygdales externes…’
euh…tu veux dire tes homorroïdes ?

LA POSTE dit: à

vn’avez-vous pas remarqué qu’en général, je ne fais que répondre aux questions que l’on me pose.
Trouille

La trouille entend des voix!

hamlet dit: à

c’est une chance inestimable d’avoir à notre disposition tous ces psys et ces philosophes qui viennent nous expliquer de quoi il en retourne, d’autant qu’ils parlent toujours en donnant l’impression rassurante de comprendre eux-mêmes ce qu’ils racontent.

les psys et les philosophes sont demandeurs, comme les garçons de café ou les serveurs dans un restau, il suffit de lever la main et hop ! il y en a toujours un prêt à se pointer pour nous expliquer les bienfaits ou les méfaits de nos pulsions de mort et du travail de deuil, quand il ne s’agit pas bien sûr de nous parler de postmodernité ou de réel ou du présent ou du passé, de la mort, de la vie, du « bonheur », de l’oubli, de la loi, de la conscience et autres concepts plus ou moins fumeux dont nous nous sommes entourés pour ne pas sombrer dans l’ennui le plus total.

comme dit Ludwig « on est forcé de constater que la position des psys des philosophes dans le monde contemporain est devenue de plus en plus inconfortable, parce que ce que l’époque espère et exige d’eux presque comme ‘un dû est, au contraire, constamment qu’ils en disent plus qu’ils n’en savent et ne se sentent, tout au moins lorsqu’ils font preuve d’un minimum de sérieux et, oserais-je le dire, de professionnalisme, autorisés à en dire »…

sacré Ludwig.

TKT dit: à

@ abdelkader dit:1 mars 2014 à 13 h 31:
« ‘…au niveau des amygdales externes…’ euh…tu veux dire tes hémorroïdes ? »: Good line, Abdel !

Jacques Barozzi dit: à

Ayant vu a peu près tous les derniers films, j’ai dit ici, lorsque l’on a appris sa nomination aux Césars, que julie Gayet le méritait autant que ses consoeurs niminées. Dans « Quai d’Orsay » de Bertrand tavernier, elle joue un super rôle de composition : celui d’une jeune ambitieuse fascinée par les cercles du pouvoir…
Quand j’ai vu le film, je ne savais pas qui elle était et ne l’ai donc pas reconnue. Mais de tous les personnages, plus peut-être même que celui du héros, c’est le sien qui m’a le plus marqué? Cela vallait bien un fromage !

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