De bienveillants voyageurs français en Italie fasciste

Dear Bloom, le pédégé de radiofrance est sinon sur la piste d’éjection au moins en phase de serrement (le serment l’a précédé !) de fesses.
Les premiers enthousiasmes fascistes de nos écrivains bon teints sont d’abord hygiéniques, ainsi Larbaud qui admire la propreté nouvelle de Bari paradant au milieu de sa nouvelle architecture, comme il a déploré à son époque le cinéma « images sales sur des toiles grises ».
La plupart des écrivains cités par M. Poupault étant versés dans la fosse littéraire « collaborateurs », la thèse aurait dû se limiter à l’avc virtuel de chacun d’entre eux pour mesurer les raisons de leur mussolinisme.

« Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche. »

on ignorait que les monseigneurs prenaient les gens pour des attardés

Quittons nous sur une note de saine vulgarité, grossièreté librement consentie avec une joie rabelaisienne non dissimulée !

A propos de la farce mortelle de ce terroriste crétin, Andreas l’imbécile, fada qui voulait « se faire un nom » comme Erostrate d’Ephèse avec son incendie :

« Péter plus haut que son c.l est toujours salissant. Pour soi et pour les autres. »

Bon week-end, mes petits choux !

Bon week-end, mes petits choux

on sait bien que vous allez repasser par ici avant le fin du we

« vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison. »

puisque, monseigneur, il est écrit qu’il faut tendre l’autre joue!

« …gardons des forêts vierges inaccessibles express,…déjà vérifiables par notre technologie miniature- aérienne,!… »
Beretta ne fabrique pas de drones, enfin, c’est une information non vérifiée.

Le directeur de thèse M.Gentile, s’est intéressé aux échanges culturels avec l’Italie à la Belle époque. L’Italie n’a pas semble-t-il pas connu celle dite des Années Folles.
http://laboratoireitalien.revues.org/617

Bon week-end.

…
…le concept du pantographe en littérature,!…
…
…même sans roman, précis,…des histoires, dans un tube d’Ô , pour son jardin,!…
…
…Suzanne Bernard  » la Malevie « , 1994, roman,…
…
…La chronique savoureuse d’un bordel au Moyen-Age,…des exemples à l’échelle,!…
…
…à quel pourcentage, les reproductions,!…
…bien en main,!…of course,!…signé,!…payez d’avance,…
…avec tout les risques dans la production en série,!…c’est un acompte privé,!…
…
…en 3D,…c’est pas mieux des fois,!…
…les drone aux culs,!…téléguidés,!…
…bataille navale, touché,!…
…un manque de beurre,!…galant,!…
…avec toute ces médailles, on voie l’envers du décor,!…Bip,!Bip,!…etc,!…
…

Les réactions d’Abdel aux propos de l’évêque de Mossoul sont pitoyables: non les chrétiens d’orient ne « vivaient pas tranquillement » « avant ». Ils n’ont jamais vécu tranquillement depuis les invasions musulmanes. Le mieux qu’ils ont connu ont été des périodes de paix, mais toujours dans la soumission et l’humiliation.

Abdelkader devrait le savoir mieux que personne puisque son modèle, l’émir Abdelkader, est intervenu, admirablement d’ailleurs, pour tenter de sauver le maximum de chrétiens (de mémoire en 1860 à Damas) d’un des progroms dont ils ont toujours été périodiquement victimes.

Le centenaire du génocide arménien, point culminant si l’on ose dire de cette histoire, devrait être l’occasion pour lui de s’informer sur cette histoire millénaire.

Le message de l’évêque de Mossoul, qui tranche sur l’habituelle diplomatie ecclésiastique, peut s’expliquer par le traumatisme qu’il vient de vivre. Sur le fond, il est incontestable. L’islam n’a jamais reconnu nulle part l’égalité des non musulmans par rapport aux musulmans. Il ne le reconnaît toujours pas aujourd’hui. Rien n’indique qu’il le reconnaîtra demain si par malheur il devenait majoritaire en Europe. C’est tout le sens du message de ce malheureux chrétien oriental.

Mes chers amis ESCHYLE, SOPHOCLE, EURIPIDE, sont morts de rire

C’est bien fait…

Pas trop le temps, mais, l’évêque de Mossoul n’est pas Mgr Petros Mouché ?
cette information est plus récente que le brûlot, qui fait le buzz sur le site des ultra catho nationalistes français, qu’est allé chercher bien entendu celui-qui-connait-les-arabes, mieux que les effets de son litron.

http://www.lefigaro.fr/international/2015/03/26/01003-20150326ARTFIG00462-mgr-petros-mouche-une-armee-doit-venir-nous-proteger.php

Nous observons de nos hauteurs, avec indulgence, les comportements border line de monsieur JC, lequel pourrait souvent se voir appliquer le proverbe qu’il invoque.

Ce n’est pas le seul en RdL qui pourrait y avoir droit….

« Prix d’une vie humaine selon Germanwings & Lufthansa: 50 000 euros. La réfection du bureau du PDG de Radio France = 2 vies humaines selon G & L. Le salaire d’un footballeur de la Premier League, combien de vies humaines?
Reductio ad Kapitalismus, ad nauseam. »

Je ne peux qu’être impressionné par les compétences de ce lecteur… dommage que
les 50000€ ne sont qu’un « aide immédiat » aux famille; aide qui est indépendant des indemnités (responsabilité de la compagnie) et qui ne devra pas être remboursé.

tout le monde (puisque voilà le nouveau roi)

d’où les miroirs dans la chambre pour les cérémonies du lever, de l’enfilage d’habits, etc..

@10 h 09

Est-ce qu’une certaine Sylvie va entrer une demande de casting pour le premier rôle féminin dans la « Forêt »?

Pour le rôle de Playmobil Man, il doit
être pris depuis longtemps, il me semble.

« tout le monde connaîtra mon nom », tu parles d’une nouvelle…

L’amour et les forêts, je le voyais plutôt au cinéma qu’au théâtre

revenons à ce qui constitue le sujet, à savoir la propagande philofasciste à l’étranger : en fait l’audience de ces intellectuels, journalistes voire politiciens français fut moindre, que celle des milieux dirigeants anglo-saxons.
Il y eut donc l’image (historiquement fausse) de Mussolini « vainqueur du bolchevisme », brandie par Churchill à Rome en janvier 1927 mais il y eut aussi, la même année et pour les mêmes raisons (prêt géant associant JPMorgan Co et la Bank of England) celle des… trains qui arrivent à l’heure -« seule chose qui intéresse le touriste », allait ensuite ironiser l’historien antifasciste Salvemini. Ce thème semble être apparu dans un mensuel américain, le McClure’s Magazine, dont les « sympathies » du directeur étaient connues.
En fait: les trains de grande ligne étaient généralement à l’heure ; pour les autres, c’était selon. Par ailleurs on dispose de contre-témoignages édifiants.
En effet à la fin des années 1930, au vu des nuages qui s’accumulaient sur l’Europe, ceux des militaires français qui voulaient passer leurs vacances en Italie continuèrent d’avoir droit de le faire mais ils étaient tenus de remettre, à leur retour, un rapport de voyage. Certains de ces devoirs de vacances, conservés au SHD (Archives du ministère de la Défense à Vincennes) valent le coup d’œil.

1) en date du 1/11/1937 le lieutenant de Crassey écrit, de Gap :

Le voyage d’agrément que j’ai effectué en Italie du 31 Septembre au 11 Octobre donne lieu aux remarques suivantes. (…).
Communications – Chemins de fer.
Ils ont trois choses de fort remarquables :
1° – leur vitesse vraiment peu rapide.
2° – leur inexactitude : je suis arrivé à RAPALLO avec deux heures de retard, j’en suis reparti avec un train qui avait 3/4 d’heure de retard. Une seule fois et sur un très court trajet j’ai pris un train qui fût à l’heure (MILAN-CÔME).
3° – la façon dont ils sont composés. Pas de fourgon ni de tête ni de queue comme en France : on a l’impression qu’on le compose au petit bonheur.

2) déjà le compte-rendu de voyage livré le 20/8/1937 par le lieutenant Lagarde, de la 1ère Cie du 7ème BAF, ne laissait rien augurer de bon :

Les horaires sont, en général, peu respectés surtout au départ des gares où se forment les trains.

3) quant au médecin-colonel Cavarroc, qui écrit de Lyon le 2/11/1937, il… affirme, être arrivé à l’heure. Mais voilà qui ressemble fort à une leçon bien apprise. Car enfin si on tient compte de la vitesse alors déjà atteinte par les locomotives, et même si on retranche les arrêts en gare, on peut considérer comme tout à fait excessif un temps de trajet de… quatre heures, pour aller de Vintimille à Gênes :

Parti de Vintimille avec ma famille (3 personnes) le 21 à 10h.15 je suis arrivé à Gênes le même jour à l’heure prévue : 14h.15 (…).

je le voyais plutôt

caresse ta poche, va…

Luc a trouvé trois témoignages qui démontrent que les trains sous Mussolini n’étaient pas aussi performants qu’on le dit!

Formidable contribution au blog de Passou.

J’en reste pantois.

J’attends la réponse de Delpla.

On oublie un peu trop vite le voyage de Sollers et Barthes en Chine du temps de la Révolution culturelle. Drôles aussi, ces deux-là ! De sacrés drôles et drôlesses comme on dit en Charente maritime.

Les chroniques de Richard Millet, j’adore.

Tout ça est politique En dehors des tremolos victimaires et apocalyptiques,closer propose quoi

« Pour en revenir à M. Valls, il faut sans doute voir l’origine de sa bévue dans son goût pour Le Clézio. On ne peut en effet aimer Le Clézio sans en être abêti ni se mettre à parler à tort et à travers. Doit-on penser, comme on le disait pour Harry Potter, qu’il vaut mieux lire ça que rien du tout, au contraire du chef de l’Etat, qui ne lit pas ? Non : ne pas lire Le Clézio est un réel avantage pour la pensée ; ce qui n’implique bien sûr pas qu’on pense : Hollande en est la preuve. C’est que l’œuvre du Clézio participe du crétinisme justement évoqué par Onfray dans sa réponse à M. Valls. Ce lamentin transatlantique, ce grand doudou ultramarin, cette belle tête molle nobélisée n’a pas, lui non plus, perdu l’occasion de se taire, Valls et Le Clézio dansant ensemble le tango de l’identité multiple : le bon immigré parfaitement assimilé (ce qui est vrai pour le Catalan) et le pseudo-Mauricien qui menace de rendre son passeport français si le Front national arrive au pouvoir, voilà qui prêterait à sourire si El Clézio, comme tous ceux qui parlent de s’exiler, ne révélait son mépris de la France jadis profonde et aujourd’hui périphérique et muette, dégradée par le pouvoir socialiste (dans lequel j’inclus la droite). » (Richard Millet)
_______
Ah, ça déménage, hein, mes petits chéris, avec le Richard ! Je l’adore. Enfin, un qui ose dire la vérité. C’est tellement rare de nos jours.

l’affirmation de « geo », du 28 mars 2015 à 13h 28min, selon laquelle j’aurais voulu ici démontrer que les trains sous Mussolini n’étaient pas aussi performants qu’on le dit amène à se demander si derrière ce pseudonyme ne se cache pas… delpla lui-même : car enfin, ces procédés sentent « bon » l’ex-PC devenu PCF…

Ah, ben ouais ! J’suis même allé lui serrer la pogne chez Gallimard, en plus ! Tu vas pas t’en remettre, mon doudoudidon.

« … dégradée par le pouvoir socialiste (dans lequel j’inclus la droite. »

La formulation est absurde. Dégradé par les politiques de tout bord… peut-être?

Cela dit, dans les bons bistrots on peut écouter les mêmes contenus dans un bien meilleur contenant… et… compte tenu que les politiques sont des élus… on sait qui remercier…

on en est arrivé à la propagande ethnocentriste et intégriste religieuse fascistes nationales et internationales

c’est pour faire hexagonal ?

yvait longtemps qye widergang et son petit
admirateur n’avaient pas fait leur propagande néonase

http://www.bloomberg.com/news/articles/2015-03-27/why-the-final-moments-inside-the-germanwings-cockpit-are-heard-and-not-seen

Diagonal2 (du 25 mars 2915 à 17h 03 min) j’aurais préféré que ce soit quelqu’un d’autre qui vous réponde, vu la présence sur ce site de furieux qui semblent avoir des comptes personnels à régler, mais bon, j’en viens à votre remarque, concernant Christophe Poupault : « pourquoi cet auteur a-t-il éprouvé le besoin pendulaire de pratiquer une contre histoire des visites de « nos » écrivains dits « de droite » au Duce par rapport aux écrivains dits « de gauche » au camarade Staline ? »

1) pour qui s’intéresse à l’histoire des intellectuels : ce sujet peut se justifier en lui-même, sans que soit nécessaire d’avoir ce genre d’ « arrière-pensées ». D’ailleurs ce sujet est largement abordé dans les livres où il est question de l’Italie dans l’entre-deux-guerres et si au total ces voyages ont moins attiré l’attention que ceux en Allemagne nazie ce n’est pas au nom d’un « tabou », qui jusque là aurait entourés leur évocation, mais parce que l’Italie est considérée comme moins importante sur la scène mondiale.
2) présenter comme vous le faites le camarade Staline comme ayant été « le contraire » du Duce est un peu rapide (je laisse de côté l’amalgame entre dictateurs), historiquement parlant. Si en effet la participation des communistes italiens à la Résistance après 1943 a pu remettre les compteurs à zéro en termes de mémoire ils furent de 1922 à 1943 sacrifiés, même si la plupart n’ont jamais voulu le reconnaître, à une politique étrangère -celle de Moscou- passant par des liens privilégiés avec l’Italie fasciste. Liens qui devaient culminer dans le domaine diplomatique avec le pacte italo-soviétique du 2 septembre 1933.
3) n’oubliez pas enfin qu’en France, aujourd’hui encore : les intellectuels sont globalement perçus comme étant « de gauche ». Autant dire que toute attaque, même rétrospective, contre ceux d’entre eux qui auraient dévié -le terme contribue à alimenter l’anti-intellectualisme (attitude d’inspiration droitière) : et que donc, loin de contrer ce qui a pu être écrit à propos des compagnons-de-route sous Staline ou de constituer une contre-histoire (comme vous le dites), un travail tel que celui-ci s’y ajoute…

« l’intelligence » n’est pas un argument qui a été envoyé à propos du crash -du copilote.

dommage que
les 50000€ ne sont qu’un « aide immédiat » aux famille;
—
En français, aide est féminin, soutien est masculin. Soutien scolaire ou aide linguistique en français s’imposent. A moins que le tout à l’égo jouisse de se ridiculiser en public. Pervers comme il est, ça ne m’étonnerai pas.

Il ne faut pas le subjonctif après « dommage que »?

renato est un malin, mais j’ai compris depuis longtemps son petit jeu.

Mussolini a mal fini, c’est certain. Mais pour Hitler, on n’en sait rien. Son prétendu suicide n’a jamais été prouvé formellement.

Il se trouve que j’aime à la fois les pâtes, la mer, les églises et les oliviers. Ce qui fait je me sens forcément bien en Italie.

peut-être D., dont on espère qu’il y est vraiment allé, aura-t-il eu quelque malencontreuse expérience en certain coin de Sardaigne mais quiconque a lu les récits de voyage, quelque peu stéréotypés, de ceux qui avant le vingtième siècle s’aventuraient dans l’île (l’épouvantail n’était pas le banditisme mais ce qu’on appelait alors la mal’aria, en deux mots) sait que le terme qui revient le plus souvent est celui de : « hospitalité »…
Par ailleurs j’en profite pour signaler que Balzac, que Marx il est vrai tenait pour un formidable témoin de son temps, est un des rares à avoir échappé aux stéréotypes et notamment à celui alors trivial (en dehors de l’article ‘Sardaigne’ de l’Encyclopédie) de la « misère naturelle », sic. Le 17 avril 1838 il écrit à Madame Hanska : tout le sol est en friche dans le pays le plus fertile du monde.

dans son cours sur l’hospitalité, Derrida dit que l’italie et les italiens pratiquaient l’hospitalité d’une manière qui l’enchantait et sans pareille dans aucun pays .

Vous avez écrit ici, etc.! mais bravo! il faudrait donc en tenir compte… en tout cas vous êtes touchant un fascio-marxiste comme on en fait plus…

contributeurs

j’aime bien ce néologisme de l’autre pour the same, qui nous parle du ‘sprot’ national français : cette activité dégage une odeur inimitable et qui n’appartient qu’à nous.

ne quittons pas si vite la Sardaigne : elle l’aura échappé belle, avec ces bons-français qui ne purent l’acquérir après la Corse en 1768. Ainsi le 3/12/1894, soit cent vingt-six ans plus tard, la sous-Direction des Affaires Commerciales à Cagliari écrivait au Quai d’Orsay :
« Tant que la Sardaigne sera peuplée de sardes, elle restera malsaine, inhospitalière et déserte. Pour en faire ce qu’elle devrait être sous le climat de la Méditerranée, avec son sol fertile, ses richesses minérales et forestières, il faudrait la coloniser, c’est-à-dire occuper le pays et le mettre en rapport, par conséquent, refouler les Sardes et les supprimer peu à peu, de même qu’on a refoulé et supprimé peu à peu les indigènes dans d’autres contrées qui sont maintenant définitivement acquises à la civilisation ».
(l’auteur du texte faisait ensuite quelques concessions au réalisme) :
« Ce traitement énergique, mais pratique, ne pouvant être appliqué à un pays de la vieille Europe,/… »

hier, sur le nuv obs, un article sur le harcèlement verbal des anciens profs.
inutile de harceler, : SI c’est une question de ton autant que de nom?

@JC….. (du 28 mars 2015 à 17 h 13 min)

mais, au fait : et ta soeur ?

luc, c’est gentil de penser à une sœur que je n’ai pas…. Pense à toi, veux tu…!? Bien à toi, frère humain.

« Alors que dimanche 22 mars un votant sur quatre a fait le choix de l’extrême droite, nous, élus lycéens de différentes académies de France, écrivons cette tribune pour dénoncer le climat malsain qui règne dans notre pays et montrer notre attachement aux valeurs de la République, mises à mal par les extrêmes. » (libération)

Les gamins hors-placenta, écoutez un conseil avisé !

Apprenez à lire, écrire, compter… pour le reste, nous allons attendre votre majorité sociale adossée a votre autonomie financière, avant d’accorder le moindre intérêt à vos incantations… okay ?!

« l’intelligence » n’est pas un argument qui a été envoyé à propos du crash -du copilote

et à propos de celles et ceux qui parlent de lui (il n’est jamais exclu que quelqu’un raconte n’importe quoi quand les journaux sont preneurs…)

(@D., 28 mars 2015 à 17h 29 min) il y aura eu de toute évidence un malentendu… J’ai pu être amené sur ce site, dans le récent fil de discussion ‘Sanjay Subrahmanyam, un brahmane consterné à Paris’, à faire état d’un savoir spécialisé pour faire taire l’insupportable delpla mais quand je m’exprime sur Internet je le fais en tant que citoyen lambada et non en tant que… « historien ».

Tant que le pb signalé 2 fois n’est pas réglé par la maintenance, je ne réponds rien à personne.

le PQ cherche désespérément « ami »… recommandation : ami s’abstenir, sa traîtrise est coutulière

Que pensez-vous des sémites, Luc

D votre question n’est pas d’actualité peut-être pourriez vous déplacer le curseur sur les Chiites et les sunnites par exemple, déplacement qui devrait rencontrer beaucoup de réponses enflammées.

un trou dans le plancher…

Ah la crise du logement grave alors…

Millet aurait certainement rendu visite au Douteché en son temps, ce qui promettait sa littérature aux oubliettes comme celle du gros Béraud ou des frères Tharaud aujourd’hui, dont personne ne connait les prénoms.
L’école française de Rome est bien agréable à fréquenter, le palais Farnèse donne l’envie irrépressible d’ajouter des appendices aux thèses en cours, comme on se pousse au portillon monumental de la villa Médicis. Me souviens d’un pensionnaire qui renversait des saladiers de framboises écrasées dans les jardins verdus et frais tondus de la villa. Rien de tout ça à l’école française.

Edouard dit: 28 mars 2015 à 20 h 35 min
Wider, serrez la main de Millet, ou est le probleme?
___________
Encore un de ces sublimes intervenautes…! Tu leur dis que t’es allé serré la main de Richard Millet chez Gallimard. Et il y voit un problème. Comme contre-sens de lecture, peut-on faire mieux ? À vous les studios…

Heureusement pour nous cette histoire c est du passé, aujourd hui nos écrivains possèdent ce que nous pourrions appeler « une véritable conscience morale, », ils arrivent même à faire la difference entre le bien et mal, le beau et le laid, et surtout le juste et l’injuste, nous pouvons voir là l’aboutissement d’un mix parfait entre notre belle culture humaniste et une lucidité qui a cruellement fait défaut aux générations précédentes, ces deux spécimens sont le résultat de trois mille ans d histoire marquee par une lente mais inexorable prgression de l intelligence humaine…

http://bibliobs.nouvelobs.com/romans/20150319.OBS5041/ecrivain-le-pire-metier-du-monde.html

Widergänger dit: 28 mars 2015 à 21 h 26 min
Edouard dit: 28 mars 2015 à 20 h 35 min
Wider, serrez la main de Millet, ou est le probleme?_________
Encore un de ces sublimes intervenautes…! Tu leur dis que t’es allé serré la main de Richard Millet chez Gallimard. Et il y voit un problème.

Pourquoi soudain ce parler djeune à la Bégaudeau?

À mon avis, ce que veut dire Edouard (mais je peux me tromper), c’est que nous avons tous serré la main de Millet.

Je discutais dernièrement avec Paul Edel de ces deux livres de Begaudeau et Gran qui semblent marquer un certain malaise dans le milieu litteraire, Paul Edel m a toutefois rassuré en précisant que ce malaise dans la litterature existait déjà du temps de Balzac et probablement avant, étant de nature plutot angoisse je l en ai remercié, je me suis de diffuser cette conversation privee au cas ou il se trouverait parmi vous des angoissés autant angoissés qu Alba ou mezigue, sauf que contrairement a ce qu il laisse penser Alba et infiniment moins angoisse que moi, compare a in veritable angoisse Alba est meme un type tout a fait normal qui pourrait sans probleme se faire embaucher par la lufthansa, d ailleus je ne comprends pas ce besoin d un tupe normal de se faire passer pour un angoisse, donc pas d affolements inutiles tout va bien dans notre litterature, Begaudeau fait encore son petit malin, tout va bien aussi dans notre monde, la proportion de vies sacrifiees sur cette terre ne depasse pas son seuil normal de 80%, notre belle culture humaniste a donc encore de beaux jours devant elle.

Enfin, moi, j’me marre bien en lisant les chroniques de Richard Millet. Celle qui s’intitule « Je ne suis pas Frenchie » est très drôle. Notamment, mes petits chéris…

121 millions de dépressifs dans le monde. Heureusement qu’ils ne sont pas tous pilotes d’avion.

121 millions x 150 = 1 milliard 815 millions et quelques âmes.

On l’a échappé belle ! Une façon radicale de régler rapidement le problème de la surpopulation sur terre.

Boualem Sansal dit la même chose que ce pauvre évêque en des termes bien plus alarmistes, et l’interview du djihadologue de service le confirme à sa façon. Les banlieues françaises et certains quartiers de nos grandes villes sont devenus de véritables poudrières islamistes qui finiront un jour ou l’autre par exploser. Il est trop tard pour espérer les ramener dans le giron républicain. La prochaine émeute sonnera le déclenchement de la guerre civile. Cette fois-ci ils sortiront les kalachnikovs, et la police devra riposter proportionnellement. Il y a aura des morts et la société française en sortira durablement fracturée. Tout est en train de se mettre en place avec une logique diabolique. Il faut qu’une maladie atteigne son paroxysme avant d’espérer une rémission, comme avec le nazisme… Nous n’en sommes qu’au début.

Cassandre dit: 28 mars 2015 à 23 h 03 min
Il faut qu’une maladie atteigne son paroxysme avant d’espérer une rémission, comme avec le nazisme… Nous n’en sommes qu’au début.

Ce n’est certainement pas agréable.

Dans ce propos pessimiste (mais exact, hélas, sur le diagnostic), je retiens l’espoir de la rémission.
Cette rémission, si elle advient, se fera dans l’après-coup d’une épreuve bien difficile, et que nous nous refusons à imaginer.
Elle est en effet contraire aux convictions les plus enracinées de notre héritage démocratique.

Vous n’avez pas le bon formulaire, au revoir !

J’espère que tout le monde est sensible à l’humour de Bloom…

Nous avons cru au Père Noel des belles idées. Nos enfants n’y croient plus. Excellente nouvelle !

Nos urnes sont nos bombes de bonne volonté, dernière étape avant le mur … uhuhuhu !

Comme cela ne peut pas être pire

Cela peut toujours être pire, jusqu’au désert dont on ne sait quelles caractéristiques il prendra mais pour le moment Pérou et Chili récurent leur boue. On va déménager les observatoires.

J’ajoute cher JC que si vous viviez dans un de ces lieux sinistrés et en dépit d’une mémoire probablement très nettement au dessus de la moyenne, vous pourriez ailleurs aller vous souvenir des belles choses.

Soyons populistes pré-fascistes : boutons les Anglais hors de France !

Avant de vous quitter, mes petits choux, faites avec moi un exercice de pensée facile : imaginez sous le haut de forme, à la place de Benito Mussolini le Fasciste, François le Bedonnant ou Manuel le Catalan …

Quelle image, non ? …

Sous le haut de forme, ça marche aussi avec Nicolas l’Agité, et Marine la Blondasse* … de splendides illustrations politiques.

*ça lui donnerait un côté Marlène Dietrich dans l’Ange Bleu … si elle n’était pas si grosse !

« déchristianisé et heureux de l’être, »

satanus!

L’un de mes fils, ARES, chargé de la guerre et de la violence chez nous les Olympiens, est un lecteur assidu du Blog de monsieur Richard Millet.

Quelques-uns d’entre nous font de même, avec profit, disent ils.

Il faut reconnaître qu’en plus de ses idées fascinantes, monsieur Millet écrit fort bien le français…

Qu’un Terrien, amateur de littérature puisque présent en République des Livres, commette la confusion inexplicable de me confondre, MOI ZEUS, avec un milicien bonasse comme monsieur JC, …. cela me troue la jaquette et me cloaque le jabot !

Les banlieues françaises et certains quartiers de nos grandes villes sont devenus de véritables poudrières islamistes qui finiront un jour ou l’autre par exploser. Il est trop tard pour espérer les ramener dans le giron républicain. La prochaine émeute sonnera le déclenchement de la guerre civile. (Cassandre)

Grandiose ! On a les Cassandre qu’on peut.

La prochaine émeute sonnera le déclenchement de la guerre civile (etc) (Cassandre)

On imagine bien Cassandre version RdL ruminant ses prédictions apocalyptiques dans son fauteuil roulant. L’infirmière : « Faudrait faire un peu attention, M’sieur Cassandre, vous vous êtes encore fait pipi dessus ! »

A la RdL (maison de retraite conventionnée) :

Cassandre (dans son fauteuil roulant, à La Vie dans les bois) — Eh, dis donc, je me suis fait pipi dessus !

La Vie dans les bois (dans son fauteuil roulant) — Moi aussi !

JC/Zeus (déboulant dans le sien ) — Et moi donc !

Widergänger (déboulant dans le sien) — Moi zaussi !

JB, je vais pas vous tenir le crachoir aujourd’hui. Si vous êtes de nouveau en crise, allez prendre l’air, il fait grand bleu sur les Alpes. Vous avez ouvert vos rideaux ?
Vous irez dire deux pater et trois ave à l’esprit de la montagne: c’est le jour des Rameaux.

Et puis, ne pas oublier non plus votre devoir de citoyen. En ce jour où les Jacobins de paris n’ont même plus le choix. Pour eux c’est un hidalgo ou un picador.
A tantôt.

Que vous soyez humain,
Que vous soyez crétin,
Votez enfin létal,
Votez Front national !

Il faut être lucide, les sunnites et les chiites sont suffisamment occupés à s’entretuer depuis la mort d’Ali pour se soucier du sort des chrétiens et des autres communautés… Il n’y a rien à attendre de cette canaille tant qu’elle n’apostasiera pas en masse pas cette religion de haine et de mort.

Vous irez dire deux pater et trois ave à l’esprit de la montagne

Le Père le Fils et les saints d’esprit, cela fera beaucoup de monde pour joindre la Trinité.

Mise à jour

Il s’agit de préparer le procès monstre
d’un monde monstrueux
Aiguisez demain sur la pierre
Préparez les conseils de flics et de soldats
Constituez le tribunal révolutionnaire
J’appelle la Terreur du fond de mes poumons…
Je chante le Kärcher qui se forme
en France à l’heure qu’il est
Je chante le Kärcher nécessaire de France

Je chante les Kärcher de nulle part et de partout
Je demande un Kärcher pour préparer la fin d’un monde
Demandez un Kärcher pour préparer la fin d’un monde
pour défendre ceux qui sont trahis
pour défendre ceux qui sont toujours trahis
Demandez un Kärcher vous qu’on plie et vous qu’on tue
Demandez un Kärcher
Il vous faut un Kärcher

Vive le Kärcher véritable image de la grandeur matérialiste
Vive le Kärcher contre les Infidèles et les Niais
Vive le Kärcher contre les Imams et les Idiots utiles
Vive le Kärcher contre la résignation des Intellectuels
Vive le Kärcher contre les manœuvres des Barbares
Vive le Kärcher contre la famille folle
Vive le Kärcher contre les lois scélérates et complices
Vive le Kärcher contre l’humanisme des assassins de la Liberté
Vive le Kärcher contre tous les ennemis du peuple français

Que faire contre les fascistes?!

jaune devant, marron derrière

pascal dit: 29 mars 2015 à 12 h 07 min
« Que faire contre les fascistes?! »

-S’inscrire à une organisation antifasciste bien en vue dans les media
-Devenir sponsor financier du Parti Fasciste, au cas où …

Deux fers au feu est toujours une excellente formule de survie.

Jean-François Mattéi est censuré sur le prestigieux blog à Passou… ouuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

FRANCOIS HOLLANDE

-ça marche à TUNIS
-ça ne marche pas en FRANCE

Le fascisme est une altération des faits, des raisonnements, des actes, en vue d’une vérité biaisée idéologiquement.

Un exemple ?

On poursuit en justice un brave directeur d’école organisant un « atelier du goût » à tendance pratique de la fellation par fillettes de 6 ans digne de DSK, et on ne poursuit pas en justice celles et ceux, fonctionnaires irréprochables, qui ne l’ont pas exclu de ce mammouth lubrique d’EN lorsqu’il le fallait…

« et par Occident on entendra aussi l’Arabie saoudite et les monarchies du Golfe, dont la « culture » est essentiellement consumériste, »

Sur ce point, Millet déraille.
Le monde entier étant capitaliste, le monde entier est-il donc occidental?

Camarade bab el oueda,
Je me demandais, avec quelques compagnons de beuverie imbibés intellectuellement, si le con’sumérisme n’est pas un concept irakien en voie de généralisation dans la région de Sumer, tant le nombre de cas se présentant à nous est en augmentation ?
Délire, probablement…

sue > que

Millet ? peur de son ombre !

C’est déjà bien d’en avoir une, d’ombre, contrairement à beaucoup d’ectoplasmes au jugement furtif ..

Un autre lecteur à deux balles. J’ai écrit « souvent » ou pas?

Ou est-est qu’il est écrit que je hais les cures/imams/rabbins/sorciers ? je n’aime pas les cons (oui je sais, vaste programme), et surtout d’entre-eux ceux qui devraient savoir mieux…et si la shampouineuse et son garçon coiffeur se sentent visés, ben j’y peux rien ma bonne dame…ah oui…Sansal est un oncle Tom…voila, ce fut la minute nécessaire d’Abdel pour ce dimanche saint…gratos et garantie d’origine…

Un message nous parvient de la City:

Sansal est un oncle Tom…

la madone à jc http://p0.storage.canalblog.com/03/98/177230/93388053.jpg

ah tres bien, la sournoiserie…je ne vois pas en quoi travailler a la City ferait de moi un hypocrite ou un oncle Tom…et si j’étais prof de lycée? ou jardinier? Y’a-t-il des professions qui vous mènent a la Tommerie ? et vous vous faites quoi ? euh…non, z’etes pas forcé de répondre… je ne suis pas vraiment intéressé…c’est juste une question rhétorique…ma banque pourrait me payer ce qu’elle voudra, je n’achèterais jamais sa vision du monde…ca vous va ou vous voulez une banane avec ?

Ueda

Sansallicencié et censuré pour oser critiquer le pouvoir en place

Sur ce point, Millet déraille. (Bab…)

Sur ce point seulement ? Quelle indulgence.

 » Il existe une multiplicité de croyances et de non-croyances. Les musulmans doivent tous accepter la laïcité. »Boualem Sansal

Peut-être, dire à arthur de 10h47, qui ne cesse d’exploiter toutes les ressources du calendrier des saints, de la poste, jour après jour, pour nous faire part de sa méconnaissance bestiale des livres et de la littérature, mais pas de son petit « mélanchon illustré », qu’il se penche un peu sur le cas de Marc.
Ainsi hier soir, me trouvant parmi des gens, pour beaucoup venant de l’autre côté d’une frontière, ayant souhaiter se retrouver autour d’une grande et chère amie, son souvenir, nous avons vu arriver en retard, un homme imposant par sa carrure d’athlète; il portait une tunique rouge, sur une chasuble blanche. La première chose qu’il demanda, fut que tout le monde ressorte, -il pleuvait-, afin que tout le monde entre à nouveau dans un , je vais dire: un bâtiment de l’immobilier de l’état français, pour toi arthur. Comme le ton était plutôt autoritaire, un voisin que je ne connaissais pas dit d’un air goguenard à voix haute: si celui-là compte faire venir beaucoup de chrétiens… Quelques instants plus tard, le tiers environ de l’assemblée ayant souhaiter rester en quelque sorte à l’abri, voilà notre gaillard en rouge entrant en fanfare avec des grandes branches de buis, ( en amérique latine, ce sont de grandes branches de palmiers) chantant avec grande joie, son arrivée à Jerusalem. Haranguant l’assemblée, leur enjoignant d’être de ce grand moment historique. Entre deux chants menés avec entrain, râlant et tirant la langue lorsque le ton, le la , était trop aigu, il demanda à des membres de l’assemblée, de nous raconter une histoire, et de la rapporter. Ce que je fais pour toi arthur, aujourd’hui, si tu manges du pain sans levain :

« Dès le matin, les grands prêtres convoquèrent les anciens et les scribes, et tout le Conseil suprême. Puis, après avoir ligoté Jésus, ils l’emmenèrent et le livrèrent à Pilate.
Celui-ci l’interrogea : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus répondit : « C’est toi-même qui le dis. »
Les grands prêtres multipliaient contre lui les accusations.
Pilate lui demanda à nouveau : « Tu ne réponds rien ? Vois toutes les accusations qu’ils portent contre toi. »
Mais Jésus ne répondit plus rien, si bien que Pilate fut étonné.
À chaque fête, il leur relâchait un prisonnier, celui qu’ils demandaient.
Or, il y avait en prison un dénommé Barabbas, arrêté avec des émeutiers pour un meurtre qu’ils avaient commis lors de l’émeute.
La foule monta donc chez Pilate, et se mit à demander ce qu’il leur accordait d’habitude.
Pilate leur répondit : « Voulez-vous que je vous relâche le roi des Juifs ? »
Il se rendait bien compte que c’était par jalousie que les grands prêtres l’avaient livré.
Ces derniers soulevèrent la foule pour qu’il leur relâche plutôt Barabbas.
Et comme Pilate reprenait : « Que voulez-vous donc que je fasse de celui que vous appelez le roi des Juifs ? »,
de nouveau ils crièrent : « Crucifie-le ! »
Pilate leur disait : « Qu’a-t-il donc fait de mal ? » Mais ils crièrent encore plus fort : « Crucifie-le ! »
Pilate, voulant contenter la foule, relâcha Barabbas et, après avoir fait flageller Jésus, il le livra pour qu’il soit crucifié.
Les soldats l’emmenèrent à l’intérieur du palais, c’est-à-dire dans le Prétoire. Alors ils rassemblent toute la garde,
ils le revêtent de pourpre, et lui posent sur la tête une couronne d’épines qu’ils ont tressée. »

Et tu sais quoi, arthur ? eh bien plusieurs fois j’ai pensé à ce que j’ai lu du livre d’Emmanuel Carrère, son dernier livre. Et cela m’a fait sourire.

Maintenant arthur tu peux reprendre ta petite propagande anti-papiste, que tu est bien seul à mener, tellement perso, je m’en tape, le résultat des urnes, ce soir ne sera pas favorable à ton idole.