de Pierre Assouline

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La République des livres
Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes

Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes

Inutile de présenter Jacques Drillon aux lecteurs de la République des livres puisqu’ici même ces dernières années, il fut donné l’asile poétique à ses lumineux et ironiques Petits papiers. Le simple fait d’avoir à préciser « (1954-2021) » comme il convient après son nom serre le cœur. Mais il n’était pas parti sans laisser d’adresse. On peut ainsi le retrouver ces jours-ci dans Coda sous-titré « essai autobiographique » (347 pages, 23 euros, Gallimard), un livre enjoué, injuste, cruel, drôle, chaotique constitué de fragments qui semblent réglés par un moteur à explosions et qui fait suite à Cadence (Gallimard, 2018).

C’est peu dire qu’on l’y retrouve tel qu’en lui-même, et plus encore que dans les journaux car, seul maître à bord, il s’y sent encore plus libre. Si vrai dans ses bannissements et exclusives, si généreux dans ses goûts et découvertes. Mais quelle cruauté dans l’estocade ! Il fait penser à Mark Twain qui, lorsqu’il refusait de se rendre à certains enterrements auxquels on le conviait, écrivait pour dire qu’il était d’accord. Il est vrai que l’unanimité l’écoeure. Quand la foule qui manifestait pour soutenir CharlieHebdo s’est mise à applaudir les policiers, il s’est enfui. Son aversion absolue et ontologique pour la police quel que soit le régime se voulait fidèle à une certaine idée de l’anarchisme mais elle allait au-delà. Je me souviens d’un déjeuner au cours duquel la conversation glissa justement sur la police ; et là in fine, abdiquant toute rationalité relative à l’ordre public ou à la protection des personnes et des biens, il appelait de ses vœux son abolition pure et simple.

Son sourire abrite l’esprit d’un imprécateur espiègle. D’ailleurs il a fait ses débuts dans la critique avec du brutal et une méchanceté revendiquée dans le règlement de compte parfois haineux (ceux qui l’ont viré de France-Musique s’en souviennent encore). Avec le temps il s’est adouci même s’il reste quelque chose de cette violence dans le parti pris, son livre en témoigne. Cioran n’assurait-il pas que l’on écrit pour y avouer des choses que l’on n’oserait confier à personne ?

« Si je pouvais choisir, je me ferais bien enterrer dans de la langue française : j’y trouverais de quoi rafraichir mon enfer pendant assez longtemps »

 

Coda vaut notamment pour ses puissants portraits. Jean Daniel ? il n’était pas de meilleur directeur de journal (stimulant, créatif, disponible etc) quoique l’homme fut « vaniteux jusqu’au ridicule » sinon jusqu’au délire. Emmanuel Berl ? Il le place très haut en faisant grand cas de Sylvia ou Rachel et autres grâces et bien peu de ses talents gâchés et de son côté munichois discrètement rémunéré par le Quai d’Orsay pour ne rien dire des premiers discours de Vichy qu’il avait écrits pour Pétain. Les hommes de musique (on dit bien « homme de Lettres », non ?) Maurice Fleuret et Henri-Louis de La Grange en prennent pour leur grade. La plume trempée dans le vitriol, il exécute (sans le nommer) le critique musical suisse Antoine Livio et son humour vache est irrésistible de drôlerie. Marguerite Long, repeinte en horrible vieille sorcière autocratique et futile, est habillée pour tous les hivers de sa postérité. On retiendra de vibrants portraits de Beckett, Godard et Boulez, plus critiques dans l’admiration de Satie, dont la vie ne ressemblait pas à la biographie, ou de John Cage à qui il reproche d’avoir « sodomisé » le piano en lui bourrant le cul de ferraille (clous, vis etc)

Les pianistes qui le laissent indifférents (Brendel, Rubinstein, Michelangeli, Perrahia, Fischer, Pollini, Schnabel etc) ne sont pas massacrés pour autant. Mais l’indifférence affichée n’est-elle pas pire que tout ? Dinu Lipatti demeure son mètre étalon. Les autres étaient certainement plus virtuoses que lui, et certains nettement plus histrionesques mais lui était le seul à ses yeux véritablement accompli, notamment ici  ou encore là). Jacques Drillon le dit avec ses mots à lui, les mots d’un écrivain pétri de musique plutôt que d’un critique musical :

« C’est la ductilité de la phrase, sa parfaite ponctuation, sa manière d’avancer sans trébucher, son autorité tranquille, jamais étouffante, jamais réductrice, qui est unique. La rondeur du son, sa plénitude, la parfaite distribution de l’ombre et de la lumière. Pas un truc, pas une tricherie, pas un faux semblant. De la musique, rien que de la musique »

Il est souvent question de haine de la bêtise, mais, je l’avoue, cette attitude assez répandue,  m’est toujours parue suspecte dans ce qu’elle a de subjectif, d’arbitraire et de méprisant, et plus encore lorsque Drillon met ses pas dans la foulée de Philippe Muray. La rencontre a été déterminante pour lui. Il s’avoue inconditionnel de l’homme et de l’œuvre jusqu’à faire sien ses excès. Tant et si bien que l’on pourrait appliquer à Drillon ce que lui-même écrit de Muray :

 « Quant à l’intelligence, elle sait rendre séduisant ce qui chez d’autres ne serait qu’irritant. Nous sommes prêts à tout admettre dans ce qu’écrit Muray, jusques et y compris ce qui violente nos plus intimes convictions, ce qui raille nos goûts, ce qui bafoue notre morale. Il pourrait violer notre alma mater, nous ne lui en tiendrons pas rigueur ; il en a le droit ; et d’ailleurs, au contraire du médiocre, qui salit ce qu’il attaque avant de porter son coup, il laisse ses victimes intactes : nous les retrouverons après son passage. Il ne laisse rien d’amer en vous. On n’est pas d’accord, et basta »

N’empêche : que de couleuvres son admiration pour cet écrivain lui a fait avaler à commencer par sa détestation de la musique, qu’il ne connaissait pas et à laquelle il était fermé, ce qui ne l’empêchait pas de la conchier. Homme de marottes et de tocades, il se reconnait une passion compulsive inscrite dans la longue durée de toute une vie de lecteur, pour l’établissement de listes, nomenclatures, dénombrements sans oublier les inventaires les plus absurdes et parfois même imaginaires, pour le pur plaisir, inutile, désintéressé et ô combien chronophage, de les dresser. Sa critique du critique est bien vue lorsqu’il le campe en jongleur de figures de style (hyperbole, oxymore, forgerie etc), habile au rapprochement de qualificatifs issus de registres différents (sur le modèle de Proust décrivant le bruit produit par le grelot de Combray                 « ferrugineux, intarissable et glacé »).

Jacques Drillon est de ceux qui écrivent pour être enfin seuls, parce qu’il n’est pas d’activité plus reliée à la solitude que l’écriture- à supposer que l’on ne soit pas découragé de s’y coller à son tour après Proust et Céline. Parfois, le récit de certaines anecdotes fait penser à des pages de Jean Tardieu. Surtout lorsqu’elles recèlent un exercice d’admiration ; ainsi son attachement sentimental et indéfectible à la collection de la Pléiade « ce qui est arrivé de mieux à l’humanité avec le quintette des adieux de Cosi fan tutte ».

Fumeur croyant et pratiquant, il était persuadé d’en mourir un jour sans en être troublé pour autant. « Fumer tue » prétend le paquet, et alors ? Finalement, il est mort d’une tumeur au cerveau. J’ignore quand il a achevé son livre mais celui-ci n’a rien de funèbre, de crépusculaire ou de testamentaire. Elégant jusqu’au bout, Drillon. Coda est un livre à offrir à ceux qui aiment la littérature, la langue française, la musique et ceux qui les servent. On l’entend murmurer derrière nous: ça ne fait plus beaucoup de monde, ça… Ce qui ne m’a pas empêché de le recommander pour la liste des lectures pour l’été de l’Académie Goncourt. Qu’il soit lu à la plage, c’et tout le mal qu’on lui souhaite. Le livre s’ouvre sur une épigraphe peu commune, le moins que l’on put attendre de cet homme si attachant et si peu commun : « Loin du funèbre glas des vertus importunes ». Et c’est signé « Marcel Proust, bachelier ès Lettres, 1889 ». Ne jamais négliger le choix de l’épigraphe chez un grand lecteur. Elle ne doit rien au hasard ou à l’épate car c’est un aveu à peine crypté. Tout en découle.

( « D’après-la-Ronde-de-nuit-», 1990, Collection-particulière ; « Autoportrait », vers 1958. Collection particulière, Roubaix ; « Petit nu profond, 1997 » Kolumba, Cologne. L’oeuvre d’Eugène Leroy est actuellement exposée au Musée d’art moderne de la ville de Paris jusqu’au 28 août)

Cette entrée a été publiée dans documents, Histoire Littéraire.

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commentaires

1 240 Réponses pour Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes

closer dit: à

Merci de ces précisions vedo. Je pensais que Fazioli retravaillait les pianos Steinway…mais je dois confondre avec un autre facteur ou accordeur italien dont le nom m’échappe…Tant pis.

renato dit: à

On pense peu au Blüthner, mais ce fut le piano de Debussy, Rachmaninoff, Rubinstein ; Arrau aussi l’appréciait.

Marie Sasseur dit: à

La petite S. Rousseau n’a-t-elle point rencontré son Valmont en la personne d’un meussieu Denis B.,  » libertin incompris « , comme il se présente.
Les vert de gris sont pour la fornication consentie. Pas pour le frottage de chiens en chaleur.

Angot la grande avait donné une leçon cuisante à la petite Rousseau, lui rappelant le sens des mots.

closer dit: à

Mon ami Finkielkraut a dit ce qu’il fallait dire il y a quelques minutes sur Europe 1 à propos de cette affaire d’inscription du droit à l’avortement dans la constitution: une manoeuvre politicienne. Les macronistes l’avait refusée en 2017 et ils découvrent soudainement aujourd’hui que c’est nécessaire, pour embarrasser l’opposition. Pas plus aujourd’hui qu’en 2017 le droit à l’IVG n’est menacé. Aucun parti, aucun, ne menace ce droit en France aujourd’hui.

Amanda Lire dit: à

Un Paul Klee sinon rien.

A l’intervenante qui signe Mimi Pinson. 😉

@Un Eugène Leroy c’est pas mal non plus! 🙂

JC..... dit: à

« Merci de ces précisions vedo. Je pensais que Fazioli retravaillait les pianos Steinway…mais je dois confondre avec un autre facteur ou accordeur italien dont le nom m’échappe…Tant pis. » (Closer)

Le facteur de piano était dominicain, portant le nom célèbre de Rubirosa, prénom Porfirio.

Il avait la corde sensible aux dires des dames !

et alii dit: à

qui signe Mimi Pinson.
on avait dit que c’était un homme
!
donc qui aurait changé de sexe, de genre? OU QUOI?bon dimanche!

Jazzi dit: à

Tous à la manif
AUJOURD’HUI À 15:00
à l’Hôtel de ville de Paris

Les manifestants sont priés de venir avec un balai.
Il s’agit de signifier clairement à Anne Hidalgo et à son équipe qu’il est temps désormais pour eux de rendre les clés !

Marie Sasseur dit: à

« Qu’il soit lu à la plage, c’et tout le mal qu’on lui souhaite. »

Une recommandation pour quelques parisiens parmi lesquels on trouvera certainement tout le staff de l’Obsolète…
L’ereintement est d’ailleurs moins bien tourné que celui de la miss Ancelin. Mais elle est plus jeune, et plus idéaliste aussi, c’est vrai.
Pas convaincue par le début de la queue de la comète, qui ne causera qu’a ceux qui ont le bottin mediatique parisien , en pièce jointe…

Et puis at last, dans ses detestations, J. Dr. ( ce que c’est qu’avoir les mêmes initiales que Jean Daniel) y inclut une ville « belle et hautaine » où il  » traînait son atonie ».

Si Proust a bousillé un talent pour d’autres raisons, il est tout aussi regrettable que J. Drillon ait mis le sien, incontestable, au service de la méchanceté.

Néanmoins, merci pour ça.

https://youtu.be/BYiJqGzvqjI

Marie Sasseur dit: à

Lancelin et pas Ancelin

Pablo75 dit: à

Sur l’avortement, un fait (donc têtu) que personne cite et qui est pourtant capital (la démographie étant essentielle au destin d’un pays): depuis 40 ans il y a en France 200.000 ivg par an. Et la France accueille à peu près le même nombre d’immigrés chaque année.

Cherchez l’erreur…

Amanda Lire dit: à

( Jazzi devrait y faire un tour avec Passou…)

Avant la gay Pride! 🙂

Jazzi dit: à

On ne peut pas être partout en même temps, Mimi.
Aujourd’hui, je vais à la manif.
Pour le MAM, c’est ici :

Palais de Tokyo
13, avenue du Président-Wilson
Tél. : 01 81 97 35 88
RER C : Pont de l’Alma ou métro : Iéna ou Alma-Marceau
http://www.palaisdetokyo.com

Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris
11, avenue du Président-Wilson
Tél. : 01 53 67 40 00
RER C : Pont de l’Alma ou métro : Iéna ou Alma-Marceau
http://www.mam.paris.fr

Deux musées d’art moderne pour un même site !
Le palais de Tokyo, bel édifice Art déco construit à l’occasion de l’Exposition internationale de 1937, accueille, dans l’aile Ouest, un centre d’art contemporain national, le Palais de Tokyo proprement dit, tandis que l’aile Est, qui appartient à la municipalité, abrite le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Le Palais de Tokyo, agrandi et rénové en 2012, passant de 8 000 m² à 22 000 m² de surface d’accueil, est devenu un lieu interdisciplinaire consacré à la création contemporaine sous toutes ses formes : peinture, sculpture, design, mode, vidéo, cinéma, littérature, danse. Plus qu’un musée, le site du Palais de Tokyo, grande coquille courbe, très modulable, permet d’organiser tous types d’expositions ou de spectacles. C’est ici que l’on a pu voir, durant tout l’été 2016, l’exposition Rester vivant, imaginée par l’écrivain Michel Houellebecq.
Situé juste à côté, le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris (MAMVP), riche d’un fonds de plus de 10 000 œuvres, présente au public, la collection municipale d’art moderne et contemporain depuis le fauvisme jusqu’à nos jours.
De grandes expositions temporaires y ont été organisées, avec, entre autres, celle, immémoriale, consacrée à Mark Rothko (1999) ou, plus près de nous, à Sonia Delaunay (2014-2015) et Andy Warhol (2015-2016).
Possédant un programme d’animation varié, à destination des adultes et des enfants, ces deux établissements, accessibles aux handicapés, mettent également à la disposition du public leurs divers points de restauration : le Tokyo eat et Monsieur Bleu au Palais de Tokyo et une cafétéria au MAMVP, ainsi que leurs boutiques-librairies, particulièrement bien achalandées en livres d’art, catalogues d’expositions et objets dérivés.

Jazzi dit: à

Aujourd’hui, je vais à la manif, Mimi !
Un peu d’histoire et d’infos pratiques ?

_________________

Palais de Tokyo
13, avenue du Président-Wilson
Tél. : 01 81 97 35 88
RER C : Pont de l’Alma ou métro : Iéna ou Alma-Marceau

Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris
11, avenue du Président-Wilson
Tél. : 01 53 67 40 00
RER C : Pont de l’Alma ou métro : Iéna ou Alma-Marceau
http://www.mam.paris.fr

Deux musées d’art moderne pour un même site !
Le palais de Tokyo, bel édifice Art déco construit à l’occasion de l’Exposition internationale de 1937, accueille, dans l’aile Ouest, un centre d’art contemporain national, le Palais de Tokyo proprement dit, tandis que l’aile Est, qui appartient à la municipalité, abrite le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Le Palais de Tokyo, agrandi et rénové en 2012, passant de 8 000 m² à 22 000 m² de surface d’accueil, est devenu un lieu interdisciplinaire consacré à la création contemporaine sous toutes ses formes : peinture, sculpture, design, mode, vidéo, cinéma, littérature, danse. Plus qu’un musée, le site du Palais de Tokyo, grande coquille courbe, très modulable, permet d’organiser tous types d’expositions ou de spectacles. C’est ici que l’on a pu voir, durant tout l’été 2016, l’exposition Rester vivant, imaginée par l’écrivain Michel Houellebecq.
Situé juste à côté, le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris (MAMVP), riche d’un fonds de plus de 10 000 œuvres, présente au public, la collection municipale d’art moderne et contemporain depuis le fauvisme jusqu’à nos jours.
De grandes expositions temporaires y ont été organisées, avec, entre autres, celle, immémoriale, consacrée à Mark Rothko (1999) ou, plus près de nous, à Sonia Delaunay (2014-2015) et Andy Warhol (2015-2016).
Possédant un programme d’animation varié, à destination des adultes et des enfants, ces deux établissements, accessibles aux handicapés, mettent également à la disposition du public leurs divers points de restauration : le Tokyo eat et Monsieur Bleu au Palais de Tokyo et une cafétéria au MAMVP, ainsi que leurs boutiques-librairies, particulièrement bien achalandées en livres d’art, catalogues d’expositions et objets dérivés.

Mimi Pinson dit: à

Oh, merci Jazzi! 😉

Janssen J-J dit: à

merci pour le lien RM. Je suis effaré par cette discussion si elle a eu lieu… Effaré ? à vrai dire, c’est une première dans l’histoire… Imaginer que les peuples eussent pu avoir le verbatim d’une discussion entre hitler et chamberlain (ou churchil) quelque temps après le blitzkrieg des nazis en autriche !…
Est-on encore dans l’histoire déviable, à la fois en cours et encore non advenue ?… Que doit-on peut-on penser désormais de Macron dans son bureau le 20 février 2022 et de Poutine dans sa salle de gym ?…
***Comment ce genre de fuites de leur dialogue (pressenties par Macron) et pourquoi sont-elles ainsi « organisées », manigancées, mises en scène ?… On voudrait y croire, mais on n’y arrive pas vraiment, nous qui ne sommes pas très proches i bien au fait de la diplomatie réelle, en dehors des romans de Vuillard ou autres… Dugain, dites vous, MS ?…

Janssen J-J dit: à

@ Cherchez l’erreur…

INUTILE ! le prétendu rapport de causalité suggéré est tout simplement bestial et digne de l’intelligence de son émetteur, c’est dire !…

(***on ne saurait trop dans quelle catégorie d’AN, le mettre : celle des idiots utiles en Ibérie ?)

Jazzi dit: à

L’abus de croûtes d’Eugène Leroy nuit à mon régime, Mimi, n’en jetez plus !

Bloom dit: à

Au Texas, non seulement ils interdient l’IVG tout net, mais ils prévoient de la criminaliser. Morpion Bougrôt, taxi de service, sera dénoncé par ses pairs (de houilles) bien rémunérés pour l’occasion & passera du temps derrière les barreaux, ce qui lui apprendra la vie.

Mimi Pinson dit: à

Mimi, n’en jetez plus !

Ce ne sont pas des croûtes, Jazzi, il y a de la morbidité en elles.

Je n’en jette plus non plus, on me bloque les commentaires ici!

Jazzi dit: à

Après l’IGV se sera le tour du mariage gay.
On avance, ils reculent…

Mimi Pinson dit: à

tout l’après-midi pour digérer

C’était pour vous Jazzi!

Patrice Charoulet dit: à

RADIO- TV : MON DIMANCHE POLITIQUE DE 10 à 13 h

Menu politique chargé pour moi le dimanche matin de 10 à 13h :

CNews , de 10 à 11 h, reçoit un invité politique. S’il me déplaît trop, je fais autre chose.
Sur France culture, de 11h à midi, émission « L’esprit public » parfois consacrée à la politique étran-gère parfois à la politique intérieure. Les participants sont toujours de très haut niveau.
De midi à 13h, j’ai le choix entre LCI , BFM TV et franceinfo, qui ont chacune un invité politique.
J’écoute celle qui a l’invité qui m’intéresse le plus. Quand aucun invité politique ne me plaît, je fais autre chose.

Marie Sasseur dit: à

ParisTexas

« « Crime contre la race » : la systématisation de l’expression n’intervient qu’après l’avènement du Maréchal Pétain quoique les parlementaires de la Troisième République s’en fassent largement l’écho depuis le début du siècle. Ainsi Joseph Reinach, en 1909, s’en prend-il au garde des Sceaux à la tribune de l’Assemblée considérant que

L’avortement criminel ne compromet pas seulement l’avenir du pays, l’avenir de la race, mais il atteint le présent lui-même dans les sources profondes de la vie, puisqu’en même temps qu’il détruit le fruit, il compromet à jamais la santé des femmes qui en sont les victimes1.

2De même que le président du Conseil Édouard Daladier, dans le préambule au Code de la famille (1939), demande au président de la République

d’approuver l’aggravation de la répression des vices et la lutte contre les fléaux sociaux qui constituent autant de dangers pour l’avenir de la race2.

3Si le gouvernement de Vichy est le régime qui correspond le mieux aux aspirations des ligues natalistes, la Troisième République satisfait néanmoins quelques-unes de leurs revendications : au début des années 20, avec l’interdiction de l’information sur la contraception (31 juillet 1920), avec la correctionnalisation de l’avortement (27 mars 1923), et à la fin des années 30 avec le Code de la famille ; pour la première fois au xxe siècle, remarque Françoise Thébaud, le terme « famille » allait apparaître dans les institutions françaises3 »

https://books.openedition.org/pur/16193?lang=fr

Alexia Neuhoff dit: à

Janssen J-J dit: à

@ Cherchez l’erreur…

(***on ne saurait trop dans quelle catégorie d’AN, le mettre : celle des idiots utiles en Ibérie ?)

La catégorie des c… (4 lettres au pluriel) dont la liste est malheureusement innombrable !

On espère que les amis de jazzi, armés de leurs balais, sauront nettoyer la place de l’Hôtel de Ville et ses alentours. Un peu d’activité physique ne devrait pas leur nuire. Pourvu que BFMTV dépêche une équipe…

et alii dit: à

« Personne n’aime la solitude. Mais je ne suis pas intéressé à me faire des amis à tout prix. « – Haruki Murakami.

Jazzi dit: à

« Une affaire de femmes », très beau film de Claude Chabrol avec Isabelle Huppert (1988), Marie Sasseur.
L’histoire, vraie, de la dernière femme exécutée en France, sous l’Occupation.
Son crime ?
Faiseuse d’anges !
https://www.justwatch.com/fr/film/une-affaire-de-femmes

Janssen J-J dit: à

oui jzmn, suivez ce bon conseil : « allez tantôt balayer devant sa porte » et puis… devant la vôtre, s’il en reste des brins. Le PL me dit qu’il a encore des rats gais qui trainent dans le 12e… 😉
Bonne manifle ! Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ mimipinpin…, j’ai beau zoomer vos croûtes, je ne vois aucune image apparaître dans le tapis. Comme vous, je reste « bloqué » à la morbide rdl. Bon dimanche àv,

renato dit: à

Relativement à la différence de durée des diverses interprétations d’une œuvre, Celibidache : « L’acoustique est un élément déterminant, c’est pour cette raison que le disque est la destruction de la musique. Parce que celle-ci n’est pas écoutée dans la même acoustique où elle a été enregistrée. Il est essentiel de connaître l’acoustique d’un lieu. Ainsi le tempo est la conséquence la plus directe de l’acoustique, et a une fonction vivante. Il n’existe pas de tempo unique d’un morceau, que l’on puisse transporter de Berlin à Londres. Si la résonance d’un lieu est courte, il faut accélérer le tempo, de telle sorte que les valeurs ne se séparent pas et se touchent. Au contraire, si la résonance est trop longue, les valeurs se chevauchent, elles se font de l’ombre. La fin de l’une se mêle au début de l’autre et il en résulte une terrible confusion. Alors, il faut ralentir le tempo, de telle sorte que les valeurs soient distinctes les unes des autres. »

Alexia Neuhoff dit: à

et alii dit: à

« Personne n’aime la solitude. Mais je ne suis pas intéressé à me faire des amis à tout prix. « – Haruki Murakami.

D’ailleurs il ne signe plus que Haruki Murak

MC dit: à

. La triade la race , le milieu, le pays, est centrale dans la pensée de Taine qui écrit dans une France ou les Champenois sont encore Champenois, pour prendre l’exemple de sa thèse sur La Fontaine…Les delires sur le « sang pur » culminent avec Vacher de Lapouge, c’est dans ce contexte là qu’ émerge en effet avant 1914, cette notion qui nous semble aujourd’hui problématique, À sa décharge , elle constituait encore une réalité physique .

Mimi Pinson dit: à

Comme vous, je reste « bloqué » à la morbide rdl. Bon dimanche àv,

Non, monsieur trois jiji, je fais un ou des commentaires et je m’éclipse après.
Plus de 110 tableaux à voir d’ Eugène Leroy au MAM de la Ville de Paris!
La série des paysages donc mais aussi les portraits, les fleurs, etc. Un ami les a tous mis ou quasiment sur son fik fb.
J vous les épargne bien que cela soit indispensable pour que vous compreniez le post de Pierre Assouline.
Bon après-midi!

Patrice Charoulet dit: à

LE RN AIME LES BLONDES

CHAQUE GROUPE PARLEMENTAIRE A FAIT UNE PHOTO
QUI MONTRE LES NOUVEAUX DEPUTES . TROUVEZ LA PHOTO DU GROUPE RN. QUE DE BLONDES! ET ON A DU LEUR DONNER LA CONSIGNE : ELLES PORTENT UNE VESTE BLANCHE . DES BLONDES EN VESTE BLANCHE.
LA VRAIE FRANCE ? JE CROIS QUE C’EST LE MESSAGE QU’ON A VOULU DONNER. CELA NE MARCHE PAS SUR MOI. LA PUB NE MARCHE JAMAIS SUR MOI NON PLUS.

Amanda Lire dit: à

Eh bé, la poitrine signée, pas terrible!
Il faut faire soi-même son tee-shirt.
( Ce que j’ai fait depuis belle lurette, d’ailleurs!)

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…dimanche 26 juin 2022 à 15 h 12 min.

…émulations en nombre, çà ne fait pas, du Claude Monet,!…déjà,!…

…je préfère, ne pas vous envoyer, mon vrai texte entier,!…que je me recopie,!…

…et me censure,!…
…a cela,!…pour ne pas vous faire voir plus clair,!…à l’obscurantisme du progrès,!…
…de ce que vous êtes habille a vous mettre en charlatans nationalistes,!…a la mode,!…

…qui, que , quoi, donc, ou,!…
…l’usine à parasites,!…aux champs Mercator,!…etc,!…Go,!…

Bolibongo dit: à

Et que dire de la poitrine farcie, Manda ma poule!

Amanda Lire dit: à

Oh, hé, ta bouche, Bongo mâle poli et pas Boli pour deux sous!
(Dessous!):)

Amanda Lire dit: à

*Dessous, c’est pas boli du tout, Bonsang!
( Bingo!) 🙂

Alexia Neuhoff dit: à

Qu’est-ce qu’ils ont à écrire en majuscules ?

et alii dit: à

et encore,ces écitures ne sont pas des tatouages!
voyez Irving: »son livre Je te retrouverai aborde largement la question. À l’occasion de la parution de ce livre, il avait expliqué au New York Times que les tatouages sont « des cartes routières d’où votre corps est allé. »

et alii dit: à

Aujourd’hui la littérature fait fureur sur les poignets, les avant-bras et les épaules.

Rue du Roi-de-Sicile, dans le quartier du Marais à Paris, Roberel, l’une des trois tatoueuses du Dragon Tattoo, a dessiné récemment sur un avant-bras un petit singe, réplique d’un dessin de Verlaine. Parfois, dit-elle, on lui demande des vers de Jacques Prévert ou des paroles des chansons de Leonard Cohen.

C’est dans ce studio que Marie-Anne Paveau, professeur en sciences du langage à l’université de Paris-XIII et psychanalyste lacanienne s’est fait tatouer (outre un anneau de Möbius sur le cou ainsi que des motifs floraux sur les bras) des citations d’écrivains.

Sur ses bras, on peut lire «Notre besoin de consolation est impossible à rassasier», titre d’un livre de l’écrivain suédois Stig Dagerman, et «J’étais reléguée au pays des ombres…», citation de Simone de Beauvoir. A la cheville, elle porte des vers d’Aragon, d’Apollinaire, de García Lorca. «Pour moi, dit Anne-Marie Paveau, ces tatouages n’ont pas de valeur esthétique, ils témoignent de mes affinités et de ma propre histoire.»
obs

Janssen J-J dit: à

@ son fik fb. (caisse que c ?) J vous les épargne bien que cela soit indispensable pour que vous compreniez le post de Pierre Assouline (ai point jamais cherché à le comprendre, vous savez moi, mimip, tous ces gribouillages, c un peu comme chez le franquiste du 7-5…, depuis la musique atonale, y a puk de la MERDRE POUR ILLUSTRER LA MAJUSculE, commme écrirait la grande claviste l’haroukine muragabine tXfLdG, 🙂

Janssen J-J dit: à

et sur son con…, Irène a tatoué, je préfère lacan en aragon. (zou !)

Janssen J-J dit: à

@MC, creusez plutôt du côté du Lebensraum de chez Franz Ratzel puis de Karl Haushaufer, plutôt que de mobiliser une influence de la hiérarchie des races chez Vacher de Lapouge, même si on a pu les enchevêtrer à loisir pour justifier les entreprises coloniales les plus nobles d’intention et d’effets pratiques les plus abjects.
*** Je vous rappelle à quel point le jeune Thomas Mann, dans ses considérations d’un apolitique, (avant de bifurquer et de rejoindre son frère ennemi), fut un partisan convaincu de toutes les révolutions conservatrices allemandes basées sur les théories expansionnistes dites de l’espace vital. Bàv,

rose dit: à

Après Lucy, notre ancêtre à nous (pas à la mémé de Yves Coppens, elle, c’esi dieu qui l’a faite !), australopithèque sur le site du Hadar, en Éthiopie, un petit mammouth laineux trouvé dans le périgosol, en cherchant de l’or, dans le lit du Yukon, nord ouest du Canada, en allant vers le détroit de Béring.

et alii dit: à

En France, l’asexualité commence tout juste à arriver à l’université. L’occasion de tenter d’expliquer aux plus perplexes l’intérêt de ces nouvelles études.

« Études asexuelles ». Le terme, tout nouveau en France, désarçonne encore beaucoup. D’abord parce que même si depuis quelques années la visibilité asexuelle augmente, encore beaucoup de gens connaissent peu, ou mal, le concept d’asexualité. »
https://theconversation.com/tout-le-monde-naime-pas-le-sexe-comment-lasexualite-devient-un-objet-detudes-184801?utm_medium=email&utm_campaign=La%20lettre%20du%20week-end%20de%20The%20Conversation%20France%20-%202330623223&utm_content=La%20lettre%20du%20week-end%20de%20The%20Conversation%20France%20-%202330623223+CID_8f24518e62f115fad0ae11b21fcf4296&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=Tout%20le%20monde%20naime%20pas%20le%20sexe%20%20comment%20lasexualit%20devient%20un%20objet%20dtudes

et alii dit: à

l’asexualité:serait-ce ce qui échappe à la structure structurante ou la structure structurentable ?

Alexia Neuhoff dit: à

Petit florilège dominical de la « claviste » déchaînée :
et alii dit:
Une citation de Haruki Murakami + Haruki Murakami et ses références musicales + de la musique » d’Haruki Murakami et Seiji Ozawa + L’ALEXIA EST JALOUSE de MURAKAMI [?] + signature d’Haruki + Signature de Haruki Murakami T-shirt classique + tatouages 1 et 2 + l’asexualité

POUR QUELQU’UN QUI HURLE QU’IL FAUT RESTER DANS LE SUJET (Coda, Drillon) DU BILLET. Comme on dit à chez nous qu’elle connaît pas la misique ! (clin d’oeil pataouète à DHH)

et alii dit: à

Bon, il y a peut-être la structure structurentièrement

et alii dit: à

si vous pensez que Murakami n’incite pas à la lecture de son oeuvre à des remarques sur l’influence de la pratique de la musique sur la création littéraire , demandez à Léopold Tobisch auteur de l’article cité de vous éclairer sur son écoute et son entente : »On trouve également plusieurs références à la musique classique, notamment dans les titres des trois parties du roman Chroniques de l’oiseau à ressort : La Pie voleuse (de l’opéra de Rossini), L’Oiseau-prophète (des Waldszenen de Schumann) et L’oiseleur (de La Flûte enchantée de Mozart). Plus récemment, le dernier roman de Murakami, Le Meurtre du Commandeur, fait allusion au personnage du Commandeur de l’opéra Don Giovanni de Mozart. et débattez avec lui: j’ai le plaisir de me moquer totalement des personnes qui réclament des conversations de sexe sans justifier leur propre lexique

Janssen J-J dit: à

@ l’asexualité :serait-ce ce qui échappe à la structure structurante ou la structure structurentable

…il faudrait poser la question à votre amie anne marie paveau. Avez oublié de mentionner que sur ses fesses est écrit aussi : « dites-nous comment survivre à notre folie ? » (O hé – kidi, kenz au buro !)

et alii dit: à

je ne connais pas A.M.Paveau mais des psys qui ont su tourner en dérision, et même au collège de France, les gens qui marmitaient de la structure, si! j’ai beaucoup appris de ceux qui savaient montrer d’où l’autre parle!;
je donne le lien des « conversations » sur l’asexualité! quant à ce qui s’en dit entre herrdéliens! je ne cherche pas

Janssen J-J dit: à

@ je donne le lien des « conversations » sur l’asexualité!

oui merci, je l’avions donné il y a deux jours… d’où, le dérivatif sur le sujet sur cette chaine. Encore une défaillance de votre ubik cuitée (PhKD) ! Vous n’avez pas précisé si vous l’étiez depuis toujours ou juste récemment, a sexuée et atonale du lakanisme. Cela intéresse foutrement l’herdélie, quoi qu’il en croûte aux partoches tatwées au jardin des délicatessen

Janssen J-J dit: à

@ j’ai beaucoup appris de ceux qui savaient montrer d’où l’autre parle !
L’essentiel est de comprendre d’où on le fesse soi-même. Y a encore du travail pour trouver le bon trou d’om sortirait la bonne musik…, qu’ils diraient 75 et 57, hein !… et l’jmb aussite…

Amanda Lire dit: à

d’où l’autre parle!

Du tas de t’a toi, je! 🙂 ( en forme de lune )

Bloom dit: à

Baroz, tout comme Roe v. Wade (1973), qui vient d’être annulé, Obergefell v. Hodges (2015), arrêt qui considère le mariage homosexuel comme un droit consitutionnel, est fondé sur la section 1 du 14e Amendement, voté en 1868 pour protéger les Noirs nouvellement libérés de l’esclavage (notamment dans les Etats du Sud, tiens, tiens, tiens).
Les arguments s’appuient notamment sur le ‘due process of law’, ‘l’égale protection des lois.’
Vu l’idéologie réac +++ de la société américaine & l’activisme judiciaire de la Cour suprême, rien n’est à exclure.
Epoque plutôt pouilleuse.

« Section 1. Toute personne née ou naturalisée aux États-Unis, et soumise à leur juridiction, est citoyen des États-Unis et de l’État dans lequel elle réside. Aucun État ne fera ou n’appliquera de lois qui restreindraient les privilèges ou les immunités des citoyens des États-Unis ; ne privera une personne de sa vie, de sa liberté ou de ses biens sans procédure légale régulière ; ni ne refusera à quiconque relevant de sa juridiction, l’égale protection des lois.’

bouguereau dit: à

Un ami les a tous mis ou quasiment sur son fik fb.
J vous les épargne bien que cela soit indispensable pour que vous compreniez le post de Pierre Assouline

si la générosité n’est pas stupide et agressive elle est hinterdite par le bon dieu et la confédération..c’est en votation pour la constituion suisse

MC dit: à

JJJ je parlais de notre beau pays, et je vous soupçonne de très bien le savoir. Pour Haushoffer et les Lebensraum, déjà donné !

renato dit: à

Lacan ? Comme disait un mon ami psychiatre : « Non menar il can (lacan) per l’aia »

C’est une expression d’origine assez ancienne, comme en témoigne l’emploi de deux termes obsolètes dans l’italien contemporain : « menar » pour conduire et « aia » pour basse-cour. Il apparaît déjà dans le Dictionnaire de la Crusca avec la définition: « Renvoyer les choses longuement pour ne pas arriver à une conclusion ». Lat. Tempus ducere.

En français on pourrait dire « tourner autour du pot » ou « y aller par quatre chemins », en bref « tergiverser ».

bouguereau dit: à

tiens rvla mon narcissique de kabloom qui en veut a la terre entière de ne pas être blond aux yeux bleux conformément a son respect obséquieux de la force brute..il propose une votation « le monde est mal fait »..

renato dit: à

« La lune est le rêve du soleil. »
Paul Klee

bouguereau dit: à

Lacan ? Comme disait un mon ami psychiatre : « Non menar il can (lacan) per l’aia »

…dailleurs c’est sur son fik fb a son ami a rénateau

bouguereau dit: à

Qu’est-ce qu’ils ont à écrire en majuscules ?

ils ont bien le droit de se prende pour des impératrices romaines qui baisent pas alesquia..on commence beaucoup a en parler..je suis là pour vous informer en capital

bouguereau dit: à

D’ailleurs il ne signe plus que Haruki Murak

à coté d’un mamout laineux de 40 000 anios je dmamde si celle là était telment hindispensabe alesquia..

renato dit: à

Je ne suis pas sur facebook, donc pas d’amis ; et mon compte twitter est protégé (cadenassé).

bouguereau dit: à

Après l’IGV se sera le tour du mariage gay.
On avance, ils reculent…

heureuzment dans la constituion française on a le droit de porter un 12 à pompe pour tuer son avocat agrégé commis d’office..ça soulage mais dans ce pays tout a un prix qu’il dira le juge

Bloom dit: à

Il parait que l’homme a pour ancêtre l’homme, voire même la femme qui est son exact contraire.

bouguereau dit: à

rénateau qui charge sa pauvre mule de toutes ses conneries

bouguereau dit: à

…kabloom charge bien son reup qu’il dit rénateau..c’es moi le plus moral msieu ljuge suprème

renato dit: à

Je cherche d’arriver à ton niveau bougboug ; mais puisque la stupidité chez toi est innée, ce n’est pas facile.

vedo dit: à

J’ai acheté, il y a quelque temps, le livre Murakami-Ozawa. Il m’est tombé des mains. Etonné qu’Ozawa se soit prêté à ce genre d’exercice. Chacun retire dans la musique ce qui lui convient. Mais quant à moi, cela ne sonnait pas juste. Pour parler de la musique, on peut lire et écouter, « The Unanswered Question » de L. Bernstein. Un essai pour être une sorte de Chomsky de la musique. Peut-être pas sérieux du point de vue de la linguistique, mais très intéressant du point de vue de la musique (Pastorale, Symphonie 40 de Mozart,…). Et Bernstein est un charmeur.

bouguereau dit: à

cadnasses ton compte rénateau..sinon y sra bon

bouguereau dit: à

tiens dédé keupu qui charge en ut..

renato dit: à

Comment ne pas mourir de tendresse face à la conviction garnie de toutes les conneries de ce charlatan de bougboug ?

renato dit: à

Quoi, bouboug, t’as perdu ta licence ?

et alii dit: à

un titre d’un article de l’express:
D’où parles-tu, camarade ?
bonsoir!
j’ai le plaisir de ne pas vous tutoyer;
et pour votre savoir exceptionnel, je sais le trouver
sans vous!

et alii dit: à

encore un article avec une interprétation:
‘« D’où tu parles, camarade ? » Qui, parmi les plus anciens n’aura pas entendu cette incroyable admonestation lors d’AG ou de débats ? Sinistre subterfuge qui permettait, presque à coup sûr, de renvoyer son interlocuteur à ses chères études en lui rappelant qu’il n’avait pas suffisamment de quartiers non de noblesse mais de sang prolétarien pour prétendre parler. »
http://palimpsestes.fr/blocnotes/2020/novembre/quiestu.html

J J-J dit: à

1111

et alii dit: à

« Dans une perspective rhétorique, dire d’où l’on parle, c’est alors poser les conditions de recevabilité et de validité des discours, en les référant à un principe supérieur commun qui constitue à la fois, un enjeu de légitimation, une mise en jeu de sa légitimité, et une entrée dans le jeu de la médiatisation, définie comme la construction d’une représentation légitime du réel. » idem

D. dit: à

Ce soir je mange du jambon de Paris sans nitrites avec des nouilles bio. Et du râpé dessus.

Janssen J-J dit: à

avez-vous déjà pansé par vous-même d’où vous parliez etc ?… bonap’àchavire !

Bolibongo dit: à

qui charge sa pauvre cule de toutes ses monneries, bout à rôt à , dit
( Ou règne à taudis, si vous voulez, comme dit le commissaire-priseur.)

Janssen J-J dit: à

désarticuler un articulet…, pour bien commencer la soirée. Tchinz, RM & JMB !
*Un nouveau papier arrive demain, soyons sérieuses un brain sur cette chaîne… !

Bolibongo dit: à

bouguereau dit: à

cadnasses ton moi,
comme dit la chanteuse!

Bolibongo dit: à

désarticuler un articulet…

J’adore! Go, bon libo!

Janssen J-J dit: à

ah j’issuie… BLBG ! c’était donk vous qui teniez la kronic du pontreket naguère, enfourchant le Volatile de la petite comtesse (montès-pan-pan)…, telle une Céda sur son Lygne… Bàv !

renato dit: à

opus! Henzer > Henze… désolé

D. dit: à

Tu mets du râpé sur tes nouilles, renato ?

rose dit: à

Après l’IGV se sera le tour du mariage gay.
On avance, ils

Et après le TGV ?

Janssen J-J dit: à

moij, du nâpé sur mes rouilles encagées, j’mets, sont bin meilleures à haspirer, slurp !

J J-J dit: à

… car rien n’est t’inné chez RM…, mon jmb-jmb !
BN à toutes,

Janssen J-J dit: à

/// @ Et après le TGV ?…
… la TGIVVG (très grande interruption volontaire de vitesse gaie)
BNàv,

renato dit: à

Méchant orage, un peu de grêle (dimension petits pois).

renato dit: à

Je ne vais quand même pas gâcher mes nouilles avec du râpé !

rose dit: à

Alignement de sept planètes avec la lune.
Le soleil dans une heure. L’est 4h40.
Bételgeuse en dessous, nanmého.
Nettement en dessous.

rose dit: à

Juste au dessus, la Pléïade.

JC..... dit: à

LUNDI 27 JUIN 2022, 5h28, 25°, vent d’est généreux, ciel couvert

BARBOUILLAGE

« Plus de 110 tableaux à voir d’ Eugène Leroy au MAM de la Ville de Paris! » (Mimi Pinson)

Pincez moi ! une telle merde grasse, exposée ! Quelle horreur ! Merci, Mimi, pour votre dévouement à une cause picturale perdue ….

Marie Sasseur dit: à

« à gauche la pleine lune, à droite le croissant de lune et au dessus les Pléiades. »

Dans un repère normé ?

Le voyageur de commerce de Colmar devrait aller vendre ses images à l’OTS ou aux platistes. Et ses theories au CNRS. Ils sont friands de ces objets célestes, les adorateurs de Gaïa.

Marie Sasseur dit: à

J. Drillon dit sa détestation de Keith Jarrett, ou plus exactement de cet emballement d’une époque où tout le monde jarrettisait.

Pour avoir sacrifié à un culte aussi court qu’éphémère consistant en une écoute de son fameux Köln Konzert, le  » phénomène  » est intéressant.

Un musique qui relève du  » développement personnel », mouvance Gurdjieff.

https://hemisphereson.com/keith-jarrett/

Alexia Neuhoff dit: à

JC est vache avec Eugène Leroy. C’est pourtant un peintre qui ne manque pas d’épaisseur.

Bloom dit: à

Petit coup de gueule matinal.

Scandale!

800 000 euros pour la Fête de la Musique du Ministère de la Culture, pour 1 500 invités.
(Julien Clerc: 50 000 euros pour 40 mns. Quelle fête? Quelle musique?)

Quelqu’un ici a-t-il suivi le camion Bastille-Nation de la Fête de 1982? Ou écouté la fanfare des Beaux-Arts et Nino Ferrer sur la Place l’Odéon?

J’ai pendant des années non seulement organisé mais rendu compte de ce que nous organisions dans les structures dont j’avais la responsabilité à l’étranger. Avec des bouts de ficelle & une grosse dose de persuasion pour limiter les coûts et faire honneur à l’esprit des Catacombes.

Ce Ministère de la Culture est une Bastille qu’il faut d’urgence reprendre car les parasites qui y sévissent l’ont transformé en une institution d’Ancien régime qui gaspille l’argent public. Honte à lui, à eux et à nous qui les avons laissé faire.

et alii dit: à

Myriam Anissimov se souvient du chef d’orchestre roumain Sergiu Celibidache, dont elle a fait la connaissance à Munich, et de ses tentatives de séduction. Puis elle retrace son enquête pour découvrir les circonstances de la mort de son oncle Samuel, déporté. ©Electre 2017
elle a d’abord été chanteuse
Les yeux bordés de reconnaissance : récit / Myriam Anissimov

Jazzi dit: à

C’est quoi « l’esprit des Catacombes », Bloom ?

D. dit: à

Bon, je me lève avec cette bonne nouvelle : renato met du râpé sur ses petits pois.

Alexia Neuhoff dit: à

On attend de jazzi des nouvelles du flash mob d’hier à l’Hôtel de Ville. Avec ou sans ballet ?

D. dit: à

Je vais être honnête : Eugène Leroy semble être un bon coloriste, un peu à la manière de Delacroix. Mais ça ne suffit pas. Ce qu’il présente comme une abstraction prend surtout l’allure d’une insuffisance graphique et structurelle.
Il m’étonnerait que je sois contredit, y compris par Pierre Assouline lui-même.

D. dit: à

Pat ailleurs il est né à Tourcoing et moi je n’aime pas Tourcoing.

D. dit: à

Franchement entre Tourcoing et Porquerolles, je choisis Porquerolles.

D. dit: à

Sa peinture se caractérise de plus en plus par une accumulation de strates de peintures épaisses, de chaos d’empâtements extravagants d’où des figures, portraits, nus, paysages émergent à travers une observation minutieuse du spectateur. Leroy travaille la peinture : couche après couche, il enfouit l’image sous la matière pour parvenir à une occultation qui semble complète. Mais, de l’amas de matières et de couleurs émerge une figure, paysage, portrait ou nu ; c’est cet amas qui permet « que la peinture soit totalement elle-même[12]. » Jean Clair écrit de lui qu’il veut « saisir non la ressemblance mais au contraire l’indéfini, l’insaisissable, l’imprévu. »

peut-on lire sur Wikipédia. Un peu facile, non ?

bouguereau dit: à

un peu à la manière de Delacroix

la pâte et le coup de brosse qui fantôme..delacroix était jeune..mature..puis en pleine possession etc..leroy c’est toute la gamme du vibrion dépade..essouflé parkinson alzeimer..un coup de pâte de vioc..il est de son temps

bouguereau dit: à

Franchement entre Tourcoing et Porquerolles, je choisis Porquerolles

entre keupu et pladza je choisis un grand sac pour les foutres dedans dans n’importe cul de basse fosse

bouguereau dit: à

Ce Ministère de la Culture est une Bastille qu’il faut d’urgence reprendre

la culture en france est devenu un complesque hindustriel à retombé kabloom..en france essentielement essentielment touristique..ça a telement résussi que ça fait des jaloux. Je pense à l’italie et à l’espagne..c’est aussi un formidable complesque industriel dans les pays anglosaxon dont lapareil est beaucoup plus hidéologique dont tu es un ptit boulon kabloom..la bastille est planétaire

bouguereau dit: à

..il n’est pas hinterdit de penser que ça puisse créer des guerres qu’il dirait poutine avec son sempiternel sourire de joconde..un sourire assez haissabe

Alexia Neuhoff dit: à

J’ai comme l’impression que ça a été un fiasco. N’étaient pas nombreux, les roumégueurs !

et alii dit: à

au promeneur de la RDL
CELIBIDACHE/
Celibidache, Der Taschengarten (« Jardin de poche ») – Orchestre symphonique de la radio SWR Stuttgart (1979, DG) (OCLC 55699385) — ce disque constitue l’unique enregistrement d’une composition de Celibidache, le maestro étant ici à la fois chef d’orchestre et compositeur ; cette œuvre fait l’objet d’un des rares enregistrements qu’il ait accepté, cette entorse faite à son refus d’enregistrer des disques peut s’expliquer de la façon suivante : l’intégralité des bénéfices fut à l’époque reversée à l’UNICEF8.

JC..... dit: à

10 heures : NOTRE ENQUETE D’OPINION DU JOUR
(Financement EU, CNRS, GALA)

– MARC-AURELE, Empereur romain, « Pensées pour moi-même »
– EMMANUEL FOUTRIQUET, Acteur, « L’Olympe ? C’est moi !!! »

Lequel des deux vous a t il apporté quelque chose ?

Jazzi dit: à

Pas vraiment un fiasco mais pas franchement une réussite non plus, Alexia.

bouguereau dit: à

tfaçon on est sous le joug des himpératrice romaine assessuel qui baisent pus..c’est trop tard pour nous faire réver

bouguereau dit: à

pas franchement une réussite non plus, Alexia

et sur leur fil fb c’était pas bien pateux..pense à renfield qui te paluche les spectres qui la hante avec sa crème de blatte sur les murs..des lacans des freuds..des jéruzalème celeste..leroy ctun manipulateur descrémen pas frais épicétou

renato dit: à

« Tout ce qui arrive est habituel et connu, comme la rose au printemps et le fruit en été : il en est de même, en effet, de la maladie, de la mort, de la calomnie, des complots, et de tout ce qui réjouit ou afflige les sots. »

bouguereau dit: à

désarticuler un articulet…

ptête..mais chrpéfère qu’on mdémonte le cul qu’elle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

il en est de même, en effet, de la maladie, de la mort, de la calomnie, des complots, et de tout ce qui réjouit ou afflige les sots

quand qu’on en connait un vache de rayon..on ramène sa science..hon pense qu’on a l’age de prende des poses de prophète et on donne des leçon par simple himpositions des mains tremblantes..c’est écrit

et alii dit: à

ostinato \ɔs.ti.na.to\ masculin

(Musique) Répétition obstinée d’une formule rythmique, mélodique ou harmonique accompagnant de manière immuable les différents éléments thématiques durant tout le morceau.
TRES BON POUR LES TITRES
voir
https://www.babelio.com/livres/Forets-Ostinato/4148

bouguereau dit: à

Ils ont montré leurs pectoraux, pour l’Histoire

l’art du coule face à la guerre..même pas mort..et vous?

Marie Sasseur dit: à

Humour so british

« Malgré ce contexte politique tendu, les membres du G7 n’en ont pour autant pas totalement perdu leur humour. Ainsi, en référence aux fameux clichés torses nus que Vladimir Poutine aime à partager, le Premier ministre britannique Boris Johnson a interrogé ses partenaires: « On garde les vestes ? On les enlève ? », a-t-il ironisé. »

Jazzi dit: à

Il est pas très grand sur la photo, Macron.
Combien de cm ?

Alexia Neuhoff dit: à

azzi dit: à

« N’étaient pas nombreux, les roumégueurs ! »

Vous êtes marseillaise, Alexia ?
Hélas, non. J’aime les régionalismes, tout ce qui agace l’académie française, tout ce qui brise la standardisation linguistique. Demain, je passe au corse !

DHH dit: à

@alexia
j’ai lu votre clin d’oeil a mon intention .
je ne crois pas m’etre, même jeune, vraiment exprimée en pataouete sauf quelques tics de syntaxe et ce qui apparaît aux « pathos » comme des curiosités de vocabulaire,une creme pour dire une glace ,faire la chaîne pour dire faire la queue, appeler potager un plan de travail dans une cuisine, et autres incongruités qui ne me viennent pas pour l’instant à l’esprit
Mais si cette langue n’est plus la mienne, en revanche j’ai toujours après 66 ans de vie à Paris mon accent de là-bas qui fait immédiatement comprendre à mes interlocuteurs d’où je viens

bouguereau dit: à

Macron.
Combien de cm ?

baroz fait son staline au bacroume

Alexia Neuhoff dit: à

Je me rappelle un film où Robert Castel (l’acteur pied-noir) déclarait : « Elle me met les nerfs en fleur de peau ! ». Ce qui m’avait valu de grands éclats de rire. Ces petites bombes à fragmentation de la langue me réjouissent.

bouguereau dit: à

J’aime les régionalismes, tout ce qui agace l’académie française

par jéruzalème elle fait rien que nous calomnier cette alesquia

Alexia Neuhoff dit: à

Bonjour DHH. Au besoin, luttez pour conserver votre accent. La glottophobie, comme tout instrument de domination est une abomination.

bouguereau dit: à

glottophobie

c’est pas joasse..tu vois alesquia c’est dans l’invention du mot qu’y’a comme un déni pour désigner « la » chose..c’est comme je ne dis -jamais-« la » covid..je fais même bien gaffe

Alexia Neuhoff dit: à

bouguereau dit: à

par jéruzalème elle fait rien que nous calomnier cette alesquia

Cher bouguereau, si vous insinuez que vous représentez l’académie française, je commence de l’aimer mieux.

bouguereau dit: à

..pour faire enrager qui tu sais attation..hé houi y’a pas que baroz qu’est un militant courageux et permanent

et alii dit: à

Sara, ainsi que ses camarades de classe, font partie de ¡Musiquem!, un projet qui se déroule depuis cinq ans dans deux écoles primaires de Castellón de la Plana et qui a été conçu par les enseignants avec des chercheurs universitaires. Le principe : profiter des cours de musique et des heures dédiées à la pratique musicale pour former des orchestres.

À lire aussi : Les orchestres d’enfants, une piste pour démocratiser la pratique musicale ?

Les deux écoles sont interculturelles, et l’une d’entre elles compte un pourcentage important de sa population en risque d’exclusion sociale et économique avec, en outre, une image détériorée du centre par rapport aux autres écoles de la ville.

Tous les enfants de la troisième à la sixième année passent deux heures par semaine avec Musiquem et participent à l’orchestre de l’école. En classe, en plus de leur professeur de musique et de leur tuteur, ils travaillent avec deux musiciens professionnels.

Le principe de ces orchestres est d’apprendre la musique tout en la partageant avec les autres membres de la communauté éducative.
https://theconversation.com/des-orchestres-scolaires-pour-lier-musique-et-engagement-citoyen-184999

bouguereau dit: à

si vous insinuez que vous représentez l’académie française, je commence de l’aimer mieux.

ma foi une bande de vieux barbons royalment pensionné s’amusant à nous faire partager leur scrabble cocasse pourrait être tout a fait drolatique et être notre chambe des lord à couche culotte..mais au lieu de cela..des vieux cons comme au sénat..qui ont différé le vote des femmes de 30 ans par exemple

lmd dit: à

Je recolle les morceaux après un week end de conversations debout un verre à la main, de petits déjeuners interminables, de pique-niques terribles :
Charoulet dit quelles émissions il écoute ;«J’écoute celle qui a l’invité qui m’intéresse le plus. Quand aucun invité politique ne me plaît, je fais autre chose.». Ça c’et radical, vous filez un mauvais coton Charoulet.

Oui, les reproductions des peintures de Leroy mises en ligne par Mimi Pinson (merci) ont le formidable avantage de pouvoir /devoir être agrandies ; ce n’est que lors de cet agrandissement, encore et encore , qu’on perçoit dans quel sens ça marche , par où  ça passe.

Renato , vous avez fait bien plus haut un commentaire «Alors que nous, désormais émancipés de ces liens, vivons des …» etc ; Je suis surpris qu’on puisse encore dire nous sans savoir (ni dire) précisément à qui on s’adresse.

Audubon a peint les oiseaux le long du Mississipi et il est célébré  (tant mieux pour lui) ; quinze ou vingt ans après, 1833, Karl Bodner a peint les Amérindiens, sur le Missouri ; juste a temps. (Un livre superbe ) :
https://www.amazon.fr/Peuple-premier-homme-lexpédition-Maximilien/dp/B0007329QS
C’est à peu près la date à laquelle Thomas Stupen leur achète (aux amérindiens) dans le Misssisipi, sa propriété ; (un livre immense ).

Keith Jarrett, inutile.

Jazzi dit: à

« Je recolle les morceaux après un week end de conversations debout un verre à la main, de petits déjeuners interminables, de pique-niques terribles »

Certains cultivent leurs jardins, lmd, lui, c’est son taux de cholestérol !

Amanda Lire dit: à

L’ Italie est venue chez nous et c’est l’essentiel! 🙂

Janssen J-J dit: à

@ « Ils ont montré leurs pectoraux »

au premier coup d’oeil, on distingue 3 choses, les peks d’Ursula plutôt fluets, la chemise débraillée du british et çui qu’a la plus grosse : Justin.

(Bridou)

pourmapar dit: à

Très drôle ces week-end avec le « vibrion d’épade » qui nous dit tout du fantasme du boug et de sa solution au mou pictural avec son god ceinture!
( Label-Rojoux à bien peint une (des) toile avec sa queue nous dit-il!)

Coloriste à la Delacroix? Eugène n’a pas de hache ( suivez la musique Take care with that axe, Eugène!)) mais des pinceaux.

Le « barbouillage » ça part dans tous les sens, pas chez Eugène qui nous laisse un message clair à la fin.

Ailleurs.
Merci Mimi!

Aussi.
Rendre les « rouilles encagées » à benjamin Péret. Son poème vaut le détour!
Ripasso! (doc)

Janssen J-J dit: à

A toutes celzéceux intéressés par les statistiques gendarmiques, -et nous savons qu’ils sont nombreux à l’RDL (etalii et closer entre autres)-, ci-joint un nouveau site fort utile qui vient de sortir, à placer en vos meilleurs favoris. Bàv,
https://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/barometre-numerique/

Janssen J-J dit: à

@ benjamin Péret. Son poème vaut le détour!
merci Pat V pour votre vigilance… Vous m’apprenez qu’un certain Label-Rojoux a expérimenté la même technique picturale que j’ai mise au point depuis très longtemps… J’ignorais avoir eu des plagiaires, on en apprend vraiment tous les jours sur cette chaine !…

MC dit: à

« Ce ministère doit être repris ». Tout à fait d’accord, Bloom, il me souvient , dans un restaurant tout proche,d’une soirée cauchemardesque avec des petits marquis bureaucrates façon « « « l’Etat c’est Moi » qui en disait long sur le pouvoir du ministre de l’époque. C’est là où j’ai compris qu’il y avait quelque chose à changer…

Janssen J-J dit: à

Réactions tutti frutti d’en remontant le fil…

*j’ai toujours aimé le concert de Cologne et l’écoute souvent, il m’aide à m’endormir comme les Variations – *Gurdjieff fut un imposteur dont JF Revel dans ses Mémoires avoue avoir cru en lui à cause de sa femme – *Hippolithe Taine, oui je sais, mais j’ai déjà donné, ne fut jamais trop ma tasse, non plus que la théorie des trois états chez son collègue Auguste avec lequel je l’associe trop souvent – *J’ai des goûts simples, en vérité, et hélas le vice de balancer de mauvais jeux de mots à tous bouts de chants (sic), mais vous autres, vous n’avez aucune tare soigneusement cachée, par hasard ?… et bé, gardez-les pour vous al’hors, hein !… on es connaît !
Bàv,

renato dit: à

lmd, nous les post post-modernes.

Bloom dit: à

« l’esprit des Catacombes », Bloom ?

Métaphore qui chez moi désigne les 1ers chrétiens, l’esprit des orgines, Baroz, avant la perversion romaine.

Janssen J-J dit: à

@ « il me souvient », MC, que les petits marquis précieux sont également partout répandus dans l’atmosphère des réseaux sociaux virtuels… Bàv 🙂
Moij serais plutôt pour supprimer le ministère de la guerre et le sénat qui grèvent infiniment plus notre budget que çui de la culture. Ne soyons pas meskins !

Janssen J-J dit: à

@ PTV-PMP /// martineden74…, c’est JMB quand il veut bien faire des efforts d’écriture poétique…
Pas mal, ses 3 poèmes, l’gagneraient à être mieux connus… hein ! Bàv

renato dit: à

Moi, c’est le Ministère de la culture que j’abolirais, car imaginé sur la trace du triste précèdent fasciste dit MinCulPop, il s’agit d’un « instrument » mis en place afin de conditionner l’approche de la culture ; ou d’un autre point de vue, de l’administrer.

Jazzi dit: à

Pap Ndiaye, ministre de l’Education nationale, reconnaît avoir placé ses trois enfants à l’école alsacienne, établissement privé et élitiste, afin qu’ils aient une “scolarité sereine”.
No comment.

et alii dit: à

QUENEAU:
« Il aimait aussi la musique, ayant d’ailleurs été inspiré par L’Art de la fugue de Johann Sebastian Bach pour écrire ses Exercices de style (1947), génial exemple de variations verbales sur un même thème. »sur LE MONDE

renato dit: à

Raffaele La Capria est mort.

Romans : L’histoire et l’identité ; Apologue sur l’histoire des vainqueurs et des vaincus ; Les hommes du ressentiment ; Apologue sur trois formes de ressentiment ; Le sens commun et l’évidence ; Apologue sur l’évidence niée. // La Neige du Vésuve // Fleurs japonaises // La Mouche dans la bouteille.

Cinéma, il a travaillé avec Comencini, Rosi, Patroni Griffi, Risi, Wertmüller.

bouguereau dit: à

Moi, c’est le Ministère de la culture que j’abolirais, car imaginé sur la trace du triste précèdent fasciste dit MinCulPop

non..c’est un reste d’ancien régime rénateau..le salon des refusés est le fait du prince..et de viollet lduc..hévidemment y’a des libéraux qui trouvent que les flingues ça devraient rester causa nostra..balckwater soustraitant-un-peu-cher-c’est normal et poutine dit que wagner était un compositeur..un peu nazi

et alii dit: à

La musique, l’adieu (André Hirt)
« La musique n’est pas d’essence proprement humaine, elle fend plutôt l’essence de l’existence et en exprime la césure. Sa présence en nous, au sein de la différence que nous éprouvons dans notre être, et sa présence parmi nous, là où nous pouvons l’entendre, dans la nostalgie et l’espérance, nous fait pressentir sa loi, à défaut de son identité, à savoir qu’elle dit non seulement l’Adieu, mais qu’elle est l’Adieu, nécessairement. » (Sur le site remarquable, Strass de la philosophie, de Jean-Clet Martin)

bouguereau dit: à

No comment.

comme keupu..disons qu’il y a trop a dire pour pouvoir ne pas préter le flanc à la critique politicarde..par son silence pesant vaut mieux la faire soimême en premier baroz

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