Jean Rouaud, confession d’un enfant des stèles
Mais non, il ne s’agit pas d’un texte de circonstance publié à point pour la commémoration de 1914. Rien à voir. Après Comment gagner sa vie honnêtement et Une façon de chanter, il s’agit du troisième volet du cycle « La vie poétique », autobiographie littéraire de Jean Rouaud avec Un peu la guerre (253 pages, 18 euros, Grasset). Pas son genre pourtant. D’ailleurs, il l’avoue d’entrée : à force de s’éviter, il n’a guère le goût de parler de lui. N’aime pas encombrer. Ce que Jacques Perret appelait « le racontage de mézigue ». Seulement voilà : pour raconter son « chemin d’écriture », puisque c’est bien cela qui trône au coeur du projet, il fallait en passer par là. Mon corps à corps avec la syntaxe, mes batailles avec le style, mes escarmouches avec le lexique. Etant entendu qu’un tel chemin est nécessairement ponctué de zones d’ombre, nul autre que lui ne pouvait en dresser un relevé quasi topographique en tenue d’arpenteur.
« Quand tout a été inventorié de l’espace, le temps devient le nouveau blanc à cartographier »
Né en 1952 mais hanté par les deux guerres. Leur trait d’union ? Les mots qui vont pour l’une comme pour l’autre. « L’herbe était rouge de sang ». On peut retrouver cela de Flavius Josèphe au Vassili Grossman de Vie et destin, son livre de chevet désormais. Des œuvres balisent la route, nécessairement, de La relation de voyage de Cabeza de Vaca à Asphalt jungle de John Huston. Ses détestations aussi. Tout ce qui touche au fantastique par exemple. De quoi lui faire rejeter La Métamorphose de Kafka à l’égal de n’importe quel Poltergeist ! A moi, ô mânes de Gregor Samsa…
Deux hautes figures dominent son retable intime. Celles de Breton et de Chateaubriand. Seulement Rouaud, on se demande parfois si c’est lui qui suit ses Nadja dans les rues de Paris, ou si c’est elles qui le suivent tant il semble aller d’un pas décalé. De Breton, il veut oublier l’inquisiteur pour ne retenir que le message d’amour, de liberté et de poésie. Pas sûr qu’il arrive à convaincre.
Sa mémoire exagère peut-être un peu la « censure » des années 70, cette chape de plomb officieuse qui permettait au Parti de tyranniser jusqu’aux esprits les moins communistes. Viktor Kravtchenko, Arthur Koestler et Arthur London était certes voués aux gémonies, mais on pouvait quand même les lire. A condition de le vouloir. Et s’il est vrai que le best-seller très « guerre froide » du premier J’ai choisi la liberté (1947) ne s’est plus trouvé par la suite que chez les bouquinistes, il fut réédité dès 1980 à grand bruit aux éditions Olivier Orban. De même sa mémoire vagabonde, parfois assez impressionniste, lui fait mettre dans la bouche de Robert Brasillach l’injonction à l’Occupant de ne pas oublier de rafler « les enfants » alors qu’il s’agissait des « petits », ce qui est pire encore.
Il y a de beaux morceaux, plus longs et plus chaleureux. Rouaud s’y affirme d’une grande finesse dans l’analyse critique des livres. Ainsi décortique-t-il pour notre édification La semaine sainte d’Aragon avant de résumer d’un trait ce qu’il tient pour un roman-fantôme : « Des hommes à cheval sous la pluie » plutôt qu’à la manière d’un roman historique racontant la fuite vers le Nord de Louis XVIII après le retour de Napoléon débarqué à Golfe Juan, le narrateur mettant ses pas dans ceux de Géricault. L’admiration pour un tel livre n’allait pas de soi après 68. On entendait alors de drôles de choses dans les amphithéâtres. Que la langue, glaive de la classe dominante, était fasciste. Que le roman était digne d’être empaillé aux fons de présentation au Musée des Arts et traditions populaires. Comment en était-on arrivé là ? La question n’a cessé de la tarauder depuis. Au fond, avec le recul, ça l’arrangeait bien que fut dressé ainsi cet acte de décès au moment où il entreprenait ses études. Ca lui évitait d’affronter ses démons. Mais ce fut plus fort et, sitôt passé le pont, ses fantômes vinrent à sa rencontre dans l’exceptionnel Les Champs d’honneur (Prix Goncourt, 1990) et Des Hommes illustres pour commencer. A la veille du grand saut, au moment de se lancer dans cet immense chantier, il savait ce qu’il voulait :
« Ressusciter le roman pour ressusciter mes morts. Quia respexit humiliatatem ancillae suae, chante le Magnificat de Bach. Parce qu’il s’est retourné sur la plus humble de ses servantes. Se retourner sur l’humble monde mon enfance pour affronter le visage de Gorgone de la mort. Je n’en avais alors tout simplement pas les moyens, pas la force. »
Le chapitre consacré à la réception du manuscrit des Champs d’honneur par le regretté Jérôme Lindon, jamais nommément cité mais transparent derrière la haute figure du patron des éditions de Minuit, est formidable. On y voit son premier lecteur, grand bourgeois supposé héraut de la modernité littéraire en sa qualité d’agent No1 de la nébuleuse dite du « nouveau roman », reprocher au primoromancier, ci-devant kiosquier rue de Flandre (Paris, XXème) de s’être abrité derrière ses morts. D’avoir effacé le narrateur en lui. Imagine-t-on les Confessions sans Jean-Jacques ? Allons, Rouaud, qui parle dans ce texte d’inspiration évidemment autobiographique ? Pas de jeux de mots, pas d’effets de style, pas de jugements moralisateurs. Il faut une vraie histoire, avec de vrais personnages, mais pas plus de cinq, sinon on s’y perd, compris ?
L’auteur en herbe résiste pied à pied, défend son territoire, son histoire de tranchées et de gaz de combat comme il l’a « vécue » à travers la geste réinventée des siens. Les Rouaud, les Brégeau, les Boucheron, les Sauvage. Ils les a rêvés avant de les réinventer sabotiers, bûcherons et charbonniers. Mais comme il est du genre à tout envoyer promener, il s’arrête juste à temps, quand Lindon emploie le mot de trop : « Le moins qu’on puisse dire, c’est que vous n’êtes pas modeste ». Un silence suivi d’une correction peu fraternelle, implacable : « Pas modeste : humble ». Et l’éditeur de demeurer sans voix.
Cet échange est l’occasion d’un magnifique portrait en creux de l’éditeur et de son premier cercle, Sam Beckett s’effaçant derrière saint Beckett, des œuvres sanctuarisées. De tout autre sauf de cet éditeur Jean Rouaud aurait craint un reproche sur l’absence de narrateur. Or celui-ci était bien là derrière l’auteur, mais en qualité de témoin, pas de cameraman. « Pourquoi avait-il besoin d’un narrateur alors que j’y étais poétiquement à chaque ligne ? » se demande celui qui a si bien faire lever la glaise face à ceux qui méprisaient tout ce qui relevait de la réalité. Seul un autoproclamé « ancien combattant mort pour la France » comme Jean Rouaud pouvait oser considérer la syntaxe à l’égal d’une gueule cassée, une invalide de guerre, une grande blessée.
Finalement, ce qui a réconcilié Rouaud et Lindon par-delà leurs différends esthétiques, c’est encore et toujours la conscience de la guerre, cet infracassable noyau de nuit. Minuit est né dans et de la Résistance. Le jeune Lindon, venu après, a repris le flambeau mais il a fait de l’édition comme on fait la guerre – et pendant les événements d’Algérie, ce n’était pas une vue de l’esprit.
Un peu la guerre est bien ciselé, et sa note, juste de bout en bout. La musique intérieure de Rouaud, son horloge intime, est une phrase si digressive, détaillée, chaloupée qu’elle en devient serpentine et nous enveloppe l’air de rien. Pour défendre son idée du roman, il lui fallut lui aussi faire la guerre, juste un peu. Jusqu’à passer par les contraintes d’un genre qui ne lui plaisait pas, qui n’était pas le sien. N’empêche, quel bonheur de lire une telle confession d’un enfant des stèles.
Ce qu’il manque à cette éducation littéraire ? L’évocation du rôle central des revues. On a l’impression que le jeune Rouaud ne les a pas lues alors qu’elles ont toujours eu la vocation d’être un laboratoire. Le kiosquier a dû se rattraper bien plus tard. Nul doute qu’aujourd’hui il ferait son miel de la dernière livraison de Théodore Balmoral (No 72/73, hiver 2013/2014, 190 pages, 20 euros), revue de littérature qui paraît par les soins, c’est bien le cas de le dire tant elle est soignée en toutes choses, de Thierry Bouchard. Dédiée à la mémoire de Michel Chaillou récemment disparu, elle est notamment riche d’un hommage bienvenu à Jean Follain, dont l’œuvre est ici chaleureusement relue par Jacques Réda, et d’une contribution lumineuse de Jean Roudaut sur l’esprit des notes. Qu’elles soient autogloses (rappels d’autorité dans les marges) ou hétérogloses (variantes and co), elles font leurs petites importantes.
(« Dans les tranchées de 14-18 » photo D.R. ; « Jean Rouaud cerné par les siens » photo Passou)
1 057 Réponses pour Jean Rouaud, confession d’un enfant des stèles
Renato, j’aime pas trop votre cuisine aux oeufs. Y’a du liquide avec des gros morceaux d’intention dedans.
Vous êtes allé au Mont St Michel, de préférence à marée basse ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Omelette_de_la_m%C3%A8re_Poulard
Comme d’hab’, je suis d’accord avec Muller !
… Il y a tant d’indices indiquant le grand froid que ça doit être un auteur chaud !!! (ahaha);
ce grand vieillard, officier de la Wehrmacht qui dinait sous l’Occupation avec le gratin collabo à la tour d ‘argent aprés avoir signé dans la matinée quelques paperasses dans son bureau pour fusiller des résistants au Mont Valerien (Paul Edel)
La Tour d’argent, c’est avéré, puisqu’il en parle, mais la participation à la préparation de la fusillade des résistants, on attend les preuves. Ne pas oublier tout de même que le très francophile Jünger, antinazi convaincu, apparaît, dans les années d’après-guerre, comme un des symboles de la réconciliation franco-allemande. Les bandes molletières de grand-papa, c’est bien joli, mais vient un temps où il faut savoir mettre les vieilleries au rancart.
C’est vrai que ce n’est pas très très bien décrit.
pour l’instant : Sissi !!!
« … lâchez ma main ! »
Lâchez plutôt la mienne ! Je ne faisais que de l’Histoire, moi…
d’accord, ce n’est pas un styliste.
renato dit: 16 février 2014 à 13 h 40 min
bien sûr; en cherchant des histoires.
Si ce n’est pas un pastiche, ça pourrait être Troyat !!!
Si c’est « à la manière de », je dirais… Voyons… Queneau ?
Non, je ne crois pas. Et si c’était une traduction, un conte de Wilde, ou encore un texte de Dickens ???
Oui, oui, ça pourrait être du Dickens. A cause du geste du domestique !
Bon, un équivalent littéraire de Dickens, en allemand ???
Bon, allez, je dirai Dickens, na. Je vais me tromper, sûr, m’enfin, les indices sont minces.
Mais il n’y pas de Friedrich chez Dickens. Merdalors. Pas Verne, quand même ???
« bien sûr; en cherchant des histoires »
Trouvée sans les chercher, les histoires : suffit de se mettre en voyage sans consulter les calendriers politiques… D’autre part, depuis quand une omelette trouve sa place dans un calendrier politique ?
Oui, oui, il fait si froid dans ce texte que l’auteur, je réitère, doit être bien « chaud » (lapin ?)
Un expert vva-t-il citer Dickens ?
après les cours de verlan
En résumé, n’attendons pas d’une « nouveauté » pédagogique plus qu’elle ne peut donner. Il faut l’expérimenter, l’inscrire dans sa propre démarche pédagogique, sinon avec la pédagogie inversée, on va se retrouver avec des élèves tout retournés.
http://enseigner.blog.lemonde.fr/2014/02/16/pas-de-pierre-philosophale-en-pedagogie/
Il semble que Gogol fasse le point.
Bon, allez, les trois noms !
« nietszche, Kafka, Tourgueniev »
Bon, je dis Kafka ! Tourguéniev, il n’était pas installé en France, çà Bougival ?
(hje vote comme Muller !!!)
Bon, j’ai gagné avec Muller. Mais je suis d’accord avec elle : il y a aujourd’hui un côté « loterie », l’extrait n’était pas assez long.
« Mais mon blog est tellement confidentiel–seuls ma femme, ma sœur, mon fils et mes petits-enfants le lisent » (Lucien Bergeret)
Les pauvres, ils y sont obligés ?
U. c’est marrant votre mot, atroce, chacun d’entre-nous en sort-il un quand la flemme de s’expliquer plus vient à se présenter, j’utilise affreux et j’ai connu une vieille dame pour qui c’était abominable, quasi aphasique, il ne lui restait pour finir que deux mots, j’ai oublié le second.
Clopine j’avais pensé Kafka sans plus d’arguments.
C pas ma vie privée c’est la vie d ema soeur Peggy Dakota nord.
Et puis si vous êtes pas contente faites comme moi
http://www.goldsworthy.cc.gla.ac.uk/images/l/ag_05392.jpg
l’œuf.
hier une femme m’a raconté que c’était son « père le gourou », elle aurait dû faire esclave , comme sa mère ou ses soeurs quand même parties, elles aussi.
elle était d’une famille tunisienne , et juive ,comme elle m’expliqua, et considérée comme un monstre parce qu’elle avait laissé son mari avec ses maîtresses: mais élevait seule leur fils, sur lequel pesait un diagnostic de psychose et de retard mental qu’un médecin avait imputé à des causes génétiques du côté du père que ledit père-gourou avait trouvé le gendre idéal
Onésiphore, estima-t-il qu’il valait mieux pour agir contre et sauver ceux qui pouvaient l’être, œuvrer à l’intérieur du système? son engagement fut volontaire, devenait-il impossible de survivre dans la société allemande asservie par le joug du nazisme et n’y avait-il plus d’autre choix, sa participation pourrait aussi prendre le nom de collaboration en dépit de ses opinions.
mes morts : mes !!!!!!
Trouillefou: la vache folle ou la danse de Saint-Guy.
Je suis, comme des millions de français, vraiment tres inquiet de la disparition subite des écrans radar de notre grand , grand ministre des sports, Valérie Fourneyron.
Est-elle tombée dans une crevasse à Sotchi ? Blottie au fond de son ministères, pétrifiée des nos contreperformances et manques de résultats en ski français ? Est-elle enfermée dans un placard de l’Elysée, bâillonnée par l’équipe d du cabinet noir de François Hollande ? Ou ayant réécrit 342 fois un tweet officiel pour féliciter Fourcade fut –elle transportée dans une clinique privée, ou planquée dans les caves de la Lanterne dans un état grave qu’on nous cache ? quand on connait la précipitation des ministres pour se placer à côté des champions sportifs sur la photo , on reste perplexe. Même inquiet. Les ministres sont-ils retenus en otage ? François Hollande a-t-il donné des consignes de silence ?
Ni elle, la grande Valérie Fourneyron, ni aucun ministre socialiste n’osent paraitre pour faire l’éloge de Fourcade ?
Même pas Montebourg pour vanter le passe- montagne français de Fourcade ?
Etrange tout ça masque un drame de non communication avec nos sportifs, au sommet de l’état, ce silence. Ce silence , alors que Hollande parle de tout sans cesse, ce silence est parlant, comme dirait joseph Prudhomme.
Voyez-vous, Paul Edel, chez un écrivain, ce qui m’intéresse, ce n’est pas seulement l’écriture en tant que processus qui va cheminer et se déployer … chez certains écrivains, c’est aussi une façon de regarder .
D’accord avec vous, on attend d’eux qu’ils s’excitent un peu au miroir.
Béréd’nice, essaie d’élever ta comprenelle au-dessus de l’élastique qui te sert le ventre!
les n’oeufs d’Andy
http://www.refugedart.fr/refuge-d-art.php?rr=1318260779&ar=2
en lihttp://bibliobs.nouvelobs.com/en-partenariat-avec-books/20140214.OBS6469/les-petites-manies-des-grands-artistes.htmlsant
le mot de Lacan comme celui de Spinoza m’a semblé aussi confirmé qu’n suivant la RdL et ses dames à reines
en fin les trois n’oeufs, à dire vrai
Onesiphore et l’Opus de Flaubert par exemple, etc…
Je n’ose dire que c’est intéressant, m’étant fait récemment la même réflexion au sujet du
25° de Sollers.
et en plus ça rime…
Longue vie, Philippe !!!
Oui on adore les Œuvres complètes, mais là, chaque année Plof! (et les critiques -voir le Journal de Lausanne par ex- se pâment avant même le livre disponible… ou d’Ormesson juste avant de mourir, au plateau de Chazal/TF1; Longue vie Jeannot!!!)
Je lisais il n’a guère plus longtemps la bibliographie de Badiou, que je ne connais guère autrement que par son « Concept de Modèle » chez Althusser et qqls autres élucubrations à ce Soir et Jamet. Mais là ça rend fou ! il me semblait qu’il y en avait mille… alors que deux/trois aurait suffi comme chez son maître. Après cela Lancelin nostalgiquement belle, se demandait pourquoi ni lui ni d’autres au « Collège » ?… Mais justement tout est là du devenir de l’Esprit français.
Précisément puisque le Collège; et parce que le même Sollers y regrettait la fadeur du successeur de Barthes, ce dernier avait jadis consacré un texte à la mythique DS de Citroën (union de l’esprit du patron, d’ingénieurs de génie issus de l’aéronautique -où la France a presque toujours été en avance- et d’un artiste-styliste-mussolinien italien fabuleux; même son « Ami 6 » a été copiée par la Mégane de Renault… Non, Barthes ne parlait pas de cela, c’est myself qui ajoute tout)
Eh bien… la tourmente « PSA/chinois » nous offre l’occasion de méditer sur ces aventures industrielles foireuses; automobiles ou littéraires, donc éminemment culturelles, et qui tournent au désastre (malgré Arnaud et Auré-lit). Peugeot ayant même réussi à rendre le nom de Citroën honteux là-bas (et pourtant la « croisière jaune », etc… et la « XM » offerte à Xien – tout comme à Miterrand d’ailleurs, voiture qui était souvent présente dans les feuilletons/TV chinois, et puis la « Traction » FFI de Giap et de « Ho »…)
Bref…. il n’y a pas de raison que la Pléiade s’arrête de nous offrir un Album pour tout achat… Mais bon,… les enfants ne lisent plus, les librairies ferment… Prudence!!!
En tout cas j’ai évité de parler Mitterand/De Gaulle, l’écrivain et le soldat, que célèbrent à jamais une Gd Bibliothèque qui fuit de partout, et un porte-avion qui tourne pas rond du tout, dans l’eau.
ces dames as quine.
(et quinté plus)
ces dames et le pion
Paul Edel, je vous vois prié de remballer votre camelote à 3 balles, offrez-vous une nouvelle paire de lunettes car il vous faut admettre que votre perception n’est plus type top, vos préoccupations asexuées sont tout juste bonnes à occuper les derniers monastères, qui évoquait il y a peu les Météores? Les entrées filtrées vous accorderont peut-être un visa. Et encore, c’est pas si certain.
« Sur ce plan, Mitterand était le plus atroce. »
t’en sais des choses toi vrai u comme tu fais pour savoir tout ça
« la plus humble de ses servantes »
(On a le droit de rire, franchement ?)
tout ne va pas si mal que cela, non.
« ah, je ne savais pas que Mitterrand avait une fausse culture littéraire ; »
il aurait été d’un parti de droite j’aurais dit qu’il avait une vraie culture littéraire
J’ai même oublié de parler de Jean Rouaud…
Mais lui, parle-t-il de moi ?…
(malgré mes 215 livres (in-Quarto enluminés)
u. 13h26
Assez indigne de vous.
Du JC sans la méchanceté.
Tout juste du baroz (s’il avait osé pour Chirac).
Et puis vous, si prompt à donner des leçons, ne mettre qu’un r à Mitterrand (plusieurs fois) quelle preuve de vos manques.
Un peu comme mettre un accent à Clemenceau.
Petit joueur.
Petit joueur au grand cœur, cela dit je ne comprends pas exactement tout de sa subtilité, F Mitterrand était plus qu’amateur, amoureux des lettres et des éditions rares, écrivit-il?
Paul Edel botte en touche : pas un mot sur Christiane qui a déserté ce blog ainsi que le sien après avoir porté aux nues son cher Poapaul (???)
Je Olympique dit: 16 février 2014 à 14 h 29 min
Elle était présente hier soir dans l’émission de Ruquier (très bonne intervention d’ailleurs)
Donc t’es seulement con (ou conne mais je ne pense pas, trop machisme ridicule dans ton petit pet)
u. dit: 16 février 2014 à 13 h 26 min
Sur ce plan, Mitterand était le plus atroce.
u. a oublié de préciser qu’il faisait allusion à Frédéric M.
http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20140214.OBS6403/la-biologie-est-elle-un-humanisme.html
Ce malade pervers Bergeret,( une engeance) il tape dur sur Christiane aussi, Clopine!
Sinon, Clopine, quelle forme m’ accorderiez-vous?
@bérénice « écrivit-il? »
mais oui (ça fait enrager les nains)
Porté aux nues, porté aux nues… On peut faire le déplacement, hein ! On a des motos…
que Houellebecq ait accepté de tenir son propre rôle dans son film
il n’est pas prouvé que l’on ne soit jamais aussi bien servi que par soi-même
servi par soi-même
c ‘ est du moins la conclusion que l’on peut tirer des affinités électives nées sur la RdL
Jean Rouaud répondit que la forme de son âme, c’est son corps ( page 115 ), non sans se faire rabrouer.
Il dit aussi page 119 : » On s’ emmène partout avec soi, et avec soi l’ empreinte des siens. »
Serait-ce son âme?
Bon, allez, les trois noms !
ah ouais, tiens ça me fait penser que quand quelqu’un est du sexe chiant alors peu importe s’il est le premier, le deuxième ou le troisième..
@Paul Edel et les autres
Que savez vous exactement du devenir de ML ?
A-t-il disparu seulement de la RDL,ou bien l’accident dont on parlé ici était-il autre chose qu’une invention canularesque ?
Quoi qu’il en soit je regrette comme vous ses commentaires vraiment nourris et riches même s’ils étaient dérangeants .Ils reflétaient à la fois son immense culture litteraire ,sa capacité aigüe d’analyse et l’originalité de son regard sur les choses .
Ses crispations parfois rageuses ou agressives sur son identité juive ,ses crises occasionnelles de pédantisme gratuit pouvaient irriter, mais je considere que c’était pour les « petits » comme moi de ce blog , qui viennent en » auditeur libre »,entendre des gens auxquels ils n’ont pas acces dans la vraie vie, un prix raisonnable à payer pour bénéficier des éclats de savoir et de réflexion qu’il nous offrait
Avec les polémiques entre lui et Mac on tangeantait la controverse litteraire,alors que maintenant ,s’il y a affrontement entre blogueurs(ou euses) on est en pleine cour de recréation où la puerilité le dispute au ridicule .
J’aime bien Clopine et Christiane ;chacune se reclame d’un environnement culturel different, et aucune n’est depourvue de culture et de talent ne manquent pas de talent,mais je n’arrive pas à comprendre pourquoi elles se sont comportées sous ce fil comme des gamines jalouses et incultes echangeant des méchancetés derisoires et des arguments outranciers
Dans les cours de recréation cela finit par des « on fait la paix » et des embrassades.
Alors Clopine et Christiane soyez gamines jusqu’au bout et embrassez-vous !
il est impossible d’en conclure que les confusions intéressées entre littérature et psychanalyses soient de meilleurs….. auxiliaires
Le vin en cruche je vois pas pourquoi on n’en boirait pas… En plus ça casse le moral aux serveurs…
intéressées
alors là si tu le dis..
Peut-être que pour Jean Rouaud, Otto Mueller fut le peintre qui peignit le mieux ce que pourrait être son âme?
L’ âme serait-elle encore notre » sauvage » pour suivre J. Rouaud?
DHH crispation, concernant ML qui vraisemblablement hante la rdl sous d’autres pseudos, le mot est faible quand trop souvent il donnait l’impression d’un véhicule dont la direction aurait été bloquée et qui de ce fait n’était plus capable de s’orienter que vers une unique destination avec le parti pris invariable de ses convictions, ce qui altérait sa richesse culturelle en étrécissant le champ de sa communication.
AH, si Jean Rouaud pouvait répondre à nos questions en » direct live » sur ce blog!
( J’ en suis à la page 126, juste après l’ excellent passage sur l’art de Moeller.)
Finally…
http://electricliterature.com/blog/2014/02/14/finally-a-good-use-for-all-this-snow/
qui est ML ? est ce LML?
qu’est ce que cette histoire de « son identité juive »?sur un blog ? il est temps vraiment que les erdéliens se demandent à quoi ils jouent, ou plus vulgairement pour quoi ils roulent !
C’est vrai que l’identité juive de Michel c’était plutôt un effet de comique qu’autre chose…
« Aux quinze cent mille Morts de la Grande Guerre. »
« HYMNE AUX MORTS »
« Soldats qui reposez dans les plaines de France,
Les bois et les valons de votre vaillance,
Vous, nos plus chers espoirs, fauchés en votre fleur,
Vous, nos Morts bien aimés, vivants dans notre coeur,
Héros tranquilles, fiers, allant à la bataille,
Dans l’éclat des obus, les gaz et la mitraille,
Sortez de votre tombe et voyez les sillons
Se dorer d’épis mûrs ; que demain les chaînons
Des Ligues de la Paix scellent sous leur égide
Le criminel brandon de la Guerre homicide ;
Réveillez-vous, Martyrs aux humbles Croix de bois,
Portez à l’Eternel la clameur de nos voix,
Que sur la terre entière un souffle de justice
Ouvre les yeux du monde à votre sacrifice.
O morts pour la Patrie, entre tous glorieux,
Qui rejoignez au Ciel la ligne des aïeux! »
Emile GUILMARD
Extrait du livre
« DE LA VIE A L’AMOUR
DE L’AMOUR A LA MORT »
« Le papillon se grise de lumière
Avant de retomber poussière… »
Editions DAPHNE
M.CM. XXXVII
CANNES
« ML qui vraisemblablement hante la rdl sous d’autres pseudos »
bérénice
Ah bon !
Vous avez une idée ?
TKT ?
« … maintenant ,s’il y a affrontement entre blogueurs(ou euses) on est en pleine cour de recréation où la puerilité le dispute au ridicule . »
Bon, maintenant que vous avez exprimé votre opinion on fait quoi ? on cause littérature afin que vous puissiez vous abstenir de la lecture ?
@Lecteur et inconditionnel…
» Spectre du spectre : écrire dans une langue morte. Depuis le début je n’ai jamais parlé que de ça, que de ce questionnement-là. Et si je suis parti d’un grand-père et d’un conflit aujourd’hui centenaire qui pour la première fois, avec ses gaz de combat, rendit l’air de notre terre irrespirable (avec ce message subliminal, ce n’est pas la guerre qu’il faut craindre mais l’industrie qui lançait là un ballon d’essai en vue d’un futur empoisonnement des peuples dans les grands centres d’extermination, et plus tard de l’atmosphère avec ses particules chimiques en suspension comme autant d’épées de Damoclès), c’est qu’il me fallait, pour comprendre cette menace pesant sur le roman, remonter très haut et, grimpé sur mon arbre généalogique avec ses branches mortes, suivre la longue houle dévastatrice déferlant sur le vieux monde, emportant l’art du récit lui-même avec ses sujets.
Mais c’est de cet avis de décès dont je n’ai fait que parler jusque-là, même si les apparences sont contre moi encore, qu’il ait été question d’un grand-père fumant des cigarettes dans une 2 CV, des conséquences de la myopie, de la plus belle ornithologue du monde apercevant de la fenêtre d’une diligence un fugitif de la Commune, de l’arasement de la Bretagne ou de l’apprentissage de la guitare, il s’agissait toujours de comprendre pourquoi et comment on en était arrivé à cette déclaration funeste de la mort du roman, et avec quelles conséquences, littérairement
parlant, m’interrogeant sur cette curieuse disposition qui ligotait ma « main à plume » au moment même où elle s’apprêtait à se lancer, disposition qui n’était pas une vue de l’esprit, le résultat d’un cerveau imaginatif, paranoïaque ou définitivement marqué par l’expérience du deuil, je ne l’ai pas ressenti seul, ce sentiment d’une suspicion entourant le récit a été partagé, j’en ai parlé plus tard avec ceux-là, écrivains importants de ma génération, qui tous ont bataillé avec cette idée, certains finissant par baisser les bras, concluant de guerre lasse à l’impossibilité du roman. Mais alors, comment et pourquoi une société en était-elle arrivée à décréter qu’il n’était plus possible de raconter des histoires, à en convaincre les esprits créateurs, se privant du même coup de dire ce qui la fonde, la traverse, ce qui ne passe pas, ses failles, ses errances, et plutôt que de se voir dans sa vérité nue préférant casser le miroir, ce même miroir que Stendhal promenait le long d’un chemin pour définir son art romanesque ? Le Grenoblois avait emprunté la formule à un auteur oublié, Saint-Réal, un quasi-« pays » (Saint-Réal était de Chambéry), ce qui était une façon parlante d’avouer qu’il s’en remettait à la Sainte Réalité. Mais on comprend qu’une fois le miroir brisé, la réalité n’est plus sacrée, on peut la nier, la réinventer, la façonner, la faire à son idée, ce qui porte un nom, ce qui s’appelle l’idéologie, laquelle tend toujours à se débarrasser du réel (ou à le réinventer selon ses canons, comme dans le réalisme socialiste). »
Jean Rouaud, Un peu la guerre pages 138-139 Grasset éditeur.
C’est vrai que l’identité juive de Michel c’était plutôt un effet de comique qu’autre chose…
évidemment il chassait de race
Les gaz l’intérêt c’est qu’avec l’anticyclone des Açores et la dépression sur Gênes ils repartaient toujours dans l’autre sens… Et ça le Tudesque il pouvait pas capter… Hans ! Ja…
TKT ?
comme c’est un cousin de spinoza le voila français espingouin vontraube
c’est l’retour des gaz aprés opération que ça s’appelle sergio..c’est répertorié
On peut retrouver cela de Flavius Josèphe au Vassili Grossman de Vie et destin, son livre de chevet désormais.
flavius josèphe!!donc je rappellele nom de idal Naquet (lequel a écrit que les juifs ér
Les bois et les valons de votre vaillance,
Une seule faute de prosodie dans ce magnifique poème. Le vers ci-dessus n’a que onze pieds dû au fait que vaillance n’a que deux pieds (synérèse selon le Littré, juge de paix en la matière)
écrit aussi, en passant que les juifs étaient névrosés
et je signale qu’il y a Hommage de la ville de Paris à Pierre Vidal-Naquet, « militant contre la torture » dans la dénomination d’une esplanade du 13e arrondissement.
Le vin en cruche je vois pas pourquoi on n’en boirait pas… En plus ça casse le moral aux serveurs…
le « pichet du serveur » on se méfierait..srait foutu d’en boire et pisser pour remttre les niveaux..ha les salauds
http://www.leseditionsdeminuit.eu/f/index.php?sp=liv&livre_id=2147
http://www.flickr.com/photos/phil_marion/5904013072/sizes/o/in/set-72157626994967641/
Ses crispations parfois rageuses ou agressives sur son identité juive ,ses crises occasionnelles de pédantisme gratuit pouvaient irriter, mais je considere que c’était pour les « petits » comme moi de ce blog , qui viennent en » auditeur libre »
écrire « je suis un trouducul et je roule pour les enflures » aurait été plus court
Une petite suite pour vous donner du baume au coeur.
« Au Général Weygand, de l’Académie Française. »
« LE TRIOMPHE DE LA MORT »
« La Mort! Elle est partout, dans l’air, l’onde, la terre
Car tout naît, évolue, essaime, croît et meurt ;
Je marche…chaque pas écrase, au moindre heurt;
L’infinitésimal qui vit dans la poussière.
Complice est la Nature, aveugle, sanguinaire;
Le fort mange le faible anéanti de peur,
Et l’homme, par la guerre, est l’exterminateur,
Faisant des continents un immense ossuaire.
Le passé nous apprends que l’âge d’airain,
Les faux Dieux exigeaient le sacrifice humain,
L’autel n’était que meurtre et servait de prière.
Plus criminels encore, les modernes savants,
De notre pauvre race ont tissé le suaire,
En créant les virus qu’on sème à tous les vents. »
Emile Guilmard
Aimable, non?
aurait été plus court
Oui mais les plus Court sont les meilleurs.
bouguereau dit: 16 février 2014 à 16 h 20 min
pisser pour remttre les niveaux
Ach ja ! Wie in der Vaux Festung… Mais alors l’intérêt d’être nous le grenier de l’Europe, c’est que eux les impériaux dans leurs belles tranchées bien bétonnées – pas du Bouygues, hein ! – eh bien ils avaient rien à becqueter plus qu’à maigrir… Là c’est bien fait, corboeuf !
Le passé nous apprends que l’âge d’airain,
Onze pieds. (peut-être l’auteur a-t-il écrit l’âge de l’airain ?)
Par ailleurs, pour un sonnet qui se respecte, on ne peut faire rimer meurt et heurt avec peur et exterminateur.
« Chirac: c’est quoi déjà, la littérature? » (moi)
« Assez indigne » (Point sur les i et barre sur les t dit: 16 février 2014 à 14 h 54 min)
Accepté.
Inexact aussi: les pulsions sino-japonaises de Chirac l’ouvraient à des cultures (et peut-être des littératures) inconnues de ses successeurs.
Plus j’y pense, plus je suis effarée. Tout de même : voici quelqu’un qui avoue tranquillement, sur son blogue, qu’il va produire un texte sur la blogosphère, et en profiter, comme il ne m’aime pas, pour me prendre pour bouc émissaire, tête de turc, « cobaye ».
COBAYE.
Si je comprends bien, ses pratiques trollesques n’étaient là que pour me « tester », en tirer des conclusions et me ridiculiser ensuite.
Servir de cobaye à un détraqué ! Je crois en effet urgent qu’une véritable étude soit menée sur les trolls, tant leur personnalité est inquiétante. Nous sommes en 2014, et cela peut encore traverser un esprit humain ? Que cela puisse me blesser, m’amener à quitter ce blog que j’aime, par exemple, faire fermer les commentaires du mien, jeter le discrédit sur ma personnalité en employant systématiquement la calomnie – et l’autre, à l’aise dans son anonymat, souriant finement, se frottant les mains, tout à son mépris, qui prend des notes sur la manière dont je réagis.
Quelqu’un ici se rend-il compte de l’énormité de la pratique, du cynisme de l’aveu, de la complicité dégueulasse du petit noyau (femme, fille, soeur) qui assiste aux expériences en battant des mains ?
J’en suis encore éberluée. Même Daaphnée, qui me hait, n’en est pas encore arrivée à ce point-là d’indignité…
“un cousin de spinoza”
tu parles!
« Avec les polémiques entre lui et Mac on tangeantait la controverse litteraire »
Le règlement de compte de petits garçons narcissiques plutôt
« Le règlement de compte de petits garçons narcissiques » à coup de fiches de lecture trouvées au pouces…
u.
à part le discours du vel d’hiv et le refus d’aller faire la guerre en irak, il a rien foutu sinon se remplir les poches et la panse
ya des banques au japon
Marcel dit: 16 février 2014 à 16 h 36 min
Le passé nous apprends que l’âge d’airain,
Onze pieds. (peut-être l’auteur a-t-il écrit l’âge de l’airain ?)
Exact, mille excuses : l’auteur a écrit très précisément :
« Le passé nous apprend que dans l’âge d’airain, »
Oublié le « dans ». Désolé…(°!°)…tape trop vite!
Comme vous voilà alerte, convaincant et tonique, Paul Edel ce jour 12h25! Plaisir de vous lire de ce tonneau, d’où sans doute est tiré comme vous dites le vrai coup de rouge du soldat. Votre défense de ML, nuancée des corrections que vous y avez mises, bonne à lire, judicieuse, aussi! L’exercice d’admiration ou de défense vous va bien, finalement. Vous vous y montrez vif, pugnace, ardent, partisan et emporté, au lieu d’être tatillon, négatif, fermé, bougon… Formidable! Sûre que si vous recommencez à vous raser maintenant devant la glace, les traits dans le miroir ne paraîtront plus si fatigués. Un homme qui recommande la lecture de Bellow et Herzog aux autres ne peut être que fondamentalement au fait des choses, ne sera jamais vieux.
Pour la peine, je signerais bien Ramona, vous envoyant comme bande-son le bruit de talons « frappant le sol dans le style énergique des Castillanes » si cher à Moses, vous vous rappelez ? Toujours bon à prendre, en ce monde peuplé de Mady et de Valentin (cela dit, j’aime en réalité bcp le personnage de Madeleine, divine garce magistralement mise en scène par le grand Saul)
Beau billet sur Rouaud, PA. Juste ce qu’il faut, comme il faut!
Faut reconnaître la classe littéraire : c’est pas marqué « musée des arts sous dév’ » ou « musée des arts primaires » et le sumo c’est fin
Mais il est vrai qu’en comparaison du nabot ..
L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 16 février 2014 à 16 h 39 min
faire fermer les commentaires du mien
Y avait rien qui cramait ! « Et surtout, n’abandonnez jamais » professait sir Winston… Sir Winston, hein, pas sir Stephen…
on aura beau dire et beau faire, paul Edel on ne m’ôtera pas de l’idée que ML devait beaucoup à H.tle.r, et aussi, à ses braves tantes qui ne lui demandaient rien et dont il s’est abondamment servi pour expliquer son malheur, en petit épicier de cette grande tragédie
Lecteur et inconditionnel du livre papier numéroté, exemplaire N°89 dit: 16 février 2014 à 16 h 47 min
Merci pour ces beaux poèmes d’Emile Guilmard, rédigés dans la plus pure prosodie classique à l’instar de du Bellay, Corneille, Verlaine, Leconte de Lisle…
Si on pâture on a une chance de ferrer…
la forme d’ une âme dit: 16 février 2014 à 15 h 43 min
mais mais non, y’a tous les jésuites de France et de Navarre qui vont rappliquer.
Ses « clouds » psycho-socio sont assez pénibles à lire comme ça.
Ah, sergio, faites-vous donc une opinion. Vous allez ici :
http://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=121315
et lisez les billets des catégories « blogosphère » et « dans la blogosphère »… Certains d’entre eux sont particulièrement édifiants…
Et sans doute ne me prend-on pour cobaye que parce qu’on a discerné chez moi une sorte de fragilité, que je ne nie nullement, liée à une certaine facilité d’expression qui permet de « suivre » aisément ma pensée, et donc de s’amuser encore plus franchement de mes souffrances. Je sais bien que cela existe, mais enfin, personnellement, je n’ai jamais pris la moindre goutte de plaisir à arracher les ailes d’une mouche emprisonnée.
La honte est sur le troll, non sur sa victime. Qui sait même si ce ne sont pas les qualités de cette victime qui lui valent ce genre de petite persécution ordinaire, oh, si ordinaire n’est-ce pas… Une calomnie, une malveillance, un détournement systématique des textes proposés, une recherche acharnée de ce qui pourrait bien nuire…
Je dois décidément être bien intéressante, pour déclencher une telle passion malfaisante. Mais cela ne me cause qu’une tristesse supplémentaire : le dégoût d’une certaine forme d’intelligence, fondée sur le mépris total des sentiments d’autrui…
quel acharnement , dont je ne eux pas imaginer qu’il est post mortem, même d’une tentation d’avatar: quoi qu’il en soit, encore que scolairement en avance, je n’allais pas encore à la fac en 1960 et j’ignore si le étudiants et les professeurs et éditeurs, se débinaient de « narcisiques » ou « obessionnels »: ce qui est certain, c’est que la question « humble/modeste » en et la traduction dans la langue commune
par contre , je me souviens que en de la fac, dans des familles françaises de france apparemment assez banales,le « c’est psychique » pouvait fuser comme dénégation défensive et irresponsable
yaka dit: 16 février 2014 à 16 h 55 min
en petit épicier
Houlà l’Arabe du coin ça c’est un bienfaiteur… Parce que du Quatre roses à vingt-deux heures enfermé dans Paris, ça se trouve pas en creusant comme dans Giant…
« Vie et Destin », devenu le livre de chevet par excellence de nombre d’entre nous (dont le mien, depuis quelques années, avec également le bouquin de Bellow, La « Pastorale » de Roth que je garde toujours à portée de la main pour lutter contre la grippe et les angines, mon petit Boulgakov chéri pour les frasques de Béhémot et de Woland, quand j’ai besoin de rire ou d’un coup de pouce fantaisiste, un zeste de Lowry et d’O’Connor pour renforcer les défenses immunitaires, quelques autres talismans genre Kasischke ou Oê, et en avant…)
Je propose que dans les motels, la bonne vieille Holly Bible enfermée traditionnellement dans le tiroir des road-movies et des westerns soit remplacée par un pool comprenant le livre de Grossman, quelques autres précités, une chose ou deux de Hrabal, Raymond Carver and so on – à discrétion.
« C’est MON steak, Liberty » en imaginant un livre de Dosto posé à côté du lit, ou encore « Drive », quand Toni Colette se fait dézinguer à coup de gros calibre à travers la porte, ou lorsque Gosling fait risette à son camarade, à coups de pied, dans l’ascenseur…penser qu’il y a « Réflexion sur le péché, la souffrance et le vrai chemin » de Kafka glissé dans sa besace… j’aime bien.
@Clopine : Je sais bien que cela existe, mais enfin, personnellement, je n’ai jamais pris la moindre goutte de plaisir à arracher les ailes d’une mouche emprisonnée.
Ah, l’aveu ! Clopine arrache les ailes des mouches, des pauvres mouches, des innocentes mouches qui ne lui ont rien fait et qu’elle a de surcroît mises en prison, et circonstances aggravantes, elle n’en tire aucun plaisir !
Marcel dit: 16 février 2014 à 16 h 36 min
« Le passé nous apprends que l’âge d’airain, »
Hello Marcel, au pas sage! le passé nous apprend sans (s)…(°!°)…Je t’aime lorsque tu brilles seulement, quoique, finalement, in fine les deux me conviennent, tu vois, pas compliqué la lecteure(sse) inconditionnelle(ses).
Marcel, fausse route. Je n’ai jamais mutilé le moindre être au monde. Tout au plus ai-je participé à la mort du cochon. Et encore, c’était pour le manger.
« Merci pour ces beaux poèmes d’Emile Guilmard, rédigés dans la plus pure prosodie classique à l’instar de du Bellay, Corneille, Verlaine, Leconte de Lisle… » Pas de quoi mon très cher Marcel, c’est encore avec les vieux pots que l’on fait la meilleur cuisine, proverbe ancien mais judicieux, auquel je reste très attaché!
17 : 29, faute d’orthographe en vue. Manque un « e ». Seriez pas des fois un troll qui tenterait de noyer le poisson des expériences à cobaye ???
tiens donc :
« Comme souvent, le mieux c’est de transformer la chose en jeu. D’interdire le « Mais ».
http://maragoyet.blog.lemonde.fr/2014/02/16/mais-madameuhhhhhhhhh/
Chirac et la Litté-rature
J’ai revu des images d’une de ses nombreuses campagnes (je ne dis pas compagnes…)
Je crois que c’était contre matricule « Michel »…
Il était coiffé de frais, très détendu…
Face à lui… un « immense » sociologue (docteur d’état please!), en faire valoir.
Celui-ci bafouille deux trois sentences usés
avant d’être dites, style « fracture sociale ».
Chirac, est soudain profond, opine du chef, il sort un beau stylo-plume (sans doute en or), et s’excuse d’interrompre le « maître » (dixit) pour prendre deux trois notes sur cette « si riche conversation » dont par avance il regrette « de ne pouvoir répondre aussi complètement qu’elle le mériterait ». Et le grand Universitaire Sorbonnard cache mal son plaisir à disserter de plus belle (à déconner dirons d’autres).
C’était du grand Chirac. Différent d’avec Marchais, mais tout de même…
Parait-il; il portait partout avec lui un gros « cartable » (de cuir; et sans doute au Japon ou à Maurice), lequel aurait contenu (sinon un casse-croute) ses « recherches » sur des aspects ignorés, et apparemment minimes, des « Art premiers » (je répète la Blague de G. Bedos, sur une thèse concernant l’histoire de l’évènement du 14 Mars 1117 à Minuit, au Lendemain 15 à O heure 2; ou peu importe…).
Y travaillait-il ? en tout cas C’était son fond intellectualo secret; lui complexé face à Pompidou lettré et Giscard scientox.
Peut-être l’a-t-il toujours ce lourd ET mystérieux cartable ?
lONGUE VIE jACQUOT !!! te désespères pas pour la Pléiade…
Je n’ai jamais mutilé le moindre être au monde. Tout au plus ai-je participé à la mort du cochon. Et encore, c’était pour le manger.
Elle a tout bouffé même les preuves!
« « L’herbe était rouge de sang ». On peut retrouver cela de Flavius Josèphe au Vassili Grossman de Vie et destin, son livre de chevet désormais. Des œuvres balisent la route, »
Si vous vous dirigez sans carte, au panneau vous pouvez ausi tourner dans l’allée Arthur Rimbaud, c’est à côté du Port de la gare.
ML, j’aimais bien ce bonhomme, un jour nous nous sommes disputés, il disait croire en cette idée qu’il puisse exister une Vérité absolue, cette vérité des philosophes, il était un érudit qui pensait que l’érudition puisse servir à autre chose que nous protéger de nos peurs, je n’ai jamais osé lui avouer que je partageais ses peurs, sacré ML, il savait aussi se montrer drôle et il me faisait souvent rire, son désir d’être juif m’effrayait un peu, pauvre ML, on raconte qu’il a été renversé par un bus, il roulait sur son vélo solex quand un bus a surgi et s’est jeté sur lui comme une bête furieuse, on raconte aussi que le conducteur du bus était juif, la vie se montre parfois sous un jour bien ironique, lui qui aimait à la fois Nietzsche, Socrate et la vérité révélée au grand jour, je n’ai jamais pu m’empêcher d’avoir pour les érudits cette même tendresse qu’on accorde à ces enfants chez qui la violence cache maladroitement leur innocence pour les choses viles de l’existence, c’est qu’il il nous faut avoir une telle confiance dans l’intelligence des hommes si nous ne voulons pas sombrer dans la folie, même si cette intelligence a l’évidence, n’est en vérité qu’une triste illusion.
Elle était mignone la petite infirmière-accoucheuse qui venait soigner tes jambes douloureuses jusque dans ton antre !
ha baroz il a vu call the midwife..oui elle était mimi
ferme ta sale gueule keupu
Elle a tout bouffé même les preuves!
tout est bon dans le..
17h48 : bouguereau en pleine forme après la cuite
c’est que nous avons cru pouvoir nous alléger du poids du réel, en multipliant à l’infini les discours nous avons pensé que cela nous permettrait d’apprivoiser la réalité du monde. Nous avons tout misé sur la connaissance. Nous avons accordé notre confiance en cet homme qui avait écrit seule la connaissance peut nous libérer de nous-mêmes, de nos déterminismes. Jamais une époque comme la nôtre n’aura autant appartenu à cet homme dont le métier était de polir des verres pour la vue. Cet homme, rejeté d’une communauté ayant elle-même subi les violences de l’histoire des hommes, pour entrer dans une nouvelle communauté bien mieux considérée par l’histoire des hommes, la communauté des philosophes, ces individus qui nous permettent de continuer de croire dans l’intelligence des hommes. Notre époque aura poussé ce désir de connaissance à un degré que personne, Spinoza lui-même, n’imaginait atteindre. En poursuivant cette voie nous avons fini par nous perdre.
Elle n’en peut plus la Clo-Clo.
Elle a trouvé un pauvre gars qu’elle peut affubler du nom de troll (son mot favori après Moi et Onfray)
Maintenant elle va nous en bassiner pendant des jours et des jours (des semaines peut-être) jusqu’à en oublier Proust et ses choux (euh non, madeleine)
Pauvres de nous.
Y avait rien qui cramait ! « Et surtout, n’abandonnez jamais » professait sir Winston… Sir Winston, hein, pas sir Stephen…
comme avoir du cul avoir de l’estomac c’est une métaphore clopine..par exemple apollon a les deux..sans durillon de comptoir et sans dodeliner
Ce « pauvre gars » qui se réjouit, sur son blogue, d’avoir trouvé un cobaye à tester… Depuis trois ans !!! Décidément…
troll désespéré, vous en prendrez bien pour trois ans ? Vous allez voir : c’est vite passé.
« En poursuivant cette voie nous avons fini par nous perdre. »
Et il est où le problème ?
bouguereau dit: 16 février 2014 à 17 h 54 min
comme avoir du cul avoir de l’estomac
Parce que sir Stephen, lui, il a dit « tu seras chevêche » : c’est un esthète, aussi…
Art Spiegelman :
http://www.theparisreview.org/blog/2014/02/13/the-silent-treatment/
clopine bourrée comme un coing, le nez violet, le cul sur le tabouret à traire, elle se relève pus.
@Troll désespéré dit: 16 février 2014 à 17 h 52 min
Ne vous inquiétez pas pour moi, je suis solide.
Je ne pense pas être un troll, d’ailleurs.
Maintenant elle va nous en bassiner pendant des jours et des jours (des semaines peut-être)
Pas des jours, des années faut que ça dure.
copié de wiki sans remords
Poltergeist est un nom absent de la quasi-totalité des grands dictionnaires français contemporains10. On le traduit couramment par l’expression « esprit frappeur »11. Pour le remplacer, l’écrivain et parapsychologue René Sudre a proposé sans succès le néologisme thorybisme, par dérivation du mot grec Θόρυβος [Thorybos] signifiant bruit ou trouble12. En 1948, le docteur Thomas Bret utilise, sans plus de succès, l’expression Métapsychorragie métacinétique13.
écrire « je suis un trouducul et je roule pour les enflures » aurait été plus court
Putain, quand on voit à combien ils s’y mettent pour écrire « je roule des pelles chez les lèche-cul en me la jouant faux soyeur » tout en se rêvant autre chose qu’hypocrites…
et cette fois-ci à tous , un salut et saluez bien pour moi vos crocodiles. je vous laisse tous vos cieux et vos enfers
Ah ! Proust… tous ces gent qui s’obstinent à en parler plutôt qu’à le lire…
« et cette fois-ci à tous , un salut et saluez bien pour moi vos crocodiles. je vous laisse tous vos cieux et vos enfers »
Jusqu’au prochain pseudo qu’elle estimera assez originale pour le coucher sur le Net…
clopine bourrée comme un coing
En même temps si tu la met à tremper directe dans l’eau de vie, elle va encore plus gonfler.
Y paraît que c’est bon, le crocodile… Ca doit être un gastéropode il a l’estomac dans les talons…
cela faisait des mois que je ne m’étais aventuré ici; rien n’a changé, toujours les mêmes commentaires, les mêmes bavardages, les mêmes échanges acrimonieux entre Mme Clopine et ses admirateurs-détracteurs… Bref, heureusement que les textes proposés sont d’un autre niveau que certains commentaires affligeants. Mais sont-ce vraiment des commentaires? Plutôt des élucubrations, des jacasseries sans queue ni tête…
renato dit: 16 février 2014 à 18 h 30 min
Ah ! Proust… tous ces gent qui s’obstinent à en parler plutôt qu’à le lire…
Si si si il a écrit une première phrase et on dit chapeau bas… Mais le mieux c’est quand même le vieux Salamano et son chien tant qu’il y a de l’escalier on ne s’en lasse pas avec un Combaluzier ça pourrait pas marcher…
un manque absolu de vergogne ! Lucien Bergeret, qui raconte tout de son trollisme à mon égard, continué assidûment pendant trois ans au motif que, ne m’aimant guère, il m’a prise pour cobaye, vient affirmer ici son « non trollisme ». ben voyons. Quel petit pdzouille blafard et peureux : quel courage, c’est vrai, ce genre de pratiques… Bonjour, Monsieur du Corbeau ! Bergeret, quel courage ! Quel respect pour autrui ! Votre grande culture n’a d’égale que votre exquise personnalité. Je sens que vous ne tenez pas de joie, là… signé : celle que vous désignez si élégamment sous les termes « l’emmerdeuse »…
et c’est très peu dire que j’en ai marre.
l’
et c’est très peu dire que j’en ai marre.
la semaine passée, une jeune femme qui avait étudié le marketing me précisa qu’elle voulait exercer ses talents dans l’auto -édition:plus jeune elle s’était mise à écrire : je lui ai recommandé quelques liens et de passer au salon ,pendant que vous serez à la buanderie
un problème ? qui a parlé d’un problème ?
ce n’est pas un problème, juste le début de l’histoire, l’entrée dans l’ère ultra spinoziste, j’allais justement vous dire la suite, coupé dans mon élan, coup de barre : maintenant que le record de Bubka a été battu plus rien ne va arrêter les perchistes, même pas la barre.
Lucien Bergeret n’aime pas Clopine, il le dit.
Clopine n’aime pas Christiane, elle le dit.
Lucien Bergeret est un troll,
Clopine est une femme bafouée.
Comprenne qui pourra.
signé : celle que vous désignez si élégamment sous les termes « l’emmerdeuse »…
ça c’est sous l’influence de Claude Simon(lire sa bio-graphe): il reste, pour faire bien français, « grande gueule » dont P.Assouline?en bon franaçis et critique qui se respecte avait gratifié Nadine G à tweet heure
les potspar anneaux répondent par histoires de bio dit: 16 février 2014 à 18 h 44 min
A bientôt
Ne partez pas les mains vides !
http://books.google.fr/books?id=I3U5AAAAcAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false
si élégamment sous les termes « l’emmerdeuse »…
clopine elle aurait mieux compris pouffiasse, counnasse ou sac-à-pine.
c’est la vérité, ces commentaires sont affligeants, toutes élucubrations sans queue ni tête.
faits comme moi : venez sur ce blog juste pour lire l’article de Monsieur Assouline sur Jean Rouaud et sa bonne tête de nietzschéen, en évitant d’envoyer des commentaires qui ne servent à rien.
car c’est bien là fond du problème : la recherche du berger, le troupeau humain est en quête d’un berger qui pourra le guider sur le bon chemin, car ce brave troupeau a le sentiment désagréable d’être dans un avion où le pilote s’est barré prendre un café et il ne revient pas.
alors de grâce cessons d’envoyer des commentaires débiles et attendons en silence le retour du pilote ! sans perdre notre calme et notre sang froid, attendons tranquillement le retour du berger.
..mais ta gueule keupu
dans notre avion, en attendant le retour du pilote, par bonheur nous avons des gens de bonne volonté qui occupent notre temps, histoire que nous le trouvions moins long, parmi ces gens qui occupent notre temps nous avons les nietzschéens, les romanciers et les historiens, qui d’autre qu’un écrivain historien nietzschéen comme Jean Rouaud pourrait nous permettre d’attendre tranquillement le berger qui guidera le troupeau humain ? qui ? personne car il faut des gens qui sachent nous raconter des histoires, les massacres passés, les tranchées de 14-18, connaitre sur le bout de nos dix doigts les misères et les malheurs des hommes permettra de reconnaitre notre Berger le jour où pointera le bout de son nez, n’est-il pas ?
Y paraît que c’est bon, le crocodile…
j’en ai mangé une fois..enfin on m’a dit que ça en était, c’est la queue qui se mange..il y avait des restau de viande de brousse à amsterdam..hum..pas terribe..il avait tous dans la cambuse des tête de faisan et les clients des têtes de pigeon que ça aurait pus être du poulet classe a
Hamlet, où êtes-vous allé chercher l’idée que Jean Rouaud était Nietzschéen ? Pas le genre de la maison à ma connaissance.
Pour le reste, toujours le même souk dans cette crèmerie. Amusez-vous bien.
tout est dit dans le roi Lear, quand le duc de Gloucester se fait arracher les deux yeux par le duc de Cornouailles et sa femme Regane, fille de Lear, Goucester trouve un fou, Tom (en vérité son fils banni Edgar) qui veut l’aider à trouver son chemin, Gloucester a cette réplique admirable et drôle : un aveugles guidés par un fous ? voilà le destin des hommes. alors attendons comme Gloucester le fou qui nous prendra la main pour nous guider…
sacapine ça fait compositeur russe..la musique est bonne bonne bonne
qui demande à qui d’aimer ou de ne pas aimer sur ce blog ?
il y en a qui vont racontant une vie comme la leur et qui est peut-être la leur : mais de là à parler de biographie !!et puis après la sauce massue psychanalytique du nom du père!
le mot de Lacan qui me semble si éclair
Hamlet quel est l’équivalent de la Pléiade aux Etats-unis, je me pose cette question après le 1/4 d’heure américain de la reine et votre sang froid qui conduit à T Capote .(vu le film, De sang froid et pas Drive évoqué plus bas) .
le mot de Lacan qui me semble si éclairant dans la meme ligne que celui de Spinoza est
« l’inconscient se rabat sur le corps »: donc les QI , groupes sanguins ,ADN et genome et tout le saint frusquin ….
gardez bien votre virgilecteur assouline !
je me tire!
En accord avec bouguereau, là : …mais ta gueule keupu
c’est ça qui a toujours été si génial sur le blog de Monsieur Assouline : le bordel qui y règne.
que ceux qui ont peur du bordel s’en aillent, pour ma part j’y reste, j’adore le bordel et encore plus que le bordel j’adore les trolls.
allez venez les trolls, prendre son bain dans le crachat des insultes, du venin des trolls.
gentils trolls, autrefois ils peuplaient les forets, mais il fallait connaitre les endroits où ils se cachaient, leur visage est hideux autant que leur âme, ils apprenaient aux enfants à lire et à écrire, ensuite ces enfants quand ils voyaient un chèvre la nommaient poisson et pour un un poisson ils disaient qu’il était une chèvre, maintenant les gens parlent des trolls mais ils n’en ont jamais vu un seul.
effectivement, j’ai écrit P.Assouline, bon français , français, français à mourir
Monsieur Hamlet
Votre chaîne de raisons, semble nous conduire à croire que ce pauvre Spinoza se serait fait déchiré son beau manteau d’un coup de couteau, et même se serait fait chassé d’Amsterdam (ce qui est un comble) parce que ses pairs auraient au préalable, beaucoup souffert (?)
Là comme ailleurs, Est-ce bien la Raison ?
Quant à celle-ci; dès le Cours Traité il prenait soin de dire – notre polisseur de lentilles de verre-, que ladite Raison ne suffisait point à la santé de l’âme.
En vérité, nous sommes intoxiqués par le Spinozisme à toutes les sauces; d’autorité. Il y a peu de temps, dans ce Blog, nous avons eu même droit à une tartine « en latin » qui plus est de l’Ethique (histoire de vraiment ne rien comprendre); ne parlons pas des motifs.
Pour évoquer volontiers Althusser; je dirai que ce dernier notamment, a perdu son monde (qui m’aime me suive…) avec son « troisième genre » de connaissance (oubliant volontiers le quatrième d’ailleurs; mais Hélène ne l’oubliera pas, elle…)
Non, il ne s’agit pas de nier l’importance de Spinoza, et je répète, son manteau troué nous le rappelle. Mais Hegel, qui l’aimait bien aussi, désignait cette philosophie par ce qui loin d’être son petit bout, pourrait bien être sa voie d’accès royale contre toutes ses exploitations. Il disait dans la Grande Logique, que sa philosophie faisait penser cette philosophie aux bâtonnets avec lesquels les enfants apprennent à compter (il vaut mieux que ce soit lui qui l’ait dit…)
Voyez; loin d’inviter à approfondir le « troisième » genre, c’était une invitation à se pencher sur le tout premier finalement. Oui, celui dont tout dépend; et que toute philosophie universitaire quelle qu’elle soit, évite à tout prix (toute l’œuvre de Bachelard s’établit sur ce refoulement de l’intuitif. Et les « groupes spinoza » qui approfondissent le « dernier » Althusser, c’est à mourir de rire. Après tout mieux vaut l’introduction terre à terre de BHL aux Lettres à Hélène).
Jean Rouaud ignore qu’il est nietzschéen ?
il y a tant d’individus qui ignorent qui le sont, c’est là une bien triste situation.
hamlet dit: 16 février 2014 à 19 h 28 min
T’as aucune chance mon dexter chéri, les trolls t’adorent, seuls les matuvus qui signent de pseudos douteux peuvent-t-en vouloir.
Nous ont t’aiment.
« No arguments here… », chi ha orecchie per intendre intenda :
ce grand vieillard, officier de la Wehrmacht qui dinait sous l’Occupation avec le gratin collabo à la tour d ‘argent aprés avoir signé dans la matinée quelques paperasses dans son bureau pour fusiller des résistants au Mont Valerien (Paul Edel)
A l’heure qu’il est, Paul Edel n’a pas daigné fournir le moindre commencement de preuve à ses allégations à propos de la prétendue participation (administrative) d’Ernst Jünger à des exécutions de résistants. Paul Edel doit confondre Ernst Jünger avec Maurice Papon.
et je vous laisse une image en écho à la cheminée assoulinienne
Vous avez raison, tous. Je perds mon temps à essayer d’exprimer l’indignation que des pratiques comme celle du corbeau Bergeret éveille chez moi. Il ne peut tout simplement pas comprendre, ayant l’âme trop basse… Et il est bien trop inoccupé, à 71 ans, ayant passé trois ans de sa vie à me guetter pour m’utiliser, pour ne pas être atteint d’un insondable ennui qui se propage déjà jusqu’à moi. Quand même, inspirer de la haine à des personnages comme Daaphnée, Jcé, Bergeret : je suis sur la bonne voie, me semble-t-il. Mais j’aime trop la littérature, et notre hôte, et la vie, pour consacrer du temps à un combat perdu d’avance : comment faire passer un sentiment de honte à des gens si manifestement dépourvu de retour sur eux-mêmes,qu’ils s’attaquent à quelqu’un rempli de doutes, comme moi, et imprégné du sentiment de ses si profondes insuffisances ? je vais arrêter de polluer le blog de notre hôte avec mes sursauts indignés – personne ne semblant partager mon indignation, mais ça, l’histoire nous a déjà montré des processus de ce genre. Et revenir à ma passion : la littérature. Voilà, pardon tout le monde (sauf les trolls, bien sûr), et bonne nuit. Je parlerai tout de même de cette histoire à mon avocate. Etre prise pour convive ridicule d’un dîner de cons concocté par un corbeau lâche et venimeux comme Bergeret (et les autres), cela vaut peut-être une valeur d’exemple, et les victimes de ces détraqués du bulbe pourraient peut-être être soulagés…
Un mot encore : pas d’erreur, hein. Je n’agis pas, je n’ai JAMAIS agi dans un mépris pareil pour autrui, même si mes agacements (par exemple envers Christiane ou d’autres, dont les opinions et les croyances sont radicalement différentes des miennes, n’ont JAMAIS NON PLUS été la cause d’une demande de silence de leur part) peuvent être parfois rudes. Rien de commun, cependant, avec les profondes humiliations reçues ici à l’envi. Dire que le constater passe, pour ces petits esprits, pour une preuve de faiblesse, c’est assez dire la déliquescence de l’élite intellectuelle d’un pays décadant. On verra ce que mon avocate en dira : je me rangerai sagement à son avis, et en attendant, j’étouffe tant que je m’en vais ouvrir ma fenêtre, aspirer une grande bouffée de l’air frais de la nuit, regarder « la grande illusion » et laisser les corbeux tenter de manger leurs fromages faisandés.
J’en appelle à tous les braves coeurs qui, parfois, souvent, sont venus à mon secours. Ils ne savaient pas que ce n’était PAS des réactions épidermiques à l’évocation naïve de ma vie,mais une entreprise délibérée de destructions, « pour voir », quoi, et rigoler un bon coup, en toute cuistrerie.
Chuuut, Clopine. Prends tout cela aussi légèrement que tu le peux. La boue clapote à tes pieds, mais ta tête, elle, est toujours tournée vers le bonheur de vivre.
les potspar anneaux, dommage le jeu de mot inaugural était bien trouvé, qu’est-ce qui vous fâche? Votre contribution flottait comme revêtue d’un gilet fluorescent, L’influence du psychisme sur le physique a je crois été observée bien avant Lacan et notamment au cours de cette guerre 14/18 avec ces soldats qui pour ne pas mourir et pas seulement de peur perdaient l’usage de leurs jambes, je n’en sais pas plus, d’autres fourniraient une documentation étayée.
ce n’est pas la question de savoir si nous sommes intoxiqués par le spinozisme, si nos philosophes ont fait de Spinoza et de Nietzsche leurs idoles, et je ne vois ce que vient faire là dedans ce has been de Hegel, Hegel est mort et enterré avec l’Histoire, nous n’avons plus d’Histoire, il ne nous reste plus que des historiens, comme la littérature.
non, la question ne se pose pas : nous sommes tous des spinozistes, mais nous ne le sommes pas encore vraiment, nous y allons à pas feutrés, la question est de savoir : à quoi ressemblerons-nous quand ce monde sera devenu totalement spinoziste.
vous savez mon ami, c’est le tragique de l’humanité ne jamais oser aller jusqu’au bout de leurs idées, les gens ont des idées mais ils ne les mènent pas à leur terme, ils s’arrêtent toujours à mi chemin.
sauf pour le spinozisme, ce sera un première :
vous avez lu Spinoza ?
vous avez aimé Spinoza ?
et ben ça tombe bien parce que vous allez devenir spinoziste !
Vous avez raison, tous.
Ta gueule, Clopine!
On s’en fout de ta merde, bouffe-la, dégage, va chier et casse toi les 2 jambes!
bouguereau dit: 16 février 2014 à 16 h 24 min
« je suis un trouducul et je roule pour les enflures »
Bravo Bouguereau de le reconnaître enfin!
Maintenant, au tour de Jean Colombet du Mont-Chauve.
Jean Colombet, peux-tu recopier cette phrase et la signer?
Merci à toi.
notre grand malheur est que Nietzsche ne soit pas né 50 ans plus tard : il aurait eu 20 ans en 1914.
et croyez-moi : avoir 20 ans en 1914 ça vous calme toutes les ardeurs d’éternel retour.
quand on pense à tous ces pauvres gamins qui n’ont pas été épargnés par cette guerre, pourquoi faut-il qu’un petit malin comme Nietzsche en ait été épargné ? s’il y en a bien un qui aurait mérité ce destin c’est bien lui !!!
Attention au tricot, hamlet, ça : » s’il y en a bien un qui aurait mérité ce destin c’est bien lui !!! », sent le pipi de chat…
Chaloux. dit: 16 février 2014 à 19 h 53 min
Tiens, v’là la burne.
un petit malin comme Nietzsche en ait été épargné ? s’il y en a bien un qui aurait mérité ce destin c’est bien lui !!!
Complètement débile !
Oui Daaphnée, tout à fait ça, les pauvres gens…
non, pourquoi ? si les philosophes avaient commencé leur vie par les tranchées de 14-18 cela aurait changé l’aspect général de la philosophie.
exemple, au hasard, prenez Nietzsche : en 1914, à 20 ans, il aurait vu des dizaines de chevaux martyrisés, il serait devenu neuneu à 21 ans et aujourd’hui nous n’aurions pas à supporter tous ces bataillons de crétins de nietzschéens.
Vous savez bien, hamlet, qu’un philosophe, fit l’expérience des tranchées… (L. W.).
Vous devriez aussi savoir que l’histoire du cheval est fausse… et de quel roman elle fut tirée…
« … aujourd’hui nous n’aurions pas à supporter tous ces bataillons de crétins de nietzschéens. »
Enfin, dexter, qui vous oblige à les supporter !
Quel raisonnement, Hamlet !
Ensuite dans ces nietzschéens que vous conchiez, je présume que certains en chantent l’air mais n’en connaissent pas les paroles, non ?
Donnez des noms, ce sera plus simple.
Wikipedio dit: 16 février 2014 à 20 h 14 min
la mauaise langue a commis l’erreur de s’imaginer que ce blog se prêtait à des « discussions » à peu près sincères comme celles de la correspondance entre Sholem et Strauss précédemment évoquée et le raducteur qui la présente croit néanmoins nécessaire de dire qu’il n’y a aucune hypocrisie dans les opinions qu’ils expriment et la manière dont ils les expriment !
assez de cette psychologie controllesque, qui rappelle l’age de truc et de machin, et autres comédies .
Si je n’ai plus telle passion de « la littérature », c’est en partie à cause de ses façade de critiques que j’ai eu l’occasion de connaître dans une autre pratique l’écriture stricto sensu . il est possible que certains ne connaissent que oui et non selon que c’est dit par une femme ou un homme , mais je dis assez , assez des erdéliens aux doigts pleins de coquilles.assez de la crémière , du cul de l’ânesse, et de leur humour supposé littéraire
à 20 h 19 min,
avalez enfin cette fourchette que vous avez à travers de la gorge depuis que la Medici vint en France…
Donnez des noms, ce sera plus simple.
par pitié pour les lecteurs, non.
ne transformez pas ce blog en n’importe quoi: ceux qui l’ont quitté ont eu la délicatesse de rester plus réservés
« je suis un trouducul et je roule pour Chaloux »
En philosophie -mais ailleurs aussi sans doute-, rien n’est jamais enterré !
La preuve; Hegel prétendait dépasser Spinoza… et à peine avait-il été lu à moitié (en France)qu’il était victime du « retour » épistémolo. à Spinoza…
Bref je ne crois pas du tout à la fatalité d’un tel envahissement; et pour ma modeste part, comme j e l’ai indiqué, j’emprunte en somme « l’échelle de Jacob » à l’envers, tête en bas, comme les commandos Marines (plutôt les Jésuites que Bachelard)
Oui, quoi d’autre alors ?
J’ai pu évoquer le beau passage d’Hegel (Science de la Logique/p 23), où contre l’exégèse il faut bien le dire, il dit que chez Spino. l’acte de déduire (le syllogisme) ne « vaut pas plus cher qu’une manip. de bâtonnets d’inégales longueurs… jeu auquel se livrent les enfants – … et tableaux découpés de façon varié, à rechercher les morceaux qui s’adaptent l’un à l’autre. Ce n’est donc pas à tort que l’on a assimilé ce penser au calculer et le calculer en retour à ce penser ».
Précisément Einstein qui bien évidemment se disait spinoziste, en était venu à la fin de sa vie, dans son Autobiographie, à vanter (donc à rebours de Spino. en vérité)ces jeux géométriques amusants, comme base de l’étonnement/émerveillement (Wunder)et probablement laissait-il entendre de l’essentiel de sa façon de penser et de ses découvertes; il disait en somme que les bouleversements scientifiques ne procèdent jamais de l’approfondissement du « troisième genre »
Ce n’est qu’une piste; mais pour éviter de s’égarer en chœur, avec celui qu’Alexandre Adler, n’a pu éviter de qualifier comme le « plus grand »…
Je proteste. Jean Colombet s’est servi de mon url !
Chaloux. dit: 16 février 2014 à 20 h 09 min
Oui Daaphnée, tout à fait ça, les pauvres gens…
Fayote pas Chaloux, t’es trop nul, même elle s’en aperçoit.
renato dit: 16 février 2014 à 20 h 26 min
renato ne nie pas être le roi de wiki.
Un progrès.
joyeux, ils ont censuré alors que je n’opinais sur personne , ni philosophes , ni sur erdéliens .
il y a beaucoup à conclure du départ deceux qui n’ont plus le coeur à rentrer dans ces jeux de misère !
que P.Assouline se laisse dicter ces comédies pour complaire à ses am-e-s est triste
a ses ami-e-s
L’humour est à la vie ce que les palissades sont à la vérité.
C’est du dégoût que m’inspire ce blog , a fortiori lorsqu' »on » y parle « d’humour ».
f
d’ailleurs, j’ai remarqué que les femmes qui se croient « littéraires » et auxquelles on suggère de visiter ce blog disparaissent
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