Jean Rouaud, confession d’un enfant des stèles
Mais non, il ne s’agit pas d’un texte de circonstance publié à point pour la commémoration de 1914. Rien à voir. Après Comment gagner sa vie honnêtement et Une façon de chanter, il s’agit du troisième volet du cycle « La vie poétique », autobiographie littéraire de Jean Rouaud avec Un peu la guerre (253 pages, 18 euros, Grasset). Pas son genre pourtant. D’ailleurs, il l’avoue d’entrée : à force de s’éviter, il n’a guère le goût de parler de lui. N’aime pas encombrer. Ce que Jacques Perret appelait « le racontage de mézigue ». Seulement voilà : pour raconter son « chemin d’écriture », puisque c’est bien cela qui trône au coeur du projet, il fallait en passer par là. Mon corps à corps avec la syntaxe, mes batailles avec le style, mes escarmouches avec le lexique. Etant entendu qu’un tel chemin est nécessairement ponctué de zones d’ombre, nul autre que lui ne pouvait en dresser un relevé quasi topographique en tenue d’arpenteur.
« Quand tout a été inventorié de l’espace, le temps devient le nouveau blanc à cartographier »
Né en 1952 mais hanté par les deux guerres. Leur trait d’union ? Les mots qui vont pour l’une comme pour l’autre. « L’herbe était rouge de sang ». On peut retrouver cela de Flavius Josèphe au Vassili Grossman de Vie et destin, son livre de chevet désormais. Des œuvres balisent la route, nécessairement, de La relation de voyage de Cabeza de Vaca à Asphalt jungle de John Huston. Ses détestations aussi. Tout ce qui touche au fantastique par exemple. De quoi lui faire rejeter La Métamorphose de Kafka à l’égal de n’importe quel Poltergeist ! A moi, ô mânes de Gregor Samsa…
Deux hautes figures dominent son retable intime. Celles de Breton et de Chateaubriand. Seulement Rouaud, on se demande parfois si c’est lui qui suit ses Nadja dans les rues de Paris, ou si c’est elles qui le suivent tant il semble aller d’un pas décalé. De Breton, il veut oublier l’inquisiteur pour ne retenir que le message d’amour, de liberté et de poésie. Pas sûr qu’il arrive à convaincre.
Sa mémoire exagère peut-être un peu la « censure » des années 70, cette chape de plomb officieuse qui permettait au Parti de tyranniser jusqu’aux esprits les moins communistes. Viktor Kravtchenko, Arthur Koestler et Arthur London était certes voués aux gémonies, mais on pouvait quand même les lire. A condition de le vouloir. Et s’il est vrai que le best-seller très « guerre froide » du premier J’ai choisi la liberté (1947) ne s’est plus trouvé par la suite que chez les bouquinistes, il fut réédité dès 1980 à grand bruit aux éditions Olivier Orban. De même sa mémoire vagabonde, parfois assez impressionniste, lui fait mettre dans la bouche de Robert Brasillach l’injonction à l’Occupant de ne pas oublier de rafler « les enfants » alors qu’il s’agissait des « petits », ce qui est pire encore.
Il y a de beaux morceaux, plus longs et plus chaleureux. Rouaud s’y affirme d’une grande finesse dans l’analyse critique des livres. Ainsi décortique-t-il pour notre édification La semaine sainte d’Aragon avant de résumer d’un trait ce qu’il tient pour un roman-fantôme : « Des hommes à cheval sous la pluie » plutôt qu’à la manière d’un roman historique racontant la fuite vers le Nord de Louis XVIII après le retour de Napoléon débarqué à Golfe Juan, le narrateur mettant ses pas dans ceux de Géricault. L’admiration pour un tel livre n’allait pas de soi après 68. On entendait alors de drôles de choses dans les amphithéâtres. Que la langue, glaive de la classe dominante, était fasciste. Que le roman était digne d’être empaillé aux fons de présentation au Musée des Arts et traditions populaires. Comment en était-on arrivé là ? La question n’a cessé de la tarauder depuis. Au fond, avec le recul, ça l’arrangeait bien que fut dressé ainsi cet acte de décès au moment où il entreprenait ses études. Ca lui évitait d’affronter ses démons. Mais ce fut plus fort et, sitôt passé le pont, ses fantômes vinrent à sa rencontre dans l’exceptionnel Les Champs d’honneur (Prix Goncourt, 1990) et Des Hommes illustres pour commencer. A la veille du grand saut, au moment de se lancer dans cet immense chantier, il savait ce qu’il voulait :
« Ressusciter le roman pour ressusciter mes morts. Quia respexit humiliatatem ancillae suae, chante le Magnificat de Bach. Parce qu’il s’est retourné sur la plus humble de ses servantes. Se retourner sur l’humble monde mon enfance pour affronter le visage de Gorgone de la mort. Je n’en avais alors tout simplement pas les moyens, pas la force. »
Le chapitre consacré à la réception du manuscrit des Champs d’honneur par le regretté Jérôme Lindon, jamais nommément cité mais transparent derrière la haute figure du patron des éditions de Minuit, est formidable. On y voit son premier lecteur, grand bourgeois supposé héraut de la modernité littéraire en sa qualité d’agent No1 de la nébuleuse dite du « nouveau roman », reprocher au primoromancier, ci-devant kiosquier rue de Flandre (Paris, XXème) de s’être abrité derrière ses morts. D’avoir effacé le narrateur en lui. Imagine-t-on les Confessions sans Jean-Jacques ? Allons, Rouaud, qui parle dans ce texte d’inspiration évidemment autobiographique ? Pas de jeux de mots, pas d’effets de style, pas de jugements moralisateurs. Il faut une vraie histoire, avec de vrais personnages, mais pas plus de cinq, sinon on s’y perd, compris ?
L’auteur en herbe résiste pied à pied, défend son territoire, son histoire de tranchées et de gaz de combat comme il l’a « vécue » à travers la geste réinventée des siens. Les Rouaud, les Brégeau, les Boucheron, les Sauvage. Ils les a rêvés avant de les réinventer sabotiers, bûcherons et charbonniers. Mais comme il est du genre à tout envoyer promener, il s’arrête juste à temps, quand Lindon emploie le mot de trop : « Le moins qu’on puisse dire, c’est que vous n’êtes pas modeste ». Un silence suivi d’une correction peu fraternelle, implacable : « Pas modeste : humble ». Et l’éditeur de demeurer sans voix.
Cet échange est l’occasion d’un magnifique portrait en creux de l’éditeur et de son premier cercle, Sam Beckett s’effaçant derrière saint Beckett, des œuvres sanctuarisées. De tout autre sauf de cet éditeur Jean Rouaud aurait craint un reproche sur l’absence de narrateur. Or celui-ci était bien là derrière l’auteur, mais en qualité de témoin, pas de cameraman. « Pourquoi avait-il besoin d’un narrateur alors que j’y étais poétiquement à chaque ligne ? » se demande celui qui a si bien faire lever la glaise face à ceux qui méprisaient tout ce qui relevait de la réalité. Seul un autoproclamé « ancien combattant mort pour la France » comme Jean Rouaud pouvait oser considérer la syntaxe à l’égal d’une gueule cassée, une invalide de guerre, une grande blessée.
Finalement, ce qui a réconcilié Rouaud et Lindon par-delà leurs différends esthétiques, c’est encore et toujours la conscience de la guerre, cet infracassable noyau de nuit. Minuit est né dans et de la Résistance. Le jeune Lindon, venu après, a repris le flambeau mais il a fait de l’édition comme on fait la guerre – et pendant les événements d’Algérie, ce n’était pas une vue de l’esprit.
Un peu la guerre est bien ciselé, et sa note, juste de bout en bout. La musique intérieure de Rouaud, son horloge intime, est une phrase si digressive, détaillée, chaloupée qu’elle en devient serpentine et nous enveloppe l’air de rien. Pour défendre son idée du roman, il lui fallut lui aussi faire la guerre, juste un peu. Jusqu’à passer par les contraintes d’un genre qui ne lui plaisait pas, qui n’était pas le sien. N’empêche, quel bonheur de lire une telle confession d’un enfant des stèles.
Ce qu’il manque à cette éducation littéraire ? L’évocation du rôle central des revues. On a l’impression que le jeune Rouaud ne les a pas lues alors qu’elles ont toujours eu la vocation d’être un laboratoire. Le kiosquier a dû se rattraper bien plus tard. Nul doute qu’aujourd’hui il ferait son miel de la dernière livraison de Théodore Balmoral (No 72/73, hiver 2013/2014, 190 pages, 20 euros), revue de littérature qui paraît par les soins, c’est bien le cas de le dire tant elle est soignée en toutes choses, de Thierry Bouchard. Dédiée à la mémoire de Michel Chaillou récemment disparu, elle est notamment riche d’un hommage bienvenu à Jean Follain, dont l’œuvre est ici chaleureusement relue par Jacques Réda, et d’une contribution lumineuse de Jean Roudaut sur l’esprit des notes. Qu’elles soient autogloses (rappels d’autorité dans les marges) ou hétérogloses (variantes and co), elles font leurs petites importantes.
(« Dans les tranchées de 14-18 » photo D.R. ; « Jean Rouaud cerné par les siens » photo Passou)
1 057 Réponses pour Jean Rouaud, confession d’un enfant des stèles
jeux de mollets pour les gens bêtes, Bouguerau
voilà dédé..c’est pas que j’ai une opinion mirifique de ma bosse..mais faut cqui faut
TKT dit: 17 février 2014 à 14 h 07 min
Bouguereau, les bas indéfllables, voila bien du marketing. Dans les années 70, un fabricant Allemand, me disait avec le sourire, que l’invention de bas vraiment indéfilables, serait la mort de la profession.
–
Je confirme, il m’a dit la même chose, également avec un petit sourire aux lèvre. Je crois que c’était en 74.
dénigrées par leurs chers et illustres collègues professeurs.
il me semble qu’il n’y avait pas de femmes parmi les chercheurs invités à témoigner des conditions de travail, des laboratoires-avec les relations deux à deux ou à trois et quatre, outre les élèves ! où s’élaboraient
ces recherches
Je confirme, il m’a dit la même chose, également avec un petit sourire aux lèvre. Je crois que c’était en 74.
en tout cas ça existe belle et bien..en fait ça fait un trou inesthétique..alors que l’échelle d’un bas ça fait triquer..c’est assez époustouflant ce genre de truc..les infilabs ça a un contact sec en plus
« après être sortie du couvent , s’être pris une telle claque de réalité, elle retourne vers Dieu. »
déjà à moitié morte
c’était trop tard
quels nietzschéens il faut envoyer en Syrie ?
quelle question stupide.
tous les nietzschéens bien sûr !
ce n’est pas du macartisme c’est juste de l’expérimentation scientifique, dsolé de le dire : la même dont se réclamait Nietzsche lui-même.
Nietzsche dit : la faiblesse des hommes leur ont inventé des combines inutiles et avilissantes pour échapper aux réalités du monde ? (tu parles d’un scoop).
et bien pas de problème, procédons donc à l’expérience, et envoyons quelques bataillons de nietzschéens dans la réalité du monde pour voir s’ils réussiront à ne pas se trouver quelques combines avilissantes pour échapper aux réalités cruelles de ce monde.
c’est trop facile d’être nietzschéen dans un verger de pommier en Normandie ou sur le lac de Côme, même moi je peux être nietzschéen sur la plage en été.
il faut bien prendre conscience de la place qu’est en train de prendre la philosophie depuis quelques années.
si la France est aujourd’hui dans cet état lamentable c’est parce qu’il y a trop de philosophes dans ce pays, dont une grosse majorité de nietzschéens, si nous ne mettons pas un bémol très rapidement au nietzschéisme ambiant qui fait des ravages dans nos campagnes et dans nos villes, je vous prédis que les choses iront de mal en pis, jusqu’à l’effondrement final.
c’est ça que vous voulez ? que la France s’effondre sous le poids du nietzschéisme ?
les hommes se sont inventés des combines pour échapper aux dures réalités du monde parce qu’ils ont des hommes, tout homme a besoin de combines parce que le monde est insupportable sans combines.
Nietzsche le savait, il a voulu faire le malin, s’amuser avec ses lecteurs, mais il n’a jamais imaginé une seconde que les gens le prendraient au sérieux parce que ce type était tout sauf sérieux, c’était un bonhomme malheureux, triste et malheureux, il a passé sa vie à se prendre des râteaux avec les filles.
il faut redevenir sérieux deux minutes, d’un côté nous avons un président qui fait du scooter comme Angot et de l’autre des philosophes qui nous bourrent le mou avec Nietzsche, il faut retrouver un minimum de sérieux, non ?
quels nietzschéens il faut envoyer en Syrie ?
quelle question stupide.
keupu dans sont autofiction il se juge direct.. »con fils de con »
hamlet dit: 17 février 2014 à 18 h 23 min
je peux être nietzschéen sur la plage en été.
Vaut mieux être haltérophile ça complète harmonieusement…
Vaut mieux être haltérophile ça complète harmonieusement…
..ha ça..la moustache 1900..le biscotto..mais le bas de laine se fait rare..mais subtil..t’es un fin pécheur sergio
« Tu ne cesses de tourner devant la porte. »
Franz Kafka
Erik Satie, Hotel de la Suzonnières :
http://drawingdetail.tumblr.com/post/25061418323/erik-satie-hotel-de-la-suzonnieres-c-1893-20-x
je trouve que l’Onésiphrère de Paul Prébois ressemble comme deux gouttes de stère à Jean-Pierre Treiber. (Littératures non élucidées)
Vous ne croyez pas si bien dire. Je suis son cousin (au second degré). J’ai d’ailleurs fait les 400 coups, moi aussi, dans les bois, entre la Postolle et Villeneuve-l’Archevêque. J’y réside d’ailleurs toujours dans une cabane façon Thoreau.
Pour Jean Rouaud, comme en écho, préhistoire, Lindon, Minuit et pas de docteur…
» L’une des vérités du roman est bien celle de / la réalité du temps qui passe à le lire, qui est également celle du temps qui s’écoule dans la vie du lecteur, un présent qu’il ne rattrapera ni ne rejouera pas, puisque non seulement on ne se baigne pas deux fois dans le même fleuve, mais surtout parce qu’on n’y baigne jamais le même corps ni la même âme, dirait Merleau-Ponty . Mais le roman œuvre, sans aucun doute,
plus encore dans l’inscription d’une vérité du temps qui passe que le fait de prendre un train pour se rendre d’une ville à une autre. En ce fait que le passage obligé par une succession de présents n’est pas nécessairement suffisant pour constituer une expérience du temps humain. Reconstituer dans une mémoire immédiate les moments successifs de cette journée de voyage n’est que l’énoncé d’une chronologie mécanique comme de compter les kilomètres et d’énumérer le nom des villes et des villages traversés1. Le sens du temps qui ne cesse de passer nécessite autre chose pour faire sens. Qu’il faut entendre comme direction, construction, composition, rythme, tout autant que signification. Comment le temps s’inscrit-il, comment traverse-t-il Léon entre Paris et Rome ? C’est bien l’enjeu du roman de Butor, qui est aussi son titre : la modification. Le temps passé entre Paris et Rome devenu l’énergie d’une constitution de l’être, la possibilité de conclure, dirait Lacan, la refiguration du devenir, dirait Ricœur. Parce que l’écriture, loin d’une description inerte et énumérative des choses –il n’y a d’ailleurs que fort peu de moments romanesques consacrés à la réalité concrète du voyage —, travaille à un ordonnancement, à une configuration mentale de ce temps du voyage. Léon va et vient sans cesse dans sa mémoire entre son épouse parisienne, Henriette, et sa maîtresse romaine, Cécile. Les villes traversées, les voyageurs croisés, l’apparition du contrôleur, signes concrets d’une chronologie, suscitent ici de nouveaux souvenirs, de nouvelles dérives, qui étayent la pensée vagabonde et disponible de l’homme en voyage. Lequel pourtant, dès son arrivée à Ter-mini, aura pris une décision essentielle qui est celle de rompre avec Cécile et de renoncer à cet horizon amoureux avec lequel il vivait depuis plusieurs années. C’est alors tout un futur sans cesse recomposé comme un devenir de plus en plus proche qui, soudain, bascule de l’autre côté, pour devenir un passé révolu, on devine dans quel déchirement du présent. Car c’est toute la figuration de son temps intime que Léon défait ici. C’est un travail qu’on effectue, en somme, spontanément, et avec plus ou moins de grâce, lorsque nous avons « une histoire à raconter », parce que les faits nous paraissent gros de sens, parce que leur enchaînement imprévisible est une « pré-histoire » qui en appelle à la narration comme une injonction : « II faut que je te raconte ! ». Ce que Ricœur désigne comme une
« structure pré-narrative de l’expérience et de l’agir humain », qui serait un de nos substrats culturels. Qui nous permet de distinguer entre de simples mouvements physiques et une action lourde de sa structure, de sa symbolique et de son caractère temporel. « Ne sommes-nous pas inclinés à voir dans tel enchaînement d’épisodes de notre vie des histoires non (encore) « racontées », des histoires qui demandent à être racontées, des histoires qui offrent des points d’ancrage au récit ? », insiste Ricœur. C’est ce travail-là, de configurer des faits, des gestes et des paroles, selon une certaine concordance, disait Aristote, une concordance toute habitée de désordre, de hasard, de discordance et d’entropie, qui va transformer une chronologie amorphe en une structure dynamique, en un organisme, un champ de forces, un lieu d’échanges gazeux entre passé, présent, futur. Parce que se trouve ramassé l’épars, tel un chaos de la nature, en l’opération orientée du temps, la succession de mouvements physiques en une action humaine qui donne sens à la vie, et confère place à l’être qui s’y ramasse dans la conscience de devenir. »
Luc Lang Délit de fiction La littérature pourquoi?
Folio/essais inédit Gallimard.
Passou, bravo, vous êtes impayable ! Compliment délivré sans ironie: la petite notice sur Emmanuel Carrère « pijo progre », comme on dit « bobo » en Espagne immédiatement prête à rire. J’espère que ça n’est pas un scoop. Ces écrivains dorlotés, encensés, placés sur le devant de la scène systématiquement, grâce à des manœuvres n’ayant le cas échéant rien à voir avec leur talent (même si lui n’est pas mauvais, mais tellement surestimé!).
Est-on d’ailleurs si loin que cela de l’affaire du petit Bellegueule ? Cette absence de distance, ce « tout permis » néfaste, que l’on confond à tort avec une de ces crises carabinées de moraline traquées par votre Sollers comme des poux sur la tête d’un mauvais écolier. Carrère est un bobo au même titre que Beigbeiger, ou Christine Angot, sauf que son côté geignard donne le sentiment d’une profondeur empathique qu’il n’a pas tant que ça, si on le lit bien. Pas grande universalité dans tout ça… Un intérêt modéré car cela demeure un passe-temps de luxe qu’aucune nécessité ne vient ratifier en faisant courir le risque du refus. Hélas ils peuvent tout se permettre, la moindre « confession » auto-centrée prend valeur de littérature sitôt sanctifiée par le milieu!
Et sa mère, grand manitou de l’Institut trouve même le moyen de lui faire allouer par ses copains des prix où il touche le jack-pot (dizaines de milliers d’euros) sans que personne ne moufte!
Faisant un saut à Paris j’étais mort de rire en voyant la polémique autour de ce livre de Daniel Gratien, osant critiquer la gestion totalement discrétionnaire de De Broglie et autres HCd’E! L’Académie française, pluri-milliardaire dans des proportions effarantes, s’insurge à l’idée que votre Cour des Comptes mette le nez dans sa gestion!
Quel toupet! Elle proteste devant tant d’audace et de vulgarité et continue d’acheter sans vergogne pouvoirs et influences en distribuant en toute impunité ses sommes astronomiques, un peu comme la Banque vaticane!
Et personne ne crie au scandale!
« Pijo progre » un jour, « pijo progre » toujours! Le système peut continuer. Pourquoi s’arrêterait-il?
C.D.
Il pittore Boccioni caduto da cavallo vs “Il mito della macchina”.
Il s’inspire de Tintin : le dessinateur Pascal Somon condamné pour contrefaçon
Desmedt,
Very body literature non…
Excellente citation/analyse Julia!
Rouaud est-il Butorien sans le savoir?
Le devenir, ce » sauvage » du récit…
J’ai songé à l’obstination des parents de Vincent Lambert en lisant ce passage des « Champs d’honneur » de Jean Rouaud :
» Pour la petite tante, ç’avait été l’enfance de l’art. On retira les perfusions de ses bras squelettiques posés sagement sur les draps le long de son corps momifié, on arracha le tuyau d’alimentation de son nez, et son coeur vaillant ne se fit pas prier. En trois secondes, l’affaire — la grande — était réglée. Sa petite tête blanche se couchait sur le côté. »
Voilà une narration d’une louable simplicité, à la mesure de la simplicité des choses.
La tante Marie n’aurait certainement pas donné son accord à cette solution finale, vu sa fervente piété, à elle qui, depuis des années, vivait entre une reproduction de la grotte de Lourdes et le portrait de Sainte Thérèse de Lisieux. On a bien raison de dire qu’on ne choisit pas ses parents. On a encore davantage raison de dire qu’on ne choisit pas ses enfants. On ne peut pas compter sur eux : ils n’en font qu’à leur tête.
greubou y a que toi qui me comprend, les autres ils préfèrent faire les malins mais toi au moins t’es un type sérieux, et oui mon vieux t’as tout compris, la philosophie c’est juste un truc qui servait à admirer l’homme, comme les turfistes à Cagnes quand y disent « mate moi ce beau cheval », Socrate c’est pareil : « mate moi cette belle intelligence! », ça nous rassure de savoir que dans notre espèce (celle que nous partageons) nous pouvons trouver des gus aussi intelligents que Socrate, et Spinoza, non ? ça te rassure pas toi ? quand tu vois les hommes politiques, les économistes, tu sombres dans la mélancolie tellement ils ont l’air tartignolles ? non ? et là t’as un beau parleur qui te parle de Platon ! Plotin ! et hop tu reprends confiance dans la nature humaine ? ça sert à ça la philosophie greubou ! vu qu’on ne peut jamais mettre en application ce qu’ils racontent ? non ? les politiciens on attend d’eux des résultats ? comme la baisse du chômage ! alors qu’on ne va jamais attendre d’un philosophe même qu’il change une ampoule ! non ? et Socrate ? non ? oui ! c’est pour ça qu’il nous parait intelligent, et ça nous rassure ! ça te rassure pas ? greubou nom d’une pipe rassure moi ! dis moi que ça te rassure !
misère greubou tu me désespères.
greubou t’es marié ?
non ?
tu sais quoi ?
tu devrais demander la main de Daaphnée en mariage.
Desmedt dit: 17 février 2014 à 18 h 56 min Mais si on crie au (un autre) scandale.
Malheureusement, il est plus facile de se lâcher dans la facilité.
Je regrette bien entendu que par trois fois mon message ait été censuré.
Mettre tout dans le même sac, Carrère, Angot, Bellegueule. Vous faites un prix de gros ? Alors, il en manque. Et pas des moindres.
Vous dénoncez quoi ?
L’autofiction encensée sans commune mesure, ni distance, comme genre littéraire incournable à paris saint germain ?
Ou ce qu’en fait la critique parisienne, de ces « livres », si on peut dire ? (Une fois, que l’on a fait le tour de la question)
pas de questions de « confidence », maga pour soubrettes de normandie , mais de confiance: comme
» « Ca ne fonctionne pas sur tout le monde, explique le Pr Sztark. Il faut le vouloir, ça passe avant tout par une relation de confiance, sans résistance ».
hamlet dit: 17 février 2014 à 19 h 29 min
greubou t’es marié ?
non ?
tu sais quoi ?
tu devrais demander la main de Daaphnée en mariage.
Demander la main de Daaphnée, je vois. Demander Daaphnée, je vois aussi. Demander « la main de Daaphnée en mariage », je vois plus rien.
Le problème avec Bouguereau, c’est l’encombrement. Il faut avoir l’espace pour entreposer le bocal géant dans lequel on le remet à tremper chaque soir.
HamlettePuck : désormais on le parle plus de philosophie à paris, mais de pop yoga philosophie, c’est le nouveau chéri des plateaux télé et des happy few, j’avoue que l’imaginer en Syrie avec sa théorie sur les beatles harassant les soldats médusés par sa flamboyante crinière qui rappelle l’affiche de The Hobbit me fait frissonner comme un dopé au daptagon dans les éboulis … je vous écris de Homs …
http://www.lemonde.fr/livres/article/2013/12/18/pacome-thiellement-culte_4336521_3260.html
les potspar anneaux répondent par histoires de bio dit: 17 février 2014 à 19 h 34 min
C’est sûr Dr Lecter, l’hypnose ( du bon livre, définitif) ne marche pas sur n’importe qui ( il faudra quand même que vous m’expliqiuez le truc de Geller).
Vous avez ouvert le lien du régional « le courrier picard » ?
ça en jette un peu, non ?
expliquiez, ce serait bien.
On le sent confusément, on le découvre si on approche un peu, le nez dessus on s’en effraie car les preuves sont là : le monde littéraire, le monde culturel, sont un milieu aussi pourri que la finance si décriée, ou la politique, si maquillée … la vieille putain !
tant qu’ à reprendre d’anciennes formules, il ne semble pas que la RdL rende les contributeurs bien meilleurs : la faute à quoi ?
«… il ne semble pas que la RdL rende les contributeurs bien meilleurs »
Eh ! merdre, enfin ! cette manie de rendre les autres meilleurs. Cela me rappelle une observation de Carlo Dossi à propos des missionnaires : « Ils baptisent des gens avec de grands seau d’eau en nom de dogmes qu’eux même ne comprennent pas ».
devenir meilleur …ironiste ? critique ?
L’ironie classique trouve évidemment son lieu dans l’art de converser en société. On sait que les Salons constituent le support pratique d’une conviction partagée selon laquelle la “société de ses semblables” est le meilleur lieu d’acquisition des connaissances, de formation du goût et des manières, d’exercice de l’honnêteté morale. Théâtre de la politesse et de la raillerie, les Salons voient bientôt l’ironie entrer en force. Le goût de se divertir ensemble s’articule à celui de se critiquer mutuellement. La crise de la noblesse encourage l’ironie. Marivaux commence ses satires ironiques. Mais on ironise aussi sur les volontés d’acquérir la qualité de noble. En cela, l’ironie des Lumières n’est pas un simple avatar du goût pour le divertissement.
L’ironie a ses cibles. L’auteur les répertorie avec patience. Il y a donc l’ironie parodique, celle qui sape les règles de la langue du pouvoir ; mais aussi l’ironie comique, qui fait proliférer la satire des mœurs ; puis l’ironie philosophique, qui vise à déceler l’hypocrisie. Elles sont encore accompagnées de l’ironie libertine, attachée aux rapports sexués entre l’homme et la femme. Mais ce sera aussi, précise l’auteur, parce que cette dernière forme d’ironie semble avoir modifié les consciences plus que les autres formes d’ironie, sans doute parce qu’elle est en résonance avec l’invention de la liberté et l’idée du bonheur qui sont effectivement deux des tendances majeures de l’évolution des mentalités de l’époque.
http://www.nonfiction.fr/article-5952-p2-lironie_et_lexamen_du_monde.htm
monde littéraire, le monde culturel, sont un milieu aussi pourri que la finance si décriée, ou la politique, si maquillée …
chouette alors, et faut absolument dire que c’est bien en dessous de la réalité- ça donne au beaufs l’occasion de râler encore plus, c’est tout bénéf
C’est plus facile qu’un anneau glisse du doigt d’une pop star que la popstar comprenne ce qu’elle cite…
merci Chantal pour cette info.
je me souviens très bien du pseudo que vous portiez autrefois.
vous avez lu l’article de Monsieur Assouline ? je viens de le lire il est très bien, je regrette presque de ne pas l’avoir lu avant.
la transparence est un concept assez flou, je n’avais jamais osé vous demander comment vous considériez cette idée de transparence, mais ensuite j’ai compris.
Bon, Aut Aut — pour les itolophones…
éducation :
leçon n° 1 : sortez masqué
« la transparence est un concept assez flou… »
Surtout si la vitre est sale, ce qui est souvent le cas…
Onésiphore de Prébois dit: 17 février 2014 à 18 h 49 min
« J’ai d’ailleurs fait les 400 coups, moi aussi, dans les bois, entre la Postolle et Villeneuve-l’Archevêque. J’y réside d’ailleurs toujours dans une cabane façon Thoreau. »
Déjà déménagé?
T’inquiète, on suivra le ligne verte.
précisément masqué
http://www.glandis.com/30623/1560241/gallery/upcycle-fetish
Sortir masqués disiez-vous ?
https://www.lensculture.com/articles/jackie-nickerson-terrain#slide-15
cerné?
boson de boson, après les ernissages et les ternissages,le cernissage ! planètes, je vous aime
vernissages, bien sûr, avant ternissages
Desmedt dit: 17 février 2014 à 18 h 56 min
Je viens de lire, -enfin, avec aide, l’espagnol n’est pas une langue que je pratique- l’entretien d’E. Carrère.
En fait, outre votre connaisance personnelle de sa mère, il vous est arrivé de lire quelques uns de ses livres ?
Il a une définition honnête de ce qu’est un roman. Lui.
balmoral ?
moi j’ai pas l’moral , et ça aussi c’est un don de Dieu
« Cartographier l’espace. »
-Watson, vous êtes un âne !
Laissez tomber l’humilité. Amenez votre longue vue.
Levez les yeux au ciel, et recevez cette bouffée d’étoiles.
un livre peut être une connasse. Proust dixit.
et inversement: les convenance – et/ou ma religion -m’interdisent de préciser
R. Levine, A Geography of Time
http://rhuthmos.eu/spip.php?article1059
Les éditions de Midi annoncent la parution prochaine de « En finir avec Teddy Laidegueule », le premier roman d’un jeune qui n’y va pas de main morte ! Cette autofiction, appelée à dépasser les précédentes audaces du genre, dissimule à peine et seulement pour la forme un témoignage qui tient à la fois du document sociologique et du règlement de comptes au vitriol. La mère Ernaux peut aller se déshabiller.
Né d’une mère porteuse lesbienne, Teddy Laidegueule est adopté dès sa naissance par un couple d’homos bobos bolchos gauchos. Il passe ses premières années dans le cadre d’un appartement luxueux (200m², vue directe sur la maison de Balzac) d’un immeuble cossu du XVIe arrondissement. Son père, professeur à l’Université de Paris-Sorbonne, est un spécialiste mondialement connu de l’oeuvre et de la pensée de Didier Eribon. Sa mère (pardon : son père n° 2) , harpiste des Baroqueux de Saint-Philippe- du-Roule, musicologue, auteur d' »Avatars de la 7e diminuée dans les Cantates de Porpora », se charge de la première éducation du bambin : clavecin, danse classique (allemande,courante, sarabande, gigue), art de la conversation et méditation transcendantale.
Très tôt, Teddy se montre rétif aux principes d’éducation auxquels on prétend le soumettre. Petit, trapu, faciès de boxeur, dégaine de catcheur, voix de rogomme, son allure tranche péniblement avec le physique efféminé, les manières douces, les intonations flûtées des petits camarades que ses parents ont soigneusement sélectionnés à son intention. Au collège, Teddy ne tarde pas à devenir le souffre-douleur d’une bande de jeunes bébés phoques , non, pédés phoques, qui prennent l’habitude de lui imposer fellations et sodomies au fond de la classe pendant les cours de SVT. Mais rien n’y fait. Incapable de virer sa cuti, Teddy ne s’intéresse qu’aux filles, mais seulement si leurs nichons atteignent la taille d’un ballon de basket. Il fuit les ateliers de théâtre, de flûte traversière et de menuet, où ses parents l’ont inscrit d’office ; il ne s’intéresse qu’au foot et aux moules ; à 14 ans, son vocabulaire se limite à « Tain », « culé », « Nique ta mère ».
Pour Teddy, le Bon Samaritain prend, à dix-huit ans, l’apparence d’Albert Lagnaque, entraîneur de l’équipe juniors des Girondins de Libourne, qui lui fait signer son premier contrat. A Libourne, Teddy joue arrière central et ne tarde pas à se faire un nom parmi les clubs de la Ligue du Sud-Ouest sous le sobriquet de « Teddy-le-Déménageur ». Il est célèbre pour ses troisièmes mi-temps, arrosées au pastis plutôt qu’au sirop d’orgeat; on ne compte plus ses petites amies et il est la providence des putes du landerneau. Ses parents l’ont officiellement (voir « le Nouvel Observateur du 2/12/2013) renié, déshérité, et maudit.
Pressenti pour jouer dans l’équipe de France juniors, il en a été finalement écarté pour avoir traité le sélectionneur Terry Michel de « sac à merde » et de « vieille tantouze ». Cette peccadille ne devrait cependant pas nuire à une carrière internationale qui s’annonce prometteuse.
Peut-être devra-t-il cependant choisir entre la carrière de footballeur professionnel et celle d’écrivain. Il est vrai que ses revenus , déjà très supérieurs à celles d’un lauréat Goncourt, devraient lui permettre de faire écrire ses bouquins par d’autres : ne s’est-il pas déjà offert le luxe, pour « En finir avec Teddy Laidegueule », du plus talentueux et du plus médiatique des nègres : Jean d’Ormesson ?
Dans tout ça, on ne sait toujours pas comment une modification de la cartographie d’allumage permet d’augmenter la cylindrée… Un allumeur de réverbère dans le coin ?
les convenances
citation de Levine ci-dessus éclairante et pour le billet et pour une remarque
« , what conditions cause people to attribute their successes to external causes, and how self-confidence affects one’sattributional style. You get the picture:
http://rhuthmos.eu/IMG/pdf/robert_levine_a_geography_of_time.pdf
Sergio à Hamlet 18h30/ Croire aux Dieux, croire aux cieux quand tout vous semble odieux, avec fermeté. Rompez.
N’empêche, quel bonheur de lire une telle confession d’un enfant des stèles.
voilà une confession qui me plaît
Là, Onésiphore, à 21h56 à fait très fort!
pour un roman-fantôme :ceci a-t-il devenir une catégorie en soi?
Onésiphore,
200m2 dans le seizième, c’est pas du luxe, c’ est juste la moyenne!
« Je ne remercierai jamais assez celle qui a pris le risque de me dévoiler le complot PMB »
Celle qui plus que probablement faisait partie du complot, Madame Lèche-tout-ce-qui-brille confirme mon soupçon. On se plaint et après on cafte.
Trahison qui m’a définitivement guéri de jouer les saint-bernard sur demande. Maintenant, c’est chacun pour soi et dieu pour tous.
A part ça, je ne renie pas un des mots que j’ai pu écrire sur elle. Ce n’est pas par hasard que je l’avais surnommée Dame Parrat du Miel et de la Glu.
Bon, bye, je ne commente plus sur cette nef des fous qu’est devenu l’espace commentaires de la RDL que la nuit de la Saint-Jean par pleine lune.
pinipone dit: 17 février 2014 à 22 h 01 min
Dans tout ça, on ne sait toujours pas comment une modification de la cartographie d’allumage permet d’augmenter la cylindrée…
C’est vrai ça : depuis le temps qu’on demande à Passou de nous faire quelque chose sur le Gonflage des moteurs ! Il y a sûrement eu des rééditions… Des mises à jour…
bérénice dit: 17 février 2014 à 22 h 25 min
Croire aux Dieux
Ha oui la muscu c’est purement spiritualiste ! Une ferveur dirait Saint-Ex… Ou alors après on peut toujours se recaser dans la politique…
Voire des redites… Autant dire le pire ; à jeudi
Appartement à vendre dit: 17 février 2014 à 22 h 48 min
Onésiphore,
200m2 dans le seizième, c’est pas du luxe, c’ est juste la moyenne!
–
A côté de mon 300 m² dans le 7ème, ça fait juste nécessiteux.
…du Mont Dentier.
20h51
De l’honnête enviée puisse l’envie grandir
Notre désir de plus belles créatures est infini
Quand tu seras catéchisé,
Par les discours des mercantiles,
Conditionné, pavlovisé,
Quand tu seras catéchisé,
Lors tu seras estampillé,
Prêt pour des mondes infantiles,
Quand tu seras catéchisé,
Par les discours des mercantiles.
Jean Calbrix, le 18/02/14
Jambrun, l’annonce à 21:56 de votre « En finir avec Teddy Laidegueule » m’a réjoui au delà du raisonnable.
Nous dînions entre amis hier soir lorsqu’apprenant cette nouvelle, le cinéaste Fritz Slang décida illico de tourner à Paris XVIème, après la victoire de NKM aux municipales, votre « Teddy le Maudit » sur le modèle du célèbre « M »… Il connaît bien Aurélie la Rouge Gorge, ajoutant qu’il était maçon ce qui cimentait l’amitié et facilitait les affaires.
Foutant nos invités dehors, enthousiaste, je me suis mis à écrire toute la nuit ce qui me trottait dans la tête depuis longtemps : une autofiction stupéfiante : « Dummy le Froutty », l’histoire un jeune hétéro sportif né dans une famille hétéro cultivée, rue Paradis à Marseille ! Un sujet révolutionnaire par sa banalité, où seront décris en peu d’évènements significatifs le développement normal d’un enfant quelconque ! Splendide, non ?!!!
Mon plan : il ne se passera rien, le roman fera 160 pages, écrit gros, avec achat de la critique et passage TV, naturellement… Premier tirage à 25.000. Tout à fait au goût du jour !
Vous verriez qui pour préfacer mon « Dummy » ? J’avais pensé à un inconnu. Thierry l’Helvète, peut être ? Qu’en pensez-vous ? Il me faut une préface banale…
PMB dit: 17 février 2014 à 23 h 23 min
J’ai beau chercher ! Lorsque vous parlez de « Madame Lèche-tout-ce-qui-brille », je ne vois pas qui cela peut-il être…
La rumeur nauséabonde des racistes islamophobes de ce pays, qui laisse croire qu’une Victoire en Niquab serait érigée à Paris dans l’enceinte de la Mosquée de 1926, est évidemment fausse.
Comme le dit le recteur : « Cette érection d’un monument aux soldats musulmans est faite dans un but pédagogique évident : montrer aux jeunes et moins jeunes générations que l’islam de France est une religion nationale qui ancre la communauté musulmane dans l’histoire de France. »
Il est bon de distinguer les morts d’entre les morts.
« Le style est familier. Le niveau de langue évolue durant la pièce : au début ils sont polis et se vouvoient, à la fin ils se tutoient comme s’ils se connaissaient intimement. Ils utilisent même un vocabulaire plutôt familier, se parlant assez sèchement parfois. »
Vous verriez qui pour préfacer mon « Dummy » ? J’avais pensé à un inconnu. Thierry l’Helvète, peut être ? Qu’en pensez-vous ? Il me faut une préface banale… (JC)
Je pensais à Eric Cantona, mais c’est vous qui voyez.
JC… votre prose, on dirait du Dieudonné… c’est vous ou un imitateur ?
Prébois,
J’ai peur, qu’au regard du roman, Eric Cantona fasse trop intello pour une préface que j’aimerai réussie, c’est à dire plate … (je vais y réfléchir avec mes conseillers, énarques, qui s’y connaissent super bien en platitudes convenablement rémunérées)
Goudebras,
Dieudonné est un humoriste qui amuse les coquelets ministres et réveille les somnolents du Conseil d’Etat ! Vous n’allez pas comparer, hein ?
Personne mieux que vous ne pourrait le faire…
9 h 33 min
il amuse ceux qu’il rackette
Wim,
Voyons ! vous le savez bien : s’enrichir sur le dos des glands est double joie !…
wim dit: 18 février 2014 à 9 h 54 min
9 h 33 min
il amuse ceux qu’il rackette
Et quand tu vas t’exciter sur un stade, est-ce que tu te sens racketté ?
On entendait alors de drôles de choses dans les amphithéâtres. Que la langue, glaive de la classe dominante, était fasciste (Passou)
J’ai plutôt entendu « glaire de la classe dominante » !
La matricule des bons sentiments : on numérote de 0 à là où l’accumulation des dits bs nous amène, et ce sera, évidemment, une liste dictée par les contingences… les accident de l’époque… quoi… que c’est à-peu-près la seule possibilité qui est donnée à journaliste qui fait un micro-trottoir de comprendre ce que la ménagère de 50 ans et plus cherche à lui expliquer avec quelques mots choisis — le sentiment d’inutilité, par exemple… et pas seulement le sien… enfin-bref, on arriverait à des chiffres astronomiques car quoi de plus subjectif d’un bon sentiment… c’est vrai qu’il y a des chartes et un tas de trucs comme ça… chartes et truc que la ménagère du plus de 50 ans connaît à merveille car, des moins en moins attraite par les programmes des radios pop, elle a jeté son dévolu sur les radios culturelles… mais là, sur le coup d’un micro-trottoir, le journaliste, que l’on imagine jeune, n’a vraiment pas le temps de faire dans la nuance, et les accidents de l’époque ce sont, pour lui, le train qui a déraillé ou le pépin du bateau de croisière… tandis que pour notre ménagère qui a fait l’effort de comprendre sa fille et donc est aujourd’hui prise dans la bave des réseaux (celle-là — la bave des réseaux — vient de Cortázar, mais lui il parlait d’un diable moderne…Antonioni a fait un film là dessus), cherche à lui parler, plus banalement, des 1100 migrants dont la Garde Costière italienne a dû s’occuper dans une seule journée… tandis que à un jet de pierre de là, une bande d’individus de nationalité non bien définie déchargeaient quelques quintaux de produits défendu à l’importation et dont la vente est punie par la loi, ou quelques tonnes de produits soumis à une taxation excessive de la part de l’État qui, avec l’excuse de protéger la santé des citoyens, vide les poches des moins favorisés… enfin, une chose dans l’autre l’intervieweur et l’interviewé ont pris leurs chemins voit par là les limites des bons sentiments : chacun suit les siens, surtout lorsque la question est mal posée… les maniaques de la théorie du complot vous dirons que la question est mal posée parce que le jeune journaliste aurait voulu que la réponse prenne une certaine route ; quelqu’un dira que la ménagère a pris la chose trop au sérieux : en fin des comptes il ne s’agissait que d’un micro-trottoir… là, la ménagère, pourrait répondre que si c’est pour dire quelques choses qui ne l’intéresse guère qu’ils aillent poser leurs questions à la con quelques parts ailleurs… d’ailleurs, maintenant elle a des courses à faire et elle a déjà perdu assez de temps… puisqu’en tous cas, de son opinion tout le monde s’en fout…
« qui est donnée à journaliste » > qui est donnée au journaliste
« dire quelques choses qui ne l’intéresse guère » > dire quelques choses qui ne les intéresse guère
et quelques autres trucs qui m’a sans doute échappé…
Que le roman était digne d’être empaillé aux fons de présentation au Musée des Arts et traditions populaires. Comment en était-on arrivé là ? (Passou)
Outre qu’empailler un roman, c’est fort rare, il y a un « fons » que je ne pige pas, peut-être est-ce une fin en soi.
Par ailleurs, en tout état de cause, les détracteurs de la culture bourgeoise ne pouvait demander de mettre les raffuts de la bourgeoisie au musée des Traditions Populaires !
Quant au « comment était-on… » (comme dit la teutone dont le téton t’étonne), le « on » est-il global ou réservé à un petit cercle de connaisseurs ?
renato dit: 15 février 2014 à 20 h 46 min
« ce qui fait que pondre un ouvrage moyennement bien fait c’est à la portée de n’importe qui… »
VOIRE.
renato dit: 18 février 2014 à 10 h 19 min
ROTOTO ou l’art de se ridiculiser en deux temps.
Rien du tout, renato. N’y pensez-plus.
Impressions de lectures
Dans votre courte histoire de micro-trottoir (qui nous vaut un long commentaire de votre part), renato, le personnage le plus sympathique est assurément la ménagère de moins de cinquante ans : l’expérience de l’âge l’emportant sur celle du jeune journaliste passablement formaté.
Marcel, j’ai achevé ton « Macabre à Paris », non sans difficulté car il y a beaucoup de cadavres et de pistes à suivre. Ce qui a brouillé un peu mon esprit et m’a contraint à suivre le cheminement du narrateur sans pouvoir essayer moi-même de résoudre l’énigme, d’où une certaine frustration à la lecture…
Il y a bien une Théorie du Complot et une organisation mafieuse, derrière cette création du monde! On a identifié depuis longtemps le patron de tout ça, le comploteur qui a mis sur Terre Adam et Eve, la pomme et le Serpent. Ce serait un Blanc, barbu, puissant, respecté des Anges Exterminateurs laissés sur la planète en plusieurs points, dont Rome. Ce Toto Riina divin s’appellerait Dieu. Intouchable.
Il semble qu’il ait comploté, avec sa famille, le développement des Humains pour distraire les dieux et déesses éternels. La Terre, certains parlent du Cosmos, ne serait au fond qu’un gigantesque Parc d’Attractions destiné à l’amusement des Grands…
Jacques Barozzi dit: 18 février 2014 à 10 h 34 min
d’où une certaine frustration à la lecture…
Faites connaissance.
de moins en moins atraite ou traite ?
La traite? Tous les deux jours…
» et quelques autres trucs qui m’a sans doute échappé… »
Indulgence totale au « rital » sympathique renato, c’est Ridet qui va être content!
« Dans son pavillon d’Hallencourt, la famille Bellegueule fait la gueule. Elle ne se reconnaît pas dans le livre d’Eddy »
Ses parents savent donc lire ?
Ironie de la vie des morts vivants : au-dessus de la photo des deux gueules cassées, le bandeau publicitaire dit : « Réparer les vivants » !
« VOIRE. »
Un, je n’écris pas de livres, moi, et surtout pas en français. Si vous avez essayé et vous vous êtes ridiculisé, ce n’est pas de ma faute. En tout cas, un paysan breton qui avait appris le français dans les tranchées de WWI a prouvé que l’écriture est à la porté de tout le monde : il suffit un minimum d’application (ce qui n’est pas demandé sur un blog où l’on écrit vite et sans prétention), appliquez-vous donc, il se peut que les éditeurs ne rirons pas de votre prochain tapuscrit… BàV, r
Si l’info est bonne, la schizophrénie et la dépression pourront bientôt être diagnostiqués par l’examen d’un enchantions de sang — finie la belle époque du diagnostique par le biais du dialogue…
Merci pour l’info, Renato ! tout ce qui peut aider les malheureux de ce blog est bienvenu …
écrire sans prétention ici, ça reste extrêmement rare quoiqu’on en dise.
je ne voudrais pas paraître prétentieux moi-même en écrivant ça.
d’un enchantions de sang
Nous sommes désormais dé-Ridet, déconstruit ( Derrida!), nous déchantons…!
Deneb,
votre prétention à être supérieur est choquante …
@Jacques Barozzi, 10 h 34
Merci, Jacques pour ta lecture de « Mon cadavre normand n’a pas ri à Paris » et de tes remarques.
Bien sûr s’agissant d’un « tueur en série », je ne pouvais m’arrêter à deux cadavres, à ce compte on aurait jamais parlé de Dutroux. Quant à la complexité de l’enquête, j’ai voulu traduire les difficultés de l’enquêteur face aux multiples pistes qui s’ouvrent devant lui. En général, les polars simplifient à outrance. Bon, j’ai raté quelque chose quelque part à vouloir coller trop à la réalité, cette réalité qui fait que nombre de crimes restent « non élucidés » comme l’expose la fort intéressante émission du même nom sur la 2.
J’espère néanmoins, en dépit de ta frustration, que tu as apprécié la visite du Père Lachaise, l’allusion à l’affaire Boulin et la poursuite infernale de la fin.
nous déchantons…!
Le sang n’ abreuve plus nos sillons?
Quand tous ce qui te reste ce n’est que corriger des fautes de grammaire ou d’orthographe, parfois de distraction, c’est que tu n’as pas grande chose en “poche”… en tous cas, sur blog, je suis la consigne des Verri… tu ne connais pas ? tant pis pour toi…
Oui, Marcel, j’avais saisi l’allusion et j’ai retrouvé mon cimetière en bon état. J’ai lu avec plaisir ton polar, c’était juste une impression générale..
Il n’est dit nulle part, Jacques, que la ménagère dont je parle est âgée de moins de 50 ans…
Vous avez pensé à clopine ou à Christiane, renato ?
Ni à l’une ni à l’autre, Jacques car elles ne sont que deux personnages de la RdL (comme vous et moi, du reste) : des moments éphémères qui ne me perturbent pas.
Jacques,
Tu veux que je te fasse parvenir ma production littéraire ? Science fiction. Plus de 1500 pages d’une qualité exceptionnelle, un golomotz de culture !
J’ai fait un envoi à Passou, chez Drouant. Hélas ! C’est revenu avec la mention « N’habite pas à l’endroit indiqué ». Le Service Public n’est plus ce qu’il était, il est plus facile d’écrire au Père Noël qu’à Passou !
ROTOTO on comprend rien que toi ecrit à
on est attrait mais c’est trop dur ah comprande !
Moi, leur combat dans la boue, achevé par un double jet d’éponge, ça m’a pertubé, renato, disons plutôt que ça m’a navré…
Non, merci, JC, je n’adhère pas à la science fiction, déjà la science sans fiction d’ailleurs…
Tu fais bien, Jacky ! J’ai fait mon Cassé-Marron en copiant-collant de l’Asimov et du Lem, les noms changés, naturellement… BàT !
à11:43
Prenez un analgésique et réessayez…
merci jacques d’avoir lu mon manuscrit si vite, » matteo l’ immature ». tu es trop sympa! c’est vrai que j’ai un peu merdé dans les premières pages ,mais ensuite, quand débarque mon heroine Sandra j’eusse pu faire mieux ,t’as super raison Jacques j’ai pas été nickel chrome sur le coup, j’ai assuré mais pas compllètement et je mets trop de notes en bas de pages , mais je suis un guerrier. tu me connais. ah non jjustement tu me connais pas c’est dommage je suis super à l écoute et sympa… comme toi à laa radio..mais tu es un guerrier comme moi, t’es sacré intuitif sur la page 24,la scène de la gnole entre memeres socialo…….mais tu sais que j’écris au masculin et que pur un homme faire bavasser une bonne femme c’est duraille..fait etre un guerrier pour oser ça… c’est ce que la dit mon neveu qi est commentateur à la télé pour les jeux de Sotchi.. et que c’est vachtement pas fastoche de faire parler une femme féministe bien qu’il suffise que j’écoute ma soeur… la scènedans une étable est pas mal, merci.. j’ai chaidé et me suis renseigné sur wikipedia pour la traitre du lait eclectique .. k’ao bien écouté le conseil d’un pote super doué genre qui connait flaubert sur le bout des doigts; il m’a dit: Eddy, ton personnage féminin tu le fais raisonner comme un mec ok? ensuite t’enlève toute logique, à chaque fois c’est bon! enfin oui je comprends tes réserves sur mes paaysages bien que j’eusse voulu imiter visconti dans son fameux roman « le léopard. ». les paysages c’est vachtement duraille alors la prochaine fois j’te metss tout dans la brume dans une prison.. mais vraiment un opinion d’un grand comme toi Jacquees, ça me booste vachtementoour le prochain Goncourt… lais c’e’st vrai que c’est des suepre calibres qui y vont.. et fait tre un guerrier quand on sait qu’on est lu par un Passou.. et je vais faire lire mes prochaines pages de « Complot à Domfront » ça oui à mon dirlo littéraire qu’est un intermittent de l’édiition, un polonais super doué pour arracher les mauvaises pages des mmanuscrits et qui sait faire le ménage,car son bureau est nickel j’te dis pas ,un enchantement, merci encore Jacques et si tu passes dans les collines du perche, je suis là. mais c’est vrai la description de la nature c’est pas trop mon truc et dans mon prochain bouquin, tout le monde dans un Mac do . encore merci jacques.
Si je peux dire mon sentiment, Jacques, ça m’a ennuyé… ou emmerdé… si on doit se faie du souci pour tous les cons… pardon, Julie, pour tous les crétins qui nous collent au pied on n’a pas fini de s’emmerder pour un rien plus un rien et 1/2… sur ça, ajouter le ridicule du victimisme pleurnichard de l’une et de l’autre…
Bien sûr s’agissant d’un « tueur en série », je ne pouvais m’arrêter à deux cadavres
..ça fait plaidoirie à la vergèze
..si le juge répond « à partir de combien maitre estimez vous quil y a série »..l’acquitement heu..est acquis!
renato dit: 18 février 2014 à 12 h 17 min
ROTOTO, sufi pa dêtre l’home qui se comprand !
Fô et’ compéhansib!
..là en bonne logique vergez répond « le chiffe n’est jamais assez gros monsieu le président..il enfle il enfle..c’est l’inflation ! et à un moment donné vient la vraie question!.. »
« ..nous sommes suspendu à vos lèvres maitre..quel est elle cette vraie question? »
bouguereau dit: 18 février 2014 à 13 h 09 min
Extraction du bocal…réussie.
« la vraie question meusieu le président qui germe rait dans n’importe quel esprit normal le notre compris si nous étions a sa place : mais pourquoi pourquoi ai je commencé!.. »
« Fô et’ compéhansib! »
C’est peut-être parce que vous ne l’êtes pas que les éditeurs rient de vos tapuscrit… mais persévérez, un jour quelqu’un vous comprendra et votre valeur sera reconnue… pensez donc, d’Ormesson entre dans une prestigieuse marque d’objets d’ameublement, vous avez donc toutes vos chances…
..donc !..donc : heureusment que mon client ne s’est pas arrété à 2 cadavres..nous serions, meusieu le président présentement dans de sales draps! »
Le boug, dans le polar à Marcel, il y a six cadavres de jeunes femmes retrouvées dans le secteur rue des Pyrennées-Père-Lachaise : AA, BB, CC, DD, EE, FF.
Ensuite il faut suivre les tagentes et les parallèles…
Un vrai casse-tête mathématique, mon cher Watson !
Extraction du bocal…réussie.,
ne comprenant pas pourquoi Damien hirs-u-t ne signe pas de son nom sur ce blog,
riche journée
Un vrai casse-tête mathématique, mon cher Watson !
c’est pas un polar alors..c’est un whodunit
c’est pâreil..j’aime moins, beaucoup moins
renato dit: 18 février 2014 à 13 h 20 min
merci ROTOTO por vous praissieux conseille ! A par tir de métenant je me raigle sur vou.
Mairci auci pou le motdel de lêtre à laid diteur; je fini raie com’ ça!
« et quelques autres trucs qui m’a sans doute échappé… »
Cet su^p^per comme escuse! Et pis cet bien dit !
c’est pas pareil que je veux dire
un polar c’est social.. »c’est sa faute à la société » qu’il dirait jicé..c’est elle la coupabe on a trouvé a chaque fois..pour ça qu’on a du temps pour matter les nibes de la blonde en morceau dans la valise..on sait qu’elle est blonde aprés..c’est le téribilé de l’affaire baroz..tu vois que c’est pas pareil
« Et pis cet bien dit ! »
Il n’y a pas de quoi. Cela dit, je comprends que pour un pauvre type que est resté agrippé au tablier de sa maman c’est difficile de se dire assez… il faut bien qu’il justifie sa vie manquée… continuez donc votre jeu de maternelle… je me ferais un plaisir de vous lire…
En plus, le boug, l’assassin habite du côté de la Porte des Lilas. J’ai cru que c’était toi !
Chaque victime réside près d’une église différente et s’ajoutent de surcroit des histoires de spiritisme : de quoi en perdre son latin, que l’on a pas !
Ah ! le « que est » c’est pour que vous ayez quelques chose à vous mettre sous la dent…
renato dit: 18 février 2014 à 13 h 34 min
Cela dit, je comprends que pour un pauvre type que est resté agrippé au tablier de sa maman
Vou me féte panser quil fau que je l’lave, le tabier! Mairci encore
de quoi en perdre son latin, que l’on a pas !
justement « on ressent le manque » j’aurais voulu être médecin aprés une pension de jésuite..mais j’ai du m’arréter aprés ma 6ème pour faire cariss chez olida..ça c’est trés polar..
« un polar c’est social. »
Pour ça, le Marcel, il a respecté la règle : l’assassin est un enfant de la DASS ! Un vicieux qui a pensé à glisser des poils blonds et frisés de perruque sous les ongles des victimes (pas d’ADN), toutes étranglées avec un filin d’acier de freins de vélos et le corps lacéré de croix, alors qu’il est rasé !
« j’ai du m’arréter aprés ma 6ème pour faire cariss chez olida »
Lui, il est allé jusqu’à la licence de lettres mais il travaille comme apprenti dans un magasin de cycles du quartier !
Un vicieux qui a pensé à glisser des poils blonds et frisés de perruque sous les ongles des victimes (pas d’ADN)
non..ça c’est pour accuser l’immigration..les cheveux de perruque sont indien et pakis..marcel est un salaud
« il fau que je l’lave, le tabier! »
Quoi ?! vous êtes incontinent et vous êtes soulagé ‘contre’ le tablier de votre maman ? et elle vous oblige à faire la lessive ?! Je comprends que votre estomac vous fasse souffrir…
apprenti dans un magasin de cycles du quartier !
..pour bobo!..les magasins de vélo en ville c’est que dla marque..un fixie ça vaut mini 500 euro..j’ai failli m’casser la gueule avec
« marcel est un salaud »
C’est surtout un torturé du bulbe. J’ai peur, il a mon adresse, le boug !
« Pense-t-on plus et mieux à Strasbourg qu’ailleurs ? Il faut croire car c’est un « lieu philosophique ». »
Ce n’est pas faux non plus, à condition de ne pas confondre Strasbourg et Nancy, Jean-Luc Nancy.
La preuve:
http://www.philousophe.fr/page1010.html#betisier
« Nietzsche, penseur de la volonté de puissance et précurseur du nazisme »
Pauvre Nietzsche ! Lui qui haïssait plus que tout le nationalisme, le peuple et surtout la plupart des Allemands ! Son expression « la volonté de puissance » ne signifie pas, comme on le lit trop souvent, la volonté d’écraser les autres par sa puissance, ou le désir de puissance impérialiste allemande. Il faut plutôt entendre « volonté de puissance » comme « puissance de la volonté » individuelle. Il invite chacun, en tant qu’individu, dans une optique non politique donc, à savoir vouloir sa vie, lui « dire oui », en commençant d’ailleurs par l’instant qu’il est en train de vivre. »
Et là, c’est bien triste à dire, mais il fait un temps tellement énormément beau, que je vais peut-être vous abandonner là.
s’il sonne tu souris et tu le laisses entrer et paf tu lui files un grand coup de clef anglaise..hop tu découpes dans des sacs poubelles..zip tu ventilles dans le tri selectif pour brouiller les pistes..élémentaire mon cher watson
Salut les nazes. Moi j’avais commandé un roman de Marcel sur Internet, il s’est perdu en route. J’ai pris cette mésaventure comme un oracle divin.
P.Assouline est un obsédé de l’objet petit a
et je le prouve
J.S. Bach – Quia respexit humilitatem & Omnes
bouguereau dit: 18 février 2014 à 13 h 56 min
zip tu ventilles dans le tri selectif pour brouiller les pistes
et ensuite tu balances du haut d’un pont à Vierzon après on en retrouve sur tout le continent au Simplon au Brenner au Birobidjan
Chaloux dit: 18 février 2014 à 13 h 56 min
Salut les nazes. Moi j’avais commandé un roman de Marcel sur Internet, il s’est perdu en route. J’ai pris cette mésaventure comme un oracle divin.
Encore un jugement avant lecture qui se contente de l’avis de la raie publique. Mon Chaloupinet, t’avais une belle occasion de nourrir ton intelligence.
Merci Bouguinet pour ton enquête rondement menée. Marcel est un salaud, cela va de soie.
Jacques, il ne faut pas être réducteur à ce point, le coupable a fait un séjour en famille d’accueil via la DDAS, mais il a encore son père et sa mère, son père qui laisse tomber femme et enfant et la mère qui se retrouve dans la merde.
Mon Marceloupinet calbrixounais, je ne porte aucun jugement. J’accepte l’oracle.
@Jacques Barozzi.
Lui, il est allé jusqu’à la licence de lettres mais il travaille comme apprenti dans un magasin de cycles du quartier !
Là tu te fiches du monde, Jacques. Il n’est pas apprenti ! Avec sa licence de lettres, le monde du travail allait l’accueillir à bras ouverts ? Il aime la mécanique, la pratique et se fait embaucher chez un réparateur de cycles en tant qu’employé. Il faut bien croûter, ma foi, en attendant mieux !
Chaloux dit: 18 février 2014 à 14 h 37 min
Mon Marceloupinet calbrixounais, je ne porte aucun jugement. J’accepte l’oracle.
Tu n’es qu’un vieux fossile, mon Chaloupinet. Dans le fond, si tes vieilles croyances t’aident à vivre, pianissimo…
Au fait, j’ai vu Colombet. Il te cherchait.
voilà pourquoi P.Assouline est intranquille:
« Je ne pense pas que ce soit intrinsèquement mauvais que les enfants s’installent devant la télévision, ou jouent à l’ordinateur – mais je pense que c’est une dommage que, pour de nombreux enfants, ces divertissements aient entièrement remplacé la lecture », déplore la petite, qui n’en oublie pour autant pas que mens sana, certes, mais in corpore sano, c’est mieux… Ainsi, elle fait quatre heures de gymnastique hébdomadaire, du karaté et elle apprend la batterie.
mais s’il savait que j’ai trouvé dans les Célèbes un phinissi de 46 mètres qui s’appelle « lalila », ifrémirait !
il frémirait et disserterait du la crise de la vocation
Mon Marceloupinet, j’ai une énorme ammonite sur mon bureau. Je lui donne une caresse de ta part.
Pour le reste, regarde dans Nietzsche, il t’a répondu.
sur les vrais laboratoires de la vocation
Finalement il faut préférer Simon à Rouaud. Le témoignage de Flavius Joseph aujourd’hui ne serait pas en faveur des territoires palestiniens.
flavius dirait « all your base belong to us » chance s’il daigne te prende comme échanson dans sa villae phil
vas chier le got mit uns par mauvaise procuration d’amazon..pauvre tacheron des vaincus
Il faut bien croûter, ma foi, en attendant mieux !
vende des vélo sans selle électrique et écrire des poèmes..tuer en série comme hobby mistique, sous l’espresse condition de ne pas se faire prende..même drakul aurait dit qu’y’a pas mieux
au Simplon au Brenner au Birobidjan
..que des hubs d’amazon encore..le corps être livré à ce con de cheuloux, grossierement recousu, pourra toujours essayer le coup de l’oracle au juge
À la majesté grandiose du système hegelien ne répond que l’extrême modestie de son propos.( le strass!)
la modestie, c’est un truc de phil ein sof
Marcel est un salaud, cela va de soie
c’est un oracle ou je ne m’y connais pas..faut ouvrir pour en avoir le coeur net
bouguereau dit: 18 février 2014 à 15 h 39 min
Pauvre Charogne de Bouguereau qu’on ne peut même plus « recoudre ».
Remettons-le dans son bocal et lavons-nous les mains.
..les lunette google en 14 c’était quelquechose..vive le progré
Marcel dit: 18 février 2014 à 14 h 59 min
fait, j’ai vu Colombet. Il te cherchait.
Mon Marceloupinet, que Colombet ne me cherche plus, je sais parfaitement où il crèche, il le sait d’ailleurs très bien.
J’irai le voir cet été avec des potes.
J’irai le voir cet été avec des potes
..tes 200 sur facebook qui attende de te braquer pov cloche
Non Bouguereau, face de cul, des vrais potes très très amusants, Colombet va adorer, je t’assure.
Tiens, face de rat, écoute ça si tu as encore des oreilles pour entendre,- tout de même beaucoup plus intéressant que tes éructations sans queue ni tête.
http://www.franceculture.fr/emission-du-jour-au-lendemain-pascal-quignard-2014-02-13
« les lunette google en 14 c’était quelquechose. »
là c’étaient des tenues d’apiculteur
Un cadeau du ciel…
Un don de Dieu…
Valéria Ferreti en photo dans le dernier « petit célinien »…
Bellissima!!!
Elle réfléchit à Ferdinand en plus, et en ayant mis la « barre très haut »…
C’est qu’elle me fait penser au poème de Baudelaire,
et aux regards pas du tout funestes
Du coup;
Je n’ai pu me concentrer 3 seconde sur l’histoire de Rouaud, pourquoi est-il mort ?
Piazza… capuccino et Valeria.
Oh Firenze.
Chaloux dit: 18 février 2014 à 15 h 48 min
« … que Colombet ne me cherche plus, je sais parfaitement où il crèche, il le sait d’ailleurs très bien. J’irai le voir cet été avec des potes… »
Un gentleman duelliste rend visite à son adversaire en face à face. Nous n’imaginons pas une seconde qu’un erdéelien de cette qualité puisse faire une visite de groupe, look immeuble banlieusard …
Prions pour qu’il s’agisse d’une rencontre ayant pour but un hommage collectif de gentlemen admiratifs. Il le mérite…
JC, ce qui vous échappe c’est que cette promesse n’est en rien une menace. Je ne suis pas le genre du tout. Mais : j’ai très envie de présenter ce quidam dépourvu de toute limite à des amis qui n’en ont pas beaucoup non plus. Je crois qu’il y aura là un gisement de haute littérature, tout comme je suis persuadé que le problème de savoir de qui on se fait le complice en adoptant certains travers rhétoriques (cf Bouguereau)en est un autre,- même si Bouguereau est cérébralement un bulot.
@ Chaloux, 15 h 09 min
regarde dans Nietzsche,
Justement, Zarathoustra te cite : En vérité, je vous le dit, Chaloux est le contre-exemple flagrant de l’adage « La musique adoucit les meurs »
Chaloux, il y a une logique : votre raisonnement m’échappe en partie car je suis, ne l’oubliez pas, Grand Maître de l’Ordre Militaire des Bulots !
Mon Marceloupinet, tu te trompes du tout au tout. Je suis un doux parmi les doux. Mais j’aime aller au fond des choses.
bouguereau dit: 18 février 2014 à 15 h 43 min
Marcel est un salaud, cela va de soie
Tu tombes dans panneau, Boug. Ce soie n’était que là pour adoucir ta formule quelque peu brutale. Il est vrai que tu aimes les verre à soif et moi les vers à soie.
Chaloux dit: 18 février 2014 à 16 h 54 min
Mon Marceloupinet, tu te trompes du tout au tout. Je suis un doux parmi les doux. Mais j’aime aller au fond des choses.
Ah là là, elles sont gâtée avec toi, mais tiens-tu la distance ?
JC, je vous donne un exemple pour bulots. Vous longez un fleuve d’une merveilleuse puissance, et même d’une fabuleuse insolence, et tout à coup vous prend l’envie de remonter à sa source.
Mon Marceloupinet Calbrixounet, je m’y efforce.
Un complément d’information apporté par Moije dit Bulot le Normal, en visite à la Grande Mosquée, sur l’illustration tranchée 14-18 proposée par Passou.
Le soldat apiculteur de gauche est catholique, l’apiculteur de droite, protestant, celui qui est assis, juif, les trois derniers sont athées, le plus au loin est musulman. Ce dernier est particulièrement encensé.
« La France n’oubliera jamais le prix du sang versé. Cet hommage s’adresse à leurs descendants pour qu’ils soient fiers de leurs parents et conscients que la République a une dette à leur égard ! A celles et ceux qui s’interrogent sur leur destin, leur place et même parfois sur leur identité, aux descendants de ces soldats, je dis ma gratitude. »
Demain, même hommage, même dette à la Synagogue, après demain au Temple, le surlendemain, à Notre Dame de Paris …Pour les non-croyants, hommage et dette, rien n’est décidé.
La pêche aux voix commande ….. De la haute stratégie !
http://www.lepetitcelinien.com/2014/01/les-entretiens-du-petit-celinien-xi-valeria-ferretti
Chaloux dit: 18 février 2014 à 17 h 00 min
Mon Marceloupinet Calbrixounet, je m’y efforce.
J’ai quand même un peu peur qu’elles craignent là Chaloupette
« Elles » craignent dans doute moins le « Chaloupette » qu’elle ne craignent certainement la marceloupinette Calbrixounette : je n’ai pas encore la trogne d’un vieux gardien de cimetière qui se serait endormi pendant quarante ans sur une bouteille de Pernod !
Enfin, Chaloux !!! Si la beauté pileuse de Marcel ne vous touche pas, n’en dégoutez pas les autres ! On dit par chez nous, que Daaphnée en est folle mais qu’il préfère Béré Nice …
(…ça dérape et ça glisse en RdL, … il a neigé, …comme à Sochi…)
« Art exists at a remove » :
http://theparisreview.tumblr.com/post/77073765065/distinctions-the-seascape-shifts-between-the
Bardamu,
Les lien pour Valeria Ferretti est corrompu, voyez ça :
http://www.lepetitcelinien.com/2014/01/les-entretiens-du-petit-celinien-xi-valeria-ferretti.html
Between the minutest interstices of time
Blue is blue.
Ouais… touchant !
Tatata…
« Discusses a blue that someone
Heard someone talking about. »
pour certains la RDL c’est toute leur vie, un refuge pour vieux chiens malades
Marcel dit: 18 février 2014 à 16 h 54 min
bouguereau dit: 18 février 2014 à 15 h 43 min
les verre à soif
Faut pas jurer de tonneau… De toutes manières dans les creutes les gus ils buvaient par terre ça profilait mieux… Sans parler de sans parler…
yaka dit: 18 février 2014 à 18 h 14 min
pour certains la RDL c’est toute leur vie, un refuge pour vieux chiens malades
Faudrait faire un additif, pour le vieux Salamano…
la raclure de keupu y a sa gamelle pleine de coups d’pied..il aime ça
trop de petit célinien
Quoi, vous êtes contre les refuges pour chiens malades ?
Sans parler de sans parler…
et tirer sa pipe sous sa capote..chacun la sienne attation..le maréchal des logis veillait baroz
chiens malades ?
ha tu crois que je confonds keupu avec cheuloux?..mais où qu’on va !? dans l’fossé
Ce qu’il manque à cette éducation littéraire ? L’évocation du rôle central des revues
lassouline parle trop de ses bouquins d’cul
Civitas, les potes à JC et bouguereau, veut faire interdire le film « Tomboy » projeté demain soir sur Arte… bientôt l’inquisition ?
bouguereau dit: 18 février 2014 à 18 h 37 min
le maréchal des logis veillait baroz
Maréchaéogis …Comme Saint-Loup ? Daniel de Fontanin (les Thibault) ?
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