de Pierre Assouline

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La République des livres
Du racontage de mézigue au journal extime

Du racontage de mézigue au journal extime

Ce qu’Alexandre Dumas a dit de l’Histoire, on peut le dire de la langue française : il est permis de la violer à condition de lui faire de beaux enfants. C’est affaire de sonorité, d’accommodement, de goût ; mais s’agissant d’ « extime », il semble que les lexicographes de nos meilleurs dictionnaires prennent leur temps pour l’admettre en leur sein. Des néologismes autrement plus rugueux à l’oreille se sont pourtant imposés dans leurs pages. Patience…

Michel Tournier ces jours-ci pléiadisé, à qui l’on doit l’invention de l’expression « journal extime » jusqu’à ce que l’on découvre un jour peut-être qu’un autre l’avait précédé, l’a consacrée en intitulant ainsi l’un de ses livres en 2002. Sous sa plume, comme sous celles de Marguerite Duras et d’Annie Ernaux, c’est à une véritable projection de soi non plus dans le territoire de l’intime mais dans celui du dehors que se livre le diariste de ce genre-là. Un mouvement d’ouverture vers l’extérieur plutôt que « le racontage de mézigue » comme disait Jacques Perret. Autant de choses vues que de choses lues, de personnages remémorés que de personnes rencontrées. Pour un écrivain, l’exercice tient du laboratoire, de l’atelier, du fourre-tout, du vide-poches. Souvent des livres y naissent, des phrases y sont mises au banc d’essai, des idées discrètement mûries. Paul Valery, qui tenait chaque matin registre de « la vie de l’esprit », y est parvenu avec génie dans ses Cahiers : plus de trente mille pages en deux cents soixante et un cahiers !IMG_7177

Le Journal extime, qui correspond mieux à notre air du temps, n’a pas pour autant éliminé le journal intime à l’ancienne. Ceci n’a pas tué cela.  Mais chez les écrivains, il peut prendre la forme originale d’un blog. On en connaît quelques uns parmi ces blogs à part, suivis chaque jour par des milliers de lecteurs fidèles ainsi venus aux nouvelles : François Bon (« Le Tiers livre »), Claro (« Le clavier cannibale »), Jacques-Pierre Amette alias Paul Edel (« Près, loin »), André Markowicz (Facebook) et Eric Chevillard (« L’autofictif ») ainsi que Pierre Maury (« Journal d’un lecteur ») et Michel Crépu (« La Nouvelle revue française ») ou à l’étranger tel celui de l’espagnol Antonio Munoz Molina (« Visto y no visto »)

Chacun y a développé un ton, un style, une manière, un univers qui lui sont propres. Ceux-là méritent déjà la palme de la persévérance car ils oeuvrent depuis des années et c’est passionnant pour qui s’intéresse aux mécanismes et aux logiques de la création littéraire. Car derrière chacun de leurs commentaires, réflexions, critiques, informations, et sous chacun de leurs éclats de littérature, maximes du jour, fragments bien tempérés, ils se dévoilent mieux que tant d’autres dans leurs mises à nu autoproclamées.

Un blog d’écrivain n’est pas un site à sa gloire. Beaucoup l’ont crû qui ont abandonné au bout de quelques mois. Ils n’imaginaient pas la quantité de travail que cela suppose, jusqu’à devenir une tyrannie consentie que l’écrivain s’impose ; car lorsque l’écriture ne s’exerce que dans le secret de la table de travail à même le papier, nul n’en est témoin ; mais lorsqu’elle se déploie publiquement et régulièrement en ligne, elle est sans cesse sommée par ses lecteurs de rendre des comptes. Un blog de ce type est un journal extime, un carnet de route, une interpellation urbi et orbi.

Petit à petit, les blogs de Bon, Claro, Amette, ceux de Markowicz dont on peut retrouver l’écho dans Partages II (Inculte) et d’Eric Chevillard dans L’Autofictif à l’assaut des cartels (L’arbre vengeur), se sont imposés comme les indispensables incipit de nos journées. Ce qu’ils disent chaque jour de l’état du monde, et qu’ils sont bien les seuls à dire, nous est nécessaire ; sans quoi nous courrions le risque de sortir dans la rue au petit matin avec un faux pli dans le jugement. Lorsque Hegel prétendait à raison que la lecture de journaux était la prière quotidienne de l’homme moderne, il n’imaginait pas qu’un jour elle se tiendrait face à un écran et qu’elle commencerait par les explosions de pensée de quelques écrivains.

(« Du côté de Cabourg » photos Passou)

 

Cette entrée a été publiée dans La vie numérique, vie littéraire.

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commentaires

771 Réponses pour Du racontage de mézigue au journal extime

oursivi dit: à

Par contre, la Marguerethe a choisi une actrice des plus godillantes pour camper* l’Hannah jeune.

On comprend mieux que le « pieux » Martin – lui affublé d’un masque de Régis Debray – lui ait montré son Jésus.

AO

* tu m’étonnes qu’elle le tente… Elle finit au piquet. De tente, bien entendu.

oursivi dit: à

Et V’la ti pas que PA montre sa montagne magique au jeune Hamlet…

Quel monde !

Mais quel monde…

AO

Sergio dit: à

Mais c’est pas himportant qui cé qui ; ce qui le l’est important, c’est cquia dedans…

christiane dit: à

@Hamlet
Parce qu’il avait demandé (à ceux qui savaient) de ne pas le dire…
@W.
J’ai un peu peur, W., de votre réaction quand vous lirez Autrefois, le mois dernier d’Annie Saumont. C’est peut-être son livre le plus fragile, en apparence le plus maladroit, et pourtant… ce jeune adolescent regarde le monde avec un regard et des mots tellement justes. C’est difficile d’entrer dans la tête d’un jeune ado qui va découvrir l’étreinte amoureuse pour la première fois. La montagne, les torrents, la beauté du monde et sa rudesse et les coups de la vie et les grossièretés qu’il chuchote à sa mère pour s’essayer à ce qu’il croit être la maturité. Il le peut car elle est sourde. Sa langue est âpre, lourde de violence contenue. Quant à jeune fille qui entre par hasard dans sa vie, elle sait être rude comme les filles qui ont morflé. La fin est un immense point d’interrogation.(Vous me direz…) Je crois n’avoir jamais lu un livre aussi pur et aussi dur.
Alors, s’il vous plait, recevez-le avec un esprit désarmé, en toute innocence (sauf pour la langue, extrêmement affutée). C’est loin de vos lectures habituelles, un petit coin d’écriture plein d’herbes sauvages, de ronces et de coquelicots.
Merci de m’avoir posé la question.
@Hamlet, j’ai oublié, il n’y a que vous pour interpeller ainsi Passou, avec effronterie et charme. Belle envolée. Jolie réponse.

christiane dit: à

@DHH dit: 1 février 2017 à 21 h 23 min
Chapeau l’artiste !

Widergänger dit: à

Non, je trouve que l’actrice est très bien.

Je trouve aussi que ce film sur Hannah Arendt explique vraiment très bien ce qu’est ce concept de « banalité du mal ». Je crois que ce concept ne peut s’appliquer à un individu mais à un système administratif qui empêche les gens d’avoir recours à leur conscience, mais joue comme une énorme chappe de plomb sur eux. Eichmann, comme individu, pensait, on ne me fera jamais croire le contraire. Mais l’administration est une sorte de refuge de la pensée. Et ça c’est le fruit de toute une éducation purement allemande de l’époque. Qui ne pouvait avoir toute son efficacité que sur des gens sans grande personnalité, sans grand caractère comme Eichmann qui se caractérise par sa médiocrité en tant qu’être humain. C’est ça qu’essaie de penser Hannah Arendt et elle invente là un concept pertinent pour penser le monde démocratique même encore présent parmi nous. On lui doit cette pensée révolutionnaire. C’est pour ça qu’il est si important de penser la Shoah encore et encore pour approfondir cette absence de penser, pour essayer de comprendre comment c’est possible qu’un être humain trouve un avantage à renoncer à penser, à entrer en empathie avec autrui. C’est encore aujourd’hui un profond mystère qu’on n’a même pas commencé à penser.

Et quand elle parle des responsables juifs des Judenräte, c’est le même problème à peu près. C’est le fait que le totalitarisme oblige tout le monde à la même absence de pensée, au même effondrement moral, et que dans de telles circonstances il devient extrêmement difficile de résister à cet effondrement et de ne pas croire que la collaboration avec le mal ne puisse pas d’une manière ou d’une autre atténuer les souffrances. C’est la malignité du diable de préserver notre espoir alors que ses actions entraînent l’effondrement moral qui rend le mal encore plus actif. Et ça aussi, on n’a pas encore commencé de le penser.

Sergio dit: à

faut dire que Heidegger si le ramage ressemble au plumage…

Widergänger dit: à

Oui, oui, christiane, je le lirai avec l’esprit ouvert et accueillant, soyez tranquille. Je vais voir ça demain à la Fnac. Je dois me procurer un guide sur Prague pour mon voyage des vacances qui viennent. J’emmène Kafka et Kundera en voyage à lire et relire. Et j’emmènerai un Annie Saumont que je trouverai.

bérénice dit: à

17h49, vouliez-vous faire tondre Cocteau ?

Phil, j’ai du mal comprendre la citation, il se parlait à lui même, l’homme se doit d’être par ses actes et par l’étude en constante germination, volition, volonté d’échapper à sa phrase précédente mais votre façon de dire sa proximité avec l’occupant pouvait laisser penser que la distance réglementaire en vint à s’amenuiser pour disparaître je ne sais où .

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

Jarret d’agneau braisé sur son lit de riz aux petits légumes, pain perdu au chocolat. Côtes-du Rhône. Bonnet nuit…

bérénice dit: à

23h sergio, vous n’auriez pas non plus accepté ses avances si ce genre d’élans avaient figuré au catalogue de ses désirs?

oursivi dit: à

« pour essayer de comprendre comment c’est possible qu’un être humain trouve un avantage à renoncer à penser »

Facile, sinon trivial.

Parce que cela annule tout conflit en lui.

La radicalité de l’autocensure nécessaire à cela dans un contexte lui aussi radical, violent, est contrebalancée par le gain de sécurité.

Alors pour ne pas subir la déchirure née du conflit, la pensée et l’appareil psychique sont débranchés ou étourdis.

Avais eu une petite querelle avec un des plus célèbres psys français, spécialiste des serial killers. Il prétendait qu’Arendt n’avait pas ou mal compris Eichmann, que son concept de banalité du mal était mal emmanché.

Je pense tout au contraire que son dernier chapitre où elle livre le réquisitoire qu’elle aurait prononcé contre Eichmann, prouve exactement le contraire.

M’en suis même demandé s’il ne s’était pas contenté de voir un film au lieu de lire attentivement le livre.

AO

Widergänger dit: à

Certes, mais la pensée c’est ce qui définit l’homme. On se souvient des pensées mémorables de Pascal à ce sujet. Dès lors, renoncer à penser, c’est renoncer à être un être humain, à l’humanité qui fait de nous ce que nous sommes. Comment est-il possible de trouver un avantage à se déshumaniser ? La sécurité n’explique pas tout. Parce que se laisser déshumaniser n’est pas particulièrement « secure ».

oursivi dit: à

C’est votre conception, bien sûr plus noble que celle d’Eichmann, mais votre erreur est de vous croire universel.
Les Eichmann potentiels pullulent. Le test de Milgram en est une triste démonstration.

Widergänger dit: à

Mais je suis bien convaincu que les Eichmann pullulent. C’est bien ça la banalité du mal. Mais Eichamnn n’en est pas moins un être humain comme tout le monde qui se définit par le fait de penser.

Sergio dit: à

bérénice dit: 1 février 2017 à 23 h 07 min
23h sergio, vous n’auriez pas non plus accepté ses avances si ce genre d’élans

Boh y a quand même peu de risque… Et puis ça se remarque bien vite, au sourire, justement. Un mec sourit jamais ; il se bidonne se redégonfle puissamment en faisant trembler toutes les planètes, mais le sourire, je vois pas.

Et halor quand par hasard je vois un de mes copains commencer à sourire, ça me met toujours vagus mal à l’aise…

oursivi dit: à

Tout dépend ce qu’on appelle « humain », à quel niveau on place la barre…
A ce compte-là Hitler le serait alors ?
Pas pour moi, ce qui définit l’humanité d’un bipède est la qualité – même infiniment banale pourvu qu’elle ne soit pas mauvaise – de ses actes. Certains se sont retirés de l’humanité.
On peut examiner avec calme si ce retrait a été exo ou endo généré. Quand on s’intéresse comme moi à l’examen du cheminement de certains tueurs, à leur part quasi ontologique de responsabilité, on arrive à des conclusions assez originales, qui remettrait en liberté très vite certains assassins quand on réalise qu’ils ont été totalement manipulés, ne s’étant eux jamais déparés de leur libre arbitre, simplement celui-là était dévoyé par de fausses informations, placées là à desseins par un vrai malfaisant. Et à l’autre extrémité, on ne pas bien ce qui existe d’humain chez de très rares bien réels individus. En général la peur que ceux-là puissent « surgir en nous » interdit à beaucoup d’admettre leur existence, par peur de se contaminer de cette simple constatation de leur existence, d’une réelle inhumanité que beaucoup ont peur de posséder cachée au plus profond d’eux. Quand on a passé assez d’années et traversé de situations, on est quand même équipé pour savoir d’expérience de quel côté du miroir on existe.
Eichmann, c’est autre chose, c’est l’absence de mentalisation de la vie, le refus de l’empathie, aussi une forte vanité en attente qui n’avait pas trouvé sa place dans la société raisonnable initiale que chassa le nazisme. Un mélange sournois d’opportunisme et de somnambulisme.

Widergänger dit: à

Mais bien sûr que Hitler est un être humain comme tout le monde. C’est une profonde erreur de penser que les grands criminels nazis seraient exclus de l’humanité. Ça ne tient pas debout. Ce qui est à penser, c’est précisément l’apparente contradiction qui existe entre Hitler, un homme qui se définit aussi par le fait de penser comme tout un chacun et les crimes qu’il a ordonner.

Widergänger dit: à

Penser est une source de plaisir. Or, renoncer à penser doit être une source de plaisir plus forte encore pour devenir effective, sinon on ne pourrait pas renoncer à penser. C’est ça qui est bizarre et mystérieux. Comment se fait-il que renoncer à penser puisse surmonter le plaisir de penser ? Quel type de plaisir cache une telle renonciation ?

oursivi dit: à

A part répéter qu’un homme se définit par le fait de penser… c’est un peu court, ami Mauvaise Langue.

Votre credo n’est qu’un axiome parmi d’autres, aussi indémontrable que ses congénères et qui trouve hélas ses limites dans les conséquences qu’on lui laisse prendre.
Ce qui constituait la monstruosité d’Hitler était un semblable credo qui faisait de certains hommes des coupables de naissance.

Dit sommairement, dans les deux cas, cela revient à une vision platonicienne qui place des idées au-dessus du réel, qui se contrefiche de la réalité des actes.

C’est exactement l’inverse de mon credo à moi.

Bonne nuit, j’ai du boulot.

AO

Chaloux dit: à

Gloire à Margarethe von Trotta. Ce que j’ai vu de plus passionnant, avec Michael Haneke, depuis bien longtemps.

(Sur sa télé payante, M. Onfray évoque le problème Polanski : une justice pour les pauvres, qu’on arrête, qui passent en jugement et effectuent leur peine, une justice pour les riches, qui s’y soustraient et trouvent toujours un comité les soutenir. Pour mémoire, Polanski a drogué une fille de treize ans et l’a violée, plus quelques autres gracieusetés).

Chaloux dit: à

Pour les soutenir.

XYZ dit: à

Mais bien sûr que Hitler est un être humain comme tout le monde.

IL n’avait qu’une burne & un père syphilitique, ce qui n’est pas le cas de « tout le monde »…

JC..... dit: à

« Penser est une source de plaisir. Comment se fait-il que renoncer à penser puisse surmonter le plaisir de penser ? Quel type de plaisir cache une telle renonciation ? »

La satisfaction de goûter à l’humilité du sage …

bérénice dit: à

qui se définit aussi par le fait de penser

comme il y a quantités de personnes qui chantent faux et ne peuvent corriger leur chant il y a des gens qui pensent faux et c’est assez grave quand ils sont aux commandes car manipulent , convainquent et réussissent à faire d’un ensemble composé d’un plus ou moins grand nombre d’individus un instrument à leur service défendant par tous moyens une cause fondée sur des postulats erronés ou criminels, défense qui pourra aller jusqu’à l’élimination d’une fraction plus ou moins grande des populations que celle ci opère au nom de l’ ethnicité ou de l’appartenance à une confession religieuse ou selon différents critères définissant un groupe: opposants politiques, intellectuels, homosexuels…

JC..... dit: à

J’ai plaisir à voir que certains critiquent en France les élections américaines, sachant combien les nôtres sont dans le marigot le plus fienteux … Paille & poutre !

bérénice dit: à

Pour mémoire, Polanski a drogué une fille de treize ans et l’a violée, plus quelques autres gracieusetés).

Chaloux, bizarre que vous reveniez sur ces faits, 40 ans , il y a prescription quand bien même on ne lui donnera pas de certificat d’honorabilité dont il semble d’ailleurs que vous pouvez vous passer si on regarde votre entourage et vos affinités.

XYZ dit: à

A droite, des mauvaises langues disent que dans la famille Fillon, seul le chien n’a pas perçu d’argent, mais qu’il faut quand même aller vérifier…

JC..... dit: à

Il est tout de même surprenant que le Peuple, stupide bête de somme qui a laissé ses élites se privilégier en ses palais de la République, confondent un enrichissement personnel bien sympathique, bien naturel, bien acquis … et la capacité de diriger un pays !

Mélange des genres idiot !

Passou dit: à

A Widerganger de 22.58, Je soustrais à votre analyse. Il n’y manque qu’un mot qui est aussi une clé de compréhension.
Un jour, j’ai dit sensiblement la même chose que vous lors d’une conférence dans une ville de Suisse alémanique. Quelques heures plus tard, au restaurant, un vieux monsieur très digne est venu me dire : « D’accord avec vous mais oubliez un élément sans lequel vous vous condamnez à ne pas comprendre, je ne dis pas excuser et encore moins justifier, mais comprendre les mécanismes de la société allemande : l’obéissance ». Ayant creusé par la suite cette notion pour écrire « Sigmaringen », l’importance de la notion s’est imposée, dès l’école où l’on apprend d’abord à obéir ensuite à apprendre. (revoir « Le ruban blanc » de Haneke). L’obéissance à ce niveau-là, ancrée dans les moeurs et les esprits, c’est ce qui permet de ne pas exercer sa pensée (« Réfléchir, c’est avoir une pensée critique » dit Arendt dans le documentaire), ce qui permet de se décharger de toute responsabilité sur celui qui est au-dessus, partout et plus encore dans les administrations.

la vie dans les bois dit: à

Stop making excuses, les écrivains confrontés à leur emploi fictif:

« Take a minute to consider your “valid” excuses for not writing. And don’t say “I work full-time.” Seriously, that is the lamest excuse ever—pardon me for offending you, if I’ve done so. But countless productive writers work full-time doing something other than writing (a job or homeschooling kids or volunteer work—whatever). Another saying of full of truth: “You always find the time to do the things you love.” »
http://www.livewritethrive.com/

DHH dit: à

@WGG @passou
remarquable analyse de cette idée d’une occultation inconsciente du crime qu’on commet par la référence à l’obéissance avec l’ouvrage de Christopher Browning « des hommes ordinaires » qui se penche sur les personnalités ,banales, des hommes qui composaient un des bataillons formant ces Einsatzgruppen,auxquels on doit la mise en œuvre de la Shoah par balles en Ukraine.
l’idée qui se dégage aussi de ce livre c’est que le comportement criminel est d’autant plus facile à accepter pour son auteur qu’est grande la distance ,matérielle ,culturelle, institutionnelle, sociale, ethnique etc… entre le bourreau et la victime

zerbinette dit: à

Passou dit: 2 février 2017 à 8 h 16 min
à Widerganger de 22.58, Je soustrais à votre analyse.
Le clavier aurait-il fourché ? Car il serait dommage de soustraire ce à quoi on souscrit ….

JC..... dit: à

A mes yeux, l’obéissance enseignée jeune, ancrée dans les mœurs, n’est pas antagoniste avec la réflexion, contrairement à ce que semble professer notre désobéissant, par nature, Passou, qui pense que l’obéissance est un frein à la pensée.

Tout est question de circonstances : l’obéissance au magister qui sait, alors que le disciple ne sait pas, est un outil utile, l’obéissance au meilleur qui sauvera ou non le groupe en danger, est un outil utile, n’importe quel naute vous contera combien il vaut mieux obéir collectivement pour sauver un bateau dans une tempête, plutôt que de « penser le sauvetage ».

Bref, il y a beaucoup de différence entre un peuple qui considère l’obéissance comme outil structurel du mieux, et l’individu qui peut ne pas « obéir » car il est en situation de « penser » tranquille… Pas de hiérarchie entre pensée et obéissance : tout est question de situation.

Phil dit: à

dès l’école où l’on apprend d’abord à obéir ensuite à apprendre (passou)

c’est l’explication qui convient aux sociologues cnrs et cinéma hollywood depuis cinquante ans. En France à la même époque, les enfants saluaient le maître debout avant de s’asseoir pour apprendre.

bérénice dit: à

Passou, une répnse à JC passée dans les cintres, sans raisons .

boudegras dit: à

8 heures 58 : un traducteur de français est demandé au parloir

JC..... dit: à

ECOLOGIE

Comment ne pas être d’accord avec le climatologue Donald TRUMP qui, par une journée glaciale à NYC s’écriait : « Ça gèle à New York, on a besoin du réchauffement climatique. »

Voila un type plein de bon sens, bien plus sensé que ces crétins subventionnés du GIEC….

JC..... dit: à

Persuadé qu’elle est source de Nutella, la Bousegrasse est coprophage…

la vie dans les bois dit: à

C’est le mot embrigadement à un système, etatique, burezucratique, qui manque, plus que celui d’obéissance, qui dans son acception commune est loin d’être dénué de la notion de volonté.

la vie dans les bois dit: à

bureaucratique et anonyme.

la vie dans les bois dit: à

C’est n’importe quoi. Réduire une entreprise criminelle à une société à irresponsabilite limitée d’obéissance infantile.

Paleine dit: à

La notion de bildung n’est pas transposable dans l’univers welsh – passe pas la barrière du Rostï

boudegras dit: à

Penser est une source de plaisir… quand JC pense on voit bien ce que cela donne… tout le monde rigole

etudiant sérieux dit: à

JC….. dit: 2 février 2017 à 6 h 43 min

JC toujours prêt à défendre les pauvres et les indigents comme dirait bouguereau

etudiant sérieux dit: à

« l’obéissance »

facile à dire !

JC..... dit: à

Etudiant sérieusement atteint, il vous faut penser sérieusement désormais !

Je sais combien c’est un plaisir -rare- pour vous qui êtes sous équipé en neurones : étudiez encore, étudiez toujours.

J’ai confiance…

Vous finirez par faire la différence entre l’imbécillité de défendre les pauvres et les indigents par l’incantation socialiste inefficace, et les solutions libérales qui consistent à créer les conditions de leur sortie du mouroir d’immeuble.

Pensez au Grand* Deng Xiaoping en Chine…
(*1,52m)

etudiant sérieux dit: à

6 h 38 min
C’est par amour -Trop beau de les voir chialer – tant d’amour, on y croit

Clopine, définitivement un cas à part... dit: à

Perso, aprèsa voir visionné le film (j’allais écrire « documentaire » !) sur Arendt, hier au soir, j’ai pensé que la banalité du mal vient certes de la médiocrité d’une pensée fanatisée ET administrative, mais aussi, plus globalement, de notre déconnection du monde sensible. (même si ça doit vous faire hurler tous, je trouve que la racine est la même. Y’a qu’à aller visiter une usine de porcs pour comprendre ce que je veux dire : c’est un cerveau « nazi » qui a inventé ça, pas possible autrement°

J’ai attrapé un stylo pour noter que, quand Arendt parle de l’homme devenu « superflu » dans les camps de concentration (avec la destruction totale des valeurs qui s’en suit), on pourrait étendre cette notion à la nature : elle aussi est devenue « superflue » pour tellement de nos contemporains ; la publicité pour la Renault Scénic est pour moi tout aussi banalement terrifiante qu’Eichmann – en encore plus sournois, en quelque sorte. Je vais tenter d’éclaircir ça sur mon blogounet aujourd’hui, tiens.

La déclinaison actuelle de la pensée d’Arendt, c’est aussi Daech, qui rentre parfaitement dans le schéma totalitaire éclairé par la philosophe.

(j’aurais voulu en savoir tellement plus sur cette pensée mais le « biopic » était trop restreint à ce niveau-là.)

ah oui, lien vers la pub, pour que vous voyiez ce que je veux dire quand je parle de « terreur » : une vision de l’avenir totalement irréelle, quoi. Ou la moindre brindille devient « superflue »… https://youtu.be/1N-uNgCS_xg

etudiant sérieux dit: à

« sortie du mouroir d’immeuble »

excatement! JC tel un abbé pierre énarque

Jibé dit: à

« dès l’école où l’on apprend d’abord à obéir ensuite à apprendre (passou) »

Pas seulement à l’école et en allemagne, mais à la maison et partout n’apprend t-on pas, avant toute chose, à l’enfant à obéir ? Il est vrai que l’Allemand semble plus prédisposé à la discipline que le Français.
Par ailleurs, l’homme peut-il se dispenser de penser ? N’est-ce pas comme respirer, boire ou manger ? On peut seulement faire taire sa pensée, mais alors, elle se venge !

D. dit: à

Il n’y a pas du tout prescription, Bérénice. Il y a eu requalification du délit, cependant. Savez-vous en quoi ?

etudiant sérieux dit: à

JC adolf déguisé en abbé pierre

JC..... dit: à

EXTRAIT DE MON JOURNAL D’ESTIME

Mon avocat vient de m’informer qu’une plainte a été déposée à mon encontre pour les faits porquerollais suivants :

« Depuis la motorisation de son fauteuil roulant par Rolls Royce en novembre, le nommé JC surnommé le Sadique Centenaire, aurait accroché plusieurs veuves se promenant à pied, puis en profitant du trauma pour créer drama en les réanimant au bouche à bouche, « à la Polanski » d’après l’une d’elles. »

etudiant sérieux dit: à

« obéissance
« l’Allemand semble plus prédisposé à la discipline que le Français. »

stéréotypes et clichés

Jibé dit: à

On peut voir un très beau film israélien actuellement sur les écrans. « Tempête de sable », réalisé par Elite Zexer. L’action se passe dans un camp de berbères du sud d’Israël. La problématique de l’héroïne est justement d’obéir ou pas à la loi de la tribu. Vaste et vieux problème…

JC..... dit: à

Quittons nous sur une opinion qui en vaut une autre…

Ce brave idiot utile d’ABBE PIERRE aurait mieux fait, et les prêtres-ouvriers de l’époque avec, oubliés par bonheur aujourd’hui, de sauver les âmes au lieu de se préoccuper de politique immobilière ..

Jibé dit: à

Cliché ou selfie de vacances, etudiant sérieux ?

Un jour, j’étais à Berlin et m’apprêtais à traverser une large avenue. Pas une seule voiture ne venant de la gauche ni de la droite, je n’ai pas attendu que le feu passe au rouge pour traverser, sous le regard réprobateur des hommes et des femmes qui attendaient sagement de passer à leur tour. Des Allemands uniquement ? Je n’ai pas pu m’empêcher de penser en mon for intérieur : « Si vous aviez été moins obéissants en 40, vous nous auriez évité à tous bien des désagréments ! »

Nicolas dit: à

Vous avez l’art de vous lancer dans des sujets casse gueule. Ce à quoi on en revient toujours c’est à l’idefinissable, l’incompréhensible. Non pas qu’il ne faille pas se poser des questions et tenter d’y répondre, mais d’en reconnaître les limites. Le peuple allemand ceci etc Il y a plein de strat, de couche social, du polpulisle, des élites et des bourgeois aussi, des idéologies et des problèmes économiques etc on ne peut pas faire selon moi de généralité à partir de Eichmann. Sujet vaste et compliqué qui n’apporte pas de réponse toute faite. Désolé.

etudiant sérieux dit: à

« Si vous aviez été moins obéissants en 40, vous nous auriez évité à tous bien des désagréments ! » »
Vous semblez si bien connaître le pays, l’histoire, y aller souvent (c’est congénital de leur part vous pensez peut-être )

hamlet dit: à

sûr que si Eichmann avait lu le blog d’edel et de chevillard il serait pas parti avec un faux pli dans le jugement

la vie dans les bois dit: à

Les anglais aussi sont très respectueux de la préséance. Rien a voir avec l’obéissance le fait de ne pas resquiller sa place, en faisant la queue, pr ex.
L’ordre et la discipline, même pas pour banaliser le nazisme. Sujet pour perdre son temps.

Nicolas dit: à

La confrontation de Slimani et de Brocas est des plus inintéressante dans le dernier Mag Lit. Ils ont une démarche un peu similaire et pourtant ce sont deux modes de pensée, deux mondes même si ils ont des points communs. Je me demande si Brocas est sournois ou si il n’a rien compris. Après quelques questions à cotés il lui demande si son livre n’est pas un polar, elle lui répond un peu agacée et ne prenant plus de gant « Non. » Pourtant il persiste dans sa présentation dans l’encadré. En sachant que ce qui caractérise le polar c’est que seul l’inspecteur connait la vérité, comme Adamsberg par exemple, j’opte pour le fait que Brocas n’a rien compris.

JC..... dit: à

Eichmann ?

« Un brave gars, au mauvais endroit, au mauvais moment, un type obéissant  » comme dirait Passou…

Eh ! Vous arrêtez les konneries ?…

etudiant sérieux dit: à

Et franco et salazar ont eu « la décence » de massacrer et se faire obéir sans qu’on ait à s’inquiéter
bon, stop…

hamlet dit: à

dommage que von trotta n’a pas lu le bouquin d’emmanuel faye sur arendt.

ça lui aurait évité de tomber dans les clichés du grand mythe de la figure mythique d’arendt.

le mythe arendt c’est un truc pour onfray.

la barbarie c’est le no penser… tu parles d’une pensée.

les grands penseurs adeptes du penser et d’arendt ont dit qu’elle s’était juste laissée enfumer par eichmann, faye prouve que c’est faux mettre la barbarie du côté du non penser c’était juste un moyen de sauver martin son amoureux, comme quoi comme martin n’était pas du côté du non penser il pouvait pas être du côté du mal.

tout du flan : arendt heidegger même combat : les rois de la pensée aristocratique.

et encore ils ne connaissaient pas les blogs d’edel et de chevillard pour éviter les faux plis dans leurs jugements.

dieu comme tout cette mascarade est grotesque et vulgaire !

etudiant sérieux dit: à

La Roumanie descend dans la rue contre le gouvernement et la corruption
Au moins 200 000 personnes ont défilé dans les rues du pays pour protester contre un assouplissement de la législation anticorruption. (lemonde)

de passage dit: à

essai

Widergänger dit: à

À tous et à toutes !!!!
Cette semaine en Angleterre a été décidé de ne plus enseigner la Shoah dans les écoles du royaume. La principale raison étant que son enseignement choque la population musulmane qui dans son ensemble nie son existence. Il faut y voir les premiers signes de la future catastrophe qui se profile au loin. Ainsi que la facilité avec laquelle les états se plient à ce dictât, après seulement 70 ans. L’oubli devient une maladie chronique.
Ce mail a pour but de créer une chaîne du souvenir pour que la mémoire de tout ceux qui ont péri de la barbarie nazie ne soient pas les futurs oubliés de l’Histoire. Que les 6 millions de juifs, les 20 millions de russes, 10 millions de chrétiens, 1900 ecclésiastes , communistes, homosexuels, « tous les bons à rien », ne soient jetés dans les oubliettes de l’histoire.
Maintenant plus que jamais nous devons perpétuer leur mémoire d’autant que des puissances comme l’Iran et d’autres parlent de la Shoah comme « d’histoires « , autrement dit balivernes, inventions.
Notre devoir A TOUS !!! est de nous battre pour que l’oubli ne puisse pas vaincre.
Ce mail doit atteindre dans un délai très court, plus de 40 millions de personnes dans le monde afin de montrer que les basses œuvres de ces états ne se réalisent JAMAIS !!!
Une minute suffit à faire que ce mail se propage et informe au moins 10 de vos contacts qui à leur tour vont faire de même. Utilisons les moyens à notre disposition afin de faire notre devoir et que personne puisse un jour dire: « je ne savais pas « 

Janssen J-J dit: à

J’ai toujours pensé ceci : tout être humain est doté d’une faculté de désobéir mentalement à une autorité aussi totalisante qu’il est possible sur sa vie (professionnelle et privée), mais beaucoup d’entre eux ne sont pas dotés des moyens de pouvoir la mettre en pratique.
Dans le meilleur des cas, l’exil intérieur, qui est une attitude de rationalisation de cette impossibilité, constitue un mécanisme de survie au monde qui réduit au maximum la dissonance cognitive de chacun, une condition vécue propre au plus grand nombre, et sans doute la source principale de « l’aliénation collective » aux pouvoirs de la terreur laïque, ou de la servitude volontaire face à la transcendance du temps de la Boétie.
Quand le commandement de l’autorité n’est pas terroriste, dans un monde débarrassé de dieu (XXe s.), on se retrouve dans la configuration du simple gendarme ou du simple policier qui veulent (ou préfèrent) ne pas avoir à penser « en situation », mais juste à obéir à un chef qui le fera à leur place, parce que ce sera toujours beaucoup plus confortable, d’autant s’ils ont la garantie d’être « couverts » par l’institution en cas de problème. Pour preuve, cette réaction affolée entendue lors d’un projet de réforme en 2000 où nos gouvernants voulurent faire passer le message que les agents de la police de proximité devaient désormais rendre des comptes de leurs actions aux citoyens avant même de le faire à leurs hiérarchies : « Chef, chef !? C’est quand même pas aux gens qu’on va devoir obéir quand même !? ».
Face à cette réaction de désarroi bien sympathique, je me suis toujours demandé s’il y avait au fond tant de différences entre ce brave fonctionnaire d’aujourd’hui et celui d’Eichmann appliquant méthodiquement le programme de ses chefs, bien qu’on n’ait jamais trouvé chez lui de traces de « conflit de conscience » lors de son procès. (En quoi Arendt a d’ailleurs posé un diagnostic erroné). Car je suis sûr qu’Eichmann dût en avoir comme tout le monde, la différence étant que dans des contextes différents, il sut calculer très tôt le profit qu’il pouvait tirer de ne jamais le porter sur la place publique au point de refouler à jamais ses propres contradictions intérieures.
Mais tout être humain, Cruchot ou Eichman, naît avec un cerveau qui se développe différemment, mais toujours dans la stimulation de données contradictions cognitives permanentes, endogènes et exogènes, comme l’ont montré Berger et Luckmann à partir de Piaget.

bouguereau dit: à

Il n’y manque qu’un mot qui est aussi une clé de compréhension

il y manque aussi lassouline..que tu soustrait bien à un natural born suprémaciste blanc fionnien zioniçe fou taré..et comme rajoute dracul et la reine d’hangletère faut qutut tmette à l’penser pour pas lhoublier

bouguereau dit: à

J’ai toujours pensé ceci

ça commence comme ça..pis haprés tu inventes dasse aoto..le kanban et le zéro stock..et puis tu dviens hantisémite..et paf c’est la choa..pense hun peu têtedeneux

bouguereau dit: à

J’ai écrit un com’, qui modère. Pour contourner, j’ai copiécollé sur mon blog….

t’es en voie de kapotization..

etudiant sérieux dit: à

Talonnettes savoure (« Et il dit quoi le Général là?! »)

la vie dans les bois dit: à

Parmi les hoax les plus consultés :
Un astéroïde frappera la terre ce mois-ci.

etudiant sérieux dit: à

Janssen J-J dit: 2 février 2017 à 12 h 03 min
les désobéissants, qui ont été massacrés, ni ceux qui ont subi eux aussi la terreur, ne peuvent en causer cqfd

bouguereau dit: à

ribinoude ragote les ragots..tout se met d’équerre tout doucement quand que j’arrive

bouguereau dit: à

en bref lassouline dis vive le bordel français..pétin..la carlingue..ça m’rappelle une histoire belge..en substance c’est qu’heureuzment qula france ça marche pas sinon elle srait maite du monde

bouguereau dit: à

keupu ferme pas sa gueule..c’est toujours l’ombrotablo

Janssen J-J dit: à

12.08, t’as raison comme souvent… formulation maladroite ; en fait, « je n’ai pas toujours pensé ceci », ce que je raconte là, je le pense depuis récemment, et ce n’est pas une pensée très solide, elle n’est que provisoire.
Donc je soustrais cette entame, à laquelle je ne souscris pas, hein, mon bon monsieur bouguereau ! Ça vous irait, dit comme passou ?

la vie dans les bois dit: à

S’cusez, laissez causer la dame pipi 12h16, qui vient remettre de l’ordre chez ses larbins.

bouguereau dit: à

..lassouline met son blog ni dans lextime ou lintime mais dans le quantime..ça doit ête l’influence à dédé

etudiant sérieux dit: à

bouguereau dit: 2 février 2017 à 12 h 18 min
keupu ferme pas sa gueule.

heureusement que bouguereau est là pour éclairer la situation

bouguereau dit: à

la dame pipi

robinoud ça lui sortait par les oreilles..y’était temps..mais toujours aussi radin pour la pièce

la vie dans les bois dit: à

Les fait marcher au pas de l’oie, en plus.

JC..... dit: à

Toutes les dames-pipi avec lesquelles je me suis entretenu m’ont avoué, après lecture attentive en sous-sol, que La Recherche c’est cacaboudin.

Je le savais.

Widergänger dit: à

Oui, bien sûr, Passou, que l’obéissance, voire le culte de l’obéissance a modelé dès le plus jeune âge les Allemands par l’école. Il ne manque pas d’ailleurs de romans de langue allemande pour s’en faire l’écho avec le pendant sadique chez les élèves du récit de Musil, Les désarrois de l’élève Törless, que j’ai relu tout récemment d’ailleurs. Bien sûr c’est un élément tout à fait important qui permettent de comprendre bien des égarements. Ce n’est pas le seul.

Les Allemands depuis se sont bien rattrapés, si je puis dire, quand on voit le laxisme qui peut régner dans les classes allemandes d’aujourd’hui au sujet du comportement des élèves. Une fois que j’assistais dans une « Hauptschule » (école professionnelle, dirons-nous) de la Rhur, le prof avait bien du mal à imposer sa voix et le travail entre les canettes de Coca qui volaient à travers la classe et le bruit d’enfer du bavardage général… Les Allemands sont passés d’un extrême à l’autre.

Il y a encore un autre problème massif auquel je pensais en écrivant mon commentaire d’hier sur le concept de « banalité du mal », c’est le rôle des mythes fondateurs en Allemagne et la politique des mythes telle qu’elle s’est développée en Allemagne en opposition à la critique politique des mythes qu’on trouve en France dès les années 1830 chez les grands Romantiques, tel V. Hugo. Mon ancienne copine de khâgne, Claude Millet, a écrit des pages très intéressantes et pertinantes dans les derniers chapitre de son excellent bouquin paru aux PUF, Le Légendaire au XIXè siècle.

Je l’ai relu hier soir justement après avoir écrit mon commentaire. Ce qu’écrit Claude Millet est vraiment très éclairant. Et ça va dans le même sens que l’obsession allemande de l’obéissance, du serment à Hitler comme incarnation de l’Un fondateur mythique de la Cité.

Claude Millet écrit notamment : « Conception fusionnelle de la communauté et organicisme s’articulent dans le romantisme allemand, articulation qui en fait non le responsable, mais l’ancêtre du nazisme, et de son usage terrible de la fable originelle à l’usage d’une politique totalitaire (le tous ensemble du salut hitlérien et de son pendant mythique, le mythe aryen). » (dans le chapitre « Politique de la légende »). Il me semble qu’avec le culte de l’obéissance et une administration prussienne fondée elle-même sur l’obéissance comme le montre Théodore Fontane par exemple dans Effi Briest, on a là les principaux ingrédients qui expliquent en grande partie la catastrophe qui a ravagé l’Allemagne et toute l’Europe avec les crimes de la Shoah.

En France, il en a été différemment. Claude Millet montre que très tôt les romantiques français ont porté un regard critique sur cet aspect archaïque et fusionnelle de la communauté. Dès 1830 avec V. Hugo (Claude Millet a passé sa thèse sur La Légende des siècles).

Janssen J-J dit: à

@12.15 Certes mais vous voulez prouver quoi, au juste, par rapport à ce que je raconte ?
Les désobéissants, comme le couple héroïque d’Otto et Anna Quangel de Seul dans Berlin, ont calculé leur prise de risque. Mais pourquoi l’ont-ils pris ? Parce qu’ils avaient un motif personnel (et purement égoïste) d’en vouloir à leur Führer bien aimé qui avait, à leurs yeux, trahi leur fils. Et je pense qu’Eichmann, qui avait été moulé dans l’amour de son pays et dans la valeur de l’obéissance à l’égal des Quangel, était pareil à eux… sauf qu’il y eut une petite bifurcation dans leur destinée respective. Que nous ne disposions pas du point de vue des « victimes » désobéissantes de le terreur nazie ne change rien à l’affaire, si ?

Passou dit: à

Jibé de 10.47 : M’est avis que vous confondez berbères et bédouins… Ca commence pareil mais tout de même…

Jibé dit: à

Au temps pour moi, Passou !

Phil dit: à

baroz s’est contenté du chameau en technicolor, la caravane est passée

Nicolas dit: à

Donc Brocas commence l’interview par un « vous donnez au lecteur la latitude pour se fabriquer ses propres explications… Cette qualité allusive, c’est quelque chose que vous travaillez? » Plus loin elle lui expliquera qu’elle construit ses romans comme des puzzles…. et de l’achever par cette phrase que j’aime le plus « Je veux que le lecteur ne puisse pas échapper à ce que je raconte. » Ses romans sont des prisons.
Et puis elle dit que « la personne (qu’elle est) derrière son bureau quand (elle) écri(t) de la fiction s’est affranchie de ses colères… », j’en doute, c’est une femme en colère pour qui « notre liberté est toujours plus grande que nos conditionnements » dit elle en référence à Sartre, et je me dis que le parallèle entre eux est des plus pertinents!
En conclusion d’un article des Temps Modernes à propos de L’Etre et le Néant Il se dit : « La date de publication de l’ouvrage, 1943, joue ici un rôle fondamental. À l’époque des Carnets de La drôle de guerre, en 1939-1940, Sartre mobilisé de force dans un conflit qui le dépasse, découvre et médite enfin sa facticité, son historicité, le poids des collectifs et la profondeur de son ancrage, au point de noter que sa pensée nouvelle côtoie le thème fasciste de l’enracinement. Mais après sa libération frauduleuse du Stalag XII D à Trèves, en mars 1941, il rejoint un groupe de résistance, « Sous la botte », en fonde un autre, « Socialisme et liberté », et commence, fin 1941, la rédaction de L’Etre et le Néant. Autant dire que ce dernier est imprégné de l’esprit de résistance qui anime alors Sartre et en raison duquel ce livre est nettement inférieur, sur la question de l’historicité et de l’aliénation, aux Carnets de le drôle de guerre qui ont été rédigés dans un autre contexte. Il manque à L’Etre et le Néant une théorie de la passivité, remarquait Merleau-Ponty, tandis que Simone de Beauvoir n’admettait pas l’idée que l’on reste libre dans n’importe quelle situation. Ces failles majeures de L’Etre et le Néant s’expliquent l’une et l’autre par une volonté « politique » que l’on peut qualifier de gaulliste et qui impose de rapprocher ce livre d’un second ouvrage rédigé par Sartre en 1941-1942 et publié en 1943 : une pièce de théâtre, Les Mouches – l’autre réponse de Sartre au pétainisme. »

Jibé dit: à

Le chameau a été remplacé par la Toyota, Phil !

la vie dans les bois dit: à

Je ne sais pas pourquoi amlet semble découvrir cette expression: avoir un faux-pli dans le jugement.
Elle fait partie du vocabulaire Passoulinien.
Pour qui le lit dans le texte, on trouve des madeleines au poivre, garanties fabrication maison, quand sa passion de l’observation lui monte à la tête, « en secret il pouvait tuer un monde fou »:
-Elle était hors d’âge depuis sa jeunesse
-Du genre à ne jamais rater un enterrement, n’était-ce pas elle qu’on appelait la mère Lachaise
– Certains( ) souffraient visiblement d’hernie fiscale.
– une autre ( avait) des yeux de lit défait.

Widergänger dit: à

On aurait tort, à cet égard, de prendre trop à la rigolade comme le faisait Màc par exemple, toutes les âneries grotesques que peut écrire Hitler dans Mein Kampf au sujet des mythes fondateurs allemands. Il se fait simplement l’écho — grossier et maladroit, certes — d’un courant de pensée en Allemagne qui remonte aux romantiques allemands, des frères Grimm jusqu’à Wagner, comme le rappelle à juste titre Claude Millet dans son ouvrage. Seul Hölderlin échappe à cet engouement pour la communauté fusionnelle par les mythes parce qu’à l’inverse de ses contemporains ses élégies chantent la grande séparation d’avec les dieux dont son époque est à ses yeux l’expression symptomatique. C’est ce qui est très remarquable chez Hölderlin. Ce n’est sans doute pas innocent si le nazisme a essayé de se le réapproprier parce que c’était un élément hétérogène et dangereux pour l’idéologie nazie.

En France, le mythe de l’Un, l’unité fusionnelle de la société n’est pas posée comme un état de fait mais comme un horizon à atteindre, un idéal universel à mettre en œuvre par le travail, les luttes sociales et la production littéraire. C’est très différent de l’Allemagne.

Claude Millet écrit à sujet notamment : « À ce dispositif, germanique, le légendaire français n’est pas étranger. Nerval, lecteur de Schlegel et Mme de Staël, en appelle lui aussi à une greffe des légendes populaires (les légendes du Valois ; on pourrait parler aussi des légendes du Berry chez George Sand) sur la culture savante, à une fusion du chant du peuple et du rythme du poète dans le légendaire, au nom du refus de la division sociale de la culture. Même le très libéral Mérimée déplore, dans son étude sur Pouchkine, la scission de la culture russe, partagée entre la culture grecque des bourgeois et des aristocrates et la mythologie slave du peuple. Un abîme sépare ceux qui racontent les actions de Juppiter et de Hercule, et ceux qui croient au Tchernobog ou Péroum. Cette division fait obstacle à la création d’une littérature nationale, c’est-à-dire à la fois rurale et urbaine, paysanne et bourgeoise, dans l’indivision — et la — de la Russie. La promotion du légendaire — comme soudure de la poésie et du mythe — est solidaire d’une politique de l’un. Politique de l’un contre toutes les formes de la division sociale, et le légendaire, cette œuvre du génie et du peuple ne peut logiquement qu’évacuer toute conception de la politique comme luttes des classes. La Légende des siècle (V. Hugo), en posant la question de la misère, de l’exclusion, de l’exploitation (des crapauds, des enfants, des pauvres gens), annule en même temps de manière utopique — à la fois fondatrice et critique dans un seul et même mouvement paradoxal — la division de la société française, en la réalisant dans son unité, la France, à laquelle le recueil de 1859 est dédié. La France devient le nouveau mythe, dont Michelet fait également la promotion. La division (des terroirs, des classes sociales) est pour Hugo et les romantiques le régime morbide de l’Histoire telle que la raconte La Légende des siècles. L’unité est son horizon, et sa production. » C’est très différent de la politique des mythes chez Wagner et en Allemagne que critiquera à nouveau à la fin du siècle Mallarmé (Richard Wagner, Rêveries d’un poëte français).

Jibé dit: à

Il s’agit plus exactement de ceux-là dans « Tempête de sable »

« Le barrage incessant d’informations sur le conflit entre Israël et les Palestiniens détourne l’attention portée à la population Arabe vivant sous un statut de citoyens israéliens déplacés à l’intérieur d’israël. En particulier, une population d’environ 140 000 Bédouins du Néguev dans le sud d’israël, soit 12% de la population Arabe du pays, est totalement oubliée. »

bouguereau dit: à

Ca commence pareil mais tout de même…

à rver au bacroume c’est aussi du même tonneau..

etudiant sérieux dit: à

Janssen J-J dit: 2 février 2017 à 12 h 44 min
C’est ce chauvinisme ou cette arrogance , l’ignorance de tout un contexte – Il faudrait se reporter à ce qui se passe ces années là depuis la prem guerre mondiale et à l’attitude, complice, des pays voisins même si on a l’habitude de simplifier (aussi par les films souvent caricaturaux ) pour se faire valoir non sans condescendance- les mêmes qui se gaussent ou jugent sont tout prêts à excuser (ne pas juger disent-ils) les tortures commises par leurs nationaux, c’est quand même un comble

Widergänger dit: à

« Totalement oubliée », je ne crois pas !

Il y a bel et bien une politique israélienne à l’égard des Bédouins en Israël. Une politique d’aide, d’assistance sociale. On les voit les Bédouins dans le désert du Néguev quand on se promène en car, avec leurs chameaux qui se mettent parfois en travers de la chaussée sur l’autoroute…

Il y a certes des problèmes avec les Bédouins. Mais il ne faut pas caricaturer la réalité israélienne.

bouguereau dit: à

keupu..pense pas surtout..sinon c’est la phin du monde..dis cqui t’passe par la tête comme dab..c’est moins grave

etudiant sérieux dit: à

JC….. dit: 2 février 2017 à 12 h 48 min
Vous vous donnez tant de peine,
BH est né en 67

Gilles dit: à

Passou 8.16. Bravo pour vos chroniques! addict depuis l’an dernier RDL/RDC… Un des premiers gestes quotidiens du matin : lecture sur tablette du billet puis comms évolutifs petit noir en main au zinc ,là ou avant je feuilletais en premier Sud ouest&Libé.Ce qui etait complement est devenu source principale et inversement .Question de contenu .J’en apprends plus vite et plus ,plus d’interactivité,comme ça. (Markowicz,crepu,autres bons..)Dhh 8.38 : C. browning.. Quelqu’un a vu l’émpission sur hannah Arendt hier? Pas pu.

etudiant sérieux dit: à

Ah si seulement plus de gens pensaient comme la paire JC et Bouguerôt, le monde irait trop bien

bouguereau dit: à

Elle l’aime, moi aussi !

jvais ptête haller l’voir..tiens y’a donald qui m’envoie en esclu le pourquoi qu’il veut faire un mur..l’amour c’est bien mais ya des choses plus sérieuse dans la vie baroz..matte hun peu

https://www.youtube.com/watch?v=pdKd8ZyZ384

Jibé dit: à

Va voir ce film, WGG : « Tempête de sable », avant qu’on le retire de l’affiche. Il n’y est question que de devoir et d’obéissance, dans lequel sont broyés les hommes et les femmes de la tribu. L’héroïne est amoureuse d’un garçon, rencontré à l’université, qui n’est pas de la même tribu. Il pourrait être Juif. Sa mère dit à son mari : « Conduis-toi en homme ! » Ce qu’il fait immédiatement : il la répudie et se contente de sa deuxième épouse. Le problème est que s’ils n’obéissent pas tous à la loi, la tribu se désagrège… C’est donc plus complexe que ça !

bouguereau dit: à

heureuzment donald a dracul pablo et mon larbin pour fixer tout ça..ha c’est pas obama qui nous protégrait tient

Widergänger dit: à

Oui, oui, Jibé, je vais aller le voir, et je te remercie de me le faire connaître, il m’était passé sous le nez… Je vais y aller samedi ou dimanche avant de partir à Prague saluer Kafka comme il se doit…

Widergänger dit: à

C’est le mythe archaïque de l’Un fusionnel, Jibé. Il faut lire le bouquin de Claude Millet qui explique cette logique sociale très très bien. Un bouquin écrit il y a vingt ans maintenant, qui n’a pas pris une ride. C’était déjà une brillante élève de khâgne.

bouguereau dit: à

à Prague saluer Kafka

y’a bien mieux qu’ça a foute dracul..mais bon..t’es hun tourist lambda

bouguereau dit: à

C’est le mythe archaïque de l’Un fusionnel

ça suffit havec ton hantisémitisme primaire dracul..sinon baroz y te cafte a dreuz hinfo

bouguereau dit: à

pas primaire..t’es un copiss..pas l’origuinal

etudiant sérieux dit: à

« Un fusionnel »

c’est porno

bouguereau dit: à

smétana c’est la moldo baroz

etudiant sérieux dit: à

« Il faut lire le bouquin de Claude Millet »

Et pis quoi encore pff

Widergänger dit: à

« Donald Trump détruit l’ordre géopolitique mondial » (Joseph Stiglitz, dans un entretien Le Monde).

DHH dit: à

@WGG
Cette composante neopaïenne de l’imaginaire allemand et sa place dans la diffusion de l’ideologie nazie a été tres bien bien analysée dans le debut du livre de Jean Chapoutot :la loi du sang .
La permanence dans l’inconscient collectif allemand de cette imprégnation par les mythes germains a fait le lit de ce neopaganise, illustré dans sa version élitiste notamment par un Stefan Georg ,puis revivifié et instrumentalisé dans une version populiste par le discours hitlérien

bérénice dit: à

L’action se passe dans un camp de berbères du sud d’Israël

jibé vous allez réjouir WGG qui ne rêve plus que d’un état d’Israël-Monde cependant la géographie politique joue contre votre dessin, Passou a raison, ne pas confondre Kabyles, Berbères et Bédouins. De fait des Bédouins vivraient au Sahara mais aucun Berbères dans le désert du Sinaï .

http://www.edelo.net/sahara/peuples.htm

etudiant sérieux dit: à

« les mythes germains  »

les mythes français sont trop sympas eux

bérénice dit: à

Parce qu’ils avaient un motif personnel (et purement égoïste) d’en vouloir à leur Führer bien aimé qui avait, à leurs yeux, trahi leur fils.

JJJ, je ne dirais pas cela, la mort de leur fils est le point de départ d’une prise de conscience , jusqu’à elle ils sont soumis silencieusement sans en ajouter toutefois à au climat délétère que décrit le roman, la bêtise commune qui ravage de bas en haut la société allemande avec ceux qui comme eux sont bâillonnés par la peur, la terreur , le contrôle.

Widergänger dit: à

Tout à fait DHH !
Oui, je connais bien aussi le bouquin de Chapoutot, qui est très riche en informations.

Il y a aussi un très bon bouquin sur Stefan Georg, l’auteur était venu faire d’ailleurs une conférence à ce propos à l’Institut des études lévinasiennes. Hitler est loin d’être le seul, ce qui le caractérise c’est simplement des raccourcis, des confusions, un sac fourre-tout de la pensée qui ne l’embrasse pas parce qu’au fond tout ce fumier n’est pour lui que le moyen de se hisser au pouvoir et de prendre une revanche sur sa médiocrité humaine et intellectuelle. Le principe du ressentiment me semble fondamental chez tous les dictateurs. C’était le même profil chez les communistes. Le documentaire sur la Stasi avec Mielke avant hier était très éclairant à ce sujet.

Nicolas dit: à

Comme Mussolini.

D. dit: à

Ce soir je mange des saucisses de Nuremberg avec des lentilles du Puy.

Candide dit: à

@Clopine :
Votre blog est fermé : erreur 404

D. dit: à

Je ne sais plus si je vous ai déjà parlé, Bérénice, du peuplement de ce l’on nomme aujourd’hui le Sahara, par une minorité atlante, il y a environ 11000 ans ? De son déplacement progressif vers l’Est en fondant de nombreuses cités aujourd’hui noyées sous les sables, de sa prise de possession du delta du Nil, de ses longs conflits avec les peuplades autochtones alentour plus ou moins éloigné, du Sphinx et des grandes pyramides qu’ils ont érigés sur le modèle et avec les techniques de ceux atlantes engloutis dans un terrible cataclysme, de la paix faite il y a environ 6000 ans avec les peuples dits de Haute Égypte ?

bérénice dit: à

(aussi par les films souvent caricaturaux )

Les films sérieux sur la guerre ne sont pas forcément caricaturaux, je pense au film que Clint Eastwood a réalisé sur le conflit en Irak, ce film est patriote et rend hommage au courage des soldats américains ,adoptant un angle de vue patriote, il montre cet enfer et quand bien même on pourra dire avec le recul que l’engagement américain fut une erreur.
Une critique contradictoire:

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1336855-american-sniper-d-eastwood-j-etais-en-irak-en-2004-le-film-ne-decrit-pas-la-realite.html

bérénice dit: à

D, je n’en garde pas souvenir, mais je vous sais aimer les mythes et le mystère.

Sergio dit: à

D. dit: 2 février 2017 à 14 h 34 min
Ce soir je mange des saucisses de Nuremberg avec des lentilles du Puy.

Ha mais là i faut au moins du Montrachet ; passeque les lentilles du Puy, c’est pas de la rigolade quand même !

Et dire que je sais même pas les trier… C’est ça les savoir-faire qui s’ensevelissent ! J’ai dû les trier une fois, en fait ; mais je me suis tellement fait engueuler…

Phil dit: à

du Montarchet avec des saucisses de Nürnberg..faut pas pousser.. une bonne bière reicht aus
la banquise vient de se fendre, Stiglitz va dire que c’est la faute à Trump

D. dit: à

Je ne sais pas si je vous ai déjà parlé, Bérénice, de Moïse, prêtre d’Osiris, emmenant ceux qui voulurent bien le suivre encore plus à l’Est, il y a 3200 ans déjà, pour y fonder un nouveau Royaume ? Des savoirs occultes atlantes auxquels tous les grand Rois, notamment Salomon, furgent initiés ?

Clopine, définitivement un cas à part... dit: à

Candide, ce n’est pas bien grave : j’essayais juste d’exprimer une idée sur le « superflu » évoqué par Arendt dans le film d’hier. Je crois qu’on peut passer aussi par facebook (« Clopine Définitivementuncasàpart »), si on veut vraiment lire mes élucubrations. Ce dont je doute un peu !

Sergio dit: à

Phil dit: 2 février 2017 à 15 h 05 min
du Montarchet avec des saucisses de Nürnberg..faut pas pousser..

Boh c’était un peu loin dans la phrase, je comptais sur la déperdition occasionnée par l’élongation… Comme disent ces très excellents Dupondt, c’est un truc qui marche parfois !

Enfin très excellents, c’est quand même la maison Poulaga, mmh…

Delaporte dit: à

Phil dit: 2 février 2017 à 15 h 05 min
Merci, Phil, pour ces conseils gastronomiques dignes d’un grand cuisinier, qui vous vont mieux que ce qui touche à la cuisine littéraire…

Phil dit: à

y’a pas de quoi Delaporte Duhamel. Dites-nous qui qu’on va voter si Fillon est déboulonné

Delaporte dit: à

Le député Georges Fenech a bien raison d’insister sur le « registre éthique et moral » de l’affaire Fillon. Comme quoi ce registre n’est pas complètement mort, et demeure même essentiel pour la cohésion générale du monde :

« Je pense que le résultat des primaires est aujourd’hui caduc face à cet événement imprévisible, qui se situe non seulement sur le registre judiciaire mais également sur un registre éthique et moral. »

Delaporte dit: à

Le problème est que le candidat le plus crédible pour remplacer Fillon reste sans doute Sarkozy… avec toutes ses casseroles au c… de mis en examen.

Delaporte dit: à

« Dites-nous qui qu’on va voter si Fillon est déboulonné »

Vous pouvez voter pour Hamon, qui va instaurer le revenu universel et permettre aux gens comme vous de vivre sans plus jamais travailler. Ne serait-ce pas une inespérée promotion sociale ?

Phil dit: à

Vous avez raison, Delaporte, il est préférable que vous causiez littérature

bouguereau dit: à

Ce soir je mange des saucisses de Nuremberg avec des lentilles du Puy

tu vas pas nous refaire boule suif dédé

Jibé dit: à

« Vous pouvez voter pour Hamon, qui va instaurer le revenu universel et permettre aux gens comme vous de vivre sans plus jamais travailler. »

Et pour ceux qui sont déjà à la retraite, quelles sont les promesses électorales, Delaporte ?

bouguereau dit: à

c’est quand même la maison Poulaga

je veux..dailleurs ce ridicule de l’ordre c’est le coté anar d’hergé..jamais il aurait voté fion

bouguereau dit: à

Et pour ceux qui sont déjà à la retraite

tu vas pas nous faire voter les morts comme en corse baroz

bouguereau dit: à

Tout à fait DHH !

..sapré dracul

bouguereau dit: à

le Sahara, par une minorité atlante, il y a environ 11000 ans ?

..en ce temps là c’était comme la normandie..des pommes et du beurre partout

bouguereau dit: à

si on veut vraiment lire mes élucubrations. Ce dont je doute un peu !

hallons..t’as une foi a soulver les montagnes bonne clopine

Delaporte dit: à

« Et pour ceux qui sont déjà à la retraite, quelles sont les promesses électorales, Delaporte ? »

Ceux-là sont peut-être nés trop tard.

bouguereau dit: à

Ils n’imaginaient pas la quantité de travail que cela suppose, jusqu’à devenir une tyrannie consentie que l’écrivain s’impose

un plug hanal en somme..hinternet c’est quelquechose

oursivi dit: à

Où on apprend que JC est un situ, c’est fort comme du Debord, sacré JC, cheval fou en un cabrement permanent. J’hennis sans bouillir, où comment laver plus blanc.

Pourquoi opposer obéissance et esprit critique alors qu’il faut d’abord de l’obéissance pour avoir une chance de développer le second en ayant d’abord tous – enfants de peu de savoirs comme de savoir-faire qu’avons tous été – appris par en d’obéissants réflexes, sous quasi hypnose comme le notait Lucien Malson, ce qui permettra plus tard, ou non… l’ontologie n’est pas un vain mot, d’espérer développer un esprit critique, tel le devint Voltaire formé par les Jésuites…

Sinon, ai lu avec un sourire certain,

« Ces failles majeures de L’Etre et le Néant s’expliquent l’une et l’autre par une volonté « politique » que l’on peut qualifier de gaulliste et qui impose de rapprocher ce livre d’un second ouvrage rédigé par Sartre en 1941-1942 et publié en 1943 : une pièce de théâtre, Les Mouches – l’autre réponse de Sartre au pétainisme. »

La réponse de Sartre au pétainisme… quel courage d’avancer si ouvertement, laissant l’encyclique de Pie XI – Mit brennender Sorge – à des kilomètres dans l’explicitation frondeuse de sa résistance…

Jean-Paul0 devait déjà sentir en lui pousser Jean-Paul2 (le 1 n’ayant pas eu longue vie, le pauvre), et son anticommunisme viscéral.

Aurait-il traité son descendant de patronyme, de « chien » ?
Rien n’est moins improbable. Pénible ? Oui. Traduisez, rien n’est plus probable.

La môme Almansor (faut-il la croire) laissait écrire sous son nom au début des années 2000 dans ce fameux petit bouquin un peu douteux mais au parfum si délicieux que le Jean-Popolpot était venu quémander une aide célinienne quant à la promo de ses activités créatrices de l’époque, (théâtre ou écrits, je ne sais plus). J’aimerais assez savoir si cela a été avéré et, dans l’affirmative, avoir été la petite souris cachée dans l’entrée pour ouïr ce qui s’est dit à cette instant bien précis…

Des (éventuelles) tartuferies de cette volée ne se trouvant pas sous le pas d’un cheval tous les cinq minutes.

AO

bouguereau dit: à

Ceux-là sont peut-être nés trop tard

delaporte n’a haucune idée du souci du bien général qui hanime baroz..lui même il sait pas cque c’est

oursivi dit: à

« si on veut vraiment lire mes élucubrations. Ce dont je doute un peu ! »

Sacrée Chopine, de plus en plus dans le vrai.

AhOpommes

bouguereau dit: à

dans ce fameux petit bouquin un peu douteux mais au parfum si délicieux

un vièle hours rniflant la merde

bouguereau dit: à

il est permis de la violer à condition de lui faire de beaux enfants

la mignardise..hoù elle ose se loger

Janssen J-J dit: à

@14.21 La nouvelle version non censurée par les Russes que j’ai pu lire récemment donne une image différente d’Anna Quangel puisque le chapitre 17 intégralement restitué révèle qu’elle était un membre actif de la ligue des femmes nazies… Ce qui veut dire qu’elle ne fut sans doute pas une exilée intérieure de la première heure… Non, il y a eu un déclencheur personnel sur fond d’adhésion à une idéologie qui était ce qu’elle était. Et c’est grâce à ce ressort psychologique (qui déplaisait aux Russes) que le personnage inventé par l’allemand Ditzer-Fallada (qui n’eut jamais lui-même rien à voir avec les bolcheviques) m’a semblé beaucoup plus intrinsèquement crédible. Enfin, je pense…
Ce qui n’enlève rien au fait que des milliers de lecteurs de toutes origines et âges ont trouvé en ces personnages quelque possible identification consolante à sauver au souvenir de l’apparente indifférence de la société allemande à la montée du nazisme et au sort des juifs.
http://librairiepantoute.com/une-edition-integrale-de-seul-dans-berlin-enfin-en-format-poche/

Delaporte dit: à

« Envoyé spécial » va diffuser ce soir une interview donnée par l’épouse de l’ex-Premier ministre au Sunday Telegraph en 2007. Penelope y mange le morceau :

« Je n’ai jamais été l’assistante de mon mari », affirmait-elle à l’époque.

Bloom dit: à

Beau texte d’Edna O’Brien, pour qui j’ai tant d’affection & d’admiration. Anna Livia Plurabelle, en irlando-italien, signifie la « Liffey, plus belle des rivières ». C’est le chapitre 8 du premier livre de Finnegans Wake et probablement le plus lyrique. Comme pour Molly Bloom, JJ a puisé en partie son inspiration pour Anna Livia Plurabelle dans le personnage complexe de Nora Barnacle, sa muse.
Comme disait Adrienne Monnier, après Ulysses, Joyce n’écrivait plus qu’en langue Joyce…

bérénice dit: à

A propos de cette notion de « superflu » , c’est assez curieux que comme ancienne élève de MH qui théorisa sur l’être au monde et justifia ainsi que les juifs n’ayant pas de monde n’avaient donc pas à être ? elle finit par dire dans le film que ce nazi ne pense pas et logiquement n’est pas non plus .

bérénice dit: à

JJJ, je l’ai lu récemment aussi, je ne retrouve pas mon exemplaire mais le fait qu’adhérer au parti eut été une condition de survie pour le peuple, logement, travail , relative paix ne gâche pas le portrait de ces deux ouvriers qui évoluent au beau milieu d’une pègre malsaine de rapine, du reste toute cette peinture hormis le prêtre phtisique dans la prison étale la médiocrité et le côté veule ou impitoyable quand ils ont du pouvoir des individus pris au filet du système tentaculaire et totalitaire. Mais vous avez raison .

Paul Edel dit: à

Intéressant bloom ce que vous écrivez sur Joyce

oursivi dit: à

Bloom citant Joyce… c’est un renvoi d’ascenseur ?

C’est un peu comme Edel citant Dashiell…

AO

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

Widergänger à 13h14

Tous les récits fondateurs sont fictifs. Ils existent parce que les peuples ont besoin de rêves, d’illusions, de projets, afin de ne pas se suicider devant le sort qui nous attends tous.

De Gaulle le savait bien, lui qui commence ainsi ses Mémoires de Guerre: «Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France. Le sentiment me l’inspire aussi bien que la raison. Ce qu’il y a en moi d’affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminente et exceptionnelle.»

Des rois ambitieux voulant agrandir leur domaine ont fait la France. Des envieux, tel Hitler, ont voulu la mettre à mal. Des Musulmans ignares et minables, jeunes et paumés, le veulent aussi. Le pire, c’est que plein d’ambitieux politiciens faisant de la politique comme on fait une thérapie cherchent à orienter son avenir alors que seul le fric les intéresse. Le bling-bling vulgaire du Nain teigneux, ou le BCBG de Fillon.
Que faire? À suivre…

christiane dit: à

Il fallait cela pour sortir de la nasse de l’actualité : le roman d’Olivier Rolin Baïkal-Amour (éd. Paulsen). Voilà, il est là. Je relis en boucle les premières pages : le transsibérien… le train dans la littérature russe (L’Idiot -La Sonate à Kreutzer – AnnaKarénine – Le docteur Jivago… Bounine – Nabokov -Tolstoï – Soljénitsyne…).
Il aime les trains russes… Taïchet… Irkoutsk. C’est beau, c’est grand et ça m’emporte au loin…
« Brume, hachures des bouleaux sur le blanc de la neige, baraques de bois noir… »
Et puis, très vite, l’ombre du Goulag, mémoire des êtres épuisés de faim, de froid, de vermine…
Je vous laisse. J’embarque !

Phil dit: à

qui a hérité de la librairie d’Adrienne Monnier ?

bérénice dit: à

Christiane, j’ai vu une photo d’Olivier Rolin au prise avec le froid dans ces régions vraisemblablement, on pourra dire qu’il s’est pelé pour vous transporter à bord du transsibérien, il n’avait pas l’air de s’amuser du tout. Envoyez- lui des fleurs!

Paul Edel dit: à

Oursivi vous ne pouvez imaginer autre chose que des « renvois d ascenseur « quand on reconnait une réflexion intelligente à quelqu’un qu’ on ne connaît pas .
Je vous plains .

hamlet dit: à

non ça n’a pas de sens.

et paul edel qui approuve bloom ce qui prouve encore une fois de plus que ces histoires de faux pli dans le jugement ça ne tient pas la route, et qu’une grande connaissance des détails n’a jamais été une preuve d’intelligence dans la mesure où l intelligence se caracterise plutôt par un esprtit de synthèse plus que par un sens du detail et cela a d’autant moins de sens que tout le monde sait que Livia était le prénom de la femme d Svevo plus exactement Livia Veneziana et ça sert à rien d essayer d embrouiller les gens sur ces histoires de prénom sinon pour prouver que son sens du détail qui en l occurrence se caracteriserait par plutot par un sens de l accumulation de details inutiles vient prendre toute la place dans l esprit pour ne lui laisser aucune a l esprit pour faire valoir son esprit de synthese ce qui en l occurence se caracteriserait par une accumulation de faux plis ou chaque pli tire sa faussete par l accumulation de details inutiles comme celui qui pour ce qui nous occupe serait en relation avec ces histoires de prenoms

je suis desole mais tout cela n’a aucun sens

bouguereau dit: à

Penelope y mange le morceau

..c’est dsk c’est le plan q qu’il a dit le plan b

Ross dit: à

17:03 AnnaLivia Plurabelle….

..en parlant de blog,AnnaLisa Plusquebelle enchanteresse sur little Big man RDC à l’instant !

bouguereau dit: à

polo..l’vièlours il aime quand que ça pue

Sergio dit: à

essai

bouguereau dit: à

phil..si tu cherches un bon parti..une qui avale le morceau..havec ou sans librairie c’est une note de bas de page

hamlet dit: à

pour en revenir a arendt il faut bien reconnaitre que le bouquin de faye est une bouffee d oxygene
merci manu !
j espere qu apres ce livre salvateur plus personne ne viendra encore nous gonfler avec le grand mythe arendtien aureolé de son bel esprit libéral

bouguereau dit: à

Tous les récits fondateurs sont fictifs

t’en as une petite et tu sais pas comment l’dire..

bouguereau dit: à

keupu y’est pas géné lui..petite et petite tête

hamlet dit: à

oursivi : paul edel a raison, vous êtes incapable de reconnaitre une pensée intelligente !

pourquoi ? parce que comme ne le dit pas ouvertement paul edel pour reconnaitre une pensee intelligente il faut deja etre soi meme intelligent !!!

il ne le dit mais il le sousentend

et sous entendre ce genre de truc est déja en soi une preuve d intelligence

une intelligence niveau maternelle, ou creche parce qu il est rare d entendre ce genre d affirmation chez un individu de plus de 8 ans

paul edel fait beaucoup plus jeune que son age

« vous etes incapable de reconnaitre une pensee intelligente »

c est ce genre de pensee qui evite faire des faux plis dans son jugement?

D. dit: à

hamlet, que pensez-vous de la dérive des continents ?

Widergänger dit: à

Bihoreau, duc de Bellerente dit: 2 février 2017 à 18 h 02 min
Bien sûr que tous les récits fondateurs sont « fictifs », ou plus exactement mythiques. Mais ce n’est pas un argument contre le besoin de fondation, voyons !

L’imaginaire joue un rôle éminent chez homo sapiens sapiens. C’est ce qui le différencie de tous les autres animaux.

Seulement, il y en a de de structure démocratique, telle le mythe de la France construit au XIXè siècle avec toutes ses variations (le saint-simonisme n’est pas le mythe nationaliste de V. Hugo, ni le mythe de la lutte des classes chez Marx, ni le mythe ouvrier chez Nerval), et il y en a qui ont une structure propice à dériver vers le totalitarisme de la fusion communautaire comme dans le nazisme.

Widergänger dit: à

hamlet, vous vous situez où sur l’échiquier politique ? Entre monsieur Berrichon et Dupont la Joie ?

Janssen J-J dit: à

il est sûr que quand on a été abusé durant des années par JPA, on n’est pas content de PE… Tout cela manque de transcendance, jadis c’était à cause de nietzsche, maintenant c’est à cause d’Hannah A. Le monde court à sa perte, comme dirait MC, et ce soir on mange de la morue faisandée

et alii dit: à

i me semble que ‘on n’a jamis pré sur ce blog de a chaire d’atérité dont Jullien (françois) est le tituaire;
BHL avait écrit qu’il professait que le judaïsme n’était pas une identité mais une altérité -sans auune association avec cette chaire!-
quelqu’un s’est-il posé des questions à propos
de l’altérité vs identité?

et alii dit: à

qu’on n’a jamais parlé (présenté) la Chaire d’Altérité

Janssen J-J dit: à

il est certain que depuis l’assassinat de bernard maris, dominique seux-l en selle peut pavoiser ts les matins dans le droit fil de l’inénarrable j-m sylvestre, la pianiste économiste amateur que tout le monde semble avoir oublié. Qui dira combien cette chaîne, convertie aux guignolades pour faire passée le sirop de l’économie ultra libérale depuis 15 ans, aura fait de mal aux travailleurs et aux travailleuses.

Janssen J-J dit: à

ce soir, je me suis demandé si le fait de n’avoir jamais lu alfred levinas constituait une tache indélébile dans la vie de tout être humain analphabète moyen. Et si le fait de n’en avoir jamais entendu causer de ce gars là était une faute, et imputable à qui, au juste ? Et enfin, si je pouvais continuer à éprouver des sentiments analogues au commun des mort-ad-elles.

hamlet dit: à

grebou tu sais c est quoi ton probleme? c est que t as toujors ete incapable de reconnaitre une pensee intelligente, et crois moi c est une un tres gros problème

maintenant si tu veux apprendre a rconnaitre les pensees intelligentes le mieux c est de te renseigner aupres de paul edel, c’est le spécialiste en la matiere grise

Janssen J-J dit: à

la carte a rien à envier à celle de chez drouant, question poulagathe.

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