de Pierre Assouline

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La République des livres
La bonne surprise de la rentrée : un monstre de 900 pages !

La bonne surprise de la rentrée : un monstre de 900 pages !

Ce qui frappe de prime abord dans Le Cœur ne cède pas (26 euros, Flammarion), c’est ce qu’il faudrait négliger, mettre à distance, oublier d’emblée. A savoir son énormité (908 pages grand format et 1,5 kgs au jugé), même si au lit, dans un fauteuil, dans le métro, celle-ci s’impose au lecteur désagréablement, la chose n’étant vraiment pas maniable. Las ! Une fois cet obstacle vaincu, Grégoire Bouillier nous entraine dans une incroyable expérience de lecture, une aventure littéraire qui tient en haleine pendant des jours et des nuits. Moins celle de son héroïne Marcelle Pichon que la sienne propre, leurs existences étant nouées l’espace d’un livre -et quel ! Le projet a quelque chose de monstrueux.

Le récit de son enquête (ne pas hésiter à se reporter au site dédié www.lecoeurnecedepas.fr ) est aussi inattendu et imprévisible que le premier roman d’un inconnu. Sauf que c’est son cinquième et qu’il est déjà bien connu au bataillon. Un jour, notre auteur écoute une émission à la radio relatant un fait divers aussi glauque que tragique : le cadavre en décomposition de Marcelle Pichon (1921-1985), ancien mannequin du couturier Jacques Fath du temps de leur gloire respective, a été retrouvé chez elle, appartement 609 au 183 de la rue Championnet, longue artère qui part de la rue des Poissonniers pour aboutir à l’avenue de Saint-Ouen à Paris XVIII ème, une seule pièce de 10 m2, dernier étage, fenêtre propice à l’élévation spirituelle donnant sur une église (Sainte-Geneviève-des-Carrières) et une croix. La voisine du dessous a été alertée dix mois plus tard par les asticots qui tombaient du plafond dans son assiette. La mystérieuse Mlle Pichon s’était laissée mourir de faim pendant des semaines tout en tenant le journal de son agonie de quarante-cinq jours…

Bouillier a été aussitôt stupéfait, intrigué, happé par des questions que l’émission laissait sans réponse : comment expliquer un tel modus operandi ? pourquoi cette solitude choisie ? quel sentiment tragique de la vie peut pousser un être humain à en finir ainsi etc L’image de la recluse l’envahit comme une névrose obsessionnelle. Dès lors, la Pichon phagocyte sa vie dès qu’elle y pénètre. Et comme tout écrivain, il ne comprend ce qui lui arrive que s’il l’écrit. Il va donc l’écrire à la folie car son projet en relève aussi. Il est vrai qu’il a de l’entrainement comme le savent déjà les lecteurs du Dossier M (prix Décembre, 2017), 880 pages en deux tomes, roman aussi énorme que hors norme, dans lequel il tentait déjà d’élucider un suicide et sa propre responsabilité dans la mort du défunt. A condition de conserver à l’esprit sa propre définition de l’élucidation :

« Déployer toute l’opacité de son mystère, clarifier les termes même de sa noirceur »

Les indices dont il dispose sont minces, le dossier Pichon tout autant. Mais partout où le mène son enquête avec l’aide de sa Miss Penny qui n’est pas sans rappeler la Miss Moneypenny des James Bond, sur les lieux où la morte a vécu, aux Archives de Paris etc il fait des rencontres qui valent d’être rapportées. Ainsi, le couple de gardiens de la rue Championnet est inénarrable. Elle, Bichette, qui, lorsqu’elle parle agite les mains « comme deux écrevisses ébouillantées » et, à l’évocation du plus célèbre des copropriétaires de l’immeuble outre l’un des Frères Jacques, l’acteur Piéral, ajoute : « Vous savez ce qu’on dit des nains, hein… Qu’ils sont pas petits de partout, si vous voyez ce que je veux dire ». Sans oublier les visites aux graphologue, morphopsychologue, astrologue, voyante etc, en tirant un fil il constitue à chaque fois une pelote en prince de de la digression, se royaumant dans l’excursus, s’étourdissant dans la parenthèse, se lovant dans la déviation, sans en faire des procédés rhétoriques.

Chaque fois qu’il conclut un bouquet de pages par le leitmotiv « Mais je m’égare », on a passé un moment jouissif (on peut parfois sauter quelques pages qui s’annoncent comme des éphémérides ou des listes généalogiques). Et malgré les innombrables paperolles et allongeails qu’il inclut dans son récit (« le récit (est-ce un récit ?)… » se demande-t-il en passant, pas bien sûr du statut incertain de son roman), on le suit avec la même intensité que si l’on regardait la série 24heures chrono pour la première fois. Car on veut savoir, on brûle de découvrir la vérité, comme si cela importait vraiment tout en étant intimement convaincu qu’au fond, le destin de Marcelle Pichon nous indiffère. Le mystère qu’il cherche à élucider, ce n’est pas tant celui d’un suicide, il y en a tant, que celui d’une agonie programmée dans le but d’en tenir le Journal. Une mort volontaire qui choisit de dilater le temps et qui s’étire, ce qui lui confère une dimension sensuelle. Le contraire d’un coup de feu dans la tempe.

Le détective en lui fait évidemment penser aux Sam Spade et Philippe Marlowe qui ont fait la fortune du pulp magazine Black Mask dans les années 20. Sauf qu’on n’est pas à Chicago ou Los Angeles mais à Paris. Il va jusqu’à dénicher une thèse de doctorat sur « Les écritures de la faim » qui nous apprend beaucoup de choses même si elle ignore Marcelle Pichon.

A l’époque, la presse avait largement relaté le mystère Pichon mais qui s’en souvient, qui cela a troublé au point d’y consacrer plusieurs années d’enquête ? Un détail que notre homme ignore car il n’en parle pas : à l’époque de la découverte du cadavre de Marcelle Pichon, le roi du fait divers parisien à France-Soir s’appelait Lucien Pichon. C’est son excellent et jeune confrère Jean-Michel Brigouleix, dont l’auteur loue la rigueur, qui fut chargé de couvrir l’affaire, Pichon étant en vacances. Mais surtout n’en dites rien à Bouillier, il serait capable de rajouter dix pages sur cette coïncidence qui, n’est-ce pas, n’est certainement pas dû au hasard. Le fait est qu’il ne cesse de se relancer quand on croit y être enfin : « Et si Marcelle n’était pas la fille de son père ? ». Effectivement, bonne question, et c’est reparti pour vingt pages sans que jamais il ne tire à la ligne. En chemin, on aura droit à des développements sur ses rapports avec son propre père (lequel le fit naitre en 1960 à Tizi-Ouzou en Kabylie pendant son service militaire avant de le ramener à Paris au bout de trois semaines -et si ce n’était pas vraiment son père, hein ?), l’abstinence sexuelle, le fait que FranceCul ne s’adresse plus aux marginaux et autres Enfants du paradis de la culture, la naissance de la mutualité chez les mannequins, la grève de la faim de Bobby Sands sous la férule intraitable de Mrs Thatcher etc Les jeunes y trouveront même un écho de l’époque déconnante des radios libres (« Carbone 14, la radio qui vous encule par les oreilles »).

    Car si tout film est une cinémathèque et tout livre, une bibliothèque, Le Cœur ne cède pas est les deux à la fois. Ses nombreux détails historiques peuvent paraitre extravagants mais ne le sont plus si, en cas de doute, on se donne la peine de vérifier. Ainsi les conditions d’hygiène au Vel d’hiv quand y étaient parqués les Juifs de la grande rafle de juillet 1942 : six toilettes pour 13 000 personnes. Il place une citation en épigraphe de chacun des 99 chapitres. Parfois de grands auteurs un peu à côté de la plaque (« Teuf-teuf » comme l’écrit Enid Blyton dans un Club des cinq), parfois des personnalités (Michel Piccoli), parfois lui-même tiré du livre que l’on a entre les mains. L’effet est tordant. Gardons-nous d’en donner trop d’exemples en isolant des phrases car il n’y a rien tel pour tuer l’effet comique. Certaines citations provoquent le doute. Lit-on vraiment dans les Essais cette phrase exquise de Montaigne : « Il en est sur qui les belles robes pleurent » ? Mais oui in III, VI. Il redécouvre pour notre édification que sans son assistante Harper Lee qui deviendra l’auteure multicélébrée de Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, Truman Capote n’aurait pu écrire De sang-froid tel qu’il l’a écrit car c’est elle qui  a soutiré d’innombrables informations aux habitants de Holcomb.

Autrement dit : bien qu’il ne soit ni historien ni universitaire, n’allez pas le chercher sur ce terrain-là, car son enquête, c’est du lourd. A l’évocation du violent Anouar, l’un des maris de Marcelle Pichon, il raconte qu’il lui filait des torgnoles pour son bien et parce qu’elle devait aimer ça (avec injures en caractères arabes dans le texte s’il vous plait, on ne se refuse rien chez Flammarion). D’ailleurs, un seul mot (en 900 pages !) m’a renvoyé au dictionnaire : « contraptonyme » -et de toute façon, le contexte du paragraphe l’explique. On s’en voudrait de le déranger dans son écriture, même s’il nous tape sur l’épaule de temps en temps pour nous demander notre avis, tant il est tout au plaisir de laisser filer son imagination. En divaguant en digressant, pourrait-on dire parodiant un titre de Gracq.

Autant de prétextes pour en revenir d’une manière ou d’une autre à ce qui l’intéresse : la vie, la mort et la littérature. Et c’est peu dire qu’elle est ici partout, en creux et en majesté. Si, comme le croit Bouillier, « le sujet d’un livre, c’est toujours la littérature », convenons qu’elle l’est chez quelques uns plus encore que chez beaucoup d’autres. Lui écrit avec ses tripes (maison Bouillier, authentique littérature à l’estomac !) et surtout « avec mon cœur, tant qu’il ne céderait pas ». Qu’on ne s’y trompe pas : si Grégoire Bouillier est partout dans ce livre, et comment en serait-il autrement, ce n’est en rien nombriliste. Et qu’on ne nous parle pas de cette fumisterie de l’autofiction ! Rien à voir. Si l’on cherche un modèle et une inspiration, il faudrait plutôt aller voir du côté de L’Âge d’homme, le grand récit de soi de Michel Leiris. Il n’est pas cité dans Le Cœur ne cède pas contrairement à Philippe Jaennada qu’il remercie, et auquel d’aucuns le rapprocheront en raison de l’obésité de la chose littéraire par facilité ou par paresse alors que le son que dégagent leurs livres est très différent, au Modiano de Dora Bruder pour l’obstination de l’enquêteur, à Dominique Manotti pour ses polars, au Corbin du Monde retrouvé de Louis-François Pinagot : sur les traces d’un inconnu (1798-1876), et surtout à Kafka qui irrigue souterrainement tout son roman. Tous les Kafka, le romancier, le nouvelliste, le diariste, l’épistolier et surtout celui de La Métamorphose.

C’est un petit miracle qu’un livre aussi lourd à porter dès qu’on l’ouvre soit aussi léger à lire. L’idéal : une écritoire ou un plateau de petit-déjeuner. C’est un livre sur la littérature aussi vrai que les natures mortes de Cézanne ne représentent pas des pommes mais une certaine idée de la peinture. Difficile à croire mais Le Coeur ne cède pas est un roman des plus passionnants parmi ceux de la rentrée (en librairie à la fin de la semaine), et des plus addictifs, son originalité et sa drôlerie n’y étant pas étrangers. Celui d’un auteur qui ne vit que pour la littérature à défaut de ne vivre que par elle. Son livre est aussi une réflexion sur ses pouvoirs et ses limites. Le secret de sa réussite ? D’abord et avant tout la fantastique imagination du romancier qui ne se refuse rien (« La fiction gagne en liberté ce qu’elle perd en vérité »), ose tout y compris le plus loufoque (« C’est Grégoire Bouillier qui va être content ») sans que ce ne soit jamais potache ou bas de plafond, sans négliger le plus invraisemblable, obsédé par les coïncidences significatives au motif qu’il n’y a pas de hasard. Et puis il y a ce qu’il faut bien appeler son humour à base de litote bien tempérée et d’autodérision, un ton perpétuellement décalé, qui je l’avoue, m’a fait sourire sinon rire quand il ne m’a pas arraché des éclats de rire, ce qui, dans une vie de lecteur, est rarissime. Cela n’empêche en rien la gravité, la profondeur et les questions existentielles : que faire d’un tel sentiment lorsqu’on se sent coupable du mal qu’on vous a fait ? Au vrai, peu de lecteurs se doutent de ce que fait un livre à celui qui l’a écrit. Comme Beckett l’écrit dans L’Innommable et comme Bouillier s’en souvient dans une épigraphe :

« Si je m’occupais un peu de moi, pour changer »

On commence à s’intéresser à une chose quand elle est perdue… Il a écrit ça au tout début dans une citation sans imaginer que c’était la clef de son souvenir écran, du traumatisme refoulé. Le cœur qui ne cède pas, c’est celui de cette chose-là inconnue en nous, en lui, sa part maudite, et n’allez pas croire que je vais vous la révéler.

Enfin, bref.

(« Mur de l’auteur pendant son enquête » photo .D.R. : « Dovima, mannequin de Jacques Fath dans les années 50 » photo Henry Clarke pour Vogue)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 209 Réponses pour La bonne surprise de la rentrée : un monstre de 900 pages !

renato dit: à

« Peut-être qu’on passe trop de temps à se refonder et pas assez à parler aux gens, à mener des batailles, à affronter des lobbies, à faire de la désobéissance civile, à occuper le terrain, à imposer notre vision« .

C’est cette idée d’imposer une vision qui dérange, n’a-t-elle jamais entendu parler de persuasion ?

renato dit: à

Bon, il est vrai que la persuasion implique une culture…

Phil dit: à

vera hall

Indeed dear jjj, gros comme une baleine, cousu de coton blanc.

Marie Sasseur dit: à

A propos du roman monstre chroniqué par Passou, on peut lire : « Ses nombreux détails historiques peuvent paraitre extravagants mais ne le sont plus si, en cas de doute, on se donne la peine de vérifier ».

Des faits d’époque à foison.

https://lecoeurnecedepas.fr/?p=92

Marie Sasseur dit: à

27/08/2022, 8h42

Ce qui est tres pénible Passou, c’est que comme tous les baby-boomers, vous ne laissez aucune  » marge de manœuvre « , a la génération suivante.
Avec cet exemple  » historique  » que vous choisissez dans ce roman, le nombre de toilettes, autant dire leur absence, dans le parc du Vel d’Hiv lors de la rafle des personnes juives ou décrétée telles par les nazis, et l’administration française en 1942, vous imposez un exemple à effet de siderarion.
Qui osera alors , qui ira proposer, comme je viens de le faire un autre exemple  » sidérant « , choisi par l’auteur pour contextualiser l’époque dans laquelle l’auteur et Marcelle Pichon, vivent et ont vécu…?
Be more, Passou !

Marie Sasseur dit: à

Sideration, enfin bref.

Bloom dit: à

Nota 3 : libérer Céline de l’extrême droite et de la France moisie

« Racisme! Racisme! Tout le reste est imbécile ».
Lettre à Lucien Combelle, 1938.

Bon courage! Cela dit, la falsification est une spécialité célinienne (voir l’amnistie frauduleuse de Céline
https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-03658011/document)

D. dit: à

Non mais je plaisantais, Rose.

Jean Langoncet dit: à

Bloom, cette observation visait l’oeuvre de Céline ; en aucun cas une réhabilitation ou une nouvelle condamnation du bonhomme, questions qui me semblent vaines et typiques de la « France moisie »

bouguereau dit: à

le squadriss en a les moyens

bouguereau dit: à

kabloom a -beaucoup- beaucoup trop de temps a perdre avec céline

bouguereau dit: à

On ne gagnera pas en étant plus raisonnables que les autres. »

cette phrase a t’elle vraiment un contesque..that is

lmd dit: à

Damien, vous affirmez «Et Monk avouait aimer tous les genres, y compris le disco.» avez-vous la référence d’un texte, ou d’un document qui fasse explicitement allusion au disco, (qui est apparu dans le paysage musical international après la fin de la carrière active de Th. Monk). Peut-être a-t-il dit ça alors qu’il était particulièrement déprimé! à l’agonie…Le Blue Monk de Jacques Ponzio et François Postif n’en dit mot.
https://www.youtube.com/watch?v=xC68NtEmAcc

bouguereau dit: à

T’es jaloux Bouguereau passque tu sais pas dancer, hein ??!!

disons que la musique et la danse sont les faces d’une même médaille..en toc ou en argent c’est subsidiaire..et je crois sincérment que l’opéra « art tatöle » en est une preuve -tardive- par l’absurde..un genre de chant dépade assis sous la douche

bouguereau dit: à

lmd dit: à
Damien, vous affirmez

keupu se consulte..se répond

bouguereau dit: à

Bon, il est vrai que la persuasion implique une culture…

rénateau est persuadé d’en havoir..

D. dit: à

De la suffisance ? A revendte.

D. dit: à

J’en suis persuadé.

renato dit: à

Pas besoin d’en avoir (de kulture) pour comprendre l’arrière-goût de l’idée de « imposer », comme il n’est pas difficile de reconnaitre le calomniateur derrière l’image de celui qui parasite le peinte pompier.

closer dit: à

Toujours pas de Bouillier dans ma librairie de quartier, pourtant vaste et de qualité (la preuve « Le Paquebot » du patron est toujours en bonne place)…

Bloom dit: à

Yves Ravey, toujours au top avec son ‘Taormine’. Magnifique!

‘Sénèque, un au revoir’, May Fraire, Penguin.

MC dit: à

Seneque; probablement une des plus grandes fortunes de l’époque. Sa disgrâce musclée pourrait n’avoir pas d’autre cause, Senequiens :les senequiens se reconnaîssent au fait que tous les dix ans , ils se réunissent pour débattre du théâtre. Est-il de lui? N’est-il pas de lui? Les mauvaises langues affirment que la réponse varie tous les dix ans: oui, non., Traduction calamiteuse ( JJJ). Voir celle de Leon Hermann, pour le théâtre particulièrement…. Bien à vous . MC

Damien dit: à

La phrase de Monk, c’est dans le film documentaire que lui avait consacré Clint Eastwood. Monk est dans un aéroport, attendant un avion, et quelqu’un lui demande s’il aime tous les genres de musique. Monk répond « oui ». Le type insiste, et lui dit : « Même la musique country ? » (Ce n’était donc pas le disco, je me suis sans doute trompé.) Mais Monk ne répond rien au quidam, qui lui repose la question : « Même la country ? » Alors Monk se tourne vers un ami, à côté de lui, et lui dit : « Mais ce type est sourd ou quoi ? » Voilà l’anecdote. Ce film documentaire d’Eastwood, sorti au début des années 90, et que j’ai vu dans une salle près du Panthéon, était plus que remarquable. Tout amateur de Monk se doit de le connaître. A la fin de la séance, je suis rentré chez moi, et en passant devant le Panthéon, j’ai hésité à faire un bras d’honneur, comme ça, pour m’amuser. Mais j’ai eu peur d’être embarqué par les flics. Voilà donc une petite lâcheté dont je me souviens, que je confesse voloniers, aucun rapport avec Monk, bien sûr. Mon morceau préféré de Monk ? « Epistrophy » ! Ai-je répondu à votre question ? Je l’espère, car je vais aller déjeuner.

rose dit: à

Le nombre :🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑🍑.

Je vérifierai ce soir.

rose dit: à

Mais Céline doit être l’innocent (qui sait qu’il n’est pas) pour
rester homme de biens (ce qu’il sait qu’il est).
« Le véritable problème de la mauvaise foi vient

Couple qui ne fonctionne pas : innocence et homme de biens.

Hugo a vécu peu de temps à Jersey mais quinze ans environ à Guernesey.

Se revendiquer de Dreyfus. Polanski a fait pareil.

D.. dit: à

Tous les indicateurs l’indiquent, et notamment l’activité estivale très inhabituelle des syndicats marqués à gauche : nous allons dès septembre vers de très durs conflits qui conduiront le pays puis d’autres pays voisins à des grèves générales et à de très graves affrontements suivis d’émeutes qui feront de nombreux morts. Des gouvernements tomberont.

Patrice Charoulet dit: à

IL Y A DU PLURIEL DANS L’AIR

Pas sur Fun Radio, pas sur Skyrock, pas sur NRJ, mais sur France Culture , je jure avoir entendu l’animateur d’une émission de haut contenu culturel dire « les cinq zoeuvres qui… ».

Jean Langoncet dit: à

@A la recherche de l’infini

Inside the museums, Infinity goes up on trial
Voices echo this is what salvation must be like after a while
But Mona Lisa musta had the highway blues
You can tell by the way she smiles

et alii dit: à

smiles
c’est le mot le plus long de la langue anglaise: pourquoi?

lmd dit: à

Damien, je me réjouis de votre mise au point, country et pas dico qui m’aurait beaucoup étonné ; le disco est une musique de producteur, à l’opposé de la position de Monk. Le film que vous mentionnez est sans doute Thelonious Monk: Straight, No Chaser  réalisé par Charlotte Zwerin 
et non par Clint Eastwood (producteur). Je regrette de ne l’avoir jamais vu ; mais je me console, j’ai vu Thelonius Monk en concert à Marseille au début des années 60 ; Bud Powel en première partie et Monk en deuxième partie !! Monk ne voulait pas jouer, il sortait de scène et revenait et tout le monde attendait. Il s’y est mis finalement et, magnifique.
https://www.youtube.com/watch?v=_40V2lcxM7k

bouguereau dit: à

alors langoncet..t’es fier de ton président par allah va comme je te pousse irréversiblement?

bouguereau dit: à

Seneque; probablement une des plus grandes fortunes de l’époque. Sa disgrâce musclée pourrait n’avoir pas d’autre cause

toujours a pourrir les patrons ce meussieu courte

bouguereau dit: à

de très graves affrontements suivis d’émeutes qui feront de nombreux morts

on fra un sacrifice de keupu..la fumée de ses chairs brulées apaizront tes hindicateurs de malheurs..on aura des canicules le 15 janviers..poutine en fra des gaz

bouguereau dit: à

Voilà donc une petite lâcheté dont je me souviens, que je confesse voloniers

même si tu te déboutonnes sur les grosses..tes hindicateurs sont pas bons

bouguereau dit: à

dla culture c’est dla calomnie de dire qu’il en a hindique rénateau..et de parasiter les pompiers c’est plus pire que de dire du mal du doutché..ses hindicateurs reviennent au vert

closer dit: à

nouveautés…

rose dit: à

Patrice Charoulet dit: à
IL Y A DU PLURIEL DANS L’AIR

Pas sur Fun Radio, pas sur Skyrock, pas sur NRJ, mais sur France Culture , je jure avoir entendu l’animateur d’une émission de haut contenu culturel dire « les cinq zoeuvres qui… ».

Ce n’est qu’un début.
Prenez le cool Patrice Charoulet.

rose dit: à

Pas vérifié.
Pluie puis arc en ciel.
Aujourd’hui, 34 ans que nous nous sommes installés dans ce village.
Chui une enfant du pays.

Pablo75 dit: à

Sur Thelonious Sphere Monk, à lire le passionnant « Monk » (1997) de Laurent de Wilde (Folio, 320 pages, 160 g, 8,90€).

Jean Langoncet dit: à

@I think Bob Dylan could release an album containing various versions of just one song, and it would be awesome.

Jean Langoncet dit: à

NO

Damien dit: à

J’ai lu le « Monk » de Laurent de Wilde. Je n’ai jamais assisté à un concert de Monk, je suis trop « jeune », mais par contre j’ai vu jouer Laurent de Wilde. Je me souviens aussi, dans la NRF, d’un très beau texte de Jerome Charyn sur Monk et Glenn Gould.
Je reviens sur l’égoïsme des stoïciens, très net chez Marc Aurèle. Pour Epictète, il écrit par exemple : « S’il t’arrive par hasard de te retourner vers l’extérieur par complaisance pour quelqu’un, sache que tu as perdu ton assise. » (« Manuel », XXIII) Phrase typique d’une pensée complètement fermée aux autres. Le salut ne viendra que de moi, et de mon autosuffisance bouffonne ! On n’est pas étonné, après cela, du succès d’une religion comme le christianisme, qui vient corriger cette erreur, et annoncer le salut dans l’amour de l’autre. Juste rectification. Néanmoins, Epictète se lit avec un certain plaisir — beaucoup plus que cette gonzesse de Marc Aurèle. Bon dimanche.

rose dit: à

À Carine Chichereau

Superbe article. Fort émue.

Pas revue la fondation de Hans Hartung et Anna-Eva Bergman depuis son ouverture au public.

Découverte il y a de nombreuses années grâce à l’amitié féconde des artistes avec l’écrivain Jean Proal.
Entre Hans et Anna-Eva
« Cette rencontre marque le début non seulement d’une grande histoire d’amour, mais aussi d’une collaboration esthétique extrêmement féconde »

Trois remarques :

Anna-Eva est peintre.

Toutes les remarques sur son invisibilité sont d’une justesse incroyable. Il semblerait qu’elle subit le même sort que Frida Kahlo ; c’est à dire qu’après un travail hyper-acharné et éminemment personnel, elle soit enfin reconnue à son immense valeur et que son talent inouï soit enfin mis en exergue.

Inutile de dire il était temps.
S’agit toujours de laisser le temps au temps.

Anecdote : lorsqu’elle a retrouvé Hans, c’était après la seconde guerre mondiale, il y avait perdu une jambe. Il évoluait désormais en fauteuil roulant.

Ai appris bcp de choses sur Anna-Eva en lisant cet article : merci !

Bon dimanche.

Marie Sasseur dit: à

28/08/2022, 8h16

@ on brûle de savoir la vérité

Dans les villes de grande solitude

Antenne 2 Le Journal de 20H – 24.08.1985 – 03:29 – vidéo

Marie Sasseur dit: à

Au fond le destin de M. Pichon vous indiffère ?

C’est horrible; jusqu’au cimetière, elle est  » effacée  »

« C’est avec son père que Marcelle Pichon est enterrée… »
« … mais son nom ne figure pas sur la stèle ! »

https://lecoeurnecedepas.fr/?p=84

Marie Sasseur dit: à

Moi j’ai hâte de connaître la suite.

La suite qui sera donnée à la parution de ce livre-monstre de G. Bouillier, dont le destin personnel,je l’avoue, m’indiffere totalement, mais dont cette enquête formidable est tout sauf un simple fait divers de la rentrée.

J’ai donc hâte de savoir comment va réagir la famille de Marcelle Pichon, pour justifier cette horreur.

Marie Sasseur dit: à

J’aimerais avoir le temps de revenir sur cette elusion :

« Une mort volontaire qui choisit de dilater le temps et qui s’étire, ce qui lui confère une dimension sensuelle. »

Dites-moi que cette « dimension sensuelle « , est mise pour expérience sensitive, car sinon, il va falloir vous expliquer.
Au rapport !

J’aimerais avoir le temps, mais je prends la route, ce qui vous laisse le votre pour « fourbir » vos arguments, qui ne manqueront pas de nous intéresser !!

Marie Sasseur dit: à

La question subsidiaire : est-ce que torturer un corps, fût-ce le sien est de l’ordre de la « sensualité », façon bdsm, ou bien ?
Ou bien ste Thérèse celle qui rit.

On en connaît qui ont des réactions monstrueuses, oui monsieur, devant un corps supplicié, donnant a la passion chrétienne, en la détournant, un sens pathologique.

Je ne sais pas si vous saisissez bien le propos… ?

Car il va falloir !

Marie Sasseur dit: à

Dans une vignette du Wall, G. Bouillier se demande si une femme aurait eu une analyse très différente de cette fin de vie choisie par M. Pichon, comparée à l’analyse tentée par des hommes. (*)

Dans la droite ligne de  » dimension sensuelle  » on trouve ici , prenez le temps de l’écouter, le point de vue d’un homme qui des 1986 a fait paraître chez Actes Sud un bouquin sur M. Pichon, et place son travail sous les auspices de Quintilien.

Mais il faut surtout préciser que A.Arnaud est lecteur de G. Bataille. Et donc : c’est un homme « amoureux »:

https://lecoeurnecedepas.fr/?p=94

(*) ps: la seulE écrivain qui pourrait, est A. Nothomb. Ceux qui connaissent sa bibliographie le savent. Evidemment.

Bon dimanche
28/08 10h14

et alii dit: à

ET LE S final de « pouls » ce n’est pas un pluriel, (on n’ a aussi qu’un coeur)mais comment prononce-t-on devant une voyelle?

et alii dit: à

et pire quand on vous prend le pouls,comment s’assurer qu’on vous le rend en parfait état?

Patrice Charoulet dit: à

A partir du lundi 29 août Géraldine Muhlmann animera l’émission philosophique chaque matin sur France Culture.
Lauréate du concours général en philosophie (1989) , ancienne élève de l’École normale supérieure.
Agrégée de philosophie (1994) et de science politique (2003), docteur en science politique (2001) diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris (section Service public, promotion 1995).
C’est une bonne nouvelle.

et alii dit: à

MERCI,Bloom:
On ne peut pas se permettre d’attendre l’inspiration. Sinon, on ne termine jamais son livre. Un roman c’est comme un marathon, la seule façon de courir, » S.R

et alii dit: à

MUS2E DITES VOUS??
La définition d’un musée a considérablement changé pour la première fois en 50 ans après un vote unanime des membres du Conseil international des musées (Icom) à Prague aujourd’hui.

Les représentants de plus de 500 musées du monde entier ont voté pour adopter la nouvelle définition lors de l’Assemblée générale extraordinaire de l’Icom dans la capitale de la République tchèque, avec 92 % de votes en faveur de la nouvelle définition. Il comprend, pour la première fois, des expressions telles que « inclusivité », « accessibilité », « durabilité » et « éthique ».

Alberto Garlandi, président de l’Icom, a déclaré que la nouvelle définition était « un terrain d’entente pour les musées du monde entier ». Il déclare à The Art Newspaper : « Cette nouvelle définition est alignée sur certains des changements majeurs dans le rôle des musées aujourd’hui. Nous avons été obligés de changer. Je pense vraiment que cette décision améliorera le rôle du musée dans le monde.

Dino dit: à

@damien et les monkiens

Sur Thelenious Monk le livre essentiel est:
Robin D. G. Kelley, The Life and Times of an American Original, Free Press, 2009

rose dit: à

on n’ a aussi qu’un coeur.
Vous. Le poulpe en a trois. Et huit cerveaux.

et alii dit: à

UN MS DE 1000 pages qui dit mieux?
3C’est un manuscrit clandestin imposant (mille pages), strictement anonyme mais qu’il faut désormais attribuer au médecin libertin Guy Patin (1601-1672). Ce dernier l’acheva en 1659 sur la base de textes et de fragments hérités de ses deux amis et compagnons de « débauches philosophiques » : Gabriel Naudé (1600-1653) et Pierre Gassendi (1592-1655).

L’ouvrage, bien que tardif par rapport à ses repères idéaux, incarne l’essence de l’athéisme libertin, largement basé sur des sources de la Renaissance italienne (Pomponazzi, Cardan, Machiavel, Campanella, Vanini) ou plus anciennes (Aristote, Cicéron, Sénèque, Pline, Sextus Empiricus).
https://www.herodote.net/Du_Theophrastus_redivivus_a_Spinoza-synthese-3209.php

et alii dit: à

ET VOUS ROSE? SP2CIALISTE D’ARTICHAUTS? ça vous fait combien de coeurs bon an mal an ?

rose dit: à

Il n’y a pas écrit « on ne sait jamais la vérité »
Le mot est illisible.
Il n’y a pas écrit dit non plus.
Elle avait 64 ans lorsqu’elle a décidé de se laisser mourir de faim.

rose dit: à

Et alii

Pour ma part, j’ai un coeur.

rose dit: à

Très clairement, il n’y a pas écrit « sait ». Mais « dit » ce n’est pas prouvé. Moi je lis « eut ».

et alii dit: à

Ce n’est qu’à l’approche du 21e siècle que la parole a commencé à se libérer grâce au travail de recherche de plusieurs docteurs et historiens, qui se sont plongés dans les archives de cette sombre période. À Lyon, l’horreur s’est emparé de l’hôpital psychiatrique du Vinatier (Bron), où 2 000 patients sont morts de faim.
https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/lyon_69123/lyon-des-milliers-de-patients-morts-de-faim-a-l-hopital-du-vinatier-ils-se-devoraient-les-doigts_53378421.html

Petit Rappel dit: à

Le Théophrastus Redivivus a été étudié entre autres par Olivier Bloch. On peut y voir une grande oeuvre du Libertinage érudit, pour faire simple.

bouguereau dit: à

..tfaçon térezoune elle préfère la manière hussarde meussieu courte

bouguereau dit: à

Le poulpe en a trois. Et huit cerveaux

keupu a 8 troudbals..c’est un bagpipe pétomane

bouguereau dit: à

Sur Thelenious Monk le livre essentiel est

monk dvient hessentiel sur la table basse..dessous guerre de céline pour kabloom

bouguereau dit: à

J’aimerais avoir le temps, mais je prends la route, ce qui vous laisse le votre pour « fourbir » vos arguments

plutôt la façon camioneur meussieu courte..on a pas qu’ça a foute

bouguereau dit: à

Une mort volontaire qui choisit de dilater le temps et qui s’étire, ce qui lui confère une dimension sensuelle. »

ha javais pas lu..et c’est trés bon lassouline.. »enfin raide » qu’elle voulait écrire sa femme à guitry sur sa tombe

bouguereau dit: à

hallez savoir pourquoi de guitry je pense a baroz..j’espère qu’il s’est pas fait jaffer par un tiburon blanco en tapasse

J J-J dit: à

hello🍑tom🍑🍑🍑🍑tom🍑🍑🍑🍑la🍑🍑🍑🍑🍑stromate🍑🍑🍑🍑como🍑🍑🍑va🍑🍑🍑🍑🍑?

rose dit: à

j’espère qu’il s’est pas fait jaffer par un tiburon blanco en tapasse

S’il s’est fait Jaffer une seule gambette, il a encore ses chances. Cf Hans Hartung.
Et le tiburon blanco à l’estomac plein.

rose dit: à

et alii dit: à
ROSE? AVEC L’ACCENT/
https://www.

Un des quatre, avec l’accent dit je reufléchis.
Sinon, ma mère qui s’exclame, ravie, « ô Panisse, couillon, coupe à coeur ».

Jean Langoncet dit: à

@I think Bob Dylan could release an album containing various versions of just one song, and it would be awesome.

NO

Existe-t-il en matière d’édition littéraire une catégorie pour les brouillons, les pelures, les coupes, les chutes, les fragments d’oeuvres abouties et reconnues ?
https://www.youtube.com/watch?v=UG8Hi-fpyLI

Jean Langoncet dit: à

Peut-être y a-t-il quelque chose d’innovant à imaginer sur le plan de l’édition d’esquisses littéraires

Jean Langoncet dit: à

Nota : bootleg : (of alcoholic drink or a recording) made, distributed, or sold illegally.
« bootleg cassettes » ; certains sont officialisés et commercialisés comme tels

Jean Langoncet dit: à

Les Bootleg Series représentent le complément indispensable à la discographie de Bob Dylan avec des Raretés, Inédits, Live, Prises différentes… couvrant toute la carrière du Zim’,de 1959 à, pour l’instant, 2006, reparti sur 15 volumes et, avec les versions Deluxe, près de 1 000 plages !!!
https://www.senscritique.com/liste/The_Bootleg_Series/1859366

Jean Langoncet dit: à

Nota 2 : Bob Dylan, Nobel de littérature 2016

Jean Langoncet dit: à

Nota 3 : s’agissant de Céline, j’imagine que le parti pris a été de privilégier une clientèle de barbons vieille France ; pas le moindre des paradoxes

Jean Langoncet dit: à

@on n’ a aussi qu’un coeur.
Vous. Le poulpe en a trois. Et huit cerveaux.

Le génie humain fait qu’on peut en avoir plusieurs, successivement ; y compris artificiels qu’il dirait le vieux Charles. Quant aux prétentions tentaculaires …

Patrice Charoulet dit: à

Liberté de prescription

Pour toutes les maladies à venir, j’estime que les médecins généralistes devraient avoir une entière liberté de prescritpion. Leurs études sont assez longues pour savoir ,en conscience, les médicaments qui s’imposent. Aucun président de gauche, du centre ou de droite, aucun Premier ministre de gauche , du centre ou de droite, aucun ministre de la Santé de gauche, du centre ou de droite, ne devraient avoir l’idée saugrenue d’interdire de façon nationale aux médecins de prescrire ceci ou cela.

et alii dit: à

langoncet:merci!
Archive 2005
Jean-Luc Nancy, le cœur a sa raison
Le philosophe, mort lundi 23 août à l’âge de 81 ans, a vécu avec une greffe du cœur pendant 30 ans. «Libé» republie le portrait de cet ami du journal, paru en 2005.Archive 2005
Jean-Luc Nancy, le cœur a sa raison

Bloom dit: à

Langoncet, pour le refrain de Like a Rolling Stone, vous jouez Do/Fa/Sol/Fa/Sol7 ou Do/Fa/Sol/Sol7?

bouguereau dit: à

tu l’avais déjà mise kabloom..meutch hot air

bouguereau dit: à

Nota 2 : Bob Dylan, Nobel de littérature 2016

zelinski va l’hinviter en tutu pour rmonter lmoral à ses bidasses

bouguereau dit: à

Leurs études sont assez longues pour savoir ,en conscience, les médicaments qui s’imposent

« en conscience »..ma parole ctune maladie..chte dmande un peu comme il est con ce keupu

bouguereau dit: à

«Tel le couple prostitution-mariage, pornographie et PMA s’avèrent profondément solidaires», explique-t-il, en rappelant que les deux figures de la maman et la putain se répondent en miroir

libé et renfield dans ses oeuvres..du marketing -en conscience-..et pourquoi pas

bouguereau dit: à

Peut-être y a-t-il quelque chose d’innovant à imaginer sur le plan de l’édition d’esquisses littéraires

l’hinnovant essaie de se vendre à tous les coins drue..la question c’est: est ce de la litterature qui se defend toute seule..si y faut un portavion..le militarohindustriel va te faire la préface et la quatrième

Marie Sasseur dit: à

et alii dit: à

avec un peu de retard sur le 15AOUT 5EXCUSES°/

Sexcuses ?

Pour une méconnaissance de la religion catholique ?

je vous rappelle le dogme Et Alien : Forniquez tant que vous voulez, si vous avez une sexualite débridée, mais: pas de procréation sans sexualité.

Marie Sasseur dit: à

Je ne sais plus quel crétin à proposé dans un commentaire sur ce blog de pratiquer le jeûne.
On voit où mène le  » régime Marcelle P. « .
Un truc a se flinguer les reins d’abord, si vous escomptiez plutôt un accident cardiaque.

Marie Sasseur dit: à

a proposé

Janssen J-J dit: à

@ Je ne sais plus quel crétin à proposé de pratiquer le jeûne en cas de surcharge pondérale…
Pourquoi quel crétin ? …. le ramadan est en principe une excellente thérapie pour se recuillir et réfréner les éventuelles pulsions terroristes de certaines liées à l’interdiction de boire de l’alcool… Disons le tout net aux faces de carême catho, qui croivent à tous les faits divers lus (?) dans les romans répertoriés… Quelles idiotes pichonées ! –
Bàv… Ah, ces dimanches soir… ! Bon, je fil –

Marie Sasseur dit: à

« Surcharge pondérale » ? Le keuf devrait s’y mettre à la diète.

« Quels sont les effets du ramadan sur le cerveau ? 

La faim engendre une production d’acétone par le cerveau qui stimule et favorise les facultés cognitives. La sensation de faim peut ainsi disparaître au bout de quelques jours de jeûne et apparaît alors une impression de « légèreté ». Le jeûne à visée thérapeutique a d’ailleurs déjà été proposé et utilisé pour soulager certaines maladies mentales comme les troubles obsessionnels compulsifs en Russie, en Allemagne ou encore aux Etats-Unis, rappelle l’Inserm.  »

https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-nutrition/2803537-effets-ramadan-sante-bienfait-mefait-risque-corps-cerveau/

Janssen J-J dit: à

@ Jêune, diète, ramadan, ma soeur la grosse Marcelle Pichon… – C’est bien ce que nous disions, les connasses voudraient nous faire prendre pour des cons… Après nous avoir dit que les jeûnes étaient une calamité, on vient nous pondre tous les effets positifs qu’ils peuvent engendrer chez les musulmans… Qui des 40 jours dans le désert, que disait Keupu ?… Jeuner pour maigrir et jeuner pour se purifier…(Quels sont les effets du ramadan sur la cervelle des grosses Chrétiennes ?). On n’est pas à ça près, depuis le temps qu’on entend la même « face de karèm » nous raconter tout et n’importe quoi.
Bof, laissez la donc choir des ses lianes…

Marie Sasseur dit: à

Le keuf est en surpoids, boursouflé. Devrait maigrir aussi un peu de la gueule.

Le jeûne est une pratique, vantée par des neocons, dont les effets thérapeutiques NE sint PAS démontrés. En France
le jeûne n’est pas encadré dans des structures médicales. Lorsque c’est le cas dans certains pays, c’est pour une thérapeutique de troubles psychiatriques.

Janssen J-J dit: à

J’aime beaucoup la pensée de Jean-Luc Nancy, qui ne puait pas de la gueule comme son aie la très catholique et apostolique Isabelle des Lianes… car elle est en tous points lumineuse. Elle devrait inspirer les nouvelles générations amaigries par la décroissance heureuse. La déclosion est claire et ne marche… Cf. ci-dessous, aperçu.
______________
La déconstruction du christianisme, selon Jean-Luc Nancy, engage deux gestes : la déclosion l’une envers l’autre de la philosophie et de la foi, l’une et l’autre outrepassant la religion désormais plus que close et l’adoration où la parole est adressée à ce qui dépasse la signification et exposée au ravissement du sens. Cette démarche n’est pas une méthode ; la pensée déconstructrice est plurielle dans ses parcours et singulière, à chaque fois, dans son style. Ainsi, depuis une quinzaine d’années, Jean-Luc Nancy a fortement accentué sa réflexion sur l’« esthétique » dans des textes qu’on peut considérer comme des ekphraseis d’œuvres d’art. Toutefois « dépeindre le christianisme » n’équivaut pas simplement à « décrire » des œuvres dont les sujets sont empruntés aux récits chrétiens ; il s’agit plutôt de penser le devenir-peinture du christianisme au sein duquel se joue l’intensité de « l’accès au divin sans accès ». En question donc l’image, la présentation du visible (hoc est enim… ), la provenance de la présence (ex nihilo ?). Nous disposons d’un double héritage : le questionnement grec de l’image et le mystère chrétien de l’Incarnation. Chacune de ces traditions, dans son registre, s’efforce de saisir l’image et sa présence dans les catégories de l’être et du paraître ou de l’être et de la révélation. Pouvons-nous nous soustraire à cette double tenaille philosophique et théologique ?

Marie Sasseur dit: à

« En l’état de nos connaissances, le terme de « jeûne thérapeutique » apparaît ainsi surfait, voire abusif. Cette option n’est ni un mode alimentaire acceptable, ni un moyen préventif ou thérapeutique démontré. Contrairement à d’autres États européens, la France n’autorise pas la pratique du jeûne dans un cadre médicalisé à la suite du rapport de référence réalisé par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), à la demande du ministère des Solidarités et de la Santé [12].

On ne saurait conclure cet article sans citer le jeûne pratiqué dans de nombreuses religions : carême des chrétiens, ramadan ou saoum des musulmans, taanit des juifs, etc. Jeûne intermittent ou partiel, souvent de durée courte, il représente un acte symbolique et volontaire sans conséquences pour la santé, chez les sujets en bonne santé. En revanche, il est à proscrire chez les enfants, chez la femme enceinte, chez les sujets âgés, fragiles ou malades, en raison d’un risque non négligeable de troubles de la croissance, de dénutrition et de sarcopénie. »

https://www.vidal.fr/actualites/29052-le-jeune-a-t-il-une-place-en-therapeutique.html

J J-J dit: à

j’ten foutrais, moi des sarcopénis, à masseure marcelle, la tarzane toutes en musques…
Couchée, basta !
Next.

D. dit: à

Lorsque c’est le cas dans certains pays, c’est pour une thérapeutique de troubles psychiatriques.

En Russie, non. Permet de faire regresser des états inflammatoires. Renseignez-vous mieux.

D. dit: à

Aucun président de gauche, du centre ou de droite, aucun Premier ministre de gauche , du centre ou de droite, aucun ministre de la Santé de gauche, du centre ou de droite…

T’as essayé de factoriser ?

D. dit: à

On ne prend pas suffisamment aux sérieux les capacités mentales des poulpes. Car elles surpassent les nôtres. Les poulpes communiquent par télépathie et ce sont déjà organisés pour nous dominer dès que les circonstances leur seront favorables.
J’ai des renseignements très précis à ce sujet.

Marie Sasseur dit: à

Le keuf en surpoids, toujours plus vulgaire et bestial, a salement pris la mouche; ça doit lui peser, lol, cette histoire de jeûne, lui qui n’épargne pas la rdl de tous ses repas surgelés pris en solo.

M. Pichon avait indiqué être dans une situation financière critique, au moment où elle a arrêté de s’alimenter.
Cette situation aura déterminé l’issue.

Voilà un autre cas de personnes,  » criblees de dettes  » ayant cessé de s’alimenter . C’était en 2021

https://www.aa.com.tr/fr/monde/france-cribl%C3%A9s-de-dettes-un-fr%C3%A8re-et-une-s%C5%93ur-se-laissent-mourir-de-faim-m%C3%A9dias/2246518

Jean Langoncet dit: à

@l’hinnovant essaie de se vendre à tous les coins drue..la question c’est: est ce de la litterature qui se defend toute seule..si y faut un portavion..le militarohindustriel va te faire la préface et la quatrième

De l’art de multiplier les occasions de se faire haïr
https://www.youtube.com/watch?v=4hjtjZYXXic

(« je vois les commentaires réactionnaires pulluler. si vous comptez également écrire un message de ce genre, n’oubliez pas que céline se moquait aussi de la propension de certains français à être systématiquement réactionnaires :
« – Alors c’est un vilain monde ? selon vous ?
– C’est-à-dire qu’il est sadique, réactionnaire, en plus de tricheur et gogo… il va au faux, naturellement… il aime que le faux !… les étiquettes, les partis, les latitudes y changent rien !… il lui faut son faux, son chromo, en tout, partout !… » »)

Jean Langoncet dit: à

@Langoncet, pour le refrain de Like a Rolling Stone, vous jouez Do/Fa/Sol/Fa/Sol7 ou Do/Fa/Sol/Sol7?

Je ne suis pas pratiquant mais je comprends vos tourments

rose dit: à

Lundi 29 août 2022.5h50
Camion poubelle.

Tendances :
La démission silencieuse.
Plus d’anonymat sur les réseaux sociaux.
Jeune nourriture et eau, un jeune de trente ans décède, son frère dit qu’il a été happé par ses vieux démons. À trente ans des vieux démons ? Innocentant ainsi son lieu de retraite. En ce mois de juillet, supprimer l’eau n’a pas été le choix judicieux. Dans son entourage, personne pour lui parler, l’écouter, l’entendre. Il a mené au bout son entreprise de démolition.

Marcelle Pichon, ce jeune homme, rest in peace now.

rose dit: à

Jeûne nourriture et eau.

Le jeûne est un acte intelligent qui se doit d’être pratiqué intelligemment.

rose dit: à

Pas au bout de sa peine.

Sans sortir les biftons, l’aurait eu la même montée des marches. Quand, dans la tête, y a un petit pois.

rose dit: à

Écouté les différents liens sans le son.
Ai remarqué cela à plusieurs reprises : parfois, Céline est beau. Et rarement, il esquisse un demi sourire. Là, il est très beau.

Plus tard, je l’écouterai avec le son.
La, je m’occupe de ma maman.
Hier, seconde séance d’aquagym. Elle en fait la moitié.
Elle a fait une petite séance de seins nus au soleil ☀️ pendant que nous continuions dans le grand bain.
Moi j’étais dans l’eau et je la regardais 😳.

Voilà.
Nous sommes dans notre petit chalet en Suisse, où elle réclame d’aller en vacances, devant ‘e parterre fleuri. Reste plus qu’à monter la montagne rocheuse et à descendre le ciel de nuages.

Le cinéma a fermé quinze jours. Le gérant est amoureux.

rose dit: à

Ah ouais, 1500 pièces.

Parfois, dans la tête, même pas le petit pois. Alors, au lieu de dilong dilong, ça sonne creux.

renato dit: à

Jeûne
Un ami en léger surpoids s’est retrouvé avec la pression artérielle haute, donc « jeûne intermittent ». Petit déjeuner, repas après 16 heures. Il n’a pas retrouvé le poids de ses 20 ans, mais sa pression est revenue à la normale. Naturellement, il boit eau et thé sans sucre au cours des 12 heures où il s’abstient de la nourriture solide.

renato dit: à

Petit déjeuner, PUIS repas

renato dit: à

12 > 16

Marie Sasseur dit: à

Ça me revient, le crétin qui conseille le jeûne thérapeutique sur ce blog, c’est le milaniais.

rose dit: à

P.S :

Ce n’est pas moi qui me laisserait mourir de faim.

Mini mi, grosse chrétienne.

Ma maman dit « moi non plus ».

Pose lui ta question, elle te donnera une réponse.
(L’a pas toujours raison)

rose dit: à

renato dit: à
Petit déjeuner, PUIS repas.

Et le soir ?

Marie Sasseur dit: à

« La mystérieuse Mlle Pichon s’était laissée mourir de faim pendant des semaines tout en tenant le journal de son agonie de quarante-cinq jours… »

Passou, pensez-vous qu’une femme de 64 ans au moment de son décès, mariée deux fois, mère et grand-mère, puisse se présenter sous le titre Melle, sauf si Melle est le diminutif de Marcelle.

renato dit: à

Intervalle de 16 heures entre petit-déjeuner et repas, rose.

Marie Sasseur dit: à

De la sensualité

Si certains ont nourri l’espoir de retrouver le journal de Marcelle P. , caressant l’idée de découvrir ou faire découvrir un chef d’oeuvre , ils en seront pour leurs frais.
Ce journal est à l’os, si on peut filer la métaphore clinique.

renato dit: à

Je ne vais pas perdre mon temps pour répondre à une qui ne vérifie pas les posts avant d’insulter.

Marie Sasseur dit: à

Cette « thérapeutique » de privation alimentaire, forme de torture chronométrée, a été initiée en germanie.

Ça vous étonne ?
Pas moi.

Marie Sasseur dit: à

Le milaniais souffre d’amnésie, devrait manger plus de poisson.

Bloom dit: à

Je ne suis pas pratiquant

Vision du dehors. Chacun ses limites, ini’t?

closer dit: à

A bas le jeûne, le cilice, les mortifications, l’ascèse et autres pratiques masochistes.
« Il n’y a pas de bien à se faire du mal! »

Marie Sasseur dit: à

29/08/2022, 9h10

« Intervalle de 16 heures entre petit-déjeuner et repas »

Tu vois d’ici là connerie.

Tu petit déjeunes à 9h du matin ( des- jeûner= rupture du jeûne), room service impeccable, les asticots tout ça très bien.
Et la paf ! Tu te dis, merde, je vais devoir me relever en pleine nuit pour dîner.

closer dit: à

Mariée deux fois, mère et grand-mère et personne ne l’aidait, ne prenait de ses nouvelles ?
L’humanité m’étonnera toujours…

Marie Sasseur dit: à

@ »Mariée deux fois, mère et grand-mère et personne ne l’aidait, ne prenait de ses nouvelles ? »

C’est pour ça que j’attends la suite inédite
de ce roman de G. Bouillier, comme je l’ai indiqué.

Bloom dit: à

Le péril jeûne

Dans ‘Eden’, le dernier roman dystopique de Jim Crace, les jardiniers du Paradis sont astreints périodiquement à un jeûne très strict au cours duquel il leur est interdit de boire ainsi que d’avaler leur salive. Exactement ce que faisait Ali Akbar, le cuisinier qui travaillait chez nous à Dacca en 83-85. Pendant le mois de Ramadan, il excrétait sa salive dans un magnifique crachoir en laiton décoré qu’il gardait sous l’évier et vidait consciencieusement tous les soirs.
Dehors, les lampadaires et autres poteaux électriques étaient souvent couverts de glaires rougis par le jus de betel.

Marie Sasseur dit: à

bloomie est en train de se faire dégueuler son petit déjeuner. C’est une méthode aussi.

Marie Sasseur dit: à

Ce roman-monstre consistant à redonner  » de l’épaisseur  » à M. Pichon, relève aussi un peu de l’empaillage.
Ah, c’est tout un art.

Janssen J-J dit: à

@ /// lui qui n’épargne pas la rdl de tous ses repas surgelés pris en solo /// D ou RM ? – Mlle chante le blues torpille à tout và. Faut qu’elle soit en forme le lundi – Elle dit : des milliers de morts périssent au Pakistan pour cause de moussons et elle attend la suite du roman feuilleton d’Islamabad – De la grêle est annoncée dans le sud-ouest. L’hiver sera très rigoureux, et beaucoup de nos compatriotes vont morfler. – A la fin du mois d’août, une petite séance de seins nus au soleil est tout à fait recommandée à cet âge-là, c’est beau et seins. Caroline, belles fesses, a fait pareil dans la piscine, a même carrément enlevé le bas, certes elle était beaucoup plus jeune qu’Emma Pichon, mais tout aussi émoustillante dasn une eau à 28° – // (sic) en train de se faire dégueuler son petit déjeuner… en matière de vulgarité // Mlle Pichon a sa propre méthode artistique, éprouvée par l’épreuve de l’éprouvette… – On ira voir mauvaise langue sauce piquante décongueulée à sa place… Next
(rptv, 29.8.22_9.59)

J J-J dit: à

@ G. Bouillier, comme je l’ai indiqué.

Un bouillieur de cru-(dités) à la Georges Bataille

Marie Sasseur dit: à

Un jour de plus sans faim sur la rdl…pour le keuf qui se gave.

Ciao, ci vediamo per cena; au risque de choquer tous les vieux crétins qui n’écoutent pas et maltraitent, dans ma culture, le repas est un partage convivial, pas une pause frigo chronométrée.

renato dit: à

Accuser sans donner de preuves : habitude inquiétante.

Marie Sasseur dit: à

29/08, 10h36

Allez René de Milan, tout cela est oublié, à commencer par celle à qui vous donniez ce conseil de privation.
Ça va bien la tête ?
Paraît que ces privations alimentaires à long terme diminuent les facultés mentales. Merci d’en donner un exemple flagrant.

Bonne journée !

renato dit: à

J’en déduit que vous, vous êtes beaucoup privée.

renato dit: à

déduit > déduiS

renato dit: à

Et c’est quoi cette manie provinciale de traduire les prénoms ?

bouguereau dit: à

bloomie est en train de se faire dégueuler son petit déjeuner. C’est une méthode aussi

le vomitoriome est encore un mite hinventé par meussieu courte pour pourrir le patron à sénèque

bouguereau dit: à

dans ltemps rénateau c’était celui qu’était l’plus prés du silo nucléaire..aujourdhui du pritzère

bouguereau dit: à

térezoune et rénateau hont l’même..

bouguereau dit: à

..verre de pritzère..halors hévidemment ça se refile des herpèsses

bouguereau dit: à

En Russie, non. Permet de faire regresser des états inflammatoires. Renseignez-vous mieux.

il parait..mais il parait haussi que le jeune est une habitude à la privation dédé..une arme de guerre dit poutine en siflant tout l’brotsch

bouguereau dit: à

une longue hestoire qui n’est pas que « spirituelle »..la traite des noirs a a y voir sérieuzment..et lobésité haussi trés probablement..primo levi en parle doucétement..il aurait du creuser laffaire sacrénom

bouguereau dit: à

J’aime beaucoup la pensée de Jean-Luc Nancy

hil donne lhimpression dun rénateau qui fait compliqué..accapare à la métaphisique..la met sous perf de beau et desthétique..comme rénateau « le libéral » siphonne les catos..bref une contrebande..décidément héidegguère est con nazi et drogué..mais c’est lpatron comme néron qu’il dirait meussieu courte

renato dit: à

Le kebab s’est de-démocratisé : chez Cihan Anadologlu à Monaco (Bavière) on le trouve à 35€.
Composition :
pour la viande « Wagyu Short Rib » de Kagoshima ;
vinaigrette truffe et wakamé, purée de panais et shichimi togarash ;
sauce de yogourt aux herbes maison.

renato dit: à

Monaco > Munich

bouguereau dit: à

Monaco > Munich

sapré rénateau

bouguereau dit: à

Et c’est quoi cette manie provinciale de traduire les prénoms ?

giambologna

bouguereau dit: à

toujours a smarcher sur l’étole les biftons et la rapière en gruyère cette tête de moine ce rénateau

Bloom dit: à

des milliers de morts périssent au Pakistan

des milliers de pauvres périssent au Pakistan.
Les riches Pendjabis chers à Shabbaz S sont les pieds au sec et le bide bien rebondi, hommes & femmes confondus…
La corruption s’arrête à tous les étages & permet une régulation démographique qui ne déplait pas à ceux qui ont un doigt dans l’Indus et les 9 autres dans le Golf(e).

renato dit: à

Voyons ça : Gianbologna pseudo de Jean Bologne né Jehan Boulongne ou Jean de Bologne.

Cela dit, en réaction au fascisme l’habitude provinciale d’italianiser les prénoms à été abandonnée en Italie.

MC dit: à

« Dans ma culture, le repas est un moment de partage convivial.. ». Certes , MS, certes, mais avec vous, qui voudrait le partager?!

bouguereau dit: à

même si qu’elle te dit « ceci est mon corps meussieu courte? »

bouguereau dit: à

voyons ça : le fachisme est provincial..pourquoi pas rénateau..pourquoi pas

bouguereau dit: à

kabloom glaviote sur djizeus et mahomet..bon pas sur les irlandais..bigots mais celtique surtout..pas comme polo a sinmalo

et alii dit: à

Jean Bologne (né Jehan Boulongne,)
sans « de » !

MC dit: à

On peut dire « ceci est mon corps » et relever du domaine de la monstruosité pure!

Marie Sasseur dit: à

Le vieux dément mc attend certainement que je le signale pour harcèlement?

Marie Sasseur dit: à

A propos de Marcelle Pichon :

« Personne ne s’est ému lorsque, répondant à une petite annonce, elle avait participé A une émission d’Anne Gaillard consacrée à la solitude et diffusée le 27 septembre 1984.  »

Ses enfants n’avaient peut-être pas la télé ?

Marie Sasseur dit: à

A cette époque, septembre 1984, j’étais encore à l’école, je ne risquais pas de regarder la télé, en pleine rentrée en plus.

Marie Sasseur dit: à

A cette époque, septembre 1984, j’étais bien loin de me douter que Marcelle Pichon avait cessé de s’alimenter. Comme quoi, hein, « il n’y a pas de hasard, que des rendez-vous » (c’est de qui?)

bouguereau dit: à

On peut dire « ceci est mon corps » et relever du domaine de la monstruosité pure!

chtement c’est ça qu’est bat meussieu courte..dirfilou lorgne sous les jupes de sa voisine cul de jate..bonne clopine dans les culottes de son âne..et térezoune te veux landru qui défie la maréchaussée..comme elle dit souvent « y’a pas de rencart que des coups dbites »

Marie Sasseur dit: à

Le vieux keuf,lui est déjà mort social. Il s’est mis en retrait de l’humanité. Survit à la marge, devant des écrans.

A propos de Marcelle Pichon.
Le roman  » soif » d’Amelie Nothomb est ce qui se rapproche le plus d’un journal d’agonie, écrit avec un sens aigu et mesuré de l’humour noir.

 » on ne dit jamais la vérité », c’est sur cette phrase terrible de son journal d’agonie, que M. Pichon se rend compte que se laisser mourir de faim n’est pas un acte de foi,où tu t’eteins tranquille « dans l’espérance que tu promets », mais c’est endurer d’horribles souffrances physiques.

Si la bonne surprise de la rentrée 2022, c’est ça Passou, autant passer directement à celle de 2023.

Damien dit: à

Mort d’un cancer de Jean-Claude Idée, homme de théâtre belge. Je lis son palmarès dans mon « Figaro ». Il avait fait une belle carrière, montant toutes sortes d’auteurs, ainsi que lui-même pour finir. Il avait une bonne bouille de Belge. Paul Edel, qui l’a connu, pourrait nous donner son témoignage sur lui. Les hommes de théâtre m’ont toujours fasciné, comme Peter Brook, à qui Idée ressemblait un peu. L’autre jour, dans ma librairie, j’ai feuilleté dans la collection « Points » un mince livre de Peter Brook, qui m’a eu l’air passionnant et que je vais lire un jour. Il y raconte entre autres une mise en scène des « Démons » dans un grenier à Berlin, qui fut pour lui l’essence même du théâtre. J’aime ces cérémonies quasi religieuses, issues de la tragédie grecque de Sophocle etc. — c’est pourquoi aussi je vais à la synagogue et parfois dans les églises, à l’occasion. Tout est théâtre, comme disait Pétrone : « Le monde entier joue la comédie. »

Patrice Charoulet dit: à

« mon signe astral… »

Je lis un excellent styliste du XXe siècle et tombe sur «mon signe astral… ». Honte à lui ! Pour ne pas le déshonorer, je tairai son nom.

D. dit: à

renato dit: à
Intervalle de 16 heures entre petit-déjeuner et repas, rose.

N’importe quoi. Il s’agit simplement, par 24h, de faire deux repas en respectant environ 16h pour l’un des deux intervalles. Donc pas de petit-déjeuner.
Le plus courant étant de faire le 1er à 12h, le second à 20h. La ration calorique quotidienne recommandée ne devant en aucun cas être diminuée.

D. dit: à

thé dans sucre : interdit dans le jeune intermittent. Café sans sucre aussi. Eau seulement.

renato dit: à

L’ami qui m’a parlé de ce jeûne le fait comme j’ai dit, D.
Pour ma part : petit-déjeuner, dix-heures, un petit repas à midi, goûter, dîner et parfois (après théâtre ou autres occasions) souper léger. Nonobstant 68 kg pour 1 mètre 80 cm.

Janssen J-J dit: à

@ Les hommes de théâtre m’ont toujours fasciné, comme Peter Brook, à qui Idée ressemblait un peu…
——–
Le benêt-tévé (du figaro-charoulait) a dit qu’il avait jamais rin vu ni rin lu de Brook peter et a fortiori de l’Idée du deuxième, mais l’a tjs été attiré comme moi par marcelle pichon, ou comme jzmn par les lézards. Quant à l’autre bique, est jamais vraiment parvenue à la culture et a donc besoin d’un mentor genre PA pour sortir du darkw., pour ravancer dans sa thèse sur huysmans, pour repasser son capès 3 fois foiré au fer forgé, et donc se refaire une religion littéraire catholique, de préf. harceleuse et ordurière pour faire genre au jeûne radical en soliste.
(Rita Gabardine et Capuchon) _

J J-J dit: à

@ Dominus vobiscum : 93 kg, 1.75 m, longueur au repos: 3,5 cm. Nozobstant,…

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