de Pierre Assouline

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La bonne surprise de la rentrée : un monstre de 900 pages !

La bonne surprise de la rentrée : un monstre de 900 pages !

Ce qui frappe de prime abord dans Le Cœur ne cède pas (26 euros, Flammarion), c’est ce qu’il faudrait négliger, mettre à distance, oublier d’emblée. A savoir son énormité (908 pages grand format et 1,5 kgs au jugé), même si au lit, dans un fauteuil, dans le métro, celle-ci s’impose au lecteur désagréablement, la chose n’étant vraiment pas maniable. Las ! Une fois cet obstacle vaincu, Grégoire Bouillier nous entraine dans une incroyable expérience de lecture, une aventure littéraire qui tient en haleine pendant des jours et des nuits. Moins celle de son héroïne Marcelle Pichon que la sienne propre, leurs existences étant nouées l’espace d’un livre -et quel ! Le projet a quelque chose de monstrueux.

Le récit de son enquête (ne pas hésiter à se reporter au site dédié www.lecoeurnecedepas.fr ) est aussi inattendu et imprévisible que le premier roman d’un inconnu. Sauf que c’est son cinquième et qu’il est déjà bien connu au bataillon. Un jour, notre auteur écoute une émission à la radio relatant un fait divers aussi glauque que tragique : le cadavre en décomposition de Marcelle Pichon (1921-1985), ancien mannequin du couturier Jacques Fath du temps de leur gloire respective, a été retrouvé chez elle, appartement 609 au 183 de la rue Championnet, longue artère qui part de la rue des Poissonniers pour aboutir à l’avenue de Saint-Ouen à Paris XVIII ème, une seule pièce de 10 m2, dernier étage, fenêtre propice à l’élévation spirituelle donnant sur une église (Sainte-Geneviève-des-Carrières) et une croix. La voisine du dessous a été alertée dix mois plus tard par les asticots qui tombaient du plafond dans son assiette. La mystérieuse Mlle Pichon s’était laissée mourir de faim pendant des semaines tout en tenant le journal de son agonie de quarante-cinq jours…

Bouillier a été aussitôt stupéfait, intrigué, happé par des questions que l’émission laissait sans réponse : comment expliquer un tel modus operandi ? pourquoi cette solitude choisie ? quel sentiment tragique de la vie peut pousser un être humain à en finir ainsi etc L’image de la recluse l’envahit comme une névrose obsessionnelle. Dès lors, la Pichon phagocyte sa vie dès qu’elle y pénètre. Et comme tout écrivain, il ne comprend ce qui lui arrive que s’il l’écrit. Il va donc l’écrire à la folie car son projet en relève aussi. Il est vrai qu’il a de l’entrainement comme le savent déjà les lecteurs du Dossier M (prix Décembre, 2017), 880 pages en deux tomes, roman aussi énorme que hors norme, dans lequel il tentait déjà d’élucider un suicide et sa propre responsabilité dans la mort du défunt. A condition de conserver à l’esprit sa propre définition de l’élucidation :

« Déployer toute l’opacité de son mystère, clarifier les termes même de sa noirceur »

Les indices dont il dispose sont minces, le dossier Pichon tout autant. Mais partout où le mène son enquête avec l’aide de sa Miss Penny qui n’est pas sans rappeler la Miss Moneypenny des James Bond, sur les lieux où la morte a vécu, aux Archives de Paris etc il fait des rencontres qui valent d’être rapportées. Ainsi, le couple de gardiens de la rue Championnet est inénarrable. Elle, Bichette, qui, lorsqu’elle parle agite les mains « comme deux écrevisses ébouillantées » et, à l’évocation du plus célèbre des copropriétaires de l’immeuble outre l’un des Frères Jacques, l’acteur Piéral, ajoute : « Vous savez ce qu’on dit des nains, hein… Qu’ils sont pas petits de partout, si vous voyez ce que je veux dire ». Sans oublier les visites aux graphologue, morphopsychologue, astrologue, voyante etc, en tirant un fil il constitue à chaque fois une pelote en prince de de la digression, se royaumant dans l’excursus, s’étourdissant dans la parenthèse, se lovant dans la déviation, sans en faire des procédés rhétoriques.

Chaque fois qu’il conclut un bouquet de pages par le leitmotiv « Mais je m’égare », on a passé un moment jouissif (on peut parfois sauter quelques pages qui s’annoncent comme des éphémérides ou des listes généalogiques). Et malgré les innombrables paperolles et allongeails qu’il inclut dans son récit (« le récit (est-ce un récit ?)… » se demande-t-il en passant, pas bien sûr du statut incertain de son roman), on le suit avec la même intensité que si l’on regardait la série 24heures chrono pour la première fois. Car on veut savoir, on brûle de découvrir la vérité, comme si cela importait vraiment tout en étant intimement convaincu qu’au fond, le destin de Marcelle Pichon nous indiffère. Le mystère qu’il cherche à élucider, ce n’est pas tant celui d’un suicide, il y en a tant, que celui d’une agonie programmée dans le but d’en tenir le Journal. Une mort volontaire qui choisit de dilater le temps et qui s’étire, ce qui lui confère une dimension sensuelle. Le contraire d’un coup de feu dans la tempe.

Le détective en lui fait évidemment penser aux Sam Spade et Philippe Marlowe qui ont fait la fortune du pulp magazine Black Mask dans les années 20. Sauf qu’on n’est pas à Chicago ou Los Angeles mais à Paris. Il va jusqu’à dénicher une thèse de doctorat sur « Les écritures de la faim » qui nous apprend beaucoup de choses même si elle ignore Marcelle Pichon.

A l’époque, la presse avait largement relaté le mystère Pichon mais qui s’en souvient, qui cela a troublé au point d’y consacrer plusieurs années d’enquête ? Un détail que notre homme ignore car il n’en parle pas : à l’époque de la découverte du cadavre de Marcelle Pichon, le roi du fait divers parisien à France-Soir s’appelait Lucien Pichon. C’est son excellent et jeune confrère Jean-Michel Brigouleix, dont l’auteur loue la rigueur, qui fut chargé de couvrir l’affaire, Pichon étant en vacances. Mais surtout n’en dites rien à Bouillier, il serait capable de rajouter dix pages sur cette coïncidence qui, n’est-ce pas, n’est certainement pas dû au hasard. Le fait est qu’il ne cesse de se relancer quand on croit y être enfin : « Et si Marcelle n’était pas la fille de son père ? ». Effectivement, bonne question, et c’est reparti pour vingt pages sans que jamais il ne tire à la ligne. En chemin, on aura droit à des développements sur ses rapports avec son propre père (lequel le fit naitre en 1960 à Tizi-Ouzou en Kabylie pendant son service militaire avant de le ramener à Paris au bout de trois semaines -et si ce n’était pas vraiment son père, hein ?), l’abstinence sexuelle, le fait que FranceCul ne s’adresse plus aux marginaux et autres Enfants du paradis de la culture, la naissance de la mutualité chez les mannequins, la grève de la faim de Bobby Sands sous la férule intraitable de Mrs Thatcher etc Les jeunes y trouveront même un écho de l’époque déconnante des radios libres (« Carbone 14, la radio qui vous encule par les oreilles »).

    Car si tout film est une cinémathèque et tout livre, une bibliothèque, Le Cœur ne cède pas est les deux à la fois. Ses nombreux détails historiques peuvent paraitre extravagants mais ne le sont plus si, en cas de doute, on se donne la peine de vérifier. Ainsi les conditions d’hygiène au Vel d’hiv quand y étaient parqués les Juifs de la grande rafle de juillet 1942 : six toilettes pour 13 000 personnes. Il place une citation en épigraphe de chacun des 99 chapitres. Parfois de grands auteurs un peu à côté de la plaque (« Teuf-teuf » comme l’écrit Enid Blyton dans un Club des cinq), parfois des personnalités (Michel Piccoli), parfois lui-même tiré du livre que l’on a entre les mains. L’effet est tordant. Gardons-nous d’en donner trop d’exemples en isolant des phrases car il n’y a rien tel pour tuer l’effet comique. Certaines citations provoquent le doute. Lit-on vraiment dans les Essais cette phrase exquise de Montaigne : « Il en est sur qui les belles robes pleurent » ? Mais oui in III, VI. Il redécouvre pour notre édification que sans son assistante Harper Lee qui deviendra l’auteure multicélébrée de Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, Truman Capote n’aurait pu écrire De sang-froid tel qu’il l’a écrit car c’est elle qui  a soutiré d’innombrables informations aux habitants de Holcomb.

Autrement dit : bien qu’il ne soit ni historien ni universitaire, n’allez pas le chercher sur ce terrain-là, car son enquête, c’est du lourd. A l’évocation du violent Anouar, l’un des maris de Marcelle Pichon, il raconte qu’il lui filait des torgnoles pour son bien et parce qu’elle devait aimer ça (avec injures en caractères arabes dans le texte s’il vous plait, on ne se refuse rien chez Flammarion). D’ailleurs, un seul mot (en 900 pages !) m’a renvoyé au dictionnaire : « contraptonyme » -et de toute façon, le contexte du paragraphe l’explique. On s’en voudrait de le déranger dans son écriture, même s’il nous tape sur l’épaule de temps en temps pour nous demander notre avis, tant il est tout au plaisir de laisser filer son imagination. En divaguant en digressant, pourrait-on dire parodiant un titre de Gracq.

Autant de prétextes pour en revenir d’une manière ou d’une autre à ce qui l’intéresse : la vie, la mort et la littérature. Et c’est peu dire qu’elle est ici partout, en creux et en majesté. Si, comme le croit Bouillier, « le sujet d’un livre, c’est toujours la littérature », convenons qu’elle l’est chez quelques uns plus encore que chez beaucoup d’autres. Lui écrit avec ses tripes (maison Bouillier, authentique littérature à l’estomac !) et surtout « avec mon cœur, tant qu’il ne céderait pas ». Qu’on ne s’y trompe pas : si Grégoire Bouillier est partout dans ce livre, et comment en serait-il autrement, ce n’est en rien nombriliste. Et qu’on ne nous parle pas de cette fumisterie de l’autofiction ! Rien à voir. Si l’on cherche un modèle et une inspiration, il faudrait plutôt aller voir du côté de L’Âge d’homme, le grand récit de soi de Michel Leiris. Il n’est pas cité dans Le Cœur ne cède pas contrairement à Philippe Jaennada qu’il remercie, et auquel d’aucuns le rapprocheront en raison de l’obésité de la chose littéraire par facilité ou par paresse alors que le son que dégagent leurs livres est très différent, au Modiano de Dora Bruder pour l’obstination de l’enquêteur, à Dominique Manotti pour ses polars, au Corbin du Monde retrouvé de Louis-François Pinagot : sur les traces d’un inconnu (1798-1876), et surtout à Kafka qui irrigue souterrainement tout son roman. Tous les Kafka, le romancier, le nouvelliste, le diariste, l’épistolier et surtout celui de La Métamorphose.

C’est un petit miracle qu’un livre aussi lourd à porter dès qu’on l’ouvre soit aussi léger à lire. L’idéal : une écritoire ou un plateau de petit-déjeuner. C’est un livre sur la littérature aussi vrai que les natures mortes de Cézanne ne représentent pas des pommes mais une certaine idée de la peinture. Difficile à croire mais Le Coeur ne cède pas est un roman des plus passionnants parmi ceux de la rentrée (en librairie à la fin de la semaine), et des plus addictifs, son originalité et sa drôlerie n’y étant pas étrangers. Celui d’un auteur qui ne vit que pour la littérature à défaut de ne vivre que par elle. Son livre est aussi une réflexion sur ses pouvoirs et ses limites. Le secret de sa réussite ? D’abord et avant tout la fantastique imagination du romancier qui ne se refuse rien (« La fiction gagne en liberté ce qu’elle perd en vérité »), ose tout y compris le plus loufoque (« C’est Grégoire Bouillier qui va être content ») sans que ce ne soit jamais potache ou bas de plafond, sans négliger le plus invraisemblable, obsédé par les coïncidences significatives au motif qu’il n’y a pas de hasard. Et puis il y a ce qu’il faut bien appeler son humour à base de litote bien tempérée et d’autodérision, un ton perpétuellement décalé, qui je l’avoue, m’a fait sourire sinon rire quand il ne m’a pas arraché des éclats de rire, ce qui, dans une vie de lecteur, est rarissime. Cela n’empêche en rien la gravité, la profondeur et les questions existentielles : que faire d’un tel sentiment lorsqu’on se sent coupable du mal qu’on vous a fait ? Au vrai, peu de lecteurs se doutent de ce que fait un livre à celui qui l’a écrit. Comme Beckett l’écrit dans L’Innommable et comme Bouillier s’en souvient dans une épigraphe :

« Si je m’occupais un peu de moi, pour changer »

On commence à s’intéresser à une chose quand elle est perdue… Il a écrit ça au tout début dans une citation sans imaginer que c’était la clef de son souvenir écran, du traumatisme refoulé. Le cœur qui ne cède pas, c’est celui de cette chose-là inconnue en nous, en lui, sa part maudite, et n’allez pas croire que je vais vous la révéler.

Enfin, bref.

(« Mur de l’auteur pendant son enquête » photo .D.R. : « Dovima, mannequin de Jacques Fath dans les années 50 » photo Henry Clarke pour Vogue)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 209 Réponses pour La bonne surprise de la rentrée : un monstre de 900 pages !

rose dit: à

renato dit: à
L’ami qui m’a parlé de ce jeûne le fait comme j’ai dit, D.
Pour ma part : petit-déjeuner, dix-heures, un petit repas à midi, goûter, dîner et parfois (après théâtre ou autres occasions) souper léger. Nonobstant 68 kg pour 1 mètre 80 cm.

Est-ce que vous imaginez que nous allons vous croire ?

bouguereau dit: à

thé dans sucre : interdit dans le jeune intermittent. Café sans sucre aussi. Eau seulement

et à sec dédé..vazline fèrebotène

rose dit: à

renato dit: à
L’ami qui m’a parlé de ce jeûne le fait comme j’ai dit, D.
Pour ma part : petit-déjeuner, dix-heures, un petit repas à midi, goûter, dîner et parfois (après théâtre ou autres occasions) souper léger. Nonobstant 68 kg pour 1 mètre 80 cm.

Et, allons-nous vous croire ?

bouguereau dit: à

Est-ce que vous imaginez que nous allons vous croire ?

c’est un homme de grosse kultur rosy

bouguereau dit: à

La littérature mène à tout

baroz rate sa rentrée

et alii dit: à

synagogue?
ceux qu’on appelle les juifs de kippour font généralement le jeune de kippour

bouguereau dit: à

Il s’est mis en retrait de l’humanité. Survit à la marge, devant des écrans

ma mouse jiggler te réponds fastochment térezoune

renato dit: à

Libre à vous de croire ce que bon vous semble, rose, j’ai au moins une rdlienne témoin…

Cela dit, c’est une question de quantité et de qualité; et d’énergie brulée aussi.

bouguereau dit: à

le pastafarisme a renfield est a larrabiata

bouguereau dit: à

Libre à vous de croire ce que bon vous semble, rose

t’as dla veine..en gros ça a des bons coté d’être une faible femme qu’il veut tsignifier lrénateau..ça mplairait pas..surtout dans les couloirs

et alii dit: à

Le jeûne du Yom Kippour commence la veille du 10 Tichri, dure 25 heures et est obligatoire pour tous les hommes de plus de 13 ans et toutes femmes de plus de 12 ans, si leur santé le permet.

Durant ce jeûne, les Juifs doivent s’abstenir de nourriture, de boissons et de relations sexuelles. Il est interdit de porter des chaussures de cuir, d’utiliser des cosmétiques ou des lotions et de laver n’importe quelle partie de leur corps (sauf les yeux et les mains). Le jeûne se termine dès l’apparition des étoiles ou à la sonnerie du chofar.

renato dit: à

On a tout interet à être empechés par une santée chansellante…

et alii dit: à

Fête dite « de la Torah », Yom Kippour commémore un événement de la Bible, le « Pardon de Dieu » au peuple juif (voir ici). Comme Roch Hachana, Yom Kippour est par ailleurs une fête austère. Avec Roch Hachana, Yom Kippour est rien moins que la fête la plus importante du calendrier hébraïque. L’événement a lieu tous les ans, à partir du 10e jour du mois Tichri (septembre ou octobre, selon les années), dès que le soleil se couche. La célébration ne donne pas lieu à un jour férié, mais chômé. Yom Kippour se déroule dix jours après Roch Hachana, communément appelée « Shana tova », le nouvel an juif. C’est à la tombée de la nuit, le lendemain, que se termine cette fête. Concernant la date et les horaires, ils changent tous les ans, selon la zone géographique. Il suffit de se renseigner auprès de la synagogue rattachée à son domicile pour les connaître

Paul Edel dit: à

Damien, oui, j’ai connu Jean-Claude Idée pendant plus de 35 ans. C’était l’intime parmi les intimes. Il a monté mes pièces au théâtre au Rideau de Bruxelles, au Résidence palace, au Festival de Spa, et au théâtre Royal de Belgique. La fidélité faite homme. Pour un romancier, comme sans doute beaucoup de monde, l’univers du théâtre, avec ses coursives, ses coulisses, ses bureaux, ses loges, ses cintres, la grande salle et les rangées de fauteuils dans la pénombre pendant les répétitions, tout ceci m’est apparu comme la boite magique. Bergman a tout dit dans son film « Après la répétition ». Les théâtres sont des lieux habités par des fantômes, avant que nous en devenions nous-mêmes..
Jean-Claude idée m’associait à ses répétitions, depuis la lecture à la table avec les comédiens jusqu’aux réglages des lumières, ou le choix des décors et costumes… Je me souviens être entré dans le théâtre royal de Belgique un soir d’hiver, sous la neige,dans les années 90, vers cinq heures du soir, errant dans ce grand bâtiment vide avec les craquements du vent, et ses pénombres, et d’avoir suivi le travail avec les de Jean Claude, réglant les sources de lumière fasciné de voir une scène passer du plein été à l’automne; nous étions sortis lui et moi, vers une heure du matin, et comme souvent, nous avions retrouvé quelques membres de l’équipe dans un petit restaurant caché dans une ruelle, et qui restait ouvert une partie de la nuit. De quoi parlions nous ? de Strindberg, de Botho Strauss, d’Harold Pinter, de Tchekhov, nos passions communes.

Bloom dit: à

Précieux arpèges, Langoncet. Merci.
Perso, je suis la partie/partition Dylan, telle que confirmée par le concert de juin 1981 à Colombes, harmonica itou – Quite a jam last Saturday, by the way!

Marie Sasseur dit: à

Et Alien, un oubli, puisque le sujet vous intéresse: le jeûne le plus strict de la religion orthodoxe est celui de la Dormition de la Vierge.

et alii dit: à

A noter, Yannick Haenel est l’invité fil rouge des Rencontres de Chaminadour (15-17 septembre 2022, Guéret). Pour leur 17e édition, celles-ci rendront hommage à Georges Bataille et à Michel Leiris.

D. dit: à

Vous n’êtes pas assez gros, renato. Votre IMC est acceptable mais sans plus.

D. dit: à

Je reviens d’une promenade dans Paris.
C’est incroyable le nombre de barbus que j’ai pu croiser. Faut-il être bête pour porter la barbe sans motif par temps chaud.

MC dit: à

Je ne comprends pas la nécessité de recracher perpetuellement avec force pâmeriez ces extraits du blog à la memoire de Marcelle P. C’est pour faire bonne élève? Montrer que vous l’avez lu ? Penser que vous êtes la seule à l’avoir fait? Enfin…

Marie Sasseur dit: à

@tous
des nouvelles de petitix ?
Faut vous mobiliser, elle est peut-être en train de jeûner, comme Marcelle Pichon.

Marie Sasseur dit: à

Marcelle Pichon aussi a fait du théâtre enfin, elle a été inspiratrice .
Tu parles d’une idée à la con.

« Émue elle aussi par l’histoire de Marcelle Pichon qu’elle apprit par les médias, la comédienne et dramaturge Béatrice Audry écrivit une pièce de théâtre en deux actes intitulée Vous avez dit Marcelle Pichon ? Cette pièce fut éditée dans la revue Répertoire Théâtral n° 30, en mai 1987, après qu’une lecture publique en fut donnée à Metz dès le mois d’octobre 1986. »

https://lecoeurnecedepas.fr/?p=68

Janssen J-J dit: à

comdab, bécassinette décompte le nb de posts directement dédiés au papier de PL pour pouvoir en dresser son bilan : à 97% je suis la seule à lui avoir tenu compagnie, vu que je ne parle que du billet de Bouillier et de marcelle pichon, à la différence du reste qui…
Finira bin par se persuader qu’elle sera la seule à avoir fait sa BA pour augmenter PA… En réalité, elle lit rin, ne rapporte que des ragots prétendument originaux, glanés icitela sur la google…

Me fait penser à ce passage d’un (cyber)flic du thriller de FT (LUCA) qui conclut : – « si tu cherches à cacher un cadavre, alors cache le en page 2 des résultats d’une requête google : – C’est quoi, ce baratin ? – Que c’est bien une entreprise qui décide de la façon dont nous voyons le monde, elle sait que nous regardons seulement les premières lignes des résultats de recherche (…) On nous montre que ce qu’on veut bien nous montrer. Et si on n’a pas la curiosité d’aller fouiner plus loin, on est prisonnier du système »…

Veulent se faire croire, bécassine et mocassins qu’à la page 4, on ira pas voir voir d’où viennent leurs propres turpitudes ? Sinon, pour penser qq chose par elles-mêmes, vatferfou’t, hormis leurs insultes tjs à côté quand elles sont prises à leur propre piège, etc.
Toujours du recrachat, catherine, on va bintôt avoir droit au V13 de Carrère (POL), ses comptes rendus d’audiences de neuf mois, feuilletés chez Leclerc ou chez l’OBS… qu’on les connaît déjà, hein ?..

Marie Sasseur dit: à

Et il y a aussi une chanson inspirée par Marcelle Pichon !
 » la complainte des mutantes « , quel à propos.

C’est un vrai Marcellethon. Avec plein de produits dérivés, dites-moi.

Ils devraient en faire une marque pour régimes amincissants,  » comme j’aime Marcelle Pichon », après tous ces mois covid à faire du poids, comme ce bouquin obèse.

Marie Sasseur dit: à

Je redonne le lien sur le site de la fameuse agence Bmore, qui a enquêté sur l’affaire, car le lien donné sans le billet est toujours foireux ce 29/08, à 22h40

https://lecoeurnecedepas.fr/

Il y en a qui ne l’ont peut-être pas encore ouvert.
Ce serait dommage, car il reste plein de pastilles à explorer, qui peuvent intéresser, comme la famille Fath collabo, le mystérieux monsieur Paul, etc.

Jean Langoncet dit: à

Nota : l’album (double) Blonde on Blonde est-il à la hauteur des promesses de ce titre ? Ou l’inverse ?

Jean Langoncet dit: à

bécassine, le monstre annoncé n’est toujours pas palpable en librairie, et on peut encore s’affranchir du parcours initiatique « proposé » par son éditeur pour le découvrir, que je sache

Marie Sasseur dit: à

Pauvre Passou, vous vous coltiner une bande de d’abrutis et de vieux cons qui ne savent pas lire, que ça fait de la peine.

Marie Sasseur dit: à

Vous vous coltinez, et c’est rien de le constater.

Marie Sasseur dit: à

Il y a même Ph. Jaenada qui a bossé pour l’agence Bmore . Une révélation, lol.

Bonne suite !

D. dit: à

Durant la saison hivernale à venir, il fera 19° partout dans le Palais de l’Elysée, de jour comme de nuit.
Emmanuel et Brigitte arboreront leur collection de pulls à col roulés.

vedo dit: à

Houellebecq dans le Figaro. A première lecture, ce n’est pas hors-sujet.

Jean Langoncet dit: à

@Houellebecq dans le Figaro. A première lecture, ce n’est pas hors-sujet.

Du rapport au sujet de basses ondes. Carbonne 14, la radio [du billet] qui vous encule par les deux oreilles ? Les radios « pirates » qui l’ont précédées, elle et les « radios libres », par même voie ? Radio Londres … ?

Jean Langoncet dit: à

(c’est la bonne écharpe)

Jean Langoncet dit: à

@De quoi parlions nous ? de Strindberg, de Botho Strauss, d’Harold Pinter, de Tchekhov, nos passions communes.

Les imaginer à 22 ans en 1965, cheveux courts et la raie sur côté, pourquoi pas ? Mais de quel côté la raie ?

rose dit: à

À tous les petits piou piou, bonne rentrée scolaire.
Lu à Cahors, dans le Lot :

« Mme De Borggraef à Olivier Bataillé : « Parce que je pense que vous avez su accomplir avec droiture, intelligence, curiosité, ouverture au monde, ouverture aux autres et courage, le métier que vous avez choisi, je citerai Jean Jaurès et son discours à la jeunesse, prononcé à la remise des prix du lycée d’Albi en 1903 (ce discours fameux où il dit que le courage, c’est d’aller à l’idéal et de comprendre le réel) :
« […] Le courage, c’est de ne pas livrer sa volonté au hasard des impressions et des forces ; c’est de garder dans les lassitudes inévitables l’habitude du travail et de l’action. Le courage dans le désordre infini de la vie qui nous sollicite de toutes parts, c’est de choisir un métier et de le bien faire, quel qu’il soit : c’est de ne pas se rebuter du détail minutieux ou monotone ; c’est de devenir, autant qu’on le peut, un technicien accompli ; c’est d’accepter et de comprendre cette loi de la spécialisation du travail qui est la condition de l’action utile, et cependant de ménager à son regard, à son esprit, quelques échappées vers le vaste monde et des perspectives plus étendues. Le courage, c’est d’être tout ensemble et quel que soit le métier, un praticien et un philosophe. Le courage, c’est de comprendre sa propre vie, de la préciser, de l’approfondir, de l’établir et de la coordonner cependant à la vie générale. […] Le courage, c’est d’accepter les conditions nouvelles que la vie fait à la science et à l’art, d’accueillir, d’explorer la complexité presque infinie des faits et des détails, et cependant d’éclairer cette réalité énorme et confuse par des idées générales, de l’organiser et de la soulever par la beauté sacrée des formes et des rythmes. […] ». Voilà ce que nous dit Jaurès et je pense qu’il n’y a pas plus belle conception de ce que, tout un chacun, nous devrions être… Ainsi que nous y invite Jaurès, vous avez su allier la technicité du juriste et l’ouverture aux choses humaines. » »

rose dit: à

Quel est ce hasard qui l’a rebranché sur ce souvenir ancien ?
Il s’est passé 37 ans entre temps.

« Or, en 2018, le hasard le met sur la piste de cette femme. »

Marie Sasseur dit: à

30/08, 7h52

@Quel est ce hasard qui l’a rebranché sur ce souvenir ancien ?

S’il y en a un qui n’est pas avare de détails sur l’imbrication des événements qui l’ont conduit à reprendre du clavier, alors que cet écrivain était vidé et lessivé de son livre précédent, témoignant d’une sorte de dépression post-partum, c’est bien G. Bouillier.

Tout a commencé par l’ennui…
Il n’y a de hasard, que des rendez-vous.

https://flipbook.cantook.net/?d=%2F%2Fwww.edenlivres.fr%2Fflipbook%2Fpublications%2F753126.js&oid=6&c=&m=&l=&r=&f=pdf

Marie Sasseur dit: à

Auteur en quête de sujet… pour continuer de vivre par et pour la littérature.

Le hasard fait que dans cette veine de l’auteur comme dépossédé de son livre précédent qui, soit le désespère , soit le rend triste, soit le laisse abandonné, vidé, une fois les feux de la rampe médiatique éteints, et qui l’expliquent très bien, il y a G. Bouillier et puis simultanément en librairie, M. Sabolo.

M. Sabolo qui mène aussi l’enquête, une enquête personnelle aussi, adossée à une enquête plus spectaculaire sur des faits qui defrayerent la chronique dans les années 70′.
C’est une réussite, un vrai cadeau pour les lecteurs. Une vraie bonne surprise.

Phil dit: à

La solitude du coureur de fond finit mal, que cherche Sasseur. Vu passer un « famille Fath collabo », ça manquait au tableau du mannequin asticoté.

Bloom dit: à

Et la solitude du fourreur de con, grand classique des anglicistes (avec Sister Carrie, l’épopée d’un dentiste fou), vous en faites quoi au juste, dear Phil?

Marie Sasseur dit: à

30/08, 9h45

« Autrement dit : bien qu’il ne soit ni historien ni universitaire, n’allez pas le chercher sur ce terrain-là, car son enquête, c’est du lourd. »

On peut carrément dire, du pesant, Passou.
En revanche, on irait bien le chercher là où il a fait ses armes, pour monter un tel wall of evidences. Remarquable.
20 ans de journalisme, dans un journal scientifique, ça marque les esprits…
Lequel, au fait ?

Marie Sasseur dit: à

Tenez bon, surtout Passou. Cela devient de plus en plus risqué de commenter sur votre blog. Le moindre est de se faire taguer par des gros connards, ignards, en fin de vie.

Janssen J-J dit: à

C’est pas assez remboursé !…
https://www.sudouest.fr/justice/scandale-orpea-le-groupe-accepte-de-rembourser-a-l-etat-25-7-millions-d-euros-sur-55-8-reclames-12076427.ph
Pas d’accord pour que la Sécu paie les salaires de faux aides-soignants recrutés à tours de bras… Ou alors, qu’on leur donne une qualification fictive à faire valoir à l’avenir dans tous les établissements de soins, EHPAD comme Education nationale (…tels ces pseudo profs genre bécassines, sans diplôme ou récemment collés à l’oral qui feront alors office de diplômés d’Etat sous probation à perpétuité, vu la prétendue pénurie dans les grands lycées privés parisiens). Hurkh.
Bàv, et désolé pour le rappel du vomitorium matinal, cf. INFRA

« Pauvre Passou (sic), vous vous coltiner (sic) une bande de d’abrutis (sic) et de vieilles connes (sic) qui ne savent pas écrire (sic) »

Janssen J-J dit: à

… se faire Caguer par des grosses connasses, ignardes (sic) un must sur cette chaîne… Et Passoul englué par leurs conseils de bécasses merdeuses. Toujours à conchier l’herdélie d’un peu plus bas du cageot. Hein !

bouguereau dit: à

padepanique..meussieu courte contrôle la situation

bouguereau dit: à

« Déployer toute l’opacité de son mystère, clarifier les termes même de sa noirceur »

lassouline havait tout hanticipé

MC dit: à

« La famille Fath, collabo, » qu’elle famille de couturier ne l’a pas été, avé les grosses paluches de la CIA? Madame Grès, peut-être ? Marie Sasseur est pour les Guerres civiles réchauffées…On n’ose imaginer ce qu’elle eut donné sur le terrain des tribunaux et autres jurys dits populaires. MC

bouguereau dit: à

Une mort volontaire qui choisit de dilater le temps et qui s’étire, ce qui lui confère une dimension sensuelle. Le contraire d’un coup de feu dans la tempe..

le contraire « de dans la tempe » c’est « dlancul »..pas besoin d’être devineresse qu’elle dirait bonne clopine..

closer dit: à

« 125.000. C’est le nombre hors-norme de femmes excisées, infibulées ou cautérisées au niveau des parties génitales, vivant en France, d’après une estimation gouvernementale déjà vieille de dix ans. Elles n’étaient «que» 60.000 au début des années 2000. La statistique, passée du simple au double en une décennie, serait aujourd’hui largement dépassée . Sur le terrain, les acteurs en sont en tout cas persuadés.

À l’hôpital de la Conception, à Marseille, le docteur Cohen-Solal, gynécologue, s’occupe chaque semaine de «cinq à dix nouvelles femmes mutilées sexuellement». «C’est une vague qui ne s’arrête jamais depuis déjà quatre à cinq ans», détaille-t-elle auprès du Figaro. Même son de cloche pour la docteur Sylvie Abraham, chirurgienne spécialisée dans la reconstruction intime, située dans le 16e arrondissement de Paris: «Je vois de plus en plus de mutilées. Au départ, ces femmes ne consultent pas toujours pour ça, et ne savent même pas qu’elles ont été amputées…»

On entend pas beaucoup les féministes sur ce sujet qui peut paraître « légèrement » plus grave que l’écriture inclusive…

bouguereau dit: à

On n’ose imaginer ce qu’elle eut donné sur le terrain des tribunaux et autres jurys dits populaires. MC

meussieu courte politise le débat pour faire diversion..halors qu’y a que le cul qui m’hinteresse..mais à moi on la fait pas qu’elle dit térezoune

Marie Sasseur dit: à

Il fallait bien que le vieux keuf immonde confirme mon propos, à propos de ces vieux pathétiques , en fin de vie, qui s’excitent sur un pseudo.

___________

Ca y est, j’ai trouvé… logique !

Spécialement pour les soudards immondes de ce blog, ptdr :

« Est-il vrai qu’il existe des neurones de la sobriété ?

PUBLIÉ LE 29 OCT 2018 À 06H00  MODIFIÉ LE 29 OCTOBRE 2018  PAR EMILIE RAUSCHER ET GRÉGOIRE BOUILLIER »

https://www.science-et-vie.com/questions-reponses/est-il-vrai-quil-existe-des-neurones-de-la-sobriete-14174.html

lmd dit: à

On peut le faire façon Quintilien, «Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando». et cliquer sur toutes les têtes de punaise rouges. On peut lire les 90 pages accessibles (et si les 900 pages sont comme celles-ci la lecture ne sera pas si longue que ça).
On voit bien que ce n’est que la lecture du livre qui peut avoir un réel intérêt (mais, je me demande d’où sort ce nom OJABE ? c’est dans le livre ?).
Mais pourquoi alors avoir construit ce mur électronique ?

bouguereau dit: à

keupu haprés havoir beaucoup craché sur djizeus se dit qu’il est temps que mahomet fasse son contrepoids de ses molards par allah..sinon hon va dire qu’il est partial

Jazzi dit: à

« des gros connards, ignards, en fin de vie »

Depuis quand est-ce un crime que d’être en fin de vie !

« On n’ose imaginer ce qu’elle eut donné sur le terrain des tribunaux et autres jurys dits populaires »

Une tricotteuse en chef, l’ancêtre des kapos, MC !

et alii dit: à

existe aujourd’hui plus d’une vingtaine de robots-thérapeutes validés par des études scientifiques en psychiatrie. Plusieurs de ces travaux avancent que les patients pourraient développer de véritables relations thérapeutiques avec ces technologies, voire que certains d’entre eux se sentiraient même plus à l’aise avec un chatbot qu’avec un psychiatre humain.

Les ambitions sont donc grandes… D’autant que, contrairement à leurs homologues humains, ces « professionnels » numériques promettraient des décisions objectives, réplicables et dénuées de tout jugement – et d’être disponibles à toute heure.

Il faut cependant noter que, même si le nom de « robot-thérapeute » évoque l’image d’un robot physique, la plupart sont basés sur du texte, éventuellement des vidéos animées. En plus de cette absence de présence physique, importante pour la majorité des patients, beaucoup ne parviennent pas à reconnaître toutes les difficultés vécues par les personnes avec qui ils conversent. Comment, alors, fournir des réponses appropriées, comme l’orientation vers un service d’assistance dédié ?

Marie Sasseur dit: à

Manquait le prostitué du blogapassou, dans le défilé des vieux hideux, en décomposition. Ils sont au complet.

bouguereau dit: à

passe que ma térezoune ait les noeils plein dmerde et dasticots..mais pourvu qu’elle ait lcul prope qu’il dit meussieu courte

et alii dit: à

Mais pourquoi alors avoir construit ce mur électronique ?
pour aller dans le mur!
aller dans le mur:

Cette expression pourrait trouver son origine dans le domaine de la course automobile où les voitures vont parfois « dans le mur » lorsque le pilote en perd le contrôle. Elle signifie donc que l’on court à la catastrophe.
« 

et alii dit: à

barbe:
Sandrine Rousseau a raison, le barbecue reste un totem viril
libé

et alii dit: à

Politique sexuelle de la viande, une théorie critique féministe végane
Carol J ADAMS est une féministe universaliste américaine née en 1951. Végétalienne, elle étudie les similarités entre les oppressions de genre et d’espèces. Son principal ouvrage The sexual politics of meat publié en 1980 est régulièrement réédité. Elle vient en France en mai pour un cycle de conférences.

Amanda Lire dit: à

à etalii

Autour de la table de la Nupes, tout le monde est loin d’être d’accord. Mardi 30 août sur Europe 1, Fabien Roussel a réagi aux propos tenus par la députée écologiste Sandrine Rousseau. «Pour moi, on mange de la viande en fonction de ce que l’on a dans le porte-monnaie et pas de ce que l’on a dans sa culotte ou dans son slip»

Marie Sasseur dit: à

Grégoire Bouillier, rédacteur en chef adjoint à Sciences & Vie.

C’est sûr que c’est pas le  » genre » habituellement souligné sur la rdl. A tel point que cette information n’est pas donnée dans le billet. Alors qu’elle est,- pour moi en tout cas-, très importante, dans ma lecture et de tout ce que je retiendrai de mon approche de cette oeuvre,  » hors norme ».
Je n’ai pas perdu mon temps,j’ai appris des trucs ,et c’est ce que je privilegie.

Houellebecq dit que la fiction et le roman font partie des fonctions vitales; c’est ainsi qu’il est grand. Oui.

Passou n’est pas oublié , sa  » Marcelle Pichon », est un peu sa  » cliente « …

Ciaooo !

Amanda Lire dit: à

Disserter sur la longueur de la chipolata?
Sur le grill.
Vous chipotez!

poussière dit: à

Comme s’il ne saurait y avoir de bon prêche que dans un désert…

renato dit: à

Le barbecue est surtout cancérogène. Cela dit les minus classent le « viril » ou ils peuvent !

Damien dit: à

La conférence de Houellebecq, reprise dans mon « Figaro », est très marrante et tellement juste. J’ai le même rapport que lui aux livres. Je suis un fétichiste — des livres neufs (plus que des anciens), et des pieds de femmes. Comme Michel, et comme Truffaut. — Merci Paul Edel de votre témoignage sur Idée. — Intéressante interview du premier ministre polonais dans mon « Figaro », également, Mateusz Morawiecki. Il dit notamment ceci, sur le meurtre de la fille du militant d’extrême droite ultra-orthodoxe : « Je pense par ailleurs que l’attaque récente contre la fille d’Alexandre Douguine, un proche de Vladimir Poutine, est une provocation fomentée par les Russes. On sait de quoi la FSB et les Russes étaient capables pendant la guerre en Tchétchénie et combien d’opposants, mais aussi d’«amis» politiques du président Poutine ont été éliminés. J’estime donc que tous les scénarios doivent être pris en compte. » Toute l’interview est à lire, car les Polonais ont une réception plus réaliste que nous de ce qu’est la Russie de Poutine aujourd’hui, étant placée très proche géographiquement, et aussi pour les raisons historiques que nous connaissons. Il faut les écouter, ce que ne fait pas assez Macron. Mine de rien, nous sommes déjà dans un état de guerre, avec cette inflation et les restrictions qui vont venir. Morawiecki pronostique aussi une propagande russe en Occident, quelque chose de méchant. Cela va mal ! Et le Covid qui va revenir à l’automne. Je soutiens Macron, car c’est le moins pire. Imaginez la Mère Le Pen-Mère Ubu à sa place !!! Ou même Mélanchon ! La « cata », comme disait une infirmière que j’ai connue autrefois…

D. dit: à

Oui en effet il ne faut pas abuser du barbecue. Ni des charcuteries et des poissons fumés. Dangereux.
Et toujours les consommer avec beaucoup de légumes crus et cuits et si possible du byzourt avec beaucoup de gruits tougesau dessert.

Janssen J-J dit: à

1 – Si la bonne surprise de la rentrée 2022, c’est ça Passou, autant passer directement à celle de 2023.

2 – L’a même pas vu que le grégoire était journaliste à science et vie ! Heureusement que la keufette guettait les ratés de « notre hôte »… Auto proclamée meilleure enquêteuse, voilà que, « dans ma lecture et de tout ce que je retiendrai de mon approche de cette oeuvre » hors norme », je n’ai pas perdu mon temps, j’ai appris des trucs »… (culants)

Ciao, à bintôt… en rentrée 2023 ! et merci qui ?

et alii dit: à

meat 2 (TWO)
il y a longtemps que je ne veux plus manger de la viande

et alii dit: à

Le Code de l’Environnement défini par la Santé Publique, interdit formellement de se débarrasser des huiles usagées alimentaires en passant par le réseau d’évacuation des eaux ou des déchets. Choisissez un opérateur agréé , répondant aux obligations légales de la collecte au site de recyclage. Oleovia vous fournit un justificatif pour l’élimination et le recyclage de vos huiles.

et alii dit: à

«La littérature ne contribue nullement à l’augmentation des connaissances, pas davantage au progrès moral humain ; mais elle contribue de manière significative au bien-être humain, et cela d’une manière à laquelle ne peut prétendre aucun autre art», explique Michel Houellebecq. Michel Houellebecq
il n’est pas vrai que la littérature ne contribue pas à « l’augmentation des connaissances »;elle peut être au contraire une porte d’entrée en leur domaine!

Marie Sasseur dit: à

Cette technique de pourrissement qui consiste à recracher des morceaux de commentaires, est l’occupation favorite du vieux keuf immonde, qui n’est plus qu’une loque dont l’unique manifestation restera sous forme de fichiers informatiques, parfaitement inutiles, qui retourneront au neant ou y restent quand oncles zappe.

Mes commentaires complets sont lisibles sur ce fil de commentaires.
Je ne retire absolument RIEN de ce que j’ai pu écrire sur le sujet de ce billet.
Et je suis extrêmement fière de moi, pour la qualité de MES contributions. Je vais postuler pour Bmore Investigations, lorsque l’occasion se présentera, ce qui a une probabilité nulle de survenir, mais c’est du domaine du  » possible « .

Marie Sasseur dit: à

Quand on les zappe.

Jazzi dit: à

Qu’est-ce que le « bien être humain » sans connaissance et une certaine éthique ?
Science sans conscience…

Jazzi dit: à

« Et je suis extrêmement fière de moi, pour la qualité de MES contributions »

On a même vu des vaches admirer la grosseur de leurs bouses !

Janssen J-J dit: à

@ je suis extrêmement fière de moi
—-
nul n’en doute… hélas, et pourtant, se dit-elle aussi, j’aurais bien de quoi aller me cacher de honte à la relecture intégrale de mes commentaires sur chaque billet de la RDL.
Car ma « structure » argumentative sur plusieurs jours en est toujours identique et facilement décodab’…
Hormis le complexe maladif de vouloir apparaître comme la première de la classe (cherchant à me mesurer publiquement à « l’amateurisme » d’un Passoul souvent des plus approximatifs), je peux me la résumer ainsi, du premier au septième saut,
1- je ne sais pas de quoi ni de qui parle Passou,
2- a priori, ça ne me tente pas, mais je vais aller voir ses liens, sait-on jamais si je pourrais pas dégotter qq chose de plus intéressant que ce qu’il raconte de cette connasse de marcelle pichon ?
3 – au fur et à mesure qu’arrivent d’autres précisions des erdéliens, j’enclenche mes surenchères anecdotiques en prenant soin de disqualifier tous ceux qui arrivent en retard… Je commence à me faire une petite religion en discutant des points de détails apparemment anodins et en en apportant d’autres, glanés partout, j’induis l’idée qu’ils sont bien plus significatifs que ceux des autres
4 – puis, je commence à me passionner par « l’affaire » dans son ensemble, et crois pouvoir trancher avec de plus en plus d’autorité désormais entre l’insignifiant ou l’accessoire de Passoul par rapport au fondamental de l’auteur (qui m’était inconnu mais dont je connais désormais la biog, la trajectoire et le projet mieux que quiconque).
5 – Cette tactique étant éprouvée, dès que je me vois mettre en difficulté et contradictions sur le terrain qui est désormais mien, j’attaque tous azimuths les internautes habituels qui viennent me « chipoter » (bref, chier dans les bottes). Avec une violence telle qu’aveuglés par leur machisme à deux balles, ils vont riposter sur le terrain des invectives ou je les ai amenés pour m’oublier, non sans me faire habilement passer pour la « victim precipitated » de leurs harcèlements continuels
6 – une fois qu’ils ont été calmés, je reviens tout doux à mes moutons, sûre de triompher sur le sujet… Et puisque j’ai décidé de mettre le point final au SUJET, je peux remercier Passou de m’avoir rendue, grande dame, encore plus intelligente et cultivée que je ne l’étais, à notre insu… Et peux toujours lui voler « gentiment » dans les plumes, conformément à mon personnage de « jeune » féministe intransigeante. Il n’oserait jamais me virer, bien obligé de me tolérer…
7 – Ergo, je suis si fière de moi…, face à toute cette bande de vieux connards minables, pourris, aigris, miso, incultes et pervers… qui osent venir extraire mes fragments discontinus hors de leur contexte pour me rabaisser, alors que je suis la seule grande prêtresse convenable et légitime de la RDL. Ils ne feront jamais le poids… Qu’ils.elles crèvent tous en choeur !

C’est cela ké-massoeur, voui, marie … Eh bé… ! Qui voudrait coucher avec ça ?

Marie Sasseur dit: à

Je précise, pour ceux qui ne l’ont déjà pas lu dans l’un ou l’autre de mes commentaires en réaction a ces harcèlements bestiaux,que cette bande de  » vieux connards  » asociaux et débiles, est un phénomène marginal, pas du tout représentative de la gente masculine que je m’honore de fréquenter au quotidien. Et croyez moi, j’ai des arguments…

et alii dit: à

faim
une grande pierre plate gravée de cette date a refait surface au défilé d’Entreroches, une gorge du Doubs, alors que la rivière atteint un niveau similaire à l’été 1906, rapporte France 3 Franche-Comté.

Ce n’est pas a proprement dit une « pierre de la faim », comme celles découvertes cet été sur les bords de l’Elbe, en République tchèque, sur lesquelles des inscriptions alertaient avec des messages explicites : « Si vous me voyez, alors pleurez ! » Ici, aucun message prophétique, mais l’apparition de cette pierre sonne tout de même l’alerte.
https://www.huffingtonpost.fr/environnement/article/secheresse-une-pierre-de-la-faim-reapparait-en-france_207101.html?xtor=EPR-5689964-%5Bdaily%5D-20220830

et alii dit: à

Une pierre de la faim, de l’allemand Hungerstein, est une grosse pierre gravée située dans le lit d’un cours d’eau, qui n’est visible que lorsque le niveau de l’eau est très faible.
Une partie de ces monuments serait liée à la famine de 1816-1817 provoquée par l’éruption du Tambora en 18153.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_de_la_faim

et alii dit: à

AVERTISSEMENT gravé sur la pierre:
Sur sa rive droite, à Tuchlovice, une petite commune de République tchèque, une « pierre de la faim » porte cette inscription : « Nous avons pleuré, nous pleurons et vous pleurerez ».

Patrice Charoulet dit: à

Néologismes

Dans une longue liste de néologismes, je relève notamment :

Aimeuse (Colette) : Amoureuse
Allélouyer (Julien Green) : Entonner des alléluias
Cambronnade (Apollinaire) : Fait de dire « M… ! »
Chauvisant (Aragon) : Devenant un peu chauve
Députodrome (Queneau) : Assemblée nationale
S’ensuisser (Yourcenar) : Se laisser gagner par la sérénité helvétique
Eviré (Dominique Fernandez) : Eunuque
Immondain (Joseph Delteil) : Mondain immonde
Joconder (Henri Troyat) : Sourire avec un air de Joconde
Nostalgérie (Montherlant) : Nostalgie des anciens Français d’Algérie
Touchatouisme (Cocteau) : Fait d’être un touche-à-tout

Amanda Lire dit: à

Patrice C., vous pourriez ajouter chipolater : chipoter et se trouver chocolat devant le barbecue, cela me vient brusquement à l’esprit.

Phil dit: à

qu’elle famille de couturier ne l’a pas été

Certes dear mr Court mais ce M. Bouillier peut-il faire notre Bonheur comme Morand ? Pas sûr, vu le pedigree scientisteetvie décliné par la soldate sasseur tout juste condamnée à la pendaison par le juge jjj. Qui sait, peut-être quelques inédits sur le créateur Jacques Fath parmi ces mille pages ? Le reste, la faim et fin aux asticots, relève de la haute confiture.
Nombreuses villes ont leur pierre de la faim, dear etali. Wikipedia, source pour boutonneux, oublie celle du Danube à Budapest qui s’appelle pierre de la pénurie.

Marie Sasseur dit: à

Mandez donc au valet de ferme avec son cap de jean foutre de vous causer haute couture sous la botte.

On attend.

Marie Sasseur dit: à

Je n’ai pas l’habitude de donner des ordres aux laquais, verbe transitif: mandez donc le valet pour vous causer garde-robe.

Phil dit: à

Miss sasseur, la voix fécale du prestigieux blog à passou, indécrottable indeed.

Marie Sasseur dit: à

Le valet de ferme réduit à des invectives scatologiques, comme ses » modèles « , rien de neuf, indeed.

bouguereau dit: à

..par toutes les portes de l’enphère tout est à l’henvers chez térezoune..même quand elle tchiao c’est bonjour

bouguereau dit: à

celle du Danube à Budapest qui s’appelle pierre de la pénurie

entre la danse devant le buffet et mon cul sur la commode y’a une différance qu’il dirait serdgio c’est certain

bouguereau dit: à

la gente masculine que je m’honore de fréquenter au quotidien

et si térezoune voulait signifier à meussieu courte qu’elle est battue..qu’elle attend de lui un signalement aux bourres.. »monsieur lagent même la pire des roulures ne mérite pas tant de gnons! »

J J-J dit: à

OBJETS SALES
« Comprendre » la saleté (physique et morale), c’est aussi à quoi le cnrs s’essaie icite aussi, parfois. Qui diab’ y résisterait ?
https://laviedesidees.fr/Sale-punk.html
Bàv,
***Précisons qu’il n’y a que très peu de malpropres parmi mes nombreuses amies gouines, à qui il ne viendrait pas à l’idée de s’indécrotter à cette chaine en portant la littérature à l’acmé de son ordure journalière.
Despentes V. ?… Voilà une sainte à côté de ça !…

bouguereau dit: à

c’est aussi à quoi le cnrs s’essaie icite aussi

le keupon était sale comme garantie de ne pas être récupérable comme il le reprochait amérment aux hyppiz..si la sociologie c’est du tri dans les poubelle..meussieu courte va la kiffer

bouguereau dit: à

la gent masculine.
Ne faites plus la faute

bois tes eaux de lavment dans l’hintimité térezoune..

Marie Sasseur dit: à

Pour les nouveaux et l’édification des foules: bougreau, janssen, jj : unique et même « fichier » source.

Clopine dit: à

Lu le Despentes (il n’y a pas son prénom sur la couverture, comme si elle aussi revendiquait la neutralité sexuelle de l’écriture ou de l’oeuvre d’art).J’ai très rapidement eu un problème : parce qu’à mon sens, l’intérêt littéraire d’un roman épistolaire vient de l’exercice de style fort difficile qui consiste à donner une voix particulière à chacun des correspondant. Voix qui s’entendent dans leurs écritures. Or,ici, rien de tel. Les trois correspondants ont tous la même voix, qui en plus est définitivement celle de Despentes elle même. Bon, sinon je n’ai capté qu’un dixième, allons un vingtième, des références musicales employées, mais ça c’est plutôt bon signe, puisque cela peut déboucher sur de la curiosité.

Janssen J-J dit: à

@ On a même vu des bouses admirer la grosseur de leurs vaches !

-> mdr avec jzmn, de retour en fanfare. Bàv !

@ unique et même « fichier » source JJJ-JMB ///
… juste ce qu’ils lisent attentivement au fil du commentarium, et la logique du traçage des liens suggérés par SM l’imposture. Aucune ou très peu d’extrpolations de leurs parts… Uniquement de l’analyse documentée serrée à la source du « fichier sasseur » et de ses multiples pseudos et rolls associés de l’rdl…,
Voui, ces 2 là font une thèse inédite de psychiatrie augmentée à partir du K. clinik de la transhumaniste dite « térézoune ».
S’apprêtent d’ailleurs à en livrer bientôt les bonnes feuilles en ligne sur un site dédié, uniquement communiqué à PA.

Bàv aux nouvelles foules édifiées !

Janssen J-J dit: à

@ or, ce n’est pas vraiment un « roman épistolaire », à mon sens.

(auteure) « Disons que c’est une écriture semi intime. Dès que j’au pensé à un échange de lettres, ça m’a libérée de l’action. Ca me faisait plaisir pour une fois de faire un roman où il ne se passe pas grand chose (…) Oui, je suis dans des formes classiques, mais perverties par des thématiques très contemporaines que j’aborde. Cela dit, le roman épistolaire a aussi une dimension contemporaine, parce qu’aujourd’hui on ne s’écrit plus de vraies lettres, avec les mails, les textos ou les messages sur WhatsApp, le dialogue privé par écrit on l’a toujours, et même de plus en plus. On n’arrête pas de s’écrire. Dans ce livre, il n’est pas précisé si ce sont des lettres ou des mails que s’échangent les deux personnages principaux, mais ce n’est pas important » (VD, Télérama, n° 3788, p.4)

Bàv,

Janssen J-J dit: à

Les trois correspondants ont tous la même voix, qui en plus est définitivement celle de Despentes elle même

pas du tout d’accord avec cvotre opinion… certes, ils baignent sociologiquement dans les mêmes milieux et univers, donc écrivent dans un langage qui leur est très proche. Mais désolé, la voix d’Oscar fait l’effort extrême de se dissocier de celle de Despentes-Rebecca-Zoé… Et si l’on ne ressent pas cet effort d’incarnation dans le rôle ingratement attribué au mec, je crois qu’hélas, il y a encore des œillères de lectrice à faire tomber un brin, un effort de souplesse etd’adaptatipon mentale avec une écriture lisible pour les nouvelles générations… C’st le même reproche qu’on fait à l’écriture de Houellebecq, ce qui es tout de même surprenant !
Mais, diantre, on n’est plus chez Flaubert, Balzac ou Proust, voy’hons donc ! Il faudrait commencer à s’en apercevoir, hein ! à mon sens, ah ah ah… non ?
Bàv

Bloom dit: à

Ai toujours détesté le barbecue: d’abord parce que c’est par excellence un mode de cuisson colonial, en Australie, mais aussi et surtout en Afrique du Sud, où à l’époque de l’Apartheid, les bons racistes Afrikaners ne pouvaient imaginer un weekend sans ‘braai’ avec force ‘braai vleis’, arrosée de tonnes de bière.

Ensuite, les crémations humaines sur les ghâts du temple de Pashupatinath au Népal ont fini de me dégoûter de l’odeur de la bidoche qui crame.

Terrible, les souvenirs olfactifs, beaucoup plus puissants et évocateurs que la mémoire visuelle, aux dires de ceux qui ont vécu la guerre…

et alii dit: à

phil, vous aurez pu constater que j’ai donné d’autres sources que wiki;ceci dit ,indiquer wiki, c’est dire « même wiki … » bonsoir

et alii dit: à

vous avez excuses

Jean Langoncet dit: à

Les crémations animales ne doivent pas sentir meilleur … cela dit pour ceux qui n’on pas connu la guerre mais qui ont circulé près des abattoirs d’antan et connu les charniers en plein air du temps de la vache folle, en GB notamment …

Jean Langoncet dit: à

n’on > n’ont

Jean Langoncet dit: à

Incidemment, Bloom, si tout roman procède, dans une certaine mesure, d’une « fabrication éditoriale », comme vous le souligniez, Thibaudat précise aujourd’hui sa pensée et évoque, dans le cas de Guerre, une « manipulation éditoriale »

Jean Langoncet dit: à

Nota : le gros des ventes ayant été réalisé, les lecteurs-acheteurs auraient peut-être aimé connaître son avis, lui qui fut le dépositaire et archiviste des manuscrits durant 40 ans, avant le 30 août ; Guerre ayant été diffusé au début du mois de mai

Jean Langoncet dit: à

Enfin, le petit nouveau est sur point d’éclore et il est, pour l’essentiel , selon Thibaudat, « un tout premier jet » mais, à la différence de Guerre, « à part entière » …

Bloom dit: à

On encule des mouches, Langoncet.
Faut toujours qu’il trouve un moyen de se singulariser, le Cénile. C’est le BoJo du manuscrit, le Trump du coup éditorial.
Combat d’arrière-garde. Perfectly in character.
Regarder devant, en face, l’extinction qui guette, et lui faire face, avec nos petits poings serrés.

Yes, l’Homme qui crame, ça sent comme la vache, le pour, le mouton ou le chameau qui crame. Anti-spécisme de la flamme.

Phil dit: à

En effet dear Etalii, votre litanie donne soif.
Dear Bloom, Léry semble avoir apprécié les effluves des cuissons humaines et le goût boucané du plat final, c’était un morceau de jeune, il est vrai.
Langoncet chauffe aussi, les tribunes.

bouguereau dit: à

cétait l’temps des cultes des personnalités en cannevas langoncet..des tchi des degols des tintins..et des bobdilane

bouguereau dit: à

Anti-spécisme de la flamme

t’as houblié « par ochvitz! » sacrénom

bouguereau dit: à

le barbeuque c’est l’souvnir ému des méchouis de ma jeunesse au pastis d’ahmed..jme souviens qu’il était fier que presque pas de chipo était jaffé..et que ses merguez y’en restait pas une..ahmed c’était un peu le didji du canton..il faisait -tout- lui même..tout était fourni..hon payait un forfait..boulaouane sidi bière 51..tout compris havec les filles

Phil dit: à

Comme dans Les valseuses, dear Bougreau

bouguereau dit: à

faut pas oublier dirphilou que c’est grâce au barbequeue que l’homme et la femme sont dvenue hintelligent..grâce à la protéine des bêtes..parfaitment..il faut leur en être reconnaissant..hédidemment freud dit que la femme cassait lambiance havec sa tendance a pisser dans l’feu et à se roustir les poils pour que ça sente le cochon brulé quant yen avait pas..c’est scientifique attation

Jean Langoncet dit: à

@la protéine des bêtes

Tiens, vu les premiers Paimpol vendus en gros ; avec les dernières Marmandaises, c’est un festin de protéines végétales qui s’annonce

bouguereau dit: à

Bon, sinon je n’ai capté qu’un dixième, allons un vingtième, des références

ça me rappelle les nouvelles de balzac..non mais c’est pas popo le nombre de sommités et de gloires qu’il cite..des avocats des courtisanes des médecins de savants dassassins..et dont le nom te dit rien de rien..là les notes de bas de page te font comprendre que sictransit..sauf ses personages à lui qui te disent des trucs..non mais quel homme

bouguereau dit: à

c’est un festin de protéines végétales qui s’annonce

musicien jusqu’au trognon ce langoncet

Jazzi dit: à

« le nombre de sommités et de gloires qu’il cite..des avocats des courtisanes des médecins de savants dassassins. »

D’où l’intérêt littéraire de fréquenter les cimetières parisiens, le boug !

D. dit: à

Oukilé mon Jicé ? Mne manque.

Jazzi dit: à

Photo de vacances du lézard…

D. dit: à

Jazzi, l’ère du Verseau s’annonce bien merdique. T’es content ?

Jazzi dit: à

Peu me chaut, D., je suis bien cuit !

Patrice Charoulet dit: à

Mots

En m’écrivant ou me parlant, on me ravirait en usant, parfois, quand c’est possible, de l’un des mots suivants :
fantasque-tarabuster-camarilla- gourmander-rebuffade-alacrité-argutie-heur-parfaire-inimitié-sieur-
porte-coton-déplaisir-agitateur-acerbe-démiurge-ambiant-méritoire-laudatif-épithalame-ex-libris-
ambages-brocard-dystopie-berlue-piédestal-se piquer de-dissolu-moult-inconsidéré-rebutant-
atterrant-péroraison-à loisir-exciper de-calembredaine-avanie-sibyllin-fourvoiement-coryphée-
afféterie-se toquer de-bluettte-tancer-fier-à-bras-débagouler-biscornu-liesse-altier-homme lige-
plantureux-les démêlés-la statuaire-fulminant-paralogisme-avilir-fouler aux pieds-gazetier-
souffreteux-aplanir-en rabattre-bacchanale-apostasie-narquois-spécieux-égayer-filandreux- avec aplomb-innocuité-en veine de-sans contredit-ampoulé-histrion-pétri de-malavisé-le rebut de-un
manant-révérer-inconsistant-emplette-haut-le-corps-olibrius-renégat-jovial-un chromo-prélat-un
différend-incivil-lénitif-s’opiniâtrer-infondé-évanescent-dépenaillé-implacable-un cerbère-urbanité-
esquif-péronelle-vaticiner-libations-calamistré-le stupre-espiègle-très coté-baisser pavillon-faire l’entendu-plaidoyer pro domo sua-langage dru-ingénieux-faire fond sur-une diction hachée, confuse et bredouillante -circonspect-faire cas de-liminaire-infléchir-intangible-assentiment-acrimonie-éthéré-aménité-grandiloquent-revigoré-défiance-une virago-dissonance-affabilité-artificieux-implicite-incongru-préambule-préjudiciable- clausule-trublion-aduler- à proscrire- obtempérer-fructueux-brio-décrier-de pacotille-allègre-féru de-tonitruant-monocorde-mystification-obnubilé-noircir qqn à plaisir-vindicte-ambigu-interférer-faire la part belle à-estomper (fig)-repoussant-démesuré-aphorisme-faire flèche de tout bois-accru-ratiociner-fallacieux- tronqué-hypertophier-peccadille-sottement-égrener (fig) –s’engouer de- lapidaire-se tenir à carreau-semé d’embûches-
vider son carquois-en butte à- à point nommé-l’oreille basse-tomber des nues-La mesure est comble-
n’en pouvoir mais-faire litière de-un homme à bonnes fortunes-sous la férule de-renvoyer dos à dos-faire chorus-donner le change-avoir le pas sur-un songe-creux-un parangon de vertu-conter par le menu-Gros-Jean comme devant-un ilote ivre-traiter de haut-l’habit vert-l’esprit de l’escalier-
frais émoulu de-avoir bon dos-Ce qu’à Dieu ne plaise!-jeter son dévolu sur-un coq de village-un laissé pour compte-battre en brèche-mettre sous le boisseau-la portion congrue-sentir le soufre-
prendre ombrage de-un baiser Lamourette-battre froid à-un écorché vif-au débotté-Par acquit de
conscience-faire un pas de clerc-mener une vie de bâton de chaise-aller sur les brisées de- Vous me la baillez belle!-de bon aloi-préséance-victoire à la Pyrrhus-battre sa coulpe-Ils ont partie liée-un merle blanc-être du côté du manche-donner le la-montrer les dents-en fait ses choux gras-opiner du bonnet-le ban et l’arrière-ban-porte au pinacle-la pierre de touche de-faire mouche-hurler avec les loups-faire des ronds de jambe-blanchi sour le harnais-grégarisme-faire front-sous les fourches
caudines de-faire piètre figure-écrivain sulfureux-donner de l’encensoir à -l’arbitre des élégances-
être bien en cour-faire chou blanc-tomber de Charybde en Scylla-un grouillot-danse du scalp (fig)-
jouer serré-en faire des gorges chaudes-jouer au plus fin-en filigrane (fig)-au grand dam de-à tous crins-pousser des cris d’orfraie plumée vive-Je me perds en conjectures-gens collet monté-Il ne se pousse pas du col-sans bourse délier- aboir barre(s) sur qqn- galimatias-Il montre le bout de l’oreille-porter aux nues-Ce n’est plus de mise-Il s’est mis en frais d’éloquence-cousu de fil blanc-
plier l’échine-trouver son chemin de Damas-une cervelle de colibri-enfoncer des portes ouvertes-
mots à l’emporte-pièce-le dessus du panier (fig)-un cœur d’or-parler à mots couverts-circulent sous le manteau-Traiter qqn par-dessous la jambe-sonner l’hallali(en dehors du domaine de la chasse)-
relever le gant-tout feu tout flamme-Ce fut son chant du cygne-du latin de cuisine-les vocables du cru- C’est la croix et la bannière-jeter les hauts cris-tirer la couverture à soi-avaler plus d’une couleuvre-le pavé de l’ours-vitupérer-La remarque tombe à plat-l’élève (ou le hisse) sur le pavois-
avec parcimonie-séparer l’ivraie du bon grain-L’arbre cache la forêt-ladrerie-sans coup férir-se noyer dans un verre d’eau-un peu témérairement-Rayez cela de vos papiers-très irritable-s’exprimer avec mesure-plus mort que vif-Il a la haute main sur-faire le faraud-une vérité de La Palice-laisser qqn cuire dans son jus-joueur impénitent-se faire jour-écrit d’un jet-un Jean-foutre-courir le guilledou-de guingois- Son étoile pâlit.

Jean Langoncet dit: à

@Guerre & Londres

Entre Voyage au bout de la nuit et Mort à crédit, il n’est pas facile de vous faire une place ; nous y parvenons néanmoins ; ‘not because it is easy, but because it is hard’ … bisou
https://www.youtube.com/watch?v=FZ5fdGNVVlQ

D. dit: à

Gorbatchev est mort. J’avais, avec d’autres, assuré sa sécurité lors de sa visite en France en 89.

D. dit: à

Son épouse Raïssa etait fort sympathique. Je pense à elle ce soir.

D. dit: à

Je pense à elle qui retrouve son mari au ciel après 23 ans de séparation.

D. dit: à

Ça vous en bouche un coin, hein, Bloom ?

D. dit: à

Je ne vois pas comment le Président français pourrait échapper aux obsèques en Fédération des Russies.

D. dit: à

Si vous voyez comment, tentez de le justifier. Nous ne sommes pas en guerre, sauf contre le covid. Sauf contre le covid nous ne sommes pas en guerre. Nous sommes en guerre seulement contre le covid. Contre le covid nous sommes en guerre mais pas contre la Russie.

D. dit: à

Ta gueule keupu.

B dit: à

D je ne pense pas que Gorbatchev importe aux yeux de Poutine. Il y aura le strict minimum, pas d’obsèques nationales pour celui qui a explosé les soviets.

rose dit: à

Mercredi 31 août 2022, 5h43
Ciel éclair et étoilé ; hier soir tard pluie, belle et bonne pluie féconde.

Me suis endormie en ayant lu le beau et bon billet de Paul Edel sur Rome, cette ville lumière , où chaque fois que l’on creuse l’on trouve notre histoire antique. Rome qui s’enroule autour du Tibre, avec ses fontaines cascadantes où nous avons jeté la pièce -nous aussi- en tournant le dos. Ses plats de pasta scuitta obligés en primi piatti. L’amour qui est l’évidence sans être une denrée rare. Cinecitta.

rose dit: à

Ciel clair, ô combien.

Gorbatchev fait partie de l’histoire.

rose dit: à

Pas rêvé de Jacquemus, rêve où j’étais son médecin. Quelqu’un me demandait « médecin de quoi ? » Et moi je répondais « médecin de famille ».

rose dit: à

Rose

La tienne de famille ?
Lundi au marché, pour la seconde fois, ma maman rencontre sa fille aînée qui la regarde et ne lui dit pas bonjour.
La première fois, elle s’était mise à trembler comme un oiseau que l’on saisit pour mettre dans une cage.

Cette fois-ci, elle m’a dit « j’ai vu quelqu’un qui est le portrait craché de G. ». L’après-midi, elle m’a dit « c’était elle, elle ne m’a pas dit bonjour ».

Je vous fais Grasse de mes pensées, de mes envies.
Bonne journée, en fin je la ramène.

rose dit: à

À Empuria Brava, près de Gérone, au sud de Roses, un phallus géant orné le mur d’enceinte de la cité antique. Il était signature de l’artisan sculpteur.
À Ganagobie, sur le pont romain qui est situé sur la Voie Domitienne, un autre phallus orne un des piliers ? ou autre du pont romain. Commencé à le chercher, pas encore trouvé. Petit celui-ci, pas Maximus.

https://www.geo.fr/histoire/en-espagne-lun-des-plus-grands-reliefs-phalliques-de-la-rome-antique-decouvert-211526

rose dit: à

orne

Corrigé une fois, corrigé deux fois, l’accent revient. Même une troisième fois. C le correcteur automatique.

rose dit: à

Hyper-embêtée : à 5h43, les étoiles ne pâlissent pas. Elles resplendissent.

Pire, on ne voit qu’elles.
Pire, le ciel est comme une tenture de velours sombre, pas noir, bleu d’un marine extrême, qui tend vers mais qui est bleu, qui leur sert de support comme une nappe sous la vaisselle de Saxe.
D’ailleurs, l’on dit le ciel étoilé. Je vis sous.

rose dit: à

Mots

En m’écrivant ou me parlant, on me ravirait en usant, parfois, quand c’est possible, de l’un des mots suivants :
fantasque-tarabuster-camarilla- gourmander-rebuffade-alacrité-argutie-heur-parfaire-inimitié-sieur-
porte-coton-déplaisir-agitateur-acerbe-démiurge-ambiant-méritoire-laudatif-épithalame-ex-libris-
ambages-brocard-dystopie-berlue-piédestal-se piquer de-dissolu-moult-inconsidéré-rebutant-
atterrant-péroraison-à loisir-exciper de-calembredaine-avanie-sibyllin-fourvoiement-coryphée-
afféterie-se toquer de-bluettte-tancer-fier-à-bras-débagouler-biscornu-liesse-altier-homme lige-
plantureux-les démêlés-la statuaire-fulminant-paralogisme-avilir-fouler aux pieds-gazetier-
souffreteux-aplanir-en rabattre-bacchanale-apostasie-narquois-spécieux-égayer-filandreux- avec aplomb-innocuité-en veine de-sans contredit-ampoulé-histrion-pétri de-malavisé-le rebut de-un
manant-révérer-inconsistant-emplette-haut-le-corps-olibrius-renégat-jovial-un chromo-prélat-un
différend-incivil-lénitif-s’opiniâtrer-infondé-évanescent-dépenaillé-implacable-un cerbère-urbanité-
esquif-péronelle-vaticiner-libations-calamistré-le stupre-espiègle-très coté-baisser pavillon-faire l’entendu-plaidoyer pro domo sua-langage dru-ingénieux-faire fond sur-une diction hachée, confuse et bredouillante -circonspect-faire cas de-liminaire-infléchir-intangible-assentiment-acrimonie-éthéré-aménité-grandiloquent-revigoré-défiance-une virago-dissonance-affabilité-artificieux-implicite-incongru-préambule-préjudiciable- clausule-trublion-aduler- à proscrire- obtempérer-fructueux-brio-décrier-de pacotille-allègre-féru de-tonitruant-monocorde-mystification-obnubilé-noircir qqn à plaisir-vindicte-ambigu-interférer-faire la part belle à-estomper (fig)-repoussant-démesuré-aphorisme-faire flèche de tout bois-accru-ratiociner-fallacieux- tronqué-hypertophier-peccadille-sottement-égrener (fig) –s’engouer de- lapidaire-se tenir à carreau-semé d’embûches-
vider son carquois-en butte à- à point nommé-l’oreille basse-tomber des nues-La mesure est comble-
n’en pouvoir mais-faire litière de-un homme à bonnes fortunes-sous la férule de-renvoyer dos à dos-faire chorus-donner le change-avoir le pas sur-un songe-creux-un parangon de vertu-conter par le menu-Gros-Jean comme devant-un ilote ivre-traiter de haut-l’habit vert-l’esprit de l’escalier-
frais émoulu de-avoir bon dos-Ce qu’à Dieu ne plaise!-jeter son dévolu sur-un coq de village-un laissé pour compte-battre en brèche-mettre sous le boisseau-la portion congrue-sentir le soufre-
prendre ombrage de-un baiser Lamourette-battre froid à-un écorché vif-au débotté-Par acquit de
conscience-faire un pas de clerc-mener une vie de bâton de chaise-aller sur les brisées de- Vous me la baillez belle!-de bon aloi-préséance-victoire à la Pyrrhus-battre sa coulpe-Ils ont partie liée-un merle blanc-être du côté du manche-donner le la-montrer les dents-en fait ses choux gras-opiner du bonnet-le ban et l’arrière-ban-porte au pinacle-la pierre de touche de-faire mouche-hurler avec les loups-faire des ronds de jambe-blanchi sour le harnais-grégarisme-faire front-sous les fourches
caudines de-faire piètre figure-écrivain sulfureux-donner de l’encensoir à -l’arbitre des élégances-
être bien en cour-faire chou blanc-tomber de Charybde en Scylla-un grouillot-danse du scalp (fig)-
jouer serré-en faire des gorges chaudes-jouer au plus fin-en filigrane (fig)-au grand dam de-à tous crins-pousser des cris d’orfraie plumée vive-Je me perds en conjectures-gens collet monté-Il ne se pousse pas du col-sans bourse délier- aboir barre(s) sur qqn- galimatias-Il montre le bout de l’oreille-porter aux nues-Ce n’est plus de mise-Il s’est mis en frais d’éloquence-cousu de fil blanc-
plier l’échine-trouver son chemin de Damas-une cervelle de colibri-enfoncer des portes ouvertes-
mots à l’emporte-pièce-le dessus du panier (fig)-un cœur d’or-parler à mots couverts-circulent sous le manteau-Traiter qqn par-dessous la jambe-sonner l’hallali(en dehors du domaine de la chasse)-
relever le gant-tout feu tout flamme-Ce fut son chant du cygne-du latin de cuisine-les vocables du cru- C’est la croix et la bannière-jeter les hauts cris-tirer la couverture à soi-avaler plus d’une couleuvre-le pavé de l’ours-vitupérer-La remarque tombe à plat-l’élève (ou le hisse) sur le pavois-
avec parcimonie-séparer l’ivraie du bon grain-L’arbre cache la forêt-ladrerie-sans coup férir-se noyer dans un verre d’eau-un peu témérairement-Rayez cela de vos papiers-très irritable-s’exprimer avec mesure-plus mort que vif-Il a la haute main sur-faire le faraud-une vérité de La Palice-laisser qqn cuire dans son jus-joueur impénitent-se faire jour-écrit d’un jet-un Jean-foutre-courir le guilledou-de guingois- Son étoile pâlit.

Liste magnifique.

Rajouterai volontiers jobastre (que ma maman emploie) et avoir des cacarinettes dans la tête, et aussi tout feu tout flamme (malgré l’été passé, en hommage à Gary.

rose dit: à

Je vous remercie de noter que la liste Mots a été mise en ligne par Patrice Charoulet.

renato dit: à

Pasta asciutta, rose, ou le désuet pastasciutta.

31.8 — 6.27

Marie Sasseur dit: à

31/08/2022 7h24

« En 1930, les habitants de Monroeville, Alabama, ne le savent pas encore, mais leur ville abrite deux enfants qui deviendront des monuments de la littérature américaine. Nelle Harper Lee et Truman Capote, deux enfants un peu rêveurs, se lient rapidement autour des histoires qu’ils inventent et de leur amour pour Sherlock Holmes, racontait l’été dernier le New York Times. Ils écrivent même leurs contes, se relayant sur la machine à écrire du père de Harper pour les taper. La romancière s’est ensuite inspirée de cette amitié pour Scott et Dill, duo emblématique de Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur. A son tour, Truman Capote a créé Idabel Thompkins, dans son premier roman Other Voices, Other Rooms (Les domaines hantés), à l’image de son amie d’enfance.

Ils déménagent à New York –d’abord Capote, puis Lee– peu après avoir fêté leurs vingt ans, relate la biographe Marja Mills dans son livre Mockingbird Next Door. Le premier a rapidement du succès pour son premier roman et ses nouvelles, tandis que la seconde gagne donc le prix Pulitzer de la fiction en 1961.

Mais avant cela, à la fin de l’année 1959, Truman Capote embarque son amie pour enquêter sur le meurtre d’une famille entière d’une petite ville du Kansas, qu’il a découvert dans un court article du New York Times et qui le fascine. Harper Lee l’aide à recueillir les témoignages des autochtones du Midwest et tape plus de 150 pages de notes, dont va sortir De sang-froid, oeuvre majeure de la carrière de Capote et de la littérature américaine en général. Il ne crédite pourtant le travail de son amie qu’en dédicace du livre, où son nom accompagne celui de son amant («For Jack Dunphy and Harper Lee, with my love and gratitude»), ce qui entache leur relation. »

https://www.slate.fr/story/114387/harper-lee-truman-capote

Marie Sasseur dit: à

« Il a été retrouvé par hasard lors d’une patrouille de routine des agents chargés de la protection des indigènes, au coeur de la forêt : allongé dans un hamac accroché à l’extérieur de ses huttes en paille, son corps en état de décomposition était couvert de plumes de perroquet de couleurs vives, « comme s’il s’était préparé à la mort » dit  Marcelo dos Santos, explorateur à la retraite qui a suivi son bien-être pour la Funai, la fondation nationale indigène du Brésil. Son décès, jugé naturel, remonte alors à plus d’un mois. »

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-monde-est-a-nous/avec-la-mort-de-l-homme-au-trou-une-nouvelle-tribu-isolee-disparait-en-amazonie_5322529.html

rose dit: à

Alors, le désuet pastascuitta.

rose dit: à

jeopardy : le péril

Ce qui entache leur relation.

Ben oui.
Nettoyer le frigo, non.
Planter des fleurs dans ton jardin, non.

renato dit: à

Lu La connaissance de la douleur dans la traduction fr. Pas mal, mais j’aurais une observation à propos du mot « Pastrufazio » dans la note de François Wahl (note 1 page 253). Il aurait fallu donner l’étymologie de Pastrufazio car c’est par son biais que Gadda crée un lien entre La cognition et L’affreuse embrouille. Voyons : selon Daniele Ponchiroli* (écrivain, philologue, éditeur chez Einaudi), pastrufazio vaut « pastrügn facere » — fare pasticci ¬— (« pastrügn » vaut pasticcio — pastis, embrouille, chaos, confusion, désordre, fouillis) au sens propre et figuré —.

*Italo Calvino dédia à Ponchiroli Si par une nuit d’hiver un voyageur.

***

Cabinet des curiosités : une anagramme de Pastrufazio donne Proust fa zia

Janssen J-J dit: à

@ matinale & martin gall : ci dessous, l’exemple typique d’une overview sans intérêt pour les personnes concernés (lesquelles ? au juste). Approches mal résumées sur les échantillons (pas de précision sur la biologie gémellaire des cas étudiés, -jumeaux de sexe opposés vs homozygotes ?-), approximations douteuses, politiques scolaires recommandées des plus « normandes », une marmelade indigeste en somme, etc.
La CONVERSATION du jour… de M. Gorbatchev.
https://theconversation.com/faut-il-separer-les-jumeaux-a-lecole-186600?utm_medium=email&utm_campaign=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%2030%20aot%202022%20%202387823852&utm_content=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%2030%20aot%202022%20%202387823852+CID_d23ca6952b04b444e4cdfaed5969684b&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=Faut-il%20sparer%20les%20jumeaux%20%20lcole
Il est grand temps que les profs de cette chaine regagnent leurs écoles, et se préparent à emmener leurs élèves visiter les cimetières, où sera leur vraie place, un jour… dans pas très longtemps. Leur apprendre à bien mourir dasn l’effondrement général, oui, durant l’épisode dit de la catastrophe climatique terrienne, et si possible… entre temps, de les initier à la joie laïque de vivre aisément, aimé.e, intelligent.e, beau.belle, épanoui.e, sans dieux, et toujours en bonne santé.
Bàv, (31.8.22_10.07)

et alii dit: à

RENATO ANAGRAMME (VOUS ME L’AVEZ SOUFFLE) DE PASTIS .PISSAT

J J-J dit: à

@ chedlie : c’est le type à gauche en noir et blanc qui ressemble à RG ?

@ merci pour le lien sur « despentes » /// la preuve que la faiblesse littéraire et esthétique n’est jamais une bonne nouvelle pour quelque combat politique que ce soit. – Lucile Commeaux /// Défendable pour les ennuyé.es, mais nullement convaincu, suis-j, par l’idée qu’il ne se passe rien. Car n’est-ce pas la grande révélation du néo « nouveau roman » au 21e s., pris dans l’oeil du cyclone du « big crunch » à venir ?
Bàv

Janssen J-J dit: à

chacun fait avec ce qu’il a vu, keupu, hein… et nous met son lien twitt…
Tu fais bonjour à toutes les caméras qui te filment, toué ? T’es sûr d’avoir la bonne pétoire pour tirer la longe dans tous tes coins ?

Jazzi dit: à

Le léZard, tout bronzé et les piles rechargées, est retourné au cinéma, fin prêt pour voir un film particulièrement exigeant !

lmd dit: à

…morfales, morfalous et morts-de-faim mangent avec voracité alors que mort de faim est une triste destiné ; les traits d’union, impavides, tranchent et font la différence,

Janssen J-J dit: à

@ jzmn, « Surtout si, comme moi, vous vous êtes assoupi plusieurs fois au cours de la projection ! »
Ai toujours pensé que le bronzage planant avait des effets néfastes sur les critiques de cinéma… exigeants ! Mais c’est bin réconfortant – Bàv,

J J-J dit: à

… une triste destiné, sans tirée, surtout ! wouarf

bouguereau dit: à

Le léZard, tout bronzé

mon oeil..moi c’est jamais sans mon raidorée qu’elle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

qu’il a vu, keupu, hein…

..camembert la clef usb

Petit Rappel dit: à

« C’est donc le Grand jour pour Gregoire Bouiller. »
En bonne logique, nous devrions donc sortir des références au mur pichonesque, et, qui sait, dépasser les 90 pages disponibles pour l’exercice d’admiration journalier Sasseurien.
Il est des groupies qui dégoutent de lire ce qu’elles défendent.

Jazzi dit: à

JJJ, le film de Gus Van Sant dure 99′ et montre uniquement deux hommes qui marchent dans le désert… et au final, c’est superbe !
(On peut s’absenter quelques minutes, deci delà, de la projection, sans dommage pour la compréhension du film)

Janssen J-J dit: à

bon cette affaire du Canard m’embarasse assez grave quand je réfléchis à mon vieux rappiort à ce journal… Avatn d’aller plus loin dans l’investigation judiciaire, je me dis comme d’hab. Présomption d’innocence de la direction, en dépit des arguments du lanceur d’alerte interne… Mais la confiance est un brin ébréchée, je me désabonne pas, c’est le seul journal papier qui reste, mais là bas, bonjour l’ambiance, je te raconte pas…
Le petit Jules, 3 mois, m’a demandé, en me voyant feuilleter le journal : « mais c’est quoi ? tu fais quoi ? »… Il n’avait jamais vu personne, ni ses parents bin évidemment, lire un journal papier. L’ancien ou l’arrière-monde de Charoule, quoiv…
Bàvj,

Janssen J-J dit: à

@ montre uniquement deux hommes qui marchent dans le désert

On comprend bien que ce soit un film très exigeant ! jzmn… Et donc…, à la fin, ils s’????

J J-J dit: à

‘tit jules???, trois mois (+ 33 mois), bin sûr? Hein ! ta g’, jzmn … rectifie pas (la peine)

Jazzi dit: à

Rien à voir avec les deux cowboys de « Brokeback Mountain », JJJ !

Marie Sasseur dit: à

Le dégoût profond que m’inspire ce personnage transpirant de gras et de bêtise , vous le reconnaissez ?
Il passe son temps à harceler sur un blog.

https://youtu.be/OU4-99cajrE

et alii dit: à

Marie Sass…/MS comme SABOLO ?

Marie Sasseur dit: à

Non Et Alien, Monica née de père inconnu.
Sabolo, comme…terrible.

Clopine dit: à

Et puis, le Despentes… Héros et héroïne à tout va. Critique sociale certes bienvenue mais faisant l’impasse totale sur l’état de la planète, à part une demie phrase où le mot « pollution » apparaît. On ne nous fait même pas grâce de l’inévitable allusion à Proust, après avoir jeté aux gémonies, dès le début du livre, toute référence à la littérature classique. Et ces chemins de rédemption (le mâle saisissant enfin son ignominie, les drogués de tout poil visant l’abstinence, l’actrice vieillissante avec ses problèmes de poids.), c’est au fond d’un ennui certain. Et comme l’écriture épistolaire n’est en rien convenablement exploitée. Reste le portrait acide d’une petite société parisienne qui croit ses perversions universelles. Bref, autant j’avais été pas mal impressionnée par la violence salubre du King Kong théorie, autant là, bof, je sens le procédé… Pour ne rien dire de plus, à part qu’il y a des dérapages chez les féministes et du remords chez les mâles alpha. Tu parles d’une découverte !

Marie Sasseur dit: à

Je ne clique plus sur les liens proposés par le prostitute du blogapassou.

Marie Sasseur dit: à

En revanche vu le lien sur lequel renvoie le prostitué, j’espère qu’il a laissé son commentaire directement sur le site en question.

rose dit: à

Jazzi
Le lien des correcteurs n’est plus accessible hors abonnement au Monde.

et alii dit: à

Sabolo:
 » Comment réussir à poser des mots sur l’indicible ?
Ce sont des scènes avec lesquelles je pensais en avoir fini. Mais j’ai commencé un livre qui parle des années 80 et elles sont revenues. Elles seront là d’une façon ou d’une autre dans presque tous mes récits. On en a jamais fini avec cette chose qui cloche, qui est presque le générateur de tout le reste, de cette envie, de cette nécessité d’écrire. Ce qui a changé, c’est que mon écriture est beaucoup moins douloureuse. Elle est plus proche de la joie. L’écriture surgit comme un rêve. C’est un moment de bonheur absolu. »
https://www.vitav.fr/monica-sabolo-lecriture-surgit-comme-un-reve/

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