La grande beauté de certains scénarios
Les livres sur le cinéma sont le plus souvent décevants- quand ils existent ! Ceci explique probablement cela, et leur médiocrité, leur rareté. Au mieux, un recueil de souvenirs, d’anecdotes, de choses vues et de bons mots correctement mis en forme par un autre que le mémorialiste. Au pire, la même chose sans même le plaisir de lecture tant l’hyperbole et les superlatifs gâchent tout (les Mémoires de Charlie Chaplin pourraient figurer dans une anthologie du ratage : moi, moi, moi et les autres). On connait bien les quelques exceptions qui confirment la règle.
Les entretiens Hitchcock/Truffaut, un grand livre en effet que ce « Hitchbook » est le plus souvent cité mais il remonte tout de même à 1966. La collection Ramsay Poche Cinéma, dédiée au cinéma que l’éditeur Jean-Pierre Ramsay lança au milieu des années 80, combla les vœux des cinéphiles. Depuis, presque seul Capricci assure l’essentiel du travail et c’est assez remarquable par l’ambition intellectuelle et le champ historique couvert (voir ici). S’il n’évite pas toujours les écueils susnommés, Les Aventures d’un scénariste à Hollywood (Which Lie Did I Tell ? More Adventures in the Screen Trade, traduit de l’anglais par Jean Rousselot, 395 pages, 23 euros, Capricci) a attiré mon œil par le nom de l’auteur, naturellement, dont Jean-Patrick Manchette, passionné par les techniques d’écriture, admirait l’habileté.
Car l’écriture de William Goldman est derrière des films tels que Butch Cassidy et le Kid, Les Hommes du président, Marathon Man, L’Etoffe des héros, Un pont trop loin, Misery, les Pleins pouvoirs, notamment. Un scénariste travaille généralement sur comme, qu’il s’agisse d’une idée originale ou de l’adaptation d’un livre. Goldman reconnait qu’au départ, il ne sait à peu près rien du sujet ou des principaux personnages. Car tout de même, à moins de vivre en ermite sur une île coupée de toute communication, tout Américain avait entendu parler du Watergate ; mais Goldman était de ceux auxquels les noms de Bob Woodward et Carl Bernstein, les deux reporters du Washington Post à l’origine des révélations du scandale, ne disaient rien. Ce qui n’est pas plus mal au fond. De quoi assurer une certaine virginité dans la lecture de l’affaire, un je-ne-sais-quoi de recul et distance qui favorise un regard neuf sur une question rebattue.
Ainsi, la première chose qui frappa le scénariste après examen du dossier fut l’incompétence des cambrioleurs du siège du parti démocrate et il insista sur ce point. Le film respecta à peu près le scénario et il fut un succès ; mais si c’était à refaire, Goldman ne se serait jamais emparé des Hommes du président, le livre. Car tant Robert Redford, qui voulait absolument y coller trois scènes d’amour, qu’Alan Pakula, qui était l’irrésolution même, lui ont faite écrire tant de scènes finalement inutiles auxquelles il n’avait jamais crû qu’il en demeura le souvenir d’un cauchemar. Avec Un Pont trop loin, film de guerre sur la libération de l’Europe en 1944-1945 vue d’un pont stratégique en Hollande, tout avait été fidèlement et scrupuleusement respecté ; mais il y avait tellement de faits, d’évènements, d’histoires à raconter… Au fond une histoire de cavalerie qui arrive pour sauver tout le monde à ceci près qu’elle n’arrive pas à temps et reste bloquée à un km. Bref, un échec, le film aussi. Il était pourtant d’une exactitude exemplaire. Alors ?
« Nous étions trop vrais pour être vrais ».
S’agissant de Misery, l’histoire d’un écrivain immobilisé avec une jambe de plâtre au lit dans sa maison de campagne isolée et tyrannisée par une aide assez sadique (on est chez Stephen King, ça se termine dans une orgie d’hémoglobine), le principal problème fut le choix de l’acteur principal. Nul ne voulait du rôle : ni Pacino, ni Hoffmann, ni Dreyfuss, ni de Niro, ni Hackman, ni Redford, ni Beatty, ni… Jusqu’à ce que James Caan accepte avec un enthousiasme sans mélange. Malgré sa réussite à l’écran, le scénariste est convaincu avec le recul que Richard Gere aurait été le meilleur de tous pour le rôle. Un mystère demeure : pourquoi nul n’avait songé à lui proposer le rôle ?
Le livre fourmille de ce genre d’histoires édifiantes ou plaisantes à lire mais il ne faut pas lui en demande d’avantage. Si bon soit-il, un scénariste n’est qu’un scénariste. En bavardant un jour avec Graham Greene, à l’évocation de son scénario du Troisième homme de Carol Reed, un classique inépuisable, il me lâcha ceci :
« Au début du projet, tout repose sur le scénariste, il est le personnage le plus important, on est aux petits soins avec lui, on ne le lâche pas, on le flatte ; au milieu du parcours, on le bouscule car le temps presse et chacun veut mettre son grain de sel dans le texte ; à la fin, il n’est même pas invité à la projection de l’avant-première ».
On ignore si ce fut le cas d’Umberto Contarella, scénariste de La grande belleza (traduit de l’italien par Anna Colao, 200 pages, 21 euros, Séguier), l’inoubliable film de Paolo Sorrentino (oui, il y a d’autres réalisateurs que Nanni Moretti en Italie). Il n’en est pas question dans ce livre que les deux co-signent, et pour cause : il s’agit du script du film. Mais celui-ci appartient à la catégorie d’exception des textes qui se savourent autant, quoique différemment, à la lecture qu’au visionnage. Il s’agit de bien autre chose que d’un intérieur Jour/ extérieur nuit. C’est très écrit, ciselé même, et on a un plaisir fou à retrouver les saillies de ce séducteur de Jep Gambardella, le dandy qui promène son désenchantement dans les folles nuits de la dite haute société romaine, chroniqueur alimentaire baladant sa nonchalance désabusée de fête en fête peuplées de créatures néo-felliniennes sur fond sonore de Far L’Amore, auteur d’un unique livre par impuissance avouée à aller au-delà tant il est pris dans la tourbillon de la facilité et le piège de la mondanité.
La scène 29, qui se déroule sur la terrasse d’un appartement chic à l’heure d’un cocktail, est un morceau d’anthologie. Long de quelques pages, il réunit plusieurs vieux amis qui se livrent aux délices de la conversation vacharde quand le héros, après un certain nombre de gin tonic, décide de pousser le curseur et, calmement et en évitant toute gajouterie (c’est encore plus terrible sans une once d’agressivité), dit son fait à Stefania, une pédante du parti de la bien-pensance ; la tension va crescendo à mesure qu’il balance sur la vacuité de ses prétendus engagements politiques, sa vie privée chaotique, celle de son mari qui la trompe avec un autre homme, l’échec de leurs vies sur fond de glaçons tintant dans les verres et de musique d’Arvo Pärt, jusqu’à la révélation de trop qui la fait partir la tête basse, elle qui se prétendait « femme avec des cojones » pour exalter son propre courage civique dans l’Italie des années de plomb.
C’est d’une cruauté sans nom, d’une ironie mordante et d’un humour ravageur. De quoi nous envoyer revoir le film quand bien même l’aurait-on déjà vu plusieurs fois. Ne fut-ce que pour ses leçons de vie : il ne faut jamais pleurer à l’enterrement d’un ami car il serait indélicat sinon immoral de voler la vedette à la famille en de telles circonstances… Et que nous importe au fond si Jep Gambardella n’a jamais trouvé la Grande Beauté puisqu’il nous a emmenés à sa quête…
(Dustin Hoffman dans Marathon Man » et « Toni Servillo dans La grande belleza » photos D.R.)
1 179 Réponses pour La grande beauté de certains scénarios
Bouffonne toi-même Martine
sinon quand on regarde tous les arguments justifiant l’envoi d’armes supplémentaires pour escalader le conflit aucun ne tient la route : pourquoi les européens choisissent la guerre plutôt que la diplomatie ? quand ils en donnent une raison ils savent en le disant que cette raison ne tient pas la route.
certains diront que si l’Europe n’a plus de diplomatie c’est justement à cause du nombre de femmes en politique et d’une féminisation des sociétés, parce que la diplomatie c’est pas trop leur truc, mais pas que.
c’est là où il faut relire R. Girard qui nous apporte pas mal de réponses.
Martine ?
Non, mossieu l’encadré, même pas dans la vraie vie, bouffon.
L’emmerdant avec les déjections écrites de Martine, c’est qu’en posant le pied dessus on finit par déraper
De la science et de la fiction
Deja posté
Le Tellier, E Klein, et des scoubidoubidous, ah.
Dus vieux toquard de soleil kaki, tu sais lire ?
Commence par apprendre l’orthographe raclure de bidet
J’aime bien cette réflexion de Le Tellier
« -Quel serait votre casting rêvé pour incarner ces personnages ?
-Comme je vous le disais, je les ai conçus à partir de mes idées mentales. Cependant, j’ai vraiment besoin de m’en dessaisir. Je dois abandonner ces personnages que j’ai imaginés pour que des personnes plus compétentes que moi puissent choisir qui va les incarner. Je trouve ça très sain, en fait.
Adrian est très intéressant de ce point de vue, car il est complètement inadaptable. Dans le livre, on dit qu’il a des airs de Tom Hanks jeune, puis de Ryan Gosling, mais au bout du compte, il ne ressemble à personne. On peut même se demander s’il n’est pas une sorte de jeu que la simulation fait de manière à ce qu’il n’ait jamais le même visage en fonction de ses interlocuteurs. On le voit, mais il n’est jamais semblable à lui-même. J’aimais bien cette idée de personnage flou. »
C’est très ambitieux de la part de Le Tellier de penser que tout le monde, enfin ceux qui ont lu son bouquin, peut mettre un visage sur le personnage d’Adrian.
Moi je pense bien à un pote , lol, mais il faut faire un saut dans le temps.
Eh bien, soleil vert de gris montre enfin à quelle science il s’adonne; on avait compris pour le bdsm, mais là, il plagie des orduriers, sans grand talent. Un peu moutonnier, brave clebs.
Enfin il a raison d’être vexé.
Ses cr de lecture pour collégiens attardés font peur, tant d’indigence…
SV? des explications par l’auteur:
«… pourquoi les européens choisissent la guerre plutôt que la diplomatie ? »
Parce qu’on ne parle pas avec un criminel nazi-fasciste.
« -Comme je vous le disais, je les ai conçus à partir de mes idées mentales »
« Des idées mentales » on dirait du Sasseur
Et laissez les femmes tranquilles puck, si vous avez de problèmes avec elles, demandez le support d’un analyste !
Cette Pute de Poutine qu’est Puck (le Brasillach du blog) vient exposer ici (avec son obstination de vieux bolchevique gâteux) tous les arguments que le Kremlin lui envoie par mail chaque semaine (exactement les mêmes qu’on voit partout en Occident dans les commentaires à des articles sur la guerre d’Ukraine). Et il croit, ce Fasciste cacochyme, que cela marche…
Alors que tout le monde a compris depuis le premier jour que le Nazi de Moscou a attaqué l’Ukraine exactement pour les mêmes raisons que Hitler la Pologne en 1939, et croyant naïvement, comme son idole Adolf, que les Démocraties molles, faibles, corrompues et frivoles, allaient laisser faire.
On connaît la suite…
ouh, tout ce à quoi il faut répondre…
@ AN / oui, Epépé… Il fit l’unanimité dans mon cercle, même parmi ceux qui snobaient Kafka. Lu deux fois, et toujours aussi envoûté / effrayé à la deuxième fois… Je me vois toujours en rêve débarquer dans cette ville fantôme pour ma conférence, et ne trouvant personne pour me comprendre, en cette langue répertoriée nulle part… Hagège lui-même faillit en devenir fou ; déjà qu’avec le hongrois, il était mal…
@ CT / Merci d’avoir pensé à vous abstenir d’ah ah ah, ainsi votre texte en est bien plus lumineux (jean-pierre)
@ rBL / Ainsi donc, le chalut-oux nous traitait de Jacquot…? Non, je ne vois toujours pas où vous mène cette intuition… Et vous autres, Céline et Julie Herdélistes, vous sentez-vous devoir monter en/un bato ?
@ SV, merci d’avoir pris le relais… On n’est pas trop de quatre garçons à donner la réplique alternative à Martine, ce genre de créature à casseroles.
@ SVP, RM, ne vous désolidarisez pas de notre cause. Tant qu’elles s’exprimeront ainsi, la misogynie inhérente à la domination masculine gardera un brin de légitimité : le féminin ne l’emportera JAMAIS sur le masculité ni ne l’égalera même. T’imagines-tu une Russe… « en mage du Gremlin » ? –
(le désir mimétique a ses limites, même Girard nous l’apprit jadis quand il voulut bien reconnaître les nombreux points aveugles de sa thèse prétendument universelle)…
@ moij – Bon, je sors, je dois aller finir mon ouvrage à pastels avant la séance de ce soir au ciné. « Le successeur » passe à 19 h. La rumeur locale nous dit qu’il est effrayant.
Bàv,
L’un des aboiements qu’on entend le plus des clébards de Poutine en Occident est que les sanctions occidentales prises contre la Russie (et qui sont un poison lent qui est en train de détruire l’industrie et la finance russes) sont inefficaces et même bénéfiques pour les russes (puisque grâce à elles ils développeraient, enfin !, leur propre industrie).
On se demande alors pourquoi tous les jours il y a un dirigeant russe qui hurle contre elles.
« Les Etats-Unis déclenchent la plus importante salve de sanctions contre la Russie depuis deux ans : « On se vengera », répond Medvedev. »
Se venger de ce qui est si bénéfique pour la Russie? Comme c’est étrange…
Très très bas de plafond monsieur le cadre. Une urbanité de surface qui vole en éclat et de vraies carences intellectuelles. Les deux vont souvent de pair.
Enfin il y a plus d’un million de lecteurs et lectrices, de cette » anomalie « , et en plus de 40 langues ; gageons que cette » expérience » en aura fait réfléchir plus d’un, et s’amuser, beaucoup.
Sur ce, le vieux keuf prend la tête de la meute de branleurs, avec r’né en défense.
Des winners.
Je ne ne vous redonne pas la traduction de crème anglaise, c’est inutile…
B dit: à
SV? des explications par l’auteur:
Oui, là il prononce le mot. Ailleurs il parle d’une expérience de pensée.
Chose curieuse, j’ai eu beaucoup de mal à chroniquer ce livre (donc aucun rapport avec une lecture par procuration). Pourquoi ? A mon avis parce qu’il tourne autour d’une seule idée : le virtuel. Et qu’écrire ce mot « spoilait » tout. Les romans de SF jonglent habituellement avec plusieurs thèmes. C’est peut-être là une des différences avec les créations anglo-saxonnes ou autres
Dernière remarque, je quitte ce site à mon grand regret.
Eh bien, ça va pas trop manquer, les insultes de monsieur le cadre.
Tant de talentueux ont par ailleurs disparu, alors un nul…qui entre deux insultes aligne des platitudes consternantes.
De toute façon, je ne vais pas sur son blog, il avait beau faire des annonces, en veux-tu ? Non.
Hier journée au garde-meuble. Dans un carton fermé depuis la première moitié des années septante trouvé ce livre d’Alessandra Tornimparte* qui appartenait à mon père :
https://x.com/renato_maestri/status/1761704584131559582?s=20
*Pseudonyme de Natalia Ginzburg.
« Tant de talentueux ont disparu, alors un nul …. »On pourrait employer sans regrets cette formule pour vous, Sasseur, si seulement vous disparaissiez….
MC
Le léZard a lu le dernier court roman de Patrick Modiano. Testamentaire, cette « Danseuse », décrite dans le Paris mondialisé d’Anne Hidalgo ?
cette comparaison entre Poutine et Hitler on la retrouve souvent.
cela permet de faire taire les pacifistes en les traitant de « munichois ».
cela fait partie de l’hystérie guerrière que l’on retrouve dans tous les médias, une hystérie belliciste souvent véhiculée par les femmes (comme par hasard).
s’il restait en France ne serait-ce qu’un seul intellectuel à peu près d’aplomb cela ferait taire ces hystériques.
pour envahir la Pologne Hitler a envoyé une armée de 1,5 million de soldats.
la Russie subit une chute de sa démographie qui fait qu’elle ne pourra jamais se lancer dans une guerre contre l’Europe. d’où le changement de la doctrine nucléaire russe avec la possibilité d’employer l’arme atomique les premiers et non plus en réponse à une attaque nucléaire.
le fait même que les américains aient l’intention de mettre des ogives nucléaires en Finlande est une façon de mettre fin à la dissuasion nucléaire : la dissuasion reposait sur le temps nécessaire (20 mn) pour s’assurer des intentions de l’ennemi, le fait de réduire de moitié ce temps de réponse fait que les russes riposteront avant de savoir ce qui arrive sur eux.
on dit que les US protègent l’Europe avec leur parapluie nucléaire, dans les conditions actuelles c’est le contraire : les US se servent de l’Europe comme parapluie pour protéger leur pays.
On va souhaiter la même chose au vieux pangolin antisémite, l’imposture incarnée, MoChe et MeChant; qu’il fasse de la place, lui aussi.
https://www.penguin.co.uk/books/57645/make-room-make-room-by-harry-harrison/9780141190235
« s’il restait en France ne serait-ce qu’un seul intellectuel à peu près d’aplomb cela ferait taire ces hystériques. »
Plus de doutes, puck a un problème avec le femmes.
la vengeance des russes ça a déjà commencé : les bases américaines situées en Irak, en Syrie, en Jordanie etc.. sont bombardées non stop jour et nuit avec des drones et des missiles iraniens et russes.
en plus des insultes de Biden et des nouvelles sanctions les américains ont dit qu’ils permettaient aux ukrainiens d’utiliser les F16 livrés par les pays de l’otan pour bombarder la Russie.
des F16 vont bombarder la Russie…
c’est un cran au dessus des déclarations du ministre de la défense allemand disant qu’il prévoit d’entrer en guerre contre la Russie dans les 3 à 5 ans.
Iran, Corée du Nord, voilà les amis du criminel nazi-fasciste : qui se ressemble s’assemble.
il y a un dirigeant russe qui hurle contre elles
Ce dit etre personnel, les avoirs des individus ainsi que certains biens sont gelés et confisqués. Croissance à plus de 2% pour la Russie. Son pétrole passe par l’Inde avant de revenir vers l’occident et pour le reste elle se tourne vers d’autres importateurs de matières premières. Les investisseurs européens, en revanche, y ont beaucoup perdu.
SV, restez, MS est mauvaise sauf si vous êtes musicien, ecrivain, acteur, ministre, footballeur pro, sportif de haut niveau, qui sais-je encore qui ajoute à son prestige putatif et que vous y laissez non seulement trace de vos talents mais aussi quelque modique rétribution. Elle apprécie déprécier, c’est un peu comme un oxygène, ou un de ces gaz qui la fait se pâmer. Si vous remontiez l’historique, certains ici ont été copieusement malmenés, pour finir continuent de lui lécher les pieds.
ce doit etre
des F16 vont bombarder la Russie…
est-ce qu’il faut pleurer?
Les agriculteurs paysans cultivateurs éleveurs de ce pays accueillent le Ramassis national avec les honneurs, des sourires et des provisions estampillées Laval ou Montoire.
Dorénavant je sens que je vais privilégier les provenances étranges.
Erreur en deçà des Pyrénées, vérité au delà.
@Les agriculteurs paysans cultivateurs éleveurs de ce pays accueillent le Ramassis national avec les honneurs, des sourires et des provisions estampillées Laval ou Montoire.
Dorénavant je sens que je vais privilégier les provenances étranges.
Erreur en deçà des Pyrénées, vérité au delà.
Vive l’avocat corse ! Sus à l’espagnol ! Boycott de l’israélien ! (question incidente : indépendamment de la mise au pillage systématique des productions agricoles palestiniennes par les colons, quelles sont les principales denrées alimentaires d’importation en Israël ?)
Faut-il accorder un brin d’attention aux reproches infondés de Marie Sasseur? Non. En revanche, ce blog perdrait beaucoup sans les appréciations modérées et souvent justifiées de Soleil Vert.
B , vous y allez fort avec « le prestige putatif de Sasseur ». On souhaiterait que le calembour ainsi forme ait quelque chose d’exact. Nous qui sommes dans l’ignorance,( maintenue, croyez-le!) des manifestations du génie Sasseurien! MC
les fruits et les légumes comme le gaz et le pétrole ?
plus de provenance politiquement cool ?
pas d’inquiétude : avec le réchauffement climatique on pourra bientôt bouffer des oranges et des tomates suédoises…
si tant est que la suède restera un pays politiquement cool…
Au moins en aurions-nous une représentation.,..
Les pays nordiques sont globalement décadents.
B., un F-16 n’est pas un bombardier. Même s’il peut emporter quelques bombes ou missiles air-sol.
Awayoooounegoudmewdkolkonnedchionne.
Personne n’a trouvé, parce que personne n’a cherché, sans doute.
Il faudra s’affoler quand on parlera de B-2 et/ou de A-10.
B
Ça fait combien une plaque ?
Mais à mon avis, si on entend pas parler de B-2 ou de A-10, c’est que l’on sait très bien que leur usage serait décisif pour remporter l’avantage. Ce qui n’intéresse en aucun cas les américains. Pour quoi faire ? On est pas bien, comme ça, mmmhmm ?
A côté de la Gare du nord, des fruits exotiques du sous-continent indien, chez Tang frères dans le 13e, légumes et fruits d’Asie su sud-est, et dans le 9e, produits de Taïwan.
Endive de Belgique et choux de Bruxelles.
Gouda de Hollande
Cheddar d’Irlande
Riz de Thaïlande
Je vais prendre une carte de pêche.
Et on va augmenter la taille du potager.
Patrick Modiano
Tristesse du présent
Inlassable piéton de Paris, pour lequel les errances dans la capitale furent longtemps le prétexte à ranimer son imaginaire mémoriel, Patrick Modiano serait-il brusquement rattrapé par le principe de réalité ?
Dans son dernier roman, « La Danseuse », un récit de moins de cent pages, aux chapitres particulièrement aérés, il nous conte l’histoire d’une danseuse, jamais autrement nommée dans le livre, et de son jeune fils Pierre, rencontrés un demi siècle plus tôt.
Situé en grande partie entre la Place Clichy (9e arr.) et la Porte de Champerret (17e arr.), ce court texte est ponctué de plusieurs paragraphes où le présent s’invite comme jamais auparavant dans les romans de notre auteur récemment nobélisé :
« Qu’étaient devenus la danseuse et Pierre, et ceux que j’avais croisés à la même époque ? Voilà une question que je me posais souvent depuis près de cinquante ans et qui était restée jusque-là sans réponse. Et, soudain, ce 8 janvier 2023, il me sembla que cela n’avait plus aucune importance. Ni la danseuse ni Pierre n’appartenaient au passé mais dans un présent éternel. »
Ici, le narrateur ne reconnait plus le Paris de sa jeunesse et s’y sent désormais étranger.
Une ville où les Parisiens ont été remplacés par les touristes et où la nostalgie n’est plus ce qu’elle était.
Une ville : « qui avait à ce point changé qu’elle ne m’évoquait plus aucun souvenir. Une ville étrangère. Elle ressemblait à un grand parc d’attraction ou à l’espace « duty-free » d’un aéroport. Beaucoup de monde dans les rues, comme je n’en avais jamais vu auparavant. Les passants marchaient par groupes d’une dizaine de personnes, traînant des valises à roulettes et la plupart portant des sacs à dos. D’où venaient ces centaines de milliers de touristes dont on se demandait s’ils n’étaient pas les seuls, désormais, à peupler les rues de Paris ? »
Tandis que le narrateur traverse le boulevard Raspail (Patrick Modiano réside aujourd’hui dans le 6e arr.), il croise un fantôme du passé : « Je reconnus aussitôt Verzini. Et j’éprouvai un brusque malaise, celui d’être en présence de quelqu’un que je croyais mort depuis longtemps. »
Après l’avoir accosté, les deux hommes décident de se réfugier dans un café, à l’angle du boulevard et de la rue du Cherche-Midi : « Nous étions assis à une table, l’un en face de l’autre, seuls dans la salle, ce qui m’étonnait. Depuis quelques temps, les cafés et les restaurants étaient bondés. Devant la plupart d’entre eux, il y avait même des files d’attente. »
Le narrateur précisant : « Derrière la vitre, je voyais passer les groupes de touristes habituels depuis quelques mois, sac au dos et traînant leurs valises à roulettes. La plupart portaient des shorts, des tee-shirts et des casquettes de toile à visière. Aucun d’entre eux ne pénétrait dans le café où nous étions, comme si celui-ci appartenait encore à un autre temps qui le préservait de cette foule. »
Et ajoutant, au moment où le narrateur et Verzini se séparent sur le trottoir :
« Dehors, nous étions bousculés par le flot des touristes. Ils avançaient par groupes compacts et vous barraient le chemin.
»Nous reprendrons peut-être un jour notre conversation, me dit-il. C’est si loin, tout ça… Mais j’essaierai quand même de me souvenir… »
Il eut le temps de me faire un signe du bras avant d’être entraîné et de se perdre dans cette armée en déroute qui encombrait le boulevard. »
Le narrateur ou Modiano lui-même, avouant, plus loin : « Nous vivions des temps difficiles depuis trois ans, comme je n’en avais jamais connu de ma vie. Et le monde avait changé si vite autour de moi que je m’y sentais un étranger. »
Alors, texte testamentaire de notre auteur national, dans un Paris post covidien et de plus en plus airbnbisé ?
Seul, l’avenir nous le dira…
Rose, 1 million d’euros c’est un minimum: 1,50 x
1 million de livres vendus et avant imposition.
Epépé est un roman exceptionnel qui ne vous quitte pas pendant des mois…
Il peuple vos rêves.
Quelqu’un connaît il un autre roman de Ferenc Karinthy ?
JJJ vous souvenez vous de la scène où le personnage central du livre croise un homme qui lit un journal culturel hongrois datant de plusieurs années sur un escalator; l’un monte, l’autre descend…?
Maintenant que vous m’avez remis ce bouquin dans la tête, je vais en rêver cette nuit!
B dit: à
Rose, 1 million d’euros c’est un minimum: 1,50 x
1 million de livres vendus et avant imposition.
Ah, c’est pas mal. Et l’éditeur ? L’imprimeur, le traducteur, le correcteur.
Pas lu Epépé de Ferenc Karinthy. Dslée.
C’est marrant pck il ressemble bcp à Emmanuel Carrère sur son portrait photographié en couleur.
Quelqu’un a lu A sang Perdu de Rae DelBianco ?
@Et on va augmenter la taille du potager
Incidemment, un projet épatant
https://www.inrae.fr/actualites/verger-gotheron-quand-biodiversite-tourne-rond
Jamais je n’irais mettre lrs pieds dans ce sale quartier de lz gare du Nord, même pour des endives.
Awayoooounegoudmewdkolkonnedchionne
Are you in a good médical condition. Tout simplement. Pervertir la prononciation de l’Anglais à ce point ça ne bous dérange pas, lui ai-je répondu ? Avez-vous déjà déclamé du Shakespeare ? Ecouté Deller ?
renato dit: à
Quelqu’un a lu A sang Perdu de Rae DelBianco ?
–
Écoutez, renato, vous posez de drôles de questions, quand même. On ne sais même pas qui c’est, ce type.
Bon, je vais vérifier mes poules et à demain. D’autant plus qu’abec le décalage horaire, j’ai besoin de repos.
Rae delBianco
Le décalage horaire ?! vous avez traversé un quartier parisien par barque à rames ?
Arcangelo Corelli, Concerto in Re maggiore n. 4, Op. 6
Voilà.
https://www.instagram.com/p/C3styrWrvPj/?igsh=MTkxNTZrY3Bra2dodQ==
Et lorsqu’il voudra nous muselet, on dira « c’est raté ».
Autre chose que barque à rôles.
Petite précision : Limonov est décédé en Russie en 2020…dans l’oubli …
Christiane,
Je vous lis chez Soleil Vert.
Merci de vos explications sur l’Anomalie ; je vous dirai si je le relis.
Extrait de votre com de »nous nous trouvions face à nous-mêmes mais séparés par un espace de temps. Choisissez celui que vous voulez. Une des deux saurait par avance ce qui va arriver à l’autre puisqu’elle l’aurait déjà vécu. »
Christiane,
Étrangement, je suis une femme qui rêve. Et ce que je rêve arrive.
Mes deux derniers rêves, fabuleux, j’attends (mais je n’attends pas, in fine,) qu’ils se concrétisent.
Et puis, par un livre, par un film, j’éprouve le besoin d’être touchée. Je verrais si j’y retourne, vous m’en avez donné envie, merci.
En lisant ce pseudo.julienne -couper en-, me suis demandé si l’alcool n’était pas le bon prétexte, le bon moyen pour le viol. Sans vergogne. C’est une maladie bien plus grave que celle d’Alzheimer.
Besnehard a vraiment le sens de l’humour. Je me marre ! Il déclare à propos de Nora Hamzawi: «Ce n’est pas l’actrice du siècle. Je peux vous dire que le point faible du film, c’est l’interprétation de cette actrice qui ne souhaite pas que le film sorte. D’ailleurs, je n’ai pas compris que Jacques Doillon, qui a toujours eu le sens des acteurs, ait pu choisir cette mauvaise.»
L’actrice est tellement à ch… qu’elle-même s’en rend compte. Du coup, elle fait tout pour que le film ne sorte pas ! C’est la chance de sa vie ! Elle veut rattraper le coup… Grandiose, et tellement typique des actrices de cinéma avec leurs caprices à la Marilyn Monroe…
Et Jacques Doillon ? Il restera comme ces « mains dégueulasses sur les seins de quinze ans » dont parle JG. Cela lui restera, il est habillé pour l’hiver, c’est le cas de le dire. Pour lui et Jacquot et leurs sales mains baladeuses l’hiver s’annonce et il va durer longtemps.
Besnehard, mon ami ! Tu ne voudrais pas que le film de Doillon sorte, quand même ? Tu imagines le tollé ? Les manifs de féministes hystériques bloquant les projection ? Le déshonneur de la profession ? Les mains dégueulasses de Jacques Doillon triomphant de l’innocence ? Tu es responsable ? C’est bien d’avoir le sens de l’humour, mais il ne faut pas en rajouter. Le film ne sortira pas. Il n’y aura pas de film. C’est terminé !!!
Le roman excellent de Le Tellier, -qui n’est pas un roman de science-fiction- va être adapté à l’écran.
D’autres prix Goncourt l’ont été, et n’ont pas donné lieu à de grands films.
@Dorénavant je sens que je vais privilégier les provenances étranges.
C’est déjà grandement le cas puisque qu’en France nous importons presque la moitié des produits que nous consommons et que les agriculteurs français exportent céréales et bibine et semences et bovins avec une balance commerciale excédentaire.
Mais il est certain que je regarderai desormais aussi l’étiquetage, et les bouseux estampillés « coordination rurale » en campagne pour le front national, pourront aller vendre leurs saloperies immangeables a d’autres.
Et il est vrai que Macron a pris des risques.
Mais mettre la stature d’un président de la République sciemment à la portée de soudards et accepter de l’exposer physiquement à la violence, de toute façon organisée, c’est tout simplement effrayant.
« D’autres prix Goncourt l’ont été, et n’ont pas donné lieu à de grands films. »
« La Maîtresse de Brecht », prix Goncourt 2003, pourrait faire un grand film !
Comme il ‘y avait aucune chance que les flâneurs de la FNAC achètent sur une impulsion un livre au titre aussi invraisemblable que « épépé », le magasin avait installé une petite pile de ce livre (format poche) avec une note de recommandation dans le rayon « Europe centrale ». Cette pile a été entretenue pendant des mois. Elle y est peut-être encore, je vérifierai.
Une petite secte d’épépistes doit propager la bonne parole et continuer à le faire vendre…
« Autre chose que barque à rôles. »
En face de chez moi, il y a un petit café de quartier baptisé le « Bar Carole ».
Sans doute le prénom de l’ancienne patronne ?
La flagornerie peut avoir du bon, parfois, pour retenir les bons erdéliens désireux de s’en aller, jzmn. Elle n’a hélas aucune prise pour celles qui préfèrent s’accrocher à leurs branches, contre vents et marées. Bàv,
Vous aussi, vous avez une Martine en bas de chez vous ? Débarquez là… !
SENS DES MOTS
Dans l’euphorie de sondages enivrants, M. Bardella , du parti d’extrême droite , ne craint pas de qualifier le chef de l’Etat de « paranoïaque » , de « schizophrène » et de « complotiste ». Il serait bien inspiré d’ouvrir des ouvrages sérieux, et pas seulement le Larousse de poche, pour apprendre le sens de ces mots.
« Ce n’est pas que « vous ne comprenez rien » au Goncourt de Letellier. C’est qu’il n’y a rien de plus à comprendre que le geste banal de célébrer l’agréable saveur de l’entre-soi. Un peu comme on sucre son café. »
Si je reviens sur cet extrait de commentaire de commentaire de commentaire, l’objet du livre n’ayant depuis longtemps plus aucune importance pour qui ne l’a pas lu, c’est à propos d’effets littéraires, de jeux littéraires.
Et le geste banal devient zeugma chez Le Tellier, « Blake boit donc son café sans sucre ni inquiétude », une économie de moyens.
Les auditeurs les plus futés de feu » les papous dans la tête » auront reconnu le début d’Anna Karenine en premières lignes du chapitre « la lessiveuse ».
Encore fallait-il, comme il s’en explique, le préciser au traducteur en russe, car franchement c’était pas évident…même en français, lol.
Beaucoup de subtilités resteront inaudibles… beaucoup de serrures avec des clés qui ne seront pas tournées, pour reprendre son image, et c’est drôle d’avoir confié cette adaptation de » l’anomalie » au scénariste de » le chant du loup », une histoire d’oreille absolue, en somme.
Judith Godrèche chez Ruquier, à 35 ans, ne paraissait pas si traumatisée…
https://www.youtube.com/watch?v=GRppBnsCzcM&t=91s
Merci à Alexia et closer pour avoir réexhumé Epépé.
Christiane en a recherché UNE recension chez Soleil Vert, et la voici…
https://soleilgreen.blogspot.com/2013/12/villes-etranges-2.html
Notre ami erdélien a tort de nous déserter, à cause de la morue… On va pas la laisser gagner icite, bordel ! Voilà donc en ces termes galants, les seuls de son niveau, ce que j’ajouterais aux encouragements de Christiane et à ceux de MC, y compris de tou.tes celles et ceux qui estiment votre blog et vos interventions ici-même. Restez avec nous autres, voyons donc, les compagnies agréables sont si rares. Merci à vous SV, je vous souhaite une bien belle journée, sans furoncles sur le fumier (JE, 26.2.24, 9.45)
Nulle flagornerie, JJJ.
J’adore apprendre en allant au cinéma, d’où mon goût pour les bio pics.
Dès les premières pages, le Goncourt 2003 est visuel : spectaculaire retour de Bertolt Brecht dans l’Allemagne en ruines.
@ bien inspiré d’ouvrir des ouvrages sérieux, et pas seulement le Larousse de poche, pour apprendre le sens de ces mots
hélas…, ce n’est pas grâce à vos dictionnaires qu’il va perdre les élections législatives européennes. Futilités charoulesques matinales -> Chacun doit porter son bordel à bandoulières, sa croix, veux-j dire.
D.idier , le vieux keuf alcoolique , fait sa crise de delirium; il n’a qu’à faire comme monsieur le cadre, ouvrir un blog pour nolife en fin de vie
« Le gouvernement palestinien remet sa démission au président Mahmoud Abbas
Le Premier ministre de l’Autorité palestinienne, Mohammed Shtayyeh, a présenté la démission du gouvernement « à la lumière des développements liés à l’agression contre Gaza ». »
Les rats quittent le navire !
3j, si vous voyez votre copain Badie que j’apprécie plutôt généralement, vous lui direz que quand il déclare que la distinction entre espace public et privé « n’existe pas dans le monde musulman » je ne sais pas ce qu’il entend par là. De mon humble expérience de 9 années à vivre et travailler dans des pays musulmans, je peux dire que l’espace privé est celui où s’exercent les pires pressions sur les membres de la famille, et singulièrement sur les femmes, que c’est dans ce cadre que se font violer les gamines par les gentils tontons, ou les sœurs par leurs frères et les copains de ceux-ci, etc.
Je parle de cas très précis, qui ne sont pas isolés.
J’ajourerai que pour répudier son épouse dans les sociétés musulmanes du sous-continent indien, il suffit de prononcer « talak » trois fois et le tout est joué. Et je ne parle pas du statut social de la femme répudiée, divorcée, etc.
Et l’espace public, en tous cas au Pakistan, appartient aux hommes.
Donc plus que pas du tout d’accord avec ce qui est dit à l’antenne et qui me semble relever d’une connaissance partielle et parcellaire.
C’est dit.
Je ne saurais que trop recommander la lecture de la Trilogie Votiak, d’Ivan Seklopossousoff, le grand écrivain oudmourte.
Il faut dire que D.idier, le vieux keuf alcoolique, faux bipolaire mais vrai cinglé , sous différents pseudos les fait tourner comme des bourriques. Le jour où ces crétins se rendront compte de l’ampleur de sa malveillance sur internet, pseudos multiples, vrais faux sites, destinés à » phisher » comme à ficher, ils en seront pour leur grande naïveté , et ce sera mérité.
C’est une maladie bien plus grave que celle d’Alzheimer.
–
Non. L’alcoolisme est grave mais se soigne, même si comme pour toutes les addictions, les récidives sont fréquentes et peuvent conduire à la mort.
Alzheimer ne se soigne pas et évolue toujours défavorablement.
Ce que voulait dire fort maladroitement Badie, si je puis me permettre d’interpréter sa position (d’où j’ignore d’où vous la tirez), c’est que dans l’univers arabo-mulsulman, la Oumma, ou « communauté des croyants », qui tient lieu de « société civile », assure sa légitimité dans une fusion immanente, au dessus de toute réalité politique transcendante. Ce qu’il veut dire, c’est qu’il n’y a pas de distinction stabilisée entre le temporel et le spirituel, à la différence de la culture politico matérialiste de l’Occident chrétien qui a permis de distinguer, au terme d’un long processus de sécularisation, une dé-différenciation de « l’Etat » et de la « société civile »… Pour Baide, le monde musulman n’y serait jamais vraiment parvenu.
Je pense, rBl, que vous imputez à Badie des choses qu’il n’a jamais fondamentalement pensé.
Mais vous avez sans doute raison de lui reprocher ce que vous dites, désolé de ne pouvoir vraiment en juger, s’il ne s’est pas plus expliqué sur ce point. Je ne vous ferai pas l’injure de citer ses multiples bouquins à ce sujet que vous connaissez certainement (Les deux Etats, bouquin de science princeps – et sa biog récente : « comment peut-on naître franco iranien »)
Bien à vous, merci pour votre vigilance…
(nb/ « Mon copoin Badie » n’était peut-être pas nécessaire. Disons plutôt, un garçon de grande valeur, comme vous, qui m’a aidé à penser les RI convulsionnaires dans le monde multipolaire de l’apèrs guerre froide, quand R. Aron était un brin passé de mode. Voilà tout).
Verbeux, creux, sans intérêt.
Vas-y D.idier, remets-ca, ils n’ont rien à branler de leur journée, comme toi.
@ B /// Elle apprécie déprécier, c’est un peu comme un oxygène, ou un de ces gaz qui la fait se pâmer. Si vous remontiez l’historique, certains ici ont été copieusement malmenés, pour finir continuent de lui lécher les pieds///.
Une remarque qui, perso, m’a toujours laissé un brin rêveur… On a-j beau chercher le nom du pape en question, hein, on voit-j toujours pas trop lequel,
Jazzi. Les ayants-droits de Brecht sont tres actifs. Ce sont des gardiens du temple d’un Brecht officiel (publié » chez Suhrkamp Verlag) Et comme je ne donnais pas une image politiquement correcte -sur le plan sexuel- mais une image plus proche de la réalité quotidienne de Brecht quand il dirigeait le Berliner Ensemble,ils ont bloqué la parution du roman en prenant une option assez longue et en laissant traîner les choses . Il faut dire que je faisais allusion à un Brecht prédateur sexuel notamment l’habitude de fourrer les jeunes comédiennes dans son lit ; il reste des témoignages tardifs assez explicites de ce côté là. On a aussi révélé que brecht fut systématiquement un exploiteur de collaboratrices en oubliant de mettre leur nom et de mentionner leurs larges contributions dans ses pièces de théâtre , ce qui, est en partie qui est en partie réparé. Les farouches ayants droits gardiens du Temple Brechtien ont mis une option tres sur mon roman de manière à ce qu’aucun autre éditeur ne puisse le publier rapidement. Donc l’Allemagne n’a jamais pu lire « la maîtresse de Brecht » (je soupçonne mon éditeur de ne pas avoir relancé les éditeurs de langue allemande) alors qu’il y a eu plus de 6O traductions du roman . ces héritiers de Brecht se sont fait remarquer car ils se sont démenés pour interdire ebn langue allemande une biographie très pointue de 800 pages d’un universitaire américain, John Fuegi, -parue chez fayard- et qui révélait sans trop y mettre de précaution le côté Brecht exploiteur de collaboratrices, et prédateur.
Il s’agit d’une distinction sur Metoo etc sur F Culture hier, L’esprit public, 11h vers 00:27 mns.
J’ai trouvé sa réflexion, non développée en bout d’intervention, pour le moins étrange. Il faut écouter l’émission jusque-là pour apprécier le contexte (on y parle du viol comme domination comme si c’était une nouveauté, cf. les viols commis par l’armée rouge en Allemagne, et comme arme de guerre avant et depuis, notamment par l’EI contre les Chrétiens d’orient…)
Cela dit, comme vous le savez, il existe une pluralité de sociétés musulmanes (l’unité de l’Oumma est un vœu pieu), celles que je connais mieux que les autres s’étant développées au contact d’un solide substrat hindouiste, bouddhiste et jaïn dont ont sent encore affleurer les puissantes lignes de force (subsistance des ‘castes’, par exemple).
D’où l’intérêt d’un film, Paul !
Les ayants-droits de Brecht
—
Idem pour RG, Beckett…Rentiers usurpateurs du talent des autres et protégés par le droit.
J’ai lu récemment l’expression « ayant-droit » utilisée au sens bourdivin « d’héritiers », j’aime bien car il reflète parfaitement ce que la critique sociale anglaise appelle « entitlement » (those who are entitiled to), « le fait de posséder des titres de propriété qui vous donne le droit de ».
Merci Edel, de ce Brecht inconnu.
Sur la bio à charge de Fuegi, J-P Thibaudat tempère un peu.
https://www.liberation.fr/livres/1995/04/27/un-proces-de-quat-sous-brecht-cie-de-john-fuegi_129042/
Salaud de Brecht, qui a osé violer la Pucelle, mais qui lui a fait de beaux enfants !
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BERTOLD BRECHT
Jeanne entre en scène
Après Sainte Jeanne des abattoirs, une première pièce écrite en 1929-31, durant son exil aux USA, où il faisait de Jeanne d’Arc une ouvrière révolutionnaire en lutte contre les courtiers et spéculateurs des abattoirs de Chicago, Bertolt Brecht (1898-1954), de retour à Berlin-est, adapta, en 1952, pour la troupe du Berliner Ensemble, Le procès de Jeanne d’Arc à Rouen, 1431, d’après la pièce radiophonique qu’Anna Seghers avait elle-même rédigée à partir de l’exemplaire du procès-verbal transcrit au jour le jour en latin du procès en condamnation de la Pucelle et dont l’original se trouve à la Bibliothèque de l’Assemblée Nationale. Une pièce plus conforme à la vérité historique que la pièce précédente, où l’on retrouve bien les personnages réels et les propos tenus par les protagonistes de l’époque, auquel Brecht, plus marxiste que chrétien, ajoutera une kyrielle de personnages populaires, suggérant ainsi au public que Jeanne écoute plutôt les voix du peuple que les voix divines ! A ce détail près et malgré une transposition des actes du procès, qui se sont déployés sur une centaine de jours, en 16 actes de pièce de théâtre, l’auteur dramatique reste assez fidèle à l’esprit de ce spectacle magistral que dut être à l’époque le procès, à huis-clos, de Jeanne d’Arc. Lever de rideau sur l’ouverture du procès proprement dit, à l’acte 3 de la pièce…
« Dès l’ouverture du grand procès en matière de foi, dans la chapelle du château royal, Jeanne esquive adroitement les questions pièges des ecclésiastiques, qui veulent la convaincre d’hérésie, et leur rappelle hardiment la misère de France.
Dans la chapelle du château royal. Les ecclésiastiques Beau-père, Chatillon, La Fontaine, d’Estivet, Manchon, Midi, Lefèvre, Massieu. Frère Raoul et le greffier. Entrent l’observateur anglais avec son aide de camp et Cauchon, l’évêque de Beauvais. Les ecclésiastiques s’agenouillent.
CAUCHON : Loué soit Jésus-Christ.
TOUS : Dans les siècles des siècles. Amen.
(…)
CAUCHON : Nous, Cauchon, évêque de Beauvais, et nos illustres assesseurs, nobles seigneurs et docteurs, nous sommes rendus aujourd’hui à une séance du tribunal que par là même nous déclarons ouverte. My lord, avez-vous fait transmettre à l’accusée l’ordre de comparaître, afin qu’elle se présente ici devant nous et réponde à nos questions conformément à la loi ?
L’AIDE DE CAMP : Ladite femme a reçu l’ordre de comparaître, elle attend devant la porte. Elle fait toutefois la demande d’être menée à confesse avant l’interrogatoire.
L’évêque interroge des yeux ses assesseurs. Ils font un signe de la tête.
CAUCHON : Cette demande doit être rejetée. Vu la gravité de l’accusation ainsi que le fait que l’accusée se refuse à quitter ses habits d’homme. Messire Massieu, introduisez l’accusée.
MASSIEU : Qu’on introduise l’accusée.
L’AIDE DE CAMP : Faites entrer.
Jeanne est introduite par deux soldats anglais.
CAUCHON : Cette femme qui vient de nous être amenée, Jeanne, appelée par le peuple la Pucelle, a été capturée sur le territoire de notre diocèse. Elle nous a été déférée, comme fortement suspecte d’hérésie, par notre très chrétien seigneur le roi d’Angleterre et de France. Comme le bruit de ses agissements contraires à la fois s’est répandu non seulement à travers notre diocèse, mais à travers toute la France et même toute la Chrétienté, nous l’avons traduite devant notre Tribunal, pour qu’elle nous en rende compte. Nous t’exhortons, Jeanne, à toucher ces Très Saints Évangiles, et à jurer de répondre conformément à la vérité aux questions que l’on te posera. Messire Massieu ! (Sur un signe de Massieu, Frère Raoul apporte les Écritures.) Tu jures maintenant sur les Évangiles, pose tes deux mains sur ce livre.
JEANNE : Mais je ne sais pas ce que vous allez me demander. Il se peut que vous vouliez obtenir de moi quelque chose que je ne dirai pas.
CAUCHON : Allons, allons, tu vas jurer maintenant de dire la vérité sur toutes questions touchant la foi.
JEANNE : Je veux bien prêter serment sur mes gens, sur mon pays natal, et sur tout avant que je sois allée à Chinon, mais sur mes voix et sur mes révélations, je ne dirai rien, dût-on me trancher la tête.
CAUCHON : Suffit, Jeanne. Nous te sommons purement et simplement de dire la vérité sur les questions touchant la foi, ainsi que l’exige le règlement en pareil procès. Donc :
JEANNE s’agenouille : Je jure de dire la vérité sur les questions touchant la foi.
Elle va s’assoir.
CAUCHON : Tes nom et surnom ?
JEANNE : Chez moi, je m’appelais Jeannette, en France, Jeanne, je ne sais rien d’un autre nom.
CAUCHON : Où es-tu née ?
JEANNE : À Domrémy sur la Meuse.
CAUCHON : Comment s’appellent tes parents ?
JEANNE : Jacques d’Arc et Isabeau.
CAUCHON : Quel âge as-tu ?
JEANNE : À peu près dix-neuf ans, je crois.
CAUCHON : Qui t’a enseignée dans ta foi ?
JEANNE : Ma mère, tout : Pater Noster, Ave Maria, Credo.
(…)
CAUCHON : Maître Jean Beaupère, professeur à la Faculté de théologie de Paris, nous vous chargeons de poursuivre l’interrogatoire. »
(« Le procès de Jeanne d’Arc à Rouen, 1431 », Traduit de l’allemand par Claude Yersin,© L’Arche, 1968)
Sasseur vous écrivez :« D’autres prix Goncourt l’ont été (adaptés), et n’ont pas donné lieu à de grands films «
Vraiment ?
Je me souviens d’Henri Barbusse « le feu »(1916), je me souviens des adaptations multiples de Marcel Proust » (prix Goncourt 1919), , de l’adaptation réussie de Tavernier pour Capitaine Conan(1934) de Rober Vercel des « Grandes familles de Maurice Druon ( Goncourt 1948) adapté par Denys de la Patellière-avec Gabin et Brasseur ,je me souviens de » Week end à Zuydcoote » de Robert Merle (1949) , adapté par Henri Verneuil et de « Léon Morin prêtre » de Beatrix Beck(1952) belle adaptation de Jean-Pierre Melville en 1961 avec Belmondo , et « Les racines du Ciel » de Gary (1956), adapté par Costa-Gavras avec Romy Schenider et Yves Montand. « La loi » de Roger Vailland (Goncourt 1957) a été adapté au cinéma par Jules Dassin en 1959, avec Gina Lollobrigida, et Mastroianni. Il y eut aussi « L état sauvage » de Georges Conchon(1964) adapté par Francis Girod et l’auteur. Et le tres beau « La dentellière » ,de Pascal Lainé(1974), devenu film de Claude Goretta avec Isabelle Huppert.. .« l ‘amant de marguerite duras »(1984) devint un film de JJ Annaud .En 2016, « Chanson douce » de Leila Slimani adapté au cinéma en 2019 par Lucie Borleteau ,avec Karin Viard,
Je regrette que « La condition humaine » de Malraux(Goncourt 1933) n’ait jamais , à ma connaissance, été tourné.
Thibaudat tempère sur la bio de Brecht par Fuegi, car il n’aime pas qu’on égratigne une de ses idoles.
Je lisais récemment mon Dosse, il y est question d’un certain Henri Béraud, qui n’a dû sa survie sous l’épuration qu’à l’intervention de Mauriac auprès du général de Gaulle (les amis, dans la vie, C’est essentiel.)
Argumentaire de Mauriac : Béraud c’est le bon gars mais il s’est laissé aller à son goût pour la polémique.
Bref.
Sur le coup je me faisais l’observation que cette histoire de l’épuration est pleine de gens que plus personne ne connaît.
Et puis hier tout d’un coup je ne sais plus pourquoi je me suis souvenu que j’avais peut-être déjà entendu parler d’un certain Béraud – je ne sais plus où – auteur d’un roman à succès – que plus personne ne lit – et récompensé par le Goncourt : « Le Martyr de l’obèse ».
Je consulte sa fiche Wikipedia et là bingo : c’est le même.
* c’est essentiel
Je ne sais pas si j’ai mal lu mais l’épuration c’est 8.000 assassinats extra-judiciaires (dont Denoël et le père d’Hélène Carrère d’Encausse) et environ 700 exécutions judiciaires.
Quand même !
En parlant d’épuration je trouve la citation suivante de Modiano. Et je dois le dire j’éprouve les mêmes sentiments que l’écrivain. Ah ! les roulettes et les sacs à dos…
‘Paris, celui de Modiano, celui dans lequel il a fait flâner Jacqueline Delanque dans le roman Dans le café de la jeunesse perdue, pour ne citer que ce livre, lui semble méconnaissable. Il note dans La danseuse : « Les passants marchaient par groupes d’une dizaine de personnes, traînant des valises à roulettes et la plupart portant des sacs à dos ». Il s’interroge, entre stupeur, agacement et tristesse : « D’où venaient ces centaines de milliers de touristes dont on se demandait s’ils n’étaient pas les seuls, désormais, à peupler les rues de Paris ? »’
Pourtant Thibaudat est assez équilibré et sait argumenter, s’agissant de pointer une certaine brechtomania à laquelle il n’adhère pas. C’était pour respecter le contradictoire, Edel.
Vous avez vos » je me souviens », de cinémathèque, tout à fait personnels , dont certains figurent dans la liste donnée en lien, je persiste à penser qu’un roman Goncourt, ne fait pas un grand film de cinéma. Un bon téléfilm, a la rigueur..
Duras est le contre-exemple célèbre de cette mesinterprétation, son » amant de la Chine du Nord » est une réécriture du scénario. Peut-être même meilleur que son Goncourt.
Merci pour le lien avec Soleil Vert, JJJ. Sa recension est excellente comme description du contenu du livre, mais je trouve qu’il est un peu trop neutre. Quand il écrit « On a là un ouvrage culte qui oscille entre Kafka et Les temps modernes de Chaplin », c’est très juste, mais « Epépé » n’est pas un récit fantastique parmi d’autres, sinon je l’aurais déjà oublié. La perfection de la narration est le produit d’un talent hors du commun.
Se demander si c’est une métaphore de ceci ou de cela n’a pas grand intérêt pour le lecteur qui ne cherche pas nécessairement à relier ce qu’il lit à l’histoire littéraire ou politique.
« Epépé » est un livre passionnant, fascinant, difficile à oublier et cela me suffit.
Il est vrai qu’il reconnaît qu’il s’agit ‘un « ouvrage culte », ce qui le met de facto au-dessus de la mêlée.
que plus personne ne lit
Béraud est toujours lu par les universitaires spécialistes de la montée des fascismes, en particulier sa série « Ce que j’ai vu à Berlin, Vienne, Madrid .. Cure de langue piquante par le flâneur salarié des années 30 qui change des récits d’après-guerre épurés reconstitués.
FL, depuis que je vous dis ici que Paris n’est plus fait pour les Parisiens et que la capitale est en voie d’être muséifiée, comme Venise, Barcelone ou Lisbonne !
https://www.lelezarddeparis.fr/pietons-circulez
Un Bélier aux archives, c’est bien. Ça convient bien. Généralement ils mettent en place des systèmes informatiques de qualité, permettant de trouver facilement un document numérisé, selon des critères combinés.
Mais qu’est-ce qu’elle connait en matière de cinéma, la Sasseur !
Plus qu’un voyeur, en tout cas.
Et pour en revenir au scénario, j’ai bien aimé lire cette histoire belge, deux fois !, » au dos de nos images » des très talentueux frères Dardenne.
https://le-carnet-et-les-instants.net/luc-dardenne-film-ecrire/
Cut.
« Février 2002. Alors que la campagne présidentielle qui le verra accéder au second tour bat son plein, Jean-Marie Le Pen effectue une brève visite au Salon de l’agriculture. Brève, car il se fait siffler, traiter de « facho » et doit prestement regagner sa voiture ciblée par des agriculteurs. Un quart de siècle plus tard, le leader du Rassemblement national (RN), Jordan Bardella, peut envisager la même visite avec plus de sérénité. S’il risque d’être assailli, c’est par les demandes de « selfies », son domaine d’excellence.
Jusqu’au début des années 2000, le monde agricole, profondément ancré à droite, était décrit comme un rempart contre le parti d’extrême droite, car il lui apportait très peu de voix… »
(Les Echos)
ça change, comme ça change aussi pour les cadres et les retraités qui, eux aussi n’apportait que très peu de voix au FN, puis RN…et aujourd’hui, ça monte, ça monte chez tout le monde…Demandez vous pourquoi ça change…
Mais ce n’est surement pas le boycott, qui rendra leur vie encore plus difficile, qui détournera les agriculteurs du RN!
« Faut-il réduire l’Angleterre en esclavage ? », le chef d’œuvre de l’obscur Henri Béraud, que les Anglais considéraient comme tellement nul et non avenu, qu’ils n’ont pas jugé utile de le buter, même dans le dos.
L’attrait pour les médiocres, comme la tique sur le clebs.
Si je comprends bien, à part Duras, personne n’est digne de Marie Sasseur. prévisible. Je pense que le « vœu pieu » de Bloom est un « vœu pieux ». Et que le Rober Vercel de Paul Edel doit être Roger . Bien à vous. MC
PS Soleil Vert , très bien l’article de Klein. Je soupçonne notre sorcière nationale de ne pas l’avoir lu,,,,
Le léZard vous recommande ce premier long métrage coréen, à l’exception peut-être de ceux qui connaissent des troubles du sommeil !?
Le vieux pangolin moche et méchant fait bien de mettre au conditionnel une des énièmes saloperies. Pas de si, le concernant. Un harceleur, un imposteur, antisémite, à la comprenette plus que limitée, qu’il aille troller chez monsieur le cadre et arrête de croire qu’on lit toutes ses conneries du diocèse de la messe en latin, pour lesquelles il faudrait une armée de fast checkers.
______
Bloom, sans vous commander, la préface de Passou au « flâneur salarié », est un modèle du genre…la vieillesse (embourgeoisee après Goncourt) est un naufrage. Ceux qui aiment continueront à le lire pour de bonnes raisons, la nostalgie du reportage un peu en freelance, a responsabilité limitée…les autres changeront de quai.
Ce qui est incroyable, Closer, c’est l’incapacité de la droite ou du centre-droite ordinaire à se remettre en question. Des incompétents, non seulement, mais doublés d’un orgueil démesuré.
Comme si un élève ayant été doué en CM2, mais se trouvant en difficulté en 3ème, s’indignait que ses camarades meilleurs que lui ne redoublent pas et passent en seconde. C’est d’une puérilité ! Quabd ob a été mauvais, on a été mauvais. Point barre. On se remet en question, on travaille. On essaye pas de jouer les bonimenteurs.
« bonimenteur ».
Vous devez bien avoir ça dans vos dictionnaires, Monsieur Charoulet ?
« Je suis avec vous ».
« Je ne vais pas vous abandonner. »
Etc.. issu du flot verbal du monsieur du salon manches de chemises relevées.
Quabd ob a été mauvais
—
Pas aussi mauvais que Quodb bo, tout de même, quand il dit que:
Aperantlyyarinatarriblementalstatemateyandshoudreporttoa&eatdeearliest…
Entre nous, D…, bien que je ne me sente nullement concerné par vos prises de position politiques courroucées, je ne vois pas pourquoi, quand un chef d’état n’a fait que des conneries au nom d’une droite des plus élastiques depuis cinq ans, il lui faudrait aujourd’hui politiquement s’aligner sur l’extrême droite, déjà qu’il nous en a pas mal infecté.
Comme si le front national n’allait pas être acculé à conduire la même politique de bric et de broc que celle de Macron, quand ils seront ENFIN (?) aux commandes.
Meuh —, pauvre franciade, tombée si bas du plafond au plancher.
Dear Bloom, vous faites du Béraud dans ses mauvais jours. Ne jamais dédaigner les témoignages d’époque, l’anglophile Larbaud admirait l’Italie de Mussolini, vice impuni.
BLONDES
Pendant le COVID, la France a perdu neuf blondes sur dix : les coiffeurs étaient fermés.
Qu’est-ce que vous racontez, Bloom ?!
Vous avez bu ?
Macron au salon, c’est comme Agnan dans le Petit Nicolas. Il croit que parce qu’il a des lunettes il peut tout se permettre. Eh ben non.
J’ai de sérieuses références littéraires, moi. Et je sais m’rn serbir.
On aura compris que vous êtes dans votre élément avec les crapules antisémites, nazies, fascistes, et collaborationnistes, dear Phil.
Ne pas humilier les perdants.
De grands écrivains scénaristes : Jean Giono qui a écrit le scenario, assuré la mise en scène et la production de Crésus (1960), avec Fernandel ??
Mais si on prend les choses par un autre bout, le catalogue de la Série Noire est constitué d’écrivains qui ont écrit pour le cinéma, qui ont façonné des personnages essentiels du cinéma, qui pour beaucoup vivaient sur place à Holywood. Sans citer de noms des vedettes du premier rang déjà mentionnées: Don Tracy, Horace Mc Coy, WR Burnett (plusieurs dizaines de films!) etc. ; ou Ed Mc Bain qui a écrit le scénario des Oiseaux de Hitchkock et le cycle du 87eme District, le modèle de la série avec tous les personnages d’un commissariat de police qu’on retrouve d’épisode en épisode et qui a quasiment envahi toutes les chaines de télévision).
lmd, ne pas oublier ce chef-d’oeuvre de Jean Giono !
Un Roi sans divertissement, film de François Leterrier, scénario de Jean Giono, avec Charles Vanel, Albert Rémy et Rene Blancard (1963).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Un_roi_sans_divertissement_(film,_1963)
Mephisto est un bon film, (d’)après un bon livre, dear Bloom.
Le premier à avoir parlé de ces mystérieuses formations est le naturaliste Charles Darwin lors d’une traversée de l’Amérique du sud en 1830 : les pénitents rendaient les déplacements des mules difficiles, voire impossibles dans certaines zones.
« pénitents de neige », un mystère dans le désert
Les pénitents sont aussi possibles dans d’autres massifs montagneux, comme les Alpes, l’Himalaya et le Kilimandjaro. Mais ils sont beaucoup plus impressionnants dans les hauts déserts d’Amérique du sud, en particulier lorsque le blanc des pics contraste radicalement avec le sable orange. Le paysage apparaît alors comme irréel et digne d’un monde issu d’un film de science-fiction.
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/meteorologie-phenomene-meteo-extraordinaire-penitents-neige-mystere-desert-111659/?utm_source=nl_hebdo&mgo_eu=mdg-4917645294233700143&nl_optin=optin_futura_hebdo&mgo_l=J7G0iRNZSmufMLoKzC9Z2Q.5.0&utm_campaign=science&utm_medium=email&md5=3f61450b4cf08e9d44ccf6c2f649e776&utm_content=www.futura-sciences.com%3anewsletter%3a%3ahomepage
« Courageuse femme iranienne » :
Perso, je dois peut-être être une rareté, je préfère cent fois les premiers livres de Giono à ceux d’après guerre. Regain vs le Roi sans divertissement. Virgile contre Cicéron. Bref. Amours de midinette contre introspection masculine, si l’on veut caricaturer. Ou bien… Ingénuité contre domination ? Va savoir.
Saura;
Porque te vas (1976)
https://www.facebook.com/Nostalgies607080/videos/jeanette-porque-te-vas-1976/3533145990082122/
Ou peut-être suis-je juste une femme qui lit Giono ? (putain, Jjj, ça me manque déjà, les « ahaha »).
« Porque te vas (1976) »
Combien de fois nous avez-vous déjà mis ce lien, et alii ?
saura raconte:
Carlos Saura Interview
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19268478&cfilm=160.html
Réponse populaire :
le sujet du billet , ce n’est pas « je me souviens »
quand j’ai planté mon « autre »dans la sale de cinéma où je l’avais acompagné, et suis sortie, seule:il n’avait jamais imaginé que j’en serais capable!
et pourtant, je l’ai fait!
la salle
les doubles lettres sont un cauchemar pour mon ordi
wiki présente ainsiSUGIMOTO/
Commencé en 1978, la série Theatres représente d’anciennes salles géantes de cinémas américains dont subsistent les décors et la scène de l’époque du cinéma muet. Le prise de vue de chaque image dure pendant la projection complète du film, le film (donc le projecteur du cinéma) fournissant l’unique source de lumière. L’écran lumineux, intensément blanc et la pénombre enveloppant les sièges du cinéma donnent un aspect irréel a ces compositions, dramatisant les images et soulignant le temps qui passe au travers de la photographie, technique de l’instantané. Ces images documentent également ces cinémas et leurs les détails décors architecturaux en voie de disparition. C’est aussi une mise en relation et en abime de la photographie, du cinéma, du film, de l’écran, de la mise en scène et de l’appareil lui-même, dont l’intérieur s’apparente en réduction à la salle de cinéma. Sugimoto complète également cette série de prises de vues de drive-in.
salle cinéma Sugimoto
Cinéma de la rue Cabot, Beverly, Massachusetts
https://www.sothebys.com/en/buy/auction/2023/pier-24-photography-from-the-pilara-family-foundation-day-sale/cabot-street-cinema-beverly-massachusetts
accompagné j’ai vu!,et l’ordi me refaisait le coup!
Quelle pitié les amis de Poutine :
BOILEAU VU PAR FLAUBERT
(Boileau) C’était un maître homme et un grand écrivain surtout. Mais comme on l’a rendu bête !
Quels piètres explicateurs et prôneurs il a eus ! (Flaubert, Lettre, 30 septembre 1843)
« et pourtant, je l’ai fait ! »
Bravo, et alii !
@ (putain, Jjj, ça me manque déjà, les « ahaha »).
Bravo CT, vous l’avez presque fait -> Il faut persister pour la rdl recon-naissante ! Bàv, tchin
Il est vrai que les journalistes de l’audiovisuel ne sont pas les meilleurs professionnels que l’on puisse trouver, et tout à fait discutables en matière de neutralité.
Étonné que dans une interview Glucksmann puisse être mal traité : questions stupides, préjugés sur son statut social et ainsi de suite.
Interview qui contrastait avec celle dédié à un triste personnage d’extrême droite qui lui, par contre, a été très bien traité, flatté même.
Il faudrait faire précéder les « ahaha » de « je dis ça, je ne dis rien », JJJ !
Ou p’tain.
@Il faudrait faire précéder les « ahaha » de « je dis ça, je ne dis rien », JJJ !
Le RN (crédible)sur un malentendu ? … no shit
https://www.youtube.com/watch?v=_lwntq-qN5I
Closer ne neutralisez pas des velléités de réforme! MC
Évidemment, la dictature de la transparence pour une enfant adultérine qui a vécu cachée jusqu’à quel âge ?
Eh non, Jean Edern Hallier n’est pas taré, Madame, mais vous, êtes la fille d’un traitre du socialisme et de la gauche qui nous a tant fait rêver. Personnage à l’ego démesuré ; que reste ‘il de votre père ? Pour ma part, une immense amertume.
Le lien de l’Ina
https://www.instagram.com/reel/C3sz8Uaog7s/?igsh=ajR1bnR1ajdoaGhl
Né le 25 février 1947
@ça change, comme ça change aussi pour les cadres et les retraités qui, eux aussi n’apportait que très peu de voix au FN, puis RN…et aujourd’hui, ça monte, ça monte chez tout le monde…Demandez vous pourquoi ça change…
De l’enfumage. Quand les tocards du parti des RNeux auront enfin désintéressé leurs créanciers et remboursé leurs dettes, s’ils y parviennent un jour, ils s’attaqueront aux finances publiques … la carambouille à grande échelle
un titre de geopolitique de l’express
Géopolitique
Et si demain la Chine envahissait Taïwan ? Un scénario qui changerait la face du monde
sur mediapart
Sous le mot-dièse #MeTooGarçons, lancé par le comédien Aurélien Wiik, les témoignages d’hommes victimes de violences sexuelles affluent. Longtemps, ces récits ont été inaudibles, notamment en raison des stéréotypes liés à la masculinité.
Non. L’alcoolisme est grave mais se soigne, même si comme pour toutes les addictions, les récidives sont fréquentes et peuvent conduire à la mort.
Alzheimer ne se soigne pas et évolue toujours défavorablement.
Dans l’ordre :
Cupidité, l’argent
L’alcool.
Hypocondrie
Maladie d’Alzheimer
Cardiopathie,
Intestins
Pancréas.
Aujourd’hui, ai rencontré nombre de gens heureux, et beaux, de jolies coupes de cheveux, madame jazz qui re émerge, deux fils magnifiques et j’ai eu une maman, aux pieds soignés, qui au scrabble a fait scrabble : RESISTAI.
Au même titre que nous ne parlons pas des livres que nous n’avons pas lus, ne fantasmons pas sur des sujets en jachère : rien n’est irrémédiable. À l’exception de la mort.
Seul blème dans cette ambiance apaisée, encore une fille archi-pénible avec sa mère, plus le désir/la décision de vendre son appartement. Cela est classique.
Sous le mot hashtag : eh bien il était temps !
Phishing
Ficher
C’est un viol de la vie privée d’autrui.
Pas autorisé par la loi.
Zeugma : café/inquiétude.
J’aurais dit métonymie ou anacoluthe. Mais c’est peut être zeugma.
2003, c’était il y a vingt ans, l’an dernier.
Prohaska, Monteverdi :
@ PE / et vous nous avez oublié de lister P. Lemaitre, d’Au revoir là-haut (Goncourt 2013) mis en scène par A Dupontel (en 2017)… Une nouvelle paille dans la poutre de la grognasse borgne !
@ Vu ce soir le film Le successeur (X. Legrand). Une tuerie à chier comme rare ! Le lézard vert nous a-t-il balayé cette merde ?
BNàv
Excusez ces vulgarités publiques, mais il y a des moments, on est bin obligés.
(allez, Je sors, jeudi ça, j’ai rin dit, p’tain, ahahahaha. La fille du jean-edern fou Hallier, de quoi ?)
et il est certain que Monteverdi, avant d’aller se coucher et de vérifier les poules (sic), c’est trop coule ! Merci pour cet apaisement. Arcangelo Corelli, c’était pas mal judicieux non plus. Bàv,
Nuria Rial & Philippe Jaroussky – Handel: Io t’abbraccio
Duras. .,. Et Passou, bien sûr.Ah cette préface du Flâneur Salariec« Mais, en comprend —on bien comme moi la finesse ?/Et pensiez-vous, Monsieur, y mettre tant d’esprit? » Quand la critique se modèle sur « les Femmes Savantes », on a ça..,, MC
Et Passou, bien sûr
Bien sûr :
Blog de Pierre Assouline du 30 juillet 2007
http://passouline.blog.lemonde.fr/2007/07/30/luniversel-reportage-selon-beraud/
Duras, et puis Godard, bien sûr.
Anatomie d’un modèle : Duras/Godard – Cinéma/Littérature
Duras et puis Godard, parce que c’était lui, parce que c’était elle.
« Trois dialogues inédits. Durant une période de près de dix ans (1979, 1980, 1987), Marguerite Duras et Jean-Luc Godard poursuivent une conversation sur leur pratique de la littérature et du cinéma, et sur les relations complexes qu’entretiennent ces formes de création. »
Quand le MaCaque faire du harcèlement, lui se prendre un pain dans la gueule.
Bonjour Damien vous êtes en zone de décontamination ? 😉
« Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a dénoncé de son côté une « inquiétante légèreté présidentielle » sur son compte X : « Soutenir la résistance ukrainienne oui. Entrer en guerre avec la Russie et entraîner le continent. Folie », a-t-il insisté.
Un terme repris par Jean-Luc Mélenchon. « La guerre contre la Russie serait une folie », a dénoncé le leader de la France insoumise dans la nuit de lundi à ce mardi, jugeant « irresponsables » les déclarations d’Emmanuel Macron. »
On se souvient que la gauche était contre l’envoi de troupes dans la guerre d’Espagne !
Paul Edel, ce n’est pas le Goncourt de Romain Gary « Les racines du ciel » que Costa Gavras a porté à l’écran mais « Clair de femme » du même.
Un peu plus compliqué qu’il est présenté supra, dans une réduction simpliste.
« En France, le Front populaire a été élu le 3 mai 1936. À la suite de l’insurrection militaire des 17 et 18 juillet 1936 en Espagne contre le gouvernement républicain, le premier ministre Léon Blum, de tout cœur avec les Républicains, reçoit leur demande d’assistance le 20 juillet. Il y répond d’abord positivement, mais doit faire marche arrière devant l’opposition de la droite, des radicaux (Édouard Herriot), du président modéré Albert Lebrun et du Royaume-Uni. Selon le témoignage de Jules Moch, Léon Blum avait choisi initialement de « gagner le premier quart d’heure » : il fallait écraser le mouvement insurrectionnel dans l’œuf, mais pour cela, aider la République espagnole discrètement. Or, l’attaché militaire à l’ambassade d’Espagne en France révèle le projet d’envoyer vingt-cinq avions, ce qui déclenche une très violente campagne de presse, animée notamment par L’Écho de Paris et L’Action française.
La position du Royaume-Uni fut déterminante et aurait affirmé qu’en cas d’intervention française en Espagne, la France ne pourrait plus compter sur l’aide des britanniques face à l’Allemagne. Enfin, Il est également essentiel de ne pas écarter le traumatisme de la société française lié à la Première Guerre mondiale.
(…)
Côté britannique, les élites, dirigés par gouvernement conservateur de Stanley Baldwin, voient l’Espagne comme un pays en pleine révolution « communiste ». De plus, tout est fait pour éviter un conflit avec les puissances totalitaires, et on pense qu’en étant conciliant avec l’Allemagne, on peut encore arriver à s’entendre avec Hitler sur ses ambitions expansionnistes. »
Wiki
« @ Vu ce soir le film Le successeur (X. Legrand). Une tuerie à chier comme rare ! Le lézard vert nous a-t-il balayé cette merde ? »
Pas encore vu, JJJ.
Dois-je m’en passer ?
Je vous recommande plutôt, cette semaine, « Sleep » de Jason Yu.
https://www.lelezarddeparis.fr/troubles-nocturnes-a-seoul
Quand l’Histoire repasse les plats à gauche, cela donne, à l’arrivée :
« De plus, tout est fait pour éviter un conflit avec les puissances totalitaires, et on pense qu’en étant conciliant avec la Russie on peut encore arriver à s’entendre avec Poutine sur ses ambitions expansionnistes. »
C’est curieux, la page du Monde sus- mentionnee par Sasseur avoue son impuissance à trouver quoi que ce soit quant au blog sur Béraud fièrement brandi par Sasseur….Trop ancien, sans doute? Cela dit , le Martyre de l’Obèse, le Bois du Templier , valent bien la prose et l’impudence Sasseurienne, d’autant que Beraud , lui, sait écrire! MC
Qui m’a fichu un pareil MaCaque aux trousses.
Qu’il prenne un abonnement sur un site bdsm, monsieur le cadre lui donnera la bonne adresse
______
J’ai le bouquin » le flâneur salarié » préfacé par Passou. Qui vaut mieux que la fiche wiki exhibée plus avant. Rhabillé pour la postérité, l’obèse.
Le MaCaque penche toujours du côté bien antisémite où il aime se vautrer.
ET IL a été dit que nous deviendrions des « belligérants »!oh, le mot terrible!
Les élections européennes étant proches, il fallait que les hypocrites sortent du bois ; et ça a fonctionné.
J’imagine que peu le suivront sur cette pente. Entre ne pas aider suffisamment et envoyer des troupes, un espace à occuper.
Soyez indulgent dear M. Court, miss Sasseur découvre Béraud par la préface du prestigieux passou et change de crémerie. Gide en fin de vie avait une secrétaire du même encombrement, Léautaud, lui, couchait avec sa Marie.
si notre objectif est de « faire douter Poutine », nul doute que les « croyants », tous les croyants, sauront expliquer par quel genre d’ arguments leur croyance est atteinte
Je me disais aussi que Romy Schneider et Yves Montand en Afrique, ça faisait bizarre.
Cela dit, un film parfaitement raté, semble-t-il et tourné par un big game hunter, qui plus est.
http://francois.henry1.free.fr/huston/heaven.html
hier, un homme qui avait l’air sérieux et connaissait son affaire déclarait qu’il faudrait passer de 3000 ( prévus) missiles fabriqués par la France en un an à 30 000 alors que le besoin se situait largement au-delà. Actuellement le pays en fabrique un peu plus de 1000. EM et ses envolées lyriques, juste envie qu’il se taise un peu plus.
Gide, excusez moi Phil, quelques difficultés à lui pardonner ses enfants malgré son génie littéraire. Y compris en pensant qu’il n’était pas responsable de sa définition, de sa substance de pedophile.
Le philopède soigne sa deviance sexuelle.
Dear B, un sujet à la fois. Découvrez Gide dans le portrait cinéma réalisé par son neveu Marc Allegret qui couchait avec son oncle de plein gré.
Et les petits arabes vendus par leur père? Un élément de la tradition?
qui se perpétue d’officiels en touristes déviants à moins que ce ne soit l’inverse.
J’ai récemment survolé le désert du Taklamakan, l’un des plus anciens sur Terre et de très mauvaise réputation. J’avais pourtant aimablement demandé au pilote de ne pas choisir cette route mais il l’a quand même fait, le con.
Dès le début du survol, qui a duré plus d’une heure, j’ai ressenti de très mauvaises ondes. Lesquelles ont cessé à ja fin du survol.
Ce lieu est incontestablement maudit. Je ne sais pas précisément ce qu’il s’y passe ou ce qu’il s’y est déjà passé, mais il est très clair pour moi qu’uve foule d’entités plus ou moins maléfiques y errent ou bien s’y dissimulent. Si tu as des infos là-dessus, Pablo, je suis preneur.
leurs pères.
Cette nuit, j’ai rêvé de Pierre Assouline. Il me regardait de loin avec une certaine méfiance. J’aimerais bien savoir pourquoi.
il ne vous avait pas reconnu, c’est évident ! Sinon comment expliquer ceci, étiez-vous armé? Déguisé en trans ou en soldat de Wagner?
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