de Pierre Assouline

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La République des livres
Laissez partir les morts…

Laissez partir les morts…

Il y a des écrivains avec qui des lecteurs ont passé un pacte. Ils les suivent depuis longtemps, parfois depuis leurs débuts, leur demeurent fidèles avec plus ou moins de bonheur, les retrouvent à chaque nouveau livre avec un plaisir mêlé d’appréhension non par crainte d’être surpris mais par peur d’être déçu. Et cela dure ainsi pendant toute une vie de lecteur… Entendons-nous bien : quoiqu’on attende de lui, et certains même se croient en droit d’en attendre une certaine qualité d’écriture voire un certain type de livre, un auteur ne nous doit rien, il n’a aucun compte à nous rendre. Le pacte entre l’un et l’autre existe pourtant bien. Implicite, il ne procède d’aucun contrat. Aussi invisible que mystérieux, il relève d’une promesse non formulée. Jusqu’à ce que le lecteur de décide de le rompre- ou pas.

Ce pacte, c’est ce qui m’a fait lire Le Lièvre (148 pages, 15 euros, Gallimard), bref texte dont le titre ne dit rien et la quatrième de couverture pas grand-chose. Faut-il que ses romans (Des choses idiotes et douces), ses essais, ses poèmes, ses directions d’ouvrage (la Bible des écrivains) et ses traductions (Virgile, Shakespeare, saint Augustin) m’aient souvent emporté plus loin que moi, qu’ils m’aient aidé à me dépasser, pour qu’une fois de plus je fasse confiance à Frédéric Boyer au point de lui accorder quelques heures de ma vie. Car c’est bien cela que l’on sacrifie en choisissant d’entrer dans un livre : un saut dans l’inconnu et une part de notre existence.

Tout écrivain devrait le savoir : ce qui a été écrit les larmes aux yeux se lit les larmes aux yeux. C’était déjà vrai de peut-être pas immortelle que Boyer avait écrit après le décès accidentel que sa compagne la philosophe Anne Dufourmantelle. Si ça l’est un peu moins du Lièvre, c’est que les larmes sont elles-mêmes au centre de ce récit. Les larmes, leur retenue, leur refoulement et cet irrépressible empêchement de pleurer quand on est un homme au motif que Dieu vomit les tièdes. Tant pis pour Lui : il fait bon demeurer parmi eux :

« Les rescapés. Les enfants qui n’ont pas grandi. Les familles qui n’ont pas toujours eu les mots ni les gestes qu’il aurait fallu ».

Qui sait si le salut de leur âme ne les guette pas aussi. C’est si difficile de laisser partir les morts. Pourtant, la quête de la légèreté est à ce prix.

A la faveur d’une consultation chez un thérapeute qu’il appelle « le chaman », un parisien à l’approche de la soixantaine, effondré par deux violents deuils successifs, retrouve en lui l’enfant de 12 ans qu’il était au début des années 70. Son héros était alors le voisin de la maison familiale quelque part dans la banlieue de Toulouse. Une grande gueule, trouble, louche, ambigüe et charismatique, qui l’emmenait avec lui dans sa Renault Torino à la chasse dans les forêts gasconnes. Un jour, ils tuent un lièvre. Son baptême du feu. L’homme l’attribue à l’enfant pour le rendre fier de cette victoire, mais l’enfant en est embarrassé, il la rejette, il ne veut pas de ce sang de l’animal blessé à mort. Le voisin clame partout avec fierté que l’enfant a eu le lièvre mais l’enfant, qui sait que ce n’est pas vrai, fait semblant alors qu’il aimerait tant ramener à la vie l’encombrant cadavre de ce petit animal que les Anciens avaient érigé en totem de l’amour et de la résurrection. Avec une touche de pensée magique, le lièvre est fait agnus Dei.

Un jour le voisin disparait sous ses yeux. La police l’emmène on ne sait pas pourquoi. Dès qu’il a gagné la prison, sa femme a déménagé. Finies les grandes virées. Il disait que tuer n’était pas une décision mais une chance, un cadeau qu’on ne peut refuser, il suffit de mettre de côté la conscience et ses échappatoires. Cet homme était son professeur de liberté. Il fut le premier à le confronter à la violence des hommes et à la perte de l’innocence- mais à quel âge découvre-t-on vraiment l’idée de la perte ? Ce moment de sa vie y fit entrer le Mal et la mort. Le lièvre, dépecé et mangé, est mort et ressuscité. Telle est la dramaturgie tissée autour de ce souvenir remonté des ténèbres de ce pays perdu qu’est l’enfance longtemps après à la faveur de la mort des proches.

Ce récit plus poétique que réaliste, d’une beauté aussi discrète que saisissante, est bourré de remords et de regrets, d’émotions et de sensibilités, de larmes réprimées et de culpabilités, de terreurs intimes et de petites trahisons, de sacrifices et de renoncements, de nœuds et de dénouements -et de fantômes apaisés. Une telle osmose avec la nature, les animaux et les végétaux, ramène au Nouveau monde bien que le paysage très français d’un Lièvre se situe loin de la Virginie où le film de Terrence Malick fut tourné. Un filet d’eau l’irrigue de bout en bout. Des larmes le constituent. En s’écoulant, elles renvoient un seul et même écho : « Laissez partir les morts… ». Pas sûr que l’on s’en débarrasse jamais quand ils ont fait ce que nous sommes.

Roman, récit, conte ou fable, peu importe : ce n’est pas un livre touchant mais un livre qui nous touche et nous trouble durablement. Car c’est bien de la mort qu’il s’agit, celle des autres. L’arrière-pays de Frédéric Boyer, c’est l’entre-deux morts. Son Lièvre a la vertu et la générosité de ces grands petits livres qui ressuscitent d’anciens et toujours vifs bonheurs de lecture. Dans mon cas, c’est L’éloquence des larmes (Desclée de Brouwer, 2000), essai croisant peinture, musique, littérature qui disait comment la beauté, comme la mort, peut mystérieusement aider à vivre. Bref, limpide, cristallin, le livre avait été écrit à la lumière des tragédies de Shakespeare et de La Pesanteur et la grâce de Simone Weil. Son auteur Jean-Loup Charvet, historien de l’art et haute-contre formé par James Bowman, dirigea l’ensemble baroque « Les passions de l’âme ». Comme l’écrivait son éditeur Benoit Chantre, qui se chargea du manuscrit : « c’est un chant devenu pensée ». Car Charvet avait laissé son livre inachevé, emporté à 37 ans par une tumeur au cerveau. Plus de vingt ans ont passé mais certains passages n’ont jamais quitté ma mémoire :

« Si la musique a tant de force dans la représentation des larmes, c’est qu’elle rend le silence sensible … On ne s’élève pas en larmes car il est faux de dire qu’on tombe en larmes : on ne peut que fondre en larmes… Retient-t-on ses larmes où sommes-nous retenus par elles ?… Le gémissement, emblème sonore de la larme… La larme calligraphie de l’émotion… De l’éloquence muette et de cette sorte de joie qui fait pleurer… »

Mais vous pleurez, Milord ? Ça j’l’aurais jamais cru…

(« Funérailles shinto de l’acteur de Kabuki Danjuro, Tokyo, 1965 » photo de Henri Cartier-Bresson ;

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 093 Réponses pour Laissez partir les morts…

Janssen J-J dit: à

(Catherine Deneuve, qui collectionne les poules de porcelaine, céramique, bois ou faïence. Ma belle-mère aussi).
Chacun collectionne les siennes… Pas sa mère, ni la mienne…, Quant aux lièvres, meuh, va ta nène !…

Janssen J-J dit: à

vivre avec nos morts, c’était le message de delphine Horvilleur, qui nous tirait des larmes de bonheur et d’espoirs. Bàv,

Bloom dit: à

il disait que tuer n’était pas une décision mais une chance, un cadeau qu’on ne peut refuser, il suffit de mettre de côté la conscience et ses échappatoires.
Passou

Thème central du Thelma et Louise de Ridley Scott, film à la fois intemporel & largement en avance sur son temps.

D. dit: à

Une bien triste nouvelle.
Jean-Yves Lafesse est mort.

Jazzi dit: à

Tu pleures la perte de Lafesse, D. ?

Janssen J-J dit: à

Pourquoi ce Lambert s’était-il affublé d’un pseudo aussi ridicule ? N’ai jamais aimé ce genre de guignols fessus…, quoique n’ai jamais souhaité leur départ… Bàv,

rose dit: à

Passou

Aimé votre billet tout en sensibilité.

Jazzi dit: à

« Laissez partir les morts… »

Pourquoi cette expression me parait-elle aussi idiote que « Faire son deuil » ?

Jazzi dit: à

Le plus beau dans ce billet, c’est la photo !

Jazzi dit: à

« Le pacte entre l’un et l’autre existe pourtant bien. Implicite, il ne procède d’aucun contrat. Aussi invisible que mystérieux, il relève d’une promesse non formulée. Jusqu’à ce que le lecteur Se décide de le rompre- ou pas. »

Ce pacte existe aussi entre le spectateur et les réalisateurs et les comédiens dont on suit la filmographie au fil de temps. Et pour tous les autres arts en général…
Pour les acteurs, c’est d’autant plus émouvant qu’on les voit vieillir en même temps que nous !

Paul Edel dit: à

Artiste de la pudeur, du contrôle, de la brièveté précise, de l’ellipse, de la discipline Tchekhov, qui passait sa vie à soigner enfants, vieillards, femmes tuberculeuses-comme lui- et ne pouvait pas se permettre de s’attendrir sur un moujik à qui on devait couper un bras ,mais établir un diagnostic clair, prendre les dispositions prophylactiques, etc. En littérature il exigeait la même distance avec les drames humains. .Il ne les ignorait pas, loin de là, les voyant tous les jours dans son cabinet médical ;mais il se méfiait -et même davantage- de la sentimentalité en littérature.
Il gardait son œil de médecin en tant qu’auteur, et chérissait l’impersonnalité de Flaubert. Il écrit à Souvorine souvent dans ce sens : »La subjectivité est une chose terrible.il ne faut se mettre à écrire que lorsqu’on se sent froid comme la glace. « Il affirme aussi :« L’artiste devrait être non pas le juge de ses personnages et de leurs dires, mais seulement un témoin impartial. »

et alii dit: à

Histoire des larmes XVIIIème-XIXème siècles – Poche
Anne Vincent-Buffault
« De l’oeil humide aux flots de pleurs, du regard brouillé aux sanglots, les larmes manifestent l’émotion. Elles ont aussi une histoire, qui permet de réfléchir aux manières subtiles ou contraintes, selon l’époque et la société, de les utiliser. A partir de sources littéraires, médicales, judiciaires, de journaux intimes, de traités de savoir-vivre et de manuels d’éducation, ce livre montre un XVIIIe siècle aux larmes facilement versées en public et un XIXe siècle où chacun aime pleurer dans le secret et la pudeur, et qui, dans sa seconde moitié, va tenter de mettre de l’ordre dans les pleurs.
Devenues inquiétantes, les larmes sont suspectes et les femmes au centre du discours : victimes ou manipulatrices de leurs larmes, leur puissance émotive doit être contrôlée… » Anne Vincent-Buffault a écrit une page magnifique de cette grande histoire de l’économie des signes corporels et des gestes de l’émotion, depuis peu en gestation. » (Alain Corbin Anne Vincent-Buffault, historienne, consacre ses recherches à l’histoire de la sensibilité.

et alii dit: à

gare à  »
combien « la conception lacrymale de l’histoire juive »
même si:
Il ne s’agit pas ici de simples pleurs, car Yossef était un homme fort, courageux, autoritaire, respecté de toute l’Egypte. Mais la Torah nous rapporte, malgré tout, que Yossef ne pouvait se contenir.

L’essence de Yossef, et du Am Israël, c’est le pleur. C’est une spécificité propre au peuple juif. Mais le pleur de Yossef est tout-à-fait particulier. Il n’est pas lié à la souffrance ou à l’émotion de l’instant.
https://www.espacetorah.com/audio_type/les-larmes-la-specificite-du-peuple-juif/

Paul Edel dit: à

Pas d’accord avec ça: » ce qui a été écrit les larmes aux yeux se lit les larmes aux yeux. « 

Jazzi dit: à

« L’artiste devrait être non pas le juge de ses personnages et de leurs dires, mais seulement un témoin impartial. »

C’est d’ailleurs la meilleure façon de faire couler les larmes du lecteur, Paul. Ainsi, avec un « Coeur simple » du tendre Gustave.
Rien de pire que les auteurs larmoyants !

D. dit: à

Oui je pleure la mort de Lafesse.

Jazzi dit: à

Est-ce que ce qui a été écrit la merde au cul se lit la merde au cul ?
That is the question, dirait Phil !

Jazzi dit: à

Essuies-toi, D. !

lmd dit: à

Pierre Assouline énonce ce témoignage de confiance fait à l’auteur, «lui accorder quelques heures de ma vie». C’est l’essentiel de la question de la lecture. Acheter un livre (ou même la bibliothèque où le mettre) ce n’est rien ; mais y consacrer 10 on 15 heures qu’on ne consacre pas à autre chose, c’est cela qui pèse.
On doit choisir de lire, et c’est ce qui fait qu’ici on enjambe les commentaires (ou, surtout, les extraits proposés) dont on voit immédiatement qu’il faudrait les avoir lus pour savoir s’il était nécessaire de les lire.

Jazzi dit: à

Quoique résidant dans Paris intra-muros, Hector a tenu à conserver sa voiture.
C’est son principal luxe.
Comme il ne s’en sert pratiquement jamais, et afin de la faire rouler, nous partons quelquefois nous promener hors les murs de la ville.
Ainsi sommes-nous aller nous balader hier en forêt de Ferrières (77), aux abords du château des Rothschild.
Sur la route, nous devions d’abord sacrifier à l’un de ses rituels estival annuels : cueillir des brins de blé mûr, censés apporter argent et prospérité dans la maison.
Après le 14 juillet, l’usage veut que les moissons soient faites partout en île-de-France.
Mais la saison ayant été fort humide, nous avons pensé que nous pourrions avoir encore toutes nos chances.
Vers les nouvelles constructions, qui ont poussé comme des champignons sur les anciennes plaines agricoles entourant EuroDisneyland, nous avons découvert, entre moultes grues, un superbe champs… de blé non moissonné !
Après nous être assurés que par ce temps de canicule du début de l’après-midi il n’y avait aucun agriculteur à l’horizon et que nous ne risquions pas de coups de chevrotine, nous avons procédé à notre récolte.
Ayant prélevé mes sept brins traditionnels, j’ai dit à Hector, d’un air désabusé, que jusqu’ici je ne m’en étais jamais trouvé plus riche.
« Pas moins, en tout cas ! », m’a t-il répondu d’un ton qui n’appelait pas la moindre réplique.
Je me le suis tenu pour dit…

Marie Sasseur dit: à

« On doit choisir de lire, et c’est ce qui fait qu’ici on enjambe les commentaires (ou, surtout, les extraits proposés) dont on voit immédiatement qu’il faudrait les avoir lus pour savoir s’il était nécessaire de les lire. » le lmd

C’est une proposition du magazine lire de l’été. 15 extraits dans un tiré à part.
Bonne idée. Même si cet échantillonnage sera sans suite, pour ce qui me concerne.

Je ne comprends rien de ce nouveau genre  » livres pour se faire pleurer » proposé dans le billet de Passou.
Plutot une idée romanesque du genre pour s’énerver.

Allez Passou, faut pas pleurer comme ça.

https://youtu.be/DvnC2cQvrpU

rose dit: à

Les larmes lavent l’âme.

Paul Edel dit: à

J’ai le sentiment que Pierre Assouline avec  » «lui accorder quelques heures de ma vie» indique clairement que le travail de Juré Goncourt absorbe une quantité d’heures énormes qui pose problème pour un journaliste, écrivain, blogueur car un certain nombre d’heures de lecture sont en pure perte. On comprend les défections de Debray ou de Virginie Despentes, qui préférèrent consacrer leur temps à poursuivre leurs œuvres plutôt qu’à lire bons ou mauvais textes tout l’été. On ne peut qu’admirer le rythme de Pierre Assouline qui tient son blog si régulièrement, professe, écrit avec régularité, travaille pour des revues, et lit intensément pour le Goncourt.
Il faut savoir que les heures de lectures d’un critique littéraire ou d’un juré pour la rentrée de septembre est un gouffre. En vieillissant, le temps devient une valeur suprême .Il est compté. Les kilos de jeux d’épreuves entreposés dans le coffre de la voiture pour le départ en vacances ralentissent le trajet des plus puissantes cylindrées de nos jurés d’automne. Le risque de devenir un lecteur forcené , barricadé, sourd, muet, enfermé dans un bureau éloigné de la cuisine, et de la chambre des enfants ou petits-enfants , est immense. L’isolément du lecteur de fond au sein de sa famille est si grand qu’on a vu des couples éclater, des enfants ne pas comprendre la porte fermée du père enfoui dans le papier. Divorce en vue. Un lecteur tourne le dos à la société, il coupe avec à sa famille, à ses amis. Juré il risque de se brouiller avec son ou ses éditeurs s’il n’apprécie pas certains auteurs, c’est un métier à risques qui demande bcp de diplomatie. La lecture rapide ressemble à une sorte de dopage intellectuel, c’est tout à fait particulier.
Je comprendrais assez bien une certaine lassitude de PA bien sûr. Ajoutons qu’il y eut des Jurés Goncourt, jadis, dans des temps reculés, -prestigieux écrivains sans conteste- qui trichaient, lisaient à peu près rien, et s’en remettaient aux conseils de leur éditeur, ou d’une attachée de presse, mais ça, c’était avant.

rose dit: à

Il y a les gens sérieux et les autres.
Pierre Assouline est des premiers.
Certains bouquins étant des pensums,il faut grande force d’âme et goût du travail affirmé.

Marie Sasseur dit: à

« Les kilos de jeux d’épreuves entreposés dans le coffre de la voiture pour le départ en vacances ralentissent le trajet des plus puissantes cylindrées de nos jurés d’automne. »

Ah d’accord Passou pleure sous le poids d’une clé Usb…

Marie Sasseur dit: à

« Le risque de devenir un lecteur forcené , barricadé, sourd, muet, enfermé dans un bureau éloigné de la cuisine, et de la chambre des enfants ou petits-enfants , est immense.  »

Cette vie de galérien, que nous décrit Paul. Encore plus triste pleurer que celle des ouvriers qui ne passent de la cuisine à la chambre,ou inversement, qu’à heures fixes.

Janssen J-J dit: à

Nous compatirons toujours avec la conscience professionnelle des gens en général et des critiques littéraires en particulier – « Pas pleurer comme ça »… d’autant qu’ils ont déjà primé Lydie Salvayre… – « les attachées de presse, ça c’était avant », PE. j’aime bcp votre humour !… – C’est Mme HCd’E qui fut à l’origine de « la covid »… Fred Boyer ? – moi je n’lui pardonnerai difficilement la traduction des « Aveux » de St Augustin… Pourquoi s »efforcer d’apologiser Le Lièvre de FB ? PA n’est pas obligé… d’en rendre compte après tout !…, si ce n’était pour rappeler un souvenir ému d’Anne Dufourmantelle ?…
@ jzm, vous auriez dû insister pour aller déguster la cuisine de l’école d’hôtellerie de luxe abritée par le château, comme je l’ai fait l’an passé… Vaut le détour, vicontes !
https://www.studyrama.com/formations/specialites/hotellerie-restauration/ecole-ferrieres-il-etait-une-fois-une-ecole-construite-101416

Jazzi dit: à

Terrible, l’angoisse du juré Goncourt (un confiné à perpète), à l’approche de l’automne !
Je n’en pleure pas mais j’en frémis…

Janssen J-J dit: à

@ Pourquoi cette expression me parait-elle aussi idiote que « Faire son deuil » ? Parce qu’elle est idiote, pardine !… En revanche, cette question est fort pertinente : « Est-ce que ce qui a été écrit la merde au cul se lit la merde au cul ? » Bàv,

Jazzi dit: à

Merci, JJJ.
Mais le bois alentour et les murs en ruines et les grilles rouillées du château donnent une toute autre impression que l’école qui s’y est installée !
Nous avons eu le sentiment d’être dans un lieu hanté et abandonné, où nous n’avons pratiquement rencontré personne…

Jazzi dit: à

Totems

Paul Edel dit: à

Jazzi, dans le film de Bergman « A travers le miroir », Gunnar Björnstrand joue le rôle d’un romancier qui a tout sacrifié à son art, et en premier lieu il a négligé complètement les problèmes de sa famille. La maladie et la mort de sa femme, il l’a mise de côté, pour finir un roman, et la maladie mentale de sa fille aussi.. Ses enfants devenus grands et son gendre savent combien ce père romancier est égoïste, indifférent à leurs problèmes. Il a tout sacrifié à sa renommée. Vers la fin du film, devant sa fille qui demande à être enfermée à l’asile, définitivement, le père romancier dit, dans une scène d’aveu eceptionnelle, ceci pour définir son métier d’écrivain : « On trace un cercle magique (avec le papier et le stylo), et on exclut tout ce qui ne convient pas à nos petits jeux secrets. Mais si la vraie vie brise le cercle, nos jeux deviennent ternes et ridicules, alors on trouve un autre cercle ». Je n’ai jamais oublié cette leçon de lucidité de Bergman et son avertissement si grave et si vrai qu’il s’adressait aussi à lui même..

lmd dit: à

Jazzi, c’est moins grave, mais sur la photo de l’allée des Lions, ce ne sont pas des séquoias… vous n’avez pas choisi la bonne ph oto.

et alii dit: à

Le nom scientifique Salix babylonica a été donné par Carl von Linné qui a cru qu’il s’agissait de l’arbre cité par la Bible dans le Psaume 137.

Janssen J-J dit: à

Oui, revenons au vrai sujet : ingmar bergman, et les larmes de liv ulmann, dans les cris & chuchotements… – Suis allé saluer la famille d’estelle mouzin, à l’entrée du village de Ferrières, fourniret n’était pas basi… Mes excuses -, cette excursion était avant la pandémie, l’été 2018… il y avait une belle expo à la Galleria, non loin… Y êtes vous allé ? Je la recommande aux bobos écolo parisiens, en général, qui ne savent pas quoi faire de leur peau. Voyez :
https://www.coulommierspaysdebrie-tourisme.fr/les-inattendus/la-galleria-continua/
Bàv,

Janssen J-J dit: à

Les larmes : la spécificité du peuple juif (Par Yossef Aflalo)
Essayer et essuyez vos lunettes anti-pleurs, Alain !

Marie Sasseur dit: à

Totems

Toute cette bimbeloterie pseudo existentielle, avec pour médiums un chaman, et un lièvre, qui fait des réapparitions chez Boyer comme un animal totem, avec une régression obligatoire vers l’enfance, sinon ça marche pas, de pleurer quand on a de la peine, en lisant en écrivant, ça fait trop contrefaçon kitsch d’importation sud-américaine, et pleurer, mais probablement de rire devant tant d’insincerité mondaine.

Tout savoir sur la symbolique du lièvre , pour vous consoler.

https://www.luminessens.org/post/2018/04/26/le-li%C3%A8vre

D. dit: à

Quelle drôle d’idée que de collectionner les poules en porcelaine.
L’idée même de collectionner pour soi-même me dérange bea (je ne parle pas de 3-4 exemplaires arrivés presque par hasard). Je trouve cela infantile. Pour moi toute collection commencée doit s’inscrire dans un projet muséographique au moins projeté à terme.

D. dit: à

Par exemple j’aime bien les circuits intégrés. Il se trouve que par hasard j’en détiens quelques un, dont de très rares, certains des années 60, les toud premiers qu’on a commencé à fabriquer aux States.
Eh bien je n’en ai acheté ni demandé ni recherché aucun. C’est le hasard qui fait que je les détiens. Et je n’ai aucun projet sinon celui de les vendre, peut-être. J’adore ces petites choses, mais ce sont des objets. Les plus anciens et rares sont en porcelaine blanche avec des pattes plaquées or. De vrais bijoux. Fabriqués à l’époque à très petite échelle, vendus à prix d’or (c’est le cas de le dire !) – et pas à n’importe qui. Certains valaient le prix d’une voiture ou plus encore.
On en trouvait dans les quelques gros ordinateurs fabriqués dans les années 60, dans les satellites, les engins spatiaux, certains équipements militaires.
Mou je trouve ça bien mieux que les poules. Et pourtant je ne les collectionne pas.

et alii dit: à

: « Vous êtes empereur, Seigneur, et vous pleurez ! [25]
[25]
Bérénice, IV, 5, v. 1154. »

Marie Sasseur dit: à

« À quatre pattes dans les hautes herbes, Amandine, 28 ans, feule, grogne, rugit et gratte furieusement le sol. Dans cette prairie ensoleillée de Bretagne, oubliant tout vernis social, la trentenaire nantaise entre dans la peau d’un jaguar qui arpente la jungle, renifle les dangers et frotte son pelage contre l’écorce des arbres. Électrisé par le tambour de Simeth, la chamane maya, le corps frêle d’Amandine, secoué de spasmes, expulse alors une colère colossale en une transe cathartique… Avant de s’effondrer dans l’herbe. Vidée, la jeune femme plonge avec délices dans une rivière ombragée, au milieu des libellules bleutées. Tout en essuyant ses cheveux ruisselants, Amandine exulte d’une joie sauvage : « C’est très libérateur ! » »

https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/chamanisme-entrez-dans-la-transe-240818-150201

Marie Sasseur dit: à

SANTÉ – Au Japon, pleurer est devenu une thérapie pour combattre le stress du quotidien. Des séances collectives de larmes sont organisées pour évacuer les angoisses.

Des séances collectives de pleurs au cours desquelles les participants regardent des films tristes accompagnés d’une musique mélodramatique. Un « sommelier des pleurs » venant ensuite sécher les larmes, avant de raconter une histoire mélancolique replongeant son auditoire dans les sanglots. Vous êtes au Japon, où ce type de thérapie visant à évacuer le stress et les angoisses par les pleurs est en vogue. 

https://www.lci.fr/bien-etre/pleurer-pour-aller-mieux-une-curieuse-therapie-contre-le-stress-et-les-angoisses-venue-du-japon-2098611.html

et alii dit: à

LE FILS Delon
: » Par exemple, en cherchant une bouteille d’alcool chez mon père, je suis vraiment tombé sur son chat mort dans le congélateur ! » »

Marie Sasseur dit: à

Et puis bien sûr, un grand classique .

Une pleureuse ou, plus rarement, un pleureur est une personne engagée pour feindre le chagrin lors de funérailles, afin de faire paraître plus important l’hommage rendu au défunt.

L’existence de la profession est attestée depuis l’Égypte antique, et elle persiste dans certaines cultures au xxie siècle.

En Afrique, on peut avoir recours aux services de pleureuses pour montrer l’importance qu’avait le défunt. C’est le cas chez les Bété, une ethnie de l’ouest de la Côte-d’Ivoire[réf. nécessaire].

Wiki

Marie Sasseur dit: à

« Jackie Kennedy, en s’interdisant la moindre larme à l’enterrement de son mari, a conquis un statut d’héroïne mythique aux Etats-Unis.
Le même scénario transposé dans un pays où la peine est vécue de façon communautaire aurait fait d’elle un monstre sans cœur. »
Cite par Et Alien, sans lien.

Tres intéressante réflexion. Sur l’obligation qui est faite d’exprimer par une réaction physique, une émotion.

Le problème, c’est que Boyer est plutôt dans le camp de l’ostentation. Si tu ne pleures point ( en public, ou surtout parce que le deuil qui t’atteint sera scruté par tous les médias) tu as un coeur de pierre.

Assez ! de cette malhonnêteté !

et alii dit: à

Car c’est bien de la mort qu’il s’agit, celle des autres
il me semble qu’il est plus facile de « penser à sa propre mort » que de seconfronter -ou se trouver confronté -à celle des autres

Marie Sasseur dit: à

Bien sûr Dr Lecter, vieux psychopathe .
Par quel miracle les posteurs de ce blog n’ont jamais fait l’expérience du deuil.

et alii dit: à

il n’y a pas de « et alien » sur qui se polarise marieSS, ,dont les yeux sont peut-être embués de larmes pour ne pas voir le lien J.Kennedy

Marie Sasseur dit: à

Ca va comme ça Dr Lecter, c’est la colère qui m’aveugle.

Marie Sasseur dit: à

Lien nul, pas raté grand grand-chose, d’ailleurs.

et alii dit: à

lexique:
Chialer : Verbe québécois qui peut porter à confusion avec le français de France où il est synonyme de pleurer. Au Québec, chialler veut dire se plaindre. Un chialage désigne l’action s’appitoyer sur son sort. Un chialieux désigne une personne qui a tendance à se plaindre.
Au Québec, pour dire que quelqu’un pleure, on utilise plutôt le mot brailler.

ex : Arrête de chialer, tu vas me faire brailler.

Marie Sasseur dit: à

La thérapie.

Pour les cathos du dimanche, entre les psys et les curés, va falloir que vous choisissiez votre thérapeute.

« Tel qui rit le vendredi , dimanche pleurera »( le dimanche des pleurs) Racine

renato dit: à

« Car c’est bien de la mort qu’il s’agit, celle des autres »

Étant donné que ce sont toujours les autres qui meurent, selon MD — puisque lorsque je mourrai je ne le saurai pas.

et alii dit: à

Cette expression vient du poème « Jean qui pleure et qui rit », écrit au XVIIIe siècle par Voltaire. Dans ce poème, Voltaire évoque la versatilité de l’être humain, capable de souffrir de déprime le matin et d’aller festoyer le soir.

Marie Sasseur dit: à

Cette cuistrerie du motodidacte sur les chiottes de Duchamp.

Marie Sasseur dit: à

Je crains pas ça tellment

 

Je crains pas ça tellment la mort de mes entrailles

et la mort de mon nez et celle de mes os

Je crains pas ça tellment moi cette moustiquaille

qu’on baptisa Raymond d’un père dit Queneau.

 

Je crains pas ça tellment où va la bouquinaille

les quais les cabinets la poussière et l’ennui

Je crains pas ça tellment moi qui tant écrivaille

et distille la mort en quelques poésies.

 

Je crains pas ça tellment La nuit se coule douce

entre les bords teigneux des paupières des morts

Elle est douce la nuit caresse d’une rousse

le miel des méridiens des pôles sud et nord.

 

Je crains pas cette nuit Je crains pas le sommeil

absolu Ça doit être aussi lourd que le plomb

aussi sec que la lave aussi noir que le ciel

aussi sourd qu’un mendiant bêlant au coin d’un pont.

 

Je crains bien le malheur le deuil et la souffrance

et l’angoisse et la guigne et l’excès de l’absence

Je crains l’abîme obèse où gît la maladie

et le temps et l’espace et les torts de l’esprit.

 

Mais je crains pas tellment ce lugubre imbécile

qui viendra me cueillir au bout de son curdent

lorsque vaincu j’aurai d’un oeil vague et placide

cédé tout mon courage aux rongeurs du présent.

 

Un jour je chanterai Ulysse ou bien Achille

Enée ou bien Didon Quichotte ou bien Pança

Un jour je chanterai le bonheur des tranquilles

les plaisirs de la pêche ou la paix des villas.

 

Aujourd’hui bien lassé par l’heure qui s’enroule

tournant comme un bourin tout autour du cadran

permettez mille excuz à ce crâne — une boule —

de susurrer plaintif la chanson du néant.

 

L’Instant fatal,

Editions Gallimard,1948

renato dit: à

Une cuistrerie ?! tiens, comme d’habitude elle se regarde dans un miroir et croit voir un autre.

Marie Sasseur dit: à

Ca va comme ça le milanais, tout le monde ne va pas sur les chiottes de Duchamp.

renato dit: à

Pauvre femme.

Marie Sasseur dit: à

Pauvre milanais. Je ne le supporte plus non plus ce pauvre crétin illettré.
Pas question qu’il me vole du temps. Mais je dois avouer que je ne connaissais pas vraiment Martini, jusqu’à je comprenne qu’il a failli être pape. C’est dire si le milaniais qui pontitifie,-des conneries de débile léger sur ce blog- ,a quand même son utilité.

renato dit: à

Amusantes insultes à deux cents de la pauvre femme sans épaisseur.

Marie Sasseur dit: à

« Tout écrivain devrait le savoir : ce qui a été écrit les larmes aux yeux se lit les larmes aux yeux. C’était déjà vrai de peut-être pas immortelle que Boyer avait écrit après le décès accidentel que sa compagne la philosophe Anne Dufourmantelle. »

Il y a un autre livre sur ce drame, drame que je qualifierais d’ éloge du risque non maîtrisé ( j’assume d’être odieuse quand on travaille à me nuire), il s’agit du livre du père d’un des deux enfants, -laissés sans surveillance sur la plage, alors que le drapeau était rouge- que Mme Dufourmantelle n’a pas réussi à sauver, ( ils l’ont été par d’autres au péril de leurs vies aussi) y laissant sa vie.

«l’Amie, la Mort, le Fils» (J-Ph Domecq, ed. Thierry Marchaise, 14,50 euros)

et alii dit: à

Toute personne qui souffre de sécheresse oculaire est sérieusement affectée dans sa vie quotidienne: Les paupières sont gonflées et les yeux démangent, brûlent ou sont très rouges – avec une sensation de sable ou de particules dans l’œil. Souvent, les yeux sont également sensibles à la lumière. Même le larmoiement peut paradoxalement être un signe de sécheresse oculaire. Les lentilles de contact peuvent parfois provoquer ou aggraver les symptômes, par exemple si elles ne sont pas adaptées à vos yeux. Mais vous ne devez pas vous décourager et revenir immédiatement aux lunettes. Voici le rapport entre la sécheresse oculaire et les lentilles de contact.

Les causes des yeux secs
https://www.lentiamo.fr/blog/yeux-secs-et-lentilles-de-contact.html

et alii dit: à

. Si vous travaillez beaucoup devant un écran, essayez de cligner des yeux plusieurs fois à intervalles rapprochées pour bien répartir le film lacrymal.

et alii dit: à

Le Lacryma Christi, « larme du Christ » (ou Lacryma Christi del Vesuvio, ou Vesuvio), est un vin napolitain.

Produit autrefois par des moines dont le couvent s’érigeait sur les pentes du Vésuve, il semble que plus tard, les jésuites, propriétaires de vastes étendues dans ces localités, furent les producteurs et les détenteurs quasi exclusifs de ce vignoble.

Jazzi dit: à

Le Figaro fait de la résistance !
Ils conservent le « e » au mot de passe…

« Passe sanitaire: le Conseil d’État valide largement le projet de loi du gouvernement »

C’est clair : tous au vaccin et que l’on enferme tous les récalcitrants dans des covidotorium !

et alii dit: à

« Sunt lacrimae rerum et mentem mortalia tangunt ». Au livre I, Énée admirait en pleurant, dans un temple de Carthage, la représentation figurée de la guerre de Troie (comme beaucoup d’épisodes, celui-ci est imité d’Homère). « Le monde connaît les larmes et le sort des mortels touche le cœur. » D’autres traductions, d’autres interprétations de ce vers frappant et obscur sont d’ailleurs possibles. Il faut garder le vers latin en mémoire.

et alii dit: à

il faut « savoir pleurer » quand on est un homme public ou un notable, verser de vraies larmes, sincères et dignes, avoir l’art de gémir, avoir la plainte gracieuse. Mais les larmes sont sous surveillance : il y a ceux qu’il faut pleurer, et il y a ceux qu’il ne faut pas pleurer. À l’empereur Hadrien, il sera reproché d’avoir pleuré son amant alors qu’il aurait dû réserver sa douleur aux pertes subies par sa famille. En revanche, lorsque Jules César a pleuré au pied d’une statue d’Alexandre le Grand, le futur dictateur s’est inscrit dès lors dans son sillage, en manifestant son humilité face à son aîné, et simultanément la trace d’une belle âme en devenir : « Ses larmes sont chargées de sens, elles relèvent, écrit Rey, de l’aemulatio Alexandri, d’une comparaison avec le roi de Macédoine, qui ennoblit son élève en politique. » Bien sûr, les larmes coulent d’abord en famille : la pietas envers les parents relève de la dévotion filiale obligatoire.

Quant aux femmes, même si leurs pleurs sont souvent déconsidérés, il n’empêche qu’ils restent leurs « mots » les plus légitimes : une femme n’a pas à parler, elle pleure. La politique extérieure se nourrit également des larmes, comme si la diplomatie était un théâtre parfait pour leur exhibition. Mais
inLa chronique philo de Cynthia Fleury Il faut « savoir pleurer »
https://www.humanite.fr/la-chronique-philo-sunt-lacrimae-rerum-1-disait-virgile-642797

Jazzi dit: à

« Suis allé saluer la famille d’estelle mouzin, à l’entrée du village de Ferrières »

Hector, qui ne rate aucune émissions de télé sur les grands faits divers qui ont déchaîné le public, avec une place particulière pour les enquêtes non élucidées, n’a pas manqué de me refaire pour la énième fois, mais cette foi-ci, in situ, en passant près de Guermantes l’historique de l’affaire Mouzon, JJJ !
Ensuite, il m’a demandé si je pensais que Proust avait emprunté ce nom à partir de ce lieu ?
N’ayant pas bien compris la question, je lui ai vaguement répondu que je n’en avais aucune idée…

et alii dit: à

pleure plus tu la reverras ta mère & pleure pas, tu la reverras ta mère ; pleure pas, tu la reverras, ta maman ; t’en fais pas, tu la reverras ta mère locution
Tais-toi ; formule de consolation (emploi ironique fréquent) ; formule d’encouragement (pour inviter à cesser de pleurer, de se plaindre) ; formule méprisante à qui se plaint

et alii dit: à

4 septembre 2019
Boubou Niang, un jeune peintre sénégalais fait sensation sur les réseaux sociaux avec une peinture de Mandela en larmes, un message fort en rapport avec la flambée de xénophobie en Afrique du Sud.

et alii dit: à

Je meurs de soif auprès de la fontaine, Chaud comme feu, et tremble dent à dent ; En mon pays suis en terre lointaine ; Près d’un brasier frissonne tout ardent ; Nu comme un ver, vêtu en président, Je ris en pleurs et attends sans espoir ; Confort reprends en triste désespoir ; Je m’éjouis et n’ai plaisir aucun ; Puissant je suis sans force et sans pouvoir, Bien recueilli, débouté de chacun.
villon

Janssen J-J dit: à

…< même chez le bon Cioran, il y avait de quoi se sustenter en matières lacrymales : … "Des larmes et des saints",
… écrit à vingt-cinq ans en Roumanie, cet essai fut entièrement remaniée par Cioran lui-même en 1987, pour la traduction de Sanda Stolojan dans cette langue qui a fait de lui ce qu'il est, par l'effet de freinage et de contrôle imposé à ses excès, à ses violences et à ses éclats. "Il y a chez tout auteur" écrit Sanda Stolojan, "une image clé, qui répond à une obsession profonde et révélatrice. Telle est l'image des larmes et de leur corollaire, les pleurs, tout au long de l'œuvre de Cioran… Dans Des larmes et des saints, il prévoit le jour où il regrettera, où il aura honte, d'avoir tant aimé les saintes et "la mystique, cette sensualité transcendante". Il se séparera des sautes, de leurs effusions, mais l'adieu au lyrisme n'effacera pas en lui l'image et la pensée qui l'obsèdent".

Marie Sasseur dit: à

« Qui sait si le salut de leur âme ne les guette pas aussi. C’est si difficile de laisser partir les morts. Pourtant, la quête de la légèreté est à ce prix. »

Et encore, se payer de mots, comme si l’un détenait la vérité.

Je prefere le poète, qui questionne ce vide.

« À l’infini

Là-haut, tu es. Là-haut quoi qu’il advienne,
femme-soleil d’un miracle à jamais
que rien ne sépare de la pure lumière
ni du souffle ascendant de notre amour promis

à une autre altitude. Tu es là, hors d’atteinte,
hors du monde où meurent les âmes et les corps.
Tu danses sur l’horizon que je porte en moi
pour abolir l’espace et le temps. Tu vis à l’infini. »
A. Velter

Janssen J-J dit: à

ce soir, 23/7, en la cathédrale St Pierre (Saintes), Sebastien Daucé, avec sa formation Correspondances, dirigeait des cantates de Buxtehude…
Sublime concert en atmosphère recueillie mais pas larmoyante,… d’une heure trois quarts… Beau moment apaisé… Petit aperçu :
https://www.youtube.com/watch?v=vSQSp-ZbZ2c
Bonne nuit à tous.tes,

Janssen J-J dit: à

non, aucun lien probant entre Guermantes du côté de Ferrières et le Guermantes du côté de Proust…, m’étais posé la même question, mais n’ai jamais rien trouvé de probant pour confirmer ou infirmer… En revanche, entre Proust et Rothschild, il y a… BN,

Diap dit: à

« non, aucun lien probant entre Guermantes du côté de Ferrières et le Guermantes du côté de Proust »

Ils sont amusants, les gens qui disent, lorsqu’ils ne savent pas, que ça n’existe pas!

et alii dit: à

verlaine:
Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?

Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s’ennuie,
Ô le chant de la pluie !

Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s’écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?…
Ce deuil est sans raison.

C’est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !

et alii dit: à

il s’interroge sur le sens de son choix. Il en conclut qu’un pacte plus grand, « un pacte de larmes » le lie avec Dieu. Cet amour sacrifié sur l’autel de sa vocation religieuse a quelque chose d’amèrement ironique quand on sait que par la suite, Kierkegaard ne cessera de faire l’apologie du mariage comme l’emblème du « stade éthique » de la vie.
https://www.cairn.info/magazine-sciences-humaines-2014-2-page-33.html

JiCé..... dit: à

Samedi 24 juillet 2021, 5h25, 23°, vent d’Est fort

Les dizaines de derniers commentaires sont…à pleurer. Misère !

Marie Sasseur dit: à

@Les dizaines de derniers commentaires sont…à pleurer.

7h36 , 22°C , petite pluie intermittente, vent ESE 14 km/h. Baromètre en hausse.

C’est plutôt ce billet, au bout de plus d’une année covidée, qui fait suer.

et alii dit: à

Focus sur Bureau des Pleurs
Notre choix de créateurs produisant des œuvres spécifiquement pour la Biennale de Lyon, dans une logique de circuit court, en collaboration avec les entreprises de la région.
les artistes (Carla Adra, Romain Bobichon, Fatma Cheffi, Sophie T. Lvoff, Lou Masduraud, Irène Mélix et Maha Yammine) proposent un vrai laboratoire des affects. Où la poésie remet le politique dans la place. Un bureau abritant, plutôt que des réclamations, les pleurs des souvenirs brisés.

et alii dit: à

Dans la mythologie grecque, l’Éridan (en grec ancien Ἠριδανός / Ēridanós) est un dieu fleuve dans lequel meurt le soleil.
. Le bruissement des feuilles de peupliers noirsnote 2 qui le bordent est comparé aux pleurs des sœurs de la divinité déchue, les Héliades, et leurs larmes à l’ambre4 qu’il charrie.

et alii dit: à

Les mouchoirs « sèche larmes », un carré de douceur pour tous
Ce projet, c’est aussi l’occasion pour les jeunes créateurs d’apprendre un nouveau savoir-faire mais surtout de passer du temps ensemble. Un souhait qui leur trottait dans la tête depuis longtemps.
https://portdattache.bzh/seche-larmes-bien-plus-que-des-mouchoirs/

JiCé..... dit: à

@ Marie pleine de grâce

Les femmes pleurent plus, et mieux, que les hommes parce qu’elles les mettent au monde, les nourrissent, les aiment vraiment quand eux ne font que les baiser, soignent leurs blessures lorsqu’ils reviennent de la chasse à l’auroch, les consolent lorsqu’ils arrivent les mains vides sans rien à bouffer, la queue basse…

Pour une fois !

et alii dit: à

Celui qui court deux lièvres à la fois n’en prend aucun. erasme

et alii dit: à

LARMES DE JOB (COIX LACRYMA-JOBI)
annuelle, graminée produisant des graines gris bleuté en forme de larme employées pour faire des colliers mais c’est aussi une céréale très importante sans gluten aux vertus apaisantes, nutritives et décoratives se cuisinant comme le riz, nombreuses recettes et propriétés médicinales, semences reproductibles, 100 cm.

et alii dit: à

Boisson Asiatique.
Ingrédients : Extrait de Larmes de Job (Coix Lacryma-Jobi), sucre, arôme Larme de Job.
Sans conservateur.
on l’appelle aussi Herbe à chapelet.
La Larme de Job est une plante médicinale tropicale, elle possède des graines d’une grande efficacité pour tonifier le système immunitaire.
Ses vertus sont reconnues en médecine Chinoise.

Jibé dit: à

Passou: « Telle est la dramaturgie tissée autour de ce souvenir remonté des ténèbres de ce pays perdu qu’est l’enfance longtemps après à la faveur de la mort des proches. »
en termes élégants, façon d’exprimer la banalité du sujet.
Après, quant au style, à la forme, le mot « poétique » est un indicateur bien pratique pour…ne rien dire.
Fait pas envie. C’était le but?

Jibé dit: à

« éloge du risque non maitrisé » dit quelqu’une… certes, Anne D. s’est noyée en réagissant au péril des gosses, n’a pas « pensé » le risque. Dans son bouquin, Anne Dufourmantelle analysait et gratifiait le risque qu’on prend consciemment, la beauté du geste et du choix. Elle est morte d’autre chose. Ne pas tout mélanger. Il reste que ce qu’elle fit ce jour là, qui signa sa mort, s’appelle un acte de courage.

Marie Sasseur dit: à

La jibe, avec ses petits bras musclés, sur son clavier…lui aussi, ilsaitou.

Jibé dit: à

laisse baver la marie rosse

Janssen J-J dit: à

@ Diap et Jzmn… pour ceusses qui savent les choses avec la wiki///

(copié-bois collé- de la fiche Guermantes, ville de seine et marne)

… en mai 1909, Proust sollicite vainement son ami Georges de Lauris (1876-1963), introduit dans ladite famille de Pâris, pour savoir s’il peut utiliser le nom de Guermantes pour la Recherche ; en fait, Marcel connaissait depuis 1903 le fils de Guillemette, François de Pâris (1875-1958), dont il louait la beauté du visage. …

etcheterak… Laissons parler les morts. Bàv

Janssen J-J dit: à

@ Ils sont amusants, les gens qui disent, lorsqu’ils ne savent pas, que ça n’existe pas!

et tristes…, celles qui savent mais se bavent…

Janssen J-J dit: à

merci passoul pour les larmes, un filon fructueux pour etalii… De la pâte alimentaire pour ses dix jours de sursis supplémentaires… Bon sam’dit…

D. dit: à

La queue basse, je dis pas, mais la chasse à l’auroch, c’était quand pour toi, Jicé ?

Marie Sasseur dit: à

La jibe, ce caniche nain, qui espère toujours recevoir un coup de savate, pour attirer l’attention, maintenant que sa moman de blog a fui.

Marie Sasseur dit: à

La fatalité.

« S’il n’y a personne à accabler, il n’y aura demain plus personne sur qui déverser sa souffrance ».

Jibé dit: à

Tiens, François de Pâris, c’est le nom d’un moine janséniste (pas très avenant de visage, lui). Me souviens l’avoir croisé dans mes études.

Jibé dit: à

Merci marie. Toujours serviable si pour la savate.

Jibé dit: à

si serviable

Janssen J-J dit: à

Peut-on soutenir que l’actuel gouvernement français aurait récemment décidé de « criminaliser » cette partie de la population hostile à la vaccination obligatoire contre le covid19, celle qui proteste bruyamment dans la rue ou plus en silence…
Si le verbe « criminaliser » ne convient pas, -vu qu’il serait par trop connoté négativement-, veuillez m’aider à en trouver un autre, plus adéquat à la perception de la « plmtq » de chaque herdélien, soucieux de qualifier correctement cet enjeu.
Merci pour les réponses éventuelles.

Janssen J-J dit: à

apparemment, y a toujours des candidates de substitution pour jouer les momans au fouet … C’est ça qui est bien, sur cette chaine… ça vati, là ?

JiCé..... dit: à

« La queue basse, je dis pas, mais la chasse à l’auroch, c’était quand pour toi, Jicé ? » (D)

C’est tous les jours depuis Adam et Eve, Dédé, tous les jours ! Ne joue pas au con avec moi, tu ne gagneras pas : j’ai le don.

Janssen J-J dit: à

ajoutons avec le courage et les larmes nécessaires à la lecture de l’en-cyclope-pédie wiki, ceci, à l’attention de Marc C., et d’Hector M., en attendant un éventuel démenti ou précision supplémentaire de la part de txfl :
____
« Le 8 juillet 1884, Mme Émilie-Ernestine Pondre de Guermantes, comtesse Picot de Dampierre, meurt en laissant sa part de Guermantes aux Lareinty (qui donc ne descendent pas des Pondre de Guermantes). Les écarts de langage de la comtesse Ernestine Picot de Dampierre sont célèbres, elle ne pouvait s’empêcher de penser tout haut, sans indulgence… Elle s’était rendue célèbre pour avoir affublé le riche industriel et aventurier Henri Menier du surnom de « baron Cacao », ou moqué son voisin le châtelain de Ferrières, James de Rothschild. Selon Edmond de Goncourt, lui-même langue de vipère, en visite au château le 7 septembre 1873, les autres femmes de la famille (la demi-sœur d’Ernestine, Eulalie de Tholozan, sa fille Julie de Puységur et la fille de celle-ci, Guillemette de Lareinty) ne manquaient pas non plus « du plus exquis et du plus meurtrier esprit français »…

JiCé..... dit: à

RESUMONS

Pass sanitaire = crasse totalitaire

Janssen J-J dit: à

@ bl… Quand ce nouveau whiskey nous parviendra-t-il chez le Leclerc du coin ? Car les droits de douane deviennent prohibitifs, hein… A pourtant l’air bin alléchant…

@ ‘Ne joue pas au con avec moi, j’ai le don du con’
C’est le carburant qui lui fait frémir le vit tous les jours, apparemment… Sont bin à plaindre, les iti-fal…, D., mais faut pas pleurer le bidet, hein !…

Janssen J-J dit: à

Rectifions la crasse langagière habituelle :
« Le PASSE SANITAIRE n’évitera pas la propagation DU covid19 »,
(crimen amoris)

Janssen J-J dit: à

Rappel d’une petite philosophie martiale à l’usage des éducateurs de nos chères têtes blondes :
—-
« Un professeur de lettres n’a pas être « proche de la culture de ses élèves ». Il est payé pour transmettre le patrimoine littéraire français. Par exemple en tentant de leur faire connaître et apprécier La Fontaine, Molière, Racine et quelques autres de ce rang. Sûrement pas pour lire ce qu’ils lisent. Beaucoup lisent d’ailleurs des… mangas. Et certains ne lisent… rien.
—-
Revigorant.

Janssen J-J dit: à

J’aimerais vous montrer une photo de moi, un jour que j’étais ému aux larmes, comme Jean-Paul Sartre dans une salle de cinéma… Mais ce n’est pas facile sur cette chaîne de se donner à voir…
Je conseille aux gens d’aller plutôt directement sur ma page pour constater la richesse de mes larmes. Bàv,

Janssen J-J dit: à

6 ou 7 messages du même ce matin du 27/07/21…, ça suffit !
Sortez moissa !

Paul Edel dit: à

Je peux aujourd’hui dévoiler l’intrigue du prochain roman que je vais publier. J’hésite entre deux titre« Temps de chien » ou « destin portuaire » . C’est l’histoire d’une orpheline aveugle de naissance, élevée chez les sœurs, qui devient une très belle jeune femme .Elle s’éprend du chien d’aveugle qu’on lui confie pour son cadeau d’anniversaire le jour de la rupture de ses fiançailles, mais cette jeune et belle femme, Edith, ne s’aperçoit pas que son chien d’aveugle est en train de devenir lui-même aveugle. Un dimanche, en se promenant ,le long du bassin Vauban, ce pauvre et gentil animal ne voit pas le bord du quai et entraine sa maitresse au-delà du quai et au lieu de tomber dans l’eau, ils se fracassent tous les deux sur le pont d’un yacht ultra chic .Les secours mettent du temps à arriver, car le jeune pompier dont c’est la première mission se trompe d’adresse et confond le bassin Vauban et le bassin Bouvet . Edith entend alors son chien agoniser entre ses jambes brisées alors que la sirène des pompiers retentit inlassablement au loin, cherchant le lieu de l’accident .Edith reste des mois en rééducation au CHU de Saint-Malo, avec un kiné sadique qui lui cache qu’il est déjà marié. Je n’ai pas encore choisi d’éditeur.

et alii dit: à

le soir de Noel où ma fille a fondu en larmes en découvrant ses cadeaux; elle avait sept huit ans et nous avions dîné simplement avant d’aller dans le salon, où son père alluma la télévision; je n’avais pas fait de décoration particulière comme cela se fait dans beaucoup de familles françaises, il n’y avait pas d’invités , les CHRISTMAS CAROLS ,que mes enfants avaient appris à l’école qui avait fait une fête,commençaient à la télévision,quand mon (ex)mari dit d’ouvrir les cadeaux;je les connaissais, ou croyais les connaître puisque ,sauf les livres, nous les avions achetés ensemble lui et moi;et c’est alors que ma fille déballa un cadeau que je ne connaissais pas et fondit en larmes :c’était un miroir où elle venait de se regarder; son père était visiblement heureux, j’étais perplexe et allais prendre ma fille dans mes bras;je me sentais peinée, encore que je n’aurais su dire pourquoi, tant c’était trop pour moi, trop de souvenirs , de dates « familiales », j’allais à la cuisine, cassai de la vaisselle, et revins au salon avec une bombe glacée; la télévision avait commencé un nouveau programme, mes enfants jouèrent;
nous n’eûmes plus une soirée de Noel ensemble .

et alii dit: à

J’ALLAI

et alii dit: à

paul, merci;
j’ai récemment regardé une vidéo d’un jeune homme qui sauve des animaux perdus ou abandonnés; dans l’une d’elles, il y a un chaton aveugle qu’il ramène chez lui , comme de précédents chatons et chiots promis à la mort et qu’il a rendus à la vie, en leur faisant place avec des cartons , en les nourrissant, toute une éducation entre homme et bêtes à laquelle on ne peut être insensible

Jean-Jacques dit: à

Edith, c’est pas le journal d’Edith de Patricia Highsmith ?

lmd dit: à

Johannes Ockeghem a composé la Déploration sur la mort de Binchois (qui était un compositeur de la première moitié du XVe siecle.)
Et Josquin Des Prez a composé la Déploration sur la mort de johannes Ockeghem :

Nymphes des bois, déeses des fontaines,
Chantres expers de toutes nations,
Changez voz voix fort clères et haultaines
En cris tranchantz et lamentaions.
Car d’Atropos les molestations
Vostre’Okeghem par sa rigueur attrappe,
Le vray trèsoir de musicque et chief d’oeuvre,
Qui de trépas dèsormais plus n’eschappe,
Dont grant doumaige’est que la terre coeuvre.
Acoutrez vous d’abitz de deuil:
Josquin, Brumel, Pierchon, Compère.
Et plorez grosses larmes de’oeil:
Perdu avez vostre bon père.
Requiescat in pace. Amen.
https://www.youtube.com/watch?v=GlpyCoXFh_U
Je ne sais si quelqu’un a fait une Déploration sur le mort de Josquin Des Prez.

Janssen J-J dit: à

Oula, elle a l’air bien glauque la trame de cette histoire !… Vous prenez un sacré risque, en confiant l’exclusivité du pitch à l’herdélie, PE. A moinss que vous cherchiez à tâter le terrain chez les fourbes, et/ou déjà l’espoir d’une suggestion d’un éditeur avisé, via Passoul ? –
Je le verrai bien c/° Anne-Marie Carrère, pour ma part…
Il y a un CHU à St Malo, vraiment ?
Bien à vous, et tout le succès possib’…
Vous avez toutes vos chances, JEPENSEVOILA,… – A bintôt pour la suite… et la fin du suspense de l’histoire du Scob d’Edith avec le sadikiné !… et le chien Fred reviendra-t-il à Boyer après avoir été sauvé de la noyade ?… Comme titre, je vous propose : « Labradors en perdition »…

Paul Edel dit: à

Janssen, je ne prends pas de risque en dévoilant cette intrigue, car je pense que sur cette trame chacun pourra écrire une version personelle.je pense que Marie Sasseur,par exemple, ferait étrangler le chien qui hurle à la mort par les occupants du yacht en train de jouer au bridge.

Janssen J-J dit: à

… c’est accorder beaucoup d’importance au snobisme de ma soeur Suzanne… Mais qu’en sort-il souvent ?… du vent !
Bon, me voilà rassuré, Paul. Effectivement, j’avais une autre chute en tête… Je vous la dévoilerai, une fois achevée la lecture du roman publié… Soyez-en sûr !

D. dit: à

et alii, j’ai fait cette nuit un rêve étrange aussi je voudrais en toute discrétion vous demander un avis d’ordre psychanalytique. J’étais investi d’une mission scientifique sur des mouches, mon travail était de leur frotter sur le derrière des petites bandelettes de papier rose qui s’imprégnaient de leurs phéromones de mouches puis de les faire sentir à d’autres mouches et de consigner sur un registre leurs impressions. En effet ces mouches bien que toutes petites parlaient, elles faisaient même des phrases extraordinairement longues et complexes que j’avais un mal fou à résumer. C’était quand même un rêve heureux. Tout le monde semblait heureux.

et alii dit: à

D,puisque tout le monde est finalement de quoi vous plaignez vous alors? Je ne comprends pas!

et alii dit: à

finalement heureux

Patrice Charoulet dit: à

DEBRAY-FINKIELKRAUT

Ce samedi 24 juillet, de 9 à 10h, France Culture rediffusait une conversation entre Alain Finkielkraut et Régis Debray. Un régal ! Si vous pouvez écouter ça, vous ne le regretterez pas.

et alii dit: à

Un conseiller scientifique du premier ministre japonais « en larmes » lors d’une conférence de presse et présentant « sa démission ». La dépêche de l’AFP du vendredi 29 avril qui décrivait cette scène nous avait intrigué. Selon cette dépêche, le professeur Toshiso Kosako, de la prestigieuse université de Tokyo démissionnait « en raison de désaccords sur la gestion de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima ». Et précisait que selon lui, « le gouvernement n’avait pas été rigoureux dans l’application des lois et règlementations ».
https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/nucleaire/blog-fukushima-les-larmes-du-pr-kosako-35_151607

et alii dit: à

Le premier gaz lacrymogène employé fut l’étherbromacétique ou bromacétate d’éthyle connu depuis 1850 pour ses propriétés irritantes. Il fut testé à partir de mars 1913 par la préfecture de police de Paris puis utilisé par celle-ci à partir de septembre 1913 pour neutraliser les forcenés et les individus barricadés3.
wiki

Patrice Charoulet dit: à

« Les personnes LGBTI »

Depuis pas mal de temps, à la radio, j’entends des gens parler de « personnes LGBTI ». Je ne suis jamais aller chercher des précisions. J’avais cru comprendre que l’on me parlait des homosexuels. J’ai du temps. Je vais chercher ce que cette curieuse expression signifie.
« L » = Lesbiennes. Bon, je connais.
« G » = Gays. Bon , je connais. Homosexuels, quoi.
« B » = Bisexuels. Bon. Ce sont des gens, si je comprends bien, qui peuvent être sexuellement attirés, selon le jour, par des hommes ou des femmes.
« T », ça se complique.= Transgenres. Comme je ne comprends pas bien, je fais des recherches.
Cela signifierait : Dont l’identité sexuelle psychique ne correspond pas au sexe biologique. Ah bon ! Pas simple.
« I » = Intersexes. Là, il est dur de trouver une explication. Mais j’ai trouvé ceci : Qui naît avec des caractères sexuels qui ne correspondent pas aux définitions traditionnelles du sexe masculin ou du sexe féminin. Sur le Net, la définition m’est obligeamment fournie par …l’ONU., qui appelle l’humanité à avoir beaucoup de bienveillance pour les intersexes. C’est très gentil.

Maintenant, je comprends ce que veut dire « les personnes LGBTI ».
Je m’interroge . Comment quelqu’un peut-il parler , à la radio, au nom de toutes ces personnes-là ?
Quel est le point commun entre des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des transgenres et des intersexes ? Qui peut m’éclairer ?

Marie Sasseur dit: à

Que c’est mauvais, Paul. Vous etes assez limité même, avec votre déambulateur.

Janssen J-J dit: à

@ c’est très simple, D.,,,, il vous conseillait de cesser d’enculer des mouches au sens figuré, et de les sodomiser au sens propre, la chasteté ayant durablement atteint ses limites dans sa stratosphère (dsur une suggestion de Lisa Roudinesco – alias txfl)


à moi-même, JJJ… et aux alter… (?) : ses traces écrits d’associations libres, incompréhensibles pour les erdéliens de l’a rdl, même les plus bienveillants, le sont surtout pour lui-même, incompréhensibles. Trois jours ou trois heures plus tard… qu’a-t-il bien pu vouloir se dire et leur dire ? Pourquoi a-t-il éprouvé le besoin d’aligner Ces enchainements-là d’idées, de réactions, d’impressions, de vérifications, de souvenirs personnels ?… Et comment ? Commandés par quelle urgence du moment dans la conscience extra lucide de la nécessité de leur séquençage ordonné, quoiqu’indicible, inexplicable en simultané ? Il se dit que lors qu’il n’en resterait plus rien, vu que sa mémoire ne parviendrait jamais à totalement à réactiver la logique de ce séquençage si manifestement évident à l’instant, alors, peut-être lui resterait-il le secours de quelqu’un pour tenter une explication à sa place ? Quelqu’un qui aurait su garder au moins les traces des interactions suscitées parmi tous les autres… Ce quelqu’un qui serait parvenu, mieux que lui en tout k, à lui expliquer le logique de ce que ses propres neurones avaient enchaîné, jadis ou naguère, quelque part de vérifiable ou d’opposable, en dépit du sable du temps qui le lui aurait fait oublier… Serait-ce un pari si fou, se disait-il encore, que de croire à cette possibilité là ? Serait-ce là une pulsion marceline, aussi manifestement absurde que de rechercher à retrouver du temps perdu ? NON… Faulkner avait ce projet, tous ils l’avaient, car ils se voulaient immortels, mais ils échouèrent car il commencèrent à vouloir noircir des pages blanches. Quelle erreur !… Faulkner savait le caractère besogneux de cette entreprise, l’entrave des mots alcoolisés qu’il lui fallait peaufiner pour récréer la complexité de son monde sudiste en déclin… Il lui fallait se convaincre de la pertinence d’un âge d’or mythifié autant que désespérément et irrésistiblement naufragé… Oui, nous avons bien compris cela… Mais ce qu’on en retient, au juste, c’est la même quête, le même vouloir d’être compris, en d’autres temps, sous d’autres cieux et sur d’autres supports… Cette croyance que l’écrivain de vocation serait encore capable de hanter un monde devenu sans sens pour d’autres, plutôt que pour soi-même…. Quelle arrogance au fond !… que ce genre de projet voué à l’incompréhension du pacte conclu avec soi-même !… Cette obstination pulsionnelle qui pourtant, nous concerne tous, ce besoin de vouloir être compris des autres, à défaut de soi-même, sas certiutude autre que l’espoir de l’hypocrisie, rien qu’avec de l’écriture, et sans aucun tiers médiateur qui parlerait de lui-même bien plus que de vous-même… Voilà ce que le pauvre JJJ pensa le 24/7/21 @ 14.01, sachant qu’une heure plus tard, il n’en resterait rien, mais que quelque chose serait peut-être resté pour le bon usage de soi-même des autres…
Ce Désir de tramway, en somme, invincible et obstiné, cette brouette Simon…, vers cette obscurité où aller, bien piètre consolation avant le vertige du grand vide définitif, si répulsif et si désirable, Voui…
(nb/… il était à jeun, totalement sain de corps et d’esprit, ce jour où il rédigea cet énième testament devant Me Arthur, son notaire, un solide charpentier sans supplément d’âme, sourd à toute littérature, l’heureux’homme)…

Marie Sasseur dit: à

Charoulet, il manque des lettres le Q, et le A.
LGTBQIA. Je pense que le Z sera possible bientôt, comme le F.

Janssen J-J dit: à

@ Que c’est mauvais, Paul. Vous êtes assez limité même, avec votre déambulateur.

Combien révélatrice, cette verge lourdement attendue, par laquelle une fois de +, ma soeur a plongé, à la première occase, Est’elle bête et indécrotable, la sotte ! Elle croit toujours à la queue du miké sur le manège… Faut pas trop lui en vouloir… La Mongolie reste un beau pays au soleil levant…, par certains aspects… Voui.

Janssen J-J dit: à

N’allez pas compliquer mon glossaire de sigles, bandes de démeuré.es désoeuvré.es !… L’est déjà pas mal chargé comme ça…

D. dit: à

Je ne me plains pas. Je veux comprendre à travers une vision lacanienne que vous êtes sans doute à même d’apporter.

D. dit: à

En tout cas, l’analyse chromosomique donne toujours présence de y ou absence de y.
Y’a pas à tortiller. Haprès chacun en fait ce qu’il veut et colle toutes les lettres qu’il veut en son âme et conscience. Comme on dit

Soleil vert dit: à

Laissez partir les morts…

Curieusement l’article et l’ouvrage Le lièvre font ressurgir l’expression « livre de chevet ». L’ouvrage préféré, ou celui auquel on revient le plus souvent, serait en quelque sorte le livre du gisant, le livre de la perte, le livre de l’adieu.

renato dit: à

No Vax — No Mask — No Brain

Bloom dit: à

J’ai parcouru les traductions que donne F. Boyer des Sonnets de Shakespeare: incisives, elles oublient parfois un mot, comme les traductions des années 50 ou 60; en outre, le parti pris de la « minusculisation » du texte et de l’absence totale de ponctuation peut se discuter. Mais si ces traductions peuvent donner l’accès à ces variations brillantes (& quelquefois un peu lassantes) sur l’amour la mort, le blanc le noir et la « fluidité » sexuelle, so be it…

Le motif du lièvre me fait toujours penser au petit animal pris de panique qui court éperdument devant la locomotive fracassant le paysage bucolique où des jeunes filles dansent sur l’herbe, dans le tableau de Turner Rain, Steam & Speed (1844).
Même violence aujourd’hui avec ces « bateaux de croisière » qui percutent & tuent les baleines dans Le parc national de la Baie des Glaciers, en Alaska.
Nous sommes bien une sale espèce de saccageurs, aussi.

renato dit: à

Comment s’appelait déjà ce frustré qui, tombé amoureux du souvenir de la fasciste Meinhof, faisait ici de l’apologie du terrorisme ?

closer dit: à

J’ai bien entendu réécouter le dialogue Debray/Finkielkraut de matin, Charoulet. C’est un très grand plaisir intellectuel d’entendre des gens de ce calibre échanger des idées. Reste une énigme qui en dit long sur la nature humaine et ses limites: comment un homme de la culture et de l’intelligence de Régis Debray a-t-il pu croire une seconde, même dans les années soixante, que l’avenir de l’humanité se dessinait dans « le sud » et plus spécialement dans la révolution cubaine et ses prolongements ?

Il esquisse une explication, non de ce choix particulier, mais de son besoin de lâcher le confort des études pour « faire ». Etrange, il ne dit pas de faire bien ou de faire juste, mais « faire »…

Il explique que son éducation imprégnée de christianisme lui commandait de se « racheter », de racheter en particulier l’effondrement de la France en 1940, année de sa naissance. Pour cela, il lui fallait agir en conformité avec ses idéaux marxistes et ne pas se contenter de parler et écrire dans le confort du 6ième arrondissement…ça peut se comprendre.

Il dit aussi que les pays du nord l’ennuyaient parce qu’il ne s’y passait rien. Il ne se pose pas la question de savoir s’il ne s’y passait rien (je suppose qu’il faisait allusion aux démocraties scandinaves), justement parce qu’il n’y avait pas besoin qu’il s’y passât quelque chose et que cette paix, cet ennui si l’on veut, était un qualité et non un défaut ou un manque.

Donc, un « sud » mythique qui ne pouvait le mener à rien…

Encore un exemple que la plus grande intelligence et la plus grande culture ne préservent pas de l’aveuglement, mais nous le savions tous déjà.

Au moins s’est-il réveillé, contrairement à d’autres, à Badiou par exemple.

closer dit: à

Delaporte, Renato.

closer dit: à

ce matin…

Bloom dit: à

No Vax — No Mask — No Brain

Pas faux, renato.

En restant dans le domaine des figures de style, à l’anaphore & à l’assonance, on pourrait ajouter l’analogie: si l’on est « en guerre » et si le virus est l’ennemi, alors ceux qui pactisent avec l’ennemi et facilite son empire sont…(à compléter)

JiCé..... dit: à

« Encore un exemple que la plus grande intelligence et la plus grande culture ne préservent pas de l’aveuglement, mais nous le savions tous déjà. » (closer)

Exact !

On le constate ici avec des idioties à l’emporte pièce comme le « No Vax No Mask No Brain » de notre commandatore bien-aimé, l’illustrissime Renato…

Soleil vert dit: à

Patrice Charoulet dit: à
« Les personnes LGBTI »

Avec le développement futur des anthropotechnies (génie génétique) d’autres horizons s’ouvriront.
Ainsi le romancier Greg Egan imagine t-il dans L’énigme de l’univers 7 possibilités(je cite Babelio), de ultra-mâle à ultra-femelle en passant par l’asexualité. On est loin des trois sexes du bon vieux docteur Asimov in Les dieux eux-mêmes.
On n’oubliera pas les fétichistes qui célèbrent l’union de la chair et l’automobile (Crash de JG Ballard), les relations avec les fleurs (John Boyd- a planète fleur). Enfin à la source de cette galaxie sexuelle transhumaniste, n’oublions pas le fondateur La main gauche de la nuit : sur Nivose il n’y a en effet ni homme ni femme, mais des êtres androgynes et asexués, qui se révèlent presque hermaphrodites, tour à tour homme ou femme le temps d’une brève relation, bref des transgenres avant le lettre.

Jean-Jacques dit: à

J’aimerais bien pactiser avec le covid moi, si ça se trouve l’est pas si méchant que ça le beau Corona, il veut juste nous prouver le grand amour qu’il ressent pour l’humanité en nous étreignons à qui mieux mieux. L’amour à en mourir.

Jean-Jacques dit: à

en nous étreignant.

Jean-Jacques dit: à

nabotfacho

JiCé..... dit: à

RENATONNERIE
A la manière de, pour la route : « No Sax No Musik No Sex »…

renato dit: à

Tiens, le JC réagit en mode animal spinal !

et alii dit: à

D à travers une vision lacanienne que vous êtes
ça,c’est peut-être ce que vous vous racontez, -parce que cela satisfait un coin de votre story, votre paysage de fantasmes, que vous « bricolez » à coup d’ordres, d’interdits, de recettes, ,mais ça n’a rien à voir avec « moi »;il serait inutile que « moi », je le regrette, que je m’en fasse une « cause », j’ai assez à faire ;
mais si vous tenez une story, ne la lâchez pas,elle peut vous divertir !

renato dit: à

… et que comme tous les mal-baisés le JC il ramène tout au sex.

Soleil vert dit: à

Paul Edel

« Temps de chien » ou « destin portuaire »

Destin portuaire, non
Temps de chien, oui mais

Voyez le titre de l’article de PA. Ca sonne fort. Inspire vous de cela.

Soleil vert dit: à

Inspirez vous de cela.

Soleil vert dit: à

Paul Edel

Voyez ces titres (de films) qui s’éloignent du sujet ou presque : un après-midi de chien, le facteur sonne toujours deux fois …

Janssen J-J dit: à

@ Comment s’appelait déjà ce frustré qui, tombé amoureux du souvenir de la fasciste Meinhof, faisait ici de l’apologie du terrorisme ?

Delaporte je crois, qui hélas pour l’rdl, sombra dans la démence mystique post marxiste. Et il y eut aussi SMS qui conchia Erri de Luca pour avoir voulu aujourd’hui encore défendre, devant un petit juge pas né, le principe de sa position à l’égard des brigades rouges… il n’eut pas les bons défenseurs d’un Debray, aussi préféra-t-il écrire un superbe roman de montagne (Impossible), ce dont le médiologue moyen à la légende surfaite, fut toujours incapable.

et alii dit: à

culture livresque:sauf qu’il n’a pas qu’une culture livresque !

B dit: à

La scène capturée par Henri Cartier Bresson est très théâtrale, je me demande quels étaient ces rapports avec l’acteur défunt ou si c’est un hasard qui l’a mené ce jour là à cet endroit là. Contrastes parfaits.

Janssen J-J dit: à

concaténation

B dit: à

Renato, qu’est ce qui nous vaut cette susceptibilité, la boutade est mal reçue! No sax, no sex, hélas pour moi aussi. Quel ennui! Bien qu’absolument pas obsédée par la chose il y a des jours et des matins et des soirs où ça me manque quand même un peu. Pour la compagnie, la douceur d’un corps, la chaleur d’une peau, une voix amie, un verre de vin au milieu d’une nuit, le silence oú bruissent des arbres dans l’immensité étoilée . A la place, je stoppe sur la route de campagne en regardant tout ça qui me rapetisse un peu plus encore et me dépose sans bruit au beau milieu de ma solitude.

B dit: à

3J, symétrie des personnes présentes qui vont deux à deux dans un mouvement inverse. Les unes peut être de dirigent vers le mort, les autres viennent de faire leurs adieux et pleurent en se retirant?

Wiki / Le mot péricope dérive du substantif grec περικοπή perikopê signifiant « découpage » et du verbe περικόπτω perikópto qui signifie « couper autour », « détourer », « amputer ». Le terme est utilisé principalement dans le contexte exégétique et liturgique pour désigner toute partie d’une œuvre distinguée de son ensemble en raison de critères littéraires (sens, unité narrative, etc.) ou matériels (nombre de versets, longueur). La division en péricopes est généralement destinée à segmenter la lecture publique ou le commentaire d’une œuvre ou d’un livre. La péricope est l’unité de base des lectionnaires liturgiques et de textes avec commentaires comme certaines bibles glosées et chaînes exégétiques[1].

renato dit: à

« … hélas pour moi aussi »

Tant pis pour vous.

B dit: à

Est ce que tous en vieillissant nous souvenons, avec plus d’importance accordée, de notre enfance, de ces mille moments desquels nous avons été chassés et qui pour finir nous ressemblent encore à moins d’avoir grandi.

B dit: à

Merci renato, et le temps perdu ne se rattrape guère…Je me demandais ce matin pourquoi Barbara était morte assez tôt, 71, 72 ans?

Janssen J-J dit: à

oui, la plus grande précision des souvenirs de l’enfance…, et c’est un invariant structural de l’espèce humaine, pensante en vieillissante, B… , en dépit des éventuels traumatismes cachés… Et chacun.e d’entre nous pense encore aux joies de l’amour physique, quand il y en eut, même si nous ne le pratiquons plus tellement…, faute de partenariats. Croyez le bien… Bàv,

Janssen J-J dit: à

trop émouvante, cette chanson de Barbara., B !… Merci de nous l’avoir rappelée…

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