L’autre « Royaume », celui de Julien Gracq
Celui-là, je m’en gardais la lecture pour la fin de l’année, afin de l’inscrire dans l’un de ces rares moments où le temps suspend son vol, lorsque la fourmilière semble marquer le pas et la société se retirer du moins dans les grandes villes, et que quelques uns des maux de l’époque – vitesse, précipitation, superficialité…- semble s’être absentés, entre Noël et Jour de l’an. On se prépare ainsi quand on s’attend à vivre des instants savoureux pour l’esprit et goûteux pour les sens. Rien moins qu’un événement pour la librairie que les fidèles d’un écrivain s’approprient comme un événement personnel. Mais c’est bien de littérature qu’il s’agit et du récit inédit de Julien Gracq paru en septembre dernier (258 pages, 20 euros, José Corti) dont on hésite à écrire… les titres ; car en couverture, c’est « les terres du couchant », alors que sur la page de garde c’est Les Terres du Couchant. Il y a là davantage qu’une nuance, ou une coquetterie ; d’autant que, sans s’en expliquer, son éditrice et amie Bernhild Boie évoque simplement Les Terres du couchant dans sa postface, ce qui n’est pas sans importance car le titre est d’elle. Une indécision qui colle à l’incertain statut à cette œuvre.
Inédit et inachevé, ceci expliquant cela. Il l’avait commencé en 1953, interrompu trois ans plus tard pour s’attaquer à son désert des Tartares (Un Balcon en forêt) et, insatisfait de sa forme, l’avait confiné dans une malle. Ce qui n’en fait pas pour autant un fond de tiroir. Il le considérait comme une étape dans son voyage d’écriture. Les gracquiens s’y royaumeront, les allergiques à cet univers continueront à rester à distance. Quand il s’y est mis, Gracq avait déjà publié Au château d’Argol, Un beau ténébreux, Le Rivage des Syrtes ainsi qu’une pièce (Le roi pêcheur), une analyse de l’œuvre d’André Breton et son fameux pamphlet de La littérature à l’estomac.
On y retrouve Gracq tel qu’en lui-même la postérité littéraire l’a gravé dans le marbre, en passeur de mythes, géographe inspiré, cartographe méticuleux, greffier des saisons, arpenteur de territoires oniriques des avant-postes aux confins, davantage attaché à l’esprit de l’Histoire qu’à son exacte reconstitution. Jamais il n’a autant essayé de rendre le climat d’une fin d’empire, en témoin privilégié de l’agonie et de la mort d’une civilisation, non dans leur grandeur mais dans leur vanité, leurs mesquineries, la dérision qu’elles inspirent et le néant qu’elles suscitent.
Bernhild Boie nous invite à y lire en transparence le récit des derniers temps de la IIIème République, et pourquoi pas, même si, une fois les détails abandonnés à leur réalisme, on peut préférer rester dans le symbolique, lequel renvoie mieux à tout ce qu’il y a d’archaïque en l’homme, notamment lorsqu’il se bat contre l’ennemi ; car, ne l’oublions pas, du début à la fin, c’est aussi de la guerre qu’il s’agit avec son cortège d’horreurs et de fantômes, de légendes et de cruautés. De toute façon, rien de surprenant, rien qui détonne, on reste en terrain connu dans un flou spatio-temporel cher à l’auteur, mais cette fois avec une richesse inhabituelle dans le registre de l’action, ode à la nature oscillant entre allégorie et fantasmagorie.
Cela se passe donc autrefois quelque part dans un Royaume constitué d’une capitale du nom de Bréga-Vieil et d’un château fort. Ils attendent l’assaut des barbares de l’armée angarienne. Le narrateur, un employé au cadastre, entouré de compagnons de route, quitte sa terre pour d’autres, d’autant plus menaçantes et violentes qu’elles lui sont inconnues, dépourvues de bornes, noyées dans un certain brouillard. Le climat en est parfois oppressant, l’inventaire des sensations foisonnant, le lexique dense jusqu’à saturation, l’atmosphère fantastique, les situations statiques. N’empêche que l’ensemble constitue un fresque envoûtante. Mais on le lit aujourd’hui, c’est à dire qu’on le lit mal et faussement car ce qui a précédé et ce qui suivi nous le fait prendre rétrospectivement pour un prolongement de l’un et un brouillon de l’autre.
Philippe Le Guillou, admirateur fidèle et inconditionnel de l’arpenteur des bords de Loire, rapporte dans le dernier livre qu’il lui consacre A Argol, il n’y a pas de château (105 pages, 18 euros, Pierre-Guillaume de Roux éditeur) une réflexion de Gracq selon laquelle un écrivain naît de la conjonction d’une terre et d’une bibliothèque, dans son cas l’Anjou et les littératures française et allemande la seconde moitié du XIXème siècle. Et un lecteur, de quoi naît-il ? On ira plutôt chercher la réponse du côté de ses Lettrines, Préférences et autres Carnets.
Les Terres du couchant, coulée de prose poétique, onirique et minérale comme on n’en lit plus guère en raison de l’écho solennel qu’elle renvoie parfois, mais qui sait faire entendre le son du silence, la modulation du chant du monde et l’épaisseur du temps juste après que les armes se sont tues, cette célébration de la nature est l’autre Royaume de la rentrée. Mais Julien Gracq a tant chargé la barque de son épopée que, si le lecteur comprend qu’il ait renoncé à la publier, l’épris d’histoire littéraire se réjouit de sa parution.
(« Peinture » de Bernard Fichera, Photo D.R.)
405 Réponses pour L’autre « Royaume », celui de Julien Gracq
Ah ! Ca fait deux ans que je repense à cette photo… Hypermnésique comme Truffaut ! Et pour le sens interdit un bon coup de mortier ça devrait suffire… Evidemment faut amener le mortier sur un âne de Clopine, puisque c’est pour interdire d’interdire, et puis d’ailleurs elle en a bien six mille têtes dans tous ses latifundia…
Mille excuses, Sergio, mais je l’ai enlevée car en fait, c’est cette peinture qui rend mieux compte du livre, mais cette forte photo, vous le reverrais, promis…
La question qui mérite d’être posée, c’est pourquoi diable a-t-il besoin de ce Moyen-Âge convenu pour nous parler de la fin de notre monde ? Il y a là comme un échec qui sent le faisandé. On aurait aimé qu’il nous parlât effectivement de nous. Mais évidemment c’est beaucoup plus difficile à faire.
Je n’aime guère cette transposition fantastique des horreurs de la guerre. Esthétiser l’horreur, c’est un vrai problème de création littéraire. On peut juger que ce n’est pas convenable. À tout prendre, je préfère les « manuscrits de guerre » qui sont plus vrais,; plus authentiques, moins faisandés. Ce qui fait la différence entre Aragon (Blanche ou l’oubli) ou Claude Simon (La route des Flandres, Les Géorgiques), c’est qu’on n’a pas l’impression qu’à travers ses transpositions tape à l’œil, Gracq cherche une vérité de notre histoire, mais qu’il se complaît dans des clichés ou dans ses obsessions, ce qui revient un peu au même. Alors qu’Aragon ou Claude Simon, cherchant le vrai, renouvelle l’art du roman, pour tenter de dire et faire sentir à travers des formes inédites de l’art romanesque la dissolution d’un monde.
Je n’aime pas non plus cet air hautain qu’il y a partout dans la prose de Gracq.
« entendre le son du silence »
Vous me mettrez dix kilos de cet oxymore, monsieur l’épicier.
…
…en lien, vous me mettrez bien,…
…
…le lien de Giovanni Sant’Angelo sur » Michael Lonsdale joue derrière les mots « …
… votre commentaire est en attente de modération,!…à 03 h 36 mn,…
…
…une autre sorte de crime de profits situationnistes, les mains propres en France républicaine en connivences,!…
…l’état » bananier « ,!…avant la lettre,!…
…etc,!…
…
…le Renato,!…au lit,!…il faut dormir mon petit,!…
…faite de beaux rêves,!…etc,!…
…
La meilleure chose à faire lorsqu’on lit cet inédit de Gracq est de lâcher prise. Avec le temporel, le réel, l’historique, le monde d’aujourd’hui, la façon de le voir, de l’exprimer, de le traduire en images objectives…
Il ne faut pas lire Terres du Couchant avec les yeux de l’analyste, ou du cartésien, ou de l’historien. On ne gagne rien et on perd le chemin.
L’idéal est d’aboutir à une perception de ce récit magnifique qui s’effectuerait sans réflexion, dans une somnolence, un demi-sommeil quasi immémoriel … Laisser le rêve s’installer avec bonheur.
On y arrive ! Il suffit de ne pas faire l’intelligent, de laisser notre partie animale, irrationnelle, respirer un peu.
Et alors là, comme dirait mon crémier, un reptilien : « Quel pied ! » ……….
Faut-il tout publier ?
Inédits, inachevés,
correspondances
et archives,
pense-bêtes
et factures aussi ?
La grande plume aimait
la soupe au poireau,
ah, quelle affaire !
Et l’encre, diluée
dans le jus d’alcôve,
quelle saveur !
Parfois, peut-être,
toujours, jamais !
Alors, tout publier ?
Les droits font la loi.
Mais tout lire ?
Il reste le choix.
Citadellicatement.
Bon, c’est le moment des animaux spinaux: la pseudo Thoreau sous le fil précédent, le Sant’Angelo ici… même pas capables de détecter un faux: pfft!
Gracq, Leopardi, Modiano, Lonsdale : y en a décidément que pour les has been sur ce blog. Heureusement qu’il y a la peinture de Bernard Fichera pour rattraper le coup.
Esthétiser l’horreur, c’est un vrai problème de création littéraire. On peut juger que ce n’est pas convenable. (Widergänger)
Mais pas du tout. Rien de plus jouissif, esthétiquement parlant, que les horreurs de la guerre quand elles sont judicieusement mises en scène. Rien de tel qu’un étal de boucher astucieusement disposé pour vous mettre en appétit. Ne moralisons pas tout, c’est barbant à la fin.
http://www.philomag.com/les-videos/francois-jullien-loin-du-bruyant-amour-lintime-10816
« Blanche pou l’oubli » d’Aragon est probablement le roman le plus surfait du XXe siècle. D’un ennui pesant. Alors que, chez Gracq, on ne s’ennuie jamais. « Blanche ou l’oubli » est l’exemple le plus flagrant d’Aragon pour prendre en marche les trains qu’il a ratés, en l’occurrence ici, celui du nouveau roman. Humainement et artistiquement, Aragon était positivement une crapule. Une crapule stalinienne, comme le rappela naguère Daniel Cohn-Bendit.
Auschwitz dans le goût de Jacques Callot, il y avait là, pour un photographe ou un peintre SS, un véritable et passionnant enjeu esthétique. Au fond, ces gens-là auront terriblement manqué d’imagination.
« Blanche pou l’oubli » d’Aragon (moi)
Ne jamais corriger les fautes de frappe ! Ce bâtard d’Aragon, qui n’a cessé de se chercher un père de substitution (Staline, le PCF …) était en effet un authentique fils de pou, comme disaient les Nambikwara chers à Lévi-Strauss des membres des tribus étrangères.
En tout cas le blog à Passou semble suivre la chute du cours du rouble, quelle faillite! Les sujets tournent en rond, le dossier d’œuvres d’art et photographies nous a été servi un tas de fois qu’il en vient à begayer, les commentateurs errent entre des bornes identiques à croire qu’un fil de fer électrifié a pu être installé profitant du creux statistique 3h/5h , intervalle durant lequel pour des raisons non éclaircies, personne ne franchit le seuil de ce vénéré salon littéraire en mal de service d’ordre quand avinés ou drogués aux caractères d’imprimerie, les différents intervenants tous diplômés d’études supérieures en viennent à se jeter des ordures à la figure et que, de ce fait, ils perdent la dorure de leur tranche.
…
…çà semble stable,…pour repasser,!…à l’occasion,!…des courses,!…etc,!…
…
les différents intervenants tous diplômés d’études supérieures (Bérénice)
Qu’allez-vous chercher là ? Perso, j’en suis resté au BEPC (sans mention)
ils perdent la dorure de leur tranche.
C’ est qu’ ils ne parlent pas comme des livres, eux,très chère Bérénice!
le dossier d’œuvres d’art et photographies nous a été servi un tas de fois qu’il en vient à begayer (Bérénice)
Pas du tout. Les photos de Lonsdale étaient un monument d’art trash comme on en visite peu. Quant à Bernard Fichera, si vous persistez à mal parler de lui, je vous enfonce mon petit bout de bois dans les oneilles.
Bérénice, je vais vous parler de mon curseur ! Vous me parlerez du vôtre, n’est ce pas …?
Le mien est bloqué sur le Certificat d’Etudes Primaires : trois échecs !
Préserver ses pseudo-intellectuels bijoux de famille, voilà le vrai luxe.
…
…@,…bérénice,!…c’est le lot, des blogs sérieux,!…d’être mis à partis,!…
…
…comme des institutions hors-pairs,!…
…les échafaudages mobiles,!…
…soeur Dominique,! nique, nique, elle ne parle que du bon Dieu,!…c’est trop clair,!…
…si c’était à refaire,!…c’est en cours les loisirs en polyvalences,!…etc,!…
…
…
Bérénice,
puisque manifestement vous ne voulez pas épouser Dédé la Soucoupe, accepteriez vous de m’épouser, moi pauvre Roi solitaire ?
Mes Terres du Levant, mon Royaume ensoleillé, attendent sa reine. Acceptez, je vous en conjure !
Vous serez heureuse, j’ai des revenus stables et d’autres bien cachés au creux du secret.
Widergänger dit: 29 décembre 2014 à 1 h 08 min
Hautain dans sa prose seulement. Pour son entourage hors milieu littéraire, il était fort simple.
Ayant vu la petite foule des modestes venus à son incinération, je peux en témoigner.
(Foule à laquelle manquait tous les caquetants parisiano-centrés venus prendre des plumes de paon Rue du Grenier-à-sel dans les dernières années de la vie de Gracq)
Esthétiser… drôle de mot si employé par un qui passe son temps en esthétisant sans jamais rien conclure… et ça vaut peut-être mieux comme ça…
Tout à fait d’accord avec le Calife Abou al Azerty : Aragon, c’est rien qu’un malfaisant tuyau de poêle !
Ça par exemple:
http://alongtimealone.tumblr.com/post/106496803074/akaverhatura-francis-bacon-study-for-portrait
Faut voir, doré avec quel or? Non, parce que la qualité c’est quand même quelque chose…
vu hier en DVD la pièce de Ionesco : Amédée ou comment s’en débarrasser… j’ai pensé tout de suite à JC ; pas vous ?
24 octobre chez paul edel. A ragondin un inédit somptueux.
paul edel chez vous je ne peux plus commenter ni Blogger parce que mes commentaires sont systématiquement effacés tels ceux de christiane avant les miens.
Autant vous le dire ici, paul, puisque Clopine a eu la gentillesse de vous demander de me joindre. Que vous ne l’avez pas fait avant de vous fâcher fort bêtement avec elle.
Drôle comme les mecs préfèrent se faire avoir par nombre de poufiasses décérébrées, os surnuméraires s’il en fut, plutôt que de franches sympathies immarcescibles. De chouettes admiratrices.
> Marcel trop contente de vous lire sur le coup de trois heures du mat. Espère que.vous allez bien.
Blois,
Votre demeure est minable niche !
Demeurez, demeurez, demeuré ….
Ragondin est superfétatoire.
> berenice autant vous le dire sans attendre dix ans.
Hier, je vous ai balancé une bonne grosse tarte à travers la tronche qui vous a assommée. Des lors que vous fûtes sonnée, je vous ai remorquée à terre sur la plage puis confiée à un maître nageur musclé et décérébré, animal, un Brando de pacotille pour qu’il vous insuffle la respiration artificielle. Je n’allais pas m’y coller. De lubrique, j’ai choisi Stanley.
Bises
Ne m’en veuillez pas de vous avoir ramenée sur la terre ferme.
La noyade ce n’est pas une mort entendable.
Je regrette juste que, lorsque vous vous faites baiser, on a le sentiment que vous le baisez. Au sens figuré.
Baiser ce n’est pas une arnaque. Songez-y
Belle notule sous le sapin, dear passou. Un Gracq de derrière les fagots (et votre Fichera qui fiche la déprimette).
C’est du non-massicoté ? espérons ! vu en rayons des Corti-Gracq pré-massicotés !… comme du champagne débullé, sûrement pour complaire aux générations à coudes baissés. Les vrais livres disparaissent au rythme du rouble qui s’écroule comme écrit Bérénice, l’ère des incunables est en route, à protéger des nains cannibales éjectés des forêts virtuelles.
Le massicot littéraire, arme du futur. allumez vos guirlandes, dear passou. Baroz est toujours vivant ?
rose,
dans le cas improbable où Bérénice refuserait de m’épouser, afin d’épargner Dédé et ne pas mettre son cœur en charpie, accepteriez vous de m’épouser ?
Nous partageons l’amour de la mer et sommes tous deux des féministes, purs et durs, càd à notre façon…
On peut être intelligent et sensible comme Paul Edel, et vivre dans un blog, sale, pouilleux, mal géré, où les messages disparaissent sans explication depuis des mois !
S’il accepte, sans broncher, que des tiers piquent les bijoux que chacun apporte chez lui comme Rois Mages au divin Poufinet …. no problem !
Je n’ai jamais été confrontée à cela d’une double demande comme double blind.
Pensez-vous de moi que vous pourriez me piétiner plus que ce que vous le faites déjà?
Dora Maar était amplement responsable JC. Cinglée las
Ce ne sont pas qq com.qui disparaissent mais systématiquement les miens depuis l’été dernier. Et avant moi ceux de christiane. Quel gâchis!
« Pensez-vous de moi que vous pourriez me piétiner plus que ce que vous le faites déjà? »
Cela pourrait arriver, mais je n’en vois pas la raison !?
…
…feu vert,!…la journée aux tuyaux branchés,!…les résultats pour conclure, le labo en marche,!…sur la planète,!…
…
…les fils du soleil en prison dorée,!…etc,!…
…
Nota en passant :
Les Block bustes ont une fonction référentielle. Comme passer la charrue avant l’ensemencement. Je constate que les gamins ont pigé la guerre de Troie grâce au dit blockbuster.
J’y préfère les péplum c tout personnel mais la fonction est la même. Émouvoir préparer le terrain. Les graines seront semées par d’autres. Professeurs gardiens de musée correcteurs automatiques etc. Pas par des traders.
Le mauvais cheval.
Loin de la mauvaise graine je songe au pâturage bien vert à la poule qui lui tient compagnie et à lui parler tous les jours. Je conçois de marcher à ses côtés en devisant. Et pense qu’il pourrait devenir un brave canasson.
A une écurie fermée le protégeant du gel. A une pitance variée et régulière. Il ne sera jamais un cheval de course mais peut devenir une brave bête.
La raison serait que pour prendre soin de moi avec affec-ti-on, il faudrait d’abord que vous prenassiez soin de vous avec la même. Comment donner à autrui ce que l’on ne s’accorde pas à soi-même ?
« Pas par des traders. »
Dommage, bien que une société sans argent serait pas mal… si, naturellement, l’auto évaluation était croyable…
« Comment donner à autrui ce que l’on ne s’accorde pas à soi-même ? »
Allons ! Allons ! On donne à chacun ce qui lui manque …
Etablir une société sans argent, sans capital, c’est encourager, faire éclore, développer, une société du muscle, de la bfrutalité : je suis partant…
Que règne la Force !
La Force, la Force… pourquoi pas la Farce? on peut en rire et c’est nourrissant… deux au prix d’un… Si on revoit un mauvais moment, il vaut mieux partir avec un dromadaire ou avec un chameau?
Manque un p à revoit… et un accent grave sur le e…
Bon, pour aujourd’hui c’est fini, à demain…
Que règne la Farce !
En cas de difficulté ? partir avec la femme de l’émir !
A propos, on a des nouvelles de la vie mondaine de madame Arafat ? Elle s’en sort financièrement ? ….
Et un lecteur, de quoi naît-il ?
De l’école primaire. A condition de ne pas en sortir illettré.
sur 48 commentaires, 9 ou 10 sont du garde-champetre ce matin…tain…faut le faire…ce pov’type doit mener une vie pleine et satisfaisante pour hanter ce blog ainsi …
En cas de difficulté ? partir avec la femme de l’émir ! (JC)
Attention, hein. Depuis que j’ai voilé Josette, je suis chatouilleux sur l’article.
Il est clair que compter les commentaires conduit à vivre une vie « pleine et satisfaisante » !
Ah ! j’oubliais le football, le sport des cérébraux…
Cela se passe donc autrefois quelque part dans un Royaume constitué d’une capitale du nom de Bréga-Vieil et d’un château fort. Ils attendant l’assaut des barbares de l’armée angarienne.
Voilà qui nous rappelle « le Désert des Tartares », paru en français en 1949. Il est vrai que l’attente est un thème très gracquien, présent aussi dans « le Rivage des Syrtes ».
Gracq m’aura toujours fait gracquer.
non, pov’type…il y’a un compteur de commentaires en haut du blog et quand on voit ton nom qui monopolise les posts, il est permis de se poser des questions sur la taille du trou dans ta misérable vie de garde-champêtre rance et amer…je te l’ai déjà dit : on t’as menti, mon gros nounou…t’es pas marrant du tout…en fait, tu es aussi marrant qu’une tumeur maligne sur le zob…
C’est beau Gracq. Très beau. Peut-être qu’écrire n’est cependant pas seulement faire le beau. Il faut pour que le beau soit vraiment beau, pour qu’il pénètre sous la peau du lecteur, penser ceci: écrire c’est ouvrir. Lisant Gracq je ne vois que clôtures. Magnifique clôtures empruntées me semble-t-il à l’histoire géographie scolaire, mais raffinées pourtant à la moulinette littéraire. Le lecteur de Gracq bute sur le marbre joli: lisant le lecteur se voit quasi mort. Comment ce lissé admirable peut-il renvoyer l’écho palpitant imparfait de la vie? La perfection ne se perçoit qu’imparfaite (l’imparfait est le temps du récit). De Gracq j’adore « La Route » qui précisément est un début de roman : le récit allait ouvrir sur la vie, Gracq a renoncé, il ne pouvait pas aller dans cette direction esquissée si brillamment. Il aurait eu peur des blancs? Du silence? Ce très fin observateur de littérature a je crois négligé le lecteur dans ses fictions car le lecteur est un être engagé dans l’existence avec ses défauts, errements, imaginations, délires… et le beau total, partout, tout le temps, ne peut le satisfaire. L’ambivalence de Gracq envers Goethe; il dit « du veau froid mayonnaise » mais ailleurs il envie la capacité de Goethe a inventer des sujets, i.e. du trivial donc, Charlotte découpant le pain… Il y a sûrement un passage de Gracq où on mange du pain et où on boit du vin(?), mais c’est une peu incongru, ce n’est pas dans le ton… On aimerait un peu moins de lissé, un peu plus de bavures, d’échardes.
« On aimerait un peu moins de lissé, un peu plus de bavures, d’échardes. »
Dans ce cas, il suffit de ne pas lire…. et de regarder le réel, de l’autre côté de la porte !!!
Abdel, mon frère !
Tu ne seras jamais aussi kron que d’autres : ne lutte pas ! Malgré des dons évidents, tu n’est pas dans la course ; ici, tu as les meilleurs krons francophiles ! …
Tu es trop franc, trop bon, trop simple : tu cours à l’échec, être toi-même, un homme banal…
Abdel, mon frère,
Tu l’as lu, le Gracq ?
Qu’est ce que t’en penses ?….
Pour JB : 12h23
Une dernière, avant l’autoroute, je pars définitivement.
Un nègre dans le rôle de James Bond ? Ouarf ! pourquoi pas un blanc dans le rôle titre de la Case de l’oncle Tom ? Pourquoi pas des chtis dans César, Marius … et Martine Aubry dans le rôle de Fanny ? Pauvre Fleming ! Pauvre Stowe ! Pauvre Pagnol ! …
Où on va là ? Où on va !Bonne fin de journée, les petits cœurs de laitue …
l’arpenteur des bords de Loire
Gracq ou l’inventeur de l’art bandeur des ports de Loire
@Rose, vous pouvez mettre autant de post que vous voulez sur mon blog.. et Christiane aussi… aucune interdiction..J’ôte seulement les insultes. il y en a peu… Evidemment, quand on prononce le mot « Aragon », toujours un âne va braire au sale « stalinien »..mais lisez l’œuvre entière, depuis le surréalisme jusqu’à « blanche ou l’oubli ». en passant par « Aurélien.. » ou « Les cloches de Bâle ».. c’est une tapisserie littéraire magnifique, sans oublier ses articles sur JL Godard ou « le Biafra de l’esprit »… à propos de la Tchécoslovaquie envahie….il ya a tant de gens qui pensent politiquement bien et bien ensemble ne publient que des navets gentils et bien inertes à notre époque…. pour une fois qu’on a un grand format littéraire comme Aragon…. ceux qui ne savent lire que dans la lorgnette politique ou les œillères du politiquement correct dansent de joie pour accabler Aragon en oubliant les risques pris pendant l’Occupation.. très recherché par les nazis…il fut, il est, il reste un immense poète, un grand romancier, un surréaliste magnifique, il suffit de relire « le paysan de paris » même phénomène quand on dit Céline, un vol de commentateurs obsédés de postures politiques, un vol de censeurs étriqués.. sur les grands écrivains..aussitôt l’étouffoir, guillotines, plumes, goudron, allumeurs de buchers, et évidemment dans le but d’’empêcher la lecture.. mettre la haine entre les lecteurs et l’écrivain, c’est pitoyable ces énervés qui veulent tout de suite le feu et la cendre dés qu’un grand écrivain apparait…. quand un pays possède un Aragon et un Céline, fierté..bonheur de lecteur, intelligence et lucidité..fièvre, poésie, talent, abondance… vérité… On lit.
.actuellement la mode est au retour du religieux.. dans les films aussi bien qu’en littérature.. est-ce un si bon signe de liberté ?…suis pas sûr.. »Le parti prêtre » » gagne, comme l’écrivait Stendhal.
…
…mais, qu’est ce qu’ils ont tous à me prendre pour un bon cheval,!…pour tirer la charrette comme un boeuf,!…
…
…surtout à notre époque du tout télécommandé aux fesses en l’air,!…signé,!…escort-girl,!…taxi-girl,!…
…Hôpitaux privés,!…grandes écoles private,!…vous montez , c’est gratuit pour vous,!…les colonies de vacances,!…chambres à la douzaines,!…
…
…c’est pas du frais,!…les oeufs de la ferme,!…Ah,!Ah,!…
…l’effeuillage social,!…encore la vache,!…c’est strip-tease,!…alors ces terres en bouses de cheval, façon crottin,!…
…
…embarquez moi, tout çà sur les drakkars,!…mais ramez, noms de dieux, ramez,!…
…etc,!…deux films pour un,!…en coïncidences inversés,!…non, pas en 3D,!…enfin,!…Ah,!Ah,!…çà s’en lys à l’ancre,!…etc,!…
…
Damned la photo qu’est-ce qui s’est passé la Carlingue une bombe à dépression ? Misère… Hon va faire une pétition on est un…
abdelkader dit: 29 décembre 2014 à 12 h 36 min
misérable vie de garde-champêtre rance et amer…
Tiens c’est vrai, ça… On n’a encore jamais vu de garde champêtre faire un pronunciamento ! Comme le général Alcazar… Mais il sait aussi lancer le schlass, lui, hein ! Il a plusieurs cordes pour les couper…
« je pars définitivement. »
Faut pas s’y fier – Avec le ding ue de pq c’est l’éternel retour
« Un nègre dans le rôle de James Bond ? Ouarf ! »
À PQ l l’île au fou évidemment on connaît pas
« actuellement la mode est au retour du religieux.. »
car en vérité heureux les simples d’esprit
Paul Edel dit: 29 décembre 2014 à 14 h 07 min
en oubliant les risques pris pendant l’Occupation..
Oui pour tout (le reste du post),mais il n’y a aucune raison de céder un picofarad (ben quoi, c’est une unité de résistance…) de terrain et l’on doit pouvoir dire gaillardement : « même sans les risques encourus durant l’Occupation… »
En plus le coup d’avoir mis Aragon et Ferdine aux fenêtres du même château ça leur en bouche un coin ça les musèle comme des rats…
Terres de Couchant, terre du couchant, c’est peut -être une extension de Finistère, mais peu importe.
Vous avez bien fait de changer la photo, ces bords de Loire en noir et blanc ont tristounets, surtout s’ils ne sont pas un bord de Loire … il faudrait y mettre de l’espace et puis le brouillard, tenace, parfois.
Et puis, cette citadelle, il faudrait la mettre au cœur de Brocéliande, pour qu’elle me donne envie de lire ce livre.
Saint-Florent-le-Vieil, je revois bien le panneau touristique sur le bas-côté de l’autoroute qui mène aux ressacs de l’océan, au bout de la terre.
Rarement j’ai lu autant de sensibilité pour un auteur que celle de cet ami de 30 ans qui dans un petit livre « le dernier veilleur de Bretagne » .
Lui dire à Ph Le Guillou, cette phrase-là , comme une reconnaissance: « je suis touché… Vous gâchez une journée… »
« quand un pays possède un Aragon et un Céline, fierté..bonheur de lecteur, intelligence et lucidité..fièvre, poésie, talent, abondance… vérité… »
Paul Edel sait ce qui compte pour un pays ! L’économique, la finance, la recherche, l’entreprise et l’emploi, ce n’est rien.
La France a Ferdine et l’Aragon, morts et enterrés…. Tout va bien !
désolé vrailent pour Rose et pour Christiane mais je suis bien incapable de comprendre pourquoi des post passent sur mon blog et pas d’autres car je ne filtre pas.
Ah je suis contente Paul j’ai eu peur d’avoir à me répéter et que vous ne me croyiez pas.
Mes réponses à vos billets sont systématiquement éradiquer depuis juillet 2014. Et avant moi, il y eut ceux de Christiane. Cela est.bien fâcheux pck que j’y bcp votre blog et vos billets. Et Christiane aussi appréciait bcp.
Ouf me voila soulagée que vous l’ayez compris !
Merci 🙂
Passou dit: 29 décembre 2014 à 0 h 45 min
c’est cette peinture qui rend mieux compte du livre
Je suis en train de me dire quelque chose depuis un petit moment, c’est qu’il ne faut surtout pas s’en priver, parce qu’à l’écran cela sort formidablement, entre autres la découpe du premier plan, le détourage par les reflets, mais pas seulement ; l’ennui c’est que si on regarde l’huile (on dirait du pastel, enfin peu importe) juste après, c’est fatalement pas mal moins lumineux.
Dans l’autre sens, donc si l’on réalise à l’écran pour faire imprimer ensuite, on réduit ce delta en surexposant à mort, mais même comme cela on est toujours un peu déçu par le tirage…
Good only to eat.
De toute façon, Gracq appartient à un temps où la littérature française existait, rayonnait dans le monde. Il fait partie des grands écrivains, au même titre qu’Aragon, Céline, etc.
Relisant des pages du « manuscrit de guerre », on est tout de même étonné que ce soit aussi écrit, avec des soucis visibles de style. Bien écrit. Les phrases collent au jour le jour, à la réalité brute pourtant. Mais du même coup, on perçoit quand même ce qui fait la différence avec un récit de guerre. Un récit de guerre, comme Un Balcon en forêt, est dans sa composition même l’expression d’une vision, et non pas seulement des choses vues au hasard des jours. Ce n’est pas la guerre qui tisse la toile du récit mais un monde imaginaire dont la guerre est le prétexte. Dans le manuscrit, la nature joue un rôle, par les description à fonction plutôt informative, mais pas le même que dans un récit, où elle ne joue au fond que très peu un rôle informatif mais bien plutôt de contre-point à la tragédie de la guerre, la nature est là par contraste avec le temps de la tragédie pour faire sentir cet autre temps, indifférent aux événements, à plus longue portée, qu’est le temps lancinant de la nature. Autrement dit, la différence entre les deux types de description est patente. Quand l’une informe, l’autre fait sentir l’éternité qui sert de fond à la tragédie. Le récit relève bien d’une organisation, d’une composition. Le tout est de savoir jusqu’où la composition doit enserrer les données brutes du réel pour ne jamais faire artificiel mais garder l’impression que tout est naturel. C’est une question de dosage, d’équilibre, de mode littéraire aussi qui repose sur une sorte de consensus social de la lecture. C’est peut-être pourquoi Gracq n’a pas poursuivi son récit. Il n’avait pas trouvé le bon équilibre. Et la couleur fantastique du récit lui paraissait peut-être par trop artificiel. Car à travers la question de savoir pourquoi il ne l’a pas publié, il s’agit plus profondément de mieux comprendre ce qu’est la littérature en propre.
>Widerganger L’acacia de Claude Simon aussi dans la liste que vous avez donnée. Où son père est assis le dos contre l’arbre tué par un obus. 42 pages en une phrase pour dire la douleur.
N’ai pas lu Terre de couchants en peux rien dire.
Sur Gracq je sais que lorsqu’il a eu le prix Goncourt ses élèves ne savaient pas que c’était lui. Homme modeste même si écriture hautaine.
>Paul ai écrit un com qui a été publié puis effacé. Il a duré très peu.
attention elle risque de pas être bonne….. dit: 29 décembre 2014 à 18 h 41 min
tout le monde ne devient pas sac à m.rde pour « faire envie » faut dire…
Ca me fait penser aux haspirateurs, tiens : les « sans sac » versuce les… les quoi, au fait ? Les « sans moteur » ? Euh non… « Sans filtre », peut-être, comme les Goldos… De toutes manières, quoi qu’il en soit et en tout état de cause, la vendouze à toujours raison !
J’avais lu Les manuscrit de guerre lors de leur sorties, et avait offert le livre à un vieil ami qui avait fait la même retraite que Gracq à travers la France. (Il n’avait pas été fait prisonnier et était passé en Angleterre pour intégrer le MI6 car, Sarrois, il parlait parfaitement allemand). Il avait trouvé que le récit était exact et l’atmosphère bien rendue.
ben tiens envie aussi d’aller faire le ménage hailleurs que chez moi vu que c’est tendance…
Carrément le meurtre.
Eh bé les jeux érotiques n’ont pas de limite.
Bonne ce n’est pas l’apanage des épilées du pubis.
Pour la luxure ce s’ra + dur. J’y rendrai des cours de dance floor en charentaises. J’aurai mon succès.
Albert Londres ici Paris : qd t’auras fini de la rendre jalouse sur mon dos tu m’feras signe. Je convolerai avec toi rire aux lèvres. Et si tu m’quittes, j’te f’rais la peau comme une carpette aux pieds de mon lit.
Je pense avec tendresse à Msieur Poirier comme moi célibataire convaincu. Smackouneth
rose, désolé, je n’y suis vraiment pour rien car j’étais trees heureux de votre participation.belle correction de widerganger sur Gracq.
Phil, c’est une rudement bonne question, ce livre est-il massicoté ou non.
Je vous dis cela, car je ne sais comment vous avez lu J.Gracq, si c’est à la hâche, mais attaquer un Beau Ténébreux, cutter en main, page à page, je vous dis que cela ne facilite pas le séjour à l’hôtel des- Vagues-aime-tu-la-plage-en-octobre.
J’ai quand même regardé s’il était possible de lire du massicoté à la bibli municipale; « terres du couchant » n’y est pas. Reste des volumes » oeuvres complètes », édités chez Gallimard.
Je n’imagine pas aller en librairie avec une arme blanche.
(Autel pour une pensée, well, you make my evening)
C’est une manie chez les connes d’étaler leurs fantasmes ?
Me viennent certains peintres qui l’ont fait, ainsi étaler ses fantasmes quelqu’en soit la manière ne peut-être considéré uniquement un trait de personnalité apparentée systématiquement à un certain état d’esprit ou une mentalité qui vous ferait éventuellement préférer le silence à la parole, la page blanche au texte, une absence à une présence, la cécité à l’acuité, sans évoquer les cinéastes, les littérateurs qui ne s’en privent pas, il nous faudrait pouvoir vérifier la biographie de Sade entre autres pour savoir quelle part expérimentée entre dans son rapport au sexe par exemple. D’ailleurs Est-ce qu’un fantasme révélé mérite encore l’appellation, ne s’agirait il pas d’une projection, d’une espèce d’exorcisme.
Je trouve que Gracq vieillissant avait quelque chose du général peut-être Est-ce du à sa grande taille et à son retrait du monde. De lui je n’ai lu à ce jour que le rivage des Syrtes qui n’est pas des plus faciles et entretient le mystère sans jamais rien définir des liens historiques, des enjeux, de la région et des protagonistes.
Une impossible conciliation.
cutter en main,
un coupe papier bien qu’il puisse se transformer en arme blanche suffirait amplement à rassurer les habitués, les objets nous révèlent aussi pour la bibliothèque municipale je doute que le cutter proposé présente les qualités attendues en ces temps troublés par de multiples agressions gratuites, revendiquées ou pas, dans une société malade qui malheureusement porte en son sein les produits humains qu’elles fabrique.
qu’elle
« Des rues une nuit vides, un théâtre qu’on rouvre pour une saison abandonnée à la mer tissent d’aussi efficaces complots de silence, de bois et de pierres que cinq mille ans, et les secrets de l’Egypte, pour déchaîner les sortilèges autour d’une tombe ouverte. Mains distraites, porteuses de clés, manieuses de bagues, mains expertes aux bonnes pesées qui font jouer les pierres tmbales, déplacent le chaton qui ernd invisible,- je devns ce fantômatiue voleur de momies lorsque, une brise légère soufflant de la mer et le bruit de la marée montante devenu soudain plus perceptible, le soleil enfin disparut derrière les brumes de cet après-midi du 8 octobre 19… »
Cet amphithéâtre de plage, il est sans doute dans le Golfe du Morbihan, j’en reconnais les traces de paysage; c’est là qu’a sévi Allan in « un beau ténébreux »
ce maudit chaton…
« qui font jouer les pierres tombales, déplacent le chaton qui rend invisible,- je devins ce fantomatique voleur de momies «
Si vous l’affirmez et bien qu’amoureuse des lieux, ces lignes ne me les restituent, je vous laisse à votre conviction puisque tel, ce théâtre a été clairement répertorié par votre expertise, je n’établis pas franchement la liaison entre Egypte et Morbihan mais bon, c’est sûrement Gracq fourbe et facétieux ou l’extrait est peu révélateur. Ou ultime hypothèse votre TSH ultra sensible vous poussse à plus de pertinence que je n’en possède ce qui n’étonnerait guère.
La vie dans les bois si je puis oser l’indiscrétion, connaissez-vous intimement un certain Marc de Ferrero Rocher? C’est mon frère et vous cumulez les points communs. J’ai du penser il y a de cela fort longtemps que le point signalait la rencontre puis la fusion entre deux êtres dans l’infinité qui finit par nous rassembler dans le vide intersidéral d’après la mort.
Quel dommage, j’imagine que votre silence ne signifie en rien un déni, franche comme vous l’écrivez depuis tout ce temps, quoiqu’il en soit nos liens incestueux me feront dire que vous ratez un évènement fait homme, il les roule comme nul autre et je ne vous dirai rien de ce magnétisme un peu machiste mais sûrement pourra-t-on pointer là en miroir le masochisme de ces femmes qui aime à être possédée, c’est un diable, ma
cependant d’un charme ravageur, un véritable cleptomane à l’appétit insatiable, polygame , à voile et sans peur qui vous offre ce loisir inespéré et sans fin des reproches car il quitte impitoyablement les scènes de ces crimes érotiques, de ses nuits d’amant enfiévré, un animal en chasse quoique l’âge se fasse sentir, les horloges débloquent et le démon entre en gare à plus de 50 ans.
» L’état officiel d’hostilité, qui est celui de la Seigneurie vis-à-vis d’une certaine puissance étrangère, a pu avec les années s’évanouir dans la conscience de son peuple jusqu’à devenir un sujet de plaisanterie et de dérision ; il vous appartient de vous rappeler, au besoin contre lui, une vérité redoutable qui n’a jamais cessé d’être, et de vous maintenir en toutes circonstances à la hauteur de ce qu’elle peut proposer. Cette vérité vit par vous, et par quelques-uns, qui en demeurent les seuls dépositaires ; il dépend de vous et d’eux, que l’Etat, qu’ils peuvent prétendre à incarner seuls dans des circonstances décevantes, continue a être servi lucidement. Je vous engage à méditer la devise d’Orsenna. » extrait du rivage des Syrtes.
Paul Edel dit: 29 décembre 2014 à 18 h 01 min
Paul, une bonne foi pour toute, quitter Le Monde, ils sont nuls et vous encouragez la nullité.
Triste.
Bérénice un soir de bal on jurerait Dédé un soir de soucoupe sur le Puy de Sancy.
Une extase.
encore un coin du globe pas atteint de mégalomanie facile ?
(crever la langue dans le c.l, en masse, quel sommet !)
Comment savez-vous que je fréquente le Puy de Sancy précisément pour cette raison ?
Je n’en avais jamais parlé. Vous en savez décidément un peu trop sur moi et je commence à trouver cela suspect.
Mimi, l’un des cas les plus spectaculaires concerne les bases aériennes militaires anglo-américaines – RAF Bentwaters and RAF Woodbridge.
Gracq est l’homme d’un livre exceptionnel, « le Rivage des Syrtes ». Exceptionnel par la noire splendeur d’une écriture souveraine, par la richesse de sa thématique, par sa profondeur, par les déploiements d’un imaginaire qui traite avec une originalité et une liberté magnifiques l’apport surréaliste. Le reste de sa production est généralement excellent mais n’atteint jamais de pareils sommets. Sur la fin, Gracq, qui se souvenait sans doute d’avoir été professeur, écrivait des textes qui semblaient avoir été calibrés pour des dictées de certificat d’études.
La compromission est un acte volontaire dit: 29 décembre 2014 à 23 h 18 min
Paul Edel dit: 29 décembre 2014 à 18 h 01 min
Paul, une bonne foi pour toute, quitter Le Monde, ils sont nuls et vous encouragez la nullité.
Triste.
–
Oui, il faut maintenant prendre votre indépendance, Paul. Quitter Le Monde est devenu un must. Moi-même je l’ai retiré de mes favoris sur mon navigateur et l’ai remplacé par l’Express, beaucoup moins gauchiste bien pensant.
Il faut croire qu’il y a quelque chose dans l’air du temps qui porte à se pencher sur Julien Gracq. Pour ce qui concerne le Rivage des Syrtes, Enthoven, dimanche dernier, nous embarquait dans une explication de texte des plus cossues. Qui donc écrit encore comme lui, aujourd’hui ? Ou comme Balzac, ou comme Proust ? Si vous avez de quoi m’éclairer …
Il y aurait à méditer sur le thème de l’attente qu’on retrouve tout au long du XXè siècle, et pas seulement chez Gracq, qui prend des sens les plus variés (la vigilance, l’ennui, le désir, entre autres) : chez Breton où il exprime le désir surtout, chez Beckett où il hésite entre la vigilance et l’ennui), chez Gracq où il prend des allures comme ontologiques. Pas étonnant au fond qu’il aboutisse à une œuvre inachevée, c’est-à-dire en attente, en défaut de nature, de statut, comme dit si justement Passou, qui rappelle aussi ce que disait Nietzsche de l’homme, un animal en attente d’être, comme le rappelait J. Derrida dans une conférence à Cerisy, qui a à voir avec la « nudité » de l’homme, de « l’homme nu » selon l’expression d’un autre poète, René Char.
La conférence de J. Derrida (en 1997) :
https://www.youtube.com/watch?v=4VeNOeJSVes&feature=youtu.be
Sur le thème de l’attente.
Lors d’une conférence que donna Jean-Pierre Vernant au lycée de Sèvres sur le mythe de Pandore, quelqu’un ,dans l’assistance, s’étonna qu’il n’ait pas évoqué « l’espérance », voici ce que Vernant répondit:
» -L’espérance n’a pas été évoquée.
Réponse Jean-Pierre Vernant :
En effet. Ce que je voulais vous dire, en deux secondes. Il y a la jarre, elle l’a ouverte, tout a foutu le camp, elle l’a replacée. Une entité, un être, une puissance qui était plus lente, qui traînait la patte n’est pas sortie. Elle reste au fond de la jarre. Et cette puissance s’appelle, je donne le mot grec, Elpis, qu’on traduit généralement par espérance, espoir. Je ne suis pas sûr que le mot ait exactement ce sens-là dans le texte, il y a eu beaucoup de discussions savantes. Elpis signifie l’attente, être en expectative. Si ce qu’on attend est un bien ça s’appelle l’espoir. Si ce qu’on attend c’est un mal ça devient peur, anxiété, tout ce que vous voulez. Elpis, attente, ça veut dire quoi ? Je crois, que ça veut dire qu’Elpis reste au fond de la jarre, la jarre reste dans la maison, comme Pandora, la femme, l’épouse reste aussi à côté de l’homme, du maître de maison, dans la demeure. Ça veut dire que dans ce monde contradictoire où il y a des maux partout, on ne peut pas les voir, l’existence humaine vouée à la contradiction, et dans le statut ambigu qui est le sien, entre les bêtes et les Dieux, eh ben la seule chose qui lui reste est l’attente. Il sait qu’il va mourir, il sait que la maladie va l’atteindre mais il ne sait pas quand, il ne sait pas comment. Par conséquent, il a ce mélange d’espérance et d’anxiété. La vie humaine qui finit dans cette double limites, les Dieux et les bêtes, Les Dieux n’ont pas Elpis, ils n’ont pas à espérer, ils ont tout, ils n’ont rien à craindre, ils n’ont ni espoir, ni crainte. Les bêtes, elles n’ont pas d’espoir, quelquefois un peu de crainte mais dans l’immédiat. Pourquoi ? Parce qu’elles n’ont pas conscience du temps à venir. Elles n’ont pas de prescience, les bêtes, et en ce sens elles vivent dans un temps qui est tout entier au présent, ni espoir, ni crainte. Tandis que nous, non seulement il y a Pandora mais il y a le fait que nous sommes coincés entre Prométhée, c’est-à-dire la capacité que nous avons de faire des projets, de prévoir, de voir comment les choses se dessinent, le champ de force que nous allons manœuvrer mais aussi Epiméthée, comme une andouille, comme un benêt, toujours l’air surpris alors qu’il aurait dû se douter qu’il y avait quelque chose qui nous guettait. Entre Prométhée et Epiméthée, on est continuellement à vivre notre présent dans la tension, dans Elpis, entre espoir et crainte. Là, encore la condition humaine apparaît dans toute son ambiguïté. Voilà. Merci de m’avoir fait penser à une des choses que j’ai oubliées. »
…
…mais, enfin,…la modération,!…vous êtes pas, un peu » fou » des fois,!…
…
…pourquoi mon post: Votre commentaire est en attente de modération. 30 décembre 2014 à 1 h 36 min,…à disparu,
…
…mais, si,!…
…
…la vraie liberté d’aimer,!…aimer qui me passe par la tête,…sans préjudices pré-établis par les classes sociales,…
…
…sur la liberté d’aimer par la pensée,!…
…
…aimer par instinct,!…
…aimer ce qui peut l’être encore, au de là de toutes contraintes comme avant de me choisir des » critères « ,!…
…c’est la créativité totale,!…la liberté du discernement de chacun,!…aux mains des dieux, s’il en restent,!…
…
…retrouver la mouvance de l’âme à sa vie, aimer pour prendre à revers les codifications, les critères d’insertions interactifs,!…
…s’appuyer sur son subconscient avant de s’exclure des uns ( par l’Histoire ), ou s’en rapprocher par les intérêts escomptés,!…aimer, aimé » jeunes & vieux « , pour aimer, la santé de sa vie,!…
…aimer, pour être du commun particulier, aimer pour vivre la force de sa vie éternelle,!…
…
…grand inquisiteur, qu’est ce qu’on fait de toutes ces salopes, ces porcs, cette dépravation généralisée,!…
…un bon bain, des soins, des parfums, des satins,!…
…et vous me remettez tout çà, en ses préférences existentialistes,…sans contraintes,!…of course,!…
…
…et les filles mères,!…çà vas,!… il faut pas pousser le père à tout faire,!…vous trouverez bien des charnières excentriques dans vos fardes,!…à colliers,!…
…chiennes des » cosi fan tutti « ,!…c’est tendances,!…rapports qualité X prix,!…
…c’est notez,!…etc,!…Ah,!Ah,!…
…
…
…alors là,!…a rien comprendre,!…
…
…ce matin, j’ouvre le blog aux insertions chez Pierre Assouline,!…mon post es volatilisé,!…je met tout un temps pour réhabilité mon texte, par mes copies – photos,!…J’envoie,!…et je me retrouve avec deux textes,!…
…c’est pas sérieux,!…etc,!…
…
Mitraillette, c’est le fantasme hier soir qui fut la cause, le déclencheur puis il y a toujours trente six façons de tourner en ridicule l’anonyme qui tente d’écrire le fond inénarrable de sa pensée. A fantasme en peinture et quoiqu’il y ait profusion, mon cerveau bulle toujours à Balthus.
Sur le thème de l’attente
Lors d’une conférence que donna Gilbert Trigano au Club Méditerranée de Corfou, quelqu’un ,dans l’assistance des SDF qu’il avait invité, s’étonna qu’il n’ait pas évoqué « l’attente », voici ce que Trigano répondit:
« La tente, c’est bien évidemment TRIGANO ! »
Il faut pardonner à ceux qui vous ont offensé …
…
…de nota,…je vous est lu,!…
…
…en l’Elpis qui reste au fond de la jarre,!…
…
…entre Prométhée & Epiméthée,!…l’Elpis,!…
…la raison d’un faux fond vernis à » la part des anges « ,!…etc,!…
…
Il y a plus de vie dans l’effort d’un athlète que dans toute la Recherche ! A vos haltères, bande de caves … !
…
…à ne pas confondre avec la famille » Tricano « , en Sicile,!…
…quoi que, avec l’administration à peau de vin,…laisser suivre le cour d’Ô,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…
Il faut reconnaître à Jean-Pierre Vernant une immense qualité : il enfile les perles de la banalité à merveille …
« Il faut pardonner à ceux qui vous ont offensé » (JC)
Heureux les malheureux
Il faut reconnaître à JC une immense qualité : il enfile les perles de la banalité à merveille.
Si vous avez de quoi m’éclairer
Ne pourrait-on pas voir que les contenus varient aussi en fonction du contenant qui serait le monde en sa qualité actuelle qui délivre les hommes dans le sens d’une ordonnance, le monde est plus rapide, s’arrache à lui-même à coup guerres disséminées, les valeurs qui le soutiennent ont changé, la description ne peut être la même, la pensée s’abreuve souvent au Passé et porte un plus lourd héritage et qui cependant ne semble concerner qu’une infime part de l’humanité, les masses grégaires s’agglutinant autour d’un festin de pub et de rêves de richesse matérielle vite acquise quand il n’est pas complètement enseveli par des problèmes d’ordre socio-économique. La course à l’argent est sûrement plus présente avec cette quête au scoop scandales confessions témoignages frappant les esprits de cruauté ou d’originalité. Les écrivains sondent l’homme et son monde tel qu’il se présente à la vitesse où ce dernier se produit.
Enfilons ! Enfilons ! Bérénice… Rien n’est plus important que l’argent : l’argent procure tout ce dont l’homme a besoin, y compris ce qui ne s’achète pas !
Les « masses grégaires » ne sont pas seules composées d’horribles Sans-Dents : on connaît des masselettes grégaires de toutes sortes, y compris dans les milieux universitaires ! …
Il existe aussi maintenant des choses qui ne s’achètent plus parce qu’il est impossible d’acquérir du « disparu » ou à piller un musée de l’immatériel.
Et à quoi bon penserez-vous quand on voit à quoi cela peut servir au delà d’une exposition permanente pour berner son monde ou faire joli au cocktail.
Je suis très étonné qu’il existe des mosquées, des synagogues, des églises pour ces trois vieilleries inutiles de religion monothéistes à la doctrine faisandée, moisie, dépassée…. et qu’il n’y ait pas un Pape de la Finance, une Curie Monétaire, un Ordre des Traders, une Confrérie des Banquiers, plus visible.
Car le nombre de croyants de cette religion là, le Seigneur Fric, est bien plus important que les trois autres réunies ….
Nous voulons, un Pape du Fric !
« Paul, une bonne foi pour toute, quitter Le Monde… » (La compromission est un acte volontaire)
Judicieux conseil.
N’inversons pas les rôles, Paul n’accepte pas les conseils qu’ils soient judicieux ou pas : il en donne !
Ce royaume, l’extrait donné en lien, me fait penser à un genre littéraire oublié.
« Before midnight they crossed the Ophirean border and at dawn the spires of Khorshemish stood up gleaming and rose-tinted on the south-eastern horizon, the slim towers overawed by the grim scarlet citadel that at a distance was like a splash of bright blood in the sky. That was the castle of Tsotha. Only one narrow street, paved with marble and guarded by heavy iron gates, led up to it, where it crowned the hill dominating the city. The sides of that hill were too sheer to be climbed elsewhere. From the walls of the citadel one could look down on the broad white streets of the city, on minaretted mosques, shops, temples, mansions, and markets. One could look down, too, on the palaces of the king, set in broad gardens, highwalled, luxurious riots of fruit trees and blossoms, through which artificial streams murmured, and silvery fountains rippled incessantly. Over all brooded the citadel, like a condor stooping above its prey, intent on its own dark meditations. »
R. E.Howard.
Ah, non, même pas c’était le bon lien.
J’ai lu un extrait ici:
http://www.jose-corti.fr/titresfrancais/Terres_du_couchant.html
petit-oiseau-qui-pépie dit:
« Le politologue Francis Fukuyama, ancien élève de Derrida, Lacan, Barthes, se souvient : » Que des conneries… » »
ça c’est sûr !
Je vais aller goûter la neige.
Bonne journée.
8 h 23 : enfilons bérénice : les propos de JC sont de plus en plus déplacés, ce n’est pas rassurant pour sa santé, déjà que zemmourien… c’est du propre !
J-L Blois dit: 30 décembre 2014 à 9 h 37 min
8 h 23 : « enfilons bérénice : les propos de JC sont de plus en plus déplacés »
Blois, vous êtes odieux, infect, horrible … !
« Enfilons » suppose en sous-entendu « les perles » ! Il ne s’agit pas de Bérénice, qui est une des rares saintes de ce blog de prestige, personne que j’ai officiellement demandé en mariage polygame, là où l’éthique autorise la copulation reproductrice de bon goût !…
@ rose et autres blacklistés de « près loin » : il faut savoir que les modérateurs du Monde sont musulmans, on avait eu un billet là-dessus naguère. Il suffit d’avoir écrit un truc, un jour, qui leur a paru irréligieux et boum, on est viré.
e politologue Francis Fukuyama, ancien élève de Derrida, Lacan, Barthes, se souvient : » Que des conneries…
S’agissant de Roland Barthes, le terme anglais « bullshit » possède une fraîcheur poétique que « conneries » ne possède pas en français. Voilà en tout cas un témoignage qui tend à remettre à leur juste place les bavardages de quelques uns de nos monstres sacrés (?) intellectuels.
…
…J.C.,!…à 8h 35 min,…nous voulons un Pape du Fric,…moral à fille au pair,!…tenue de Collège of course,!…soulier noir & chaussette blanche,!…etc,!…
…
Il suffit d’avoir écrit un truc, un jour, qui leur a paru irréligieux et boum, on est viré.
Nous voilà rassurés : les modérateurs de la RdL, eux, ne sont sûrement pas musulmans. Sinon j’en connais quelques uns qui se seraient fait blacklister vite fait.
Giovanni Sant’Angelo, restez en ligne, JC va vous répondre.
les modérateurs de la RdL, eux, ne sont sûrement pas musulmans.(Azerty)
J’ai cru comprendre que les modérateurs de la RdL actuelle s’appelaient tous Pierre Assouline.
…
…@,…anchor man,!…à 10 h 05 min,!…
…
…c’est gentil, mais je dois m’occuper de faire la cuisine,…ensuite mes courses,!…
…je relis en fin de soirée,!…of course,!…
…etc,!…
R.D.
« Il suffit d’avoir écrit un truc, un jour, qui leur a paru irréligieux et boum, on est viré. »
C’est certain : j’avais écrit chez Popaul que le Livre était une couillonnade de chamelier épileptique, entretenue par une vieille commerçante, délirant à ses heures.
Chassé du Jardin d’Edel, immediat !!!
Fra Gianni d’Angelo ! A ce soir …
…
…Fra J.C.,…
…j’éteins mon bouillon de culture,!…le couvercle est mis,!…
…à réchauffer pour usages,!…etc,!…
…
Bien entendu, Giovanni, dans la nouvelle religion qui va naître à l’air libre (au lieu de vivre honteuse, cachée, dissimulée comme si c’était un vice de chérir le Dieu Argent comme on chérit les idoles actuelles ), nous créerons des Collèges de Jeunes Filles, jupette, souliers plats, chaussettes blanches, dont vous aurez la haute garde morale et le conseil spirituel en exclusivité ….
Je pense que ce serait bien de les appeler « Les Demoiselles de Saint-Fric ».
il s’agit plus profondément de mieux comprendre ce qu’est la littérature en propre.WGG.
Vaste question tout de même…
« La littérature en propre »
Propre sur elle?
Hygiénique et bien repassée?
Qui n’ aime pas la figuration?
Personnelle et non pas plagiée – comme l’ art contemporain de nos jours? – au soleil de la page éditée?
Lessivée parce que sale et peu ragoûtante?
A bas le mot laid!
…
» Les demoiselles de Saint – Fric « , au pair Lachaise,!…toutes voiles-dehors la petite mort,…enchantée par la douceur,!…
…
…
…déjà , sur le genoux , au mollet en mains de Vesta,…Marie le cierge,!…etc,!…
…
La littérature n’est qu’un aspect vieillot de la communication …
…
…déjà, au pied du mûre, de Loto-Satisfaction,!…mes Rolling – stone en herbes,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
Un cétacé mord vivant (inféré)
Engagé par notre cher Grand Leader pour répondre à une saloperie d’ex-première dame, je viens de terminer son livre-témoignage.
On est toujours le nègre de quelqu’un de plus puissant. Acceptable, à condition d’en tirer bénéfice.
J’essaie de faire croire à une rupture courtoise, équilibrée, noble, quasi aristocratique au sens corrézien.
Son ouvrage, c’est à dire le mien, en réponse à « Merci pour ce moment » s’intitulera simplement : « De rien. Y a pas de quoi ! »
On enfoncera Zemmour !
JC : « Enfilons Bérénice !! »
« Ah ! Cruel, est-il temps de me le déclarer ?
Qu’avez-vous fait ? Hélas ! Je me suis crue aimée. »
Je crois que le parti de l’auteur mentionné par la brève d’il y’a deux heures est de forcer la reconnaissance. Il y reconnaitra son petit, s’il fait ça pour l’argent, il ne l’aura pas mentionné.
« Enfin, tu le savais ! Lorsqu’apparaît le Tite,
Ma chère Bérénice, il ne suit que sa b…!
« …murmured, and silvery fountains rippled incessantly. Over all brooded the citadel, like a condor stooping above its prey, intent on its own dark meditations. »
On rage de vous savoir capable d’une telle littérature sans que vous y puissiez poser votre signature, c’est toujours ainsi, comme pour certains peintres, certains se soulagent en clamant qu’un enfant l’aurait fait, pour les textes les lisant on se dit qu’on aurait pu les distiller et puis non un autre avant vous l’aura senti, puis écrit et enfin réussi à publier. Vous devriez vous y essayer la vie dans les bois car avec tout ce que vous ingérez il y a matière à transformer votre psyché enrichie, je ne comprends d’ailleurs pas qu’il ne soit toujours pas venu l’idée d’en tirer un profit autre qu’intellectuel. Tout se convertit en devises à présent, aussi entreverrai _ je à cette absence de suite une certaine gratuité dans la dépense de votre être. Sincères félicitations, le désintéressement est proportionnel à l’intérêt suscité ou inversement.
JC….. dit: 30 décembre 2014 à 8 h 23 min
Enfilons ! Enfilons ! Bérénice…
JC je ne possède rien du chirurgien pas même la paire de gants, puis je vous l’ai déjà dit: je n’appartiens pas à cette société de sodomites.
» ces trois vieilleries inutiles de religion monothéistes à la doctrine faisandée, moisie, dépassée…. nombre de croyants de cette religion là, le Seigneur Fric, est bien plus important que les trois autres réunies …. »
Aucun respect pour les affaires rutilantes (guerres fabrication et commerce d’armes de plus en plus peformantes! seigneur fric et religions vont bien ensemble grâce au ciel dieu merci
Nous voulons, un Pape du Fric !(JC)
il est déjà en place! (faut suivre)
« on connaît des masselettes grégaires de toutes sortes, y compris dans les milieux universitaires ! »
Quelqu’un à pq se croit au-dessus des masses des troupeaux
…
…l’exploitation des enfants au noir pour du blanc qui s’enfilent des perles,!…ils font des ballons pour se foot’re du Monde,!…
…
…les équipes nationales aux canards-faisandés, aux » Or-Anges « ,!…
…de connivences, aux silences,…
…Alors, c’est quoi aux Loto-Satisfaction,…on doit perdre ou gagner,!…
…il dis au Mon-dial on perd,!…c’est le » paradis » les doigts dans le nez,…de Jérome Bosch en son » Jardin des délices « ,…
…O.K.,…O.K.,…
..en cas, cas de besoins, des Ô’t’Ô’G’Ô’al,!…sinon, Pif & Paf,!…plus de Tintin en cage aux folles,!…rien que des Boschs,!…à la croisière s’amuse,!…façon,!….Marine de plein fouet,!…au suivant pour les sans-dents,!…à Zémmours,!…descendants le fleuve Amour à pédales sur le Kron-ki-ki,!…
…Banco,! c’est sarrasin à Nez-mour,!…à la Tour de Nesle, pur porc à l’ail,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…
…envoyez,!…of course,!…Dady Ô lys,!…
…
« Je trouve que Gracq vieillissant avait quelque chose du général peut-être Est-ce du à sa grande taille et à son retrait du monde. »
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
On voit bien que vous ne l’avez jamais vu, Bérénice…
Pauvre Gracq, pauvres interveaunautes… (Jeannot, ce que tu peux écrire comme conneries, moins déplaisantes, cependant que celles du verrat professeur…).
Bonne fin d’année,
« Je trouve que Gracq vieillissant avait quelque chose du général peut-être Est-ce du à sa grande taille et à son retrait du monde. »
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
On voit bien que vous ne l’avez jamais vu, Bérénice…
Pauvre Gracq, pauvres interveaunautes… (Jeannot, ce que tu peux écrire comme sottises, moins déplaisantes, cependant que celles du verrat professeur…).
Bonne fin d’année,
Je suis obligé de vous le dire : vous êtes vraiment tous des cons.
Pierre Assouline, vous n’effacez pas les messages qui usurpent mon pseudo. Je vous serais reconnaissant de le faire.
Le parmesan Romiggera, c’est le meilleur, celui de qualité.
« Piraté, « Soumission », le nouveau Houellebecq, le 7/1 en librairie mais déjà disponible en téléchargement illégal ! »
Que pouvait-il arriver de plus juste à une littérature aussi gratuite?
« Gratuite », certainement pas !
Ceci dit, le sujet ne présage pas de sa valeur littéraire. À lire donc ! En tout cas, il faut espérer que son scenario ne se réalise pas. Mais on est en train de le frôler.
Chaloux s’écrie : « On voit bien que vous ne l’avez jamais vu, Bérénice… »
Taille normale, et retrait du seul monde parisiano-centré, les gens du pays pouvaient le voir marcher le long de sa Loire. Mais ils lui foutaient une pays royale, et aux touristes de passage-éclair qui voulaient savoir où il logeait et le voir comme on veut voir une curiosité, était répondu qu’on n’en savait rien.
Chaloux dit: 30 décembre 2014 à 14 h 03 min
Je suis obligé de vous le dire : vous êtes vraiment tous des cons.
Cela ne va pas : en effet, certains peuvent l’être deux fois, trois fois, N. fois ; d’autres, à l’inverse, une demi-fois, une picofois, d’autres encore négativement : on se trouve donc en présence d’une distribution matricielle de la connerie, ce qui engage fortement à la recherche de la loi présidant à cette distribution…
(Jeannot, ce que tu peux écrire comme sottises, moins déplaisantes, cependant que celles du verrat professeur…)
Chaloux, si cette expression qualifie Alba dont on sait que vous et lui ne partirez jamais en avances sur le même ferry, sachez que malgré son caractère de cochon il apporte bien plus à la RDL que ce pauvre Jeanbrun ou pire, le porcquerolles pas drolle…
Ce qui est gratuit est ce qu’il y a de plus cher, ne l’oublions pas : la vie, le soleil, les femmes nues, les bancs publics…
. ici, trop de commentaires : ceux de JC et de tous les pseudos qu’il utilise quand il n’usurpe pas quotidiennement en toute liberté
. chez Poapul : tous les commentaires qui sautent
. cherchez l’erreur
Le thème abordé par Houellebecq est d’importance. Il semble qu’il l’ait traité par dessus la jambe au moyen de la caricature. Il est sans doute passé une fois de plus à côté d’un grand roman. Dommage !
Pour en parler avec profondeur, il faudrait remonter à mai 68 et ses suites, et mettre en scène des destins divers : journalistes à Libé, compromission de l’élite française avec les pays arabes à cause du pétrole, intellectuels complexés par le passé colonial de la France, esprit de repentance de la grosse masse informe de gauche, utilisation de la Shoah par cette même gauche pour la renverser en sentiment de compassion pour les braves pauvres soi disant persécutés de Palestiniens, etc. , etc. Là, ce serait un vrai roman, le roman de ces trente ou quarante dernières années de la France et de l’Union Européenne, qui aboutissent aujourd’hui à cette montée de l’antisémitisme en Europe et à la soumission de l’Occident à l’islam radical et à son idéologie mortifère et nazie.
Et puisqu’on parle de J. Gracq et de la dernière guerre, c’est au fond le prolongement de la lâcheté de nos élites devant Hitler et la haine éternelle des Juifs qui n’a cessé en réalité d’irriguer le fond de commerce de nos élites à travers ce qu’elle appelle par pudibonderie « l’antisionisme » qui n’a jamais été rien d’autre que la forme la plus avancée de l’antisémitisme le plus éculé. L’Europe poursuit ses crimes à travers cette allégeance à l’islam, comme l’a si bien montré Jean-Claude Milner dans Les penchants criminels de l’Europe démocratique. Les années 20 et 30 de ce XXIè siècle seront occupées de toute façon par cette grande guerre contre l’islam dans toute l’Europe. Une sorte de guerre civile qui ne dira pas son nom. Mais Houellebecq a raison sur un point, cette guerre, que nous remporterons, mettra néanmoins fin à la civilisation occidentale telle que nous l’avons connue, judéo-chrétienne. Et nous entrerons dans une sorte de nouveau Moyen-Âge !
Le thème abordé par Houellebecq est d’importance. Il semble qu’il l’ait traité par dessus la jambe au moyen de la caricature. Il est sans doute passé une fois de plus à côté d’un grand roman. Dommage !
Et puisqu’on parle de J. Gracq et de la dernière guerre, c’est au fond le prolongement de la lâcheté de nos élites devant Hit. et la haine éternelle des J. qui n’a cessé en réalité d’irriguer le fond de commerce de nos élites à travers ce qu’elle appelle par pudibonderie « l’antisio. » qui n’a jamais été rien d’autre que la forme la plus avancée de l’antisé. le plus éculé. L’Europe poursuit ses crimes à travers cette allégeance à l’islam, comme l’a si bien montré Jean-Claude Milner dans Les penchants criminels de l’Europe démocratique. Les années 20 et 30 de ce XXIè siècle seront occupées de toute façon par cette grande guerre contre l’isl. dans toute l’Europe. Une sorte de guerre civile qui ne dira pas son nom. Mais Houellebecq a raison sur un point, cette guerre, que nous remporterons, mettra néanmoins fin à la civilisation occidentale telle que nous l’avons connue, judéo-chrétienne. Et nous entrerons dans une sorte de nouveau Moyen-Âge !
les femmes nues, les bancs publics…
mieux vaut le galbe d’une fesse que l’écharde d’une caisse.
Et puisqu’on parle de J. Gracq et de la dernière guerre, c’est au fond le prolongement de la lâcheté de nos élites devant Hit.
et la haine éternelle des Y. qui n’a cessé en réalité d’irriguer le fond de commerce de nos élites à travers ce qu’elle appelle par pudibonderie « l’anti.sio. » qui n’a jamais été rien d’autre que la forme la plus avancée de l’anti.sé. le plus éculé.
L’Europe poursuit ses crimes à travers cette allégeance à l’i.sl., comme l’a si bien montré Jean-Claude Milner dans Les penchants criminels de l’Europe démocratique. Les années 20 et 30 de ce XXIè siècle seront occupées de toute façon par cette grande guerre contre l’i.sl. dans toute l’Europe. Une sorte de guerre civile qui ne dira pas son nom. Mais Houellebecq a raison sur un point, cette guerre, que nous remporterons, mettra néanmoins fin à la civilisation occidentale telle que nous l’avons connue, jud.éo-chré.tien.ne. Et nous entrerons dans une sorte de nouveau Moyen-Âge !
J-L Blois dit: 30 décembre 2014 à 17 h 00 min. cherchez l’erreur
J-L Blois ?
Chaloux ?
TKT ?
J’hésite.
Widergänger dit: 30 décembre 2014 à 17 h 04 min
la soumission de l’Occident à l’Isl. radical et à son idéologie mortifère et naz..
Mimi part en vrille,
bon courage à tous.
Gaston dit: 30 décembre 2014 à 17 h 06 min
mieux vaut le galbe d’une fesse que l’écharde d’une caisse.
Oncle Wolf, dans sa jeunesse, au Prater, qu’il fréquentait dès l’ouverture pour bouquiner, il avait réussi à virer du banc public qu’il s’était arrogé un malheureux lieutenant des lanciers impériaux rien que par la saturation de ses flatulences ! Et c’est grand, le Prater…
Heu…comme courageu… (ou Oh comme autopromo?…) dit: 30 décembre 2014 à 16 h 41 min
Alba est une blatte de variété braillarde, manipulée par les média, doublée d’un crétin hystérisé par le mauvais fonctionnement de ses glandes.
PMB, quand on a dit qu’un individu était de « taille normale » et que les habitants d’un lieu qu’il a fréquenté pendant près d’un siècle « lui fichaient une paix royale », on a tout dit. C’est évident. Bravo. tout ceci donne grande envie de se plonger dans vos chefs-d’oeuvre.
J-L Blois dit: 30 décembre 2014 à 17 h 00 min
« cherchez l’erreur »
Sir Winston a eu sa phase de conversion à l’Islam ; si oncle Wolf l’avait eue aussi, et si tous les deux étaient passés à l’action, ils auraient été copains de catéchisme ! Derrière l’aumônerie là où y a les gonzesses… Ensuite Koba se serait pointé aussi par réalisme ! Y a que nous le grand Charles trop spiritualiste…
Début du discours de Boualem Sansal devant le CRIF d’Orléans le 3/12/2014:
« Chers amis,
Dans mes moments de vraie lucidité, de pessimisme me disent certains de mes amis, je vois l’évidence et je constate avec effarement que l’islamisme a gagné la partie et que la haine de l’autre, si parfaitement incarnée dans la haine du juif, explose dans le monde. Ces maladies sont si contagieuses que rien ne semble pouvoir les juguler, elles nous menacent carrément de disparition en tant qu’hommes et peuples libres, fraternels et maîtres de nos destins. Même cette Europe des Lumières si puissante ne sait pas s’en défendre, la voilà infestée, l’antisémitisme reprend du service comme jadis, dans tous les compartiments de la société, pas seulement dans l’extrême droite et les quartiers dits difficiles où là il s’exprime librement en paroles et en actes. Le temps de l’incubation est passé, l’épidémie est installée, elle galope, ici l’antisémitisme est dans le délire, il rêve tout haut de nouveaux holocaustes, et là l’islamisme qui en Europe est peut-être le rejeton de l’antisémitisme et d’un certain islam hypertrophié, passe à l’acte et se construit des plans apocalyptiques planétaires dont nous avons vu les premières démonstrations à Toulouse, Bruxelles, dans les pays arabes qu’un printemps facétieux a livrés pieds et poings liés aux islamistes et aujourd’hui à la dèche et au Daesh.
Mais plus que l’étendue et l’atrocité de ces maladies, c’est l’évolution du rapport de force qui m’inquiète. D’un côté l’islamisme et l’antisémitisme sont de plus en plus offensifs, inventifs, et de l’autre côté il y a nous, tétanisés par la peur, et nos États si timides, pour ne pas dire lâches ou pire attentifs comme s’ils s’accommodaient de ces dérives ou espéraient en tirer un profit. Quand on voit l’évolution des relations des EU et de l’Europe avec l’Iran, l’Arabie, le Qatar, les maîtres du terrorisme et du djihad, on ne doute pas de leur penchant pour les accommodements contre nature. »
Suite sur Causeur
…
…mieux se protéger des soucoupes-volantes;!…
…
…dans cette terre, qui est planète,!…des dômes, pour se protéger des drones,!…
…
…des dômes,…et pour les gaz, les fumées,…des ventilateurs- solaires incrustés dans les dômes-transparents,!…les villes en forteresses géantes interdépendantes,!…
…les plans, tous différents à tout plein de vue, systèmes & matériaux,!…
…de l’imagination,!…ou çà,!…
…des souterrains en T.G.V., pour les ravitaillements,!…des cartes-contrôles entre transits,!…
…vivre, pour sa sécurité à toute épreuve,!…
…à la question, c’est quand la mort, c’est l’amour en bites anchois façons Pizzas,!…point godwin,!…les manipulation à l’Optimum à Paretto,!…
…t’est dans la » Bulle Papale « , code secret pour en sortir,!…des chiffres et des lettres,!…etc,!Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,!…
…docteur, alors ses syndromes de Stockholm çà s’arrange pas,…
…bien bombées comme ont les aime,!…venez pour les testés vos Saint en leurre,!…çà bond à l’effleurement,!…etc,!…
…
…quelle famille, ou est ce que je suis tombé,!…en l’an de » grâce « ,…le cirque,!…en l’air aux gazouillis,!…
…stop,!…etc,!….
Miroir, mon beau miroir….. dit: 30 décembre 2014 à 17 h 43 min
J-L Blois dit: 30 décembre 2014 à 17 h 00 min
J-L Blois est donc bien un usurpateur.
Est-ce Chaloux ?
Est-ce TKT ?
Ou est-ce un petit nouveau dans le métier ?
J’hésite.
Chaloux dit: 30 décembre 2014 à 17 h 19 min
Heu…comme courageu… (ou Oh comme autopromo?…)
Ni plus ni moins courageux que vous, qui comme moi ici êtes anonyme. Pas d’auto-promo, sinon je dirais qui je suis.
Je ne prends pas la défense d’Alba, ne serait-ce que parce que moi aussi je me suis jadis fritté avec lui (je suis donc passé à autre chose, les concours d’insultes me semblent stériles, et on a mieux à faire sur ce site).
Je maintiens juste que, quand il est calme, il apporte plus à la RDL que le gars d’en-bas. Sauf quand il parle de politique.
Vous me direz que Blois dont-on fait les flûtes semble nous orienter vers Chaloux.
L’affrontement prochain contre l’isl-isme en Europe ne sera gagné que si les pouvoirs publics autorisent un libre débat sur son idéologie véritable, ses financements, ses réseaux en France et ses soutiens étrangers, et permettent ainsi une mobilisation de masse comparable à celle que suscitaient les totalitarismes des années 1930.
Ce n’est pas encore le cas.
En attendant, Sansal, prenez bien soin de vous…
Giovanni Sant’Angelo dit: 30 décembre 2014 à 17 h 56 min
…
…mieux se protéger des soucoupes-volantes;!…
Déjà, est-ce qu’on peut fumer dedans, ou si c’est interdit ? Et le soucisson ? E periculoso…
Bilal al-Poitou-charenti dit: 30 décembre 2014 à 18 h 18 min
L’affrontement prochain contre l’isl-isme en Europe ne sera gagné que si les pouvoirs publics autorisent un libre débat sur son idéologie véritable, ses financements
Le pétrole ! Là quand même faut pas sortir de l’X… Par exemple moi ma Yam quand je l’emplis je les emplis ! Un quart de millionième de minaret ! Il vont pas me zigouiller alors donc ? Sinon, s’ils zigouillent tout l’Occident le Monde entier, leurs jerrycans il feront tintin pour trouver des clients…
Heu… dit: 30 décembre 2014 à 18 h 14 min
Et moi je suis bien libre de « maintenir » qu’alba est une baudruche qui n’a rien lu de ce dont elle parle. On l’a tellement mouché à une époque sur la littérature française qu’il prétendait mieux connaître que tout le monde, qu’il ne se risque plus à en parler. Et il a fait tellement de copier-coller qu’il va falloir qu’on l’ampute de deux doigts.
(Le « courage » qui consisterait à écrire sous votre pseudo habituel, courage que nous n’avez pas, suffirait amplement… On n’a pas besoin d’en savoir davantage sur vous. L’esprit d’Alba vous « meuble », c’est tout dire).
Snow White avait ses Dwarfs, Passou a les siens !
closer dit: 30 décembre 2014 à 17 h 50 min
utiliser Sansal, et pour racoler sur un site xénophobe, c’est minable
Chaloux dit: 30 décembre 2014 à 18 h 26 min
On l’a tellement mouché
ça c’est bien du Chaloux,
tout le monde sait qu’il en a matté plus d’un.
robert dit: 30 décembre 2014 à 18 h 49 min
pour racoler
Mais c’est la seule et unique fonction de closer sur ce blog.
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