David Cornwell lève le voile sur John Le Carré
« A 20 ans, on est achevé d’imprimer ». Simenon en avait fait un adage. Appliqué à un écrivain, il n’a jamais été aussi vrai que dans le cas de David Cornwell alias John le Carré. Abandonné par sa mère à l’âge de 5 ans, il fut élevé par un père impossible, lequel apparaît dès la troisième ligne de la première page de ses Mémoires et ne le lâche plus jusqu’à la fin de son récit. Pour l’enfant, ses parents étaient un mystère ; ils le sont restés pour l’homme au soir de sa vie. Tout romancier est un menteur. Celui-ci étant l’un des plus grands, on peut donc en déduire qu’il est un grand menteur. Son enfance a baigné dans l’esquive, le secret et la tromperie. On dira qu’il était à bonne école à l’ombre d’un géniteur escroc, fraudeur, manipulateur, griveleur, mythomane, violent, charmeur, repris de justice.
Qu’avait-il donc à cacher pour se résoudre à écrire ses souvenirs sous le titre Le Tunnel aux pigeons (traduit de l’anglais par Isabelle Perrin, Seuil) ? Le sous-titre « Histoires de ma vie » a son importance : il raconte des histoires. On a écrit ici ou là qu’il a voulu ainsi désamorcer la parution annoncée de sa biographie par Adam Sisman (Bloomsbury, 2015) bien qu’il l’ait autorisée et aidée. Qu’importe au fond puisque lui seul est à même de livrer au lecteur, sans le moindre intercesseur, ses propres vérités sur sa vie et son œuvre fussent-elles imaginaires, incertaines, piégées, approximatives, comme il en convient non sans malice. Il y a les faits et ce qu’il en fait. Le résultat : des Mémoires écrits de mémoire. Fragments de souvenirs, éclats de mémoires, anecdotes savoureuses, le tout mâtiné d’autodérision et d’understatement bien tempéré. Un livre manifestement écrit le sourire aux lèvres se lit le sourire aux lèvres. Il révélera au lecteur l’enquêteur derrière le romancier, autant Cornwell que Le Carré. Une seule silhouette pour un homme double, c’est possible ça ?
Des lieux, des villes, des paysages mais surtout des gens. Autant de rencontres, autant de quiproquos et de situations absurdes avec le magnat de la presse Rupert Murdoch, le président italien Cossiga, Mme Thatcher, des puissants qui l’invitent à sa table sans qu’il sache avant pourquoi ni qu’il comprenne après pourquoi. Voici le poète Joseph Brodsky qui lâche devant lui au restaurant chinois un commentaire bien senti à la seconde même où il apprend qu’on lui décerne le prix Nobel (« C’est parti pour un an de blabla »). Ici Alec Guinness, son préféré, là Jean-Paul Kauffmann si émouvant dans son aveu (la lecture de L’Espion qui venait du froid l’a aidé à tenir dans les caves libanaises où le Hezbollah le détenait en otage). Ou encore Yasser Arafat avec qui il se retrouve à danser un soir de Noël, et Dima, le parrain de la mafia russe, ce qui nous vaut une interview d’anthologie, sans oublier les Kubrick, Pollack, Coppola et autres cinéastes qui voulurent l’adapter et se révélèrent à l’usage inadaptés, mais aussi des inconnus et des anonymes.
Il serait vain d’y chercher des clés dissimulées, d’autant que l’auteur lui-même les offre : ici son mentor qui servit de modèle à George Smiley, là un germano-turc de Guantanamo qui lui a inspiré un personnage, ici une humanitaire rencontrée à Phnom-Penh dont la présence le hantera plus tard tout au long de la rédaction d’un roman, là un inconnu traînant dans un aéroport dont il fera son Alec Lamas. Fidèle à ses fantômes, il creuse son vieux sillon de l’antiaméricanisme et de l’insupportable inféodation politique du Foreign Office à Washington. Qu’il fustige les grandes banques, les hommes de lois, les laboratoires pharmaceutiques, les multinationales ou les fauteurs de guerre en Irak, c’est toujours l’Oncle Sam qu’il désigne du doigt. Un exclusivisme que l’on a dit naïf, ingénu, à sens unique. A quoi il répond invariablement dans ses livres que ce sont les financiers qui mènent le monde et que sont-ils sinon américains ?
Il n’est pas le premier écrivain à nous emmener dans son atelier observer ses secrets de fabrication, sauf qu’avec lui c’est formidablement divertissant car le monde est son atelier. Le problème, ce ne sont pas les aéroports, les frontières et les douaniers unanimement abhorrés : ce sont les check-points :
« Ce n’est pas votre passeport qu’on vérifie, c’est vos mains. Et puis votre tête. Et puis votre charisme, ou votre manque de charisme. Et même si un check-point vous juge acceptable, la dernière chose qu’il va faire est de transmettre cette bonne nouvelle au suivant, parce qu’aucun check-point ne se laissera jamais prendre en défaut sur sa paranoïa ».
Le Carré voue une telle passion à la culture germanique, contractée dès son séjour étudiant en Suisse alémanique, qu’aujourd’hui encore il jouit d’un plaisir sans égal lorsqu’il lit un livre en allemand plutôt qu’en anglais. Littérature, poésie, politique, histoire, qu’importe, il prend tout et de toutes les époques. Et pour lui avoir un jour fait remarquer que ses dialogues étaient parfois alambiqués, je l’ai entendu m’objecter :
« Même quand je parle ou j’écris en anglais, par réflexe, je pense en allemand et je place le verbe à la fin, ce qui, en effet… ».
C’est d’ailleurs en Allemagne que tout a commencé. A Berlin où l’agent du MI6 trouva un pseudonyme qui ne tournait pas rond, son regard ayant été happé par l’enseigne d’un magasin alors qu’il était assis dans l’autobus. Afin de ne pas contrevenir à l’obligation de réserve de son service, il en fit son nom de plume l’année même de l’édification d’un mur entre les deux Allemagnes, et l’inscrivit en tête de deux polars qui passèrent inaperçus, puis du manuscrit très berlinois de L’Espion qui venait du froid. Ce qui frappe chez lui, c’est son intelligence, pas redoutable tant elle est généreuse, partageuse, empathique, mais travaillée par le doute perpétuel, pour le meilleur et pour le pire.
Alors, l’espion ? Tout au plus un garçon de courses du renseignement britannique qui rendit de menus services, suggère-t-il avec un sens consommé de la litote.
« Un microbe dans la hiérarchie du monde secret »
Ainsi résume-t-il son activité de 1956 à 1964. On n’en saura pas davantage sur la nature exacte du travail accompli au sein du SIS (Secret Intelligence Service ou MI6), en sa qualité d’agent de renseignements. Sa loyauté n’est pas à géométrie variable : ayant promis dès son engagement de n’en rien dire, il s’y sent tenu plus d’un demi-siècle après, tant légalement que moralement, même si l’on pourrait imaginer qu’il y a prescription, tout de même. Mais si vous lui écrivez pour lui demander comment devenir espion, vous recevrez immanquablement cette réponse :
« Ecrivez à votre député, au Foreign office, ou bien, si vous vous êtes encore scolarisé, allez voir votre conseiller d’orientation ».
Ses souvenirs sont à son image : discrets, courtois, pleins d’humour, légers. Parfois édifiants, souvent instructifs, toujours passionnants. On y retrouve les caractéristiques de ses romans, à commencer par un inouï don d’observation des comportements des gens dans leurs habitudes, leurs apparences, leur langage. En voilà un qui maîtrise le grand art du détail. Ce qu’on n’y retrouve pas, et l’on ne s’en plaindra pas, c’est la sophistication de leur architecture narrative et la complexité de leurs situations ; car en l’espèce, elles n’avaient pas lieu d’être. Ses Mémoires sont conçues dans l’esprit d’une conversation avec le lecteur. Mais qu’on ne s’y trompe pas : sous le masque de l’humour, la peur ne l’a jamais quitté. Elle nourrit sa réflexion ininterrompue sur le statut de la vérité dans la mémoire. Il est vrai qu’à 16 ans, son père l’envoyait chercher ses clubs de golfs oubliés dans un palace sans lui préciser qu’étant parti sans payer la note, l’adolescent risquait gros.
Ses romans sont le fruit de la rencontre son expérience et son imagination. Au fond la somme de ses contradictions. Le monde de l’espionnage, et la question récurrente de sa moralité, n’auront été que le décor de son œuvre, et la guerre froide son cadre. Contrairement aux craintes et prédictions manifestées alors ici ou là, la chute du mur de Berlin ne l’a pas réduit au chômage technique. D’autant qu’il a tout de suite senti que la fin du communisme n’entraînerait pas la fin de la menace russe. Il n’avait pourtant effectué que deux séjours en Russie (1987 et 1993) mais cela lui fut suffisant pour voir juste. En vérité, sa grande affaire, ce fut le mensonge. Ce qui fait de lui non un romancier d’espionnage, genre littéraire dans lequel il s’est laissé enfermer en haussant les épaules, mais un grand écrivain tout court, à l’égal de ses maîtres Joseph Conrad et Graham Greene.
Et qu’y a-t-il de plus universel que le mensonge, acte qu’il a eu le génie de transcender en le déployant sur le terrain de la loyauté, de la duplicité, de la trahison ? Un autre fil rouge relie les personnages de son œuvre : l’abandon, et comment en serait-il autrement pour celui que sa mère a abandonné, lui et Tony, son aîné de deux ans, le gardien de son frère, alors qu’ils dormaient à poings fermés, sans un mot d’explications, fuyant un mari invivable et dangereux qui de surcroît la battait ? « Une opération d’exfiltration bien organisée, exécutée selon les scrupuleux principes de compartimentation » jugera plus tard l’espion. N’empêche qu’il ne lui a jamais pardonné à cette femme qui ne lui prit la main qu’une seule fois, et encore, avec un gant. Une fois parvenu à l’âge adulte, il l’a retrouvée après bien des recherches mais ses explications furent vaines. Les portraits qu’il trace de ses parents sont sans concession ; mais malgré tout, il conserve pour ce père si imprévisible et vibrionnant à « la tête hypothéquée , personnage chu d’un chapitre de Dickens, une tendresse, parfois haineuse et sans pardon, mais une tendresse tout de même, surtout lorsqu’il l’entendait au bout du fil, des sanglots dans la voix, lui réclamer encore et encore de l’argent, et même un pourcentage sur son œuvre puisqu’il s’en considérait d’une certaine manière à l’origine.
D’ailleurs, il lui arrivait souvent de vendre à un prix déraisonnable à des amateurs des livres de son fils qu’il dédicaçait : « Signé le Père de l’Auteur » ; et quand des lecteurs les présentaient à John le Carré, celui-ci rajoutait : « Signé le Fils du Père de l’Auteur ». Il n’empêche que lorsqu’il acheva l’écriture d’Un pur espion (1986), pur chef d’œuvre autour de la figure envahissante de son père, la catharsis fut telle qu’il pleura toutes les larmes de son corps. En se retournant sur son parcours, il tient que l’espionnage et la littérature ont partie liée :
« Tous deux exigent un œil prompt à repérer le potentiel transgressif des hommes et les multiples routes menant à la trahison ».
Apaisé parmi ses démons, mais toujours convaincu que l’âme d’une nation se révèle à travers ses services secrets, il a fait sienne cette forte pensée d’Oscar Wilde :
« Quand on dit la vérité, on est sûr, tôt ou tard, d’être découvert. »
A propos, le tunnel évoqué dans le titre est celui qui courrait sous la pelouse du Sporting club de Monaco , dans lequel on enfournait les pigeons élevés en batterie un peu plus bas à cet effet, afin qu’il soient lâchés au bout pour le bon plaisir de chasseurs au sortir de leur repas. Et quand ceux-ci les rataient ou les blessaient, que croyez-vous que faisaient les volatiles ? Ils retournaient à leur lieu de naissance et rentraient dans leur cage. A chacun d’apprécier la métaphore…
John le Carré aurait mérité dix fois que l’un de ses romans soit couronné par le jury du Booker Prize, l’équivalent britannique du Goncourt (sans parler du Nobel, mais il est vrai qu’il ne sait pas chanter) ; quand bien même ses éditeurs ne les leur ont jamais envoyés, obéissant ainsi à son propre refus de postuler, les jurés se seraient honorés en le distinguant ; ils étaient libres de leur choix et rien ne les en empêchait. Aujourd’hui, c’est trop tard. Si cela advenait, on dirait : « Cette année, on a donné Le Carré au Booker Prize ! »
Il a refusé toute promotion pour son nouveau livre, ce qui n’a pas étonné la critique littéraire de son pays qui sait dans quel mépris il la tient, à égalité avec l’establishment. Seule exception : l’article écrit à cette occasion pour le Magazine littéraire, ce qui n’étonnera pas les lecteurs de ses Mémoires dans lesquels il dit l’estime et la sympathie dans lesquelles il tient la critique littéraire de notre pays (et Bernard Pivot en majesté auquel il rend un vibrant hommage en raison d’un Apostrophes mémorable). Sinon, rideau sur la curiosité publique ! Il est vrai qu’il n’a pas le temps. Il vient de commencer un nouveau roman. Tant que le corps et l’esprit le lui permettront, car chacun de ses livres suppose un intense engagement personnel à tous points de vue, il continuera. Sa manière de demeurer « sain d’esprit et relativement honnête » depuis une cinquantaine d’années. A 85 ans, grand-père de treize petits-enfants, il préserve précieusement ses travaux et ses jours à venir pour les consacrer à la seule chose qui l’ait jamais passionné : écrire, tout simplement.
1 517 Réponses pour David Cornwell lève le voile sur John Le Carré
« Le site de Bob Dylan ne fait plus mention de son Nobel »
Va-t-il le refuser ou est-ce déjà fait ?
un road trip all over the world,
Quel acteur connu emploie comme son homologue l’anglais pour mieux se faire comprendre, Jean-Claude Vandamme avec son fameux « aware » ?
elle me colle encore la loque magnagna ?, si elle espère susciter autre chose qu’un début de sarcasme, il est vite évacué, pour passer à quelque de plus intéressant.
On peut dire que la recherche de l’identité d’E. Ferrante s’est apparentée pour le journaliste Claudio Gatti , d’abord lecteur de la tétralogie de Ferrante, à une véritable enquête, comme dans un roman d’espionnage. Enquête qui lui a demandé des mois, pour dresser aussi, et parallèlement, un portrait magnifique de Goldi Petzenbaum.
Mais la réponse qu’a apporté C. Gatti, à la question : « ma tu sai chi è Elena Ferrante? » amène également son lot de suiveurs, dans le registre de l’ironie et de l’hypocrisie. Dont le journalisme canin ( métaphore qui me vient de cette « conversation » avec Mario, dans la cathédrale), ne sort pas grandi.
« Nicolas dit: 23 octobre 2016 à 11 h 03 min »
Ah ! le brave garçon…. Il veut apprendre, l’enfantelet … Qui est le plus obsédé des deux ?
Il y a des perroquets verts dans les palmiers qui crient.
Je me suis laissé dire qu’à la rentrée de Toussaint, un comité d’accueil serait chargé de réceptionner Widergänger/Alba à la sortie de son collège. Au Programme : décapitation au sabre, sur la parvis de l’établissement, pour l’édification des élèves et du personnel enseignant. Je n’ai pas réussi à savoir si le mot d’ordre émanait de Daech ou d’un collectif de lecteurs de la RdL justement indignés par les âneries de l’intéressé. Les deux,sans doute.
Je n’ai pas réussi à savoir si le mot d’ordre émanait de Daech ou d’un collectif de lecteurs de la RdL justement indignés par les âneries de l’intéressé. Les deux,sans doute. (môâ)
La décapitation au sabre, je n’en suis pas partisan. Une rafale de kalach suffit bien. Moderne et plus sûr. Dans le dos, évidemment.
Je n’ai pas réussi à savoir si le mot d’ordre émanait de Daech ou d’un collectif de lecteurs de la RdL justement indignés par les âneries de l’intéressé. Les deux,sans doute. (môâ)
La décapitation au sabre, je n’en suis pas partisan. Une rafale de kalach suffit bien. Moderne et plus sûr. Dans le dos, évidemment.
Berguenzinc, les Wallons font figure de « gégène », les médias sont partagés entre culpabilisation et information, il y a quelques semaines j’ai vu sur Arte comment un tribunal privé a fait plier une ville allemande (et l’état) qui refusait les conditions d’exploitation de son fleuve pour refroidir les turbines d’une centrale appartenant à une multinationale, chantage à l’amende de plus d’1 milliard d’euros que l’Allemagne n’était pas prête à payer; résultat la multinationale l’a emporté.
La décapitation au sabre, je n’en suis pas partisan. Une rafale de kalach suffit bien. Moderne et plus sûr. Dans le dos, évidemment. (mouïïï)
En plus, selon Pablo75, Widergänger n’est même pas juif. On peut y aller. Personne ne pourra nous accuser d’anti-hachémitisme.
elle me colle encore la loque magnagna ?,
Vous deviez vous absenter, Ô rage,Ô désespoir!
Personne ne pourra nous accuser (mouah)
J’ai posé ma candidature au poste d’exécuteur des basses oeuvres, mais rien ne m’assure qu’elle sera acceptée. Je manque d’entraînement.
Il a des mots assez durs et justes C. Gatti.
« Veniamo all’ipocrisia. A partire da quella della casa editrice che per quasi un quarto di secolo ha alimentato il circo mediatico intermediando interviste e pubblicando un falso “autoritratto” mentre contemporaneamente chiedeva il rispetto della privacy. «
Que de haine, mes pov’ chéris ! Puisse-t-elle vous dévorer de l’intérieur…!
Widergänger n’est même pas juif.
GOY mais si vous cherchez comme les chercheurs l’ont fait, vous trouverez un pourcentage non négligeable d’apparentés dans la population, une étude que je n’ai pas pris soin d’archiver traîne sur le web concernant la population portugaise et espagnole. Je crois qu’un bon tiers a des liens de parenté.
Il parait que la traductrice anglaise de Ferrante a peur de ne plus avoir de travail.
En raison du Brexit et de la taxation des produits à l’import?
J’imagine un attentat antisémite où Widergänger se ferait repasser. Je me vois rédigeant sur le fil de la RDL un billet de condoléances où j’assurerais les victimes de ma sincère compassion. Sauf une évidemment. Il est certain que le bonheur d’être assuré de ne plus avoir à lire les posts de Widergänger l’emporterait. J’ai un peu honte, évidemment. Mais mettez-vous un instant à ma place. Qu’est-ce que disait Pascal, déjà ? Ah oui : : « Joie, joie, pleurs de joie ! »
De toutes manières le peuple inculte n’a pas les moyens de s’offrir de livres, cela ne devrait pas modifier de beaucoup l’industrie du livre et ses débouchés, sauf si cette Elena renonce à écrire, j’imagine que sa production anté-paparazzi a déjà été traduite.
Et bob, qui se fait discret. Mrs Danius peut dire adieu à son concert privé. 😉
érénice dit: 23 octobre 2016 à 12 h 39 min
D 10h: Que pensez-vous de l’opposition des Wallons à ratifier le traité commercial avec le Canada et fait de ce fait opposition à l’unanimité nécessaire au plan européen?
.
Ces gens-là sont très sensés. Vous savez où je me le mets le « plan européen » ? Là où il va le mieux.
Jean dit: 23 octobre 2016 à 14 h 20 min
La décapitation au sabre, je n’en suis pas partisan.
Si, parce que normalement ça rate ; il faut s’y reprendre ; on n’est pas venu pour rien…
Si ça continue à pas s’arranger, on peut faire venir des chevaux comme pour Damiens ; là ça rate encore mieux ! Un festival…
bérénice dit: 23 octobre 2016 à 14 h 37 min
De toutes manières le peuple inculte n’a pas les moyens de s’offrir de livres
Ha ! La gauche-enculée des bobos pourris… »les sans-dents » « les cars pour auvres », « les ouvrières analphabètes ».
Gauche d’enfifrés pas mieux que Wauquiez ou Poisson…Gauche pourrie ! Gauche de caste!
À dégueuler !
Pour le reste, cet appel au lynchge est une infâmie pure et simple de la part de petites putes borgnes du neurone !
Il va 100 dire que je réprouve et qu’on ne vienne pas me dire que c’est pour rigoler!
Quand le sage montre la Lune, l’imbécile voit le doigt. Bon, je vasi voir si y a encrore quelques velus bolets.
Pour le reste, cet appel au lynchge est une infâmie pure et simple de la part de petites pu.tes borgnes du neurone !
Il va 100 dire que je réprouve et qu’on ne vienne pas me dire que c’est pour rigoler!
Quand le sage montre la Lune, l’imbécile voit le doigt. Bon, je vasi voir si y a encrore quelques velus bolets.
Et l’imbécile qui s’endort en se grattant le Q se réveille avec le doigt qui p.ue.
T’affole pas Bergui, laisse-les dire. De pauvres nullités incultes et méchantes. D.ieu se chargera du reste, et s’en est déjà chargé d’ailleurs. Il leur a ménagé un gentil petit avenir.
Le ciel est désormais sans nuage ; le soleil brille de tous ses feux ; heureusement que j’ai un grand parasol sur ma terrasse où on cuit autrement; une légère brise rafraîchit les tempes. J’écris, je lis Cervantès ; la vie est belle.
Il y a des types qui jouent du piano debout, d’autres qui écrivent couché, Johnny se roulait par terre, Elvis enregistrait couché par terre dans le noir, y a que Ferdine i faisait sérieux dans sa cave…
J’adore la casuistique : j’imagine que Daech me propose de faciliter (en supposant que j’en aie les moyens) un attentat dont cinq cents Juifs seraient les victimes, en me donnant la certitude que Widergänger en ferait partie. Quel serait mon choix ? C’est en tout cas le genre d’exemple qu’on pourrait retenir pour illustrer l’article « dilemme » d’un traité de logique.
Curieux comme l’idée qu’on peut se faire ici des commentateurs à partir de leurs post peut varier du tout selon au tout selon les lecteurs .En realité la personnalité qui leur prêtée par les uns et les autres est plus éclairante sur eux- même que sur celle ou celui qu’ils croient cerner
Ainsi pour Christiane DHH =Sagesse ,Pour LaVie Dans les Bois DHH=Kapo et gestapiste
Evidemment je pense être ni l’un ni l’autre
D.ieu se chargera du reste, (Widergänger)
D.ieu ? Qui c’est çui-là ?
@jean 15 h 54
ce post qui se veut drôle peut vous valoir d’être fiché S
Chez les Sovs il y avait quand même un truc bien, c’est que les bouquins étaient à quelques kopecks.
Mis à part que la censure devait en rendre inaccessibles, je sais pas, peut-être dans les quarante pour cent, même le type qui avait pas un flèche pouvait se ravitailler en oeuvres intéressantes.
DHH dit: 23 octobre 2016 à 15 h 57 min
@jean 15 h 54
ce post qui se veut drôle peut vous valoir d’être fiché S
Fiché S ou SS ?
Jean dit: 23 octobre 2016 à 15 h 54 min
Pourceau ! Tordu ! Furoncle ! Grumeau ! Morve !
Tu n’es que foutue misérable salo.pe, un Hérold-Pâquis de pissotière , un Henriot de sanibroyeur !
Jean dit: 23 octobre 2016 à 15 h 55 min
D.ieu ? Qui c’est çui-là ?
C’est çui qui était dans la tombe et regardait K1 ; avec des réflexes on le coince on lui laisse deux trous pour respirer…
Haprès i se met à table comme dans le billet…
berguenzinc dit: 23 octobre 2016 à 16 h 03 min
Jean dit: 23 octobre 2016 à 15 h 54 min
Pourceau ! Tordu ! Furoncle ! Grumeau ! Morve !
Tu n’es que foutue misérable salo.pe, un Hérold-Pâquis de pissotière , un Henriot de sanibroyeur !
Du calme. Est-ce que je perds mon sang-froid, moi ? Toujours en termes de logique, je te signale que mes précédentes élucubrations relevaient, non du souhait, mais de l’hypothèse. Bien entendu, tes interprétations n’engagent que toi. Quand il en avait marre de nous parler de Kant, mon prof de philo de terminale effaçait le tableau et inscrivait, en onciales superbes, « L’Aspirant habite Javel » ou « Le cuisinier secoue les nouilles », puis nous laissait, impavide, la liberté de l’interprétation.
« Curieux comme l’idée qu’on peut se faire ici des commentateurs à partir de leurs post peut varier du tout selon au tout selon les lecteurs »
dhh
Et c’est rien encore, face à l’idée que l’on se fait des Berbères, pour de vrai.
L’idée une vieille fausse précieuse, toute en flagornerie, qui utilise beaucoup le mot « haine » dans ses posts de commentatrice sur un blog littéraire, se forge dans le temps.
berguenzinc dit: 23 octobre 2016 à 16 h 03 min
Jean dit: 23 octobre 2016 à 15 h 54 min
Pourceau ! Tordu ! Furoncle ! Grumeau ! Morve !
Tu as oublié « glaire », qui n’est pas mal, et « glaviot », qui est très bien, sans compter « étron ».
jean 15:54,
phénotype de casuistique branchouse désinvolte,humour à deux balles de garçon coiffeur de mes deux!!, o.rdure !!Que tu soies d’accord/pas d’accord avec Wgg autant que tu veux mais pas sur ça !!ni comme ça???? bientôt tu vas nous parler de l’âge mental des Noirs ??et demander avec Dieudonné à un cheum en pyjama rayé de monter sur scène????
Tu m’as gâché ma poêlée de cèpes dans un restau sympa à Vincennes ce midi, petite persillade miam C’EST DIRE!!
la banalisation sur écran du lire et de l’écrire pointée par MVLl, relevée par lvdlb 9:42 ;même ressort que le jobard qui lâche ses horreurs ici sur Wg.
Je lisais dans une moindre mesure Jibé sur RDC qui admoneste Ali-R ‘pour que ça soit pas trop dur’. .bé voyons !!
Je préfère la lire, lire assouline, ou wg avec l’impression de recevoir un cours magistral au Collège de France plutôt que la conso décérébrée de type Forum/tripadvisor où le gus pond son point de vue et gratte la terre en arrière comme un clébard après son tour au jardin.
Zou, Serviteur !!
J’imagine l’exercice suivant, à l’usage d’une classe de rhétorique (à l’ancienne) :
« — L’organisation Daech adresse au sieur Widergänger le courrier suivant :
» Monsieur,
Nous vous avisons de notre intention de perpétrer prochainement en France un attentat dans lequel périront cinq cents Juifs.
Vous avez la possibilité d’empêcher cet attentat, en vous engageant sur l’honneur à cesser définitivement de poster vos âneries sur le fil de la RdL.
Dans l’attente de votre réponse… »
Rédigez la réponse de Widergänger. »
Dans le genre du dilemme tragi-comique, ça me paraît assez prometteur.
Dans le genre du dilemme tragi-comique, ça me paraît assez prometteur. (mmmouais…)
Bon, j’arrête. Je sens que je me fais mal voir.
Tous ces posts signés Jean sontabjects et de niveau Dieudonnesque.
ils contiennent pourtant des mots sur lesquels le robot est d’habitude plus sourcilleux et qui auraient susciter ses automatismes de censeur algorithmique
J’imagine l’exercice suivant à destination d’une classe de rhétorique (ancien modèle):
» — Le sieur Widergänger rejette la proposition de l’organisation Daech. Parmi ses arguments : « Personne ne saurait empêcher le génie de s’exprimer ».
Il envoie le double de sa lettre à son ami Berguenzinc, en lui demandant ce qu’il en pense.
Rédigez la réponse du sieur Berguenzinc.
N.B. — les injures du type « pourceau », « morve », « glaviot puant » ne sont pas autorisées. »
Décidément le dilemme ouvre de riches possibilités aux exercices de rhétorique.
Le sieur Widergänger rejette la proposition de l’organisation Daech. (mouah)
Fièrement. Rejette fièrement.
de niveau Dieudonnesque (DHH)
Dieu ? encore celui-là !
…
…il y a deux jours, que je ne post, rien,!…
…
…mais, le Jean à 16 h 46 min,…à parfaitement raison,!…je dirai même plus, mon Dupont sur clavier,!…Ah,!Ah,!…
…
…c’est vraiment pour nous emmerder,!…
…
…c’est notre Nobel des commentaires,!…
…un prix au cul,…pour qu’il la ferme,!…
…
…je préfère le moindre mal,!…TKK,!…
…etc,!…sa production de vins, pour soumettre l’Europe,!…à nous gonfler en zizanies,!…etc,!…
…
…les deux font la paire,!…quels résidus parasites en verves,!…
…
sontabjects (DHH)
Sontabjects ? Ah, tiens, c’est joli, ça. Justement, j’ai rencontré l’ôt jour les frères Sontabjects à Fontarabie.
…c’est notre Nobel des commentaires,!…
…un prix au cul,…pour qu’il la ferme,!… (Giovanni)
Merci, merci, mais je suis encore plus modeste que Bob Dylan. Ou que Widergänger. C’est dire.
Mais pour ces enfantillages de 15h54 signés monsieur Jean, voila mademoiselle DHH qui monte sur se grands fichiers S. Si on peut plus rigoler entre tueurs …
…
…& à propos, des morts,…j’ai lu, je ne sais plus ou,!…en vitesse,!…
…
…qu’après, la guerre 1914-1918, donc, la première guerre mondiale, pour faire son chiffre,!…
…
…il y eu, en 1919 ; une énorme épidémie, de part le monde,…qui à fait, plus de morts,…que la guerre qui venait d’en finir en pais,!…
…
…il ne faut pas demander,…le sens aiguë du chiffre, en passant par la Médecine,!…avec nos sabots,!…au de là la Lorraine,!…etc,…
…
…
…en paix, avec un X, bien entendu,!…etc,!…
…
@ LVDB
Pas tres coherente l’idee que vous avez de moi
Vieille c’est exact
Gestapiste Kapo, soit , c’est exagere ,même si je deverse ma haine sur ce blog au lieu de parler littérature
Mais tout le reste est incompatible avec cette premiere esquisse de mon portrait où domine la cruauté la mechanceté la brutalité impitoyable et sauvage
En effet fausse precieuse(quelle difference avec une vraie , pas plus estimable) ,flagorneuse,comme vous me qualifiez ce n’est pas plus sympathique mais c’est tout le contraire d’une Kapo : de la duplicité , des poses ,le langage de l’hypocrisie,le besoin de parler malgre sa médiocrité intellectuelle
DHH dit: 23 octobre 2016 à 17 h 35 min
@ LVDB
Pas tres coherente l’idee que vous avez de moi
Vieille c’est exact
Gestapiste Kapo, soit
Pour l’achever de toutes pièces, j’ajouterais, pour ma part « dieudonnesque ».
…il y eu, en 1919 ; une énorme épidémie, de part le monde,…qui à fait, plus de morts,…que la guerre qui venait d’en finir en pais,!…
… (Giovanni)
la grippe espagnole. Une vraie Shoah ! Encore un coup de l’Inquisition !
…zut, encore un susucre à donner, la kapo n’a pas supporté le treatment.
En clair, dhh, ici on pense ce qu’on veut.
Des fois, rares, je réagis à ce que vous écrivez.
Mais je ne mets jamais 24H pour le faire, sauf à remettre explicitement le post en question.
Reportez-vous à vos messages d’hier ou d’avant-hier. Et comme on dit dans mon bled: basta cosi.
L’écrivain Richard Flanagan a relu « Danube », chef d’oeuvre de Claudio Magris, 30 ans après et c’est encore meilleur
Et s’il n’y avait que « Danube » … Mais, entre lire et relire, quand est-ce qu’on trouve le temps de vivre ?
C’est toujours bien de donner des nouvelles de Claudio Magris, cela relève le niveau.
Au fait, Assouline aurait pu ajouter à la liste des nobélisables écartés au profit du saltimbanque Dylan le nom de Claudio Magris. Il est vrai qu’il n’est pas américain.
« Et le grand gagnant de ce top 50 littéraire est un « petit homme à la cigarette froissée » : Michel Houellebecq. »
C’est également pas mal d’évoquer Houellebecq, et de lui décerner des lauriers avant qu’il ne choisisse le silence, peut-être pour se faire moine.
Nous nous souvenons tous de ce coreligionnaire de blog qui considérait, à raison, que la lecture et l’écriture devaient rester pure distraction, et pas « esclavage ».
La vie n’a rien à voir avec cette distraction en voie de disparition. Celui, ou celle, qui ne vit que pour ça, lire/écrire, est un handicapé, à la limite dangereux, qui finira mal.
Le site de Bob Dylan ne fait plus mention de son Nobel
Peut-être qu’il croit que c’est une blague.
Passer son temps à lire/écrire est en tout cas le plus grand luxe qu’on puisse s’octroyer. Bien bête qui s’en prive…
…
…je viens de voir, des photos de Claudio Magris,…il a une bonne tête de parfait acteur,!…
…il aurait du faire des films,…comme qui dirait, dans l’imaginaire collectif,!…
…çà aurait fait, plus » Imprimatur » en salle obscure,!…etc,!…Ah,!Ah,!…
…
Mais gestapiste si c’est secret ils étaient pas en tenue ? Donc faut des vêtements ça vaut pas le coup c’t’histoire…
Ou halor le Geheimnis c’est que justement ils le sont, en tenue, mais une autre… Celle de Kapo !
La vie n’a rien à voir avec cette distraction en voie de disparition. Celui, ou celle, qui ne vit que pour ça, lire/écrire, est un handicapé, à la limite dangereux, qui finira mal. (Z)
Sans doute, mais on peut en dire autant de toutes les passions. La passion des livres n’est ni plus ni moins accaparante et dangereuse que les autres passions. J’en ai connu qui se sont détruits à force d’essayer de concilier leur passion des livres avec leur passion des femmes. Alors, si vous ajoutez la passion des animaux, celle des montagnes, celle de la mer , sans compter celle des timbres-poste, ça devient l’enfer.
« Bien bête qui s’en prive… » (Delaporte)
Dites, monsieur Delaporte, qu’est ce qui vous autorise à faire passer pour idiot celui ou celle qui ne partage pas vos gouts de lecture/écriture qui ne sont qu’enfantillages vains, puisque tout a été dit depuis longtemps en particulier par monsieur Dylan ? Gestapiste !…
« Ou halor » sergio est un mariole qui lance un random, pour voir ce qui s’passe.
Si sergio la mariole lance son random sur « judenrein », il verra que ce vocable est sur la RDL un hapax. Utilisé hier, par la vieille teigneuse dhh, qui tient et ses listes à jour, comme aux pires heures de l’histoire sanctifiée. brrr.
___________________
Je me suis demandée pourquoi il y avait Rimbaud en couverture d’un dico, qui traite Michel Houellebecq vraiment très très mal.
Eh bien je pense avoir une idée à vous soumettre.
http://www.ecoliers-berberes.info/poeme%20rimbaud.htm
Cassons les codes affectifs !
Brisé par le refus de DHH de convoler en justes noces (à durée limitée), le malheureux JC s’est jeté du haut du vasistas de sa cave sur un matelas qui trainait miraculeusement juste en dessous. Il est actuellement sous perfusion 12°5 au Domaine de Lagoubran.
Ce qu’il aimait chez DHH ? Entre deux râles, il nous a confié la vérité : « J’étais fou de son côté Reine Victoria ! » Nous ne savions pas qui était cette reine de beauté ; nous sommes inquiets, maintenant que nous savons.
Ce qu’il aimait chez DHH ? Entre deux râles, il nous a confié la vérité : « J’étais fou de son côté Reine Victoria ! » (Z)
Ah, moi, c’est son côté kapo qui me fascine. Ah, être fouetté par elle, au sang, juste avant la chambre, ah ah
« judenrein » , c’est le pipi ?
Vous êtes dans le vrai, monsieur Jean. Ce malheureux dans ses délires s’écrie parfois : « Fais moi mal, Judith ! Fais moi mal ! » Terrible responsabilité féminine de refuser un être aussi sensible pour des raisons de morale victorienne.
Widergänger dit: 23 octobre 2016 à 14 h 12 min
Il y a des perroquets verts dans les palmiers qui crient.
En somme comme à Paris dont les parcs sont envahis. Perruches royales.
Je vois qu’on a passé son dimanche dans le débriefing albablablesque.
Que de temps perdu.
(Alba devait passer au-dessus de Berguen « samedi ». Hier, samedi, donc, il a cessé d’insulter à 1H40 et a recommencé à midi. Même pas la peine d’être crédible. Temps perdu là-aussi.)
DHH 17h35: le mieux encore quand l’interlocuteur semble trop atteint, pour éteindre le début incendiaire ne pas répondre, cultiver le silence et l’observation en faisant mine de l’écouter et l’écouter d’ailleurs pour s’en faire une idée plus précise. Vous aurez l’air de laisser tomber ( ou laisser pisse quand on est impolie) pleutre lâche couarde néanmoins vous ne vous fatiguerez pas inutilement à tenter de rectifier un détail qui n’a pas à l’être puisqu’il ressort de la plus pure mauvaise intention, d’une provocation qui cherche à vous atteindre, pour ma part je ne vous ai jamais lue haineuse ou dénuée d’arguments .
Chaloux , vous ne dites rien de votre utilisation du temps, si ce n’est pas indiscret, à quelle envie avez-vous succombé, lecture, expo, film, théâtre, concert, couette à deux ou plus si affinités, promenade?
Bérénice, j’arrive des environs de Compiègne, la campagne sent la terre et la pluie. Derniers achats : le catalogue Oscar Wilde du Petit-Palais, la nouvelle bio de Villon (« De moi pauvre, je veux parler », Albin Michel), et quatre ou cinq autres dont le dictionnaire amoureux de Jésus de Petitfils qui m’a l’air d’être bien intéressant (en attendant peut-être celui de la littérature, mais j’hésite : il n’y a pas d’article « Yourcenar »)…
S’agissant de Yourcenar, j’attends avec impatience la publication de lettres prévue début novembre.
Pour le reste, chut!..
la campagne sent la terre et la pluie
Je vous envie aujourd’hui uniquement pour ce parfum, en ville les odeurs disparaissent, c’est toujours un bonheur de respirer la terre , je me souviens être sortie fumer alors que je bossais à la campagne uniquement pour retrouver ces effluves, terre mêlée aux herbes fleurs desséchées racines qui ouvrent un tiroir dans une mémoire olfactive lointaine et surprenante.
Qui a lu « Enfance » de Gorki ? Je suis rentré trempé,douché,saucé,frigorifié,sans le poil d’un cèpe, je me suis douché bouillant et je lis, je ne fais pas semblant de dire « je relis », ce livre qui est une merveille. Même Bouffchidor 2 a ouvert un oeil vague et s’est rendormi.Gorki, il s’en tape ! Lui, la foi, il lui préfère le foie.
Réussi à extraire d’une salle comble une place pour » Bouvard et Pécuchet » adapté au théatre ! Sinon Chaloux, connaissez vous ce pianiste Shai Maestro, né en Israël, formé à NY, répertoire Jazz ?
20h43 je l’ai lu il y a si longtemps que je devrais le relire. Tout oublié.
Non, Bérénice, je ne le connais pas. Je ne sais pas pourquoi votre question me rappelle un concert de Shirley Horn à la Villa, il y a vingt ans. Nous étions juste à côté du piano. Son jeu était très discret, très peu technique mais éblouissant.
Vous connaissez?
https://www.youtube.com/watch?v=JcEUMiIDMAQ
« Bob Dylan aurait quitté le marché des célibataires! Un article paru dans le principal quotidien de Washington et daté du 22 octobre (hier) rapporte en effet que le chanteur célèbre pour ses tubes Knockin’ on Heaven’s Door, Like a Rolling Stone ou encore Blowin’ in the Wind aurait convolé en justes noces le week-end dernier, en catimini.(…) »
https://www.youtube.com/watch?v=ZC-XgC1ZLo0
20h43. Je ne l’ai pas lu mais il est dans ma bibliothèque. Excellente suggestion. Gorki m’a toujours intrigué.
Ben oui, Mister Tambourine Man vient d’épouser…
Chantal Nobel
Chaloux je ne connaissais pas cette si triste chanson et si juste aussi. ( la chanteuse la donne avec toute son expérience ce qui ajoute à l’émotion, combien de chagrins aura-telle connu…)Dommage pour Shai Maestro, je tenterai de le trouver puisque vous ne pouvez être d’aucun avis.
la Villa, cette salle un peu trop bourgeoise à mon goût qui n’ouvre qu’après 23h?
voyage de noces en porsche, berguenzinc ?
Chaloux, le quatrième volume des lettres de Yourcenar en novembre, isn’t it ?
Ah ! en 964 ou en Boxster !
Non, Phil, c’est un volume de lettres à Emmanuel Boudot-Lamotte qui avait des fonctions chez Gallimard, et était je crois un ami de Fraigneau. Sans doute retrouvé en cours de route, ce qui explique que la publication de la suite des gros volumes de la Correspondance soit retardée. On en saura davantage le 4 novembre.
http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Blanche/En-1939-l-Amerique-commence-a-Bordeaux
Il y a longtemps que je n’y vais plus – c’était une autre vie- mais je crois que la Villa a fermé.
Tous les fous ne sont pas enfermés…
Phil pour concurrencer le Nobel qui convole en juste noce:
http://teleobs.nouvelobs.com/actualites/20150731.OBS3506/warren-beatty-le-serial-lover.html
Quelques images ce soir du célèbre noceur interviewé .
Les fous avec un petit chapeau et une grosse frustration qui ne digère pas son humilation publique, sa fessée déculottée sur la Rdl pour avoir vécu en Sologne sans savoir où elle se trouve sur une carte… Faut vraiment être c.
Shai Maestro trio.
https://www.youtube.com/watch?v=ervj5iFXtSQ
Le voici. Le début du morceau m’a fait penser à la chora de Toumani Diabate.
Un verdadero loco con su pequeño sombrero y las ideas cortas. Que falta es el queso !
Toumani Diabate. Trésor vivant.
911, Berguenzinc…celle de Sacha Distel qui a envoyé miss Nobel dans le décor. Widergänger a bien connu Distel, maître chanteur d’Odessa et mauvais pilote de porsche. (à sa décharge, elle chasse de l’arrière, ce qui ne convient à tout le monde; question de genre).
Chaloux, always up to date about Marguerite von Yourcenar. un volume complet pour le Lamotte ? est-ce un amant ectoplasmique comme Fraigneau ? J’attends le volume cinq de la correspondance, le trou est prêt dans le rayon.
Moi aussi, Phil, j’attends la suite, quoiqu’il n’y ait plus beaucoup de trous dans les rayonnages. Même plus du tout. Yourcenar, c’est un mariage pour la vie.
Bérénice, diable…Warren Beatty a passé le cap des 10.000 ! sans avoir à changer de pièces majeures ?
Stuck Inside Of Mobile With The Memphis Blues Again
WRITTEN BY: BOB DYLAN
Oh, the ragman draws circles
Up and down the block
I’d ask him what the matter was
But I know that he don’t talk
And the ladies treat me kindly
And furnish me with tape
But deep inside my heart
I know I can’t escape
Oh, Mama, can this really be the end
To be stuck inside of Mobile
With the Memphis blues again
Well, Shakespeare, he’s in the alley
With his pointed shoes and his bells
Speaking to some French girl
Who says she knows me well
And I would send a message
To find out if she’s talked
But the post office has been stolen
And the mailbox is locked
Oh, Mama, can this really be the end
To be stuck inside of Mobile
With the Memphis blues again
Mona tried to tell me
To stay away from the train line
She said that all the railroad men
Just drink up your blood like wine
An’ I said, “Oh, I didn’t know that
But then again, there’s only one I’ve met
An’ he just smoked my eyelids
An’ punched my cigarette”
Oh, Mama, can this really be the end
To be stuck inside of Mobile
With the Memphis blues again
Grandpa died last week
And now he’s buried in the rocks
But everybody still talks about
How badly they were shocked
But me, I expected it to happen
I knew he’d lost control
When he built a fire on Main Street
And shot it full of holes
Oh, Mama, can this really be the end
To be stuck inside of Mobile
With the Memphis blues again
Now the senator came down here
Showing ev’ryone his gun
Handing out free tickets
To the wedding of his son
An’ me, I nearly got busted
An’ wouldn’t it be my luck
To get caught without a ticket
And be discovered beneath a truck
Oh, Mama, can this really be the end
To be stuck inside of Mobile
With the Memphis blues again
Now the preacher looked so baffled
When I asked him why he dressed
With twenty pounds of headlines
Stapled to his chest
But he cursed me when I proved it to him
Then I whispered, “Not even you can hide
You see, you’re just like me
I hope you’re satisfied”
Oh, Mama, can this really be the end
To be stuck inside of Mobile
With the Memphis blues again
Now the rainman gave me two cures
Then he said, “Jump right in”
The one was Texas medicine
The other was just railroad gin
An’ like a fool I mixed them
An’ it strangled up my mind
An’ now people just get uglier
An’ I have no sense of time
Oh, Mama, can this really be the end
To be stuck inside of Mobile
With the Memphis blues again
When Ruthie says come see her
In her honky-tonk lagoon
Where I can watch her waltz for free
’Neath her Panamanian moon
An’ I say, “Aw come on now
You must know about my debutante”
An’ she says, “Your debutante just knows what you need
But I know what you want”
Oh, Mama, can this really be the end
To be stuck inside of Mobile
With the Memphis blues again
Now the bricks lay on Grand Street
Where the neon madmen climb
They all fall there so perfectly
It all seems so well timed
An’ here I sit so patiently
Waiting to find out what price
You have to pay to get out of
Going through all these things twice
Oh, Mama, can this really be the end
To be stuck inside of Mobile
With the Memphis blues again
Il semblerait phil, un séducteur rare mais qui ne séduisait pas les hôtesses de l’air le temps du vol, quelqu’un qui domestiquait sa compulsion et visitait scandaleusement le genre mais restant maître des apparences.
Historiquement, la Sologne va jusqu’à Nançay. Personne n’y peut rien. Même pas un gros na.ze de pion de collège qui fait semblant d’être en Espagne alors qu’il n’est pas sorti de chez lui depuis dix ans, et qui en matière de « frustrations » s’y connait au moins autant qu’un couvent de carmes déchaussés tout entier (quoiqu’on die « ban… comme un carme », mais il n’est pas concerné. Ne connait pas la chose).
From Alabama de l’illustre inconnu
https://vimeo.com/40036655
Quand on connait ce dont on parle, on sait que l’esprit d’une petite région comme la Sologne peut se prolonger par-delà ses frontières admises. La Chapelle d’Angillon n’est pas tout à fait en Sologne mais ce qu’on pourrait appeler « l’esprit de la route » y est encore tout à fait solognot. Ce qui met fin à la Sologne à l’Est, après Henrichemont, c’est la coupure nette, presque brutale des premiers coteaux du Sancerrois. J’ai fait des milliers de kilomètres dans cette région et cela m’arrive encore. Pas des petits tours essoufflés de vingt minutes autour de Soings sur un vélo électrique.
Phil dit: 23 octobre 2016 à 22 h 00 min
à sa décharge, elle chasse de l’arrière
Un porte-à-faux comme une remorque de trente-huit tonnes ! Faut pas monter là-dedans sans gilet de sauvetage…
Phil, toutes les vieilles voitures chassent à l’arrière, même les grosses, les CX par exemple, quand les châssis commencent à se déformer.
berguenzinc dit: 23 octobre 2016 à 20 h 43 min
sans le poil d’un cèpe
Non mais y en a qui le font esseprès i tournent autour des harbres comme les Copains autour de la mairie d’Issoire…
Très juste 908. La preuve en image ; une CX jaune poussin en mouvement
https://www.youtube.com/watch?v=w6Thomd4BQg
Bullitt ? Pfff …
ah la Motte d’Humbligny, butte-témoin au dessus des potiers inénarrables de La Borne, profs de philos reconvertis, éditeurs de Béalus hallucinés, souvent fous à lier, comme Alain Laurent, mon très ancien prof de philo ! Magnifique, cette région et avec , oui, Henrichemont, le rêve « Place des Vosges » inachevé de Sully ! Et puis le menetou salon râpeux , le châteaumillant, le tout irrigué par l’interminable N140, absolument rectiligne sur 60 km, de Sully à Bourges.
Dans le genre, aucune ville inachevée ne vaut Richelieu. Et la plus belle place des Vosges se trouve à Charleville.
Il y a deux jours, notre menteur compulsif savait l’espagnol:
« Le plus merveilleux pour moi, c’est que j’arrive à le lire en espagnol quasiment sans dictionnaire. »
(Widergänger dit: 21 octobre 2016 à 15 h 41 min)
Aujourd’hui, il l’a complétement oublié:
« Un verdadero loco con su pequeño sombrero y las ideas cortas. Que falta es el queso ! »
(Widergänger dit: 23 octobre 2016 à 21 h 55 min)
Moi qui lit l’espagnol sans dictionnaire aussi je ne comprends pas sa phrase.
… presque sans dictionnaire aussi…
Pablo, Alba croit qu’il lit l’espagnol, comme il croit qu’il s’y connait en littérature, croit qu’il est capable de traduire, croit qu’il est plus intelligent que les autres, et croit même peut-être, à l’heure qu’il est, avoir été téléporté en Espagne, alors qu’il na pas quitté son appartement. Croit croit croit…
Il y a des merveilles dans la musique africaine:
Sona Jobarteh & Band – Kora Music from West Africa
La ville de Richelieu, éreintée par Gracq qui a dû y trouver un mauvais hôtel ou détestable restaurant.
@ Chaloux
Comme tous les fous, il croit à ses propres délires. Sans ça il serait depuis longtemps à l’asile. Ou au Père-Lachaise.
Pablo, la première fois que j’ai entendu Toumani Diabate, je rentrais d’un de mes voyages en Grèce, ayant traversé le Magne dans un état de sidération absolue, à tel point que j’avais l’impression d’y être encore. Ce que j’entendais dans cette musique c’était exactement ce que j’avais senti là-bas. Un choc musical, mais pas seulement. (Et le regret grandissant avec le temps de ne pas connaître l’Afrique).
Y savait même pas, le pignouf, que Contres est en Sologne ! Et y prétend tout savoir de la Sologne. Il arrange les cartes à sa manière et y prétend que les autres ne savent pas lire les cartes !
T’es un pov’ pignouf, c’est tout.
Phil, j’en ai gardé un souvenir quasi fantomal. Rideaux sales aux fenêtres Louis XIII, étages dédoublés. Il doit s’y trouver un hôtel des trois canards (« aussi vite on y vient, aussi vite on en repart »).
Chaloux dit: 23 octobre 2016 à 22 h 58 min
Croit croit croit…
_______
C’est bien ce que je disais, il ne lui manque juste que le fromage…
Alba, il ne faut pas se contenter de lire « des cartes », il faut lire la terre. Il faut donner de soi, même parfois tout soi, ce que tu serais bien incapable de faire.
Moi qui lit l’espagnol sans dictionnaire aussi je ne comprends pas sa phrase. (Pablo)
________
La buse vaut bien le corbeau…
« C’est bien ce que je disais, il ne lui manque juste que le fromage… »
(Widergänger)
Ah, je ne savais pas que « Que falta es el queso ! » signifie « il ne lui manque juste que le fromage ». Il faut que je révise mon espagnol. Moi je croyais qu’on disait: « sólo le falta el queso ».
Tel, comme dit Merlin, cuide engeigner autrui,
Qui souvent s’engeigne soi-même,
J’ai regret que ce mot soit trop vieux aujourd’hui ;
Il m’a toujours semblé d’une énergie extrême. —
(Jean de La Fontaine, Fables IV, 11)
Alba, quand un espagnol te dit qu’il ne comprend pas ton espagnol, tu devrais tout de même commencer à te dire qu’il y a peut-être un problème avec ta manière de « savoir » l’espagnol.
@ Chaloux
Il est trop empêtré dans ses mensonges pour pouvoir se dire quelque chose. Il a un besoin vital de mentir, de faire le mégalo, d’essayer de donner une image de lui totalement idéalisée.
Sans cela c’est l’effondrement.
Je ne crois même pas qu’Alba aille si loin. La seule manière qu’il ait de se faire remarquer c’est d’énerver les autres. Il n’a jamais eu d’autre ambition, connu d’autre excitation, ni même d’autre plaisir que celui-là. Je suis persuadé que le faux érudit, le faux voyageur, le faux écrivain, le faux traducteur, ne sont pour lui qu’une toile peinte sans signification, un trompe-l’œil indifférent, un simple décor devant lequel se produire. Rien n’est vrai à part son numéro d’agaceur professionnel.
Une superbe Cancion de Manuel de Falla, pour bercer ceux qui voyagent en Espagne.
Le pignouf reconnaît au moins qu’il est énervé. Un pauvre fou bon à enfermer.
Deux pov’ pignoufs aux cœurs rances, farcis jusqu’à la gueule de rancœurs ! Qui passent leur temps à déblatérer sur autrui !
Comment peut-on être aussi minables ?
En la noche ahora, junto al mar, es también visión profunda henchida de emoción, y me voy a la cama.
Quels merveilleux échanges entre messieurs Widergänger, Pablo et Chaloux hier soir ; on se dit à la lecture que si nous avions les mots pour participer à ces combats, le bonheur serait à deux pas.
Le quotidien figaresque écrit : « En quête d’une vie moins chère et sans migrants, les Allemands sont de plus en plus nombreux à s’installer au pays du très conservateur Viktor Orban. Le phénomène s’est accentué depuis un an avec l’ouverture des frontières aux réfugiés décidée par Berlin. »
Comme madame Merkel doit se mordre les doigts, échanger de braves teutons paisibles contre des sauvages venus de Sirius. Les Hongrois sont des sages.
La Sologne est partout où le gibier foisonne – Tiens, le mieux est de demander à un braconnier : il saura, lui !
Ne faisant pas partie directement des services, j’ignore si le cyber-espion a tué définitivement les Carré, ou non ? On peut pour le moins se poser la question de la reconversion de monsieur James Bond en chauffeur de maître. Il faut bien vivre.
Langoncet, à 22 h 43 min
I don’t remember on wich speedway in Alabama, I’ve got the highest « speed » ever reached in my life.
try this, with best and former regards, from Frisco:
http://www.rjsmith.com/bullitt-locations.html
Alba : »Le pignouf reconnaît au moins qu’il est énervé. Un pauvre fou bon à enfermer. »
Alba, tu as mal lu, comme d’habitude.
Dénonçant la « civilisation du spectacle », Mario Vargas Llosa craint que le prochain Nobel aille à un footballeur.
Une autre dérive, plus lamentable, est, hélas, à envisager : en puisant dans ses économies, Widergänger aurait entrepris de soudoyer le jury Nobel pour obtenir le prix en 2017.
Alba « En la noche ahora, junto al mar, es también visión profunda henchida de emoción, y me voy a la cama. »
Traduction : demain, j’achèterai une paella surgelée au Fran.prix de la rue Championnet.
Ayant soudoyé plusieurs membres de jury en les inondant de ses économies, Widergänger aurait obtenu l’assurance de décrocher le Goncourt 2016, sous l’improbable pseudo de Daniel Follavoine, pour un roman non encore écrit. Titre envisagé : « Je n’suis pas un génie ». Tu me diras qu’on s’en doutait un peu.
Jean Langoncet 22h41, on a un peu le sentiment que posséder le permis ne sert à rien pour conduire ce genre de véhicule, au vu des mouvements du volant cette voiture n’a pas l’air d’une mince affaire à piloter, instable même en ligne droite et il négocie chaque virage en donnant l’impression qu’à la moindre imprécision il va aller se coltiner le décor ou les rails de sécurité. Bref, du sport automobile, je ne sais si je m’embarquerais dans cette aventure comme passagère.
« un espagnol te dit qu’il ne comprend pas ton espagnol »
Catalan ? Galicien ? Basque ? Castillan ?
les citoyens veulent savoir
En puisant dans ses économies, Widergänger aurait réussi à convaincre l’état-major de Daech (enfin, ce qu’il en reste) de faire exécuter publiquement à sa place dix contributeurs de la RdL, Juifs de préférence, choisis parmi ses ennemis intimes.
faire exécuter publiquement à sa place dix contributeurs de la RdL, Juifs de préférence, choisis parmi ses ennemis intimes. (mohé)
Il paraît que le dénommé Berguenzinc serait en tête de gondole.
Achetez-vous une Panhard, Bérénice, vous irez au bout du monde.
Je démens que Widergänger m’ait autorisé à débiter son compte à la condition que j’arrête de débiter des âneries sur son compte.
Arendt (citée de mémoire) parle de « dérive moderne de la pensée qui consiste en une distinction inadéquate entre ‘connaître’ et ‘penser’. On peut penser à vide, sans connaître, surtout lorsque la pensée s’articule par une série d’abstractions conventionnellement acceptées qui nous éloignent de l’expérience commune ».
Chaloux, nous avions une, orange, qui nous conduisit dans les Alpes, en Suisse, en Alsace pour la tournée des caves et villages pittoresques sur les route aragonaises et Lorraines, aucun bord de mer. Je me souviens que le vieux médecin du village en possédait la version « coupé » qui était beaucoup plus belle que la nôtre.
argonnaises.
« Dénonçant la « civilisation du spectacle »,
C’est d’ailleurs ‘par amour ‘ pour une richissime cazafortunas ex d’un chanteur de variétés, que le multimillionnaire supporte héroïquement de souffrir d’être poursuivi par les paparazzi tabloïds ..et d’évoluer au sein de la soce du spectacle espagnole la plus huppée ( on s’en voudrait de médire )
Quand je lis:
« The election of Hillary Clinton is an event that we would welcome for its historical importance, and greet with indescribable relief ». (The New Yorker), je comprends:
The non-election of Donald Trump is an event that we would welcome for its historical importance, and greet with indescribable relief.
@Jean Dis donc, pourri, or.dure nazie, comment oses-tu parler de moi? Juif? j’en fais mon affaire. Allez,rentre bien vite dans ta poubelle !
Au cours d’une nuit agitée dont nous avons le lubrique secret, l’épouvantable vision s’est imposée au rêveur travaillé par son imaginaire. Monsieur Pierre Assouline habillé en monsieur Loyal entre en piste du RdL Circus -le nouveau Barnum- bottes noires et cravache littéraire en main. Il invite les Super Stars du blog dans un numéro où les machos de collège se livrent à une débauche de paroles, insultes, grossièretés, coups et violences diverses, aux blessures narcissiques garanties. Pendant ce cirque, sur la seconde piste, les Erinyes, épouvantables femelles, se crêpent le chignon par paquets de quatre … Réveil pénible.
@Janssen J-J dit: 23 octobre 2016 à 12 h 17 min
Quel plaisir de revenir à la littérature avec votre commentaire enfoui sous la paille des mots perdus.
Ce déclic de la prise de conscience, des deux jeunes filles, me parait dans ce beau roman (« L’amie prodigieuse »), très lent à se produire, tant elles sont toutes deux dans leur affaire d’enfance et de corps. Le monde semble rebondir de l’une à l’autre par leur présence mutuelle, leur jalousie et par-delà leur solidarité. Cet univers misogyne où les filles sont écrasées, privées ou presque de l’aventure des études pour remplir tôt ou tard la case qu’on leur a destinée : maritale, familiale, économique. Bien sûr la société s’agite autour d’elles, gangrénée par la lâcheté et le fascisme, mais les histoires de garçons, d’amours imaginaires, de désir, l’emportent à mes yeux de lectrice sur un regard politique. La quête de la richesse aussi, qui leur parait une vengeance sur ceux qui les ont écrasées. Ce rêve de magasin de chaussures pour Lila puis la trahison : quel grand noeud du roman. Le viol marital, ensuite, (dans la suite de ce premier roman) reste un sommet de sauvagerie et de défaite.
Je suis heureuse que vous ayez continué la lecture des romans d’Elena Ferrante. Vous laissez passer les batailles vaines et continuez un chemin attentif de lecteur.Un peu comme Rose. Merci.
Il est vraiment têtu, Widergänger. Il continue à vouloir massacrer l’espagnol (avec l’aide de translate.google.com) : « En la noche ahora, junto al mar, es también visión profunda henchida de emoción, y me voy a la cama. »
Wgg,
parlez nous donc du Flamenco, Cocteau avait cette « ligne qui dit tout » pour le définir « Un feu qui s’acharne à mourir pour renaître… »
La buse espagnole ne connaît même pas ses classiques…! C’est dire si elle est buse.
@ Chaloux
« Alba « En la noche ahora, junto al mar, es también visión profunda henchida de emoción, y me voy a la cama. »
Traduction : demain, j’achèterai une paella surgelée au Fran.prix de la rue Championnet. »
C’est vrai que son supposé séjour en Espagne est de plus en plus suspect. Les vrais touristes racontent des choses sur l’endroit où ils sont: lui ne dit que des banalités que n’importe qui peut dire (et très peu, pour qu’on ne l’attrape pas en flagrant délit de mensonge).
Et il est toujours obsédé avec ce blog, alors que quand on est en vacances loin de chez soi on a envie de couper avec nos habitudes et on a pas le temps de passer des heures sur le Net.
Moi j’ai cru, naïvement, que pendant ses vacances on allait plus le voir par ici et qu’on allait enfin pouvoir se reposer de ses délires.
Mais non, il est toujours là, à débiter ses âneries.
Il est épuisant.
Le petit déj sur la terrasse avec le soleil à l’horizon sur la mer, ça vaut tous les flamencos ! Deux tourterelles sont venues me tenir compagnie pour participer au festin, qui sont d’ailleurs toujours là. Une belle journée en perspective.
D’un côté deux tourterelles, de l’autre une buse et un corbeau… y a vraiment pas photo, ou plutôt si, y a photos que j’ai prises de mes deux tourterelles, deux anges asssurément envoyés du ciel… (la buse et le corbeau vont aimer…)
Les raisonnements de la buse valent le détour. À noter au top ten de la buserie rdlienne…
Sorrentino dit: »Tout simplement parce que Céline avait une connaissance des êtres humains qui dépasse tous les autres écrivains… »
Pour moi, c’est le petit Proust( 1m68) qui dépasse tout le monde, et bien avant Céline il y a Tchekhov, Molière, Dostoievski, Shakespeare, Balzac, Stendhal, Flaubert, Chalamov, Tolstoi, tout ça dans le désordre…Céline c’est l’homme du ressentiment et il n’y a pas de véritable connaissance du coeur humain là ou il y a ressentiment, à mon humble avis…
Mais encore?
Sans la moindre retenue, associons nos félicitations à celles que profère mademoiselle Christiane à l’attention de l’inénarrable lapin Janssen aussi charmante que possible. En effet, continuer la lecture des romans d’Elena Ferrante est indispensable, comme de laisser passer les batailles vaines (!) et continuer son chemin attentif de lecteur. Impossible de faire deux choses à la fois !… Un peu comme Rose. Merci Janssen ! Que serions nous sans vous, embelli par cette perruque qui vous sied à merveille ?
@ Widergänger
« La buse espagnole ne connaît même pas ses classiques… »
Ah, parce que « En la noche ahora, junto al mar, es también visión profunda henchida de emoción, y me voy a la cama » c’est du san Juan de la Cruz, du Lope de Vega, du Quevedo, du Juan Ramón Jiménez, du Lorca ou du Vallejo?
Tiens, c’est nouveau, ça vient de sortir.
Mais mon pote, ce n’est pas parce que tu plagies « en la noche ahora, junto al mar », plus « también », plus « visión profunda henchida de emoción », plus « me voy a la cama », phrases correctes, que tu ne massacres pas l’espagnol. C’est parce le « es » qui les relie toutes ne va pas du tout là. C’est ça qui te trahit. Ça et d’ajouter sans transition une phrase banale (« y me voy a la cama ») après une phrase qui se veut poétique et qui est un cliché pour des ados amoureux (« visión profunda henchida de emoción »).
N’importe quel espagnol voit qu’il s’agit d’une phrase incorrecte d’un étranger qui veut « faire bien ». Et n’importe quel espagnol qui te connaît sait que c’est tout simplement une nouvelle tentative de pè.ter plus haut que ton (gros) c.ul.
Las playas largas, doradas y solitarias se extienden, y, parela al mar, una faja de verdura. El mar se aleja inmenso, azul, verdoso, pardo, hacia la inmensidad , una banda de nubecillas redondeadas parece posarse sobre el agua en la linea remotisima del horizonte.
Elle n’est pas incorrecte du tout, pov’ buse et triple buse, ta haine te pendra. Je l’ai recopiée de mon manuel d’espagnol !
ah ah ah ah ah ahhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!
Y connaît même pas sa propre langue, cette buse ! Ah ça c’est pas mal, tiens !
La victoire est trop facile avec une buse pareille !
Et si, pour ce qui concerne l’animal Destouches, monsieur de Nota, le ressentiment n’était que son style, son outil, sa méthode, sa main, sa façon ? Il me semble que sa connaissance de l’homme est digne du team intemporel que vous évoquiez, d’ailleurs fort justement.
… Renaissance du projet de statue de Proust (enfant) à Combray, par souscription (en fait, il s’agit d’acquérir une maquette de l’oeuvre future, chiffrée à 800 euros. Si 50 acquéreurs sont partie prenante, hop ! La statue est financée…)
en savoir plus sur : lefoudeproust.fr/
(merci de ne pas quolibeter, parce que ça a déjà été fait la dernière fois que j’ai parlé de cette statue. Donc, pas la peine d’en rajouter dans la redondance habituelle…)
Mais non, il est toujours là
se puso en cuclillas el balcón desde arriba todo es más bella ( version it)
Cualquier español ve que es falsa frase de un extranjero que quiere « hacer el bien ». Y cualquier español que lo conoce sabe que esto es sólo otro intento de pè.ter más alto que su (grande) c.ul. ( traduction it)
@ de nota
« Pour moi, c’est le petit Proust(1m68)… »
Si Proust était petit, Mozart (1,52 m), Kant (1,57 m), Ravel (1,61 m) ou Picasso (1,62 m) ils étaient quoi? Des nains?
@A…
Ressentiment de Céline, à la base sans doute mais cela suffit-il à définir sa manière ? Il est aussi dans la tradition du roman de Renart, qui prend le contre-pied de la littérature reconnue comme noble. On ne peut pas comprendre son style sans cette hypothèse de travail. Il est aussi dans la tradition picaresque d’origine espagnole. On n’a pas assez conscience que Le Voyage est lui aussi dans le prolongement de toute la littérature romanesque française du XVIIè siècle (Scarron et bien d’autres) qui a été fortement influencée par Cervantès et son Quijote.
les efforts que fait JC pour paraître respectable ne trompent personne, il n’a pas conscience du ridicule le pauvre petit bonhomme, quel plouc !
Clopine pour voyager un peu je vous donne la version de votre espoir en tchèque:
… Renaissance socha Proust Project (dětské) při Combray na základě předplatného (ve skutečnosti, to je získání model budoucí práci, činila 800 eur. 50 Pokud se jedná o kupující, hop! A socha je financován …)
Monsieur boudegras, votre vie n’est pas enviable, vous radotez sans fin. Que diable ! Faites un peu de sport. Tenez ! Tournez quelques pages d’un livre. Pour débuter, n’importe lequel. La Bible, par exemple. Ou le Coran.
@ Widergänger
Tu es tellement nul que tu ne sais même pas copier:
-« y, parela al mar ». « Y PARALELA al mar », abr.uti !
– « la linea remotisima ». « la línea remotísima », avec des accents, an.douille !
De nota a une conception très très idéaliste de ce qu’est un écrivain, qu’il assimile quasiment à un saint homme. Priez pour lui, amen, aurait-il dû rajouter…
Pablo la grandeur de l’homme ne se mesure pas à la toise, ne pas lire de moquerie, les hommes du moyen-âge étaient encore plus petits pour preuve les traces architecturales qui hissaient à grand peine les portes sous lesquelles il leur fallait passer à un mètre soixante dix et encore! ce qui ne les empêcha pas de créer et d’écrire.
Pablo75 dit: 24 octobre 2016 à 10 h 33 min
@ Widergänger
Tu es tellement nul que tu ne sais même pas copier:
-« y, parela al mar ». « Y PARALELA al mar », abr.uti !
– « la linea remotisima ». « la línea remotísima », avec des accents, an.douille !
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Quel professeur d’espagnol…! T’imagine un peu le mec dans une classe, traitant d’andouilles et d’abrutis ses élèves chaque fois qu’ils font une faute, en plus de frappe ici…
Pas seulement une buse, mais une brute !
@ Widergänger
« Elle n’est pas incorrecte du tout, pov’ buse et triple buse, ta haine te pendra. Je l’ai recopiée de mon manuel d’espagnol !ah ah ah ah ah ahhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!Y connaît même pas sa propre langue, cette buse ! Ah ça c’est pas mal, tiens !La victoire est trop facile avec une buse pareille ! »
Et c’est toi, qui croit que « parela » est un mot espagnol qui me dit à moi, qui écrit et lit l’espagnol tous les jours depuis des décennies, que ta phrase antérieure est correcte??
« Je l’ai recopiée de mon manuel d’espagnol ».
Déjà c’est bien que tu avoues que tu plagies (tu as oublié quand même de citer ton manuel, quant tu as publié ta phrase, essayant de la faire passer pour tienne). Le problème c’est que tu es si nul, qu’en plus de ne pas savoir copier, comme je te l’ai montré plus haut, tu ne sais non plus pas non plus « assembler » de phrases individuellement correctes.
« La victoire est trop facile avec une buse pareille ! »
Là je crois qu’on a enfin la preuve définitive que Michel Alba est fou.
C’est l’hopital qui se fiche de la charité, WGG vous oubliez vos écarts de langage, pas plus tard qu’hier vous répandiez en ces lieux de ces mots qui les transformèrent en un champ de bataille et puis c’est vous le prof qui souvent tenez à avoir le dernier mot sans tenir compte des remarques et objections. Les élèves peuvent ainsi en concevoir silencieusement un ressentiment et éprouver un autoritarisme s’appuyant sur une science infuse qui diffuse à sans unique et sans appel.
@ bérénice
« Pablo la grandeur de l’homme ne se mesure pas à la toise… »
J’ai dit le contraire?
sens
Ben, t’as pas compris que c’était fait exprès pour te piéger, pov’ buse…!
Et, le pire pour toi, c’est que ça a marché, t’es tombé dans le piège.
Mais ton impudence te sauve du ridicule.
Des nains?
pas exactement mais votre réponse pourrait laisser comprendre que l’envoi ne vous plait pas trop.
Celine a une tres grande dette -qu’il assume bien volontiers- envers le XVII° siècle francais car il cite toujours, comme des modèles, la correspondance de Madame de Sévigné – Proust aussi- et le cardinal de Retz, Scarron et Furetière.. Il avait aussi un culte pour le chroniqueur ,remontons plus haut dans le temps – Froissart.
Mais enfin, madame Clopine, c’est vous qui reparlez de cette « maquette », c’est vous qui redondez, tragiquement. Pas nous. Et puis, quoi !? Qui se soucie de monsieur/mademoiselle Proust, mort et oublié, à l’heure du Nobel de Forfaiture des jurés de Stockholm, embobdylanisés ? Je vous le demande !
Pablo ¡no te pongas así! eso de la estatura de Proust no es serio, es una broma, mala si quieres…
Non, jamais je ne cherche à avoir le dernier mot. Ce sont vos fantasmes, ça. Quand on conteste ce qui est posé comme incontestable, je ne vois pas comment on pourrait le contester… Ça n’a pas à être contester.
Quand je dis qu’un conférencier au MAHJ a dit que la persécution des Juifs sous l’Inquisition était semblable à une Shoah, on a tout à fait tort de me le reprocher. On conteste ce qui est posé comme incontestable. C’est un conférencier du MAHJ qui l’a dit.
Toute cette polémique n’est que le fruit de l’impbécilité de cette buse et de ce corbeau. Moi, je n’y suis pour rien. Je ne fais que me défendre devant les sornettes de ces deux serpents à sonnettes…
@A….. dit: 24 octobre 2016 à 10 h 06 min
Dites donc, l’alphabet, relisez Les voyelles de Rimbaud, pour changer d’inspiration…
« …Je dirai quelque jour vos naissances latentes :
A, noir corset velu des mouches éclatantes
Qui bombinent autour des puanteurs cruelles… »
Oui, enfin, on voit moins le rapport stylistique entre Mme de Sévigner et Céline… à part le papotage… En revanche, on voit fort bien le rapport entre l’aspect tout à fait picaresque du Voyage et Lazarillo et/ou le Quichotte. Un prolongement du picaresque en plein XXè siècle, mais avec un travail picaresque sur la langue elle-même ; c’est tout l’apport du XXè siècle, le travail sur la langue même. Une sorte de revanche du bas style sur le noble, avec des parodies très fréquentes des manies du style noble.
… Ça n’a pas à être contester.
Saint Heidegger, priez pour lui.
« On conteste ce qui est posé comme incontestable. C’est un conférencier du MAHJ qui l’a dit. »
Et wgg de me dire que j’assimile l’écrivain à un saint homme!
« On conteste ce qui est posé comme incontestable. C’est un conférencier du MAHJ qui l’a dit. »
C’est un peu léger comme « preuve ». WG ne peut s’empêcher de se réfugier à longueur de blog derrière l’argument d’autorité.
@ Widergänger
« Quel professeur d’espagnol…! T’imagine un peu le mec dans une classe, traitant d’andouilles et d’abrutis ses élèves chaque fois qu’ils font une faute, en plus de frappe ici… »
Une faute de frappe !!
Le cynisme candide du mec !! Au fond tu es drôle, quand même. Et tellement naïf (tes tricheries sont celles d’un gosse de 8 ans). Tu es vraiment l’ado péteux, le cancre mégalo qui prend ses profs pour des andouilles. Et qui croit que ça ne se voit pas.
Tu as ici un ami qui t’a conseillé plusieurs fois, avec beaucoup de bon sens, d’arrêter de t’exposer (il voulait dire de te ridiculiser, mais son amitié pour toi l’en a empêché). Écoute-le un peu. Cesse de décon.ner. Ça ne sert à rien. Ici tu ne trompes déjà plus personne. Tu ne fais que t’enfoncer dans le ridicule le plus pathétique.
L’assume-t-il tant que ça sa dette envers le XVIIè siècle, Céline ? Pas si sûr, Paul !
Il a au contraire toujours gueulé contre le XVIIè siècle et Malherbe qui vint détruire, à ses yeux, la belle langue foisonnante de Rabelais.
Il méprise en vérité le classicisme du XVIIè, et le baroque aussi d’un Scarron !
Si la buse pouvait la fermer cinq minutes ! Tu t’énerves, tu t’énerves. Ménages tes vieux os plutôt. T’es c., c’est une affaire entendue. Mais ferme-la !
@ bérénice
« votre réponse pourrait laisser comprendre que… »
Il faut comprendre ce qu’il y a écrit, pas plus. Il faut accepter l’idée qu’il y a des gens qui constatent des faits « gratuitement », sans vouloir dire quelque chose avec eux.
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