David Cornwell lève le voile sur John Le Carré
« A 20 ans, on est achevé d’imprimer ». Simenon en avait fait un adage. Appliqué à un écrivain, il n’a jamais été aussi vrai que dans le cas de David Cornwell alias John le Carré. Abandonné par sa mère à l’âge de 5 ans, il fut élevé par un père impossible, lequel apparaît dès la troisième ligne de la première page de ses Mémoires et ne le lâche plus jusqu’à la fin de son récit. Pour l’enfant, ses parents étaient un mystère ; ils le sont restés pour l’homme au soir de sa vie. Tout romancier est un menteur. Celui-ci étant l’un des plus grands, on peut donc en déduire qu’il est un grand menteur. Son enfance a baigné dans l’esquive, le secret et la tromperie. On dira qu’il était à bonne école à l’ombre d’un géniteur escroc, fraudeur, manipulateur, griveleur, mythomane, violent, charmeur, repris de justice.
Qu’avait-il donc à cacher pour se résoudre à écrire ses souvenirs sous le titre Le Tunnel aux pigeons (traduit de l’anglais par Isabelle Perrin, Seuil) ? Le sous-titre « Histoires de ma vie » a son importance : il raconte des histoires. On a écrit ici ou là qu’il a voulu ainsi désamorcer la parution annoncée de sa biographie par Adam Sisman (Bloomsbury, 2015) bien qu’il l’ait autorisée et aidée. Qu’importe au fond puisque lui seul est à même de livrer au lecteur, sans le moindre intercesseur, ses propres vérités sur sa vie et son œuvre fussent-elles imaginaires, incertaines, piégées, approximatives, comme il en convient non sans malice. Il y a les faits et ce qu’il en fait. Le résultat : des Mémoires écrits de mémoire. Fragments de souvenirs, éclats de mémoires, anecdotes savoureuses, le tout mâtiné d’autodérision et d’understatement bien tempéré. Un livre manifestement écrit le sourire aux lèvres se lit le sourire aux lèvres. Il révélera au lecteur l’enquêteur derrière le romancier, autant Cornwell que Le Carré. Une seule silhouette pour un homme double, c’est possible ça ?
Des lieux, des villes, des paysages mais surtout des gens. Autant de rencontres, autant de quiproquos et de situations absurdes avec le magnat de la presse Rupert Murdoch, le président italien Cossiga, Mme Thatcher, des puissants qui l’invitent à sa table sans qu’il sache avant pourquoi ni qu’il comprenne après pourquoi. Voici le poète Joseph Brodsky qui lâche devant lui au restaurant chinois un commentaire bien senti à la seconde même où il apprend qu’on lui décerne le prix Nobel (« C’est parti pour un an de blabla »). Ici Alec Guinness, son préféré, là Jean-Paul Kauffmann si émouvant dans son aveu (la lecture de L’Espion qui venait du froid l’a aidé à tenir dans les caves libanaises où le Hezbollah le détenait en otage). Ou encore Yasser Arafat avec qui il se retrouve à danser un soir de Noël, et Dima, le parrain de la mafia russe, ce qui nous vaut une interview d’anthologie, sans oublier les Kubrick, Pollack, Coppola et autres cinéastes qui voulurent l’adapter et se révélèrent à l’usage inadaptés, mais aussi des inconnus et des anonymes.
Il serait vain d’y chercher des clés dissimulées, d’autant que l’auteur lui-même les offre : ici son mentor qui servit de modèle à George Smiley, là un germano-turc de Guantanamo qui lui a inspiré un personnage, ici une humanitaire rencontrée à Phnom-Penh dont la présence le hantera plus tard tout au long de la rédaction d’un roman, là un inconnu traînant dans un aéroport dont il fera son Alec Lamas. Fidèle à ses fantômes, il creuse son vieux sillon de l’antiaméricanisme et de l’insupportable inféodation politique du Foreign Office à Washington. Qu’il fustige les grandes banques, les hommes de lois, les laboratoires pharmaceutiques, les multinationales ou les fauteurs de guerre en Irak, c’est toujours l’Oncle Sam qu’il désigne du doigt. Un exclusivisme que l’on a dit naïf, ingénu, à sens unique. A quoi il répond invariablement dans ses livres que ce sont les financiers qui mènent le monde et que sont-ils sinon américains ?
Il n’est pas le premier écrivain à nous emmener dans son atelier observer ses secrets de fabrication, sauf qu’avec lui c’est formidablement divertissant car le monde est son atelier. Le problème, ce ne sont pas les aéroports, les frontières et les douaniers unanimement abhorrés : ce sont les check-points :
« Ce n’est pas votre passeport qu’on vérifie, c’est vos mains. Et puis votre tête. Et puis votre charisme, ou votre manque de charisme. Et même si un check-point vous juge acceptable, la dernière chose qu’il va faire est de transmettre cette bonne nouvelle au suivant, parce qu’aucun check-point ne se laissera jamais prendre en défaut sur sa paranoïa ».
Le Carré voue une telle passion à la culture germanique, contractée dès son séjour étudiant en Suisse alémanique, qu’aujourd’hui encore il jouit d’un plaisir sans égal lorsqu’il lit un livre en allemand plutôt qu’en anglais. Littérature, poésie, politique, histoire, qu’importe, il prend tout et de toutes les époques. Et pour lui avoir un jour fait remarquer que ses dialogues étaient parfois alambiqués, je l’ai entendu m’objecter :
« Même quand je parle ou j’écris en anglais, par réflexe, je pense en allemand et je place le verbe à la fin, ce qui, en effet… ».
C’est d’ailleurs en Allemagne que tout a commencé. A Berlin où l’agent du MI6 trouva un pseudonyme qui ne tournait pas rond, son regard ayant été happé par l’enseigne d’un magasin alors qu’il était assis dans l’autobus. Afin de ne pas contrevenir à l’obligation de réserve de son service, il en fit son nom de plume l’année même de l’édification d’un mur entre les deux Allemagnes, et l’inscrivit en tête de deux polars qui passèrent inaperçus, puis du manuscrit très berlinois de L’Espion qui venait du froid. Ce qui frappe chez lui, c’est son intelligence, pas redoutable tant elle est généreuse, partageuse, empathique, mais travaillée par le doute perpétuel, pour le meilleur et pour le pire.
Alors, l’espion ? Tout au plus un garçon de courses du renseignement britannique qui rendit de menus services, suggère-t-il avec un sens consommé de la litote.
« Un microbe dans la hiérarchie du monde secret »
Ainsi résume-t-il son activité de 1956 à 1964. On n’en saura pas davantage sur la nature exacte du travail accompli au sein du SIS (Secret Intelligence Service ou MI6), en sa qualité d’agent de renseignements. Sa loyauté n’est pas à géométrie variable : ayant promis dès son engagement de n’en rien dire, il s’y sent tenu plus d’un demi-siècle après, tant légalement que moralement, même si l’on pourrait imaginer qu’il y a prescription, tout de même. Mais si vous lui écrivez pour lui demander comment devenir espion, vous recevrez immanquablement cette réponse :
« Ecrivez à votre député, au Foreign office, ou bien, si vous vous êtes encore scolarisé, allez voir votre conseiller d’orientation ».
Ses souvenirs sont à son image : discrets, courtois, pleins d’humour, légers. Parfois édifiants, souvent instructifs, toujours passionnants. On y retrouve les caractéristiques de ses romans, à commencer par un inouï don d’observation des comportements des gens dans leurs habitudes, leurs apparences, leur langage. En voilà un qui maîtrise le grand art du détail. Ce qu’on n’y retrouve pas, et l’on ne s’en plaindra pas, c’est la sophistication de leur architecture narrative et la complexité de leurs situations ; car en l’espèce, elles n’avaient pas lieu d’être. Ses Mémoires sont conçues dans l’esprit d’une conversation avec le lecteur. Mais qu’on ne s’y trompe pas : sous le masque de l’humour, la peur ne l’a jamais quitté. Elle nourrit sa réflexion ininterrompue sur le statut de la vérité dans la mémoire. Il est vrai qu’à 16 ans, son père l’envoyait chercher ses clubs de golfs oubliés dans un palace sans lui préciser qu’étant parti sans payer la note, l’adolescent risquait gros.
Ses romans sont le fruit de la rencontre son expérience et son imagination. Au fond la somme de ses contradictions. Le monde de l’espionnage, et la question récurrente de sa moralité, n’auront été que le décor de son œuvre, et la guerre froide son cadre. Contrairement aux craintes et prédictions manifestées alors ici ou là, la chute du mur de Berlin ne l’a pas réduit au chômage technique. D’autant qu’il a tout de suite senti que la fin du communisme n’entraînerait pas la fin de la menace russe. Il n’avait pourtant effectué que deux séjours en Russie (1987 et 1993) mais cela lui fut suffisant pour voir juste. En vérité, sa grande affaire, ce fut le mensonge. Ce qui fait de lui non un romancier d’espionnage, genre littéraire dans lequel il s’est laissé enfermer en haussant les épaules, mais un grand écrivain tout court, à l’égal de ses maîtres Joseph Conrad et Graham Greene.
Et qu’y a-t-il de plus universel que le mensonge, acte qu’il a eu le génie de transcender en le déployant sur le terrain de la loyauté, de la duplicité, de la trahison ? Un autre fil rouge relie les personnages de son œuvre : l’abandon, et comment en serait-il autrement pour celui que sa mère a abandonné, lui et Tony, son aîné de deux ans, le gardien de son frère, alors qu’ils dormaient à poings fermés, sans un mot d’explications, fuyant un mari invivable et dangereux qui de surcroît la battait ? « Une opération d’exfiltration bien organisée, exécutée selon les scrupuleux principes de compartimentation » jugera plus tard l’espion. N’empêche qu’il ne lui a jamais pardonné à cette femme qui ne lui prit la main qu’une seule fois, et encore, avec un gant. Une fois parvenu à l’âge adulte, il l’a retrouvée après bien des recherches mais ses explications furent vaines. Les portraits qu’il trace de ses parents sont sans concession ; mais malgré tout, il conserve pour ce père si imprévisible et vibrionnant à « la tête hypothéquée , personnage chu d’un chapitre de Dickens, une tendresse, parfois haineuse et sans pardon, mais une tendresse tout de même, surtout lorsqu’il l’entendait au bout du fil, des sanglots dans la voix, lui réclamer encore et encore de l’argent, et même un pourcentage sur son œuvre puisqu’il s’en considérait d’une certaine manière à l’origine.
D’ailleurs, il lui arrivait souvent de vendre à un prix déraisonnable à des amateurs des livres de son fils qu’il dédicaçait : « Signé le Père de l’Auteur » ; et quand des lecteurs les présentaient à John le Carré, celui-ci rajoutait : « Signé le Fils du Père de l’Auteur ». Il n’empêche que lorsqu’il acheva l’écriture d’Un pur espion (1986), pur chef d’œuvre autour de la figure envahissante de son père, la catharsis fut telle qu’il pleura toutes les larmes de son corps. En se retournant sur son parcours, il tient que l’espionnage et la littérature ont partie liée :
« Tous deux exigent un œil prompt à repérer le potentiel transgressif des hommes et les multiples routes menant à la trahison ».
Apaisé parmi ses démons, mais toujours convaincu que l’âme d’une nation se révèle à travers ses services secrets, il a fait sienne cette forte pensée d’Oscar Wilde :
« Quand on dit la vérité, on est sûr, tôt ou tard, d’être découvert. »
A propos, le tunnel évoqué dans le titre est celui qui courrait sous la pelouse du Sporting club de Monaco , dans lequel on enfournait les pigeons élevés en batterie un peu plus bas à cet effet, afin qu’il soient lâchés au bout pour le bon plaisir de chasseurs au sortir de leur repas. Et quand ceux-ci les rataient ou les blessaient, que croyez-vous que faisaient les volatiles ? Ils retournaient à leur lieu de naissance et rentraient dans leur cage. A chacun d’apprécier la métaphore…
John le Carré aurait mérité dix fois que l’un de ses romans soit couronné par le jury du Booker Prize, l’équivalent britannique du Goncourt (sans parler du Nobel, mais il est vrai qu’il ne sait pas chanter) ; quand bien même ses éditeurs ne les leur ont jamais envoyés, obéissant ainsi à son propre refus de postuler, les jurés se seraient honorés en le distinguant ; ils étaient libres de leur choix et rien ne les en empêchait. Aujourd’hui, c’est trop tard. Si cela advenait, on dirait : « Cette année, on a donné Le Carré au Booker Prize ! »
Il a refusé toute promotion pour son nouveau livre, ce qui n’a pas étonné la critique littéraire de son pays qui sait dans quel mépris il la tient, à égalité avec l’establishment. Seule exception : l’article écrit à cette occasion pour le Magazine littéraire, ce qui n’étonnera pas les lecteurs de ses Mémoires dans lesquels il dit l’estime et la sympathie dans lesquelles il tient la critique littéraire de notre pays (et Bernard Pivot en majesté auquel il rend un vibrant hommage en raison d’un Apostrophes mémorable). Sinon, rideau sur la curiosité publique ! Il est vrai qu’il n’a pas le temps. Il vient de commencer un nouveau roman. Tant que le corps et l’esprit le lui permettront, car chacun de ses livres suppose un intense engagement personnel à tous points de vue, il continuera. Sa manière de demeurer « sain d’esprit et relativement honnête » depuis une cinquantaine d’années. A 85 ans, grand-père de treize petits-enfants, il préserve précieusement ses travaux et ses jours à venir pour les consacrer à la seule chose qui l’ait jamais passionné : écrire, tout simplement.
1 517 Réponses pour David Cornwell lève le voile sur John Le Carré
J’apprend que Solers apprécie moyennement Cocteau. Quant à Wgg, en effet tout semble vain, relire la perversion narcissique de Wikipedia « Pour eux un mensonge réussis compte comme une vérité. »
Ne vous énervez pas, christiane, JC restera à A, comme andouille, lettre qui le personnifie tellement bien
@ de nota
J’ai oublié dans mon message de mettre un 😉 après le mot « nains »…
Je ne me réfugie nullement derrière l’argument d’autorité. Ce conférencier est un spécialiste de cette période de l’histoire juive. S’il a dit que cette période de l’histoire juive ressemble à une Shoah, il a de bonnes raisons de le dire. Le contester, alors qu’on n’est qu’une buse et un corbeau, est ridicule. Et ce n’est d’ailleurs que l’espression de leur part de la haine qui le anime. C’est moche de leur part, et lâche, minable. Ce sont d’ailleurs deux minables, deux gros c. qui le prouvent à chacun de leurs commentaires plus débiles les uns que les autres. Deux exemples d’homme du ressentiment, puisque nous en parlons à propos de Céline.
Il se trouve, mademoiselle Christiane, que nous n’avons que faire faire de vos conseils, connaissant votre incapacité à rester, sans le déformer, au contact du réel.
@ Widergänger
« t’as pas compris que c’était fait exprès pour te piéger »
Le mensonge naïf des enfants pris la main dans la confiture.
Le problème c’est que, quand on a 60 ans, ça ne s’appelle plus du mensonge naïf, mais de l’escroquerie intellectuelle.
Brisons là ! Il y a étrange manipulation intellectuelle que d’oser comparer Inquisition et Shoah. Pourquoi, si vous en acceptez l’idée, ne pas comparer ce qui suit et la Marseillaise ?! Pourquoi ?
@ de nota
¿Eres español? Y si es el caso, ¿de dónde?
@ Widergänger
« Ce sont d’ailleurs deux minables, deux gros c. qui le prouvent à chacun de leurs commentaires plus débiles les uns que les autres. Deux exemples d’homme du ressentiment »
Tous ceux qui t’empêchent de vendre ta petite camelote dans cet endroit sont des minables. Je comprends ton énervement: ton projet de passer pour un génie qui sait tout c’est raté ici. Dans ce blog tout le monde sait maintenant que tu es un nul, un menteur, un tricheur, un mégalomane et un escroc intellectuel naïf et vulgaire.
T’a qu’à déménager.
S’il est un conseil qui ne vieillit pas, c’est celui que nous donne feu Gilbert Trigano, juif algérois, rédacteur à L’Avant-Garde, organe de la Jeunesse communiste, puis grand reporter à L’Humanité :
« En vacances, oubliez tout ! »
Retour à Céline.
François Gibault, grand et fin connaisseur de Céline écrit dans la revue nrf : « Il(Céline) se voit dans la continuité de madame de Sévigné. Il considère que le style doit évoluer, mais dans une filiation française. Il pense que l’on a épuisé la façon d’écrire du XIXe siècle, le naturalisme, etc. Il pense qu’au XXe siècle, il faut renouveler de fond en comble l’expression écrite et l’art du roman. Il estime aussi que, depuis la création du cinéma, on ne pouvait plus écrire comme avant. »
Et surtout, WGG, dans ses lettres (voir le superbe volume pleiade..) il multiplie les déclarations d’admiration envers le XVII° siècle.
incontestable.
A propos de la Sévigné « l écrit à Paraz dans son style imagé : : « « elle pourrait faire bander un débardeur ». Et à Nimier, à Gaston Gallimard, à d’autres correspondants, , il affirme clairement qu’il a une admiration très précise pour saint- simon, la bruyère, Sévigné, Scarron, etc. et il explique pourquoi.
Ci-dessous, article pour les schneidermannophobes :
Ce monde évolue curieusement à nos yeux de mammifères, adeptes du concept naturel, écologique, économique, dominant/dominés. Si des migrants illégaux ne veulent pas obtempérer aux ordres de l’Etat qu’ils ont envahis, bave aux lèvres, ouvrez des camps en Guyane, ou abattez les sur place ! Il est tout de même curieux d’avoir à rappeler des principes démocratiques fondateurs, aussi simples.
WGG quelqu’un exprimait l’idée que le terme » Shoah » signifie catastrophe et fut employé pour désigner le génocide des juifs perpétré par les nazis au cours de la seconde guerre.
Un holocauste (grec ancien : ὁλόκαυστος ; de ὅλος, entier + καύστος, brûlé) est le sacrifice par le feu d’un animal.( wiki) Le conférencier aurait pu employer ce mot qui contrairement à Shoah a d’autres antécédents et convient assez bien aux bûchers de l’inquisition.
@A….. dit: 24 octobre 2016 à 11 h 11 min
Mystère… Qu’est-ce que le réel ? « … car nous sommes où nous ne sommes pas… » (Pierre-Jean Jouve Lyrique p.59)
PS : et pas Boudon…
Paul,
tu as lu ce papier du Monde : On voit bien, en les lisant, les différentes couches du personnage. Dans les premières – quand il vient d’être arrêté, qu’il ne sait pas ce qui va lui arriver, où est Lucette… – son style est complètement effacé, son souci n’est pas brouillé par le travail de l’écriture, et puis à mesure qu’il comprend qu’il ne va pas être exécuté, on voit le retour du style, et il se remet à cracher sur tout le monde. »
http://www.lemonde.fr/festival/article/2016/08/05/celine-a-la-lettre_4978622_4415198.html
s, ouvrez des camps en Guyane, ou abattez les sur place !
Ah oui! on se croirait revenu au moyen-âge quand les religieux et tribunaux débattaient pour prouver que les « sauvages »les « primitifs » possédaient ou non une âme et une conscience voire une sensibilité qu’on ne reconnaissait pas aux animaux , je me demande où en est la vôtre.
Non seulement on l’étudie au bac, Céline, mais on l’étudie pour entrer à Normale Sup, et pour passer l’agrégation !
Mon petit Nicolas, ton commentaire est nul.
Holocauste est un terme indigne et ignoble pour la conscience juive. Les Juifs en aucune manière ne sont offert en Holocauste aux dieux.
Vos propos, bérénice, ne sont que le produit de ce ramassis d’ignominies à propos des Juifs qu’on trouve ordinairement chez le commun des mortels.
, ton commentaire est nul.
Argumentaire détaillé? affirmation ne vaut pas pour , prouvez le .
Mademoiselle Bérénice, vous n’êtes qu’une enfant indisciplinée que les sauvages consommeront comme de la viande en promotion.
Et le journaliste Laurent Carpentier, qui confond la vie de Céline avec le style de ses romans, est un fo.utu imbécile.
Le terme « holocauste » était déjà utilisé dès le premier tiers du xixe siècle dans la langue française pour désigner le massacre systématique d’un groupe social, ethnique ou religieux. Il est notamment utilisé par Chateaubriand dans ses Mémoires d’Outre-Tombe au livre 16, chapitre 5, et au livre 31, chapitre 2.
Vous comprenez, mademoiselle Bérénice, que vertueux, c’était pour moi, une mauvaise nouvelle pour vous. Mais on peut se tromper.
En 1894, Bernard Lazare utilise le terme « holocauste » pour parler des Juifs brûlés vifs pendant la Peste noire, au Moyen Âge : « Quand la peste noire ou la faim sévissait, on offrait les Juifs en holocauste à la divinité irritée1. »
Décidément, l’adage se vérifie parfaitement dans ce blog : la culture c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale. Par contre, vulgarité, méchanceté hargneuse, ils en produisent des tonnes. Ça éructe, insulte sans fin. Pierre Assouline, faites quelque chose pour nettoyer cette écurie d’Augias qu’est devenu votre blog.
Et puis, l’équation de ce crétin de journaliste : cracher sur tout le monde = le style de Céline, est d’un crétinisme innommable !
En anglais, le terme « Holocaust » prévaut sur celui de « Shoah » mais possède la même signification. Donald Niewyk et Francis Nicosia écrivent : « Le mot « Holocauste » désigne communément l’assassinat de plus de 5 000 000 de Juifs par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale6. »
C’est pas parce que Bernard Lazare l’a employé qu’il a eu raison de l’employer ! IL A EU TORT !
@ A B C D E F etc, Zeus, JC, ou autres cochoncetés d’X… « Que serions nous sans vous, embelli par cette perruque qui vous sied à merveille ? »
Des rétrécis du caboulot, je le crains. Mettez vos pseudo postiches sur le crâne, et saupoudrez-les de qq zestes de bouses et autres joyeuses flatulences, ça ne pourra que vous embellir l’esprit de pq, et vous faire passer pour un peu moins tartufié du bulbe.
Non, il n’a pas la même signification ! C’est ce que vous ne voulez pas comprendre. Typique des horribles goys !
« Quand la peste noire ou la faim sévissait, on offrait les Juifs en holocauste à la divinité irritée » (Lazare)
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Mais vous ne comprenez donc pas que le mot « holocauste » dans cette phrase est justement stigmatisé par Bernard Lazare !!!!
Un holocauste (grec ancien : ὁλόκαυστος ; de ὅλος, entier + καύστος, brûlé) est le sacrifice par le feu d’un animal.( wiki) Le conférencier aurait pu employer ce mot qui contrairement à Shoah a d’autres antécédents et convient assez bien aux bûchers de l’inquisition. (Bérénice)
Commentaire pertinent. Le terme de « Shoah » a été en effet préféré à « holocauste », terme aux connotations religieuses qui ne convenait pas du tout pour désigner le génocide nazi. En revanche, « shoah » (« catastrophe ») et « holocauste » peuvent tous les deux convenir pour désigner ce qui s’est passé en Espagne à l’époque de l’Inquisition, même s’il ne s’agit en aucune façon d’un génocide. Il est clair que pour les bourreaux, brûler les condamnés sur le bûcher devait avoir la signification (en plus de sa valeur de punition et de pénitence) d’un sacrifice à la divinité.
une mauvaise nouvelle pour vous.
Pour changer , vous pensez que cela m’étonne? après tout ce et ceux qui ont précédé à ce jour plutôt neutre? .
Espèce de c.nn.rd, c’est le point de vue des bourreaux ! Pas des victimes.
les voyelles de JC :
A comme Andouille
E comme Empaffé
I comme Ignare
O comme Ordure
U comme Usurpateur
Wgg,
vous lisez trop vite, ce qui est sous entendu c’est que quand Celine a peur tout l’art de l’écriture s’évanoui – sa détestation des autres aussi sans doute parce qu’il n’est plus tourné que vers lui même. Ce qui m’a marqué c’est comment le style est indissociable (en tous cas chez Celine) des prédispositions mentales. Celine enchâssé dans la peur est un piètre écrivain.
bérénice dit: 24 octobre 2016 à 12 h 02 min
En 1894, Bernard Lazare utilise le terme « holocauste » pour parler des Juifs brûlés vifs pendant la Peste noire, au Moyen Âge : « Quand la peste noire ou la faim sévissait, on offrait les Juifs en holocauste à la divinité irritée
Bernard Lazare a parfaitement raison. C’est bien d’un holocauste qu’il s’agit dans l’esprit des bourreaux. Cependant, il est probable que Bernard Lazare s’indigne, à juste titre, d’une pratique réservée, dans les sociétés polythéistes, aux animaux. Dans les sociétés médiévales, les Juifs sont substitués aux victimes animales des sacrifices païens. On n’est pas très loin du point de vue du nazi, qui trouve sain l’extermination des Juifs considérés par lui comme des animaux nuisibles. On vient de rééditer le Robert historique de la langue française, d’Alain Rey. Ce serait intéressant de vérifier ce qu’il dit des mots « shoah » et « holocauste ».
« Typique des horribles goys ! »
C’est la traduction littérale de « sales juifs », WGG ?
12h12 ethnocide mais pas seulement puisque tous ceux qui étaient soupçonnés ou convaincus de sorcellerie y passèrent, juifs et non juifs.
Jean,
je suis assez d’accord avec vous, il est dommage que Wgg qui a lancé ce sujet de facon débile n’est pas été capable de faire une phrase simple pour expliquer l’intention des gens de l’expo. Toutefois ne pensez vous pas que si l’on réserve désormais le terme Shoa pour désigner la Shoa c’est bien que quelque chose de particulier c’est passé?
Ce serait intéressant de vérifier ce qu’il dit des mots « shoah » et « holocauste ». (mmouâ)
Même si « shoah » est d’importation récente, ce mot appartient aujourd’hui à la langue française. Je dispose pour ma part de l’édition 1993 du Robert historique d’Alain Rey, édition antérieure, notamment, à la révolution informatique. C’est fou ce que notre langue a changé en un peu plus de vingt ans, comme j’ai eu l’occasion de le constater en feuilletant la nouvelle édition; C’est ainsi que Rey fait un sort, parmi d’autres, au mot « hashtag ». « Médiologie » a droit aussi a un article : coup de chapeau à Debray, l’inventeur de cette discipline nouvelle, qui n’a peut-être pas encore beaucoup dépassé le domaine de ses écrits et de ceux de ses proches collaborateurs ? On verra si, dans vingt ans, « médiologie » existe encore… La forme d’une langue change plus vite encor que le coeur d’un mortel…
@ Widergänger
Quelle joie pour moi d’être autant méprisé par un sous-homme comme toi !!
Et quand je te vois fou de rage comme un por.c affamé, tu ne peux pas savoir à quel point j’exulte !!
@ christiane
« Mystère… Qu’est-ce que le réel ? « … car nous sommes où nous ne sommes pas… » ».
Surtout Widergänger (étrange qu’au lieu de se promener à Sitges, face à la mer, et dans sa belle région, il préfère hurler des insultes et des propos scatologiques ici).
@ Widergänger
« Typique des horribles goys ! »
Mais tu nous a dit ici que ta mère n’était pas juive.
Toutefois ne pensez vous pas que si l’on réserve désormais le terme Shoa pour désigner la Shoa c’est bien que quelque chose de particulier c’est passé? (Nicolas)
Je pense que c’est surtout une affaire d’usage et d’habitude. Si je me souviens bien, l’usage de « shoah » est devenu habituel à partir du film de Claude Lanzmann. « Génocide » convient aussi bien. Ne pas oublier cependant les connotations affectives de « shoah », dont l’emploi est sans doute une façon pour les Juifs de souligner à quel point l’événement est un événement catastrophique majeur dans l’histoire des Juifs d’Europe. » Shoah », « holocauste », « génocide » : le choix d’un de ces termes n’est nullement innocent et les connotations de chacun des trois ne le sont pas non plus.
« Typique des horribles goys ! » (Widergänger)
Dans le genre éructation raciste, ça se pose un peu là. Qu’en pense Berguenzinc ?
Non, ce n’est pas la raison fondamentale.
La raison fondamentale c’est que le terme Shoah c’est nommer la chose du point de vue des victimes, pas l’autre, qui la nomme du point de vue des bourreaux.
Et vois ne pensée pas que que si l’on réserve un terme c’est dans la logique de définir un événement fondateur pour que l’oubli ne s’en mêle plus. Plutôt ( et c’est une hypothèse) que de revoir tous les massacres de l’histoire de l’humanité penser à celui ci et une facon assez simple pour que tout le monde se l’approprie, même le plus inculte du dernier des cretins?
« Génocide »
pour souligner l’absurde, un détour par la Turquie qui refuse de reconnaître le massacre des Arméniens comme étant un génocide au prétexte qu’au moment « historique » de ce massacre perpétré le mot n’existait pas .
La qualification classique de racisme quand on parle de goy est simplement le fruit d’ignorance totale de la culture juive, fondée sur la distinction et le retrait comme l’explique très intelligemment Shmuel Trigano dans son grand livre, Le judaïsme et l’esprit du monde, qui a donné lieu à un très fructueux débat au MAHJ avec Marcel Gauchet. http://www.akadem.org/sommaire/themes/philosophie/idees-politiques/modernite/le-judaisme-et-l-esprit-du-monde-16-09-2011-27070_348.php
Nicolas, franchement, relisez « Voyage au bout de la nuit » et « Mort à crédit », ce sont des œuvres qui voient clair sur l’ensemble d’une société des années 30.., c’est vu par un médecin de banlieue.. des pauvres. Et les pamphlets, ils disent quoi ?
Ils font haut parleur à toute une partie de la population française ce que pensaient pas mal de petits français en pleine franchouillardise antisémite. Et ils étaient nombreux. C’est sociologiquement capital de le savoir et de voir comment ça s’exprime.. C‘est une radiographie, un constat, un procès- verbal.
Oui, il y a du franchouillard dans Céline. C’estt sa tache noire.Et aussi, en même temps, un génie littéraire, c’est comme ça.
Faut faire avec. Difficile mais on ne peut pas réécrire l’histoire chacun à sa façon.
Le radiographie de la société » française est très fine chez Céline.. elle est pas terrible pour notre pays. A méditer. à l’heur où on voit de braves français patriotes qui se rassemblent pour ne pas accueillir 10 familles de migrants dans leur ville de 10 000 habitants.. Ça, c’est du Céline. Il observe le Céline… ! dans ses romans picaresques – chroniques- pamphlets (ils sont tout ça à la fois..) il offre un superbe polaroid de sa société française des années 30… telle que le médecin de banlieue les voit. De Trotski et de la critique littéraire russe, aux critiques anglo- saxons, personne ne s’est trompé sur l’originalité, la vérité sociologique et surtout l’ampleur de l’œuvre, son intelligence et sa compassion.. c’est un constat social implacable et précis.
Quant à la frénésie de l’invention verbale, n’importe qui, ouvrant un texte de Céline est immédiatement frappé par la verdeur fabuleuse du texte. On aime ou on déteste. Evidemment les procureurs et leur moraline qui ne voient que les pamphlets, détestent .Normal.
Ah, Bérénice, si seulement votre tchèque n’était pas, pour moi qui ignore tant cette langue, « sans provision »..
Et comment se fait-il que vous connaissiez le tchèque ?
…
Savez-vous que Chevillard est en ce moment à Prague – il rend compte sur son blog « l’autofictif » de son voyage touristique, qui le mène exactement là où tous les visiteurs de Prague mettent les pieds, le pont Charles, la ruelle d’Or, le musée Kafka – mais lui, d’une phrase, arrive à se distinguer du troupeau – ce qui rajoute encore au plaisir de l’évocation d’une ville que j’ai parcouru avec un plaisir qui m’étonnait moi-même.
…
Je pense qu’on est (enfin, bibi, au moins) toujours surpris de la beauté d’une ville : car certes, elle se mérite, cette beauté, puisqu’il faut toujours faire abstraction de la réalité ressentie pour la rencontrer – à Prague, il faut kaléidoscoper les différentes strates architecturales des différentes temporalités passées, sans relâche, et effacer le troupeau touristique, pour enfin ressentir, au détour d’une rue calme, pavée, humide et provinciale, le charme qui se dégage d’un lieu où l’Europe se télescope, et où trois communautés ont cohabité.
Cet ineffable sentiment d’harmonie peut vous tomber dessus, par exemple, devant un immeuble à la façade « art déco » peinte par le père de Vaclav Havel, ou bien, en ressortant du ghetto, devant une statue imposante, à l’angle d’un immeuble de rapport, en plein quartier « germanique », statue qui célèbre le rabbin Loew, géniteur du Golem….
Mais je ne ressens jamais directement la beauté d’une ville (même la nuit, n’en déplaise à Bohringer) ; je suis toujours assaillie par la foule, la saleté, le bruit, le commerce tapageur, les saloperies touristiques. C’est donc un travail sur moi, d’habitude, qui m’est rudement nécessaire pour goûter la sensation de beauté et voyez, Bérénice : il suffit pourtant de trois phrases de Chevillard pour que le parfum de Prague, aussi subtil et fort que celui du réséda, revienne embaumer ma mémoire.
(j’ai divagué un peu, là, non ? Mille pardons.)
La Shoah vu par ce crétin de Nicolas comme « événement fondateur ». Non, mais on aura vraiment tout lu comme énormité sur la Rdl ! Fondateurd e quoi mon pov’ chéri ?! La destruction des Juifs d’Europe fondemant de quelle maison ? La maison du néant ? T’es simplment un énorme crétin.
parcouruE ! Damned !!!
« Shoah » : le choix de ce mot par Claude Lanzmann m’apparaît comme un épisode décisif du cheminement d’appropriation progressive par les Juifs d’Europe de l’entreprise génocidaire nazie comme un moment crucial de LEUR histoire — un autre épisode essentiel étant la publication du livre de Raul Hilberg . Les années qui ont immédiatement suivi la fin de la guerre se caractérisent, comme on sait, par une occultation par la conscience européenne de l’importance de l’événement. Le fait que ce mot se soit, depuis, imposé dans l’usage, non seulement des Juifs, mais des Européens en général (et pas seulement des Européens) doit être considéré, lui aussi, comme revêtant une signification capitale.
WGG est juif celui qui naît d’une mère juive, un goy est un individu issu d’une union qui peut-être mixte mais où la mère est non juive.
C‘est une radiographie, un constat, un procès- verbal. (Popaul)
_______
Oui, enfin, faut pas exagérer non plus…! Ce serait absoudre un peu vite Céline de ses crimes par pamphlet interposés. Si ce n’était que ça, sans parti-pris, les pamphlets ne seraient pas l’opprobre de conscience universelle. Or, ils le sont.
Grand écrivain, c’est certain. Mais criminel de papier aussi.
Les années qui ont immédiatement suivi la fin de la guerre se caractérisent, comme on sait, par une occultation par la conscience européenne de l’importance de l’événement. (mouhouh)
A cette époque, en effet, l’assassinat de masse des Juifs est dilué dans la masse des victimes du nazisme. Cette occultation/banalisation sera, on le sait, le terreau de l’argumentaire négationniste.
On quitte trois jours ,on revient:mêmes disputes,.es brent mir aufen hartz.je continue de prendre Wg pour Balebatisheh yden,avec mauvais caractère & exagération,mais qui n’en a pas? ma considération pour son savoir .
Bentschen lecht,je ne vois pas l’intérêt de ces mots entre vous ;le billet d’Anne-lise Roux sur RDC,le petit film primé par Lelouch,es grfelt mir.Du fond et de la classe,singulière.
bérénice dit: 24 octobre 2016 à 12 h 55 min
Tu fais partie du Rabbinat ? Alors ferme-la, ça vaudra mieux. Tu ne connais rien.
Paul,
je n’ai jamais dit le contraire. Il fait faire la différence entre l’homme bien que ce soit de plus en plus difficile dans le Monde moderne. Est ce une perte? Je soulevais le fait qu’un écrivain a besoin de certaine chose pour écrire. Par exemple Simenon, si mes souvenirs sont bons, ne lisait plus.
Entre l’homme et l’artiste
Non, pas du tout !
Le terme Shoah est le mot qui désigne un événement central de l’histoire du monde au XXè siècle, mais du point de vue des victimes. Point de vue qui prévaut sur celui des bourreaux dans la conscience universelle.
Laisser penser que cela ne concernerait que l’histoire du peuple juif est une ethnicisation de la Shoah, c’est-à-dire une conception raciste de l’histoire. Typique d’une ordure comme Jean !
Et comment se fait-il que vous connaissiez le tchèque ?
Clopine, mis à part quelques menus problèmes d’intendance, j’ai la chance d’avoir téléchargé ce logiciel – it- qui transcrit dans un tas d’idiomes le texte que vous lui soumettrez. I T .
Wgg,
fondateur d’une nouvelle philosophie de l’histoire. C’est intéressant de voir Paul Valéry changer d’avis à ce propos (je n’ai pas le temps de vois citer ces propos). La Nation s’est faite jusqu’alors sur l’oubli des crimes passés, mais maintenant c’est fini.
Tu fais partie du Rabbinat ? WGG. Non pas, mais je ne vous autorise pas à me tutoyer. Merci de respecter mon souhait, je ne suis pas de votre cercle comme vous n’êtes pas plus juif qu’un goy avec un père juif.
Les crimes du passé font partie de l’histoire.
On voit en Allemagne combien la conscience collective des crimes du nazisme joue un rôle crucial dans l’attitude des Allemands pour la politique migratoire notamment.
On voit à quel point la forclusion, en France, des crimes du passé, notamment en Algérie, joue un rôle énorme dans le report de ces crimes refoulés sur le jugement de bons nombre de nos concitoyens sur Israël, accusé de tous les crimes colonialistes des puissances comme la France, alors qu’il ne s’agit en aucun cas de colonialisme en Judée-Samarie.
Le tutoiement est chez moi une marque de mépris. Sauf pour ceux que je connais par ailleurs.
’il ne s’agit en aucun cas de colonialisme en Judée-Samarie
https://fr.wikipedia.org/wiki/Plan_de_d%C3%A9sengagement_des_territoires_occup%C3%A9s
Proselytisme
Merci de préciser WGG, je ne suis pas à proprement parler dénuée de sensibilité à la lecture.
@Pablo75 dit: 24 octobre 2016 à 12 h 33 min
Être ailleurs par la fiction ? c’est possible et plutôt sympathique sur un blog littéraire. Vos querelles, par contre, c’est le pire de vous tous et c’est dommage car chacun d’entre vous a des trésors à offrir mais vous ne pouvez renoncer à vos batailles et toutes les injures et les images terribles dont vous vous servez abondamment pour aiguiser colères et désir de dominer. Cela provoque à la longue une lassitude, une nausée. Nul d’entre vous n’en sort grandi. Alors lire au hasard de l’espace-commentaire quelques lignes de P.Edel, de Clopine, de Jansen, de Rose, de DHH… c’est l’approche de l’Argus… frôlant le radeau de la Méduse de Géricault avec sa mémoire de cannibalisme et de mise à mort des plus faibles, jetés à la mer. La frégate qui vous emportait pour un beau voyage a sombré, elle aussi… Lequel d’entre vous a pris le rôle de Chaumareys ?
Le tutoiement est chez moi une marque de mépris.
En cela vous rejoignez l’usage qu’en font les arabes à cette différence qu’ils se sentent familiers de tous même de ceux qu’ils ne connaissent pas. Moi non, je préfère la distance pour éviter les postillons en autres choses qui sont vecteurs de maladies.
WGG, vous avez raison.
Céline est aussi un « criminel de papier »! Mais il reflète hélas sa société .l’immédiat enorme succès de vente en librairie de ses pamphlets en est l’illustration et permet de prendre conscience des territoires de la « France moisie » de l’époque , pour reprendre l’expression de Sollers.
Tiens! A propos de Sollers, Grasset publie « contre- attaque » une discussion entre Sollers à bâtons rompus,, au café, ou dans son bureau Gallimard, avec le journaliste du « monde », Franck Nouchi. Vif , amusé, gai règlements de compte et mise en compote , contre les Bourdieu , Debray, Finkielkraut..etc.. drôle !
@ christiane
« Vos querelles, par contre, c’est le pire de vous tous et c’est dommage car chacun d’entre vous a des trésors à offrir mais vous ne pouvez renoncer à vos batailles et toutes les injures et les images terribles dont vous vous servez abondamment pour aiguiser colères et désir de dominer. »
C’est la testostérone masculine. Et le plaisir de la jute verbale. Et l’amour du langage extraordinaire des grands polémistes et pamphlétaires (Pascal, Quevedo, Swift, Saint-Simon, Baudelaire, Flaubert – dans sa Correspondance, qui est de loin sa meilleure oeuvre – Bloy, Tailhade, Léon Daudet, Unamuno, Bernanos, Céline…).
Vous connaissez les terribles polémiques publiques entre Góngora et Quevedo? Les sonnets d’insultes du deuxième contre le premier?
Vous, vous êtes sans doute trop féminine (et peut-être un poil « politically correct ») pour comprendre cela. 😉
Ce qui ne serait pas moins drôle, ce serait d’entendre le point de vue de Finkielkraut et Richard Millet sur Sollers. J’avais cru en entendre quelques bribes déjà lors de mon entretien avec Richard Millet dans le bureau de J.B. Pontalis (béni soit-il et que D.ieu ait son âme)
Paul, il ne faut pas se tromper.
L’immense majorité des Français ne sont nullement antisémites. Ce sont tous ces braves franchouillards qui ont protégé les Juifs pendant la guerre. Sur les quelque 300 000 Juifs vivant en France, seuls (mot horrible bien sûr !) 76 000 furent déportés et assassinés. C’est-à-dire qu’une majorité des Juifs de France furent sauvés par de braves Français, parfois même des Français pétainistes !
Céline ne représente rien au regard de l’histoire, sinon la frange très marginale des collabo et des salauds de toujours. À peine 10% de la population française.
Ne nous trompons pas ! Céline ne reflète rien du tout sinon lui-même.
J’en ai entendu aussi quelques bribes de la part d’une amie écrivain et traductrice, d’origine canadienne mais née à Paris, qui a publié deux romans chez Gallimard et reçu, à cette occasion, les félicitations de Sollers en personne, qui s’efforça pour la frime de parler en anglais. L’imitation qu’en fait cette amie est très drôle.
Une petite vacherie comme ça en passant…
Je crains que le purgatoire ne soit extrêmement sévère avec Sollers, qui risque fort d’y faire un très long séjour. Dans quel état en ressortira-t-il ? Dieu seul le sait…
Janssen J-J dit: 24 octobre 2016 à 12 h 06 min
Vous comprenez, mademoiselle Janssen, pourquoi j’ai de bonnes raisons de vous croire folle à lier ?
Wgg est beaucoup plus atteint que ce que je ne pensais.
excellentes les voyelles de JC par monsieur boudegras à 12 heures 15, succulentes même
@Pablo75 dit: 24 octobre 2016 à 13 h 33 min
Belle réponse sauf pour la dernière phrase où vous vous trompez sur mes raisons de fuir ces échanges brutaux. La mémoire, Pablo, la mémoire…
@ Nicolas
« Wgg est beaucoup plus atteint que ce que je ne pensais. »
Widergänger est totalement atteint.
Eh, vous allez me lâcher la grappe tas enfoirés ! Je vous emm. une bonne fois pour toute !
ML, laissez béton. Les loups hurlent et la carabine s’enraye…j’ai tant à faire dans le réel têtu, avec x, y, z (surtout y); je me demande comment on peut passer son temps & dépenser son énergie à chasser l’homme sur un blog.
Les héros de Tejpal étaient loin de Chandigarh, je crains qu’on s’éloigne substantiellement des livres etc..
JC est parti à la chasse aux CONsonnes….. uhuhuhuh
Ne nous fâchons pas pour ce détail, mais nous devons quitter l’Europe immédiatement qui installe des personnes en situation irrégulière dans la plus parfaite hypocrisie ! Puis conséquemment faire comme nos chers amis Anglais : nous remettre au travail. Le reste est bouffonnerie bobo. Paroles et papotines ridicules.
Chez Widergänger, les troubles mentaux sont gravissimes. ils sont probablement aggravés par l’ivrognerie et l’usage de stupéfiants. Je comprends et approuve les réactions de Pablo 75 , de Nicolas et de quelques autres. Cependant, la meilleure solution contre l’hystérie Widergänger est la mise à l’écart. Pas de dialogue avec le foutriquet. Pas de réponse à ses provocations à ses injures. Taper dessus, à chaque occasion, le ridiculiser, le traîner dans la fange, l’insulter bassement,décrire son avenir dans les conditions les plus catastrophiques (c’est ce à quoi je me suis employé hier) ; en somme, le cantonner et ravaler au rang d’objet de divertissement mais sans jamais daigner engager avec cette merdre sous-humaine un dialogue d’homme à homme.
En effet, Bloom. D’autant que j’écris tout en bloquant… ce qui est une expérience assez curieuse…
Monsieur boudegras, soyez raisonnable ! Si JC était réellement parti à la chasse au CONsonne, vous seriez mort.
« Par exemple Simenon, si mes souvenirs sont bons, ne lisait plus. »
« A mon âge, on ne lit plus, on relit… »
Qui a dit cela, nicolas? Peut-être bien Mauriac.
Nicolas, pardon…
D’autant qu’à lire leurs objurgations bloguesques, je les rends fous de rage… Assez drôle !
Widergänger est un danger pour le peuple juif car, chez le moindre antisémite, la tentation est grande d’instrumentaliser son cas pour tenter de justifier la Shoah. La caricature qu’il propose du Juif rend malheureusement anecdotique celle du Juif Süss.
« amusé, gai règlements de compte et mise en compote »
Voilà qui caractérise très bien un écrivain aussi superficiel et insignifiant que Sollers, dont il ne restera en effet rien. D’ailleurs, connaît-on ses tirages actuels ? L’éditeur se garde bien de les divulguer, mais cela doit tendre vers zéro.
Le commentaire de « Jean » de 15 h 31 est tout simplement à vomir.
(ce qui n’empêche évidemment pas WGG d’être fou, bien entendu. Mais ce diagnostic n’excuse en rien de tels dérapages : Pierre Assouline, entendez-vous ?)
Et Jean récidive à 15 h 35. Pierre Assouline, n’entendez-vous toujours pas ?
Gontrand,
ca vient du hors série du Monde je crois. Simenon dit qu’il a lu tout Balzac etc quand il était jeune et qu’il ne lit plus de roman pour ne pas se polluer l’esprit. Ni lecture, ni relecture. Peut être me trompe-je, je vais vérifier.
Pierre Assouline, des termes comme « merdre sous-humaine », les entendez-vous ?
(je sais, j’insiste lourdement, mais j’aimerais bien ne pas être totalement seule sur ce coup-là. C’est proprement insupportable…)
Bloom, Berguenzinc et Widergänger sont de faux Juifs qui essaient de se faire passer pour tels afin de mieux discréditer le Peuple Elu par leurs propos aberrants (ce sont des Juifs aberrants). Je suis d’autant mieux placé pour dénoncer leurs manoeuvres qu’étant Juif moi-même de père et de mère, et occupant d’éminentes fonctions à la Synagogue, j’étais bien placé pour voir clair dans leur jeu. De ma judéité, je suis en mesure de fournir, quand on me les demandera, les preuves les plus accablantes.
Clopine définitivement un Cas à Part dit: 24 octobre 2016 à 15 h 48 min
Le commentaire de « Jean » de 15 h 31 est tout simplement à vomir.
La Clopine ferait bien de faire profil bas : ça pourrait chauffer grave pour son matricule, et fissa. Encore une qui se croit à l’abri dans son trou du cul du monde alors qu’elle est de longue date repérée, fichée et ciblée. Mes amis et moi, on a tout le matériel qu’il faut pour la recadrer.
@WGG
quand je vois le tombereau d’immondices que deverse à votre encontre à toute heure celui qui signe Jean je me pose plusieurs questions
D’abord que fait Pierre Assouline ? le rôle du tenancier est de virer les trublions qui mettent la pagaille dans le lieu qu’il met à la disposition de la clientele
Ensuite qu’y a-t-il derrière cette charge vulgaire simpliste et derisoire ?
moins le plaisir haineux de vous attaquer, semble -t-il, qu’un jeu ,un defi délétère voir précisément jusqu’où il pourra aller dans cette transformation de l’espace commentaires en pétaudière sans être rappelé à l’ordre ou exclu.
Enfin sachez que je suis désolée d’avoir par une contestation polie, de bonne foi, et anodine de votre point de vue sur l’inquisition offert un prétexte à ce defoulement rageur et à ce deferlemnt de……bile
Clopine définitivement un Cas à Part dit: 24 octobre 2016 à 15 h 50 min
(je sais, j’insiste lourdement, mais j’aimerais bien ne pas être totalement seule sur ce coup-là. C’est proprement insupportable…)
C’est ça, insiste, ma grosse, aggrave ton cas : ça va péter grave sous peu pour toi, je te le garantis.
moins le plaisir haineux de vous attaquer, semble -t-il, qu’un jeu (DHH)
Comment ça, un jeu ? Si on ne peut plus exprimer fraîchement sa pensée en un lieu de libre expression, où va-t-on, je le demande à la mère DHH, dite aussi le kapo de service, où va-t-on ?
Puisque je suis aussi mal compris, moi, authentique Juif, et qui puis le prouver (à la différence de quelques autres, que je ne nommerai pas, par souci d’apaisement), moi qui occupe d’éminentes fonctions à la Synagogue, je me retire sous ma tente, dans le désert. Oui, je vais dans son Temple adorer l’Eternel !
@CDCP « j’aimerais bien ne pas être totalement seule sur ce coup-là… ».
De quel coup parlez-vous ? Celui de votre besoin de censurer un intervenaute plutôt qu’un autre, vous voulez dire ?…
Mais de quel droit demandez-vous cela ?… Vous avez des dégoûts bien sélectifs, me semble-t-il. Au nom de quelle autorité morale (à part) vous autorisez-vous au juste à demander à Passoul et aux internautes de satisfaire par procuration vos pulsions ménagères ? Contentez-vous de verrouiller votre propre blog plutôt que d’aller demander aux autres d’astiquer le leur, voyons donc ! La grandeur de la rdl est, hélas et/ou tant mieux, de laisser s’évacuer la bile de tous les salopards de la terre, à ceci près que personne ne pense aux mêmes, et on doit faire avec. Mais surtout ne rien demander à Passou qui, on le sait, s’en remet pour l’instant aux algorithmes de son robot. A moins de lui demander de fermer sa rdl une bonne fois pour toutes, mais c’est une décision qu’il sera le seul à prendre avec sa conscience. Ayez au moins le courage de le proposer, do it, plutôt que de louvoyer… Sinon, vous ne restez qu’énervante.
« Ah ! retire-toi, je t’en prie,tu me fais mal à la fin ! », me supplie Clopine. Eh bien soit. Je retire tout ce que j’ai …. Soit. Dommage. Je sentais bien qu’à la longue elle aurait fini par aimer ça.
Pour clopine 15 h 50
mon ralliement anticipé à votre souhait dans mon post de 15h 57 écrit avant lecture du votre
DHH dit: 24 octobre 2016 à 16 h 17 min
Pour clopine 15 h 50
mon ralliement anticipé à votre souhait dans mon post de 15h 57 écrit avant lecture du votre
DHH est si bouleversée qu’elle n’arrive plus à finir son vomi. Eh bien soit, je retire mon doigt (d’honneur).
Monsieur Jean, vous avez parfaitement raison il faut remettre notre Normande à un groupe de migrants aux intentions pures et au sexe enjoué…
Soyons calmes, tranquilles, modérés, mais francs : cette éprouvante DHH mérite le même sort que la Normande idiote : un groupe de Soudanais aux ambitions tenaces, assaisonnés de quelques Libyens pervers, et d’une pincée de djihadistes aux burmes pleines de ressentiment religieux. Il me semble que nos vœux pourraient être menés à bien dans chaque village gaulois, désormais, et que la sentence n’est pas si terrible.
Vous êtes toute excusée, DHH. Mais sachez désormais à qui vous avez affaire. Ce sont des voyous, de pauvres frustrés incapables de sociabilité sur un blog. Dès que Jean est venu mettre les pieds sur la Rdl, ce fut un festival d’ordures, ce n’est pas d’aujourd’hui. Ça dure depuis des années. Les deux autres homozygotes ne valent pas mieux ; ils me persécutent, me harcèlent depuis je ne sais plus combien de mois et même années. Le harcèlement est pourtant interdit par la loi sur les blogs. On n’est pas ici toujours entre gens de bonne compagnie. Il faut le savoir. Et faire gaffe à ce qu’on écrit.
Bien à vous.
Michel
A….. dit: 24 octobre 2016 à 16 h 22 min
Monsieur Jean, vous avez parfaitement raison il faut remettre notre Normande à un groupe de migrants aux intentions pures et au sexe enjoué…
C’est ce que je me disais : comme la Clopinette n’est pas très loin de Calais, pourquoi ne pas lui adresser tout un car de demandeurs d’asile dûment enfouraillés. Oh oui, ma Clopinette, offre à ces malheureux la tiédeur de ton asile !
Dès que Jean est venu mettre les pieds sur la Rdl, ce fut un festival d’ordures, ce n’est pas d’aujourd’hui. Ça dure depuis des années (Widergänger)
L’hôpital qui se fout de la charité, c’t’un monde !
Les deux autres homozygotes ne valent pas mieux (Widergänger)
Avec moi, ça fait trois, si je comprends bien ? Tu vas voir où que je vais te le mettre, mon homozigote, et sans vaseline !
Tu vas voir où que je vais te le mettre, mon homozigote (mmouôôôh)
mon homozigote … oh le biau mot valise :
mon homo zig hôte
mon homo gigote
etc.
Attention ! vous allez bientôt tous finir par être les victimes d’un rançongiciel, tellement le robot de passoul en a marre de passer pour un filtreur incapable.
Mais ayant depuis longtemps numéroté ses abatis, il se prépare à une grande offensive de rançongiciel manéger.
L’Académie goncourt n’a pas encore consacré ce néologisme augmenté, mais je préviens que la rdl ne sera pas en reste. Il s’agit en effet d’une technique de cybercriminalité qui « consiste en l’envoi aux internautes racistes d’un logiciel malveillant qui chiffre l’ensemble de leurs données et leur demande une rançon en échange du mot de passe de déchiffrement ».
Essai
cette éprouvante DHH mérite le même sort que la Normande idiote (A)
Oui ! oui ! oui ! ouiiiiiiiiii! Au bousbir, au claque, et qu’on n’en parle plus ! C’est sûr qu’à l’âge qu’elles ont, elles ne tenteront plus qu’une clientèle spécialisée, mais il en faut, il en faut !
Bon ben j’avais fait un com havec des mots bon ben faut se méfier, hein !
« Pierre Assouline ! Pierre Assouline ! Faites les taire ! Par pitié ! Sortez vos ciseaux ! Castrez ! Castrez les ! Nous n’en pouvons plus de ces malpolis ! Aidez nous ! Aidez nous ! Censure ! Censure ! … »
(Aria Les Lamentations des Foireuses, Opéra-bouffe de Valls Cazeneuve, soliste La Folle du Bray, chœur des ânes mortes)
Wgg,
vous vous donnez le bon rôle. Je n’ai pas renoncé à discuter avec vous mais c’est vous qui avez commencez à m’insulter tout en me snobant, ce qui est loin de a position d’un gentleman, d’ou mon appellation à votre encontre de « pervers narcissique », par rappel » « Le mouvement pervers narcissique se définit essentiellement comme une façon organisée de se défendre de toute douleur et contradiction internes et de les expulser pour les faire couver ailleurs, tout en se survalorisant, tout cela aux dépens d’autrui. » Désolé de ne pas être un puits de science à votre égal.
Eh bien, moi, je vais le dire comme je te le pense, tout est de la faute à l’Assouline. Car enfin, depuis combien de jours qu’on se tape la tronche au carré du Le Carré ? Hein ? ça fait si longtemps que personne s’en souvient plus. Alors, tu penses que tout le monde a craché depuis longtemps ce qu’il avait à cracher sur le Le Carré. Alors forcément, personne n’ayant plus rien à dire de pertinent, tout le monde finit par dire n’importe quoi. A commencer par moi. Tu penses que j’ai des tas de choses plus utiles et urgentes à faire qu’à débiter mes fadaises sur ce blog. Eh bien non,c’est plus fort que moi, faut que je pisse ma copie, si détestable soit-elle. Et le pire, c’est que je sais toujours pas pourquoi. Mais ce que je suis sûr, c’est que tous ces effets pervers, c’est l’Assouline qui les a permis. Et même prévus de longue date. Et qu’il s’en gondole. A nos dépens. Qué misère !
Il vient de passer dans notre village un bus bondé de jeunes gens, bien excités, recherchant de la viande blanche à consommer debout. On les a entendu chanter une chanson de circonstance :
« C’est Clopine, pine, pine
C’est Clopine qu’il nous faut ! »
Lamentable….
Allez vous faire voir ailleurs avec votre psychanalyse de bazar. Vous feriez mieux d’apprendre à lire.
« pervers narcissique » (Nicolas)
Pervers narcissique ? Vous êtes bien bon. C’est un croc gond, oui.
Widergänger dit: 24 octobre 2016 à 17 h 00 min
Allez vous faire voir ailleurs avec votre psychanalyse de bazar. Vous feriez mieux d’apprendre à lire.
Va te vautrer à la plage, eh, Dugong !
Au delà de la perversion narcissique mon cher Wgg, votre problème c’est de ne pas accepter la contradiction.
@ Pablo,
una repuesta: yo no soy espanol, sino de corazon por haber vivido, al fin de los anos 70, en un barrio obrero de Barna, Cornella de Llobregat, un barrio mas espanol que catalan, poblado de « immigrantes »…, tengo y tendré siempre una inconsolable nostalgia de mi vida con la buena gente que son los espanoles; con ellos, y ellas, he aprendido mucho, otras maneras de piensar, de ser, de ser con los otros, y tantas cosas…perdoname la pobreza de mi lenguaje, las faltas, y la absencia de los acentos y de la tilde, es que soy una calamidad con el ordenador…
Qui peut s’intéresser à John Le Carré, aux espions de l’époque, à la logique des blocs, à ce côté désuet, tweed, rêve de gloire entre initiés ! Personne. Le monde a changé plus vite que le logiciel cérébral des lecteurs. Ce n’est pas le passé embelli qui intéresse.
Dans un souci d’apaisement, j’ai décidé de retirer le qualificatif « merdre sous-humaine » appliqué à Widergänger. Certes, c’est sans aucune mauvaise arrière-pensée et, je dirais, en toute innocence, que je l’avais soumis à l’éventuel lecteur. Mais enfin, ce qualificatif quelque peu ambigu pouvait prêter à confusion. Sans compter que « merdre » relève du plagiat. Je le retire, donc. Avec mes regrais.
Paul Nizon a écrit quelque chose de fabuleux, que je vais me mettre en exergue à mon roman autofictif ; c’est dans son bouquin sur Goya :
« Es gibt Bilder, die nichts anderes als ein Ereignis sind – Bilder, die beim Betrachter einen Sturz in die tiefste Erinnerung auslösen, die Erinnerung an den erschütternden Traum, den man hatte und eben verliert; Bilder, die einer Offenbarung gleichkommen, uns in einen Zustand der Beteiligung versetzen, der mit Erleuchtung, mit Liebe zu tun hat. »
Il est des images qui sont un pur événement — des images qui provoquent chez celui qui les contemple une plongée dans la mémoire la plus profonde, souvenir d’un rêve déchirant, qui nous a possédé et qu’on a juste perdu de vue ; des images qui sont l’équivalent d’une révélation, et qui nous plongent dans un état où on participe à sa lumière, à son amour.
(Paul Nizon, Goya, 2011).
Paul Nizon est un de mes écrivains allemands préférés (Suisse allemand).
Jeanmarron, mon lathi vient de s’abattre sur le crâne d’un gros rat englué dans le piège que nous lui avions tendu. Je lui ai donné un nom.
Les mœurs changent, il n’est plus du meilleur goût d’accepter la contradiction. Flinguer d’abord, c’est bien plus naturel.
Peut-être que la vie serait trop triste, trop lourde à porter, si l’on ne pouvait pas rire un peu. Même tout seul. c’est ce que même une Clopine, même une DHH, est certainement capable de comprendre.
@ »c’est plus fort que moi, faut que je pisse ma copie, si détestable soit-elle. Et le pire, c’est que je sais toujours pas pourquoi »
On est souvent tous là derrière l’écran à s’empêcher de répondre, se ronger le frein, mais c’est plus fort que tout, tellement c’est facile… alors on succombe… et comme on se sent vil de s’abaisser au même niveau de surenchère des ordures dont nous sommes nous-mêmes capables, ce sentiment inhibiteur n’est pas suffisant pour nous interdire de riposter pour une nouvelle seconde d’éjacubilation précoce… Mais la petite mort faisant de moins en moins d’effet, on finit par trouver une autre issue : la faute à voltaire ! Tout cela est si cruellement normal. Il y a cependant quelque chose de vrai, c’est vrai ça : on a souvent remarqué que tout se reposait et se calmait un temps dès que la rdl lançait une nouvel os à ronger. C’est donc notre impatience à vouloir démontrer civiquement notre immense culture qui finit par s’aigrir et s’atermoir après un millier de carrés. Mais Passoul n’arrive pas à fournir à lui tout seul, malgré les pseudopodes de la rdl, et c’est bien regrettable 🙂
A….. dit: 24 octobre 2016 à 17 h 22 min
Les mœurs changent, il n’est plus du meilleur goût d’accepter la contradiction. Flinguer d’abord, c’est bien plus naturel.
Absolument. J’opine (de rat musqué).
Très intéressant l’entretien (Télérama) mis en ligne par Passou :
http://www.telerama.fr/series-tv/paolo-sorrentino-j-avais-besoin-de-la-dualite-de-jude-law-pour-incarner-pie-xiii,149062.php
Isabelle Poitte pose de bonnes questions à Paolo Sorrentino à propos de la sortie de la série « Young Pope » mais pas seulement. Je comprends mieux l’échange sur Céline entre P.Edel et W.
Avec mes regrais comme engrais… Il est que s’agissant de m… on fait avec ce qu’on peut…
Clopine et DHH ne rient jamais seules. Ce serait une preuve d’egocentrisme.
@Janssen J-J dit: 24 octobre 2016 à 17 h 26 min
« A force de collectionner les nids, on laisse l’imagination tranquille. On perd le contact avec le nid vivant. (…) Je soulève doucement une branche, l’oiseau est là couvant les œufs. (…) Je suis un homme qui a perdu la confiance des oiseaux.
(…) Je reviendrai demain. les oiseaux ont fait un nid dans mon jardin.
(…)
Qu’ils sont petits ! Comme c’est petit un œuf dans les buissons !
Voilà le nid vivant, le nid habité. »
(chap. IV de la poétique de l’espace de Gaston Bachelard « Le nid »
Ce blog est un nid et Passou garde des œufs d’oiseau-fou dans ce nid…
« aux espions de l’époque, à la logique des blocs, à ce côté désuet, tweed… »
La nostalgie, camarade !
17:18, JC le cauteleux dans sa cabane au fin du jardin dit : « ce n’est pas le passé embelli qui intéresse »… quelle grandeur de vue, j’ai enfin lu la phrase du siècle, youpi, joie !
JC dans les pas de Marin LP et sa vaine tentative de dédiabolisation, le problème est que ça ne prend pas, comme dirait Madame Verniglia, qui nous manque : « il pisse dans petit violon et en reçoit les gouttes, les gens rigolent »
Clopine fait de la retape pour statufier Marcel enfant à Combray…
Nous nous élevons contre l’érection
D’une statue de Proust poupon,
Que d’ignobles pigeons souilleront
De leurs acides déjections.
De toute notre âme d’aventurier de la finance, de la pédagogie tarifée, ou de la rente paisible, éternelle, amoureuse, collectionnons les imbéciles -on en trouve partout ! Ils sont les plus agréables éléments du décor de notre vie, ils mettent en valeur les modestes, les humbles, les handicapés. Bref, ils servent.
Transformer Widergänger en une victime d’une chasse à l’homme sur ce blog c’est le comble du ridicule et de l’aveuglement.
Ici le fou.teur de mer.de unique c’est lui, le provocateur constant, l’agresseur infatigable, l’insulteur numéro un. S’il partait d’ici, les problèmes disparaîtraient comme par enchantement. Il n’a qu’à faire un test: profitant de son supposé séjour à Sitges, qu’il arrête d’intervenir ici pendant 1 ou 2 semaines. Vous verrez l’effet apaisant immédiat.
Et je vous rappelle qu’en 2-3 jours seulement il a écrit ici, uniquement contre moi, cette belle litanie qui démontre bien toute sa finesse spirituelle, le fond lyrique de son âme, la délicatesse infinie de sa façon de discuter (et je ne parle que des insultes scatologiques):
-« t’es qui grosse m.. Va icher ailleurs ! »
-« Tu pues… avec des trouducs de ton acabit »
-« avec ces trois grosses m… »
-« Si je suis assis sur des chiottes, c’est pour te icher dessus. »
-« T’es qu’une grosse m… répugnante. Tu pues. »
-« les bonnes feuilles, grosse m…! »
-« d’autant plus significatif, grosse m…! »
-« c’est dire combien nos trois ou quatre m… sont »
-« les trois grosses m… qui provoquent »
-« les trois grosses m… qui parlent »
-« ces trois grosses m…. Zêtes pitoyable. »
-« Faut dire que vous faites vous aussi partie de ces grosses m…. »
-« Ti vois pas que t’es un gros c., une grosse merdre infâme. »
Après un tel déploiement de
distinction, d’élégance et de tact, il ne nous reste qu’à l’appeler, non pas Widergänger, mais Vidangeur…
« Ce blog est un nid et Passou garde des œufs d’oiseau-fou dans ce nid… »
Oui mais le pb, c’est que trop de coucous viennent y pondre indument. Et on est obligés d’y couver leurs oeufs qui produisent… des monstres qui foutent à bas les dociles oisillons.
@ de nota
C’était la bonne époque, l’époque des illusions où tout était à construire. Quarante ans après, quel champ de bataille et de ruines, combien de folies et de délires, et quel sombre avenir en perspective.
Tu suis toujours les nouvelles de l’Espagne en général et de la Catalogne en particulier? Tu es revenu à Cornellá de Llobregat?
Nous reconnaissons volontiers avec le plaignant que l’accusé n’a pas la légèreté de l’alouette.
La seule solution si on veut avoir chez nous, le bien, le beau, le bon, est d’éliminer les gêneurs comme en Allemagne, jadis . Eliminer définitivement.
à éliminer ? : t’es le premier sur la liste, JC, prioritaire
La première chose à éliminer sera l’éthique.
Monsieur Lacenaire, vous avez l’air intelligent, vous comprendrez. Si vous aviez vu dans quel état se trouve ce pauvre JC, emprisonné en clinique ! Lui qui avait exploré le Lac Léman en hiver. On lui a dérobé ses bijoux, ses Fragments d’Héraclite, la traduction en sanscrit des rengaines de Dylan, son fauteuil roulant en inox motorisé RR, son scooter rose. Nous sommes de l’eau neuronique.
Hors série Le Monde Simenon, avant propos par notre autre, qui d’autre?
Le chapeau de l’article qui nous concerne dit la chose suivante « Un écrivain est d’abord un lecteur. Simenon ne déroge pas à la règle, mais à sa facon. Il a dévoré les classiques à l’adolescence. Mais dès qu’il s’est mis lui même à écrire, il a cessé de lire des romans afin de ne pas être influencé ni perturbé. Il ne s’est remis à la lecture que vers la fin de sa vie, enchaînant biographies, traités scientifiques, revues médicales… »
Simenon lui dit « Pendant des années, j’ai dévoré de un à trois livre par jour (…). Puis soudain, vers l’âge de vingt sept ans, j’ai décidé de ne plus lire de roman, sauf de rare romans étrangers et les classiques. » Donc à priori il relisait un peu tout de même. Plus loin dans un entretien en 1963 : « Étant donné que j’ai un assez grand nombre d’heures libres tous les jours, étant donné aussi que je lis pas de roman pour des raisons personnelles, que me reste t’il à lire? »
L’expression » nid d’espions » semble indubitablement liée à Berlin.
Sur le pont Glienicke.
Nid d’espions ? Gibraltar.
J’aimais bien écouter Mr. X.
Il a un réel talent pour raconter des histoires.
Pablo75 dit: 24 octobre 2016 à 18 h 05 min
Il faut absolument lire et méditer cette décisive contribution à l’éclairage du cas Widergänger. La disparition définitive de ce nuisible du paysage de la RdL devrait rétablir une sérénité des échanges et aider une DHH et une Clopine à s’extraire d’un égarement qui les a récemment conduites à accuser une autre victime innocente des agissements du Widergänger. Oui, comme l’avouait tout-à-l’heure Clopine, Widergänger est fou, mais c’est de plus un fou dangereux et pervers. J’ai indiqué plus haut la seule mesure efficace de protection, susceptible de préserver le louable régime de liberté d’expression, dont le maintien est tout à l’honneur de l’animateur de ce blog : cette mesure est la mise en quarantaine, impliquant un refus total de communiquer avec le voyou, de citer son nom, et même d’évoquer (du moins directement) le contenu de ses propos.
Et pourquoi remettre 10 balles. Dans le juke box ?
Pierre Assouline ! Mon ami, mon frère, je vous en prie, je vous en supplie, je vous en conjure, n’écoutez pas monsieur Jean qui veut réduire à un souvenir monsieur Widergänger ! Nous sommes tous fous, ici bas, pourquoi lui ? Il a toute sa place parmi nous. Et je vous avoue : si j’avais une sœur, ce serait une salorpe, forcément, et je lui donnerai pour mission d’expurger l’appareil géniteur engorgé du gorille de Jérusalem pour lui éclaircir les idées.
(il n’est pas impossible que j’en loue une, de sœur, pour faire le travail. Question de prix)
@ Jean
« la seule mesure efficace de protection, susceptible de préserver le louable régime de liberté d’expression, dont le maintien est tout à l’honneur de l’animateur de ce blog : cette mesure est la mise en quarantaine, impliquant un refus total de communiquer avec le voyou, de citer son nom, et même d’évoquer (du moins directement) le contenu de ses propos. »
Mais il aimerait ça, c’est même son rêve: exhiber sa bêtise infinie sans que personne le contredise, vomir sa douzaine de con.neries par jour sans que personne lui mette le nez dans son vomi mental, dire des énormités sans aucun scrupule en prétendant en plus que si personne lui fait remarquer qu’il est dingue c’est parce que tout le monde est d’accord avec lui, etc.
Moi je crois, au contraire, qu’il faut bien montrer qu’il écrit souvent des âneries, qu’il se contredit tout le temps, qu’il dit n’importe quoi sur n’importe quel thème sans aucun sens du ridicule, qu’il abuse des copié-collé, qu’il ment, qu’il triche, qu’il ne supporte pas la contradiction, qu’il défend l’indéfendable…
Il n’y a pas de liberté d’expression si elle n’est pas totale. Le moindre interdit la tue. Les fous sont nos frères, les pultes, nos sœurs.
Je fais partie de ceux que WGG a insultés, et sans même avoir tiré le premier.
Mais si je devais écrire la liste des gens à bannir (ce qu’à Passou ne plaise), il serait loin de la tête de liste.
Que chacun fasse sa liste de Schindler et à la fin on regarde si quelqu’un n’est dans aucunes listes.
Que chacun fasse sa liste de Schindler et à la fin on regarde si quelqu’un n’est dans aucunes listes.
Les haceleurs ont repris de plus bel leur travail. Je vais finir par leur fo.utre un procès au c.l pour harcèlement.
« L’imprégnation des deux oeuvres éclate enfin au grand jour. »
Ah, enfin des nouvelles d’Arthur.
« Les haceleurs ont repris de plus bel leur travail. »
C’est une plaisanterie.
Ménon, voyons, tous ceux, célèbres, qui ont été traités d’anti-sémites, par boursouflure 1er ne sont plus là pour se plaindre.
Ou tout simplement, considérant d’où vient l’insulte, finalement, cela ne mérite pas de s’y attarder.
Une pensée pour Paul Veyne, et combien d’autres… la liste est trop longue.
Le plus virulent des dingues, ici, c’est assurément ce pauvre Pablo75, quidonne sans cesse l’impression de voir 36 chandelles ; mes commentaires le font littéralement tourner en bourrique. Faut dire que c’en est une sacrée, de bourrique ! Allez hue dia, bourrique ! (Je me marre, je me marre.)
Ah, enfin des nouvelles d’Arthur.
Avec un peu de retard, les méandres de la poste…
http://www.africantrain.org/invitation-en-bord-de-meuse-alfred-ilg-et-rimbaud
La république en échec par l’islamo-fascisme :
http://www.6play.fr/dossier-tabou-p_6188/l-islam-en-france-la-republique-en-echec-c_11612426
Belle journée!
actuellement, sur Arte, « la taupe » film d aprés john Le Carré.
Albablabla : » mes commentaires le font littéralement tourner en bourrique. »
Exactement ce que je disais hier soir. Un pauvre homme sans relief qui a trouvé de quoi s’occuper.
Lâche-moi une bonne fois pour toute gros c.nn.rd ! Tu me harcèle depuis des mois, ça suffit. Si tu continue, je vais porter plainte contre toi. Je relève systématiquement depuis des mois tous tes commentiares pour prouver ton harcèlement devant un tribunal.
Tu peux y aller mon gros, sans aucun problème, on citera tes énormités en guise de défense. Résultat garanti.
Et puis on ira chercher le proviseur de ton collège pour avoir son témoignage.
tous tes commentiares DE SAÏTAPHARNÈS , bien chûr !
Faux Juif mais véritable escroc, chacune des interventions de Widergänger sur ce blog est un outrage au Peuple Elu. Moi qui suis, par ma mère et par mon père, un Juif authentique, et qui, de plus occupe d’éminentes fonctions au sein de la Synagogue (je peux prouver mes dires à tout moment), je dénonce en Widergänger un ennemi juré des Juifs. Moi, Yehohanan (en goy : Jean), je jure de ne plus cesser de harceler le scélérat.
Jean dit: 24 octobre 2016 à 21 h 41 min
Faux Juif mais véritable escroc, chacune des interventions de Widergänger sur ce blog est un outrage au Peuple Elu. Moi qui suis, par ma mère et par mon père, un Juif authentique, et qui, de plus occupe d’éminentes fonctions au sein de la Synagogue (je peux prouver mes dires à tout moment), je dénonce en Widergänger un ennemi juré des Juifs. Moi, Yehohanan (en goy : Jean), je jure de ne plus cesser de harceler le scélérat.
sinistre piscine de pus ! lope ! cha.rogne…continue à persécuter alba et ,je te le jure, vu mon entregent, que ta vie sera un long et douloureux furoncle. Espèce de petite gouape !
un Juif authentique, et qui, de plus occupe d’éminentes fonctions au sein de la Synagogue (je peux prouver mes dires à tout moment),
hahahahahaha…comme ton pote Bernheim, sans doute !
« vu mon entregent ».
Berguen, je vous respecte mais votre entregent on s’en tape absolument. Commencez pas avec ça, vous allez devenir aussi ridicule qu’Alba.
A la limite, prêtez-lui votre esprit.
Raisonnez-le.
Écrivez ses posts.
Espèce de petite gouape ! (Berguenzinc)
Parle pour toi, sinistre individu ! Toi aussi, tu te fais passer pour Juif alors que tu n’es qu’un Goy du bas de ga du bas de gaga des bas de Lady Marion Gagame. Toi aussi tu diffames le Peuple ai lu dans le courrier des lecteurs d’une assez ancienne publication du Crif la proposition d’un correspondant de ladite publication, qui suggérait de désigner les aigrefins qui, comme toi et comme ton maître à pincer Widergänger (Wiwi pour les femmes perdues dont il fait son ordinaire) d’un néologisme assez surprenant, mais somme toute expressif : XZoupins. Si cette proposition avait été acceptée, toi et le Widergänger ne seriez rien d’autres que de sales XZoupins.
Chaloux dit: 24 octobre 2016 à 21 h 29 min
Tu peux y aller mon gros, sans aucun problème, on citera tes énormités en guise de défense. Résultat garanti.
__________
OUI, EH BIEN, C’EST CE QU’ON VERRA. T’ES PRÉVENU DÉSORMAIS.
Jean dit: 24 octobre 2016 à 21 h 58 min
complètement ciragé, le Woupin ! ma bite est bien coupée et vu mon blaze, tu ferais mieux de t’enfoncer un gode dans le trou…quant au crif, tu es si cron que tu te gourres de type !
Bon, j’arrête mes gonneries pour à’t’souère, sinon je sens que DHH et Clopine vont encore péter les plombs.
Mon pauvre Alba, commenter tes sottises et te dire que tu es un esprit malade et un mythomane n’est pas du harcèlement, c’est l’analyse d’une réalité. Si tu ne veux être ni contredit ni jugé, ouvre-toi une page Word et écris dessus, ce sera sans risque de désagrément.
Je demande à chaloux d’arrêter de m’appeler Alba sur ce blog. Je l’ai déjà interdit je ne sais combien de fois, et il continue.
Les raisons ont été invoquées :
1°) J’ai le droit à l’anonyma puisque j’emploie un pseudo;
2°) Je ne tiens pas à ce que mes élèves prennent connaissances des incessants harcèlements malveillants et orduriers à mon encontre sur ce blog.
S’il continue ce sera retenu contre lui.
Chaloux dit: 24 octobre 2016 à 22 h 07 min
Faudra le prouver devant un tribunal.
ma bite est bien coupée (Berguenzinc)
Hon Monsieuye Brindezingue, je vous saurais gré d’user d’un langage châtré. N’oublions pas que nous escrivons sur un blog de renommée internazionale et que le monde entier nous regarde. Je vous ferais simplement remarquer que question concours de coupage de, je suis votre ohm.
Alba, cela ne peut être en aucun retenu contre moi. C’est toi qui as révélé ton nom, de ton propre chef. Ce serait un délit si je l’avais divulgué. Je continuerai à t’appeler Alba.
« Faudra le prouver devant un tribunal. »
Ce sera très facile. Et puis moi aussi j’ai gardé beaucoup de tes posts, notamment ceux qui concernaient les arabes il y a quelques années. Une lecture qui fera son effet.
Ta logique ne conduira à la condamnation.
Tu prends tes désirs pour des réalités. Tu cours à la catastrophe.
Absolument pas. Et ensuite je me chargerai publiquement de ton cas, uniquement avec tes déclarations publiques. De quoi faire.
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