Le motif tapi dans le pseudonyme
Au fond, que dit-on quand on dit « Proust » : s’agit-il bien de l’homme ou plus généralement de l’œuvre ? A moins que dans notre inconscient, la personne et la Recherche ne fassent qu’une. Il en est de Proust (six lettres, une syllabe, un centimètre de graphie) comme d’autres grands écrivains. L’essai que Claude Burgelin consacre à ceux qu’il nomme Les mal nommés (348 pages, 25 euros, Seuil) tourne autour du cordon ombilical qui relie l’œuvre d’écriture au nom propre qu’elle recouvre, porte et désigne. « Les mal nommés » sonne un peu comme les « mal partis ». Le sont-ils vraiment ces auteurs en herbe qui choisissent de dénoncer le nom du père pour s’en affranchir dès lors qu’ils décident de se faire écrivains ? Ils se libèrent de leurs chaînes patrimoniales et identitaires, du moins administrativement ; car pour le reste, c’est une illusion. On reste ce qu’on naît, ce qui est encore plus visible lorsqu’on fait acte d’écriture. Simplement, en rejetant la filiation, on renaît à soi-même.
Bien des ouvrages ont été consacrés au pseudonyme, même si on attend encore celui, certainement pionnier, qui traitera en profondeur de son usage sur la toile, les forums, les sites, blogs… Il y a là un magnifique matériau en friche ; il y a cinq ans déjà, je me souviens avoir été abordé en marge d’un colloque sur le net par deux jeunes et sympathiques thésardes qui envisageaient d’étudier leurs contemporains connectés à travers leur imagination pseudonymique, avec tout ce qu’elle comporte de fantasme, dédoublement, invention lexicale, effet désinhibant… Tant de « M » qui ne sont même maudits !
Ce que montre bien l’étude de Claude Burgelin, c’est que la création de son nom de plume est le premier acte littéraire d’un écrivain « car il y transforme son nom en une fiction, en un énoncé poétique neuf. » Le nom faisant office de poteau indicateur, on en connaît qui voulurent s’en débarrasser pour n’être pas jugés d’emblée en fonction de leurs origines supposées telles que le patronyme en était le chevau-léger. Pour ne rien dire du choix que nous opérons et de la couleur que nous annonçons nous-mêmes lorsque nous nommons : dire Paul de Tarse, Paul ou saint Paul, c’est déjà prendre position. Obama ne sonne pas comme Barack Hussein Obama. On allait oublier cette vieille droite qui ne pouvait appeler François Mitterand autrement que « Mit’rand » et ainsi de suite.
Mais les écrivains ? Les exemples ne manquent pas, inutile de remonter loin: Sollers, Houellebecq Yourcenar… Leur pseudonyme participe de la fiction mythologique qui s’est élaborée autour de leur œuvre-vie, à mi-chemin entre mythomanie et mythographie. Claude Burgelin, qui n’a pas impunément enseigné la littérature comparée pendant quelques décennies à l’université de Lyon-2, a choisi d’illustrer son propos par des exemples précis en leur consacrant à chacun un chapitre exploratoire se terminant par des extraits commentés, ce qui permet de dépasser la péripétie biographique. Chacun est un cas. Marguerite Donnadieu a choisi de s’appeler Duras parce que c’était le nom d’une bourgade de Guyenne située tout près de la maison et de la tombe de son père quasi inconnu, mais aussi parce que cela la rattachait euphoniquement à la duchesse de Duras, fameuse salonnarde proustifiée, et à son mythe aristocratique. Ce qui correspond parfaitement à l’imaginaire de bâtarde qu’elle s’est échafaudée, tiraillée entre « une mégalomanie flamboyante et un sentiment d’insignifiance frôlant la haine de soi », sauf à considérer que les deux sont l’envers et l’endroit d’une seule et unique certaine idée de sa personne.
Avec le cas Michel Leiris, ça se corse car c’est sa véritable identité. Le problème vient du mensonge permanent à l’œuvre chez l’auteur de L’Age d’homme (quel livre ! aussi poignant que Les Mots de Sartre mais moins considéré, hélas) et de La Règle du jeu, tournant autour des secrets de famille relatifs à la filiation des uns et des autres. Pas facile de dépapilloter tout cela. Et ce ne fut pas qu’une exigence de jeunesse. Je peux témoigner qu’à la fin de sa vie, il m’avait demandé de ne pas révéler le secret de famille entourant la naissance de sa femme (elle passait officiellement pour la belle-sœur de Kahnweiler alors qu’elle était la fille naturelle de sa femme quand il l’a épousée) avant leur mort à tous deux.
Pour ce qui est d’Henri Calet, le chapitre des Mal nommés m’a tout appris car j’ignorais que ce fut un nom d’emprunt. Il s’appelait Raymond Barthelmess mais y avait renoncé jeune car c’est sous ce nom qu’il avait volé son employeur et qu’il risquait d’être poursuivi. La littérature lui a permis d’échapper à cinq ans de prison. Difficile après cela de relire La Belle lurette, le Tout sur le tout ou de lire pour la première fois Monsieur Paul sans garder à l’esprit l’autre identité de l’auteur. On comprend mieux sa pulsion suicidaire, sa nécessité d’en finir avec une certaine image de soi et l’assassinat métaphorique de Barthelmess par Calet. On se met autrement à l’écoute de son grain de voix.
Avec Emmanuel Bove, qui excellait dans l’art du détail touchant, on comprend qu’il ait renoncé dans l’entre-deux-guerres à s’appeler Emmanuel Bobovnikoff. Ses difficultés matérielles, liées notamment à l’exclusion, l’instabilité, le nomadisme, l’y ont poussé dans l’espoir de s’intégrer (mais ce ne fut pas le cas d’Irène Nemirovsky, qui avait des comptes bien plus âpres encore à régler avec ses origines). Claude Burgelin invite à déceler dans ses romans-miroirs Mes amis, Le Beau-Fils, Non lieu, Le piège des… pièges et des lignes de fuite. En sont-ils pour autant la colonne vertébrale ? Ce serait favoriser comme exclusif le prisme de décryptage du pseudonyme.
D’autres cas sont cités dans cet essai riche mais sans lourdeur. On n’a pas envie de s’attarder sur celui de Roman Kacew/ Romain Gary/ Emile Ajar, auteur de Pseudo, tant il a déjà suscité de commentaires. Celui de Georges Perec né Peretz également, mais sous la plume de Claude Burgelin qui en est l’un des spécialistes, l’affaire paraît plus lumineuse. Tout est ramené à l’accent : en se trompant, l’employé d’état-civil aurait pu l’accentuer ou faire redoubler une lettre : Pérec ou Perrec eut été breton sans ambiguïté. Enfant caché sous l’occupation sur le plateau du Vercors, il serait redevenu enfant cacher si on avait retiré son accent à « caché ». L’ambiguïté demeure en Perec, auteur de W ou le Souvenir d’enfance, devenu maître en dissimulation et expert dans l’art de truffer la langue française d’une langue souterraine : « Ce nom qui se cache sans se cacher va fournir comme un modèle narratif pour l’œuvre à venir. Raconter, ce sera ainsi voiler et dévoiler dans le même geste » écrit Claude Burgelin. Car c’est bien là l’objet de toute cette entreprise critique : rechercher en quoi l’écriture d’un écrivain a été modifiée dès le départ par la décision, le choix et l’invention du pseudonyme pour la signer.
Une précision tout de même, qui vaut pour l’ensemble de l’essai : tous les textes qui y sont étudiés sont des textes édités. Rien ne vient des archives ou de la correspondance, matériau souvent inédit. Ne sont traités là que des secrets à ciel ouvert. Et pour mieux faire comprendre quelle a été son attitude face à ce corpus, l’auteur renvoie au dessin dans le tapis, si visible sous nos yeux qu’il en devient indéchiffrable. Souvenez-vous, The Figure in the carpet de Henry James, en français Le Motif dans le tapis, si bien nommé…
(« J.A.. Non, ce n’est pas un écrivain ; et non, son nom n’est pas un pseudonyme » illustration de Daniel Gordon ; « Les non-dupes errent » Dessin de Minh Uong)
585 Réponses pour Le motif tapi dans le pseudonyme
J’ai écouté votre musique renato, et je suis plus que déçu. C’est tout juste bon à servir d’interlude dans un music-hall à l’entracte, le temps d’aller pisser et acheter des glaces.
Je n’aime pas être désagréable, renato, ce n’est pas dans ma nature, mais vous m’énervez avec vos rengaines vieux-jeu que tout le monde est sensé trouver extraordinaires.
Je me sens très très concernée par votre billet. Et si on admettait que le pseudo puisse être contextuel.
Vous n’allez pas vous y mettre aussi maintenant, hamlet ?
ah bon ? parce que vous trouvez que les autres ne sont pas concernés peut-être?
encore Anthropia c’est un joli pseudo.
moi à l’école les autres enfants m’appelaient omelette.
c’est cruel.
J’aime la justice, hamlet. Je veux mettre la lumière là où elle n’est pas. J’ai horreur que la face cachée de chacun demeure dans les ténèbres. Si les gens ne veulent pas s’examiner pas eux même, je les examine à leur place. C’est comme ça, il faudra vous y faire.
Non, mais quel … enfin, rien… est-ce que je vous ai demandé d’ouvrir le link, dédé ?
D. non, n’y prenez pas mal, c’était juste une simple question posée sans arrières pensées.
je demande juste : quel plaisir peut-on tirer de sa goujaterie?
c’est juste pour savoir.
mais bon si vous n’avez pas de réponse vous n’avez pas de réponse, à la limite ça ne me gêne pas quand on pas de réponse, limite je préfère même ‘pas de réponse’ à ‘mauvaise réponse’.
et si, par hasard, vous aviez une réponse vous n’êtes non plus obligé de la donner.
simon porte 17:14 : JULES BERRY… quelqu’un connait ?
D. non ça c’est une très mauvaise réponse faite à une bonne question.
je connais un peu la nature humaine et je sais que c’est une très mauvaise réponse.
comme je vous disais : dans ce cas je préfère si vous dites ‘je n’ai pas envie de vous répondre’ plutôt que donner une réponse à la noix que même un enfant de 8 ans n’y croirait pas.
D. il n’y a rien de plus flippant que ceux qui disent « moi j’aime la justice ».
sérieux ça fout les jetons, je lis ce genre de truc avant d’aller me coucher je ferme pas l’oeil de la nuit.
vous savez quoi ? oubliez ma question. on laisse tomber, c’est pas grave.
Je suis face à une énigme.
Elle concerne le roman » le Condottière » de Perec.
Voilà, il semble que ce manuscrit ait disparu.
Le traducteur anglais de Georges Perec en aurait retrouvé « des doubles dont deux copies en Yougoslavie ».
Ce livre a été publié récemment en 2012 éditions Le Seuil; je ne l’ai pas lu.
Il a été préfacé par C. Burgelin ( oui, le même).
Dans la notice wikipédia, il y a un point d’interrogation qui pose question:
« Le roman est alors remanié (?) à plusieurs reprises par Claude Burgelin(…) »
Un péracien, non animé d’un « bordel d’émotions » pourrait préciser ?
oui, pérecien, c’est mieux.
Bon puisque c’est comme cela, je préfère m’en aller. Restez entre vous, allez vous passer de la pommade sur vos blogs à droite et à gauche, allez vous encenser les uns les autres, Pierre Paul Jacques et compagnie. Allez deviser sur le monde. Je ne suis pas prêt de revenir écrire quoique ce soit ici si c’est pour être considéré de cette façon. De toutes façon tout le contenu des commentaires ici on le retrouve sur Wikipédia comme par hasard alors autant aller sur Wikipédia. Aucune pensée qui soit un peu personnelle, que des copié-collé, du bla-bla convenu. Je ne suis pas prêt de revenir, je vous le dit très franchement.
D.
Détendez-vous
http://www.youtube.com/watch?v=UTORd2Y_X6U
Excusez-moi, je m’emporte, mais c’est que j’ai eu des problèmes aujourd’hui. Je ne pense pas ce que j’ai écrit. Ou à peine.
u. désolé mais je ne parle pas aux viatiques.
sérieux, j’ai lu la définition sur wiki : un viatique ça craint grave.
ça m’aurait pas plu de me faire traiter de viatique.
sur une échelle de 1 à 10 de l’insulte dire de quelqu’un que c’est un viatique on dépasse les 10, haut la main.
Vous voyez, hamlet, c’est pour ce genre de propos que je suis venu rendre justice.
C’est tout simplement inadmissible et blasphématoire.
hamlet blasphème mais il faudrait que je me détende.
Pourquoi autant de mécréants sur ce blog ? Ce n’est pas représentatif de la population. Quelque chose a été corrompu, par qui, et pourquoi ? Pour que le Mal triomphe ? Et vous êtes fiers d’en être les suppôts ?
La chanson préférée de mon break:
On a beaucoup décrié le micro-ondes et pourtant on peut faire de la bonne cuisine avec. J’ai des recettes de poulet et de tarte au pommes qui donnent de très bon résultats.
Le problème est souvent le même : on décrie, mais sans nuancer. Moi j’aime les nuances.
Eh bien vous voyez, ça j’aime bien Chaloux, parce que ça ne se la pête pas. C’est chaleureux, franc, simple, pas sophistiqué et pourtant charmant. C’est comme ça que je suis moi-même, au passage.
Je sais que vous êtes chrétien et pratiquant, Chaloux. Je vous supplie de ne pas ouvrir de blog.
D. !
Mme SMITH
Le poisson était frais. Je m’en suis léché les babines. j’en ai pris deux fois. Non, trois fois. Ça me fait aller aux cabinets. Toi aussi tu en as pris trois fois. Cependant la troisième fois, tu en as pris moins que les deux premières fois, tandis que moi j’en ai pris beaucoup plus. j’ai mieux mangé que toi, ce soir. Comment ça se fait? D’habitude, c’est toi qui manges le plus. Ce n’est pas l’appétit qui te manque.
Si vous le faites, ce sera par péché d’orgueil.
Déjà, Chaloux, en venant ici, vous avez mis un pied dans l’enfer, et vous n’en êtes pas tout à fait conscient.
D., je ne peux pas tout faire, ouvrir un blog et ne pas l’ouvrir. Mais ne vous méprenez pas, ce sera avant tout une pénitence.
Rassurez-vous D., pas de politique, uniquement de la littérature et des musiciens. Un peu de peinture et de théologie (j’aime beaucoup l’histoire religieuse et la théologie). Je suis d’ailleurs tombé par hasard sur un ouvrage passionnant d’Annie Jaubert (1912-1980). Approches de l’Evangile de Jean, Seuil. Un livre qui ouvre beaucoup de perspectives, et pas seulement sur le sujet (tout est correspondances).
Voyez D., Chaloux parle en prenant position.
Moi aussi; c’est pourquoi, je peux vous confier que j’ai passé une bonne partie de la journée dans le voisinage des fils de Brunon de Cologne.
Et toujours personne pour résoudre l’énigme.
La dernière chose que j’ai lue de Perec, c’est « Un cabinet d’amateur » — pour des raisons évidentes je n’ai pas acheté « Le Condottiere ».
D. je suis désolé, vous avez raison, doublement raison : je ne me suis guère plus intéressé à la philosophie morale qu’à la moussaka qui comme vous le savez trouvent leur origine au même endroit.
Du coup je comprends qu’un adepte de la morale mange de la moussaka.
Vous savez, de nombreux touristes qui avaient lu l’Ethique à Nicomaque ont voulu se rendre à Nicomaque pour prendre des photos du lieu et y manger une bonne moussaka.
Ils pensaient qu’à Nicomaque la moussaka y était bonne.
Ces touristes ont traversé la Grèce de long en large sans jamais trouver cette belle ville de Nicomaque où on y mange une si bonne moussaka (cf le chap 2-2-15 d’Aristote où il fait l’éloge d’une bonne moussaka mangée entres amis).
D. vous le savez ou vous ne le savez pas : Aristote était un pseudo.
Son père s’appelait Nicomaque Roussos, son fils Nicomaque Roussos, et lui se prénommait Demis.
du coup son éditeur a préféré qu’il prenne un pseudo.
philosophie morale et moussaka son les deux mamelles de la Grèce.
je vous envie.
Hamlet, trop fort, votre ethique de la vertu.
pour le fils du père et le père du fils
http://www.youtube.com/watch?v=selfqEH-JnY
après, on peut préférer Nana.
Nana Mouskouri
indubitablement 666 avec un barbu au milieu c’est de la cabale! Constatons que vos goûts bons ou MAUVAIS ne datent pas d’avent-hier!
D. vous savez écrire à Bérénice, sans goujaterie.
Un truc sympa, pas supersticieux, ni rien ? elle a l’air à cran.
Elle croit au diable.
Une bonne leçon de mathématique, Bérénice, voilà ce qu’il vous a manqué !
Généralement quand je révèle des secrets sur l’ar*ea 51 je subis des attaques de toute part.
Je suis habitué maintenant. Mais je tiendrai bon.
Et peut-être aussi Bérénice, -je relis vos messages sur ce fil, que j’avoue avoir zappés-le manque, c’est un petit cours d’expression, voyez, du genre phrases intelligibles.
C’est français, ça, intelligibles ?
Ducornaud, en effet on a éloigné la prostitution bas de gamme des bords de la Limmat, en ville entre la sortie de l’autoroute et la gare. Les travailleuses ont à leur disposition, dans le quartier moche d’Altsteten, des garages qui sont ainsi nommés sex-box, contrôllés (des sortes de boites à chaussures de béton) par les autorités. Cela existait déjà en Allemagne, je crois à Cologne, avec de bon résultats. Les travailleuses sans véhicule sont défavorisées (prostitution venue des pays de l’Est et organisée par la mafia). Et chez vous, D.froqué, dans la bonne ville de Melun, cela se passe comment ? Je vous imagine très bien, comme partenaire du secours catholique municipal, aller distribuer des missels et des parapluies de latex aux jeune femmes travailleuses sexuelles.
des journées je compte sur vous aussi intensément que Virginia s’accroche à ses œuvres… C’est dire que le besoin se fait sentir, je ne me comprends pas non plus
Après les prolégomènes brésiliens, mon break cause avec Dieu.
Peut pas faire de mal.
toujours cette foutue erreur de l’ordi s’inscrit mais non le fautif dans le tapis .
Las Bérénice, votre Virginia ( chambre d’hosto pour elle toute seule ? du temps vécu ?) je ne la lis pas. Et ne peux vous aider.
Je ne connais pas la validité scientifique de cette étude:
http://www.ac-sciences-lettres-montpellier.fr/academie_edition/fichiers_conf/Pouget1999.pdf
Ensuite, un peu de Gaston Couté chanté par Gérard Pierron que j’ai entendu bien des fois, à Bobino et ailleurs.
http://www.youtube.com/watch?v=QSQDR_56t5I
je consigne votre document, le lirai avec attention demain_ je dois partir.
…
…je dois être moins naïf,…un peu comme J.R.,…dans Dallas,…
… » elles te disent,…je t’aime,…je t’aime,…et elles pensent,…qu’est ce que je vais te faire chier mon » amour « ,…
…
…les meilleurs coups,…doivent être les coups à deux balles,…la formation du lien sexuel,…et, tiens mon conditionnement du cerveau de la liberté d’esprit normal,…
…
…çà vient chéri,…mais attend il y à partouze à la cathédrale,…
…
…âmes chrétiennes s’abstenir,…réservé aux clercs,…c’est écrit sur le panneau,…
…ne te laisse pas embobiner c’est des gadgets d’enfants de coeurs tendances » franc – Tireurs « ,…
…nouveaux théâtre » spectacle « ,… » évacuons les tabous « ,…c’est chouette les échanges pour entrer en communion,…encore un coup de François,…pour grossir son cheptel,…
…Dallas que je te dis,…tout est Dallas tout cuit,…avec frittes et mayonnaise,…
…quel niveau,…c’est les bouchées doubles,…Ah c’est sûr,…etc,…
…
u., JC, bouguereau : le tiercé gagnant des commentateurs qui n’ont rien à dire mais aiment occuper l’espace. Les trois pseudos qui font qu’on n’a pas envie de continuer à lire ce blog.
Alors tchao.
Restez entre vous, allez vous passer de la pommade sur vos blogs à droite et à gauche, allez vous encenser les uns les autres, Pierre Paul Jacques et compagnie. D.
partenaire du secours catholique municipal
XWZ dit: 17 août 2013 à 22 h 28 min
Vous oubliez renato,D, hamlet, des journées…,chaloux!
« Restez entre vous, allez vous passer de la pommade sur vos blogs à droite et à gauche, allez vous encenser les uns les autres, Pierre Paul Jacques et compagnie. » D.
C’est pour rester main dans la main, et faire une ronde autour du monde…
« Restez entre vous, allez vous passer de la pommade sur vos blogs à droite et à gauche, allez vous encenser les uns les autres, Pierre Paul Jacques et compagnie. » D.
Un prêté pour un rendu!
pseudos amis dit: 17 août 2013 à 22 h 32 min
la ronde des speudos dit: 17 août 2013 à 22 h 36 min
Je m’excuse d’insister, vous seriez bien sympathiques de m’indiquer, si vous le connaissez de source sûre, le fin mot de l’histoire concernant le roman » le Condottière » de Georges Perec.
Je reviendrai vous lire.
u., JC, bouguereau
rhooo, les trois ténors ! qui sont 4 comme les mousquetaires, avec TKT. Ces quatre-là sont la RdL à eux seuls. XWZ n’a rien compris.
Bien sûr il y a le billet de passou, qu’on lit pour s’informer. Mais la RdL n’est pas ça. Ça vient après. Tout l’esprit du blog est dans ces quatre pseudos : JC, TKT, u, bouguereau. les autres ne sont que des faire-valoir.
et le reste, bien sûr, est littérature.
ne sont que des faire-valoir.
de qui ? de quoi ?
La mauvaise langue manque pour faire fourcher les mots consommés de la bande qui tourne en rond.
Lml, ici, fait doublement faux bond!
Porte-parole de la RdL dit: 17 août 2013 à 22 h 44 min
Porte parole de qui?
Qui vous a fait roi de votre affirmation dérisoire?
Portez-vous tout seul et portez-vous bien, hein!
Pour le Perec, il est à noter que le personnage s’appelle Otto Kurtz, du nom d’un des principaux dépisteurs du faux en art au XXeme siècle.Ce que la préface ne signale pas, mais qui fait sens dans un livre qui tourne autour d’un portrait,quelque inabouti que soit par ailleurs le manuscrit de Perec.
Bien à vous.
MC
On nage dans le pseudomite en ces temps ouvert sur la modernité ! Je vais changer de pseudo. J’ai choisi : ce sera H.R.R.
Vraiment HRR, ça me plait beaucoup ! Un hommage appuyé à un hermaphrodite aphrodisiaque erdéelien célèbre.
Qu’est ce que ça veut dire HRR ? Elémentaire mon cher Watson : Héroïque Roudoudou Rataplouf !
Un pseudo qui m’ira bien…
Merci M. Court.
Cette étrange histoire du manuscrit perdu, dont Georges Perec a certainement laissé des traces sous une forme ou sous une autre, retrouvé de manière étrange, et réécrit, et édité.
Voilà qui ne manque pas de sel pour quelqu’un qui avait l’obsession du faux.
« Madera était lourd », dit Gaspard Winckler, faussaire, qui traîne dans les escaliers le cadavre de son bienfaiteur, Anatole Madère, à qui il vient de lui trancher la gorge. In « La Vie mode d’emploi », Winckler copiait les aquarelles peints par Bartlebooth lors de ses voyages — pour en faire des puzzles. D’ailleurs Gaspard Winckler revient traîner sur les pages de Perec deux ou trois fois. C’est clairement un personnage qui n’a pas été résolu, et qui ne sollicite aucune curiosité ; en outre, la lecture de quelque page de « Le Condottiere » me laissa deux drôles d’arrière-goûts. Le premier venait de « The Recognitions », un livre sur l’art et sur le faux sous toutes ses formes, qui est de 1955 ; le second l’impression de faux que ce premier Perec dégage… C’est subjectif, évidemment, il faudrait voir le manuscrit…
Eric Chevillard, pour sa 2000e : »Passé un certain âge, nous ne faisons plus que l’expérience de la mort. »
Pas tout à fait d’accord. Golovanov (Eloge des voyages insensés), qui a vraiment écrit un livre génial, mais que j’avais malencontreusement laissé à Paris, lui expliquerait certainement que c’est parce que dans nos sociétés l’espace a été dévoré par le temps que nous avons cette impression. Une courte démonstration à base guénonienne, très convaincante. C’est notre environnement, et surtout la ville, qui fait perpétuellement l’expérience de la mort et nous l’impose, et pas nous-mêmes.
D’une certaine manière, d’ailleurs, Rilke ne dit pas autre chose: « On dit que les gens viennent ici pour vivre; j’aurais cru qu’on y venait pour mourir ».
Le Golovanov est un livre qu’on commence par lire et sur lequel on finira par travailler.
Il est temps, levons l’ancre.
A bientôt.
(Très amusante, Morano, comme toujours. Pas de « droit d’inventaire » pour le quinquennat précédent, mais pour celui en cours commençons tout de suite.)
Extraordinairement intéressé par les conséquences exotiques de la mise au rebut du Frère Morsi, j’ai pris la tête hier matin, à l’heure de l’apéro, d’une manifestation pro-Morsi à Porquerolles.
Prendre la tête d’une manifestation n’est jamais facile. Elle est en général occupée, cette tête, par les notables, les privilégiés, les apparatchiks politiques ou religieux.
Là, ça a été facile : j’étais seul.
Le soir même, j’ai organisé une marche de soutien aux militaires démocrates égyptiens, pour avoir du monde. Succès partiel… Un Allemand m’a suivi avec sa famille : il croyait que j’allais au débarcadère de la navette pour le continent.
Je me demande si c’est bien raisonnable, ces manifestations pour les étrangers, avec ce que nous avons chez nous comme problèmes …
Camarade Chaloux,
Sacrée Morano ! Nous avons la droite, en opposition, la plus bête du monde, la gauche aux commandes la plus cloche du monde, un centre verbeux inexistant. Il ne nous reste que les extrêmes pour gouverner de façon nouvelle.
Marine Président, Mélenchon premier ministre, le facteur à l’économie socialiste, le vieux Le Pen aux anciens combattants et personnes âgées, Poutou à la Culture, Eva Joly à l’intérieur… Quel aréopage !
Bien entendu, Cécile Duflot resterait au Logement, ayant menacé de se supprimer en cas de perte de son maroquin.
AFP
Un déséquilibré aurait tenté de s’introduire chez Carla Bruni, en vacances sur la Côte d’Azur.
Une source autorisée, membre des services de protection, indique qu’il s’agirait d’un ancien président de la république.
Une cellule psychologique a été mise en place au bord de la piscine.
JC, c’est surtout que nous avons embarqué sur un navire mort. Le petit peuple d’Ancien Régime,les épiciers, les filles de joie et les reîtres aux manettes, ou qui rêvent d’y revenir. C’est toute la mythologie de notre pays qui nous saute au visage. Louis XVI et Marie-Antoinette doivent bien se marrer.
Taillons la route.
La tare (héréditaire) du pseudo, c’est qu’il réactive, quoi qu’on fasse, et même (et surtout) si on en change comme de chemise, l’immonde fatalité du patronyme (ah, ce que j’aurais aimé tuer mon père, moi alors). La vraie solution consisterait à signer tout prurit communicatif (mais quelle odieuse manie que de signaler à tout bout de chant qu’on existe, je poste donc je suis)d’un identifiant fabriqué à l’aide de lettres, de chiffres et de symboles divers, aléatoirement associés, et qui changerait à chaque fois. Par exemple :
j(àà]421nem^%???!!!::: :<<))_0
A mort l'identité
Seule une plongée radicale dans l'anonymat prénatal nous rendra la pureté perdue. Un patronyme, quel qu'il soit, sent toujours affreusement les pieds, la fesse, le mironton, le gant de toilette sûri, j'en passe et des fétides.
Il se produit avec les lectures et les préoccupations qu’elles dénotent un phénomène curieux. On peut sembler hors de l’histoire pendant des années. Tout à coup, ce qu’on a engrangé sans trop savoir pourquoi est au cœur du présent. Et ce n’est pas une expérience de la mort (cf Chevillard). C’est tout le contraire.
Comme tu expliques bien les choses, Brownnie, avec des mots, des expressions tellement superbes que je dois ouvrir le dictionnaire pour comprendre !
« Pureté perdue », ça c’est beau. Je l’utiliserai en réunion.
« Et oui, elle est perdue ta pureté ! » ça a de la gueule ! ça en jette un max ! Merci Brownnie !
Moi JB, j’ai un nom très long avec une particule(deux sous l’Ancien Régime, la première a sauté pendant la Révolution). Je ne me vois pas me balader avec ça.
Se choisir un pseudo, c’est vouloir s’engendrer soi-même. C’est réactiver Papa. Salaud. Connard. Filez-moi une trique. Tout message, toute « oeuvre » devrait être purement anonyme. je propose à Gallimard de supprimer tous les noms d’auteurs et de les remplacer par une succession de chiffres : 427866 / « A la recherche du temps perdu » ; 2256774012 / « Vits de Zob ». Ceux qui refuseront, qu’ils aillent se faire éditer chez Actes-Sud, les solitaires intempestifs, où ils voudront, mais pas dans le temple du pur message
Charles-Eugène Chaloux des Bords de Marne … je trouve ça plutôt joli ! Comparé à Jo Coule, c’est classieux …
T’en es à combien de fioles, Brown ?
Le fait est que n’importe quelle séquence (lettres ou chiffres) associée à un « objet » devient une identité… après Musil (et l’École de Vienne en musique), il est parfaitement inutile de se faire un souci pour si peu…
« T’en es à combien de fioles, Brown ? »
À 9:40 ?!
John, il y aurait bien aussi la trahison plus ou moins appuyée du nom, qui serait déjà quelque chose. J’ai pensé à vous et à Proust, mais il est vrai qu’il s’agit d’une trahison involontaire :
« Ah! c’est Bréchot, s’écria Forcheville… »
Ramener l’identité à un « index »… wouaah, les totalitaires sont de retour !
Toto a vaguement lu Musil, en se décrassant le pif, parcouru Le Cavalier Bleu d’un œil glauque, s’est pris pour Lulu en enfilant ses bas-résilles et s’en est tenu là. Grand bien lui fasse.
Mais les cours de Michel Fischer sur L’Ecole de Vienne en Sorbonne, c’était quelque chose.
@Chaloux ( 18 août 2013 à 8 h 23 min)
J’aime aussi beaucoup ce livre.
« Ce qui différencie la jeunesse de l’âge adulte, c’est que l’adulte tente de donner une cohérence à tous les évènements de sa vie. Puis , un beau jour, il se rend compte que, tel le roi sur l’échiquier, l’imprévisible le cerne et que pour éviter le mat, il doit accomplir un acte très précis. Partir sur une île, par exemple, avec laquelle rien, mais absolument rien ne le lie… » p.21
« Un jour on part en expédition pour « se trouver soi-même »(…) deux êtres différents marchent l’un vers l’autre… » (p.414)
« … wouaah, les totalitaires sont de retour ! »
Pourquoi, étaient-ils partis ? et quand ça ?
Au crétin confirmé qui fait sa rentrée : heureux de vous relire…
Ramener l’identité à un « index »… wouaah, les totalitaires sont de retour ! (THX)
L’identité aura-t-elle jamais été autre chose qu’un index ? Les identitaires à l’index !
« crétin confirmé », ça ne peut pas être Totologue qui est si imaginatif …
Si ce n’est lui, c’est donc moi qui suit visé. D’un autre côté, je le mérite ! Tout de même, la blessure ne cicatrisera jamais, avec toutes ces méchancetés confirmées…
Je vais craquer, un jour, c’est sûr.
Oui Christiane, en regardant les archives de la RDL pour voir si P. Assouline avait parlé de ce livre, j’ai vu que vous me devanciez de quatre ans. C’est un grand livre. J’ai acheté l’autre titre disponible de Golovanov (Espaces et Labyrinthes) que je vais lire aussi,- je vais chercher Le Règne de la Quantité de Guénon dans ma bibliothèque, j’ai sur ma table l’âme et la vie, composé de textes de Jung, et j’y aurai bientôt le Trevor-Battyes dont parle abondamment Golovanov, ainsi que la vie de l’archiprêtre Avvakum, paru en 1960 chez Gallimard et dont le divin et étrange hasard a voulu que je trouve un exemplaire parfait et non coupé dans une boîte de libraire fin juin. Il me semble qu’on ne peut pas en rester à une simple lecture avec lui. Il faut aller jusqu’au bout. Comme dans la vraie vie.
« Ah! c’est Bréchot, s’écria Forcheville… » (C.P.)
» Ah, c’est Forcheville, s’exclama Brichot; ça ne m’étonne pas de ce bellâtre. Comme disait ce vieux faiseur de Saint-Simon, toujours entre Court et Jardin (Pascal)… »
Merci de votre mot de bienvenue, Toto. Vous êtes toujours pour moi l’objet d’observations fertiles.
Un minimum de références, un maximum de prétentions.
C’est cet écart qui est chez vous extraordinaire.
Un grand écart.
Bravo !
« … c’est donc moi qui suit visé. »
Respirez JC, et… faite preuve un brin de modestie… S.V.P.
Il faut aller jusqu’au bout. Comme dans la vraie vie.(Chaloux)
Il arrive qu’on aille jusqu’au bout, dans la « vraie » vie ?
« … Un minimum de références… »
C’est n’est pas de ma faute si vous n’avez pas « le niveau requit »…
Renato,
pour respirer, je me doit d’être immodeste. Et je ne suis pas le seul, ici…
Il faut aller jusqu’au bout. Comme dans la vraie vie.(Chaloux)
Marrant. Je crois exactement l’inverse : ne JAMAIS aller jusqu’au bout !
Ben oui, mon grand, c’est à ça que ça sert de vivre… Sinon quoi ?
(Soit dit en passant, John Brown, en flânant sur ton blog, je dois te dire que j’ai été très ému par le chapitre de tes œuvres dans lequel tu parles de ton vieux chat. Le texte, la photographie, la légende, bouleversants. Je t’aurais embrassé sur le front. Toi aussi, tu es Chelou à tes heures, mais tu as compris bien des choses. Sois-en loué).
Parce que vivre doit « servir » à quelque chose ?!!!…
Comme vous l’avez tous compris, Le Créateur s’est réfugié à Colmar. Il y vit chichement, dans une soupente.
Du Borgès.
Pendant qu’on y est, JC, je crois qu’il y a tout de même quelque chose à en faire.
Et maintenant, le calvaire de l’A7… Juste la cinquième fois…
A bientôt,
Le Créateur est sous surveillance policière : on dit que depuis Adam et Eve, il n’aurait plus toute sa tête et qu’il commencerait à devenir dangereux…
Ah ! qu’ils sont touchants les fantasmes du crétin confirmé !
élection piège à c…! dit: 18 août 2013 à 0 h 08 min
Porte parole de qui?
Qui vous a fait roi de votre affirmation dérisoire?
Personne ne m’a fait roi, mais j’ai été élu porte-parole de façon tout à fait légitime en assemblée générale. Si vous n’y étiez pas, c’est soit que vous n’avez pas reçu de convocation parce que vous n’êtes pas un membre reconnu, soit que vous étiez trop feignant pour vous déplacer et, dans ce cas, rappelez-vous que les absents ont toujours tort.
Je confirme la régularité statutaire de la désignation du porte-parole.
Précision : pseudonymie oblige, les désignations se font sous strict anonymat, de sorte que personne ne sait qui est le porte-parole. Toutefois, la qualité de porte-parole du commentateur désigné ne saurait être remise en question.
Juste avant de partir.
Grasset offrait cette année pour l’achat de deux cahiers rouges (pour moi lettres de Baudelaire à sa famille et le Lénine de Malaparte) une réédition du livre de Fernand Gregh (dont on se souvient surtout à cause des facéties de Léautaud le jour de sa réception à l’académie française) « Mon amitié avec Marcel Proust ». Je le connaissais déjà, mais il était là et moi aussi, et je l’ai relu. Pas désagréable, de pousser les portes de ces corridors littéraires où presque personne ne s’aventure plus.
L’Age d’Or, l’autre volume de souvenirs de Gregh, commence par ces mots :
« Je crois me rappeler qu’un jour (avais-trois ans?), ma mère m’a montré de la rue de la Chaussée-d’Antin George Sand, une vieille grosse dame qui s’en revenait probablement de la République Française, le journal de Gambetta, dont les bureaux étaient situés dans cette rue ».
Le reste sera pour mon feuilleton.
Erratum.
(avais-je trois ans ?).
cabinet fantôme:
président: JC-HRR
secrétaire (chargé de l’entretien): u.
trésorier: TKT
porte-parole: bouguereau
responsable du chalet de nécessité: John Brown
attachée de presse: HR
décorateur: renato
Ai-je besoin d’ajouter qu’en mon absence j’autorise tout rdlien ayant mené de fructueuses expériences, fait de curieuses remarques, sur le phénomène Toto à user et abuser du pseudonyme « Totologue confirmé ».
Mais laissez donc tomber, une bonne fois pour toute, totologue confirmé!
Notre souverain pontife ne vaut pas une messe.
Le Bon Bergé, qui a lancé sur le sujet les meilleurs limiers du monde, vient d’envoyer un rapport au Vatican pour révision des catéchismes chrétiens qu’il juge défectueux.
Il est désormais acquis que le premier mariage gay a eu lieu tout de suite après l’affaire de l’arbre de la Connaissance, entre Adam et Lévy, ce dernier se faisant passer pour une femme, H’ava !
Leurs enfants furent achetés au Marché aux Esclaves galactique, en dehors de la Terre. Notre ami D. sait où, exactement. Càd à trois minutes/lumière près, pour être précis.
Une précision sur l’organisation remarquable proposée par hephep à 10h55 :
Le secrétaire U. est chargé de l’entretien exclusif du Président et des sols. Les membres du cabinet s’entretiendront eux-mêmes tant ils sont polytechniciens et compétents …
Mais qui est ce « crétien confirmé » dénoncé par le pontife?
Une question demeure pour moi, sujet de conversation pour la longue route d’aujourd’hui. Dois-je autoriser la publicité sur mon blog? Je répondrais volontiers « non ». Mais je répondrais aussi volontiers « oui ». Proust et la colle à dentier, Yourcenar et les crèmes glacées, Homère et les croisières à trois balles, ceci me tente furieusement.
la pipe au papa du pape qui pue (Prévert) dit
La pipe au papa du pape Pie pue.
Ne bousillons pas les classiques.
Proust et la colle à dentier, Yourcenar et les crèmes glacées, Homère et les croisières à trois balles, ceci me tente furieusement. (Chaloux)
J’ai expérimenté.J’attends toujours mes trois balles.
JB, Mme Chaloux pousse des cris (cris d’impatience – A quelle heure on va arriver?- et d’indignation).
ce sera « non ». Je tiens à son estime.
Elle est venue, elle a vu, elle a vaincu.
Chaloux dit: 18 août 2013 à 11 h 18 min
Une question demeure pour moi, sujet de conversation pour la longue route d’aujourd’hui. Dois-je autoriser la publicité sur mon blog?
Euh, je ne voudrais pas détruire vos illusions, Chaloux, mais pour avoir de la publicité sur un blog il faut que celui-ci soit très, très fréquenté…
« secrétaire (chargé de l’entretien): u. »
Pourquoi pas?
Certes, passer l’encaustique à genoux provoque des épanchements de synovie.
Ça permet malgré tout de méditer de manière non idéaliste sur Flaubert et Félicité.
Chaloux dit: 18 août 2013 à 11 h 18 min
C’est une très bonne question Chaloux.
Avant de repartir quelques jours-vers d’autres aventures, hautes en couleurs- il faut aller jusqu’au bout de cette histoire d’identité.
Outre les pseudos tous plus déjantés, amusants, pénibles, surprenants, les uns que les autres, que l’on trouve ici, autoriserez-vous, comme P. Assouline le permet sur son blog, des adresses de contact mail invalides ?
Cette étude des deux jeunes sympathiques thésardes -dont on n’aura jamais le teneur ?- me fait penser quelquepart à l’usurpation.
Usurpation de pseudo sur le net.
Et bizarrement dans la vie, je ne dirai pas: réelle, mais: civile ?
Je reviens à quelques exemples (c’est parce que je viens de lire un truc du même genre dans le journal):
Nesrine : elle vit dans la peur constante d’être interpellée à la place de son usurpatrice.
Depuis 2 ans, Nesrine s’est rendue compte qu’on avait usurpé son identité pour ouvrir un compte bancaire. Elle est aujourd’hui fichée banque de France et elle vit dans la peur constante d’être interpellée à la place de son usurpatrice.
Dominique : cette histoire a fait exploser son couple et l’a rendue dépressive.
Depuis 14 ans, Dominique est victime d’usurpation d’identité. Une autre femme utilise son nom et son prénom. Cette histoire a fait exploser son couple et l’a rendue dépressive.
ps: dites Fernand Gregh, c’était un précoce ou quoi ? Non parce qu’il avait effectivement 3 ans l’année où George Sand est morte. Et pour avoir des souvenirs de cette qualité, à cet âge-là, chapeau !
Caillebotte l’a dit : les épanchements de Sidonie… terribles !
« Dominique : cette histoire a fait exploser son couple »
L’auteur de cette métaphore a du sang sur les mains.
Sur la pub, je plaisantais, il n’y en aura pas. Et je vous avouerais que je ne tiens pas à ce que mon blog soit « très très fréquenté ». Pas davantage que je ne tiens à l’être moi-même.
Pas d’envahissement inutile.
Et pour avoir des souvenirs de cette qualité, à cet âge-là, chapeau ! (rédigé par des journées entières dans les arbres)
Bah, John Brown a même des souvenirs de sa vie intra-utérine.
Une des solutions Chaloux: un blog sans commentaire.
C’est pour cela qu’il faut admirer l’endurance de P. Assouline.
Dites, Chaloux, vous avez vu l’heure ? Allez, en route, vite ! Vous allez encore être dans les bouchons.
gros encombrements sur l’A7.
Chaloux aura du mal à rallier le camping de Palavas avant la nuit.
@des journées entières.
Il me semble que j’ai des souvenirs de mes trois ans (peut-être confortés par ceux des années suivantes), ça ne me parait pas impossible. Si j’essaie de remonter le temps, avec toute la prudence que cela suppose, je suis plutôt étonné par la qualité de ce que le tout petit enfant enregistre. Ce regard pas encore embringué dans les complications et la absurdités de l’adolescence et de l’âge adulte, et finalement très juste. Ce n’est peut-être qu’assez tardivement, quand le rapport à la vie cesse d’être de dévoration pour devenir autre chose qu’il devient possible de s’en rendre compte.
Le déjeuner est prêt, les clefs sont sur la porte.
A bientôt,
Dommage, Chaloux, j’ai mis au point un liquide inflammable extraordinaire, j’aurais bien fait un peu de pub chez vous sur ce produit miracle !
Nos tests en réel, ces deux derniers jours, sur les 50 églises coptes, ont donné de merveilleux résultats !
Vous rendez vous compte du marché potentiel ? Eglises, Synagogues, Mosquées, Temples protestants, Temples sikhs, Temples boudhistes !!! C’est la fortune assurée…
« … autoriserez-vous, comme P. Assouline le permet sur son blog, des adresses de contact mail invalides ? »
Faut voir, ici, si je tâche de mettre en ligne avec mes mail valides le système refuse mon commentaire.
Chéri, je crois qu’on a un pneu à plat. Appelle ton beau-frère pour qu’il nous aide à changer la roue.
Merci Bison, devant l’ampleur de cette terrifiante marée inhumaine, on vient de décider pour aujourd’hui de se contenter de rallier la Bourgogne, par mon itinéraire perso, sans un mètre d’autoroute. Une petite promenade de 200 km dans la campagne. On fera le reste demain. Rien ne presse.
Il suffit de dire « facultatif » à côté de la mention « adresse de contact ». Celui qui ne veut pas être contacté ne met rien, et puis c’est tout. Beaucoup plus facile que d’inventer un faux e-mail chaque fois.
Nos hommages Madame Chaloux!
Vous avez un mari bavard…
Bon, je peux venir vous aider dans la cuisine?
@des journée entières.
Pas de commentaires, cela va de soi. S’il y en a, les commentaires se feront ici. Ha ha ha !
Pris les mains dans la farine, pseudo mis à part!
Détrompez-vous, dans la vie il est très silencieux.
Ceci dit, le déjeuner n’est pas prêt.
Continuez à vous amuser…
Il y a la part du pauvre pour pseudo mis à part…
En politique aussi, la prolifération de la pseudo-pensée se fait au travers de clichés et de métaphores.
« Prié de préciser le sens de cette formule, Jean-Luc Mélenchon lève toute ambiguïté : « Madame Le Pen est à deux doigts de gagner son pari.
À deux doigts, pas un ni trois. »
» Non seulement, elle a séduit la plus grande partie de la droite mais elle a aussi contaminé Manuel Valls ».
On est dans le micro-, le virus, la bactérie.
« Or, c’est lui qui donne le ton au gouvernement. »
Un gouvernement est un orchestre, un ministre de l’intérieur est un type avec un énorme diapason.
« Voyez comment il a pollué une partie de l’été avec la question du voile. »
On est dans l’écologie, les miasmes, les déchets…
« Les musulmans dans notre pays font l’objet d’une stigmatisation insupportable. »
C’est l’oecuménisme: un sectateur d’Allah est mis en croix.
« Lui a décidé de manière cynique d’utiliser cette situation malsaine pour installer son personnage : un dur et violent qui chasse sur les terres de Madame Le Pen ».
C’est sexe.
Un lepénis dur et violent braconne sur un corps de femme.
Que de motifs dans ce malheureux tapis.
« Beaucoup plus facile que d’inventer un faux e-mail chaque fois. »
Mon faux e-mail est accepté depuis quelque mois déjà. Bon, c’est vrai que nous sommes des fictions, voyez mon crétin adoré qui a cité Borges…
Bah, John Brown a même des souvenirs de sa vie intra-utérine. (Pépé le roulier)
Ce qui prouve que je pensais avant de cogiter, donc que je savais que j’étais avant d’être né. Donc l’ami René s’est planté dans les grandes largeurs. Lire à ce sujet les pages imbranlables, jargonnesques à souhait, mais très convaincantes de Jean-Marie Schaeffer dans « la fin de l’exception humaine »
Madame Chaloux s’active dans sa cuisine, c’est certain..je le confirme!
Calamars à la romaine (maison, fabriqués hier) salade de riz, tasse de thé vert et en route.
« Les musulmans dans notre pays font l’objet d’une stigmatisation insupportable. »
Il faut dire que d’être traité de chien ne me gêne nullement : j’aime les chiens… Ce serait d’être traité d’humain… compte tenu de l’idée que certains se font de l’humain… qui me gênerait.
Attention, le thé vert empêche la synthèse du fer…
Chaloux, mais pour avoir de la publicité sur un blog il faut que celui-ci soit très, très fréquenté…
« il plaisantait il n’y en aura pas »..cheuloux t’as un humour de baron cocu..ta femme devrais te faire mettre des cornes de cerf au 4 coins de la volvo pour fermer le clapé à ceux qui discutent tes titre de noblesse..laotseu aprouverait
laozi..pardon zouzou..mais chus qu’un croquant
Ce qui est curieux et si bon, c’est qu’une journée un peu grise d’août qui promettait d’être assez contraignante et pénible, se transforme en cinq minutes de conversation et un coup de téléphone, en une journée de flânerie paresseuse, presque de contemplation. Un miracle.
Dōgen aussi
Respire bouguereau, respire…
(Soit dit en passant, John Brown, en flânant sur ton blog,
..c’était le mot d’ancien régime pour espionnage industriel
Chaloux dit: 18 août 2013 à 12 h 01 min
Ah, Chaloux, j’ai des souvenirs merveilleux ( récents, l’an passé) d’un château en Bourgogne.
Le châtelain avait tout fait lui même, de la piscine à réfection de toiture.
Et quelle douceur de vivre.
Il m’a proposé le 06 d’un ancien ministre de l’Education nationale et de la Recherche.
J’ai dit non merci.
J’ai regretté.
n’empêche c’est terribe quand même jean marron..désirer de la pub sur son site c’est la dernière preuve d’immodestie..un chalenge de duc et de duchesse qui saime jusqu’à la mort au moins..
t’as dl’ambition cheulou?
..il a fuit a varenne..son profil est pas sur les euro alors il peut courir..la démocratie sur les petites routes de france ça a du bon cheulou
Le Boug, Montherlant te dirait qu’il n’y a en France que neuf ou dix familles qui soient authentiquement nobles.
Le reste est plaisanterie, hochets pour hobereaux à tourelles (ils existent encore en grand nombre, disséminés dans les bocages).
Chaloux, c’est très juste.
Il faut en revenir au motif dans le tapis.
Connaissez-vous une famille noble qui aurait une armoirie du mont Ventoux ?
(c’est un truc d’initiés passouliniens)
Si c’est pour écrire de telles bêtises, Chaloux, je vous implore de ne pas ouvrir de blog.
Parlez-nous de la « synthèse du fer », renato.
Cela m’intéresse.
je vois que tu es dévoré d’ambition cheuloux mais que tu la caches sous un compost sain et bien décomposé, labelisé bio..jean marron avec son chalet..c’est moins sur
je vois que tu es dévoré d’ambition cheuloux mais que tu la caches sous un compost sain et bien décomposé, labelisé bio..jean marron avec son chalet..c’est moins sur
Non le Boug, aucune si tu parles en terme de « réussite », je m’en fous. Mais quant à faire certaines petites choses qui me tiennent à cœur, à aller où je veux aller, avec qui je veux et comme je veux, oui j’en ai encore. Je me suis laissé enfermer (et encore avec une certaine distance dont je recueille maintenant le fruit) pendant vingt-cinq ans dans une société qui ne mérite pas qu’on lui adresse un coup d’œil. Je ne recommence pas.
tais toi dédé ! la france depuis le gothique c’est le berceau du désir irrépressibe d’entreprende..vade rétro
Le Boug, tu es un emmerdeur, mais tu ne manques ni de profondeur, ni d’intuition, ni d’à-propos, et tes questions (quel été !) me sont utiles.
va cheuloux..et aprés avoir trouvé la dame n’oublie pas le saint patron pour mettre ta maison sous les meilleurs auspice
Les astres ne sont pas favorables à renato aujourd’hui. Je ne devrais pas lui dire, mais je fais une exception parce que c’est un camarade.
@ des journées entières.
En fait de château, je me souviens avoir visité il y a plus de vingt ans un petit manoir placé sur le chemin de Compostelle et présenté comme une « demeure alchimique », – c’était du côté d’Arcy-sur-Cure ou tout près. ce manoir était la propriété de la fille de Jean de la Varende dont le le mari, personnalité visiblement singulière, assurait les visites. La Varende ne signifiait pas grand-chose pour moi à l’époque, mais c’est un nom qui a pris du poids depuis : son Guillaume le Conquérant, son Saint-Simon etc.
Vous avez les mauvaise dates Dimitri… enfin, peut être les bonne mais sans la précision requise… (heure, minutes… lieux exacte…)
« va cheuloux..et aprés avoir trouvé la dame n’oublie pas le saint patron pour mettre ta maison sous les meilleurs auspice »
C’est beau comme Uranus, bouguereau.
« Passez-moi Astyanax, on va filer en douce.
Attendons pas d’avoir les poulets à nos trousses.
Mon Dieu, c’est-il possible. Enfin voilà un homme!
Voulez-vous du vin blanc ou voulez-vous du rhum? »
« Racine, pour le fait, c’est un peu mézigue. Naturellement que je ne vais pas me comparer à un homme qui a écrit trente ou quarante mille vers, moi qui n’en ai encore que trois, mais lui aussi a commencé par le commencement. Hier soir, justement, j’étais bien parti. Du train où j’y allais, j’en serais peut-être à mon quinzième vers aujourd’hui, si j’avais su me retenir de leur envoyer leurs quatre vérités, à ces cochons-là. Mais allez donc travailler quand vous attendez les gendarmes. A l’heure de maintenant, un poète, on vous le flanque en prison avec les satyres et les assassins. Et rien à boire. Eh bien, moi, leur prison, je n’y retournerai pas. »
Faut voir, il y a des machines à faire des vers…
Bon, rien à boire c’est évidemment une punition…
Cette histoire de « la synthèse du fer » a mis Madame Chaloux en transe (elle a des actions dans la sidérurgie).
Finalement, nous décidons prudemment de boire un café.
Merci Toto.
Les astres ne sont JAMAIS favorables à renato
Pauvre Toto, se présenter comme le démiurge, et finir par être un sujet de plaisanterie que tout le monde se repasse. Quel destin… Et il continue de venir.
Incroyable.
« je recueille maintenant le fruit »
Qu’est-ce qui a changé récemment (cet été) dans votre vie Chaloux ?
Pourquoi D. ne voulez-vous pas que Chaloux ouvre son blog, vous regrettez le votre du temps où vous signiez Dexter et pour lequel j’ai posé nu ?
Ouais…
En tous cas, solidarité totale entre Uh Uh et Toto.
Surtout pour Léopold Lajeunesse ! Depardieu l’avalait d’un coup, la bouteille, je me suis demandé si c’était vraiment du vin. Pas impossible…
Bof, mon crétin chéri, si c’est de votre niveau les passages, je ne me fais pas de soucis…
Chaloux, j’ai eu à visiter aussi.
Le dernier en date, c’était à l’occasion d’une teuf entre anciens élèves.
Et j’ai « atterri » dans une demeure des descendants d’Honoré d’Urfé.
Cela va vous étonner, peut-être; j’ai mis cela sur le compte de la République.
Mais, vous ne connaissez pas de nobles qui auraient queLque chose à voir du côté du Mont Ventoux ?
Rien n’a changé, strictement, Jacques, mais tout. Je me suis donné beaucoup de temps, loin de -presque- tout.
A ce propos, je médite une chronique sous forme de lettre qui vous serait adressée. Il faudra me dire si vous m’autorisez à citer votre nom.
Si j’ouvre un blog, ce sera surtout une contrainte pour m’obliger à préciser ma pensée sur certains points. Pour moi-même d’abord. Du travail, pas du bavardage.
Pendant que je vous écris, délicieux parfum des buis.
Le Boug, tu me rappelles quelque chose que j’ai lu il y a un quart de siècle, peut-être dans le Journal de la femme de Tolstoï.
Elle dit a peu près à ses enfants : « les seuls moteurs de votre père a été l’orgueil et l’ambition. »
Dans tout ce qu’on entreprend, il faut accepter une part d’ombre.
ont été
« délicieux parfum des buis. »
J’aime beaucoup aussi mais il faut y reconnaitre un fond d’odeur de pipi de chat !
Pour mon nom, no problème, mais pour votre blog prenez soin de vous, la convocation des fantômes est souvent éprouvantes…
éprouvante
Chaloux, savez-vous que par ambition on peut se convertir ?
Je vous dis cela, car je viens de relire une étude très fouillée de Samson.
Samson, vous ne le connaissez peut-être pas, mais il ne lâche rien. Jusqu’au bout.
Ah ! mon crétin chéri, à propos de l’École de Vienne, comme référence, Hermann Scherchen via Luigi Nono, ça peut aller ? Oups ! vous savez qui était Hermann Scherchen… n’est-ce pas ?
« Je me suis laissé enfermer (et encore avec une certaine distance dont je recueille maintenant le fruit) pendant vingt-cinq ans dans une société qui ne mérite pas qu’on lui adresse un coup d’œil. »
Afflelou ?
Optic 2000 ?…..
Point de fantômes, Jacques, il n’y sera absolument pas question de moi, mais des écrivains, des poètes, des musiciens, des peintres auxquels je m’intéresse. Une sorte de synthèse, que j’éprouve le besoin de mettre en place, avant peut-être de passer à tout autre chose.
Quant à ce qui est éprouvant, tout est épreuve (« tout est douleur » dit le Bouddha »).
Sur ce, café bu et Gustave dans sa boîte, il parait qu’on s’en va.
A bientôt,
Si Chaloux ouvre un blog…..
>Si Chaloux ouvre un blog…..
Ce sera le bienvenu car il y a pénurie de blogs humoristiques.
Si c’est un blog au comique lourd, je m’y rendrai d’un pas léger …
« il n’y sera absolument pas question de moi, mais des écrivains, des poètes, des musiciens, des peintres auxquels je m’intéresse. »
Comme Paul Edel, mais sans les commentaires et plus théologique et musical, alors ?
Sur ce, café bu et Gustave dans sa boîte, il parait qu’on s’en va. (Chaloux)
Si j’ai bien compris, quand la famille Chaloux part en vacances, pendant que Monsieur pianote sur son ordi, qui c’est qui se tape tout le boulot ?
Comme Paul Edel, mais sans les commentaires et plus théologique et musical, alors ?( Jacques Barozzi)
En moins conpassé certainement aussi.
C.P. dit: 18 août 2013 à 13 h 14 min
Je ne résiste pas, c’est excellent:
http://www.youtube.com/watch?v=fqsEmAbl1zI
C’était le temps où Depardieu…., hein.
Ne serait que pour emmerder dédé… voilà :
…
…ces discours qu’est ce que c’est fade, sans sels,…sans épices,…sans imaginations,…
…
…en plus sur les pseudos pis-aller,…
…
…demain,…2,…les colonnes d’Hercule,…
…le Zob de l’oncle Sam,…l’€ure de Hans & Gretel,…le Chaudron espagnol,…
…l’état c’est moi,…les Rois made of Atila,….Consortium à Gengis-Khan,…porte à porte les bretelles des jarretelles,…jamais seul à deux mains,…etc,…
…l’ère des con-combres,…les hôtesses en boîtes,…
…etc,…
« porte à porte les bretelles des jarretelles,…jamais seul à deux mains,…etc,…, …les hôtesses en boîtes,… »
Ça va faire rêver nos anciens.
Chaloux un problème constant se pose dans mon pré carré, je n’ai jamais été fichue de reconnaître mon mari pourtant des témoins affirment m’en savoir un, dois-je puis-je m’identifier à cette femme qui vous accompagne sur la route des vacances? Si oui cela vous dérangerait-il de donner votre exact signalement à la gendarmerie qui me renseignera sur vos qualités physiques pour commencer ensuite je pourrais songer à m’engager, en fait cela aussi pose problème je trouve l’autre quel qu’il soit embarrassant et de conclure que si c’était ni vous pour moi ou moi pour vous un grand possible resté ouvert s’allierait au soulagement d’une perspective totalement dégagée.
Qu’est-ce que c’est que cette histoire de mari, Bérénice ? J’espère que vous n’avez pas connu d’autre homme en dehors de moi !?
je tente l’autopsie pour identification des corps! l’un souffrait d’un méga-colon l’autre succomba à un infarcissement massif de la tomate( cerveau en langage sub-prolétarien)
renato, comprenez-bien que je suis au-dessus de tout emmerdement. J’ai passé ce cap depuis si longtemps déjà… Quand je vous fais des remarques sur vos goûts, c’est pour vous que je les fais, seulement pour vous.
Vous écoutez une musique où la mélopée médiocre est masquée par un rythme. Il s’agit d’une musique que je qualiefierais d’inférieure or comment un être supérieur comme vous peut-il écouter une musique inférieure ? Écoutez-donc un peu de Shchubert où nous trouvons rythme de qualité accompagnant mélodie de qualité, avec en plus profondeur et plénitude.
ht*tps://www.youtube.com/watch?v=F5LcRIcZEnE
JB : le ton compassé chez Paul Edel ? le poins qu’on puisse dire, le plus qu’on puisse rire… avec MCourt en prime
Vous êtes touchant D., et puisque vous avez des goûts si chics, élégants, côtelette :
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