Le prix Nobel de littérature consacre l’oeuvre d’Annie Ernaux
En proclamant hier la romancière Annie Ernaux, 82 ans, lauréate du prix Nobel de littérature 2022, l’Académie suédoise a justifié son choix en soulignant « le courage et l’acuité clinique avec laquelle elle découvre les racines, les éloignements et les contraintes collectives de la mémoire personnelle ». Celle-ci a aussitôt répondu en évoquant « l’honneur » qui lui était fait et la « responsabilité » qui lui en incombait. Accessoirement, Jean-Luc Melenchon a tweeté :
« On en pleure de bonheur. Les lettres francophones parlent au monde une langue délicate qui n’est pas celle de l’argent ».
Laissons-le à ses larmes extra-littéraires mais il n’en est pas moins vrai que l’écrivaine n’a jamais dévié de sa ligne dans son soutien à la France insoumise, aux Gilets jaunes, au port du voile, aux Indigènes de la République, au boycott d’Israel etc Sans la moindre nuance ni le moindre souci d’entrer dans la complexité à la manière d’une inconditionnelle. On connait pourtant des militants de LFI moins naïfs, dotés d’un plus grand sens politique et qui n’ont pas abdiqué leur esprit critique, lorsqu’ils jugent l’action ou les déclarations de leur lider maximo autoproclamé. Toutes choses qui demeurent étrangères à Annie Ernaux lorsqu’elle s’exprime hors de ses livres, en citoyenne. Dominants d’un côté, dominés de l’autre. Il n’y a pas à en sortir. Deux parallèles qui ne pourront jamais se rencontrer, se croiser. Comme s’il s’agissait d’un absolu moral et c’est bien de cela qu’il s’agit. Aussi radicale dans ses prises de position (demandant et obtenant la tête de l’écrivain Richard Millet) qu’elle ne l’était pas dans son oeuvre, du moins sur le plan formel car celle-ci n’en est pas moins violente dans ses dénonciations mais avec le ton Ernaux, factuel, minimaliste, d’une exceptionnelle économie lexicale, pas un mot plus haut que l’autre.
Pour en avoir parlé avec quelques piliers du milieu littéraire en Europe ou aux Etats-Unis (notamment en Espagne lorsqu’on lui a remis en 2019 le prix Formentor), j’ai été frappé de constater que pour la plupart, ils ignoraient tout de ses prises de position politiques et autres, hors de ses livres. Cela n’a rien d’étonnant car il en est souvent ainsi. Un exemple parmi beaucoup d’autres : autrefois, les Français adoraient les romans et les nouvelles de Kipling sans rien savoir de ses opinions politiques ultra-conservatrices qui paraissent régulièrement dans ses tribunes du Times ; c’est d’ailleurs toujours le cas de nos compatriotes lorsqu’on leur parle de Stefan Zweig qu’ils idolâtrent de longue date et qu’ils découvrent, effarés, son attitude « fuyante » vis à vis du nazisme. Au vrai, les motivations profondes des jurés du comité Nobel sont insondables- et nul doute qu’ils ne répondront pas à tous ceux qui leur reprochent déjà d’avoir cédé à l’air du temps en ce cinquième anniversaire de#MeToo. L’an dernier, en marge de la cérémonie monégasque où nous lui remettions le prix Prince Pierre de Monaco pour l’ensemble de son oeuvre, je lui ai demandé lors d’une conversation informelle si depuis le temps qu’elle avait quitté Yvetot, rien ne l’avait fait dévier de cette ligne.
« Je n’en dévierai jamais. Prenez-le comme vous voulez, peut-être comme une culpabilité que le temps ne peut entamer, mais c’est ainsi : jusqu’à mon dernier souffle je persisterai à venger ma race ».
Transfuge de race à jamais. Et le reste est littérature. Et cela seul doit compter à l’heure où c’est une écrivaine au rayonnement international qui est laurée pour son influence et pas seulement sur les femmes, il suffit de lire le Cahier de l’Herne qui lui a été récemment consacré pour s’en convaincre. Je n’ai d’ailleurs jamais compris que l’on puisse décréter que certains livres étaient, comme l’on dit désormais atrocement, « genrés ». Entendez qu’ils étaient destinés soit à des lecteurs soit à des lectrices. Aux uns les récits de guerre et d’aventures, aux autres, l’univers des sentiments. Cela commence souvent dès la littérature « Jeunesse » et cela se termine place de la République où des réunions féministes de la Nuit debout sont interdites aux hommes. C’est à peine si j’ose avouer que j’ai toujours préféré Virginia Woolf à Robert Louis Stevenson, et une Chambre à soi à L’ïle au trésor, mais j’arrête là pour ne pas déclencher une polémique chromosomique.
J’y repensais en relisant Mémoire de fille par exemple, qui aggrave l’affaire avec son titre. Un livre pareil, dans le métro, un homme aurait presque envie de le lire uniquement en format Kindle afin que nul n’en voie la couverture. Vous imaginez : lui, Mémoire de fille ! Prenant mon courage à deux mains, j’ai bravé les quolibets (mais je me suis arrêté avant « République », tout de même). Et je ne l’ai pas regretté, pour celui-là comme pour La Place, Les Années, La Honte, L’Evénement, Passion simple, Mémoire de fille… Une oeuvre, une vraie, sous-tendue par une sensation du monde et un projet d’écriture. Cette voix de transfuge de classe portée par une écriture au couteau est née en 1974 mais nous accompagne vraiment depuis 1983. On l’attend, on la guette, on l’espère. On tempête les rares fois où elle s’égare (L’Ecriture comme un couteau) et le reste du temps, on la reçoit à chaque fois comme si c’était la première fois. Le cercle amical est vaste si j’en juge par l’accueil que lui font les libraires, et à travers eux leurs fidèles lecteurs, partout en France.
Donc, Mémoire de fille. C’est ce qu’on veut mais pas un roman, ni tout à fait un journal ou un témoignage. Disons un récit. Nous sommes à l’été 1958 dans une colonie de vacances de l’Orne ; en « colo », lieu par excellence de l’expérience collective de la liberté. L’auteur(e), qui quitte pour la première fois son bled d’Yvetot, son pensionnat catholique, son Bal de l’Ecole régionale d’agriculture, se souvient de sa première nuit avec un homme à presque 18 ans. Une nuit qui l’irradia durant deux ans. Son corps n’est que désir, son esprit n’est qu’orgueil, son âme veut vivre une histoire d’amour. Que sait-elle de la chose ? La première nuit de Cosette et Marius dans Les Misérables. Ce sera légèrement différent. Lui, c’était le moniteur de 22 ans, dans le civil prof de gym au lycée technique Marcel-Sembat à Rouen ; il faisait d’elle ce qu’il voulait, elle en était captive. Elle l’appelle Le Maître. L’aimer alors qu’il ne tarde pas à la rejeter la fait plonger dans sa folie au plus profond de son secret.
« Ce n’est pas à lui qu’elle se soumet, c’est à une loi indiscutable, universelle, celle d’une sauvagerie masculine qu’un jour ou l’autre il lui aurait bien fallu subir. Que cette loi soit brutale et sale, c’est ainsi ».
Par lui bafouée, par les autres moquée, elle ne vit que pour ça. Puis elle entre en classe de philosophie au lycée de Rouen, se retrouve confrontée à d’autres réalités, prend du recul, juge celle qu’elle fut juste avant, sa fuite dans la boulimie, l’éprouvant vécu de l’aménorrhée, la séparation d’avec les autres filles, en conçoit de la honte mais ne parvient pas à oublier. Tout la ramène à lui à commencer par les chansons de ce moment-là, Mon histoire c’est l’histoire d’un amour de Dalida décidément au top ces derniers temps puisqu’elle scandait également la rencontre des parents de Christine Angot dans Un amour impossible. D’en entendre l’écho lointain dans le couloir du RER longtemps après suffira à l’ébranler. C’est ça, les chansons. Plus encore que les photos. Ca vous rattrape au moment le plus inattendu et ne vous lâche pas. Pour elle, le même effet de dévastation qu’en 1958, lorsqu’elle avait vu Les Amants de Louis Malle à l’Omnia et qu’elle était Jeanne Moreau aux accords du sextuor No 1 de Brahms, jusqu’à se substituer à elle dans le lit pour y retrouver l’homme de la colonie.
Le temps a passé et elle interroge celle qu’elle fut. Parvenue à maturité de son œuvre, l’écrivain(e) a toujours pensé qu’il y aurait un trou, un blanc, un vide dans sa vie tant qu’elle n’aurait pas écrit ce qu’elle a vécu dans ce moment décisif pour son éducation sentimentale. Elle n’a cessé de tourner autour de ce point aveugle sans oser y toucher. Elle avait déjà réussi à liquider la tentative de meurtre de son père sur sa mère, puis son avortement clandestin ; manquait cette nuit-là, ciel de traîne de ce qu’elle évoquait dans Les Années. Tant qu’elle ne l’aurait pas jetée sur le papier, avec tout ce que ça a charrié jusques et y compris l’assèchement des ovaires, elle y aurait été encore incarcérée.
Une première tentative de cerner ce qu’elle appelait « le projet 58 » dans ses archives a échoué en 2003. La seconde a réussi à 75 ans, en écrivant « au présent antérieur » et en alternant la première et la troisième personne du très singulier, manière d’inventer « une quatrième personne du singulier » dans sa folle quête de la présence réelle. Des lettres qu’elle envoyait à l’époque à une amie, et par elle restituées depuis, l’ont aidé à reconstruire cette dissolution de son être et la honte qu’elle en conçut (« honte » est le mot qui revient le plus souvent sous sa plume, dans sa bouche). Des photos noir et blanc à bords dentés, prises au Brownie Flash Kodak en bakélite, retrouvées aussi. Ses lectures de l’époque juste après, les Sartre et les Camus, et bien sûr le Deuxième sexe où elle découvre sous la plume de Beauvoir que « La première pénétration est toujours un viol » ce qui curieusement ne correspond pas à son souvenir, malgré les insultes, les « siphonnée », les « putain sur les bords » entre autres.
Elle s’est si profondément immergée dans celle qu’elle fut, écartelée entre appropriation et mise à distance de son moi, que le passé en est devenu plus présent que le présent. Rarement l’incipit et l’excipit se seront aussi bien correspondus dans un récit, l’un miraculeusement en résonance de l’autre et réciproquement avec une économie de moyens, une densité, une intensité et une précision qui forcent l’admiration. Ca commence ainsi :
« Il y a des êtres qui sont submergés par la réalité des autres, leur façon de parler, de croiser les jambes, d’allumer une cigarette. Englués dans la présence des autres. Un jour, plutôt une nuit, ils sont emportés dans le désir et la volonté d’un seul Autre. Ce qu’ils pensaient être s’évanouit… »
Et ça s’achève par ces mots qui constituent sa toute première note d’intention à son seul usage :
« Explorer le gouffre entre l’effarante réalité de ce qui arrive, au moment où ça arrive et l’étrange irréalité que revêt, des années après, ce qui est arrivé ».
Tout est dit. A ceci près qu’il y a du bonheur dans cette résurrection, malgré ce qu’elle charrie comme mémoire douloureuse. On sent l’auteure jubiler. Elle s’est donnée pour mandat de raconter ça car nulle autre ne le fera. Elle assure que les femmes ne seront pas les seules à s’y retrouver, puisque toutes ont connu une première fois ; les hommes aussi. Car au fond, ce n’est pas seulement de la première nuit qu’il s’agit mais au-delà, de la honte et de l’humiliation qui sont le territoire de tous.
L’écriture blanche (ici les premières pages) ne gâte pas l’émotion, sans laquelle il n’y aurait pas de livre. Du moins pas de livre d’elle ; la langue, traitée à l’os, y est au service de l’émotion. C’est le cas dans d’autres de ses récits autobiographiques à l’ambition universelle qu’il s’agisse du viol ou de l’avortement clandestin subis à une époque où ça ne se disait pas. Annie Ernaux réussit à rendre bouleversant ce qui la bouleverse encore quand elle l’écrit car elle a su trouver la vérité de son récit : « saisir la vie, le temps, comprendre et jouir ». La fille de 58, comme elle s’appelle et se traite, est enfin désincarcérée.
Féministe, Annie Ernaux ? Lisez ce qu’en dit Michèle Perrot, historienne de la condition féminine et du monde ouvrier, interrogée ce matin dans Libération :
» C’est une grande oeuvre féministe (…) De bout en bout, son oeuvre est un grand témoignage sur la condition des femmes, sur les relations entre les hommes et les femmes, sur la vie d’une femme émancipée. Son féminisme tient aussi à la liberté qu’elle donne au désir féminin. Elle se revendique de Simone de Beauvoir dont la lecture a été pour elle une libération. Elle a toujours cherché les voix les plus modernes de son temps et elle a entendu la Grande Simone. Mais davantage que Beauvoir, qui reste finalement réservée sur le point de la sexualité, elle prend en main son corps, son désir, sa sexualité, sa beauté aussi. C’est sans doute quelque chose de très nouveau. Elle ne le fait pas de manière «érotique» dirais-je, elle ne fait pas étalage de cela, elle ne le monte pas en épingle, mais elle l’écrit avec son style à elle et sans jamais éluder aucun problème, aucun obstacle ».
(photos Renaud Monfourny, D.R. et Jean-Luc Bertini)
821 Réponses pour Le prix Nobel de littérature consacre l’oeuvre d’Annie Ernaux
Toute cette haine envers Annie Ernaux de la part de ceux qui n’ont même pas lu ses livres est pitoyable. Du pipi de chat…
Patrice Charoulet,
Voud avez parfaitement raison, à partir de 50 ans le sport est à déconseiller. Il use considérablement l’organisme, augmente les risques de blessures et de détérioration de la population. Voire d’accidents cardiaques fatals.
Marcher, faire du vélo ou de la natation à intensité modérée sont les exceptions.
Il faut cependant marcher assez vite, mais sans s’essoufler.
Ce qui est à déconseiller absolument : la course à pied, le football, et de façon générale les sports où l’on fournit des efforts intenses et répétés et où l’on court.
Risque élevé d’accident cardiaque, usure prematurée des articulations, notamment celles du genou et des vertèbres.
Marchez, mais ne traînez pas.
détérioration des articulations, pas de la population.
J’ajoute le risque tres accru de lésions ou déchirures musculaires et ligamentaires, même après un échauffement correctement mené.
Je n’ai pas lu Despente, c’est vrai JJJ. En revanche j’ai lu Ernaux, au moins trois romans et j’ai aimé « La Place », comme tout le monde…
C’est fou comme vous êtes indulgent avec les gens de votre bord (vous me répondrez: et vous?)… »conneries », « sottises »…et puis quoi encore ?
JJ-J, si j’en crois les aversions ici exprimées dont le socle est essentiellement politique, il faudrait suggérer aux libraires de modifier leur espace en regroupant -avec signalétique- les « auteurs de droite » dans un rayon et les « auteurs de gauche » dans un autre. MC, Phil, Closer, Damien, Jazzi, « l’autre », Pablo, etc. fonceraient à n’en pas douter sur le premier.
et si vous voulez manger « grec », n’oubliez pas que CergY l’a retourné!
La Morgan Library & Museum de New York ouvrira son exposition très attendue « She Who Wrote: Enheduanna and Women of Mesopotamia » le 14 octobre. Dans une série de sculptures, de sceaux cylindriques et de tablettes d’argile traduites, « She Who Wrote » célébrera la grande prêtresse mésopotamienne Enheduanna, le premier auteur nommé dans toute l’histoire de l’humanité.
« Le Morgan a fait des expositions sur Emily Dickinson, Mary Shelley, les Brontés, alors j’ai pensé que nous devrions faire une exposition sur le premier auteur connu, qui se trouve être une femme », a déclaré Sidney Babcock, conservateur de Jeannette et Jonathan Rosen et chef du département des anciens sceaux et tablettes d’Asie occidentale occidentale au Morgan, a déclaré à ARTnews . « La plupart des gens ne le savent pas. Ce n’est pas fêté. Pourquoi? Les écoliers connaissent Sappho, et elle est 1000 ans plus tard pour l’amour de Pete !
https://www.artnews.com/art-news/news/morgan-library-enheduanna-first-author-mesopotamia-1234642189/#recipient_hashed=c9d208096a0cf9890af148e732b7f0569a768fe1b915dacd51f2d2d7cda0cdd7&recipient_salt=9104f182a350ba02d2c1677141a1820e2ee708729e13c1a96f9d2604f8a6ae6a&utm_medium=email&utm_source=exacttarget&utm_campaign=artnews_today&utm_content=384784_10-07-2022&utm_term=8013446
Les hymnes d’Enheduanna représentent non seulement la première écriture d’un auteur, mais le premier exemple de la première personne du singulier. Dans un hymne, Enheduanna décrit un procès au cours duquel un usurpateur arrive, la jette hors de son complexe, la maltraite et lui offre un poignard avec lequel se suicider. Heureusement, la déesse Inanna la sauve et elle lui dédie la chanson. Un autre hymne est le premier exemple connu du processus de création assimilé à la naissance. Dans l’hymne, Enheduanna décrit le processus d’accouchement, qui commence par un feu allumé dans la chambre nuptiale. Elle poursuit en écrivant :
« Ce qui est assez est trop pour moi/J’ai enfanté pour vous, ô dame exaltée, cette chanson/Ce que je vous ai récité à minuit, que le chanteur vous le répète à midi. »
Parce qu’Enheduanna était la fille d’un roi, on pourrait s’attendre à ce que les privilèges de l’égalité soient simplement le produit de son statut, mais l’exposition s’efforce de montrer que, à travers les classes, les femmes avaient plus de pouvoir à l’époque de la Mésopotamie que les femmes de L’Angleterre du XIXe siècle l’a fait.
« Cet été, j’ai regardé pour la première fois un film classé X à la télévision, sur Canal +. Mon poste n’a pas de décodeur, les images sur l’écran étaient floues, les paroles remplacées par un bruitage étrange, grésillements, clapotis, une sorte d’autre langage, doux et ininterrompu. On distinguait une silhouette de femme en guêpière, avec des bas, un homme. L’histoire était incompréhensible et on ne pouvait prévoir quoi que ce soit, des gestes ou des actions. L’homme s’est approché de la femme. Il y a eu un gros plan, le sexe de la femme est apparu, bien visible dans les scintillements de l’écran, puis le sexe de l’homme, en érection, qui s’est glissé dans celui de la femme. Pendant un temps très long, le va-et-vient des deux sexes a été montré sous plusieurs angles. La queue est réapparue, entre la main de l’homme, et le sperme s’est répandu sur le ventre de la femme. On s’habitue certainement à cette vision, la première fois est bouleversante. Des siècles et des siècles, des centaines de générations et c’est maintenant, seulement, qu’on peut voir cela, un sexe de femme et un sexe d’homme s’unissant, le sperme – ce qu’on ne pouvait regarder sans presque mourir devenu aussi facile à voir qu’un serrement de mains. »
Annie Ernaux. Passion simple (Gallimard, 1992)
« Regardé sans décodeur un film X à Canal +, pour la première fois. Surprise au début de voir (très bien, surtout quand la caméra est proche) ces sexes en gros plan. Peu excitant, très mécanique, et comme je n’ai pas les paroles, c’est moins érotique qu’un livre. Pas vu en entier. Cependant, ce matin, les images me poursuivent, elles sont un mode d’emploi parfaitement clair. Voir faire est beaucoup plus performatif qu’imaginer faire à partir des mots. »
Annie Ernaux. Se perdre (Gallimard, 2001)
Une des caractéristiques principales d’A.E. c’est (avec le manque total d’humour, signalé déjà par Closer) l’absence du sens du ridicule:
« Mon premier geste en m’éveillant était de saisir son sexe dressé par le sommeil et de rester ainsi, comme agrippée à une branche. Je pensais, « tant que je tiens cela, je ne suis pas perdue dans le monde ». Si je réfléchis aujourd’hui à ce que cette phrase signifiait, il me semble que je voulais dire qu’il n’y avait rien d’autre à souhaiter que cela, avoir la main refermée sur le sexe de cet homme. »
Annie Ernaux. L’Occupation (Gallimard, 2002)
Donc, écrire de soi c’est plus facile qu’affronter le roman classique.
Un bon écrivain ne nous emmerdera pas avec son cancer, sa défloration, ses amours, ses histoires de cul : tout le monde a ou a eu des histoires d’amour… c’est comme avoir des enfants, ce n’est que la conséquence d’un exercice hygiénique qui peut prendre entre 5 et 30 minutes, mais inutile d’en faire toute une histoire, car l’amour comme raison d’être, n’est que la productivité des improductifs — disait, un poète —.
Donc, la sociologie ou le vide — mieux vaut le vide et je parle de la chose don parle Dōgen, pas celui de la page blanche à laquelle va immédiatement la pensée des incultes.
Pour le reste bof, pas lu AE avant son Nobel je ne la lirai pas après.
don > donT
« son sexe dressé par le sommeil »
Quand l’homme dort, son sexe s’éveille, quand il se lève, son sexe retourne se coucher !
Le sexe, de haute spiritualité, relié directement à l’esprit, aurait-il une vie autonome du corps ?
« Un bon écrivain ne nous emmerdera pas avec son cancer, sa défloration, ses amours, ses histoires de cul »
Pas de bons écrivains Jean-Jacques Rousseau, Proust et sa jalousie ou Céline et sa guerre, renato ?
JJJ
Je n’ai fait aucun commentaire sur l’Affaire Millet. Vous confondez.
les « auteurs de droite » dans un rayon et les « auteurs de gauche » dans un autre. MC, Phil, Closer, Damien, Jazzi, « l’autre », Pablo, etc. fonceraient à n’en pas douter sur le premier.
Alexia Neuhoff dit:
Moi je n’ai jamais voté de ma vie. Et je ne jamais regardé le pedigree politique d’un auteur avant de le lire. Mais je constate que les auteurs de droite sont beaucoup plus intéressants et écrivent beaucoup mieux que ceux de gauche (voir à ce propos ce que dit Cioran). Où sont les Chateaubriand, les Balzac, les Baudelaire, les Flaubert, les Bloy, les Proust, les Valéry, les Bernanos, les Suarès, les Céline, les Morand de gauche – pour ne parler que de la France? D’ailleurs, tout le monde lit plus les écrivains de droite que ceux de gauche, pour la simple raison qu’ils sont meilleurs et qu’il y en a plus.
Non, Alexia Neuhoff, le clivage est entre écriture blanche et écriture musicale. Je ne lis pas pour m’ennuyer. Je ne cherche pas l’esthétique du pauvre façon Edouard Louis, degré zéro du roman contemporain. Si vous comprenez cela, ce sera déjà un grand progrès…Alors Arnaux Ernie, non!
Quand l’homme dort, son sexe s’éveille
Jazzi dit:
À propos de sexe d’homme « éveillé », tu as trouvé crédibles les scènes de sodomie d’A.E. par son russe alcoolisé que j’ai copiées plus haut?
les « auteurs de droite » dans un rayon et
riche idée, miss Neuhoff, nous lirions volontiers Jaurès qui n’écrivait pas de la main gauche et tirerions Gide à droite pour son onctueuse perversité.
Patrick des boutiques obscures..
très bon dear jjj.
Mme Ernaux décrit volontiers sa vie sexuelle, souhaite t elle donner des érections aux lecteurs furtifs de ses livres comme en son temps Mme Millet ?
Je signale ou rappelle la parution récente, aux éditions Amsterdam, d’un livre qui réexamine la question des rapports de l’écriture et de la politique en France et notamment l’histoire, les tenants et les aboutissants, du mythe des affinités de la droite et du « style » :
Vincent Berthelier, Le style réactionnaire De Maurras à Houellebecq.
Cioran y a son chapitre, bien sûr.
CLOPINE est passée et ne m’a pas répondu. Je ne saurai donc jamais avec qui elle m’a confondue ni pourquoi…
« ETHNOTEXTES »
» D’après
A. Ernaux, c’est Pascal Quignard, qui la conseille alors chez
Gallimard, qui l’enjoint en 1992 à faire des premières notes un
livre, alors qu’après avoir déjà livré un extrait beaucoup arrangé
de ce texte au quotidien L’humanité, l’écrivaine dit n’avoir pensé
alors, éventuellement, qu’à une publication dans trois numéros
de la NRF7
https://hal-u-picardie.archives-ouvertes.fr/hal-03688930/document
.
« Je pensais, « tant que je tiens cela, je ne suis pas perdue dans le monde ».
Merci Pablo, tout le passage que tu cites est à crever de rire!
Mais quelle conne!
Et toujours avec un sérieux imperturbable…
Après le « coït cosmique » cher aux mystiques, avec Annie Ernaux on a droit au coït comique. Comique parceque tellement ridicule.
Sans oublier sa vision historique prodigieuse que je n’avais pas, encore vue… »des centaines de générations… » Vertigineux, grandiose!
Barenboim
J’avais reproduit sur mon blog un extrait ( Arietta. Adagio molto semplice e cantabile) de son interprétation de la sonate 32 opus 111 de Beethoven
Tristesse
] Qu’on
s’étonne qu’un livre évoque le monde ordinaire en dit long
sur la conception élitiste de la littérature en France28
28 A. Ernaux, « A. Ernaux, une romancière dans le RER. Entretien (avec A. Clavel) », L’événement du
Jeudi, 29.04.1993, p. 108-09.
.
https://www.youtube.com/watch?v=HgCtmtyKjwg
UN DE MES PLUS BEAUX SOUVENIRS de TEL AVIV ?A L’AUDITORIUM MANN
EN V2RIFIANT? JE VOIS QUE
Gregor Piatigorsky, né le 17 avril 1903 à Iekaterinoslav et mort le 6 août 1976 à Los Angeles, est un violoncelliste ukrainien naturalisé américain en 1942.
IL A joué avec Barenboim
1 je tiens à dire de ne pas confondre Catherine Ernaux et Annie Millet
2 je tiens à faire savoir détenir depuis longtemps la preuve que Marie Sasseur est bien une femme et non point un homo refoulé. Ne nous égarez pas !
3 Je tiens à faire entendre que si j’apprécie despentes et ernaux, ne suis-j pas pour autant du bon « bord » ou du bon « camp » que l’on croit. Et que j’apprécie pas mal la plupart de nos « grands » écrivains, à l’exception de Totor Hugo ben voyhons… (genre, dixit : « Chateaubriand, Balzac, Baudelaire, Flaubert, Bloy, Proust, Valéry, Bernanos, Suarès, Céline, Morand »)… Un beau panel de femmes de la gauche extrême, en somme !… Hurkg /.
Je tiens à faire savoir que le samedi, sam’ dit pas trop…
Bàv
dans l’article « ethnotextes », je lis en notes que:
« 30 Ces développements prolongent la réflexion menée dans le cadre d’une thèse de science politique : I.
Charpentier, Une intellectuelle déplacée – Enjeux et usages sociaux et politiques de l’œuvre d’Annie Ernaux
(1974-1998), Amiens, Université de Picardie, 1999
et le « tique sur le mot « déplacé » en pensant qu’il y eut des « camps de personnes déplacées » :
« ETUDE DE CAS : LES CAMPS DE PERSONNES DÉPLACÉES »
http://www.enseigner-histoire-shoah.org/outils-et-ressources/fiches-thematiques/les-grandes-etapes-de-la-shoah-1939-1945/etude-de-cas-les-camps-de-personnes-deplacees.html
on disait les « DIPI »(deplaced people) AMERICAINS
J’ai lu (en diagonale) « L’Occupation », de notre Prix Nobel de Littérature 2022, l’un des livres les plus ridicules que j’ai jamais lus. Il raconte sa crise de jalousie pathologique (pour ne pas dire de folie) produite par le fait que son amant W., qu’elle avait quitté, lui a dit qu’il vivait avec une autre femme. Avec le peu de choses sur elle qu’il lui avait raconté, elle s’est mise à la rechercher sur internet.
« J’imaginais téléphoner aux numéros des enseignantes que j’avais soigneusement notés, demander, après avoir pris la précaution de faire le 36 51 qui permet de ne pas identifier celui qui appelle : « Puis-je parler à W. ? » Et si j’étais tombée juste, que la réponse soit « oui », lâcher d’une voix poissarde, utilisant une information qu’il m’avait livrée par mégarde sur son problème de santé : « Alors, ma grosse, elle va mieux ta vésicule de merde ? », avant de raccrocher.
Dans ces moments, je sentais remonter la sauvagerie originelle. J’entrevoyais tous les actes dont j’aurais pu me rendre capable si la société n’avait jugulé en moi les pulsions, comme, par exemple, au lieu de simplement chercher le nom de cette femme sur l’Internet, décharger sur elle un revolver en hurlant : « Salope ! Salope ! Salope ! » Chose que je faisais d’ailleurs parfois, tout haut, sans revolver. Ma souffrance, au fond, c’était de ne pas pouvoir la tuer. […]
Un dimanche après-midi, je suis allée au théâtre avec L., de passage en France, que je n’avais pas revu depuis sept ans. Ensuite, nous avons fait l’amour sur le canapé du salon de ses parents, par un enchaînement de gestes revenant tout seuls. Il m’a dit que j’étais belle et que je suçais merveilleusement. Dans ma voiture, en revenant chez moi, j’ai pensé que ce n’était pas suffisant pour me délivrer. La « purgation des passions » que j’ai souvent espérée de l’acte sexuel – et qu’une chanson de carabin me paraît assez bien exprimer : « Ah ! fous-moi donc ta pine dans le cul / Et qu’on en finisse / Ah ! (etc.)/ Qu’on n’en parle plus » – ne s’était pas produite. »
La descente aux enfers continue avec un nouvel extrait posté par Pablo…
» …J’entrevoyais tous les actes dont j’aurais pu me rendre capable si la société n’avait jugulé en moi les pulsions, comme, par exemple, au lieu de simplement chercher le nom de cette femme sur l’Internet, décharger sur elle un revolver en hurlant : « Salope ! Salope ! Salope ! » Chose que je faisais d’ailleurs parfois, tout haut, sans revolver. Ma souffrance, au fond, c’était de ne pas pouvoir la tuer. […] »
La méchante société a jugulé ses pulsions. Heureusement car si elle voulait tuer une rivale auprès d’un homme qu’elle avait elle-même largué, on imagine la réaction pour une véritable infidélité! Le personnage qui parle est-il l’auteur, ou une cinglée fruit de son imagination?
J’ai bien fait de m’arrêter après « Une passion simple », qui m’a ouvert les yeux sur la médiocrité exhibitionniste de l’auteure. Mais j’avais beaucoup aimé La Place et un autre de ses premiers romans…Ben oui, personne n’est parfait.
Mais le pire de tout, ce sont les erreurs de construction du livre. Notre Grande Écrivaine raconte au début, à propos de sa rivale:
« il m’a dit, avec réticence, qu’elle avait quarante-sept ans, qu’elle était enseignante, divorcée avec une fille de seize ans et qu’elle habitait avenue Rapp, dans le VIIe ».
Et quelques pages après, sans nous avoir dit comment il avait trouvé le numéro de l’avenue où elle habitait, elle écrit:
« Appeler « tous les gens » de l’immeuble où elle habitait avec W. — j’avais relevé la liste des noms et des numéros de téléphone sur le Minitel – était la chose dont j’avais le plus envie, et la plus terrible. Ce serait, d’un seul coup, accéder à l’existence réelle de cette femme en entendant une voix qui pourrait être la sienne. Un soir, j’ai composé chaque numéro, précédé du 36 51, méthodiquement. »
Pendant tout le livre, A.E. nous dit que W., son ex, ne lui dit rien sur sa rivale (à part qu’elle est prof d’histoire à Paris III), malgré tous les efforts qu’elle fait (et raconte minutieusement) pour savoir quelque chose de plus, et surtout son nom. Et d’un coup elle lâche: « Il m’aurait été évidemment facile de connaître l’identité de cette femme en me rendant clandestinement à son adresse, avenue Rapp ».
Cela me rappelle Cervantes oubliant, dans le Quijote, qu’il a raconté la mort de l’âne d’un de ses personnages et le montrant bien vivant quelques chapitres après.
« sans nous avoir dit comment ELLE avait trouvé le numéro de l’avenue »
les « auteurs de droite » dans un rayon et les « auteurs de gauche » dans un autre.
ça n’exiss pas..c’est haussi con de dire que la science est chrétienne au prétesque que tous ses héros ou presque l’étaient a la renaissance..que les arts sont croyant pour les milles raisons que des cons pourraient accumuler pour faire un mont d’odure..pour au moins navoir quune idée de ce qu’écrire de droite et de gauche pourrait vouloir dire il faudrait au moins comprende lukacs..à qui on peut au moins reconnaitre de s’être coltiné a cette question parfaitment -oiseuse-..c’est minable que lassouline entame son homélie de barbarie par mélanchon..comme si ça avait -le moindre sens- sinon datteindre à la ratioconation d’un genre « d’essence » de la litterature qui ne serait pas la conforme..qu’est ce qu’on s’en fout mes ptis chéris que les artiss soient des sempiternels larbins puisque c’est leur desstin écrit..par exempe mes couillons j’ai vu ‘sans filtre’ film sur les riches..c’est une merde hinfâme écrit par des exjournaliss de mariclaire maison qui se vengent de sêtre fait chier à servir la soupe a leur connards de clients qui les méprise..c’est eux les « parasites » hors champs..crétin de droite recréant l »esthétique de riche » à la meussieu courte et rénateau havec force brain storming sur leur table basse..on est pas à la bouchrie sanzo mais chez le tripiers sans nerf ni poil..allez vous faire hanculer mauvais serviteurs de vos passions
Plus ridicule encore qu’A.E.:
« Figure majeure de la littérature française, Annie Ernaux est aujourd’hui lue tout autour du globe, étudiée sur les cinq continents et récompensée de façon internationale. Elle fait partie de celles et ceux dont les livres surprennent à chaque parution, de ces auteurs qui affrontent le vertige du monde pour mieux l’interroger, de ces écrivains dont la force d’évocation aimante puissamment l’horizon contemporain. »
Pierre-Louis Fort. « Cahier de L’Herne – Annie Ernaux » (2022)
Le léZard est allé au cinéma en ayant l’impression de visiter un EHPAD, à cause d’une triste histoire de pertes des capacités cognitives !
Le bon lien, sorry
https://www.lelezarddeparis.fr/un-triste-crepuscule
« Droite radicale populiste »
Nonna Mayer, née le 25 mars 1948 à Neuilly-sur-Seine, est une chercheuse en sciences politiques et directrice de recherche émérite au CNRS, spécialiste de sociologie électorale et notamment de l’extrême droite, du racisme et de l’antisémitisme. Elle a été présidente de l’Association française de science politique de 2005 à 2016.
Nonna Meyer était ce samedi midi invitée d’une émission sur France Culture qui était consacrée au FN devenu RN . Elle a étudié cette formation depuis sa création et est particulièrment bien placée pour en bien parler. Vers la fin de l’émission, il s’est agi de savoir comment la qualifier politiquement. Nonna Mayer a d’abord dit , à très juste titre, qu’il ne rimait à rien de parler de « fachos » ou de « chemises brunes ». Je m’attendais à entendre « extrême droite » (c’est ce que je continue à dire pour le RN comme pour le parti zemmourien). Or Nonna Mayer a été un peu plus précise et plus claire que moi.Elle a déclaré qu’il s’agissait de « la droite radicale populiste » . C’est plus long que ce que je dis, mais cela me semble assez bien dit.
Ghost, Barenboim, du Pré, Zukerman :
Les services de sécurité de Kiev (SBU) ont de leur côté publié sur Telegram des vers détournés du poète ukrainien Taras Chevtchenko sur « le Soleil qui se lève sur le pont en feu ».
+ sur LE POINT
Et voilà la logorrhée indigeste du bouguereau, elle manquait dans le panorama… bien que le besoin ne se fasse pas sentir…
C’est plus long que ce que je dis, mais cela me semble assez bien dit.
ta question keupu..s’il y a fèque niouz qui l’a colporté..sapré keupu..sapré rénateau havec ses chretien démocrate..cons et cons..et recons
https://www.youtube.com/watch?v=9gwbHoQ7OE0
« j’ai vu ‘sans filtre’ film sur les riches..c’est une merde hinfâme »
Tu pourrais développer clairement, le boug ?
C’est ce que disent les critiques de gauche : Libé, Le Monde, Les Cahiers du cinéma…
rénateau va vous gerber son foi gras cul nu dans son pneu en forme de canard..de quoi qu’y srait pas capabe pour montrer qu’il en est
dabord on dit silteplé c’est pas poli dla part dun gars qu’esquive 9 fois sur 10..question répondue
C’est ce que disent les critiques de gauche
ne dites pas les gens de droite ont mauvais goût..dites plutôt..le cinéma est un art populaire
Et comme d’habitude il se fait des idées de niguedouille le bouguereau.
Monsieur Bouguereau,
Vous m’obligeriez sensiblement en voulant bien me dire ce que signifient deux mots que vous employez ici « keupu » et « sapré ».
Grand merci par avance.
Allez, c’est samedi ! Un florilège à la P. Charoulet et quelques extraits (façon Pablo) d’un auteur DE DROITE :
“La mort est le seul rendez-vous qui ne soit pas noté dans votre organizer.”
“Je n’aime pas dire du bien de moi, je préfère dire du mal des autres.”
“La liberté n’est qu’un mauvais moment à passer.”
“Dès que l’amour est partagé, il devient chiant : aimer, c’est beau ; être aimé, c’est pénible.”
“Toute littérature est délation.”
“Sous l’Ancien Régime, le Roi chiait devant la Cour. Pourquoi cette cérémonie s’était-elle perdue ? Si le Président de la République chiait chaque soir en direct à la télévision, nul doute qu’on le respecterait un peu plus.”
“Là où il y a collagène, y’a pas de plaisir.”
“Marc se vante toujours d’être le plus mauvais coup de Paris : ça donne envie aux femmes de vérifier et, en général, les rend indulgentes.”
“Pour bien conduire bourré, il suffit de viser entre les immeubles.”
“A New York les taxis sont jaunes, à Londres ils sont noirs et à Paris ils sont cons.”
Et ceci, en guise de dessert :
“Si les hommes font tant de peine aux femmes, c’est sans doute qu’elles sont tellement plus belles quand elles pleurent.”
Frédéric Beigbeder ?
Elle n’écrit pas seulement sur son cul mais aussi sur la mort, Annie
« Tout s’effacera en une seconde. Le dictionnaire accumulé du berceau au dernier lit s’éliminera. Ce sera le silence et aucun mot pour le dire. De la bouche ouverte il ne sortira rien. Ni je ni moi. La langue continuera à mettre en mots le monde. Dans les conversations autour d’une table de fête on ne sera qu’un prénom, de plus en plus sans visage, jusqu’à disparaître dans la masse anonyme d’une lointaine génération. »
(Les Années)
Monsieur Charoulet, il est ourlé,car H
A set of eight cards with striking illustrations by Meneese Wall —artist and author of We Demand The Right To Vote: The Journey to the 19th Amendment—honoring influential leaders and commemorating pivotal events of the suffragist movement. The back of each card features a detailed description, quotes, and history of the theme of
https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/FMfcgzGqQvqnqwcrjhVtBTxdzGhwGbSL
WE DEMAND
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ET WE DEMAND
https://cdn.shopify.com/s/files/1/0099/5495/1268/products/Equal-Pay-for-Equal-Work-web_350x.jpg?v=1585857881
Pour honorer le mouvement suffragiste, Meneese Wall, artiste primée et auteur de We Demand The Right To Vote: The Journey to the 19th Amendment , a réinventé et conçu de nombreuses couvertures de magazines suffragistes en couleur (qui n’étaient pas disponibles au temps).
Inspirées de périodiques et de souvenirs d’époque , les œuvres d’art du magazine Wall relatent le message de lutte des suffragettes et les progrès du mouvement au fil du temps.
Suffragist Magazine Artworks Cartes toutes occasions
Chaque carte de cet ensemble comporte une image et une citation différentes :
@ jzmn, retenuE
(((Face à la perte de ses repères temporels et visuels et prenant conscience que bientôt il ne pourrait plus recourir à ce qui avait structuré sa vie : à savoir la lecture, il écrivit : « Un beau matin… »)))
Voilà ce qui va m’adviendre dans pas trop longtemps, c pourquoi mon journal électronique est prêt, ainsi que sa version papier annuelle de 1991 à 2021. Pour le moment, il s’intitule « chronique de ma biobibliographie » et s’étend sur cinquante et une années. On pourra le consulter en temps voulu au dépôt de l’ADA d’Ambérieux en Bugey (fondation Philippe Lejeune). Bàv,
Black Women Who Changed History All-Occasion Cards
Five cards, each with a different portrait (Sojourner Truth, Harriet Tubman, Ida B. Wells, Mary Church Terrell, and Fannie Lou Hamer) as well as a biographical essay including the major events and accomplishments of each.
https://shop.nybooks.com/collections/the-readers-catalog
il fallait lire « de 1971 à 2021″… Tu vois, ça commence déjà… Bàt-oups!
Meneese Wall est une graphiste et écrivaine dont les créations portent sur l’histoire des femmes américaines. Sa récente collection d’œuvres d’art et le livre illustré qui l’accompagne mettent en lumière la lutte des femmes des 19 e et 20 e siècles pour l’égalité sociale et politique alors qu’elles se battent pour le droit de vote. Inspiré par des événements historiques, des personnes, des citations et des souvenirs, Meneese éveille notre attention sur l’influence déterminante des femmes sur notre passé et leurs effets conséquents sur la réalité d’aujourd’hui. Elle vit à Santa Fe, au Nouveau-Mexique.
https://njstatemuseumfoundation.givecloud.co/product/7448/we-demand-the-right-to-vote
SUR Proust:
. On a certainement sous-estimé la fidélité de Marcel Proust à son père, Adrien Proust. Jusqu’où peut-on suivre Christian Péchenard qui, dans son livre, Proust et son père, estime que « Proust réintègre, avec plume et bagage, le village de son père. Son œuvre est dédiée au domaine paternel… Nous savons que c’est à son père qu’il s’adresse et que c’est dans les bras de son père qu’il vient consoler son chagrin » ? Certes les liens avec sa Jeanne demeurent au cœur de sa vie, de son imagination, de ses rêves, sa correspondance contient un nombre élevé de lettres échangées entre mère et fils. Remarquons simplement que presque aucune d »’entre elles n’évoquent le thème de la judéité
Proustonomics contact@proustonomics.com via sendingservice.net .
Entretien avec Pierre Birnbaum
sur Proust, idem
’il s’oppose avec force à cette séparation au nom de l’identité catholique de la société française. Dans des lettres admirables de passion peu connues, il considère que le peuple français s’incarne dans le peuple qui prie à l’église.
L’an dernier, en marge de la cérémonie monégasque où nous lui remettions le prix Prince Pierre de Monaco
..le nous c’est celui là démocratique du juret qu’a du scoucher dvant la majorité..ponsabe mais pas coupab qu’il dit lassouline
entre la judéité et la catolicité jai choisi la sodomie qu’il dit proust..si ça c’est pas dla bravitude mon cul c’est du poulet qu’elle dit bonne clopine
C’est à peine si j’ose avouer que j’ai toujours préféré Virginia Woolf à Robert Louis Stevenson, et une Chambre à soi à L’ïle au trésor, mais j’arrête là pour ne pas déclencher une polémique chromosomique
mitou qu’il dit lassouline cul nu havec avec ses couette
jusqu’à mon dernier souffle je persisterai à venger ma race
c’est bien son droit dfliper sa race de bâtarde qu’il dirait proust havant d’entrer à léglise
Annie Ernaux réussit à rendre bouleversant ce qui la bouleverse encore quand elle l’écrit car elle a su trouver la vérité de son récit
moi pas trop..mais bordel quel sale métier que chus obligé dfaire quil dit lassouline
Et comme d’habitude il se fait des idées de niguedouille le bouguereau
comme un enfant qui vient de naitre..et c’est un peu du boulot..grosse faignasse
Devinerez-vous qui a écrit:
« Le ricanement est souvent de droite, voire d’extrême droite.
Chez ces gens-là, on adore glousser, se moquer, lancer des vannes souvent bien grasses et salaces, parfois racistes, aussi, on adore essentialiser, manier la prédication qui rabaisse. »
@« Le ricanement est souvent de droite, voire d’extrême droite.
Chez ces gens-là, on adore glousser, se moquer, lancer des vannes souvent bien grasses et salaces, parfois racistes, aussi, on adore essentialiser, manier la prédication qui rabaisse. »
Le rire, c’est tout autre chose qu’il dit Ferdine, par Rabelais ; Céline annexé par la droite ? T’as qu’à croire, toi qui ricane puis reprends ton sérieux quand il s’agit de placer deux romans à part entière, inédits, du « plus grand écrivain du monde », entre Voyage au bout de la nuit et Mort à crédit ; « Touche pas au grisbi salope ! »
Evidemment JB, je reconnais que le fait que Telerama, l’Obs, Libération et Le Monde aient détesté « Sans Filtre » me donnent plutôt envie de le voir…
Mais j’avoue que le cinéma d’aujourd’hui m’indiffère de plus en plus. Je n’ai pas vu « The Square », du même, ni « Bac Nord » vilipendé par la gauche.
Récemment j’ai vu ou revu Pasolini, Scola et la quasi-totalité de la rétrospective Douglas Sirk (les films de sa période allemande, dont tu n’as rien dit). Le rétroviseur…
toi qui ricane > toi qui ricanes
29e Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre : le palmarès
Prague annonce avoir annexé Kaliningrad suite à un referendum. Le gouvernement de Prague et l’ambassade américaine alimentent la blague. Les promoteurs du faux referendum expliquent : « La Russie nous a montré qu’il est normal d’entrer dans un territoire étranger, d’annoncer un référendum et de l’annexer. Donc nous aurons finalement enfin accès à la mer ».
le livre est présenté dans le tweet FOA (historien)
comment lisez vous et inteprétez vous l’image de couverture:
https://s3.eu-west-3.amazonaws.com/nova-pur-production/product/images_1/8745.jpg
Pierre Nora écrit : « jusques et y compris » – Et
Passoul lui emboite le pas (sous sa caution), même s’il en sache l’orthographe fautive, comme « becs et ongles ». P. Nora se réfère explicitement à Proust pour expliquer la genèse de ses « Lieux de mémoire ». Il affirme ceci : « Marcel Proust que j’ai lu en 15 jours, à 16 ans, après le bac, ne m’a jamais quitté » (…) « Ce n’est, en fait, qu’au moment où je l’ai moi-même découvert que Proust était en train de conquérir le grand public » (p. 280) (…) « C’est bien évidemment à Proust que je dois la définition même de la mémoire comme « présence du passé dans le présent » (p. 281).
On trouve tout cela dans « Une étrange obstination »… Le chef d’oeuvre d’autosatisfecit satisfait d’un « marginal central » total imbu de son (n’)aura intellectuelle en nouveau Michelet de la fin du XXe s. Pierre Nora, de l’Académie française, a inventé Proust, comme tant d’autres historiens qui, sans son inlassable entregent, n’eussent point tété… Il vaut assurément le détour, au moins de tous les exclus du « peuple du livre » du samedi. Un poil moins arrogant que Claude Lanzmann dans son lièvre de Patagonie, mais pas très très loin, non pluss…
J’en recommande vivement la lecture à MC/PR ou Closer. et autres, le cas échéant, hein… Car de fait, on ne regrette nullement son argent, « oserais-je le dire », comme il le dit lui-même à tous les coins de pages, telle la vierge effarouchée moyenne, cependant préconsciente des probables effets séducteurs du dernier arbitre de nos élégances françoises sur ses é-lecteurs.
(Paris, Gallimard, 341 p., 21€)
Qu’il fasse son coming out et arrête de nous faire chier.
Argh, ce matin Michèle m’a Toua… A pris le relais… c beau la solidarité ! « Nous » faire chier ? Qui ça, nous, au juste ? Bonne suite, bàv
Et ce soir Olivier ou dard m’a canardée.
On est dans la loi du talion dès la fin du Kippour ?
Eh bien bravo.
Il faudrait déjà que les gens qui causent politique le dimanche fassent la différence entre éthologie, écologie et écoéthologie !
FOA est le nom de l’historien,le tweet étant @anakroniks:
LES DISPUTES ET LA CONVERSION RELIGIEUSE DE L’ANTIQUITÉ AU XVIIe SIÈCLE
https://books.openedition.org/pur/182787?lang=fr
Nora a quand même chapeauté les Lieux de Mémoire, qui est un ouvrage qui a marqué, à juste titre. On peut mettre en question certains choix, mais l’ouvrage restera. Et l’on peut dire la même chose de ses Recherches sur La France, ou on ne lui reprochera pascd’avoir réutilise le titre d’ Etienne Pasquier.,,,MC
QUI A LE PLUS GROS VENTRE ?
JULIEN DRAY OU JEAN-LOUIS BOURLANGES * ?
*Député MoDem, Président de la commission des Affaires étrangères. Assis, et de profil, à la télé, ce ventre est effrayant à voir.
Remontons un peu la pente, Virginie…
https://www.juanasensio.com/archive/2012/09/10/eloge-litteraire-anders-breivik-richard-millet-de-roux.html
Olivier ou dard ?
Glané sur le web
Richard Brautigan (sa poésie en édition bilingue au Castor Astral)
https://64.media.tumblr.com/tumblr_mctgc4TZkD1qehd6xo1_500.jpg
(-> https://www.castorastral.com/livre/cest-jai-a-declarer/ )
Andrea Bescond félicite Annie Ernaux
https://www.instagram.com/p/CjX-qckqewm/?igshid=MDJmNzVkMjY=
« Je suis une femme qui écrit, c’est tout »
« Annie Ernaux à Cannes, en mai 2022
Le jeune homme est une réflexion sur le temps qui passe, sur la maturité, qui fait que chaque nouvelle expérience entre en écho avec celles qui ont précédé, comme dans une grande caisse de raisonnance. »
Oui.
Et également une grande caisse de résonnance.
« QUI A LE PLUS GROS VENTRE ? »
On peut avoir le lien, Charoulet, svp ?
Énormément de publicités télévisées croit bons de valoriser les barbus. Je trouve ça inacceptable.
Et que dire des gros barbus ventrus, D. ?
Droite radicale populiste ?! Très mauvaise définition. Rien n’est vrai et l’essentiel manque.
Il s’agit de sociaux-démocrates nationalistes à tendance souverainiste. Et je sais de quoi je parle.
Droite radicake populiste… N’importe quoi pourvu qu’ça mousse et qu’ça déborde pas.
Je n’ai rien contre certains ventres. Lorsqu’on aime son pays, ses spécialités, ses vins, on se forme un saint ventre.
Ce que je déteste, c’est un ventre de profiteur. Je sais faire la différence.
Le pire serait un ventre de profiteur barbu. Mais je ne sais pas si ça peut exuster.
Eh bé oui.
Des codes cachés révélés. Le grand cataclysme à caractère cyclique est tout proche.
Finis Gloria Mundi.
Finis gloriae mundi.
Les fontaines de la place de la Concorde sont la clé. Tout y est révélé à qui sait voir
8e arrondissement
Fontaines de la Concorde
Place de la Concorde
Métro : Concorde
Aménagée entre 1757 et 1772, la place de la Concorde (à l’origine place Louis-XV), la plus vaste de la capitale, fut sensiblement transformée sous le règne de Louis-Philippe et du préfet Rambuteau, qui présidèrent à ses derniers embellissements.
En 1832, Jacques-Ignace Hittorff fut nommé architecte en chef de la place.
Il commanda alors à des sculpteurs de renom, tels Jean-Pierre Cortot ou James Pradier, les sculptures symbolisant les différentes villes de France (Brest et Rouen, Marseille et Lyon, Bordeaux et Nantes, Lille et Strasbourg), qui furent placées en 1838 au sommet des huit guérites en pierre construites précédemment par l’architecte Gabriel, auquel on doit les deux palais abritant aujourd’hui l’hôtel de Crillon et l’hôtel de la Marine, au nord de la place.
Le 25 octobre 1836, avait été érigé, en son centre, l’obélisque de Louqsor, offert au roi en 1831 par le vice-pacha d’Egypte Méhemet-Ali.
Entre 1836 et 1840, Hittorff fit élever, de part et d’autre de l’obélisque, la fontaine Maritime, du côté de la Seine, et la fontaine Fluviale, du côté de la rue Royale.
Pour ces deux fontaines monumentales de neuf mètres de hauteur, en corrélation avec le thème des villes de France, Hittorff se serait inspiré de celle de la place Saint-Pierre à Rome.
De nombreux sculpteurs participèrent également à leur ornementation.
Sur la fontaine dédiée aux divinités fluviales, les statues en bronze de trois mètres qui soutiennent la première vasque représentent : le Rhône et le Rhin, par Jean-François Gechter ; la Moisson et la Vendange par Jean Husson ; la Récolte des fleurs et la Récolte des fruits, par François Lanno. Tandis que sous la vasque supérieure, Jean-Jacques Feuchère a réalisé les figures allégoriques de la Navigation fluviale, de l’Agriculture et de l’Industrie.
La fontaine dédiée aux divinités marines, située à l’emplacement où Louis XVI fut guillotiné le 21 janvier 1793, abrite sous la première vasque : l’Océan et la Méditerranée, d’Auguste de Bay ; la Pêche des perles et la Pêche des coquillages, d’Achille Valois ; la Pêche des poissons et la Pêche des coraux, d’Antoine Desboeuf. Et sous la vasque supérieure : la Navigation maritime, le Commerce et l’Astronomie, d’Isidore Brion.
Signalons enfin que les tritons et les néréides dans les grands bassins circulaires des deux fontaines, tenant chacun un poisson dont l’eau rejaillit jusque dans la première vasque, ainsi que les cygnes et les dauphins visibles sur les piédouches, sont dus à Antonin Moine, à Jean-Jacques Elshoecht et à Louis Merlieux.
https://www.lelezarddeparis.fr/de-fontaine-en-fontaine-8
…dimanche 9 octobre 2022 à 5 h 12 min.
…
…quand on aime, vraiment quelque chose, on ne le dit pas,!…
…outre la concurrence déloyale ou hameçonnage aux servitudes,!…
…des mécanismes de désinformations, pour laisser croire, les béguines, s’yl en reste à chaque génération.
…duper, par les publicités, tout le monde aux caveaux, réserver sa place » à crédit »
…des histoires pour mourir de joie,!…
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…des pantalons pour les guerres, ou sont passer les cuirasses anti-atomiques, des sous-marins jaune,!…
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…croire comme en religions, pour se faire exploiter dans toutes générations du futur,!…
…de l’esprit à tout les grades, tout le monde revient, à ses consanguinités-propres aux diverses adaptations du profit,!…
…la lubricité , se ferme, avec les fantasmes populaires déjà éteint,!…
…
…rien n’existe, tout existe,!…
…faire des peaux à vendre, tout un régal cynique,!…
…des enfants du futur, qu’elle convictions !
…aux usines.
…voyons – nous le monde des Dieux comme, le monde des animaux et ses fossiles ou des croisements libres dans l’espace-temps,!…
…etc,!…
…le respect, ou confrontations aux exterminations et lentes & massives,!…
…aux paradis pour tous,!…Ah,!…Ah,!…
…tout est juste, dans les sérénités,!…
…
…livre,…jean Baumier
…Ces Banquiers qui nous gouvernent, Plon
…
…?,…pour des royalties, aux collaborateurs aux crimes organisés, tout azimut,!…
…
…quels nouveaux profils,!…
…la haine et les discriminations, chacun pour soi et la planète-Bio pour tous,!…
…Go,!..
« Marche contre la vie chère : Ernaux et d’autres personnalités appellent à manifester le 16 octobre
La Prix Nobel de Littérature Annie Ernaux, ainsi qu’une soixantaine de personnalités de tous horizons, appellent à participer à la marche du 16 octobre contre la vie chère initiée par des partis et organisations de gauche, dans une tribune au Journal du Dimanche .
Parmi les participants à cette tribune figurent donc Annie Ernaux, récompensée cette semaine du prix Nobel, ainsi que d’autres écrivains (Laurent Binet, Éric Vuillard, Pierre Lemaître, Edouard Louis…), des cinéastes et comédiens (Liliane Rovère, Eva Darlan, Yvan Le Bolloc’h…), le philosophe Didier Eribon, ou encore l’avocate et ancienne candidate LFI aux élections législatives Caroline Mecary. »
Info de dernière minute :
Par solidarité, Ernaux a décidé de reverser la plus value substantielle tirée de la vente dopée de ses livres, ainsi que le presque million d’euros que va lui remettre bientôt le comité Nobel, à la Banque Alimentaire.
(Ps: cette info n’est pas divulguée pour l’instant, en attente de confirmation)
08/10/2022, 7h33
« Une belle histoire d’amour !!!
Le phénomène d’intrication quantique est un phénomène qui lie intimement les propriétés de deux particules, quelle que soit la distance qui les sépare.
Un physicien français, Alain Aspect, spécialiste de la mécanique quantique a réalisé vers 1980, à l’Institut d’Optique, une expérience démontrant la réalité physique de l’intrication quantique sur des particules de lumière (des photons). »
https://www.fetedelascience.fr/une-histoire-de-l-intrication-quantique-0
« Sic transit gloria mundi* » plutôt, car Finis gloriae mundi est le titre d’un livre écrit et détruit (ne reste qu’une synopsis) par un certain Fulcanelli.
J’ai eu l’édition de Londres (1999) un faux qui ne correspond pas à la synopsis de Fulcanelli.
Contenus en bref : les avancées scientifiques récentes dans la physique, la chimie et la biologie seraient dues aux connaissances acquises par les alchimistes, mais les scientifiques modernes, qui refusent l’ésotérisme, ne sont pas intéressés par le perfectionnement spirituel et ne respectent pas la science, se sont donc rendus et se rendent responsables d’abominations diverses (bombes atomiques, manipulation du génome).
Bon, on y trouve tout et n’importe quoi : l’hermétisme (Tabula Smaragdina) ; la Bible, l’Atlantide, l’antiaméricanisme.
Livre : inintéressant, encore plus ennuyeux que Guenon, donc vendu.
Incidemment, ai par la suite su qu’il existe un tableau (peintre espagnol du XVIIe) qui porte le même titre — allégorie plutôt banale de la caducité.
*Variante, l’exhortation Sic transeat gloria mundi. L’une et l’autre de « Mundus transit et concupiscentia eius », Jean (l’apôtre).
AVORTEMENT – On n’avait pas encore tout vu, ni entendu, de la part de Simone Veil. Un témoignage inédit de l’ancienne ministre de la Santé, enregistré en 2006, va être diffusé par l’INA le 19 octobre. Dans cette incroyable interview fleuve longue de 5h30, Simone Veil retrace sa vie, son enfance puis, surtout, la déportation, les camps, la Shoah.
09/10/2022, 8h19
« C’est ça, les chansons. Plus encore que les photos. Ca vous rattrape au moment le plus inattendu et ne vous lâche pas. »
mes années
https://youtu.be/IGVZOLV9SPo
Pour complaire à la poignée de droitards très en verve ici-bas, le dernier Nobel de littérature devrait commencer par faire vœu de chasteté et vœu de pauvreté … pour ceux rivés à leur écran : n’oubliez pas la messe sur France Cul tout à l’heure
Jazzi
Vous me demandez un lien.
Infirme informatique, je suis infichu de mettre un lien.
En cherchant sur la Toile, vous parviendrez sans peine à trouver une photo de cet épouvantable ventru.
p.-S. A Monsieur D.
L’épidémie de barbes me navre.
Juste un voeu de renoncement à la connerie exhibitionniste Langoncet.
ne soyons pas immondes:
https://curti-curiosites.ch/wp-content/uploads/enluminure-Chantal-P-1280×1707.jpg
. Olivier Dubois est un otage français en Afrique : avions pas compris « Olivier ou Dard » (Frédéric ?)
. Crois-tu que l’Algérie va (nous) vendre plus de gaz moins cher depuis le rapprochement des deux nations si on accueille plus d’immigrés (chez nous) ?
. Je suis un homme qui écriT. J’écriS, je dessine, je peins
. Donner son argent à la banque alimentaire pour aider les paupérisés à se mieux nourrir, marcher dans les rues avec des gilets jaunes, protester, généreuse, la France du-bas vaincra.
. Guerre psychologique internationale (Jo-Volodymir vs Vladimir) => risque « d’apocalypse nucléaire » vs « pont Cramé en Crimée ». OSS 117, ça rigole pas.
. Droitards en verve (les dominants) vs Gauchards en vergue (les dominos)
. Eparpillez-vous puis reconcentrez-vous Giovanni,
Amitiés de l’RDL à Claudio de Bahia (et bonne chance à son candidat !)?
Bàv (9.10.22_9.37)
Au cinéma, comme par magie, le conducteur trouve toujours une place où garer son auto devant son immeuble ou le commerce où il se rend. Il sort et ne verrouille pas sa portière. Dans la « vraie vie », c’est différent ou nettement moins facile. C’est un peu la même chose dans la plupart des romans, on escamote ce qui semble trop trivial ou cru, la fille et le garçon entrent dans un lit et hop ! ellipse… la fille entre dans un lieu pour y avorter, ellipse, elle sort. Chez AE, il n’y a pas d’ellipses et c’est cela qui en gêne, dégoûte plus d’un.e. C’est le parti pris du réel (que personne n’ignore) que d’aucun.e.s ne supportent pas de voir écrit noir sur blanc.
LE TEMPLE DE VOYNICH
« Le jour se terminera, et Phoebus baignera ses chevaux fatigués dans les profondeurs, avant que mes paroles puissent rendre justice à tout ce qui a été traduit en de nouvelles formes. »
NON CLASSÉ
Sic Transit Gloria Mundi
https://herculeaf.wordpress.com/2019/06/30/sic-transit-gloria-mundi/
Littératures,
On annonce un posthume de John Le Carré,
La somme de van den Brouck sur l’histoire de l’Indonésie est véritablement impressionnante (chère, mais vaut le détour, quand on connait mal cette contrée)
Le portrait apparemment flatteur de Nora sur son ami Gauchet (« mon Marcel ») a quelque chose du bourgeois distingué à l’égard du plouc soixante huitard qui me heurte et me répugne un brin : Nora n’a pas voulu voir survivre Sa revue Le Débat, plutôt que laisser vivre la LEUR.
« Oh Canada ! » (Russel Banks) -< A ne pas manquer non plus… Du taf sur la Planche et Pontalisse !
(Amicale pensée à Christine Taubira qui nous lie régulièrement)…
Bàv, à pluss++++
Neuhoff m’a accusé d’être de droite. Or, c’est archi-faux. Je suis de gauche, pour le partage des richesses. Néanmoins, je ne tolère pas ces procès staliniens, ces accusations gratuites. Je ne suis pas pour la guillotine ! Et donc, pour revenir à Annie Ernaux, j’avais été choqué qu’elle demande la tête de Richard Millet, à propos du titre d’un livre un peu provocateur. Ernaux est parvenue à ses fins, Millet s’est retrouvé au chômedu. C’est une entrave à la liberté d’expression, comme si Ernaux avait voulu imposer une seule et unique doxa majoritaire dans les arts et les lettres. Voir guillotiner des adversaires la fait jouir, de toute cette jouissance de femme rebelle qu’elle a décrite dans ses livres, notamment avec son Russkoff membré comme un dieu. Un orgasme sans fin devant un spectacle de mise à mort. Les taureaux sanglants des corridas ne lui suffisant plus, elle s’en prend aux êtres humains, plus précisément à ses confrères écrivains qui ne lui font pourtant pas beaucoup d’ombre. Il y a des écrivains femmes que j’aime beaucoup, comme Colette, le Castor, Mme de Sévigné, etc. Mais Annie Ernaux, je n’ai pas envie de la lire. Elle est trop méchante, du plus profond d’elle-même le sadisme suinte, la rancoeur, la vengeance à l’affût, sans pitié. Je n’ai pas envie de la lire, mais je le ferai néanmoins par curiosité, et pour me conforter dans mon jugement. N’est pas Edith Stein qui veut !
l’âge des caddies
https://pokaa.fr/wp-content/uploads/2021/04/caddie-industrie-magnifique-1024×683.jpg
Oui Alexia, le Trivial qu’on ne veut pas lire dans les romans ni voir au cinéma, c’est ce qui, pourtant, nous Poursuit’.
Comparaison n’est pas raison mais on aurait préféré que Proust nous racontât combien de fois il allait perdre son temps à pisser par jour en interrompant la rédaction de ses souvenirs, plutôt que de transformer ses temps de mixions en considérations oiseuses sur Sainte-Beuve, dont il savait parfaitement pourquoi il avait foutrement raison.
Je trouve que la littérature française portée par des femmes fort différentes les unes des autres a fait d’immenses progrès depuis les petits Marcel Proust et Ferdinand Destouches. Je trouve que le dévoilement prosaïque de la réalité génésique vécue par la moitié de l’humanité, désormais consacré par l’audace d’un jury Nobel, aura été le tremblement de terre salutaire que le monde émancipé par la vraie littérature attendait depuis longtemps.
Merci les nobel, merci Annie, merci Alexia,
Bàv,
Être de droite ou de gauche n’est pas in défaut.
Cergy soit qui bali pense!
le festival
Je rappelle aux petits nouveaux que le pseudo alexia est celui d’un hyper violent, et in réal life, d’un petit fonctionnaire à la retraite, âgé de 67 ans. Il » venge sa race «
J’insiste sur Finis. Qui a une toute autre signification que Transit. Et pas de sic.
OUPS!,,,
***van REYBROUCKE (pardon, David) // Revolusi…
Bàv,
Finis vs Transit
Étant donné les survivances qui vous informent ça se comprends.
Une prof célèbre.
Je cherche en vain le message de reconnaissance du lycée professionnel de Bonneville ou celui du collège d’Evire.
Ça va venir,la notoriété…
Qu’en pense Alexia N. ?… Doit bin se marrer des éructations vermifugées de la Branque, hein ?
(on attribue beaucoup de pouvoirs à ce pauvre JJJ, qui n’en peut mais… Le rigole)
Or, sait-on assez que derrière ma soeur marie, se cache en réalité le robot/cabot de Pierre Assouline, qui lui dicte ce que cet avatar doit répondre aux gens qui la grotesquent ? 🙂
Ce qui est transformer la littérature en un vaste « Journal d’ Heroard », JJJ. Encore Heroard avait-il pour but la santé de son royal patient mieux connu sous le nom’ de Louis XIV . Maintenant, si la Littérature doit être considérée comme un des Bas-Arts….Exécution de Nora bien injuste au passage. MC
info pour Damien:
Je ne suis pas pour la guillotine !
« CULTURE
A Rennes, une exposition se penche sur la vie du bourreau Anatole Deibler
CULTURE
A Rennes, une exposition se penche sur la vie du bourreau Anatole Deibler
07 OCT 2022
Mise à jour 07.10.2022 à 15:00 AFP
© 2022 AFP
« Exécuteur des hautes oeuvres de la République », le bourreau Anatole Deibler (1863-1939) fait l’objet d’une exposition à Rennes, ville où il est né, qui permet de découvrir la vie de ce bourgeois qui a participé à près de 400 condamnations.
Tirée du roman graphique sorti fin septembre « Dans la peau du bourreau » (éditions locus solus), l’exposition se tient dans la majestueuse salle des pas perdus du Parlement de Bretagne qui abrite le pouvoir judiciaire. A travers des illustrations et des récits imaginaires à la première personne, elle dresse le portrait d’un homme « qui cherchait à vivre normalement sauf que son métier lui imposait une vie particulière », explique le scénariste auteur Olivier Keraval.
https://information.tv5monde.com/culture/rennes-une-exposition-se-penche-sur-la-vie-du-bourreau-anatole-deibler-474128
Et le CNED , où on trouve pas mal d’incompetents non évalués, ne réagit pas non plus à cette notoriété retrouvée.
Marie Sasseur dit: Je rappelle…
Je rappelle à la radasse l’interdiction que je lui ai déjà faite de ne point lire mes commentaires, de les ignorer et encore moins d’y greffer ses allégations burlesques.
Remplacer « l’interdiction » par « l’injonction », évidemment.
« Être de droite ou de gauche n’est pas in défaut ». SI ! Le mieux, c’est d’être les deux à la fois ou rin du tout…
***Je rappelle aux « petits anciens » que JJJ va bientôt sur ses 68 ans, histoire d’être un peu plus précis que les animatrices toujours approximatives du darkweb-CDBF sur sa biographie. Pas vrai, mon-ma Chachale ?
N manque d’audience, le vieux keuf jjj démasqué et son avatar alexia se manifeste.
Pour la guillotine, on (re)citera l’excellent roman de F. Sureau, sur le dernier bourreau.
https://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2007/01/12/01006-20070112ARTMAG90451-la_vie_de_bourreau.php
qui comme DEIBLER POUVAIT DIRE « JE TRANCHE?
@ MC / Exécution de Nora bien injuste au passage.
Je vous le concède, cher ami, c’est que j’entendais chatouiller l’orgueil un peu trop voyant à mon goût de cet intellectuel de grand talent… dont j’admets volontiers qu’il a cherché à « révolutionner » l’histoire… des temps présents.
Je vous sais gré de prendre sa défense, alors qu’on ne vous sent pas forcément toujours de « son camp » (maxime).
Petit rappelez-moi plutôt, SVP, marc (you permit ?), le nom du médecin du jeune Louis XIII qui écrivit jour après jour durant 15 ans le journal de la santé de l’aïeul du XIVe …. Merci et Bàv, le cas échéant.
Après la naissance du futur Louis XIII, Jean Héroard tint pendant 27 ans un journal quotidien du développement du jeune prince. Ce journal contient des milliers de détails sur la vie quotidienne du Dauphin : son réveil, son repas, ses jeux, ses humeurs, ses fonctions physiologiques… Ainsi le 16 février 1604, Héroard note : « Esveillé a sept heures et demie, levé ; bon visage. A unze heure, disné ; A trois heures, gousté. Il fait tirer le Capitaine Richard de sa harquebuse tue un pigeon, il dit « A diré (je le dirai) a papa ». Mr de Mansan ayant cela dit que doresnavant il ne faloit faire devant luy, at qu’il diroit tou, at qu’il escoutoit tou sans faire semblant de rien. En se souriant il se prend a dire en chantant « je tui (suis) bon bon gachon (garçon) je ne pante a nu ma » (je ne pense a nul mal). » Ce journal qui constitue une somme de six mille pages réunies en six volumes, dont le manuscrit est conservé à la Bibliothèque Nationale va donc bien au-delà du registre d’hygiène qu’il voulait être à l’origine pour se transformer en une fascinante chronique de la cour, fourmillant d’anecdotes sur les premières années du Prince. Le 15 mai 1610, alors qu’Henri IV, vient d’être assassiné, Héroard n’oublie pas de consigner dans son journal les larmes de l’enfant qui vient d’apprendre la mort de son père.
Ah marc je viens de vérifier pour Heroard, anéfé vous avez fourché, c louis 13 et pas 14.
En voici un extrait proustien :
« Le sommeil de Louis XIII était fréquemment agité par des cauchemars qui prenaient quelquefois le caractère du somnambulisme. Le 3 octobre 1606, il s’éveille «à une heure après minuit, en sursaut, avec un cri haut extrêmement et effroyable. Sa nourrice et Mlle de Ventelet (qui aidait à le veiller) vont à lui, demandant ce qu’il avoit : «Hé! c’est que papa s’en va sans moi,» dit-il en pleurant et fondant en larmes, «hé! je veux aller avec papa ; attendez-moi, papa!» Il le songeoit et s’en éveille… se rendort à peine, ayant le cœur saisi. Le matin sa nourrice lui demande : « Monsieur, qu’aviez à songer et à crier cette nuit?— Doundoun, c’est que je songeois que j’étois à la chasse avec papa ; j’ai vu un grand, grand loup qui vouloit manger papa et un autre qui me vouloit manger, et j’ai tiré mon épée, puis je les ai tués tous deux.» Nous regrettons d’avoir à dire que le bon Héroard, avec l’esprit superstitieux qui le caractérise, voit sans doute dans ce cauchemar un présage favorable, et écrit en marge de son journal : Augurium.
Bdimancheàv Monsieur Court,
« Pourquoi le roman classique, difficile à écrire, ne trouve-il pas des auteurs dignes du nom ?
— Nous avons affaire avec un public de peu de prétentions, d’émotions faciles et d’une excitation exaspérée, passionné d’histoires transgressives et imprégné de motifs et d’éléments érotiques. »
@ ah jzmn ! vous m’énervez à me prioriser ainsi, hein !
(merci quand même de m’abonder).
Bàv
imprégné > imprégnéE
j’ai vu un grand, grand loup
ON SE SOUVIENDRA QUE HEROARD ETAIT VETERINAIRE. MAIS MAITRE EN SAIGNEES
La prétendue supériorité morale du pacifisme de gauche est morte en Ukraine.
3c’est-à-dire Discours des os du cheval. Cet ouvrage de 47 pages décrit les os du cheval avec une grande rigueur WIKI
je me souviens qu’il avait fait 47 saignées à son royal patient:
dois-je conclure qu’une page est une saignée? de qui par qui?
ON DIT SE SAIGNER AUX QUATRE VEINES
3Origine : Afin de mieux comprendre les origines de cette expression française, il faudrait commencer par définir les termes qui la composent. Le mot « veine » est pris dans son sens propre et se définit comme étant un vaisseau qui amènerait le sang au coeur. La métaphore véhiculée par cette « veine » indique l’idée de privation extrême car le fait de se couper les veines équivaut à se vider de tout son sang et perdre sa vie. De ce fait c’est l’expression véhiculée par le saignement des veines à savoir « perdre la vie » qui indique le summum de cette privation. Le nombre quatre quant à lui viendrait de l’ancienne formulation à savoir « se saigner aux quatre membres » et sa présence s’expliquerait par l’idée qu’une personne privée de ses membres est privée de beaucoup de choses importantes dont le droit le plus élémentaire à savoir celui d’aller et de venir.
« Sous d’autres cieux : En Afrique du Nord cette expression française se retrouve sous deux formes pour indiquer le même sens: d’abord sous l’expression « nkataa lahmi » ou se déchirer la chair puis « nkataa rouhi » qui veut dire se déchirer l’âme ou « s’auto- déchirer ».
Ce matin, un homme politique français dont le nom commence par Z se demandait dans le poste pourquoi Ismail Kadaré et Milan Kundera dont il dit avoir lu tous les livres (des deux sus nommés) n’avaient pas eu le Nobel plutôt que qui vous savez…
Que ceux qui pensent qu’AE mérite plus le Nobel que les deux K lèvent le doigt.
Pour la petite (ou la grande) histoire, rappelons que Louis XIII était homo et Louis XIV, violé dans son enfance, homophobe.
À l’entrée « Yvetot » du Dictionnaire des idées reçues de Gustave Flaubert, on trouve l’article suivant : « YVETOT : Voir Yvetot et mourir ! (v. Naples et Séville) ».
Que ceux qui pensent que watercloset est une ordure, le disent.
Je le dis.
Bruno Latour, à son tour…
Le gourou is dead, son disciple est en deuil, comme Greta.
Closer, la population d’écrivains se compte par milliers, ce qui représente une difficulté au choix. Ces deux références étrangères, deux seulement pour cet intellectuel brillant font riquiqui, le monde littéraire rétrécit soudainement, sûrement à la mesure de l’ouverture de l’interviewé. Est ce qu’AE aurait eu quelques centimètres en main si d’aventure elle l’avait rencontré?
Petit jogging de remise en forme pour continuer.
Bon dimanche.
Annie Ernaux en une de Libé
https://www.facebook.com/Liberation/photos/a.329987802393/10160238457752394/
LATOUR S’ST LAISSE ABATTRE
s’est laissé
l’histoire de l’Indonésie est véritablement impressionnante (chère, mais vaut le détour, quand on connait mal cette contrée)
—
Plus bref et moins exhaustif, mais diablement bien tourné, ‘L’archipel des ombres’, le petit opuscule de Bruno Philip, qui arpente et chronique l’Asie depuis plus de 40 ans.
David Van Reybrouck, un historien original, à l’opposé de Nora, incarnation de l’Institution & symbole de l’académisme le plus autosatisfait.
Beaucoup ont sensiblement éprouvé leurs interdépendances avec le vivant et n’existent plus avec la même innocence qu’auparavant. « J’ose à peine taper sur mon clavier, de peur de faire fondre quelque glace lointaine », résume Bruno Latour, qui cherche malgré tout à « tirer des leçons positives du confinement ». Nous vivions hors-sol. Il nous faut atterrir et revenir sur Terre. Changer nos représentations aussi.
https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/02/12/ou-suis-je-de-bruno-latour-une-invitation-a-explorer-toutes-les-formes-de-survie_6069685_3232.html
Petit jogging de remise en forme pour continuer.
Je ne cours pas, je n’ai jamais couru, je ne m’y déciderai qu’en cas de danger ce qui devrait me laisser environ 3 minutes supplémentaires de survie. A quoi bon se presser? Pourquoi ce prix sauf rares exceptions qui resteraient à inventorier ne va t il pas à des gens à peu près jeunes afin qu’ils profitent de l’argent à autre chose qu’honorer les dépenses liées à la dépendance dans un ehpad luxueux.
Vous faites bien B. Marcher, regarder autour de soi, c’est la bonne attitude. On ne me convaincra jamais que les joggers suant et soufflant se font du bien en se faisant du mal.
je porte volontiers des joggings, mais je ne fais jamais du jogging;mais la marche à pied, partout, en ville, à la campagne, dans un parc, en montagne, on peut penser, rêver:
« Jean-Jacques Rousseau. Les Rêveries du promeneur solitaire (extraits)
https://www.philomag.com/articles/jean-jacques-rousseau-les-reveries-du-promeneur-solitaire-extraits
Marcher, c’est bon pour la santé, on ne le dira jamais assez !
https://www.babelio.com/auteur/Jacques-Barozzi/24470
C’est l’automne chez Paul Edel et la chevelure féminine est un attribut sexuel de l’angoisse ; elle serpente autour de sa proie comme les algues autour de la Dame du Lac …
qui se souvient d’avoir entendu dire » La sexualité, objet de vitrine, »?
BONNE JOURNEE?JOGGEZ BIEN !
sur AOC, LATOUR
« Eclipsé par la guerre en Ukraine, le dernier rapport du GIEC souligne l’irrémédiabilité des effets du changement climatique. Si Poutine porte aujourd’hui un coup de semonce inédit à l’idéal de paix issu de 1945, quels bouleversements de l’ordre mondial planétaire découleront du dérèglement climatique ? Au-delà de l’analogie entre ces deux tragédies concomitantes, il s’agit moins de les hiérarchiser que de tenter de les articuler. »
https://aoc.media/opinion/2022/03/02/quelles-entre-deux-guerres/
chez Paul Edel et la chevelure féminine est un attribut sexuel de l’angoisse
que jarrive à la hauteur dune coureuse avec queue de cheval dans mon 4×4 de 3 tonnes et j’ai henvie de lattraper au lasso et de la trainer -doucement chus pas une brute- dans une impasse..bonne clopine elle rêve de fer rouge mais je trouve que ça fait trop cowboy suisse
l’histoire de l’Indonésie est véritablement impressionnante (chère, mais vaut le détour, quand on connait mal cette contrée)
kabloom flight émirate qu’il dirait langoncet
Pour la petite (ou la grande) histoire, rappelons que Louis XIII était homo et Louis XIV, violé dans son enfance, homophobe
jai été dur havec toi hier baroz..haussi pour me faire pardonner je dirai pas comme meussieu courte que j’aime lesthetique pauvre à la sale et italienne et méchante..non je parle pas de rénateau mais d’hugo tognazi..qui dailleurs a su trés trés bien jouer les riches phumier dans les nuovo monstri..tu sais quand il prend un clodo dans sa rols pour l’emmener à l’hopital..tu te souviens?
les pauvres c’est toujours folklo et exotique..surtout cul nu..c’est dégueulaçe quelle dirait annie à bonne clopine..enfin non le contraire..c’est himportant
La prétendue supériorité morale du pacifisme de gauche est morte en Ukraine
on a essayé pasque faut rester scientifique quil disent les militaires mais la conrie on a beau dire ça tourne moins bien qu’un vrai satellite
Que ceux qui pensent qu’AE mérite plus le Nobel que les deux K lèvent le doigt
keupu toujours en dèche de touché anal le dimanche matin fait les sortis dla messe
la fille entre dans un lieu pour y avorter, ellipse, elle sort. Chez AE, il n’y a pas d’ellipses et c’est cela qui en gêne, dégoûte plus d’un.e. C’est le parti pris du réel (que personne n’ignore) que d’aucun.e.s ne supportent pas de voir écrit noir sur blanc.
mais qu’est ce donc que le réalisme que je mandais lately à dirfilou..il me répondit lassouline le noue prend du recul fait mine de le décrire et le cerner mais ne le tranche point..ça pourrait être mauvais pour ses affaire de critique..sinon pour dire accessoirment de quoi est elle le nom sinon de mélanchon..pour montrer qu’il est pour les révolutions de palais
Énormément de publicités télévisées croit bons de valoriser les barbus. Je trouve ça inacceptable.
j’ai pas encore vu de grand djizeus en vitrine de barbeur..mais faut ête réaliss..ça ne saurait tarder
« il prend un clodo dans sa rols pour l’emmener à l’hopital..tu te souviens ? »
Les Italiens n’ont pas leur pareil dans la représentation des pauvres à l’écran, le boug.
Notamment avec « Affreux, sales et méchants » ou dans « Pain et chocolat » où Nino (Manfredi), Italien déraciné vivant en Suisse, cherche désespérement du travail. Poursuivi par le mauvais sort, Nino l’immigré a bien du mal à assumer sa latinité…
La première heure du film, ici
https://www.dailymotion.com/video/x1425me
Trou noir :
https://www.nasa.gov/feature/goddard/2019/nasa-visualization-shows-a-black-hole-s-warped-world
Voilà la séquence avec cette ordure de Tognazi, le boug !
https://www.bing.com/videos/search?&q=’hugo+tognazi..+dans+les+nuovo+monstri..&view=detail&mid=C461B74BCC75CF122523C461B74BCC75CF122523&form=VDRVRV&ru=%2Fvideos%2Fsearch%3Fq%3D%25E2%2580%2599hugo%2Btognazi..%2Bdans%2Bles%2Bnuovo%2Bmonstri..%26go%3DRechercher%26qs%3Dn%26form%3DQBVR%26sp%3D-1%26pq%3D%25E2%2580%2599hugo%2Btognazi..%2Bdans%2Bles%2Bnuovo%2Bmonstri..%26sc%3D0-40%26sk%3D%26cvid%3D603FFBF8F9D64FA2AE6D138ADB3CE9E1%26ghsh%3D0%26ghacc%3D0%26ghpl%3D&ajaxhist=0
Le bon lien pour Ugo Tognazzi
https://www.youtube.com/watch?v=CT6TfLBVdg4
bouguereau dit: à
« que jarrive à la hauteur dune coureuse avec queue de cheval dans mon 4×4 de 3 tonnes et j’ai henvie de lattraper au lasso et de la trainer »
Fais de même avec certaine « joggeuse » ! Comme on dit dans les souks de Marrakech « ça gagne pas mais ça débarrasse ».
Ce n’est pas Tognazzi dans First aid, mais Sordi, Jacques.
Je n’osais pas confesser ici ce que je pense du Nobel d’Annie Ernaux après le tombereau de commentaires admiratifs de son œuvre qui s’ est deversé ici
Mais après ce qu’ont écrit Closer et Renato j’ose.J’ose dire que je suis de leur avis et aussi que je souscris tout à fait à ce que dit sur ses mérites, comparés à ceux de Kadaré ou de Kundera, cet homme politique dont on n’ose écrire le nom
D’Annie Ernaux je crois avoir lu de nombreux livres, et en general sans déplaisir ;
J’ai aimé lire, souvent en diagonale, me contentant de les feuilleter, ces œuvrettes, où moi qui suis à 3 mois près sa contemporaine, je retrouvais dans ses souvenirs gentiment consignés la narration d’un destin banal de fille de ma génération .
Cursus classique de ces filles du temps des trente glorieuses, qui, de bonne élève encouragée par ses profs, fait une prépa ou propédeutique et devient prof, s’inserant dans un milieu different de son milieu d’origine, parfois par le mariage suite une rencontre en fac.
Une lecture tranquille, plaisante pour moi en ce qu’elle me permettait au passage de saluer dans ma mémoire en les faisant resurgir des experiences, des des situationsdes impressions oubliéees , analogues à celles du livre.
Mais,
– De faire, par le Nobel, de cette plate autobiographie, platement écrite, un monument litteraire de l’ecriture de l’intime,
-De faire du féminisme conformiste qu’y s’y exprime un cri liberateur;y voir une construction née d’une reflexion riche originale et avant–gardiste ,alors qu’AE n’a fait comme nous toutes alors, que se vouloir fille de Beauvoir, en lectrice attentive, et un peu naïve du Deuxième sexe et des Mémoires d’une jeune fille rangée, elle pour qui, comme pour nous autres, le fait d’etre une femme n’a barré aucune route.
Pour moi c’est NON
Le jury du Nobel qui consacre Ernaux et a ignoré Roth ou Kundera, qui installe AE au même rang que Thomas Mann, Mauriac ou Toni Morisson, ne manque –t-il pas a sa mission?
Oui, renato. Il est tellement grimé que je ne l’avais pas reconnu !
Et bien il fallait que ce soit dit, DHH.
Par une femme, d’autant plus…
Bien que les Merze soient viennois et non tchèques, Stoppard a reconnu la nature autobiographique des sources de la pièce : ses quatre grands-parents et les trois sœurs de sa mère sont morts pendant l’Holocauste, un sujet dont sa mère a passé toute sa vie à essayer de ne pas parler. . Son fils n’a découvert toute la vérité sur son passé qu’au début des années 90, alors qu’il était un homme d’âge moyen.
« Leopoldstadt » est-il une forme de récompense pour n’avoir pas regardé cette histoire en face jusqu’à présent ? C’est tentant de le penser. Il y a aussi le sentiment d’avoir évité la calamité sans se rendre compte, ou vouloir se rendre compte, à quel point elle était proche. (Dans notre interview, Stoppard a ergoté sur la pertinence du terme « culpabilité du survivant », mais a admis que les chagrins de la pièce lui appartenaient en grande partie.) calcul, celui qu’il envisageait sous une forme ou une autre depuis près de trente ans. Lors de sa première ouverture, Stoppard a laissé entendre que ce pourrait être sa dernière pièce; quand nous avons parlé, il semblait moins sûr. Comme avant, le temps nous le dira
NEW YORKER/« Rosencrantz et Guildenstern sont morts », la pièce qui a fait le nom deTom Stoppard , en 1966, commence par une image scénique parfaite : Ros et Guil, ces fonctionnaires-identikit empruntés à « Hamlet », passent le temps à lancer des pièces. Leur destin ayant été scénarisé par Shakespeare, l’issue ne fait aucun doute : c’est la tête à chaque fois. « Ça devient un peu ennuyeux, n’est-ce pas, » dit Ros, avec un rire gêné.
J’ai fini par écrire sur moi en 1955, mais l’histoire familiale de ce jeune homme ne ressemble qu’au sens le plus large à la mienne. Comme je l’ai découvert, dès que la pièce est sortie, il y a suffisamment d’expériences partagées pour tout le monde – des dizaines de milliers, des centaines de milliers de familles, qui peuvent toutes dire : « Vous écrivez sur ma famille ». Ils savent que je ne le suis pas, et je sais que je ne le suis pas, mais c’est aussi vrai que, oui, j’écris aussi sur leurs familles.
« Leopoldstadt » semble tissé dans le tissu de votre propre vie et de votre histoire familiale – il est difficile de démêler où commence la pièce et où se termine la vraie vie.
Si je pouvais me rappeler comment je suis arrivé à « Leopoldstadt », je recommencerais. J’ai écrit une pièce intitulée « Rock ‘n’ Roll », qui parlait d’une sorte d’alternative remontant, je suppose, aux années quatre-vingt. Mais je ne pensais pas de manière autobiographique – je pensais à ce qu’aurait été ma vie si j’étais retourné en Tchécoslovaquie. En d’autres termes, je n’ai jamais pensé à mon héritage juif. C’était une question d’idéologie.
Lorsque le communisme est tombé, en Tchécoslovaquie, j’ai commencé à en savoir plus sur une ou deux personnes qui me sont apparentées et qui, dans certains cas, y vivaient encore. Je n’aurais pas écrit sur mon héritage – c’est le mot pour ça aujourd’hui – du vivant de ma mère, parce qu’elle avait toujours évité de s’y aventurer elle-même. Quand elle est morte, je suis allé dans ma ville natale et je ne me souvenais de rien. J’avais environ dix-huit mois quand j’ai quitté Zlín, en Tchécoslovaquie. Je n’y suis pas retourné en pensant, tu sais, voici quelque chose que je peux utiliser.
Le jury du Nobel qui consacre Ernaux et a ignoré Roth ou Kundera, qui installe AE au même rang que Thomas Mann, Mauriac ou Toni Morisson, ne manque –t-il pas a sa mission?
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Au même rang que Dylan, tout de même. Petite musique en moinss.
Mais, comme on le dit pour l’agrégation, le jury est souverain (& gris & poussiéreux).
Kundera n’a rien produit de bien depuis qu’il est en France, ce qui n’est pas franchement de la pub pour les facultés de stimulation créatrice d’icelle.
« Louis XIII homo, Louis XIV homophobe parce que violé dans sa jeunesse »…
C’est l’Histoire de France telle qu’on la raconte au Marais ?
Et Monsieur, alors ?
Volià que le Gradian se met à faire des fautes de grammaire maintenant
« Bruno Latour, French philosopher and anthropologist, dies ages 75 »
Le Guardian, sorry…Si ça continue, il va avoir le Nobel!
N42TAIT6CE PAS ROSEqui parla de psoriasis?
L’huile de cade peut être utilisée dans les maladies de peau comme l’urticaire, l’eczéma, le psoriasis mais aussi sur le cuir chevelu (pellicules, cheveux gras). Elle est également recommandée pour les infections cutanées (gale ou mycose).
Un médicament à base d’huile de cade, le Caditar (solution pour application cutanée à diluer) avait obtenu l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) dans le traitement local du psoriasis et des dermites séborrhéiques, mais il a été supprimé en janvier 2015.
Ce n’est pas Tognazzi dans First aid, mais Sordi, Jacques
rénateau dans ses mise au point de tricheurs aux examen qu’il a toujours été..on ne se refait pas qu’il aurait dit lalberto..merci baroz
kabloom n’a pas triché attation..la terre ne ment pas je connais mes classiques par coeur qu’il a dit aux examinateurs qui vaient des têtes de fils de beureufromage..chacun sa croâ quil dit lassouline a mélanchon
Après la critique de Beigbeder et le verdict de DHH, tout est dit.
Il n’y a plus qu’à passer à autre chose. N’est-ce-pas Passou?
« Pain et chocolat » où Nino (Manfredi), Italien déraciné vivant en Suisse, cherche désespérement du travail. Poursuivi par le mauvais sort, Nino l’immigré a bien du mal à assumer sa latinité…
pourtant ça commençait bien avec le beau manequin du nord qui devait te plaire et sa manequeune klepto du coeur et de plastique money..une fois sur le yatch ça a été la débandade..distribution stéréotipée des rôles par pays..même le russe et son usine a merde n’arrive a rien sauver..tuez les tous et rapidment j’ai rencart avec la baronne qu’il aurait dit alberto en cardinal
clolcokeupu fait savoir que sil se cassait ça frait des vacances..mais fume
Je serais DHH, j’apprécierais très moyennement le rapprochement avec Beigbeder. C’est limite insultant.
Merdre, le tuber magnatum est à 600€ l’hectogramme ! faudra que je participe à la manif du 14…
Et bien il fallait que ce soit dit, DHH.
Par une femme, d’autant plus…
anéfé.. »mais ne manque t’elle pas a sa mission » etc. baroz ?
B. Latour qui n’a fait l’objet d’aucun billet rdl, se voit brutalement rappelé -à l’occasion de son décès- a l’attention des croyants et des crédules, par une rafale de tweets.
Je regrette que cette disparition, avec le respect légitime que l’on doit à une personne notablement connue , soit l’unique occasion sur la rdl de faire part d’une consternation toute aussi légitime.
Ces saluts tous azimuts, rappelant comment ce gourou a réussi à occuper une grande place médiatique, dans cette nouvelle ère de l’ignorance élevée au rang d’intelligence, sont en effet consternants.
Il faut avoir lu les fadaises de M. Latour sur sa déesse Gaïa, pour qu’un esprit critique et raisonnablement curieux dans différentes disciplines, renonce à évangéliser dans le désert, devant une foule de convertis (abrutis?).
Lu cela, un p’tit salut, à la hauteur de l’événement :
« Latour semble obsédé par le rassemblement le plus large possible d’entités pour constituer un monde rassurant. À l’image de Noé [45], chargeant sur son arche le monde animal que Dieu lui ordonne de sauver de sa propre colère, Latour entasse les actants dans une rhétorique prenant sa source dans la Bible. Plusieurs ouvrages d’auteurs prétendument ancrés dans les sciences sociales (comme celui de Philippe Corcuff, intitulé Pour une spiritualité sans dieux [46]) semblent littéralement aimantés par la religion et la quête spirituelle. Latour se contente d’exprimer un trait (malheureusement) de plus en plus marquant, celui de l’insistante et inquiétante obstination de la religion à vouloir se faire passer pour science de manière à s’imposer à nouveau. »
j’ai été frappé de constater que pour la plupart, ils ignoraient tout de ses prises de position politiques et autres, hors de ses livres. Cela n’a rien d’étonnant car il en est souvent ainsi.
tous tes arguments qui n’en sont pas sautodétruisent néanmoins telment qu’a la fin de l’envoi jme dmande si c’est pas toi qui fout lcamp lassouline..tate toi le gras du bide et dis bien haut et clair si tu sens quelquequechose plutôt que rien..les fantomes les pilers du milieu litteraire tire dsus au 12 a pompe au texas..faut faire gaffe
l faut avoir lu les fadaises de M. Latour sur sa déesse Gaïa
quand on a été haussi hinspiré on a gagné son droit à tater des gras cosmique..un peu havant dmourrir..jlui pardonne..chus pas chien..lui c’était un kador
Bouguereau jette un coup d’œil au miroir et croit y voir un autre.
https://www.pileface.com/sollers/IMG/jpg/desir_instantanes_poetiques07.jpg
Renato , Les ayants droits et héritiers de Fulcanelli ont bloqué toute recherche sur l’identité du triple « ancêtre », las de lire les fadaises des historiens, et on les comprend. Il n’est pas sûr que ce Finis Gloria Mundi soit de lui.
Laissez moi danser.
https://youtu.be/IM-s3QwWiQ8
On a connu une autre hypothese Gaia avec la Gnose de Princetown et le médiatique Carl Sagan. Espérons qu’il n’y a pas de liens.
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