Le songe d’une nuit de théâtre
Une pièce, on y met ce qu’on veut. Qu’on la mette en scène, ou qu’on y assiste, il est permis de la bousculer, et même de lui faire violence, donc de la violer dès lors qu’on lui fait un bel enfant (merci Dumas !). Ce genre de réflexion est inévitable lorsqu’on assiste à un spectacle tel que Le Songe d’une nuit d’été (A Midsummer Night’s Dream, écrit en 1594) monté par Muriel Mayette-Holtz depuis hier à la Comédie française. On peut tout faire subir à Shakespeare, il en sortira toujours vainqueur. Ce qui est rassurant. Tel est le privilège des génies : leurs chefs d’œuvre sont insubmersibles. Ils survivent tant aux outrages qu’aux hommages.
Quelle histoire raconte la pièce ?
« À Athènes, Thésée s’apprête à célébrer ses noces avec Hippolyta, la reine des Amazones. Dans la forêt avoisinante, Obéron, roi des fées, se dispute avec Titania, sa femme, au sujet de leurs nombreuses conquêtes passées et présentes. Ajoutons deux couples d’amoureux contrariés – Hermia, qui est amoureuse de Lysandre mais promise à Démétrius, lequel est aimé d’Héléna – et des artisans partis répéter une tragédie pour les noces de leur roi, sous la baguette du truculent Bottom. Tout ce petit monde finit par se retrouver dans la forêt, où les sortilèges d’Obéron, aidé par le lutin Puck, vont semer la confusion au cours d’une nuit dont personne ne saura vraiment si elle est un rêve, un jeu ou un fantasme. Un songe ? »
Mais, on le sait, une pièce, pas plus qu’un roman, ce n’est un sujet, et moins encore celui annoncé par son résumé. Celle-ci, telle qu’on peut la voir au Français jusqu’au 15 juin, est une machine à fantasmes, mais une machine fantastique dans la double acception du terme. Un spectacle conçu pour divertir dans la fantaisie la plus débridée. Le rêve y prend sans cesse le pas sur le désir. Ou plutôt sur « les » désirs puisque le désir sexuel s’y bat en duel avec le désir amoureux sans qu’ils aient à se fondre automatiquement.
La mise en scène s’est voulue respectueuse des intentions de l’auteur, c’est à dire aussi irrévérencieuse que lui. Elle est très physique, dansante, virevoltante, attentive à la gestuelle, indifférente aux détails pour mieux servir les acteurs, le théâtre de Shakespeare autorisant toutes les libertés formelles (très loin des didascalies contraignantes d’un Beckett par exemple). Le plus réussi est la mise en abyme du théâtre dans le théâtre. Ce n’est certes pas nouveau, et de moins en moins original ; sauf que là cela prend naturellement, sans l’ombre d’un procédé. Shakespeare accorde toute liberté à celui qui voudra s’emparer de sa pièce ; reste voir et à savoir ce que celui-ci en fera.
Dès le début, les comédiens surgissent dans le théâtre allumé, s’installent aux premier rangs parmi les spectateurs, et reviennent à la fin pour le morceau de choix, afin d’assister à la représentation, tordante il est vrai, d’une troupe de théâtre amateur offerte à Thésée pour son mariage. Excellent prétexte pour s’interroger sur l’(in)utilité, la nécessité, la vanité du théâtre. Dès lors, il n’y a plus de salle et plus de plateau, plus de lustres et plus de planches. Les frontières se sont dissolues dans l’émeute de fantasmes à laquelle nous avons assisté deux heures durant (sans entracte) dans une fête féérique. Le fond uniformément blanc du décor, composé d’un grand drap tendu, donne sa couleur au rêve.
Le spectacle est rapide, vif, enchanté – et l’inventivité des costumes n’y est pas étrangère. C’est que la troupe y prend manifestement un plaisir fou tant Shakespeare en a habilement agencé les ressorts comiques en jonglant avec ses fées et ses spectres. Un délire parfaitement maîtrisé se déploie sous nos yeux avec ce qu’il faut d’hallucinations. On est toutefois moins chez Jérôme Bosch, comme le laisse croire le programme en reproduisant le Jardin des délices et la Tentation de Saint-Antoine, que chez James Ensor.
On rit souvent, mais du rire de Shakespeare qui n’est pas celui de Feydeau, encore que la mise en scène fasse aussi la part belle au comique de situation, quand les comédiens ne se délectent pas de l’humour du texte. Deux réserves toutefois, même si elles ne nous feront pas bouder notre plaisir : la musique, avec ses accents de comédie musicale du pauvre, qui semble être désormais la règle au théâtre, mais qui fait du tort au texte quand elle le couvre (mais il paraît qu’en 1965, pour la même pièce sous les mêmes lambris, c’était jazz et sirtaki !) ; et la traduction de François-Victor Hugo, classique et poussiéreuse ô combien, et libre de droits (1865), là où on aurait préféré les mots de Jean-Michel Déprats, André Markowicz et Françoise Morvan, Pascal Collin, Yves Bonnefoy ou d’autres encore à qui la commande aurait pu être faite par rapport à cette nouvelle mise en scène, quitte à privilégier la dimension poétique ou théâtrale. Ainsi entend-on Thésée répondant à Hippolyta :
“Au cours de mes périples, de grands savants ont voulu me saluer par des compliments prémédités ; alors, je les ai vus frissonner et pâlir, s’interrompre au milieu des phrases, laisser bâillonner par la crainte leur bouche exercée, et, pour conclusion, s’arrêter court sans m’avoir fait leur compliment. Croyez-moi, ma charmante, ce compliment, je l’ai recueilli de leur silence même. Et la modestie du zèle en déroute m’en dit tout autant que la langue bavarde d’une éloquence impudente et effrontée. Donc l’affection et la simplicité muettes sont celles qui, avec le moins de mots, parlent le plus à mon cœur. “
C’est le moment où jamais de (re)lire la réflexion qu’inspira l’exercice de traduction des oeuvres de Shakespeare, désigné comme l’auteur qui se défend le mieux contre ses traducteurs, à un certain… Victor Hugo, justement.
(Photos Christophe Raynaud de Lage)
1 013 Réponses pour Le songe d’une nuit de théâtre
Oh, ça ne t’a pas fait rigoler, Bouguereau ? Parce que moi, si.
La corde d’un pendu homosexuel porte bonheur aux amis !
« je ne te félicite pas »
Faut voir si elle fait exprès ou pas. Toi, je suis sûr que c’est une attitude snobinarde, ce qui enlève toute valeur à l’action — essaie le dandysme, c’est plus rigoureux… bon, c’est vrai que toi et la rigueur c’est pas gagné…
« La corde d’un pendu homosexuel porte bonheur aux amis ! »
Celui-là par exemple, qui a eu bien de la chance ?
http://www.dreuz.info/wp-content/uploads/hangen4.png
Que de mots! C’est trop, je renonce à les lire.
Jacques, vous avez raison : c’est parfaitement insupportable. Rien que pour ça, on devrait arrêter tous les ayatollahs du monde, mais quelle prison serait assez grande ?
Oh, ça ne t’a pas fait rigoler, Bouguereau ? Parce que moi, si.
ha le rire est un gros steak clopine..les lions en ont des traces jusqu’aux oreilles
on devrait arrêter tous les ayatollahs du monde, mais quelle prison serait assez grande ?
« Rien que pour ça, on devrait arrêter tous les ayatollahs du monde, mais quelle prison serait assez grande ? » (Clopine)
Le monde, probablement.
Ten Women Who Use Film :
Rien que pour ça, on devrait arrêter tous les ayatollahs du monde, mais quelle prison serait assez grande ?
pfiou..reusment que t’as pas comparé proust avec la mosquée du chêque lotfalah
Le monde, probablement
êpêpèpe! sauf rénato et cheuloux !..il reste pus que la moitié..tu vas trop vite en besogne zouzou
Sous des régimes religieux où les garçons vont parfois avec des garçons à défaut de pouvoir aller avec des femmes, Clopine, ces pendus témoignent surtout de la haine du sexe en général…
« on devrait arrêter tous les ayatollahs du monde… »
Je me souviens de John Cage faisant dans l’ironie : « Bonne idée, on devrait l’imposer par décret ».
Ben, faudrait savoir Bouguereau. Quand c’est toi, ce sont d’innocentes plaisanteries, quand c’est les autres, ce sont des abîmes de méchanceté sournoise, c’est ça ?
je viens de finir la lecture de SIGMARINGEN.
on s’en fout
lassouline y mérite pas ça..quelle raclure ce keupu
Oui, d’ailleurs les femmes, on les lapide. C’est mieux, ça dure plus longtemps.
Quand c’est toi, ce sont d’innocentes plaisanteries, quand c’est les autres, ce sont des abîmes de méchanceté sournoise, c’est ça ?
ça c’est humain clopine..là tu peux pas dire le contraire..et à personne ce n’est étranger..la dessus on peut batir des cathédrales ! que dis je des cathédrales..des piramides ! que dis je des piramides..écrire un bouquin de cul..c’est pour quand au fait?
Bouguereau, j’ai l’impression que ton nouveau truc a encore fait plouf!
En effet, Clopine, il semble que les femmes ne méritent même pas la corde pour les pendre !
Les Tartuffes, voilà pourquoi j’ai toujours préféré Molière à Shakespeare ?
@Bouguereau.
J’écris « truc », mais je pourrais dire « machin », hein…
« ça c’est humain… »
Très catholique ça — c’est d’ailleurs pour ce être humain que http://amoebalanding.tumblr.com/post/76597750474 : Pierre sur cette pierre etc.
Mais c’est tout à l’honneur de la Maison de Molière d’accueillir les auteurs étrangers.
Abdel et Bloom pourraient-ils nous dire si à Londres les théâtres montent autant Molière que nous Shakespeare à Paris ?
Enfin un moment pour lire la préface d’Hugo donnée en lien.
Prise dans son ensemble, elle est magnifique, bien sûr.
C’est un paradoxe sans surprise que l’éloge de l’Anglais soit fait à l’aide d’une rhétorique bien française.
Le vertige de l’amplificatio.
On voit parfois pointer l’oreille de l’écolier, un écolier qui traverse les âges et n’est pas aujourd’hui tout à fait mort.
Je ne veux ennuyer personne mais il arrive à Hugo d’écrire comme M. BH Lévy:
« Ah ! vous traduisez Shakespeare ? Eh bien, vous êtes un faquin ; mieux que cela, vous êtes un impudent imbécile ; mieux encore, vous êtes un misérable. Vous faites un affront à la France. Vous méritez toutes les formes de l’opprobre public, depuis le bonnet d’âne, comme les cancres, jusqu’au pilori, comme les voleurs. Vous êtes peut-être un monstre. »
Si M. Court passe par là, il dira quelle est l’origine (et probablement l’ironie) du propos que Hugo attribue à Stendhal:
« Au dix-septième siècle, à propos de madame Dacier, on posa la question : Faut-il traduire Homère ? L’abbé Terrasson, tout net, répondit non. La Mothe fit mieux ; il refit l’Iliade. Ce La Mothe était un homme d’esprit qui était idiot. De nos jours, nous avons eu en ce genre M. Beyle, dit Stendhal, qui écrivait : Je préfère à Homère les mémoires du maréchal Gouvion Saint-Cyr. »
(Non, même pas un café, un ignoble Nes’, pris sur un coin de table)
Abdel et Bloom pourraient-ils nous dire si à Londres les théâtres montent autant Molière que nous Shakespeare à Paris ?
mais enfin baroz..gaga joue ma k7 ma k7 ! et kabloom..hach kabloom..il mourira sur scène épicétou
Enculer, double erreur. Orificielle, islamique et mortelle
(Non, même pas un café, un ignoble Nes’, pris sur un coin de table)
ça t’apprendra de nous jouer ouat else
bouguereau dit: 14 février 2014 à 9 h 52 min
ce que tu fais (lis) ou pas, on s’en fout
Je ne veux ennuyer personne mais il arrive à Hugo d’écrire comme M. BH Lévy
hélas !
il aurait du quelquefois écraser
Quand c’est toi, ce sont d’innocentes plaisanteries, quand c’est les autres, ce sont des abîmes de méchanceté sournoise, c’est ça ?
bien vu Clopine, boug est un prétentieux qui sla pête
On voit parfois pointer l’oreille de l’écolier
l’zouzou l’a des souvenir douloureux
bouguereau dit: 14 février 2014 à 10 h 09 min
(Hugo)
« hélas !
il aurait du quelquefois écraser »
Bouguereau, toi tu peux l’ouvrir, pas de souci, personne te lit…
Et le petit célinien jouant le freak demanda à maman s’il pouvait se faire la coupe mohawk…
>Clopine
moi aussi je reçois des trucs incroyables sur ma boîte mail. Mais plutôt des étudiants africains qui pour récupérer l’héritage de leur papa chef de brousse ont besoin de mes dollars en attendant mieux.
J’ai constaté que, sur nos boîtes mail on reçoit ce dont on a besoin.
>Re-Clopine
christiane m’a envoyé fort gracieusement votre ouvrage de vulgarisation sur Proust de manière à ce que je le lise. Et je l’ai lu.
Voui.
zouzou c’est l’oreille qqui lui tire et cheuloux c’est la fesse qui a des mémoires de cuisson..et tout ça fait d’excellent français
Je l’ai lu dans le désordre.
Maintenant je vais attaquer le dieu pervers qui m’a été prêté. De Maurice Bellet. Un de nos très grands et très nombreux illustres inconnus.
Mais si cela l’a rendu heureux, moi je suis assez pour.
Salut à tout le monde,
« Abdel et Bloom pourraient-ils nous dire si à Londres les théâtres montent autant Molière que nous Shakespeare à Paris ? »
Il ne faut pas parler à Abdelkader de l’auteur, mais du metteur en scène Arsène Wenger, qu’il connaît admirablement.
Baroz, il ne faut plus parler d’auteurs estrangers. Il y a des auteurs biens et d’autres moins biens. Le niveau général baisse, disent les madames michu de chaque époque et quelques personnes avisées et non-ipodées. En France, on adapte, ça donne « Mamadou et Juliette ». A Berlin, le festival de cinéma fait le plein de films gay.
Clopine, c’est vrai que vous êtes cruelle, – comme un dindon. Quant à Proust, vous avez une conscience sociologique de vous-même beaucoup trop marquée pour le lire vraiment. Souvent, j’ai l’impression que c’est plutôt vous que vous lisez à travers lui.
Et le petit célinien jouant le freak demanda à maman s’il pouvait se faire la coupe mohawk…
en ces temps là les poux faisaient la boule à zéro rénato..djohn cage avait fait un décret..hurkurkurkurk!
Souvent, j’ai l’impression que c’est plutôt vous que vous lisez à travers lui
et toi à travers elle..hélas
Bouguereau, quoique tu dises, et où que tu le dises, tu restes très académique.Y a rien.
bouguereau dit: 14 février 2014 à 10 h 18 min
Ça veut rien dire, mais ça à l’air de faire mouche. C’est tout toi, Bouguereau de néant.
Cet abbé Terrasson dont parle Hugo dans la préface, il m’avait terrassé à 17 ans.
A 17 ans, on est terrassé pratiquement tous les jours. A 71 ans, on l’est parfois une fois, la dernière.
C’était dans la préface à la Cripure, où Kant fait remarquer qu’on cesse parfois d’être clair à force de vouloir être plus clair (plus on explicite, plus on perd le fil, si je me souviens bien). Il attribue cette remarque à l’abbé Terrasson, qui notait que les pyramides d’Egypte n’étaient impressionnantes qu’à une distance déterminée, ni trop proche ni trop éloignée. Il en allait de même de la clarté.
L’écolier zouzou, bouguereau, il retenait surtout les détails.
Un petit historique ?
« La Comédie-Française a été fondée par lettre de cachet de Louis XIV le 21 octobre 1680 dans le but de fusionner les deux seules troupes parisiennes de l’époque, la troupe de l’Hôtel Guénégaud et celle de l’Hôtel de Bourgogne. C’est le seul théâtre d’État en France disposant d’une troupe permanente de comédiens. Considéré comme le patron des comédiens français, Molière (1622-1673), était mort depuis sept ans quand est née officiellement la Comédie-Française, dite aussi la « maison de Molière ».
La salle Richelieu est la principale des trois salles de spectacle de la Comédie-Française (ou Théâtre-Français), avec le théâtre du Vieux-Colombier (6e arr.) et le Studio-Théâtre (ouvert en 1996, dans le galerie du Carrousel du Louvre, 1er arr.).
Elle a été construite, à la demande du duc de Chartres, propriétaire des bâtiments et des terrains du Palais-Royal, par l’architecte Victor Louis, qui avait bâti précédemment le théâtre de Bordeaux.
Après quatre ans de travaux, elle fut inaugurée en mai 1790.
Destiné à accueillir à l’origine la troupe de l’Opéra, dont la salle située à l’extrémité orientale du Palais-Royal avait été détruite par un incendie en 1781, elle fut louée finalement à la troupe des Variétés Amusantes.
Celle-ci céda la place, en 1891, à la troupe de comédiens dissidents (parmi lesquels figuraient Talma et Mme Vestris) de la Comédie-Française installée alors au théâtre de la Nation (actuel Odéon).
Réunis sur l’ordre du ministère de l’Intérieur en 1799, les comédiens du Théâtre-Français réintégrèrent tous la salle Richelieu où ils se trouvent encore de nos jours.
En harmonie architecturale avec le Palais-Royal, le théâtre se distingue néanmoins par la modernité de sa construction, charpente, plafonds et supports de loges en métal.
La façade d’origine, rue de Richelieu, est composée de neuf travées sur cinq niveaux couronnés d’une coupole en fer et poterie, tandis que le rez-de-chaussée présente un ordonnancement classique de colonnades.
A l’intérieur, Victor Louis imagina un théâtre à étages de 2 000 places, reposant sur un vestibule en rotonde.
Dès 1798, l’architecte Palaiseau apporta des modifications sensibles au bâtiment, mais son confrère Fontaine fut chargé, en 1822, de le restaurer conformément au projet initial.
De 1860 à 1864, Prosper Chabrol créa la façade sud, côté place Colette, ce qui lui permit d’aménager le péristyle, l’escalier d’honneur, le foyer du public et les actuelles dépendances de la Comédie-Française dont l’aspect extérieur est pratiquement resté inchangé depuis cette époque.
L’intérieur, en revanche, n’a cessé d’être remodelé et modernisé.
En 1887, l’éclairage à gaz est remplacé par l’électricité et un rideau de fer est installé pour isoler la scène de la salle.
Incendié malgré tout le 8 mars 1900, le théâtre a été restauré à l’identique par Julien Guadet.
En 1912, le plafond, décoré précédemment par Mazerole en 1879, fut repeint par Albert Besnard.
La salle Richelieu, qui avait été à nouveau profondément restaurée par Joseph Marrast en 1935, va être encore considérablement rénovée par Louis Blanchet à la fin des années 1970. Le théâtre à l’italienne, qui a conservé son décor rouge et or depuis le second Empire, voit encore sensiblement réduire son nombre de places afin d’assurer une plus grande visibilité à l’ensemble des spectateurs. A la même époque, le rideau a été redessiné en 1986 par Olivier Debré.
De 1994 à 2004, Alain-Charles Perrot procéda au remplacement de l’ensemble des fauteuils et des habillages : tentures, velours, moquette et effectua une réfection des dorures et patine.
En 2012 enfin, Christophe Bottineau coordonna les importants travaux de rénovation acoustique et de remise aux normes de la salle Richelieu.
Totalisant désormais 862 places, la salle Richelieu demeure l’écrin privilégié permettant aux 37 sociétaires (auxquels s’ajoutent 20 sociétaires honoraires) et 26 pensionnaires actuels de la troupe de la Comédie-Française d’afficher régulièrement au programme quelques unes des 2 672 pièces inscrites à ce jour au répertoire. Un répertoire éclectique et varié, constamment réactualisé, qui va des pièces de Molière, Racine et Corneille aux œuvres de Valère Novarina, Bernard-Marie Koltès et Jean-Luc Lagarce, en passant par celles de Marivaux, Alfred de Musset ou Victor Hugo. »
Ça veut rien dire, mais ça à l’air de faire mouche
tu fais toujours l’gros noeil ahuri du rat dans la nasse cheuloux..ça te regarde
Tu t’embrouille, le petit célinien, le décrété n’est pas le décrétant…
« En France, on adapte, ça donne « Mamadou et Juliette » » (Phil)
Hihihi…
CENTRAFRIQUE
« L’Unicef a ainsi vérifié les cas d’enfants décapités et mutilés intentionnellement. Des enfants blessés lors de fusillades ont dû se faire amputer parce que l’insécurité les a empêchés de se rendre à l’hôpital à temps pour un traitement… La Centrafrique a sombré dans le chaos depuis le coup d’Etat en mars 2013 de Michel Djotodia, chef de la coalition rebelle Séléka à dominante musulmane. »
« En France, on adapte, ça donne « Mamadou et Juliette » » (Phil)
ho hé c’est shakespeare qui a adapté en premier..l’a pas du tout inventé l’histoire non pus..il n’en a pas inventé beaucoup d’ailleurs..c’était l’époque..et alors ?
mauvais procés
le décrété n’est pas le décrétant…
j’aime bien..ça fait « bourreau barbouilleur de lois »
Le Boug, c’est pas ta capacité cérébrale de bulot qui opérera ce miracle… Cela dit, si tu veux y croire….Mais suffit pas de représenter un phénomène pour le faire exister, sauf pour la galerie, évidemment…
» A Berlin, le festival de cinéma fait le plein de films gay. »
Y a plein d’adaptations de « Romeo et Romeo », Phil ?
« Celle-ci céda la place, en 1891, à la troupe de comédiens dissidents (parmi lesquels figuraient Talma et Mme Vestris)
Réunis sur l’ordre du ministère de l’Intérieur en 1799, les comédiens du Théâtre-Français réintégrèrent tous la salle Richelieu » (JBa)
Cette réintégration était d’autant plus louable qu’elle effectuait un saut d’un siècle en arrière.
history on ze move, bougreau. Khadaffi disait que le grand Will venait du désert, Sheik Spire. Le Colonel n’avait pas lu les sonnets.
Y a plein d’adaptations de « Romeo et Romeo », Phil ?
« udo et helmut »..ha on peux pas dire, les pédés ont un sens aigu du terroir, plusque les hétéros
u., la France est le pays de l’éternelle dispute !
Ce blog en témoigne à sa manière…
Rideau !
Il faudrait, le petit célinien, que tu regardes les relations des artistes avec le pouvoir dès, disons, Donatello à Shakespeare… il se peut que tu arrive à comprendre ce qu’invention veut dire… je pourrais te renvoyer à Eco (Les Limites de l’interprétation), mais là il y a le risque que ton chauvinisme prenne le dessus…
« De 1860 à 1864, Prosper Chabrol créa la façade sud… Christophe Bottineau… »
En offrant de tels noms, l’historien suscite la jalousie du romancier.
« Le Colonel n’avait pas lu les sonnets. »
Il n’y avait pas que des amazones à ses côtés, Phil. En bon Arabe, le colonel était éclectique et il a fini avec un bouteille dans le cul…
ja wohl, baroz. que du Roméo en doublette, le public from all over the gay world en redemande.
Romeo était le code des agents de la stasi chargés de faire tomber l’ennemi réputé de moeurs « classified ».
L’ennmi appréciait les approches des Roméo.
le grand Will venait du désert, Sheik Spire. Le Colonel n’avait pas lu les sonnets.
en même temps c’est pas tout à fait faux..les chaucers les bocaces et les shakespeare ont pompé héhontément..enfin c’est comme cela qu’on les prendrait aujourdhui..avec des gars comme ça l’europe shonore avant la lettre peut être..et le colonel il aurait bien trouvé un emplois en plantant ses tentes au globe
le colonel était éclectique et il a fini avec un bouteille dans le cul…
un peu long mais pas mal comme épitaphe
Voilà que le petit célinien n’a pas lu Borges…
Notre chienne vient de mettre bas sept chiots qui semblent en excellente santé, quoique déjà fort turbulents et bagarreurs. Nous avons appelé les mâles Bouguereau, Chaloux, Renato, les femelles, Rose, Christiane, Clopine, et le dernier Jacky.
Phil, nous en France on a Roméo et Romero, hélas !
http://yagg.com/2013/09/28/jean-luc-romero-christophe-michel-se-sont-maries/
« Clopine, c’est vrai que vous êtes cruelle, – comme un dindon. » (Chaloux)
Dans le sac du bourreau où Chaloux s’enveloppe
Je ne reconnais plus le passionné des tropes.
Quelqu’un émettait hier l’hypothèse que Bouguereau soit un « écrivain ». (Plutôt un écriveur, à mon avis, mais là n’est pas la question). Pas impossible.
Quoiqu’il en soit, je lui offre son épitaphe:
« Ci-gît l’Octave Feuillet du trou du cul ».
Au fait, Bouguereau, vous qui trouvez ma comparaison de la Recherche avec l’abbaye du Mont folklo, je vous rappelle tout de même que Proust décrivait son oeuvre comme une cathédrale. Je n’en suis pas si loin !
u. ce n’était rien qu’une allusion à une affreuse histoire de dindon tué à coups de bâton dans le poulailler de Clopine.
Romero
dead juliette et dummy romeo..c’est une idée baroz
je vous rappelle tout de même que Proust décrivait son oeuvre comme une cathédrale. Je n’en suis pas si loin !
ha! tu vois qu’il a pas dit que c’était du corné d’bif ! quelquefois je lis a travers toi cheuloux : de mauvaise foi
la gueule de Romero épousant son giton !
« c’est une idée baroz »
Antique, le boug, relis les classiques Grecs !
Je lis d’excellente foi, Bouguereau, mais d’une foi pour laquelle tu n’es pas au niveau.
yes baroz, les ravages de l’égalitarisme. « The word « gay » has destroyed faggots diversity ».
En droit canonique, il y a une différence de taille entre abbaye et cathédrale…
Rose, si j’étais vous, je n’attribuerais pas de caractère de voyance aux mails délirants que l’on reçoit… mais vous faites comme vous voulez, hein. Je voudrais espérer que votre lecture a été plaisante, je n’ose même plus penser à ce livre, dont la publication me fut offerte par un internaute (!! Cet internet, quel paradoxe, quand on songe à ce qu’on peut y apprécier et à ce qu’on peut y détester !) , et que je n’ai bien évidemment pas assez travaillé. Présentez mes excuses à Christiane : c’est vrai, hier, j’étais de méchante humeur.
« la gueule de Romero épousant son giton ! »
Relis le Satiricon, A vomir !
ne vous excusez pas, Clopine, Christiane a été plus méchante que vous, lire ses injures
D’ac Clopine.
Non je sais bien mais c’est parfois drôle à hurler de rire ce que l’on reçoit.
Salut, bonne journée
Antique, le boug, relis les classiques Grecs !
je te vois venir avec ta version cocteau baroz..il y a la morte amoureuse de théophile..bien belle histoire
Non, Bouguereau, le coup du boeuf en gelée, c’est à propos de Françoise : elle prépare un sublime boeuf en gelée pour un repas avec M. de Norpois, et Proust compare ce boeuf à un chef d’oeuvre de Michel Ange, Proust fait ça tout le temps à propos de tout. Même ses pratiques mondaines y passent : il précise que, s’il a fréquenté tel salon mondain et y est arrivé toujours épanoui, c’est parce qu’il y a un courant d’air dans l’entrée qui lui rappelle Combray, par exemple… Le prosaïque est décrit avec des termes élégiaques (comme pour les asperges…), le sublime ramené au plus sordide concret… inspiration, expiration, ahjaha.
Tailler une pipe à Romero quelle joie
Du point de vu projectuel aussi, même si une abbaye n’est pas vraiment telle s’il n’y a pas une église (ne pas oublier que « L’homme habite l’espace déserté́ par les dieux » F. Nietzsche).
Un mariage gay en latin de la grande époque
http://nubeo.nubeox.com/images/31442/21.jpg
Démesure et Petit Pois Chiche dit: 14 février 2014 à 11 h 00 min
ne vous excusez pas, Clopine, Christiane a été plus méchante que vous, lire ses injures
Je n’ai pas commencé encore et je en suis pas enthousiasmée c’est vrai. Pour Le dieu pervers.
Je vais tenter de confronter les points de vue.
Les mises en images de Fellini, c’est autre chose que cette laborieuse mise en scène de l’actuelle Comédie-Française !
[Cartier Bresson pleure devant un chef d’œuvre, in télérama, expo à Beaubourg, je ne suis plus toute seule comme c bon]
L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 14 février 2014 à 11 h 02 min
Clopine, la question est : pourquoi?
Ce que Sarkozy n’avait pas osé réaliser, Hollande va t-il le faire : fin du statut d’intermittent du spectacle ?
Petits pois : chiche.
Petit pois chiche.
Petits pois chiche.
Gros pois chiche.
Gros petits pois, chiche.
Petits petits pois : chiche.
rêveries du matin,
(petit poids avec un pain au chocolat mardi, une gaufre au sucre mercredi et trois biscottes beurrées dans un chocolat au lait hier soir, bibiche, euh ma bibiche euh euh euh).
on s’en fout, au boulot
Proust compare ce boeuf à un chef d’oeuvre de Michel Ange
hach..ce proust..: personne ni michel ange lui même n’est vraiment convaincu qu’il vaille un cornédbif..mais proust l’est pour lui, ça a un nom en logique
surtout ne rien dire des intermittents du spectacle : chaque cas est un cas particulier. Pas d’abus, non. De personne.
Tout va bien.
Faire semblant de.
« L’homme habite l’espace déserté́ par les dieux »
et satan labite mon éminence
on s’en fout, au boulot
les vrais douleurs sont muettes..c’est cool
Chaloux, à mon humble avis, c’est que la Recherche est comme une équation fractale. La plus petite partie a la forme du tout, comme dans le chou romanesco (photo d’un chou romanesco sur mon blogue, photo prise par Clopin et qui exprime exactement cette fractalité). Or, la Recherche, comme son nom l’indique, n’est qu’une question : la vérité existe-t-elle ?, répétée à l’envi et à l’infini, par ce mouvement de marée qui, parfois dans la même phrase n’est-ce pas, démontre que la vérité est insaisissable. (et qu’il vaut mieux en rire, comme devant le spectacle navrant des petites manigances humaines). Sauf par accident (la réminiscence) ou par création (écrire la Recherche), mais cette dernière s’opère au prix du sang… Bon, ce n’est que mon avis,hein.
« surtout ne rien dire des intermittents du spectacle »
rose, la ministre de la culture va certainement se faire allumer lors de la cérémonie des Césars !
Bon, ce n’est que mon avis,hein.
ma mère on dirait le matérialisme dialectique espliqué par cheuloux..je sais pas comment tu fais clopine..chapeau
rose, la ministre de la culture va certainement se faire allumer lors de la cérémonie des Césars !
non baroz..elle va inviter gérard..il va pisser sur la moquette..tout le monde dira qu’il est drole et tout ce beau monde verra midi a sa porte ?
« c’est que la Recherche est comme une équation fractale. La plus petite partie a la forme du tout, comme dans le chou romanesco (photo d’un chou romanesco sur mon blogue, photo prise par Clopin et qui exprime exactement cette fractalité) »
« je te vois venir avec ta version cocteau baroz.. »
Je voulais surtout dire qu’il n’y a plus d’idées originales, le boug.
En art (en sciences ?) tout a été dit et écrit.
Il n’y a plus qu’à défaire et à refaire…
Vois Passou, avec Sigmaringen, après le grand Céline.
Et bien, si l’on en croit ceux qui l’ont lu, Christiane ou JC (quel pas de côté !), il semble qu’il n’a pas mal réussi son coup ?
bouguereau dit: 14 février 2014 à 11 h 26 min
Bouguereau, ce qui m’amuse chez toi c’est que tu crois que tes souvenirs de classe prépa peuvent encore te sauver.
L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 14 février 2014 à 11 h 21 min
Clopine, il faudrait que chaque lecteur écrive son Proust.
La Recherche… Belle passion.
Un germaniste du blog devrait nous parler de l’ « Extrait d’un petit discours sur Proust prononcé à l’occasion de mon quarantième anniversaire » (1932) de Walter Benjamin.
Je ne vais pas m’en mêler, les germanistes qu’on attire sur son dos sont rarement des poids plume.
Merveilleux « Cahier de l’Herne » consacré à WB, paru il y a quelques mois, et dont on n’a rien dit ici, il me semble.
Mais, mais, mais… Il me semble bien, enfin, on pourrait croire que… une conversation littéraire ait pu s’installer ici… Que fait Jcé, ma parole ???
Chaloux, c’est justement la réflexion que je tenais chez Patrice Louis : la Recherche, c’est bien simple, chaque lecteur de la Recherche ne peut faire autrement que « malaxer » sa lecture, et la relater. Pas un qui ne se souvienne de où et quand il a ouvert le côté de chez Swann pour la première, et qui n’éprouve pas le besoin de le dire !Jusqu’à notre hôte, qui a certes cherché une forme originale (plus qu’un « dictionnaire » avec entrées alphabétiques, des citations permettant de s’y retrouver dans l’oeuvre) mais qui, comme les autres, comme tous les autres, jusqu’au plus petit, jusqu’à votre humble servante, a succombé au besoin bien proustien de témoigner de sa lecture.
@u.
Walter Benjamin. Une de mes prochaine lectures : son dossier Baudelaire, à La Fabrique.
http://www.lafabrique.fr/catalogue.php?idArt=807
« elle va inviter gérard..il va pisser sur la moquette.. »
Cette année, la diversion viendra du côté de Julie Gayet.
Viendra ou viendra pas ?
Et si d’aventure elle remporte le trophée (pas moins mérité qu’une autre), on frise la révolution… de palais !
Que fait Jcé, ma parole ???
Merveilleux « Cahier de l’Herne » consacré à WB, paru il y a quelques mois, et dont on n’a rien dit ici, il me semble
fais le..biroute de zouzou
… Mais si Proust me poigne, il n’est pourtant pas mon auteur préféré.
Le problème, Clopine, c’est qu’il y faudrait une stratégie égale à celle de Proust lui-même, et je n’en connais pas d’exemple (je parle des écrivains pas des spécialistes).
« Que fait Jcé, ma parole ??? »
Je me suis toujours demandé pourquoi au mot Proust, JC sort immédiatement son pistolet, Clopine ?
Un mauvais souvenir d’enfance, sans doute : il se couchait de bonne heure, et sa mère ne venait jamais l’embrasser ?
chaque lecteur de la Recherche ne peut faire autrement que « malaxer » sa lecture, et la relater.
La grande majorité des lecteurs de Proust ne sont pas aussi pénibles que vous, Clopina Trouille : ils ne régurgitent pas sans cesse en emmerdant les autres.
Esquissé, ce qui est déjà immense, par Diane de Margerie (Proust et l’Obscur) et par Marie-Odile Beauvais (Proust vous écrira).
ben oui, no comment, Jcé s’est donné pour mission sur terre d’infester ce blogue, d’y empêcher toute conversation, d’y exprimer sa détestation de la lecture en affirmant haut et fort qu’il ne lit pas, n’a pas lu, et ne lira pas des livres dont on débat, qui utilise ce lieu comme le zinc d’un troquet du haut duquel il commente les faits divers de la politique pour mettre en avant ce qu’il croit être finement paradoxal et sarcastique alors que ce ne sont que des opinions bourrées à ras bord de platitudes d’extrême-droite, et qui se permet de saupoudrer le tout d’un machisme ordinaire sur fonds de proposition de balade en scooter à Porquerolles (il n’a jamais lu la planche de Reiser sur les balades vélocipèdiques, ma parole) et de vagues relents d’égrillardes propositions qui sentent bon la maison de retraite, enfin, je résume, là.
JC n’aime pas les pédés, Proust en était, donc ceci explique cela. Quand à sa mère, elle ne l’embrassait pas car cette ordure sportive l’aurait immédiatement sautée.
Je voulais surtout dire qu’il n’y a plus d’idées originales, le boug
en tout cas baroz, aux temps homériques on se faisaient pas chier, citer ses sources c’était pesant et au besoin quand elles étaient trop voyante on s’inventait des mages et des passeur farabuleux dont vous étiez l’héritier spirituel..poursuivre une histoire inachevé c’est tout l’arthur..t’imagines clopine écrivant une suite a swan..c’était licite..a un moment la notoriété récapitulait..il y a l’invention et sa médiation pour faire le cuistre
Met ton casque, ô ma Julie brayonne, et viens sur mon scooter !
L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 14 février 2014 à 11 h 57 min
… Mais si Proust me poigne, il n’est pourtant pas mon auteur préféré.
Contre toute attente !
… Et pour compléter le tableau, Jcé pousse des cris d’orfraie à chaque fois que l’on se plaint de lui, en appelant à la liberté d’expression en même temps qu’il étouffe les débats. Un pauvre type, quoi.
Clopine, cette notion d' »auteur préféré », je n’y comprends rien. Au moins cinquante noms se présentent…
« Clopine, il faudrait que chaque lecteur écrive son Proust. »
Il y a ceux qui passent à l’acte, comme Clopine, et ceux qui remettent toujours au lendemain (suivez mon regard, Chaloux, non, non, pas dans la boite à gants de Sergio, il a déjà tant à faire avec les tennis anglais !)…
bouguereau dit: 14 février 2014 à 12 h 09 min
« pour faire le cuistre »
Gagné!
Rejoue…
J’lui ai dit viens
Vous allez m’dire pourquoi tu y as dit viens
Comme ça bêtement derrière le bois pour rien
Laisse tomber ton lait qu’est sur l’feu ton frère qu’attend l’lait qu’est sur l’feu
J’lui ai dit viens
Elle m’a dit non j’peux pas
Y’a mon lait qu’est sur l’feu
Y’a mon frère qu’attend l’lait qu’est sur l’feu
Y’a ma mère qu’est malade,
Y’a mon père qu’est pas bien
J’lui ai dit viens
tu sais les rats dans les nasses on les ébouillantes cheuloux..faut pas mette les mains
@baroz « En art (en sciences ?) tout a été dit et écrit. »
Ben voyons! Qu’en savez-vous
Jacques, vous n’allez pas me refaire le coup à chaque fois. Je vous ai déjà répondu sur ce point. Vous commencez à être -un peu- pénible.
Entre Clopine qui rabâche, JC qui rabâche, Bouguereau qui rabâche, et Chaloux qui rabâche, on est gâtés aujourd’hui
bouguereau dit: 14 février 2014 à 12 h 14 min
Oui mais toi, Bouguereau, avec ta tronche de culbuto et ton cervelet de cloporte, tu peux rien faire bouillir.
je n’y comprends rien. Au moins cinquante noms se présentent…
j’allais l’ébouillanter mais ça a retenu ma main..rooh l’cheuloux..quel ace !
Chaloux, oui, c’est vrai, d’autant que nos lectures changent avec notre âge et nos centres d’intérêt, nous ne sommes jamais les mêmes…Mais pourtant, il y a des livres qui ont une influence décisive sur votre vie, qui sont comme les poteaux indicateurs de certaines décisions (même si vous y étiez prédisposé), et qui, pour cela, provoque chez vous la même tendresse que le nourrisson ressent pour le sein qui le nourrit.
« Je vous ai déjà répondu sur ce point »
En paroles, mais pas en actes…
bouguereau dit: 14 février 2014 à 12 h 16 min
Le mot n’est pas la chose. Pas pour un petit joueur comme toi…
Et moi qui « refait toujours le même coup », vous m’oubliez, Observatoire de la RdL ?
Il y a ceux qui passent à l’acte, comme Clopine, et ceux qui remettent toujours au lendemain
t’as raison baroz..une grosse feignasse ce cheuloux..moi zollers le matin..dormesson l’aprémidi..ça c’est du courageux..dailleurs je sens la transformation..je range le fume cigarette et me met à la lampe a souder..holala si tu voyais baroz! de l’inédit!
« Qu’en savez-vous »
C’que j’en dis, arthur
Sans parler du cheval, le boug !
passou ce matin sur LCI a commenté la politique. il aime la suisse mais pas ceux qui votent.. et pas du tout les sénateurs français.Les compliments de la jolie intervieuweuse sur son livre l’on t fait rougir..alors il prend une tete d’enfant de 6 ans qui aprés avoir été grondé reçoit un carambar.
ça donne a peu prés ça..sauf qu’a la fin je suis dormesson
« chaque lecteur de la Recherche ne peut faire autrement que « malaxer » sa lecture, et la relater. »
Il ne manquerait plus que ça…
Jacques Barozzi dit: 14 février 2014 à 12 h 20 min
Et moi qui « refait toujours le même coup », vous m’oubliez, Observatoire de la RdL ?
Toi on s’en fout baroz, tu comptes pas, tu passes, insignifiant.
Jacques, je n’aime pas beaucoup ce genre de confession, mais puisque vous insistez si lourdement, voici : ces deux dernières années ont été très tristement préoccupées, ce qui m’a laissé certes du temps pour réfléchir mais pas tellement pour passer à ce que vous appelez « l’acte ». J’ai perdu il y a un mois… Laissez moi un peu de temps.
Quoi ! Passou, notre Passou, serait pour des minarets en Suisse, enkystés dans le plus petit village ….
« provoque chez vous la même tendresse que le nourrisson ressent pour le sein qui le nourrit. » (Cl.)
Heureusement qu’une fois adulte, on procède à des transferts de tétines.
On élargit sa culture, comme on dit.
Et tout ça pour draguer la blonde, le boug !
Bouguereau, on n’y voit rien sur votre vidéo, là. C’est tout sombre. Monsieur D’Ormesson a de bien trop beaux yeux bleus pour cette scène.
Et n’oublions pas qu’entrer à la pléïade, c’est bien, mais voir son nom tatoué sur la peau entourant le biceps de Julien Doré, c’est mieux.
« Le mot n’est pas la chose »
Il y a quand même des chances que si je demande une pomme rouge l’on me donne une pomme rouge…
Je tiens à souligner que je ne suis nullement obsédé.
Ce n’est pas ma faute si la phrase suivante fait un peu nichon.
« chaque lecteur de la Recherche ne peut faire autrement que « malaxer » sa lecture »
« Heureusement qu’une fois adulte, on procède à des transferts de tétines.
On élargit sa culture, comme on dit. »
On dira comme ça, moi qui suit passé du goût de la cigarette à celui de la pipe !
renato dit: 14 février 2014 à 12 h 32 min
Certes Toto, dans le monde de Toto le louffiat, tout doit être si simple.
D’ailleurs, je le prouve :
http://www.topito.com/interview-julien-dore
(u., le terme malaxer a été mis entre guillemets car il n’est pas de moi, mais de Patrice Louis. Merci de votre bienveillance à mon égard, au fait.)
« Merci de votre bienveillance à mon égard, au fait. »
Il ne faut pas dire ça, je vais me faire engueuler.
@ Clopina T.: « À chaque liseur, son interprétation », c’est d’autant plus valable pour la RdTP, qu’il s’agit d’une œuvre immense et diverse. Votre chou romanesco, bonne photo prise par votre compagnon, mais dieu que ce légume est laid ! Cela ressemble à un virus pris au microscope.
Votre interprétation, si j’ai bien compris, que la forme se répète, presque à l’infini, n’engage que vous. J’aime particulièrement chez Marcel Proust, l’immensité des ses observations et l’usage, de presque chaque cinq sens.
Vous écriviez de Christiane, qu’elle est pédante, or vous, d’après « ma » lecture, vous ajoutez au pédantisme toujours une petite note d’expressions triviales, pour bien nous faire comprendre, que vous êtes cultivée mais, toujours fière d’être une prolo. Fille d’artisan indépendant, fonctionnaire (d’après les rumeurs), en quoi êtes vous une vraie prolétaire ? Suffit pas de vouloir casser les classes qui vous semblent supérieurs, pour être une ouvrière à la chaîne « sans sac-à-main »*.
* Votre anecdote récente, de l’achat de votre premier sac-à-main, que vous ajoutiez à votre collection de cabas en toile cirée, m’a beaucoup motivé. Je n’imaginais pas que le sac-à-Main, et nous ne parlons pas d’Hermès ou Longchamp, puisse être un objet strictement bourgeois BCBG-NAP. Si JC se dit, un personnage de fiction, en-est-il de même de vous ? J’ai toujours fantasmé d’une Clopine Trouillefou avec un tracteur haut de gamme, air-conditionné et siège en cuir. Un tracteur RR, pourquoi pas, aux Émirats il y a bien des transporteurs, pour chevaux de course, signés avec la célèbre victoire de Samothrace…
J’avais bien aimé votre prit texte sur Proust, pour vos potes, c’était sympathique, sans prétentions, amusant et last but not least, vous me l’aviez offert, port payé de Beaubec à Singapore.
Veuillez, chère Clopine, croire à mes fidèles sentiments à votre égard.
Küss die Hand !
Hélas ! pauvre chaloulou !
@ Clopine
provoque chez vous la même tendresse que le nourrisson ressent pour le sein qui le nourrit.
Et allez paf, encore une ânerie !
On retrouve constamment dans les commentaires, la haine du Bourgeois et, le mépris pour les Bobos. Pourtant ces derniers font tant d’efforts pour être accessibles pour tous. C’est même devenue une obsession héxagonale. Pas étonnant que les Chinois, qui sont « kiasu » et veulent monter l’échelle sociale, aient plus de succès qu’une bonne partie du peuple français.
La vision d’une classe unique et se voulant prolétaire, n’a jamais réussie, nulle part.
« chaque lecteur de la Recherche ne peut faire autrement que « malaxer » sa lecture »
Clopine confond malaxer et ruminer. Pourtant elle a en face d’elle à longueur de journée des troupeaux qui ruminent Proust. Cela l’inspire.
Marcel, si vous saviez… Clopin a gagné un concours sur le thème du bonheur, rien qu’avec la photo d’un petit garçon de deux ans (quand même…) têtant le sein généreux de sa mère… (et ce n’était pas le mien !). On voyait le sein de profil, le gamin de face avec le tétin dans la bouche (comme sur une célèbre estampe japonaise, où la mère a les cheveux dénoués et des yeux plein d’extases, ou comme dans certains tableaux de la Renaissance, où Jésus est collé au sein rond comme une pomme de sa mère), et j’avais légendé le tout « j’arrête demain »… Bingo !
Clopine, l’image du sein me semble tout de même un peu réductrice. Je crois que je suis surtout sensible aux écrivains qui ouvrent toutes grandes les portes qu’ils ont trouvées. Même chose pour les musiciens, c’est ce que je me disais ce matin en déchiffrant Lyadov ( et oui Toto, encore « tapé sur mon crapaud » !). Encore un sujet, merci.
Je vous laisse à vos amusements,
TKT dit: 14 février 2014 à 12 h 49 min
« Il faut vivre en bourgeois, et penser en demi-dieu ».
Flaubert.
« l’immensité des ses observations et l’usage, de presque chaque cinq sens. »
TKT
Je cale.
Quelqu’un peut-il m’aider ?
TKT, je vous l’avais envoyé en Suisse, et non à Singapore, et je ne me souviens pas d’une récente anecdote sur mon sac à main (mais j’écris tant de bêtises que !). Ne me fantasmez pas du tout, cela vaut mieux. Je me souviens de vous lors de mes premiers pas ici : loin de vouloir vous « casser » (vous avez donc tant peur, que vous m’imaginez avec un couteau -suisse- entre les dents ?,je me disais que vous, au moins, pourriez peut-être comprendre pourquoi on fait le choix de vivre à la campagne, quand on n’a pas des revenus trop conséquents. A savoir que c’est le seul endroit où la contemplation de la beauté est gratuite.
j’ai déjà répondu à l’accusation de me vouloir faire passer pour prolétaire alors que je suis une fille de (tout petit : après les années 60, l’atelier a tourné avec 1 ou 2 ouvriers au plus) d’artisan. Allons, un effort : j’ai rompu définitivement avec ma famille à 17 ans, je n’ai donc reçu aucun subside (je ne les aurais d’ailleurs pas acceptés) et j’ai connu la pauvreté et la condition de prolétaire. J’étais conditionneuse, à la chaîne quoi. J’ai bossé aussi à la plonge d’un laboratoire pharmaceutique (où l’on torturait les culs des lapins, véridique), de nuit dans une usine d’outillage dont on se demandait bien à quelle utilité, sinon celle de faire de l’argent, correspondait la nécessité d’être ouverte 24 heures sur 24, etc;, etc. J’enchaînais mission d’intérim sur mission, avec les trajets en bus étouffants l’été, refrigérants l’hiver, toujours bondés, toujours debout. Mais pourtant, cette vie me plaisait par certains côtés… Et puis il n’était pas question que ma vie dépende du porte-monnaie d’un autre, je préférais encore vendre ma force de travail, comme aurait dit Marx.
provoque chez vous la même tendresse que le nourrisson ressent pour le sein qui le nourrit
– Monsieur le nourrisson, dites-nous sincèrement ce que vous ressentez pour le sein
qui vous nourrit.
– De la tendresse, monsieur Nourissier.
« c’est ce que je me disais ce matin en déchiffrant Lyadov »
Chaloux
Mais quelle burne !
Marcel, vous devez avoir été un petit bébé très tendre, mais vous ne vous en souvenez pas, voilà tout.
Chiffrage dit: 14 février 2014 à 13 h 07 min
Chiffrage, vous devez avoir été un petit bébé très tendre, mais vous ne vous en souvenez pas, voilà tout.
« Monsieur le nourrisson, dites-nous sincèrement ce que vous ressentez pour le sein qui vous nourrit.
– Une Erectio praecox, Docteur.
« fière d’être une prolo. »
alors que c’est mal
Je n’ai pas fait de classe prépa. et je suis sauvé alors que Bouguereau c’est le contraire.
Les premiers seront les derniers. Je vous l’avais bien dit.
u. dit: 14 février 2014 à 13 h 13 min
u. estimez-vous heureux au regard de ce pauvre Bouguereau qui ne les aura connues ni « précoces » ni tardives.
Areu, areu.
« Areu, areu. »
Jean Calbrix.
bouguereau est le pseudonyme de Jean-Philippe Grossa-Merda.
Non, Bouguereau c’est Christophe Keumol.
je préférais encore vendre ma force de travail, comme aurait dit Marx.
Phil dit: 14 février 2014 à 10 h 16 min
George, est-il est toujours aussi monumentalement voluptuoso ?
http://www.monumentsmen.com/
Marcel, vous fustigez ma métaphore, qui est peut-être maladroite (mais je n’écris pas, ici, je fais comme tout le monde, je papote…Pas vous ?), mais je crois que votre lourde ironie dévoile surtout vos préjugés d’un autre âge. N’avez-vous jamais lu la moindre ligne de Françoise Dolto ? Ne savez-vous donc pas qu’un bébé est une personne ?
« N’avez-vous jamais lu la moindre ligne de Françoise Dolto ? Ne savez-vous donc pas qu’un bébé est une personne ? »
Chauffe, Marcel !
Pas besoin de Françoise Dolto pour savoir qu’un bébé est une personne. Par contre Françoise Dolto aurait du s’en souvenir.
Marcel, vous fustigez ma métaphore
voilà la porte que tu dois ouvrir toute grande clopine..écoute ce cul de cheuloux
Quelques observations sur le monde presente.
Pas mal, pour leurs olympiades les Russes sont venus chercher Monsieur Avalanches à Zermatt… Puis il y a la possibilité que Genève devienne la capitale de la gouvernance du Net. Pendant ce temps l’UE ne peut que se pavaner dans ses règlementations fascistes à l’usage des autocrates incultes qui la parasitent… Puis, vous avez un gars bien comme Bannier, qui fait une proposition intelligente, et c’est la Banque de France qui s’insurge… à croire que ce fascisme subjacent c’est une partie importante du caractère de l’Européen lambda… En même temps, les Norvégiens sauvent une structure industrielle Sarde, mais ils sont obligés d’importer la main d’œuvre car dans une ville de 50.000 habitants avec le 15% de chaumage, l’école forme des spécialistes en « gestion du stress en entreprise », mais pas de soudeurs, de chaudronniers, et autres métiers utiles… et il ne faut pas rêver, il y en a pour tout le monde (Français, Espagnols, etc.)… D’un autre côté, refuser la possibilité que l’UE devienne une fédération avec tous les avantages qui vont avec seulement parce que l’on a des démangeaisons patriotiques c’est tout à fait cocasse… enfin, cocasse, c’est tout à fait européen… C’est à espérer qu’un conflit majeur n’éclate pas… faudrait, encore, appeler les Américains… et compter sur la capacité de résistance des Russes… à moins que l’onéreuse Ministre des Affaires Étrangères de l’UE ne trouve une solution à niveau de « on se voit, on déjeune et on en parle »… que c’est tout à fait dans ses cordes… bon, parler la bouche pleine n’est pas très-très chic, mais bon, ce n’est qu’un Ministre… et puis, manger c’est une bonne excuse pour ne pas parler (n’oublions pas qu’elle est Anglaise)…
Ach ja l’identität !
« Le mot n’est pas la chose »
rooh ce sursaut du spinal que cheuloux il a du faire pour pas se croire rat dans une nasse qu’on va ébouillanter..
Nous disposons d’un système de signes pour communiquer, le reste n’est que misérable métaphasique…
mais non j’l’aurais pas fait hé cheuloux..t’es pas un rat..t’es un bourgeois qui se prend pour un demi dieux..huuuurkurkurk!
Oh, renato, ce n’est pas elle, qui était une bonne praticienne, qui est en cause, mais ses continuateurs, qui ont interprété au pied de la lettre ses enseignements. Ca arrive à tant de théories révolutionnaires ! On pond une idée généreuse et qui vient répondre à une question jusque là sans réponse, mais la dérive se fait, à cause de votre succès même. Dolto, la première, a constaté que les bébés, les nourrissons, ressentaient des émotions un peu plus complexes que la simple satisfaction sensuelle des besoins vitaux.. Et 25 ans plus tard, des folles racontaient à leurs filles de trois ans leurs fausses couches et avortements…
« un gars bien comme Bannier »… pardon, Michel Barnier…
dis donc rénato..en temps que dormesson je vais appuyer ta candidature au figaro..tu seras payé en coup de trique par dassault..si tu fais des conneries t’en a plus ! c’est ça note managment du tonnerre..le mot c’est la chose..ton téléphone va sonner
« … t’es un bourgeois… »
Tout petit…
Renato, c’est lui, le monsieur avalanches ?
http://www.jelk-zermatt.ch/
Des journées, « Monumentsmen » est une olyhouderie pour génération nespresso. Les conservateurs de musées sont gominés et la duplicité des acheteurs est passée sous le tapis (rouge), comme Gurlitt et sa collection découverte à Munich, qui servit à tous les râteliers, avant et après guerre sans souci. what else ? Madame Strauss-Kahn aurait dû être associée au scénario.
georges cloonie, toujours décoiffant, a gagné une invitation en Grèce pour y recoller la frise.
Tout petit…
et un quart de dieu..et un petit pichet du patron pour cheuloux..jle connais..hin mon cheuloux
u.12h33
Oui mais c’est tout de même vous qui la remontez du fond où doivent gésir un tas d’autres objets à repêcher, ça en dit long sur ce qui vous traverse.
Phil dit: 14 février 2014 à 14 h 12 min
Ah Phil c’est dommage; beau sujet. Une légende, ces monuments men ?
Mon cher petit célinien, je ne me sens pas du tout stigmatisé par ton appuy, seulement vois-tu, si c’est pour travailler pour un journal français ce n’est pas la peine, je te laisse deviner les pourquoi.
Pour ce qui est de la proposition de Barnier rejetée par la Banque de France, tu l’a lue ? si oui, tu en dis quoi ?
Pour ce qui est de la formation des travailleurs, dis-moi, ça sert à quoi un spécialiste de la gestion du stress en entreprise si tu n’a pas d’entreprises…
Etc., etc.
Il n’y a pas que les textes de Clopine, et ses jubilations narcissiques,épanouies,ses certitudes qui font froid dans le dos si elle avait du pouvoir..
à Sotchi, en slalom , Pinturault, le skieur de Courchevel, le favori français de ski alpin en slalombite sur un piquet, se plante complètement et finit sa course dans une gerbe de neige, et restant sûr de son talent : hallucinant !
et son directeur technique, souriant, épanoui, après cette terrible fin, persuadé que tout le monde travaille bien autour de lui dans une » super sympa ambiance.. ».vraiment si on aime le sport et le ski , on reste éberlué. on passe sur les commentaires .
Phil ,
Ach, l’Autriche, Sissi, ses châteaux, ses tableaux.
http://www.parismatch.com/Actu/International/Des-tableaux-de-Picasso-et-Monet-retrouves-547881
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