Mallarmé, l’exténué de lettres
3340 lettres adressées à quelque 550 correspondants ! Et dire que l’épistole n’était vraiment pas son genre… qu’il rechignait à se résoudre à cette conversation avec un absent… qu’il prévenait volontiers celui à qui il écrivait : ceci n’est pas une lettre, boutade qui avait sa part de vérité… Publiée une première fois en 12 volumes, la Correspondance 1854-1898 (1914 pages, 65 euros, Gallimard) du poète Stéphane Mallarmé (1842-1898) nous revient cette fois en une brique magnifique qui doit bien peser ses deux 2,5 kgs, armée d’une chronologie, d’une bibliographie, d’index divers et de précieuses notes pour lesquels on ne saurait trop louer la patiente érudition de Bertrand Marchal, son maître d’œuvre, déjà éditeur de son œuvre dans la Pléiade.
Pour être poète, on n’en est pas moins homme du quotidien, époux, père de famille et prof. Aussi, comme chez tout autre, une place est faite, mais bien mince au fond, à la recherche de l’alimentaire, aux chroniques par-ci par là, aux services rendus, aux relectures d’épreuves, à la préparation de ses réunions hebdomadaires connues comme « les Mardis de Mallarmé », à la qualité du repas du soir et même au temps qu’il fait. Mais sous cette plume, même l’anodin est d’une tenue, d’une dignité dans l’écriture, d’une exigence de nature à désarmer le lecteur le plus tatillon, dès la première lettre retrouvée écrite vers l’âge de 12 ans et adressée à son père :
« Mon cher papa,/ J’avais appris un compliment,/ Et j’accourais pour célébrer ta fête,/ On y parlait de sentiment,/ De tendre amour, d’ardeur parfaite ;/ Mais j’ai tout oublié,/ Lors que je suis venu,/ Je t’aime est le seul mot que j’ai bien retenu »
Certaines lettres sont inédites, d’autres méconnues, quelques une capitales telle celle du 28 avril 1866 à l’ami Cazalis alors qu’il oeuvrait à la composition d’Hérodiade. On l’y voit creuser le vers jusqu’à l’affrontement avec le néant, découverte si écrasante qu’elle le ferait renoncer à écrire. Bertrand Marchal y date la conversion de l’idéaliste forcené en un matérialiste convaincu, et le passage d’une poésie de l’absolu à une poésie critique, ce qui n’alla pas sans entrainer un certain hermétisme, cette réputation d’obscurité qui lui sera longtemps opposée. Et toujours ce sentiment que son art se laisse voler ses heures les plus précieuses par un labeur ingrat et alimentaire comme professeur d’anglais au lycée de Tournon-sur-Rhône (Ardèche) puis à Besançon, Avignon et au lycée Condorcet Paris où, il est vrai, il se faisait souvent chahuter par ses élèves, ce qui lui était presque aussi pénible que son quotidien de surnuméraire à ses débuts à Sens dans l’enregistrement des biens fonciers :
« (…) Que d’impressions poétiques j’aurais, si je n’étais obligé de couper toutes mes journées, enchaîné sans répit au plus sot métier, et au plus fatigant, car te dire combien mes classes, pleines de huées et de pierres lancées, me brisent, serait désirer te peiner. Je reviens, hébété. »
Dense, ô combien, il revient souvent sur des notions qui lui seront attachées telles l’effet, le souci de peindre avec des mots non la chose mais l’effet qu’elle produit ; la beauté dans toute sa pureté comme unique sujet reléguant au rang de prétexte tout autre à commencer par le plus apparent ; son esthétique, sa poétique, le mouvement de sa pensée, la genèse de son œuvre et ce découragement permanent dont il se voulut longtemps la victime, rongé par le doute. On voit également celui qui deviendra malgré lui le maître du symbolisme se déprendre de l’influence de ses maitres (Hugo, Musset) pour se laisser attirer pour Poe, dont il traduira The Raven, et Baudelaire. Il commence à lire le roman posthume de Flaubert dans la Nouvelle revue, son Bouvard et Pécuchet :
« Style extraordinairement beau, mais on pourrait dire nul, quelquefois, à force de nudité imposante : le sujet me paraît impliquer une aberration étrange chez ce puissant esprit »
Il avait son jour de lettres. Parfois même « ses » jours de lettres successifs. Sa conscience lui imposait de répondre à tout le monde par retour de courrier, fût-ce parfois brièvement mais sans user de formules passe-partout reprises à l’identique. C’est à se demander si ce n’est pas aussi en pensant à lui qu’un peu plus tard Max Jacob inventa le beau mot d’« épistolat ». C’est peu dire que cette activité lui paraissait insupportablement chronophage tant elle empiétait sur son travail poétique. Les premiers temps, ses lettres sont longues de plusieurs pages. Tout dépend du sujet bien sûr, mais aussi du correspondant : amis (surtout le médecin et poète Henri Cazalis auquel il s’ouvre le plus depuis leur jeunesse), muses et amies de cœur (Mery Laurent), famille, éditeurs (Lemerre, Edouard Dujardin, Deman), écrivains (Villiers de l’Isle-Adam, Elémir Bourges), poètes (Verlaine, Catulle Mendès), relations, sans oublier les peintres, dont le travail est si lié à sa sensation du monde, à son impressionnisme littéraire, les Fantin-Latour, Morisot, Gauguin, Monet, Degas, Whistler, Renoir ; on s’attend à ce que Manet domine mais non, et pour cause : ils se voyaient presque tous les jours à l’atelier ou ailleurs. Les lettres relatives à l’agonie de son petit Anatole, si perclus de rhumatismes qu’ils appuient violemment sur le cœur jusqu’à l’écraser et l’emporter à 8 ans, sont déchirantes de vérité nue tant on sent le père derrière la plume en état de recueillement naturel, dans l’abandon absolu après avoir rendu les armes face au poids de l’événement sur ses épaules.
On l’imagine, sa correspondance est aussi le chantier de son œuvre (Brise marine, L’après-midi d’un faune, Igitur, Sonnet en x…). Des détails y sont livrés sur sa préoccupation typographique s’agissant notamment d’une de ses plus fameux poèmes en vers libres, celui qu’il voulait le plus épuré, Un Coup de dés jamais n’abolira le hasard : la composition du texte sur une double page avec les problèmes de concordance entre les deux impossibles à résoudre, présentation essentielle pour donner l’impression d’une partition musicale, faisant naître le sens de la résonance, et rendre ainsi plus fidèlement l’intonation et l’oralisation du poème, fait autant pour être lu que pour être entendu sinon écouté.
Lui , le réputé hermétique et inintelligible, sacrifiant tout à la suggestion et au pouvoir sacré du verbe, ne l’est pas en épistolier. Uniquement en poète. Encore que Bertrand Marchal est de ceux qui dénoncent ce qu’ils tiennent pour une légende, ou plutôt un cliché. Sauf que pour qu’il y ait cliché, il faut bien qu’il y ait une sorte de vérité au départ et tout lecteur de bonne foi conviendra qu’on ressort souvent aussi ébloui que perplexe de nombre de ses poèmes. Mais n’avait-il pas lui-même anticipé cette inévitable mise à distance du lecteur en revendiquant la position élitiste et aristocratique de l’artiste ? « Plus un texte est lisible, moins il est visible » avance Bertrand Marchal dans sa défense. A croire que l’énigme est consubstantielle à toute poésie. Cette difficulté à entrer parfois en Mallarmé, à ne plus se contenter de ressentir ou percevoir mais à vouloir comprendre, oblige à se poser à nouveaux frais la question : que signifie lire ? Autrement dit : en quoi cela consiste au juste ? Si un article de Verlaine a beaucoup fait pour propager son art, il est piquant de constater que nul mieux qu’un personnage de fiction aura assuré sa gloire de son vivant : le Des Esseintes créé par Huysmans dans A rebours qui s’enchante de ses vers.
Si ceci n’est pas une lettre, ce recueil de non-lettres n’en est pas moins un livre d’une richesse inouïe. On comprend qu’en ces temps où le courrier disparaît au profit du courriel, la Fondation La Poste ait eu à cœur de soutenir un tel projet. Et puis quoi, le monde n’est-il pas fait pour aboutir à un beau livre… S’il y encore des Mallarmé de nos jours, on se demande à quoi ressemble leur épistolat. Peut-être faudra-t-il superposer à ce néologisme un autre : « e-pistolat »…
(« Stéphane Mallarmé : portraits par Edouard Manet, 1876, Musée d’Orsay, par Nadar, D.R. »)
1 362 Réponses pour Mallarmé, l’exténué de lettres
…Père de Georges et grand ami de Flaubert.
@21h50
Pour la thèse de ce responsable bénévole des guides de Notre Dame, voir sa fiche de these sur Panthéon Sorbonne.
Vous verrez que ce n’est pas un branquignole qui fait faire le tour des cimetières à deux ou trois vieilles ahuries, avec un guide wiki. Ne vous sentez pas visé.
J’ai travaillé avec ces deux dames Textuel, qui avaient leurs entrées à l’Hôtel de Ville, du temps où j’étais responsable des éditions de la Mairie de Paris, Chaloux…
La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe, Marie Sa Sueur…
« voir sa fiche de these sur Panthéon Sorbonne. »
On se fout des diplômes, on juge aux résultats !
22h50,
votre « bave » de 21h50 n’a effectivement aucune chance d’atteindre , ni de perturber cet engagement passionné , érudit, compétent et devoué d’Olivier de Chalus, responsable bénévole des guides de Notre Dame.
Jazzi, Théry qui avait à cette époque de longs cheveux (longues nattes? il me semble) a récupéré ses billes en 95. Je m’en souviens très bien. Elle dénotait dans cet univers de vulgarité ignare.
Quelles billes, Chaloux ?
@Amy
Vu la reprise de Will You Still Love Me Tomorrow?
Carole King demeure la reine d’une courte tête
https://www.youtube.com/watch?v=GLA7sanwnN8
( cette version n’honore ni l’une ni l’autre https://www.youtube.com/watch?v=GuanbnnzXQ4 )
Un peu de sombritude vers Otis Redding
https://www.youtube.com/watch?v=RrppL63sAFM
des stagiaires qui ne leur coûte pratiquement rien !
Comme les petites anglaises, payées 4 euros de l’ heure. 😯
Le mode de fonctionnement est basé sur ce principe là.
Elle dénotait : tout donne à comprendre que c’est détonnait
ce frère dont l’allure de faubourien de Paris détonnait un peu dans le groupe. Huysmans, L’Oblat,t. 1, 1903, p. 79. CNRTL
Les enjeux de la santé dentaire chez les seniors
Organisé par la Mutualité française.
Jean Paul Benoît
président MFPACA
Peu de choses faites en direction de la prévention. Enjeu majeur ds le cadre du vieillissement de la population.
La mutualité couvre 70% des plus de 65 ans.
Prise en charge de l’autonomie.
Maintenir les liens sociaux.
Le niveau de prise en charge pour les personnes vieillissantes n’est pas suffisant. Ds notre système, l’aidant familial est le bouche-trou.
Le service d’accompagnement doit s’occuper du nécessaire : réforme de la philosophie du système. L’aidant complète. Aujourd’hui, il se passe le contraire.
Amélioration de la prise en charge des prothèses.
C. et F. partenaires de la journée.
La santé bucco-dentaire chez les seniors, primordiale sous tous ces aspects:
Fabienne Arte, infirmière
Maud Lescuyer gériatre
Christine Faraut chirurgien-dentiste
Catherine Pittiani animatrice socio-esthétique
Questions
santé bucco-dentaire
parodon sain
muqueuses en bon état
Pas de caries ou bien soignéés
moins de 20 dents, pas moyen de manger correctement.
=> dénutrition très impoŕtante.
cela isole sur le plan social.
dents doivent être saines.
parodon traité
Et prothèse bien adaptée.
retrouver une mastication correcte et une esthétique correcte et pas de douleur.
Le patient doit être confortable et ne pas souffrir.
Négligence de l’hygiène buccale : cela entraîne la mésestime de soi et on s’isole.
Importance de faire des soins en prévention.
On vieillit comme on a vécu.
Prendre soin de son corps.
Pour le maintien à domicile.(gériatre)
Importance de la bouche.
Tout est lié : l’état de santé du patient.
On est peut avoir honte de sa bouche.
Évaluation de l’année : les dents c’est important.
37 % des français consultent de manière préventive.
33 % des soins pris en charge contre 68 % en Allemagne.
mauvaise santé bucco-dentaire : parondontie. Pb de mobilité.
Candidoses niveau buccal => perte de poids : ç’est le premier signe d’alerte.
Peu de collaboration entre les médecins et les chirurgiens-dentistes.
Les pathologies générales influent sur les pathologies dentaires : il faut travailler ensemble. Croisement de regard.
Un implant doit être bien posé et il doit y avoir une excellente hygiène bucco-dentaire.
Recommandations :
brossage durant entre 2 et 3 mn deux à trois fois par jour du rose vers le blanc.
Pas de bactéries qui prolifèrent.
langue nettoyée.
solution à 14% de bicarbonate de soude en bains de bouche.
écouvillons pour nettoyer.
intrusion dans l’intimité ; difficile à gérer.
La sphère du visage est la plus intime.
Idée du sacré liée à la bouche.
Humanitude (concept enseigné)(aujourd’hui dépendant de qq. bonnes volontés et cela se répand par contamination).
5 idées à respecter :
verticalité, regard, toucher, soulever et la parole.
(il faut 12 mn).(8 sont accordées aujourd’hui)
La praxis du geste. Rien n’est foutu. Il faut essayer.
Faut prendre soin de l’hygiène bucco-dentaire pck derrière, il y a la nutrition.
On peut amorcer le geste et la personne continue.
Problème du scorbut
supplémentation en vitamine S.
manger fruits et légumes.
Le prix des prothèses pose problème : centre mutualiste.
devis voir différents praticiens.
charges inhérentes au cabinet dentaire
faire faire plusieurs devis.
relation de confiance entre le praticien et le patient.
respect mutuel entre les deux.
<
à Extraction de ttes les dents à 46 ans :
lié à des pbs personnels; gros fumeur ; c'est tout un processus qui amène à ce pb. mobilité importante des dents.
mauvaise haleine analitose parcours de vie complexe mauvaise prise en charge dès le début. Avoir une bonne hygiène de vie.
À prendre en charge dès le départ.
Amélioration de vie que l'on va avoir.
Estime de soi permet de mieux s'adapter au vieillissement.
Si le retour des autres n'est pas positif, on s'enferme et on s'isole. Il faut garder du lien avec les autres personnes.
Honte de perdre son dentier ; honte de soi. Une femme reste une femme même à 90 ans.
Respect de soi.
Respecter ce que désire le patient. Sortir du schéma de l'apparence.
Le respect du choix du patient : il a son mot à dire et on doit le respecter. Si on se dit ce n'est pas ce qu'il lui faut, c'est une personne, il est digne et il a le droit de choisir.
On prévient la personne :on accepte qu'elle dise non.
On la conduit délicatement vers l'acceptation des soins.
Respect absolu du patient.
On frappe avant d’entrer.
On ne rentre pas dans une douche sans prévenir.
On dit aux gens ce qu’on va leur faire. On leur annonce.
Contamination de ceux pour qui cela se passe bien.
Soins de bouche, soins palliatifs, respect de l’individu.
Nota : auparavant, il y avait une prise en charge holistique de la personne à une prise en charge technique.
La gériatrie est une science récente.
Contamination par bonne volonté et désir de bien faire.
On revient de nouveau à une prise en charge holistique.
Personne sous tutelle, on a des difficultés pour payer le dentifrice et aussi pour payer le dentiste.
Les dentistes veulent bien venir ds les EHPAD mais s’ ils sont payés ; or, cela s’ avère très difficile.
Il faut mettre du sens dans l’hygiène bucco-dentaire.
Meilleure prise en charge par rapport à la dénutrition.
Meilleure qualité de vie.
Présentation, débat, questions passionnants : quatre personnes hyper-impliquées, pilotes vers une pratique orientée vers la bientraitance des personnes âgées.
Elles disent que l’on va vers cela, que les gens apprennent, que cela se met en place.
C’est la seconde équipe que je rencontre, formidable. La première étant à l’hôpital de gérontologie de Montolivet, Marseille 12 ème, où les soignants – aide soignante, infirmière, neurologue, neuro-psychologue et gériatre étaient des gens bienveillants, respectueux, attentifs, délicats, compétents et formidables.
admirables est le mot qui convient.
Je passe sur l’après-midi : compte-rendu d’expérience dans un EHPAD où les soins dentaires sont mis en place et développés.
Très intéressant.
Ensuite, se posent divers problèmes dont un déontologique.
Un doctorant roumain présente sa « compagne » (en ses termes) : une mallette destinée à mettre en place la télé-médecine.
Deux chirurgiens dentistes présentent leur association pour mettre en place la télé-médecine.
Pb de communication lié à un irrespect fondateur : « si les personnes âgées n’ont pas d’hygiène bucco-dentaire, c’est pck les soignants, les premiers, n’en ont pas non plus. »
Et cela continue sur ce ton :
une télé-médecine vaut consultation.
si les implants coûtent trop chers, faut mettre des dents masticantes.
Je pose la question du désert médical (en prévision début juillet 2019, deux médecins libéraux pour 5000 personnes ; ceci étant lié à des départs à la retraite).
Dans la préfecture, un chirurgien dentiste roumain, pbs de famille, repart. Personne pour le remplacer dans le centre médical mutualiste : 12 fauteuils disponibles pour l’ensemble du département 04.
Ds la sous-préfecture, même cas de figure. Une chirurgien dentiste roumain, jamais là. Un retraité vient faire des remplacements. Les dossiers médicaux n’ont pas été remis aux patients.
Bref, la gabégie.
Est niée la problématique du désert médical.
Est prônée la modernité de la télé-médecine.
Pas de réponse apportée à l’impossibilité d’embaucher dans des centres mutualistes.
Se pose le pb. à mes yeux de vieillit-on comme on a vécu ?
Plusieurs témoignages, autour du repas, signalent que non, et les chocs chez le notaire et en EHPAD.
Au contraire, aurais-je envie de dire, vieillir révèle qui on est. Crûment.
Et la vraie révélation est au moment de la mort : c’est là que tout se joue, tout se dit, tout est.
Juste avant de quitter le monde terrestre.
Tout ce qui précède est un grand bla bla.
Vendredi saint.
Christiane
merci de votre réponse, solidement étayée autour du Mépris de Godard.
Devrai le revoir pour vous répondre sur votre argumentation.
Comme vous, je pense que l’anecdote relatée par Lavande, sur B.B. est signifiante.
Sur le fond, et sans connaître les détails précis vous concernant, l’amitié, lorsqu’elle est bafouée, c’est une douleur.
Je vois cela comme une trahison et comme un irrespect de la part d’une des parties.
J’ai mon point de vue -négatif, malgré qq. touches positives- que je ne développerai pas, sur Paul Edel.
Vous concernant, vous êtes bafouée dans toutes les qualités relationnelles et intellectuelles dont vous témoignez avec une constance remarquable.
Rompre c’est vous respecter vous même.
À mes yeux, vous pouvez revendiquer, et j’espère que vous rencontrerez, meilleure compagnie, nourrissante, enrichissante, équilibrée.
J’apprécie beaucoup, en cela que j’en suis encouragée, votre prise de position déterminée, noble, courageuse.
À mes yeux, admiratifs, vous participez pleinement à ce mouvement des femmes qui réclament autre chose de leurs relations avec les hommes, plus épanouissantes et surtout respectueuses.
J’ai toute confiance en vous, en moi, en nous pour y aboutir.
Et, Christiane, mais ceci n’est qu’un détail qui, bien que superfétatoire apporte eau à mon moulin : en possession de plumes de faisan, superbes, il m’a été dit qu’elles servaient à construire des leurres pour la pêche.
A contrario de votre attitude honnête et sincère, sur le blog d’Edel interviennent nombre d’intervenants sous de fausses identités.
N’ai pas assez lu Olga ni Lola et ne peut pas dire ; néanmoins Ed, Gisèle et je pense Olga et Lola sont des hommes.
La poire, c’est Edel. Pas vous.
Moi aussi, je vais partir, sous peu.
À Turin.
Puis en Irlande et en Écosse, avant l’été.
En bagnole.
Avec toute ma sympathie à vous dévouée.
« Macron à Houellebecq : « Vous avez réinventé le roman français ». Deux catastrophes en une semaine, c’est beaucoup. Va-t-il le faire inscrire à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques ? »
Contrairement aux monuments de pierres et de plomb, aux tableaux fragiles et aux jardins de fleurs, les oeuvres littéraires publiées ne se détruisent pas. Même un autodafé nazi reste ridicule, l’éditeur pourra toujours rééditer ce qu’il veut ailleurs ou en d’autres temps. Houellebecq est de facto un monument, il n’a pas besoin d’être inscrit au monument historique. La Notre-Dame de Hugo est immortelle, grâce au roman. Le livre de papier va durer plus longtemps que le monument. Paradoxalement, dans nos sociétés contemporaines incultes, l’écrit est devenu immortel, même si nous en faisons mauvais usage. La parole de Dieu est disponible pour tous, il suffit d’aller à la Procure ou dans toute autre librairie. Au Jugement dernier, l’homme n’aura aucun prétexte pour avancer qu’il ne savait pas. « Mais vous n’avez pas cherché », dira saint Pierre. Et l’âme damnée ira en Enfer ou au Purgatoire, pour n’avoir jamais ouvert un livre.
Beaucoup de bruit pour rien. Chez un coiffeur on risque d’entendre mieux. Il y a de bon qu’e l’on peut zapper les potées après avoir goûté les premières lignes du premier post.
Avant de déguerpir, Cricri s’est habillée de couleur rose
… et on attend les commentaires (!) de Gaga bouguereau
Les portiques d’aéroport discriminent les passagères racisées
Les biais raciaux et de genre sont nombreux dans les nouvelles technologies, trop souvent conçues par et pour des hommes blancs.
slate
CONSTANTIN CAVAFY
En attendant les barbares
Qu’attendons-nous, rassemblés ainsi sur la place ?
Les barbares vont arriver aujourd’hui.
Pourquoi un tel marasme au Sénat ? Pourquoi les Sénateurs restent-
ils sans légiférer ?
C’est que les Barbares arrivent aujourd’hui. Quelles lois voteraient les
Sénateurs ? Quand ils viendront, les Barbares feront la loi.
– Pourquoi notre Empereur, levé dès l’aurore, siège-t-il sous un dais aux portes de la ville, solennel, et la couronne en tête ?
– C’est que les Barbares arrivent aujourd’hui. L’Empereur s’apprête à recevoir leur chef ; il a même fait préparer un parchemin qui lui octroie des appellations honorifiques et des titres.
– Pourquoi nos deux consuls et nos préteurs arborent-ils leur rouge toge brodée ? Pourquoi se parent-ils de bracelets d’améthystes et de bagues étincelantes d’émeraudes ? Pourquoi portent-ils leurs cannes précieuses et finement ciselées ?
– C’est que les Barbares arrivent aujourd’hui, et ces coûteux objets éblouissent les Barbares.
– Pourquoi nos habiles rhéteurs ne pérorent-ils pas avec leur coutumière éloquence ?
– C’est que les Barbares arrivent aujourd’hui. Eux, ils n’apprécient ni les belles phrases ni les longs discours.
– Et pourquoi, subitement, cette inquiétude et ce trouble ? Comme les visages sont devenus graves ! Pourquoi les rues et les places se désemplissent-elles si vite, et pourquoi rentrent-ils tous chez eux d’un air sombre ?
– C’est que la nuit est tombée, et que les Barbares n’arrivent pas. Et des gens sont venus des frontières, et ils disent qu’il n’y a point de Barbares…
*
Et maintenant, que deviendrons-nous sans Barbares ? Ces gens-là, c’était quand même une solution.
(Traduit du grec par Marguerite Yourcenar et Constantin Dimaras
Editions Gallimard, 1958)
1 – La nuit, on est plus sensible à la mauvaise haleine des gens avec lesquels on dort. C’est certain. Et quant c’est aux côtés de personnes âgées qui ont encore la chance d’être pourvues, tout dépend si leur dents furent plus ou moins bien entretenues. D’autres enlèvent leurs appareils, leur bouche béante s’en trouve alors totalement déformée. Au réveil, le risque, fréquent hélas, si on n’y a pas pris garde, est de les retrouver écrasés au fond du lit. Tout refaire faire, si on a encore de l’argent, ce qui prend des mois. Vous raconte pas… En attendant, régime compotes purées bouillies. La désertion des dentistes roumains avec leur malette ? un vrai problème dans le Sud-Est, je le sais. Mais que dire du Sud-Ouest ?
2 – Votre amitié, r. et ch. réconforte bien au lever du soleil. Elle s’est approfondie de jour en jour. L’avons constatée, souffle coupé. On les imagine complices, chevaucher par vaux et par chemins, pour oublier l’amertume, semelles au wind. C’est beau, parfois, certains chevaux se cabrent, gare à la chute, plus dure serait-elle. Prendre le temps d’approfondir.
3 – Dois aller chez mon coiffeur Ramon, ce matin. Hélas, bavard toujours trop. Ne pas se négliger non plus. Danielle Sallenave a dit des choses belles et simples sur Jojo, tandis qu’une autre dame rappelait les flâneriss de Mitterrand dans Paris dans les églises de St Denis ou de St Séverin.
Quand les femmes s’expriment un peu partout, le matin, on peut être sûr que la journée à venir sera plus belle même dans les ehpad difficiles.
4 – ‘Holistique’ pour une équipe, non… un jargon mal approprié qui ne va pas du tout en santé publique (pas joliment joli), même si on comprend l’idée, c la seule chose qui m’a choqué.
…
Bonjour Rose,
le bocage normand est tellement reposant et la prairie devant la maison de mon fils fait le bonheur de la petite chatte citadine qui a bien supporté le voyage. Sommes arrivés à la nuit. Une hulotte voletant d’arbre en arbre a bercé mon sommeil.
Vous avez tout compris de ce qui s’est passé à côté… Des hommes ? Un homme ? peu importe désormais. Qui ne dit rien consent…
La page est tournée. Douleur et rage ont fait place à l’indifférence. Cette amitié-là, je l’avais cru infinie…
Pâques… la fête la plus importante pour les chrétiens. Pour moi une immense interrogation qui m’accompagnera longtemps et ce triste Jardin des oliviers… Gethsemani (un chant d’enfance dont le refrain me reste en mémoire… Ô Gethsemani, la lune danse dans les arbres… Ô Gethsemani, le vieux pressoir est plein de pluie… )
Mais les œuvres musicales nées de cette Passion, extraordinaires. Hier, la Passion selon Saint-Matthieu de Bach, retransmise du festival de Pâques d’Aix en Provence sur Radio classique. Dans la voiture, c’était magique. L’ensemble vocal et instrumental de Lausanne sous la direction de Michel Corboz nous a offert une interprétation bouleversante.
solution à 14% de bicarbonate de soude en bains de bouche.
–
en effet très efficace dans la prévention des caries mais savez-vous pourquoi ?
Le miracle des cochons ressuscités.
christiane,c’est aussi PESSAH
Pessa’h (ou Pessahh) est prévu aux dates suivantes :
du samedi 20 avril au samedi 27 avril 2019
c’est le prénom du poète Celan
les juifs chantent
« Had gadia » !
Ce chant dont la mélodie pourrait bien avoir été composée pendant le règne d’Isabelle La Catholique, a été adapté par Etienne Roda-Gil, pour la version française de 1978 –
oliver sacks s’en souvenait lorsqu’il écrivit musicophilia
Pessa’h se décompose en Pé – Sa’h « La bouche raconte »
Telle fut la bénédiction transmise par Isaac à son fils Jacob : « La voix est la voix de Jacob. » La transmission orale prend toute sa valeur à la table du Séder, quand les générations se rencontrent pour redire la mémoire ancestrale. Mais attention, il ne s’agit pas seulement de commémorer, il s’agit aussi d’actualiser. Comme l’enseigne cet adage rabbinique : « Dans chaque génération, l’homme doit se considérer comme étant lui-même sorti d’Égypte. » La préparation, le récit, les chants, les commentaires,la manière de manger, tout doit contribuer à créer une atmosphère de fête et de joie de la mitsva, où les enfants auront la place d’honneur. C’est pourquoi il n’est pas faux de parler d’un Séder interactif dans la mesure où la Hagada (Récit de la sortie d’Égypte) est conçue sous forme de questions-réponses.
https://www.consistoire.org/112.le-temps-juif/292.pessah
Gethsémani… Le cantique que vous rappelez, Christiane, dans la partie musicalement la moins pire, m’a toujours fait penser pour les couplets à une chanson digne de Dalida:
« Vous n’aurez pas compris, lorsque viendra mon heure.
Vous n’aurez pas compris grand’chose à ma chanson… ».
Joyeuses Pâques, avant que Duvasistas ne nous tombe dessus!
MC
« Le miracle des cochons ressuscités. »
En attendant que Marie Sasseur lègue son cerveau à la science ?
Pour son dentier, c’est trop tard !
Plus sérieusement, si le Gautier de Bergerat et les Vingt Cinq ans d’Art dramatique du bon Théo tiennent en effet la route, il est difficile de trouver le second titre intégralement. (cinq volumes au bas mot)
La Fanny d’Ernest Feydeau fut la conjonction fructueuse d’un sujet osé , l’adultère, et d’une manière de le narrer tolérable pour la Bourgeoisie du Second Empire. C’est aujourd’hui illisible. Sainte Beuve dans ses Cahiers reconnaissait son emballement pour Fanny comme une de ses erreurs, et on ne peut que lui donner raison.
En revanche, selon Berret, qui reste un grand Hugolien, son histoire des usages funèbres à travers les ages (titre approximatif) aurait documenté Hugo pour certaines cérémonies antiques de la Lègende des Siècles.
« une chanson digne de Dalida »
Pour commémorer sa sortie d’Egypte, MC ?
10h35, je ne sais pas si des cerveaux complètement ravagés par une consommation intensive de cannabis, comme le vôtre, interesse encore la science.
La science, je ne sais pas, chère Marie, mais peut-être la poésie ?
demandez à M. Court de vous parler du club des hachichins autour de Théophile Gautier !
La Esmeralda, surnommée l’Egyptienne, dans Notre Dame de B. Hugo.
V. Hugo.
Pourquoi n’y-a-t-il plus de passerelles pour passer directement de la RDL à la RDC ou à la RDA ?
Passou négligerait-il son, notre, patrimoine !
« Le mécène suisse Hansjörg Wyss annoncé dans le «New York Times» qu’il va donner un milliard de dollars afin de protéger des zones terrestres ou maritimes pour améliorer la qualité de l’air et de l’eau. »
https://www.letemps.ch/sciences/mecene-suisse-hansjorg-wyss-verse-un-milliard-proteger-nature
Et pas de cris d’orfraie de droite de gauche et de n’importe qui.
@Petit Rappel dit: 20 avril 2019 à 10 h 28 min
Je n’ai retenu que le refrain, très beau… et la voix d’un soliste, extraordinaire…
Il ne les a pas encore donnés mais il le fait déjà savoir, renato !
D’où lui vient sa richesse ? De l’industrie pharmaceutique ?
@et alii dit: 20 avril 2019 à 10 h 15 min
Je connais moins ces fêtes mais les amis qui les honorent me sont chers.
Quelle attente pour tous ces croyants…
Je vis au présent, traversant l’herbe de tous ces mystères…
« Il n’est vendange que d’automne… »
il se trouve que la chanson du seder est sur la toile:
Had Gadia (judéo-araméen: חַד גַדְיָא Ḥad Gad’ya, « un agneau ») est une chanson à récapitulation, composée dans un mélange d’araméen et d’hébreu et chantée vers la fin du séder de Pessa’h.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Had_Gadia
Le refrain est en effet ce qu’il y a de mieux, Christiane! Le reste est guimauve drolatique façon néo-liturgie post Paul VI.
STENDHAL VU PAR MERIMEE
Un petit livre, intitulé « H.B *», écrit par Mérimée fait le portrait de Stendhal. Le livre a d’abord été édité à 25 exemplaires sans mention d’auteur.
On y apprend un certain nombre de choses.
Le 23 mars 1842 , il n’y eut que trois personnes, dont Mérimée, à l’enterrement de Stendhal.
(Stendhal) reprochait à nos églises d’être tristes.
(Stendhal) n’avait aucune idée religieuse.
Principe de St. : Ne jamais pardonner un mensonge.
Racine lui déplaisait souverainement.
(D’après St.) Shakespeare a mieux connu le cœur humain.
Pour (St.), la poésie était lettre close.
Je ne l’ai jamais connu qu’amoureux. (M.)
(St) ne discutait guère. « Vous êtes un chat ; je suis un rat », disait-il souvent pour terminer les dis-cussions.
(St), original en toutes choses ….
Apprenant que Mérimée étudiait le grec, St. lui dit : « Vous êtes sur le champ de bataille ; ce n’est plus le moment de polir votre fusil ; il faut tirer ».
Jusqu’à trente ans, (St.) voulait qu’un homme , se trouvant avec une femme seule, tentât l’abordage.
Cela réussit, disait-il, une fois sur dix. (Il n’est pas grave) d’essuyer neuf rebuffades.
Un prêtre et un royaliste étaient pour lui des hypocrites.
Ses lettres sont charmantes.
*H.B. : Henry Beyle, bien sûr.
On trouvera tout le texte, assez court, sur Gallica.
Pas de cris d’or frais !
rose, qu’est-ce qui vous fait dire que Ed est un homme ?
Rien dans ses propos ni à travers son site ne le laisse à supposer.
Voilà Jacques :
Les chants de demain, à St Eustache.
L’agneau pascal, sur une poésie de W. Blake.
Petit agneau qui t’a fait
Sais-tu qui t’a fait,
Donné vie et conduit
Près du fleuve ou sur les prés ;
Donné ta toison soyeuse,
Douce toison de laine brillante ;
Donné ta si tendre voix
Qui comble tant les vallées de joie !
Petit agneau qui t’a fait
Sais-tu qui t’a fait ?
Petit agneau je vais te le dire,
Petit agneau je vais te le dire,
On l’appelle par ton nom,
Car il s’appelle lui-même Agneau :
Il est doux et il est bon,
Il s’est fait petit enfant.
Moi, l’enfant, et toi, l’agneau,
Sommes appelés par son nom.
Petit Agneau, que Dieu te bénisse.
Petit Agneau, que Dieu te bénisse.
J’avais été voir, renato. Et j’ai cru comprendre que c’est un industriel du domaine médical.
C’est une comptine destinée aux enfants d’écoles maternelles, Marie Sasseur ?
En vo.
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The Lamb
BY WILLIAM BLAKE
Little Lamb who made thee
Dost thou know who made thee
Gave thee life & bid thee feed.
By the stream & o’er the mead;
Gave thee clothing of delight,
Softest clothing wooly bright;
Gave thee such a tender voice,
Making all the vales rejoice!
Little Lamb who made thee
Dost thou know who made thee
Little Lamb I’ll tell thee,
Little Lamb I’ll tell thee!
He is called by thy name,
For he calls himself a Lamb:
He is meek & he is mild,
He became a little child:
I a child & thou a lamb,
We are called by his name.
Little Lamb God bless thee.
Little Lamb God bless thee.
« The Lamb »
C’est meilleur grillé au barbecue, MS !
Et moi qui vous croyais plus exigeante en matière de poésie !
tu vas l’payer d’avoir dit du mal de ouaym blèke baroz..j’vais tracer ton ipé..et chtatandrais avec mon merco et vroum chte rpasse..jdécendrais chtesucrerai d’un paquet dsel de guérande ramassé à la main..pour désinfecter tes plaies et te conserver un peu dans un tonneau que j’enverrai à mon larbin
« te conserver un peu dans un tonneau que j’enverrai à mon larbin »
Si l’on en croit rose, il aimerait les… hommes !
Pas de cris d’or frais !
hon entend pas gueuler l’vieil or..sapré alesquia..chic -et- couture
Histoire d’un poème de S. Mallarmé.
» Ce poème est initialement paru dans le numéro 17 de la revue Cosmopolis, éditée dans sa version française par Armand Colin, daté 1er mai 1897, le texte étant précédé d’une « observation relative au poème », d’une « note », rédigée par Mallarmé lui-même. Le titre était typographiquement composé ainsi : Un Coup de Dés jamais n’abolira le Hasard »
N’est pas sans rappeler, enfin ce ne sont que circonstances, cette visite , « c’etait le samedi 29, jour de Saint Eustache », de Jehan, jeune ecolier, à l’alchimiste, archidiacre. Le jeune écolier s’engage dans la vis de la tour, et surprend l’archidiacre caché au sommet. (Livre VII).
C’est là que Hugo donne la clé de ce mot , qu’il trouva gravé sur le mur de l’une des deux tours; c’est sur ce mot, explique-t-il, dans sa préface, qu’il a fait son livre:
’AΝΆΓΚΗ
les hommes hont bon gout baroz..il est vénère pasqu’aucun veut dlui..les coups dpieds dans l’fion c’est l’erzatz du succés damné comme elle dirait tout bas alesquia
Marie Sasseur, l’exténuée de poésie !
12h32, occupez vous de vos fesses, je ne poste pas pour vous.
Vous postez uniquement pour vous, Marie Sasseur ?
Malgré sa piété et son inspiration évangélique, William Blake fut longtemps cru fou par ses contemporains et y compris des études tardives. Ce n’est que récemment que ses visions sont devenues les sources légitimes de son inspiration et de sa gloire.
Il aurait eu depuis son plus jeune âge des visions. La première intervint dès l’âge de quatre ans quand il vit Dieu et qu’il hurla de frayeur. Aux environs de neuf ans, il aurait vu à Londres un arbre empli d’anges aux ailes resplendissantes comme des étoiles. En d’autres occasions, il vit également des figures angéliques parmi des fermiers. L’une de ses peintures est l’évocation de la vision du fantôme d’une puce (The Ghost of a Flea (en), 1819–1820).
Il était persuadé qu’il recevait un enseignement et des encouragements par des archanges afin de créer ses œuvres qui étaient d’ailleurs à ses dires appréciées et lues par eux.
En outre, il écrit dans une lettre de condoléance à William Hayley, datée du 6 mai 1800 : « Je sais que nos amis décédés sont davantage avec nous que de leur vivant. Il y a treize ans j’ai perdu un frère avec lequel esprit je m’entretiens quotidiennement de longues heures et que je peux voir en imagination. J’entends ses conseils et j’écris sous sa dictée. » » (wiki)
Il a dû commencer tôt à fumer du cannabis, Marie Sasseur ?
pharmacie?
Crise des opioïdes : la famille Sackler arrête la philanthropie au Royaume-Uni
VOIR USA
Plusieurs musées refusent les dons de la famille Sackler, propriétaire d’un laboratoire d’opioïdes SLATE
La firme produit notamment l’OxyContin, un anti-douleur surpuissant qui tuerait plus de cent personnes par jour aux États-Unis.
PR2CISIONS SUR SACKLER
http://www.slate.fr/story/174966/musees-refusent-dons-sackler-laboratoire-opioide
Le Guardian rappelle que d’autres institutions ont reçu ou reçoivent encore de l’argent de la part des Sackler: le Victoria & Albert Museum ou la Serpentine Gallery à Londres, les universités de Cornell, de Stanford, ou d’Harvard, ou encore… le musée du Louvre.
12h47, la glu, et votre imbécillité, ça suffit. Je ne fais pas partie de votre ligue du lol.
12h27, j’ai une tres belle histoire de tailleur de pierre, autre chose que vos pleurnicheries sur votre casseur de cailloux, vo8ys avez du etr8e bercé trop près du mur, votre fatalité.
Un généreux donateur (sic) qui verse un « myard » à sa fondation, c’est comme si bouguereau (sorry sir) transférait 100 balles de son compte courant sur son compte épargne. Prosternons-nous ! Et plus vite que ça ! Les cloches se sont envolées mais les gogos sont restés sur le parvis.
Correction.
L’expression tres adaptée, vous concernant, 12h47, est trop jolie pour être écrite à la hâte: vous avez dû être bercé trop près du mur, votre fatalité.
@Petit Rappel dit: 20 avril 2019 à 10 h 28 min
Un petit moment volé au soleil pour vous parler de Dalida que vous semblez mépriser. Cette femme était émouvante. Ses chansons étaient fredonnées dans les milieux populaires où je vivais. C’est la môme pas de chance… Je la trouve émouvante. Yolanda Gigliotti, devenue « Dalida » était née au Caire le 17 janvier 1933, dans une famille d’immigrés italiens, seule fille entre deux frères, Orlando son aîné et Bruno, le cadet. Leur père, Pietro, est premier violoniste à l’opéra du Caire.
Malgré les réticences de sa famille, le 24 décembre 1954, elle s’envola pour Paris…
Le cinéma français dont elle rêvait n’a pas de place pour elle. Alors, elle prend des cours de chant, est engagée dans un cabaret.
Elle enregistre son premier 45 tours, c’est avec « Bambino » que Dalida s’imposa. D’autres chansons suivront : « Histoire d’un amour », « Gondolier », « Les Gitans », « Come Prima », « Ciao ciao Bambina », « Romantica », « Paroles paroles », « Gigi l’amoroso », « Il venait d’avoir dix-huit ans », « Salma ya salama », « Mourir sur scène »… Elle reprit aussi des chansons qui semblaient écrites pour elle : « Avec le temps » ou « Je suis malade »…
Je sais que certains la considéraient comme une chanteuse aux rengaines faciles et aux paroles souvent indigentes, utilisant trop souvent le play-back. Elle symbolisait « la chanteuse à accent et la midinette qui avait réussi ».
En 86, elle tourna « Le sixième jour » sous la direction de Youssef Chahine, où elle incarnait la bouleversante grand-mère, Saddika, lavandière, d’après le roman d’Andrée Chédid (et chantait la chanson du film).
Le 3 mai 1987, Dalida mit fin à ses jours dans sa maison parisienne. Elle avait 54 ans… Elle laissa, entre autres lettres, ce message : « La vie m’est insupportable, pardonnez-moi. »
Une place porte son nom à Montmartre.
@à 13 h 22 min
« Correction. »
N’utilisez pas des mots dont le sens vous échappe, chère Marie…
« casseur de cailloux » dans la bouche d’une qui ne casse pas des briques, faut-il le prendre comme une insulte ou un compliment ?
Perso ce qui m’intéresserait ce serait de savoir pourquoi Dalida est devenue une icône pour les mouvements gays. Est-ce parce qu’il était si facile de la pasticher ? Une robe à paillettes près du corps, une perruque, un play-back sur « il venait d’avoir 18 ans », et hop, on passait chez Michou : est-ce de là que vient cette vénération pour une chanteuse populaire, certes, mais qui était surtout une pure émanation du show bizness ; pauvre « mystère » que celui de Dalida, très bien analysé dans le documentaire à icelle consacré, qui s’appelait « la femme dévoilée », je crois, et qui soulignait la fracture entre des origines méditerranéennes, et une destinée commerciale. Car il s’agissait bien de commerce…
D’un autre côté, 12h47, je serais la dernière des ingrates si je ne vous remerciais pas du spectacle qui se joue ici. Et dont vous êtes l’un des habiles scénaristes. Toujours à remonter la piece « Qui est qui »… depuis plus de 10 ans, au vu des reliquats de scénarios réutilisés…
Ainsi j’etais seule au théâtre hier soir.
Quand j’ai compris que sur scene, se jouait un inédit reloaded.
Brigitte Barjot, et Paul, c’est fini.
Pleine de son mépris, pour cet amour refusé, tant de fois, BB est partie battre la campagne en Normandie.
J’attends le prochain épisode avec une impatience gourmande.
Bb va-t-elle s’inviter à la table de la brayonne pour pactiser.
Ou va-t-elle débarquer à St Malo avec toute sa ménagerie, pour faire une énorme scène de jalousie, en haut des remparts. Alors que Paul Edel, terrorisé à cette perspective, s’est enfermé avec femme et enfants dans l’église.
Attendons demain.
Joyeuses Pâques.
(mais j’étais venue pour vous donner des nouvelles de Pile-Poil, si ça vous intéresse, bien sûr, sinon je sursois)
« Car il s’agissait bien de commerce… »
Tout le monde vend quelque chose.
Toutes les blondes à paillettes qui chantent le sexe et l’amour deviennent des icônes gays : Dalida, Madonna, lady Gaga, et la plus grande, qui est rousse, Mylene Farmer.
Et sa version américaine, que j’ai eu l’honneur de voir en concert il y a deux ans : Lana Del Ray. Beaucoup de gays aux premiers rangs.
Les gays adorent les femmes dans toute leur féminité !
https://www.youtube.com/watch?v=ygijwtP0VbA
Et les hommes dans toute leur virilité…
5 – Achevé cette nuit Bouvard et Pécuchet. Heureux d’avoir senti rapidement durant la semaine sainte que ces deux imbéciles n’étaient pas aussi stupides qu’ils m’en avaient l’air au départ. Leur trouvais, au fur et à mesure de l’avancée dans le roman, bien du courage d’affronter les contradictions de leurs entourages, qui les toisaient, du haut de leur prétendue autorité sociale. Ils se farcissaient la tête de lectures les plus diverses et variées, pour apprendre et comprendre à l’université de tous les savoirs de leur temps, mais pas gratuitement…, avec l’envie d’expérimenter les recettes. Invariablement, ils laissaient tomber, car dépourvus des bases et des réflexes scientifiques de base, toutes leurs entreprises foiraient… Mais bien que moqués, humiliés et querellés, ils n’en repartaient pas moins avec vaillance…, tandis que le sens de la bêtise perçue dans les contradictions des bouquins et chez les autres arrogants de leur entourage leur était devenu une perception de plus en plus affûtée.
C’est à la fin du bouquin que j’ai compris à quel point Jules et Henri étaient devenus « totalement » Faubert lui-même, comme l’écrivain fut « la Bovary ». Ils allaient pouvoir tout autant se venger de la sottise humaine, et c’est Flaubert lui-même qui l’écrit, tout en en disqualifiant le motif chez eux : « alors une faculté pitoyable se développa dans leur esprit, celle de voir la bêtise et de ne la plus tolérer »…
Bouvard et Pécuchet, c’est un trip bien plus passionnant que le pensum que je n’aurais jamais pu imaginer… Par bien des aspects, j’ai trouvé que la quête et la désillusion de ces idiots n’avait pas pris une ride aujourd’hui… Je garde pour moi les raisons intimes de cette découverte. Peu importe ce qu’en pensera la RDL…. Ce Flaubert-là vient de m’apprendre quelque chose. Alors non… pas d’accord avec le DIR qui disait : « Littérature -> occupation des oisifs ».
Dalida par Cricripédia ahahahahahah !
@M.Court
Relisant Pierre Michon dans l’excellent Le roi vient quand il veut (Albin Michel)*, je lis p.30 ces lignes qui remplacent bien des cantiques…
« Qu’est-ce que la littérature sinon ce qui transforme le corps vide en corps de mots, en corps glorieux ? Qu’est-ce qui peut mieux formuler l’absence du père que le dogme catholique : Dieu qui n’est jamais là, le Fils qui cherche et souffre, et l’Esprit qui souffle on ne sait où, fait communiquer entre elles des absences ? »
Qu’en pensez-vous ?
* (livre que j’avais laissé, l’an passé, dans la maison de mon fils.)
J’aimais beaucoup Dalida.
Il me semble qu’elle avait choisi d’avorter clandestinement ce qui a certainement eu un impact psychologique considérable sur elle.
L’inconscient garde l’empreinte d’un tel choix puis et influe secrètement sur la vie consciente.
Méfiez-vous avec ce que vous écrivez sur Sackler ici parce qu’une telle boite est capable de vous attaquer en justice.
Superbe idée de lecture, JJJ. Merci.
Bouvard et Pécuchet me semble être le livre idéal à (re)lire par les temps qui courent !
J’avoue que c’est le seul livre de Flaubert que je n’ai jamais lu à ce jour.
Lui dont j’ai soigneusement pris connaissance de toute sa Correspondance.
Je garde de ce roman seulement le souvenir ébloui de son incipit, avec la rencontre sur un banc du boulevard de l’Arsenal de Bouvard et Pécuchet. Puis je n’ai pas poursuivi très loin la lecture.
Ce ne devait pas être le bon moment ?
Je viens de relire cet incipit en ligne.
Une vraie merveille, JJJ !
Si vous devez présenter le livre à votre club de lecture, commencez par leur lire de votre voix la plus chantante et la plus claire ces premières lignes. Histoire de présenter les deux héros du roman.
Vous n’aurez plus qu’à résumer la suite, à votre cuisson…
J’aimerais bien y assister ?
Ce qui me frappe en relisant cet incipit, c’est que tous les paragraphes s’enchainent comme les plans d’un scénario : on voit même les images : lieux, personnages divers et variés qui entrent dans le champ de vision, dialogue, sons, sensations de chaleur, odeur…
Il était une fois…
« Comme il faisait une chaleur de 33 degrés, le boulevard Bourdon se trouvait absolument désert.
Plus bas, le canal Saint-Martin, fermé par les deux écluses, étalait en ligne droite son eau couleur d’encre. Il y avait au milieu un bateau plein de bois, et sur la berge deux rangs de barriques.
Au delà du canal, entre les maisons que séparent des chantiers, le grand ciel pur se découpait en plaques d’outremer, et sous la réverbération du soleil, les façades blanches, les toits d’ardoises, les quais de granit éblouissaient. Une rumeur confuse montait au loin dans l’atmosphère tiède ; et tout semblait engourdi par le désœuvrement du dimanche et la tristesse des jours d’été.
Deux hommes parurent.
L’un venait de la Bastille, l’autre du Jardin des Plantes. Le plus grand, vêtu de toile, marchait le chapeau en arrière, le gilet déboutonné et sa cravate à la main. Le plus petit, dont le corps disparaissait dans une redingote marron, baissait la tête sous une casquette à visière pointue.
Quand ils furent arrivés au milieu du boulevard, ils s’assirent, à la même minute, sur le même banc.
Pour s’essuyer le front, ils retirèrent leurs coiffures, que chacun posa près de soi ; et le petit homme aperçut, écrit dans le chapeau de son voisin : Bouvard ; pendant que celui-ci distinguait aisément dans la casquette du particulier en redingote le mot : Pécuchet.
— Tiens, dit-il, nous avons eu la même idée, celle d’inscrire notre nom dans nos couvre-chefs.
— Mon Dieu, oui, on pourrait prendre le mien à mon bureau !
— C’est comme moi, je suis employé.
Alors ils se considérèrent.
L’aspect aimable de Bouvard charma de suite Pécuchet.
Ses yeux bleuâtres, toujours entre-clos, souriaient dans son visage coloré. Un pantalon à grand-pont, qui godait par le bas sur des souliers de castor, moulait son ventre, faisait bouffer sa chemise à la ceinture ; et ses cheveux blonds, frisés d’eux-mêmes en boucles légères, lui donnaient quelque chose d’enfantin.
Il poussait du bout des lèvres une espèce de sifflement continu.
L’air sérieux de Pécuchet frappa Bouvard.
On aurait dit qu’il portait une perruque, tant les mèches garnissant son crâne élevé étaient plates et noires. Sa figure semblait toute en profil, à cause du nez qui descendait très bas. Ses jambes, prises dans des tuyaux de lasting, manquaient de proportion avec la longueur du buste, et il avait une voix forte, caverneuse.
Cette exclamation lui échappa :
— Comme on serait bien à la campagne !
Mais la banlieue, selon Bouvard, était assommante par le tapage des guinguettes. Pécuchet pensait de même. Il commençait néanmoins à se sentir fatigué de la capitale, Bouvard aussi.
Et leurs yeux erraient sur des tas de pierres à bâtir, sur l’eau hideuse où une botte de paille flottait, sur la cheminée d’une usine se dressant à l’horizon ; des miasmes d’égout s’exhalaient. Ils se tournèrent de l’autre côté. Alors ils eurent devant eux les murs du Grenier d’abondance.
Décidément (et Pécuchet en était surpris) on avait encore plus chaud dans les rues que chez soi !
Bouvard l’engagea à mettre bas sa redingote. Lui, il se moquait du qu’en-dira-t-on !
Tout à coup un ivrogne traversa en zigzag le trottoir ; et, à propos des ouvriers, ils entamèrent une conversation politique. Leurs opinions étaient les mêmes, bien que Bouvard fût peut-être plus libéral.
Un bruit de ferrailles sonna sur le pavé dans un tourbillon de poussière : c’étaient trois calèches de remise qui s’en allaient vers Bercy, promenant une mariée avec son bouquet, des bourgeois en cravate blanche, des dames enfouies jusqu’aux aisselles dans leur jupon, deux ou trois petites filles, un collégien. La vue de cette noce amena Bouvard et Pécuchet à parler des femmes, qu’ils déclarèrent frivoles, acariâtres, têtues. Malgré cela, elles étaient souvent meilleures que les hommes ; d’autres fois elles étaient pires. Bref, il valait mieux vivre sans elles ; aussi Pécuchet était resté célibataire.
— Moi, je suis veuf, dit Bouvard, et sans enfants !
— C’est peut-être un bonheur pour vous ? Mais la solitude à la longue était bien triste. »
Rose 20/4- 03h47.Vous écrivez dans ce post adressé à Christiane: »…..à contrario de votre attitude honnête et sincère….sur le blog d’Edel interviennent nombre d’intervenants sous de fausses identités.N’ai pas assez lu Olga ni Lola et ne peut (sic)pas dire, néanmoins ED,Gisèle,et je pense Olga et Lola SONTSa des hommes.
La poire c’est Edel, pas vous. »
** Vous aimez le papier bleu, Rose.
Lola, Olga et Gisèle sont la même personne.Une Femme. Elle l’a, elle même, expliqué.Lola, disparue à la suite des ACCUSATIONS de Clopine, est devenue Gisèle sur RdL et Olga sur ‘près..loin ». Sa participation à ces blogs est, de plus, insignifiante.
Vos délires atteignent un haut degré de schizophrénie. Il s’agit maintenant de « harcèlement » et de » mensonges » caractérisés, de votre part.Vous aimez le papier bleu. Vous l’avez vraiment cherché.
¤ L’homme de confiance de Lola,qui est loin de ces échanges immondes et qui n’a jamais usurpé l’identité de personne.
*** les cas,que vous évoquez: ED,Edel,et les autres, ne me concernent pas, je ne suis pas chargé de m’en occuper.
Au plaisir de vous rencontrer, en chair et en os.
Pour le casting, vous verriez qui, JJJ ?
Moi je verrais bien Alba, mais face à qui : M. Court, Phil, vous ?
Et qui en Bouvard et qui en Pécuchet ?
Ou alors D. rencontrant Delaporte ?
Chaloux, on ne peut le confronter à personne…
Trop tard, Gisèle, rose s’absente de France pour quelques mois !
D?LES INFOS ONT 2T2 PASS2ES DANS TOUS LES SITES D ARTen américain, et tout est sur la toile;je ne dis rien de plus
D,Amid ongoing debate surrounding museums and institutions that receive funding from the Sackler family, which has been the subject of protest in connection to the ongoing opioid crisis, the National Portrait Gallery in London will abstain from a £1 million ($1.32 million) grant from the Sackler Trust. In a release posted to the museum’s press site, the National Portrait Gallery said the decision to do so was a mutual agreement between the museum and the Sackler Trust. The Art Newspaper first reported the news on Tuesday morning.
et alii j’ai vu le reportage sur arte c’était effarant on a transformé une foule de personnes en junkies. choquant
Quand le vaticinant erratique, au larynx
dédaléen, divague en sa tant dédiée
et de l’Absent manie avant tout radiée
pour de l’insaisissable animer la syrinx
O n’être qu’aboli le mystère du sphinx
par qui du clair obscur l’âme est congédiée!
O chevaucher, vers la victoire irradiée,
aveugle et de ses yeux exorbités, le lynx!
Hypogéenne telle énigme la Pythie,
ambage non pas un d’où l’inconnu dévie,
J’ai de l’impénétrable approfondi l’azur
etc…
opioides aux USA
https://fr.video.search.yahoo.com/yhs/search;_ylt=AwrIQhx2LbtcUVIAaBSPAwx.;_ylu=X3oDMTE0aHI1NXZvBGNvbG8DaXIyBHBvcwMxBHZ0aWQDQjc0MzdfMQRzZWMDcGl2cw–?p=crise+opioides+%C3%A9tats+unis&hspart=adk&hsimp=yhs-adk_sbyhp¶m1=20190214¶m2=8e26b10e-37b2-e9a1-d15e-e8f7572b6b48¶m3=email_1.6~FR~romb¶m4=gsfrem06~Chrome~crise+opioides+%C3%A9tats+unis&ei=UTF-8&fr=yhs-adk-adk_sbyhp
« je ne suis pas chargé » Gisèle n’est pas chargée, « elle » s’amuse.
15h12, excellent, j’ai ri aussi. La folle dingo a oublié la statue en bronze bien patinée,
B. Barjot a avorté deux fois, ce qui explique son mépris immonde pour les enfants, toute à ses phoques.
excuses
https://www.arte.tv/fr/videos/079301-000-A/etats-unis-les-ravages-des-opioides/
« Ou alors D. rencontrant Delaporte ? »
Ce serait une rencontre au sommet. On parlerait de Dieu.
Ce n’est pas très gentil pour Mallarmé de parler, comme le fait Passou, d' »exténué des lettres ». C’est péjoratif. On dirait un personnage de Beckett. Mallarmé c’est bien autre chose, c’est la rutilance du style, la splendeur de la poésie digne de Salomon dans sa gloire. Exténué peut-être au creux de la nuit insomniaque, mais donnant naissance au plus beau des enfants !
Marie Sasseur, ce n’est pas excellent, c’est juste méchant. De toute façon, on atteint des sommets de méchanceté, ici, ce n’est pas nouveau. Comme perso je n’ai pas le cynisme d’un Houellebecq, qui jubilerait, pour sûr, en voyant ainsi démontrée la mauvaiseté humaine débarrassée de courtoisie, de mesure, d’empathie et d’attention à autrui, juste par la baguette magique de l’anonymat doublé d’impunité, cela m’attriste en réalité. Soupir.
Et ne m’en veuillez pas, cette excellente soirée, m’avait fait revisiter un vers de Musset.
Sauf que ce n’etait pas du Molière qui était donné
Mais une tres surprenante scene de ménage, à plus de trois.
Encore !
De toute façon, on atteint des sommets de méchanceté, ici, ce n’est pas nouveau
vous ne le direz jamais trop;j’ai pris du recul depuis que j’ai pris conscience que ça me perturbait (rêves etc)
merci do,nc de le rappeler et de caresser pile poil dont vous avez promis des nouvelles
le récit de soi autobiographie:
https://www.youtube.com/watch?v=kWK4q8V_-iE
Dalida ne méritait certainement pas un tel traitement cricripedia, en réponse à Court, resté a l’ancien régime de la messe en latin, et aux bonnets de nuit.
Moi, je dois un grand merci à Dalida, une soirée mémorable de karaoké en Turquie.
AUX INCENDIAIRES
Aux incendiaires en jaune, en rouge ou en noir.
Notre-Dame en flammes ne leur a rien appris et ne les a pas freinés. Il y a toujours des gens heureux de mettre le feu.
Grand merci aux télés, ce samedi, de nous montrer les feux éteints par les pompiers.Elles devraient avoir la gentillesse de nous montrer la binette des incendiaires.
Et quand les pompiers n’auront pas le temps d’éteindre ces feux, elles seront aimables de nous montrer le bel immeuble qui brûlera, puis les cadavres calcinés qu’on sortira des flammes.
PS. Remise de la Légion d’honneur à Houellebecq, par le chef de l’Etat, en son palais. Sont présents
Sarkozy, Finkie et Beigbeder. On aura tout vu.
O tempora o mores.
Michel Houellebecq suivra tres certainement la messe de Pâques à la télé. Il est comme ça, Michel.
Beigbeder, lui se fera une ligne blanche avec le nez et sans les mains.
Tandis que Finkie … Au fait, il en est où de son affaire de gilet jaune ?
Passer de Mallarmé à Dalida, le prestigieux blog à Passou est dans l’air du temps. Notre-Dame reconvertie en centre culturel (polyvalent), la presse de Pologne dévoile l’objectif de la politique française. on a pu lire ici la recette de la quiche lorraine sous une notule qui traitait de Bergson. la religion des dieux lards a la cote.
Les dieux lares , Phil, lares.
Cela a trait à la maison, de mémoire.
Faut arreter le picon bière, Phil, en plus de vous rendre idiot, cela vous rend mesquin et vous ne comprenez plus ce que vous lisez.
« … la religion des dieux lards a la cote. »
Excellent, Phil.
Phil, qui a la culture du bénitier abreuvoir, va nous faire un karaoké de Gethsémani, par Dalida, comme proposé par le bedeau Court, au milieu du cimetière…
« Michel Houellebecq suivra tres certainement la messe de Pâques à la télé. »
Sublime Sasseur, juste remarque. Mais je crois même que Houellebecq ira suivre la cérémonie en cachette, dans quelque église ou chapelle. Pour l’instant, il est marié à sa Chinoise, qui doit être bouddhiste. Mais bientôt Houellebecq va satisfaire son envie secrète de devenir catholique, et de se faire moine.
dear marie sasseur, du lard ou du cochon, tèzarde fêlée, ça vous facilite la comprenette ?
Pas thesarde du tout Phil. Mais avec votre certificat d’etudes périmé, je me garderais bien de vous humilier, plus que vous ne le méritez.
C’est votre fatalité Phil. Il n’y a pas tellement de hasard, la dedans.
Voilà pour vous Et alii :
A son actif : il est « propre » (ne pisse plus ni ne chie à l’intérieur), et s’ asseoit quand on lui dit « assis ». Bref, il a acquis en trois mois et demi les deux compétences requises pour entrer à l’école maternelle, sauf que les petits humains, eux, ont besoin de deux ans pour aboutir au même résultat…
Et ça ne suffira pas !
Parce qu’au passif, il a déjà flingué 2 paires de chaussures, le vieux tapis de ma chambre, le panier à bûches, il a déterré les échalotes du jardin et fait des trous sous l’ étente à linge, attaqué le siège de l’ordinateur, massacré deux ballons de foot, s’est mangé quelques sérieuses baffes griffues de la part des chat ; il saute en permanence vers les mains qui sont au-dessus de lui, fonce sur vos genoux dès qu’il le peut, bouscule tout, continue à mordiller à peu près tout ce qui l’entoure , a entièrement dépouillé un livre de poche réduit à l’état de confettis, voue une affection sans borne au vieil os du gigot de samedi dernier qu’il refuse de céder à qui que ce soit et qu’il traîne derrière lui dans le jardin, cherche à grimper sur les tables et bat de la queue en permanence.
Sauf quand il est assis.
Alors le matin je l’asseois sur une chaise, en léger déséquilibre, devant la table, et là je peux enfin apercevoir le gentil chien affectueux et doux qu’il sera sûrement.
Un jour … ?
(et vous pouvez voir son adorable frimousse de chiot très aimé ici !https://www.facebook.com/clopine.trouillefou)
Merci, JJJ.
De cet autre livre de Pierre Michon Corps du roi (Verdier), quelques extraits des pages qu’il consacre à Flaubert (pp.19/46):
« Vendredi 16 juillet 1852. Au lever du jour. A la fin de la nuit. Il a plu, il ne pleut plus. De grands nuages ardoise courent dans le ciel. Flaubert n’a pas dormi. Il sort dans le jardin de Croisset : les tilleuls, puis les peupliers, puis la Seine. Le pavillon du bord de l’eau. Il a fini la première partie de Madame Bovary. […]
Le vent du matin lui fait du bien. Il a un beau gros visage fatigué, un beau gros visage reposé.[…]
pas de pommes dans les pommiers de Normandie, pas d’arbres profonds dans les forêts, pas de Louise Colet délacée, pas de lilas, ni de pleurs de Louise Colet à sa porte, tout cela il s’en foutait, il en riait et s’en foutait, il en pleurait et s’en foutait, il n’était pas là. Il n’avait rien en effet, il était privé de tout, puisque c’était dans sa tête. […]
supposer qu’il a joui de la Seine, du vent dans les peupliers, de sa petite nièce mangeant des confitures, des grandes vaches dans les champs, des grandes femmes de temps en temps, de la débauche qu’est la lecture, de la luxure qu’est le savoir ; qu’il a joyeusement cueilli des tilleuls pour faire de la tisane, joyeusement fait défiler dans sa tête des nomenclatures phéniciennes ; et que çà et là, de chic, pour marquer le temps, pour épater les Parisiens, pour donner du travail à ses flagorneurs dans Paris, il soit tout de même monté dans son cagibi et y ait écrit quelques phrases parfaites qui lui venaient tout naturellement. […]
16 juillet 1852. Il a fini dans la nuit la première partie de Madame Bovary : « Le vendredi matin quand le jour a paru, j’ai été faire un tour de jardin. Il avait plu, les oiseaux commençaient à chanter et de grands nuages ardoise couraient dans le ciel. J’ai joui là de quelques instants de force et de sérénité immense. »
Ce que chantent les oiseaux c’est que pour l’instant le livre est fini, le livre est suspendu. Le recours en grâce est accepté, non, on ne peut tout de même pas ôter le masque, il tient trop bien, mais on peut oublier qu’il existe et sentir le vent de l’aube entrer par les joints. On n’est pas de bois, on jouit des arbres. Le monde au-delà de la Seine est fait de chaumes d’or, de javelles éclatantes, de hêtraies lointaines où le cœur bat. Dans les laiteries des fermes des petites filles trempent leur doigt dans du lait, l’écrèment ; sous le regard d’un homme une fille rit d’être comblée tout à l’heure, des monstres humains oublient qu’ils sont des monstres. Le monde se passe de prose. »
@Phil dit: 20 avril 2019 à 18 h 01 min
Irrésistible !
Au moins Phil, vous aurez gagné une bonne note de B. Barjot.
Maintenant que Paul Clément l’a rejetée, elle se venge.
Mais à 70 balais bien tassés, pensez que le leurre va marcher ?
michon c’est quand même un peu téléphonné à la huaouaï..dans la page d’accueil ya des vus subliminales de chenzen
si à ctage là ça passe pas tout son temps a slécher la bite c’est qu’il est malade bonne clopine..ça va tcouter 200 balles chez le véto
Phil, qui a la culture du bénitier abreuvoir
bahhh dlalourde y fait sa ptite toilette dedans..même si dans notre dame phutur y’aura du chlore et du fluor et une camera vidéo..chpréfèrait une bouteille capsulée
Tandis que Finkie … Au fait
s’est fait porter fastochement siphonné hirresponsabe..y’est hintouchabe
Sont présents
Sarkozy, Finkie et Beigbeder. On aura tout vu
c’est toujours les mêmes mais chalouré fait l’hétonné..t’es trop habitué a prende les gens pour plus con..soi plus démocratic et populaire et tu verras la vérité
« Michel Houellebecq suivra tres certainement la messe de Pâques à la télé. »
Tout à fait Delaporte, c’est ce que je pense.
Son épouse Lysis est très attentionnée; elle en sera encore plus amoureuse. J’espère que cette histoire va durer, contrairement à ce que vous souhaitez à Michel, qui a déjà tenté l’expérience de l’amour , en cellule monacale . Cela ne lui a pas reussi, souvenez-vous.
B. Barjot a avorté deux fois, ce qui explique son mépris immonde pour les enfants, toute à ses phoques
avec toi tèrezoune et tchita..hou bonne clopine avec cadichon on ferme bien les noeils..halors qui qu’c’est les bons chrétiens..ha!
19h12, n’en fait pas trop. Tu te fais du mal.
‘pour savoir ce qui est assez il faut savoir ce qui est trop’..c’est du ouyam bléke..et houi tèrezoune
19h12, en fait tu gonfles.
Ton usurpation de pseudo tient en vie quelques chaisieres de la mapad. Mais tu es usé.
jvais pas tciter ça en angliche..ça frait pédant..point trop n’en faut
sapré tèrezoune..tout n’est pas mauvais en toi..mais faudrait un grand coup dsabre en plein miyeux..mauvaise médcine..
19h21
Désolée, mais il etait grand temps que tu arrêtes ton cirque au jardin des oliviers.
Prendre tout le monde pour des cons, ça bien un moment.
Ça va bien un moment. Et ça dure depuis trop longtemps. Fais-toi soigner.
6 –
@ MS… (du DIR sur domicile -> Je regagne mes pénates, Je rentre dans mes lares).
@ Jzmn… Cette sale manie que j’ai de toujours tomber directos sur la seule faute d’impression qu’il fallait pas, et qui tue une répute. Mais propre à m’faire divaguer l’imagination, mon frère…, c’est l’histoire de Kierkegaard en épicier, ou plutôt en marchand de tapis… Qui l’eût cru ? Tout à coup, la philo devient farce, mieux respirab’. Désolé et merci, Jzmn… J’ai bien marché… 🙂 Dans l’intro de votre Goût de la marche, page 11. L’avez-vous vue ?
(j’vous cite) « C’est en marchand (sic) que j’ai eu mes pensées les plus fécondes, et je ne connais aucune pensée aussi pesante soit-elle que la marche ne puisse chasser » ///
… sans indication de la source ni de la traduction, en +… et ça, c’est pas l’top !…
Non, lare n’a rien à voir avec pénates, dans cette acception d’argotier.
Mais continue ton cirque tu m’amuses.
« C’est en marchand (sic)on juge parait-il au résultat! merci de l’avoir présenté !
7 – @20.10 Je répète mon numéro de cirque, ma soeur… in le dictionnaire des idées reçues (DIR), de flaubert gustave, au mot Domicile : « Toujours inviolable, cependant la Justice, la Police y pénètrent quand elles veulent. « Je regagne mes pénates » « Je rentre dans mes lares » (en italiques dans le texte).
On se calme. J’ai rin dit, c’était just’un clin d’oeil à MC, un petit rappel, quoi. Et j’ai pas commenté mon propre karaoké sur Dalida en Turquie. Pas de cirque, non. Du grand très sérieux, hein.
C’est Kafka qui invoque un dieu lare, dans ma mémoire. Et il est proche de la fin.
Rien à voir avec le jargon intrusif des poulets .
Chacun ses références.
Pour Court et toi.
De ce merveilleux séjour en Turquie, bien qu’infestee de nouveaux riches russes, je garde ce souvenir de Dalida, un karaoké, un ciel splendide.
Bien loin de m’imaginer que cette chanson était son drame, comme tu ne le sais sans doute pas.
je la remets pour Court, et toi.
« J’espère que cette histoire va durer, contrairement à ce que vous souhaitez à Michel, qui a déjà tenté l’expérience de l’amour , en cellule monacale . Cela ne lui a pas reussi, souvenez-vous. »
Tout réussi à Houellebecq, sublime Sasseur ! Sa Chinoise ne doit pas savoir lui faire de la bonne cuisine, à part manger du riz, qui est très bon la santé, mais lassant. Dans une cellule monacale, Houellebecq se referait une santé mentale. Pensez à cela, sublime Sasseur !
dlalourde..tèrezoune..dalida..c’est culte épîcétou
« C’est en marchand (sic)
comment devenir commèreSand est une sérieuse question d’identité pour un flaubertien
Oui certainement Delaporte, Michel Houellebecq a bien besoin de se remplumer un peu, mais Lysis lui convient bien mieux qu’une mémère pot-au-feu, comme les appréciait Huysmans.
(Et auquel M. Houellebecq rend un hommage de lecteur rare, voir ses pages sur Huysmans et le moyen-age..)
Et puis Houellebecq, vous avez raison, préfère aller à la messe, de manière tres confidentielle. Ainsi comme, il le narre, il est allé à Notre Dame assister à la messe. Celle de Rocamadour.
Je ne pense pas que Michel Houellebecq se serait vraiment plu avec frere Joel , meme si l’église de style gothique tardif fréquentée par Huysmans avait tout pour lui plaire, et que la nourriture de l’abbaye de Ligugė était délicieuse.
Au matin du troisième jour, il avait compris qu’il fallait qu’il parte , qu’il fuie la prose de l’extatique Longeat, le coeur « racorni et fumé par les noces »…;-)
(« Soumission « , Flammarion, 2015, vers la page 219)
7 – @ cette chanson était son drame
Vois pas le rapport avec la turquie, et surtout, pourquoi après l’avoir conch.iée, dalida, tout d’un coup, devient sympatoche.
Et surtout pourquoi toujours autant de vulgarités avec le monde entier ?… certes, on n’a pas les mêmes valeurs ni les mêmes lectures, mais c pâques, non ? Devrtait calmer. Kafka lalare ? des flics et des juges en tête, plus vrais qu’en vrai. Ouaip.
Moi, ai toujours préfèré mireille mathieu, déj dit, elle a aussi un drame secret et ce, depuis fort longtemps (L’ai appris en chantant au Turkménistan avec une jeune soviétique en 1984. En fûmes bouleversifiés, ma soeur, depuis je l’attend devant Delaporte).
Je n’ai jamais « conch.ie » ( quel vocabulaire choisi!) Dalida. Dans tes rêves. Ou le cauchemar de Court.
Oui c’est Pâques, et alors ?
Tu penses être absous de tes petites manies de poulet pas drôle, et gonflant ?
Un conseil, passe à confesse avant de communier.
En voilà, une coquille qu’elle est bonne, JJJ !
Elle est passée au travers des filets des correcteurs.
J’en suis ravi.
L’imperfection c’est l’homme…
@ Un conseil, passe à confesse avant de communier.
TU nous gonf’ avec TES conseils de curtonne : mesure TOI d’abord à TA toise pour TE grandir, cesse de tutoyer les gens, ça TE rend impropre. Souille pas Gethsémani, en plus ! Fais-nous 3 JVSM, et va TE coucher. Demain, absoute et purifiée, iras bin mieux. Soleil & résurrection.
22h56, commence par avoir la politesse d’utiliser un seul pseudo, de sorte que le fait que tu sois un boursouflé soit plus clair pour tous.
Et écris en français s’il te plait, ton sabir est illisible.
@ ton sabir est illisible.
TU mets tes pléonasmes où bon TE semble, ma chérie aux 12 pseudos : au rectum ou au versum, m’est égal, irions point voir.
Bonnes Pâques : VA donc faire un tour au jardin, des fois que TU en trouverais d’autres sous TES laitues. Qui sait ?
souvenir
The tall poppy syndrome
= égalitarisme forcené*
mot juste en anglais et voir plus
Soleil&résurrection.
Après mûre reflexion, et après avoir relu deux pages d’un bouquin de Passou, petite edition confidentielle d’il y a une dizaine d’années, je voulais te (! à toi, que je ne connais pas, la réciproque, quoi que tu en penses est tout aussi vraie) poser une question.
Est-ce que cette crainte de perdre la mémoire ancienne, qui t’en as fait externaliser une partie, comme tu l’as relaté tres franchement, ie pas calculé, est-ce que cette crainte a pu causer un autre effet, comme l’enregistrement de tous les commentaires, dont tu réserves quelques éclats a la rdl canal historique ?
Si tu réponds à cette question, tu auras droit, à une confession, toi qui dis vouloir t’intéresser « aux âmes « , et tu n’as d’ailleurs fourni aucune explication à ce sujet.
@ 13.14, Faites-vous allusion à ce que Passoul raconta naguère de sa rencontre avec un mec appelé Diagonal ? Et de le violence de la rupture de ce dernier avec les erdéliens du canal historique ?
Mes troubles de mémoire ont évolué depuis lors, ou du moins sont apparus après son seul changement de pseudo en JJJ, quoi que vous ayez voulu croire, il n’y en a jamais eu d’autre. J’ai effectivement gardé des traces d’échanges de cette époque, et même précieusement, dans une intention très différente de mes pratiques actuelles. J’ai la manie actuelle de conserver toutes mes interventions et réactions, dans une stratégie de lutte contre la perte de mémoire immédiate, c’est devenu un enjeu entre moi et moi, beaucoup plus qu’entre les erdéliens historiques et actuels et moi : cette mémoire ancienne des débuts de la rdl de passoul est restée intacte, par conséquent, sa conservation n’obéissait aucunement aux objectifs actuels, et cela n’a duré que deux ans, après quoi j’ai disparu de la circulation durant à peu près six ou sept ans. J’y suis revenu, hélas ou tant mieux, mais différent, je crois.
Je ne pense pas cette réponse rencontrera ce que vous souhaitez savoir et entendre ou me faire dire. Quant à moi, je n’attends pas de vous une confession quelconque en réponse.
J’observe que vous êtes devenue plus sereine et moins violente dans vos ripostes. Que petit à petit, vous avez su m’envoyer de petits signes d’espoir mais aussi à vos meilleur.es ennemi.es erdélien.nes. Peut-être commencez vous à trouver une vérité liée à une meilleure sérénité, je n’en sais rien, et je souhaite pas trop gamberger à ce sujet.
Et voilà que des Pado historiques débarquent avec leurs vieux préjugés de jadis à votre encontre. Ils n’ont peut-être pas saisi ni senti la nature de votre évolution subreptice.
Croyez-bien en ma récente sympathie. Et en la certitude de sa précarité, nous savons combien et sur quelle absence de fondation repose ce drôle de dialogue imaginaire, pourtant réel dans sa virtualité. Un château de sable toujours menacé par la marée montante, qui demande à être sans cesse consolidé.
Effectivement, cette réponse, non qu’elle réponde à la question posée, et qui était totalement open, est une veritable tentative d’enfermement dans une histoire , une mystification, que tu fais perdurer.
Le principe de rhetorique des revisionnistes, consiste à solliciter de la partie adverse, un démenti, point par point.
Je préfère que tu croies à ton histoire. Elle ne me concerne pas du tout, malgré cette illudion de vouloir m’inscrire dans ta vaine tentative de raviver des réseaux associaux, qui à ma connaissance, ont causé la perte de leur chef historique.
Pour la construction de châteaux de sable, j’avoue n’avoir aucune compétence. Avec un peu de liant et de graviers, j’dis pas.
Ps, Le « tu » est une commodité, qui n’ entache pas le devoir de civilité auquel nous sommes tenus, je suis tenue, par ailleurs.
Je te souhaite une belle journée.
@ 8.10 « cette réponse, non qu’elle réponde à la question posée, et qui était totalement open, est une veritable tentative d’enfermement dans une histoire, une mystification, que tu fais perdurer » (MS).
Elle est bien bonne, celle-là ! Comme si j’avais été quémander quoi que ce soit, heir soir qui pouvait se résumer ainsi : « si tu me dis ceci, je te confies cela ».
Etait bin la peine que je me sois fatigué pour me voir administrer ce matin cette petite leçon de morale suffisante sur mes prétendus usages de la rhétorique révisionniste !… J’avouions en rester pantois !
Vous m’avez l’air, Mme Sasseur, d’un fieffé specimen de perversion narcissique au féminin. Décidément, ce blog les attire !
Vous prierai donc, pour l’avenir de ne point relancer ce qui, en principe, n’aurait jamais dû vous intéresser me concernant, et qui n’était en rien « open ». Et, pour clore, je confirme ne guère apprécier votre tutoiement parfaitement déplacé et incivil. Car enfin, nous n’avons, semble-t-il jamais gardé ni la moindre vache ni la moindre cochonne. Mettez donc cette bévue sur le compte de mes troubles de mémoire. Et surtout, n’allez point interroger les vôtres, des fois que vous tomberiez par indavertance sur ADB.
A bonne entendeuse, basta et adios, z’êtes irrécupérable !
Pourquoi relancer sur un sujet qui vous a échappé. Mystère.
Et surtout vouloir se refaire une « virginité », ce qui sera peut-être un bien-être pour d’autres que moi.
Je n’ai pas besoin de béquille usb, pour me souvenir de ce que j’ai posté sur ce blog.
Vous utilisez un terme, pervers narcissique , qui vous va à merveille. Sans doute le seul, de tout ce galimatias pseudo-psycho.
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