Marcel Gauchet serait trop réactionnaire pour parler des rebelles

« Oh ! petit, ton père gagne. Tu payes la tournée ? »

ho putain j’ai craint qu’il t’avais perdu au jeux baroz..

même de moi-même

toujours a se polir le confucius celui là..

Et toi, la première fois, le boug, au bordel ou à la ferme ?

renato, c’est pas la peine de demander, il répondra pas, comme dab !

pas de bordel baroz..y’en avait bien un aux confins du patelin..un « bar » sur la grand route..c’était pour les vip du coin et les chauffeur de gros camion..les petits ils faisaient pas assez de frét

Et pour TKT, demande D. ?

Jacques Barozzi dit: 3 août 2014 à 16 h 14 min
Et pour TKT, demande D. ?

Où va se nicher le goût de la perversion.

Jacques Barozzi dit: 3 août 2014 à 16 h 12 min
sa première moto ?

Une Guzzi Le Mans ! Deux ans de paye… Ha j’en pleure sur mon clavier c’est tout mouillé comme la route les doigts dérapent de partout !

Ha c’est beau hein !

http://classic-motorbikes.net/images/gallery/moto_guzzi_v7.jpg

Clopine Trouillefou: « Mes arguments sont peut etre foireux, mais… »
Enfin un éclair de lucidité!
Pour le reste, il ne suffit pas d’écrire « wouarf » pour prétendre réfuter . J’ajouterais que ce qui est en cause ici n’est pas le mode de vie, qui n’effraie guère tant il est commun, mais la prétention à l’imposer en norme universelle et inattaquable. Mr Louis, sa conduite vient de le prouver, est l’apparatchik type d’une idéologie totalitaire qui n’écoute qu’elle meme.
Au temps de Lorrain, nous avions du moins les prétentions littéraires du petit Baron d’Adeswald-Fersen, l’Edouard Louis de ce temps là. Je vous renvoie à l’éreintement de cette chétive gloire par ledit Lorrain, c’est autre chose comme liberté de ton, et c’est cette liberté là que vos petits marquis prétendent nous oter. Enlevez le mauvais roman et la sous-poésie de l’un , remplacez là par la sociologie prétendue et la soupe autofictive plus ou moins frelatée de l’autre, et vous avez le Fersen que ce temps mérite.Je n’ose dire: « que vous méritez »
Libre à vous de jouer la Marie-Antoinette de cet Axel d’un nouveau genre. Tachez, c’est un conseil, d’avoir un peu plus de cervelle que votre illustre modèle.
Tout ceci m’ évoque le Chantecler de Rostand: un salon, tenu par une Pintade, -nous sommes dans une ferme- des chapons, divers animaux, qui veulent trucider le seul d’entre eux qui les dépasse. Comment s’appelle cet acte, déjà? Ah oui: « Le Jour de la Pintade »…Rostand n’avait pas prévu les blogs.
Bien à vous
MC
PS
Sur la tolérance, le personnage nommé, et moi-même, voyez le fil précédent. Il est d’ailleurs piquant de vos entendre l’invoquer lorsque vous montrez à tout ce blog le spectacle d’un esprit borné jusqu’à la caricature dans son Edouarlouisolatrie.il est des contributions qui ne sont pas de moi et qui le disent très bien.Les avez-vous lues?

Pour le reste, il ne suffit pas d’écrire « wouarf » pour prétendre réfuter

..et ça suffit pour te faire des trucs courte..je ne te félicite pas

ta gu eule raclu re

Milou a trouvé en Clopine son Capitaine Haddock, la barbe en moins (encore que)

elle marche sur les mains

les flammes!

Court dit: 3 août 2014 à 16 h 28 min
« wouarf » pour prétendre réfuter .

Ha si quand un clébard de six millimètres de haut fait ça je prends la poudre d’escampette illico presto subito…

Nous attendons impatiemment l’ouvrage qui manque à notre panthéon littéraire françois :

« Pour en finir avec Clopine Trouillefou »

« Pour en finir avec Clopine Trouillefou »

c’est un machin comme terminator ça..c’est une sinécure de franchise avec 12 sequelles au moinsse allez

Absolument pas d’accord, M. Court. Mon « wouarf » est parfaitement explicite, parce que je ne réfute rien du tout, je me moque juste de votre insondable suffisance. Mais vous ne pouvez même pas vous en apercevoir, enfoncé que vous êtes, jusqu’à la glotte, dans vos certitudes bouffies de prétention universitaire. Donc, « wouarf » ai-je écrit, « wouarf » ce sera. Et puis vous n’avez pas d’ordres à me donner, le savez-vous ? Non, c’est le genre de choses que des types comme vous oublient, quand ils s’adressent à des filles comme moi. Wouarf !

« TKT dit: 3 août 2014 à 16 h 13 min
@ Onésiphore de Prébois dit:3 août 2014 à 12 h 07: Compareriez vous les bombardements anglais C’est les grand plaisir pervers des gens comme vous, pouvoir traiter de nazis les Israéliens »

je ne crois pas que ce soit par perversité que certains traitent les juifs (ou les israéliens) de nazis.
les raisons sont assez claires et diverses :
– le « nazi » représente le point culminant du Mal à exterminer.
– le combat anti-nazi représente le point culminant du Bien.
– sur l’extermination des juifs par les nazis le couple Dieudonné / Soral joue surfe parfaitement sur la confusion, Soral affiche son appartenance au national socialisme, c’est un petit nazillon nostalgique d’Hitler, et l’autre, Dieudonné traite les juifs de nazis, résultats ils récupèrent d’un côté les anti-nazis et ceux qui comme OpD utilisent cet argument pour évacuer leur révisionnisme et vont le salut hitlérien durant ses shows.

en résumé ça soulage des types comme OpD de traiter les israéliens de nazis.
ça lui permet d’afficher un révisionnisme qu’il a dû réfréner durant des années, ce qui doit à la longue être pénible et finir même par déclencher certains troubles.
pour ce qui est du combat anti nazi je pense qu’un type comme opd est plus proche d’un Soral que d’un Dieudonné, quand il emploie le mot « nazi » ça sonne trop bien, on sent que c’est un truc qui a dû le travailler toute sa vie, une fascination, la fascination de l’interdit, d’où sa proximité avec tous les régimes totalitaires de la planète, l’Iran le djihad islamique, le hamas, tous ce qui ramène les femmes au bas de l’échelle, une détestation des femmes ? sans compter sa haine des homosexuels, encore une histoire de haine / amour.

enfin tout ça pour dire qu’il n’y pas de perversité mais plutôt une névrose doublée d’une haine de soi.
enfin il me semble, s’il y a un psy dans le coin il pourra toujorus me contredire mais je ne crois pas me tromper.

jusqu’à la glotte..et cheuteup..on en finit pas comme ça..ça non

pour traduire ça en moscovite

y’a que en chinois ils les mangent..là faut faire gaffe..comme si une fille faisait le cochon par chez nous

« Mais vous ne pouvez même pas vous en apercevoir, enfoncé que vous êtes, jusqu’à la glotte, dans vos certitudes bouffies de prétention universitaire »
Clopine

Malhonnêteté et médisance les deux mamelles de Clopine.

« Donc, « wouarf » ai-je écrit, « wouarf » ce sera. »

On ne saurait mieux définir la « pensée clopinouillesque » … ! On pense à la Terreur.

Il est bien évident qu’ici personne, à part Clopine, n’a lu le grand Louis. Wouarf !

Sans parler de la pensée clopinembourg.

La pauvre Clopine, elle traînera toute sa vie son complexe postprandial universitarial.

Barozzi : la première fois de Court ?, toujours et encore avec la main, très droite

Jacques Barozzi dit: 3 août 2014 à 17 h 10 min
« De fait, JC, la première fois n’est pratiquement jamais la meilleure ! »

De fait, c’est la prochaine fois qui est toujours la meilleure …
(tu vois : ta question con, ça marche, avec les cons !…)

Jacky, j’adore l’observation de Clopine : je n’ai jamais vu une conne aussi LOURDE à l’œuvre …. Terrifiant !

Adelsward Fersen, dear mister Court. Mais l’héritier d’industriels des forges, damné à la Visconti, n’est pas de la société du jeune Edouard sorti des surgelés picards. Avec Lorrain, c’est l’autre bout de la tige, si l’on ose dire.

jeune Edouard sorti des surgelés picards. Avec Lorrain, c’est l’autre bout de la tige, si l’on ose dire

c’est pas du frais non pus phil..

l’édouard souffle dans le cul de la vieille formule..gauchet à beau éventer le vieux truc et faire des hoho et des haha..il l’a dans l’fion épicétou

bougreau, Lorrain se ravitaillait dans le trou des halles: du charcutier dépeceur, musclé et tatoué.
Pas sûr que le sieur Eribon eût sponsorisé. Ceccaty aurait eu des vapeurs.

bougreau, Lorrain se ravitaillait dans le trou des halles: du charcutier dépeceur, musclé et tatoué

ha mais bellegueule en a fini avec les lumpène pour recommencer avé les ceux là qu’on les rognons couverts comme dit baroz..ils sauront pourquoi

« ceux là qu’on les rognons couverts »

Les plus pervers !

COMMUNIQUE:
 » mon wouarf est parfaitement explicite!Wouarf ça été, wouarf ce sera! »

Très sensible à ce cri du cœur qui dispense de penser comme d’argumenter par la réhabilitation de l’aboiement primal des origines,
L UDBT ,L’union des Bassets et Teckels, vous remercie, chère Clopine, très chaleureusement de vous exprimer en son langage plutôt qu’en ce bete langage humain, haissable puisque dominant, comme dirait le dernier caniche littéraire en vogue, et vraiment trop pénible à maitriser, s’il faut en croire le résultat!
pcc
MC

Vous préférez le langage humain, M. Court, ici du Michel Foucault :

« A. Grosrichard : Ce que tu appelles «le sexe», comment le définis-tu par rapport à ce dispositif de sexualité ? Est-ce un objet imaginaire, un phénomène, une illusion ?

M. Foucault : Bon, je vais te dire comment les choses se sont passées. Il y a eu plusieurs rédactions successives. Au début, le sexe était un donné préalable, et la sexualité apparaissait comme une sorte de formation à la fois discursive et institutionnelle, venant se brancher sur le sexe, le recouvrir, et à la limite l’occulter. C’était ça le premier fil. Et puis j’ai montré le manuscrit à des gens, et je sentais que ce n’était pas satisfaisant. Alors j’ai renversé le truc. C’était un jeu, car je n’étais pas bien sûr… Mais je me disais : au fond, le sexe, qui semble être une instance ayant ses lois, ses contraintes, à partir de quoi se définissent aussi bien le sexe masculin que le sexe féminin, est-ce que ce ne serait pas au contraire quelque chose qui aurait été produit par le dispositif de sexualité ? Ce à quoi s’est d’abord appliqué le discours de sexualité, ce n’était pas le sexe, c’était le corps, les organes sexuels, les plaisirs, les relations d’alliance, les rapports interindividuels…

J.-A. Miller : Un ensemble hétérogène…

M. Foucault : Oui, un ensemble hétérogène, qui a finalement été recouvert par le dispositif de sexualité, lequel a produit, à un moment donné, comme clef de voûte de son propre discours et peut-être de son propre fonctionnement, l’idée du sexe.

G. Miller : Cette idée du sexe n’est pas contemporaine de la mise en place du dispositif de la sexualité ?

M. Foucault : Non, non ! le sexe, on le voit apparaître, il me semble, au cours du XIXe siècle.

G. Miller : On a un sexe depuis le XIXe siècle ?

M. Foucault : On a une sexualité depuis le XVIIIe siècle, un sexe depuis le XIXe. Avant, on avait sans doute une chair. Le bonhomme fondamental, c’est Tertullien.

J.-A. Miller : Il faut que tu nous expliques ça.

M. Foucault : Eh bien, Tertullien a réuni, à l’intérieur d’un discours théorique cohérent, deux choses fondamentales : l’essentiel des impératifs chrétiens -la didakhé -et les principes à partir desquels on pouvait échapper au dualisme des gnostiques.

J.-A. Miller : Je vois bien que tu cherches quels opérateurs vont te permettre d’effacer la coupure qu’on place à Freud. Tu t’en souviens, à l’époque où Althusser faisait valoir la coupure marxiste, tu étais déjà arrivé avec ta gomme. Et maintenant, c’est Freud qui va y passer, enfin je crois que c’est ton objectif, dans une stratégie complexe, comme tu dirais. Est-ce que tu crois vraiment que tu vas réussir à effacer la coupure entre Tertullien et Freud ?

M. Foucault : Je dirai que, pour moi, l’histoire des coupures et des non-coupures est toujours à la fois un point de départ et un truc très relatif. Dans Les Mots et les Choses, je partais de différences très manifestes, des transformations des sciences empiriques vers la fin du XIXe siècle. Il faut être d’une ignorance dont je sais qu’elle n’est pas la vôtre, pour ne pas savoir qu’un traité de médecine de 1780 et un traité d’anatomie pathologique de 1820, c’est deux mondes différents.

Mon problème était de savoir quels étaient les groupes de transformations nécessaires et suffisants à l’intérieur du régime même des discours pour que l’on puisse employer ces mots-là plutôt que ceux-ci, tel type d’analyse plutôt que tel autre, qu’on puisse regarder les choses sous tel angle et non pas sous tel autre. Ici, pour des raisons qui sont de conjoncture, puisque tout le monde appuie sur la coupure, je me dis : essayons de faire tourner le décor, et partons de quelque chose qui est tout aussi constatable que la coupure, à condition de prendre d’autres repères. On voit apparaître cette formidable mécanique, machinerie d’aveu, dans laquelle en effet la psychanalyse et Freud apparaissent comme l’un des épisodes. »

ST, avoir les rognons (ou les reins) couverts = avoir de l’argent.

TKT dit: 3 août 2014 à 17 h 41 min

Né con thierry mourra con.

spécialement celui de Dresden. Acte inutile, la guerre était gagnée

on a toujours comparé ça a hisroshima..fallait casser le soutien de l’opinion..je ne sais pas..j’ai connu un vieux poilu dans ma jeunesse qui disait qu’il aurait fallu aller a berlin en 19..le coup de couteau dans le dos pas étonnant que litlère et ses copins ont pu le faire croire..

(surtout le Beugreu, petit Eichmann des blogs, qui est en manque, et qui piaffe dans tous les sens)!

on a assez dit qu’eichmann était un type qui se voulait trés effacé et trés ordinaire on lui a même particulièrement reproché..alors..sinon d’autres insinuations trés vaseuses tu ne vas nul part mon couillon

tkt, quel type de meubles avez-vous ?

Sûrement une commode XVIIIème qui ferait l’admiration de Chaloux.
Plus c’est rococo plus ils aiment.

il y avait aussi une baignoire à champagne que dali aurait acheté et qui aurait disparu des radars

Des femmes rebelles, des femmes reporters de guerre, et trois jeunes collégiennes.

http://www.franceinter.fr/emission-les-femmes-toute-une-histoire-des-femmes-rebelles-des-femmes-reporters-de-guerre-et-trois-j

« on a assez dit qu’eichmann était un type qui se voulait trés effacé et trés ordinaire on lui a même particulièrement reproché..alors..sinon d’autres insinuations trés vaseuses tu ne vas nul part mon couillon »

On a constaté surtout qu’il ne savait pas parler, sauf comme un perroquet.

@ Jacques Barozzi dit:3 août 2014 à 17 h 42: « On a une sexualité depuis le XVIIIe siècle »: C’est un peu revenir au discours sur le mot gay n’existant que depuis les années 60. Henri III se serait donc fait assassiner pour rien ?
Les actions existaient avant les discours, ne pas prendre tout à la lettre.
On accepte le principe, que les choses n’existent INTELLECTUELLEMENT que quand elles génèrent des discours, pas de problème.

Mais quand même, les animaux ont une vie sexuelle, parfois même homosexuelle, ils n’en discutent pas, cela ne change rien à leur plaisir.

Jacques, vous avez raison, la première fois ne fut pas la meilleure, et je puis imaginer que la dernière fois ne sera pas la meilleure non plus.

Michel Alba a idéalisé « sa première fois », on dirait une gravure ou une aquarelle du 18ème, exercice littéraire, pas très convaincant.

Personnellement ma première fois fut sponsorisé par mon père, j’avais 18 ans et il m’avait donné exactement la somme pour une professionnelle du quartier de la place de la Madeleine.
Aucun regret.

« Je me demande d’ailleurs si beaucoup d’Israéliens (les mêmes) ne souffrent pas d’un complexe de supériorité raciale qui les apparente aux nazis et les lie en une immonde fraternité. Quant à ma position à l’égard de l’Etat d’Israël, elle est purement politique, et nullement entachée de considérations ethnophobes ou racistes. »
Onéné

Cherchez l’erreur.
T’es antisémite Onésiphore épicétou.

On a constaté surtout qu’il ne savait pas parler, sauf comme un perroquet

..ha..on condamne a mort les disarthriques les apahsiques et les perroquets en israel..bon..

Onésiphore de Prébois dit: 3 août 2014 à 18 h 17 min
Apprenez à lire

Mais on te lis chaque jour sur le sujet Onéné, c’est pour ça qu’il est possible de dire et l’écrire :
t’es antisémite Onéné épicétou.

On/je

t’es antisémite Onéné épicétou

keupu..toi qui a un lawyer trop cher pour toi..tu peux quand même lui demander si l’accusation d’antisémitisme à tort et à travers n’est pas punissable par la lois..demande lui il va te répondre gratuitement

c’est du nord aussi baroz..ici il est de bon ton de le faire croire par exemple

Histoire de changer du look bas varois ?

Je vais être très claire: je ne connais pas ce Mr Michu.

Mr Michu dit: 3 août 2014 à 18 h 23 min

Milou est redevenu Mr Michu, Clopine ne va plus rien comprendre.

ODP pauvre con raciste trop petit pour nous tes theories delirantes qui attendent notre fin on a vus d’autres pauvres jactations d’un debile.

bouguereau dit: 3 août 2014 à 18 h 24 min

Mais le boug’ toi qui insinue la même chose chaque jour (liste de Nobel) es-tu sûr de ton impunité ?

tu peux quand même lui demander si l’accusation d’antisémitisme à tort et à travers n’est pas punissable par la lois..demande lui il va te répondre gratuitement( Bouguereau)

Absolument. C’est punissable par la loi. Je précise en outre que Soral et Dieudonné me sont foncièrement antipathiques, en raison de leur antisémitisme justement. Ce n’est tout de même pas ma faute si la création d’Israël en 1948 débouchait sur une impasse : ils y sont, maintenant. Parmi les effets pervers de l’impasse, le reniement par Israël des valeurs démocratiques sur lesquelles ses créateurs voulurent le fonder, et — il faut le dire avec force — l’oubli de la leçon de la Shoah. Ces gens-là devraient relire et méditer quelques lignes célèbres des Carnets de Montesquieu.

atomes très crochus avec milou, épicétou comme dirait bouguereau

lache..aimes tu la calomnie ?

Ouh là, y’en a qui mentiraient…

Salon double, toilettage de rombières et toutous, bien, je crois que je peux sortir…

@ Jacques Barozzi dit:3 août 2014 à 18 h 25: W est le seul qui ait décrit son sexe, le déclarant de fort belle allure.
Je veux bien croire que vous avez eu du plaisir avec Clopine.
Clopine disait dans un commentaire ne pouvoir être prise pour un parigotte, elle parlait du look. Avait-elle mis une coiffe normande, tenait-elle un panier d’osier ?
Les gens sont tous habillés de la même manière, je ne vois pas comment Clopine, de Beaubec, fait pour être typiquement de la campagne. Tenue de chasse ? Tabouret à un pied accroché à la ceinture ?

Les procès sont pour bientôt

décidément t’es sans retenu aucune..jme dis que lassouline a des perspectives inouies quelquefois..un genre de confesseur des âmes mortes

Allons, Phil, vous avez déjà vu comment on traie les vaches, non ?
Quoique, aujourd’hui il y a des appareils électroniques automatisés, plus besoin de tirer sur les pies.

gaffe avec la tenue de chasse elle a peut être l’espignole qui va avec vontraube..ça porte plus qu’un gode ceinture

De quoi, de quoi ?
Ai-je bien lu :
« Défoncée jusqu’à la glotte » (Clopine).

Donc d’après bouguereau un individu qui veut exterminer des Juifs (Ah non, pardon, des Israéliens) ne doit pas être nommé.
C’est la loi.
Je me demande si parfois à force de se cacher derrière son masque le père bouguereau ne se mélange pas un peu dans ses fils.
Le marionnettiste ne maîtrise plus son pantin.

@Bloom les âmes blessées qui attendent des vivants de trouver le repos… il existe d’autres êtres invisibles autour de nous, d’autres spectres, qui agissent à l’inverse de ce que vous dites en aidant les vivants à trouver le repos.
Certains apprennent parfois à grandir et vivre avec des personnes qui parlent à ces êtres invisibles pour trouver ce repos, on les accuse de parler seuls, on les croit fous ou folles, alors on les enferme des hôpitaux pour les soigner, ce sont eux les fous car jamais dans ce monde, un être vivant n’a trouvé le moindre véritable repos auprès d’un être qu’il puisse voir ou toucher.

I have been in you:
https://www.youtube.com/watch?v=LmLMJRFM21w

pauvre Monsieur Court, pourtant ce que vous dites est simple, et clair.

Clopine je vous assure c’est hyper simple ce que dit Monsieur Court, il ne vous prend pas de haut, il vous demande juste d’imaginer la situation inverse de celle à laquelle nous assistons.
C’est simple, imaginons un colloque, et imaginons qu’il existe encore en France quelques intellectuels de droite, et que ces intellectuels fassent une pétition pour interdire l’accès au colloque d’un type qui serait un peu trop stalinien ou trop bourdieusien, ou trop foucaldien à leur gout, que se passerait-il dans notre pays ?
vous imaginez deux secondes la situation ?

je ne connais pas Louis mais je connais un peu son mentor Eribon, ce type se croit rebelle mais il est étriqué et il vit prisonnier ! il est prisonnier de son identité, prisonnier de ses idées, prisonnier de ses engagements, prisonnier de l’adoration pour ses maitres, regardez son blog :
http://didiereribon.blogspot.fr/
c’est pas un blog c’est une prison !
un type prisonnier à ce point ne peut pas être un rebelle, c’est pas possible, un rebelle c’est un type libre et lui il est tout sauf libre.
pas la peine d’avoir fait polytechnique pour le voir.
si Eribon est étriqué forcément l’autre il doit l’être aussi avec ses airs de « Clint Eastwood je vais tous me les faire dans mon village et ma famille – règlement de compte à ok corall et il était une fois à Hallencourt ».

Il était une fois à Hallencourt avec Charles Bronson dans le rôle du vengeur masqué…

sérieux Clopine notre société est figée, pétrifiée, recroquevillée sur elle-même, elle vit dans la peur (elle a raison parce que ça va bientôt péter), les politiques n’ont plus d’idées, les intellectuels planent à dix mille pieds, ils n’ont plus la moindre idée de ce qu’il se passe dans le vrai monde parce qu’ils vivent dans les textes théoriques de Michel Foucault et de Pierre Bourdieu !!!

qu’est-ce qu’il les intéresse ? leur honte d’avoir honte de leurs origines, leurs règlements de compte familiaux, prendre leur revanche, qu’est-ce qu’on en a à péter de leur petite revanche ?

et pour finir ils lancent une fatwa contre Gauchet, peut-être que Gauchet n’est pas un défenseur de toutes les causes qu’il faut défendre quand on est un défenseur du Bien, sans doute il ne cotise pas à act’up, ni à touche pas à mon potes, il ne défend pas les indigènes de la République, les culturals studies…

non je vous assure Clopine nous sommes en train de sombrer dans le ridicule, et vous vous dites non ? quoi ? pourquoi ? pourtant j’ai écouté Onfray il a pas dit ça ? pourtant l’eau faisait 22° en Corse, vraiment je ne vois pas le problème…

attention Clopine vous êtes en train de vous embourgeoiser vous aller nous finir comme la Verdurin.

non Clopine c’est pas possible de ne pas voir le problème parce que le problème est bien là, je vous en supplie, de grâce Clopine cessez donc de faire l’autruche !

Jacques Barozzi dit: 3 août 2014 à 17 h 16 min
« son complexe postprandial universitarial. »

Après wouarf, ML joue à trouver des mots intraduisibles !
ça veut dire quoi en français moderne ?
_________
C’est pourtant clair ! C’est à l’évidence, pour tout honnête homme bien formé et cultivé, un concept heideggérien.

« Question posée à Didier Eribon : D’une façon plus générale, que vous a apporté la littérature ? Est-ce grâce à elle que vous avez réussi à mettre des mots sur « votre singularité individuelle » et le « social » qui la définit ? Je pense à la lecture de certains auteurs, comme par hasard beaucoup de femmes (mais je ne crois pas au hasard !!!), Ernaux, Duras, Beauvoir, etc ?

Réponse de Didier Eribon : La littérature a toujours occupé une très grande place dans ma vie, mais aussi dans ma pensée et dans mes livres. Dans Réflexions sur la question gay, paru en 1999, je me réfère abondamment à Proust, à Gide, à Wilde… (la deuxième partie du livre s’intitule « Spectres de Wilde »). Une morale du minoritaire, l’ouvrage qui a suivi, en 2001, a pour sous-titre Variations sur un thème de Jean Genet. Dans ces ouvrages, j’insiste sur le fait que la littérature a joué un rôle décisif dans la bataille pour le droit à la parole des dominés, pour rendre visibles des éléments du monde social voués à l’invisibilité. Combien de jeunes gays ont cherché dans les écrits littéraires des mots pour se nommer, des images pour se reconnaître et se penser ! La littérature a une fonction sociale, politique autant qu’existentielle. Et bien sûr, les écrivains sont très présents dans Retour à Reims et La société comme verdict. Non seulement parce qu’ils offrent une grande variété de descriptions de situations, de restitutions d’expériences, d’explorations d’affects, mais aussi, et je crois qu’il est important d’insister sur ce point, de puissantes réflexions théoriques.
Vous mentionnez Ernaux, Duras, Beauvoir… il faut ajouter la présence dans mes livres, de Toni Morrison, Assia Djebar, Nathalie Sarraute, Violette Leduc, Christa Wolf… Et en effet, il n’y a sans doute pas de hasard dans le fait que figurent de nombreuses femmes parmi les écrivains qui m’aident à penser et à écrire. Notamment des femmes qui ont cherché à décrire la domination, l’infériorisation, la violence de l’histoire, de l’ordre social et celle de l’ordre sexuel ou même de l’ordre culturel… Il y a sans doute chez moi une sorte d’identification positionnelle infra-consciente avec l’écriture critique des femmes qui dissèquent les mécanismes de l’assujettissement. C’est vrai aussi de la présence dans mes livres des écrivains noirs (Baldwin, Wideman, Glissant, Chamoiseau…). Et d’ailleurs, le mot « sentimenthèque » est un mot que j’ai pris chez Chamoiseau, précisément dans son essai Ecrire en pays dominé, quand il évoque les livres qui vous font signe un jour, et vous aident à décoloniser votre esprit. »

vive la littérature !!!

J’écoutais par erreur Michel Onfray l’autre matin. Comme à l’habitude, pas la moindre trace d’un concept, d’une notion, d’une idée originale. Juste un salmigondi de demi-vérités, un brouet de biographèmes soigneusement sélectifs, visant à discréditer le penseur & la personne que le Diafoirus de la philosophie avait décidé de malmener ce jour-là.
Je me souviens d’une séance sur “Le peintre de la vie moderne” il y a quelques années de cela. Passablement étonné du contenu de ce “cours”, où je ne reconnaissais pas ce que j’avais lu avec attention, je me suis replongé dans l’original pour y constater qu’aucun des propos qu’Onfray prêtait à Baudelaire ne figurait dans les pages du maître. Le Iago de l’histoire de la pensée occidentale s’était moqué de son auditoire. Au passage, il avait insulté la mémoire et l’oeuvre du grand Poète, et salit le beau mot de “populaire” qui orne l’appellation de son “université”.
Onfray est rien moins qu’un escroc intellectuel pour qui la philo est prétexte à un éternel réglement de comptes où tous les coups sont permis pourvu qu’on inflige au philosophe “canonique”, au penseur “institutionnel”, une bonne râclée qui découragera à jamais le lecteur potentiel d’aller y voir par lui-même. Cette entreprise de démolition (au bout d’une heure de “cours”, il ne reste que des ruines) a pour ambition finale de réduire la philo à sa personne, à sa propre diafoirée verbale (maintenant que je me suis fais le bonhomme Freud, je vais me taper le père Jünger…).
Le gourou du bocage est entouré de fans & de groupies naïfs qui vivent dans l’illusion de l’apprentissage quand ils sont manipulés par l’immodeste imposteur. Le monde de l’édition fait ses choux gras de ce compost de poncifs mal digérés, de mensonges éhontés et de voyeurisme écoeurant. A l’époque de la vacuité & de l’inculture , il est plus aisé de vendre le produit Onfray que les productions de JL Nancy, ou de Judith Butler.

Il n’y a pas si longtemps, sur Radio Sorbonne, on pouvait écouter les cours de Vladimir Jankelevitch, merveilleux rhapsode à la pensée toujours en action, à l’intelligence qui va…
A côté, les éructations d’Onfray sont celles d’un nain juché sur le rebord d’un pot de chambre craquelé.

Là, c’est un des meilleurs de Bloom, hein, mes petits chéris, soyons honnête ! Mise à part la Butler qui, à mes yeux, a pété un câble depuis belle lurette, y a rien à redire.

Onfray s’est même attaqué à Brummel, récemment. J’ai essayé, en vain, de m’expliquer pourquoi.

Il y a du vrai dans ce que dit Bloom…mais tout n’est pas faux non plus dans les règlements de compte d’Onfray. Restons calmes.

l’infirmière lui a passé la camisole mais le bougre a réussi à s’en extraire grâce à son vit qu’il a énorme et qui lui sert à couper les lanières. Elle n’a jamais vu ça !

« mais tout n’est pas faux non plus dans les règlements de compte d’Onfray »

Encore un qui n’aime pas Brummel ?!

« la Butler qui, à mes yeux, a pété un câble depuis belle lurette » WiderGangBang

C’est idiot de dire ça. Vous avez un préjugé débile contre les philosophes américains. Les avez-vous lus suffisamment ? Sans doute que non.

« C’est pourtant clair ! C’est à l’évidence, pour tout honnête homme bien formé et cultivé, un concept heideggérien. »

C’était donc le nom d’un suppositoire, ML !

Bien, le chat de l’hôtel s’est installé à ma table, et pas par intérêt puisqu’il est dodu et d’ailleurs il n’a rien demandé. À la fin du repas, il a sauté sur mes jambes et il s’est endormi. Résultat ? Kirch offert parce que : « Le patron vous a adopté » — a dit la serveuse en indiquant le chat.

Cela dit, l’on m’avait assuré que les chats sentent la mort, et les attentions inattendues de ce chat m’ont un peu inquiété car j’ai un travail en cours et laisser une œuvre inachevée sans l’avoir décidé ne me plairait pas.

Pas un suppositoire, voyons, Baroz. Ce n’est pas par là qu’il faut avaler une praline.

Al-Sissi est en tout cas près à prêter main forte à Tsahal pour en finir avec la branche des Frères musulmans à Gaza. Et Al-Sissi, il ne rigole pas. Qu’Odp se le dise, dans son cabanon.

On peut être Anglaise, de mère juive et conne. Ce n’est pas interdit.

Attention, il vient de ressortir de son cabanon…! Tous aux abris. La bourse des faux-culs est à la hausse.

« Jen Psaki porte parole de John Kerry:  » Les Etats Unis sont outrés par l’attaque de l’école a Gaza ». »

Dernier Twitt de la correspondante en Israël, Laurence Haïm. Pour ceux qui n’auraient pas encore percuté. Washington, devant l’excès de violence militaire, intime le holà. Il était temps.

… al-Sisi ! merdre, Michel, les noms des gens !

Onésiphore de Prébois dit: 3 août 2014 à 21 h 23 min

Abdel argumente (bien, mal, chacun pour soi) Prébois n’est qu’un monstre d’émotion, dangereux, très dangereux.
Pour tous.

Renato déprime dans un hôtel formule 1 pourri au milieu de chats obèses, alors que sa grand-mère lisait Ida Pfeiffer dans la Venise autrichienne.
Sorte de décadence assez préoccupante à qui sait lire entre les lignes de fronts.

C’est pour ça qu’on a appelé l’infirmière. Il fait pitié avec sa souffrance mal placée. Mais il a réussi à se libérer de sa camisole. Il erre dans les couloirs, maintenant. Plus moyen de l’arrêter. À moins que Tsahal ne s’y mette…

Widergänger dit: 3 août 2014 à 21 h 23 min
On peut être Anglaise, de mère juive et conne. Ce n’est pas interdit.

Ne soit ridicule Michel, fais un effort.

ce chat est bien le seul à avoir vu en vous en peu de chaleur

vaut peut-être mieux pas être trop nombreux à la colle pour se la jouer..

Malheureusement Phil pas de formule 1 par ici ; et le chat est dodu, pas obèse. Pour ce qui est de la déprime : je lis les journaux et je ne prends pas d’antidépressifs… Lecture : « White Noise »… Pour le reste, très bonne compagnie : surtout rilkiens, et pour cause… BàV

Nombre de juifs de première grandeur sont des antisémites, Baroz, voyons, vous devriez savoir ça, vous !

ML, j’aimerais vous entendre repeter ca devant moi…de vive-voix…
@barozzi: vous etiez pour ou contre le boycote de l’Afrique du Sud, du temps de l’apartheid?
Le soldat israelien Porte disparu vient de Cambridge et Porte la double nationalite…comme la majorite des israeliens…car ils savent que ce pays merdique n’a pas vraimentt de future…tout comme l’Afrique du Sud de l’apartheid …

ce « postprandial » est plutôt mystérieux…

Mais pas du tout. On pense mieux la panse pleine!

Prof, fonctionnaire et medef compatible, faudrait être taré. Je sais bien qu’on me prête bcp mais tout de même…

« israël défie l’autorité des Etats-Unis » (WGB)

Mon Pauvre ami, et vous croyez que ça va durer longtemps ?

Moi, pigeons d’argile ou pas, à la place d’aucuns, je garerais mes morpions. la noble incertitude du sport, très peu pour moi.

ML, j’aimerais vous entendre repeter ca devant moi…de vive-voix…
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Quand tu veux mon mignon ! Si t’as des couilles.

Abdelkaka est simplement en retard d’une mondialisation, c’est un nationaliste aux petits pieds. La double nationalité, c’est l’avenir.